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Du pile ou face techno-totalitaire à la tangente de révolte éclairée (Zénon l’Ailé)

Posted in actualité, altermondialisme, Internet et liberté, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, police politique et totalitarisme, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , on 4 février 2017 by Résistance 71

“Mieux vaut l’absence de lumière qu’une fausse lumière allumée parcimonieusement du dehors dans le but évident d’égarer le peuple.”

~ Michel Bakounine ~

“L’âge du rouet n’est plus et le rêve d’une civilisation artisanale est vain. La machine n’est mauvaise que dans son mode d’emploi actuel. Il faut accepter ses bienfaits même si l’on refuse ses ravages.”

“La vrai passion du XXème siècle, c’est la servitude.”

~ Albert Camus ~

“La pensée scientifique a choisi, contre une grande part de son passé anti-esclavagiste, de servir la domination spectaculaire… [Celle-ci] a fait abattre l’arbre gigantesque de la connaissance scientifique à seule fin de s’y faire tailler une matraque.”

~ Guy Debord ~

“Peut-être connaît-on maintenant la science plutôt à cause de sa faculté de priver les hommes de leur plaisir et de les rendre plus froids, plus insensibles, plus stoïques. Mais on pourrait aussi lui découvrir des facultés de grande dispensatrice des douleurs. Et alors sa force contraire serait peut-être découverte en même temps, sa faculté immense de faire luire pour la joie un nouveau ciel étoilé !”

~ Friedrich Nietzsche ~

 Article connexe: « Comment Big Brother a planté les graines de la révolution technologique »…

 

Tangente

Sortir du piège de la toile d’araignée mondiale

 

Zénon

 

4 février 2017

 

Imaginez une arme d’apparence tellement inoffensive, que vous pouvez la tendre à vos ennemis, et que s’en saisissant, 99% d’entre eux la prennent pour un jouet. Une arme à-même de faire ou défaire aussi bien une révolution qu’une dictature, sans que son usage paraisse au grand jour. Imaginez que cette arme contrôle toutes les infrastructures et la logistique des pays : les transactions financières, le transport aérien, maritime et routier, la communication dans les entreprises, les dossiers médicaux des citoyens ou même leur vie amoureuse… Une arme qui, par son action omniprésente, attaque et se substitue petit à petit à nos défenses et capacités naturelles, comme notre sens de l’orientation ou notre mémoire. Imaginez qu’elle permette non seulement d’anticiper les réactions de l’ennemi, mais encore de les susciter ; d’insinuer en lui une idée dont il sera certain d’être l’auteur. Une telle arme aurait été le rêve de tous les despotes historiques… Elle est aujourd’hui la réalité d’internet.

Il est certes paradoxal de la part de quelqu’un s’exprimant par ce biais pour la douzième fois de mettre en question le support qui nous réunit… Pourtant, nous qui en usons pour nous instruire, échanger des idées ou informations, n’y trouvons comme n’importe quel autre utilisateur qu’une sorte de miroir déformant de nous-mêmes. Nous recherchons et rencontrons finalement ce qui nous ressemble. Internet produit l’imitation et la parodie de cette occurrence voulant que l’on attire à soi ce qu’on vibre. À cette propriété mentale s’ajoute l’immixtion des algorithmes et de la censure ciblée… Nous projetons notre vision individuelle sur ce que peut être l’ensemble du web. Dans quelle mesure évitons-nous la collective illusion d’optique de croire qu’internet nous rassemble ?

J’ai il y a un an pris ce pseudonyme car Zénon d’Élée a parfaitement, quoiqu’un peu trop ironiquement pour être pris au sérieux, énoncé l’erreur de fond dans le schéma-type de pensée occidental : celui de la division du mouvement, de la segmentation intellectuelle de la circulation des fluides, de la matière, de l’énergie et de l’esprit. Ce fonctionnement mental ne nous est pas inné… Il nous est inculqué, transmis de génération en génération depuis plusieurs millénaires. Il se trouve à la source de tous nos maux et conflits actuels. On retrouve souvent cette interrogation lancinante : qui sont les plus responsables de ce merdier ? Les maîtres à la fois craints et honnis, ou bien nous les peuples, qui les plaçons au pouvoir ? Et cette autre question lui succède parfois : tout ce chaos, toute cette misère sont-ils des fruits du hasard ? Ou le résultat d’un grand complot ourdi depuis la nuit des temps ?

Ce divorce d’avec l’Unicité originelle ; cette manie de tout étiqueter et compartimenter remonterait selon certains à l’Égypte antique, d’autres à Sumer ou à Babylone. Nul n’en n’est véritablement sûr. Nous savons en revanche que l’écriture est d’abord allée de pair avec les mathématiques, et que le Verbe a vite été réquisitionné par les marchands du temple… Tandis que le principe exclusif et manichéen de division prospérait au sein des peuples, aussi bien sous formes de confessions religieuses que d’obédiences politiques, une petite caste d’initiés s’est réservée la connaissance de cette Unité première ; de ses qualités comme de ses usages. Se réclamant toutes inspirées des Mystères d’orient, ces confréries ont fondé leur pouvoir sur l’art de semer le trouble et la division ; d’exploiter les conflits ainsi fomentés entre les peuples tout en sachant se préserver des dommages collatéraux de leurs politiques.

Ce système dualiste, imbibant jusqu’à nos cœurs depuis lors, s’est érigé au fil des siècles et cristallisé en institutions politico-religieuses ; en écoles de dressage, en tribunaux, en croisades. En entreprises coloniales et en génocides par décrets. L’affirmation sans cesse renouvelée que ceux qui nous diffèrent sont nos ennemis a toujours permis et justifié les pires boucheries… À mesure que s’est enraciné plus profondément ce travers d’esprit qui consiste à nous croire séparés du reste du Monde, s’est également solidifiée l’emprise, et élargi le champ de contrôle sur notre libre-arbitre aux mains des dirigeants. Aujourd’hui, une synarchie financière absorbe non seulement toutes les ressources, mais aussi le fruit du labeur de l’immense majorité des habitants de la planète. L’étendue de son pouvoir et la voracité de sa prédation sont tels qu’elle peut décider du jour au lendemain d’éliminer toute une population si ça lui rapporte… Guerres, déportations, famines : du point de vue de la dynamique, toutes les tragédies que nous connaissons traduisent la matérialisation dans les faits d’un « code » de pensée à la base autodestructeur et erroné.

Prenons un exemple concret. Les soi-disant « initiés » connaissent la parenté de l’esprit et de la matière. Ils savent qu’il suffit pour l’un comme l’autre de semer puis d’entretenir et d’attendre avant de récolter. La réalisation des programmations prédictives que sont les prophéties religieuses obéit au même principe : il ne s’agit pas de la volonté d’un dieu ou d’un autre, mais de l’utilisation à mauvais escient par quelques-uns de la magie du Verbe et l’acceptation par le plus grand nombre de leurs paroles comme inéluctables… Le reste relève d’une logique inaccessible aux profanes… N’est-il pas vrai que la partition est bien jouée ?

Si je me suis permis cette digression a priori sans rapport avec le sujet, c’est car internet représente le couronnement de ce rapport binaire que nous entretenons avec les autres et avec nous-mêmes.

Rappelons qu’à l’origine, le net fut un projet conçu et mis en œuvre par la DARPA, c’est-à-dire le département des recherches de la défense US. Très active notamment dans les domaines de l’intelligence artificielle et de la robotique, l’agence est aujourd’hui l’un des fers de lance des promoteurs du transhumanisme. Ses travaux ont pour visée commune la fusion de l’Humain et de la machine, et pour objectifs d’une part le contrôle absolu des populations soumises, et d’autre part une hypothétique immortalité réservée à l’élite. La DARPA dispose d’un budget relativement limité, mais fonctionne en partenariat avec des investisseurs intéressés par le développement de telle ou telle technologie… Aussi est-il délicat d’évaluer l’envergure de ses expériences. Et même si la diffusion d’internet a été principalement le fait d’acteurs privés, ne croyons pas que l’agence se soit désintéressée du bébé : elle consacre chaque année plusieurs centaines de millions de dollars à la lutte contre la « cybercriminalité ».

D’abord essayé par quelques universités, internet a vu son architecture et le programme de navigation que nous appelons communément « web » développés par des entreprises comme Hewlett-Packard dans la Silicon Valley encore naissante, ou bien des organismes internationaux comme le CERN pour sa branche européenne… À vocation éducative à ses débuts, l’ouverture du net au grand public l’a diffusé comme une trainée de poudre dans les milieux des affaires et de la finance. Dès 1971 est apparu le premier marché boursier informatisé, et de nos jours, les algorithmes permettent le montage illimité de chaînes de Ponzi d’argent virtuel… Au cours des années 90 et 2000, internet a conquis les domaines de l’industrie, de l’information, de la distribution, des services… Il s’est insinué peu à peu dans nos métiers, plus rapide, plus pratique. Et surtout plus rentable au point de souvent s’y substituer. Il s’est également invité dans nos foyers comme une fenêtre ouverte sur le grand Monde, un fidèle compagnon remède à toutes nos lacunes et nos solitudes. Puis de plus en plus sournoisement comme une insensible attirance pour un éternel ailleurs. Fin des années 2000, le net s’est greffé pour beaucoup au téléphone portable… Il ne se passe depuis lors, qu’on le veuille ou non, plus un instant sans qu’il nous accompagne.

Au cours de l’année 2016, le nombre de connexions depuis les tablettes et les téléphones mobiles a dépassé celui depuis les ordinateurs. Entre toutes, notons l’écrasante majorité à destination des réseaux sociaux (2,2 milliards d’utilisateurs par mois), talonnés par les moteurs de recherche, puis par youtube, suivis de l’encyclopédie du consentement et des sites de vente en ligne. Vient ensuite le porno (12% du nombre total de pages internet et environ un tiers du trafic mondial), les systèmes de paiement et les jeux en ligne… Le net semble exacerber cette étrange tendance à nous accoutumer à nos vices. Regardons d’un peu plus près ce qu’il en est.

Les statistiques au sujet de l’utilisation des « réseaux sociaux » donnent le vertige à elles seules. L’an dernier, on a estimé la durée moyenne de connexion à ces plateformes à une heure et demie par jour et par internaute. 97% d’entre eux s’y connectent régulièrement et chacun possède en moyenne sept comptes différents. 30% de tout le trafic internet est consacré à ces sites, dont 40% des utilisateurs déclarent les fréquenter pour simplement passer le temps… D’un narcissisme resté peu ou prou latent chez les générations élevées sous l’écho uniforme des paroliers télévisuels, nous sommes passés à une société d’auto-promotion permanente où l’instant vécu importe moins que sa mise en scène… Regardez ces troupeaux de zombies hagards hanter rames de métro, terrasses de cafés et salles de classe. Quoi d’étonnant à ce phénomène quand on sait que le nombre de « likes » sur une page perso prodigue au cerveau une décharge de dopamine, hormone de la récompense, capable de rendre plus accro que la cocaïne ?

On notera également la seconde position de youtube au classement mondial des sites les plus fréquentés. C’est-à-dire une nette et grandissante prévalence de la vidéo sur l’écrit…  Je pense inutile de s’étendre sur la participation d’internet à la disparition du commerce et à la désindustrialisation, nous y avons tous personnellement déjà été confrontés. Mais cela prend des proportions plus graves à l’heure où ce qui s’appelle encore pudiquement « fracture numérique » exclut et menace de « mort sociale » ceux n’y ayant pas accès… Ce danger est particulièrement prégnant pour les plus jeunes qui ayant grandi avec cet outil se méfient moins de la dématérialisation de toutes les procédures.

Nous qui pensons utiliser cette arme contre l’ennemi considérons internet comme une formidable banque de données. Et en effet, quasiment tous les savoirs du Monde y sont accessibles, ce qui nous offre l’occasion d’un saut de conscience collectif. Mais d’un autre côté, rappelons-nous notre enfance : lorsque nous recherchions l’orthographe ou le sens d’un mot dans un dictionnaire, celui-ci nous restait gravé, tandis qu’une réponse donnée toute cuite au bec ne laissait à notre mémoire qu’une légère empreinte… Nous occultons de plus l’autre versant du problème : à savoir que si nous apprenons d’internet ; s’il nous permet par exemple de porter en place publique les forfaits et la corruption des élites et de leurs affiliés, internet les informe également sur nous mieux que ne le feraient toutes les agences de renseignement réunies.

C’est ici qu’intervient, sous le prétexte habituel d’« antiterrorisme », la collecte massive de toutes nos données de connexion, lesquelles permettent le traçage de nos habitudes, de nos goûts, dégoûts et penchants personnels. Comme on l’a vu avec le projet échelon, PRISM, puis avec ce « patriot act » à la française de la loi de surveillance, ils officialisent toujours à grands renfort d’attentats les percées déjà réalisées de fait contre la vie privée en ligne. Que ceci soit clair : cette privauté n’existe pas sur le net… Cette surveillance sert plusieurs objectifs. La chasse aux dissidents politiques n’en est un que de second plan, et pour ainsi dire accessoire. La prédation qui s’observe ici est d’abord d’ordre économique et commercial : nous savons que toutes ces données sont ensuite vendues à des sociétés de marketing, qui les utilisent à mieux cibler les publicités de leurs clients… Comme l’a d’ailleurs fort bien décrit Brandon Smith dans un article récent, la collecte de toutes nos données n’a pas tant pour objet la surveillance individuelle que l’anticipation et même le contrôle de nos réactions collectives.

Outil d’ingénierie sociale par excellence, internet possède une étrange double propriété : tandis qu’il focalise au cours d’évènements précis les pensées de l’humanité entière vers un seul point, il en divise dans le même temps les interprétations et renforce les clivages idéologiques existants. C’est parfaitement compréhensible, puisqu’au sujet de chacun de ces évènements sont racontés tout et son contraire. Sorte de tour de Babel numérique, le net provoque souvent la mécompréhension réciproque, et nous condamne à échéance à la disparition pure et simple de tout langage humain… Au Japon, un pays-laboratoire des états-uniens depuis 1945, il existe des réseaux sociaux sans communication possible par le Verbe, uniquement par « émoticônes ». Et déjà, pour beaucoup d’entre nous, la plupart de nos sens, de nos émotions et de nos pensées sont quotidiennement absorbées dans la grande matrice binaire. Convertis en séries séquentielles de 0 et de 1 ; débarrassés enfin de toute peau humaine…

Certes, internet favorise l’éveil des consciences de quelques-uns. Mais il favorise aussi la déchéance de ceux qui n’en saisissent pas l’occasion. Et dans tous les cas, notre passivité physique devant nos écrans reste une aubaine pour les dirigeants : car pendant que nous demeurons sagement assis, eux ne perdent pas une minute en actes ou paroles inutiles… C’est la seule raison pour laquelle il est encore à peu près possible d’y exprimer ce qu’on veut. Si le préjudice d’un internet libre était plus important que le bénéfice, il est évident que les élites nous couperaient la chique sans autre forme de procès.

Il y a enfin, du moins dans nos sociétés occidentales domestiquées et policées, cette Peur qu’internet participe à alimenter. Peur du chômage, de la misère, de l’isolement. Peur de se battre et risquer de prendre des coups. Peur de l’échec et peur de la mort ; mais peut-être aussi et surtout peur de la Vie… La sidérante accélération du cours des évènements mondiaux amplifie notre angoisse de voir cette contre-civilisation disparaître. Elle ira en se développant jusqu’au jour où, totalement perdus et tétanisés, nous découvrirons avec horreur que la lumière s’est éteinte. Ce système de prédation à bout de ressources finira par s’auto-dévorer. Alors nous faudra-t-il enfin faire face à la trouille qui nous paralyse… Mais dans la fureur et le chaos qui s’ensuivront, il sera pour beaucoup d’entre nous trop tard. Non seulement le combat sur internet trouve ses limites, mais on l’a vu, il est aussi à double tranchant. Il est impératif pour notre avenir d’aller au-delà… Tant qu’il nous le permet, internet doit dans cette optique nous servir à tisser des liens dans la vie RÉELLE et nous préparer à faire face au chambardement qui se profile.

Depuis « Nakba », mon message n’a cessé d’être celui-ci : devant l’urgence des menaces qui nous concernent, il est impératif de laisser de côté nos divergences idéologiques ; de nous focaliser sur ce qui nous unit et non plus sur les faux antagonismes créés de toutes pièces. Je le répète : ce système dualiste, auquel internet procure un approfondissement exponentiel, est à la source de tout impérialisme. Il est à extirper d’abord de nos esprits et de nos cœurs… Cette crainte de nous dissoudre ou de nous perdre dans le grand Tout n’est que la gestation d’un retour conscient à la simple Unicité qu’au fond, nous n’avions jamais oubliée.

À l’image de la Terre et du Ciel, l’Homme est une sphère vouée à l’irrésistible Révolution. Et si en effet, dans cette nuit noire de l’âme, nous ressentons cette peur et cet insondable vertige devant l’inconnu, nous pouvons être certains que l’épreuve qui nous attend soit à la mesure du soleil radieux que nous appelons de nos vœux, et dont nous devinons déjà, sous nos paupières mi-closes, les premiers rayons de l’aurore.

Le rêve perd peu à peu de sa consistance, et déjà demain nous appelle. Il exige de nous le courage de le regarder dans les yeux… L’heure est venue de nous réveiller.

Zénon

Nouvel Ordre Mondial: Bayer Monsanto et le Vatican pour des contraceptifs toxiques…

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Eugénisme et Nouvel Ordre Mondial les contraceptifs toxiques de Bayer-Monsanto béni par le Vatican pour contrôler la population mondiale

 

Source anonyme

 

1er novembre 2016

 

Les climatosceptiques exclus du dialogue pour tous par le Vatican

 

http://reinformation.tv/tom-harris-climat-dialogue-pape-laudato-si-39294/

Ivar Giaever, prix Nobel, conteste le réchauffement climatique : aucun grand média ne reprend son propos

http://reinformation.tv/ivar-giaever-prix-nobel-conteste-rechauffement-climatique-media-39483/

Nouvelle réunion sur le climat au Vatican les 21 et 22 juillet : l’Académie pontificale des sciences sociales réinvite l’ONU et Jeffrey Sachs

http://reinformation.tv/reunion-climat-vatican-academie-pontificale-sciences-sociales-onu-jeffrey-sachs-38997/

La contraception donne « une liberté totalement nouvelle » aux femmes… dit le site des évêques d’Allemagne

http://reinformation.tv/contraception-liberte-femme-site-eveques-allemagne-42624-2/

C’est bien de parler de contraception, mais qui fournit la contraception au juste?

Ce sont les multinationales qui en contrôlent la production, et celles qui vendent le plus de contraceptifs sont Bayer et Monsanto, ce dernier venant d’être racheté par Bayer de l’Allemagne!

l’Eglise d’Allemagne fait-elle de la pub pour les contraceptifs abortifs de Bayer-Monsanto?




« Bayer a versé 1,8 milliards de dollars de dommages à cause de contraceptifs

La société pharmaceutique allemande Bayer, dont la devise est « science pour une vie meilleure », a reconnu avoir payé près de deux milliards de dollars de dommages pour des maux causés par ses contraceptifs. Le chiffre figure dans son rapport financier pour le deuxième trimestre de 2014 rédigés pour les actionnaires.

Bayer avait en effet réglé le 9 juillet dernier, sans aveu de responsabilité, un total de 1,8 milliards de dollars pour répondre aux exigences de 8.900 plaignants Américains qui souffrent d’affections personnelles dues à la prise de contraceptifs, « parfois mortelles, en raison de l’utilisation de contraceptifs produits par Bayer comme Yasmin, Yaz, Ocella ou Givanvi ».

L’entreprise pharmaceutique a reconnu que ces réclamations avaient eu lieu, uniquement aux Etats-Unis, à cause de « lésions de coagulations veineuses (thrombose veineuse profonde ou embolie pulmonaire), après une analyse de registres médicaux sur des cas spécifiques et de façon continue ».

Des cas déclarés dans près de 2.400 plaintes qui ne sont pas encore traitées par l’entreprise à qui il restait, le 9 juillet dernier, encore 5.000 réclamations à traiter. »

http://reinformation.tv/bayer-dommages-contraceptifs/

« La Food and Drug Administration des Etats-Unis approuve un nouveau contraceptif de longue durée : Kyleena, de Bayer
Il s’agit d’un dispositif intra-utérin muni d’hormones à diffusion très lente. le stérilet en plastique, une fois placé dans l’utérus, libère pendant cinq ans des doses de levonorgestrel qui empêchent l’épaississement de la paroi utérine et par conséquent la nidation de l’œuf fécondé.

Il ne s’agit pas en réalité d’un contraceptif mais d’un contragestif qui provoque la mort de l’embryon, privé de la nourriture qui lui est nécessaire pour vivre.

L’intérêt de Kyleena, selon les laboratoires Bayer, est de réduire fortement ou de faire disparaître les règles, ce qui n’est pas le cas des stérilets en cuivre, presque aussi efficaces pour éliminer les tous petits enfants à naître. L’efficacité de Kyleena, qui repose sur l’utilisation d’une hormone puissante, est voisine de celle de la stérilisation, selon les Centers for Disease Control, organismes fédéraux de veille sanitaire.

L’approbation par la FDA s’inscrit dans la promotion actuelle des contraceptifs de longue, voire de très longue durée, censés mieux éviter les grossesses « accidentelles » mais qui dans le cas de Kyleena passe par l’élimination systématique d’un nombre inquantifiable d’embryons en tout début de grossesse.

http://reinformation.tv/food-drug-administration-contraceptif-longue-duree-etats-unis-kyleena-bayer-breves-59897-2/

Le Planning familial des Etats-Unis et la vente d’organes de fœtus : comment on essaie de minimiser le scandale

http://reinformation.tv/planning-familial-etats-unis-vente-organes-foetus-minimiser-scandale-dolhein-40591/

 » Le mois dernier le Vatican a été critiqué pour son partenariat avec jeffrey Sachs, sans doute l’avocat le plus vocal pour le contrôle de la population mondiale. Peu connaissent sa position publique sur l’avortement comme outil de réduction de la fertilité et du contrôle de la population

Sachs a co-hébergé une conférence du Vatican sur le changement climatique le mois dernier.

Il a fait une promesse pour légaliser l’avortement comme un moyen peu coûteux d’éliminer les « enfants non désirés » lorsque la contraception a échoué, dans son livre en 2008.

Jeffrey Sachs est un gourou du développement qui est devenu célèbre en conseillant les pays sur une économie de marché transitoire après le communisme. Il fut l’aqrchitecte du Millenium Development goals et a été le bras droit du SG de l’ONU sur le développement ces 15 dernières années.

https://www.lifesitenews.com/opinion/who-is-jeffrey-sachs-and-why-was-he-at-the-vatican





Une maison d’exercices spirituels catholique accueille une session New Age en Espagne

http://reinformation.tv/maison-exercices-spirituels-catholique-session-new-age-espagne/

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Eugénisme et contrôle de la population sur Résistance 71:

https://resistance71.wordpress.com/2010/06/26/elite-globaliste-eugenisme-et-controle-des-populations/

Au cœur du mensonge historique (suite)… L’origine arabe du « syndrome messianique »…

Posted in actualité, colonialisme, désinformation, documentaire, guerres hégémoniques, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, sciences, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , on 21 octobre 2016 by Résistance 71

“Dans un monde de mensonge universel, dire la vérité est un acte révolutionnaire”
~ George Orwell ~

“Être ignorant de l’histoire, c’est être né hier.”
~ Howard Zinn ~

“La conclusion acceptée par la majorité des archéologues et des érudits de la bible fut qu’il n’y eut jamais de grande monarchie et que le roi Salomon n’a jamais eu de grand palais dans lequel il hébergeait ses 700 épouses et 300 concubines. Ce furent des écrivains postérieurs qui inventèrent et glorifièrent un puissant royaume uni, établi par la grâce d’une seule déité. Leur riche et distinctive imagination a aussi produit les histoires de la création du monde, du terrible déluge, de l’errance des anciens, de la lutte de Jacob avec l’ange, l’exode d’Egypte et le passage de la Mer Rouge, la conquête des Cananéens et l’arrêt miraculeux du soleil à Gibeon.
Les mythes centraux au sujet de l’origine pure de cette merveilleuse nation qui émergea du désert, conquît une grande terre et construisit un glorieux royaume furent un bonus pour la montée du nationalisme juif et la colonisation sioniste.”
~ Professeur Schlomo Sand
, universités de Tel-Aviv, Berkeley Californie et à l’École des Hautes Études de Sciences Sociales, EHESS, Paris, de son livre “The Invention of the Jewish People”, 2009 ~


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Le messie arabe

 

Dr Ashraf Ezzat

 

19 Octobre 2015

 

url de l’article original:

 

https://ashraf62.wordpress.com/2015/10/19/the-arabian-messiah/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

“Au centre de toute cette culture messianique se trouve une très ancienne tradition tribale arabe intimement entremêlée de mythes païens.”

Vous êtes-vous déjà demandé pourquoi le soi-disant “Moyen-Orient” est l’endroit le plus volatile au monde ? De plus, comment se fait-il que le monde arabe soit le nid de l’extrémisme et de la violence ?

Pourquoi le Moyen-Orient avec ses communautés musulmanes, chrétiennes et juives a toujours été dévasté dans un état de “conflit perpétuel” qui est décidément insolvable et je ne me réfère pas seulement à ces 50-70 dernières années (depuis que l’état juif d’Israël fut fourbement établi), mais à une ère qui remonte à bien longtemps.

Mon évaluation de ces troubles permanents remonte aux temps des croisades, à la montée de l’Islam et son conflit subséquent entre le sunnisme et le chi’isme, suivi par des décennies de raids sans merci à l’Est et à l’Ouest de l’Arabie, l’émergence (et la politisation) de l’histoire de Jesus Christ et son martyr et le schisme entre l’église orientale (orthodoxe) et occidentale (romaine) et même plus loin jusque la soi-disante “captivité babylonienne” et le conte fameux de l’exode.

Pourquoi cette zone est-elle, et a toujours été, dans un tel désarroi ?

En fait, le monde arabe identifié sur une carte moderne comme étant le Moyen-Orient et dans les livres d’histoire comme l’ancien Proche-Orient, a toujours été dans un tel tumulte à cause du syndrome du “messie”.

Ne vous y trompez pas sur ses origine, car c’est un pur produit judéo-arabe. Ce qui commença comme une tradition arabe tribale est devenu au fil des siècles une religion talmudique dont l’idéologie (fondée sur le concept messianique) a réussi à infiltrer et à pervertir la plupart des systèmes mondiaux de croyance et de culture avec son extrémisme tribal.

Certains pourront argumenter que les troubles du monde arabe sont justes les mêmes que dans d’autres parties du monde où la violence et les conflits à répétition ainsi que les guerres font juste partie intégrante de la vie. Mais je pense différemment parce que partout ailleurs les conflits éclatent pour différentes raisons, mais au Moyen-Orient (le monde arabe), les conflits et guerres à répétition sont toujours dû à la même raison: le “syndrome messianique”. Peut-être est-ce pourquoi le scenario de la fin du monde est supposé se dérouler sur ce bout de terre aride, comme prophétisé par la littérature messianique noire (apocalyptique).

Même lorsque quelque périodes de paix relative et de prospérité interrompent le cycle de troubles moyen-orientaux, l’idéologie tribale responsable du trouble et de la violence continue de bouillir sous la surface jusqu’à ce que les choses surchauffent et atteignent un autre niveau d’éruption de ce volcan invisible du messie.

Même lorsque les choses semblent être entièrement une conquête impérialiste et une exploitation internationale de la zone. Cela est souvent fait explicitement (comme les croisades médiévales) ou implicitement (comme dans le cas de la dernière invasion américaine en Irak) à cause de l’idéologie morbide messianique.

Tandis que la machine de guerre de George W. Bush démolissait littéralement la nation irakienne et son héritage historique (mésopotamien), l’ancien président américain était euphorique (on pouvait le voir à son rictus idiot) et sa conscience semblait appaisée car il croyait que la destruction qui s’ensuivait et engouffrait tout le Moyen-Orient (jusque maintenant) était le prélude nécessaire et inévitable de la seconde venue du messie. Voilà à quel point est dangereuse, chaotique et annihilante, cette culture messianique.

Le messie: la véritable nativité

Contrairement à ce qu’ont cru pendant très longtemps les orientalistes et les érudits occidentaux, le messie n’a absolument rien à voir avec Jesus Christ ou quelque spiritualité occidentale que ce soit. Cela n’a non plus rien à voir avec le commencement et la fin de notre temps.

Au centre de toute cette culture messianique réside une ancienne tradition tribale arabe entrelacée de mythes païens. Pendant les siècles menant à la naissance du christianisme, des cultes variés connus sous le nom de “religions du mystère” se sont répandus au travers du monde païen.

Au centre de ces cultes du mystère se tenait une histoire au sujet d’un homme-dieu mourant et rescuscitant et qui était connu sous différents noms dans des cultures différentes.

En Egypte, d’où émergèrent ces mystères, il était connu sous le nom d’Osiris, en Grèce: Dionysos, en Syrie: Adonis, en Italie: Bacchus et en Perse: Mithrée. Ces mythes païens furent réécrits et mêlés du thème du messie arabe comme l’évangile de Jesus Christ. Sans ce mélange subtil, la culture messianique arabe n’aurait pas pu infiltrer et prendre racine dans la psychée occidentale et sa spiritualité. Mais pourtant le thème principal était arabe.

Pourquoi croyez-vous que l’apôtre Paul se rendit en Arabie et y séjourna pendant trois longues années afin qu’il puisse oser s’embarquer pour son voyage missionnaire vers le monde occidental / romain?

“Mais quand le dieu qui me sépara de l’uterus de ma mère et m’appela sous sa grâce fut ravi de révéler son fils en moi-même, ainsi que je sois son héraut parmi les nations, je ne me suis pas fait de chair et de sang, ni ne me suis rendu à Jérusalem vers ceux qui étaient des apôtres avant moi, mais je m’en allai en Arabie et retournai encore à Damas (Gal.1:15-17)

Paul n’a pas voyagé en Arabie dans un safari tour ni pour aller y méditer. L’homme bien éduqué et multilingue savait que l’Arabie était la terre culturelle et géographique (native) non seulement du judaïsme mais aussi, incroyable mais vrai, de la doctrine totale de “Nazarenes” ou “Yeshua Natzri” or “Eissa Al Nasrani” en arabe, plus tard latinisé en… Jesus Christ.

D’après sa propre enquête, Paul savait très bien que l’homme qui avait traversé la rivière du Jourdain (depuis sa pertie Est) puis se réclama être le roi des juifs à Jérusalem (avant qu’il ne fut tué) était venu d’Arabie et non pas de Palestine.

Paul savait que la vérité au sujet du vrai Jesus ou Eissa en arabe, devait être trouvée en Arabie et non pas en se réunissant avec une équipe de pêcheurs illétrés qui s’auto-étiquettaient “apôtres”.

Et de fait ce fut dans l’ancienne Arabie que Paul collecta les morceaux du puzzle de son évangile (les historiens classiques arabes on mentionné un vieil évangile de Nazarenes bien avant l’émergence de l’histoire du Christ dans la province romaine de la Palestine, un thème qui est aussi réitéré dans le Coran).

Le mot “messie” est en fait une translitération du mot hébreu / arabe “Mashiach/Mashaiakh/sheikh qui remonte aux temps très anciens de l’Arabie.

En fait, le mot ‘Messiah/Mashiach’ a plus à faire avec le judaïsme et l’Islam (en tant que deux religions des anciens Arabie et Yémen médiévaux) qu’avec le christianisme (en tant que religion composite et hybride qui fut taillée sur mesure d’après le vieux thème juif de Mashiach, mais avec une tournure païenne gréco-romaine).

L’histoire biblique: origine falsifiée

Dans mon récent livre “Egypt knew no Pharaohs nor Israelites” j’ai élaboré sur les bases culturelles et géographiques communes que partagent à la fois le judaïsme et l’islam.

En retraçant les anciennes racines (arabes) du Judaïsme et de l’Islam, nous sommes arrivés à la conclusion effective (soutenue par des preuves issues de la recherche) que l’Hébreu et les langues arabes sont deux dialectes de la même langue arabe ancienne commune et que le Judaïsme et l’Islam sont le produit de la même culture et géographie arabe (mais à des époques différentes).

Ceci est une base argumentaire cruciale (presque révolutionnaire même pour tout universitaire ou érudit occidental de l’histoire biblique) qui va nous aider à comprendre la complexité de ce syndrome messianique. Ceci est un point clef parce qu’il met en lumière une question qui fut longtemps éludée: d’où provient le Judaïsme en première instance ?

En d’autres termes, quelle est la culture qui a produit cette foi célébrée de Moïse et de ses tablettes des 10 commandements ? Où aboutirions-nous si nous remontions aux racines de la foi judéo-chrétienne ? La plupart, si pas tous les croyants aussi bien que les érudits et les prêtres de cette soi-disante foi judéo-chrétienne répondraient instantanément et sans y réfléchir à deux fois: de Palestine.

Et bien ils ont tout faux. Ils n’ont pas seulement tort sur la Palestine patrie du judaïsme, mais aussi à relier le Judaïsme et le christianisme dans le même sac religieux.

Le Judaïsme n’est pas et ne devrait pas être relié thématiquement et philosophiquement parlant au christianisme (occidental). Le long lien entre les deux religions n’est que de nature politique, grâce aux Romains et leur tentative maligne de soulager la militarisation et la violence des juifs tribaux arabes dont beaucoup avaient déjà migré du Yémen vers la Palestine quelques siècles avant le conte du Christ.

La seule façon qui paraissait possible pour contrôler cette ancienne marée militante du judaïsme (quelque chose ressemblant à l’actuel activisme islamiste, elles partagent toutes deux la même culture tribale arabe) était de la dissoudre dans une nouvelle foi (pacifiste et tolérante) en utilisant et en actualisant le “syndrome messianique” judéo-arabe. Pourquoi croyez-vous que les évangiles furent écrites en grec et non pas en araméen, la langue utilisée par Jesus et ses disciples ? Gardez présent à l’esprit que l’araméen n’est rien d’autre qu’un dialecte de la langue arabe (ne tombez pas dans le panneau de la classification sioniste de ces langages dits “sémites”)

De cette façon, les juifs eurent leur prophétie réalisée, mais cette fois-ci leur nouveau Machiach/Messiah fut latinisé (c’est pour cela que les juifs ont un problème à croire en Jesus Christ). Le nouveau messie, contrairement à un long et ancien héritage de l’activisme militant tribal ancien et à l’intolérance, fut contre toute attente pacifique et acceptait tous ses suiveurs (et pas seulement les choisis) dans son royaume. Mais il y avait un truc à ce niveau là, le changement de paradigme ne s’est pas produit de lui-même.

La bible arabe

Si vous réfléchissiez aux similarités phonétiques entre les deux langues, sous seriez surpris du comment l’hébreu est la langue la plus proche de l’arabe. Dans la prononciation arabe, Hébreu est appelé “Abri” tandis qu’Arabe se prononce “Arabi”, de la même manière “Eloh” et “Allah” sont l’hébreu et l’arabe pour “dieu”.

Donc, au sein de cette toute petite échelle et presque négligeable différence entre “Abri” et “Arabi” et “Eloh” et “Allah”, la toile de fond culturelle commune ARABE d’à la fois le judaïsme et l’islam pourrait et en fait devrait être notre guide pour examiner l’historicité des histoires bibliques/israélites (incluant celle de Jesus Christ), car par essence, c’est là que l’école occidentale de l’histoire biblique a emprunté le mauvais chemin.

Voilà pourquoi primordialement les orientalistes et historiens occidentaux ont jusqu’ici échoué à faire corroborer archéologiquement leurs histoires bibliques là où leur bible falsifiée leur a dit qu’elles s’étaient produites: en Palestine. Leur cinglant échec est dû à leur fausse hypothèse de départ et donc à leur quête déroutée qui s’en suivit.

L’idéologie chrétienne est fondée sur le narratif déformé que le Pharaon était le roi de l’Egypte ancienne et que Moïse fut élevé dans une famille de rang royal égyptien et que l’exode épique partit du royaume païen d’Egypte vers la nouvelle terre promise que dieu avait choisi pour eux, son peuple élu et juste, en terre de Palestine/Canaan. Ceci est basé sur la fausse croyance que Moïse a reçu les tablettes de la Loi sur le Mont Sinaï égyptien ; mais au temps où l’histoire du Christ se développa, il a semblé que Paul l’apôtre fut le seul qui savait vraiment la vérité (après s’être immergé dans le monde de l’ancienne Arabie).

La vérité est que Moïse était un berger arabe et il travaillait comme esclave dans un petit village au sud de l’ancienne Arabie appelé “Mizraïm”. Il partageait le sort de quelques centaines de personnes de sa tribu et non pas les milliers et les milliers qu’on vous donne à voir dans les films hollywoodiens sionistes. L’homme qui règnait sur ce petit village de “Mizraïm” était appelé ‘Faraon/فرعون ’.

Lorsque Moïse tua un des gardes de Faraon, lui et ses gens s’enfuirent de Mizraïm et retournèrent dans leur terre tribale du nord Yémen, une bande de terre aride connue sous le nom d”Asir. C’est pourquoi cette tribu d’esclaves arabes était appelée Asir-alites ou plus connue sous le nom d’Israélites. Une fois de plus, arrêtons-nous ici pour remarquer de nouveaux points de changement de paradigme.

Premièrement, le fait est que le judaïsme est un réel culte tribal arabe qui a pour origine (comme je le détaille plus avant dans mon livre) le nord de ce qui est aujourd’hui le Yémen et donc la croyance centrale du christianisme est bâtie sur une ancienne culture tribale arabe ; la même qui a plus tard produit l’Islam et aussi sur la même culture et tradition littéraire qui a aidé à façonner les groupes islamistes radicaux comme Al Qaïda et également l’EIIL ou État Islamique en Irak et au Levant.

Deuxièmement, l’histoire et l’archéologie bibliques sont littéralement en charpie pour la bonne raison que les histoires bibliques sont introduites dans une fausse géographie des évènements. Falsifier les noms des endroits des histoires bibliques originales fit partie d’une forfaiture à grande échelle, menée par 70 scribes juifs au IIIème siècle av JC à la légendaire bibliothèque d’Alexandrie, dans ce qui devint connu sous le nom de “bible des septantes” ou “bible septante”. Si nous gardons à l’esprit que la bible septante en grec ancien est la “seule source” de toutes les traductions de la sainte bible dans le monde entier (oui, oui même celle qui est sur votre table de chevet ou sous votre oreiller…), nous pourrions en venir à réaliser l’échelle de grandeur de la tromperie (juive) que ces 70 scribes ont répandu sur le monde sous le règne du roi Ptolémée II.

Si nous devions revisiter l’ancien Proche-Orient et réexaminer ses histoires au travers d’un objectif non-juif, nous découvririons avec surprise (comme ce fut le cas au cours de nos recherches) que l’Egypte ne fut jamais la terre de départ de l’exode des Israélites, ni la Palestine/Canaan, leur terre promise.

La Palestine était occupée par une débauche politique occidentale flagrante qui n’aurait pas pu être rendue possible sans la déformation juive de l’histoire de l’ancien Proche-orient.

Ce qui rend ce conflit insolvable, comme mentionné plus tôt, c’est que génération après génération (pas seulement celles des juifs, mais aussi celles des chrétiens et des musulmans), nous avons continué à accepter cette fausse histoire de la Palestine comme “terre promise” et ce pendant les deux mille dernières années. On pourrait avoir une 3ème Intifada et on pourrait en avoir 30 de plus ; on aura un autre accord d’Oslo, et même une autre centaine de pourparlers de paix, mais ne vous voilez pas la face, le problème palestinien ne sera pas résolu à moins que nous n’exposions cette forfaiture et corrigions l’histoire ancienne de cette région.

La véritable histoire ancienne est que l’Egypte n’a connu ni Pharaon, ni Moïse et pour corriger le narratif historique ancien, nous devons vous choquer avec une autre révélation, celle que la Palestine n’a jamais été le témoin de quelque histoire biblique que ce soit. Toutes les histoires relatant les aventures des Israélites (quelles soient fictives ou non), se sont déroulées dans l’ancienne Arabie et l’ancien nord-Yémen, toutes, du déluge et l’arche de Noë et la vente de Joseph comme esclave, jusqu’à l’Exode de Moïse et le soi-disant royaume de David-Salomon.

Ces contes que l’occident connait depuis longtemps sous le nom d’”histoires des patriarches” ne sont que des contes populaires issus de l’ancienne Arabie.

Une autre trouvaille étonnante est que la zone à laquelle tous les érudits et universitaires spécialistes de la bible se réfèrent comme étant Canaan à quelque moment que ce soit dans l’histoire ancienne, cette désignation n’est qu’une déformation, un travesti de la géographie actuelle du Levant et spécifiquement de l’ancienne Palestine. Canaan, dont le nom est répété sans fin dans la bible hébraïque est en fait le territoire de la tribu arabe de Banu Canaan et Banu Kinanah (comme je le montre dans mon livre, cartes à l’appui)

La racine culturelle du messie

D’après l’ancienne tradition tribale arabe, Moïse était un Machiach. Mais la définition arabe de Machiach est tellement différente de la romaine que cela en est venu à déterminer comment nous (principalement les occidentaux) voyons et définissons le mot “messie” aujourd’hui.

Le titre arabe, juif de Mashiash ne veut rien dire de plus qu’un chef de guerre tribal.

Il n’y a pas de connotation spirituelle attachée à ce terme, pas de choix, de nomination, pas de divinité, pas de temple ni de salut. L’addition de ces requis ne prit place seulement qu’après l’hellénisation de l’ancien culte arabo-juif.

Comme l’ancienne communauté arabe était tribale de manière prédominante (et l’est toujours en ce moment même), ainsi la culture tribale de raids et de conquête (comme perpétrée aujourd’hui par Daesh), était la stratégie principale pour obtenir la domination politique. Ceci explique pourquoi la bible hébraïque est remplie de contes de guerres, de raids et ceci explique aussi l’héritage historique et culturel qui motive un groupe militant comme l’EIIL.

Donc, à chaque fois qu’une tribu arabe, et pas seulement les Asir-alites, était subjuguée par une autre plus puissante, le peuple de la tribu rêvait d’un nouveau leader, un Mashiash qui les délivrerait de leur misère et de leur subjugation.

En ce sens, David fut un Meshaiash, un leader tribal, un homme qui mènerait ses guerriers dans un de ces raids sans merci de l’ancienne Arabie, durant lesquels il n’y avait aucune règle morale à l’exception de la survie et de la domination de la tribu à tout prix, même si cela signifiait l’extermination de l’autre tribu et la mise en esclavage de ses femmes et de ses enfants (ce que le monde moderne appelle maintenant un génocide).

Tandis que la sensibilité du monde occidental avancé est maintenant profondément offensé par les raids sauvages menés par l’EIIL/Daesh et leur nouveau Calife/Mashaiash/Sheikh, d’un autre côté, la sensibilité chrétienne occidentale n’a aucun problème avec bien des raids tribaux juifs dont leur bible est remplie. Tous ces raids sanglants étaient menés par les Mashiachs/Messies juifs.

Pouvez-vous percevoir la contradiction ici ? Mais encore plus important, pouvez-vous dire comment et quand commença ce paradoxe qui aliéna le monde occidental de ses propres valeurs culturelles ?

Ceci s’est produit lorsque nous avons renoncé en occident à notre propre ancienne sagesse et connaissance et avons au lieu de cela, souscrit à la culture du messie, un pur produit de l’ancienne Arabie. Et comme la culture ancienne de l’Arabie a toujours été tribale, intolérante et extrêmement violente, Paul l’apôtre, termina son long séjour là-bas après qu’il ait apparememnt atteint deux conclusions décisives ; c’est le truc mentionné plus tôt.

D’abord, Paul a tourné le dos (éternellement) à l’ancienne Arabie, car il savait que s’il ne le faisait pas, il deviendrait encore le zèlé violent et intolérant qu’il fut avant d’être captivé, hypnotisé par l’histoire du fils de dieu. Ensuite, Paul ne pouvait pas voir le Mashiach/Messie au travers de l’objectif hermétique tribal de l’Arabie ; au lieu de cela il garda l’histoire originale arabe et le thème du messie, mais la moula dans la culture greco-romaine de la diversité et de la tolérance (ce qui ne dura pas bien longtemps par la suite…)

Ce faisant, Paul arriva à retourner ce qui semblait être un culte arabo-juif non mitigé de violence sans fin en un message universel de foi qui pouvait satisfaire tous les enfants de dieu et non pas seulement ceux qui étaient circoncis.

Mais de fait, le message de Paul reposait principalement sur le concept arabe du Meshiach/Messie.

Le côté dangereux de cette doctrine du messie est qu’elle est fondée sur le sens tribal arabe de l’insécurité et de la vulnérabilité (dû à une culture militante de raids constants). Cette insécurité a toujours mené les juifs arabes à chaque fois qu’ils étaient subjugués par des raids internes arabes ou même des forces externes comme les Egyptiens ou les Babyloniens à rationaliser leur subjugation comme une punition divine pour leur foi et pratiques imparfaites, comme dans le cas de la “captivité babylonienne”.

Ainsi, les croyants dans la foi messianique se retrouvent toujours dans un état perpétuel d’incertitude quant à leur foi. Chaque mauvaise fortune dans leurs affaires courantes est traduite en une foi imparfaite, corrompue, un sens profond du pêché, qui se manifeste souvent dans la méthode fondamentaliste et dogmatique comme pour les chrétiens sionistes, les chrétiens évangélistes, les musulmans salafistes, la secte de la confrérie des Frères Musulmans, la secte takfiriste, les juifs Heredi et bien sûr les sectes islamiques chi’ite et Wahabite.

C’est lorsque le concept de mashiach/messie/sheikh vient toujours à jouer un rôle. Dans un temps de défi et de controverse, les croyants messianiques (spécifiquement les orthodoxes), inondés de l’incertitude de la rectitude de leur foi courante et de leur conduite, commencent à rêver d’un autre messie, sheikh, qui pourrait les mener sur la voie du juste (le plus souvent sa propre voie…)

Et dans le processus de retourner dans le soi-disant droit chemin de dieu, toujours plus de messies/sheikhs, que ce soit Joseph Smith des Mormons ou le “Calife” Abou Bakhar Al-Baghdadi de l’EIIL/Daesh, émergent et le cycle du dogmatisme, de la violence et de l’extrémisme se perpétue à l’infini.

Fukushima le désastre oublié: 600 tonnes de corium en fusion s’enfoncent inexorablement dans le sol…

Posted in actualité, altermondialisme, écologie & climat, désinformation, N.O.M, politique et lobbyisme, politique et social, santé, sciences, sciences et technologies, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , on 9 juin 2016 by Résistance 71

Recette pour un désastre:

  • Prenez un pays situé sur le « cercle du feu » pacifique, zone volcanique et tectonique hyper-active du monde et
  • Construisez-y des centrales nucléaires à qui mieux-mieux tout en ne maîtrisant pas la technologie avenante.
  • Secouez bien avec un séisme de 8 ou 9.0
  • Arrosez d’un bon tsunami
  • Laissez mariner à feu doux pendant les 800 millions d’années à venir
  • Dégustez avec les générations futures 

~ Résistance 71 ~

 

Fukushima bien pire qu’un désastre

Robert Hunziker

7 juin 2016

url de l’article original:

http://www.counterpunch.org/2016/06/07/fukushima-worse-than-a-disaster/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Les désastres peuvent être nettoyés.

Naohiro Masuda, le patron de la décommission de la centrale nucléaire de TEPCO à Fukushima Daiichi a finalement publiquement “officiellement” annoncé que 600 tonnes de combustible nucléaire fondu ou corium (NdT: en anglais le cœur du réacteur où se trouve le combustible nucléaire en fusion s’appelle “core”), manquent à l’appel (Epoch Times du 24 Mai 2016).

Bon qu’est-ce qu’on fait ?

D’après Gregory Jaczko, ancien patron de la Commission de Régulation Nucléaire des Etats-Unis (CRN), il est fort peu probable que le combustible en question soit jamais récupéré: “Personne ne sait vraiment où il se trouve et ce combustible est extrêmement radioactif et le restera pendant très très longtemps”.

Une grosse partie du problème est que personne n’a jamais fait l’expérience d’une fusion totale comme cela se passe à Fukushima, qui est maintenant de l’ordre de 100%, le combustible nucléaire possiblement en train de s’enfoncer dans le sol, mais personne ne le sait pour certain.

A partir de maintenant, tout n’est que voyage dans la Twilight Zone…

La fission absolument incontrôlable de l’assemblage de combustible nucléaire fondu continue quelque part dans les sous-bassements de ce qu’il reste de la centrale. Il est très important de le trouver dès que possible.”, reconnaît Masuda, admettant au passage que le Japon “ne possède pas encore la technologie pour extraire ce combustible d’uranium fondu actif”, (600t du combustible fondu de Fukushima n’ont toujours pas été retrouvées, révèle le patron de l’opération de nettoyage, RT, 24 mai 2016)

La fission nucléaire se produit lorsque des atomes se divisent en de plus petits atomes. Dans le cas des bombes nucléaires, la fission doit se produire extrêmement rapidement afin de charger et de déclencher une grosse explosion, tandis que dans le cas d’un réacteur nucléaire, la fission doit se produire très lentement afin de produire de la chaleur, celle-ci à son tour est utilisée pour faire chauffer de l’eau jusqu’à ébulition, la vapeur qui se dégage est récupérée pour faire tourner une turbine qui produit de l’électricité.

On peut éventuellement faire bouillir de l’eau en frottant l’un contre l’autre deux bâtons, mais la société moderne n’a pas la patience, ce qui fait accepter les risques inhérents de toute technique allant au-delà du frottement de deux bâtons. Bienvenus dans notre monde de transformation.

Même si l’équipe de nettoyage de Masuda trouve les 600t manquantes, qui sont de toute façon bien trop radioactives pour permettre une inspection ni même d’inspecter la zone immédiate, ils auront alors besoin de construire, de l’air du temps, la technologie pour les sortir de là et ensuite ? Tout n’est que supputation. C’est ce à quoi la société moderne en est réduit… Supputer. Oublions le frottement de deux bâtons pour produire de la chaleur et construisons de monstrueux Léviathans pour des milliards de dollars afin de faire bouillir la flotte et quand çà se passe mal, supputer ce qu’on fera. Qu’est-ce qui ne va pas avec ce plan ? Et bien dans un premier temps, personne ne sait ce qu’il faut faire quand l’enfer nucléaire se déchaîne.

Ils n’ont pas la technologie pour extraire le combustible !… Rien que çà !…

En 1986, des équipes d’ouvriers russes ont trouvé le corium fondu de la centrale nucléaire de Tchernobyl dans les plus bas niveaux de la centrale. Tout en “grillant 30 ouvriers” dans le processus, ils l’ont contenu de manière juste suffisante pour empêcher qu’il ne s’enfonce dans le sol, peut-être…

Pendant le travail de circonscription à Tchernobyl, une caméra robot bricolée avait réussi à prendre le monstre en photo, le noyau combustible en fusion, affublé du sobriquet de “patte d’éléphant”. Trente ans plus tard, la “patte d’éléphant” est toujours aussi mortelle.

Si on veut comparer ou mettre en contraste Tchernobyl et Fukushima, des radiations extrêmes zappent et détruisent tout robot entrant ne serait-ce que dans le vaisseau de circonscription du combustible de Fukushima. C’est un peu comme les Daleks dans Dr Who.

Trente ans plus tard, Tchernobyl semble avoir trouvé une solution à la menace de la patte d’éléphant sur la société, quant à Fukushima, ils doivent d’abord localiser les 600t de machin en fusion hautement radioactives (NdT: ils cherchent depuis maintenant plus de 5 ans !…). Ceci est peut-être déjà une mission impossible, et après ?

Trente ans après l’accident nucléaire de Tchernobyl, il y a toujours une menace radioactive signifiante en provenance des restes s’effritant du réacteur no4 ; mais une superstructure inovatrice valant 1,5 milliard d’euros est en train d’être construite pour empêcher plus de fuites, donnant ainsi une élégante solution d’ingénierie à un des plus énormes désastres connu de l’humanité”, Claire Corkhill, Ph.D, université de Sheffield New Tomb Will Make Chernobyl Site Safe for 100 Years, Phys.Org, 22 avril 2016.

De fait, on est en train de remplacer le vieux sarcophage de Tchernobyl qui s’effritait par un énorme cadre en acier tout nouveau: “Grâce au sarcophage, jusqu’à 80% du matériel de combustible radioactif demeurant après la fusion totale du réacteur a pu rester dans celui-ci. S’il devait s’effondrer, une partie du corium fondu, qui a la substance d’une lave, pourrait être éjectée dans la zone entourant la zone dans un gigantesque nuage de poussière radioactive mélangé à une mixture de vapeurs et de toutes petites particules toutes aussi radioactives, le tout partant au gré des vents. Les substances clefs de la mixture sont l’iode-131, substance liée au cancer de la thyroïde et le césium-137, qui peut être absorbé par le corps avec des effets allant de la maladie des radiations à la mort en fonction de la quantité inhalée ou ingérée,” Ibid.

La patte d’éléphant pourrait bien être le détritus le plus dangereux au monde”, (Le merdier bouillant de Tchernobyl, “La patte d’éléphant” est toujours mortelle, Nautilus, Science Connect, 4 décembre 2013). C’est un blob massif hyper radioactif qui ne mourra pas ou ne s’éteindra pas. Ceci pourrait être un script pour Dr Who ! Intrinsèquement, il existe la vulnérabilité et les risques d’utiliser l’énergie nucléaire ou alternativement, utiliser l’énergie solaire ou du vent. Celle-ci n’est pas radioactive et elle est toujours plus rapide que frotter deux bouts de bois l’un contre l’autre.

Fukushima, c’est trois fois Tchernobyl, peut-être plus ! Mais à Fukushima existe la distincte possibilité que le corium chauffé à blanc ait déjà commencé à s’enfoncer dans le sol. Après çà, laissez aller votre imagination parce que personne n’a une quelconque idée de comment çà va se terminer, si çà se termine un jour !

Mais Einstein lui savait. Voici un des ses célèbres citations: “L’énergie de l’atome a tout changé sauf nos modes de raisonnement, ainsi nous dérivons vers des catastrophes sans précédents.

Nous y voilà !

Gregory Jackzo, l’ancien patron de la CRN se pose la question de la sécurité de l’énergie nucléaire: “Vous devez maintenant accepter le fait que dans toutes centrales nucléaires, où qu’elles soient dans le monde, vous pouvez avoir ce genre d’accident catastrophique et vous pouvez fuiter une quantité assez importante de radiations, vous laissant devant une bonne décennie de nettoyage après coup.” (Epoch Times)

En extrapolant de quelques années dans le futur la question demeure: Où sera le corium fondu chauffé à blanc à l’heure des JO de Tokyo en 2020?

Personne ne le sait ni ne peut le savoir !

Et pourtant, le premier ministre japonais Abe a dit au comité de sélection olympique que Fukushima “était sous contrôle” !

Ce débat lui colle aux basques depuis son discours du 7 septembre 2015 devant le CIO, lorsqu’il a déclaré que le désastre nucléaire “était sous contrôle« . Le jour suivant, Tokyo gagna le droit d’héberger les JO d’été de 2020 “,” (Tsuyoshi Inajjma and Yuriy Humber, Abe Olympic Speech On Fukushima Contradicts Nuclear Plant Design, Bloomberg, Oct. 23, 2013).

Les autorités françaises sont en train d’enquêter sur la possibilité de pots-de-vin pour une somme de 2 million de dollars versés à une entreprise liée au fils de l’ancien patron du sport mondial Lamine Diack et des connexions présumées avec la proposition couronnée de succès du Japon pour héberger les JO”, ,” (Tokyo Olympics Bid Questioned as Prosecutors Probe $2M Payouts, The Financial Times, May 12, 2016).

Le Japon a obtenu le droit d’héberger les jeux de 2020 avec une offre de dépense de 5 milliards de dollars, ce qui est suspicieusement une toute petite somme. En contraste, la proposition d’Istanboul était de 20 milliards de dollars, ce qui parait bien plus réaliste pour un tel évènement mondial.

A jongler autant, on peut se demander si la tristement célèbre loi d’Abe sur le secret va se mettre en branle, y a t’il un moyen quelconque pour mettre des bâtons dans les roues de l’enquête ? Après tout, la loi permet à n’importe quel politicien japonais de mettre quelqu’un derrière les barreaux pour 10 ans pour avoir trahi des secrets d’état, ce qui correspond à tout ce que l’accusateur désire être “secret”. Après tout, à première vue, entre Fukushima et les JO, bien des choses secrètes pourraient bien se trâmer en coulisses.

La loi japonaise sur le secret d’état et sur la protection de secrets spécifiquement désignés, loi no108 de 2013 est passée sur les talons de la fusion du réacteur de Fukushima ; cette loi est très similaire à la Public Peace and Order Controls du Japon pendant la seconde guerre mondiale. D’après la loi No108, l’acte en soi de “fuiter” est sujet à la mise en accusation, quelque soit la fuite, le comment et le pourquoi, de manière absolue, si quelqu’un “fuite”… hop au trou !

Susumu Murakoshi, le président du barreau nippon objecte: “La loi devrait être abolie parce qu’elle met en danger la démocratie et le droit du peuple de savoir et d’être informé”, la loi sur les secrets d’Abe diminue la démocratie japonaise, Japan Times, 13 décembre 2014.

Le Japan Times doit vérifier la définition de démocratie.

Nouvel Ordre Mondiale et chimère génétique… Main basse sur la Ganja par le cartel pharmaco !… 2ème partie

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L’épopée des cannabinoïdes védiques: De la Tulsi à la Ganja

Dominique Guillet

15 Octobre 2015

url de l’article original:

http://blog.kokopelli-semences.fr/2015/10/lepopee-des-cannabinoides-vediques-de-la-tulsi-a-la-ganja/

1ère partie
2ème partie

Note de Résistance 71: Cet excellent article de Dominique Guillet a été publié d’un bloc, vu sa longueur, nous avons décidé de le relayer en deux parties. Vous pouvez le lire et le sauvegarder d’un bloc en suivant le lien ci-dessus.

La nouvelle saga des psychotropes chimériques:

Blue Dream BT, Afghan Kush Roundup Ready… ou THC à base de levure génétiquement modifiée?

Mais au fait, par quelle prouesse technique? Par sexualité naturelle ou par intervention de vecteurs non issus de la Biosphère Gaïenne? C’est un énorme dossier et les rumeurs vont bon train sur la toile. Et si l’on évoque la question des modifications génétiques, il faudrait avant tout, et déjà, poser la problématique de certaines modalités d’obtention de la féminisation de semences de cannabis.

Et Monsanto dans tout ce cannabicide? A quand des variétés chimériques de cannabis proposées par la multinationale N°1 de la Semence Industrielle et Chimérique? Afghan Kush Roundup Ready? Ou bien encore Blue Dream BT? Monsanto y travaille, peut-être, et les analystes financiers de Wall Street se demandent si la prochaine espèce génétiquement modifiée, à grande échelle planétaire, ne serait pas tout bonnement le cannabis.

En août 2015, une étude est publiée sur la première élaboration d’opioïdes (thébaïne et hydrocodone) à base de levure génétiquement modifiée par des généticiens de l’Université de Stanford en Californie, sous l’oeil très vigilant de l’Industrie Pharmaceutique, [94] [95] afin de remplacer, à terme, la production d’opium – pour laquelle les variétés chimériques de pavots sont, d’ailleurs, déjà en culture partout sur la planète, selon le second article cité, celui du New-York Times: « Les pavots sont croisés et génétiquement manipulés pour augmenter la productivité. Ils sont légalement cultivés dans plusieurs pays, avec des quotas spécifiques, sous l’égide de l’Organe international de contrôle des stupéfiants. Ils sont également cultivés pour le marché illégal de l’opium et de l’héroïne en Afghanistan, au Laos, en Birmanie, au Mexique et ailleurs… » [96] Ces pavots génétiquement modifiés sont cultivés depuis 1997, [97] [98] particulièrement en Tasmanie (qui produit 85 % de la thébaïne utilisée dans le monde et dont la culture de l’opium légal constitue 10 % du PNB). Il semblerait que ces modifications génétiques aient été induites par mutagenèse (qui donc ne serait pas GM… selon tous les textes officiels…) puisqu’en 2014, en Tasmanie, deux grands monstres de la Pharmacie, GlaxoSmithKline et Johnson & Johnson, exerçaient une pression incroyable auprès du gouvernement pour qu’il ne renouvelle pas son moratoire anti-chimérique (anti-OGM). [99] Les producteurs Tasmaniens d’opium étaient très fortement divisés sur le fait de savoir s’il fallait, ou non, cultiver des variétés de pavot Roundup Ready. Le moratoire fut maintenu.

En septembre 2015, une étude est publiée sur la première élaboration de THC à base de levure génétiquement modifiée par des généticiens de l’Université de Dortmund en Allemagne. [100] [101] Cette même équipe affirme avoir déjà produit du CBD (cannabidiol) à base également de ces levures chimériques. Selon Oliver Kayser, un biochimiste de cette université, les Autorités Régulatrices Européennes sont très impatientes de pouvoir assurer un approvisionnement stable de THC, et d’autres cannabinoïdes, sans cultiver réellement de cannabis: « ils ont peur que ces plantes soient cultivées et soutiennent une production illégale ». En 2005, des scientifiques Japonais avaient déjà inséré un gène dans la levure Pichia pastoris pour l’induire à secréter un enzyme nécessaire à la production de THC. A l’époque, cependant, on ne connaissait pas tous les enzymes requis pour l’élaboration de THC. Dix années plus tard, grâce aux nouveaux outils génomiques, les généticiens ont maintenant découvert les gènes-clés. Les généticiens de l’Université de Dortmund en Allemagne, qui travaillent sur ces levures chimériques, sont en partenariat avec l’entreprise THC Pharm de Frankfurt [105], celle qui commercialise le Dronabinol/Marinol [106] à base de THC synthétique, depuis 1998 – et dont nous avons déjà mentionné les overdoses létales. THC Pharm est le plus gros producteur de THC synthétique en Europe.

Le Dr. Jonathan Page, de l’Université de Colombie Britannique – qui effectua un séquençage génomique du cannabis dès 2011 [21] – a créé Anandia Laboratories (un petit emprunt Védique!) pour lancer une production industrielle de cannabinoïdes à base de levure chimérique. Il en est de même de Kevin Chen et de sa société Hyasynth Bio. Ils attendent tous deux l’aval du Gouvernement Canadien. [96] Le Dr. Jonathan Page possède plusieurs brevets portant sur la voie de synthèse du THC. Une autre société biotechnologique de Californie, Amyris, évoque son souhait d’entrer dans la danse – d’autant plus qu’elle produit déjà du patchouli chimérique et de l’artémisinine tout autant chimérique. Nonobstant, il reste que la compétition est rude avec les producteurs de cannabis réel. Jonathan Page évoque la possibilité de se diversifier dans l’élaboration d’autres cannabinoïdes chimériques moins connus mais bientôt très demandés – tels que la cannabidivarine et la tétrahydrocannabivarine.

Quant à Kevin Chen, sa société Hyasynth Bio est basée à Hong Kong et c’est une filiale de la société biotechnologique FuturaGene basée en Israël, au Brésil et en Chine. FuturaGene est, elle-même, une filiale de Suzano Trading Limited, au Brésil, qui est, elle-même, une filiale de Bahia Sul International Trading Ltd au Brésil. FuturaGene est fort connue des activistes anti-OGM, et du Mouvement des Sans Terre au Brésil, puisque ces derniers, en mars 2015, détruisirent ses plantations de jeunes arbres d’Eucalyptus génétiquement modifiés (souche H421) pour lesquels FuturaGene demanda une autorisation en mai 2014. [102] [103] [104]

Les partenaires de FuturaGene incluent: Bayer; Evogen, en Israël, dont les partenaires notoires sont Monsanto et Syngenta; Forage Genetics International (qui est une filiale de Land O’Lakes Canada; elle-même une filiale de Masterfeeds LP; elle-même une filiale de Ag Processing Inc.); BioCentury Transgene, une société de biotechnologies Chinoise; AA Alliance en Thaïlande, impliquée dans la culture d’eucalyptus chimériques.

Et pour en revenir à la levure, le Professeur Raphael Mechoulam, l’ancêtre de la recherche cannabinique en Israël, s’étonne: « Je me demande bien pourquoi quiconque s’évertuerait à produire du THC à base de levures; quant à la production de cannabidiole, c’est une autre histoire, car son élaboration à partir de plantes est quelque peu compliquée; et la demande est croissante ». Pour l’instant, les généticiens ne sont pas en manque de défis car ils estiment devoir insérer plus d’une douzaine de gènes dans la levure. [96] Du coupe-coupe en perspective.

D’ailleurs, le cannabis avait également été séquencé génomiquement en 2011 par la société Medicinal Genomics Corporation, rachetée l’année suivante par Courtagen Life Sciences. [47] Et Tulsi aurait-elle également été honorée d’un séquençage génomique? Oui, durant l’été et l’automne 2015, furent publiés les deux premiers séquençages génomiques de Tulsi Rama et de Tulsi Krishna par deux équipes de scientifiques en Inde. [48] [49] [50] Lorsque le séquençage/dépeçage génomique émerge des laboratoires, la grande poussée industrielle vers les remèdes synthétiques et chimériques en est d’autant plus confortée et… inexorable. Inexorable, du moins, tant que les Peuples n’auront pas repris le Pouvoir! Les Peuples de l’Inde vont-ils laisser les Terroristes Pharmaceutiques breveter, synthétiser et chimériser leur bien-aimée Tulsi?

 

De la chasse aux sorcières cannabiniques… à la croisade de CaNNabis!

C’est ainsi que, selon les analystes de Wall Street, le cannabis médical est devenu un secteur très prometteur de milliards de dollars. Nombreux sont ceux qui évoquent tout simplement une nouvelle ruée vers l’or!!  C’est une manne miraculeuse pour l’Industrie: l’une des plantes les plus vilipendées, les plus ostracisées et les plus criminalisées de la planète (plus de 8 millions d’arrestations en 10 années seulement aux USA), la Marie-Jeanne, se métamorphose – quasiment du jour au lendemain – en un nouvel Or Vert. Le Canna/bis: un remake des Noces de Cana??

Selon le PDG de Privateer Holdings [81], (qui possède Leafly, un très gros portail cannabis sur la toile, [109] ainsi que les compagnies Tilray et Marley Natural), c’est un marché potentiel de 50 milliards de dollars aux USA seulement. Privateer Holdings est en train de lever, actuellement, 75 millions de dollars pour accroître son capital [82]. CNN, l’un des réseaux câblés de lavage de cerveau les plus toxiques des USA, est en train de préparer le peuple US à la nouvelle révolution. Et c’est leur médecin attitré, le très médiatique Dr. Sanjay Gupta, (l’une des 10 personnalités les plus influentes, en 2011, selon Forbes Magazine!), qui en 2013, lors d’un interview en Israël [58] avec le Dr. Shackelford de Breed It, (celui-là même qui affirme “qu’Israël est un bastion de la recherche cannabis”) a retourné sa veste de façon fulgurante – suite, sans doute, à une apparition miraculeuse de la mère céleste, Lakshmi ou Tulsi, ou peut-être, tout simplement, à la demande de Ted Turner, son propriétaire – pour devenir l’un des avocats les plus passionnés du cannabis médical. [59] Il explique, dans son documentaire “Weed”, qu’il a terminé sa chasse aux sorcières cannabiniques (lancée en 2009) pour se transformer en le serviteur le plus zélé de l’Industrie du Cannabis Pharmaceutique… après avoir découvert par lui-même, (quel cerveau!), au bout d’une année d’investigation… que le cannabis peut soulager tous les êtres humains dans les affres de terribles souffrances. Yes, We Can/nabis! Tout cela est cannabinoïdement très émouvant.

Dr. Sanjay Gupta a vraisemblablement découvert que le Marihuana Tax Act de 1937, aux USA, avait été mis en place l’année même où la société Popular Mechanics introduisait [60] un nouveau décortiqueur industriel de chanvre qui allait révolutionner l’économie. Le chanvre est une espèce dont la production de biomasse est tout simplement incroyable. Pour la production de papier: un hectare de chanvre produit quatre fois plus de pulpe qu’un hectare de forêts à papier. Pour la production de textiles: en 1938, Popular Mechanics évoquait la présence de plus de 5000 produits textiles sur le marché. [61] Et bien sûr pour la production de compost dans l’agriculture et le jardinage. Le Marihuana Tax Act de 1937 interdit aux paysans des USA de cultiver le chanvre – ce qui laissa le champ extrêmement libre aux grandes industries du papier (dévoreuses de forêts: 95 % des séquoias géants ont été coupés aux USA), du textile (DuPont venait d’inventer le nylon!!) [63] et bien évidemment… des fertilisants de synthèse.

Il n’est que de consulter les vidéos proposées par CNN pour prendre conscience que la chaîne câblée fait de son grand mieux pour éduquer le petit peuple aux bienfaits du cannabis!!! Le programme CNN s’appelle “High Profits” [57] – un jeu de mots à peine dissimulé – que l’on pourrait traduire par “Profits Elevés” ou bien encore par “Le Fric de la Planante”. Ils auraient pu, tout aussi bien, l’appeler CaNNabis… vu que CNN est devenu aux USA le principal promoteur de toute cette industrie. CNN a lancé, en 2014, son “Weed 2. Cannabis Madness”: n’en doutons pas, la promesse d’une abondante manne financière.

Il existe même un Réseau Financier, Cannabis Financial Network (CannabisFN), chargé d’analyser les évolutions des Bourses dans le secteur du cannabis médical. [46] D’ailleurs, qui est Cannabis Financial Network? C’est une filiale de la société GrowOp Technology qui est, elle-même, une filiale de la société Terra Tech. [74] La société Terra Tech se focalise sur les biotechnologies pour reverdir la Planète. Et d’ailleurs, leur partenaire privilégié est la multinationale biocidaire Bayer.

Ce n’est donc pas étonnant que, le 7 octobre 2003, les USA se soient accordés à eux-mêmes, en toute simplicité, un brevet couvrant la totalité des cannabinoïdes en tant qu’anti-oxydants et neuro-protecteurs: “Cannabinoids as antioxidants and neuroprotectants”. [28] [29] Nous invitons à cliquer sur les liens suivants: [39] et [83] tous ceux (anglophones) qui seraient intéressés par quelque 130 études “scientifiques”, sur le thème des propriétés anti-cancer du cannabis, et par quelques centaines d’études “scientifiques”, sur le thème des propriétés thérapeutiques universelles du cannabis, publiées par l’Institut National de la Santé – à savoir le gouvernement des USA. Les anglophones peuvent également compulser le portail internet Pub Med – du gouvernement des USA. La recherche sur le terme anglais “cannabinoid” présente 19 619 publications scientifiques. [112] Quant à la recherche sur le terme anglais “cannabis”, elle présente 14 374 publications scientifiques! [111]  Cela veut dire que, durant les 20 dernières années, ce sont plus deux études qui ont été publiées, chaque jour, sur ce thème! Vous y trouverez des perles. Par exemple, cette recherche de l’Institut de Médecine Forensique de Fribourg, en Allemagne, qui invalide complètement les tests utilisés pour prouver la consommation de cannabis à partir de la présence de THC dans les cheveux. [110] A contrario, vous trouverez des études prouvant que les tests/THC  – utilisés par les Forces du Désordre – titrant négatifs ne prouvent en aucun cas la non-consommation de cannabis… car le THC a la capacité, chez certains individus, de se nicher dans les tissus adipeux et parfois de réapparaitre, au fil des années, lors d’un phénomène de stress ou tout simplement de manque de nourriture.

Et pour ne pas oublier le milliardaire prédateur George Soros du Groupe Bilderberg et du Council for Foreign Relations (CFR) (celui qui finance les crapules militaristes d’Avaaz), il a offert 1 million de dollars pour soutenir la campagne de légalisation du cannabis en Californie en 2012. Mais ce ne sont que des cacahuètes car George Soros (dont la fortune est estimée à 24 milliards de dollars) a investi, depuis 1994, 200 millions de dollars dans les campagnes de légalisation du cannabis! Une grande partie de cette somme est canalisée/cannabisée au travers de l’organisation Drug Policy Alliance dirigée par son fondateur Ethan Nadelmann. [83] Dans quel intérêt? Il y a beaucoup d’anguilles qui gigotent dans ce panier de crabes. Bloomberg propose une liste de 55 compagnies industrielles impliquées, totalement ou partiellement, dans le cannabis sous tous aspects (avec une capitalisation totale de 3 milliards de dollars). [107] Des cartes bancaires CB/CannaBis commencent même à émerger sur ce marché de dupes. Ainsi la Tommy Chong Cannabis GreenCard [108] est proposée par Cannabis Angel et la 420 Development Corporation (des filiales de FastFunds Financial Corporation qui est, elle-même, une société financière principalement impliquée dans les Casinos aux USA) en partenariat avec la société financière GreenHouse Payment Solutions. La Tommy Chong Cannabis GreenCard est une carte bancaire strictement réservée à l’usage de la commercialisation légale, médicale ou récréationnelle, du cannabis. Avec accumulation de bons points donnant droit à des petits cadeaux cannabiniques!

Tout cela n’est sûrement pas dans l’intention louable de redonner l’autonomie aux Peuples quant aux plantes et champignons qu’ils souhaitent ingérer ou utiliser pour l’alimentation, pour la thérapie, pour les rituels, pour les fibres, pour le compost…

 

Endocannabinoïdes, Système immunitaire et Acides Omega 3

C’est le Professeur Raphael Mechoulam de l’Université Hébraïque de Jérusalem – celui-là même qui a impulsé toute la recherche Israëlienne sur le cannabis thérapeutique depuis 1962 – qui, en 1964, a découvert le principe actif principal du cannabis, le THC. [75] C’est le Professeur Raphael Mechoulam, de nouveau, qui découvrit l’existence du système des cannabinoïdes endogènes – ou endocannabinoïdes – lorsque son équipe isola, en 1992, l’Anandamine – une dénomination résolument Védique! [71]. Notons, en effet, que cette appellation est dérivée du terme Sanskrit Ananda, signifiant “joie, félicité suprême”. Dans le corps humain, le système des endocannabinoïdes est vraisemblablement le système physiologique le plus important pour le maintien de la santé humaine. Il garantit l’homéostasie.

« Les cannabinoïdes affectent puissamment les réseaux neuronaux et ils jouent des rôles neuro-modulateurs essentiels au niveau du système immunitaire et des systèmes nerveux central et périphérique dans le corps humain. Nos corps produisent naturellement des cannabinoïdes (endocannabinoïdes) et les utilisent dans toutes les parties du corps où ils participent aux communications intracellulaires. Les cannabinoïdes (endo- ou ecto-) jouent des rôles modulateurs au niveau des neurotransmetteurs tels que GABA, 5HT, glutamate, acétylcholine, noradrénaline et dopamine, à partir d’un certain nombre de structures du système nerveux central telles que le cervelet, l’hippocampe, le striatum, la substance grise et le cortex. Ils agissent tel un mécanisme autorécepteur présynaptique en modulant le GABA tout autant que l’acide glutamique dans le système neuronal. Les récepteurs au glutamate induisent, en fait, la synthèse d’endocannabinoïdes en réponse à des indices environnementaux (ou internes) afin de réguler la libération de GABA et les niveaux de système. La production d’endocannabinoïdes altère l’architecture neurocognitive, stimulant la plasticité neuronale et les réponses aux perturbations environnementales. Durant des périodes de stress intense, ils sont généralement produits en très forte quantité. » (Stephen Harrod Buhner. Plant Intelligence and the Imaginal Realm. Traduction de Dominique Guillet).

Depuis janvier 2011, et la publication dans la revue Nature des recherches réalisées par une équipe Française [72], nous savons qu’une déficience en acides gras Omega 3 invalide totalement le fonctionnement harmonieux du système des endocannabinoïdes. Or selon l’INSERM, « Dans les pays industrialisés, les régimes alimentaires se sont appauvris en acides gras essentiels depuis le début du XXème siècle. Ainsi, le rapport entre les quantités d’acides gras polyinsaturés Oméga 6 et d’acides gras polyinsaturés Oméga 3 dans les rations alimentaires n’a cessé d’augmenter au cours du XXème siècle. Ces acides gras sont des lipides « essentiels » car l’organisme ne peut les synthétiser de novo. Ils doivent donc être apportés par le régime alimentaire ». [73]

En conclusion. D’une part, l’alimentation industrielle est archi-toxique et de plus en plus dépourvue des constituants les plus élémentaires pour la santé de l’humanité – tels que les acides gras Omega 3 – et le système des endocannabinoïdes est totalement dysfonctionnel chez une grande partie des êtres humains. D’autre part, les Autorités – sous le prétexte insensé de nous protéger contre nous-mêmes – ont criminalisé (aux USA, encore aujourd’hui, une arrestation/cannabis toutes les 45 secondes!!!) [80]) une source avérée de cannabinoïdes naturels, le Cannabis, depuis les années 1940, pour protéger les industriels du papier, du nylon, des fertilisants de synthèse, etc… et maintenant pour protéger les Cartels de la Pharmacie.

Que faire? Exigeons, comme nous l’avons fait avec Kokopelli pour les semences en pollinisation ouverte du Domaine Public, que les Autorités/Multinationales/Systèmes Bancaires Mafieux nous laissent en Paix. Exigeons la liberté de cultiver ce que nous souhaitons dans nos jardins et dans nos champs, la liberté de nous alimenter comme nous le souhaitons et la liberté de nous soigner comme nous le voulons.

Ce n’est d’ailleurs pas aux psychopathes de nous accorder ces libertés, c’est à nous de les incarner dans notre vie quotidienne. Prônons la non-coopération la plus intégrale avec les Dictatures Terroristes des Multinationales de l’Agro-Pharmaco-Chimie.

Dominique Guillet. Le 12 octobre 2015.

 

Hommage à Steve DeAngelo

Steve DeAngelo, [113] un activiste US, avec près de 40 années de lutte pour la légalisation du Cannabis, vient juste (le 24 septembre 2015) de publier son unique ouvrage: The Cannabis Manifesto: A New Paradigm for Wellness[114] Son ouvrage est préfacé par le maire de San Francisco. Steve a passé sa vie entière à lutter contre les Autorités – soit auto-proclamées, soit issues d’un Système Mafieux appelé “Démocratie” dont ces Autorités ont, elles-mêmes, créé les règles frauduleuses afin que l’unique fondement essentiel et primordial – permettant que le système fonctionne harmonieusement et démocratiquement!! – en soit, pour la plupart du temps, intégralement absent: à savoir, LA TRANSPARENCE. Afin que les Peuples y perdent à tous les coups/élections, ad vitam eternam. [Et d’ailleurs, pour rebondir sur la pathologie mortifère de l’extraction Occidentale, ci-dessus évoquée, n’est-il pas sidérant de voir que le concept d’élections, la base frauduleuse de la pseudo-démocratie, participe du même syndrome sémantique. Election = Extraction, du latin Eligere et du Grec Lego!!].

Steve raconte, dans le dernier chapitre de son ouvrage, “La légalisation ne peut pas être stoppée et ne sera jamais stoppée”, comment le Ministère de la Justice du gouvernement fédéral du président Obama (dont les promesses électorales étaient pourtant si “prometteuses” pour le cannabis médical…) lança, en Octobre 2011, une violente opération pour faire fermer tous les dispensaires légaux de cannabis médical dans les Etats ayant voté des lois pro-cannabis médical. Ils envoyèrent une simple lettre à tous les propriétaires ayant loué des locaux commerciaux à des dispensaires légaux – pour les menacer de poursuites judiciaires par le gouvernement fédéral. En l’espace de 3 mois, 600 dispensaires de cannabis médical furent fermés, aux USA, par la force de la persuasion et du chantage. Et Steve de préciser que cette opération cannabicide leur coûta juste une poignée de timbres postaux!

Steve DeAngelo est le fondateur d’un dispensaire médical créé en 2006, Harbor Side Health Center [115]  qui accompagne (avec 110 employés) environ 100 000 patients Californiens dans leur quête de cannabis médical (pour mémoire, en Californie, aujourd’hui, le cannabis non-médical reste illégal). Bravo Steve and Keep up the good work!

Steve DeAngelo a lutté plus particulièrement contre ces Autorités qui ont criminalisé le cannabis et ruiné la vie de dizaines de millions de familles en Amérique du nord (depuis 1937) par un système d’incarcération immonde. Steve a voué qu’il ne pourrait jamais garder le silence tant qu’un seul prisonnier/cannabis moisirait dans les prisons des Autorités. Comment ne pas être révolté lorsque l’on sait que ce sont des milliers de milliards de dollars (et d’euros) provenant des Cartels de drogues dures (cocaïne, héroïne, etc…) qui transitent par les plus grosses banques du monde Occidental (Barclays, HSBC, Wachovia, American Express Bank International, Bank of America, Wells Fargo, Banco Santander SA, Citigroup Inc, etc) et qui en assurent la pérennité? Sous quelle protection d’Etat? Nous allons présenter, dans cet article, un seul petit exemple parce que des ouvrages entiers pourraient être écrits sur ce dossier et d’ailleurs, certains ont déjà été rédigés… mais leurs auteurs ont eu la fâcheuse propension à se suicider d’une balle dans le dos! Subséquemment. Prenons, donc, l’exemple de la banque Wachovia (rachetée en 2008 par Wells Fargo): entre 2004 et 2007, la banque Wachovia a “blanchi” (et ce n’est pas un commentaire raciste) la bagatelle de 380 milliards de dollars en provenance des Cartels Mexicains. La banque Wachovia s’est repentie, en Cour de Justice US, et a payé une petite amende de 160 millions de dollars – en promettant que non, ils ne le feraient plus. [116] [117]  Nous allons garder nos commentaires pour un prochain article.

« Steal a little they throw you in jail; steal a lot and they make you a king.» Bob Dylan. 

Réponse aux attaques infondées visant la pétition sur le vaccin DT-Polio

Posted in actualité, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, santé, santé et vaccins, sciences, sciences et technologies, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , on 2 juin 2015 by Résistance 71

Professeur Henri Joyeux

 

1er Juin 2015

 

« Cela faisait longtemps que les antivaccins ne s’étaient pas manifestés. C’est chose faite. Depuis quelques jours, une vidéo du Pr Henri Joyeux fait un tabac sur le Net. [1] »

 

Ce sont les premières lignes de l’article que le journal Libération a consacré le 25 mai 2015 à la pétition que nous avons organisée, avec l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, pour le retour du classique vaccin DT-Polio dans les pharmacies.

Qu’une pétition demandant que soit respecté le droit des patients à avoir accès au vaccin obligatoire DT-Polio soit décrite comme « antivaccin » en dit long sur le caractère passionnel du débat.

Avons-nous encore le droit de soulever un sujet de santé délicat sans risquer aussitôt de se voir coller des étiquettes infamantes, par des personnes qui semblent plus chercher à caricaturer, ce qui est une manière d’empêcher le débat et la réflexion, qu’à contribuer à éclairer le public sur les questions qui le concernent ?

Reprenons notre calme et discutons ensemble posément.

Le DT-Polio obligatoire n’est plus commercialisé en France depuis 2008

Comme chacun le sait désormais, le vaccin DT-Polio obligatoire n’est plus commercialisé en France depuis 2008 par les laboratoires pharmaceutiques. C’est un fait. Personne ne peut affirmer, sans mentir, le contraire.

Depuis septembre 2014, la situation s’est aggravée avec une pénurie généralisée de vaccins tétravalents (DT-polio-coqueluche) et pentavalents (DT-polio-Haemophilus Influenzae B-coqueluche).

Le seul vaccin contenant le DT-Polio qui ne souffre d’aucune pénurie est le vaccin hexavalent DT-polio-Hib-coqueluche-hépatite B, Infanrix Hexa des laboratoires Glaxosmithkline.

Sur ces points, « le Pr Joyeux a raison », a reconnu le journaliste de Libération. Merci à lui pour cela, au moins.

Les parents sont donc actuellement obligés de recourir à l’Infanrix Hexa s’ils veulent protéger leurs enfants contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, éviter les poursuites pénales prévues par la loi en cas de non-respect de l’obligation vaccinale, et garantir l’accès de leurs enfants aux collectivités (crèches, garderies, écoles, cantines… dont les enfants n’ayant pas reçu les vaccins obligatoires sont en général exclus).

Logiquement, nous demandons que, puisque le vaccin DT-Polio est obligatoire, il y ait une obligation pour les laboratoires pharmaceutiques de le fournir aux parents.

En cas de défaillance, il serait logique que les autorités de santé interviennent pour empêcher les laboratoires de jouer sur l’obligation vaccinale pour vendre du même coup d’autres vaccins facultatifs, éventuellement inutiles pour certains, car un vaccin n’est jamais anodin. Il existe toujours un risque, même s’il est faible, et il peut ne pas être raisonnable de vacciner si le patient n’a pas, ou peu de risques d’être en contact avec la maladie. C’est en particulier le cas de la valence hépatite B, présente dans l’Infanrix Hexa.

Le seul vaccin disponible est 7 fois plus cher

À ce problème purement médical s’en ajoute un autre, d’ordre financier.

Il se trouve que l’Infanrix Hexa coûte 39,04 euros contre 6,10 euros pour le simple DT-Polio, qui n’est plus disponible, soit près de 7 fois plus cher.

Multipliez cette différence par 700 000 naissances en France chaque année. La plus-value réalisée grâce à cette opportune pénurie se chiffre en dizaines de millions d’euros pour les laboratoires pharmaceutiques.

Cela ne veut pas dire que cette pénurie soit organisée. Nous ne l’avons jamais dit. Mais il n’en reste pas moins qu’il est permis de s’interroger sur le peu d’empressement des laboratoires pour y remédier.

Est-ce une hypothèse vraiment invraisemblable que d’imaginer qu’ils ne soient, au fond, pas si gênés que cela d’être « obligés » de vendre massivement ce vaccin si sophistiqué… et si cher ?

En lançant cet appel public aux autorités à enfin réagir (je rappelle que cela fait maintenant 7 ans que le traditionnel vaccin DT-Polio n’est plus vendu en France), nous savions que nous allions heurter des sensibilités, autant que des intérêts financiers majeurs. C’est le lot inévitable du « lanceur d’alerte ».

Désinformation et sape systématique par tous les médias

Ce à quoi nous n’étions pas préparés, en revanche, c’est que tous les aspects de notre pétition allaient être contestés, y compris en y opposant de pures inventions (je vais y revenir), comme s’il existait une sorte d’urgence de convaincre le public que nous n’aurions écrit que des âneries voire des mensonges.

Ces accusations, initialement formulées sur un simple blog anonyme, ont été reprises telles quelles par nombre de grands sites d’information, de Rue89 jusqu’au site du journal Le Monde, en passant par BFMTV, L’Obs ou encore France TV Info et le Journal de la santé sur France5.

L’écho qui leur a été donné, à notre grande surprise vu leur absence de sérieux, fut si grand, et l’objectivité scientifique tellement absente du propos, que je suis obligé d’y répondre de façon systématique.

Je commencerai par les arguments les plus ahurissants.

1/ Un kit DT-Polio gratuit mais réservé à des cas très rares

Le premier argument le plus utilisé pour discréditer notre initiative est que les laboratoires mettraient un kit DT-Polio gratuitement à disposition des personnes qui souhaitent éviter l’Infanrix Hexa. Cela écarterait donc toute possibilité que les laboratoires aient un intérêt quelconque à l’actuelle pénurie. Mieux, cela démontrerait que ces entreprises sont engagées dans une démarche purement désintéressée et philanthropique.

C’est une invention. Ce kit gratuit existe. Mais il est réservé aux rares cas de nourrissons présentant une contre-indication au vaccin anticoquelucheux, présent dans l’Infanrix Hexa, ainsi que l’indique le communiqué de Sanofi-Pasteur MSD indiqué en note [2].

Les contre-indications au vaccin anticoquelucheux sont les antécédents d’allergie, rares chez les bébés nourris au sein, les réactions intenses à d’autres vaccins, impossibles chez les nourrissons n’ayant jamais été vaccinés, l’encéphalopathie évolutive, la fièvre (égale ou supérieur à 40°C), une affection chronique et les affections graves de l’appareil pulmonaire.

En outre, la première partie du kit gratuit, celle qui contient les valences diphtérie et tétanos, a été en rupture de stock depuis le 1er janvier 2015, rupture à laquelle il n’a été remédié qu’au mois de mai, ainsi que l’indique l’Agence du médicament sur son site Internet consultable ici [3].

Prétendre que ce vaccin gratuit ait été librement et largement accessible aux parents ayant une méfiance à l’égard de l’Infanrix Hexa est donc absolument faux.

2/ Oui le vaccin hexavalent peut être dangereux

Le second argument le plus repris contre notre initiative pour le retour du vaccin DT-Polio est que les autorités sanitaires affirment que le vaccin hexavalent est sûr, et qu’il n’y a donc aucun danger particulier à le recevoir. Au contraire, les familles et les patients devraient être reconnaissants, puisqu’ils seraient ainsi protégés contre six maladies d’un coup, en une seule piqûre. Et six précautions valent mieux que trois !

Là encore, il s’agit d’une vision simpliste et trompeuse du choix qui s’offre aux patients. Sait-on ce que recouvre, dans le domaine médical, la notion de « sûreté » d’un médicament ou d’un traitement ?

Toute intervention sur le corps humain, et a fortiori toute injection de corps étrangers, comporte un risque. En tant que médecin, c’est la première chose que nous apprenons. Notre serment d’Hippocrate commence par ces mots : « D’abord ne pas nuire » (« Primum non nocere »). Les vaccins sont des médicaments actifs comme les autres. Affirmer qu’ils sont sûrs signifie seulement que, globalement, les risques qu’ils font courir aux patients sont inférieurs aux bienfaits qu’ils peuvent en attendre. Cela ne signifie absolument pas qu’il n’y ait aucun risque.

Les autorités, et c’est leur rôle, se bornent à estimer que, collectivement, la balance bénéfice/risque est en faveur de la vaccination.

Mais on ne peut en déduire qu’en toutes circonstances il soit sûr, d’un point de vue individuel, de se faire vacciner. Chez un individu donné qui n’est pas exposé à une infection et chez qui la vaccination présente un risque, la gestion individuelle du risque doit recommander de ne pas vacciner. C’est pourquoi il peut être logique de vacciner tout le personnel soignant contre l’hépatite B, une maladie qui se transmet par le sang et les fluides corporels – et je le suis moi-même bien sûr, en tant que chirurgien.

En revanche, pour un bébé de deux mois, qui ne pratique pas d’interventions médicales, qui n’est pas toxicomane et qui n’a pas de rapports sexuels ni de contact étroit avec des malades potentiels de l’hépatite B, il n’est pas du tout sûr que les bénéfices de la protection contre une maladie très peu probable justifie de courir les risques du vaccin.

Discuter le risque d’un vaccin, ce n’est pas être anti-vaccin, c’est dire la vérité

Affirmer qu’un vaccin est risqué, informer les patients que tout vaccin comporte un risque, ce n’est pas être « antivaccin ». C’est dire la vérité, et les familles et patients ont droit de savoir la vérité sur les médicaments qu’on leur administre.

Vouloir la leur cacher, même partiellement, au nom d’objectifs généraux de santé publique, comme la maximisation de la couverture vaccinale, n’est pas respectueux des Droits de l’Homme, et c’est pourquoi nous nous y opposons.

3/ Les vaccins multivalent sont plus dangereux que les autres

Vient le troisième argument, selon lequel les vaccins multivalents, c’est-à-dire qui vaccinent contre plusieurs maladies en une seule injection, ne posent pas plus de problèmes que les autres.

En réalité, le principe de la vaccination consiste à solliciter le système immunitaire avec un agent infectieux affaibli pour provoquer une réponse, afin d’accélérer cette réponse la prochaine fois qu’il sera confronté avec cet agent infectieux. Notre système immunitaire est configuré pour faire face à plusieurs infections mineures, et une ou deux attaques majeures.

Le vaccin hexavalent consiste à demander à l’organisme d’un bébé de 2 mois de faire face à 6 infections majeures simultanées, et donc chez un nourrisson dont le système immunitaire est encore immature (il dépend fortement de celui de la mère, via l’allaitement qui reste idéal pour l’enfant).

Le système immunitaire est une mécanique très délicate. Son emballement est au moins aussi dangereux que son insuffisance. La surréaction du système immunitaire peut produire une « tempête de cytokines » créant des maladies auto-immunes graves.

Que sait-on de la réponse immune lorsqu’il y a 6 valences d’antigènes dans un vaccin ? Pas grand chose à long terme, tout simplement parce que cette pratique de multiplier les valences n’est pas assez ancienne pour que l’on ait aujourd’hui le recul suffisant. Et dans la mesure où l’on ne prend pas en compte le groupe HLA des personnes avant de les vacciner, il est impossible de prédire les risques sanitaires à long terme.

De la même façon, il a été dit et répété dans les attaques contre notre pétition que les adjuvants présents dans le vaccin hexavalent ne sont pas dangereux. Pourtant, pour mémoire, les adjuvants servent à créer une réponse inflammatoire, afin de mieux « marquer » le système immunitaire. Ils fonctionnent forcément en agressant le corps, sans quoi celui-ci ne chercherait pas à se défendre. Ce sont par définition des produits agressifs.

On nous dit, pour nous tranquilliser, que les adjuvants à base de mercure et d’aluminium, des neurotoxiques, ou de formaldéhyde, un cancérogène certain, ne sont pas dangereux parce que les doses sont trop faibles, jusqu’à 10 000 fois inférieures à la dose létale pour l’adulte.

Des poisons injectés, non pas à des adultes, mais à des nourrissons, directement dans le sang

Mais il faut considérer le fait que les adjuvants sont administrés non à des adultes mais à des nourrissons. Qu’ils ne passent pas par le système digestif, et donc pas par le filtre du foie, mais qu’ils sont injectés directement dans le sang. Que ce que l’on redoute n’est pas l’empoisonnement immédiat du bébé, mais les conséquences à long terme, la myofasciite à macrophages ou, nettement plus tard, telle ou telle maladie neurodégénérative, telle la sclérose en plaque (SEC), comme cela a été prouvé après la campagne de vaccination contre l’hépatite B au collège à la fin des années 90.

Pour toutes ces raisons, nous réfutons toute accusation d’approximation, de « dérapage verbal », et plus encore de « complotisme » et de « charlatanisme ». Notre appel à pétition est justifié, pour ne pas dire urgent, par un impératif de santé publique. L’opposition bête et méchante, parfois même de mauvaise foi, que nous rencontrons nous conforte dans l’impression que, si nous ne bougions pas, personne ne le ferait.

Continuons notre mobilisation

C’est chose faite aujourd’hui. Le débat est enfin lancé. Puissent les autorités de santé entendre la voix des 500 000 citoyens et professionnels de santé qui ont déjà signé notre pétition, et de tous ceux qui se joindront à eux prochainement.

Et n’hésitez pas à diffuser largement autour de vous cet argumentaire qui répond à des attaques infondées, et à

poursuivre la campagne de signature de la pétition (ici).

Science et Nouvel Ordre Mondial: Remise en question totale de la littérature scientifique (Dr. Richard Horton, Lancet magazine)

Posted in actualité, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences, sciences et technologie, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , on 30 Mai 2015 by Résistance 71

La science a été détournée de longue date par les puissants intérêts financiers et industriels. Le système est au delà de toute rédemption, nous devons en reprendre le contôle il en va de notre survie purement et simplement…

~ Résistance 71 ~

« Depuis 1910, les fondations (Rockefeller, Carnegie, Ford etc..) ont investi des milliards de dollars dans les facultés de médecine à travers les Etats-Unis. Près de la moitié des membres des facultés de médecine reçoivent une bonne portion de leurs fonds de recherche de ces fondations et environ 16% d’entre eux sont entièrement financés de la sorte. Rockefeller et Carnegie n’ont pas été les seules sources de cette manne. Une influence substantielle est venue de la fondation Ford, de la fondation Kellog, du fond du Commonwealth (un fond commun créé par Rockefeller impliquant Edward Harkness et la Standard Oil), la fondation Sloan et la fondation Macy. Ces dernières années la fondation Ford a été très active dans la formation médicale, mais aucune ne peut comparer à l’activité des fondations Rockefeller et Carnegie en ce domaine. »
~ G. Edward Griffin, 1997 ~

 

La moitié de ce qui est écrit dans la littérature médicale est peut-être faux d’après le Dr. Richard Horton du magazine médical Lancet

 

Initiative Citoyenne

 

22 mai 2015

 

url de l’article:

http://www.initiativecitoyenne.be/2015/05/la-moitie-de-ce-qui-est-ecrit-dans-la-litterature-medicale-est-peut-etre-faux-dr-richard-horton-redacteur-en-chef-du-lancet.html

 

Le Dr. Horton est rédacteur en chef du journal médical le plus connu mondialement. Depuis quelques années, de plus en plus de professionnels ont partagé une vérité qui, pour plusieurs, est difficile à avaler. Une de ces autorités est le Dr. Richard Horton, rédacteur en chef actuel du « Lancet », considéré comme l’un des journaux médicaux des plus respectés et dont les articles sont révisés par des pairs.

Le Dr. Horton a publié récemment dans le Lancet une affirmation déclarant qu’une grande partie des résultats des recherches publiées sont, au mieux, sujets à caution, si non complètement faux.

« Le cas contre la science est simple et direct : il y a beaucoup de choses, dans la littérature scientifique, peut-être la moitié, qui est tout simplement erronée. Affligée par des études ne comportant qu’un petit échantillonnage, des effets minimes, des analyses de laboratoire non valables et de flagrants conflits d’intérêts, avec, en plus, la poursuite obsessive de tendances « à la mode », la science a pris le chemin de l’obscurité ».

C’est très inquiétant, puisque toutes les études (commanditées par l’industrie) utilisent des médicaments ou des vaccins qui prétendent aider les gens, enseigner au personnel médical et aux étudiants en médecine etc.

Il est très commun de ne pas prendre en considération une grande somme de travail accompli par des experts et des chercheurs, dans différentes institutions, partout dans le monde, qui n’est pas examiné par les pairs et qui n’est pas publié dans un journal « crédible », mais comme nous pouvons le voir, la critique des pairs ne signifie plus grand-chose. Les journaux médicaux « crédibles » continuent à perdre du terrain, aux yeux des experts et même des employés de ces journaux, comme le Dr. Horton.

Le Dr. Horton, d’une certaine façon, s’est critiqué lui-même, en affirmant que les éditeurs des journaux aident et encouragent les pires des comportements, que la quantité de mauvaises recherches est alarmante, que les données sont « sculptées» pour cadrer avec la théorie préférée. Il continue en disant que d’importantes confirmations sont souvent rejetées et que peu de choses sont faites pour corriger les mauvaises pratiques. Ce qui est pire, c’est qu’il y a beaucoup de choses qui se passent pouvant être considérées comme frôlant la faute professionnelle.

Le Dr. Maria Angell, médecin et, pendant longtemps, éditrice en chef du New England Medical Journal (NEMJ), qui est aussi considéré comme un autre des plus prestigieux journaux médicaux, revu par les pairs, dans le monde entier, a fait savoir, de façon très claire, son opinion sur le sujet :

«Il n’est, tout simplement, plus possible de croire une grande partie des résultats des recherches cliniques qui sont publiés, ni de nous fier au jugement de médecins fiables ni aux recommandations médicales faisant autorité. Cette conclusion ne me fait pas plaisir et c’est une conclusion que j’ai atteint lentement, après deux décennies en tant qu’éditrice en chef du New England Journal of Medicine ».

Cependant, il y a beaucoup plus d’éléments, qui ne sont pas que des preuves anecdotiques, pour supporter ces déclarations, incluant les documents obtenus par Lucija Tomljenovic, PhD, du Neural Dynamics Research Group, dans le service d’Ophtalmologie et des Sciences Visuelles de l’Université de la Colombie Britannique, qui révèlent que les fabricants de vaccins, les compagnies pharmaceutiques et les autorités de la santé connaissent les multiples dangers associés aux vaccins, mais ont choisi de ne pas les divulguer au public. C’est une fraude scientifique et leur complicité suggère que cette pratique continue, à ce jour.

Ce n’est qu’un des nombreux exemples et cela fait allusion à un point auquel se réfère le Dr. Horton et qui est l’omission de données.

C’est vraiment un temps extraordinaire pour être vivant. Dans toute son histoire, l’humanité a expérimenté de multiples changements de paradigmes, de réalisations qui ont rencontré une résistance farouche au moment de leur révélation. Un de ces exemples est le moment où nous avons réalisé que la Terre n’est pas plate. Aujourd’hui, nous voyons ce genre de changements de pensée révélateurs dans de multiples sphères, les unes après les autres. Cela peut sembler étourdissant pour ceux qui y prêtent attention, spécialement parce que beaucoup de ces idées vont à contre-courant des systèmes de croyance actuels. Il y aura toujours de la résistance envers de la nouvelle information qui ne cadre pas avec notre structure actuelle, même si cette information est raisonnable (ou factuelle).

Science et Nouvel Ordre Mondial: La « malédiction » des microbiologistes

Posted in actualité, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, police politique et totalitarisme, résistance politique, santé, science et nouvel ordre mondial, sciences, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , on 5 novembre 2014 by Résistance 71

Une profession où il fait sale temps pour les mouches en short… profession à très, très haut risque, surtout en bossant pour l’oligarchie criminelle (ou la combattant de l’intérieur).

— Résistance 71 —

 

L’étrange malédiction des microbiologistes dans le monde

 

par Roberto Quaglia, traduction IlFattoQuotidiano.fr

 

url de l’article en français:

 

http://ilfattoquotidiano.fr/letrange-malediction-des-microbiologistes-dans-le-monde/

 

Les récentes polémiques sur l’origine du virus Ébola combinées à la mort accidentelle en juillet dernier du spécialiste mondial de ce virus, Glenn Thomas, et de nombreux autres microbiologistes dans le crash du vol MH17 en Ukraine, nous a remis en mémoire cet inquiétant et très documenté chapitre du livre de l’écrivain italien Roberto Quaglia « Il Mito dell 11-Settembre o l’opzione Dottore Stranamore » paru en 2007 et traduit en anglais sous le titre « The Myth of September 11 » mais pas en français (!) faute une nouvelle fois d’éditeur intéressé. Voici donc ces quelques paragraphes qui, rappelons-le, datent de 2003 [pour la première édiction complétée par d’autres exemples en 2007] mais qui semblent sinistrement actuels. L’auteur écrivait donc ces lignes peu après l’épidémie de SRAS qui avait sévi entre novembre 2002 et mai 2003 touchant de nombreux pays, et environ un an après les lettres à l’anthrax d’octobre 2001.

* * *

Les étranges disparitions de microbiologistes

Entre le 12 novembre 2001 et le 11 février 2002, pas moins de sept microbiologistes ont découvert à leurs dépens qu’ils faisaient un métier bien plus dangereux que de piloter une formule 1, de pratiquer le benji-jumping tous les week-ends, ou d’être victime du hobby du sexe sans protection. Et par la suite, d’autres microbiologistes ont connu la même fin.[1]

Tous les microbiologistes ne courent pas les mêmes risques, et ce sont les spécialistes du séquencement de l’ADN qui semblent être les plus susceptibles de mourir dans des circonstances « suspectes et inhabituelles ». Précisons tout de suite que le séquencement de l’ADN est l’une des techniques nécessaires aux recherches émergentes sur les applications des armes biologiques de destruction de masse, surtout en ce qui concerne la création de nouveaux virus et de nouvelles bactéries.

Il faut dire que le métier de microbiologiste était une activité à risque depuis quelque temps déjà. Particulièrement, et curieusement, depuis les attentats du 11 septembre 2001.

Il se trouve par exemple que le 4 octobre 2001, un avion commercial reliant Israël à Novossibirsk a été abattu « par erreur » au-dessus de la Mer noire par un missile sol-air tiré à plus de 100 km d’une zone où les militaires s’exerçaient, semble-t-il, à ce moment-là. On a dit au début qu’il s’agissait d’un vol transportant des marchandises, mais il s‘agissait bel et bien d’un vol de ligne, le vol Air Sibir 1812. Novossibirsk est connue pour être la capitale scientifique de la Sibérie, et elle est reconnue comme le siège d’importantes recherches en microbiologie. Il se trouve qu’à bord, voyageaient au moins cinq microbiologistes israéliens.[2]

Le 12 novembre 2001, Benito Que, 52 ans, expert en maladies infectieuses et en biologie cellulaire, est retrouvé dans le coma dans une rue proche du laboratoire de l’Université médicale de Miami où il travaillait. Le Miami Herald a écrit qu’il aurait été agressé par quatre personnes armées de battes de baseball, mais la version officielle veut qu’il ait été victime d’iun malaise. Il meurt le 6 décembre 2001. C’était un expert du séquencement de l’ADN. Il avait travaillé avec Don C. Wiley et David Kelly(*), deux autres microbiologistes retrouvés « suicidés » par la suite.[3]

Quatre jours plus tard, le 16 novembre 2001, Don C. Wiley, 57 ans, qui était l’un des principaux experts américains dans ce domaine, disparait.[4] Sa voiture de location est retrouvée abandonnée sur le pont Hermando de Soto près de Memphis (Tennessee), avec le réservoir plein et les clefs sur le contact. Wiley venait de terminer son diner et était sur le point de partir en vacances en famille.[5] Son corps a été retrouvé le 20 décembre dans le Mississippi, à 500 km de là. La thèse officielle fut que, pris de vertige, il serait tombé du pont. Wiley était spécialiste dans le domaine de la réponse du système immunitaire face à des attaques virales comme le Sida, l’Ebola, ou encore la grippe.[6] Il avait reçu un prix très prestigieux pour son travail dans le domaine des vaccins antiviraux. Il s’occupait lui aussi de séquencement ADN, et avait collaboré avec David Kelly.[7]

Le 23 novembre 2001, Vladimir Pasechnik, 64 ans, biologiste spécialisé dans des passetemps aussi sympathiques que la vaporisation de la peste bubonique, fut retrouvé mort à Wishire en Angleterre, non loin de son domicile. Pasechnik avait été responsable pour le développement d’armes biologiques en Union Soviétique et était passé à l’Ouest au début des années 1990.[8]

Le lendemain, le 24 novembre 2001, un avion de Crossair s’écrasa en Suisse. Parmi les passagers se trouvaient trois éminents [chercheurs] Israéliens : Yaakov Matzner, 54 ans, président du département de médecine à l’Université juive, Amiramp Eldor, 59 ans, chef du département d’hématologie de l’hôpital de Tel-Aviv, et Avishai Berkman, 50 ans, directeur du département de Santé publique à Tel-Aviv.[9]

Le 10 décembre, Robert Schwartz, 57 ans, fut retrouvé assassiné dans sa maison de campagne dans le comté de Loudoun en Virginie, Il s’occupait de séquencement ADN et d’organismes pathogènes.[10]

Le 11 décembre, Set Van Nguyen, 44 ans, fut retrouvé mort à l’entrée d’une chambre froide dans le laboratoire où il travaillait, à Geelong dans l’Etat de Victoria en Australie. Van Nguyen était entré dans la chambre froide sans s’apercevoir qu’elle était remplie d’un gaz empoisonné, qui l’avait rapidement tué. Dans ce même centre de recherches, cinq ans plus tôt, avait été isolé un virus de la famille des paramyxoviridés qui provient de la même souche que le virus du SRAS. Ce genre de virus avait été identifié comme étant transmissible aux êtres humains.[11]

Le 9 février 2002, Victor Korshunov, 56 ans, directeur de la sous-faculté de microbiologie à l’Université d’État de Moscou, fut retrouvé mort sur une route. Deux autres chercheurs russes, Ivan Glebov et Alexi Brushlinski, avaient été tués au cours des semaines précédentes. [12]

Le 11 février 2002, Ian Langford, 40 ans, est retrouvé mort dans sa résidence à Norwich en Angleterre.[13]

Le 27 février, Tanya Holzmayer, 46 ans, une chercheuse russe émigrée aux États-Unis est tuée d’un coup de pistolet par un autre microbiologiste, Guyang Huang, lequel est retrouvé mort peu après dans un parc, avec le pistolet non loin de sa main. Mme Holzmayer s’occupait du génome humain.[14]

David Wynn-Williams, 55 ans, astrobiologiste impliqué dans la recherche sur l’éventuelle existence de microbes extra-terrestres, meurt le 24 mars, renversé par une voiture alors qu’il faisait son jogging.[15]

Le lendemain, Steven Mostow, 63 ans, connu comme le « Docteur Grippe » de par son expérience dans le traitement de cette maladie, meurt dans le crash de son avion Cessna lors de la phase d’atterrissage, apparemment un de ses deux moteurs se serait détaché. Mostow était aussi connu pour être un expert en bioterrorisme.[16]

Le 24 juin 2003, le docteur Leland Rickman, 47 ans, meurt apparemment des suites d’un malaise. C’était un expert en maladies infectieuses et il travaillait aussi comme consultant en matière de bioterrorisme.[17]

Pour finir [façon de parler], le 17 juillet, le corps sans vie de David Kelly, 59 ans, expert en microbiologie, mais aussi consultant en armes biologiques de destruction de masse pour le gouvernement britannique, est retrouvé dans un bois. L’enquête conclut au suicide, mais toutes les preuves indiquent au contraire qu‘il s’est agi d’un homicide(*). Quelques mois plus tard, des témoignages affirmèrent que Kelly était sur le point d’écrire un livre sur les programmes de guerre biologique des grandes nations.[18]

Il faut ajouter à cette liste le cas de Jeffrey Paris, 49 ans, retrouvé écrasé à côté d’un parking le 6 novembre 2001,[19] et aussi Christopher Legallo, 33 ans, analyste spécialisé dans les problèmes de terrorisme, dont l’avion s’est écrasé le 30 septembre 2002. A bord de ce même avion, devait se trouver également sa femme, Laura Koepfler, analyste dans le domaine des armes de destruction de masse, mais elle avait changé de programme au dernier moment.[20]

Nous nous arrêterons là, mais les décès étranges de microbiologistes se sont poursuivis depuis. D’après Maurizio Blondet [21], en juin 2004, le nombre total de microbiologistes morts dans des circonstances suspectes se montait à 24.[22]

Il est difficile de savoir si la mort de tous ces microbiologistes est une anomalie statistique ou autre chose, pour cela il faudrait connaitre la quantité exacte de microbiologistes dans le monde et calculer si le taux de morts suspectes est supérieur ou pas à la normale. Je n’ai pas ces chiffres, et de toute façon ils ne m’intéressent pas. Parfois le doute est de loin préférable aux certitudes. J’aime mieux me tromper sans être sûr, qu’être sûr de ne pas me tromper.

Pour la deuxième édition de ce livre en 2007, je me dois de confirmer que la « malédiction » a continué de frapper les microbiologistes. Ce sont maintenant plusieurs dizaines d’entre eux qui ont disparu. Les énumérer tous n’aurait pas de sens, mais je vous en livre quelques-uns à titre d’exemple.

John Clark, un microbiologiste dont les recherches avaient amené au clonage de la fameuse brebis Dolly, s’est pendu le 12 août 2004.

Leonid Strachunsky, spécialiste dans la création de microbes résistants aux armes biologiques, est tué le 8 juin 2005 par une bouteille de champagne qui au lieu de lui faire tourner la tête, la lui a fracassée d’un bon coup sec.

David Banks, expert en prévention d’épidémies, et en mesures de quarantaines, meurt le 8 mai 2005 à bord de l’habituel avion qui s’écrase.

Matthew Allison, biologiste moléculaire, entre le 13 octobre 2004 dans sa voiture qui explose comme cela se produit seulement dans les films.

Et terminons notre liste par Antonina Presnyakova, une scientifique qui s’occupait directement d’armes biologiques, et qui le 25 mai 2004, se croit elle aussi dans un film et se pique par erreur avec aiguille infectée par le virus Ebola ; elle décède rapidement.

Si vous en voulez encore, la liste continue sur Internet.[23]

Ce n’est pas la première fois que des scientifiques spécialisés dans un secteur meurent de façon rapprochée dans le temps et dans des conditions mystérieuses. Cela était par exemple arrivé quelques années plus tôt en Angleterre, à au moins 6 experts de la société Marconi (certains disent qu’il y en avait bien plus que 6), une société qui à l’époque constituait un colosse industriel, mais qui est aujourd’hui au bord de la faillite.[24]

Nous sommes à peine sortis du film America under attack [avec les attentats du 11-Septembre, puisque le livre date de 2003] et nous nous retrouvons déjà aux prises avec un nouveau film qui s’annonce suffisamment horrible pour nous faire presque oublier le précédent. Peut-être, allons-nous même regretter America under Attack, et avec lui le bon temps où la participation de tous les spectateurs à la réalisation d’un colosse médiatique était encore un devoir social. Ou un destin inévitable. Avec SARS Attack II [ou Ebola Attack III – NdT], la musique pourrait être bien différente.

Roberto Quaglia 

Références de l’auteur (certaines n’existent plus, nous sommes preneurs d’archives ou de versions imprimées si certains lecteurs en ont)

  1. www.rense.com/general20/fivedeadHH.htm et www.apfn.org/apfn/scientists.htm
  2. www.fromthewilderness.com/free/ww3/02_14_02_microbio.html
  3. www.rense.com/general40/dead.htm
  4. www.foxnews.com/story/0,2933,39355,00.html
  5. edition.cnn.com/2001/US/11/28/missing.scientist/
  6. www.cnn.com/2001/US/12/22/missing.scientist/
  7. globeandmail.workopolis.com/servlet/News/fasttrack/20020504/UMURDN?section=Science et www.counterpunch.com/madsenanthrax.html (sur WebArchive)
  8. education.guardian.co.uk/obituary/story/0,12212,750145,00.html
  9. edition.cnn.com/2001/WORLD/europe/11/25/singer.dead/ et http://www.stevequayle.com/Interviews/Spectrum.8-2002.3.html
  10. http://www.washingtonpost.com/ac2/wp-dyn?pagename=article&node=&contentId=A288642001Dec11 et http://www.washingtonpost.com/ac2/wp-dyn/A34695-2001Dec12?language=printer et www.rense.com/general17/top.htm
  11. www.rense.com/general35/sarrs.htm et www.rense.com/general39/death.htm
  12. www.thetruthseeker.co.uk/article.asp?ID=2725 (sur WebArchive)
  13. education.guardian.co.uk/higher/news/story/0,9830,649527,00.html
  14. www.mv-voice.com/morgue/2002/2002_03_08.shooting.html
  15. www.prisonplanet.com/articles/january2005/270105deadscientists.htm
  16. www.rense.com/general35/stre.htm
  17. http://www.latimes.com/news/printedition/california/la-merickman2jul02,1,386682.story et health.ucsd.edu/news/2003/06_26_Rickman.html
  18. media.guardian.co.uk/broadcast/story/0,7493,1000903,00.html et www.fromthewilderness.com/free/ww3/101403_kelly_1.html et www.fromthewilderness.com/free/ww3/120903_victoria.html
  19. www.asyura.com/0310/war39/msg/355.html et www.questionsquestions.net/docs04/0720_kelly.html
  20. www.cryptogon.com/2002_09_29_blogarchive.html
  21. www.rense.com/general48/moredead.htm
  22. www.disinformazione.it/intervistablondet2.htm
  23. http://www.stevequayle.com/dead_scientists/UpdatedDeadScientists.html et http://www.stevequayle.com/dead_scientists/UpdatedDeadScientists2.html (l’URL a dû changer entretemps, mais une liste d’articles sur le sujet est disponible à www.stevequayle.com/index.php?s=147)

www.rense.com/general21/micromarconi.htm et fusionanomaly.net/sdi.html

Santé et Nouvel Ordre Mondial: OGM, pesticide et antibiotiques au petit-dej’… Y a du rab ?…

Posted in actualité, OGM et nécro-agriculure, résistance politique, santé, sciences, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , on 4 novembre 2014 by Résistance 71

Même si l’article ci-dessous mentionne le fait que Kellog’s n’utilise pas de produits OGM dans sa production européenne, cela ne peut s’avérer exacte que si les produites utilisés dans la fabrication des denrées alimentaires proviennent à 100% d’Europe. Si des produits importés de l’empire du goulag levant entrent dans la composition des denrées de cette entreprise, les chances que des OGM y soient mélangés sont très élevés. Si les produits OGM sont interdits à l’importation par l’UE, les mélanges de produits agricoles ne sont pas testés.

Prenons un exemple concret: Quelqu’un achète une huile de colza. Le colza s’avère provenir de différentes productions et une partie est importée du pays du goulag levant. Renseignement pris auprès du producteur de l’huile, le colza états-uniens étant un mélange, il est impossible de savoir s’il est non-OGM ou partiellement OGM. Les chances qu’il y ait un pourcentage plus ou moins élevé de colza OGM sont donc grandes. Ainsi, du colza OGM américain peut entrer dans la composition d’une huile fabriquée en Europe, sans que personne ne sache vraiment. Le producteur est de « bonne foi » en disant que le colza n’est pas étiqueté OGM… Officiellement il ne ment pas… Il n’en sait rien (surtout ne veut pas savoir non plus…). Le tour est joué, les OGM s’écoulent.

Bref, si Kellog’s utilise des ingrédients américains pour une partie de sa production européenne, les chances qu’il y ait des OGM dedans sont très élevées. La bagarre de l’étiquetage fait rage au pays du goulag levant où les cultures de maïs, colza, coton, soja, papaye (Hawaii) sont quasiment à 100% OGM. Une très grande partie du maïs est destinée à la nourriture bovine (où a t’on vu une vache ou un bœuf manger du maïs dans la nature ?…). Le cheptel bovin est également soumis à un gavage hormonal et antibiotique. Tout cela bien sûr se retrouve dans le lait et la viande.

— Résistance 71 —

 

Les céréales Kellog’s: Double dose de pesticide OGM et d’antibiotiques

Kellog’s utilise du maïs 100% OGM dans un grand nombre de produits

 

Christina Sarich

 

3 Novembre 2014

 

url de l’article:

http://www.infowars.com/kelloggs-cereals-double-dose-of-gmo-pesticides-antibiotics/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Il y a une bonne raison sur le pourquoi l’entreprise multinationale Kellog’s a dépensé plus de 1 million de dollars en propagande médiatique en Californie et à Washington pour battre l’initiative de vote qui aurait requis l’étiquetage de la nourriture utilisant des ingrédients OGM et qui contribue encore à battre maintenant les initiatives de loi d’étiquetage en Oregon, contribuant 250 000 US$ à la campagne du “Non à l’étiquetage”.

Un consommateur a récemment envoyé une boîte de Fruit Loop à un laboratoire pour y effectuer des tests génétiques. Les résultats ont trouvé que le maïs et le soja utilisés dans les céréales étaient à 100% des OGM Monsanto RoundUp Ready (génétiquement modifiées pour résister à l’herbicide RoundUp). Ainsi l’était également le sucre. Sans parler des autres ingrédients toxiques composant les céréales. Ce qui veut dire que dans une boîte de céréales Kellog’s (et il est plus que possible que les autres céréales contiennent aussi des ingrédients OGM), vous mangez une double-dose de glyphosate (pesticide) et de toxines Bt, alors que le glyphosate est patenté en tant qu’ “antibiotique” par Monsanto depuis 2011.

Kellog’s a fabriqué des céréales depuis 1898, mais je doute très sérieusement que ses fondateurs n’aient jamais pensé à empoisonner le monde au petit-déjeuner chaque matin.

Non seulement le maïs des céréales Fruit Loop est arrosé de RoundUp, mais c’est un pesticide enregistré et réglementé par l’EPA. Mais ce n’est pas juste Fruit Loop qui est problématique, pour tous ceux d’entre vous qui évitent les céréales bourrées de sucres. Les marques de Kellog’s soi-disant “Pleine de Santé” en sont bourrées également.

Kellog’s affirme que, bien qu’ils n’utilisent pas d’ingrédients génétiquement modifiés en Europe, aux Etats-Unis, “les préoccupations des consommateurs au sujet de l’utilisation d’ingrédients issus de la bio-technologie sont basses.”

Kashi, Bare Naked, Morningstar Farms et Garderburger, toutes ces marques auxquelles vous vous êtes probablement fiées pour obtenir une nourriture saine pour votre famille, sont aussi contaminées !

Kellogg’s a promis de changer les étiquetages de ses marques Kashi, mais ils avaient aussi promis que leurs produits ne contenaient pratiquement pas d’OGM en première instance !

Lisez: Kellogg’s Foods are Full of GMO Sugar Beets – Join the Boycott!

Kellogg’s donne à manger aux enfants des pesticides et des antibiotiques, sans le consentement des parents ni même leur information. Allez-vous continuer à tolérer cela ?

Vous pouvez parier que les “tests minutieux” de leurs produits sont autant de mensonges. Ils nous ont dit que ces marques étaient vérifiées comme étant non génétiquement modifiées, non-OGM !

  • GOLEAN Crunch!®
  • GOLEAN Crunch!®Honey Almond Flax
  • GOLEAN Crisp!®Cinnamon Crumble
  • GOLEAN Crisp!®Toasted Berry Crumble
  • Autumn Wheat®
  • Cinnamon Harvest®
  • Island Vanilla®
  • Strawberry Fields®
  • Raisin Vineyard®
  • Simply Maize®
  • Indigo Morning™
  • Berry Fruitful
  • 7 Whole Grain Flakes
  • 7 Whole Grain Puffs
  • 7 Whole Grain Pilaf

La vérité ? Kashi a menti. Cornucopia Institute a testé les céréales GoLean de Kashi et a trouvé qu’elles contenaient 100% de soja OGM. La réponse de l’entreprise ? Accoutumez-vous à la contamination OGM !

En réponse à la question: “Utilisez-vous des ingrédients OGM ?”

Kashi a répondu: “Des facteurs comme la pollinisation des cultures avoisinantes et les pratiques agricoles courantes dans le stockage, la manipulation et le transfert, a mené à un environnement nord-américain où les OGM ne sont plus suffisamment isolés. En résultat, certains de nos produits alimentaires contiennent des ingrédients provenant de cultures OGM.”

Vous pouvez les boycotter, envoyer des pétitions ou les appeler, mais je suggère que vous établissiez clairement que vous ne mangerez plus de leur poison. Trop, c’est trop !

Santé: Précisions sur le virus Ébola (Dr. Guy Alovor et Yves Amaïzo, Ph.D)

Posted in actualité, altermondialisme, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, militantisme alternatif, résistance politique, santé, santé et vaccins, sciences, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , on 18 octobre 2014 by Résistance 71

« Paroles africaines sur le virus ébola »

 

Le virus Ébola

 

Dr Guy Kodzo ALOVOR, Médecin et Dr Yves Ekoué AMAÏZO, Directeur Afrocentricity Think Tank

 

30 septembre 2014

 

url de l’article:

http://www.afrohistorama.info/2014/09/ebola-virus-dr-guy-kodzo-alovor-medecin-et-dr-yves-ekoue-amaizo-directeur-afrocentricity-think-tank-afin-de-permettre-une-meilleure

 

Afin de permettre une meilleure compréhension du phénomène et d’apporter des éclaircissements sur le débat concernant l’origine du virus Ebola et sa paternité supposée africaine, Afrocentricity Think Tank s’est attelé à lever quelques ambiguïtés et rappeler que de part et d’autre, les causes avancées sans la participation d’experts africains indépendants restent de simples hypothèses dont la crédibilité commence à échapper à l’analyse scientifique par les experts africains de la Diaspora. Des informations circulent ici et là.

Il est important que les Africains et Africaines directement concernés puissent avoir un point de vue afrocentrique en attendant que les dirigeants africains financent l’étude sur l’origine du virus Ebola demandée par une équipe d’experts de la Diaspora.

Il faut pourtant clarifier le débat. Les Africains ne peuvent être responsables de ce qu’ils n’ont pas créé et diffusé.

  1. Le virus Ebola n’a pas été « créé », ni « nommé » par les Africains

C’est le nom d’un fleuve de la République Démocratique du Congo que les Occidentaux ont choisi unilatéralement pour donner à un virus créé dans leurs laboratoires lesquels poursuivent des objectifs militaires et de créations de maladies émergentes avec des solutions pour le moins mitigées.

A la différence des agents biologiques pathogènes classés par ordre de dangerosité comme la rougeole, la poliomyélite, la varicelle, la rage et la variole, le virus Ebola comme au demeurant et par ordre de dangerosité, l’hépatite C, le HIV-Sida, l’Antrax (qui est une bactérie) sont des agents pathogènes créés dans des laboratoires non Africains 1. Les motivations à l’origine de la création de ces agents pathogènes ne sont pas nécessairement pacifiques.

Le virus Ebola est un filoviridae dont l’origine remonte au mois d’août 1967, dans la ville de Marburg en République Fédérale d’Allemagne. L’apparition originelle et inaugurale s’est faite dans un des laboratoires de la ville travaillant indifféremment pour des objectifs civils et militaires. Officiellement, lors des travaux de recherche pour fabriquer des vaccins, au moins 35 laborantins ont été contaminés dont 7 ont trouvé la mort malgré les soins intensifs prodigués. L’origine du virus Ebola n’est pas en Afrique.

  1. Le virus Ebola n’a pas de réservoir naturel en Afrique

Les analyses et recherches de médecins africains commencent à mettre en évidence le fait que le virus Ebola n’a pas de réservoir naturel. Il est donc évident que sans réservoir naturel, l’hypothèse selon laquelle l’origine d’une des six souches proviendrait de la République Démocratique du Congo (ex-Zaïre) demeure une simple hypothèse qui reste à vérifier. L’hypothèse de l’inoculation, voire de la transplantation par tous les moyens possibles et inimaginables en Afrique ne peut être écartée. Une étude portant sur l’origine de certains  agents pathogènes (virus et bactéries) par des experts indépendants africains y compris la Diaspora permettrait d’en avoir le cœur net.

  1. Les animaux africains ne sont pas à l’origine du virus Ebola

Les gorilles, les chimpanzés et les antilopes ne sont pas des vecteurs du virus contrairement aux affirmations sans preuves avancées jusque-là car ces animaux n’ont pas de réservoir du virus Ebola.

La chauve-souris n’est pas un hôte naturel du virus car jamais le virus n’a été isolé sur elle. Mieux encore, lorsqu’on lui inocule expérimentalement en laboratoire le virus, cet animal l’élimine rapidement sans le conserver dans son organisme.

De même, les arthropodes ne sont pas des vecteurs car lorsqu’on inocule le virus Ebola à ces derniers, aucune réplication virale n’est observée.

Puisque l’on sait aujourd’hui le point de vue des Africains et que le virus n’a jamais été isolé chez ces animaux malgré toutes les recherches menées dans ce sens, il faut donc bien convenir qu’il faudra aller rechercher le réservoir du virus ailleurs que dans la faune africaine, ailleurs qu’au sein des populations africaines rurales ou urbaines.

  1. Les laboratoires occidentaux ou contrôlés par ces derniers sont à l’origine du virus Ebola

Avec la liste des laboratoires militaires connus et tous ceux civils non connus (voir annexe 1), il n’est plus possible de nier l’évidence, à savoir qu’un grand stock de virus divers dont l’Ebola sont disponibles dans les laboratoires biologiques de niveau pathogène 4 (le plus élevé). La France est présente en Afrique au Gabon, à Franceville (pour ce qui échappe au « secret défense »).

Comment croire que ces stocks sont destinés à l’amélioration de la santé publique en Occident ? Comment ne pas se poser la question de savoir comment s’opèrent les tests ? Une fois les animaux infectés, est-ce que ces derniers n’ont pas été transportés dans des zones rurales et urbaines africaines pour faciliter la confirmation de certaines hypothèses sur les animaux ? Puis, quelles sont les limites éthiques de telles expérimentations secrètes, parfois avec l’aval des autorités africaines, alors que les tests sur des humains africains dits « volontaires » ont commencé à se vulgariser notamment au Libéria et en Sierra Leone.

Rien ne permet d’écarter l’hypothèse selon laquelle les virus créés dans des laboratoires occidentaux ou contrôlés par ces derniers en Afrique ne sont pas justement créés pour soutenir des activités civiles de santé publique. L’hypothèse de virus créé pour des opérations militaires futures ne peut être écartée de l’analyse et donc de l’étude à venir. Il s’agirait alors purement et simplement d’armes virologiques de destruction massive. Les signes avant-coureurs ont été révélés dans le livre de Leonard G. Horowitz 2 dès 1996 où ce dernier s’interrogeait sur la nature des virus émergents comme le VIH-Sida et l’Ebola. Il avait déjà écarté l’origine naturelle de ces deux virus et ne croyait pas à l’accident, ni au dysfonctionnement des laboratoires occidentaux. Les objectifs dits « intentionnels » sont légions dans les exemples nombreux qu’il partage avec le public.

De toutes les manières, Leonard G. Horowitz n’a jamais cité l’Afrique comme un centre de production en série de virus Ebola pour une destruction massive et sélective des humains.

  1. Le Gouvernement de Sierra Leone a reconnu que des essais d’armes biologiques américaines se pratiquaient sur son sol à Kenema.

C’est officiellement sur la page « Facebook  3» du Ministère de la santé et de l’Assainissement du Gouvernement de Sierra Leone que ce pays a reconnu indirectement qu’il a laissé mener des essais d’armes biologiques américaines sur son sol notamment à Kenema. En effet, il fut décidé d’arrêter les essais d’armes biologiques notamment du virus Ebola dans le laboratoire américain de Kenama et dans l’Université de Tulane.

Le laboratoire américain de recherches d’armes biologiques basé en Sierra Leone à Kenema est le seul centre de dépistage de la fièvre hémorragique liée au virus Ebola dans ce pays et détenait en juillet 2014 le plus grand nombre de victimes. Il faut aussi savoir que l’Université de Tulane menait des recherches d’armes biologiques au nom de l’Institut de recherche médicale de l’armée américaine des maladies infectieuses (United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases, USAMRIID).

La décision du Gouvernement de Sierra Leone de fermer les centres d’essais d’armes biologiques n’a pas été spontanée. Cette décision est intervenue suite à des dysfonctionnements graves et un mouvement de protestation des infirmières de l’Hôpital de Kenema qui ont choisi la grève illimitée pour se faire entendre suite à la mort de trois de leurs collègues 4 suspectées d’avoir été contaminées par le virus Ebola. Les 20 dollars des Etats-Unis de prime de risques qui leur avaient été promis n’ont jamais été payés.

  1. Il ne faudrait pas favoriser une discrimination dans l’administration du vaccin expérimental entre les « Noirs » et les « Blancs » ? 

Faut-il craindre une gestion raciste de l’administration du vaccin expérimental contre le virus Ebola ? La question n’a pas véritablement été évoquée jusqu’au jour où des informations attribuant au personnel du Centre de contrôle des maladies (Centers for Disease Control and Prevention) basé à Atlanta aux Etats-Unis que le vaccin expérimental pour le virus Ebola ne fonctionnera que sur ceux à la peau blanche. Au-delà de la provocation, il faut néanmoins prendre au sérieux cette possibilité. Cet organisme gouvernemental américain aurait déclaré ceci le 19 septembre 2014 : «Les premiers tests d’un médicament expérimental, qui aurait pour effet de lutter contre la propagation du virus Ebola, n’ont fait leurs preuves que sur ceux qui ont la peau blanche. Nous travaillons avec diligence pour améliorer l’échantillon afin de pouvoir aider tous ceux qui sont dans le besoin 5 ».

Il faut espérer que le Gouvernement américain ne cacherait pas au monde le fait que le vaccin expérimental, qui n’a pas encore subi tous les tests d’usage, soit déjà opérationnel. De même, il ne faudrait pas que des stratégies ne soient mises en place pour n’administrer que très tardivement aux Africains et aux noirs victimes d’expérimentation hasardeuses des laboratoires occidentaux, ce vaccin s’il s’avère réellement efficace. Au demeurant, il ne faut pas écarter du débat le fait que certains « fournisseurs » du futur vaccin hypothétique contre le virus Ebola cherchent à préparer l’opinion occidentale qu’il ne sert à rien de distribuer le vaccin aux Africains noirs en jouant sur des retards dits « diplomatiques »…. cette discrimination potentielle doit faire partie de l’étude que les autorités africaines doivent entreprendre de manière indépendante.

  1. La lutte contre le virus Ebola passe par l’apport de l’expertise de la Diaspora africaine

Avec la défaillance des autorités africaines tant dans l’information sur leurs accords secrets avec des Etats producteurs ou testeurs en série d’agents biologiques de niveau pathogène 4 (le plus élevé) sur le sol africain, la responsabilité du désastre actuel tant médical que socio-économique est aussi africaine.

Seule une étude approfondie effectuée par des experts indépendants d’Afrique et d’ailleurs pourra permettre de faire taire certaines affirmations selon lesquelles Le virus Ebola:

7.1 a aussi été transmis par inoculation. Cela suppose que le vaccin dont il est question pourrait ne pas résoudre le problème mais l’aggraver ;

7.2 ne contamine pas systématiquement. Certains sujets africains noirs sont sortis « indemnes » du processus de contamination. C’est le cas d’un jeune Guinéen, guéri au Sénégal, qui s’est résolument engagé à promouvoir la prévention auprès de ses compatriotes 6. Ces malades guéries sont l’objet d’une appétence nouvelle des mêmes laboratoires non-africains responsables de la création du virus Ebola. En effet, le sang des malades guéries est vendu à prix d’or et sert à de multiples analyses pour comprendre la capacité de résistance et de résilience de certains Africains noirs. Des cas de résilience similaires ont été identifiés au Kenya au sein d’une population à risque.

Aussi, la Diaspora africaine éclairée a choisi d’identifier des équipements, des services, et des techniques et savoir-faire disponibles si possible dans des pays n’ayant pas d’antécédents coloniaux ou des velléités d’impérialisme militaro-sanitaires sur l’Afrique. Il est donc recommandé aux dirigeants africains de se rapprocher de leurs Diaspora respectives afin d’identifier les ressources humaines et techniques permettant de contenir cette épidémie tout en fournissant des équipements de protection, de décontamination, de diagnostic et de traitement.

Le financement africain est le seul moyen pour les dirigeants africains de lever l’ambiguïté sur leur responsabilité dans ce dossier, en permettant la réalisation de l’étude approfondie sur l’origine du virus Ebola, avec une ouverture sur les maladies émergentes et les effets collatéraux pour les populations africaines.

 

Dr Guy Kodzo Alovor et Dr Yves Ekoué AMAÏZO