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Demande de coopération pour générateur d’énergie libre (Anonyme)

Posted in actualité, altermondialisme, écologie & climat, démocratie participative, documentaire, résistance politique, sciences, sciences et technologies with tags , , , , , , , , , on 29 février 2024 by Résistance 71

energielibre2

Appel à l’aide aux bricoleurs électriciens sur comment tirer de l’électricité à partir de mes deux mouvements perpétuels découverts ?

Anonyme

29 février 2024

J’ai découvert 2 mouvements perpétuels, je cherche à exploiter soit l’un, soit l’autre, soit les 2 ensemble, pour en tirer de l’électricité.

Je ne connais rien à l’électricité, et j’ai découvert ces mouvements perpétuels par accident en m’inspirant de cette vidéo

1er mouvement perpétuel découvert:

dans cette vidéo à partir de 1min52 https://crowdbunker.com/v/9HNaKTbr5J, on voit que le mouvement perpétuel existe et est facile à faire.

Vous pouvez recréer facilement le mouvement perpétuel de la vidéo avec le matériel suivant :

– une tige solide par exemple en aluminium (la taille et le diamètre peu importe)

– 4 aimants en anneaux néodyme avec un trou légèrement supérieur à celui de la tige (Peu importe la taille ou le diamètre, même minuscule, les aimants doivent être identiques)

– un support de tige avec trou pour placer la tige qui est solide par exemple en aluminium, donc le trou du support doit être identique à celui de la tige (attention il y a des erreurs de marge de fabrication qui fait que le trou peut être largement plus grand que la tige même si officiellement il est identique

– une boussole magnétique ou se procurer gratuitement via des dons

– (option) des gants anti dérapants et de manutention précise pour pouvoir séparer les aimants anneaux sans problème

recréer l’expérience de la vidéo à partir de 1min52 https://crowdbunker.com/v/9HNaKTbr5J :

-vous installer la tige dans le support de tige

– enfiler les 3 aimants anneaux à travers la tige jusqu’à ce qu’ils touchent le bas du support de tige

– et le 4 ème anneau, placer le de façon à ce que sa face soit de magnétisme identique à la face de l’aimant qui est au plus haut de la tige, de façon à créer un mouvement de répulsion

si la face de l’aimant est nord, alors votre anneau aimant doit aussi être nord. Pour ne pas vous tromper de face, utiliser une boussole magnétique, sa flèche indiquera nord ou sud selon la face de l’aimant à laquelle vous l’approchez.

– les 3 aimants qui forment un même bloc repoussent alors le 4 aimant vers le haut jusqu’à un certain niveau de la tige dans un mouvement de répulsion perpétuel

– et cela y est vous l’avez votre mouvement perpétuel! 

après si vous avez des connaissances en électricité, et avez une idée sur comment tirer de l’électricité de ce 1 er mouvement perpétuel, vous pouvez les partagez en commentaires ci dessous ou l’envoyer par email à « Resistance 71 » <pbk1871@protonmail.com> qui me le retransmettra.

2ème mouvement perpétuel découvert:

matériel:

– une tige solide par exemple en aluminium (la taille et le diamètre peu importe, moi perso j’ai pris une tige de 10 cm et 8 mm de diamètre)

– (3 ou plus) aimants en anneaux néodyme avec un trou légèrement supérieur à celui de la tige (Peu importe la taille ou le diamètre, même minuscule, les aimants doivent être identiques, moi perso j’ai pris des aimants anneaux d’un trou de 9 mm de diamètre)

– un support de tige avec trou pour placer la tige qui est solide par exemple en aluminium, donc le trou du support doit être identique à celui de la tige (attention il y a des erreurs de marge de fabrication qui fait que le trou peut être largement plus grand que la tige même si officiellement il est identique, j’ai pris un support de tige de 8mm de diamètre, mais la tige fiche le camp du support à chaque fois, faudrait le coller)

– une bobine de cuivre (peu importe la longueur ou le diamètre, je pense que cela donnerait le même résultat, mais au cas où, perso j’ai pris une bobine de 0.8 mm de diamètre et 22 mètres de longueur)

– (option) des gants anti dérapants et de manutention précis mais là vous n’aurez pas besoin de séparer les aimants et vous pouvez mettre le bloc d’aimants collés d’un coup

expérience:

-vous installer la tige dans le support de tige

– enfiler les 3 aimants anneaux ou plus à travers la tige jusqu’à ce qu’ils touchent le bas du support de tige

– Sans découper le fil de la bobine de cuivre(très important sinon cela ne marche pas!) , vous enroulez le fil de cuivre autour de la tige dans l’espace situé au dessus des aimants autant de fois que vous voulez mais en laissant suffisamment pour que la bobine de cuivre ait toujours plus de fils enroulés autour d’elle que la tige.

Note: je ne sais pas si enamelled ou émaillé veut dire la même chose, j’ai acheté un truc anglais appelé « enamelled copper wire ».

– rapprochez la tige de la bobine de cuivre et à partir d’une certaine distance, la bobine de cuivre va repousser la tige et la faire tomber. Apparemment, les aimants de la tige transmettent via le fil de cuivre enroulé autour de la tige et toujours lié à la bobine une force magnétique de direction identique, ce qui cause une force de répulsion la bobine envers la tige.

Comme j’ai utilisé des 3 petits aimants (en rajoutant un 4ème par la suite j’ai eu le même résultat, voilà pourquoi j’ai mis 3 et plus), et que je n’ai enroulé que 3 ou 4 fois le fil de cuivre autour de la tige, c’est la force de répulsion de la bobine de cuivre qui a gagné, et a fait tombé la tige dans le sens opposé d’elle. Je ne sais pas si ce serait la même chose pour les autres expériences que les gens feront. En tout cas, le truc à noter, c’est que cela crée une force de répulsion. 

après j’ai arrêté l’expérience, car comme j’ai découvert cette force de répulsion lors de mes manipulations de la 1ère expérience, je n’ai pas voulu continuer, pour continuer à garder mon matériel pour finir ma première expérience.

Mais delà, j’ai fait des déductions logiques:

– Donc voilà, vous verrez une force de répulsion entre la bobine et la tige mais qui est inégalée, entrainant l’un à renverser l’autre dans le sens opposé. Pour garder cette force de répulsion et la rendre perpétuel, il faudrait utiliser un moyen de maintenir la force de répulsion de façon permanente. 

Pour cela, il faudrait coller ou bloquer avec un support pour empêcher d’être renversé par la force de répulsion, etc…) les 2 (tige et bobine) l’un à côté de l’autre à partir de la distance où la force de répulsion commence à se sentir.

-Ainsi on pourrait aisément obtenir une force de répulsion perpétuel

Si vous avez des connaissances en électricité, et avez une idée sur comment tirer de l’électricité de ce 2ème mouvement perpétuel, vous pouvez les partagez en commentaires ci dessous ou l’envoyer par email à « Resistance 71 » <pbk1871@protonmail.com> qui me le retransmettra. (Pas de PDF SVP)

PS: si votre idée implique l’usage de batteries, c’est inutile de l’envoyer, car je ne veux pas utiliser de batteries dans mon énergie libre. 

Soyez précis dans votre idée, et mentionnez le nom des matériaux que vous proposez, comment en détail vous les assemblez (les outils de collage, marques de produits de collage et si possible le nom des instruments et appareils d’outils utilisés), ainsi que toutes leurs caractéristiques. Sinon ne l’envoyez pas.
Merci d’avance

Arnaque COVID, fraude et tyrannie pseudo-vaccinale… Fauci, Gates et les 1000 milliards de dollars de corruption pour un crime contre l’humanité en bande organisée (entretien avec Robert F. Kennedy Jr)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences, sciences et technologie, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 19 novembre 2021 by Résistance 71

Le compte rendu de l’entretien de Robert Kennedy Jr avec le Dr Mercola est très bon et donne un éclairage très précis des trames politico-financières de derrière le rideau de cette supercherie, escroquerie COVID et la main mise d’une poignée de personnes sur le système médical et de la politique de santé publique mondiaux. L’inconvénient est qu’il met sous les feux de la rampe des ordures du calibre de Fauci et Bill Gates, laissant penser que si on se débarrassait de ces gugusses, cela irait beaucoup mieux… Ceci est un leurre total ! Fauci et Gates n’existent que parce qu’un système a permis leur éclosion et l’amplitude de leur pouvoir. Croire que changer des têtes changerait quoi que ce soit est absurde ! C’est tout le système qu’il faut changer, radicalement, depuis la racine, car si l’homme crée le système, à terme les rouages d’un puissant système créent les hommes qui aident à sa perpétuation. Pas de solution au sein du système et ne saurait y en avoir. Nous devons tout passer par dessus bord et mettre en place la société des associations libres mondialement confédérées, sans état, sans marchandise, sans argent ni salariat.
C’est la seule solution viable pour l’humanité, tout le reste n’est que réformisme imbécile qui ne peut mener qu’à un renouvellement éternel du marasme ambiant ; même malbouffe poison on change juste de sauce…
~ Résistance 71 ~

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Robert Kennedy Jr sur Fauci, Bill Gates et Big Pharma…

Anthony Fauci et 1000 milliards de dollars de pouvoir et de corruption

Compte-rendu d’entretien sur le livre de Robert Kennedy Jr “The real Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma and the Global War on Democracy and Public Health”

JoAnn Nova

17 novembre 2021

url de l’article original:
https://joannenova.com.au/2021/11/anthony-fauci-and-a-trillion-dollars-worth-of-power-and-corruption/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Il est le haut-fonctionnaire le mieux payé des Etats-Unis et il occupe sa position [de directeur de l’Institut de la Santé Nationale américain] depuis des décennies (NdT : depuis 1987 si nos souvenir sont exacts…) ; il a été capable de diriger des milliers de milliards de dollars de financement. L’an dernier, il a aidé à infecter l’Amérique alors que cela aurait pu être stoppé et cette année, il garde des médicaments efficaces et bon marché contre la COVID loin des patients et de leurs médecins.

Robert F. Kennedy Junior vient juste de faire paraître un nouveau bouquin des plus intéressants intitulé “Le véritable Anthony Fauci”. Je ne l’ai pas encore, mais les entretiens de Kennedy concernant le lancement de son livre sont radioactives. Pire encore que les expériences de Beagle rapportées il y a tout juste deux semaines (Beagle experiments reported) sont les allégations d’expériences médicales sur des orphelins dominicains et des citoyens américains malades.

Le véritable Anthony Fauci conservera t’il son boulot ? Les notes ci-dessous proviennent de la transcription de l’entretien du Dr Joseph Mercola avec Robert F. Kennedy Jr

Voici ce que je voudrais dire aux gens. Nous devons mettre un terme à tout cela. C’est la colline pour laquelle nous devons tous mourir.

Kennedy affirme que tout ceci se répète décennie après décennie. Les médicaments efficaces et bon marché sont bloqués, tandis que de nouveaux médicaments bien plus profitables sont promus. Tout le monde dans cette chaîne reçoit sa récompense, sauf les malades et les médecins hérétiques qui sont mis au pilori et virés.

  • Fauci est le haut-fonctionnaire le mieux payé des Etats-Unis, et 68% des 437 000 US$ par an de salaire proviennent de la recherche sur les armes biologiques
  • Au lieu de préserver la santé publique, Fauci a transformé le National Institute of Health (NIH) en un incubateur pour produits pharmaceutiques et a essentiellement vendu le pays à l’industrie pharmaceutique
  • Fauci a mis les mains à la pâte dans la création d’une ruée vers l’or vaccinale. Il a rencontré Bill Gates en 2000, qui lui a demandé d’établir un partenariat avec le NIH dans un accord de vaccination du monde avec toute une batterie de nouveaux vaccins. En 2009, cet accord fut rebaptisé “La décennie des vaccins”, dont l’objectif est de mettre en place des vaccinations obligatoires pour chaque adulte et enfant sur la planète pour l’année 2020

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Bill « la piquouze » dans son labo…

Le capitalisme philanthropique ressemble à un hybride entre les banquiers et les verts : trop important pour échouer et trop sacré pour être critiqué.

Le couvert de la charité est un bouclier contre toute tentative d’enquête sérieuse.

“Gates appelle ce qu’il fait du capitalisme philanthropique, [l’idée] que vous pouvez utiliser la philanthropie pour faire de l’argent. Il a une fondation où il a planqué 50 milliards de dollars exonérés d’impôts et il continue à avoir un contrôle absolu sur cet argent. Il l’utilise pour gagner le contrôle sur les agences de santé publique de notre pays et sur l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Il a créé un bon nombre de ses propres organisations avec le Dr Fauci et beaucoup de ces agences quasi-gouvernementales, que les gens pensent être gouvernementales (mais qui ne le sont pas). Elles sont en fait des avant-postes de l’industrie pharmaceutique comme GAVI, SEPI etc…

Il utilise cette batterie d’organisations et ce contrôle exercé sur l’OMS pour faire mettre en place des politiques médicales ou pharmaceutiques, de santé publique dans le monde, ce de telle façon que cela maximise les profits pour ses investissements dans l’industrie pharmaceutique.

(NdT: n’oublions pas que Bill Gates et sa fondation sont les second financiers de l’OMS derrière les Etats-Unis… La fondation Gates finance plus l’OMS que les pays du G7 hors Etats-Unis… le contrôle est total)

Le gouvernement des Etats-Unis prend quasiment tous les risques, fait le promotion et garantit les bénéfices :

Le contribuable américain a financé la recherche tandis que les laboratoires pharmaceutiques ont fait environ 100 mililards de dollars de bénéfice de ces injections en même pas un an. Tout cela alors qu’on leur a accordée une responsabilité zéro pour toutes morts ou séquelles alors même que les gens ont été contraints et forcés de se faire injecter.

Cela ne peut jamais être bon de mettre un homme en charge d’une telle poule aux œufs d’or :

… entre Fauci, Gates et le U.K Wellcome Trust du Royaume-Uni, ils conrôlent 63% de la recherche bio-médicale sur la planète au travers de leurs financements. Dans sa carrière, Fauci à lui seul a distibué plus de 930 milliards de dollars en budgets de recherche au travers du NIAID. Vous pouvez même dire qu’ils contrôlent tout, vraiment, parce qu’ils ont aussi la capacité d’assécher le financement des projets qu’ils ne veulent pas entrepris.

Un homme détient la clef du coffre contenant tant d’argent, comment ne peut-il pas être corrompu dans le processus ? Qu’est-ce qui empêche cet homme seul de devenir si influent que beaucoup de personnes au sein d’une branche complète de la science commence à travailler pour lui ?

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Anthony Fauci… patron de l’Institut de Santé Publique
depuis… 34 ans !

Ce système est comme un processus de révision de potes formalisé de la science du climat.

“Entre 2009 et 2016, environ 230 médicaments ont été approuvés par la FDA (NdT : Food & Drug Administration, l’agence fédérale américaine qui accorde les droits de mises sur le marché de produits alimentaires et de médicaments), toutes en provenance de son magasin. Il est donc un incubateur de Big Pharma. Voici ce qu’il fait : dans son labo, il a des cultures de tous les virus possibles et imaginables et il a des scientifiques qui jouent avec différentes molécules et différents poisons et ils vont larguer ces poisons dans les cultures et regarder si ils tuent ce qu’elles contiennent. Si c’est le cas, alors ils ont un médicament potentiellement anti-viral.

L’étape suivante est de donner tout ça à des rats de labo et voir si ça tue le rat. Si la plupart des rats survivent, alors vous avez un anti-viral qui peut potentiellement marcher sur les humains. Ensuite, il fait sous-traiter tout ça par une grosse université. La personne qu’il contacte dans cette université est en général quelqu’un de très puissant. Le directeur de la fac de médecine ou le patron d’un des départements médicaux et ils font les tests cliniques, ce qui est extrêmement lucratif.

Donc, ils passent en phase 1 des essais cliniques, ils vont recruter 100 personnes pour l’essai. Fauci donne à cet instigateur principal environ 20 000 US$ par recrue. L’université pompe 50 ou 75% de cette somme. Maintenant, l’université est accroc à ce système.

Ensuite, si le médicament marche en phase 1 et phase 2, alors ils vont mettre en place un plus grand groupe de gens, 10 000 personnes, là on parle de centaines de millions de dollars. Et ils doivent amener dans le processus un labo pharmaceutique qui va maintenant prendre le contrôle de la moitié de la patente.

L’agence de Tony Fauci garde des actions sur la patente. Par exemple, elle collecte toujours maintenant des royalties sur le vaccin anti-COVID de Moderna. Le NIAID reçoit la moitié des royalties, des milliards de dollars. Le chercheur de l’université garde un pourcentage de la patente, de cette manière il demeure lié en permanence à Fauci et va faire tout ce que celui-ci lui demande, l’université elle-même profite aussi de la patente. (NdT : bref, tout le monde en croque et ferme sa gueule…)

Si le tas de fric est conséquent, cela réduit au silence des universités entières… (NdT: parce que “l’éducation” une fois de plus est basée sur le fric, c’est une marchandise, à Yankland sans doute plus qu’ailleurs…). Ce sont donc des centaines de milliards de dollars qui sont acheminés annuellement vers ces universités, en plus des budgets qu’il alloue et il a le pouvoir de fermer le robinet si quelqu’un de l’université se plaît à faire des recherches qui ne vont pas dans le “bon sens”…

Une fois que le médicament passe en phase 3, il passe à la FDA. Le panel est appelée VRBPAC [Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee] et ses membres ne sont pas des gens qui travaillent pour la FDA. Ce sont des personnes externes qui y siègent.

D’où viennent-ils donc ? Ce sont les enquêteurs principaux de Fauci de toutes les universités, qui travaillent sur ses autres projets et ils sont amenés dans ce comité pour juste mettre le coup de tampon à l’exploitation commerciale. Le comité ne dit jamais non. Il donne toujours le feu vert à tout et est complètement contrôlé par Fauci. Il contrôle la totalité du processus d’amont en aval… Ils donnent leur accord et donnent une licence d’exploitation au médicament, parce qu’ils savent que l’an prochain leur propre médicament va venir devant le comité pour y être approuvé et ils veulent bien entendu que le comité valide l’exploitation commerciale.

Les médias deviennent partie prenante de cette corruption généralisée. Ils pourraient y mettre fin s’ils rapportaient  le meilleur des deux côtés :

Chaque expert que vous voyez à la télévision, CNN etc, émarge au budget de Fauci et CNN ne vous le dira jamais. Ils vous diront : “C’est un virologue indépendant, c’est un immunologue de l’université de Baylor ou Stanford ou Harvard.” Ils ne vous disent pas où le pain de cette personne a été beurré et que la personne qui met le beurre sur sa tartine est Fauci et ce avec le pognon de vos impôts. Tout le système est truqué, bidouillé.

Il n’y a pas de “vaccins” anti-COVID approuvé aux Etats-Unis. “Pfizer” est et n’est pas “Corminaty”.

Maintenant, la meilleure des choses à faire en l’état actuel des choses, est de les laisser vous virer pour ne pas utiliser une autorisation d’urgence de vaccination, parce qu’il n’y a absolument aucun vaccin approuvé dans ce pays pour quelque Américain que ce soit. C’est un mythe. C’est une supercherie ; ce fut une boutade pour eux de dire ‘Nous avons approuvé ce vaccin Corminaty”. Si vous allez sur le site internet de Pfizer, on vous dira : “nous ne faisons pas le Corminaty disponible aux Etats-Unis.”

Big Pharma a besoin de vaccins pour les enfants approuvés pour avoir une protection légale ?

Pourquoi veulent-ils piquer vos enfants ? Voici pourquoi. Les vaccins ne peuvent recevoir une protection légale que s’ils sont approuvés. La seule façon de faire cela est de faire mettre les vaccins sur le programme de vaccination des enfants. Ensuite, une fois que le CDC vote pour les mettre sur le programme, alors ils obtiennent la protection légale, même pour les adultes.

Une action en justice peut ruiner l’entreprise si elle n’a pas de protection légale, c’est pourquoi ils en veulent à vos enfants. Ils en ont besoin pour avoir la protection légale. Nous avons besoin de les arrêter dans ce qu’ils vont provoquer comme dégâts collatéraux à une génération entière d’enfants : 26 millions d’enfants vont recevoir une injection qui n’a été testé que sur 1300 enfants, avec des résultats catastrophiques.”

C’est une grosse interview et plus encore…

It’s a big interview and there is lot more.

Je ne suis pas nécessairement d’accord avec tout ce que dit Robert Kennedy Jr, mais fort heureusement il peut le dire, du moins jusque maintenant…

= = =

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

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Survivra t’il ? Les stats familiales sont contre lui…

Entretien de Frédéric Taddéï avec l’archéologue Jean-Paul Demoule sur la préhistoire du confinement (RT France)

Posted in actualité, altermondialisme, documentaire, France et colonialisme, pédagogie libération, politique et social, sciences, sciences et technologies, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , on 15 Mai 2020 by Résistance 71

 

 

Résistance 71

 

15 mai 2020

 

Excellent entretien de Frédéric Taddeï sur « Interdit d’interdire, culture » (RT France) avec l’archéologue et ancien directeur de l’INRAP (Institut National de la Recherche en Archéologie Préventive), Jean-Paul Demoule que nos lecteurs connaissent bien puisque nous avons publié de larges extraits de ses recherches.

Jean-Paul Demoule, clastrien, a publié un bon nombre d’ouvrages dont:

« On a retrouvé l’histoire de France »,
« Les Gaulois », « Où sont passés les Indo-Européens ? », « Aux origines, l’archéologie » et très récemment « La préhistoire du confinement » (téléchargeable gratuitement en ligne) et un gros ouvrage sur « L’histoire des civilisations »

 

Entretien Taddeï / Demoule (52min) :

 

 

 

Coronavirus19 : La région italienne la plus touchée a été récemment vaccinée contre la méningite !…

Posted in actualité, altermondialisme, désinformation, guerres hégémoniques, militantisme alternatif, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , on 23 mars 2020 by Résistance 71

 


Attention… Vaccin !

 

Italie : la région vaccinée est la plus touchée

 

Paolo

 

23 mars 2020

 

source:

https://www.alterinfo.net/Italie-La-region-vaccinee-est-la-plus-touchee_a153831.html

 

« En Italie, de plus en plus de monde commence à penser à un lien entre le virus et les vaccins. Si c’est vrai, ça veut dire que l’Italie a été choisie pour servir de cobaye au reste du monde. »

La situation devient de plus en plus dramatique.

Des dizaines de personnes meurent chaque jour en Lombardie.

La belle ville de Bergame vit ses heures les plus sombres. Des camions militaires servent à transporter les cadavres vers les crématoriums à l’extérieur de la ville ; les médecins et les infirmières travaillent 20 heures par jour ; dans les hôpitaux, il n’y a plus de places dans les unités de soins intensifs ; le tri des gens pour choisir ceux qui peuvent être soignés, et par conséquent guéris, et ceux qui ne peuvent pas l’être parce que trop âgés ou malades, devient pratique courante.

Je suis néanmoins de plus en plus convaincu que le virus corona n’est qu’une colossale opération psychologique. Bizarre de dire ça au moment où les gens continuent de mourir. Mais je pense réellement que c’est une opération psychologique !

Dans les autres régions d’Italie où le système de santé est de mauvaise qualité, la situation semble relativement calme, même si le nombre de gens infectés augmente toujours ; L’ISS (Istituto Superiore della Sanità), une sorte d’institut national de santé, vient de publier un rapport dans lequel il est dit que le nombre de victimes effectives du virus corona est très faible ; les médias contribuent à attiser la panique en diffusant principalement des films de catastrophes et en informant les gens du caractère horrible de la situation et de la nécessité de rester chez soi…

Le virus corona a l’air d’être une très forte grippe avec un taux de mortalité s’élevant à 0,8% au lieu des 0,2% de la grippe ordinaire. Mais ces chiffres ne peuvent pas justifier la mise en quarantaine d’une nation entière.

Et en Lombardie le taux de mortalité est vraiment très supérieur, il est de 6% !

Qu’est-ce que ça signifie ? Pourquoi une telle différence dans le taux de mortalité ?

De toute évidence, il doit y avoir un élément exogène qui fait la différence, un élément faisant qu’il est devenu plus facile de mourir du virus corona en Lombardie que dans les autres régions d’Italie, bien que la Lombardie ait le meilleur système de soins de santé du pays.

Et que pourrait être cet élément exogène ? Je crains que cela puisse être l’énorme programme de vaccination qui a eu lieu ces derniers mois, justement dans les villes qui sont aujourd’hui les plus touchées par le virus corona.

Nous savons à présent que des dizaines de milliers de gens ont été vaccinées contre la méningite. La méningite a toujours été rare en Italie, mais malheureusement, ces dernières années, les cas se sont multipliés à cause des migrants africains arrivés en Italie sans contrôle médical.

Effrayées par la propagation de cette maladie, énormément de gens ont préféré se faire vacciner. Tout ceci pourrait expliquer pourquoi il y a actuellement très peu de cas chez les immigrants, même dans la diaspora chinoise. Ils n’ont pas été vaccinés !

En d’autres termes, le vaccin dégrade tellement les défenses immunitaires de notre organisme, que le virus peut frapper avec une virulence incroyable, qui serait impossible autrement.

Je ne puis évidemment pas prouver ce que j’avance. Mais de plus en plus de gens en Italie commencent à penser à un lien entre le virus et les vaccins. Si c’est vrai, cela signifie que l’Italie a été choisie pour être le cobaye du reste du monde.

Frapper une partie limitée de la nation et ensuite imposer la mise en quarantaine à tout le pays… Je pourrais qualifier cela de test de résistance. Le but est de vérifier à très grande échelle la réaction de la population, de voir le degré de facilité qu’il y a à faire accepter aux gens ce qu’ils n’accepteraient jamais autrement.

En conclusion, c’est juste une opération psychologique du nouvel ordre mondial.

Henry Makow, Paolo, 20 mars 2020

Original : Italy- Vaccinated Area is Hit Worst

Adaptation en français de Petrus Lombard

 

Notre dossier « Coronavirus »

 

 

 

Santé: le cas des traitements THS / THM substitutifs comme « fabrique » de cancer… (Pr. Henri Joyeux)

Posted in actualité, altermondialisme, média et propagande, militantisme alternatif, politique et social, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , on 25 février 2020 by Résistance 71

 

 

A lire sur Résistance 71: « Un monde sans cancer » (G.Edward Griffin)

 

Les traitements de la ménopause sont-ils cancérigènes ?

 

Lettre N°30 du Pr Henri Joyeux 

 

– Le 8 octobre 2014

republiée février 2020

 

Source:

https://www.famillessanteprevention.org/conseils-de-sante/les-traitements-de-la-menopause-sont-ils-cancerigenes/?base=977&campaignId=221&segmentId=294&shootId=1120

Curieusement, la Haute autorité de santé vient d’accepter, en juillet 2014, le remboursement « des traitements hormonaux de la ménopause (THM) » .

Je n’en suis pas surpris tant les laboratoires pharmaceutiques sont efficaces pour convaincre les “spécialistes” en les inondant de publications scientifiques “publicitaires”. Les experts, eux, gobent sans mot dire, sans réfléchir. Est-ce la mode, les labos ou la santé publique qui comptent ?

Que la sécurité sociale accuse un déficit abyssal importe peu. Il faut absolument traiter cette “maladie” qu’est la ménopause !

La commission dite de “transparence” qui a pris cette décision doit être composée d’un ou deux membres néanmoins inquiets de donner ce feu vert. En effet, elle recommande des doses minimales et une durée limitée d’utilisation. Seul argument bien mince : « le Traitement Hormonal de la Ménopause est le seul ayant démontré son efficacité sur les troubles du climatère, en particulier sur les bouffées de chaleur. » On ajoute, pour faire plus sérieux, qu’il « prévient les fractures ostéoporotiques dans la population générale quel que soit le risque fracturaire initial. » Le plus fort aujourd’hui est qu’on arrive à diagnostiquer des soi-disant « fractures invisibles » chez des femmes ayant une belle activité physique et paraissant 10 ans de moins que leur âge, sans THM.

Ainsi, on culpabilise les femmes en leur faisant peur : attention au fauteuil roulant, aux fractures du col du fémur, des poignets… Il faut absolument prévenir, donc prendre telle ou telle molécule qui va vous protéger. Beau marketing orienté vers la santé ! Et ça marche.

Il y a de quoi être étonné quand on se souvient que des grands pontes de la gynécologie et de l’endocrinologie internationale proposaient, il y a quelques années, un THM pour toutes les femmes autour de la cinquantaine pendant au moins 5 ans, et si possible 10 ans. Et quand les femmes étaient atteintes de cancer du sein, ils leur disaient, protégés par des publications scientifiques bidon : « Heureusement que vous avez reçu le THM, il a permis de découvrir le cancer et il est de meilleur pronostic » . Quant aux journalistes scientifiques, ils répétaient et répètent à nouveau comme des perroquets ce qu’il leur est demandé de dire puisqu’ils sont présents – mais pas à leur frais – aux rencontres scientifiques internationales organisées par les laboratoires.

Près de 15 millions de femmes en France arrivant à la ménopause, voilà une magnifique cible commerciale avec de forts arguments marketing !

Surtout si l’on argumente en affirmant que le THM (on disait auparavant THS pour Traitement Hormonal Substitutif, c’est le même) supprime les bouffées de chaleur, la sécheresse vaginale, les sueurs nocturnes, le vieillissement de la peau, et renforce les os en évitant l’ostéoporose. Top du top, avec des preuves scientifiques trafiquées, on fait croire aux femmes que ce traitement protège du cancer.

Si cela était vrai, les cancérologues qui sont débordés de travail prescriraient largement ce THM à toutes les femmes en âge d’être ménopausées, ne serait-ce que pour réduire le nombre de leurs consultantes et économiser tous les lourds soins nécessaires pour venir à bout de tant de cancers hormono-dépendants qui atteignent des femmes de plus en plus jeunes. Car autour de 50 ans on est encore très jeune !

L’alerte est heureusement venue des femmes américaines. En 2002 est publiée l’étude WHI (Women Health Initiative), portant sur 16 000 femmes, qui démontre une nette augmentation des risques de cancer du sein, de thrombose veineuse et d’accidents cardiovasculaires. D’autres études ont confirmé ces résultats avec, en plus, les accidents vasculaires cérébraux (AVC).

Aux USA, évidemment, les femmes se sont détournées du THM et l’on a réduit de manière très significative le nombre de cas de cancer du sein en moins de 3 ans. Mais en France, on a poursuivi les traitements au motif que les femmes françaises ne consommaient pas les mêmes hormones… En France, ces hormones étaient plus naturelles, tandis qu’aux US elles étaient extraites des urines de jument… On oublie de dire que le corps préfère les hormones qu’il fabrique lui même que celles exogènes qu’on lui impose.

Il a fallu attendre 3 ans de plus.

Or nous allons voir qu’à la ménopause une femme peut fabriquer un cancer du sein en 3 ans ! Il s’est passé la même chose avec le distilbène, un œstrogène artificiel pris en début de grossesse. On a attendu 7 ans, en France, pour que ce distilbène soit considéré comme un poison responsable de cancers génitaux chez les enfants filles l’ayant reçu au stade embryonnaire de leur vie, et de cancer du sein et des ovaires chez leur mère.

La ménopause n’est pas une maladie et ne l’a jamais été

Arrivée à l’âge de la ménopause, autour de 50 ans – belle moitié de l’espérance de vie –, les ovaires réduisent progressivement la fabrication de l’hormone de la grossesse (la progestérone), car le temps des grossesses vraiment désirées a passé. La réduction de la fabrication des œstrogènes (il y en a trois : E1, E2, E3) suit de près celle de la progestérone. Les deux ovaires se mettent au repos définitif, une grossesse n’est plus possible. Les glandes surrénales, et un peu les ovaires, maintiennent une sécrétion minimale des deux hormones féminines.

Au lieu d’expliquer cela simplement et de préparer les femmes à la fin de leur période de fécondité – comme on doit le faire pour la puberté qui ouvre 35 années de fécondité, de 15 à 50 ans –, on a préféré les laisser dans l’ignorance pour mieux les exploiter. Belle cible 15 millions de femmes !

L’ignorance entretenue conduit au stress, ce qui permet de comprendre la multiplication des stimulations des hormones cérébrales chez les femmes – depuis le cortex jusqu’à la petite glande hypophyse – normalement destinées à réguler la synthèse des hormones ovariennes.

A la ménopause les ovaires ne répondent presque plus, puis plus du tout aux hormones stimulines hypophysaires. Mais l’hypophyse, comme si elle ne le savait pas, continue de stimuler à blanc les ovaires. Ces stimulations aggravées par le stress et qui n’aboutissent pas, créent des bouffées de chaleur désagréables, de nuit comme de jour. Ce sont les phytohormones qui réduisent les stimulations excessives.

C’est pour cette raison que j’ai publié dès 2001 plusieurs livres destinés aux femmes sur le thème « Femmes si vous saviez ! – Des hormones de la puberté à la ménopause – 110 Questions-réponses »  (4e Ed. FX de Guibert 2009), et en 2011 « Stress et cancer du sein » (Ed Medicatrix – et Rocher)

Évidemment, aucun journaliste médical n’en a parlé dans les journaux féminins et même médicaux si astucieusement sponsorisés, directement ou indirectement, par les laboratoires fabricants.

Demandez au laboratoire international Bayer – grand fabricant de ces traitements hormonaux pour neutraliser la fécondité, la stimuler quand cela ne marche plus, supprimer les bouffées de chaleur – quel est son budget recherche et développement en 2011 : 2,3 milliards de dollars. Son budget publicitaire est 5 fois plus important : 11 milliards de dollars ! Mesdames, on pense à vous !

Évidemment, le congrès de l’International Menopause Society qui s’est tenu en Afrique du Sud en juin 2014 n’est pas de mon avis.

Qui finance ???

Une anecdote significative

1er août 2005, je suis en vacances et un collègue m’appelle, me recommandant de regarder les nouvelles du 20h. Toutes les chaînes de télé annoncent un scoop ! Le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) classe « les contraceptifs œstroprogestatifs et l’hormonothérapie ménopausique comme cancérogènes (groupe I) » . Je ne suis pas étonné par cette annonce puisque je le dis depuis plus de 20 ans du fait de mon expérience clinique de cancérologue chirurgien et consultant, et ce malgré l’avis opposé de nombreux collègues.

L’un de mes maîtres hautement placé dans des instances nationales m’envoie alors par courrier postal le document et les références scientifiques, en ajoutant, écrit de sa main : « au Pr HJ, tu avais raison bien avant, dont acte » .

Je ne l’ai pas vu passer à la télé pour prévenir les femmes malgré le budget publicitaire énorme de la Ligue nationale contre le cancer.

Curieusement, en septembre, les magazines féminins minimisent la nouvelle en proposant de nouveaux traitements et une nouvelle génération de pilules qui seraient moins nocives.

Pourtant, THM et pilules, c’est bonnet blanc et blanc bonnet, mais le temps pour “fabriquer” le cancer du sein en particulier est d’autant plus long que la femme est jeune et que les doses d’hormones consommées sont faibles. C’est l’inverse à la ménopause. Trois à cinq ans suffisent à cet âge tandis qu’avec la pilule contraceptive (40 marques différentes) il faut une dizaine d’années selon les doses.

À la ménopause, peu d’années suffisent pour fabriquer un cancer hormono-dépendant

La commission de la Haute autorité de santé confirme heureusement « les risques de cancer du sein, mais aussi l’augmentation de cancer de l’endomètre (utérus), de l’ovaire, de thrombose veineuse et même d’accident vasculaire cérébral. »  Et malgré tant de risques, elle accepte le remboursement !

Quelques voix médiatiques médicales proposent avec prudence deux ou trois ans de THM, d’autres porte-parole de CHU prescrivent « dans les 5 ans qui suivent les dernières règles » et les journalistes répètent sur les chaînes de télévision « la recrudescence des fractures liées à la chute des traitements hormonaux ».

L’orchestre est à l’unisson, mais les femmes de plus en plus informées se méfient, inquiètes de voir tant de leurs amies suivies ou traitées pour cancers gynécologiques (seins, ovaires, utérus) et non pour fractures.

Quelques rappels s’imposent pour bien comprendre

Les glandes mammaires comme l’utérus et les ovaires sont évidemment très hormono-dépendants.

À la puberté, les glandes mammaires se construisent sous l’influence des hormones fabriquées par les ovaires, puis les cycles menstruels se mettent en place et cela dure naturellement (sans aucune prise hormonale) en moyenne 35 années consécutives.

Pendant la grossesse, hypophyse, ovaires puis placenta fabriquent des taux importants d’hormones naturelles qui participent à la construction du bébé, à l’accouchement et préparent les seins à la lactation.

À l’inverse, pendant les 35 années de fécondité féminine, la consommation d’hormones œstrogènes et progestérone pour la contraception (la pilule) met les ovaires au repos. Ils n’ovulent plus, s’atrophient à la longue ou peuvent développer des kystes ovariens. Les cycles menstruels sont artificiels. Plus la contraception est prolongée, plus difficile sera le retour à des ovulations normales pour – quand on en aura le désir – avoir un enfant.

Les labos disent l’inverse pour tranquilliser, et les centres de PMA (Procréation Médicalement Assistée) voient augmenter leur recrutement de femmes qui ne parviennent plus à concevoir un bébé naturellement.

La consommation moyenne de pilules ou produits semblables (implant, anneau vaginal, stérilet hormonal, patch…) [1] pour les femmes des pays développés est en moyenne de 11 années. Les femmes ne savent pas – on les laisse dans l’ignorance sur ce sujet si important – que pour bloquer l’ovulation, elles consomment des doses d’hormones artificielles – aucune n’est “naturelle” – à des doses 20 à 50 fois supérieures aux doses physiologiques fabriquées par les ovaires. Évidemment, les seins sont très sensibles à ces inondations hormonales.

À la ménopause, les glandes mammaires reçoivent beaucoup moins d’hormones. Le tissu glandulaire se raréfie, il n’y a plus de tension mammaire comme cela se produisait pendant les cycles. Les seins ne réduisent pas leur volume, du tissu gras non dangereux remplace le tissu glandulaire, cela se voit très bien à la mammographie.

Prendre un THM, et même une progestérone que l’on qualifie faussement de “naturelle” parce qu’elle lui ressemble, c’est apporter aux canaux galactophoriques et lobules des seins des doses d’hormones dont ils n’ont pas besoin, sauf pour fabriquer en peu d’années un cancer du sein, mais aussi de l’utérus ou des ovaires. Et si votre gynéco insiste, proposez lui de le prescrire à sa compagne ! Faire croire que la balance bénéfice/risque est en faveur des œstrogènes, c’est vous tromper de A à Z.

Face aux différents THM trop dangereux et coûteux, je conseille la PHM, c’est la Phyto-Hormonothérapie à la Ménopause que l’on peut décomposer en deux :

1- une alimentation plus fortement orientée vers les végétaux frais et de préférence bio pour éviter l’action hormonale des pesticides. Notre alimentation comprend trop de produits animaux, viandes rouges (y comprisjambon, charcuterie…), trop de produits laitiers de vache (avec 3 à 4 fois trop de calcium animal et trop de graisses saturées et en plus de facteurs de croissance), pas assez de poissons et fruits de mer, surtout pas assez de végétaux.

N’oubliez pas que le calcium des fruits, des légumes des légumineuses, des amandes, noisettes, du persil… est absorbé par le tube digestif jusqu’à 75 % si vous les mastiquez bien, alors que le calcium animal n’est pas absorbé à plus de 30 %… le reste part dans les déchets ou est absorbé anarchiquement si vous avez de la porosité intestinale. L’excès de calcium se retrouve alors dans les muscles, les tendons, le cartilage articulaire, les seins, la prostate où il crée de l’inflammation nocive pour l’organe atteint.

2- une phytothérapie bien réfléchie, consommée grâce aux phyto-hormones des légumineuses (pois-chiches, lentilles, haricots cuits a minima, 5 minutes à la vapeur douce après trempage, pour rester al dente et non farineux, donc non flatulents), mais aussi grâce aux tisanes de sauge pour les phyto-œstrogènes et d’achillée millefeuille ou alchemille pour la phytoprogestérone (une cuillerée à soupe dans une eau frémissante, sucrée au miel si vous trouvez que c’est un peu amer) ainsi que mélisse et verveine en appoint.

À ce changement des habitudes alimentaires, il faut ajouter une saine activité physique, celle qui fait transpirer. La transpiration permet d’éliminer le maximum de pesticides de l’environnement qui ont des actions hormonales délétères. Ainsi vos muscles travaillent et sont de meilleure qualité, vos os se calcifient, à l’inverse de la décalcification quand ils ne bougent pas (comme lorsqu’ils sont immobilisés dans un plâtre) : votre tissu gras fond et vous maintenez la forme.

Ainsi, laissez le THM aux laboratoires pharmaceutiques, ils finiront par comprendre que vous savez parfaitement vous prendre en charge, appliquant ce magnifique précepte d’Hippocrate – 500 ans avant notre ère : « Que ton aliment soit ton médicament. »  La nature vaut mieux que la chimie me disait très justement un homme d’expérience, le président de la mutuelle MTRL, Romain Migliorini.

Mangez mieux et meilleur, régalez vous de fruits, légumes de saison BIO et de proximité, de légumineuses cuites al dente à mastiquer lentement pour en extraire les meilleurs nutriments.

Apprenez à connaître les plantes qui font du bien grâce à leurs phyto-hormones naturelles [2].

Faites comprendre à votre compagnon que la douceur, les fleurs et les câlins, quand il effleure tout votre corps de la tête aux pieds, réduisent à minima les désagréments de la ménopause. Et si la sécheresse persiste, un peu d’huile de rose musquée du Chili et d’amande douce sur les zones intimes, matin et soir, vous donneront du bonheur.

Faites circuler cette lettre, car toutes les femmes doivent savoir pour ne pas se faire avoir !

N’hésitez pas à tester votre risque de cancer du sein en allant sur « Cancer-Risks ». C’est un bon moyen de réduire vos risques et de comprendre que vous n’avez pas besoin de THM à la ménopause.

Pr Henri Joyeux

Sources

[1] La pilule contraceptive : dangers et alternatives – Pr H. Joyeux et Dominique Vialard préfacé par Pr Luc Montagnier et Dr Ellen Grant de Londres – Ed Rocher 2013

[2] Voir le dossier consacré à la gynécologue Béatrice Arnal dans le numéro d’octobre de Plantes & Bien-Être — disponible avec tout nouvel abonnement ici — et son excellent livre de « Syndrome prémenstruel – les solutions naturelles » Ed Thierry Souccar 2014 qui peut vous servir avant, pendant et même après la ménopause.

LES EFFETS CANCÉROGÈNES DU TRAITEMENT HORMONAL SUBSTITUTIF (THS) DE LA MÉNOPAUSE ÉTAIENT DÉJÀ CONNUS ET PRÉVISIBLES

 

Pr Henri Joyeux

 

Février 2020

 

Source:

https://www.famillessanteprevention.org/conseils-de-sante/cancers/les-effets-cancerogenes-du-traitement-hormonal-substitutif-ths-de-la-menopause-etaient-deja-connus-et-previsibles/?base=977&campaignId=221&segmentId=294&shootId=1120

 

La dernière publication parue fin août 2019 dans le Lancet affirme une vérité scientifique qui était prévisible : les liens entre le THS et le cancer du sein.

Collaborative Group on Hormonal Factors in Breast Cancer : Type and timing of menopausal hormone therapy and breast cancer risk: individual participant meta-analysis of the worldwide epidemiological evidence.
 Lancet , 2019 ; publication avancée en ligne le 29 août.  doi.org/10.1016/S0140-6736(19)31709-X

Les auteurs ont scruté 58 études épidémiologiques réalisées de janvier 1992 à janvier 2018. Ils ont recueilli les données individuelles de 108 647 femmes atteintes d’un cancer du sein, survenu à l’âge moyen de 65 ans. La moitié d’entre elles avaient suivi un THS, débuté vers l’âge de 50 ans, et poursuivi en moyenne pendant 10 ans pour celles encore sous traitement au moment du recrutement et 7 ans pour les anciennes utilisatrices.

Les résultats confirment les liens de cause à effet entre THS et cancer du sein. De plus l’augmentation du risque de cancer du sein persiste plus de 10 ans après l’arrêt du THS. Les données ne sont pas suffisantes pour établir sa persistance au-delà de 15 ans.

Ces vérités qui appartiennent à la cancérologie ont été longtemps occultées, et même tournées en dérision.

Personnellement je les annonçais et expliquais scientifiquement il y a plus de 20 ans dans mon livre « Femmes si vous saviez ! », dont aucun journal grand public n’a parlé, car il n’allait pas dans le sens des intérêts publicitaires et financiers des fabricants du THS et de leurs réseaux.

Pourtant, déjà en 2005, début août le « Centre International de Recherche sur le Cancer classait les contraceptifs oestro-progestatifs et l’hormonothérapie ménopausique comme cancérogènes.» Dès le mois de septembre 2005, les médias minimisaient au maximum les risques et certains journaux dans leurs pages santé, quotidiens ou hebdomadaires féminins très grand public, parlaient même de protection.

Que de femmes leurrées ! Elles ont payé de leur vie ces erreurs scientifiques, atteintes de cancers du sein, mais aussi d’accidents vasculaires cérébraux, d‘embolies pulmonaires, d’atteintes utérines ou ovariennes.

Que de collègues prescripteurs désinformés ! Ils ont cru sans se poser de questions les discours pseudo-scientifiques fabriqués de toutes pièces plus par les experts du marketing que par les scientifiques. Ces derniers se sont laissés faire.

Ainsi les spécialistes, dont certains ”grands patrons” imprudents et même des institutions de lutte contre le cancer, ont prôné et laissé traiter une maladie qui n’en était pas une : la ménopause. Et quand la femme était atteinte, on la rassurait faussement avec deux arguments : ”grâce au THS le diagnostic de votre cancer du sein est plus précoce et il est de meilleur pronostic”.

Il ne s’agit pas ici de faire croire que la ménopause ne crée pas de désagréments, surtout quand elle n’est pas préparée et expliquée. Ces désagréments ont été présentés comme insupportables et surtout responsables de vieillissement accéléré, de rides, de sécheresse généralisée cutanée et muqueuses, de permanentes bouffées de chaleur, de maladie neuro-dégénérative, impossibles à gérer autrement qu’avec des hormones exogènes.

Ces informations amènent à réfléchir au moment où l’intelligence artificielle (IA) peut nous apprendre tant de choses utiles à notre santé. Au moment aussi où l’on fait à juste raison le procès des perturbateurs endocriniens de notre environnement au nom d’une écologie radicale.

Or ces traitements hormonaux substitutifs sont pour les femmes qui les consomment, les premiers et probablement les plus puissants perturbateurs endocriniens étant donné les doses d’hormones qu’ils apportent à un corps qui n’en a plus besoin.

Une vérité scientifique concernant l’efficacité ou les dangers d’un traitement peut avoir deux origines.

Un exemple bien connu : les dangers du Médiator, fameux coupe-faim des laboratoires Servier.

Ils ont été observés en 2007 grâce à notre collègue pneumologue Irène Frachon. Le médicament fut retiré du marché en 2009 alors que les effets négatifs étaient déjà dénoncés par la revue ”Prescrire” en 1997. La vérité scientifique concernant les dangers est donc apparue après que les traitements aient été largement prescrits.

La vérité peut donc apparaître après le traitement, car il a créé plus de complications que d’effets utiles à la santé. C’est ce qui se passe avec le THS. Les risques sont alors supérieurs aux bénéfices.

Heureusement toutes les personnes qui l’ont consommé n’ont pas été atteintes, car le THS n’est pas le seul facteur de risques, il y en a au moins 10 autres qui peuvent se cumuler.

Ce sont les résultats des études épidémiologiques – quand elles ne sont pas biaisées – qui affirment le lien de cause à effet chez un nombre excessif de personnes traitées, comparées aux non traitées. C’est ce que révèle la dernière publication du Lancet.

La vérité peut être préalable au traitement, si elle explore les données physiologiques et les dérèglements que peuvent créer le traitement, avec des arguments scientifiques solides. Elle peut donc prévoir les complications. Le traitement en cause est alors déconseillé fortement, et d’autant plus qu’existent d’autres moyens de traiter, plus naturels et sans aucun danger.

Je veux parler d’homéopathie (bien qu’elle soit rejetée par les autorités), de phytothérapie, de changement des habitudes alimentaires, dont j’ai pu vérifier chez les patientes elles-mêmes – comme beaucoup de collègues et sans avoir besoin d’études randomisées – l’efficacité dans de nombreux cas.

Même si cet effet positif peut être considéré en partie comme placebo, il est certainement sans danger. Cet effet placebo est scientifiquement reconnu. Il permet aussi des économies importantes pour notre système de santé qui va si mal.

Ainsi ces deux vérités, tardives post-traitement ou préalables au traitement, doivent avoir des bases scientifiques pour être prises au sérieux. Mais les deux ne disposent pas des mêmes moyens marketing, de communication, de colloques, de congrès mondiaux… Le marketing qui ne crée pas du business n’intéresse personne.

Quelle est la vérité scientifique la plus importante, la plus utile ?

Certainement celle qui peut éviter le maximum de maladies, de souffrances personnelles et familiales.

Pour prévoir les dangers de tel ou tel traitement, il faut évidemment en connaître la composition précise, les indications réelles et les conséquences probables déjà démontrées. Ces conséquences ne peuvent être imaginaires, elles doivent être logiques, solides scientifiquement et en cancérologie, on peut dire cancéro-logiques.

Parce que la glande mammaire est hormono-dépendante, il est logique que des hormones exogènes, à des doses élevées, soient délétères pour les seins. Cela fut démontré dès 1932 par Antoine Lacassage, un chercheur qui n’a pas fini d’être reconnu, nettement en avance sur son temps.

Nul doute, et c’est déjà fait, que les médias sauront minimiser les effets cancérogènes des hormones étrangères au corps de la femme, tellement que beaucoup de femmes seront encore traitées inutilement et dangereusement.

Les grands magazines les aideront-elles à discerner, quand on sait la puissance du marketing – sponsor de la grande presse – qui ne s’embarrasse pas de considérations éthiques ?

N’hésitez pas à diffuser cette lettre pour éclairer, aider à choisir, et que les 15 millions de femmes concernées par la ménopause en France trouvent de meilleures solutions.

Inutile d’attendre la reconnaissance ou les excuses des fabricants, des médias ou des prescripteurs.

Et si cela vous intéresse, les alternatives sans danger pourront faire l’objet de prochaines lettres.

Bien à vous tous

Pr Henri Joyeux 

 


Retrouver l’équilibre naturel perdu…
A lire sur Résistance 71: « Un monde sans cancer » (G.Edward Griffin)

Histoire et société contre l’État: Fondations pour une archéologie anarchiste

Posted in actualité, altermondialisme, autogestion, démocratie participative, militantisme alternatif, pédagogie libération, philosophie, politique et social, résistance politique, sciences, sciences et technologies, société libertaire, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , on 21 novembre 2018 by Résistance 71

Fondations pour une archéologie anarchiste: un manifeste de communauté

 

The Black Trowel Collective / Collectif de la Truelle Noire

 

Tiré de “Decolonizing Anthropology”

 

Octobre 2016

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Source: 

https://robertgraham.wordpress.com/2018/11/12/anarchaeology-the-black-trowel-collective/

 

Note de R71: le site de référence ci-dessus est celui de l’historien anarchiste canadien Robert Graham (interviewé dans le documentaire de Tancrède Ramonet sur l’histoire de l’anarchisme), auteur / éditeur d’une anthologie compilatrice sur l’anarchisme en 3 volumes. Nous traduisons régulièrement des articles de son site, qui est une mine d’or de sources anarchistes passées et contemporaines.
A lire sous l’article, des articles complémentaires sur le sujet…

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Une archéologie anarchiste prend en considérations  l’inégalité sociale comme une critique des formes autoritaires de pouvoir et comme une rubrique pour établir et permettre des relations égalitaires et équitables.

Le terme a-n-archie provient du grec a-suffixe privatif et arkhos (dirigeant), mais une meilleure traduction serait sans doute “contre la domination”. Une archéologie anarchiste insiste sur une archéologie engagée à démanteler les simples modèles hiérarchiques du passé et en ce sens, se trouve en son cœur les fondations d’une archéologie décolonisée, indigène et féministe, contestant les narratifs hégémoniques du passé. C’est une théorie qui est explicitement au sujet des relations humaines opérant sans recours à des formes coercitives comme l’autoritarisme, la hiérarchie ou l’exploitation d’autres êtres humains. Quelques anarchistes étendent cet argument plus avant aux relations non-humaines avec les objets, les autres espèces et l’environnement.

En adhérant à ces principes, il n’y a pas de version orthodoxe, étirée, uniforme de l’anarchisme. Il y a des approches multiples à la théorie anarchiste et sa pratique liées entre elles par des fils communs et ce sont précisément ces choses communes qui informent et animent notre archéologie anarchiste. Ici nous soulignons les principes d’une archéologie anarchiste qui pourront être appliqués aux études du passé, vers des examens archéologiquement informés des sociétés contemporaines et des pratiques archéologiques, incluant l’éthique professionnelle (la déontologie). Nous offrons ceci à la fois comme un manifeste et comme un document vivant ouvert à révision contextuelle constante.

Pouvoir de critique

Nous reconnaissons qu’il y a bien des manières d’évaluer et d’interpréter des sujets comme la valeur, la domination, la coercition, l’autorité et le pouvoir. Les anarchistes et donc les archéologues anarchistes ont reconnu de longue date que la complexité organisationnelle n’est pas simplement produite par le contrôle de l’élite mais se forme également au travers des hétérarchies et des collaborations en réseaux. Beaucoup d’archéologues anarchistes poussent à la découverte d’anciennes périodes de résistance à la domination et l’exploitation des masses par une petite élite, ce qui peut être dénommé “pouvoir vertical” ou le pouvoir de quelques uns sur le grand nombre ; ainsi donc une archéologie anarchiste tend à étudier les formes de pouvoir horizontal, le pouvoir des gens à coordonner un consensus souvent en opposition ou en parallèle à des extensions émergentes de formes de pouvoir vertical.

Reconnaissance des arts de résistance

Les archéologues anarchistes reconnaissent que les périodes de changement, aussi bien que les périodes où il ne semble pas y avoir de changement, ne demandent pas d’évaluations impliquant le bien ou le mal. Une archéologie anarchiste ne donne pas de traitement préférentiel à un arrangement particulier de “civilisation”. En pratique et dans la culture populaire, les périodes ayant les plus hauts niveaux d’inégalité sont souvent vues comme des périodes de sommets de développement culturel.

Des termes tels que “effondrement”, “déclin” ou “dissolution” sont souvent employés par les archéologues et autres personnes pour décrire des périodes du temps qui voient la fin des hiérarchies. La langue parlant de “sommet” ou de “déclin” culturels retient des notions très victoriennes (NdT: de l’époque de l’apogée de l’empire britannique sous le règne de la reine Victoria au XIXème siècle) de progrès, s’identifiant avec l’État, en opposition à une notion plus active de sociétés contre l’État. Les perspectives alternatives révèlent les luttes complexes et souvent conflictuelles de l’humanité contre les efforts de retranchement du pouvoir dans les sociétés hiérarchiques.

Bon nombre de ces soi-disants “effondrements” du passé furent des périodes de plus grandes affirmations d’autonomie locale face à la centralisation hégémonique du pouvoir. De telles époques sont souvent le produit d’actes de révolte non reconnus, de résistance et de résurgences de modes de vie alternatifs. Ainsi, ces périodes peuvent très bien être de grands succès pour la majorité des gens en termes d’augmentation de l’auto-détermination et de l’indépendance. Les archéologues anarchistes sont engagés à théoriser et à identifier la manifestation matérielle de telles transformations culturelles.

Accepter l’anarchie de tous les jours

Pour comprendre les histoires de la résistance humaine, de la résilience et du maintien de l’équité ou de l’hétérarchie, une archéologie anarchiste doit aussi être une archéologie de la vie quotidienne et non pas seulement celle des élites et des monuments. Nous reconnaissons que les gens fonctionnent activement en dehors des structures du pouvoir, même lorsqu’ils sont mêlés inextricablement dans de puissantes structures du pouvoir. Contextualiser une anarchie quotidienne permet une interrogation sur quand les différentes sources de pouvoir sont en action et quand elles ne le sont pas, réduites au silence ou inutilisées. C’est ici que l’archéologie anarchiste peut construire sur une force existante de la discipline, comme des recherches archéologiques non-élitistes et sur les mouvements de résistance qui sont déjà des domaines importants de la connaissance.

Les intérêts pour une archéologie anarchiste reposent sur la construction de coalitions et de consensus, ainsi les contextes où nous pouvons trouver des alignements avec les gens œuvrant dans le domaine de l’archéologie tout autant qu’en dehors, sont critiques pour le développement de ce mouvement.

L’archéologie de l’anarchie quotidienne est aussi une bonne chose pour nous rappeler les façons dont nous pouvons intégrer des pratiques anarchistes dans notre propre présent avec un œil toujours sur le futur. On ne doit pas s’identifier comme anarchiste pour pratiquer et contribuer à l’anarchie quotidienne.

Des actes simples, d’auto-confession en salle de classe et ailleurs fournissent une myriade d’opportunités pour déconstruire les hiérarchies du pouvoir qui perpétuent les stéréotypes nuisibles du passé, du présent et du futur.

Voir les futurs

Une archéologie anarchiste perçoit que l’avant-gardisme (cette stratégie traditionnelle révolutionnaire marxiste qui tente de construire un changement culturel en espérant un résultat pré-déterminé) représente le plus souvent une extension des structures de pouvoir présentes, qu’elle soit intentionnelle ou autre, et qu’il n’est que très rarement couronné de succès sur le long terme. Au contraire, les archéologues anarchistes examinent la culture matérielle au travers du temps en utilisant des pratiques pré-figuratives comme vision décolonisée.

Ceci veut dire qu’ils examinent les archives matérielles et leur domaine particulier en reconnaissant que les gens qui agissent dans le présent de façons à créer un changement sur un futur désiré, ont plus de chances de mettre en pratique un changement bénéfique au sens large (les anarchistes appellent cela “faire une nouvelle société dans la coquille de l’ancienne”). Cette pratique de visionner le futur dans le moment présent aligne une archéologie anarchiste avec les engagements d’une archéologie contemporaine, et ce même si le matériel qui est recherché appartient à un passé lointain.

Une archéologie anarchiste reconnaît que le passé ne peut être investigué qu’au sein d’un profond combat du présent avec des conflits, des conversations et la politique. Ceci ne répudie en rien les perspectives de l’archéologie en tant que science. En fait, cela reconnaît le fait du comment la culture interagit avec et informe l’analyse scientifique. L’abandon de la hiérarchie de la pratique scientifique ouvre son potentiel prédicateur au-delà du domaine traditionnel de l’archéologie (le passé) et vers des endroits du futur.

A la recherche de formes d’organisation non-autoritaire

Une archéologie anarchiste tente de réimaginer, de redistribuer et de décoloniser les processus et les positions d’autorité au sein des communautés, du monde universitaire, de la discipline scientifique et de ses publics nombreux, tout en faisant de la recherche, facilitant l’apprentissage des étudiants et s’engageant dans la gestion de l’héritage [culturel]. Ces reconfigurations ne peuvent malgré tout se produire que dans un environnement inclusif, imprégné de la reconnaissance des périls se stratifier les perspectives du présent sans critique aucune sur le passé.

Ceci veut aussi dire qu’une archéologie anarchiste est une archéologie engagée dans la communauté, englobant de nombreuses voix et un profond engagement avec la recherche. Les archéologue anarchistes recherchent des alternatives aux modes hiérarchiques traditionnels de la connaissance de la production et de la gestion des endroits et du temps passés, ce en faveur de manières égalitaires de rassembler les gens pour apprendre, protéger les endroits et de comprendre l’importance du passé pour saisir le présent.

Reconnaître l’hétérogénéité des identités

Les archéologues anarchistes comprennent que les gens vivent dans bien des espaces sociaux différents. Plus important, ils encouragent les gens, incluant les archéologues, à vivre et explorer beaucoup de différentes positions, mondes et identités. Une archéologie est nécessairement intersectionnaire, comprenant que les gens ne sont pas le produit d’une simple forme d’identité (non existentialiste), ni même d’une forme complexe d’identité, mais qu’ils sont créés et continuellement recréés par la constante intersection, effacement et addition de tous ces différents aspects.

En fait, c’est ce fait même de reconnaître les identités / positions / points de vue multiples des uns des autres qui offre une puissante méthode de construction d’équité entre les individus, les groupes, les cultures et autres constructions culturelles.

Exposer les échelles multiples du bas vers le haut

Une archéologie anarchiste travaille sur plusieurs échelles différentes. Ceci veut dire qu’elle fonctionne sur des niveaux global, régional, de communauté et personnel. Plus important, une archéologie anarchiste reconnaît à la fois le rôle des assemblages comme englobant les individus, les endroits, les matériaux et les animaux et aussi les collections plus grandes de ces influences sociales. Elle connaît l’agencement des participants sociaux pour dire comment et où ils sont situés sur les échelles de l’environnement social.

Cet humanisme contextuel, décolonisé, féministe s’intègre avec l’archéologie anarchiste, la fixant en place. Ceci veut dire que la recherche, l’interprétation et le soutien souvent focalisent sur des individus ou des localités puis s’étendent à une échelle plus large, plus globale. L’échelle des gens de la base et les endroits où ils ont vécu fournissent les blocs de construction critiques pour re-imaginer des plus hauts niveaux de changements systémiques.

C’est l’espace où les échelles de l’analyse archéologique, des éclats de poteries, à l’endroit où elles furent trouvées, jusqu’au contexte régional, nous aident à construire des connexions entre de nombreuses échelles d’ordre qui nous permettent de donner une voix au passé et au présent.

Reconnaître l’agencement dans le changement et la stabilité

Une archéologie anarchiste est agencée. Les archéologues anarchistes comprennent que si placés dans des systèmes équitables, tous les humains / non-humains ont la capacité de mettre en place le changement. La plupart des archéologues reconnaissent que le pouvoir de notre discipline dérive de sa compréhension de la capacité humaine à transformer, façonner l’environnement, le monde matériel et les domaines spirituels par l’action.

Combinés, ces agents permettent aux archéologues d’ajouter des gens au lieu de seulement des objets, dans le passé (et le présent). Reconnaître que tous les gens sont importants veut dire que l’archéologie anarchiste est une archéologie des relations sociales qui utilise la façon dont les personnes interagissent pour comprendre les vestiges et archives archéologiques. Une archéologie anarchiste focalise spécifiquement sur ces gens qui sont le mois susceptibles d’avoir contribué aux narratifs dominants du passé.


Sans état… Société contre l’État

Valoriser l’héritage des sociétés à État et à non-État

Une archéologie anarchiste conteste la conservation et la préservation de l’héritage en questionnant le pourquoi et le comment certains sites et certaines régions sont choisis pour être protégés alors que d’autres ne le sont pas. Les archéologues anarchistes comprennent que préserver les sites et les communautés qui ne représentent que des états (c’est à dire des hiérarchies verticales ayant des élites), veut dire que nous créons un passé qui voit l’État et les sociétés assimilées à des sociétés étatiques comme des modèles de succès.

Les sociétés sans état, souvent empêchant de manière intentionnelle l’émergence d’une hiérarchie au cours de leur évolution, deviennent implicitement des exemples d’échec. Une archéologie anarchiste demande que nous commencions à changer notre compréhension de ce à quoi ressemble le succès et que ce changement théorique soit accompagné d’une action sur le comment faire pour comprendre quel héritage est digne d’intérêt. C’est en cela qu’une archéologie anarchiste peut soutenir puissamment et en parallèle, une archéologie indigène.

Ces décisions biaisées et subjectives sur quel héritage mettre en valeur font aussi diminuer notre imagination historique. Retirer ou limiter la présence archéologique, historique et culturelle des sociétés à organisation horizontale par des décisions de conservation de site, peut avoir un impact dramatique sur la capacité des sociétés futures à envisager et construire des alternatives aux hiérarchies contemporaines.

Pas de paradigmes, une multitude de vues et de voix

Une archéologie anarchiste reconnaît qu’il existe une multitude de points de vue et rejette la fausse dichotomie que tous ceux qui promeuvent ces idées doivent s’identifier en tant qu’anarchiste ou archéologue. Les étiquettes limitent les gens et leur capacité de trouver une utilité dans la théorie anarchiste. Par exemple, les gens ne doivent pas nécessairement se proclamer anarchistes pour promouvoir des idées anarchistes et des idéaux de la même manière que des gens ne doivent pas être archéologues pour promouvoir l’utilisation d’une culture matérielle comme une science sociale et une méthodologie historique.

Ce point de vue nous permet une promiscuité théorique et affirme qu’il est utile scientifiquement de considérer des théories et des méthodes alternatives hors du paradigme normal, s’engageant de la sorte en un anarchisme épistémologique.

Une hétérarchie d’autorités

En tant qu’archéologues anarchistes, nous ne nous reconnaissons pas comme une communauté ; au lieu de cela, nous nous reconnaissons comme appartenant et affirmant, beaucoup de communautés connectées. Nous soutenons grandement l’idée que décentraliser notre connaissance et notre autorité ne nie en rien l’expertise que nous possédons. Nous reconnaissons qu’alors que nous avons la technique de notre activité et l’expertise concernant la culture matérielle et la connaissance du passé, celles-ci sont une expertise qui dérive d’une certaine perspective qui est sans autorité unique.

Notre connaissance devrait être ouverte et notre expertise devrait être disponible de façon à ne pas créer une situation dans laquelle des archéologues (et des historiens) seuls obtiennent une autorité sur le passé, spécifiquement en ce qui concerne l’héritage des peuples descendants. De plus, nous reconnaissons que bon nombre d’expertises existent en dehors de notre discipline et de fait au sein de domaine de la connaissance “académique”. Une archéologie anarchiste est respectueuse des différents experts qui peuvent adresser le passé et le présent.

Décentrer l’humain, reconnaître les relations avec les entités non-humaines

Une archéologie anarchiste comprend et nous encourage à examiner comment des agents non-humains peuvent également créer des changements sociaux. Ainsi, l’endroit, l’espace, l’environnement, les objets matériels et le surnaturel peuvent tous être des agents du changement. De plus, les schémas de comportements humains peuvent être structurés par leurs relations avec des entités non-humaines comme des agents perçus au sein du paysage géographique, du climat, des plantes, des animaux ou des esprits.

Nous reconnaissons que comme les gens de cultures anciennes se voyaient souvent comme égaux ou moindre comparés avec des entités non-humaines, décentrer l’humain (NdT: en une manœuvre contre-ethnocentrique) peut nous aider à comprendre comment les peuples anciens s’arrangeaient et s’organisaient. Une telle attitude nous aide aussi à ré-imaginer nos propres positions subjectives en relation avec l’environnement, les endroits, les plantes, les animaux et les esprits.

Une archéologie de l’action

Les archéologues anarchistes reconnaissent que bien que notre recherche puisse souvent se frotter à des sujets difficiles et sensibles, la recherche archéologique doit demeurer gaie et plaisante. En même temps, l’archéologie se doit d’être pratiquée et rapportée avec respect. Bien que notre domaine puisse être saturée de violence, nous recherchons des manières d’étudier ces sujets non violentes en elles-mêmes.

Dans le sillage de bien des actes de résistance à succès qui utilisent l’humour pour affronter la violence, comme par exemple les manifestants protestant l’injustice armés de marionnettes, nous pensons également que la présentation de sujets difficiles peut aussi être adoucie par des interventions artistiques, poétiques ou révolutionnaires. Mais nous voyons essentiellement l’archéologie anarchiste comme un appel à l’action et nous invitons ceux et celles qui sont intéressés à nous rejoindre.

Recherchez, écrivez un essai, composez un poème épique, contribuez aux paroles d’une chanson, offrez une peinture ou une photo, faites quelque chose de grand, ou quelque chose de petit, faites quelque chose de différent, écrivez un classique, faites ce qui vous semble juste, faites le pour le potentiel de l’archéologie à aider construire un monde meilleur. Rendez le grand, faites le humble, faites le de manière brillante.

*          *          *

Simplement, nous offrons une archéologie anarchiste comme un moyen alternatif de penser le passé et de considérer nos méthodes et nos pratiques du présent. Une approche anarchiste nous rappelle de considérer les relations de pouvoir et de questionner le fait que ces relations soient autoritaires ou coercitives, si dans les sociétés passées que nous étudions, nous le faisons en tant qu’équipes d’archéologues en pratique, parmi des archéologues et des communautés descendantes en rapport avec l’héritage, ou en relations entre l’archéologie et les états-nations contemporains.

La vaste majorité des sociétés du passé étaient des sociétés vivant en anarchie, organisant leurs vies sans autorités centralisées. Ceci est une des principales raisons de l’utilité d’une archéologie anarchiste: pour comprendre la dynamique et les principes des sociétés sans gouvernement. De plus, la critique soutenue du pouvoir peut aider à mieux reconnaître les formes de résistance au sein des sociétés centralisées.

Finalement, les principes anarchistes peuvent nous aider à mieux atteindre des pratiques égalitaires et démocratiques parmi les archéologues et autres personnes ayant un intérêt dans le passé. Cette approche peut aussi engager l’archéologie à revigorer l’imagination historique et à présenter des alternatives aux structures d’autorité pyramidales contemporaines. 

Bref, une archéologie anarchiste peut nous aider à étendre notre domaine du possible, à la fois en relation avec nos interprétations des traces de la vie passée et à termes de notre compréhension de ce qui est possible pour le futur.

The Black Trowel Collective ou Collectif de la Truelle Noire: 

Nous venons à l’anarchisme et à l’archéologie depuis de nombreux horizons et pour des raisons variées.

La plupart de ce qui est écrit dans ce document provient d’une conversation commencée à l’Amerind Foundation en avril 2016 où nous avons commencé à mettre les morceaux éparses d’une archéologie anarchiste au sein d’un cadre cohérent.

Depuis lors. bon nombre d’entre nous ont continué à travailler ensemble sur cela et d’autres projets en relation avec une archéologie anarchiste, et notre cercle s’est considérablement élargi au fur et à mesure que le projet évolue.

=*=*=

Lectures complémentaires:

Manifeste pour la Société des Sociétés

David Graber Fragments Anthropologiques pour Changer l’histoire de l’humanité

40ans_Hommage_Pierre_Clastres (et la Société contre l’État)

Clastres_Préface_Sahlins

On a retrouvé l’histoire de france (Jean Paul Demoule)

Le_Défi_Celtique_Alain_Guillerm

James-C-Scott-Contre-le-Grain-une-histoire-profonde-des-premiers-etats

James_C_Scott_L’art_de_ne_pas_être_gouverné

Marshall-Sahlins-La-nature-humaine-une-illusion-occidentale-2008

Anthropologie et archéologie anarchistes et le changement de l’histoire

 

Lettre au président Macron des professeurs Fourtillan et Joyeux au sujet de la toxicité de l’aluminium dans le corps humain…

Posted in actualité, militantisme alternatif, N.O.M, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique française, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences, sciences et technologie, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 14 juin 2018 by Résistance 71

 

Résistance 71

 

14 juin 2018

 

Ci-dessous le lien du document pdf de la lettre ouverte des professeurs Jean-Bernard Fourtillan, ingénieur chimiste et pharmacologiste et Henri Joyeux, médecin, cancérologue et ancien des hôpitaux de Paris au sujet de la haute toxicité de l’aluminium dans le corps humain.

Cette lettre est bien entendu en direct rapport avec la haute négligence (au bas mot) des laboratoires pharmaceutiques qui continuent à inclure l’aluminium comme adjuvant dans les vaccins mais aussi dans bon nombre de médicaments dont les cicatrisants gastriques tels le Maalox et autres.

Ce sujet est de la plus haute importance dans l’intérêt de la santé publique dont les laboratoires pharmaceutiques se foutent de plus en plus tant leur importe plus encore le profit.

Quand on voit la main mise de certains labos sur la production de certaines molécules et quand on voit les ramifications financières et d’investissements des dits labos dans bon nombre d’aventures touchant la production chimique et le développement génétique dont ils ont un quasi-monopole, on peut légitimement se demander si la santé publique est toujours leur préoccupation majeure ; l’a t’elle jamais été en fait ?…

Posons donc ces simples questions: au vu des profits faramineux générés par la vente tous azimuts de molécules dûment patentées, guérir un patient, quelque soit la maladie, est-il toujours dans l’intérêt de l’industrie pharmaceutico-chimique ? Quel est plutôt son intérêt ?…
Cette industrie ne serait-elle pas en fait dans la gestion de la pathologie humaine à des fins à la fois lucratives et eugénistes ?

Juste des questions comme ça, à propos…

La lettre des professeurs Fourtillan et Joyeux:

https://professeur-joyeux.com/wp-content/uploads/2018/06/Version-finale-de-lInterdiction-totale-de-lAluminium-dans-tous-les-médicaments.-2.pdf

 

 

Escroquerie scientifique et totalitarisme: le cas de l’origine du pétrole…

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, écologie & climat, économie, colonialisme, crise mondiale, désinformation, documentaire, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, pédagogie libération, politique et lobbyisme, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 7 Mai 2018 by Résistance 71

 

Résistance 71

 

7 mai 2018

 

Nous replions ci-dessous  la compilation en version pdf de nos traductions datant de 2011 des articles du membre de l’académie des sciences de Moscou, J.F Kenney concernant la théorie russo-ukrainienne de l’origine abiotique profonde du pétrole et de fait de tout hydrocarbure plus lourd que le méthane.
Une fois de plus une guerre se trame au Moyen-Orient, guerre qui visera à détruire l’Iran pour s’accaparer ses ressources énergétiques, cette guerre a pour origine un conflit larvé qui fait pourtant rage depuis des années dans la région: la guerre du gaz et aussi du pétrole, guerre pour son appropriation mais aussi son transport.
Pour mieux comprendre l’absurdité de toute cette affaire criminelle de pillage en règle pour le profit du plus petit nombre, il convient de s’attacher à sa racine: que sont pétrole et gaz naturel ? Y a t’il une raison quelconque pour que l’humanité en manque et en rapport à cela, les fluctuations du prix de ces produits sont-elles normales ou artificiellement induites ?
Réponses ci-dessous pour ceux qui le découvriraient… préparez-vous à un choc. Nous vous demandons de bien lire notre article d’introduction qui explique en détail le fait que nous ne sommes en aucun cas « pro pétrole » et « payés par le lobby pétrolier » et questionnons la problématique de son remplacement, nous envisageons aussi le fait que tout n’est pas si simple dans la mesure où le pétrole n’est pas seulement une source énergétique, en fait il est PARTOUT dans nos vies, sous forme de produits dérivés, est-ce bien ? Bien sûr que non. Cela pollue t’il ? Bien sûr que oui. Commençons donc par la science derrière le produit pour y découvrir la supercherie et de là, lâcher-prise de cette  saloperie qui nous pourrit la vie.

En dédicace des articles qu’il publie sur son site internet, l’ingénieur Kenney (Ph.D) nous dit ceci:

« Ces articles sont dédiés en première instance à la mémoire de Nikolaï Alexandrovitch Koudriatsev, qui a le premier énoncé en 1951 ce qui est devenu la théorie moderne russo-ukrainienne des origines abiotiques profondes du pétrole et des hydrocarbures. Après Koudriatsev, tout le reste a suivi.
Ces articles sont aussi dédiés plus généralement au nombre de géologues, de géochimistes, de géophysiciens et d’ingénieurs pétroliers de l’ancienne URSS, qui, durant le dernier demi-siècle, ont développé la science pétrolière moderne. Ce faisant, ils ont sorti leur nation de ce qu’elle était en 1946, une nation pauvre en matière de production énergétique pétrolière pour l’amener à la plus grande nation productrice et exportatrice de ces produits dans le monde d’aujourd’hui.
Ces articles sont aussi spécifiquement dédiés à feu l’académicien des sciences Emmanuil Bogdanovitch Chekaliouk, le plus grand statisticien thermodynamiste qui ait jamais tourné son formidable intellect vers le problème de la génèse pétrolière et gazière. Durant l’été 1976, des profondeurs de la guerre froide entre l’Est et l’Ouest et au prix d’un danger incommensurable, l’académicien Chekaliouk a choisi de répondre, au travers d’un gouffre hostile, à une lettre non sollicitée d’un PDG américain d’une petite entreprise pétrolière basée à Houston au Texas. Depuis et pour maintenant près de 15 années, l’académicien Chekaliouk a été mon professeur, mon mentor, mon collaborateur et mon ami.
~ J.F. Kenney (http://www.gasresources.net ) ~

Bonne Lecture !

Dossier « pétrole abiotique » (version PDF) :

Théorie Russo Ukrainienne de l’Origine Profonde Abiotique du Pétrole

 

Résistance scientifique: vers une science psychologique quantique d’inspiration nietzschéenne (Patrice Sanchez)

Posted in actualité, altermondialisme, militantisme alternatif, philosophie, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences, sciences et technologie, sciences et technologies with tags , , , , on 2 mars 2018 by Résistance 71

Radicalisons nos pensées, n’entrons pas dans le jeu du nihilisme de ces deux intégrismes mortifères, ces pensées tordues que représentent le fanatisme islamiste et le libéralisme capitalistique …  j’en suis arrivé à l’intuition prégnante que ces âmes errantes qui ont choisi le camp du mal sont destinées à nous pousser à réagir, à nous guider dans les derniers retranchements de nos pensées …  faisons Aîkido selon le principe non violent du désarmement de l’adversaire, l’art du contre-pied de la pensée cette fois-ci, tous ensemble unis pour un chaos créateur dans l’objectif de la libération de nos chaînes mentales et par voie de conséquence, l’émancipation des Hommes de bonne volonté !
~ Patrice Sanchez ~

 

Vers une science psychologique quantique d’inspiration nietzschéenne

« Et le psychologue qui fait de tels sacrifices aura le droit de demander que la psychologie soit de nouveau proclamée reine des sciences, les autres sciences n’existant qu’à cause d’elle, pour la servir et la préparer. Car la psychologie est devenue la voie qui mène aux problèmes fondamentaux. »

Friedrich Nietzsche « Par delà bien et mal »

Lettre ouverte à l’attention de Messieurs Stanislas Dehaene et Olivier Houdé, professeurs de psychologie cognitive.

Messieurs, permettez-moi de vous apporter mon témoignage d’espoir, je tiens à préciser que j’avais fait parvenir à monsieur le ministre Jean-Michel Blanquer, un texte faisant l’éloge de l’apprentissage du jeu d’échecs chez les jeunes, apprentissage qui dans mon cas précis aura été source de renaissance intellectuelle après que j’aie été victime d’une apocalypse cérébrale en 1995.

Je voulais vous faire part de mon odyssée psychologique d’une vingtaine d’années au terme de laquelle j’aurais pris conscience que je pouvais maîtriser mon destin par delà bien et mal.

J’ai relaté récemment mon expérience de vie dans un livre édité aux éditions L’Harmattan : « Renaissance d’une apocalypse cérébrale » ou mon odyssée sous le soleil de Zarathoustra et sous les bons auspices du philosophe Pierre Héber-Suffrin dont je vais reprendre la préface qu’il m’a fait l’amitié d’écrire pour mieux situer l’objet de mon courriel et illustrer mon propos.

« UN HOMME EN GRANDE SANTÉ

Un adolescent inquiet, un jeune adulte que l’angoisse conduit à la dépression, voire au bord de la névrose. Et puis l’horreur… Et puis des mois d’hôpital, de vie confinée, de routine ennuyeuse, de traitements toujours pénibles, parfois atroces… Et puis… et puis au bout du compte une sérénité baignée d’humour, une joie de vivre, un amour de la vie, non pas malgré un lourd handicap, mais – je crois vraiment pouvoir le dire – grâce à un lourd handicap.

Nietzsche l’appelle « grande santé », « cette santé débordante » qui, loin d’exclure la souffrance « se plaît à recourir à la maladie elle-même » ; cette santé qui sait faire de toute souffrance, physique et morale, un moyen de se dépasser soi-même, un instrument pour vivre plus, plus intensément, pour être plus puissant ; cette santé qui sait aussi faire de la maladie une occasion de penser, car – c’est encore Nietzsche qui l’explique – « la maladie [… offre] l’obligation absolue du repos, du désœuvrement, de l’attente et de la patience… Mais qu’est-ce tout cela, sinon penser ! ».

C’est parce qu’il fréquentait la pensée de Nietzsche que Patrice Sanchez m’a rencontré, comme il le raconte. Et c’est parce que j’ai trouvé dans son manuscrit plus qu’une illustration, une réalisation concrète, vécue de cette « grande santé » nietzschéenne que j’ai poussé Patrice à parfaire un peu son écrit pour faire éditer cette preuve, ce témoignage.

Preuve : preuve qui confirme – la vie de Nietzsche l’avait déjà établi – que ces idées ne sont pas simples élucubrations d’intellectuel.

Témoignage : témoignage qui ne se limite pas à rapporter des faits, mais qui est en même temps encouragement et qui n’est pas seulement encouragement, mais leçon ; disons, pour finir sur un de ces oxymorons qui plaisent tant à Patrice, témoignage qui est leçon de morale nietzschéenne.

Pierre Héber-Suffrin – Philosophe spécialiste de Nietzsche ».

J’avais été conditionné bien malgré moi depuis mon adolescence dans l’attente de crises d’épilepsie plus ou moins violentes et ce conditionnement mâtiné de fatalisme face à l’injustice de mon destin était allé crescendo en intensité dramatique avec la naissance de ma tragédie en devenir en 1990 et son diagnostic terrifiant de « l’absolument volumineux angiome » situé dans la partie gauche de mon cerveau, cette épée de Damoclès inopérable logée dans le sillon de Rolando qui attendait son heure pour accomplir son œuvre dévastatrice et irréversible.

La propédeutique rêvée pour le futur navigateur de l’apocalypse cérébrale en somme !

Passée ma très longue et douloureuse période d’hospitalisation, je n’avais eu d’autre alternative que de me battre et de me mettre en quête de sens pour tenter de comprendre la psychologie humaine si fascinante et pour le moins ô combien déconcertante.

Ma soif inextinguible de connaissances m’aura rapidement permis d’appréhender la discipline philosophique et plus particulièrement, la psychologie nietzschéenne, je me serai découvert une extrême proximité avec ce sémaphore de la pensée occidentale, il m’aura aidé à faire le point, à m’accepter avec mon nouveau corps, à surmonter mes appréhension et progressivement, je serai revenu dans le monde des vivants pour au final, dire définitivement oui à la vie !

J’avais poussé plus avant mes investigations avec les travaux de Carl Gustav Jung sur l’inconscient collectif et les synchronicités, et de fil en aiguille, j’en étais arrivé à avoir une approche de la physique quantique avec le monde merveilleux des particules élémentaires qui aura radicalement bouleversé ma perception de l’existence. Cette psychologie des profondeurs, “ ce cerveau universel ”, transposés à l’approche de l’étude de l’univers quantique m’aura fait prendre conscience de notre nature spirituelle individuelle et collective.

J’en suis arrivé au constat vécu, à l’expérimentation ressentie dans ma chair et dans mon âme que notre monde obéit à des principes moraux et éthiques qui font appel au bien et à l’amour, et que notre nature profonde ne fait pas exception à cette règle, il suffit de constater les bébés et les jeunes enfants vierges de toutes pensées malfaisantes !

Progressivement, j’aurai assimilé le principe de dualité qui est en chacun de nous avec le problème central de l’égo qui parasite notre mental.

Je n’avais eu d’autre choix que de radicaliser ma pensée à l’extrême, me délestant du contingent pour me recentrer sur l’essentiel et ainsi, ne penser qu’à faire le bien auprès de mon entourage … en un mot comme en cent, adopter l’aphorisme d’Albert Camus qui disait : “ La générosité envers l’avenir consiste à tout donner au présent. ”

Grâce à ce principe de vie et à mon lâcher prise, à mon éthique et ma morale indéfectibles associés à ma compréhension holistique du monde, j’aurai progressivement pris conscience que je pouvais maîtriser ma destinée.

Ce cercle vertueux de pensée s’alimentant automatiquement, ma prise de conscience humaniste s’est accrue à un point tel que j’ai changé radicalement de régime alimentaire grâce à Pollux, mon Fox terrier objecteur de conscience végétarienne ; tant et si bien que depuis quelques années, j’ai adopté ce principe universel comme religion, ma religion des particules élémentaires qui me fait clamer : Par delà toute croyances ou irréligion, aimons-nous et entraidons-nous les uns les autres, nos particules élémentaires associées à nos pensées éthiques et morales n’auront pas fini de nous étonner et de nous émerveiller.

Cette compréhension supérieure, cet éveil de conscience sur le fait indubitable que nous sommes tous inter-reliés par le monde quantique, cet univers des particules élémentaires si bienveillant lorsqu’il est associé à nos pensées éthiques et morales, ce monde de l’infiniment petit créateur de réalité qui nous permettrait d’être reliés et connectés à la mémoire de l’humanité et de l’univers, à ce champ Akashique si cher aux anciennes traditions et prouvé par les physiciens quantiques, cette prise de conscience universelle donc, nous permettrait de relativiser en inhibant automatiquement nos égos et nous ferait enfin réaliser que nous pourrions reprendre en main nos destinées individuelles et par voie de conséquence collectives.

Un battement d’ailes de papillon, une ascension de conscience universelle de l’humanité et le monde s’en retrouverait tourneboulé… nous assisterions à n’en point douter à une libération d’énergies inimaginable !

L’histoire nous a appris que les Hommes ont réussi à se transcender dans les périodes de crises extrêmes, le temps est venu de prendre conscience que nous sommes tous inter-reliés, interdépendants, pour ne former qu’une seule et même communauté, la communauté des Humains pensant avec leurs cœurs et leurs intuitions…

En attendant qu’un jour prochain nous voyions les Hommes réussir à activer leurs cerveaux quantiques, je me plais à imaginer une communauté de chercheurs solitaires tout dévoués à l’émancipation de l’humanité … cependant, j’en suis arrivé à l’intuition prégnante que l’ère du matérialisme est un passage obligé destiné à Nous faire rebondir collectivement pour qu’enfin, Nous devenions pleinement Humains, rien qu’Humains.

« Il faut que nous soyons de ceux qui apprennent et découvrent le mieux tout ce qui est loi et nécessité dans le monde : il faut que nous soyons physiciens, […] c’est pourquoi : vive la physique ».

Friedrich Nietzsche “ Le gai savoir ”

Je vous prie de croire, Messieurs, en l’expression de mes respectueuses salutations.

Patrice Sanchez

Texte de présentation de ma pensée psychologique holistique ci-dessous !

https://www.legrandsoir.info/le-pacte-de-la-course-a-l-echalote-et-a-l-oignon.html

Résistance au colonialisme: Yankland, pays du goulag levant… Un faux peuple pour un empire de l’usurpation, du vol et du génocide… (Mohawk Nation News)

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La race parfaite !

 

Mohawk Nation News

 

24 juillet 2017

 

Source: http://mohawknationnews.com/blog/2017/07/23/the-perfect-race/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Les Etats-Unis n’ont jamais été grands. Les envahisseurs sont venus des rues d’Europe, de l’esclavage, des prisons, des orphelinats, de la prostitution, les enfants du travail dans les fermes, afin de venir peupler les colonies. L’inceste fut un programme pour faire augmenter leur population.

Les femmes étaient des femmes simples ou des domestiques envoyées dans les villes pour peupler l’Ouest. Maintenant, la race blanche a le plus bas taux de fécondité au monde. Sa population est en déclin.

Les oligarques les conditionnent à devenir des esclaves gobant les mouches au travers de leurs institutions “éducatives”.

Ils vivent dans une société non viable très éloignée du monde naturel qu’ils trouvèrent pourtant lorsqu’ils arrivèrent sur l’Île de la Grande Tortue. Ils empoisonnèrent l’air, l’eau, la terre, l’environnement et toute la vie naturelle. Le génocide fut le moyen utilisé pour se débarrasser de nous, les peuples autochtones.

Il est au-delà de toute possibilité que les Indiens puissent avoir l’impression qu’il y ait eu une conspiration pour l’élimination de leur race par ce moyen [celui de la stérilisation].” (“An Act of Genocide, Colonization & Sterilization of Aboriginal Women”, p. 49. Karen Stote 1937.)

La Finlande, le Canada et les Etats-Unis ont le plus haut taux de maladie d’Alzheimer au monde, suivis par les populations européennes de la Suède, de la Suisse, de la Norvège, du Danemark, de la Hollande, de la Belgique, de l’Espagne, du Royaume-Uni, de la France, d’Israël, de l’Irlande, de l’Italie, du Luxembourg et de l’Allemagne.

Les monstres politico-financiers psychopathes ont mis en place la grande pieuvre globale de la guerre, de l’armée, du gouvernement, des fraudes bancaires, des médias, de l’état profond, du terrorisme faux-drapeau, de la propagande de guerre et des machines de lavage de cerveau que sont la religion et l’éducation (étatique).

Quand 10% de la population va se réveiller de cette torpeur institutionnalisée, alors les autres 90% suivront.

L’empire a brisé notre système de paix. Les immigrants furent partie intégrante de l’attaque qui fut menée sur nous.

Ce faux peuple n’a aucune base, aucun fondation naturelle sur notre terre. Ils se sont appropriés nos histoires, nous ont assassiné et ont intégré tout cela dans leur culture. Nous fûmes diabolisés dans les médias par Hollywood.

Nos histoires ancestrales sont fondées sur la nature en toute compréhension scientifique.

Ils ont évolué depuis un environnement mauvais et macabre. Ils changent leurs visages, leurs coiffures, leurs corps (transgenre) et ils ne savent pas du tout qui ils sont.

[…]

Ils votent pour que leur système artificiel continue.