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Au delà de l’arme biologique des injections ARNm déployée contre l’humanité depuis 2020… La légende du vaccin (avec Jean-Yves Jézéquel)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, média et propagande, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologie, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , on 8 mars 2023 by Résistance 71

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“La cause première de la maladie est en nous, toujours en nous.”
~ Antoine Béchamp, 1883 ~

Excellente analyse toujours en cours de Jean-Yves Jézéquel qui se devait d’être faite et publiée pour alimenter la pensée critique et son aboutissement final qu’est la (r)évolution sociale.
Aujourd’hui, il doit être évident pour tout le monde que nous avons été et sommes toujours victimes d’une attaque nano-bio-technologique de masse avec les injections ARNm anti-SRAS-CoV-2 / COVID19, mais au-delà de ce crime en cours dont le dénouement est incertain pour l’humanité, nous devons aussi nous poser la question fondamentale sur les vaccins en général : que sont-ils ? D’où sortent-ils et sont-Ils sûrs et efficaces ?
En répondant à ces questions, il est inévitable de (re)tomber dans l’éternel débat Antoine Béchamp-Louis Pasteur, qui finalement devra réhabiliter Béchamp comme sans doute un des tous plus grands chercheurs et scientifiques de l’histoire de l’humanité et faire tomber en disgrâce Pasteur l’imposteur, plagiaire et responsables des trois plus grandes erreurs dirigeant la médecine allopathique moderne comme le démontre Jézéquel ci-cessous.
De fait, la médecine a été kidnappée par les intérêts particuliers de l’industrie pharmaceutique (chimique et consorts) pour qui la santé publique n’est en rien une mission mais une rente qui dit demeurer ferme et définitive quoi qu’il arrive. Pasteur en fut un de ses premiers VRP. Pour ce faire, l’industrie s’empêtre depuis l’époque Pasteur dans un tissus de mensonges et de falsifications nécessaires à sa survie et son succès commercial. Il ne tient une fois de plus qu’à nous d’y mettre fin par la pensée et l’éducation critiques, ennemies jurées de l’establishment étatico-marchand dominant.

“Pasteur fit une sage remarque lorsqu’il en appela au verdict du temps pour juger un scientifique. Et de fait, Béchamp, avec cette assurance de génie, ne perdit jamais espoir quant à ce jugement final. Le “Moniteur scientifique” nous dit : “Ceux de sa connaissance, qui se souciaient de lui et l’entouraient, n’ont jamais douté qu’un jour justice lui fut rendue.” […] Je soumets au tribunal de l’opinion publique l’affirmation que Pierre Jacques Antoine Béchamp, personnifia un de ces génies auquel le monde de la science doit tant sans qu’il le sache forcément, constituant ainsi un chapitre perdu de l’histoire de la biologie.”
~ Ethel D. Hume, “Béchamp ou Pasteur ?”, 1923 ~

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ATTENTION DANGER… ARME NANO-TECHNO-BIOLOGIQUE !

La légende du vaccin

Jean-Yves Jézéquel

Février-Mars 2023

Source : https://www.mondialisation.ca/la-legende-du-vaccin/5675524

Introduction

La médecine allopathique, celle qui s’est imposée en France dans les années 40 par une loi vichyste, rendant illégale toute autre approche de la santé et du soin, s’est laissée séduire par une fallacieuse « évidence » de l’observation, et aujourd’hui, plus que jamais, elle est absolument convaincue d’avoir raison. 

Il y a bien entendu de nombreux excellents médecins qui ont un esprit ouvert, intelligent et qui sont intéressés notamment par les médecines alternatives, les ayant parfois adoptées dans leur pratique médicale… Nous voulons ici parler de la caste médicale en tant que telle et non pas de médecins qui peuvent être d’ailleurs de véritables héros dans les temps actuels !

Concernant la caste allopathique, celle-ci affiche des certitudes qui font désormais partie du corpus dogmatique de la « science » médicale et les étudiants en médecine doivent impérativement réciter le catéchisme de la doctrine allopathique, notamment le chapitre sur les vaccins, pour entrer dans la secte et mériter, à la fin de leur conditionnement, le nom prestigieux de médecins ! Le petit catéchisme rouge de la secte vichyste allopathe, considère toute critique du vaccinalisme comme hérétique et conduit le contrevenant à l’orthodoxie allopathique vers les bûchers de la répression totalitaire ! Les médecins se montrant critiques à l’égard de la doctrine vaccinale peuvent avoir de gros ennuis avec l’Ordre des médecins qui veille sur l’orthodoxie de la pratique médicale comme l’Inquisition veillait sur l’orthodoxie du dogme catholique !

Tout comme les inquisiteurs étaient absolument convaincus d’une course du Soleil autour de la Terre, la médecine allopathe pense que  le vaccin est la solution miracle, « scientifique », qui permet de forcer le système immunitaire de l’humain à produire le stock indispensable d’anticorps, car, pense-t-elle, cette production d’anticorps n’est pas déclenchée naturellement dès l’intrusion du virus dans le corps, ce virus n’étant pourtant pas affaibli, comme dans le vaccin, mais en pleine force de sa virulence !!!

Galilée démontrait scientifiquement que ce qui paraissait « évident » à l’observation sommaire et fallacieuse, n’était pas la vérité, lorsqu’on se donnait la peine de regarder la réalité plus attentivement ! Bien qu’ayant effectivement raison, (c’est la Terre qui tourne autour du Soleil), Galilée était cependant condamné par les savants de son époque et il dû se rétracter en acceptant de reconnaître les sottises des savants, comme vérité incontestable et non critiquable, sous peine de bûcher !

Avec la médecine vichyste allopathe, nous en sommes tout à fait au même point, c’est-à-dire à une mentalité qui nous ramène à plus de 4 siècles en arrière !

On se souviendra « ad vitam aeternam » des nombreuses contre-vérités radotées par les médecins de plateaux TV vendus aux conflits d’intérêts et de ceux qui étaient muets, pétrifiés, menacés pour l’avenir de leur carrière, pour leurs revenus, pour leur subsistance…

Nous savons tous comment, dans cette crise du coronavirus, des médecins et le personnel soignant restés honnêtes, ont été maltraités, sanctionnés, violemment condamnés à la mort sociale et à la mort tout court en étant censurés, sanctionnés, suspendus, dans l’impossibilité de travailler, ni de chercher même un autre emploi pour survivre !

Le monde médical à travers ses « autorités », s’est révélé être un monde hautement sectaire, hautement tyrannique, hautement pervers… et hautement criminel !

Dans la crise de la Covid-19, les bien-portants « asymptomatiques », pourtant déclarés obligatoirement « infectés », ne développaient aucun symptôme, aucun signe de maladie, rien, et devenaient les principaux « responsables » de la diffusion du virus, puisqu’ils représentaient les 3/4 des contaminés théoriques !

Des grands professeurs de médecine s’échinaient à dénoncer ces « malades clandestins », « dangereux pour les autres », « coupables d’un délit d’illusion de bonne santé », mais qu’une vaccination massive pourrait racheter !

A partir de là, les « autorités sanitaires » allaient organiser la terreur par la culpabilisation et les statistiques grossièrement manipulées et systématiquement falsifiées. Une médecine totalitaire allait exiger des politiques qu’ils appliquent leurs décisions pourtant entièrement fondées sur plusieurs mensonges y compris scientifiques ! Avec le recul, l’étude attentive des chiffres qui a été faite par de nombreux experts de ces questions de santé publique, a démontré qu’une corruption des autorités sanitaires était mondiale, organisée, orchestrée par les responsables de cette perversion, comme on l’a très largement commenté depuis trois ans, les sources multiples d’informations ayant anéanti le narratif mensonger officiel, de manière irréversible. (Cf., le gros dossier Covid de http://www.mondialisation.ca)

Il n’est plus suffisant de bêler stupidement l’accusation de « complotisme », la gueule enfarinée et convaincu que la sottise soit devenue une preuve d’intelligence !

L’épidémiologie a voulu recourir aux équations mathématiques pour fonder son discours et dorer son blason au prestige de la science des sciences. C’est de cette manière que les statistiques devinrent « la vérité incontestable » quasi « révélée » ! Précisément, c’est sur cette « fiction mathématique » que repose le précepte « bénéfices/risques » qui est le fondement des prescriptions médicales et des mesures que l’organisation sanitaire impose arbitrairement à la société. 

L’épidémiologiste Britannique, Neil Ferguson, travaillant sur les modélisations mathématiques des épidémies, annonçait le 16 mars 2020, que, si rien n’était fait, « la Grande-Bretagne dénombrerait jusqu’à 550 000 morts de la Covid-19, les Etats-Unis, 1,2 million et la France, 3 % de sa population, soit 2 millions de personnes ! Macron allait se baser avec le « Conseil Scientifique » pour la gestion de la crise, sur les prédictions de Ferguson et sur les conseils de « McKinsey & Company », cela lui permettant aussitôt de répandre largement la terreur sur la population…

La théorie des vaccins en particulier s’est largement inspirée de la peur, des fantasmes, des archaïsmes culturels, d’anciennes terreurs habitant la profondeur de l’inconscient collectif habilement manipulé à l’occasion de cette crise organisée ! Mais nous devons examiner tout cela depuis le début de l’histoire des vaccins qui prétendait consacrer l’entrée de la médecine dans la modernité, la faisant accéder enfin au prestige du monde scientifique !

Nous devons recourir aux historiens qui sont là pour accomplir leur tâche consistant à débroussailler les archives de l’histoire, en les examinant attentivement pour nous restituer l’objectivité de la réalité factuelle qu’elles contiennent.

C’est ainsi que nous allons découvrir comment la grande Histoire nous fait le récit bien différent de celui qui a été convenu par la secte médicale allopathique ayant éliminé tous les concurrents et ceux qui pouvaient, par leur pratique, démontrer à quel point la légende du vaccin était mensongère, abusant des millions de gens depuis qu’elle s’est imposée comme « vérité scientifique incontestable » et faisant des millions de victimes, sans que sa criminalité ne soit jamais remise en cause !

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1 – Pasteur et l’Histoire

Le médecin anglais Edward Jenner a été le premier à inoculer la vaccine, maladie spécifique des bovins, afin de protéger les hommes de la variole ou petite vérole, mais c’est Pasteur (1822-1895) qui reste le père de la vaccination, à cause de ses travaux mieux vulgarisés et diffusés sur la mise au point d’un vaccin. Pasteur exploitait à la perfection les travaux des autres. Il s’informait de tout ce qui pouvait se faire et utilisait cette connaissance pour orienter ses propres recherches.

A cause des années de sacrifices consentis, de solitude et de travail acharné dans l’isolement de son laboratoire de recherche, à cause des fortunes dépensées pour ses recherches, Pasteur avec son entourage, y compris les responsables de la santé publique, estimèrent qu’il n’était pas possible d’accepter le bilan négatif final qu’il tirait de ses expériences. Ils estimaient qu’ils avaient hissé la médecine au niveau des sciences et qu’ils lui avaient donné un statut de respectabilité jamais atteint auparavant. Accepter la reconnaissance de l’échec n’était plus envisageable : un retour en arrière n’était pas tolérable !

C’est ainsi que le dogme pasteurien s’est ancré dans les esprits devenus aveugles et incapables de reconnaître l’imposture. Pasteur a été convaincu de maquiller les résultats d’expériences qui infirmaient sa théorie vaccinale, dans les publications présentées à l’Académie de médecine. Dans un second temps, il s’est habilement approprié des travaux d’autres chercheurs, comme ceux d’Antoine Béchamp (1816-1908), l’un des plus grands savants du XIXème siècle, médecin biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et pharmaceutique de la faculté de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique à l’Université de Paris, puis doyen de la Faculté libre de Lille.

(Cf., « Pour en finir avec Pasteur », Dr Eric ANCELET, éditions Marco Pietteur, 1998 ; Marc Menant, « L’inquiétante histoire des vaccins », Plon, 2022, 265 pages.)

C’est Béchamp qui avait démontré la validité des hypothèses de Claude Bernard sur la valeur du terrain propre à chaque individu et c’est lui qui fut le premier à comprendre la cause microbienne des pathologies infectieuses. Son œuvre est quasi inconnue de nos jours, parce qu’elle a été éclipsée, détournée au profit des intérêts personnels de Pasteur qui en a récupéré les lauriers.

On connaît les doutes de Pasteur et de son entourage sur l’affaire du petit Joseph Meister qu’il aurait sauvé de la rage, car Pasteur savait bien que beaucoup d’éléments grevaient la validité de cette expérience. Trop de facteurs objectifs pouvaient remettre en cause la certitude de Pasteur lui-même et c’est ce qui arriva pour le chercheur qui savait pertinemment que les conditions de l’expérience de vaccination n’étaient ni réunies, ni satisfaisantes, ni finalement concluantes.

Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux et fut rapidement abandonné, moyennant d’ailleurs un conflit tenace avec son principal collaborateur le Dr Roux qui n’avait pas apprécié un détournement de « paternité » par Louis Pasteur qui lui avait dérobé ses échantillons et ses notes. On peut dire que le jeune Meister avait échappé à une issue fatale désastreuse de cette expérience du vaccin contre la rage. L’histoire réécrite par les protagonistes de cette expérience a retenu cet épisode de vaccin comme un succès, mais en oubliant volontairement de dire que ce vaccin avait multiplié les décès dans le contexte de la rage.

Entre 1869 et 1872, Pasteur énonçait trois principes de base erronés qui servent pourtant encore aujourd’hui de fondement à la vaccination !

Le premier estimait que l’asepsie règne dans nos cellules : la cellule est propre, tous les microbes sont exogènes (c’est-à-dire qu’ils viennent de l’extérieur) et attaquent les cellules depuis l’extérieur. Ces germes ont une existence indépendante des organismes vivants. 

Le second c’est que chaque maladie correspond à un agent spécifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prémunir grâce à un vaccin. 

Le troisième disait que l’immunité s’obtient par la production d’anticorps en réaction à l’introduction d’antigènes contenus dans le vaccin et ces anticorps confèrent une protection.

Nous savons depuis longtemps que ces trois postulats sont faux. Les découvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font toujours semblant d’ignorer ces travaux. On se demande pourquoi ?

Nous vivons en symbiose avec les micro-organismes et si nous les considérons comme nos ennemis, nous entrons dans une logique de guerre qui met en péril notre système immunitaire. Car, ce sont des bactéries qui maintiennent notre équilibre biologique et qui ne deviennent pathogènes qu’au moment où notre système immunitaire est perturbé en ne remplissant plus ses fonctions naturelles. 

Quant aux virus, ils se reproduisent uniquement à partir de leur matériel génétique et ne sont que des parasites des cellules. Notre corps peut abriter de nombreux virus sans que nous ne soyons malades pour autant. Il est donc essentiel de comprendre que tout ce monde microbien ou viral n’est pas un ennemi qu’il faut éradiquer à tout prix, tout en croyant que seul importe le terrain devant être préservé de ses véritables agresseurs.

A la naissance, le système immunitaire n’est pas encore mature. Pour survivre, le nourrisson est protégé par les anticorps maternels. Cette immunité héritée est remplacée par une immunité personnelle au fur et à mesure que l’enfant rencontre des germes, microbes ou virus, particulièrement grâce aux maladies infantiles. C’est pour cette raison que les vaccinations apparaissent comme des éléments perturbateurs incontrôlables et particulièrement inopportuns.

Le Pr J. Tissot, professeur de physiologie générale au Muséum d’histoire naturelle, mettait déjà en garde le monde médical bien avant le délire vaccinaliste actuel :

« L’immunité par vaccination ne s’acquiert qu’en conférant à l’individu la phase chronique de la maladie qu’on veut précisément éviter, phase chronique qui comporte, dans un avenir proche ou très éloigné, de redoutables complications ». (Cf., Pr J. Tissot, « Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les éloignent »).

De plus, il faut le répéter : les vaccinations ne procurent pas la même immunité que les maladies elles-mêmes et les taux d’anticorps évalués après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux qui sont évalués après les maladies. L’immunité conférée par la maladie est définitive, ce qui n’est pas le cas par la médiation de la vaccination. Cela entraîne de graves problèmes lorsque la personne humaine vieillit : les maladies deviennent plus graves chez les personnes âgées, à cause du retard des capacités immunitaires provoqué par les vaccins.

Ils sont légions, dans le corps médical et dans le personnel soignant, comme dans la population, à penser sincèrement que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations et refusent catégoriquement de remettre en cause leur certitude dogmatique héritée de la légende Pasteurienne. Pourtant, l’objectivité historique et scientifique démontre, sans l’ombre d’un doute, que les épidémies ayant ravagé nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins font semblant d’ignorer, car il est impossible de ne pas savoir !

Comme on va le voir, les courbes de décroissance des maladies débutent toujours bien avant les vaccinations rendues obligatoires lorsque les maladies ont pratiquement disparu !

Les fanatiques du vaccin ne se demandent jamais pourquoi ces épidémies ne continuent pas de sévir dans les pays qui n’ont pas pratiqué les vaccinations ou qui les ont abandonnées. Ces gens ne se demandent jamais pourquoi l’épidémiologie et la presse scientifique internationale attestent que des épidémies surgissent encore dans des pays où la couverture vaccinale est totale ? !

Les immunologistes s’interrogent toujours sur les poussées épidémiques survenant dans les populations vaccinées contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtérie et la coqueluche. Ce constat est une évidence bien dérangeante pour les partisans de la vaccination, car cela veut dire clairement la faillite de la vaccination.

Dans Médecine praticienne (N°467), le Pr Lépine constatait à son tour :

« Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations, on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination ».

« S’il n’y avait que les vrais malades à soigner, la médecine serait en situation économiquement difficile. Il faut donc convaincre l’ensemble de la population qu’elle est potentiellement malade et vendre des médicaments à ceux qui n’en ont pas besoin ». (Pr. Didier SICARD chef du service interne à l’hôpital Cochin, président du Comité national consultatif d’éthique)

Redisons-le encore clairement : un enfant de parents en bonne santé naît avec un potentiel important et développe progressivement son immunité. Il est tout à fait capable d’affronter les maladies infantiles. Il est aberrant de dramatiser à la pensée que les petits seraient immanquablement menacés par des ennemis impitoyables les guettant dès leur arrivée en ce monde ! Les parents conditionnés par la propagande et anxieux face au danger inévitable pensent que les vaccinations sont une panacée et qu’elles éviteront les maladies de leurs enfants. C’est tout le contraire qui est vrai et celui qui prétend bêtement que ce discours est « complotiste » serait bien incapable de prouver son infaillibilité idéologique alors que nous avons l’embarras du choix en termes de démonstrations scientifiques contraires à la croyance archaïque officielle et intolérante basée sur du mensonge et de la vulgaire falsification !

« Les vaccinations affaiblissent considérablement le terrain. Les maladies aiguës, incapables de s’exprimer, peuvent se développer de façon larvée, insidieuse, faisant le lit de maladies chroniques souvent graves et inguérissables. Il ne faut donc pas redouter les maladies infantiles, rester serein, et aider l’enfant à surmonter cette légère épreuve. Comme le disait déjà Hippocrate : « Le corps fait une maladie pour se guérir ». » 

(Cf., Sylvie Simon, « Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins », DANGLES 2005 (3ème livre d’une collection « les 10 plus gros mensonges »).

Il va de soi qu’il faut surveiller l’évolution des maladies infantiles afin de ne pas commettre d’imprudences qui pourraient entraîner des complications chez les enfants fragiles ou prédisposés à certaines pathologies. Paradoxalement, ce sont précisément ces enfants-là qui manifestent les effets secondaires les plus graves après la vaccination.

Louis Pasteur et son équipe étaient persuadés de sortir la médecine de la superstition et des pratiques moyenâgeuses, ils étaient convaincus qu’ils allaient initier des thérapies salvatrices de l’humanité. A l’époque, le Professeur Brouardel disait au docteur Roux qui travaillait avec Pasteur :

« Si je ne prends pas position en votre faveur, c’est un recul immédiat de cinquante ans dans l’évolution de la science. (Malgré le mensonge auquel il faut s’en tenir), nous devons éviter cela ! »

Comment après tant d’années de sacrifices, l’équipe de Pasteur et les responsables de la santé publique auraient pu avoir le courage de remettre en cause leur travail qui s’était égaré sur une piste fallacieuse ?

Ils ne pensaient pas se rendre coupables d’une terrible imposture, ils s’abusaient eux-mêmes, en toute bonne foi ! 

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2 – Le verdict de l’Histoire sur la faillite des vaccins

Les chiffres des statistiques officielles accessibles depuis de longues années le prouvent, les courbes le montrent : les vaccins n’ont pas éradiqué les épidémies. Bien au contraire, ils ont favorisé l’émergence de maladies nouvelles devenues plus redoutables puisqu’elles surviennent sur des sujets adultes au système immunitaire affaibli par les vaccins.

Ce que l’Histoire démontre opiniâtrement, c’est que les épidémies qui ont ravagé nos pays ont disparu sans aucun vaccin ! Il est clair que les partisans des vaccins ignorent cette réalité et on peut se demander pour quelle raison ? Pourquoi s’acharner à ne pas vouloir savoir ? Disons-le une fois de plus : ce comportement relève de la psychopathologie et des systèmes de conditionnement de l’être humain, comme on l’a démontré dans plusieurs articles auxquels je renvoie le lecteur sur mondialisation.ca (Cf., les références dans les sources ci-dessous : dossier Coronavirus)

2.1 – La peste, le choléra et la lèpre

Ainsi, en 1347, la peste noire s’installait en Europe et en 1348 elle faisait périr la majorité de la population française. Pendant des siècles, elle fit des ravages à travers le monde pour s’éteindre et disparaître totalement sans aucune vaccination. 

Le choléra allait, lui aussi, semer la terreur dans nos pays européens pour disparaître à son tour sans aucun vaccin. 

Si la vaccination contre ces maladies avait existé et avait été obligatoire durant ces périodes critiques, il est certain que les propagandistes et les fanatiques du vaccin auraient attribué cette disparition à l’efficacité des vaccins. 

L’étude rigoureuse des faits historiques, impute ces régressions à bien d’autres facteurs. La lèpre existe encore dans certains pays à l’état endémique, elle ne cause plus de ravages comme elle le fit par le passé, et les grandes épidémies ne sévissent plus. Faut-il préciser qu’il n’existe aucun vaccin contre cette maladie ?

Pour les historiens des vaccins, il suffit d’observer les courbes de déclin des maladies pour s’apercevoir que ce déclin a toujours commencé bien avant l’introduction des vaccins.

Pour attester de l’action bénéfique des vaccins, la médecine allopathique se base sur le taux d’anticorps obtenu après une injection. Certes, tout antigène introduit dans l’organisme produit une réaction. La plupart du temps, le système immunitaire exprime cette réaction par la production d’anticorps, mais leur présence ne prouve pas qu’ils vont immuniser l’individu. Leur augmentation signifie surtout un affolement des défenses immunitaires. 

Dans bien des cas, les vaccins fortifient la maladie et sont « facilitants ». Les mécanismes engagés dans le corps se trouvent souvent débordés, provoquant des combinaisons anticorps/antigène, appelées « complexes immuns » ; ces combinaisons restent en circulation dans l’organisme, provoquant des maladies graves. Quant à la durée de vie produite par un antigène vaccinal, elle est considérablement plus courte que celle des anticorps naturels.

La vaccination met en jeu des mécanismes très différents de ceux qui sont activés par une intrusion virale naturelle.

Les vaccins sont des facilitateurs de l’émergence d’autres maladies, parce que le terrain immunitaire est affaibli. A cause de ce phénomène d’immunodéficience, provoqué par le vaccin, le terrain se laisse plus facilement assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents.

Mirko D. Grmek, professeur d’histoire de la médecine à l’Ecole des hautes études, donne au phénomène émergent d’une maladie qui disparaît ensuite d’elle-même, le nom de « pathocénose ». 

La « pathocénose » explique l’apparition et la disparition naturelles d’une épidémie. 

« Ainsi, la vaccination antivariolique a rendu plus virulent le bacille de Koch, ce qui explique le fléau de la tuberculose au XIXe siècle. La vaccination contre la diphtérie couplée avec la vaccination anti-coqueluche a rendu virulent le virus de la polio, aussi a-t-on eu des pics épidémiques quelques années après la vaccination systématique contre la diphtérie. Le vaccin contre la polio accompagné du cocktail prévu par le calendrier vaccinal a contribué à l’effondrement du système immunitaire et à l’installation d’un syndrome d’immunodéficience acquise. » (Cf., Sylvie Simon, paru dans le magazine Nexus, mars-avril 2013, n°85)

2.2 –  Narcolepsie, Alzheimer, maladie de Guillain-Barré, cancers, myofasciites à macrophages, syndrome des antiphospholipides…

Les vaccins comme les antibiotiques diminuent la résistance naturelle du terrain, transformant ce terrain en y favorisant la cancérisation. Habituellement, les médecins convaincus de « l’évidence des bienfaits du vaccin » considèrent qu’un enfant vacciné ne développant pas telle ou telle maladie est donc « immunisé », alors que la réalité est bien différente : il est nettement plus juste de dire qu’il n’a plus la force de réagir. Les maladies chroniques s’installent chez ceux qui ont un niveau d’énergie, trop bas. Ils ne font pas de réactions fortes parce que l’organisme est affaibli de l’intérieur.

Harris Coulter, un spécialiste américain de l’histoire des vaccinations, dans son livre « Vaccination, social violence and criminality », dit que toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. Ce phénomène provoque une détérioration des gaines de myéline dans le cerveau. Ces transformations pathologiques conduisent à des handicaps divers comme les problèmes de comportement.

Aux USA, un enfant sur cinq a subi des atteintes cérébrales. Des chercheurs ont découvert une similitude entre certains virus et la structure de la myéline. Cette découverte capitale explique pourquoi nombre de maladies auto-immunes apparaissent après la vaccination : le corps ne reconnaît plus l’antigène à combattre et s’attaque à ses propres cellules, entraînant des maladies très invalidantes sur le long terme. 

Les spécialistes en immunologies s’interrogent actuellement sur les poussées épidémiques qui surviennent spécifiquement dans les populations vaccinées ! Ils parlent alors d’une « faillite de la vaccination », qui non seulement présente des effets pervers mais qui de plus, n’a jamais « éradiqué » une maladie.

Non seulement les vaccins contiennent des produits toxiques connus qui peuvent provoquer des dégâts neurologiques, mais il faut également souligner que les fabricants ne réalisent pas les mêmes études de sécurité pour les vaccins comme ils le font (pas toujours !) pour les autres médicaments.

Depuis l’affaire des effets secondaires désastreux observés à la suite des « vaccins anti-covid-19 », un nombre alarmant d’études scientifiques a mis en lumière les dangers des vaccins en général.

Il ne s’agit pas d’alertes provenant des milieux dits « complotistes », mais de la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes sérieux sur l’opportunité des vaccins.

Le British Medical Journal, publiait le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 : Pandermix, avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que la règle bénéfice/risque ne soit venue approuver l’utilité du vaccin. Une association a également été repérée entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré.

Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus et le cancer du col de l’utérus, est pointé par l’association Sanevax, car ce vaccin est relié à 29 003 effets secondaires graves et au moins à 130 décès connus.

Les historiens des vaccins savent aujourd’hui que le vaccin contre l’hépatite B, tue des cellules du foie, alors qu’il a été conçu pour protéger contre une maladie du foie. Le 21 novembre 2012, le Conseil d’Etat français a reconnu que l’aluminium dans le vaccin contre l’hépatite B, avait été la cause d’une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffrent des milliers de personnes qui ont été vaccinées contre l’hépatite B.

Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques, même à faibles doses, comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l’aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol et aujourd’hui, au sujet du vaccin anti-covid, l’oxyde de graphène. (Concernant cette dernière substance, on y reviendra plus tard). On imagine les effets que peuvent avoir ces substances sur des enfants en pleine croissance.

Ces molécules sont des adjuvants destinés à stabiliser les vaccins ou à renforcer leur efficacité en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s’emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.

Le lien a été établi aujourd’hui entre l’aluminium des vaccins et la maladie d’Alzheimer, mais aussi du cancer du sein, la maladie d’Alzheimer étant une nouvelle maladie apparue après-guerre et suite aux campagnes de vaccinations.

Ces effets indésirables sont, bien entendu, présentés par les « autorités médicales » et la grande presse aux ordres du système, comme mineurs au regard des bénéfices obtenus par les vaccins. 

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3 – Le cas particulier de l’autisme

L’autisme se manifeste en général au cours des trois premières années, période pendant laquelle les enfants subissent de nombreuses vaccinations. Les cas d’autisme se sont multipliés depuis une trentaine d’années. Après la généralisation du vaccin diphtérie-Tétanos-coqueluche et l’arrivée du vaccin contre la rougeole, les consultations pour des cas d’autisme ont explosé, et elles ont décuplé avec l’introduction du ROR et du vaccin anti-hépatite B. On peut présumer d’une large prolifération de l’autisme avec les 11 vaccins devenus obligatoires sous Macron et sa ministre de la santé réputée avoir été la plus grande représentante historique des laboratoires : Agnès Buzyn, aujourd’hui passant sa vie devant les tribunaux.

Comment se fait-il qu’on n’ait pas cherché à approfondir les études sur ces coïncidences temporelles ? Comment se fait-il que les pouvoirs discréditent toute étude sérieuse mettant en cause la toxicité des vaccins alors qu’ils tiennent compte et plébiscitent certaines études simplistes et non rigoureuses pour les promouvoir ? Pourquoi les accidents relèvent-ils toujours de coïncidences ?

En fin 1990, les sels d’aluminium sont déclarés, par les chercheurs du monde entier, responsables des autismes, de la sclérose en plaques, de la myofasciite à macrophages, cette dernière maladie ayant été signalée pour la première fois en 1998. Le professeur Romain Gherardi publiait les résultats de ses recherches en 2016 : « Site NIH de la National Library of Medicine, 28 novembre 2016 ». Le professeur confirmera encore la conclusion de ses recherches en avril 2001 dans le mensuel « Alternative Santé l’Impatient » : « sur 50 malades, 85% d’entre eux avaient reçu le vaccin de l’hépatite B et 15% des autres restants avaient reçu récemment le vaccin anti-tétanos. L’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) niait le rapport qui existe et qui a été démontré entre l’injection contenant de l’aluminium et les troubles graves étudiés par le professeur Gherardi.

Les conséquences dramatiques de ces vaccinations allaient opposer les experts devant les tribunaux. L’Etat reconnaissait enfin sa responsabilité. Un arrêt du Conseil d’Etat de mars 2007, allait permettre l’indemnisation de 150 victimes des vaccins. Le nombre peu élevé de contaminés aujourd’hui ne justifiant pas la vaccination de masse. 

L’opinion publique manipulée, attribue toujours un mérite inexistant aux vaccins qui nous protégeraient de nombreuses maladies infectieuses et pensent encore à ce jour qu’ils ont éradiqué toutes les épidémies décimant autrefois nos pays : le typhus, la diphtérie, la coqueluche, la scarlatine, la tuberculose, la méningite, le tétanos et, bien entendu, les maladies infantiles, la rougeole, les oreillons, la rubéole, etc.

4 – Selon les documents historiques, la vaccination est bien une fiction

Se reporter au dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivants.

La vérité scientifique et historique démontre qu’il s’agit d’une pure fiction.

Toutes ces maladies que l’on vient d’évoquer avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l’on introduise les vaccins. Disons-le et répétons-le : c’est l’amélioration des conditions de vie, de l’hygiène, de l’eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent la disparition de ces maladies.

4.1 – La Diphtérie

Dans le début des années 1900, en Espagne, il y avait encore 5 000 morts par an de diphtérie. Puis ce chiffre est tombé à 81 en 1964, l’année où la vaccination obligatoire fut introduite.

En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L’année suivante, il y eut 15000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la guerre !

En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an au cours de la Première Guerre mondiale. Les nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, puis 250 000 en 1945. Ce qui démontre que ce sont les conditions de vie, les situations d’hygiène, de nutrition, qui expliquent les épidémies… Après la guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie passa à 800 en 1972. Les cas sont rares aujourd’hui, mais repartent à la hausse dans les milieux défavorisés des réfugiés sans logis et autres victimes du désastre économique actuel malgré les vaccins …

Tous les chiffres répertoriés par les historiens indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (crise économique, chômage endémique, existence sous le seuil de pauvreté, guerre), et que les campagnes de vaccination sont impuissantes à enrayer ce phénomène.

L’Histoire souligne que chaque retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s’accompagne d’un recul des maladies, jusqu’à leur disparition complète.

Le scandale dans tout cela, c’est que des gouvernements imposent la vaccination systématique de la population pour des maladies devenues inexistantes : c’était le cas de l’Espagne en 1964 et de l’Allemagne en 1939.

Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.

Les traitements sérieux reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu, élève du Pr Delbet. Le Dr Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie. Le Pr. Delbet voulut présenter ce rapport à l’Académie de Médecine.  Mais le réflexe sectaire du corps médical, toujours enfermé dans sa croyance fétichiste du vaccinalisme, refusa de remettre en cause le dogme de l’infaillibilité vaccinale. 

Dans une lettre au Dr Neveu, en date du 16 novembre 1944, il écrivait : « La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’Académie a trouvé après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations. »

Voilà un exemple flagrant de mensonge par omission : les chercheurs indépendants qui trouvent des solutions efficaces et peu coûteuses, mais qui s’écartent du narratif mensonger officiel, sont condamnés au silence. Il ressort de ce rapport que l’Académie de Médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins. Voilà qui donne une idée des puissants intérêts qui dictent la conduite de tout ce qui représente l’autorité sanitaire du pays. On peut tout à fait parler de pratiques criminelles des autorités sanitaires, en toute impunité. Les braves gens peuvent crever, cela laisse indifférent les responsables, car la loi de l’argent, des intérêts, des profits dépassent de loin la vie des personnes considérées comme des « inutiles », des « substituables », « ceux qui ne sont rien »…

4.2 – La Typhoïde, la Coqueluche et la Scarlatine

La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5000 à 7000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole, à partir de 1937, fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu’il y ait eu de campagne de vaccinations.

Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d’enfants de moins de 15 ans, contre 1 500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.

En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).

La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu’il n’y ait jamais eu de vaccin.

4.3 – ROR

En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéole) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3 756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en 1982 !

Pouvoirs publics, médecins, et médias persistent à répéter la même rengaine : « Le vaccin reste la meilleure protection contre la maladie et cette maladie est fréquente et parfois mortelle », alors que c’est foncièrement faux : les rougeoles sont rarissimes et parfaitement bénignes en Europe, dans les familles qui nourrissent correctement leur enfant.

Les mensonges dénoncés ici concernent le monde entier. Ainsi, lorsque débutèrent les premières vaccinations ROR au Japon, le Ministère de la santé signala les effets indésirables dans un cas sur 200.000. Quelques années plus tard, ayant « révisé » les chiffres, le même ministère annonçait un accident pour 3000 vaccinés. Les statistiques ayant été à nouveau « révisées », il fut reconnu un accident pour 1 300 vaccinés, chiffre étrangement différent de ceux précédemment publiés.

Mais en France, nous n’avons aucun problème avec le ROR et l’on continue à administrer ce vaccin en l’exigeant même pour l’admission en crèche. Dans le domaine du mensonge, nos « experts » restent les champions du monde ! Quand demandera-t-on des comptes à ces responsables de la santé publique en rappelant leurs irresponsabilités, demande le Professeur Jacques Testart, biologiste réputé ?

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Voir notre page : « Coronavirus, guerre contre l’humanité », mise à jour depuis 2019

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Dictature technotronique : la promotion de la grille de contrôle planétaire via les « villes quart-d’heure »… Une réalité en marche ? (Children’s Health Defense)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, crise mondiale, guerres hégémoniques, neoliberalisme et fascisme, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologie, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , on 25 février 2023 by Résistance 71

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La “ville quart-d’heure” : une solution climatique ou une excuse pour toujours plus de contrôle ?

Les partisans de la « ville du quart d’heure » affirment qu’elle permettra de réduire les émissions et d’améliorer la qualité de vie des habitants, mais les détracteurs de ce concept, soutenu par le Forum économique mondial, estiment qu’il est discriminatoire et qu’il conduira à des « enfermements climatiques ».

Brenda Baletti

8 février 2023

Url de l’article en français :

https://childrenshealthdefense.org/defender/la-ville-du-quart-dheurs-une-solution-pour-le-climat-ou-juste-une-excuse-pour-plus-de-controle/?lang=fr

La “ville du quart d’heure” (15-minute city) a fait les gros titres ce mois-ci, en raison de la controverse suscitée par le projet du conseil du comté d’Oxfordshire, au Royaume-Uni, de mettre à l’essai des “filtres de circulation” pour réduire l’utilisation de la voiture dans le cadre de la stratégie de développement 2040 de la ville d’Oxford.

Selon le plan de filtrage, l’Oxfordshire sera divisé en six districts. À partir de 2024, les habitants pourront conduire dans leur quartier, mais les caméras de reconnaissance des plaques d’immatriculation infligeront une amende de 70 £ aux voitures privées qui passeront un filtre sans permis. Les véhicules tels que les vélos et les transports publics seront exemptés.

Les résidents peuvent demander un permis pour traverser les filtres jusqu’à 100 jours par an, et les résidents vivant en dehors des zones peuvent demander un permis jusqu’à 25 fois par an. Les filtres seront en vigueur tous les jours de 7 heures à 19 heures.

Le conseil de comté a déclaré que le plan ne vise pas à contraindre les habitants à rester dans leur quartier, mais plutôt à lutter contre les embouteillages en “faisant de la marche, du vélo, des transports publics et partagés le premier choix naturel”.

Les détracteurs du plan ont recueilli des milliers de signatures sur des pétitions d’opposition. Le plan a également suscité plusieurs protestations, les travailleurs locaux s’exprimant dans la presse.

Pour les travailleurs concernés qui traversent quotidiennement plusieurs quartiers pour se rendre au travail, le conseil leur a suggéré d’utiliser un itinéraire moins central, comme les périphériques situés à l’extérieur du centre-ville.

Les critiques de la communauté ont souligné que cette solution ajouterait du temps et de la pollution, ce qui est contraire à l’objectif du plan de lutte contre le changement climatique.

Le conflit autour de ce plan a pris une dimension internationale. Des personnalités de premier plan, comme l’auteur à succès Jordan B. Peterson, ont tweeté que le plan était la “pire perversion imaginable” de l’idée que les villes doivent être praticables à pied, et Piers Corbyn s’est rendu à une réunion du conseil municipal d’Oxford pour protester. Des membres du conseil municipal ont déclaré avoir été harcelés.

De grandes organisations médiatiques, dont The Guardian, Reuters, PolitiFact, USA Today, The Times et la BBC, sont intervenues pour soutenir la politique locale et discréditer toute dissidence en la qualifiant de “théorie du complot”, en soulignant certaines affirmations en ligne exagérées selon lesquelles les gens seraient confinés de force dans leur quartier.

Mais le concept de la ville 15 minutes a suscité l’inquiétude du public au-delà d’Oxford, notamment parmi le nombre croissant de personnes concernées par les propositions politiques promues par le Forum économique mondial (WEF) qui impliquent une mise en œuvre généralisée de politiques environnementales et urbaines descendantes, comme on peut le voir sur Twitter, dans de nombreux articles et dans des vidéos.

Les membres du WEF ont discuté de nombreuses politiques de ce type lors de la réunion de janvier à Davos.

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« Bonjour, je m’appelle Hal… »

Qu’est-ce que la ville du quart d’heure ?

Pendant les fermetures et enfermements pour la pandémie de COVID-19, les médias grand public, les urbanistes, les Nations unies et les promoteurs, dont beaucoup ont des liens avec le Forum économique mondial, ont commencé à promouvoir la “ville 15 minutes”, une nouvelle proposition urbaine selon laquelle les villes devraient être redessinées en micro-cités décentralisées où les gens pourraient satisfaire leurs besoins en matière de vie, de travail et de loisirs dans un rayon de 15 minutes autour de leur domicile.

Le terme a été inventé par Carlos Moreno, professeur à l’université de la Sorbonne, également connu comme l’un des pionniers de la “ville intelligente” – une ville dotée d’une capacité étendue de surveillance numérique par intelligence artificielle (IA).

M. Moreno a popularisé pour la première fois l’idée de la ville du quart d’heure, qui est souvent liée à la ville intelligente, dans une conférence TED d’octobre 2020.

Les défenseurs de la ville 15 minutes affirment que le concept de quartier autosuffisant est ancien et que c’est ainsi que les villes étaient imaginées avant l’arrivée des voitures.

C’est en grande partie le but recherché, selon les partisans du concept qui affirment que la réduction des émissions de carbone pour ralentir le changement climatique est au cœur du concept de la ville en 15 minutes.

Building (cities) back better ? Reconstruire [cities] mieux ?

En mars 2021, le Guardian a rapporté que les lockdowns ont entraîné une baisse sans précédent de 7 % des émissions de carbone en 2020, du moins dans les pays à revenu élevé. L’article mettait en garde contre un rebond rapide des taux d’émissions lorsque les fermetures ou confinements prendraient fin.

Une baisse équivalente des émissions serait nécessaire tous les deux ans pour rester dans les limites de sécurité du réchauffement climatique, selon Corinne Le Quéré, Ph.D., auteur de l’étude citée dans l’article et collaboratrice du WEF.

Dave Reay, Ph.D. et titulaire d’une chaire de gestion et d’éducation en matière de carbone à l’école des géosciences de l’université d’Édimbourg, a déclaré au Guardian qu’il incombait aux pays de “reconstruire en mieux” – un slogan du WEF.

Différents acteurs mondiaux ont commencé à présenter la ville 15 minutes comme le moyen d’y parvenir “pour réduire les émissions et améliorer la qualité de vie des résidents”, selon les termes de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC).

L’Institut Aspen a organisé un panel sur ce concept. La pandémie a créé une opportunité, ont-ils affirmé, de redessiner les villes :

“L’innovation naît souvent d’une crise, et l’évolution des villes ne fait pas exception à cette règle. Les urbanistes, les promoteurs, les dirigeants civiques et les entrepreneurs ont l’occasion de saisir ce moment d’incertitude pendant la pandémie de COVID-19 et de réimaginer la vie urbaine.”

Mike Haigh, alors directeur général de la société de conseil Mott McDonald et aujourd’hui président du groupe des gouverneurs des industries de l’infrastructure du Forum économique mondial (WEF), s’est exprimé sur la ville de 15 minutes lors d’un panel du WEF en septembre 2021 :

“Je pense que le COVID a fait la différence. Les gens parlent des pandémies comme de grands accélérateurs de tendances qui se produisaient déjà. Si vous pensez à l’urgence climatique… ces choses se sont toutes accélérées au cours des 18 derniers mois, donc c’est bien parce que je pense qu’il y a un vrai moteur pour la ville de 15 minutes.”

La CCNUCC a proposé ce concept comme un modèle puissant de “vie post-COVID” pour aider à atteindre les objectifs climatiques de l’Accord de Paris.

Et en mars 2022, le WEF a publié un article affirmant que le modèle serait essentiel pour faire face aux chocs causés par “le changement climatique et les conflits mondiaux”.

La pandémie a donné à l’idée une nouvelle pertinence, a déclaré Lisa Chamberlain, auteur du WEF, en faisant référence aux fermetures.

Elle a averti que la mise en œuvre de cette idée nécessiterait des sacrifices, ou une “destruction créative provoquée par une révolution technique”, mais que les villes qui ne se redessinent pas de cette manière “auront de sérieuses difficultés”.

Chamberlain a situé les racines des principes de la ville en 15 minutes dans le concept d’”eutopie” du 19e siècle, selon lequel une ville est un “bon endroit” sans “salaires d’argent”.

Les médias et les blogs de recherche universitaire du monde entier ont publié des articles sur les avantages de la ville du quart d’heure et ont même abordé certaines critiques potentielles.

Par exemple, alors que l’image “vivre-travailler-jouer” de la ville en 15 minutes peut évoquer les idées de l’élite économique, des urbanistes comme Robert Steuteville affirment qu’en fait, ce sont les personnes à faibles revenus qui bénéficient le plus de la proximité des équipements.

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A nazi, nazi et demi…

Qui est à l’origine de la campagne en faveur de la ville 15 minutes ?

La plupart des articles décrivent la ville 15 minutes comme un mouvement, une idée de la population qui a émergé de la pandémie, mais leurs données sont largement autoréférentielles.

L’article de Chamberlain sur le WEF présentait une analyse des tendances de recherche sur Google comme preuve de son affirmation selon laquelle l’idée était “plus qu’une mode”, affirmant :

La ville 15 minutes est passée du statut de “bienvenue” à celui de cri de ralliement. … La pandémie a créé une urgence autour de l’urbanisme équitable qui a mis de côté les discussions sur les pistes cyclables et autres ‘commodités’ qui ont agité les communautés pendant des années.”

Des médias grand public comme Forbes ont cité l’article du WEF comme preuve de ce nouveau mouvement.

Un article publié la semaine dernière par le World Resources Institute parle d’un “mouvement mondial”, citant des preuves que les maires du monde entier mettent en place des plans pour une ville 15 minutes.

Cette idée est fortement encouragée par des organisations de planification comme le Congress for the New Urbanism.

Les efforts visant à piloter la ville 15 minutes dans la pratique sont en grande partie dirigés par le groupe C40 Cities Climate Leadership, composé de 96 maires de villes du monde entier, financé par de grandes entreprises et des fondations philanthropiques et axé sur l’activisme urbain pour le changement climatique.

Le groupe a été fondé en 2005, par le maire de Londres, et en 2006, il a fusionné avec la Clinton Climate Initiative.

C40 Cities travaille également en étroite collaboration avec le promoteur Arup Group, une organisation affiliée au WEF, pour créer des plans de développement visant à réaménager des bâtiments “durables” ou “net zéro” afin de résoudre le problème du changement climatique.

En juillet 2020, le groupe a publié un cadre permettant aux villes de “reconstruire mieux”. L’organisation promeut le modèle de la ville du quart d’heure comme une nouvelle feuille de route pour un monde post-pandémique.

En septembre 2022, C40 Cities a annoncé qu’elle s’associait à un promoteur, Nordic Real Estate Partners – une société de développement danoise dont les actifs s’élèvent à 18 milliards d’euros – et à ONU-Habitat pour apporter la preuve de concept des politiques de “ville 15 minutes” en mettant en œuvre des projets pilotes de quartier dans au moins cinq villes.

Des villes comme Paris, Madrid, Milan, Ottawa, Seattle et Vancouver font partie de celles qui ont déclaré leur intention de transformer leur ville en un modèle de ville 15 minutes.

Melbourne a adopté un plan stratégique à long terme pour les quartiers de 20 minutes.

Récemment, le nouveau maire de Cleveland, Ohio, a annoncé, avec le soutien du service de développement de la ville, un groupe de défense des cyclistes et de promoteurs immobiliers, que la ville “s’efforce d’être la première ville d’Amérique du Nord à mettre en œuvre un cadre d’aménagement urbain en 15 minutes où les gens – et non les promoteurs, mais les gens – sont au centre de la revitalisation urbaine”.

D’autres conseils municipaux dans tout le Royaume-Uni ont également annoncé qu’ils allaient étudier ou mettre en œuvre des plans de ville 15 minutes.

Une ville où l’on peut marcher et où les commodités sont proches de chez soi, quel pourrait être le problème ?

Dans un récent épisode de “The Corbett Report“, James Corbett a déclaré :

“Il faut reconnaître les mérites des planificateurs technocrates de la future technate. Ils sont passés maîtres dans l’art de prendre des idées qui, détachées de tout le contexte dans lequel elles sont placées, pourraient être une bonne idée.

“En fait, si je devais créer une communauté intentionnelle, je voudrais probablement la créer autour de l’idée que tout est accessible et proche et que vous n’avez pas besoin de compter sur une grande infrastructure pour obtenir vos courses qui viennent de l’autre bout du monde.

“Ouais, avoir une ville en 15 minutes, ça sonne bien.”

Le problème, selon lui, est que le concept n’est pas fondé sur les principes démocratiques qui veulent que les gens décident ensemble ou se mettent d’accord sur une idée.

“Non, nous parlons de conseils municipaux qui commencent à prendre le contrôle et à contenir les gens dans des espaces soigneusement contrôlés”, a déclaré M. Corbett.

Certains urbanistes, même au sein de la nouvelle école de pensée urbaniste, associent le concept à l’histoire des approches urbanistiques descendantes qui excluent les marginalisés.

Lors de la conférence CityLab 2021, organisée par Bloomberg Philanthropies et l’Aspen Institute, Jay Pitter, un concepteur urbain basé à Toronto, a fait le commentaire suivant :

“Je suis un champion de l’hyper-local, car il est certain que nous avons besoin de villes plus résilientes et résistantes au changement climatique. …

“Cependant, je suis opposé à ce concept. Il ne tient pas compte des antécédents d’iniquité urbaine, intentionnellement imposés par des approches de planification technocratiques et coloniales, telles que les quartiers ségrégués, les profondes inégalités en matière d’équipements et la police discriminatoire de nos espaces publics.”

M. Pitter a déclaré que de nombreuses communautés marginalisées s’opposent à des idées comme celle-ci, car elles conduisent à de nouveaux déplacements forcés.

Même Richard Florida – qui a inventé le concept de planification de la “ville créative” qui a stimulé la gentrification dans le monde entier au cours de la dernière décennie – a prévenu que les plans de ville 15 minutes dans les grandes villes du monde risquaient davantage d’exacerber les inégalités existantes que de les résoudre.

M. Moreno a reconnu que les distances que la plupart des membres de la classe ouvrière doivent parcourir pour travailler constituent un défi majeur pour la ville en 15 minutes.

Et puis il y a les gens eux-mêmes.

Selon Politico, la maire de Paris, Anne Hidalgo, a été saluée à l’échelle internationale, remportant des prix pour son leadership dans la lutte contre le changement climatique et figurant sur la liste du Time des 100 personnes les plus influentes en 2020.

Mais elle a dû faire face à la réaction des Parisiens qui l’accusent de détruire le patrimoine de la ville et de perturber leur vie en soutenant le concept de la ville 15 minutes.

Les analystes qui ont critiqué le programme à Oxford ont soulevé des inquiétudes concernant le concept de manière plus générale. Ils ont averti que l’inspiration du concept dans les lockdowns, qui ont été à l’origine d’une dévastation sociale et économique généralisée et de nouvelles formes de contrôle social, devrait nous inquiéter.

Ils soulignent que, si le concept de “verrouillage climatique” semble “ridicule”, des articles publiés dans des publications telles que “How ’15-minute cities’ will change the way we socialise” de la BBC, qui célèbrent la vie en vase clos et l’associent à des avantages pour le climat, suscitent des inquiétudes.

D’autres ont dit : “Les villes de 15 minutes qui sont vantées ressemblent beaucoup à une excuse pour plus de contrôle.”

M. Corbett a fait valoir que le concept de ville 15 minutes fait partie d’un plan directeur :

“Les gens sont regroupés dans ces villes de 15 minutes, de sorte que lorsque les maîtres aimants de la techne vous y autorisent, vous pouvez voyager d’une petite ville de 15 minutes à une autre, si votre score de crédit social est suffisamment élevé.

“Il ne s’agit pas de sauver la terre comme je l’ai dit 8 millions de fois… C’est exactement la façon dont ils créent l’infrastructure pour les verrouillages climatiques du futur…

“Il s’agit de cette vision à long terme de l’avenir dans laquelle nous serons mis dans un enclos dans ces petites villes.”

Le “verrouillage du climat” est un autre terme souvent rejeté comme “théorie du complot” dans les médias grand public.

Mais plusieurs organisations, dont le Conseil mondial des entreprises pour le développement durable (WBCSD), ont fait circuler l’idée qu’un “verrouillage du climat” pourrait être nécessaire pendant plusieurs années.

Ils ont fait la promotion d’un article écrit par Marian Mazzucato, Ph.D., professeur à l’University College of London et collaboratrice du WEF. suggérant que des “fermetures climatiques” pourraient devenir nécessaires pour faire face à l’”urgence climatique” qui se profile.

Le WBCSD est un partenaire du groupe Arup, affilié au WEF, qui lui apporte son soutien. Arup et le C40 sont partenaires depuis plus de dix ans dans leur projet de refonte des villes. La ville 15 minutes fait partie de ce projet.

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Voir notre dossier « Dictature Technotronique »

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

stop-cop-city-solidarity
Stop à la ville flic… écrasons l’État

Le muselage de la créativité humaine

Posted in actualité, altermondialisme, autogestion, coronavirus CoV19, crise mondiale, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et social, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologie, société des sociétés, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , on 9 février 2023 by Résistance 71

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Que faisons-nous de notre créativité ?

Marie-France de Meuron

3 février 2023

Source : https://www.mondialisation.ca/que-faisons-nous-de-notre-creativite/5674649

Note de R71 : Article directement complémentaire de notre analyse “Technologie et conscience politique dans l’impasse étatico-marchande” publiée le 6 février

La créativité est une capacité inhérente à l’être humain. Il ressort du libre-arbitre de chacun d’en faire usage un peu, beaucoup… ou passionnément !

Qu’observons-nous actuellement dans les différents domaines de la vie personnelle, scolaire, sociale, professionnelle ? Quelles influences notre créativité subit-elle ?

Une tendance très mentale incite à focaliser dans une direction très précise, comme on le voit avec les microscopes qui permettent des perceptions très fines mais qui suscitent une distanciation de la réalité globale. À l’inverse, on dirige toute l’attention sur un thème vaste, ce qui évince alors d’autres éléments concomitants et provoque par conséquent, de lourds déséquilibres.

C’est la mode actuellement et les exemples foisonnent :

« Séquencer l’ADN des nourrissons : quand la chasse aux maladies rares fait vaciller la vie privée »

« Plusieurs plans de séquençage ADN de nouveaux-nés ont été lancés dans le monde, dont plusieurs en Europe. Imaginés pour lutter contre les maladies rares, ils posent aussi plusieurs questions éthiques. C’est le temps des premières tétées et des premières nuits à la maternité. À la naissance, les parents sont centrés sur les premiers soins et les premières évaluations médicales de leur nouveau-né. Pourtant, dans certains pays, des tests très poussés sont réalisés pour essayer de prédire le futur de ces enfants. À peine nés, les bébés se voient prélever de l’ADN afin de séquencer l’entièreté de leur génome ». Ainsi, on constate que cette démarche peut prendre une envergure dont on ne tient pas compte alors que la créativité se restreint à un but : « L’idée est de partir à la recherche de maladies qui pourraient se déclarer plus tard. Entre bénéfices pour la santé et enjeux éthiques, la pratique pose plusieurs questions ».

À une bien plus grande échelle, nous avons été plongés dans ce que d’aucuns ont qualifié de coronafolie. Un professeur d’économie émérite et une activiste pour la santé intégrative nous décrivent à quel point la créativité a été dévoyée de manière à en perdre le sens de l’équilibre  :

« Les confinements coronavirus, le vaccin et l’endettement planétaire »

« Dans une entrevue, le professeur retrace l’histoire de la crise Covid-19 qui a débuté en janvier 2020, en passant par plusieurs phases : verrouillage, effondrement des marchés boursiers, mandats de vaccination, pour aboutir trois ans plus tard, début 2023, à une dette mondiale sans précédent et à la plus grave crise économique et sociale de l’histoire mondiale.

Cette crise fabriquée, fondée dès le départ sur des mensonges et de la pseudo-science, a contribué, via les lockdowns [verrouillage] et le vaccin, à déstabiliser le tissu économique et social de pays entiers ». Voilà une illustration patente qu’un processus de fabrication se distingue d’un processus créatif !

Un acteur, réalisateur et scénariste français, par conséquent porteur d’une ample expérience de vie, dénonce pleinement la crise insensée que nous vivons. Il exprime brillamment dans une vidéo, « une longue réflexion, lue face caméra chez lui, sur ce que la pandémie révèle du pays qui est le nôtre, la France, sixième puissance mondiale empêtrée dans le dénuement (sanitaire), puis le mensonge (gouvernemental) et désormais la colère (citoyenne) ».

Par là, il démontre que sa créativité évolue avec les besoins humains actuels. Il exprime son ressenti profond : « Nous qui en l’an 2000 pouvions nous enorgueillir d’avoir le système de santé le meilleur du monde, avant d’avoir la folle idée que la santé devait être rentable puisque tout désormais devait être marchandise, jusqu’à la vie des hommes ».

Que reste-t-il du pouvoir créateur de chaque individu lorsque de plus en plus de domaines dépendent de l’intelligence artificielle ? Un expert en neurosciences et en géopolitique nous l’explique magistralement dans cette vidéo.

Il conclut qu’il reste toujours à l’humanité la liberté de s’affirmer :

« L’IA va broyer des gens, c’est inévitable, mais elle peut aussi relancer notre humanité en nous forçant à nous révéler tel que nous sommes vraiment ».

Il n’y a pas que l’I.A. qui nous sèvre de notre créativité. Klaus Schwab, créateur du Forum de Davos, exprime clairement : « Vous n’aurez rien et vous vivrez heureux »

« Mais que signifie cette phrase et qu’implique-t-elle pour la vie des citoyens qui semblent – malgré eux – avoir perdu la direction de leur vie ? L’emprise toujours plus importante de l’État et des entreprises dans la vie privée des personnes grâce au mauvais usage des technologies forment un carcan destiné à dépouiller les citoyens. La caste a décidé que « nous serions heureux » mais l’araignée qui piège sa proie dans une toile est davantage vouée à la mort qu’au bonheur ».

Le système médical est arrivé à un carrefour. Soit il persiste dans la même direction en s’obstinant par exemple à vacciner tout le monde alors que « Bill Gates, l’un des sponsors financiers les plus importants de la production de « vaccins », a admis que les injections contre le COVID ne préviennent pas les infections, ne fonctionnent pas contre les nouveaux variants et ne protègent pas les personnes âgées ».

Et ce qui va encore à l’inverse du but recherché, la prévention par injection génique a fait des dégâts : « Les vaccins COVID-19 entraînent plus d’événements indésirables que tous les autres vaccins majeurs combinés ».

Soit nous prenons en compte que « science sans conscience n’est que ruine de l’âme » comme le disait Rabelais, et nous comprenons que la « créativité sans conscience n’est que ruine de l’âme » !

Nous sommes confrontés au constat de « l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine que 3000 molécules sont actuellement en rupture de stock en France. C’est deux fois plus qu’il y a un an ».

« L’organisation professionnelle des entreprises du médicament en France explique les raisons de la pénurie de certains produits pharmaceutiques cet hiver : Le temps d’approvisionnement en film aluminium a doublé avec la conjoncture qu’on connaît. Et il y a tous les ingrédients qui rentrent dans la fabrication du comprimé. Beaucoup sont importés. Les délais d’acheminement ont augmenté ».

On ne peut que solliciter la créativité pour répondre à une pareille situation ! Or, ces professionnels du médicament ne voient apparemment que l’amplification de leur système :

« Et les laboratoires plaident pour une hausse des prix des médicaments. Ce n’est pas qu’on en ferait plus, c’est qu’on investirait plus. On aurait plus de chaînes de production, plus d’agilité pour aller vite, pour réagir en cas de tension”. »

Il est intéressant de souligner que « cela concerne des anticancéreux, des antidiabétiques ou encore des antalgiques ». Donc des molécules « anti », par conséquent qui obéissent à la stratégie de contrer un processus. Quand utilisera-t-on le processus de soigner le malade avant de se focaliser sur les symptômes qu’il présente ? Il est temps d’aiguiser nos capacités et de donner aux médecines alternatives et aux thérapies complémentaires leurs justes places. Autrement dit de pratiquer une médecine intégrative qui permet de chercher à couvrir au maximum les différentes dimensions d’un organisme humain. Pour cela, il est fondamental de chercher à percevoir tous les facteurs qui ont permis la « faillite » de certains organes et, à un niveau plus subtil, de comprendre le sens des symptômes et la symbolique des maladies.

Un autre constat laisse songeur : «Trois médecins sur quatre formés à l’étranger ces 10 dernières années ».

« Alors que c’est la médecine de premier recours qui manque le plus de bras dans le pays, on remarque que ces nouveaux diplômés ont achevé des spécialisations de façon disproportionnée ».

Ainsi, la médecine qui relevait d’un art il y a bien des années est devenue une technoscience médicale de plus en plus spécialisée. Et pourtant, l’art a inspiré de merveilleuses créations ! L’être humain en constante évolution n’est-il pas digne d’être animé par sa créativité afin de réaliser les mutations auxquelles son enfant intérieur aspire ?

Au niveau mondial, on peut se demander quelle place est donnée à la créativité de la population dans un régime comme celui du Crédit Social en Chine ?

« Ce reportage sur le système de crédit social en Chine montre l’évolution d’un système totalitaire basé sur la surveillance numérique permanente et instantanée de tous les gestes de la population et la notification de ceux-ci ».

Que désirons-nous vraiment ? À quoi aspirons-nous au plus profond de nous ?

Nous avons un instrument merveilleux qu’est notre créativité pour nous aider à entreprendre ce qui nous correspond ontologiquement.

= = =

Il n’y a pas de solution au sein du système ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

construction_ruines

Hommage au professeur Luc Montagnier : autisme et vaccination (Senta Depuydt)

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En hommage au professeur Luc Montagnier qui a osé parler du lien entre autisme et vaccination : la fameuse conférence censurée par le parlement européen

“La sûreté des vaccins en question”, conférérence Bruxelles, février 2017

Senta Depuydt

Février 2023

Url de l’article original :

https://sentadepuydt.substack.com/p/en-hommage-au-prof-montagnier-qui?utm_source=post-email-title&publication_id=1113590&post_id=101049495&isFreemail=true&utm_medium=email

Ma rencontre avec le professeur Luc Montagnier remonte à 2015. J’étais allée le voir dans son bureau à l’UNESCO dans l’immense espoir qu’il accepte de participer au congrès ‘Sortir de l’autisme: recherche et témoignages de pratiques médicales efficaces’ que j’organisais avec le dr. Olivier Soulier. D’emblée, il m’avait posé toutes les questions délicates, en particulier celle que je redoutais ‘Que pensez-vous de la vaccination?’ A l’époque, il ne s’était pas encore exprimé sur la question et je n’avais aucune idée de son opinion. C’était ‘quitte ou double’, mais ma réponse sincère lui plût et il accepta de suite la proposition. Sa participation au congrès contribua à en faire un grand succès et permit de soulever la question de la biologie de l’autisme et des possibilités de traitements dans le monde francophone.

C’est pourquoi, je tiens à renouveler ma profonde gratitude pour le courage, l’ouverture d’esprit et le dévouement dont le professeur Montagnier a fait preuve à cette occasion… et par la suite. Très peu de personnes ont osé soulever publiquement le lien entre l’autisme et la vaccination, et dénoncé sans ambiguïté les fraudes scientifiques du cartel pharmaceutique dont des milliers d’enfants ont été victimes.

Luc Montagnier a alerté le monde sur la nécessité de revenir au principe de précaution, sur les risques liés aux vaccins, aux pesticides, à l’utilisation de téléphones portables, ou au mauvais usage de certains médicaments. Il a mené ses propres recherches avec le groupe Chronimed pour trouver des nouveaux traitements dans la prise en charge de l’autisme, de la maladie de Lyme et d’autres infections chroniques, malgré l’ostracisme qui s’abat sur toute personne engagée dans de telles entreprises. C’était un vrai chercheur.

J’appréciais beaucoup sa capacité d’écoute, sa bienveillance et son humour, qui sont les qualités propres aux grands esprits. Je le remercie sincèrement d’avoir été cette voix libre, au service de l’humanité et de nos enfants.

Pour saluer son mérite, je tiens à évoquer les circonstances de sa participation au débat ‘La sûreté des vaccins en question’, que nous avions tenté d’organiser au parlement européen et qui fit paniquer tout le cartel Pharma en février 2017.

Pressions politiques, lynchage médiatique, censure, annulation forcée, nous avons tout subi. Il faut dire que le timing était crucial. En France, la campagne électorale battait son plein avant les élections présidentielles du mois d’avril. La question des obligations vaccinales attendait d’être tranchée par le nouveau gouvernement, suite à l’avis du conseil d’Etat qui s’était penché sur l’inadéquation entre le fait d’exiger des vaccins pour trois maladies (DTP) et celui de ne mettre à disposition que des vaccins hexavalents combinant les antigènes de six maladies. Cet avis avait été rendu dans le contexte agité de la controverse autour de la sécurité des adjuvants à l’aluminium, emmenée entre autres par le professeur Joyeux. Près de 2 millions de personnes avaient signé des pétitions demandant la liberté vaccinale et selon les chiffres de l’époque, 40% des français avaient des doutes à propos de la vaccination. Logiquement, il y avait de quoi faire tomber le principe des obligations vaccinales en France.

Malgré cela, le sujet avait été complètement occulté par les médias durant la campagne et les candidats aux élections ne s’étaient que peu ou pas exprimés sur la question.

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Dernière apparition publique du Pr. Montagnier :
l’énorme manif’ de Milan contre la dictature sanitaire

En organisant un débat sur la sûreté des vaccins, ainsi que la première du film Vaxxed, de la dissimulation à la catastrophe au parlement européen, avec la députée française Michèle Rivasi, nous espérions attirer l’attention sur la question et forcer les candidats à s’exprimer. Ce fut une véritable épreuve initiatique qui nous permit de prendre conscience de l’ampleur de l’agenda mondial de la vaccination. L’annonce de l’évènement provoqua des réactions médiatiques d’une rare violence, en particulier dans la presse anglophone, au Royaume-Uni, aux Etats-Unis et jusqu’à l’Australie. Ce fut un lynchage concerté, non seulement dans la presse internationale, mais également sur les réseaux sociaux et dans les milieux scientifiques. Les groupes parlementaires (y compris les écolos) et même la ministre de la santé italienne Beatrice Lorenzin firent pression auprès du président du parlement européen pour interdire le débat. Une avalanche d’accusations, d’insultes et de menaces s’abattit sur nous. Michèle Rivasi, l’eurodéputée fut trahie par ses partenaires politiques, dans ce qui fut sans doute l’un des moments les plus éprouvants de sa carrière.

Sans imaginer l’ampleur que prendrait cette attaque massive, nous avions tout de même prévu ‘un plan B’ dans une salle privée à Bruxelles ‘au cas où’ l’évènement serait annulé au parlement. La gérante de la salle a reçu des menaces téléphoniques quotidiennes pour forcer la salle à annuler l’évènement, mais elle était plus déterminée que jamais à tenir bon. De leurs côtés les intervenants étaient chacun ciblés dans leurs pays et institutions. Plusieurs participants avaient mêmes été victimes de mesure d’intimidation. Les italiens Stefano Montanari et Antonietta Gatti, experts en nanoparticules avaient fait l’objet d’une perquisition avec saisie de documents et de matériel de laboratoire. Le prof. Chris Exley, expert mondial de l’aluminium était sous le feu des autorités académiques britanniques, et une série des tracasseries administratives l’avaient empêché de nous rejoindre.

Je n’oublierai jamais la violence et la mauvaise foi des journalistes de la BBC venus uniquement pour crucifier Wakefield, refusant d’entrer dans la salle, de voir le film, d’entendre des victimes, d’interviewer les experts ou d’assister au débat. Il s’étaient comportés comme de véritables pourritures et se souviennent peut-être de ma colère à leur égard.

Face à ce massacre médiatique et académique, certains invités s’étaient désistés.

Mais malgré tout cela, le professeur Montagnier, lui, ne nous avait pas laissé tomber. Il tenait dénoncer publiquement la fraude scientifique et les malversations de l’industrie du vaccin, et a apporté un soutien sans faille à l’un des hommes les plus calomniés de la planète. Tout cela afin de protéger la santé de nos enfants.

Voici deux documents de cette mémorable journée: l’intervention du professeur Montagnier et un extrait de la table ronde avec Michèle Rivasi, le dr. Andrew Wakefield et Stefano Montanari, expert en nanoparticules.

Qui sait, si nous étions parvenus à changer l’opinion publique à ce moment là, nous n’aurions peut-être pas connu la catastrophe actuelle…

Merci à Luc Montagnier et à tous ceux qui luttent pour l’avenir de nos enfants.

Les vidéos de la conférence de février 2017 :

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On en revient toujours là…

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Vous me suivez ?…

Démonter les mensonges et l’enfumage SRAS-CoV-2 / COVID-19 : Protéines spike et particules nano-lipidiques sont des armes biologiques, parasites à Intelligence Artificielle programmable… (Karen Kingston)

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Protéines spike : armes biologiques parasites à Intelligence Artificielle

Démonter les mensonges COVID 19 : le “nouveau” coronavirus et la “protéine spike”

Karen Kingston

Octobre 2022

Url de l’article original :

https://karenkingston.substack.com/p/part-1-dismantling-the-the-deceptions

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Janvier 2023

Note des traducteurs : L’article foisonne littéralement d’hyperliens et de photos / captures d’écran démontrant tout ce qui est avancé dans cet article. Le boulot de Karen consiste en grande partie à lire les patentes / brevets et de faire du conseil en communication pour ces boîtes pharmaceutiques. Son métier consiste à lire toute cette littérature des plus rébarbatives dans les détails. C’est au cours de son étude et analyse des différents brevets sur la nano-technologie, les NanoParticules Lipidiques (NPL), qu’elle a compris que tout était en fait écrit noir sur blanc et que la clef de l’énigme criminelle SRAS-CoV-2 / COVID-19, de l’affaire du “gain de fonction” etc, se trouvait dans la littérature des brevets et articles scientifiques publiés, déposés et publiés pour certains depuis plus de 10 ans… En voici une partie… Tout est documenté par Karen, nous laissons le soin aux lecteurs d’aller fouiller les archives par eux-mêmes depuis l’article original en anglais, même si nous en reproduisons quelques-uns. Cet article est le premier d’une série d’une dizaine d’articles sur le sujet, ils sont tous sur son site internet (voir le lien ci-dessus, cliquez sur “The Kingston Report” en haut pour aller sur la page de garde).
Quand on considère toute l’affaire COVID, preuves à l’appui, come une attaque bio-nano-technologique sur l’humanité, alors tout s’éclaire, le rideau de fumée disparaît et nous savons où nous en sommes. De là, la riposte doit venir des peuples.

A (re)lire et diffuser sans modération :

“SRAS-CoV-2 ? COVID19 et injections ARNm, guerre nano-bio-technologique contre l’humanité” (Karen Kingston, nos traductions en PDF)

Qu’est-ce qui a causé la “pandémie” COVID-19 ? Le nouveau SRAS-CoV-2 (coronavirus) a t’il causé la maladie et la mort de millions de personnes ? Ou est-ce une longue, longue histoire à dormir debout ?

Dans le cas de figure de cette histoire romanesque COVID-19, le FAIT est bien plus étrange que la FICTION. Ce qu’on nous a raconté au sujet de ce nouveau coronavirus SRAS-CoV-2, de la COVID-19 issue de ce virus, des multiples variants, de la technologie ARNm, des protéines spike mortelles et des tests RT-PCR, ressemble en fait bien plus au scenario d’un film des séries de Marvel qu’autre chose.

Si les manchettes de journaux concernant la COVID-19 en 2020 avaient été honnêtes, précises et non-frictionnelles, elles auraient du titrer quelque chose de la sorte : “Les maîtres de mal terrorisent les citoyens du monde en épandant sur nos villes et régions une arme biosynthétique nanotech à Intelligence Artificielle sous forme aérosol appelée ‘protéine spike’”.

Quoi ? Mais les maîtres du mal ne nous ont jamais dit que la très mortelle protéine spike était en fait un hydrogel magnétique à IA encapsulé dans une technologie de Particules Nano Lipidiques (PNL) utilisée pour infecter, blesser, expérimenter sur et exécuter des humains. (https://karenkingston.substack.com/p/part-8-dismantling-the-covid-19-deceptions)

Ils nous ont convaincu que le SRAS-CoV-2 ARNm produit cette protéine spike hautement toxique après que l’ARNm ait envahi les cellules dans le corps. Mais il y a un problème majeur avec cette affirmation, il y a tout un corps de preuves scientifiques disant et confirmant que l’ARNm est très instable, fragile et impuissant (c’est à dire faible et inutile, impotent dans le corps humain).

D’après un article de C&En News du 6 mars 2021 (Chemical and Engineering News), les expériences sur l’ARNm en laboratoire ont historiquement échoué parce que cette invention de l’ARNm est si fragile et instable de et par elle-même. L’article de C&En dit explicitement que “des enzymes de l’environnement et de nos corps sont prompts à pulvériser en morceau l’ARNm, rendant ces expériences en labos et la livraison de l’ARNm aux cellules très aléatoires.” Le directeur technique de Sanofi et patron de la recherche sur l’ARNm, Frank DeRosa, a dit ceci au sujet de l’ARNm : “On dit de lui [l’ARNm] que si vous le regardez de travers, il tombe en morceau…

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La Dr Kathryn Whitehead, directrice du département de chimie et d’ingénierie biologique à l’université Carnegie Mellon a exprimé sa frustration concernant es tentatives de faire des expériences sur l’ARNm hors du corps humain et a déclaré :

Dr. Kathryn Whitehead, Carnegie Mellon, “On ne voit même plus l’ARNm in vitro, je pense que c’est bien plus prone à l’information de tester l’ARNm directement dans le corps animal.”

Dans la publication peer-reviewed Nature Biotechnology en 2017 “Overcoming Cellular Barriers for RNA Therapeutics in RNA,” Les thérapies géniques, incluant celle à l’ARNm, sont incapables d’infecter les cellules, quelques cellules que ce soient, à cause de milliards d’années d’évolution des mécanisme de défenses immunitaires résultant en la double couche lipidique protectrice des cellules.

L’ARNm serait éjectée dans une non-existence éternelle (où elle appartient en fait) si ce n’était pour la technologie avancée des particules nano-lipidiques (PNL). Celles-ci permettent à la technologie de transformation génétique de l’ARNm d’envahir la double couche lipidique des cellules pour ensuite infecter, se répliquer et produire des protéines biosynthétiques et autres structures biosynthétiques à séquence instruite par l’ARNm.

Pour bien se rendre compte de la magnitude de ce pur génie malfaisant de la technologie à PNL, l’ARNm était incapable d’infecter quelques cellules que ce soient, incluant les cellules humaines, à cause d’un processus d’évolution vieux de 4 milliards d’années qui a protégé les cellules du vivant par une double couche lipidique, jusqu’à l’invention de cette technologie.

Cette technologie NPL est de la pure malfaisance. Les NPL sont aussi considérées comme des neuro-technologies de marquage biologique et des armes nanotech, qui ressemblent exactement aux protéines spike de la COVID-19.

D’après un cours donné à l’académie militaire de West Point (NdT: l’équivalent yankee de St Cyr) par le professeur James Giordano en 2018 à l’institut de Guerre Moderne, ces NPL ont été utilisés comme armes nanotech pour détourner émotionnellement et mentalement des leaders d’influence et peuvent être utilisés pour induire une pandémie de dépression ou une pandémie d’embolies, AVC et autres… (https://mwi.usma.edu/mwi-video-brain-battlefield-future-dr-james-giordano/)

Un autre mensonge que nous avons été mené à croire est que la séquence ARNm est un virus synthétique factuel pré-chargé dans les soi-disants “vaccins”. La séquence ARNm n’est pas une séquence de virus synthétique. C’est une séquence de programme informatique. La technologie des lipides nanotech opère la transformation génétique et produit les protéines spike directement à l’intérieur des cellules du corps.

Le 12 septembre 2022. Le président Joe Biden a signé un décret appelant à “une approche toute gouvernementale” pour assurer que les corps des Américains recevront une installation de technologies d’ingénierie génétique (alias les NPL) pour programmer leurs cellules de la même manière qu’on écrit un logiciel et programme un ordinateur parce que la technologie de transformation génétique a déjà été installée dans les corps de la plupart des Américains.

Nous avons été informés que la séquence ARNm SRAS-CoV-2 dans les “vaccins” produit des protéines spike qui sont de nature biologique, en d’autres termes, de nature organique. Ceci est un autre mensonge. Ce qui est produit par les NPL et les séquences programmées sont des protéines et des structures codées de manière biosynthétique et qui sont en partie biologiques et en partie technologiques, à la fois organiques et inorganiques.
(NdT :
c’est sans doute pourquoi Hydroxychloroquine et Ivermectine marchent comme remèdes, parce qu’en tant qu’anti-parasitaires, ils tuent la partie biologique de l’arme introduite dans nos corps…)

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Les NPL PEG contiennent des hydrogels magnétiques (https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1002/nano.202100139), une technologie intelligente qui est perceptive, alerte et intelligente. Les produits à hydrogels magnétiques peuvent produire des virus, des bactéries, des toxines et des organismes biosynthétiques et des organelles à l’intérieur du corps humain. Les hydrogels magnétiques intelligents peuvent aussi envoyer et recevoir des signaux par la fibre optique et les fréquences électromagnétiques.

De plus en plus de personnes sont magnétisées à cause de cette technologie d’arme nanotechnologique à IA. Les humains magnétisés ne sont pas le résultat d’un gain de fonction ARNm de virus ou de vaccins. C’est la conséquence d’armes nanotechnologiques à hydrogel magnétique et IA qui ont infiltrées le corps humain.

La séquence virale ARNm du SRAS-CoV-2 qui a été lâchée sur la planète et qui est trouvée dans les soi-disants “vaccins” serait complètement inutile et incapable d’infecter les cellules et n’a aucune capacité de produire des anticorps sans les NPL et les hydrogels magnétiques à IA. Ceci veut aussi dire que la pandémie COVID-19 était impossible sans les NPL. La COVID-19 n’a pas été causée par un gain de fonction ARNm du virus SRAS-CoV-2. La COVID-19 a été provoquée par UNE ARME NANO-TECHNOLOGIQUE A INTELLIGENCE ARTIFICIELLE…

Un autre expert connu sur l’ARNm est Ralph Baric de l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill. Il est le parrain de la recherche de gain de fonction ARNm pour les coronavirus et les protéines spike chimériques (génétiques). Il a reçu plus de 100 millions de dollars pour la recherche sur le coronavirus du NIAID / NIH de Fauci et est un inventeur nominé pour des douzaines de brevets sur les coronavirus, les protéines spike chimériques (génétiquement modifiées) et autres technologies basées sur le gain de fonction d’armes biologiques.

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Ralph Baric: gouvernance mondiale par la « vaccination »

Dans son article du 4 septembre 2015 envoyé au PNAS et intitulé :, “SAR-like WIV1-CoV Poised for Human Emergence,” Ralph Baric reconnait que ses virus à ARNm , incluant le SRAS-CoV-2, sont incapables d’une transmission signifiante d’humain à humain, s’il y a même en l’occurrence une transmission possible. 

L’article dit “Le cluster de WIV1-coronavirus (CoV)…peut occasionner des transmissions limitées dans les populations humaines… une atténuation in vivo (c’est à dire que le SRAS-CoV-2 devient très faible une fois dans le corps humain) suggère qu’une adaptation additionnelle est requise pour en faire une maladie épidémique.

En 2015, Baric a reconnu que les coronavirus à ARNm étaient anodins et inoffensifs par eux-mêmes. Il déclare de manière très claire que les coronavirus à ARNm (incluant le SRAS-CoV-2) n’ont pas “de potentiel épidémique”.

Afin de capitaliser sur ses décennies de recherche, de brevets et d’accords, contrats de royalties, Baric avait besoin de trouver une façon d’utiliser ses coronavirus à gain de fonction ARNm pour créer une arme biologique qui aurait un “potentiel épidémique”.

Baric a une équipe très soudée pour sa recherche sur les coronavirus à gain de fonction ARNm. Il est associé depuis des décennies avec Peter Daszak de l’EcoHealth Alliance, et du Dr Zhenghli Shi of the Wuhan Institute of Virology (WIV). Ce trio diabolique a créé un très grand nombre de viruses à gain de fonction ARNm transformés en armes biologiques et pas seulement des coronavirus, mais aussi des virus comme zika, ebola, la grippe, la VIH et beaucoup d’autres.

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En janvier 2018, lui et ses acolytes ont contacté notre agence militaire DARPA pour un financement au travers d’une proposition. Dans la proposition de L’EcoHealth Alliance à la DARPA, Baric et Chi étaient listés comme des membres de l’équipe d’EcoHealth Alliance développant l’arme biologique de la protéine spike par gain de fonction génétiquement modifié depuis le stock de coronavirus à ARNm que l’équipe avait déjà créé.

D’après la proposition de l’agence (militaire) DARPA, la prochaine étape de leur recherche sur les armes biologiques  se concentraient sur le comment prendre les coronavirus à gain de fonction ARNm quasiment inutiles de Baric (de sa propre admission) pour créer quelque chose de ses virus à ARNm qui serait infectieux, mortel ou qui aurait un “potentiel pandémique”.

La proposition EcoHealth Alliance / DARPA de 2018 établit clairement :

“NOUS DEVELOPPERONS DES PROTEINES SPIKE CHIMERIQUES RECOMBINANTES DE SRASr-CoV… ET LES INCORPORERONS DANS DES NANOPARTICULES.”

La proposition DARPA est une preuve supplémentaire que le virus SRAS-CoV-2 à ARNm n’a jamais été infectieux encore moins mortel. C’est la spike protéine WIV1 2-SP (littéralement baptisée du nom du Wuhan Institute of Virology WIV) qui est hautement inflammatoire et mortelle, pas le SRAS-CoV-2 ARNm virus (NdT : qui a été créé entre 2006 et 2015 à l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill, avant d’être récupéré et transformé en arme biologique par le Pentagone…) La “spike protéine” WIV1 2-SP est un produit de l’arme parasite biologique à IA, comme toutes les autres protéines spike de la COVID-19.

IMPORTANT: la protéine spike WIV1 2-SP est aussi une invention séparée du SRAS-CoV-2. Les WIV 1 2-SP et autres S-2P protéines spike sont faites en laboratoires et ont leurs propres brevets enregistrés par Barney Graham du NIAID / NIH (du Dr Fauci) et Jason McLellan de l’Université du Texas.

Dans la proposition DARPA, Daszak dit aussi qu’ils vont infecter des chauves-souris en délivrant les protéines spike dans des capsules de PNL sous la forme d’un adhésif transdermal (par la peau), un gel que les chauves-souris mangeront, un gel sur leur peau et des sprays aérosols.

L’hypothèse que la contagion originelle de 2019 et 2020 du SRAS-CoV-2 ait impliqué des attaques aerosol aux armes biologiques est plus que hautement probable.

La proposition DARPA établit qu’ils allaient infecter des chauves-souris avec “des épandeurs aerosol faits pour l’environnement en grotte et des épandages automatisés déclenchés par minuterie et par détecteurs de mouvement en des points critiques donnés de l’entrée de la grotte.”

Le SRAS-CoV-2 à ARNm ne fut jamais dangereux ni mortel, ni du reste contagieux. Je ne peux pas suffisamment insister là-dessus : CE N’EST PAS LE SRAS-COV-2 QUI A CAUSE LA COVID-19. CETTE MALADIE, LES HANDICAPS ET MORTS OCCASIONNES SONT LE PRODUIT D’ARMES BIOLOGIQUES A INTELLIGENCE ARTIFICIELLE.

La recherche de l’inventeur du virus SRAS-CoV-2 à ARNm Ralph Baric a établi que même si les humains sont infectés avec le SRAS-CoV-2 par un mécanisme de contamination construit par l’homme, la transmission d’humain à humain est prouvée être impossible. Voilà pourquoi la théorie que le SRAS-CoV-2 et la COVID19 résultante seraient dues une fuite de laboratoire est totalement invalidée.

La COVID-19 a du être une attaque intentionnelle à l’arme biologique à IA pour causer les types de blessures et de morts qui ont été rapportés dans le monde au début de 2020. Mort et blessures ont augmenté de manière exponentielle à cause de l’arme nanobiologique à IA qui se trouve dans les injections COVID-19 et circulant dans notre environnement.

Le manque totale de transmission d’humain à humain est validé plus avant par la preuve des données du monde réel du taux d’infection des personnels médicaux de l’hôpital jouxtant le marché de Wuhan. Le taux d’infection des personnels médicaux à ground zéro de la maladie a été de 0,0000%

Dans un article publié le 8 décembre 2020 dans Immunity, Inflammation, and Disease, il est établi qu’il y eut 191 personnels hospitaliers de Wuhan qui furent testés pour des anticorps au SRAS-CoV-2 par prélèvements bucco-pharyngés et par prises de sang. Tous les tests sont revenus négatifs. 222 personnels hospitaliers on reçu une radio des poumons. Toutes les radios sont revenues claires et négatives.

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Les personnels hospitaliers de Wuhan ne furent jamais infectés par la maladie. Les experts proclamant que la COVID-19 était ou est provoquée par un virus hautement infectieux firent ou font de fausses déclarations qui ne sont en rien fondées sur les preuves apportées par le monde réel.

Le CDC a intentionnellement trompé le public américain à croire que le SRAS-CoV-2 était capable de se transmettre d’humain à humain. D’après les propres données du CDC publiées le 15 décembre 2021, l’Autorisation d’Utilisation d’Urgence (AUU) donnée aux tests PCR en 2020 et 2021 ont donné des résultats de faux positifs à hauteur de 97%.

Les tests PCR autorisés en UU sont aussi efficaces à mesurer les infections au SRAS-CoV-2 que l’argent du jeu de Monopoly pourrait vous acheter une maison ou une voiture.

Les prétendus tests PCR du SRAS-CoV-2 donnés en AUU furent cruciaux en tant “qu’accessoires théâtraux” pour convaincre le public américain (et du monde) que cette histoire de la COVID-19 était une véritable pandémie.

La demande obsessionnelle des écoles pour les tests fut et demeure une forme très sombre d’abus émotionnel et psychologique.

A travers notre nation, des enfants en parfaite santé furent déclarés “malades saufs prouvés sains” et ont été soumis à une procédure répétée d’échantillonnage génétique afin qu’ils puissent se rendre à l’école et que nous savons maintenant être “de prétendus tests viraux”.

L’école de mon fils faisait partie d’une étude de recherche génétique financée de 10,3 millions de dollars par le NIH (De Fauci) et menée par GenBody, une entreprise basée en Corée du Sud. L’ADN des élèves, celle de mon fils, ont été envoyée en Corée du Sud sans aucun consentement ou permission des parents, tout cela au frais du contribuable américain.

J’espère que ceci clarifie une bonne fois pour toute que tous ces tests PCR faits dans les écoles n’eurent jamais pour but la santé et la sécurité des élèves et des personnels. Le but était de collecter des données génétiques de ce trésor le plus important que possède l’Amérique, nos enfants, afin de les envoyer dans une nation étrangère pour continuer à développer toujours plus d’armes biologiques contre l’Amérique (NdT : et le monde… pourquoi tant de biolabs militaires yankees disséminés dans le monde, par exemple plus de 20 de ces labos rien qu’en Ukraine aux portes de la Russie ?..)

Le test PCR fut le parfait ustensile de théâtre pour convaincre les Américains (et le monde) qu’il y avait un tueur invisible qui d’abord… discriminait et ciblait les “humains non vaccinés”.

Plus tard, dans cette histoire COVID-19, le tueur invisible SRAS-CoV-2 pouvait frappé de manière indiscriminée les humains injectés ou non, de tous âges, sans test et sans prévenir.

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Les « tests » sont des collecteurs de données génétiques (ADN)

Les tests PCR devenus obsessionnels ont augmenté préoccupation et peur au sujet de la COVID-19 jusqu’à un état de stupeur paranoïaque.

Plus de deux ans plus tard, après le début de cette histoire COVID-19 aux Etats-Unis en mars 2020, nous commençons à regarder le documentaire, “L’histoire COVID-19 de l’intérieur”. Nous voyons et comprenons que le virus à ARNm SRAS-CoV-2 n’était non seulement pas mortel ni infectieux, mais fut aussi une histoire fictive pour nous distraire de la véritable histoire, celle de ces armes parasites biot-echnologiques lâchées sur l’humanité.

Pourquoi donc les leaders et influenceurs se focalisent-ils sur le narratif au sujet d’un virus respiratoire, de variants et des risques de protéines biologiques produites par des “vaccins” à ARNm, que nous savons maintenant être des armes biologiques ? Les experts ne voient-ils pas la preuve et l’évidence que les gens sont magnétisés ? No voient-ils pas les gens souffrir de bizarres attaques sur leur système nerveux central et sujets à des hallucinations ?

Lorsque des scientifiques et des ingénieurs documentent de la nanotechnologie qui s’auto-assemble depuis les fioles de “vaccins” qu’ils ont reçues en échantillon et du sang de personnes injectées, sommes-nous supposés suivre aveuglément les avis de ces experts accrédités au lieu de croire es preuves et les données offertes par le monde réel ?

On nous enfume à croire cette histoire à dormir debout du COVID-19 mettant en scène le virus SRAS-CoV-2, ses variants, les protéines spike, au lieu d’être informé au sujet de la véritable menace que représente ces armes biologiques parasites à IA qui ont été lâchées sur le peuple américain et les peuples du monde.

Peut-être que Joe Biden a signé le décret sur la biotechnologie et la bio-industrie le 12 septembre 2022 (Biotechnology and Biomanufacturing Executive Order ) déclarant que “Nous avons besoin de développer les ingénieries de bio-technologie et les techniques capables d’écrire sur les cellules comme sur des circuits imprimés et de manière prévisible, programmer la biologie de la même manière que nous écrivons des logiciels et des programmes informatiques…” parce que les Américains ont déjà reçu une installation de “technologie  et d’ingénierie génétique qui peuvent écrire des circuits pour les cellules et ainsi programmer la biologie.”

La distraction autour du virus SRAS-CoV-2, des variants et des protéines spike, combinée avec le déni de l’existence d’armes biologiques à parasites IA est un des mensonges les plus malfaisants de l’histoire de l’humanité.

[…]

Il est grand temps que nous nous unifiions en tant qu’Humanité et que nous mettions à bas ce programme COVID-19.

  • ARRETONS tous les pouvoirs donnés d’urgence pour la COVID-19 et les financements qui leur sont liés
  • Bannissons et rappelons tous les produits et technologies COVID-19
  • Mettons à bas la 5G et StarLink

Si vous voulez soutenir ces actions, rejoignez : join miFight.

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retiré du corps d’un injecté décédé…

= = =

Lectures complémentaires :

Karen Kingston sur Résistance 71

PDF compilation de nos traductions de Karen Kingston

”Le vérritable A. Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique” (notre traduction du livre de RFK Jr en PDF)

« Le virus SRAS-CoV-2 créé en labo à l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill entre 2006 et 2015 »

Notre page “Coronavirus, guerre contre l’humanité” (constamment mise à jour depuis 2019)

Rajout : Le brevet déposé en 2012 sur la préparation de nano-cristaux semi-conducteurs, aussi connus sous le nom de QuantumDot technologie ou Qdot nano-cristal et leur application / utilisation en milieu biologique (source : miFight.org) – PDF – document en anglais :
7-Dispersing_LNP_US20120228565A1

N’oublions jamais non plus qu’… Il n’y a pas de solution au sein du système ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

KarenKingston1

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Sortons de la fosse à purin propagandiste Covidiste…

cauchemar-non

Organisation Merdique de la Santé : gestation génocidaire à l’ARNm

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et social, politique française, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologie, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , on 3 décembre 2022 by Résistance 71

 

OMS_Organisation_Merdique_dela_Sante
OMS = Organisation Merdique de la Santé…
sous contrôle de la Bill & Melinda Gates Foundation

 

OMS : Organisation Merdique de la Santé ou la gestation génocidaire de l’ARNm

Résistance 71

3 décembre 2022

Le calendrier piquouze de l’OMS pour l’injection ARNm sur 9 mois :

  • Mai : 95% de protection
  • Juin : 70% de protection
  • Juillet : 50% de protection
  • Août : Pas de protection mais réduit la contagion
  • Septembre : Ne réduit pas la contagion mais la sévérité de l’infection
  • Octobre : Ne réduit pas la sévérité, mais les hospitalisations
  • Novembre : Ne réduit pas les hospitalisations, mais vous ne mourrez pas
  • Décembre : Vous mourrez, mais vous irez au paradis
  • Janvier : Vous n’irez pas au paradis, vous serez juste mort, comme voulu et planifié

 

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monpassanitairedantonq

jokerCoV19

 

Euthanasie légalisée : Société étatico-marchande = société de mort… Société des sociétés = société de vie… Le choix est-il si difficile ? (avec la Dr Nicole Delépine)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, crise mondiale, démocratie participative, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologie, société des sociétés, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , on 17 novembre 2022 by Résistance 71

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Euthanasie ou état nazi ?…

Quand on lit l’arrogante prose du gourou ci-dessus, on ne peut s’empêcher de dire : à 80 balais Jacquou, qu’est-ce que t’attends pour mettre tes dires en pratique ?… ça débarrassera le plancher d’un coup !…
~ Résistance 71 ~

Légalisation de l’euthanasie et pulsion de mort de notre société

Dr Nicole Delépine

14 novembre 2022

Source :

https://www.mondialisation.ca/legalisation-de-leuthanasie-et-pulsion-de-mort-de-notre-societe/5672736

Et le maître de nos sociétés et mentor du président Macron :

« L’euthanasie sera un des instruments essentiels de nos sociétés futures dans tous les cas de figures.Dans une société capitaliste, des machines à tuer, des prothèses qui permettront d’éliminer la vie lorsqu’elle sera trop insupportable, ou économiquement trop coûteuse, verront le jour et seront de pratique courante. » (Jacques Attali, 1981)Lui, qui a 79 ans, ne recourt pas à l’euthanasie qu’il prône pour les « inutiles ».Et c’est encore lui qu’on écoute, qu’on invite sur le sévice public… C’est une obsession, et une nouvelle fois, ce chantier est imposé !« Ce devrait être l’un des chantiers du quinquennat. Une grande concertation a été lancée cet automne sur la fin de vie. Pilotée par le Conseil économique social et environnemental (CESE), elle associera un panel de citoyens avec l’objectif d’aboutir au printemps prochain »2.

Ne nous laissons pas instrumentaliser une énième fois pour aboutir à une décision déjà prise par le président au prétexte d’un retard sur la Belgique ou autre, pays dans lequel les dérives lourdes sont pourtant bien souvent signalées.

« La Belgique porte et portera toujours, d’une manière indélébile, cette tâche morale, ce péché de mensonges, cette trahison par omission qui, par effet de contagion, a déteint sur les autres pays européens.

Elle porte une immense responsabilité d’aveuglement collectif.

Elle s’est crevé les yeux – comme dans une tragédie grecque et je pense en particulier à Œdipe qui se crève les yeux quand il comprend qu’il a tué son père. Elle a cassé les indicateurs, les baromètres, les cadrans de vitesse et de surveillance préférant laisser l’euthanasie en roue libre, livrée à ses promoteurs et surveillée par ses thuriféraires »3.

Alors que les élections américaines se terminaient en ce soir du 9 novembre 2022, nous eussions aimé des commentaires pertinents sur les machines à voter, permettant l’élection d’un député démocrate mort depuis le 9 octobre4, sur les conséquences du changement de majorité au moins à la chambre des représentants, tant le pouvoir américain nous concerne, la France comme l’UE étant suiviste.

Curieusement ce fut l’annonce par le président Macron d’une nouvelle tentative d’imposer une légalisation de l’euthanasie pour faire plaisir à Line Renaud, semble-t-il, qui occupa l’antenne… Problème de l’heure, manifestement ou nouvelle diversion pour faire oublier le grotesque de la nouvelle COP sur le climat qui réunit les mêmes que les futurs spectateurs de la coupe du monde dans un stade climatisé en plein désert, ou l’accumulation des vrais problèmes des Français en ce nouveau jour de grève avec l’inflation, la pauvreté galopante dont témoignent les queues des étudiants aux distributions de repas, etc.. Non le sujet du jour est comment aider à mourir.

Et mensonge indigne des sondages au service du pouvoir

Neuf Français sur dix seraient d’accord avec une légalisation de l’euthanasie ! Ceci est faux, complètement faux, tout dépend de la façon de poser la question et évidemment la poser à un bien portant qui ne peut se projeter de fait dans sa mort imminente n’a rien n’a voir avec l’avis du mourant qui, lui, supplie souvent de lui préserver encore quelques jours, voire quelques instants pour écouter sa chanson préférée ou revoir le parent venu d’Afrique ou d’Asie… Que de mensonges sincères ou manipulatoires, comme souvent en cette période de déni de la réalité.

DISCOURS INDIGNE SUR LA DIGNITÉ !

Serait-ce indigne d’être malade, d’être blessé, d’être souffrant ? Un patient bien pris en charge dans son lit avec l’aide de soignants et de parents aimants qui l’accompagnent est-il indigne ? Impossible à regarder ? Seul est indigne ce regard méprisant sur un être qui souffre. Ce cinéma de la dignité bafouée, de la fausse compassion qui conduirait à faire disparaître un malade qui souffre alors qu’on peut le soulager par des médicaments à doses suffisantes est honteux. Il traduit seulement le désir parfois inconscient d’oublier notre condition humaine qui se termine constamment par la mort.

L’indignité est de laisser la malade abandonnée dans son lit, voire par terre avec des couches insuffisamment changées, des repas traînant sur la table de nuit, des vêtements sales non lavés ni changés.

L’INDIGNITÉ N’EST JAMAIS LE MALADE, MAIS SON ABANDON par le décadent système de soins qui n’effectue pas ce pour quoi il coûte encore 13% du PIB. Pour ne pas voir cette indignité majeure qui conduit à découvrir aux urgences un malade mort sur une chaise, doit-on TUER les patients en perte d’autonomie pour éviter qu’ils ne nous infligent ce spectacle insoutenable ? Notre société est moribonde, agonisante, devons-nous l’euthanasier ou tenter de la réanimer ?

Euthanasie : signifie faciliter la mort et donc provoquer la mort.

Dans une société dans laquelle le président ne cesse de répéter que nous sommes en guerre, et de le prouver en envoyant les quelques canons qui nous restent et des milliards d’euros en Ukraine, dans une société morte de peur depuis trois ans avec la terreur d’un virus assez inoffensif qui a conduit à la fermeture des écoles, et de tant de faillites, dans une société où la bizarre « mort subite » touche les jeunes, que les AVC et les Alzheimer se multiplient comme des petits pains, que les cancers flambent après les injections toxiques, le problème de l’heure est pour nos gouvernants l’euthanasie…

Alors que des patients meurent à l’hôpital aux urgences sur des brancards sans un mot et sans un verre d’eau pendant des heures et qu’une malade en attente de prise en charge d’une fracture de fémur pendant six jours meurt littéralement de faim, alors que des soignants suspendus se suicident ou abandonnent définitivement les carrières de soin, et que le nouveau ministre de la Santé s’enferme dans une posture intenable5, l’obsession du peuple serait le suicide assisté ou même la mort donnée par un soignant, légalisée ! L’obsession pour trop de Français est de fuir ce pays moribond et toxique et non de tuer ses ressortissants.

Est-ce vraiment l’urgence de bloquer des commentateurs sur ce sujet mille fois rediscuté, pesé, sous pesé, depuis vingt ans avec la succession de « l’amélioration » des lois Leonetti, puis Clays Leonetti, qui de fait donnent le feu vert (trop facilement) aux médecins pour donner la mort sans ennui médicolégal, par pose d’une perfusion létale prolongée sans réveil possible de l’endormi.

Culte de la mort d’une société décadente et agonisante

Alors pourquoi ce culte obsessionnel de nos « élites » de la mort ? Quelques illuminés écologistes pensent que la diminution du nombre d’humains sur terre, émettant comme les vaches trop de CO2, limiterait le réchauffement climatique et préserverait la planète bleue. Quelle prétention ! La terre a vécu avant nous et nous survivra et de vrais humains feraient mieux de s’occuper du bien être des vivants que d’un monde qui nous dépasse.

Nous avons déjà expliqué à plusieurs reprises le danger inhérent (et peut-être caché) à la légalisation de l’euthanasie, particulièrement dans une société de violence, de pauvreté, de pertes de repères, d’ensauvagement comme la nôtre depuis quelques décennies6,7.

Schwab_et_papa
Où a t’on déjà entendu tout ça papa Schwab?…

Aider un patient à mourir a toujours été vrai, mais dans le secret de la chambre du malade

Le seul rapport valable entre un malade et un médecin est le colloque singulier, sans témoin, qui a de tout temps permis à un médecin de famille de soulager un patient, quitte à accélérer le décès, mais dans la communion réelle entre le désir du malade et l’aide du médecin.

Mais la marchandisation de la mort avec renfort de publicité comme les cliniques suisses d’euthanasie n’a rien à voir avec la compassion, mais bien avec la manipulation de personnes fragiles et de leurs proches pour certains compatissants, pour d’autres complices.

Nous écrivions en mai 20228 que depuis des lustres et comme pédiatre oncologue et toute l’équipe, nous nous battions CONTRE cette nouvelle « théorie » qui consiste à éliminer les malades considérés comme incurables (par qui ?) et en particulier les enfants cancéreux qui furent probablement le terrain d’essai social de cette pratique immonde dès les années 2000.

Les propositions d’essais thérapeutiques usées, les familles se voient expliquer que la compassion de ces médecins chercheurs pour votre enfant les conduit à les « endormir » puisqu’on ne peut plus rien pour eux. En tous cas, ces équipes-là…

Ce fut ma première révolte évoquée dans la publication de « neuf petits lits au fond du couloir »9 en 2000, relatant quelques exemples d’enfants condamnés par les soi-disant sachants et auxquels la médecine classique individualisée avait finalement pu donner quelques mois ou années de survie en bonnes conditions, voire la guérison et un avenir professionnel et familial pour d’autres. Mais ils avaient dû quitter (grâce à leurs familles) le chemin déjà consensuel de la « recherche clinique » prioritaire et devenue toute puissante via la corruption de Big Pharma et l’hégémonie du plan cancer depuis les années 200010.

L’explication économique fut une des premières évoquées dans la période récente11.

« 3,1% des décès font suite à un acte visant délibérément à abréger la vie, par un arrêt du traitement ou une intensification de la sédation. Dans 0,8% des décès, des médicaments ont été administrés afin de donner la mort (dont 0,2% seulement à la demande du patient). Aujourd’hui illégale, l’euthanasie est pratiquée et dans un nombre significatif de cas sans la demande du patient, selon l’INED »12.

Mais ne nous y trompons pas, l’explication seulement financière était probablement naïve, vu l’évolution actuelle de la société occidentale, du Canada à la Belgique…

Elle doit être « progressiste » cette théorie qui consiste à « liquider des êtres embarrassants, inutiles et pesants », dirait Attali (toujours là, jamais suicidé malgré son âge avancé — ça ne vaut que pour les gueux), soit par leur grand âge, soit par leurs handicaps.

« La prescription du Rivotril a contribué à la Solution létale »

Le drame a de nouveau explosé avec le scandale du Rivotril et les fameuses instructions aux médecins en mars 2020 puis le décret du 28 mars 2020 permettant aux médecins d’injecter du Rivotril aux patients susceptibles d’être atteints du covid13.

L’euthanasie devenue une habitude pour certains

L’AP-HP (les hôpitaux de Paris) a mis en place des Groupes d’intervention rapide pour aller administrer du Rivotril dans toute l’Île-de-France. Or la fameuse « surmortalité » de mars-avril 2020 n’a quasiment eu lieu qu’en Île-de-France » dans la zone d’action de ces fameux groupes d’intervention rapide.

« L’euthanasie prend sa place dans les outils de gestion du grand âge ! »14

L’euthanasie comme moyen de réguler le coût des retraites et le grand âge redevient un sujet d’intérêt médiatique dans la mesure où le président réélu remet sur les rails une loi sur la fin de vie pour le début 2023.

L’euthanasie devient une « proposition sociale »

« Une liste de « choses concrètes » qui débute par « l’évocation d’une prime à l’adaptation de l’habitat, alignée non pas sur la prime à la casse, mais c’est plus délicat sur Ma Prime Rénov, pour la rénovation énergétique », ironise Erwan Le Morhedec dans son article du figaro.

« Puis, après d’autres propositions aussi peu ambitieuses et inventives les unes que les autres, vient l’euthanasie, souligne-t-il. Pour être concrète, l’euthanasie sera concrète, pour qui la subira ». Ainsi, « voilà l’euthanasie qui, dans les mentalités, prend sa place dans les outils de gestion du grand âge ! »

« Voilà que cette euthanasie — qui doit être demandée et que nul n’est jamais censé proposer — devient une proposition sociale ». « C’est la vulnérabilité de l’individu laissé à lui-même, dans un monde construit par les forts pour les forts »15.

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Conditionnement et culpabilisation des personnes âgées et/ou handicapées

Alors on conditionne les gens âgés pour qu’ils se sentent de plus en plus surnuméraires d’autant que le mythe de notre responsabilité dans les changements du climat les conditionne à vouloir disparaître pour ne pas ruiner la sécu et sauver la planète !

Quelle vantardise, quelle prétention de croire que les pauvres humains vont interférer avec les périodes glaciaires ou chaudes ! Quoi que nous fassions, la planète survivra ! Seules les espèces vivantes, dont la nôtre, peuvent disparaître.

Depuis plusieurs décennies, les associations pour la « mort dans la dignité » ont fait un lobbying important auprès des politiques pour ancrer dans la population la notion de suicide assisté, voire d’euthanasie. Comme médecin cancérologue, pendant ces longues années, on a vu les demandes des familles augmenter alors que celles des patients restaient proches de zéro comme l’avait bien expliqué le Pr Lucien Israël dans « la vie jusqu’au bout » il y a plus de vingt ans.

Et le nouveau quinquennat devrait à nouveau tenter de faire passer une loi pour l’euthanasie, pour la culture de la mort et de la diversion. L’Ukraine, la variole du singe et le covid ne feraient-ils plus recette ?

« Les esprits ont été, de longue date, préparés à cette évolution, puisqu’il est convenu désormais que « l’on meurt mal en France ». Un slogan, à la signification obscure, qui suggère qu’il faudrait mourir mieux. Pour finir par mourir quand même. »

« Un contexte juridique nouveau » et ils reviennent encore et encore sur ce sujet morbide et malsain, et pourtant les Français n’en veulent pas16

Contrairement à leurs mensonges répétitifs sur radio pouvoir !

En 2005, la loi Leonetti a autorisé « l’arrêt des traitements qui n’ont pour seul effet que le maintien artificiel de la vie du patient ». En 2016, la loi Claeys-Leonetti y a associé « systématiquement » une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Ce fut déjà une terrible escroquerie, sédation continue dont on ne vous réveille pas !! Qu’est-ce d’autre qu’une euthanasie sans l’accord véritable du patient ou de sa famille, une fantastique hypocrisie qui dure des toujours !

Et quand l’on sait que certains patients dans le coma « pensent » au moins par moments, par bribes, comme tant de survivants l’ont raconté dans des livres ou directement ! Combien d’entre eux se sont-ils sentis abandonnés et pendant combien de jours ? Pire qu’une euthanasie « habituelle » en quelques heures maximum. Une torture sûrement parfois.

Ce « contexte juridique nouveau » « a permis au Conseil d’État de juger légale la décision médicale de provoquer la mort par arrêt de l’hydratation et de l’alimentation artificielle d’un homme placé dans l’impossibilité d’exprimer ses volontés, et qui n’était pas en fin de vie », dénonce Jean-Marie Le Méné.

Ces lois Leonetti et Claeys-Leonetti de 2005 et 2016, relatives aux droits des malades et des personnes en fin de vie, ont créé une véritable rupture avec la loi du 9 juin 1999 visant à garantir le droit à l’accès aux soins palliatifs.

La loi Leonetti constitue le terreau qui permettra, demain, de légaliser le droit de se donner la mort, par injection/administration d’une substance létale avec l’aide du corps médical. Les pièges de cette loi sont multiples comme le souligne Emmanuel Hirsch en octobre 202017.

« Le parcours chaotique de M. Vincent Lambert dans les dédales médico-juridiques est exemplaire d’une déroute éthique et politique qui interroge nos valeurs de sollicitude et de solidarité ». « M. Vincent Lambert, dans sa mort même, nous interroge sur ce qu’est l’esprit de notre démocratie ».

Au regard des souffrances provoquées par l’arrêt de la nutrition et l’hydratation, la loi Claeys-Leonetti, votée dix ans après la loi Leonetti, l’a associé systématiquement à une sédation profonde et continue jusqu’au décès. Cette pratique vise incontestablement à accélérer voire à provoquer la mort du patient.

LA TRANSGRESSION DUE AU SERMENT D’HIPPOCRATE – « JE NE PROVOQUERAI JAMAIS LA MORT DÉLIBÉRÉMENT » est consommée. Il ne reste plus qu’à débattre de la méthode : une injection par le médecin ? Un comprimé à prendre soi-même ?

De surcroît, le médecin reste impliqué dans le processus, car il devra établir la recevabilité de la demande de suicide faite par son patient. Comment concilier cette perspective avec le délit de non-assistance à personne en danger, prévu et réprimé par l’article 223-6 du Code pénal ?

Rappelons-nous que « le médecin est fait pour se battre contre la mort. Il ne peut subitement changer de camp et se mettre du côté de la mort » (Dr Jérôme Lejeune).

Pour Jean-Marie Le Méné, « la seule manière efficace de combattre la légalisation de l’euthanasie est effectivement le développement des soins palliatifs, mais en excluant clairement de son contenu tout arrêt des soins ». Pour « rompre un continuum inexorable ». Les hommes politiques n’ont pas à imposer aux soignants « la mise en œuvre de lois sociétales qui n’ont rien à voir avec l’exercice de leur art »18.

« IL Y AURAIT POURTANT TANT À FAIRE, TANT À INVENTER POUR MIEUX S’OCCUPER DE NOS PARENTS ».

Alors « comment notre société et les « progressistes » ont-ils pu perdre ce réalisme et ce simple humanisme en l’espace de trente ans ?, interroge Erwan Le Morhedec. Parce que l’euthanasie répondrait au mouvement perpétuel d’émancipation qu’ils vénèrent ? » « Qu’ils réalisent donc qu’à terme, l’émancipation a pour nom isolement et solitude, interpelle l’avocat. C’est la vulnérabilité de l’individu laissé à lui-même, dans un monde construit par les forts pour les forts. Alors réveillons-nous, il y a tout un pays à remettre sur ses pieds, pour remettre la personne au centre »19 de nos préoccupations.

Rappelons une nouvelle fois À SITUATION EXCEPTIONNELLE SOLUTION PARTICULIÈRE, MAIS PAS DE LOI ! Cet article, pas plus que les précédents n’est pas un papier souhaitant interdire de soulager un malade en fin de vie qui n’en peut vraiment plus et ne peut pas se suicider lui-même. Ces situations exceptionnelles ont, du temps où la vraie médecine existait, et n’était pas polluée par les dérives médicolégales, médiatiques et autres, toujours été résolues dans le secret du cabinet en liaison par le colloque singulier médecin-patient20.

Mais légiférer est une aberration qui permet toutes les dérives

Le professeur Léon Schwarzenberg qui avait promu l’euthanasie CHOISIE pour les cancéreux au bout du rouleau et que j’ai connu dans les années 80 dans le service du Pr Mathé à Villejuif insistait beaucoup sur ce danger. Il nous disait se mettre en avant sur ce sujet pour protéger les médecins anonymes qui auraient « aidé » leur patient des poursuites juridiques qui commençaient à apparaître.

Rien n’est simple, mais il faut se garder de la manipulation médiatique de sujets aussi graves, par des personnes même bien intentionnées, mais loin des patients et du tragique du vécu des derniers moments, utilisés par des idéologues de la vie et de la mort et de la manipulation de certains espérant un poste ou quelques voix.

L’expérience du scandale du Rivotril a démontré que, même sans loi, les dérives sont rapides.

Ne jamais légiférer

Et si, par malheur l’autorisation de donner la mort devenait légale, comme l’ont fait en leur temps les nazis par l’aktion T421 je conseille à tous, mais surtout à ceux qui ont des ennemis où dont le patrimoine pourrait susciter des convoitises de bien choisir leur personne de confiance…

Une prudence complémentaire discutable, mise en cause de fait par l’avis du Conseil constitutionnel, les directives anticipées

Certains avaient l’illusion de leur propre protection par des « directives anticipées » dont néanmoins nous nous méfions beaucoup. La demande des « bien portants » qui donnent des directives anticipées ne correspond pas toujours au vécu du grand malade quand il arrive devant l’échéance. Ces directives anticipées sont aussi le plus souvent une manipulation psychique de celui auquel on fait signer « un papier » abstrait, administratif, sans lien avec la réalité qu’il aura à subir. Préparation aux documents qu’on signera bientôt aux assurances privées pour savoir si on veut la réa ou non comme aux USA (en cas de refus programmé de réa, vous bénéficiez d’une ristourne sur la prime d’assurance). Et le jour venu, on vous refusera l’entrée en réa ou la grosse opération, car votre prime d’assurance ne le prévoyait pas !

Damien Le Guay le résume très bien dans son Interview :

« Les Directives Anticipées (D.A.) deviennent de plus en plus indispensables dans les dispositifs législatifs. Les politiques les demandent. Les lois aussi. La solution, disent-ils tous, viendra de cette expression par avance des volontés. Or, cette expression est tout à fait impossible face à une situation inimaginable par avance. Nous ne savons pas ce que nous réserve l’avenir. Nous ne savons pas ce qu’est une maladie tant que nous n’y sommes pas. Penser est une chose, vivre en est une autre. Le sens de l’histoire, fait de ces D.A. des indications non contraignantes qui vont vite devenir contraignantes, qui restent encore à apprécier par les médecins et qui seront vite opposables au tiers. Or, les D.A. vont être, de plus en plus, la porte d’entrée de l’euthanasie. Et plus elles vont devenir contraignantes, plus elles vont mettre au grand jour leurs injonctions aussi contradictoires qu’impossibles. Plus elles vont solliciter des qualités morales qui auront été affaiblies par la « passion de l’égalité » et plus elles produiront des « volontés » qui seront soumises à l’opinion dominante. »

Mais finalement le médecin a le droit de ne pas respecter ces directives ! Avis du 10 novembre 20200

Et si on pensait être protégé par les fameuses directives anticipées, une décision du Conseil constitutionnel vient de tomber :

« Un médecin n’est pas contraint de respecter les directives anticipées (DA) d’un patient sur son maintien en vie, lorsqu’il les juge « manifestement inappropriées ou non conformes » à sa situation médicale. Et cela est bien conforme à la Constitution, notamment aux principes de sauvegarde de la dignité de la personne et de la liberté personnelle », confirme le Conseil constitutionnel dans une décision rendue ce 10 novembre »22.

Dre Nicole Delépine

Notes :

1.N’oubliez pas que « l’avortement » d’un bébé viable de 9 mois est maintenant autorisé par la loi dite de bioéthique…

2.« France – Pourquoi le gouvernement pousse-t-il à l’euthanasie ? », Nouveau Monde

3.Entretien Damien Le Guay : Quand l’euthanasie sera là…, publié aux éditions Salvator. Entretien avec l’auteur.

4.« Bien que nous soyons incroyablement attristés par la perte du représentant Tony DeLuca, nous sommes fiers de voir les électeurs continuer à lui témoigner leur confiance et leur engagement envers les valeurs démocrates en le réélisant à titre posthume », ont déclaré les démocrates de Pennsylvanie dans un tweet. » « Tony DeLuca : Le défunt législateur de Pennsylvanie est réélu un mois après sa mort », meaww.com

5.Di vizio et réintégration des soignants

6.« La pandémie d’euthanasie médico-économique (1/2) », Les 7 du Québec

7.« La pandémie d’euthanasie médico-économique (2/2) », Nouveau Monde

8.« L’euthanasie bientôt légalisée comme mesure progressiste ? Dérive humaine et sociétale », Nouveau Monde

9.Éditions Michalon N. Delépine 2000

10.« Le cancer, un fléau qui rapporte », éd Michalon, N. Delépine, 2013

11.« L’euthanasie, ou la réduction radicale des dépenses de santé », Nicole Delépine, publié sur Économie Matin

12.« Aide à l’euthanasie pour les pauvres au Canada. Vite la dépopulation ! », Nouveau Monde

13.« Décret Rivotril : compassion, euthanasie ou meurtre sur ordonnance ? Versus traitement prometteur par chloroquine, interdite ? », Nouveau Monde, publié le 6 avril 2020 dans Agoravox. Tout le monde savait, tous pouvaient savoir et refuser, tant médecins que citoyens… Mais quel silence !

14.« Nous avons ouvert la voie à une euthanasie qui virera sans le dire à la modalité de gestion du grand âge », Genethique

15.« Le glissement de la sédation profonde vers l’euthanasie est en marche, inéluctable », La Croix

16.ibid. 15

17.Emmanuel Hirsch : « L’affaire Vincent Lambert, « un échouement éthique et politique dont nous devrions tirer quelques leçons », Genethique. « Vincent Lambert, une mort exemplaire ? », publié aux éditions du Cerf, Emmanuel Hirsch, professeur d’éthique médicale de l’Université Paris-Saclay, rassemble cinq années de chroniques (2014-2019) qui retracent les étapes d’une procédure qui a pris le pas sur l’humain, sur la rencontre de l’autre tel qu’il est, dans ses limites et sa fragilité. Il répond aux questions de Gènéthique. La marche inexorable vers la légalisation de l’euthanasie. Publié le 7 avril 2022

18.sources : Le Figaro, Erwan Le Morhedec (18/03/2022) ; Le Monde, Béatrice Jérôme (18/03/2022)

19.https://www.lefigaro.fr/2022/03/18/erwan-le-morhedec-si-l-euthanasie-est-legalisee-elle-risque-de-devenir-un-outil-de-gestion-du-grand-age

20.Confidence d’un proche « Comme chirurgien cancérologue j’ai aidé, avec Léon Schwarzenberg, quelques malades en phase terminale à mourir dans un colloque singulier ou ils avaient plusieurs fois exprimé leur volonté irréversible et les raisons qui la motivaient ».

21.https://www.geo.fr/nazisme-aktion-t4-la-mise-a-mort-des-inutiles

22.« Le Conseil constitutionnel a été saisi par la famille d’un patient de 43 ans, plongé dans le coma depuis mai après un accident – patient qui, en juin 2020, avait rédigé des DA, précisant souhaiter être maintenu en vie « même artificiellement » en cas de coma.Deux mois après son arrivée au service de réanimation de l’hôpital de Valenciennes (Nord), et après des examens approfondis et la consultation de réanimateurs extérieurs à l’équipe comme le veut la procédure collégiale prévue par la loi Leonetti-Claeys de 2016, les médecins ont estimé « inutile et même disproportionnée » la poursuite des traitements de maintien artificiel de la vie. La décision d’arrêt des soins – une ventilation mécanique, avec nutrition et hydratation artificielles – est prise le 15 juillet. L’hôpital se réfère à l’article L. 1111-11 du Code de la santé publique, dont l’alinéa 3 prévoit que les directives anticipées s’imposent au médecin sauf lorsqu’elles « apparaissent manifestement inappropriées ou non conformes à la situation médicale » – pour passer outre la volonté du patient ». « Fin de vie : le médecin a bien une marge de manœuvre dans l’application des directives anticipées, confirme le Conseil constitutionnel », Le Quotidien du Médecin

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Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Lagarde_euthanazi
Eh christine… à ton âge faut penser à faire quelque chose et fissa !
Ta disparition sera une salubrité publique !

narrative
Sortez de l’hypnose !… Embrassez la Vie !
société étatico-marchande = MORT
société des sociétés = VIE
Diantre ! Que choisir ?…

Séquençage du génome du SRAS-CoV-2 et virologie… Réalité scientifique ou imposture ?

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, désinformation, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, pédagogie libération, politique et social, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologie, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , on 17 septembre 2022 by Résistance 71

L’IHU de Marseille du Pr. Raoult a publié ses séquençage génomiques du SRAS-CoV-2. La question est : ce virus, créé au laboratoire de l’université de Caroline du Nord Chapel Hill entre 2006 et 2015 et militarisé au labo P4 de Wuhan, a t’il vraiment été séquencé ? La réponse serait : oui, puisqu’il a été artificiellement créé, ses créateurs ont forcément son séquençage. Pourquoi tant d’informations contradictoires ? Maintenir la division. Jézéquel soulève le problème ici, mais manque grandement de sources.
La position de Résistance 71 sur le sujet est la suivante : Nous ne sommes en rien des spécialistes génétiques, nous avons lu des articles scientifiques en plusieurs langues publiés donnant le séquençage complet du SRAS-CoV-2, mais sommes bien incapables de savoir si tout cela est juste, encore moins de prouver une imposture. Simplement, des généticiens du monde entier ont publié des travaux sur leur séquençage du virus originel et de bon nombre de variants. L’IHU de Marseille en France est sans doute la source la plus pointue sur le sujet et ils ont publié leurs séquençage en ligne. Nous pensons que le SRAS-CoV-2 existe bel et bien, qu’il a été créé en labo, mais qu’il n’est pas dangereux. Il a été créé pour faire cadrer un narratif de paranoïa planétaire et introduire les injections ARNm qui elles, sont des armes biologiques de destruction massive. Nous publierons un article sur notre théorie à ce sujet très bientôt. Nous pensons néanmoins qu’il est utile de toujours questionner les narratifs officiels. Le séquençage du virus fait parti du narratif officiel, en douter est donc normal.
~ Résistance 71 ~

Creutzfeldt-Jakob-Disease-covid-vaccine

Coronavirus : la stratégie utilisée, celle du Cheval de Troie

Jean-Yves Jézéquel

10 septembre 2022

Source :
https://www.mondialisation.ca/coronavirus-suite-la-strategie-utilisee-celle-du-cheval-de-troie/5671029

C’est un cheval de Troie qui trompe nos esprits et nos corps, dans le but de rendre possible la réalisation de l’agenda mondialiste sur la mutation du Génome humain dont la finalité est celle d’un contrôle radical de toutes les populations du Globe !

Le fameux virus n’a jamais été isolé dans une partie quelconque du corps humain : celui qui prétend le contraire serait bien incapable d’apporter les preuves scientifiques d’une telle affirmation qui serait tout à fait mensongère !

L’absence physique comme l’isolement du virus ou le séquençage de ce théorique SARS-CoV-2 est une fraude spectaculaire à toute épreuve, car elle est de plus cautionnée par des virologues qui, bien entendu, ont été grassement financés par le complexe médico-pharmaceutique…

On doit également signaler plus de deux siècles d’impostures : un historien comme Marc Menant, a édité chez Plon en 2022, une étude approfondie sur « L’inquiétante histoire des vaccins ». La critique historique permet aujourd’hui de connaître dans le détail l’imposture de Pasteur avec laquelle commençait ce comportement sectaire de la médecine allopathique… Je recommande vivement la lecture de ce livre de Marc Menant qui remet les pendules à l’heure sur la vérité scientifique et historique concernant les vaccins.

Les virus pathogènes n’ont jamais été clairement identifiés : lorsqu’on nous bombarde les modèles graphiques du « coronavirus », les gens ne se rendent pas compte que cette représentation imagée du virus est née d’une image générée par un ordinateur. Les médias du monde entier ont ensuite divulgué cette représentation qui passe pour la visibilité du virus invisible afin d’alimenter le délire hystérique et la peur pathologique…

Les populations ont réellement été prises en otages, car les virologues n’isolent pas le virus en ajoutant « qu’ils le font » et ne sont pas troublés par le fait que la « guerre » actuelle contre l’humanité repose entièrement sur cette fraude scientifique flagrante !

Lorsque les autorités imposent « l’isolement », cet isolement repose intégralement sur la violation et la volonté délibérée de tromper les personnes ainsi maltraitées !

La prémisse de l’existence du virus est établie sur un mensonge et son affirmation continue confirme l’existence d’un virus inexistant…

La virologie prospère sur cette affirmation, car sans elle il n’y aurait pas de virus, pas de virologie pas de tests PCR positifs non plus et donc pas de Jackpot pour Big Pharma…

Il est clair que tout ce qui va à l’encontre du récit « officiel » de l’Etat mafieux, se voit censuré impitoyablement par les commis du système, ainsi que par les médias inféodés. Les agences de sécurité terrorisent toutes les personnes qu’elles prétendent protéger !

Tout l’appareil d’Etat est dédié actuellement au service de cette fraude virologique.

Il est possible de trouver l’explication de la fraude scientifique sur le site NIH.

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19246619/#affiliation-1

Il n’existe pas de consensus sur la meilleure façon d’effectuer et d’interpréter les expériences quantitatives de PCR en temps réel (qPCR).

Les chercheurs qui ont prétendu avoir « isolé » le virus ont fait une déclaration mensongère car aucun d’entre eux n’a été capable d’en apporter la preuve. Fan Wu a choisi un coronavirus de chauve-souris « in silico », comme le modèle qui permettrait de créer le WH-Human 1 ou SARS-CoV-2. « In silico » signifie une méthode d’étude réalisée par ordinateur qui analyse des données et axiomatise des phénomènes biologiques générés par la bio-informatique.

Des fragments d’ADN permettent de reconstruire peu à peu un contig. Un contig est une séquence génomique continue et ordonnée générée par l’assemblage des clones d’une bibliothèque génomique. Puis, l’assemblage des contigs entre eux permet d’obtenir un « scaffold » ou une sorte d’échafaudage de virus. Lorsque des millions de fragments uniques ont été trouvés, des programmes informatiques prennent le relais pour reconstituer le génome basé sur des paramètres définis par le programme utilisé… Les virologues ne travaillent pas avec un génome complet puisqu’ils ne travaillent pas avec un virus complet, c’est là qu’est essentiellement la tromperie… Ils travaillent avec des morceaux aléatoires de matériel biologique et disent ensuite que cela constitue la preuve de l’existence d’un virus donné ! La seule chose qui existe, c’est le séquençage d’échantillons bruts qui contiennent des fragments génétiques de provenance « inconnue » ! Il n’y a aucune preuve que le « génome » in silico qui en résulte, existe réellement dans la nature ou même qu’il n’ait quoi que ce soit à voir avec un virus ! Cette falsification opérée par une fausse science a permis aux politiciens de se transformer en dictateurs et en tyrans, cette version généralisée de l’isolement du virus donnant l’occasion aux politiciens de violer nos libertés.

Le chercheur Chinois Fan Wu s’est révélé être un imposteur tout comme cet autre chercheur Peng Zhou ! Fan Wu a été le premier inventeur du SARS-CoV-2 après avoir envoyé un échantillon extrait du liquide pulmonaire d’un patient, directement au séquençage sur deux plateformes d’assemblage de novo afin de rechercher de courts fragments génétiques appelés « lit ».

Dans cet échantillon il y avait des millions de fragments génétiques du patient lui-même, d’innombrables microbes et pour finir l’air pollué que le patient avait respiré…

C’est à partir de cette « soupe » génétique à la chinoise qu’il a prétendu reconstituer 384096 contigs sur Megahit et 1,32 million de contigs sur Trinity ! A partir de là Fan Wu a choisi la plus longue séquence, celle de 30474 nucléotides qui correspondait à 89,1% au génome in silico du coronavirus de la chauve-souris le SL-CoVZC45 inventé en 2018 !

***

[Note de R71 : voici la publication du “génome” du Dr Fan Wu et al. sur le SRAS-CoV-2 par le NIH du Dr Fauci, alors est-ce le génome complet ou celui de fragments inconnus ? Nous ne pouvons pas répondre à cette question. Elle se doit d’être posée… https://www.ncbi.nlm.nih.gov/nuccore/NC_045512 ]

***

Conclusion : un génome qui était aussi proche génétiquement qu’un humain l’est d’un chat domestique abyssin, est devenu le modèle utilisé pour la conception de l’amorce de la méthode RT-PCR pour détecter le CORONAVIRUS, dont l’existence n’a pas encore été démontrée !

Un autre médecin Chinois, le Dr Zunyou rétablissait l’équilibre rompu par son collègue. Il démontrait durant toute l’année 2020 que personne n’avait jamais prouvé l’existence du SARS-CoV-2, qui n’avait encore jamais été isolé. De plus dire que le SARS-CoV-2 avait croisé des espèces animales et humaines sur le marché de Wuhan, était une affirmation pour le moins fantaisiste, cocasse ou délirante !

Le Dr Zunyou expliquait pourquoi les gens mourraient, pourquoi le test PCR était un non-sens, inutile, trompeur, abusif ; Il expliquait comment les chiffres des morts par « COVID-19 » étaient falsifiés et les raisons pour lesquelles ce mensonge était imposé à la population mondiale ! De nombreux scientifiques ont été largement payés pour affirmer qu’ils avaient isolé le SARS-CoV-2. Il fallait ajouter que ces scientifiques peu scrupuleux, avaient torturé, déformé, inversé le sens du verbe « isoler ». 

Ce sont ces gens qui ont fourni le modèle de verrouillage à l’Occident, où Bill Gates, le CDC (Centers for Disease Control and Prevention), l’OMS, ont fait l’éloge du Régime Chinois et y ont adopté leur stratégie de confinement, étant certains que de cette manière ils détruiraient assurément les économies nationales et locales ainsi que des centaines de millions de vies !

Une opération « couverte » !

Toute cette histoire, qui serait la même pour tous, était basée sur la vente d’une affaire de virus ! La communication sur cette histoire unanime de virus non encore isolé, dont l’existence n’était toujours pas prouvée, a été orchestrée par Anser. C’est Anser qui a été l’entreprise majeure de la communication sur la campagne de peur autour de la COVID-19.

http://www.anser.org/about/

Comme vous le voyez, cette société de communication n’a pas son site Internet sécurisé : on pouvait s’attendre à un https://

Ainsi, ni la FDA (Food and Drug Administration), ni le CDC (centre américain pour le contrôle des maladies) n’ont la preuve que la COVID-19 existe et encore moins que le SARS-CoV-2 existe !

Cette fraude monumentale a été récompensée par la Fondation Bill & Melinda Gates, en 2020, par 900.000 dollars donnés aux deux institutions américaines. Or, 14 des 19 co-auteurs de cette fraude étaient affiliés à la Fondation Bill & Melinda Gates !

L’Université Fudan au titre de l’INV-006277, 2021 = 300.000 dollars

Le CDC chinois recevait au titre de l’INV-005832 = 600.000 dollars

Peng Zhou faisait partie de ceux qui disaient avoir « isolé le virus responsable de la COVID-19 », mais ce virus était resté entièrement théorique. Pourtant, la Fondation Bill & Melinda Gates n’hésitait pas à donner à l’Académie chinoise des sciences à laquelle 24 des 27 co-auteurs étaient affiliés, une subvention pour les travaux sur la COVID-19, en 2020, et dans le cadre de l’INV-006377, de 359.820 dollars avec les conditions de la destination suivante : « soutenir le développement d’une plateforme de tests de dépistage, de médicaments et de vaccins sous-unitaires contre le coronavirus, qui contribuera à l’innovation des produits de lutte contre la pandémie de COVID-19. »

La liste des imposteurs s’est considérablement allongée, au fur et à mesure que les financements étaient gracieusement offerts à tous ceux qui défendaient le narratif mensonger de la propagande sur la « crise pandémique » et les « vaccins » !

Sous prétexte du devoir de protéger « les autres », de la « responsabilité » humaine et de la « conscience morale », comme des « obligations sanitaires », ce mensonge criminel allait pénétrer les consciences encore vulnérables, aidé par la peur, afin que beaucoup d’entre nous finissent par accepter de recevoir dans leur corps une substance dont la nature réelle était absolument inconnue ! Les Gouvernements, sachant parfaitement quel en était le but réel soigneusement caché aux peuples, n’avaient pas besoin de contrôler les laboratoires pharmaceutiques, comme Pfizer qui avait pourtant été condamné à des milliards de dollars d’amendes pour fraude marketing ! 

La « pandémie de la COVID-19 » a été la plus grande escroquerie de toute l’histoire sanitaire du monde. Le SARS-CoV-2 n’a toujours pas été isolé, ses petits frères les « Variants » n’existent que dans les ordinateurs, les banques de gènes, dans le Cloud et dans l’esprit abusé d’innocentes personnes qui se laissent volontiers tromper par leurs « élites » politiques…

L’histoire de la COVID-19 est une véritable guerre déclarée contre l’humanité et menée par Anser, Fors Marsh, Palantir, propageant cette escroquerie planétaire à travers Big Pharma avec ses bailleurs de fonds et ses facilitateurs comme le FEM, L’OMS, La Fondation Bill & Melinda Gates, les conglomérats technologiques, les médias inféodés au système, les Gouvernants complices, certaines Universités comme celle de Chapel Hill, EcoHealth Alliance ainsi que l’Imperial College London…

Le 11 mars 2020, l’OMS inventait une « pandémie » inexistante, sous l’influence du généreux donateur Bill Gates !

Le docteur Astrid Stuckelberger de la Faculté de Médecine de Genève, experte en santé publique à l’OMS, dévoilait sur L’Info en question #73, le 4 novembre 2021, que Bill Gates et ses associés étaient à l’origine de ce plan de « vaccination létale mondiale » et qu’ils savaient parfaitement ce qu’ils faisaient !

C’est pourquoi, les Instituts de pharmaco vigilance de certains pays, avaient beau alerter les gouvernements du désastre qui se déroulait dans l’ombre, suite aux « vaccinations » anti-Covid-19, cela ne changeait absolument rien aux décisions prises, car le but était bien de détruire une bonne partie de l’humanité « inutile » et en surnombre, comme de pouvoir achever le plus tôt possible le programme élaboré par le Nouvel Ordre Mondial sur le Tout numérique (y compris la monnaie) et le passage au transhumanisme. 

https://soleilverseau.com/2021/11/05/linfo-en-questions-73-avec-le-docteur-astrid-stuckelberger-4-novembre-2021/

Tout a commencé en 2011/2012, avec le plan d’Action Mondial pour les Vaccins (GVAP) du SAGE. 194 Etats membres de l’OMS ont approuvé ce plan. Il s’agissait de donner un accès plus équitable aux vaccins pour éviter des millions de décès avant 2020 !

Or, le GVAP est le résultat des travaux d’experts sur la vaccination : les dirigeants de la Fondation Bill & Melinda Gates, l’Alliance GAVI, l’UNICEF, l’OMS, Universités, fabriquants, agences mondiales, société civile, médias et secteur privé…

Les signataires de ce plan Mondial de Vaccination sont : le Dr Seth Berkley responsable de GAVI, fonctionnant grâce au généreux donateur, la Fondation Bill & Melinda Gates, encore elle ! Le Dr Christophe Elias, Président de Global Development Program de la Fondation Bill & Melinda Gates, encore elle ! Le Dr Margaret Chan, Directeur Général de l’OMS dont le sponsor principal et majoritaire est la Fondation Bill & Melinda Gates, encore elle ! Le Dr Antony Fauci, directeur du NIAID américain.

Ces gens-là veulent absolument « vacciner » la totalité de la population mondiale, pour la contrôler (sauf eux-mêmes) ; Ils sont donc prêts à inventer tous les « faux variants » que vous voulez, du moment que cela permette d’entretenir la peur, le traumatisme du confinement et du masquage dans le but de jeter les braves gens sur les seringues des génocidaires…

L’escroquerie vaccinale est au cœur de ces crimes contre l’humanité. Sur le site de l’OMS, vous trouvez des « techniques de l’évaluation du virus » alors qu’il n’y a strictement rien sur son séquençage ! Faut-il encore en rajouter pour ouvrir les yeux des traumatisés de la propagande !?

L’hécatombe est énorme : les chiffres officiels ne recensent pas les effets collatéraux destructeurs comme les pertes d’emploi pour cause de non-vaccination, les nombreux suicides d’étudiants, des entrepreneurs, des soignants, des forces de l’ordre et des enfants …

Au 15 septembre 2021, le Yellow Card, Grande Bretagne, signale 1.204.555 événements d’effets destructeurs sur les personnes « vaccinées », 1662 décès suite aux « vaccins » anti-covid.

Au 25 septembre 2021, l’AEM (Agence Européenne du Médicament) signalait 2.690.019 effets indésirables graves sur la santé de gens « vaccinés » et 26.061 décès, 30.402 handicaps irréversibles…

Au 1er octobre 2021, le VAERS (USA) totalisait 2.826.646 effets indésirables et 16.310 décès dus aux « vaccins ».

Les statistiques publiées en France démontrent que c’est une pathologie cardiaque associée aux symptômes grippaux qui entraîne 73% des décès.

https://fr.statista.com/statistiques/1183996/victimes-coronavirus-comorbidite-france/

Le 20 septembre 2021, à l’Institut de pathologie de Reutlingen en Allemagne, les professeur Walter Lang et Burkhardt présentaient une enquête qu’ils avaient réalisée sur 10 décès de personnes ayant reçu le « vaccin » anti Covid-19, le Cominarty de Pfizer : les décès étaient liés aux « vaccins ». Les substances inoculées avaient provoqué des maladies auto-immunes rares pour trois d’entre eux.  L’une des maladies auto-immunes était si rare qu’il a fallu qu’ils regardent de près l’image numérisée : il s’agissait de la maladie auto-immune de Hashimoto. Puis, ils ont également trouvé une vascularite leuco clastique entraînant des saignements cutanés. Puis le syndrome de Sjögren qui est une inflammation de la salive et des glandes lacrymales…etc. Ils ont observé de même que les lymphocytes inondaient les cellules en les détruisant massivement. Ils ont observé des images qui montraient une accumulation de lymphocytes dans une grande variété de tissus (muscle cardiaque, foie, rein, rate et utérus) ; du coup ces tissus étaient massivement attaqués par les lymphocytes donnant à voir une série de follicules lymphocytaires dans des endroits inappropriés comme le tissu pulmonaire… Ils ont également remarqué des détachements de cellules endothéliales, des amas de globules rouges provoquant des thromboses, ainsi que des cellules géantes qui s’étaient formées autour de corps étrangers piégés. Une véritable tempête lymphocytaire avait annihilé la fonction immunitaire externe combinée à une inflammation et à une destruction des tissus par les lymphocytes et la réaction auto-immune prolongée… ! Ces injections à ARNm sont une bombe immunologique à retardement, concluait le Professeur Arne Burkhardt, pathologiste.

De plus, des images d’objets non biologiques étaient trouvées dans le liquide vaccinal injecté. C’est l’appareil immunitaire des personnes « vaccinées » qui s’attaque aux tissus de ces personnes ! Ces « vaccins » déclenchent donc des maladies auto-immunes qui peuvent très bien ne pas se manifester avant des années. Les professeurs Allemands concluaient en disant qu’il fallait s’attendre à une explosion des cancers dans les années à venir.

Jean-Yves Jézéquel

A suivre

= = =

Lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

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« Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique », Robert F. Kennedy Jr (Chapitre 9 2ème partie)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologie, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , on 21 février 2022 by Résistance 71

RFK_RealFauci

Note de Résistance 71 : Ce chapitre étant long (une quarantaine de pages), nous en publierons la traduction en deux parties afin de ne pas trop faire attendre nos lecteurs. Dans ce chapitre entre en lice la seconde ordure de service : Bill Gates et nous y apprenons comment Fauci et Gates se sont rencontrés et quel partenariat ils ont formé pour le mal de l’humanité en général et l’Afrique dans un premier temps en particulier.
Pour en savoir plus sur ce douteux personnage psychopathe, nous recommandons vivement le visionnage et la diffusion alentour du
remarquable documentaire de James Corbett sur le gugusse en question. Tout y est dit dans le détail et est un excellent approfondissement de ce qui est avancé dans le livre de RFK Jr…

Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Février 2022

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 9 Le fardeau de l’homme blanc

[1][2]

En janvier 2003, alors que Gates et Fauci ouvraient des douzaines d’essais cliniques pour des vaccins expérimentaux contre le SIDA en Afrique, l’hagiographe du dr Fauci, Michael Specter, dans un article du New Yorker, souleva les tranchantes questions des “problèmes éthiques associés aux essais de long terme sur les vaccins dans le monde en voie de développement, financés par des donateurs occidentaux et largement créés par des scientifiques occidentaux.” Specter demande : “Est-ce que la course pour sauver l’Afrique du SIDA a mis la science occidentale en porte-à-faux avec son éthique ?

[…]

Plus tard dans l’année, l’agence du dr Fauci annonça que l’expérience vaccinale contre le SIDA la plus récente menée par le NIAID avait échoué.

[…]

Gates semblait penser qu’un nouveau flot d’argent pourrait donner une leçon au virus et lui expliquer comment se comporter. En juillet 2006, la FBMG annonça 16 nouvelles injections d’argent frais pour un total de 287 millions de dollars pour créer un réseau international de recherche collaborative, un consortium focalisé sur l’accélération du développement du vaccin anti-VIH en finançant plus de 165 PI pour conduire des essais cliniques vaccinaux dans 19 pays différents.

Deux ans plus tard, le 18 juillet 2008, le dr Fauci annonça l’annulation du plus grand essai clinique sur des humains à ce jour. Ceci représentait le meilleur vaccin du NIAID jusque là et de loin. Le dr Fauci contribua 140 millions de dollars de l’argent du contribuable américain pour développer l’injection du labo Merck et le NIAID avait déjà commencé à enrôler quelques 8500 volontaires aux Etats-Unis. Ceci constituerait le tout premier essai pour ne injection anti-SIDA sur des citoyens américains.

[…]

Enfoui au fin fond d’un article publié par le New York Times, il s’avérait que le vaccin était non seulement inefficace [après un test sur plus de 3000 participants de pays africains], mais les chercheurs rapportèrent des signaux de sécurité alarmants, ce qui causa l’arrêt de l’essai par décision d’un comité de contrôle. De plus, au lieu de prévenir l’infection, les chercheurs de Merck/NIAID rapportèrent que les données collectées suggéraient que le vaccin au contraire, augmentait le risque de contamination par le VIH.

[…]

Si les thèses de Fauci sur le VIH/SIDA étaient vraies, ils auraient du être capables de faire un vaccin”, observe le Dr David Rasnick, un Ph.D en biochimie qui a travaillé plus de trente ans dans le domaine de la bio-technologie pharmaceutique. “Le problème insoluble de Fauci est qu’il a dit à tout le monde de diagnostiquer le SIDA sur la base de la présence des anti-corps du VIH ; avec toute autre maladie, la présence d’anti-corps est le signal que le patient a vaincu la maladie. Avec le SIDA, Fauci, Gallo et maintenant Gates, affirment que c’est un signe que le patient est en train de mourir. Pensez-y un peu : si l’objectif d’un vaccin anti-SIDA est de stimuler la production d’anti-corps, alors le succès voudraient dire que chaque personne vaccinée devrait aussi avoir un diagnostique du SIDA. c’est matière à faire un sketch de comédie. C’est comme si quelqu’un avait donné aux Pieds Nickelés un budget annuel d’un milliard de dollars.

Le 8 octobre 2015, L’Institute of Human Virology de Gallo à la faculté de médecine de l’université du Maryland annonça le lancement de la Phase I des essais humains du tout dernier candidat vaccin anti-SIDA de Gallo. Un consortium mené par la FBMG donna 23,4 millions de dollars à la recherche de Gallo sur ce vaccin. D’autres fonds vinrent des potes de Redfield du programme de recherche militaire américain sur le VIH.

[…]

Arrivé en 2015, la FBMG dépensait environ 400 millions de dollars par an sur la recherche de médicaments contre le SIDA. Gallo m’a dit que son groupe est le seul sur plus de 100 que Gates a financé pour trouver ce vaccin très évasif.

[…]

La bataille du dr Fauci contre le SIDA est une croisade religieuse enracinée dans la foi et les appels à autorité plutôt qu’à l’empirisme ou la rigoureuse preuve scientifique. Suivant le chemin des interventions coloniales antérieures en Afrique, la campagne évangélique du dr Fauci pour imposer les orthodoxies de la guerre contre les germes sur les Africains, est un exercice de pur pouvoir, de domination et d’extraction, extorsion de profits, sans aucun scrupule.

Tout comme avec les sultans, les khans, tsars, monarques et autres empereurs, le pouvoir du dr Fauci dérive de sa capacité à financer, armer, payer, maintenir, entretenir et de déployer efficacement une grande armée aux ramifications tentaculaires. Le NIH à lui seul contrôle un budget annuel de 42 milliards de dollars, distribué essentiellement en quelques 50 000 fonds attribués, fonds qui soutiennent financièrement quelques 300 000 emplois globalement dans la recherche scientifique. Les milliers de médecins, d’administrateurs des hôpitaux, de fonctionnaires de la santé et de virologistes chercheurs, dont les positions, carrières, et salaires dépendent des dollars du SIDA ruisselant vers eux en provenance du dr Fauci de mr Gates et du Wellcome Trust (la version britannique de la Fondation Gates), sont les soldats et les officiers de cette armée mercenaire qui fonctionne afin de défendre tous les vaccins et les doxologies du dr Fauci sur la VIH/SIDA. Tout le domaine de la virologie représente le corps des janissaires du dr Fauci, ces guerriers de l’élite qu’il peut très rapidement envoyer d’une extrémité à l’autre du champ de bataille afin de permettre plus de nouvelles conquêtes et supprimer sans pitié toute rébellion, dissidence et résistance.

En 2020, beaucoup des essais cliniques des vaccins anti-VIH/SIDA de Fauci et de Gates en Afrique sont soudainement devenus des essais pour les vaccins anti-COVID, alors que le tsunami sans précédent du budget pour le nouveau COVID-19 commença à inonder la place.

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Des rangs des éditoriaux et articles des journaux scientifiques validant les orthodoxies officielles et diabolisant la dissidence qualifiée de barjots, charlatans et conspirationistes, le dr Fauci et Bill Gates ont enrôlé les charlatans et les biostitutes qui menèrent ces études frauduleuses qui torpillèrent l’hydroxychloroquine et l’ivermectine et gagnèrent l’accord d’utilisation de leur très cher médicament remdesivir. Lorsque des révélations disant que la COVID-19 et son virus du SRAS-CoV-2 étaient très certainement des produits d’une création génétique de laboratoire et que cela menaçait de discréditer son empire, Tony Fauci envoya une élite sélectionnée de la virologie, écrire et signer les éditoriaux de conséquence publiés dans les journaux “Nature” et “the Lancet” en février et mars 2020, rassurant le monde que l’hypothèse de la fuite d’un laboratoire provenait d’une théorie conspirationiste de dingos.

La saga du virologiste de Fauci, Kristian Andersen, un PI qui a construit sa carrière sur toute une série de financements du NIAID, offre le parfait et typique exemple du système de corruption du dr Fauci. Andersen fut le tout premier récipient des fonds du NIAID à alerter Tony Fauci à 22h32 le 31 janvier 2020, de la preuve très évidente que le virus donnant la COVID-19 a été créé en laboratoire et que l’expérience/programme qui l’a créé pouvait bien avoir toutes les empreintes du NIAID dessus. Après minuit, le dr Fauci a prévenu son bras droit de garder son téléphone ouvert et de se mettre en attente d’un travail important : organiser une rencontre secrète d’urgence pour discuter d’une procédure de contrôle des dégâts avec 11 des plus importants virologistes au monde, incluant Andersen et cinq chercheurs clef du Wellcome Trust. Le dr Fauci fut le seul membre officiel du gouvernement américain participant à cette conversation téléphonique. Quatre jours plus tard, Andersen, qui moins de 100 heures auparavant était convaincu que le virus ne provenait pas de la nature, envoyait une lettre, secrètement éditée et corrigée par Fauci, signée par 5 éminents virologistes, tous PI du NIAID et/ou du Wellcome Trust, ridiculisant la suggestion que le coronavirus circulant aurait pu être généré dans un laboratoire. Un mois plus tard, le dr Fauci, sans aucunement faire part de son implication secrète, cita cette même lettre dans une conférence de presse tenue à la Maison Blanche, comme preuve que le virus de la COVID-19 était une évolution naturelle. Dans les mois qui ont suivi, l’employeur d’Andersen le Scripps Research Institute, recevait toute une série de financements du NIAID pour un total de 78 millions de dollars pour l’année en cours. A la fin 20020, le NIAID avait doté les employeurs de 4 des 5 signataires de la lettre pour un totale de 155 millions de dollars. Voilà comment le jeu se joue. Les disciples et petits soldats du dr Fauci le comprennent très bien, aussi longtemps qu’ils soutiennent Fauci, ils continueront de bénéficier d’une rivière sans fin de fonds publics de la santé, butin que le dr Fauci contrôle, leurs parts de ce butin rapporté par la guerre contre les germes et contre les sceptiques.

En mars 2020, Bill Gates prit sa retraite de sa position au comité directeur de Microsoft expliquant qu’il “allait maintenant passer le plus clair de son temps à s’occuper de la pandémie.

Gates célébra sa retraite de Microsoft en dirigeant une véritable rivière d’argent pour la construction de six usines de fabrication des différents vaccins contre la COVID et à financer les essais de ces vaccins par des labos pharmaceutiques comme Inovio Pharmaceuticals, AstraZeneca, et Moderna Inc., tous des leaders dans la course au développement des injections anti-COVID. La fondation Gates investÎt aussi 480 millions de dollars dans “une grande variété de candidats vaccins et plateformes technologiques” au travers du programme Coalition for Epidemic Preparedness (CEPI) que Gates fonda avec le directeur de Wellcome Trust, Jeremy Farrar. Dans le même temps le dr Fauci s’en fut gérer l’équipe spéciale COVID de la Maison blanche.

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Personne n’a jamais questionné l’affirmation en quasi mantra, qu’il répéta tel un chant grégorien : “Soyons réalistes, si nous devons retourner à la normale, nous devons développer un vaccin sûr et efficace. Nous devons produire des milliards de doses que nous devrons distribuer dans toutes les parties du monde et nous devons faire ceci le plus rapidement possible.” Il répéta des versions de ce message ad nauseam comme il le fit encore sur CNN le 22 mai 2020 : “Les choses ne retourneront pas vraiment à la normale tant que nous n’aurons pas un vaccin que nous aurons déployé dans littéralement le monde entier.”

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Le 9 février 2021, avec son Operation Warp Speed touchant à sa fin, le dr Fauci prit un repos mérité et fit une annonce excitante. Il dit à ses acolytes médiatiques que le NIAID venait juste de se commettre dans une initiative de 200 millions de dollars en collaboration avec la Fondation Gates pour financer la nouvelle génération de vaccins anti-SIDA en utilisant la nouvelle technologie ARNm du NIAID. “Cette collaboration est un pas ambitieux vers la mise en place des outils technologiques les plus pointus et l’infrastructure mondiale conséquente du NIAID concernant la recherche sur le VIH pour un jour, délivrer un remède et mettre fin à la pandémie mondiale du VIH.” Ignorant plus de 40 ans d’échecs abyssaux, le directeur du NIH Francis S. Collins, docteur en médecine, Ph.D, qui joue le rôle de Robin épaulant Fauci-Batman ajouta : “On va faire fort ou rentrer à la maison.

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La journaliste Celia Farber dit de Fauci : “Il est le P.T. Barnum de la santé publique, il fait claquer le fouet, dit “abracadabra” et tous oublient qu’ils ont vu le même truc tant et tant de fois. C’est vraiment quelque chose d’hallucinant.””

Dès lors, l’arsenal Fauci/Gates était au top de toutes les levées de fonds et de rentrées d’argent de l’histoire de la médecine avec leurs associés de pharma, Pfizer seul projectant 96 milliards de dollars de ventes en vaccins anti-COVID.

Moderna suivit le dr Fauci avec un communiqué de presse annonçant de nouveaux vaccins ARNm pour les virus zika, ebola, grippe, pour le cancer et le VIH.

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Le 31 août 2021, le dr Fauci a reconnu l’arrêt une fois de plus prématuré d’une autre de ses expériences africaines de vaccin anti-SIDA. Un essai sur une large base de 2600 filles africaines d’une injection anti-SIDA de Johnson & Johnson, financé conjointement par le NIAID et la FBMG, a échoué de montrer une quelconque efficacité.

C’est l’écrivain Rudyard Kipling qui a inventé l’expression “ le fardeau de l’homme blanc” dans son poème  de 1897 exhortant l’impératif moral des Etats-Unis et de l’Angleterre pour imposer les civilisations occidentales et le christianisme aux peuples tribaux africains, ce pour leur bien. […] Mon intérêt pour l’Afrique commença gamin. J’ai voyagé sur ce continent pendant 6 décennies et ai eu la chance d’y rencontrer parmi les leaders les plus visionnaires des gens comme Tom Mboya, Jomo Kenyatta, Julius Nyerere et bien sûr Nelson Mandela. ces leaders anti-coloniaux avaient bien compris que la pauvreté est une conspiration complexe de maladies sociales, historiques, politiques, institutionnelles et techniques. On y fait le plus souvent mieux face avec des expériences locales, à petite échelle, faites sur mesure et en utilisant le système action/erreur.

Le vaccin anti-VIH et le programme antiviral de Gates est, à cause de leur développement à l’échelle d’un continent, sans aucun doute le pire d’une bien longue série de plans paternalistes occidentaux mené par des aventuriers impérialistes, avares, truqueurs, escrocs, charlatans, menteurs à la double parole, qui promettent régulièrement de mettre un terme à la souffrance africaine.

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Au mieux, Gates et le dr Fauci sont juste les derniers d’une longue liste de croisés, escrocs et conquistadors qui apparaissent périodiquement sur le continent armés de la conviction qu’ils savent toujours mieux que les Africains ce qui est bon pour eux. Bien trop souvent, tout cela ne représente que des projets préfabriqués, servant des intérêts spécifiques et qui en fin de compte, ne font qu’additionner les calamités et magnifier la souffrance. Au pire, des mots  de Loffredo et Greenstein, Gates et sa fondation fonctionnent “comme un cheval de Troie pour les entreprises occidentales, qui n’ont bien entendu pas d’autre objectif que de grossir leurs dividendes… La fondation semble voir le Grand Sud à la fois comme une décharge publique pour des médicaments jugés dangereux pour le monde développé et un terrain pour les tests de nouveaux médicaments et vaccins en attente d’être estampillés “sûrs” pour la mise sur le marché occidental.

Les vaccins magiques sont la solution miracle de Gates pour les maux que sont la pauvreté, la famine, la sécheresse et la maladie. L’absurdité totale de ces injections onéreuses contre l’indigence, comme salvatrices de la malnutrition ou le remplacement de l’eau potable est évidente lorsque l’on considère que plus de 3 milliards de personnes dans le monde vivent avec moins de 2 dollars par jour, que plus de 800 millions de personnes n’ont pas assez à manger, qu’un milliard n’a pas d’eau potable ou un quelconque accès à une hygiène de vie, qu’un milliard plus d’êtres humains sont illettrés et qu’un quart environ des enfants des pays pauvres ne finissent jamais l’école primaire. La pauvreté est une grande cible certes, mais les données suggèrent que les vaccins de Gates loupent totalement cette cible.

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Pire encore, Gates a utilisé stratégiquement son argent pour infecter les agences d’aide internationale avec ses priorités ne remplissant que son agenda propre. Les Etats-Unis ont été historiquement les plus grands donateurs de l’OMS avec une contribution de 604 millions de dollars en 2018-19 (derniers chiffres disponibles). Cette année là, la FBMG donna 431 millions de dollars et GAVI donna 316 millions. De plus, Gates fait aussi transiter de l’argent vers l’OMS au travers de SAGE et de l’UNICEF et de Rotary International, ce qui fait de lui un contributeur de plus de 1 milliard de dollar par an, ce qui fait de lui le top sponsor non officiel de l’OMS et ce avant même le retrait de fonds de l’administration Trump en 2020, qui coupa son soutien à l’organisation.

Ces dons de 1 milliard de dollars exonérés d’impôt donnent à Gates un levier de contrôle sur les 5,6 milliards de dollars de budget de l’OMS et sur sa politique de santé internationale, qu’il dirige largement pour servir les intérêts de profit de ses associés de Big Pharma. Les gros labos pharmaceutiques cimentent le biais institutionnel de l’OMS envers les vaccins avec environ 70 millions de dollars par an de contributions directes. “Nos priorités sont vos priorités” avait déclaré Gates en 2011.

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D’après McGoey : “En accord avec sa charte, l’OMS est supposée être responsable devant les gouvernements membres. La FBMG en revanche, n’est responsable que devant son comité de trois trustees : Bill et Melinda Gates et le CEO de Berkshire Hathaway, Warren Buffett. Bien des organisations civiles craignent que l’indépendance de l’OMS ait été compromise alors qu’une grande partie de son financement provient d’organisations philanthropiques privées qui ont le pouvoir de dicter où et comment l’organisation des Nations-Unies peut et doit dépenser son argent.” McGoey observe que “Pratiquement toute décision d’importance de l’OMS est d’abord validée par la Fondation Gates.

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Leur contrôle de plusieurs milliards de dollars annuels donne à Gates et Fauci un contrôle efficace non seulement sur l’OMS, mais aussi sur les agences d’autorité quasi-gouvernementales que Gates, souvent avec l’assistance de Fauci, a créé et / ou financé, ce incluant les CEPI, GAVI, PATH, UNITAID, UNICEF, SAGA. le Programme de Développement Global, le Global Fund, la Collaboration de Brighton et les ministères de la santé de douzaines de pays africains qui dépendent très largement de l’OMS et autres partenariats mondiaux pour la santé.

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La BMGF contrôle aussi le Strategic Advisory Group of Experts (SAGE), le groupe de conseil principal de l’OMS pour les vaccins. Dans une réunion récente, la moitié de comité directeur du SAGE avait des conflits d’intérêt avec la Fondation Gates.

Le plus puissant de ces groupes est GAVI, le second financier non-étatique de l’OMS. Gates a créé GAVI comme un “partenariat public-privé” qui facilite la vente en gros de vaccins des partenaires de Big Pharma vers les pays pauvres.

GAVI est le modèle pour l’impressionnante capacité de Gates à utiliser sa célébrité, sa crédibilité et sa richesse pour hypnotiser les hauts-fonctionnaires et les chefs d’états pour donner à Gates le contrôle de leur dépense étrangère. Gates a lancé GAVI en 1999 avec une donation de 750 millions de dollars. La FBMG occupe un siège permanent au comité directeur de GAVI. D’autres organisations que Gates contrôle ou sur lesquelles il peut compter comme l’OMS, l’UNICEF et la Banque Mondiale et l’industrie pharmaceutique y occupent les sièges additionnels, donnant à Gates ni plus ni mins une autorité dictatoriale sur GAVI et ses prises de décision. La FBMG a donné pour un total de 4,1 milliards de dollars à GAVI jusqu’ici.

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Lorsque le président Trump a retiré les Etats-Unis de l’OMS en 2020, il continua le financement de GAVI à hauteur de 1,16 milliards de dollars. L’effet cumulatif donc du retrait des Etats-Unis augmenta le pouvoir de Gates sur l’OMS et sur la politique de la santé mondiale.

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De plus, la magnitude impressionnante des contributions financières de sa fondation a fait de Bill Gates un leader non officiel et non élu certes de l’OMS.

Dès 2017, le pouvoir de Gates était si total, qu’il choisit lui-même le patron de l’OMS. Tefros Adhanom Ghebreyasus devint le secrétaire général de l’OMS, ce malgré les plaintes faisant état que pour la première fois, le SG de l’OMS ne serait pas médecin et aussi malgré le passif de Tedros. Les critiques accusent de manière crédible Tedros de contrôler un groupe terroriste associé avec des violations extrêmes des droits de l’Homme incluant des politiques génocidaires contre un groupe tribal rival en Ethiopie. Comme ministre éthiopien des affaires étrangères, Tedros supprima violemment la liberté de parole, incluant l’arrestation et la mise en détention de journalistes qui critiquaient la politique du régime en place, celui de son parti politique. La qualification clef qui fit qu’il obtint le boulot à l’OMS est sa fidélité sans bornes à Bill Gates Tedros a servi auparavant aux comités directeurs de deux organisations financées par Gates : GAVI et le Global Fund, où Tedros fut le fidèle patron des comités ayant la confiance de Gates.

GAVI est le résultat le plus tangible de l’association entre Gates et Fauci au début des années 2000 Sous les termes mêmes du partenariat, le dr Fauci met au chaud une floppée de nouveaux vaccins depuis les labos du NIAID et les fait sous-traiter pour leurs essais cliniques par ses PI universitaires et les multinationales pharmaceutiques dans lesquelles Gates détient de lourdes parts investies. Gates ensuite construit des chaînes de fournisseurs et crée des outils financiers novateurs pour garantir les marchés à ces entreprises dans des pays du tiers monde.

Un point clef de cette affaire est la capacité de Gates, au travers l’OMS,  de mettre la pression sur les pays en voie de développement pour l’achat de vaccins et d’utiliser GAVI comme une banque au travers de laquelle les pays riches co-signent la dette. Auparavant, les nations occidentales faisaient passer leur aide internationale avec les ONG traditionnelles pour la nourriture et le développement économique, Gates a capturé ces circuits de la circulation de l’argent pour GAVI et ses associés de Big Pharma et mettant la pression sur les pays occidentaux pour qu’ils fassent passer leur aide par GAVI. De cette façon, Gates détourne l’argent de l’aide étrangère des gouvernements riches, le faisant déverser chez les fabricants de médicaments.

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En mai 2012, à la suite de deux réunions avec le CEO du GAVI, le Dr Seth Berkley, Fauci décrivit candidement l’intime relation entre GAVI et le NIH.

Nous, le NIH, travaillons comme le composant en amont du développement de la recherche fondamentale. GAVI développe un vaccin et le met entre les mains des gens qui en ont besoin. Tandis que le NIH est le haut dans l’amont, GAVI travaille dans l’aval. Il n’y a pas de différence entre l’organisation de Gates et son agencement. Ce sont des zones en synergie et en étroite collaboration avec nous en créant des standards sur ce qu’on a besoin et quelles questions de recherche sont importantes à résoudre… Nous ne voulons pas mettre des ressources, particulièrement dans le monde en voie de développement, si la recherche n’est pas faite, particulièrement avec les préoccupations sur la réfrigération [des vaccins]. GAVI est une force bien plus visible et coordonnée maintenant, ayant de multiples ressources, travaillant dans beaucoup de pays. En contraste avec quelques gouvernements africains peu fiables, c’est une organisation qui peut agir de concert directement avec nous.

Les nations occidentales ont originellement conçu l’OMS et l’ONU pour personnifier leurs idéologies libérales, mises en place via une structure démocratique d’un système de une nation, un vote,” m’a dit l’activiste des droits de l’Homme indienne la Dr Vandana Shiva. “Gates a détruit tout cela à lui tout seul. Il a kidnappé l’OMS et l’a transformée en un instrument de pouvoir personnel qu’il manie pour des objectifs cyniques, comme celui d’augmenter les profits de l’industrie pharmaceutique dans laquelle il a lourdement investi. Il a privatisé nos systèmes de santé et nos systèmes alimentaires pour servir ses propres objectifs.

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Un des points absolument clef de la main mise de Gates sur les vaccins, et largement passé inaperçu jusqu’à très récemment dans la presse mondiale, est sa motivation résolue et sa main de fer pour protéger la propriété intellectuelle de Big Pharma. Lorsque Sky News lui a demandé dans un entretien si le partage de la propriété intellectuelle et des droits pour les recettes des vaccins n’aiderait pas au final, Gates a répondu de manière cinglante : “NON !”

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Le modèle d’affaire philanthro-capitaliste de Gates repose sur le sacro-saint monopole de la connaissance et donc, avec le monde qui le regardait, Gates révéla que l’intégrité des brevets, la source même des profits pour ses associés de l’industrie pharmaceutique, est la condition sine qua non de ses initiatives mondiales de la santé. Le choix se posant, la protection des brevets éclipse totalement ses préoccupations affirmées sur la santé publique.

[…] Toute prétention que la démocratie ou l’équité devraient déterminer la politique de la santé mondiale s’est effondrée devant le pouvoir puissant et l’influence de Bill Gates.

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Le dévouement de Gates aux droits des brevets est existentiel et sans faille, il a défendu la propriété intellectuelle sans merci du temps des débuts de Microsoft. Gates a bâti sa fortune et son modèle de philanthro-capitalisme sur l’autel de la propriété intellectuelle et des protections de logiciels, de nourriture et de médicaments.

Gates est devenu le champion de ses associés de Big Pharma en triomphant de Nelson Mandela dans un combat mano a mano durant la grande crise du SIDA africain dans les années 90.. […] Mandela s’était fait l’apôtre de la croisade du tiers monde pour permettre aux fabricants de médicaments génériques (NdT: hors marque) de donner accès aux pauvres du monde à des médicaments sauveurs très bon marché, notamment les médicaments contre le SIDA.

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Se drapant de l’autorité morale d’être le plus grand bon samaritain au monde, Gates se fit le champion de l’industrie pharmaceutique, faisant prévaloir la cause de la propriété intellectuelle et des monopoles sur la science et la connaissance au détriment de la santé publique.

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En décembre 1997, l’administration Mandela poussa une loi permettant aux officiels de la santé d’importer, de produire ou d’acheter des médicaments génériques contre le SIDA, produits qui étaient hors de portée des bourses de la plupart des Africains. L’industrie pharmaceutique est plus qu’heureuse de tester ses médicaments sur les populations africaines, mais avait placé le prix de ces produits finis hors de leur portée. GSK par exemple, continuait de vendre le traitement annuel à l’AZT quelques 10 000 US$. Gates déclara la guerre à Mandela et sa croisade pour les médicaments génériques bon marché en soutenant une action en justice mené par 39 labos pharmaceutiques multinationaux, qui attaquèrent en justice l’Afrique du Sud pour empêcher les nations les plus pauvres d’avoir accès à des médicaments anti-SIDA génériques pour leurs peuples. Une fois de plus, Gates mit les feux de la rampe sur la veulerie.

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En fin de compte, Gates et Big Pharma gagnèrent l’action en justice, et Gates aida à faire établir des protections pare-balles sur les brevets pharmaceutiques par son soutien implacable de la Trade-Related Aspects of Intellectual Property (TRIPS), un accord international qui interdit l’utilisation de médicaments génériques non reconnus pour combattre le SIDA et autres maladies.

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Dans une conférence de presse de février 2021, Francis Collins a dit que la nouvelle génération de vaccins anti-VIH du NIH allait spécifiquement cibler les Africains et Afro-Américains “pour s’assurer que tout le monde, partout, ait l’opportunité de guérir et pas seulement les malades des pays riches.” […] Melinda Gates a dit au magazine “Time” que les noirs américains devaient recevoir le vaccin anti-COVID19 en priorité.

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En août 2021, le CDC prit officiellement le point de vue de Pollyannaish pour dire que pas une des 13 0000 morts enregistrées par le système VAERS aux Etats-Unis suivant la vaccination anti-COVID jusqu’au 20 août 2021, n’est liée aux injections. Pas une seule.

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L’épidémie de morts mal à propos parmi les leaders politiques africains, chefs d’états et ministres de gouvernements, ainsi que de médecins qui s’opposèrent a la politique Gates/COVAX, a provoqué une vague de théories du complot suggérant que tous ces hommes ont été assassinés pour réduire la dissidence au silence.

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Les spéculations d’assassinats sur internet ont atteint un paroxysme après l’assassinat bizarre du président haïtien Jovenel Moïse par une équipe de mercenaires colombiens bien entraînés ayant des liens étroits avec les services de renseignement des Etats-Unis. Moïse était une forte voix d’opposition au programme de vaccination de l’OMS. Les leaders africains qui sont morts soudainement après avoir critiqué la politique de l’OMS incluent le président John Magufuli de Tanzanie (le 17 mars 2021), le premier ministre de la Côte d’Ivoire Hamed Bakayoko (10 mars 2021), le président du burundi Pierre Nkurunziza (8 janvier 2020) et le très populaire et de grande influence ex-président de Madagascar, anti-vax Didier Ignace Ratsiraka (28 mars 2021). Le médecin kenyan adoré Stephen Karanja, président de l’Association des Médecins Catholiques du Kenya, qui avait exposé le programme de stérilisation de l’OMS en 2014 et qui critiqua la politique COVID de l’agence dès 2020, est aussi mort, si-disant de la COVID le 29 avril 2021.

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Un article du British Medical Journal (BMJ) fait remarquer que le taux de mortalité de 1:33 chez les élus africains par COVID est sept fois plus élevé que le taux de leurs pairs dans le même groupe âge/sexe et de la démographie de la population générale durant cette période.

Je n’endorse pas la théorie qui dit que ces hommes furent assassinés, je ne rejette pas non plus ces spéculations. Il est naïf de croire  que des hommes et des femmes ayant un certain pouvoir et qui menacent une industrie pesant 1000 milliards de dollars, alliée avec les agences de la barbouzerie occidentale le font sans prendre un certain risque. Je documenterai l’intérêt avéré de la communauté occidentale du renseignement et des militaires sur l’entreprise de la vaccination des Africains dans le chapitre 12, “Jeux de germe”.

L’implication historique des agences de renseignement occidentales dans des coups d’état et des assassinats de leaders politiques africains pour leur clientèle entrepreneuriale est très bien documentée. J’ai un souvenir personnel très clair de la réaction de choc qu’ont eue mon père et mon oncle JFK en apprenant l’assassinat du libérateur congolais Patrice Lumumba le jour de mon anniversaire le 17 janvier 1961, une semaine avant l’intronisation de mon oncle JFK comme président des Etats-Unis. Il voyait Lumumba comme le “George Washington du Congo”. Les compagnies minières américaines et européennes avaient leurs yeux rivés sur l’extrême richesse du Congo en minerais de toute sorte et Lumumba, un nationaliste adoré du peuple, qui mena le mouvement de libération du Congo contre la Belgique, avait juré de déployer cette richesse, pour le bénéfice du peuple congolais. Nous savons depuis que la CIA et les agences de renseignement belges ont collaboré à l’assassinat de Lumumba (La Belgique a officiellement présentée ses excuses en 2002 pour cette assassinat). Le directeur de la CIA d’alors, Allen Dulles [NdT: dont le frère gérait l’entreprise familiale American Fruit Company, responsable de bien des méfaits en Amérique centrale et du sud…], qui avait planifié de faire tuer Lumumba avec du dentifrice empoisonné, savait que mon oncle avait une grande affection et admiration pour Lumumba. Dulles avait peur que JFK n’interfère avec le plan de la CIA de liquider le leader charismatique. Parmi d’autres méfaits notoires, la CIA renversa les gouvernements du Ghana en 1966 et du Tchad en 1982.

Des enquêtes du congrès des Etats-Unis dans les années 1970 exposèrent les années d’expériences de la CIA avec des poisons intraçables et des outils de meurtre secret. [NdT: la commission d’enquête du sénateur Church]. Des scientifiques de la CIA, incluant le neuro-chirurgien du NIH Maitland Baldwin, travaillant sous le directeur responsable du programme MK Ultra Sidney Gottlieb à Fort Detrick, concoctèrent un arsenal diabolique d’armement d’assassinat incluant des armes à faisceaux de radiation par fréquence radio, des microbes pathogènes et des produits chimiques se dissipant, tous faits pour imiter une mort naturelle. Cette armurerie de toxines donna à l’agence la capacité d’assassiner des leaders politiques étrangers récalcitrants et non-coopératifs tout en évitant la suspicion. De tels turpitudes suggèrent que cela devient le devoir des citoyens de rester vigilants pour ces temps où la démocratie perd le contrôle d’agences de renseignement renégates.

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Les médias de masse qui émargent grandement aux dollars de la publicité de Big Pharma et aux largesses de la FBMG sur leurs plateformes aiment bien caractériser Gates comme un “expert en santé publique”. Mais six ans après que Gates ait ordonné Fauci dans son palace de Seattle, deux journalistes d’enquête du Los Angeles Times, Charles Piller et Doug Smith, employaient l’expression “le fardeau de l’homme blanc” pour décrire l’impact catastrophique de l’ingérence médicale de Gates en Afrique. Ce titre suggère que les efforts de Gates pour “sauver” les races noires et basanées de la famine et de la maladie, masque en fait toutes les impulsions familières et classiques du contrôle impérialiste. […]

Pillet et Smith détaillent comment la diversion systématique de Gates des dépenses médicales internationales de l’Afrique vers ses vaccins haute technologie, très chers et le plus souvent non testés, tuant des bébés à travers tout le continent africain. La priorité de Gates sur les vaccins a asséché le flot autrefois abondant de l’assistance étrangère répondant aux besoins en nutrition de base et qui finançait des outils et instruments médicaux bon marché, efficaces et qui pouvaient prévenir bon nombre de morts. L’équipe du Los Angeles Times documente comment, dans un simple hôpital du Lesotho, un ou deux bébés meurent chaque jour par asphyxie parce qu’il n’y a pas de détendeur à oxygène qui coûte 35 US$ : “ce détendeur à 35 US$ est hors des 400 millions de dollars annuels donnés par Gates pour les vaccins, dont quasiment tout va aux vaccins contre le VIH, la polio, la tuberculose et le paludisme.” Le régime Gates a aussi retiré la priorité des médicaments hors brevets (génériques) contre le paludisme comme l’hydroxychloriquine qui pourraient prévenir plus de la moitié des cas de paludisme et des morts de cette maladie avec un traitement coûtant 12 centimes la dose, ainsi que des moustiquaires à 4US$ qui épargnerait à un très grand nombre d’enfants d’attraper le paludisme. Il est estimé que 3US$ en nourriture et en médicaments conventionnels allant à chaque mère pourraient empêcher la mort de 5 millions d’enfants par an.

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En réduisant le spectre de l’aide internationale pour ne financer que des solutions de Big Pharma à une poignée de maladies phares, Gates a non seulement réduit la dépense publique sur les équipements de base sauveurs de vie ainsi que sur la nourriture et l’eau potable, mais il a aussi retiré parmi les tous meilleurs spécialistes de la santé de terrain et chercheurs de la base de sauvegarde des vies.

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Le Los Angeles Times conclut que l’obsession de Gates avec des vaccins préventifs de maladies a proportionnellement réduit les flots d’assistance pour la nutrition, les transports, l’hygiène et le développement économique, ce causant des impacts négatifs sur la santé publique : “Beaucoup de malades du SIDA ont si peu de nourriture, qu’ils vomissent leurs pilules anti-SIDA gratuites. Parce qu’il n’y a pas de bus ou n’ont pas l’argent pour le prendre, d’autres ne peuvent pas se rendre dans des cliniques qui offrent des traitements salvateurs.

La fondation Gates s’occupe de ces impacts catastrophiques sur des sujets de santé plus larges en bloquant les Africains de parler de leurs problèmes et de tous problèmes n’ayant pas de solution “vaccinale”. D’après le rapport “Les programmes de vaccination financés par Gates ont donné pour consigne aux personnels médicaux d’ignorer, et même de décourager les malades de parler de  toutes les maladies ou conditions que des vaccins ne peuvent pas prévenir. Ceci est particulièrement malsain dans les cliniques de brousse où une visite dans une clinique pour une injection est le seul contact que des villageois ont avec des personnels médicaux pendant des années.”

L’OMS, GAVI et le Global Fund fonctionnent de manière efficace comme des commissaires politiques et idéologiques renforçant les priorités vaniteuses d’un Bill Gates.

[…]

L’affirmation de Gates que ses vaccins “ont sauvé des millions de vies” est un auto-tropisme pour lequel il n’offre absolument aucune preuve, aucune validation scientifique et aucune responsabilité. La plupart de ceux qui prennent les grandes décisions et les conseillers de l’organisation de Gates sont d’anciens magnats de l’industrie pharmaceutique et des régulateurs qui, sans aucune surprise, partagent sa vision pharma-centrique du monde.

Par exemple, le Dr Tadataka Yamada, un triste sire abuseur qui a servi comme président du programme de Santé Globale de la FBMG de 2005 à 2011, est l’ancien directeur de la recherche du labo GlaxoSmithKline (GSK). Il quitta GSK juste avant qu’un comité sénatorial américain sur la finance ne veuille le questionner au sujet de multiples accusations le mettant au centre d’une campagne d’intimidation et de menace pour réduire au silence des médecins en vue, enquêtant sur le labo britannique et sa connaissance d’avoir tué quelques 83 000 Américains avec le médicament très vendu contre le diabète, Avandia. Gates était au courant de la conduite sordide de Yamada parce que le staff du comité sénatorial envoya à sa fondation une lettre demandant à Yamada de venir répondre devant le comité. Un article de 2007 de l’une de ces personnels du comité, Alicia Mundy, décrit comment Yamada a menti de manière répétés à ses interrogateurs. Le successeur de Yamada à la FBMG. Trevor Mundel, était un exécutif à la fois de Novartis et de Pfizer. La patronne de la communication de la fondation, Kate James, a travaillé chez GSK pendant près de 10 ans. Penny Heaton a travaillé pour les laboratoires Merck et Novartis avant que Gates ne la nomme directrice du Développement Vaccinal de la FBMG.

[…]

L’obsession du dr Fauci et de Bill Gates avec le SIDA est une manne pour des entreprises comme Merck et GSK avec lesquelles les deux hommes sont associés, mais ceci a été un partenariat désastreux pour les Africains.

[…]

Le Dr Francis Omaswa, conseiller spécial des ressources humaines à l’OMS, estime que les dépenses de Gates “pourraient être cinq fois plus bénéfiques” s’il dirigeait sa philanthropie vers la pauvreté et le soutien au système médical déjà en place. Ceci est la critique la plus commune émanant des experts reconnus en santé publique.

[…]

La professeur en santé publique de l’université de Toronto, Anne Emmanuelle Birn a écrit en 2005 que la fondation Gates avait une “compréhension étriquée de la santé comme étant le produit d’interventions techniques totalement séparées des conditions économiques, sociales et de tout contexte politique.

[…]

Un des anciens exécutifs de GAVI a même rapporté que Bill Gates lui avait souvent dit en privé qu’il était fortement “contre les systèmes de santé” parce qu’ils étaient “un total gaspillage d’argent.

[…]

Bill Gates est connu pour “détester ce secteur de GAVI [la coopération avec les systèmes de santé publique]”. L’antipathie de Gates envers les systèmes de santé publique reflète un mépris pathologique, presque au niveau de la bigoterie, pour les institutions africaines et la science.

[…]

Après l’article dévastateur du Los Angeles Times, Gates passa à l’offensive pour neutraliser une presse autrefois indépendante avec des dons et financements compromettants que les organisations médiatiques en perte de vitesse et financièrement chancelantes ne pouvaient pas refuser. Un exposé de Tim Schwab d’août 2020 dans le Columbia Jourmalism Review a montré comment Gates a dépensé au moins 250 millions de dollars en dons et financements médiatiques vers des officines d’information telles que : La NPR (radio publique américaine), la télévision avec PBS, BBC, Al Jazeera et la presse écrite avec des journaux et magazines comme The Guardian, The Independant (sic), Propublica, The Daily Telegraph, The Atlantic, The Texas Tribune, Gannett, Washington Monthly, Le Monde, The Financial Times, The National Journal, Univision, Medium et le New York Times, ce afin de casser l’appétit des journalistes pour… le journalisme. De fait, la FBMG finance entièrement la section du Guardian sur le “Global Development”. Cet investissement a valu au couple de la Fondation cet article à la manchette pompeuse du Guardian du 14 février 2017 : “Comment Bill et Melinda Gates ont aidé à sauver 122 millions de vies et que veulent-ils résoudre dans le futur.

Le journal du Guardian de Londres appelle Bill Gates et son associé Warren Buffett “Superman et Batman”.

La FBMG a aussi investi des millions dans l’éducation journalistique et dans la recherche de moyens efficaces de créer des narratifs médiatiques soutenant les ambitions de Bill et Melinda Gates.

[…]

La fondation Gates héberge fréquemment des réunions sur “les partenariats médiatiques stratégiques” dans son QG de Seattle. Des représentants du New York Times, du Guardian, de NBC, NPR et du Seattle Times ont participé à la convocation de 2013. Le but de la réunion écrivit Tom Paulson, journaliste de Seattle, était “d’améliorer le narratif” de la couverture médiatique mondiale pour l’aide globale et le développement, mettant l’emphase sur les bonnes histoires plutôt que sur les affaires de corruption ou de gaspillages de fonds. La même année, la FBMG donna au colosse du marketing Ogilvy & Mather, une entreprise de relations publiques internationales, une donation de 100 000 US$ pour un projet intitulé “L’aide marche: faites-en part au monde”.

[…]

Le Washington Post du milliardaire d’Amazon Jeff Besos a appelé Bill Gates “le champion des solutions scientifiques”. Le New York Times répand qu’il est “l’homme le plus intéressant du monde”. Le Time Magazine a fait de lui “Le maître de l’univers”. Le magazine Forbes appelle Gates “le sauveur du monde” qui “établit le standard pour un milliardaire bon citoyen”. Admirativement, des éditeurs du magazine de mode Vogue se demandèrent “Pourquoi Bill Gates ne mène t’il pas la force spéciale contre le Coronavirus ?”

Ignorant le fait que Bill Gates a abandonné ses études et ne possède aucun diplômes universitaires, encore moins d’une faculté de médecine, les médias de masse répètent à l’unisson l’évaluation de la BBC disant que “Gates est un expert de la santé publique” et tourne en ridicule tous ceux qui questionnent le fait que le monde devrait prendre ses conseils le servant en premier lieu sur les confinements, les masques et les vaccins. Juste aux Etats-Unis Gates et Fauci sont apparus sur des programmes de CNN, CNBC, Fox, PBS, BBC, CBS, MSNBC, the Daily Show et le Ellen de Generes Show, renforçant leur message biaisé sur les confinements et les masques. Aucun des journalistes n’a mentionné le fait que les confinements dont Gates se faisait la groupie avaient contribué à augmenter sa fortune personnelle de 22 milliards de dollars sur une période de juste 12 mois.

[…]

Si l’aide fonctionne si bien”, demande McGoey, “alors pourquoi donc ont-ils besoin d’une campagne de relation publique très pointue pour faire passer le message efficacement ? Bien des observateurs à droite comme à gauche suggèrent que le problème n’est pas dans un échec de marketing et de relations publiques, mais que l’échec réside dans le produit sous-jacent. L’aide, argumentent-ils, ne fonctionne pas …

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« Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique » Robert F. Kennedy Jr (Chapitre 9 : entre en lice la seconde pourriture… Bill Gates / 1ère partie)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologie, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , on 11 février 2022 by Résistance 71

RFK_RealFauci

Note de Résistance 71 : Ce chapitre étant long (une quarantaine de pages), nous en publierons la traduction en deux parties afin de ne pas trop faire attendre nos lecteurs. Dans ce chapitre entre en lice la seconde ordure de service : Bill Gates et nous y apprenons comment Fauci et Gates se sont rencontrés et quel partenariat ils ont formé pour le mal de l’humanité en général et l’Afrique dans un premier temps en particulier.
Pour en savoir plus sur ce douteux personnage psychopathe, nous recommandons vivement le visionnage et la diffusion alentour du remarquable documentaire de James Corbett sur le gugusse en question. Tout y est dit dans le détail et est un excellent approfondissement de ce qui est avancé dans le livre de RFK Jr…

Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Janvier 2022

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9 Le fardeau de l’homme blanc

[1][2]

1.

En 1984, à la suite de la célèbre conférence de presse du Dr Robert Gallo, le dr Fauci a promis au monde un vaccin contre le SIDA dans un avenir proche. Produire une immunisation efficace contre la maladie serait, bien entendu, la meilleure façon de contrer le Dr Duesberg et ses suiveurs ainsi que tous les autres critiques de l’hypothèse VIH/SIDA. “Finalement”, assura le dr Fauci à la presse mondiale, “étant donné que nous avons maintenant le virus en main, il est très possible en fait, il est inévitable, que nous développions un vaccin contre le SIDA.

[…]

Les trente ans d’observation attentive journalistique veulent dire qu’il n’y a toujours pas de narratif public cohérent faisant la chronique de la quête futile du dr Fauci pour ce “vaccin inévitable” contre le SIDA, encore moins une responsabilité. En lieu et place, les scientifiques de l’industrie médico-pharmaceutique et du gouvernement ont enveloppé la scandaleuse saga dans un voile de secret, de subterfuge et de transgression, mettant dans l’ombre un millier de calamités et une mer de larmes méritant à elles seules un livre à part entière. Chaque faible et minuscule effort pour faire une recherche sur cette gigantesque débâcle, que ce soit sur Google, PubMed, les sites d’information et les données cliniques publiées, ne fait que mener à de nouvelles atrocités toute plus choquante l’une que l’autre, un défilé morose et répétitif de tragédies horribles et poignantes, qu’à une arrogance institutionnelle retranchée et à un racisme évident, des promesses non tenues, de très larges dépenses d’une trésorerie gaspillée et la veulerie mensongère récurrente d’Anthony Fauci, de Robert Gallo et de Bill Gates.

[…]

En 1998, un nouveau financier pour le VIH fit son apparition, un qui avait les poches bien profondes et partageait une véritable obsession des vaccins.

Cette année là, La William H. Gates Foundation annonça un plan de financement de la recherche sur le SIDA de 500 millions de dollars sur neuf ans au travers de l’International AIDS Vaccine Initiative (IAVI) de Bill Gates, l’organisation qui précéda la Global Alliance for Vaccines and Immunization ou GAVI. Le président de l’IAVI, Seth Berkley, le très fidèle sbire et très largement rémunéré de Gates, déclara que le plan financerait de multiples essais cliniques de candidats vaccins contre le SIDA dans des pays en voie de développement. Si un des vaccins fonctionnait ne serait-ce que raisonnablement sur des Africains sub-sahariens, alors il pourrait être testé dans les pays occidentaux.

[…]

Deux ans après que Gates ait annoncé l’IAVI, il fit venir le dr Fauci à Seattle pour lui proposer une association qui, deux décennies plus tard, aura des impacts profonds sur l’humanité. Le dr Fauci rencontra Bill et Melinda Gates pour la première fois lors de ce voyage à Seattle. Pour soi-disant discuter du combat contre la tuberculose, le milliardaire de Microsoft avait invité le patron du NIAID à une réunion des caïds de la santé dans sa grande propriété de quelques hectares et de 127 millions de dollars au milieu de la forêt sur les rives de lac Washington. Après le dîner, Gates appela Fauci hors du troupeau et le mena dans sa très grande bibliothèque à dome bleu qui surplombe le lac. Fauci s’est souvenu : “Melinda faisait un tour du propriétaire aux autres invités et il me demanda : ‘puis-je avoir un peu de temps en privé avec vous dans ma bibliothèque ?’ cette incroyable bibliothèque… et nous nous sommes assis. Ce fut là qu’il me dit : ’Tony, vous gérez le plus grand institut pour maladies infectieuses au monde et je veux m’assurer que l’argent que je dépense est bien dépensé. Pourquoi ne nous connaîtrions-nous pas mieux ? Et si nous devenions associés ?’”

Durant les deux décennies qui suivirent, ce partenariat ferait des métastases incluant des laboratoires pharmaceutiques, tous collaborant pour faire la promotion de pandémies comme arme biologique et des vaccins et un nouveau modèle d’impérialisme entrepreneurial ancré dans l’idéologie de la biosécurité. Ce projet allait rapporter à mr Gates et au dr Fauci de très grandes récompenses sur un plan à la fois de la richesse et du pouvoir tout en ayant des conséquences catastrophiques pour la démocratie et l’humanité.

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Bill Gates provient d’une famille riche, son arrière grand-père fit fortune dans la banque et laissa à Bill un fond fiducier (trust) d’une valeur de millions de dollars d’aujourd’hui. Après avoir abandonné ses études à Harvard en 1975, Gates développa sa passion pour les logiciels informatiques en lançant Microsoft dans une ère où la vaste majorité des Américains utilisaient toujours des machines à écrire. A cette époque, sa mère, Mary Gates, une femme d’affaires importante de Seattle, siégeait au comité directeur de United Way, aux côtés du chairman d’IBM de l’époque, John Opel. En 1980, IBM recherchait à recruter un développeur de logiciel pour l’Operating System (OS) de ses ordinateurs personnels (PC). Mary Gates persuada John Opel de tenter sa chance avec son fils. Cette intervention propulsa l’entreprise de Gates dans la cour des grands de ce domaine et fit de Bill Gates un milliardaire en moins de deux décennies.

L’ami d’enfance de Gates et co-fondateur de Microsoft, Paul Allen, décrivit Gates dans son livre “Idea Man : A Memoir” (2011), comme étant une personne sarcastique et abusive, qui en 1982, complota pour le virer et voler ses parts de leur entreprise. De retour au travail après un âpre combat contre le cancer, un Allen anémique, épuisé par la chimiothérapie et les radiations, entendit Gates comploter avec le nouveau manager de Microsoft, Steve Ballmer, afin de diluer le partenariat d’Allen. Allen se souvient être entré précipitamment dans la pièce et avoir crié : “C’est incroyable ! Ceci montre ton véritable caractère une bonne fois pour toute !”. Refusant l’offre de Gates de le racheter à 5US$ l’action, Allen quitta Microsoft avec ses 25% de parts intacts, ce qui fit de lui un milliardaire lorsque l’entreprise se fit publique en 1986.

En mai 1998, le ministère de la justice et vingt ministres de la justice des états déposèrent des plaintes pour violation de la loi antitrust (anti-monopole) contre Microsoft, accusant l’entreprise de Gates de minimiser et d’entraver illégalement les efforts des consommateurs d’installer des logiciels concurrents sur les ordinateurs opérant sous système Windows. Le ministère de la justice fédérale demanda au tribunal fédéral de Seattle de donner une amende record à Gates de un million de dollars par jour de violation de la loi antitrust. Le juge Thomas Penfield Jackson jugea que Microsoft avait violé le Sherman Antitrust Act de 1890, interdisant et mettant hors-la-loi les monopoles et les cartels en disant : “Microsoft a placé une main oppressive sur la fortune concurrentielle, garantissant ainsi sa domination continue sur le marché en question.

Le juge Jackson ordonna que l’entreprise Microsoft se divise en moitiés et dérive soit son OS, soit sa succursale de logiciel. Une cour d’appel cassa cette décision. Dans un accord hors tribunal, le ministère de la justice abandonna les poursuites et sa motivation à briser l’entreprise et Microsoft s’accorda à payer la somme anémique de 800 000 US$ et de partager les interfaces ordinateurs avec les entreprises concurrentes.

[…]

Des actions en justice contre l’entreprise faites en 2000 pour grosses discriminations envers les employés afro-américains et l’inclusion de messages à caractère discriminatoire dans ses logiciels furent enregistrées, ce qui a ternis plus avant la réputation et l’image publique de Gates. Le légendaire avocat Willie Gary se plaignit que Microsoft avait une “mentalité de plantation” dans le domaine de sa relation avec les employés afro-américains. Gary obtint un arrangement hors procès de 97 millions de dollars. Deux ans plus tard,  les régulateurs européens firent payer à Microsoft une amende de 1 milliard 360 millions de dollars, la plus grosse amende jamais obtenue de l’histoire de l’UE.

[…] Une partie d’une offensive concertée pour regagner de la popularité fut pour Gates et sa femme de former une association caritative le Children’s Vaccine Program (CVP) avec un don impressionnant de 100 millions de dollars.

Un siècle plus tôt, le premier milliardaire des Etats-Unis, John D. Rockefeller, avait créé une rampe de sortie de mauvaise réputation, de procès pour violation de la loi antitrust et de mauvaise presse, en lançant une philanthropie médicale. Le consigliere, conseiller de John D., Frederick Taylor Gates, était le chef conseiller et confident de John D. et son conseiller en philanthropie. Frederick Gates aida Rockefeller à structurer sa fondation, conseillant le magnat en lui disant que “disposer à bon escient de sa fortune pourrait aussi bloquer plus d’enquête sur sa provenance et ses origines.

Depuis pratiquement sa naissance, Bill Gates commença à coordonner les donations de sa propre fondation avec celle des Rockefeller et leur organisation. En 2018, Bill Gates fit la pertinente observation que “Partout où a été notre fondation, nous avons découvert que la Fondation Rockefeller y avait été en premier…

A l’aube du XXème siècle, les manœuvres sanguinaires de Rockefeller, incluant la corruption, l’arrangement des prix, l’espionnage industriel et la création de sociétés écran pour conduire des activités illégales, avait permis à son entreprise de la Standard Oil de contrôle 90% de la production pétrolière américaine et fit de lui l’homme le plus riche de l’histoire du monde avec un poids financier net de 500 milliards de dollars d’aujourd’hui. Le sénateur Robert Lafayette qualifia Rockefeller du “plus grand criminel de l’époque”. Le père du magnat du pétrole, Willian “diablotin Bill” Rockefeller, était en escroc itinérant qui subvenait aux besoins de sa famille en se faisant passer pour un médecin et distribuait des élixirs bidons, des opiacés, des brevets de médicaments et autres cures miracles. Au début des années 1900, alors que des scientifiques découvraient des utilisations pharmaceutiques pour des produits dérivés ou déchets de la raffinerie du pétrole, John D. Rockefeller vit une opportunité de capitaliser sur le pédigrée médical de sa famille. A cette époque, pratiquement la moitié des médecins et des facultés de médecine aux Etats-Unis pratiquaient une médecine holistique ou herbale. Rockefeller et son ami Andrew Carnegie, le baron-voleur de l’industrie de l’acier, envoyèrent l’éducateur Abraham Flexner à travers le pays pour cataloguer le statut des 155 écoles / facultés de médecine et des hôpitaux des Etats-Unis.

Le rapport Flexner de la Fondation Rockefeller de 1910 recommanda de centraliser l’enseignement médical des Etats-Unis en abolissant la théorie du miasme et en réorientant ces institutions en accord avec la “théorie du germe”, qui dit que seuls les germes causent des maladies et de développer un paradigme pharmaceutique qui insiste le ciblage de germes particuliers avec des médicaments spécifiques, plutôt que de fortifier les systèmes immunitaires au moyen d’un mode de vie sain, de l’eau propre et une bonne hygiène et nutrition. Avec ce narratif établi, Rockefeller finança la campagne de consolidation de la médecine de masse, de cooptation de la pharmacologie et de son industrie et le muselage total de toute opposition et compétition. La croisade de Rockefeller sur le système de santé causa la fermeture de plus de la moitié des facultés de médecine américaines, poussa les médias et le public contre l’homéopathie, l’ostéopathie, les chiropracteurs et toutes les médecines naturelles, holistiques, nutritionnelles, fonctionnelles et intégrantes ; ceci mena à l’incarcération de bon nombre de médecins pratiquant ces disciplines.

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Théorie miasme contre germe

“La théorie du miasme” insiste sur la prévention de la maladie en fortifiant le système immunitaire par la nutrition et en réduisant l’exposition aux toxines environnementales et aux stress divers. Ceux qui font confiance à cette théorie pose comme condition qu’une maladie se produit lorsqu’un système immunitaire fournit aux germes environnant un terrain et une cible affaiblis et à exploiter. Ils font une analogie entre le système immunitaire humain et la peau d’une pomme ; lorsque la peau est intacte, le fruit peut tenir des semaines à température ambiante et un mois dans un réfrigérateur. Mais même une toute petite entaille à la peau de la pomme peut générer une dégradation systémique et une pourriture en quelques heures alors que les milliards de microbes opportunistes colonisent le terrain endommagé et affaibli.

Les aficionados de la théorie du germe, par contraste, blâme la maladie sur les pathogènes microscopiques. Leur approche de la santé est d’identifier le germe coupable et de créer un poison spécifique pour le tuer. Les partisans du miasme se plaignent que ces poisons patentés puissent eux-mêmes affaiblir toujours plus le système immunitaire ou simplement, ouvrent le terrain endommagé à un germe concurrent ou causent une maladie chronique. Ils font remarquer que le monde est empli de microbes, beaucoup d’entre eux bénéfiques et la plupart d’entre eux sans danger pour un système immunitaire sain et bien nourri. Les adeptes de la théorie du miasme argumente que la malnutrition et un accès inadéquat à l’eau potable sont les stress ultimes qui rendent les maladies infectieuses létales dans les populations locales appauvries. Quand un enfant africain affamé succombe à la rougeole, les adeptes de la théorie du miasme attribuent la mort de l’enfant à la malnutrition, les promoteurs de la théorie du germe (c’est à dire les virologistes) blâment le virus.

L’approche de la théorie du miasme sur la santé publique est celle de booster le système immunitaire et la réponse immunitaire de chaque individu aux éléments pathogènes.

Pour le meilleur ou pour le pire, les champions de la théorie du germe, Louis Pasteur et Robert Koch, se sont avérés victorieux après une longue bataille de plusieurs décennies face à leur rival de la théorie du miasme Antoine Béchamp.

[…]

L’omniprésence de la pasteurisation et de la vaccination ne sont que deux des indicateurs de la domination ascendante de la théorie du germe en tant que pierre angulaire de la politique de santé publique moderne. Une industrie pharmaceutique valant aujourd’hui quelques 1000 milliards de dollars qui pousse des pilules brevetées, des poudres, des gélules, des potions et des poisons en tout genre et des professions devenues puissantes comme la virologie et la vaccinologie, emmenées par le “petit Napoléon” soi-même, Anthony Fauci, fortifient et renforcent la prédominance vieille d’un siècle de la théorie du germe.

[…]

Comme l’observent les Dr Claus Köhnlein et Torsten Engelbrecht dans “Virus Mania” : “L’idée que certains microbes, avant tout les champignons, bactéries et virus, sont nos grands adversaires dans la bataille, causant certaines maladies qui doivent être combattues avec des bombes chimiques très spécifiques, s’est profondément ancrée dans la conscience collective.”

Les idéologues impérialistes trouvent une affinité naturelle avec cette théorie du germe. Une “guerre contre les germes” rationalise une approche militaire à la santé publique et une intervention sans limite dans les nations les plus pauvres (ingérence) qui paient un lourd tribut à la maladie. Et de la même façon que le complexe militaro-industriel prospère de la guerre, le cartel pharmaceutique prospère et profite le mieux des populations pauvres et mal nourries.

Sur son lit de mort, il est dit que le victorieux Pasteur a reconnu : “Béchamp avait raison.” déclarant “le microbe n’est rien, le terrain est tout.” La théorie du miasme survit dans des poches marginalisées mais vibrantes parmi les praticiens d’une médecine fonctionnelle et intégrative. Une science bourgeonnante documentant le rôle critique du microbiome dans la santé humaine et l’immunité tend à prouver correct Béchamp et particulièrement ses enseignements affirmant que les micro-organismes sont bons et importants pour une bonne santé.

[…]

Un canon de la doctrine de la théorie du germe crédite les vaccins pour la chute vertigineuse des mortalités liées aux maladies infectieuses en Amérique du Nord et en Europe au XXème siècle. Anthony Fauci par exemple, proclame de manière routinière que les vaccins ont éliminé les maladies infectieuses du début du XXème siècle, sauvant ainsi des millions de vies.

[…]

La plupart des Américains acceptent cette affirmation comme un dogme. Cela viendra sans doute comme une surprise de voir que ceci est simplement faux. La science honore de fait la nutrition et l’hygiène comme les grands vainqueurs des maladies infectieuses. Une très bonne étude compréhensive de cette assertion fondamentale publiée en 2000 dans le journal “Pediatrics” du CDC et les scientifiques de l’université John Hopkins avait conclu après avoir revu un siècle de données médicales, que “la vaccination n’est pas responsable de l’énorme déclin de mortalité due aux maladies infectieuses au XXème siècle”. Comme noté auparavant, une autre étude largement citée, celle de McKinlay et McKinley, et dont la lecture était obligatoire dans toutes les facultés de médecine américaines durant les années 70, avait trouvé que toutes les interventions médicales, vaccins, antibiotiques et chirurgie inclus, comptaient pour moins de 1% et pas plus de 3,5%, des déclins de mortalité. Les McKinley avaient averti par avance, que ceux qui profitaient dans l’establishment médical, chercheraient à donner tout le crédit des déclins de mortalité aux vaccins, afin de justifier les obligations gouvernementales d’utilisation de ces produits pharmaceutiques.

Sept ans plus tard, le virologiste le plus célèbre au monde, le Dr Edward H. Kass de la faculté de médecine de Harvard, un membre fondateur et tout premier président de l’Infectious Diseases Society of America (IDSA) et éditeur fondateur du “Journal of Infectious Diseases”, rabroua ses collègues virologistes pour essayer de se faire créditer de ce déclin dramatique de la mortalité, les invectivant pour permettre la prolifération de “demies-vérités…que la recherche médicale a éliminé les grandes tueuses du passé comme la tuberculose, la diphtérie, la pneumonie, la peuerperal sepsis etc et que la recherche médicale et notre système supérieur de soins médicaux étaient des facteurs majeurs de l’extension de l’espérance de vie.” Kass reconnaissait que les véritables héros de la santé publique ne faisaient pas partie de la profession médicale, mais plutôt les ingénieurs qui conçurent et mirent en place les stations de traitement des eaux usées, les chemins de fer, les routes et les autoroutes pour transporter plus rapidement la nourriture là où elle devait être, les réfrigérateurs électriques et bien entendu, la chlorification de l’eau pour la rendre saine et potable.

Les graphiques de la page suivante posent un véritable défi à la théorie du germe et son dogme central et en soutien de l’approche de la théorie du miasme pour la médecine. Ces graphiques démontrent que les mortalités pour virtuellement toutes les grandes maladies tueuses, infectieuses ou autre, ont décliné avec les avancées faites dans les domaines de la nutrition et de l’hygiène. Les déclins les plus spectaculaires dans les taux de mortalité s’étant produit bien avant l’introduction de la vaccination.

[NdT : la page suivante, 288 du livre, montre 6 graphiques décrivant la chute vertigineuses des mortalités se produisant bien avant l’introduction des vaccins pour les maladies : rougeole, coqueluche, grippe, tuberculose (qui n’a pas de vaccin), la scarlatine (pas de vaccin existant) et la polio. Pour la rougeole, le vaccin fut introduit aux Etats-Unis en 1963, la courbe était déjà proche de zéro depuis 1945. Pour la grippe, le vaccin anti-grippal a été largement distribué à partir des années 1980 aux Etats-Unis, la courbe de mortalité est proche de zéro depuis les années 60. Pour les deux maladies n’ayant pas de vaccins, la polio et la tuberculose, les courbes de mortalité sont en baisse constante et notoire depuis le début du XXème siècle pour être proche de zéro aujourd’hui… La polio provient d’un germe aquatique que la purification de l’eau au chlore a éliminé. La tuberculose étant la maladie de la promiscuité et de la pauvreté par excellence.]

En note finale, il m’apparaît qu’un mariage fondé sur la science et le respect mutuel, fondé sur la preuve, incorporant le meilleur de ces deux dogmes antagonistes, servirait au mieux la santé publique et l’humanité entière.

[…]

Comme nous le verrons, l’approche militarisée de la médecine du couple Gates, Fauci a précipité une bataille apocalyptique sur les continents africain et asiatique entre deux philosophies qui engage la nutrition et l’hygiène d’un côté contre les vaccins et un conflit à la vie à la mort pour les ressources et la légitimité de l’autre.

[…] Rappelons une fois de plus que ce fut la Fondation Rockefeller qui se fit pionnière de la théorie du germe en tant qu’outil de politique étrangère.

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Le triomphe de la théorie du germe

En 1911, la cour suprême des Etats-Unis (CSEU) jugea que l’entreprise pétrolière de la Standard Oil des Rockefeller constituait “un monopole déraisonnable” et fit diviser le géant du pétrole en 34 entreprises qui devinrent entre autres : Exxon, Mobil, Chevron, Amoco, Marathon. Paradoxalement, le bris de cette structure a enrichi plus avant Rockefeller. Il donna 100 millions de dollars de plus de ce bonus à sa vitrine philanthropique, le General Education Board, pour cimenter l’homogénéisation et la standardisation des facultés de médecine et des hôpitaux. En accord avec le nouveau paradigme pharmaceutique, il attribua dans le même temps de très généreux fonds de recherche a des scientifiques pour l’identification des plantes ayant des composants chimiques curatifs et utilisées par les médecins traditionnels qu’il venait d’extirper du système. Les chimistes de Rockefeller ont ensuite synthétisé en laboratoire et breveté les versions pétrochimiques (NdT : et oui pour ceux que cela surprendrait, énormément de composants de la pharmacie industrielle proviennent de la pétrochimie, sont donc des produits dérivés du pétrole, que nous ingérons régulièrement donc !…) de ces molécules. La philosophie de la fondation : “a pill for an ill” / “une pilule pour une maladie” a façonné comment les Américains voient et conçoivent la santé et le service de la santé.

En 1913, le patriarche fonda l’American Cancer Society (ACS) et fit de la fondation une société anonyme. Les fondations philanthropiques étaient une invention de cette ère et leurs détracteurs les critiquaient comme étant des “outils d’évasion fiscale”, comme ce plan de Rockefeller de prendre une déduction de 56 millions de dollars pour son don de 72 569 actions de la Standard Oil pour lancer une fondation qui lui donnait un contrôle perpétuel de cette richesse “donnée”. Une enquête du congrès des Etats-Unis décrivit la fondation comme étant un artifice d’auto-service posant “une menace pour le bien-être politique et économique de la nation.” Le congrès refusa à plusieurs reprises l’octroi d’une charte à Rockefeller. L’Attorney General (ministre de la justice) George Wickersham dénonça la fondation comme étant “un plan de perpétuation d’une vaste fortune étant totalement inconsistant avec l’intérêt public.

[…]

La Fondation Rockefeller mit soigneusement en valeur les résultats en santé pour éclipser la révulsion populaire des trop nombreux abus que les Américains associaient avec la Standard Oil et son empire pétrolier. Après la première guerre mondiale, le financement par la Fondation de la commission de santé de la Ligue des Nations (NdT : prédécesseur de l’ONU et donc de l’OMS) donna à la Fondation Rockefeller une portée mondiale et un impressionnant cortège de contacts de haut-niveau parmi l’élite internationale. Alors que l’on progressait dans le siècle, la fondation devint une entreprise globale extrêmement bien connectée avec des succursales a Mexico City, à Paris, New Delhi et Cali. De 1913 à 1951, le département santé de la Fondation Rockefeller opérait dans plus de 80 pays dans le monde. La fondation était devenue de facto l’autorité sur le comment gérer au mieux les maladies du monde, avec une influence qui minimisait grandement en comparaison tous les acteurs gouvernementaux ou autres associations à “but non lucratif” travaillant dans le domaine. La Fondation Rockefeller contribuait alors pour près de la moitié du budget de l’Organisation de la Santé de la Ligue des Nations (OSLN), la mère de l’OMS, à la suite de sa création en 1922 et la fondation investit alors les rangs de l’organisation avec ses sbires et ses favoris. La FR imprégna la LN de sa philosophie, de ses valeurs, de sa structure, de ses préceptes et de ses idéologies, ce dont hérita directement l’organisation qui lui succéda l’OMS des Nations-Unies, ce dès son inauguration en 1948.

Le capitalisme philanthropique

Gates a baptisé la philosophie opérationnelle de sa fondation “philanthro-capitalisme”. […] Très tôt, Gates créa une entité séparée : Bill Gates Investments (BGI) qui gère sa fortune personnelle et le corpus de sa fondation. Rebaptisée BMGI pour y inclure Melinda en janvier 2015, l’entreprise investit de manière prédominante ce butin dans les multinationales de la nourriture, de l’énergie, de l’agriculture, de la pharmacie, des télécommunications et dans des entreprises technologiques ayant des ramifications globales. Les lois fiscales fédérales demandent que la fondation BMGF donne 7% de ses biens annuellement pour bénéficier d’une exonération d’impôts. Gates cible de manière stratégique des dons caritatifs de la BMGF qui lui donnent le contrôle des agences de la santé et de l’agriculture dans le monde ainsi que les médias, ce qui lui permet de dicter des politiques de santé et de nutrition mondiales afin d’augmenter la profitabilité de grosses multinationales dans lesquelles il est lourdement investi avec sa fondation. En suivant de telles tactiques, la BMGF a donné quelques 54,8 milliards de dollars depuis 1994, mais au lieu que ceci ne diminue sa richesse, des dons stratégiques l’ont en fait magnifiée. La philanthropie stratégique a augmenté le capital de la fondation Gates de 49.8 milliards de dollars entre sa création et 2019. De plus, le poids net financier personnel de Gates est passé de 63 milliards de dollars en 2000 à 133,6 milliards de dollars aujourd’hui. La fortune de Gates a augmenté de 23 milliards de dollars durant la seule période des confinements sanitaires planétaires de 2020, que lui et le dr Fauci ont orchestré de concert.

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Une enquête récente du journal “The Nation” a révélé que la Fondation Gates détient couramment des actions et avoirs dans des entreprises pharmaceutiques comme Merck, GSK, Eli-Lilly, Pfizer, Novartis et Sanofi. Gates a aussi de lourdes positions chez Gilead Science (NdT: pourvoyeur du toxique remdesivir…), Biogen, AstraZeneca, Moderna, Novavax et Inovio. Le site internet de la fondation déclare de manière candide sa mission de “rechercher des modèles plus efficaces de collaboration avec les fabricants majeurs de vaccins afin de mieux identifier et de poursuivre des opportunité mutuelles bénéfiques.

Après avoir scellé leur collaboration d’une poignée de main, Gates et le dr Fauci ont mis en place très rapidement leur partenariat dans les vaccins ; dès 2015, Gates dépensait 400 millions de dollars annuellement sur la recherche des médicaments anti-SIDA, les testant essentiellement sur des Africains. S’il pouvait prouver qu’un remède anti-SIDA marchait en Afrique, la récompense qui s’en suivrait sur des clients américains et européens serait ensuite astronomique. Pour Gates, l’avantage immédiat de son alliance avec le dr Fauci était très clair.

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Malgré ses bien pauvres résultats à réduire la maladie sur la décennie suivante, le dr Fauci persuada le président Bill Clinton en mai 1997, de mettre en place un nouvel objectif national pour la science en faisant de la guérison du SIDA africain sa promesse de la conquête de la lune de JFK. Dans un discours qu’il fit à l’université d’état Morgan, Clinton déclara : “Aujourd’hui impliquons-nous dans le développement d’un vaccin contre le SIDA dans la prochaine décennie.” Largement dû à l’influence de Fauci, Clinton allait gaspiller des milliards de dollars de l’argent du contribuable américain dans cette vaine croisade pendant sa présidence et des millions de plus de contributions entrepreneuriales et philanthropiques au travers de la Fondation Clinton vers la fin de sa carrière.

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Il y a peu de preuve objective que tout l’argent dépensé ait augmenté la durée ou amélioré la vie des Africains, mais chaque dollar est escompté à la réputation de Fauci en tant que Golconda de l’aide étrangère. Au sujet de la politique de santé publique en Afrique, le dr Fauci avait les clefs du royaume. Gates avait besoin de Fauci pour ouvrir le portail.

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Big Pharma avait des projets pour l’Afrique : Bwana Fauci et Bwana Gates mirent leurs casques coloniaux, se saisirent de leurs machettes, mirent leurs armes de vaccins en bandoulière ainsi que leurs antiviraux toxiques et firent par eux-mêmes la version du XXIème siècle des explorateurs croisés européens Burton et Speke, amenant les mannes et les bontés de la civilisation occidentale sur le continent noir et demandant en retour une obéissance aveugle. “Ils sont là pour sauver le monde,”, dit McGoey des capitalistes philanthropes “aussi loin que le monde se plie à leurs intérêts”. Grace à leur puissante collaboration, Big Pharma émergerait comme peut-être, le maître et seigneur le plus cruel et le plus mortel que l’Afrique ait connu.

Le VIH a fourni au dr Fauci une tête de pont en Afrique pour leur nouveau modèle de colonialisme médical et un véhicule pour que les associés construisent et maintiennent un puissant réseau global qui en vint à inclure des chefs d’états, des ministres de la santé, des régulateurs de la santé internationaux, l’OMS, la Banque Mondiale, le Forum Economique Mondial et des leaders clef de l’industrie financière ainsi que des officiels des armées qui servaient de centres de commandement de l’appareil bourgeonnant de la bio-sécurité. Leurs petits soldats de terrain étaient l’armée de virologues, de vaccinologues, de cliniciens et d’administrateurs des hôpitaux qui dépendaient de leurs largesses et agissaient comme les commissaires idéologiques communautaires dans cette croisade.

En Août 1941, le président Franklin D. Roosevelt força Winston Churchill à signer la charte Atlantique comme une condition du soutien des Etats-Unis dans l’effort allié de la seconde guerre mondiale.

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La Charte Atlantique et les mouvements de libération nationale des années 1950 et 60 démantelèrent le modèle colonial traditionnel en Afrique. Mais le continent s’est rapidement ouvert de nouveau à une “colonisation plus douce” par les entreprises multinationales et leurs sponsors d’état.

Durant la guerre froide, les agences de renseignement et l’armée américaines remplacèrent largement les armées coloniales européennes dans la région soutenant sans vergogne tout petit dictateur de base local pourvu qu’il soit “anti-communiste” et qu’il déroule le tapis rouge pour les multinationales américaines. A la chute du mur de Berlin en 1989, les Etats-Unis avaient déjà 655 bases militaires dans le tiers monde (maintenant plus de 800) et les entreprises américaines avaient carte blanche dans ces nations hôtes pour extraire toutes ressources minérales, agricoles, énergétiques et de matières premières et pour profiter de grands marchés pour écouler des produits finis incluant de manière notoire, des produis pharmaceutiques. Après l’effondrement de la charade soviétique, le terrorisme islamiste et la bio-sécurité supplantèrent le communisme comme logique pour la continuité de la présence militaire et entrepreneuriale des Etats-Unis partout dans le monde en voie de développement.

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Bill Gates et le dr Fauci offrirent la bio-sécurité comme logique sous-jacente de leur projet néo-colonial médical.

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Le pouvoir combiné de Gates et de Fauci pour faire pleuvoir les dollars de l’aide étrangère sur les gouvernements africains affamés de fonds, fit d’eux les vice-rois modernes du continent. L’OMS devint leur vassal colonialiste, légitimant et facilitant leur campagne d’ouverture des marchés africains pour les fabricants de médicaments afin d’y larguer des produits dont ils ne voulaient pas ou plus et pour expérimenter de nouveaux remèdes prometteurs.

Chapitre 9 à suivre…

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Lire aussi le « Dossier Rockefeller » de Garry Allen

la seconde partie « La politique du cancer » du livre « Un monde sans cancer » de G. Edward Griffin

BonBrutetTuand