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Coronavirus : Vaccin COVID19 nocivité et contrôle mondial de la population

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , on 6 octobre 2020 by Résistance 71


Avec Bill « la piquouze »
Big Pharma engrange le flouze

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Petits précis utiles sur le vaccin COVID19

Anonyme

6 octobre 2020

Les vaccins contre les coronavirus ont provoqué une inflammation pulmonaire et la mort

Voici pourquoi Bill Gates veut une indemnité… Êtes-vous prêt à prendre le risque ?

Au début, l’expérience semblait réussie car tous les animaux ont développé une réponse anticorps robuste au coronavirus. Cependant, lorsque les scientifiques ont exposé les animaux vaccinés au virus sauvage, les résultats ont été terrifiants. Les animaux vaccinés ont souffert de réactions hyper-immunes, notamment d’une inflammation dans tout leur corps, en particulier dans leurs poumons. Les chercheurs avaient observé cette même « réponse immunitaire renforcée » lors des essais sur l’homme des tests de vaccin anti-VRS qui avaient échoué dans les années 1960. Deux enfants sont morts.

Étude de 2012 : L’immunisation par les vaccins contre le coronavirus du SRAS conduit à une immunopathologie pulmonaire en défi avec le virus du SRAS.

« Toutefois, la provocation de souris ayant reçu l’un des vaccins a entraîné l’apparition d’une immunopathologie de type Th2, ce qui suggère une hypersensibilité aux composants du coronavirus du SRAS.

vidéo censuré

https://youtu.be/RzFP4yzZzII

Pourquoi les plus grands promoteurs de vaccins au monde, comme Paul Offit et Peter Hotez, nous mettent frénétiquement en garde contre les dangers uniques et effrayants inhérents au développement d’un vaccin contre les coronavirus ?

Les scientifiques ont tenté pour la première fois de mettre au point des vaccins contre les coronavirus après l’épidémie de SRAS-CoV de 2002 en Chine. Des équipes de scientifiques américains et étrangers ont vacciné des animaux avec les quatre vaccins les plus prometteurs. Au début, l’expérience a semblé réussie, car tous les animaux ont développé une réponse anticorps robuste au coronavirus. Cependant, lorsque les scientifiques ont exposé les animaux vaccinés au virus sauvage, les résultats ont été terrifiants. 

Les animaux vaccinés ont souffert de réactions hyper-immunes, notamment d’une inflammation dans tout leur corps, en particulier dans leurs poumons. Les chercheurs avaient observé cette même « réponse immunitaire renforcée » lors des essais sur l’homme des tests de vaccin anti-VRS qui avaient échoué dans les années 1960. Deux enfants sont morts.

Dans cette séquence vidéo censurée, Offit, Hotez et même Anthony Fauci (dans un moment non surveillé), avertissent que tout nouveau vaccin contre le coronavirus pourrait déclencher des réactions immunitaires mortelles « amélioration du vaccin » lorsque les personnes vaccinées entrent en contact avec le virus sauvage. Au lieu de procéder avec prudence, Fauci a fait le choix imprudent d’accélérer la mise au point de vaccins, partiellement financés par Gates, sans études critiques sur les animaux avant de passer à des essais cliniques sur l’homme qui pourraient fournir un avertissement précoce d’une réaction immunitaire fugitive.

M. Gates (dans la vidéohttps://youtu.be/RzFP4yzZzII CENSURE) est tellement préoccupé par le risque d’effets indésirables qu’il affirme que les vaccins ne devraient pas être distribués tant que les gouvernements n’auront pas accepté d’être indemnisés en cas de poursuites judiciaires. Le 4 février 2020, selon le site web des Centers for Disease Control (CDC), il n’y avait que 11 cas de CV actifs aux États-Unis, et pourtant les États-Unis ont discrètement fait adopter des réglementations fédérales donnant aux fabricants de vaccins contre les coronavirus une immunité totale contre toute responsabilité.

https://fort-russ.com/2020/04/the-gates-of-hell-proven-coronavirus-vaccines-caused-lung-inflammation-and-death/

Le nouveau vaccin n’a que 50% de chances de fonctionner car le virus est en train de disparaître, selon le Groupe Oxford soutenu par Bill Gates https://fort-russ.com/2020/05/failure-new-vaccine-has-only-50-to-work-because-virus-is-disappearing-says-bill-gates-backed-oxford-group/

Taux d’accidents de 100% chez les sujets ayant reçu le vaccin Covid-19 du groupe Vax au Royaume-Uni soutenu par Bill Gates

Le vaccin à protéines dopées de l’Oxford Vaccine Group (OVG) était sur une voie encore plus rapide que celle de Moderna. En mai, Melinda Gates a prédit qu’il serait prêt à l’emploi avant la fin de l’année 2020. Les responsables d’Oxford et du Royaume-Uni ont promis 30 millions de doses d’ici septembre.

POUR EN SAVOIR PLUS : CATASTROPHE : 20% des sujets humains testés sont gravement blessés par le vaccin contre le coronavirus de Moderna soutenu par Gates-Fauci https://fort-russ.com/2020/05/catastrophe-20-of-human-test-subjects-severely-injured-from-gates-fauci-coronavirus-vaccine-by-moderna/

Le 24 avril, les scientifiques de l’OVG ont annoncé que des études sur les macaques avaient prouvé l’efficacité du vaccin. L’OVG a rapidement recruté 510 volontaires sains pour des essais sur l’homme. Les données brutes publiées cette semaine révèlent que l’équipe de l’OVD a menti.

Tous les macaques vaccinés ont été malades après avoir été exposés au COVID-19. Eleanor Riley, de l’université d’Edimbourg, a déclaré à Forbes que le vaccin ne fournissait pas « suffisamment » d’anticorps pour prévenir l’infection et l’excrétion virale. Les singes vaxxés propagent la maladie aussi facilement que ceux qui ne sont pas vaccinés.

L’OVG est politiquement câblé. Le développeur principal, Andrew Pollard, jongle avec des conflits scandaleux qui lui permettent d’autoriser, d’enregistrer et de rendre obligatoires ses propres vaccins non testés pour les masses. Les contacts politiques d’Andrew Pollard lui ont permis de gagner 110 millions de dollars en subventions gouvernementales pour son vaccin.https://fort-russ.com/2020/05/second-disaster-100-injury-in-subjects-from-gates-backed-covid-19-vaccine-uk-vax-group-fails/

Des scientifiques parlent d’infecter délibérément des gens avec le covid avant de les faire participer au test des vaccins

C’est la preuve qu’il n’y pas de vrais positifs au covid, s’ils parlent de vouloir délibérément contaminer des gens

https://fort-russ.com/2020/05/scandal-uk-scientists-want-to-give-coronavirus-to-healthy-volunteers-in-vaccine-hunt-citing-too-few-real-cases/

Moins de 12 heures après la vaccination, Hayden a souffert de douleurs musculaires, de vomissements, a eu une fièvre de 103,2 et a perdu connaissance. Sa petite amie l’a rattrapé alors qu’il tombait. Son superviseur du procès Moderna a demandé à Haydon d’appeler le 911 et l’a décrit comme étant « le plus malade de sa vie ». Moderna a laissé croire à Haydon que la maladie n’était qu’une triste coïncidence sans rapport avec la piqûre. Moderna n’a jamais dit à Haydon qu’il souffrait d’un événement indésirable. « Le communiqué de presse de Moderna a été le premier que j’ai entendu parler des 3 EI dans le groupe à forte dose. » Haydon a avoué aujourd’hui sur Twitter, « Plus tard, une étude a confirmé que ce qui m’est arrivé était un événement indésirable. »

Tout en cachant cette vérité, Moderna a encouragé Haydon à apparaître à la télévision pour tromper le public et ses actionnaires en déclarant que les essais du vaccin COVID de Moderna étaient un succès retentissant.

Le 7 mai, M. Haydon a fait part de ses réactions à Sanjay Gupta (de CNN) lors d’une pré-interview. Les deux hommes ont convenu de garder cette mauvaise nouvelle secrète lorsqu’il est passé à l’antenne. Cet accord corrompu témoigne de l’état pathétique du journalisme à CNN.

Fauci et Gates poursuivent leur plan visant à canaliser un demi-milliard de dollars du contribuable dans leur projet de vanité téméraire pour créer 30 millions de doses d’ici novembre et 2 milliards en un an fabriquées aux États-Unis et en Suisse.https://fort-russ.com/2020/05/catastrophe-modernas-corona-vacc-test-subject-ian-haydon-suffers-major-illness/

Les « experts » américains en matière de pandémie affirment que même avec le vaccin, nous serons obligés de changer complètement notre mode de vie (garder la politique de confinement, distanciation, masque, tests), ce qui rend le développement du vaccin discutable. La question est de savoir pourquoi nous aurions même besoin d’un vaccin si le virus est là pour rester « pour toujours »?

https://fort-russ.com/2020/07/report-us-virus-experts-claim-even-with-vaccine-we-will-be-dealing-with-this-forever/

Le virus covid a plus d’affinité avec les humains qu’avec les animaux, c’est donc la preuve qu’il a bien été créé en laboratoire, et ne vient pas des animaux, comme le dit l’OMS qui a qualifié le coronavirus comme un virus zoonotic et veut confiner les humains dans les smart cities , les séparer de la nature des animaux, s’accaparer de 30% de la planète, chasser tous les indigènes qui vivent à côté des animaux à cause de ce mensonge

https://fort-russ.com/2020/05/major-researchers-uncover-new-evidence-showing-covid-19-was-lab-created/

Les 2 directeurs de Moderna vendent 30 millions de stock juste avant l’annonce médiatique que leur vaccin a causé 20% de blessés parmi des gens cobayes en très bonne santé

https://fort-russ.com/2020/05/crooks-two-moderna-executives-sold-30-million-of-stock-before-truth-about-vaccine-trial-failure-was-uncovered/

https://fort-russ.com/2020/05/catastrophe-20-of-human-test-subjects-severely-injured-from-gates-fauci-coronavirus-vaccine-by-moderna/

Les scientifiques n’osent pas risquer la vie des animaux avec les vaccins, alors ils veulent utiliser les humains directement comme cobayes à la place…

C’est la mentalité végan, la vie des animaux vaut mieux que les humains

Les humains peuvent être cobbayes des vaccins mais pas les animaux

https://www.statnews.com/2020/03/11/researchers-rush-to-start-moderna-coronavirus-vaccine-trial-without-usual-animal-testing/

= = =

Voir notre page « Coronavirus, guerre biologique contre l’humanité »

« Vaccin COVID, ARNm, Hydrogel et luciférase, cocktail transgénique ? »


Vaccin et eugénisme… La fine équipe aux manettes

Lettre au président Macron des professeurs Fourtillan et Joyeux au sujet de la toxicité de l’aluminium dans le corps humain…

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Résistance 71

 

14 juin 2018

 

Ci-dessous le lien du document pdf de la lettre ouverte des professeurs Jean-Bernard Fourtillan, ingénieur chimiste et pharmacologiste et Henri Joyeux, médecin, cancérologue et ancien des hôpitaux de Paris au sujet de la haute toxicité de l’aluminium dans le corps humain.

Cette lettre est bien entendu en direct rapport avec la haute négligence (au bas mot) des laboratoires pharmaceutiques qui continuent à inclure l’aluminium comme adjuvant dans les vaccins mais aussi dans bon nombre de médicaments dont les cicatrisants gastriques tels le Maalox et autres.

Ce sujet est de la plus haute importance dans l’intérêt de la santé publique dont les laboratoires pharmaceutiques se foutent de plus en plus tant leur importe plus encore le profit.

Quand on voit la main mise de certains labos sur la production de certaines molécules et quand on voit les ramifications financières et d’investissements des dits labos dans bon nombre d’aventures touchant la production chimique et le développement génétique dont ils ont un quasi-monopole, on peut légitimement se demander si la santé publique est toujours leur préoccupation majeure ; l’a t’elle jamais été en fait ?…

Posons donc ces simples questions: au vu des profits faramineux générés par la vente tous azimuts de molécules dûment patentées, guérir un patient, quelque soit la maladie, est-il toujours dans l’intérêt de l’industrie pharmaceutico-chimique ? Quel est plutôt son intérêt ?…
Cette industrie ne serait-elle pas en fait dans la gestion de la pathologie humaine à des fins à la fois lucratives et eugénistes ?

Juste des questions comme ça, à propos…

La lettre des professeurs Fourtillan et Joyeux:

https://professeur-joyeux.com/wp-content/uploads/2018/06/Version-finale-de-lInterdiction-totale-de-lAluminium-dans-tous-les-médicaments.-2.pdf

 

 

Santé: Nouvel épisode de la dictature vaccinale…

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Lire notre dossier « santé et vaccins » sur Résistance 71

 

Vaccins le dernier coup de poignard de Marisol Touraine

 

Jean-Marc Dupuis

 

Décembre 2016

 

Source: Santé Nature & Innovation

 

 

Chère lectrice, cher lecteur,

 

Cette fois, je me suis dit que la folie s’était emparée des autorités de santé.

 

Mercredi dernier, le 30 novembre, après une année de pseudo « consultations démocratiques », le comité sur la vaccination a rendu son rapport, dans lequel il préconise de :

faire passer de trois à onze le nombre de vaccins obligatoires pour les nourrissons (plus les rappels) [1].

Cela ressemble au dernier coup de poignard de la ministre de la Santé, Marisol Touraine.

Ainsi, dans son esprit :

  • puisque les gens demandent le retour du bon vieux vaccin DT-Polio sans aluminium ;
  • puisqu’ils n’ont pas l’air contents qu’on injecte à la place à leurs bébés un super-vaccin avec aluminium et trois vaccins non obligatoires supplémentaires,

alors la solution la plus simple, selon elle, est de :

  • rendre obligatoires tous les vaccins présents dans le super-vaccin
  • et, tant qu’on y est, rendre obligatoires encore cinq vaccins supplémentaires (pneumocoque, méningocoque C et triple vaccin ROR).

Un tel abus de pouvoir paraîtrait déjà inimaginable.

Et pourtant, ce n’est pas tout.

Ce n’est pas tout

Pour nous « assaisonner » jusqu’au bout, le comité recommande de :

mettre à la charge de la collectivité (c’est-à-dire vous et moi) les inévitables accidents qui découleraient de la généralisation des vaccins, par un « régime d’indemnisation pris en charge par la solidarité nationale », plutôt qu’à celle de l’industrie pharmaceutique (voir page 32 du rapport) ;

« la mise en œuvre sans délai de l’ensemble de ces recommandations » afin de ne pas nous laisser le temps de réagir (page 32 du rapport) ;

envisager le « changement de statut » – c’est-à-dire rendre obligatoire- du très controversé vaccin contre le papillomavirus (contre le cancer du col de l’utérus), et même d’étendre la vaccination « aux jeunes garçons » (page 33 du rapport) !

Que cherchent-ils à faire ?

À mettre le feu aux poudres ?

À déclencher un sentiment d’injustice et de révolte, et perdre le peu de crédibilité qui leur reste ?

Une vaste mascarade

Déjà, la crédibilité de cette consultation prétendument « démocratique » sur les vaccins avait été ébranlée en février lorsqu’un haut fonctionnaire avait claqué la porte du ministère de la Santé.

Ancien diplômé de Sciences-Po Paris, secrétaire général de la Conférence nationale de santé (CNS), Thomas Dietrich a démissionné pour dénoncer la « vaste mascarade » que constitue la « démocratie en santé » [2].

Il dénonçait, en particulier, le fait que le débat public sur la vaccination ait été confié à un institut faussement démocratique, fondé en 2015 et géré par une des anciennes conseillères de Marisol Touraine, l’Institut pour la démocratie en santé.

« Il lui fallait s’assurer que la démocratie en santé serait à sa botte », a-t-il expliqué au sujet de Marisol Touraine, selon « la volonté de la ministre de cadenasser l’ensemble des moyens d’expression de la démocratie en santé ».

De son côté, le quotidien Libération s’étonnait que « l’élaboration de cette parole citoyenne s’est faite en l’absence de toute publicité [3] ».

Je vous le confirme : au cas où vous vous seriez posé la question, je n’ai pas eu la possibilité de participer à ces débats prétendument ouverts, et personne dans mon entourage non plus !

La voix de son maître

Je n’ai pas été surpris de constater que les conclusions de la « consultation citoyenne » sur les vaccins reflétaient dans les plus menus détails la position personnelle de la ministre Marisol Touraine, qui avait fameusement déclaré : « La vaccination, ça ne se discute pas [4]. »

Néanmoins, je ne m’attendais pas à une telle agressivité, une telle hâte d’aller à l’encontre de la volonté des citoyens, un tel manque de respect pour les légitimes préoccupations de la population.

(la suite ci-dessous)

 

Les remèdes que votre médecin ne vous propose pas…

Que ce soit par manque de formation ou par conviction, de nombreux médecins ne proposent pas toutes les solutions à leurs patients pour soulager leurs douleurs et soigner les maladies liées à l’âge. Il existe pourtant des solutions pour vous aider à vivre en bonne santé longtemps… Rendez-vous ici pour en savoir plus.

Suite de la lettre de ce jour :

Personne ne souhaite le retour des grandes épidémies. Personne ne souhaite exposer ses enfants à des maladies. Il est faux également de taxer de dangereux « antivaccins » les personnes qui interrogent la politique vaccinale française.

Nous nous rappelons tous que, lorsque nous avons demandé le retour du vaccin DT-Polio avec l’IPSN et le professeur Joyeux, les accusations « d’antivaccins » n’ont pas tardé à fuser.

Cela ressemblait à une tactique pour empêcher le débat. Pourtant, aucun acte médical n’est anodin et ce n’est pas un crime que de réfléchir et de débattre.

Au contraire, selon la loi Kouchner du 4 mars 2002, « aucun acte médical, ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne ».

Est-on encore libre si l’État vous menace de rétorsion, d’exclusion, de répression en cas de désaccord ?

Ce n’est pas ma définition de la liberté.

Il est logique, normal et sain de se poser des questions avant de vacciner contre l’hépatite B et le papillomavirus des petits enfants qui n’ont aucun risque d’attraper ces maladies.

Quant aux autres, c’est à voir au cas par cas. Dès qu’on aborde le sujet des vaccins, on agite le chiffon rouge du retour des grandes maladies infectieuses, des hécatombes. On oublie un peu vite que :

  • les pays qui n’ont aucune vaccination obligatoire n’ont pas plus d’épidémies que la France (l’Allemagne et l’Espagne notamment) ;
  • la fin de l’obligation de vacciner contre la tuberculose n’a donné lieu à aucune recrudescence de la maladie chez les enfants.

Dernier coup de poignard de Marisol Touraine : agissez pour l’en empêcher

La question est de savoir maintenant si Marisol Touraine va oser mener l’offensive jusqu’au bout pour faire passer dans la précipitation ces nouvelles obligations vaccinales.

Sachant que les élections sont dans six mois et qu’elles signeront de façon presque certaine la fin de son ministère, il est à craindre, en effet, qu’elle ne tente de passer en force.

D’un autre côté, cette affaire de « rapport sur les vaccinations » était certainement pour elle aussi un moyen de sonder l’opinion, et de tester les résistances.

C’est pourquoi nous devons nous mobiliser, chacun à son niveau, pour manifester haut et fort notre totale opposition à ces procédés indignes d’une démocratie.

Une immense mobilisation citoyenne doit avoir lieu pour protester contre ces mesures dangereuses et injustes. Je sais que l’Institut pour la protection de la santé naturelle est sur le coup. Ses pétitions ont régulièrement dépassé le million de signatures.

Mais il ne faut pas qu’il soit seul à réagir. Le mouvement doit être divers, solidaire, multiple, et atteindre si possible plusieurs millions de personnes, stoppant net ce dernier « coup de poignard » de Marisol Touraine.

J’appelle tous les citoyens à réagir. Montrons-lui que nous ne sommes pas des moutons. Et que nous sommes aussi nombreux que déterminés !

Envoyez-moi vos initiatives (rassemblements, lettres ouvertes, manifestations, pétitions) en cliquant ici. Je les relayerai auprès de tous les lecteurs de Santé Nature Innovation.

Je compte sur vous.

Tous ensemble, nous pouvons changer le cours de l’histoire !

À votre santé !

Jean-Marc Dupuis

Communiqué du Dr. Henri Joyeux au sujet de sa radiation abusive de l’ordre des médecins…

Posted in actualité, altermondialisme, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique française, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 25 août 2016 by Résistance 71

Le Professeur Joyeux a notre soutien inconditionnel. S’il y avait plus de médecin comme lui, nous ne serions pas dans le marasme médical dans lequel nous nous trouvons. Le fait s’avère qu’au fil des années et de la généralisation des monopoles sur la recherche et la distribution pharmaceutiques, il est évident que le complexe industriel de la pharmacologie n’a aucun intérêt à véritablement soigner les gens ou prévenir les maladies. Il y a un gigantesque conflit d’intérêt a la racine de ce système pervers et mortifère.

— Résistance 71 ~

 

A propos de ma radiation de l’Ordre des Médecins : une extrême gravité 


Chers amis de la Santé,

J’ai appris par voie de presse ma radiation de l’Ordre des Médecins à compter du 1er décembre 2016. 

Les médias, dont ceux qui font la publicité des fabricants de vaccins, se sont chargés d’informer très largement le grand public.

Par cette décision du 8 juillet (prise par la chambre disciplinaire du Conseil Régional de l’Ordre des Médecins, Languedoc-Roussillon), on veut m’interdire d’exercer mon métier de médecin cancérologue.

Comme il ne m’est rien reproché sur le plan strictement professionnel mais qu’on me reproche de m’être exprimé publiquement, c’est qu’on cherche à me faire taire.

J’ai reçu un très grand nombre d’encouragements, par téléphone ou mails, de France comme de l’étranger, à la fois de collègues, de consœurs et confrères médecins et d’un très grand nombre de patients connus ou inconnus qui ne comprennent pas une telle décision disciplinaire.

Soyez-en ici très chaleureusement remerciés, car je n’ai pas pu le signifier à chacun par manque de temps d’autant qu’il m’a fallu préparer ma défense.

J’ai d’abord été conforté par la position immédiate du Conseil de l’Ordre des Médecins de mon département qui a décidé de faire appel face à la gravité de la sanction. Je remercie très chaleureusement toute l’équipe autour du président du Conseil de l’Ordre de l’Hérault à Montpellier.

Heureusement, l’appel auprès du Conseil national de l’Ordre des Médecins a un effet suspensif 

J’ai donc pu poursuivre des consultations bénévoles en différents endroits pendant l’été.

J’ai pris conseil et travaillé avec un avocat, étonné comme moi et mes collègues de Montpellier par la gravité de la sanction. Je conteste non seulement la sanction – la plus lourde qui soit à l’encontre d’un médecin, en principe réservée à des gens qui ont commis des faits pénalement répréhensibles -, mais avant tout je réfute le principe même de toute faute déontologique.

Etre mis au ban de la médecine comme si j’avais assassiné, volé, violé, comme si j’étais incompétent et dangereux, après 40 ans d’exercice de ce métier où j’ai tout fait pour donner et donner encore le meilleur de moi-même, être sans cesse au courant des découvertes les plus récentes, est insupportable tant pour ma personne, ma famille que pour mes nombreux élèves et les très nombreux patients que j’ai soignés, que je consulte et conseille encore régulièrement.

Je reste déterminé, car les accusations portées contre ma personne sont entachées de nombreuses erreurs. La plus importante est que je ne suis pas contre les vaccins, en particulier ceux qui sont obligatoires, mais lanceur d’alerte contre les abus consistant à imposer des vaccins non nécessaires à un nouveau né de 2 mois et même avant sa mise au monde.

Tout cancérologue doit bien connaitre le système immunitaire 

Je reconnais l’importance du système immunitaire pour comprendre et éviter les nombreuses maladies liés à des défenses immunitaires fortement perturbées, par bactéries, virus, champignons ou parasites dans telle ou telle partie du corps, et l’intérêt des thérapeutiques dites ciblées utilisées de plus en plus efficacement en cancérologie.

Je demande à ce que le carnet de vaccination soit revu de fond en comble, afin que l’allaitement maternel soit proposé en première intention et que les vaccinations dites recommandées restent de la responsabilité exclusive des médecins référents. Sollicités par les familles, contrôlés sans cesse par l’assurance maladie, poussés par les publicités, mes confrères et consœurs médecins sont parfois désorientés. Ils savent parfaitement que les vaccinations des nouveaux nés dépendent d’abord de la santé des parents et que le système immunitaire d’un enfant nouveau né en bonne santé a besoin de 1000 jours après sa conception pour être mature et fonctionnel, c’est à dire pas avant l’âge de 2 ans.

On cherche à médicaliser l’émotion dès la naissance ou même avant 

Ainsi peut-on proposer la généralisation des vaccinations sans tenir compte de l’état de santé des parents et en ne tenant aucun compte des effets délétères des vaccinations imposées si précocement à des nouveaux nés naturellement fragiles.

En dehors de cas très particuliers, la vaccination à 2 mois contre l’hépatite B et dès 9 à 12 ans contre les papilloma virus responsables de maladies sexuellement transmissibles, est totalement abusive et impose de résister à de fausses bonnes solutions car prises en dépit de certaines réalités et parfois du bon sens.

Je crains de ne pas être convoqué, par les responsables de la concertation citoyenne sur les vaccins (http://concertation-vaccination.fr), pour représenter un très grand nombre de personnes qui perdent chaque jour un peu plus confiance dans la médecine traditionnelle face aux excès thérapeutiques, en particulier avec la généralisation abusive des vaccinations.

A la mi-août, la pétition ”Vaccin obligatoire : les Français piégés par la loi et les laboratoires !” <http://petition.ipsn.eu/penurie-vaccin-dt-polioa été signée par un grand nombre de personnes, dépassant 1 million 74 000 signataires. Il faut continuer à la faire connaître.

J’ai décliné une pétition pour me soutenir, car j’ai pensé qu’il était plus important et urgent que les 1 million 74000 signataires soient entendus et qu’enfin soit annoncée la re-fabrication du seul vaccin obligatoire le DTP sans Aluminium, cet adjuvant dont on ne peut plus cacher les effets délétères, qui est ajouté pour stimuler une immunité encore immature.

A propos de la concertation citoyenne qui veut ”réconcilier les français avec la vaccination”

Sachez que je prépare un argumentaire étayé que j’enverrai à mes collègues nommés par la ministre de la Santé pour le débat sur la vaccination (http://concertation-vaccination.fr) qui a commencé, auquel je n’ai pas été convié. Ce débat citoyen a pour but ”de réconcilier les français avec la vaccination”.

Je crains surtout que ne soit recherchée la couverture vaccinale la plus large, dès la naissance, soi-disant contre le plus grand nombre de maladies. Et cela sans certitude d’efficacité, en utilisant le mot ”exigibilité” pour le plus grand nombre d’institutions (milieu scolaire en particulier) et de structures (crèches, maisons de retraite…).

Etre lanceur d’alerte auprès du grand public quand on n’est pas entendu par les responsables politiques est-il si répréhensible ?

Restant à votre service, toujours pour la meilleure santé de vos familles et de vos enfants, je souhaite à toutes et à tous une bonne fin de vacances et une bonne reprise pour celles et ceux qui sont déjà au travail.

Professeur Henri Joyeux

Réponse aux attaques infondées visant la pétition sur le vaccin DT-Polio

Posted in actualité, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, santé, santé et vaccins, sciences, sciences et technologies, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , on 2 juin 2015 by Résistance 71

Professeur Henri Joyeux

 

1er Juin 2015

 

« Cela faisait longtemps que les antivaccins ne s’étaient pas manifestés. C’est chose faite. Depuis quelques jours, une vidéo du Pr Henri Joyeux fait un tabac sur le Net. [1] »

 

Ce sont les premières lignes de l’article que le journal Libération a consacré le 25 mai 2015 à la pétition que nous avons organisée, avec l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle, pour le retour du classique vaccin DT-Polio dans les pharmacies.

Qu’une pétition demandant que soit respecté le droit des patients à avoir accès au vaccin obligatoire DT-Polio soit décrite comme « antivaccin » en dit long sur le caractère passionnel du débat.

Avons-nous encore le droit de soulever un sujet de santé délicat sans risquer aussitôt de se voir coller des étiquettes infamantes, par des personnes qui semblent plus chercher à caricaturer, ce qui est une manière d’empêcher le débat et la réflexion, qu’à contribuer à éclairer le public sur les questions qui le concernent ?

Reprenons notre calme et discutons ensemble posément.

Le DT-Polio obligatoire n’est plus commercialisé en France depuis 2008

Comme chacun le sait désormais, le vaccin DT-Polio obligatoire n’est plus commercialisé en France depuis 2008 par les laboratoires pharmaceutiques. C’est un fait. Personne ne peut affirmer, sans mentir, le contraire.

Depuis septembre 2014, la situation s’est aggravée avec une pénurie généralisée de vaccins tétravalents (DT-polio-coqueluche) et pentavalents (DT-polio-Haemophilus Influenzae B-coqueluche).

Le seul vaccin contenant le DT-Polio qui ne souffre d’aucune pénurie est le vaccin hexavalent DT-polio-Hib-coqueluche-hépatite B, Infanrix Hexa des laboratoires Glaxosmithkline.

Sur ces points, « le Pr Joyeux a raison », a reconnu le journaliste de Libération. Merci à lui pour cela, au moins.

Les parents sont donc actuellement obligés de recourir à l’Infanrix Hexa s’ils veulent protéger leurs enfants contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite, éviter les poursuites pénales prévues par la loi en cas de non-respect de l’obligation vaccinale, et garantir l’accès de leurs enfants aux collectivités (crèches, garderies, écoles, cantines… dont les enfants n’ayant pas reçu les vaccins obligatoires sont en général exclus).

Logiquement, nous demandons que, puisque le vaccin DT-Polio est obligatoire, il y ait une obligation pour les laboratoires pharmaceutiques de le fournir aux parents.

En cas de défaillance, il serait logique que les autorités de santé interviennent pour empêcher les laboratoires de jouer sur l’obligation vaccinale pour vendre du même coup d’autres vaccins facultatifs, éventuellement inutiles pour certains, car un vaccin n’est jamais anodin. Il existe toujours un risque, même s’il est faible, et il peut ne pas être raisonnable de vacciner si le patient n’a pas, ou peu de risques d’être en contact avec la maladie. C’est en particulier le cas de la valence hépatite B, présente dans l’Infanrix Hexa.

Le seul vaccin disponible est 7 fois plus cher

À ce problème purement médical s’en ajoute un autre, d’ordre financier.

Il se trouve que l’Infanrix Hexa coûte 39,04 euros contre 6,10 euros pour le simple DT-Polio, qui n’est plus disponible, soit près de 7 fois plus cher.

Multipliez cette différence par 700 000 naissances en France chaque année. La plus-value réalisée grâce à cette opportune pénurie se chiffre en dizaines de millions d’euros pour les laboratoires pharmaceutiques.

Cela ne veut pas dire que cette pénurie soit organisée. Nous ne l’avons jamais dit. Mais il n’en reste pas moins qu’il est permis de s’interroger sur le peu d’empressement des laboratoires pour y remédier.

Est-ce une hypothèse vraiment invraisemblable que d’imaginer qu’ils ne soient, au fond, pas si gênés que cela d’être « obligés » de vendre massivement ce vaccin si sophistiqué… et si cher ?

En lançant cet appel public aux autorités à enfin réagir (je rappelle que cela fait maintenant 7 ans que le traditionnel vaccin DT-Polio n’est plus vendu en France), nous savions que nous allions heurter des sensibilités, autant que des intérêts financiers majeurs. C’est le lot inévitable du « lanceur d’alerte ».

Désinformation et sape systématique par tous les médias

Ce à quoi nous n’étions pas préparés, en revanche, c’est que tous les aspects de notre pétition allaient être contestés, y compris en y opposant de pures inventions (je vais y revenir), comme s’il existait une sorte d’urgence de convaincre le public que nous n’aurions écrit que des âneries voire des mensonges.

Ces accusations, initialement formulées sur un simple blog anonyme, ont été reprises telles quelles par nombre de grands sites d’information, de Rue89 jusqu’au site du journal Le Monde, en passant par BFMTV, L’Obs ou encore France TV Info et le Journal de la santé sur France5.

L’écho qui leur a été donné, à notre grande surprise vu leur absence de sérieux, fut si grand, et l’objectivité scientifique tellement absente du propos, que je suis obligé d’y répondre de façon systématique.

Je commencerai par les arguments les plus ahurissants.

1/ Un kit DT-Polio gratuit mais réservé à des cas très rares

Le premier argument le plus utilisé pour discréditer notre initiative est que les laboratoires mettraient un kit DT-Polio gratuitement à disposition des personnes qui souhaitent éviter l’Infanrix Hexa. Cela écarterait donc toute possibilité que les laboratoires aient un intérêt quelconque à l’actuelle pénurie. Mieux, cela démontrerait que ces entreprises sont engagées dans une démarche purement désintéressée et philanthropique.

C’est une invention. Ce kit gratuit existe. Mais il est réservé aux rares cas de nourrissons présentant une contre-indication au vaccin anticoquelucheux, présent dans l’Infanrix Hexa, ainsi que l’indique le communiqué de Sanofi-Pasteur MSD indiqué en note [2].

Les contre-indications au vaccin anticoquelucheux sont les antécédents d’allergie, rares chez les bébés nourris au sein, les réactions intenses à d’autres vaccins, impossibles chez les nourrissons n’ayant jamais été vaccinés, l’encéphalopathie évolutive, la fièvre (égale ou supérieur à 40°C), une affection chronique et les affections graves de l’appareil pulmonaire.

En outre, la première partie du kit gratuit, celle qui contient les valences diphtérie et tétanos, a été en rupture de stock depuis le 1er janvier 2015, rupture à laquelle il n’a été remédié qu’au mois de mai, ainsi que l’indique l’Agence du médicament sur son site Internet consultable ici [3].

Prétendre que ce vaccin gratuit ait été librement et largement accessible aux parents ayant une méfiance à l’égard de l’Infanrix Hexa est donc absolument faux.

2/ Oui le vaccin hexavalent peut être dangereux

Le second argument le plus repris contre notre initiative pour le retour du vaccin DT-Polio est que les autorités sanitaires affirment que le vaccin hexavalent est sûr, et qu’il n’y a donc aucun danger particulier à le recevoir. Au contraire, les familles et les patients devraient être reconnaissants, puisqu’ils seraient ainsi protégés contre six maladies d’un coup, en une seule piqûre. Et six précautions valent mieux que trois !

Là encore, il s’agit d’une vision simpliste et trompeuse du choix qui s’offre aux patients. Sait-on ce que recouvre, dans le domaine médical, la notion de « sûreté » d’un médicament ou d’un traitement ?

Toute intervention sur le corps humain, et a fortiori toute injection de corps étrangers, comporte un risque. En tant que médecin, c’est la première chose que nous apprenons. Notre serment d’Hippocrate commence par ces mots : « D’abord ne pas nuire » (« Primum non nocere »). Les vaccins sont des médicaments actifs comme les autres. Affirmer qu’ils sont sûrs signifie seulement que, globalement, les risques qu’ils font courir aux patients sont inférieurs aux bienfaits qu’ils peuvent en attendre. Cela ne signifie absolument pas qu’il n’y ait aucun risque.

Les autorités, et c’est leur rôle, se bornent à estimer que, collectivement, la balance bénéfice/risque est en faveur de la vaccination.

Mais on ne peut en déduire qu’en toutes circonstances il soit sûr, d’un point de vue individuel, de se faire vacciner. Chez un individu donné qui n’est pas exposé à une infection et chez qui la vaccination présente un risque, la gestion individuelle du risque doit recommander de ne pas vacciner. C’est pourquoi il peut être logique de vacciner tout le personnel soignant contre l’hépatite B, une maladie qui se transmet par le sang et les fluides corporels – et je le suis moi-même bien sûr, en tant que chirurgien.

En revanche, pour un bébé de deux mois, qui ne pratique pas d’interventions médicales, qui n’est pas toxicomane et qui n’a pas de rapports sexuels ni de contact étroit avec des malades potentiels de l’hépatite B, il n’est pas du tout sûr que les bénéfices de la protection contre une maladie très peu probable justifie de courir les risques du vaccin.

Discuter le risque d’un vaccin, ce n’est pas être anti-vaccin, c’est dire la vérité

Affirmer qu’un vaccin est risqué, informer les patients que tout vaccin comporte un risque, ce n’est pas être « antivaccin ». C’est dire la vérité, et les familles et patients ont droit de savoir la vérité sur les médicaments qu’on leur administre.

Vouloir la leur cacher, même partiellement, au nom d’objectifs généraux de santé publique, comme la maximisation de la couverture vaccinale, n’est pas respectueux des Droits de l’Homme, et c’est pourquoi nous nous y opposons.

3/ Les vaccins multivalent sont plus dangereux que les autres

Vient le troisième argument, selon lequel les vaccins multivalents, c’est-à-dire qui vaccinent contre plusieurs maladies en une seule injection, ne posent pas plus de problèmes que les autres.

En réalité, le principe de la vaccination consiste à solliciter le système immunitaire avec un agent infectieux affaibli pour provoquer une réponse, afin d’accélérer cette réponse la prochaine fois qu’il sera confronté avec cet agent infectieux. Notre système immunitaire est configuré pour faire face à plusieurs infections mineures, et une ou deux attaques majeures.

Le vaccin hexavalent consiste à demander à l’organisme d’un bébé de 2 mois de faire face à 6 infections majeures simultanées, et donc chez un nourrisson dont le système immunitaire est encore immature (il dépend fortement de celui de la mère, via l’allaitement qui reste idéal pour l’enfant).

Le système immunitaire est une mécanique très délicate. Son emballement est au moins aussi dangereux que son insuffisance. La surréaction du système immunitaire peut produire une « tempête de cytokines » créant des maladies auto-immunes graves.

Que sait-on de la réponse immune lorsqu’il y a 6 valences d’antigènes dans un vaccin ? Pas grand chose à long terme, tout simplement parce que cette pratique de multiplier les valences n’est pas assez ancienne pour que l’on ait aujourd’hui le recul suffisant. Et dans la mesure où l’on ne prend pas en compte le groupe HLA des personnes avant de les vacciner, il est impossible de prédire les risques sanitaires à long terme.

De la même façon, il a été dit et répété dans les attaques contre notre pétition que les adjuvants présents dans le vaccin hexavalent ne sont pas dangereux. Pourtant, pour mémoire, les adjuvants servent à créer une réponse inflammatoire, afin de mieux « marquer » le système immunitaire. Ils fonctionnent forcément en agressant le corps, sans quoi celui-ci ne chercherait pas à se défendre. Ce sont par définition des produits agressifs.

On nous dit, pour nous tranquilliser, que les adjuvants à base de mercure et d’aluminium, des neurotoxiques, ou de formaldéhyde, un cancérogène certain, ne sont pas dangereux parce que les doses sont trop faibles, jusqu’à 10 000 fois inférieures à la dose létale pour l’adulte.

Des poisons injectés, non pas à des adultes, mais à des nourrissons, directement dans le sang

Mais il faut considérer le fait que les adjuvants sont administrés non à des adultes mais à des nourrissons. Qu’ils ne passent pas par le système digestif, et donc pas par le filtre du foie, mais qu’ils sont injectés directement dans le sang. Que ce que l’on redoute n’est pas l’empoisonnement immédiat du bébé, mais les conséquences à long terme, la myofasciite à macrophages ou, nettement plus tard, telle ou telle maladie neurodégénérative, telle la sclérose en plaque (SEC), comme cela a été prouvé après la campagne de vaccination contre l’hépatite B au collège à la fin des années 90.

Pour toutes ces raisons, nous réfutons toute accusation d’approximation, de « dérapage verbal », et plus encore de « complotisme » et de « charlatanisme ». Notre appel à pétition est justifié, pour ne pas dire urgent, par un impératif de santé publique. L’opposition bête et méchante, parfois même de mauvaise foi, que nous rencontrons nous conforte dans l’impression que, si nous ne bougions pas, personne ne le ferait.

Continuons notre mobilisation

C’est chose faite aujourd’hui. Le débat est enfin lancé. Puissent les autorités de santé entendre la voix des 500 000 citoyens et professionnels de santé qui ont déjà signé notre pétition, et de tous ceux qui se joindront à eux prochainement.

Et n’hésitez pas à diffuser largement autour de vous cet argumentaire qui répond à des attaques infondées, et à

poursuivre la campagne de signature de la pétition (ici).

Santé et vaccins: Tétanos et Thanatos, le vaccin de l’inutile… et de la fortune des labos…

Posted in actualité, altermondialisme, politique et social, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , on 12 octobre 2014 by Résistance 71

Merci à Doctorix de nous avoir transmis cet article très très instructif à bien des niveaux. Plus on en lit au sujet des vaccins et plus il faut se poser la question ultime finalement: Le dogme de la vaccination est-il en place à des fins de réduction (lente) de la population mondiale ?

Note: Thanatos = instinct de mort (terme freudien)

— Résistance 71 —

 

Tétanos le mirage de la vaccination

 

Françoise Joêt

 

url de l’article:

http://fawkes-news.blogspot.fr/2014/10/tetanos-le-mirage-de-la-vaccination.html

 

Source originale:

http://www.alis-france.com/download/Le_tetanos%20.pdf

 

Qui n’a pas tremblé devant le spectre du tétanos après une blessure, une piqûre de rosier, ou une brûlure ? Les autorités médicales, depuis qu’il existe un vaccin, ont tellement martelé la peur dans nos esprits en dressant un tableau très noir de la maladie et en nous persuadant que seule la vaccination était salvatrice, que bien peu d’entre nous prennent le temps de réfléchir et de considérer avec bon sens la réalité des faits.

Quels sont les faits ? Voici trois points importants :

 

  • Le tétanos est une maladie non contagieuse. Un individu ne peut pas contaminer son voisin, il ne peut pas y avoir d’épidémies. Ceci doit nous interpeler. Pourquoi vacciner une population entière massivement alors que la maladie ne représente pas un danger en santé publique ?

 

  • Le tétanos est une maladie non immunisante, on ne trouve pas

d’anticorps antitétaniques chez un individu guéri du tétanos. Ceci doit nous interpeler. Comment le vaccin peut-il immuniser si la maladie elle même ne le peut pas ?

 

 

  • Le tétanos est une maladie rare, c’est dans cette catégorie que l’OMS le classe. Elle ne touche que des personnes âgées ; les enfants ne sont pas atteints dans les pays industrialisés. Ceci doit nous interpeler. Pourquoi vacciner tous les enfants dès le bas âge contre une maladie qui ne les menace pas ?

 

Un peu d’immunologie pour expliquer ces faits

Le bacille du tétanos ou bacille de Nicolaïer se trouve dans le tractus intestinal de nombreux animaux qui l’évacuent dans leurs déjections. Il se retrouve donc dans la terre où il prend la forme d’une spore afin de résister longtemps dans le sol. On sait que ce bacille doit se trouver dans une atmosphère en totale anaérobie, c’est-à-dire privée d’oxygène, pour qu’il puisse germer et devenir un Clostridium tetanii, le germe responsable de la maladie. C’est un ANAEROBIE STRICT : en présence d’une molécule d’oxygène il meurt.

Attention : ce n’est pas le bacille lui-même qui est dangereux pour l’homme, mais la toxine qu’il diffuse s’il se trouve dans une zone en anaérobie, par exemple une blessure contuse avec des chairs nécrosées, non vascularisées et anfractueuses où précisément l’oxygène ne circule pas étant donné l’absence de sang et de

lymphe. Cette toxine, cantonnée dans la zone anaérobie, va pouvoir rejoindre les terminaisons nerveuses qui se trouvent dans la plaie et remonter vers le système nerveux central à l’abri de la circulation sanguine, et c’est là qu’elle va pouvoir faire des dégâts au niveau des synapses neuronales en bloquant l’ordre de décontraction des muscles.

Sans entrer dans les détails techniques des mécanismes mis en jeu lors de la remontée de la toxine dans le système nerveux, une chose saute aux yeux : dans le trajet effectué par la toxine tétanique, il n’y a aucune présence d’anticorps éventuels puisque ceux-ci ne se trouvent que dans le sang et la lymphe. Il n’y a donc aucune rencontre entre la toxine et le système immunitaire dans le déroulement naturel de la maladie. Comment alors pouvoir prétendre qu’un vaccin, qui engendre des anticorps, va être capable de créer une immunité et donc de protéger les individus du tétanos ?

Revoyons l’histoire de la vaccination antitétanique

C’est en 1923 qu’un vétérinaire de l’Institut Pasteur de Paris, Gaston RAMON réussissait à affaiblir la toxine tétanique. Trois ans après il annonçait la mise au point d’un vaccin à base d’anatoxine. En 1924 un autre vétérinaire , Pierre DESCOMBEY commença à l’appliquer aux animaux. En 1926, RAMON et son collègue Christian ZOELLER lancèrent un vaccin combiné diphtérie/tétanos chez l’homme. Qu’ont fait ces chercheurs ? Pour prouver que l’anatoxine obtenue offrait une protection contre le tétanos, il fallait faire des expériences in vitromais aussi in vivo. Or, une SEULE expérience in vivo a été jugée suffisante pour claironner que le vaccin était efficace.

En quoi consistait cette expérience ? Gaston RAMON administra une forte dose de toxine tétanique à des lapins puis il leur injecta une dose d’anatoxine tétanique : les lapins survécurent. Il en conclut hâtivement que le vaccin était protecteur. Mais dans cette expérience, appelée « tétanos expérimental », RAMON n’a pas tenu compte du développement de la maladie naturelle et du fait que la toxine ne circule pas dans le sang (milieu aérobie). En injectant la toxine, il l’a fait circuler dans le sang où effectivement elle rencontré des anticorps engendrés par l’anatoxine. Or, lors du tétanos-maladie, la toxine demeure dans la plaie anaérobie et se trouve ensuite propulsée dans les voies nerveuses, inaccessibles aux anticorps.

On comprend suffisamment clairement que cette expérience n’a rien à voir avec la réalité de la maladie, ce qui nous fait dire que le vaccin ne joue aucun rôle ni préventif ni curatif. L’anatoxine va faire produire au système immunitaire des taux d’anticorps qui ne pourront en rien protéger le sujet d’un tétanos-maladie. Il est donc faux de dire que le vaccin est « immunisant ». Nous sommes, par conséquent, devant une supercherie médicale d’ampleur. Cependant personne n’a relevé ces incohérences et le vaccin s’est développé à grande échelle et connaît aujourd’hui un usage universel. Il est administré en dose individuelle, surtout en rappel chez les adultes, mais il est systématiquement présent dans les vaccins multiples destinés aux enfants où il est combiné à la diphtérie, la polio, la coqueluche, l’Haemophilus, l’hépatite B, notamment dans le vaccin INFANRIX quinta ou hexa des laboratoires Glaxo ou PENTAVAC ou HEXAVAC des laboratoires Sanofi.

Le tétanos néonatal

Le tétanos des nouveau-nés est un fléau dans les pays où l’asepsie à la naissance est très insuffisante. Couper le cordon ombilical suppose que l’on crée une zone d’anaérobie dangereuse si des germes, comme les spores tétaniques sont présents à l’endroit de la section, surtout si l’on utilise des instruments souillés, si l’on recouvre l’ombilic de diverses mixtures douteuses. Le tétanos néonatal a disparu des pays industrialisé s depuis longtemps mais il sévit encore dans une vingtaine de pays où l’hygiène est inexistante.

La Chine a pu réduire de 90% le nombre de décès par tétanos néonatal grâce à la stratégiedes « 3 P » : propreté des mains, propreté du cordon, propreté de la table d’accouchement. Hélas ce n’est pas l’éducation à l’hygiène mais les campagnes de vaccination que les autorités mondiales ont privilégiées. « Les mères vaccinées protègent leurs enfants et leur évitent le tétanos néonatal », clament les ambassadrices de l’UNICEF qui participent à la propagande. Malheureusement, comme nous l’avons vu, le vaccin n’offre aucune protection ni à la mère ni à l’enfant. Tant que les conditions d’hygiène ne seront pas respectées, le tétanos néonatal fera des ravages dansles pays du tiers monde.

La vaccination antitétanique et ses conséquences

Si le vaccin se contentait d’être un placebo, ce serait un moindre mal, mais il ne faut pas imaginer que, s’il ne protège pas, il n’a pas d’effets dommageables. Bien au contraire, il ne s’agit pas d’un vaccin anodin, comme c’est le cas d’ailleurs pour tout vaccin. Les effets secondaires de l’anatoxine répertoriés dans la littérature médicale internationale sont légion ; il ne nous est pas possible ici d’en faire une liste exhaustive, nous évoquerons cependant les plus fréquents.

Le vaccin antitétanique peut donner une forme atypique de tétanos. Les constatations recueillies en Finlande en apportent la preuve : « De 1969 à 1985, 106 cas de tétanos ont été déclarés en Finlande ; 66% des personnes atteintes étaient vaccinées. Tous ceux qui avaient reçu au moins les trois premières injections ont fait une forme atténuée qui a posé des problèmes de diagnostic. Un patient correctement vacciné dix ans auparavant est décédé » [1]. Tous les vaccins y compris l’anatoxine tétanique sont susceptibles de provoquer des formes bâtardes de la maladie qu’ils sont censés éviter, avec des symptômes déroutants et un état pathologique de difficile description. Très souvent les médecins considèrent ces pathologies comme un avatar sans gravité de la vaccination et ne s’en préoccupent guère. Pourtant les formes larvées d’une maladie sont souvent plus inquiétantes.

Elles révèlent un terrain fort dégradé et peuvent être d’un sévère pronostic. L’étude menée par Ellen BOLTE aux Etats-Unis montre que les enfants régulièrement vaccinés par les vaccins de routine, qui incluent le vaccin antitétanique, peuvent faire des tétanos « subaigus » pouvant entraîner des perturbations importantes au niveau de l’intestin (notamment l’augmentation de sa perméabilité) ainsi que des troubles du comportement et des comportements stéréotypés, des retards d’apprentissage, tels que ceux développés chez les autistes.

On est donc loin de tout savoir sur les dégâts multiples que le vaccin est capable de provoquer. Au niveau de l’observation clinique, les effets indésirables ne sont pas rares du tout, à tel point qu’un ensemble de documents décrivant les complications consécutives à la vaccination antitétanique a été rassemblé dans une banque de données conservée en Belgique (Belgian University System) et cité par le Dr Robert MENDELSOHN dans sa revue People’s doctor en novembre 1984. On trouve de nombreux articles qui passent en revue les innombrables problèmes engendrés par le vaccin antitétanique.

Bien entendu, comme pour toute vaccination, les dommages sont imprévisibles et se produisent sur le court, le moyen ou le long terme avec une intensité variable selon l’état du « terrain » du patient. Hélas, la pharmacovigilance étant très déficiente puisqu’on estime que seul 1 à 10% des médecins font des notifications d’effets secondaires des vaccins, les dommages imputables au vaccin antitétanique sont totalement méconnus du grand public.

On a observé des réactions d’hypersensibilité, des chocs anaphylactiques (allergie très grave pouvant entraîner la mort), des atteintes neurologiques (encéphalopathies, myélopathies, névropathies, etc.). Des cas de sclérose en plaques (SEP), de sclérose latérale amyotrophique (SLA), de syndrome de Guillain Barré, de syndrome de Landry, de paralysie, d’épilepsie, etc.ont été reliés au vaccin. Ces désordres démontrent que le cerveau est bien la cible première du vaccin qui va provoquer , sous toute sorte de forme, des troubles irréversibles.

Il faut ajouter à cette liste, des complications cardiaques, des problèmes cutanés, des douleurs articulaires, des troubles digestifs, etc. Sans oublier de mettre en exergue le rôle déterminant de l’adjuvant aluminique, que les vaccins actuels contiennent tous, dans l’apparition d’une nouvelle maladie, la myofasciite à macrophages. Découverte en 1993 par le Dr COQUET du CHU de Bordeaux, cette maladie fut ensuite étudiée par l’équipe du Pr GHERARDI à l’Hôpital de Créteil en France. Plusieurs étude s du groupe, qui ont donné lieu à publication, ont ainsi prouvé que la migration des cristaux d’aluminium entraînait dans le cerveau des troubles neurologiques définissant une pathologie particulière qui se traduit par une fatigue chronique et des douleurs musculaires handicapantes.

Il convient d’évoquer aussi une particularité du vaccin antitétanique révélée par une expérience menée à Vienne (Autriche) en 1984 [3], celle d’affaiblir le système immunitaire. Un simple rappel antitétanique est capable de déséquilibrer le rapport entre les lymphocytes CD4 et CD8 (ceux qui sont impliqués dans le SIDA) le 14ème jour environ après l’injection. Ce moment est donc critique car il met en position de fragilité le sujet. L’acte vaccinal met donc l’organisme en état de moindre résistance (état semblable à celui des sidéens) pendant un laps de temps plus ou moins long et à un degré plus ou moins fort selon les individus. D’autres expériences seraient nécessaires pour approfondir ces découvertes, qui peuvent être extra polées à d’autres vaccins.

L’aluminium dans les vaccins

1 – Tous les vaccins contiennent un adjuvant de l’immunité, c’est-à-dire une substance toxique agressive destinée à faire réagir plus violemment le système immunitaire afin d’obtenir un taux d’anticorps plus élevé. Le premier adjuvant utilisé fut l’alun (sulfate double d’aluminium et de potassium), précisément dans le vaccin tétanique adsorbé Pasteur des années 1930-40. Mais l’alun est un produit hautement toxique pour l’organisme et il fut incriminé dans de nombreux accidents post-vaccinaux dont des chocs anaphylactiques. C’est pourquoi dans les années 1960-70, il a été retiré des vaccins et remplacé par des sels d’aluminium, phosphate ou hydroxyde d’aluminium. Cependant les vaccins adsorbés (c-à-d fixés) sur aluminium étaient difficiles à fabriquer de façon constante. C’est pourquoi, pour minimiser ces variations, une préparation d’hydroxyde d’aluminium spécifique a été choisie comme standard en 1988. Depuis, pratiquement tous les vaccins contiennent de l’hydroxyde d’aluminium comme adjuvant.

2 – Selon les vaccins contenant la valence tétanique, la quantité de sels d’aluminium peut passer de 200 µg à 1250 µg. Si on respecte le calendrier vaccinal, un enfant reçoit au minimum 24 stimulations antigéniques avant l’âge de 2 ans et si on fait les rappel s tout au long de la vie, les doses d’aluminium injectées peuvent être considérables. Ce métal n’existant pas dans notre corps, sa présence ne peut que perturber gravement l’organisme [2]. Il faut signaler que l’aluminium peut se potentialiser en présence d’un autre toxique tel que le mercure. Or, on sait que le mercure, malgré une demande internationale d’interdiction, est toujours utilisé comme conservateur dans les vaccins au cours du processus de fabrication. Il est un fait que les vaccins antitétaniques contenaient jusqu’en 1990 des doses élevées de mercure. Ces deux métaux sont capables de passer la barrière hémato-encéphalique et d’occasionner des dommages dans le cerveau, ils sont notamment incriminés dans certaines formes d’autisme et dans la maladie d’Alzheimer.

Que penser du sérum antitétanique ? 

Dans les années 1920-30, lorsque le Pr RAMON faisait ses expériences à l’Institut Pasteur, on a utilisé du sérum de chevaux « immunisés » pour essayer de guérir mais aussi pour prévenir la maladie. On vaccinait sans cesse ces pauvres animaux pour obtenir des anticorps à profusion, or les chevaux finissaient par mourir du tétanos ! Le sérum prélevé était à peine purifié et il a provoqué de très nombreux accidents graves. Son usage tomba en désuétude dans les années 1970 lorsqu’il fut remplacé par des gammaglobulines humaines. Mais pendant des années on a pratiqué systématiquement, à la moindre blessure, une injection de sérum antitétanique provoquant des dégâts dans 20 à 30% des cas.

La maladie du sérum est apparue dès les débuts : il s’agit d’une réaction très violente au sérum, elle est capable de détruire en 9 jours un individu par des atteintes de plusieurs organes à la fois. On peut la comparer à une maladie auto-immune telle que le lupus par exemple. Disons-le très clairement, la sérothérapie n’a jamais fait la preuve de son efficacité, mais elle a, en revanche, montré toute sa nocivité. Néanmoins, on continue aujourd’hui encore à la pratiquer après une blessure jugée grave. Que penser de la théorie du polymorphisme microbien appliquée au tétanos ?

Le tétanos est une maladie assez mal connue, elle n’a pas suscité d’engouement car il existe depuis le début du 20ème siècle un vaccin qui est considéré globalement comme l’unique rempart à la maladie et un vaccin, qui plus est, passe pour « inoffensif ». « S’il y a un vaccin à faire, c’est bien celui contre le tétanos », tel est le langage de la majorité du corps médical. Ce n’est que très récemment que quelques spécialistes se sont penchés sur cette maladie afin d’en connaître un peu mieux les mécanismes. Avant notre siècle pourtant, des savants comme Antoine BECHAMP (contemporain de PASTEUR) avaient avancé des explications qui méritent attention, car elles s’opposent à la théorie des germes énoncée par les pasteuriens. Ceux-ci défendaient trois postulats :

 

  • La cellule est exempte de germes, ceux-ci viennent de l’extérieur
  • A chaque germe correspond une maladie
  • Les anticorps neutralisent les antigènes et protègent

On sait aujourd’hui que ces affirmations sont fausses et obsolètes. BECHAMP, lui, défendait le polymorphisme microbien, c’est -à-dire le fait que les micro-organismes puissent être engendrés par nos propres cellules qui assureraient en continu le cycle de la vie. Cette transformation se produirait lors d’un déséquilibre du terrain. Cette notion de polymorphisme microbien fut reprise par le Pr Jules TISSOT au début du 20ème siècle. Ce dernier émit l’hypothèse que le bacille du tétanos, le Clostridium tetanii, résulterait de la transformation du colibacille (Escherichia coli) qui colonise l’intestin des hommes et des mammifères, ce qui ferait du tétanos une maladie endogène [4].

Ce colibacille, s’il se trouve dans un milieu privé d’oxygène, par exemple dans des cellules décomposées de l’organisme, notamment lorsqu’il y a un excès de chlorure de sodium et une carence en magnésium, pourrait prendre des formes différentes et acquérir une virulence qu’il n’a pas en temps normal. Cela expliquerait pourquoi les grands brûlés peuvent faire un tétanos. Les découvertes du Pr Tissot mériteraient d’être confirmées par des expériences faites avec les moyens d’investigation modernes afin que cette théorie soit totalement avalisée. De nombreux scientifiques depuis le 19ème siècle, en se penchant sur la formation du vivant, ont apporté une pierre à cet édifice du polymorphisme microbien et on peut imaginer que, très prochainement, les théories pasteuriennes seront absolument caduques et nécessiteront une révision du bien-fondé des vaccinations.

Comment se protéger du tétanos et comment le soigner ? 

Une chose est à retenir : on ne meurt pas systématiquement du tétanos. Les décès ne représentent que 30% environ des cas déclarés aujourd’hui. Ceci grâce surtout aux moyens de réanimation en milieu hospitalier. Mais il y a moyen d’éviter le tétanos et il existe des traitements naturels réellement efficaces. Comme nous l’avons dit, le tétanos ne peut se développer que si des spores tétaniques se trouvent enfermées dans une zone anaérobie de l’organisme. Pour éviter qu’une plaie souillée ne débouche sur un tétanos, la première des choses à faire est de nettoyer la plaie – on dit « parer et débrider » en jargon médical – avec de l’eau et du savon.

Il faut également extraire tout corps étranger incrusté dans la plaie et enlever les chairs mortes. L’essentiel est de faire saigner la plaie, donc ouvrir et presser pour que le sang , et donc l’oxygène , circule. Il est recommandé, afin de fournir un apport supplémentaire en oxygène, de mettre de l’eau oxygénée comme l’on faisait jadis sur les genoux écorchés des enfants : ça mousse et permet en outre de dégager des saletés. Enfin, il convient d’appliquer un produit antiseptique pour neutraliser les germes pyogènes (responsables d’infections génératrices de pus) qui peuvent se trouver sur les lieux et qui potentialisent la virulence du bacille tétanique. Une blessure profonde qui ne saigne pas doit être ouverte. Ne pas recouvrir une blessure avant d’avoir fait tout le travail de nettoyage afin qu’elle reste un moment en présence de l’oxygène de l’air dans des conditions d’asepsie.

En cas de tétanos déclaré, divers traitements homéopathiques peuvent être préconisés, ainsi qu’un apport conséquent en vitamine C. Mais le remède souverain est le chlorure de magnésium. Ce produit avait été utilisé avec succès par le Dr Auguste NEVEU dans les années 1930, tant sur les hommes que sur les animaux, dans les cas de tétanos, diphtérie et polio. Le Dr NEVEU, par l’intermédiaire du Pr Pierre DELBET, chirurgien de grand renom à l’époque, avait fait parvenir à l’Académie de Médecine, un rapport énonçant toutes les vertus du chlorure de magnésium dans le traitement de la diphtérie. Mais l’Académie méprisa ce rapport et fit savoir en 1944, par courrier au Pr DELBET, qu’elle refusait la publication de cette communication au prétexte qu’en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et que l’intérêt était de généraliser ces vaccinations. L’emploi du pluriel correspond aux vaccins de l’époque tétanos/diphtérie qui se faisaient ensemble. C’est ainsi que les officiels boycottèrent ce remède naturel, bon marché, très accessible et sans effets secondaires (si l’usage en est raisonnable) au profit de la vaccination. Voilà comment des chercheurs indépendants qui peuvent apporter un grand soulagement à l’humanité, sont réduits au silence. Le chlorure de magnésium s’utilise en injections intraveineuses (20g/litre) qui très rapidement rétablissent le relâchement et la mobilité des muscles, l’ordre de décontraction étant libéré [5].

Les vertus du chlorure de magnésium

Le chlorure de magnésium est :

  • Immuno-stimulant (il aide à la formation des anticorps
  • Anti-infectieux (il stimule la phagocytose)
  • Restaurateur de terrain (il bloque la prolifération des germes)
  • Régulateur nerveux (il normalise l’excitabilité des nerfs)
  • Sédatif naturel et antidépresseur
  • Stimulant général de l’organisme (il augmente la résistance et l’activité des cellules)

[Cf. Marie-France MULLER « Le chlorure de magnésium – Un remède miracle méconnu », Ed. Jouvence, 1998 ]

Conclusion

Le tétanos a été érigé en maladie redoutable et omniprésente , offrant ainsi à l’industrie pharmaceutique productrice de vaccins une manne permanente. Or nous avons pu montrer que la réalité était tout autre et que la vaccination, imposée à tous les enfants du monde, était loin d’apporter une solution à la prévention de cette maladie. Le tétanos est avant tout un problème d’hygiène dans lequel la vaccination ne joue aucun rôle protecteur. Il paraît réellement incroyable qu’un vaccin aussi inutile ait pu être commercialisé jusqu’à nos jours et que tant de médecins se soient fait abuser si longtemps. Il y a des dogmes qui ont la vie dure, celui de la vaccination antitétanique est l’un des plus indéboulonnables. Pourtant les effets secondaires de ce vaccin et la prise de conscience de ses utilisateurs commencent à faire chanceler l’édifice et il est à espérer que les citoyens disposeront d’informations objectives et pourront avoir le droit, en conséquence, de choisir, pour eux et pour leurs enfants, la vaccination ou la non-vaccination.

Notes:

1 – Scandinavian Journal of Infectious diseases, Vol. 21, n°6 (1989), p.655

2 – Nous conseillons la lecture du document réalisé par le Dr Jean PILETTE « Maladies infectieuses et vaccins »sur le site http://www.alis-france.com (rubrique Documents). Tous les composants des vaccins y sont analysés.

3 – Martha EIBL et al. New England Journal of Medicine, Vol. 310, n°3, p.119 (1984)

4 – Pr Jules TISSOT “Constitution des organismes végétaux et animaux,” trois tomes 1926, 1936, 1946

5 – Pour compléter sa documentation, le lecteur tirera le plus grand profit de la lecture du livre du Dr Jean MERIC « Vaccinations, je ne serai plus complice », Ed. Pietteur, 2004

Françoise JOËT « Tétanos , le mirage de la vaccination », Ed. ALIS, 2013

 

Source: Tétanos , le mirage de la vaccination

 

Santé: La fin de l’escroquerie sur les vaccins est-elle en vue ?

Posted in actualité, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, politique et social, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , on 19 septembre 2014 by Résistance 71

Merci à Doctorix pour le lien de cet article…

— Résistance 71 —

 

Des documents britanniques mettent à jour 30 années de camouflage et de mensonges sur les vaccins

 

Réseau International

 

16 Septembre 2014

 

url de l’article:

http://reseauinternational.net/30-ans-camouflage-mensonges-les-vaccins-viennent-detre-mis-au-grand-jour/

 

Le « Freedom of Information Act » (Acte donnant libre accès à des documents secrets) au Royaume-Uni auquel a eu recours un médecin, a permis de révéler le contenu de 30 années de documents officiels secrets montrant que les experts gouvernementaux.

  1. savaient que les vaccins ne fonctionnaient pas
2. savaient que les vaccins pouvaient provoquer les maladies qu’ils étaient sensés prévenir.
3. savaient que les vaccins présentaient des dangers pour les enfants
4. se sont entendus pour mentir au public
5. se sont attelés à empêcher les études de sécurité.

Ce sont ces mêmes vaccins qui sont rendus obligatoires pour les enfants américains.

Les parents peuvent soit épargner tout ce mal à leurs enfants, soit continuer à s’incliner devant l’un des plus affreux mensonges de l’histoire, ce mensonge qui veut faire croire que des vaccins – remplis de métaux lourds, de maladies virales, de mycoplasme , de matières fécales, de fragments d’ADN d’autres espèces, de formaldéhyde, de polysorbate 80 (Agent stérilisant) – sont un miracle de la médecine moderne.

Un médecin américain dont le fils est autiste a eu recours au « Freedom of Information Act » pour obtenir des documents du CDC (Centres Américains de Contrôle des Maladies). Il voulait avoir accès à l’information que possédait le CDC au sujet des dangers que présentent les vaccinations. Selon la loi, il devait recevoir réponse dans les 20 jours. Pratiquement 7 ans plus tard, le médecin s’adressa finalement à la justice, et c’est là que le CDC a fait valoir qu’il n’était pas obligé de remettre ces documents. Finalement, un juge a ordonné au CDC de remettre ces documents au médecin pour le 30 septembre 2011.

Le 26 octobre 2011, l’éditorialiste du « Denver Post » s’est dit choqué que l’administration Obama, après avoir promis d’être particulièrement transparente, proposait des modifications au Freedom of Information Act , permettant d’entraver la révélation de documents secrets en autorisant les agences gouvernementales (comme le CDC) à déclarer certains documents « inexistants ». […]

Le CDC agit manifestement à l’encontre de la santé de la population américaine. Mais la menace que présente le comportement du CDC sur la vie des Américains ne s’arrête malheureusement pas là. Il a participé à l’élaboration des lois concernant les pandémies qui permettent au gouvernement d’utiliser l’armée, en cas d’urgence pandémique déclarée, pour contraindre toutes les personnes du pays à subir des vaccins non testés, des médicaments, des produits chimiques et d’autres traitements « médicaux ».

En se basant sur le Freedom of Information Act, on peut dire que le CDC perdrait toute crédibilité s’il devait déclarer pareille urgence pandémique. Après avoir déclaré la pandémie du H1N1 en 2009, le CDC a refusé de répondre à la requête d’information de CBS qui s’en référait au « Freedom of Information Act ». A cette époque, le CDC a tenté de bloquer toute leur enquête. Ce que voulait cacher le CDC, c’était son propre rôle dans un des plus grands scandales médicaux de l’histoire, en s’en référant à des données follement exagérées sur les cas de grippe H1N1 en vue de créer une fausse impression de « pandémie » aux Etats-Unis.

Le CDC a aussi dissimulé un scandale financier concernant la fausse pandémie qui a coûté des milliards de dollars. Il y a pire, le CDC n’a pas hésité à mettre les femmes enceintes en première ligne pour un vaccin non testé qui comprenait un agent stérilisant, le polysorbate 80. Grâce au CDC, le nombre de rapports de morts fœtales a augmenté de 2.440% en 2009 comparativement aux années précédentes ; situation qui est encore plus choquante que les statistiques de fausses couches qui avaient augmenté de 700%. […]

En tentant de sauver les derniers vestiges du secret qui concerne les vaccins et en déclarant que les documents de l’Agence sont inexistants, l’Administration Obama a réduit à néant toutes ses prétentions à la transparence. Mais les lois prévues pour rendre obligatoires des vaccins pandémiques peu connus sont toujours en place et toute responsabilité a été dissoute. Il n’empêche qu’une étude canadienne vient de montrer que le vaccin contre la grippe qui contient le H1N1 et qui a tué des bébés in utero, contribue en fait à augmenter le risque de pandémie.

Les américains qui ont été dupés en soumettant leurs enfants aux vaccins meurtriers du CDC possèdent aujourd’hui des moyens de riposte. Les personnes de tous horizons, de chaque organisation doivent :

  1. Prendre connaissance des textes révélés grâce au Freedom of Information Act du Royaume Uni et qui ont trait aux mensonges sur les vaccins. Ces personnes doivent prendre connaissance du refus du CDC de fournir quelque information que ce soit sur ce qu’ils savent au sujet de ces mensonges ; elles doivent aussi prendre connaissance des efforts déployés par l’administration Obama pour camoufler ce que sait le CDC au sujet de ces mensonges. Ces personnes doivent contacter leurs représentants et exiger l’annulation immédiate du calendrier vaccinal du CDC et des lois concernant les pandémies.
  2. Informer chaque vétérinaire, personnel militaire, policiers, agents du DHS, ainsi que le personnel médical de toute la mystification vaccinale. Expliquer à ces personnes que leurs familles sont aussi gravement menacées. Ces personnes ne pouvaient probablement pas savoir qu’elles avaient été manipulées à l’intérieur même de leurs structures par l’industrie pharmaceutique qui les ont transformées en agents meurtriers grâce à la déclaration de « pandémie » ou « d’attaque bioterroriste ». Il est tout à fait clair aujourd’hui que les structures terroristes/bioterroristes ne sont que des escroqueries. Ainsi tous les projets qui sont envisagés pour « protéger » le pays sur la base de ces mêmes lois ne feraient que menacer l’existence et la liberté des américains.

Grâce au Freedom of Information Act (FOIA), nous savons que le calendrier des vaccinations relève du canular. Ce sont les vaccins qui constituent un danger pour la santé des enfants et des adultes Américains.

Ce sont aujourd’hui des vaccins obligatoires, mal testés avec des adjuvants dangereux qui menacent le pays et qui pourraient provoquer quantité de morts. A l’extérieur d’Atlanta, le CDC a stocké quelque 500.000 cercueils géants, construits pour être incinérés. Il commence à devenir clair que le CDC ne devrait en aucune façon être mêlé de quelque manière que ce soit aux problèmes de santé publique.

Grâce au Freedom of Information Act, nous savons aujourd’hui que les vaccins ne constituent nullement le miracle de la médecine moderne que l’on a voulu nous faire croire. Toute autorité médicale ou gouvernementale qui prétendrait que les vaccins préviennent les maladies, ignore les documents gouvernementaux comme les innombrables études qui révèlent l’exact opposé, mais ignore également les tentatives du CDC de cacher au public la vérité sur les vaccins.

source originale :http://nsnbc.me/2013/05/10/the-vaccine-hoax-is-over-freedom-of-information-act-documents-from-uk-reveal-30-years-of-coverup/

stopmensonges.com/

Capitalisme monopoliste et la science détournée… La saga continue…

Posted in actualité, économie, média et propagande, militantisme alternatif, presse et média, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , on 25 mars 2013 by Résistance 71

Nous relayons ce long article d’Initiative Citoyenne concernant le détournement de la science en matière médicale car cet article fait parfaitmement écho à l’article précédent de Cartalucci sur l’escroquerie du réchauffement climatique anthropique, de la nouvelle grande messe de « l’heure de la terre » et de la religion environnementaliste ne profitant qu’aux monopoles capitalistes en vigueur comme il se doit. I suffit de relier les points entre eux pour avoir une idée panoramique de l’état actuel de la science. Nous référons également nos lecteurs au Livre II de notre traduction d’ « Un monde sans cancer, histoire de la vitamine B17 » d’Edward Griffin, qui explique comment l’Association Médicale Américaine, la FDA, La National Cancer Society, ont été très tôt achetées et perverties par le grand capital des fondations monopolistes Rockefeller et autres…

— Résistance 71 —

 

Ethique vaccinale et prostitution de la science (réponse à Sham & Science)

 

24 Mars 2013

 

Initiative Citoyenne

 

url de l’article original:

http://www.initiativecitoyenne.be/article-ethique-vaccinale-prostitution-de-la-science-reponse-a-sham-science-116291888.html

 

Nous ne reviendrons pas en détail sur ce premier article lénifiant de cet universitaire poitevin sur les prétendues réticences irrationnelles aux vaccins car nous l’avions déjà largement commenté ICI. (à ce propos, la Ministre de l’Economie numérique, Fleur Pellerin, avait aussi déclaré que l’appel à des normes plus strictes en matière électromagnétique relevait aussi de « peurs irrationnelles« . Un avis d’ailleurs partagé par la sainte et vénérable Académie de Médecine qui avait encore adopté à l’unanimité, six mois avant l’interdiction définitive de l’amiante, un rapport rassurant et n’allant pas du tout dans le sens d’une interdiction)

Cet universitaire –dont l’éthique apparaîtra pour ce qu’elle est puisqu’il a la légèreté d’écrire aux gens de se vacciner ALORS qu’il n’assumera cependant pas la moindre responsabilité en cas d’effets secondaires – entend nous faire passer pour des gens en dehors du champ de la Science et de l’éthique.

Cette personne se targue de défendre la qualité de l’argumentation et la solidité des preuves.

Pourtant, comme nous allons le voir au travers de cet article d’information plus général, les affirmations de l’auteur sont inconsistantes et surtout, elles regorgent de contradictions dont il ne semble même pas se rendre compte.

Raccourcis et idées théoriques qui collent cependant peu avec la réalité des faits, sont les maîtres mots de sa réponse.

Evaluation scientifique

L’auteur du blog Sham & Science nous décrit sur son site ce que devrait être le fonctionnement de la Science. Ses propos sont théoriques donc mais ne se trouvent  hélas PAS systématiquement confirmés dans la réalité, loin s’en faut! C’est un petit peu comme si vous lisiez par exemple dans un cours de journalisme que la presse est indépendante, qu’il s’agit du « 4° pouvoir » alors que les gens lucides et intelligents savent tous que la presse est muselée et ne relargue que des informations ultra épurées sur toutes une série de scandales dans divers domaines.

Pour Sham & Science, si on résume le cadre évoqué, on a :

– Les revues à comités de lecture (peer reviewed/revus par les pairs) ce qui constitue un garde-fou et « une première sélection »

– Travail de confirmation, ou invalidation par la communauté scientifique pour dégager un consensus

– Les revues les plus prestigieuses seraient les plus rigoureuses au niveau de la sélection.

Dans la réalité cependant, on a :

– Des grandes revues qui ne sont pas indépendantes. Ainsi par exemple, des revues comme le British Medical Journal et le Lancet ont « des partenariats d’éducation continue » avec Merck, grande multinationale pharmaceutique et aussi, producteur mondial de vaccins…

La notion de « consensus scientifique » est fragile, complexe et n’est pas en soi une garantie car la Science n’est PAS imperméable aux intérêts financiers qui la sous-tendent.

Ainsi, ce n’est pas toujours ceux qui sont majoritaires qui ont forcément raison. Pour l’amiante, la majorité des scientifiques ont eu tort pendant des décennies avant de finalement reconnaître TRES TARDIVEMENT la dangerosité de l’amiante. L’Académie française de Médecine par exemple avait encore adopté à l’unanimité six mois avant l’interdiction définitive de l’amiante un rapport rassurant qui ne recommandait pas du tout son interdiction. Et là, encore, il est plus que probable qu’ils se réfugiaient derrière « le consensus des pairs ». Pour les statines, une majorité de médecins défendent bec et ongles leur usage et une minorité (dont le Dr de Lorgeril) pointent des dangers minimisés et une utilité usurpée. Pareil pour les mammographies systématiques de dépistage pour lesquelles là aussi, le vent commence à tourner et une certaine dissidence commence à se faire entendre. A ce propos rappelons qu’1 million de femmes américaines sont inutilement traitées ou mutilées chaque année en raison de faux positifs (avec toute l’angoisse qui va de pair).

Les officiels et les pharmas ont la fâcheuse tendance à utiliser l’argument du nombre d’études défendant une thèse comme une preuve en soi que l’hypothèse défendue est la bonne. Le public ne doit toutefois jamais oublier que la réalisation d’études est tellement coûteuse que seules les firmes pharmaceutiques peuvent se le permettre ou presque (et ce n’est pas avec des Etats de plus en plus endettés et désargentés qu’on va favoriser une recherche publique propre et indépendante). Dès lors, à chaque mise en cause de leurs produits au travers de telle ou telle publication, ces firmes sont commercialement obligées de financer à la hâte et en nombre diverses études destinées à contrer les résultats des études négatives et sauver ainsi des parts de marché gravement menacées. Pour cela, les pharmas ont un carnet d’adresses bien rempli et savent très bien à quel scientifique en vue s’adresser pour qu’il conçoive une méthodologie d’étude la plus apte à permettre de démontrer ce qui arrange la firme en cause. La firme va donc exhiber ces « résultats rassurants » via ses symposiums, via ses leaders d’opinion et aussi bien sûr fournir ces données aux autorités qui seront bien entendu ravies de les utiliser puisque cela leur évitera des problèmes de responsabilité et de remise en cause de leurs recommandations vaccinales ou médicamenteuses ou encore de leurs politiques de remboursement.

Les revues les plus prestigieuses sont en réalité les revues les plus liées aux grandes firmes pharmaceutiques. La sévérité de la sélection varie donc aussi et surtout (bien que pas exclusivement bien sûr) au gré des intérêts commerciaux en jeu.

C’est ainsi que les grandes études des fabricants de vaccins sont toujours publiées dans ces grandes revues, bien que leur méthodologie soit loin d’être adaptée ou scientifiquement valide. Pour les vaccins par exemple, il n’est jamais question de groupes placebos véritables qui n’auraient jamais reçu le moindre vaccin dans leur vie, de façon à pouvoir éviter de graves biais. Au contraire, on donne au faux groupe témoin soit un ou des autres vaccins soit une substance qui est toxique en elle-même (et donc non neutre, il s’agit donc bien d’un faux placebo). Ce faisant, on gonfle artificiellement les effets secondaires dans ce faux groupe témoin, et on prétend alors avec une facilité déconcertante que le nouveau vaccin testé à « un profil de sécurité acceptable par rapport au placebo ». Et tout cela dans des revues prestigieuses… quelle sécurité donc, pour les consommateurs, il n’y a vraiment pas à dire! Et les médecins n’y voient bien sûr que du feu pour l’immense majorité d’entre eux puisqu’ils lisent dans ces études ou plus généralement dans les comptes-rendus (qui sont loin de toujours refléter la teneur exacte des résultats de l’étude) le mot « placebo ». Seul un nombre infime des médecins sait que les placebos sont faux dans toutes les études officielles de vaccins. En fait, on ne recourt à un vrai placebo QUE pour évaluer l’efficacité du vaccin. Mais si on faisait ça pour la tolérance des vaccins (ce qui serait « de la bonne Science », bien rigoureuse), les fabricants savent que leurs produits ne seraient jamais approuvés. On se trouve donc dans un jeu de dupe. Et une majorité de gens croient encore que cette pseudo Science est « la vraie Science », impressionnés par les labels « Lancet », « BMJ », comme un petit enfant serait impressionné par le strass et les paillettes d’un spectacle de cabaret.

Les revues les plus prestigieuses sont aussi les plus prisées par les « auteurs fantômes« , des nègres payés par l’industrie pour rédiger des publications qui seront ensuite signées par des noms de médecins ou professeurs célèbres et influents. La raison en est que l’industrie sait bien que « cela paraît plus sérieux » quand une étude est publiée dans une grande revue plutôt qu’une petite.

Tous les auteurs de sujets scientifiquement très sensibles savent très bien qu’ils ont plus de chance d’être publiés dans de plus petites revues, moins prisées par les puissants lobbys pharmaceutiques.

La véritable « fatwa scientifique » à l’encontre de Gilles-Eric Seralini dont la méthodologie était pourtant nettement plus pertinente et solide en termes de durée d’évaluation, montre bien que la Science n’est pas aussi neutre et objective que tente de le faire croire de façon affligeante et déconnectée du réel cet auteur poitevin.

Dans une interview au magazine Rebelle Santé, Paul Deheuvels, membre de l’Académie des Sciences et spécialiste de l’analyse statistique, a d’ailleurs très bien expliqué dans quelles conditions l’Académie des Sciences s’y est prise pour publier son communiqué à ce sujet, une méthode qui était en tout point opposée à celle d’une concertation scientifique normale et à ce que décrit Sham & Science (qui a dû louper sa vocation d’auteur de contes de fée & autres belles histoires)

Le Dr J. B Classen a quant à lui publié sur le risque de diabète de type 1 lié selon lui à la vaccination anti-hépatite B: une hausse de 60% tout de même constatée après la vaccination des jeunes néo-zélandais avec un taux de couverture de 70%. Fort logiquement, il a donc dit que d’autres études supplémentaires étaient nécessaires et qu’il y avait sûrement un problème avec ce vaccin. Plutôt que d’essayer de comprendre, les officiels ont surtout tout fait pour étouffer ce signal d’alarme. Le Dr Classen a osé parler de ses doutes à la télévision… quel crime! C’est alors qu’il fut sévèrement grondé (comme si c’était un enfant) par les grands pontes de la vaccination dont les conflits d’intérêts sont légions. Voici ce qu’il raconte de ce qui lui est arrivé (et qui figure notamment dans le livre « La santé publique en otage, les scandales du vaccin contre l’hépatite B », de Eric Giacometti, aux éditions Albin Michel.):

« En 1996, j’ai publié dans le New Zealand Medical Journal une étude qui montrait une augmentation de 60 % des diabètes chez les enfants après la campagne de vaccination massive entre 1988 et 1991. Le diabète est une maladie auto-immune qui peut avoir plusieurs causes et qui est bien connue des spécialistes de la sécurité des vaccins. À l’époque, je voulais seulement lancer un signal d’alerte et que les pouvoirs publics lancent des études sur ce sujet.

« Un rapport officiel est paru deux ans plus tard pour mettre en pièce mes travaux. Selon ce texte, aucun autre médecin n’avait trouvé les mêmes tendances. Mais mes véritables ennuis ont commencé après mon passage à la télévision dans une émission d’ABC. J’ai été convoqué par le docteur Neal Halsey, l’une des plus grosses huiles du milieu de la vaccination, professeur au John Hopkins Hospital, responsable de l’association des pédiatres américains, membre du Comité national des vaccinations. En guise d’entretien, c’était un procès en bonne et due forme. Je me suis retrouvé seul face à une assemblée de médecins, du NIH, du CDC, de la FDA, qui m’ont attaqué violemment, me reprochant d’avoir voulu affoler la population sans fondements. Selon eux, je risquais de détruire la campagne de vaccination alors que mes travaux avaient été réfutés. Exprimer des inquiétudes dans un média grand public sur un vaccin était inqualifiable. Depuis, j’ai été marginalisé comme opposant aux vaccins, un comble alors que mes recherches n’ont comme seul but que de renforcer leur sécurité ! Or, il existe un véritable problème avec ce vaccin et le public est en droit d’exiger une plus grande transparence, mais il est clair que cette affaire met en jeu des intérêts énormes. Si on ne trouve rien, c’est surtout parce qu’on ne veut rien trouver. »

Le Pr Tardieu a été pour sa part « interdit de conférence de presse » (Libération, 14 octobre 2008) pour avoir osé montrer dans son étude, dans un sous-groupe plus exactement, que le risque de sclérose en plaques était plus grand chez les enfants qui avaient reçu, outre tous les vaccins recommandés, le vaccin anti-hépatite B Engerix B.

Le sujet du vaccin anti-hépatite B est si sensible que l’étude conjointe Fourrier-Costagliola qui avait objectivé un nombre de cas de scléroses en plaques supérieur à ce qui était attendu entre 94 et 96 et qui avait été reconnue comme significative et valable par l’Afssaps en 2000, était subitement dédoublée pour devenir non significative deux ans plus tard avec une Afssaps qui prétendait alors qu’aucune étude à ce stade n’avait montré le moindre risque…

Le BA-ba de la Science: parler en connaissance de cause et faire primer les faits sur la théorie.

On pourrait s’attendre à ce que la Science (la vraie) garantisse un discours rationnel et objectif aux prétentions vérifiées. Pourtant, les tenants d’une pseudo science appelée « vaccinologie » ne se lassent jamais de nous répéter que « les bénéfices des vaccins dépassent tous les risques possibles » ALORS qu’ils n’en ont en réalité aucune idée PUISQU’ils n’ont tout simplement pas osé employer une méthodologie stricte leur permettant d’aboutir à de telles conclusions.

Par exemple, si un effet secondaire survient un an après un vaccin, les officiels vont d’office dire que « c’est trop longtemps après » et donc (on voit bien là le glissement ANTI-scientifique!) « cela ne peut pas être lié au vaccin ». Continuons donc à vacciner gaiement !

Pourtant, il n’y a pas d’étude officielle qui évalue les effets secondaires de vaccins sur un nombre suffisant de mois et d’années! Les propos de ces gens qui se targuent d’être scientifiques ne sont donc que du vent. Ils auront donc parlé, pour reprendre les propos de Lafontaine, aux dépens de ceux qui les auront écoutés et crus!

Politiquement correct ou scientifiquement correct?

Compte tenu des enjeux financiers, il s’agit de pouvoir répondre du tac au tac aux empêcheurs de vacciner en rond, et c’est ainsi que les victimes de vaccins s’entendent inlassablement dire (sauf rares exceptions) que leurs maux ne sont jamais liés à un quelconque vaccin.

Un membre de l’Académie française de Médecine a par exemple indiqué que pour pouvoir reconnaître une causalité, il faut deux choses: une hausse des cas constatée sur le plan épidémiologique et deuxio, un mécanisme physiopathologique explicatif.

Problème: les hausses des cas, même lorsqu’elles sont patentes, peuvent être maquillées (comme ce fut le cas avec la sclérose en plaques, malgré des chiffres éloquents lorsqu’on les reprend année par année); quant au mécanisme physiopathologique, il est loin d’être toujours élucidé et souvent, il n’y a pas de volonté à cela, surtout quand c’est un vaccin qui est en cause, puisque par définition, selon l’establishment, un vaccin fait toujours plus de bien que de tort!

Avec l’aluminium des vaccins et l’affaire de la myofasciite, on a bien pu constater les réticences des officiels à financer des recherches explicatives sur la toxicité d’une telle substance. Et pendant ce temps, les effets secondaires continuent de se produire, que les experts sachent ou non pourquoi.

Et lorsqu’une personne est victime d’effets secondaires de vaccins, on attend systématiquement d’elle qu’elle prouve de façon indubitable une causalité avec le vaccin. Autre problème à cet égard et alors qu’on exige que l’imputabilité soit établie, il s’avère en réalité, comme on pouvait encore le lire dans la Revue du Praticien en novembre 2011, « qu’il n’y a pas de consensus sur les éléments chronologiques et sémiologiques de l’imputabilité d’un vaccin dans la survenue d’un effet indésirable. » En d’autres mots: on exige l’impossible de la part des victimes en jouant sur le flou artistique volontairement entretenu à cet égard, enjeux commerciaux obligent. Exactement comme on favorise les vaccins pédiatriques combinés qu’on prétend « tout aussi sûrs que les autres » mais au sujet desquels, les autorités affirment cependant sans complexe qu’ils ne permettent pas du tout d’identifier la ou les valences en causes en cas d’effet secondaire! 

Ainsi, quand les grands experts adoubés par les Ministères et autres comités européens ou mondiaux, affirment que les vaccins ne sont pas en cause, on peut dire qu’ils substituent le politiquement correct au scientifiquement correct (au niveau méthodologique) et qu’ils transforment en consensus, ce qui n’a été ni étudié et encore moins établi.

Les conflits d’intérêts, véritable gangrène de la Science

Les conflits d’intérêts sont un véritable fléau. Par commodité et opportunisme, les experts concernés ainsi que les autorités qui les acceptent, ont beau jeu de prétendre que ce problème se règle par « la transparence » et la simple divulgation des conflits d’intérêts. Si cette condition de publicité des conflits est évidemment indispensable, elle n’est en revanche pas du tout suffisante et ne permet pas en elle-même d’assurer une « Science propre ». Les conflits d’intérêts interfèrent avec le jugement clinique des praticiens concernés et nuisent à l’intérêt des patients. Les déclarer n’annihile pas leurs conséquences néfastes en termes de santé publique. Le pseudo argument très confortable qui consiste à dire qu’ « on n’est pas un bon expert si on ne travaille pas avec les pharmas » est gros comme une maison et sert surtout à maintenir le statu quo.

Les conflits d’intérêts sont hélas partout en médecine et dans le domaine scientifique: formation des médecins, organisation de la formation continue (symposium etc.), grandes revues médicales qui ont des partenariats avec Big Pharma, leaders d’opinion, etc.

Un système aussi très prégnant est celui des « portes tournantes » (revolving doors), il consiste à passer d’une instance dite « publique » au monde privé des entreprises commerciales et vice-versa, permettant ainsi une influence accrue sur la législation et le marketing des firmes concernées.

Les exemples sont innombrables. On peut par exemple citer Thomas Lönngren, ancien directeur de l’Agence Européenne des médicaments qui travaille à présent dans une société de lobbying qui aide les pharmas à décrocher les autorisations de mise sur le marché (mais lui, il travaillait même dans cette société en étant encore en poste à l’EMEA!). Ou encore, le Dr Julie Gerberding, ancienne responsable du Centre de Contrôle des Maladies des USA (CDC), qui est à présent à la tête de la division Vaccins de la firme Merck:

Affaire Wakefield, vaccins et autisme

L’affaire Wakefield comporte beaucoup de non dits et de confusion. Les médias n’ont pas indiqué au public qu’un juge britannique a blanchi le collègue de Wakefield, co-auteur de la publication contestée, le Pr Walker-Smith. Pas plus que ce que le juge a estimé et dit, à savoir qu’il y avait eu une véritable chasse aux sorcières à l’encontre de ces chercheurs et que les auditions du General Medical Council (l’équivalent de notre Ordre des Médecins) avaient été bâclées. Les médias n’ont pas non plus informé le public que le Dr Wakefield avait introduit une plainte en diffamation contre Brian Deer, Fiona Godlee et le British Medical Journal, estimant avoir injustement et sans fondement été accusé de fraude.

La publication contestée de Wakefield (cosignée par une dizaine d’autres auteurs) date de 1998. Elle avait alors passé l’épreuve du comité de lecture et avait été analysée par les pairs du Lancet qui n’avaient alors pas estimé que la méthodologie était médiocre au point de la recaler!! Sham & Science se contredit donc lamentablement. D’un côté il affirme que les études mentionnées ne valent rien ou si peu parce qu’elles n’auraient pas fait l’objet d’une revue par les pairs avant publication et d’un autre, au seul motif que la publication de Wakefield a été retirée, il en oublie qu’elle avait pourtant passé avec succès une telle sélection! Un peu facile donc…

La publication en question a été retirée 12 après, en 2010. Drôle d’affaire que cela soit survenu aussi tardivement pour une prétendue fraude aussi criante! La vérité, c’est que la publication de cette étude avait enclenché une controverse féroce DES LE DEBUT, comme à chaque fois que la moindre étude est susceptible d’entacher l’image des vaccinations. Seulement voilà, Wakefield avait fait une conférence de presse précoce et il avait commis le crime de lèse majesté de s’adresser directement au public, une pratique très peu appréciée de l’establishment scientifico-commercial qui y voyait alors un danger supplémentaire.

Les conclusions de cette étude de Wakefield étaient qu’ils avaient « identifié des désordres gastro-intestinaux ainsi qu’une régression du développement chez des enfants préalablement normaux et que ces constatations étaient temporellement associées avec des facteurs environnementaux. » Les auteurs estimaient alors logiquement  qu’il fallait poursuivre les recherches. Si ces médecins ont objectivé des lésions au niveau des tissus intestinaux des enfants autistes et qu’ils ont retrouvé localement le virus vaccinal de la rougeole, il était licite qu’ils puissent envisager le virus vaccinal comme possible cause dans la genèse de tels dégâts. Il est facile de prétendre après coup que ce virus n’aurait pas été retrouvé ! Comment se fait-il alors que ces résultats aient été reproduits par d’autres équipes de chercheurs non contestés? Selon Wakefield, dans 5 autres pays très précisément.

Une étude récente, parue dans Plos One, a montré aussi des lésions des tissus intestinaux en lien avec des troubles du spectre autistique. Dans le journal Le Monde il y a quelques mois, on pouvait lire l’article « La flore intestinale joue avec notre mental. ». On pouvait notamment lire: « De récentes expériences chez la souris apportent un nouvel éclairage sur l’implication du microbiote intestinal dans plusieurs pathologies humaines non digestives, dont certaines en lien avec le fonctionnement cérébral. ».

Etait-il donc si fou d’envisager que les vaccins puissent interférer avec le métabolisme et l’intégrité de l’intestin au point de pouvoir avoir une influence neurologique? Ne dit-on pas que l’intestin est « le deuxième cerveau »?

Mais lorsqu’on prend connaissance des méthodes de dissimulation délibérées que les membres du Comité britannique des vaccinations (JCVI) ont mises en œuvre pour masquer à tout prix au public les risques neurologiques avérés de plusieurs vaccins du programme national, comment s’étonner de la véritable fatwa scientifique dont a été objet Wakefield??

Si on ne trouve rien, c’est surtout parce qu’on ne veut rien trouver, dit à très juste titre le Dr Classen. C’est ici encore plus vrai que jamais. Le Dr Bernadine Healy, ancienne directrice du prestigieux National Institute of Health (NIH) ne disait pas autre chose sur la chaîne télé CBS en 2008. Elle y déclarait en effet:

« Je pense qu’il est temps aujourd’hui d’investiguer s’il existe ou non des groupes plus susceptibles de développer des effets secondaires  suite à des associations de vaccins, à un vaccin particulier ou à un composant donné, que cela s’explique par une prédisposition génétique ou métabolique ou autre. On a des outils aujourd’hui qu’on n’avait pas il y a dix ans, on peut identifier aujourd’hui certains groupes d’enfants qui sont beaucoup plus à risques d’effets secondaires de vaccins, pour lesquels on pourrait modifier le schéma vaccinal ou ne pas donner certains vaccins. […] On ne peut pas dire qu’il n’y a pas d’évidence causale entre l’autisme et les vaccins par exemple. Les officiels de santé ont trop vite écarté les hypothèses de causalité sans études scientifiques suffisantes pour examiner cette possibilité. Je pense qu’ils ont trop vite écarté des études de sécurité chez l’animal, chez les primates et même chez la souris qui démontrent certains soucis de sécurité pour certains vaccins. Un rapport de l’Institute of Médecine (IOM) datant de 2004 a dit « Ne creusez pas l’hypothèse d’une prédisposition/susceptibilité accrue aux effets secondaires des vaccins. » La raison pour laquelle ils ont conclu ainsi c’est qu’ils craignaient que s’ils identifiaient ces groupes, qu’ils soient vastes ou non, cela effraierait le public et le détournerait des vaccins. […] C’est l’obligation de ceux qui délivrent ces vaccins de le faire d’une manière responsable. Je crois que vous ne pouvez pas tourner le dos à la démarche scientifique parce que vous avez tout simplement peur de ce que vous allez trouver.[…] Les études de population ne testent pas la  causalité, elles évaluent les associations. Pour évaluer et investiguer la causalité, vous devez faire des recherches de laboratoire sur animaux. […] Le fait qu’il y ait des inquiétudes et que vous ne voulez pas savoir qui fait partie des groupes à risque accru d’effets secondaires vaccinaux est très décevant à mes yeux. Si vous savez qu’il existe des groupes à risques, vous pouvez sauver ces enfants.[…] Si vous regardez les données scientifiques, les recherches qui ont été faites sur les animaux, si vous regardez aussi plusieurs cas individuels et si vous regardez les preuves qu’il n’y aurait pas de lien, ce que j’ai envie de répondre à cela, c’est que « l’on n’a pas répondu à la question (du lien possible entre autisme et vaccination).« 

Non seulement les officiels ne veulent pas savoir mais en plus, ils nient même à priori que des mécanismes différents puissent aboutir au même genre de maladies. Ainsi, les officiels vont jouer du fait que plusieurs pistes vaccinales puissent aboutir au même genre de troubles. Par exemple, si le mercure est impliqué dans des problèmes neurologiques, ils ne comprennent pas que l’aluminium puisse par exemple l’être aussi. De même qu’un vaccin comme le ROR. Normal, puisque tous ces éléments mettent à mal leur traditionnel baratin sur les effets secondaires rarissimes de vaccins, qui se limitent la plupart du temps à une simple douleur ou rougeur au point d’injection.

Wakefield avait aussi donné son avis sur les cocktails de vaccins, il avait dit que selon lui, il était plus sûr et plus rationnel pour évaluer les risques de ne recourir qu’à des monovaccins plutôt qu’à des combinaisons (comme le ROR- 3 valences: rougeole, oreillons, rubéole). Cela aussi, c’était tout bonnement imbuvable et impardonnable aux yeux des autorités qui ne cessent de promouvoir les combinaisons vaccinales les plus sophistiquées qui sont une aubaine autant pour elles que pour les fabricants dont la responsabilité ne peut ainsi jamais médiatiquement être mise en cause car on peut ainsi toujours prétendre en dernier recours « qu’on ne sait pas quelle est la ou les valences en cause » et qu’ainsi, il ne faut surtout pas jeter le bébé (vaccinal) avec l’eau du bain (toutes leurs victimes)!!

Brian Deer, le journaliste du Sunday Times qui a fait de Wakefield sa bête noire, a déclaré que Wakefield avait introduit un brevet en faveur d’un vaccin monovalent contre la rougeole. Il a exhibé ce fait comme si ça « expliquait » que les résultats obtenus par Wakefield et son équipe ne soient pas conformes aux intérêts des firmes pharmaceutiques et au souhait des autorités qui ont aveuglément recommandé leur usage généralisé. Ce dépôt de brevet est postérieur à la publication des travaux de Wakefield. Et c’est plutôt le signe que Wakefield n’était pas anti-vaccins du tout, mais qu’il avait à cœur de proposer des solutions sur base des premiers indices qu’il avait obtenu. Wakefield déclarait d’ailleurs en 2002 dans le Sunday Herald à ce sujet: « Ce qui a précipité la crise, c’est le retrait des monovaccins, le retrait de la possibilité de choisir, et c’est cela qui a causé cette fureur- parce que les médecins, les « gourous », traitent le public comme une masse de gens simples d’esprit, incapables de prendre une décision informée pour eux-mêmes. »

Que l’hôpital où travaillait Wakefield ait reçu des subsides pour les recherches menées dans le cadre d’une expertise judiciaire, constitue pour l’establishment un effroyable conflit d’intérêts. Mais quand il s’agit du Dr Paul Offit, le célèbre pédiatre américain membre du Comité des Vaccinations (qui s’est fait connaître en affirmant qu’on pouvait sans problème donner 10 000 vaccins le même jour à un enfant) et qui a pourtant son nom sur le brevet d’un vaccin contre le rotavirus qui l’a rendu riche et qui est recommandé à tous les enfants, là ça ne pose plus aucun problème éthique et la question des conflits d’intérêts ne se pose bien sûr jamais aux yeux de ses nombreux disciples!! Quel étrange deux, poids deux mesures donc…

D’autant que, dans l’affaire Wakefield, il y a aussi un enchaînement remarquable de conflits d’intérêts trop peu médiatisés de type « portes tournantes »:

« On peut s’étonner de l’opiniâtreté du journal à déconsidérer le Dr Wakefield si l’on ignore que Murdoch et son fils James ont des liens très étroits avec les laboratoires pharmaceutiques et que James Murdoch fait partie de la direction du groupe GlaxoSmithKline, l’un des fabricants du ROR (cf. Financial Times, 2 février 2009).» écrit Sylvie Simon sur son site.

Or c’est précisément le magnat britannique Murdoch qui détient le Sunday Times pour lequel Deer a écrit.

Autre exemple de conflits d’intérêts préoccupants dans cette affaire et aussi détaillés par Sylvie Simon sur son site:

« En juillet 2003, le propriétaire du Lancet, Crispin Davis devient le directeur non-exécutif de GlaxoSmithKline, fabricant du ROR. En février 2004, sous de fallacieuses raisons, le Lancet rejette la publication d’Andrew Wakefield, qui est traîné dans la boue par la BBC et le Sunday Times. Le 27 février 2004, son frère, le juge Davis retire l’assistance judiciaire des plaignants. En juillet 2004, Crispin Davis, frère du juge, est anobli par le gouvernement de Tony Blair.

Or, c’est Sir Crispin Davis qui a engagé James Murdoch pour rejoindre le groupe GlaxoSmithKline. En outre, le Lancet fait partie du groupe Elsevier, avec lequel James Murdoch a des rapports très étroits. Ces agissements ressemblent davantage à des manigances mafieuses qu’à des pratiques scientifiques ou médicales. »

Thimérosal (Ethylmercure)/Méthylmercure

Pas une seule étude n’atteste que le thimérosal soit inoffensif, même à soi-disant « faible dose ». Il faut savoir qu’une étude de Eli Lilly (= fabricant du thiomersal lui-même) a montré que le thiomersal était toxique pour les cellules à la concentration de 1 part par million soit 100 fois moins que les taux qui ont été utilisés pendant des décennies dans les vaccins, y compris les vaccins pédiatriques destinés à des enfants dont le système nerveux en développement est par définition encore plus fragile que celui des adultes.

Il faut savoir que le vaccin Infanrix Hexa contient encore du thiomersal, comme rappelé dans le livre de Virginie Belle « Faut-il faire vacciner son enfant ? ».

L’auteur de Sham & Science prétend que la dénonciation par Robert Kennedy Jr de la réunion secrète de Simpsonwood (en 2000 aux USA) destinée à camoufler les risques du mercure vaccinal au public, serait une « vraie fausse révélation ». A notre connaissance toutefois, 100% des gens ne sont pas encore au courant de la tenue et des motivations d’une telle réunion destinée une nouvelle fois à MINIMISER OU A TAIRE LES RISQUES aux premiers intéressés, c’est-à-dire aux patients !

Nous comprenons qu’il soit mal à l’aise et ne souhaite pas s’attarder sur ce genre de réunion et sur ses objectifs peu reluisants. Mais ce n’est pas nous somme toute qui avons décidé de ce genre de réunion à huit clos entre les pharmas et les autorités et dans le dos du public. Mais il faut dire qu’ils discutaient à cette réunion des très encombrants résultats de l’épidémiologiste Tom Verstraete, du Centre de Contrôle des Maladies (CDC) qui n’avait pas pu ne pas remarquer l’inquiétante association entre la hausse des troubles neurologiques comme l’autisme ou encore l’hyperactivité et la présence de mercure dans les vaccins de plus en plus nombreux à être administrés aux enfants ! Entre-temps toutefois, que le public se « rassure », ces résultats pourtant bien réels de Tom Verstraete ont été purement et simplement enterrés lorsque cette personne est passée chez GSK, par le système bien connu et évoqué ci-dessus des portes tournantes.

Pour Sham & Science, l’argument affligeant des « minoritaires » vaudrait son pesant d’or. Pour lui, un minoritaire a à priori tort et si on ose dire que les minoritaires pourraient bien avoir raison, c’est qu’on serait forcément dans l’idée d’ « un complot ». Avec ce genre de conceptions, tous les pionniers dans tous les domaines auraient sans doute fini aux oubliettes avant même d’avoir commencé, parce qu’ils avaient comme seul tort de soulever de leur temps plusieurs oppositions et finalement d’avoir eu « raison trop tôt ».

Donc on l’aura compris, pour Sham, pas de problème avec le mercure vaccinal car « les autorités ont affirmé que ». Il est très intéressant cependant de voir qu’il ne retient QUE la seule conclusion des rapports officiels, sans même se soucier des énormes contradictions entre les aveux de ce rapport canadien et ses conclusions ni bien sûr jamais s’interroger sur les raisons qui peuvent expliquer de tes grands écarts !

Et les raisons qui expliquent de telles contradictions sont évidemment les intérêts commerciaux en jeu, une fois encore ! Cela vaut pour plusieurs autres études aux résultats gênants. Nous avons à ce propos publié récemment un article sur notre site qui explique et démontre les ficelles utilisées quand une conclusion inéluctable dérange des intérêts commerciaux. Ainsi, il ne faisait pas bon reconnaître noir sur blanc dans la conclusion d’une récente étude que les enfants moins vaccinés ou vaccinés plus tardivement recouraient moins aux consultations médicales et aux visites en urgences. Cette étude, sans doute conçue dans le but d’essayer de montrer que les enfants qui ne suivent pas le schéma vaccinal à la lettre ont plus de risques de santé, a en fait simplement démontré le contraire. Mais il était beaucoup trop politiquement incorrect d’admettre l’effet contre-productif des vaccins sur le nombre de consultations médicales et de recours aux urgences. C’est ainsi que les auteurs ont fait preuve d’imagination pour conclure de façon plus douce vis-à-vis de l’image des vaccins en écrivant que : « La sous-vaccination semble être une tendance à la hausse. Les enfants sous-vaccinés semblent ne pas avoir les mêmes recours aux soins de santé que les enfants qui ont suivi le schéma official de vaccination. »

Pour l’étude KIGGS, c’est pareil, alors que le détail des comparaisons entre enfants vaccinés et enfants non vaccinés parle de lui-même, les officiels ont réussi à conclure que les vaccinés ne présentaient par exemple pas plus d’asthme et d’allergies que les non vaccinés. Parmi les auteurs de cette étude KIGGS, se trouvent des gens en conflits d’intérêts avec des fabricants de vaccins comme rappelé par Heidi Stevenson de Gaia Health sur base de la déclaration d’intérêts sur cette étude.

Faut-il alors s’étonner qu’un rapport d’une Agence officielle mouillée jusqu’au cou pour avoir recommandé durant des années des vaccins au mercure aux gens, vienne affirmer qu’il n’y a pas le moindre risque ?

Les plus crédules s’en étonneront, oui. Comme ils pourraient alors aussi s’étonner du fait que l’Agence canadienne affirme que pour les femmes enceintes non plus, le mercure vaccinal ne pose pas le moindre problème alors que le fabricant du thiomersal lui-même (Eli Lilly) lui, affirme au contraire dans sa « Safety Data Sheet » sur cette substance que l’exposition chronique au mercure est associée à des retards mentaux modérés à sévères pour le fœtus !! En outre, le thiomersal est aussi mutagène chez les mammifères, ce qui signifie en d’autres mots que cette substance à la capacité d’engendrer des mutations de notre ADN.

Sham va dire « exposition chronique » et pas aigue. Qu’est-ce qu’on en sait vraiment ? Où sont les preuves ? Nous avons plutôt affaire à des preuves des dangers de cette substance. Pourquoi alors ne pas appliquer le principe de précaution, surtout chez les femmes enceintes chez lesquelles on était jadis si prudent avant de donner le moindre médicament ??

Cet universitaire qui tient ce blog fait un glissement permanent entre « absence de preuve » (en tout cas ce que lui considère comme une absence de preuve d’un risque) et « preuve de l’absence ». Un glissement préoccupant dans le chef d’un universitaire, surtout quand celui-ci se permet de recommander à tous ceux qui le lisent et sans rien connaître de leur dossier médical personnel, de se faire vacciner !!

L’évolution du thiomersal dans le corps, de même que le phénomène de bioaccumulation, sont NON ETUDIES, tout simplement parce que des analyses pharmacocinétiques ne sont pas requises pour les vaccins, contrairement aux autres médicaments. Pour l’aluminium également, qu’on a utilisé totalement empiriquement depuis 1926 dans les vaccins, on a par exemple affirmé qu’il était sans danger et qu’il s’éliminait très vite par les reins, avant d’avoir la confirmation qu’une partie de cet aluminium migrait au cerveau sans jamais plus pouvoir en ressortir. Des tas de malades de myofasciite à macrophages, et sans doute peut-être aussi d’autres maladies neurologiques comme Alzheimer etc., auraient ainsi pu être évités si les officiels n’avaient pas éludé la méthodologie scientifique, de peur de ce qu’ils risquaient de trouver, comme le déplorait ci-dessus le Dr Healy qui trouve une telle façon de procéder profondément décevante… et on la comprend !!

« La dose fait le poison », leitmotiv préféré des pollueurs de tout poil

Que des produits toxiques puissent l’être encore plus en étant donnés en plus grande quantité ne sera un scoop pour personne. Il n’empêche que l’affirmation systématique des autorités que « la dose fait le poison » de façon à nier tout risque toxicologique est à la fois grotesque et périmée. Elle sert donc surtout à maintenir le statu quo, pour le plus grand bonheur des industriels. On érige ainsi en généralité une théorie pour éviter d’avoir à l’éprouver et ainsi risquer de l’infirmer, substance par substance.

On a évoqué le cas des perturbateurs endocriniens, où là, ils pourraient même avoir des effets encore plus dévastateurs à doses plus faibles. Des substances comme l’aluminium ou le mercure n’ont pas officiellement le statut de « perturbateurs endocriniens » mais dans le fond, qu’est-ce qu’on en sait vraiment puisque les effets divers et complexes des vaccins et de leurs divers composants ne sont jamais étudiés précisément à l’échelle des diverses cellules des différents systèmes du corps qui reçoit ces vaccins ?

Sham n’a par exemple par répondu aux propos particulièrement dérangeants du Dr Nathalie Garçon de GSK qui a avoué qu’ils n’avaient aucune idée de la biodistribution de l’aluminium ni de son fonctionnement et ainsi selon, elle, si l’aluminium devait arriver aujourd’hui, il ne serait probablement pas autorisé (sic !).

Pas plus qu’il n’a répondu aux autres propos d’un autre médecin d’une grosse multinationale de vaccins (Dr Saluzzo de Sanofi) qui avouait qu’ils ne savent tout simplement pas comment marchent les vaccins.

Nous comprenons que cet auteur est évidemment très mal pris : il n’est pas facile de se prétendre ami de l’éthique et de la Science, de recommander aveuglément les vaccins à ses lecteurs, tout en devant essayer de justifier dans le même temps les aveux accablants de médecins issus des ces grandes multinationales de vaccins et qui font clairement comprendre leur caractère franchement expérimental.

Cet auteur recommandant donc des produits expérimentaux à ses visiteurs, et ce au nom d’une soi-disant « Bonne Science », il doit alors au moins pouvoir l’assumer, ce qui implique alors :

1°) D’expliciter et redéfinir sa notion d’éthique (très personnelle) et aussi,

2°) De démontrer pourquoi ces médecins issus de ces firmes admettent qu’ils ne savent rien du fonctionnement des vaccins et de leurs composants SI VRAIMENT LA SCIENCE qui sous-tendrait la vaccinologie et dont Sham était si solide que ça ?!

Des graphes limpides, qui n’ont rien de magique

Sham reprend le graphe que nous avions évoqué en commentaire sur la hausse de la mortalité liée à la grippe chez les enfants de moins de 5 ans dès 2003, soit l’année qui a suivi la nouvelle recommandation forte (ou quasi obligation car le système américain est différent du nôtre : « mandate » signifie en général obligation et il y a un système d’exemptions philosophiques ou religieuses voire médicales à exploiter pour ceux qui refusent ces vaccins pour toutes sortes de raisons) de vacciner tous les enfants de moins de 5 ans annuellement contre la grippe. Il est vrai que dans ce pays, tout le monde fait désormais partie des recommandations pour l’inutile vaccination annuelle contre la grippe et ce, en dépit de plusieurs méta-analyses indépendantes (1,2) qui n’ont retrouvé aucune utilité à pareille recommandation. C’est donc vraiment à se demander qui fabrique la peur si ce n’est les autorités qui considèrent en réalité les pharmas comme « leurs partenaires naturels » et qui ont donc besoin de FAIRE INUTILEMENT PEUR aux gens pour arriver à les faire adhérer à une vaccination contre une maladie qui ne les effrayait pas.

Entre 1980 et nos jours, la couverture vaccinale contre la grippe est passée de 15% à 65% soit une hausse de 50%. Pourtant, cette hausse de la couverture vaccinale ne s’est accompagnée d’aucune réduction de la mortalité liée à la grippe. (au contraire).

Sham montre deux graphes sans même se rendre compte que le premier, comme le second d’ailleurs, plaident totalement contre ses thèses !!!!

En effet, sur ce second graphe, on remarque très nettement que la mortalité liée à la grippe chez les enfants de – de 5 ans est proportionnellement plus haute dans les 5 années APRES l’instauration de cette recommandation vaccinale forte qu’avant, ce qui ne peut que démontrer 2 choses :

1°) L’inefficacité d’une telle vaccination dans le public-cible.

2°) Sa dangerosité car c’est là un indice qui est en tout cas cohérent avec le caractère immunosuppresseur connu des vaccins, autrement dit, leur capacité à affaiblir les défenses du corps ainsi leurrées, le rendant moins capable de juguler d’autres affections opportunistes (grippales ou pseudogrippales) qui peuvent dans le pire des cas aboutir au décès. A ce niveau, que les gens vaccinés contre la grippe saisonnière en 2009 (vaccin qui incluait pourtant la souche H1N1) avaient 2 fois plus de risque de contracter la grippe H1N1, ne doit donc surprendre personne, leur système immunitaire ayant tout simplement été leurré et donc affaibli par la vaccination antigrippale récente. CQFD !

A noter aussi que la collaboration Cochrane souligne que la vaccination antigrippale des enfants de – de 2 ans n’est pas plus efficace qu’un placebo et s’étonne, alors que la recommandation annuelle de tous les nourrissons de plus de 6 mois est pourtant en vigueur aux USA et au Canada, de n’avoir trouvé qu’une seule étude sur le vaccin inactivé chez les enfants moins de 2 ans ! Cet organisme estime urgent que des études à large échelle soient menées pour évaluer les différents vaccins chez les enfants compte tenu de la généralisation de leur usage (autre preuve supplémentaire donc, s’il en était encore besoin que les vaccinologues recommandent sans savoir, ils étendent la vaccination à tous avant même de l’avoir réellement et correctement évaluée… quel non sens !!)

Quant au graphe final de l’auteur sur la consommation de produits bio et l’autisme, il n’est guère difficile ici de distinguer une corrélation et non une causalité, propre au fait que la diffusion d’informations sur les risques toxiques divers (et notamment ceux des pesticides) a pu logiquement interpeller les parents d’enfants atteints, soucieux d’essayer de minimiser la charge toxique de leur progéniture. Nous renvoyons Sham aux propos du Dr Bernadine Healy sur l’état de la question autisme-vaccins et la qualité de son évaluation jusqu’à présent. Ca lui évitera des graphes inutiles qui ne parviennent nullement à démontrer la rigueur de son « raisonnement ».

Et le meilleur pour la fin??????

Voici sans rire une des réponses que l’auteur de ce blog a faites à un visiteur de son site:

« @Patrizia Le livre « La piqure de trop », je ne le connais pas. Aussi experts que pourraient l’être les auteurs, cela me semble toujours étrange de mettre en balance un livre avec les évaluations faites par les agences sanitaires de différents pays, qui toutes vont dans le même sens, à commencer par la HAS et l’OMS. A moins que le livre n’analyse des données nouvelles, dans ce cas, il faut prévenir les instances sanitaires… »

Réponse d’IC, faite sur son blog:

Mdr, quelle naïveté votre réflexion… « Maman OMS et papa ANSM ont dit que » … et toutes les agences de tous les pays disent la même chose, il faudrait les informer… il est grand temps de revenir sur terre!!

Avez-vous seulement conscience que les agences comme l’OMS sont loin d’être indépendantes des pharmas? Que la corruption qui y règne a été dénoncée à plusieurs reprises dans de grandes revues médicales? Que les agences des médicaments, y compris l’EMEA sont financées à 80% par des redevances des pharmas? Que les avis d’AMM découlent de données exclusivement fournies par les pharmas, de volumineux dossiers soumis en vue d’obtenir l’AMM dans lesquels il y a volontairement beaucoup de verbiage pour noyer les rares infos pertinentes, infos qui ne sont la plupart du temps pas vues ni trouvées par les fonctionnaires chargés de la soi-disant évaluation pré-commercialisation? Tous vos propos démontrent que vous restez et vous vous complaisez visiblement dans une théorie du « tout va bien dans le meilleur des mondes ».

Il se trouve que le Dr Spinosa, chirurgien gynécologue qui a creusé le sujet à fond et co-auteur du livre la Piqûre de trop, a déniché dans les données du fabricant au sujet du Gardasil qu’il ne permet TOUT AU PLUS qu’une réduction de 16,9% des dysplasies (donc des lésions PRE-cancéreuses). C’est tout… loin des 70% donc annoncés de façon trompeuse par le fabricant.

On a aussi peu entendu de la part des « bonnes autorités soi-disant à notre service » que la vaccination des jeunes filles déjà infectées sans le savoir par l’un ou l’autre sérotype à haut risque couvert par le vaccin au moment de leur vaccination augmente de 44,6% le risque de pathologie du col après vaccination (rapport de la FDA pour votre gouverne).

Ces faits n’empêchent pourtant pas des instances comme l’OMS de promouvoir l’usage massif de vaccins comme le Gardasil dans des pays comme le Rwanda, Madagascar etc. où le taux de cancer du col est haut certes, mais où le dépistage est quasi inexistant et en tout cas pas systématique, et où les jeunes filles ont souvent des relations sexuelles précoces. Combien de jeunes filles pauvres seront donc déjà infectées sans le savoir au moment de leur vaccination et risquent alors de voir leur risqué majoré? Vous avez déjà pensé à ça? Non, ça ne semble pas vous avoir effleuré, les autorités veillent sans doute. Même quand ces infos figurent dans leurs dossiers officiels mais qu’ils se gardent de répandre des conseils de vigilance. Difficile dans ces conditions de ne pas parler de scandale de santé publique, sans aucune commune mesure, en termes de nombre de victimes possibles à l’échelle mondiale, avec des affaires comme Mediator! Pffff

 

Vaccination et santé publique: L’industrie pharmaceutique joue avec nos santés… pour quelques milliards de dollars de plus…

Posted in actualité, économie, santé, santé et vaccins, sciences, sciences et technologies with tags , , , on 26 février 2013 by Résistance 71

Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur:  “On ne sait pas comment marchent les vaccins”

 

Initiative Citoyenne

 

Janvier 2013

 

url de l’article original:

http://www.initiativecitoyenne.be/article-dr-saluzzo-de-sanofi-pasteur-on-ne-sait-pas-comment-marchent-les-vaccins-114130498.html

 

Pour être un scoop, ça en est un (du moins pour ceux qui ne savaient encore rien sur les vaccins). Le Dr Jean-François Saluzzo, Directeur de Production des vaccins viraux et chef de projet Recherche & Développement pour les vaccins anti-SIDA, anti-dengue et contre le SARS chez Sanofi Pasteur mais également consultant pour l’OMS, a notamment déclaré dans une vidéo sur la fabrication et le contrôle des vaccins qu’ils ne savaient pas comment marchent les vaccins. Ils ne savent pas comment ça fonctionne mais il faut cependant qu’on continue absolument à vacciner sans savoir, dogme et idéologie obligent!!

Et cette vidéo, qui fait partie des cours de vaccinologie aux médecins (sic!), comporte bien sûr encore plusieurs autres belles perles que nous tenions à vous faire partager ci-dessous, histoire de ne franchement plus se faire vacciner idiot, comme on dit:

CIF Vaccinologie 2011- Fabrication et contrôle des vaccins

4’20’’

« Quels sont les éléments essentiels du vaccin ? Il y a d’une part les bactéries qui vont servir à produire les vaccins ; il y a aussi les virus, et un point important pour tout ce qui est en particulier les virus, ce sont des cellules eucaryotes, c’est-à-dire que les vaccins sont produits sur des cellules.

Tout ceci dans le cas des vaccins viraux. Il faut bien comprendre qu’il s’agit du vivant et tout ce qui va servir à cultiver un virus peut-être source de danger.

Quand vous utilisez par exemple des sérums de veau, et bien vous devez être sûrs que le sérum de veau n’apporte pas un virus de la BSE dans les vaccins (BSE= encéphalopathie spongiforme bovine ou maladie de la vache folle), car c’est du vivant ; vous allez l’incorporer dans votre vaccin et vous risquez de l’avoir au final…

Au cours de toute cette activité de production vivante, à tout moment il y a un risque d’introduction d’agent contaminant dans le vaccin par l’intermédiaire des techniciens…

Le risque potentiel qu’il y ait un problème au niveau d’un vaccin, ce n’est pas les effets secondaires ; ça, on connaît les effets secondaires, mais c’est l’accident bête qui serait l’introduction d’un virus à l’intérieur du vaccin final. – Nous avons eu dans les années ’60 un drame qui s’est produit, c’est-à-dire que des cellules de reins de singes étaient contaminées par un virus qui s’appelait le SV40 qui est un virus tumorigène, et on a découvert que ce virus contaminait les vaccins, et notamment les virus utilisés chez les enfants. 60 millions d’Américains ont reçu ce vaccin tumorigène. Par chance, il s’est avéré qu’il n’était pas adapté à l’homme, mais ça a été une grande crainte…ça s’est reproduit, ça se reproduira ! »

7’18’’

« Dans le cas des virus aviaires, il y a eu le problème avec la fièvre jaune qui était contaminé avec un virus de leucose aviaire ; ça a été également un drame. Par chance encore une fois, 400 millions de personnes ont reçu ce virus de la leucose aviaire vivant qui s’est multiplié chez l’homme, mais par chance, il n’était pas pathogène. »

[…] « les cellules hétéroploïdes ont constitué une étape essentielle, mais posent encore énormément de questions. C’est une réflexion qu’il faut avoir. Par exemple la cellule MDCK pourrait être utilisée pour la production du vaccin contre la grippe ; c’est un excellent support de production du virus contre la grippe, mais elle est tumorigène et le grand débat philosophique qu’il y a : peut-on utiliser une cellule tumorigène pour faire un vaccin destiné à des enfants ?  13.20 – C’est vous dire qu’au niveau des autorités c’est une énorme discussion et pour les industries aussi. Certains disent que les quantités d’informations génétiques, c’est-à-dire d’ADN sont extrêmement faibles et qu’il n’y a aucun risque ; certains disent « oui, mais attention », on vaccine des enfants de 1 an à 5 ans et… dans 50 ans, qu’est-ce qui va se passer ? Donc, avant d’accepter une cellule comme ça, le débat est très ouvert. C’est actuellement ce qui se passe aux Etats-Unis avec le vaccin de la grippe produit sur MDCK par la société Novartis. Le débat, je peux vous dire, au niveau de la FDA reste très élevé parce que c’est moralement un problème très important. Que vous vacciniez une personne de 75 ans, le risque est très faible, mais quand vous vaccinez des enfants, vous vous posez aussi des questions sur le long terme. »

(En riant) : « Je ne veux pas dire qu’avec le vaccin il faut éliminer les personnes de plus de 75 ans. »

« En 1955, le premier vaccin a été mis au point par Jonas Salk, premier vaccin produit sur des cellules de reins de singe. Malheureusement il y a eu un drame qui s’est produit quelque temps après : un vaccin produit par les laboratoires Cutter était mal inactivé et il y a eu plus de 270 enfants qui ont contracté la polio et plusieurs sont décédés. »

(En ce qui concerne les vaccins mal inactivés) :

« Pour le vaccin contre la rage ; c’est arrivé au Brésil où il y a eu plusieurs dizaines de personnes qui sont mortes de rage. »

(Concernant la fièvre jaune) 42’19’’

« Pendant la guerre, l’armée américaine avait décidé de vacciner tous ses soldats qui partaient, ainsi que les anglais. Donc, on a vacciné et malheureusement, il y a eu une dramatique épidémie d’hépatite B. Il y a eu 28.000 cas d’hépatite B suite à la vaccination contre la fièvre jaune. Parmi les vaccinés, il y en a eu un qui était très fameux : Churchill qui a été vacciné avec un vaccin contre la fièvre jaune contaminé par l’hépatite B. »

49’20’’

« Il n’y a pas de solution miracle pour produire un vaccin ; on ne sait pas vraiment comment. »

50’15’’

« Une des raisons essentielles de l’histoire des vaccins, c’est qu’on ne comprend pas comment marchent les vaccins. Tout simplement parce que quand un vaccin a été mis au point, plus personne ne s’intéresse au vaccin, si bien que de nos jours quand un nouveau virus apparaît, on ne sait pas comment les autres vaccins ont marché et est-ce qu’on peut s’inspirer d’autres vaccins ? Je pense que si on veut faire des progrès dans l’avenir dans le domaine de la vaccinologie et des vaccins nouveaux, c’est d’étudier d’abord la réponse immunitaire. »

51’

« …Jamais on n’a pu faire un vaccin avec une protection mucosale…tout simplement parce qu’on met toujours la charrue avant les bœufsOn ne connaît pas comment marchent les vaccins. »

=  =  =

Lien de la vidéo:

http://www.youtube.com/watch?v=dhk3-0CW8Bw

 

Labos pharmaceutiques: vaccins et mensonges

Posted in actualité, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial with tags , , , on 8 octobre 2010 by Résistance 71

Vaccins et mensonges

Vous aurez appris ces  derniers mois, entre autres en nous lisant, une somme considérable de vérités sur les vaccins.

Maintenant que vous savez, vous devenez responsables de tous vos amis, parents et relations que vous laisseriez dans l’ignorance. A l’entrée de l’automne, quand les médecins arment leurs seringues, il est bon d’avoir de solides arguments à leur opposer.

Il y a aujourd’hui deux sortes de médecins: ceux qui connaissent les vaccins et ne vaccinent pas, et ceux qui n’en connaissent rien, et qui continuent à piquer.

Il y a aussi quelques crapules qui savent tout des vaccins mais vaccinent quand même. Cependant la plupart des vaccinants sont juste ignorants. Et si vous discutez avec un vaccinant en sachant par coeur ce qui suit, vous verrez très vite, et avec effroi, l’étendue de cette ignorance.

Après cette introduction, voici votre cours du jour…Vous aurez une bonne note si vous copiez!

Doctorix Le Gaulois.

url de l’artiicle original: http://legauloisdechaine.blog.lemonde.fr/2010/10/08/vaccins-et-mensonges/

Les 10 plus gros mensonges sur la vaccination

Sylvie Simon est écrivain et journaliste. Elle a écrit de nombreux ouvrages et combat les idées reçues en explorant divers domaines de la science, et consacre la plus grande partie de son activité à militer contre la désinformation en matière de santé et d’écologie, sujets de brûlante actualité.

Elle a déjà publié plusieurs essais sur des scandales (sang contaminé, vaches folles, amiante, hormones de croissance, vaccins, etc…), générés par la corruption de certains milieux et d’experts dits scientifiques.

Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse…
puis l’histoire secrète où sont les véritables causes des évènements, l’histoire honteuse »

Erreur, approximations, mensonges délibérés, vérités partielles ou partiales, prédominance d’une seule pensée : peu de domaines aujourd’hui échappent à ces phénomènes »

Paradoxalement, la surinformation y contribue. Alors qu’on aurait pu espérer que la démultiplication de l’information s’accompagnerait d’une pluralité de points de vue, nous voyons au contraire proliférer cette pensée unique qu’il est de bon ton de dénoncer… sans pour autant qu’on lui propose de remède» (Olivier Clerc)

L’objectif de la collection n’est pas de remplacer une pensée unique par une autre : elle doit permettre au contraire d’aller jusqu’au bout de la réflexion sur un sujet où existent des informations divergentes, parfois même opposées.

Les ouvrages de la collection possèdent une bibliographie qui aidera à se documenter et à se forger par soi-même sa propreopinion.

Mensonges sur les vaccins « Il existe trois sortes de mensonges : les mensonges, les sacrés mensonges, et les statistiques » Mark Twain Les vaccins ne sont pas des médicaments et sont destinés à des êtres en bonne santé dans le but de prévenir une maladie hypothétique. Aussi, il serait normal que tout candidat aux vaccins reçoive une information honnête, précise et complète, sur les risques de la maladie dont il veut se protéger, mais aussi sur les risques qu’il court en se faisant vacciner. Or non seulement l’information, quand elle existe est tronquée et falsifiée, mais souvent elle est parfaitement mensongère.

Mais comme l’avait recommandé Joseph Goebbels, ministre de la propagande nazie, qui connaissait bien la question : « Répétez un mensonge mille fois, il restera un mensonge ; répétez dix mille fois, il deviendra une vérité » C’est exactement ce qui se passe dans ce domaine, où des mensonges dix mille fois répétés sont devenus des dogmes qui déclenchent des crises d’hystérie dès lors qu’on ose les remettre en cause.

L’histoire de la vaccination est jalonnée de falsifications, de dissimulations et de mensonges.
Sylvie Simon a opté pour les dix plus gros flagrants, chacun ayant engendré des dizaines de plus petits mensonges.

« Le mensonge est rarement issu par génération spontanée d’une volonté déterminée à l’avance par quelque Machiavel. C’est bien plus souvent un glissement lent et fatal vers une erreur perçue, mais inavouée, l’orgueil se mêlant ici à la cupidité » Thierry Fenoy (avocat au barreau de Châlons-sur-Saône).

MENSONGE N° 1Pasteur est un bienfaiteur de l’Humanité

« Tous nos problèmes actuels sont l’inévitable résultat de nos brillantes solutions d’hier » Henry Bergman

Bien que l’aventure de la vaccination ait commencé à la fin du XVIIIème siècle lorsque le médecin anglais Edward Jenner entreprit d’inoculer la vaccine, maladie spécifique des bovins, afin de protéger les hommes de la variole ou petite vérole, c’est Pasteur (1822-1895) qui reste le père de la vaccination et c’est avec lui qu’a débuté le long cortège de mensonges.

Cet homme brillant, intelligent et gros travailleur, était un expert en communication et se tenait au courant des travaux effectués par ses pairs. Sa tactique a toujours été la même : il savait reconnaître les bonnes idées mais commençait par les critiquer ouvertement, puis il se les appropriait sans vergogne en prétendant les avoir découvertes.

C’est ainsi qu’il est devenu un bienfaiteur de l’humanité et, surtout, un mythe intouchable.

Le dogme pasteurien est tellement ancré dans les esprits que rien n’a pu encore l’ébranler et les Français idolâtrent encore un imposteur.

D’une part, Pasteur a maquillé les résultats d’expérience qui ne lui étaient pas favorables, ensuite, il s’est approprié certains travaux d’autres chercheurs, dont Antoine Béchamp (1816-1908), l’un des plus grands savants du XIXème siècle, médecin biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et pharmaceutique à la faculté de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique à l’Université de Paris, puis doyen de la Faculté libre de Lille.

Béchamp a démontré la véracité des vues de Claude Bernard sur la valeur du terrain propre à chaque individu et fut le premier à comprendre la cause microbienne des pathologies infectieuses.

Cependant, son œuvre est à peu près inconnue de nos jours, parce qu’elle a été systématiquement discréditée et falsifiée aux profits des intérêts personnels de Pasteur.

Dès l’école, nous apprenons que Pasteur « a sauvé le petit joseph Meister, mordu à la main par un chien enragé ». À vrai dire, il n’existait aucune certitude que le chien fut enragé car on ne signala aucune autre morsure ; de plus, quand bien même il l’aurait été, le risque pour le jeune Meister était infime, car un animal réellement enragé – ce qui est extrêmement rare – ne transmet la maladie que dans 5 à 15 % des cas.

L’affaire de la rage est l’exemple même des mensonges de Pasteur qui ont été répétés et introduits par ses admirateurs dans la mémoire collective, au point d’être devenus des vérités pour le commun des mortels.

Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux et fut bien vite abandonné, et le jeune Meister a eu beaucoup de chance d’en réchapper.

L’histoire n’a retenu que le succès de ce vaccin, mais a oublié de dire qu’il avait multiplié les décès par la rage

.

Entre 1869 et 1872, Pasteur a énoncé trois postulats de base erronés qui servent encore aujourd’hui de fondement à la vaccination.
Le premier estimait que l’asepsie règne dans nos cellules : la cellule est propre, tous les microbes sont exogènes (c’est-à-dire qu’ils viennent de l’extérieur) et l’attaquent, et ces germes ont une existence indépendante des organismes vivants.

Le second est que chaque maladie correspond à un agent spécifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prémunir grâce à un vaccin.

Enfin, l’immunité s’obtient par la production d’anticorps en réaction à l’introduction d’antigènes contenus dans le vaccin et ces anticorps confèrent une protection.

Nous savons depuis longtemps que ces postulats sont faux, les découvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font mine d’ignorer ces travaux.

MENSONGE N° 2 Il faut éradiquer les microbes et les virus

« Il est étrange que la science qui jadis semblait inoffensive,
se soit transformée en un cauchemar qui fait trembler
tout le monde. » A . Einstein

Nous vivons en symbiose avec les microbes et si nous les considérons comme nos ennemis, nous entrons dans une logique de guerre qui met en péril notre système immunitaire.

Les bactéries maintiennent notre équilibre biologique et ne deviennent pathogènes que lors que notre système immunitaire est perturbé et ne remplit pas ses fonctions. Quant aux virus, ils se reproduisent uniquement à partir de leur matériel génétique et ne sont que des parasites des cellules.

Notre corps peut abriter de nombreux virus sans que nous ne soyons malades.

Il est donc essentiel de comprendre que les microbes et les virus ne sont pas des ennemis qu’il faut éradiquer à tout prix et que seul importe le terrain que nous devons préserver de ses véritables agresseurs.

A la naissance, le système immunitaire n’est pas encore complètement élaboré et, pendant les premiers mois, le nourrisson est protégé par les anticorps transmis par sa mère. Cette immunité héritée est remplacée par une immunité personnelle au fur et à mesure que l’enfant rencontre des germes, microbes ou virus, particulièrement grâce aux maladies infantiles.

C’est pour cette raison que les vaccinations apparaissent comme des éléments perturbateurs incontrôlables.

Le Pr J. Tissot, professeur de physiologie générale au Muséum d’histoire naturelle, nous mettait déjà en garde bien avant l’overdose vaccinale actuelle : « L’immunité par vaccination ne s’acquiert qu’en conférant à l’individu la phase chronique de la maladie qu’on veut précisément éviter, phase chronique qui comporte, dans un avenir proche ou très éloigné, de redoutables complications ». Pr J. Tissot (Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les éloignent).

De toute manière, les vaccinations ne procurent pas la même immunité que les maladies et les taux d’anticorps évalués après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux qui sont évalués après les maladies.

De plus, l’immunité conférée par la maladie est définitive, ce qui n’est pas le cas pour la vaccination, dont la protection, si protection il y a, est limitée dans le temps, ce qui entraîne un retard dans la survenue des maladies, lesquelles sont beaucoup plus graves chez la population plus âgée, avec une mortalité multipliée par dix.

MENSONGES N° 3

: les épidémies ont disparu grâce aux vaccins

« L’opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition ».
Dr Albert Schweitzer

Nombreux sont ceux qui estiment que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations et qui refusent de mettre en doute leur efficacité. Pourtant, certaines épidémies qui ont ravagé nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins font mine d’ignorer.

Mais lorsqu’on montre les courbes de décroissance des maladies, elles débutent au moment des campagnes de vaccination et non des années ou des siècles plus tôt, ce qui nous permettrait de constater que la diminution de ces maladies a commencé bien avant l’introduction du vaccin.

D’ailleurs, la plupart des médecins l’ignorent, et les partisans de la vaccination s’appuient sur ces statistiques, pour la plupart tronquées et donc inexactes, pour « prouver » l’efficacité des vaccins, quand ils ne se bornent pas à la seule affirmation péremptoire que n’étaye aucune sorte de démonstration.

Ils ne se demandent jamais pourquoi ces épidémies ne continuent pas de sévir dans les pays qui n’ont pas pratiqué les vaccinations ou qui les ont abandonnées, tout comme ils semblent ignorer que l’épidémiologie et la presse scientifique internationale attestent que des épidémies se déclarent encore dans les pays où la couverture vaccinale est presque totale.

Les immunologistes s’interrogent sur les poussées épidémiques qui surviennent dans les populations vaccinées contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtérie et la coqueluche.

Ce constat est évidemment embarrassant pour eux car, à l’évidence, il s’agit d’une faillite de la vaccination.

Dans Médecine praticienne (N°467), le Pr Lépine constatait à son tour : « Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations, on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination »

MENSONGE N° 4

: Vacciner un enfant c’est le protéger

« S’il n’y avait que les vrais malades à soigner, la médecine serait en situation économiquement difficile. Il faut donc convaincre l’ensemble de la population qu’elle est potentiellement malade et vendre des médicaments à ceux qui n’en ont pas besoin » Pr Didier SICARD chef du service interne à l’hôpital Cochin, président du Comité national consultatif d’éthique

Un enfant de parents en bonne santé naît avec un potentiel remarquable et développe progressivement son immunité. Il est parfaitement capable d’affronter l’épreuve des maladies infantiles qu’il ne faut pas redouter autant qu’on le prétend. Les parents anxieux pensent que les vaccinations sont une panacée et qu’elles éviteront les maladies de leurs enfants.

Les vaccinations affaiblissent considérablement le terrain. Les maladies aiguës, incapables de s’exprimer, peuvent se développer de façon larvée, insidieuse, faisant le lit de maladies chroniques souvent graves et inguérissables.

Il ne faut donc pas redouter les maladies infantiles, rester serein, et aider l’enfant à surmonter cette légère épreuve.

Comme le disait déjà Hippocrate : « Le corps fait une maladie pour se guérir »

Il est évident qu’il faut surveiller l’évolution des maladies infantiles afin de ne pas commettre d’imprudences qui pourraient entraîner des complications chez les enfants fragiles ou prédisposés à certaines pathologies. Paradoxalement, ce sont ces enfants qui manifestent les effets secondaires les plus graves après la vaccination.

Les vaccins empêchent parfois l’éclosion des maladies pour lesquelles ils sont prévus, mais ils facilitent l’émergence d’autres maladies, car le terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents.

Les vaccins de routine effectués dans l’enfance grèvent le patrimoine héréditaire et l’empêchent d’apporter une protection efficace à l’individu pendant toute sa vie.

MENSONGE N° 5: 

Les accidents vaccinaux sont exceptionnels

« Le seul vaccin sûr est un vaccin qui n’est jamais utilisé » Dr James A. Shannon (membre du national Institute of health)

Ce mensonge est monumental. Aucun vaccin n’est jamais sûr à 100%, personne n’oserait prétendre le contraire. Cependant, en France, chaque fois que le Ministère de la santé est attaqué dans le cadre des accidents vaccinaux, il oppose l’absence de lien direct entre la vaccination et l’accident, parlant de simples « coïncidences ».

Comme il est très difficile de démontrer un lien de cause à effet, surtout quand la mauvaise foi s’en mêle, cette complexité aboutit à faire porter aux victimes tout le fardeau de la preuve.

Ainsi les autorités se refusent-elles à enregistrer comme « réactions vaccinales » les accidents malheureux qu’on présume être le fruit du hasard. Faute de preuves juridiquement défendables, nombre de complications vaccinales ne sont pas rapportées officiellement. Il serait plus logique et plus moral que ce soit les laboratoires qui apportent la preuve que leurs substances ne sont pas dangereuses.

Mais cela semble impossible étant donné les falsifications, de plus en plus reconnues de leurs essais sur leurs produits.

Nos voisins de la CEE sont beaucoup plus honnêtes dans leur déclaration d’accidents. Aux Etats-unis, depuis 1990, la loi oblige tous les médecins à déclarer les complications vaccinales. Aussi, de 1991 à 1996, on a officiellement enregistré 48743 complications vaccinales…

Alors qu’en France, nos pouvoirs publics clament sur tous les toits que les vaccins ne génèrent pas d’accidents secondaires, surtout chez les enfants.

MENSONGE N° 6: 

Le vaccin contre le tétanos est indispensable

« Quand on a décidé d’être aveugle,
l’évidence cesse d’avoir cours » 
A.Peyrefitte (l’Empire immobile)

Le tétanos n’est pas contagieux, il ne se transmet pas par contact d’individu à individu et- mention particulière – la maladie n’est pas immunisante. Dans son ouvrage La catastrophe des vaccinations obligatoires, le PR J. Tissot, qui n’était pas un gourou de secte, mais un authentique savant comme il y en avait autrefois, posait la bonne question : « puisqu’un malade guéri du tétanos n’est jamais immunisé contre une seconde atteinte, comment un vaccin pourrait-il mieux protéger de la maladie » ?

Le tétanos reste aujourd’hui une maladie grave, mais rare. Environ 50% des malades guérissent spontanément.

On estime que toute plaie, si minime soit-elle, expose au risque du tétanos, ce qui est faux. Il existe, en revanche, des tétanos en l’absence de plaie. Quant au tétanos néonatal, qui atteint le nouveau-né essentiellement dans les pays pauvres, il est dû au manque d’hygiène ombilicale à la naissance.

Il faut donc relativiser les choses et ne pas céder à la panique soigneusement entretenue par ceux qui encouragent la consommation vaccinale.

Pourquoi vacciner systématiquement tous les enfants contre une maladie qu’ils ne rencontreront sans doute jamais ? Sous nos latitudes, les enfants n’ont pas de tétanos, alors pourquoi tous les vacciner ?

En matière de prévention, après une blessure, on avait coutume d’administrer de façon préventive du sérum antitétanique, afin de conférer une immunité passive.

Cette pratique est tombée en désuétude en raison de son inefficacité et de ses graves inconvénients, dont on ne parlait guère avant son abandon.

Aujourd’hui, quoi qu’il en soit, on impose systématiquement le vaccin en cas d’hospitalisation pour blessure.

Le tétanos n’est pas une maladie contagieuse susceptible de provoquer des épidémies, il est très difficile d’établir des courbes significatives d’évolution.
Ce sont les pays où la vaccination est le moins pratiquée qui présentent le moins de cas de tétanos. Il se trouve que la France détient le record de cas de tétanos après le Portugal, les deux seuls pays d’Europe où cette vaccination est obligatoire.

Pour qu’il y ait tétanos, il faut absolument que ces spores se retrouvent dans un tissu en anaérobiose.

La multiplication bactérienne du tétanos ne peut se faire dans des tissus sains normalement oxygénés, car la présence d’oxygène dans les tissus vascularisés entraîne instantanément la mort des bactéries. Il est donc impossible de trouver le bacille du tétanos dans les tissus normaux, bien irrigués.

C’est pour cette raison que la plupart des piqûres ou blessures septiques n’entraînent pas la maladie. C’est pour cela aussi que le tétanos menace davantage les gens âgés, car leurs tissus sont parfois mal vascularisés, nécrosés, atteints de phlébite et de mauvaise circulation.

La vaccination antitétanique est dirigée contre la toxine secrétée par le bacille, mais pas contre le microbe.

Le Dr Méric précise : « Le système immunitaire se trouve entièrement dans la circulation sanguine, dans le sang. Aussi bien, les cellules qui forment les anticorps que les anticorps eux-mêmes appartiennent à ce monde aérobie.

Tout le langage du système immunitaire appartient à ce monde aérobie. Le transport des anticorps se fait entièrement et uniquement dans la circulation sanguine et lymphatique, c’est-à-dire en aérobiose. Les plaies tétanigènes sont nécessairement et obligatoirement anaérobies donc les microbes et la toxine du tétanos et les anticorps antitoxines ne peuvent se rencontrer »

D’après lui, il est absolument impossible que les anticorps rencontrent le bacille ou sa toxine, ce qui semble imparable.

De la sorte, le vaccin contre le tétanos n’est pas du tout efficace, mais il peut toutefois être responsable de sérieux et nombreux désordres post-vaccinaux.

Les traitements non officiels reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu, élève du PR Delbet. Le Dr Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie et le Pr Delbet voulut présenter ce rapport à l’Académie de Médecine, mais il se heurta à une opposition farouche de la part du corps médical.

Dans une lettre au Dr Neveu, en date du 16 novembre 1944, il révélait : « La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée.

Le Conseil de l’Académie a trouvé après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations. »

Voilà un exemple flagrant de mensonge par omission : les chercheurs indépendants qui trouvent des solutions efficaces et peu coûteuses, mais qui s’écartent de la voie autorisée, sont condamnés au silence.

Il ressort de ce rapport que l’Académie de Médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins. Voilà qui donne une idée des puissants intérêts qui dictent sa conduite à l’Académie.

MENSONGE N° 7

: évitez la grippe en vous faisant vacciner

« L’opinion actuelle se maintient par la presse, la propagande et les moyens financiers mis à sa disposition. »
 Albert Schweitzer

Chaque année à l’automne, les médias payés par l’industrie pharmaceutique lancent des campagnes publicitaires pour inciter les personnes âgées à se faire vacciner contre la grippe. Et pour mieux attirer le consommateur, ils prétendent que c’est gratuit.

Voilà déjà un premier mensonge, car tout le monde sait que rien ou presque n’est gratuit ici-bas, et que les laboratoires ne sont pas des mécènes. Les vaccins « gratuits » sont évidemment payés par les usagers sous forme de prélèvements de la Sécurité Sociale.
Mais tout cela ne serait pas trop grave si ce vaccin était efficace.

En 1993, la Caisse d’Assurance Maladie de Loire-Atlantique a voulu étendre le bénéfice de la vaccination gratuite à 43000 assurés sexagénaires, et dû arrêter l’expérience en constatant qu’à cet âge les vaccinés consultaient plus et dépensaient plus que les non-vaccinés.

Et le journal Libération du 11 octobre 1994 titrait : « les vaccinés contre la grippe coûtent plus cher à la Sécu ».
L’article précisait : « Les vaccinés consomment plus de médicaments que les non-vaccinés. En novembre et décembre 1993, ils ont dépensé 23% de plus que les non-vaccinés (en consultation, visites, pharmacie). Quant à l’efficacité du vaccin, elle reste difficile à évaluer. »

D’ailleurs, très peu de médecins sont vaccinés contre la grippe. Ils sont bien placés pour savoir que ce vaccin est inutile.(personnellement, je n’ai reçu aucun vaccin contre quoique ce soit depuis trente ans, bien qu’au moins l’hépatite soit pour moi obligatoire; j’attends encore le piqueur avec un fusil. Doctorix.)

Le Dr Anthony Morris, virologiste et ancien chef du contrôle des vaccins qui travaille avec la FDA, est catégorique : « Il n’existe aucune preuve que le vaccin contre la grippe soit utile. Ses fabricants savent bien qu’il ne sert à rien, mais continuent néanmoins à le vendre. »

Non seulement ce vaccin protège peu ou pas du tout, mais les mises en garde provenant de médecins ou de revues médicales réputées sont très nombreuses.

D’ailleurs, on recommande de faire au préalable un test cutané en milieu hospitalier sous surveillance, à proximité d’une unité de soins intensifs, avec de l’adrénaline à portée de main et un personnel médical et paramédical entraîné, ce qui n’est jamais fait, mais prouve la dangerosité du vaccin.

Parmi ses nombreux effets secondaires, il faut citer des péricardites aiguës, des problèmes cardiaques (infarctus), et des pathologies neurologiques : encéphalites, myélopathie, occlusion de la veine centrale de la rétine, paraplégie, radiculite, et la liste est loin d’être exhaustive.

Les recherches du Dr Hugh Fudenberg, fameux immunologiste américain, l’ont amené à établir un lien entre les vaccinations régulières contre la grippe et un risque croissant de la maladie d’Alzheimer.

MENSONGE N° 8

: L’épathite B est TRES dangereuse et s’attrape par la salive

« L’ignorance est la mère de tous les maux » Rabelais

C’est par un mensonge, qu’a été lancée la campagne éhontée en faveur de la vaccination contre l’hépatite B, dont la publicité a dépassé de très loin les arguments utilisés pour vendre du Coca-Cola.

Ce fut le premier mensonge, mais pas le dernier, loin de là ! Dès lors, les mensonges se sont succédés à une cadence rarement égalée auparavant dans le domaine de la santé.

Ainsi, Philippe Douste-Blazy, alors ministre de la Santé du gouvernement Balladur, n’a pas hésité à avancer les chiffres les plus farfelus, sans aucune base scientifique, mais qui avaient évidemment été soufflés par les marchands de vaccins : « L’hépatite B ce sont 40000 contaminations par an, touchant principalement les jeunes », osa t-il affirmer à Libération le 4 septembre 1994.

Pouvait-il ignorer que les estimations officielles (Réseau National de la santé) se situaient autour de 8000 ?

Le Dr Christian Spitz, pédiatre et psychologue chargé de « l’information », n’a pas hésité à affirmer que 4 milliards d’individus étaient touchés par le virus. L’esprit critique aurait à ce point déserté la France ? Ce chiffre qui représente 70% de la population mondiale, devait effectivement affoler tout le monde, jeunes et vieux ! Cependant, personne n’a semblé relever l’énormité du mensonge, pas une seule voix ne s’est élevée pour protester officiellement. « Plus c’est gros plus ça passe », selon le dicton !

On peut aussi juger de la qualité des informations données aux adolescents en prenant connaissance d’une note interne, lumineuse, du laboratoire Pasteur-Mérieux : « Sur le marché de la vaccination, les adolescents sont un segment très porteur… Il faut dramatiser… faire peur avec la maladie ».

A lui seul, cet aveu aurait dû provoquer une remise en question du vaccin, puisque la « nécessité de vacciner » a été basée sur ces informations qui relèvent de la publicité mensongère.

Et c’est le laboratoire Pasteur-Mérieux MSD qui s’est chargé d’informer les médecins généralistes, avec toute l’objectivité qu’on peut attendre de quelqu’un qui est juge et partie. Dans cet élan, le laboratoire n’a pas hésité à éditer une plaquette affirmant : « la salive est un important vecteur de la contamination »

Avec la bénédiction du ministre de la Santé, les laboratoires Smithkline Beecham se sont alors introduits au sein des établissements scolaires pour y imposer, par la peur, un vaccin non obligatoire, mais que chacun croyait tel…

Car aucun des tracts n’a jamais mentionné que la vaccination était seulement conseillée et non obligatoire.

En fait, cette OPA a été une parfaite réussite puisqu’au cours de l’année 1995, on a vacciné autant de personnes que pendant les quatorze années précédentes.

Avant toute campagne de vaccination, la fréquence de l’hépatite B était déjà réduite de 90%, principalement grâce au retrait des lots de sang contaminé. Et de cela, on s’est bien gardé de parler durant la campagne.

Dans un de ses dépliants, le laboratoire SBK n’hésitait pas à écrire : « l’hépatite B tue plus de personnes en un jour que le sida en un an » ! Ce mensonge a été imprimé et distribué à des centaines de milliers d’exemplaires dans les collèges et les lycées.

Le Dr Bruno Donatini a mené une étude sur l’hépatite B . Ses estimations sont bien différentes de celles diffusées par les laboratoires et répétées par les organismes publics.

Le Dr Donatini estime que le risque d’hépatite grave chez un sujet français « normal » est de l’ordre de 1 pour 50 millions alors que le risque d’accident grave est très élevé. Mais cela, personne ne l’a jamais dit officiellement. Et personne, non plus, n’a jamais avoué que le nombre de victime de la maladie est bien loin d’atteindre celui des méfaits de l’alcool, mais il n’existe pas de vaccins contre l’alcoolisme, aussi en parle-t-on moins.

Soyons sérieux.

Etant donné que l’incidence de la maladie avait diminué de façon spectaculaire bien avant la vaccination (douze fois moins de cas en 1992 qu’en 1978), on ne peut que s’inquiéter d’apprendre que les chiffres pour l’hépatite B ont doublé en dix ans. Dans ce cas, il faut surtout éviter de continuer à vacciner qui que ce soit .

MENSONGE N° 9

: Il n’existe aucun lien entre le vaccin contre l’hépatite B et la sclérose en plaques

« Les médecins apprennent à nos risques et périls. Ils expérimentent et tuent avec une impunité souveraine et le médecin est le seul qui puisse donner la mort. » Pline l’ancien (Histoire naturelle)

Ce leitmotiv qu’il n’existe aucun lien entre ce vaccin et la sclérose en plaques est le principal argument des fanatiques du vaccin, mais, outre cette redoutable maladie, les accidents couvrent un éventail d’une soixantaine d’autres pathologies. Bien avant cette campagne mensongère, la liste des complications signalées était déjà impressionnante : poussées de sclérose en plaques, syndromes de Guillain-Barré, névrites optiques, paralysies faciales, myélites aiguës, lupus érythémateux, polyarthrites, péricardites, uvéites postérieures, urticaire, érythème polymorphe, lichen plan et bien d’autres.

En 1994, le Lancet (Vol.344) avait dénoncé : « La vaccination contre l’hépatite B a été associée à une exacerbation ou même un déclenchement de maladies auto-immunes telles que des scléroses multiples ou des syndromes de Guillain-Barré ».

Ainsi, contrairement à ce qu’on prétend, les problèmes liés à la toxicité de la vaccination contre l’hépatite B ne sont pas réservés à la France ?

Le Dr Laurent Hervieux résumait clairement la situation dans le N° spécial de l’Impatient de mai 1997 consacré aux hépatites : « Le vaccin contre l’hépatite est composé d’un antigène HBS dont la structure est partiellement commune avec la myéline qui entoure les nerfs. Les anticorps fabriqués par l’organisme arrivent à confondre les deux et à attaquer la myéline, d’où les complications neurologiques enregistrées avec cette vaccination. »

L’expert, le Dr Marc Girard, a découvert un rapport de la direction générale de la Santé (DGS), du 15 février 2002, selon lequel ces vaccins auraient produit « la plus grande série d’effets indésirables recueillis en pharmacovigilance depuis sa naissance en 1974 », alors que tous nos responsables de la santé persistent à affirmer qu’il n’y en a pratiquement pas.

Dans la littérature internationale, on note également une multiplication récente des articles sur la sclérose en plaques chez l’enfant, maladie exceptionnelle auparavant. Ce risque vaccinal chez l’enfant a également été confirmé par un article publié en 2001 dans les Annales épidémiologiques.

A la suite de ces parutions, les laboratoires ont réagi car, en 2003, les journaux français ont annoncé que des études indépendantes avaient totalement innocenté le vaccin. En vérité, ces deux études, réputées « indépendantes » furent initiées et en partie financées par les fabricants de vaccins, la première par Aventis-Pasteur, et la seconde par Merck qui est, par hasard, associé de Pasteur-Mérieux.

Les marchands de vaccins avec nos instances de santé, n’hésitent pas à proclamer que les accidents survenus après la vaccination relèvent de la pure coïncidence et que les liens que les malades cherchent à établir n’ont aucun fondement scientifique.

En outre, ils continuent à claironner qu’il n’existe « aucun accident » chez les enfants de moins de six ans, alors qu’il n’y a aucune raison pour que le pourcentage de mortalité après ce vaccin, pour cette tranche d’âge, soit en France inférieur à celui des Etats-unis.

D’ailleurs le Revahb possède plusieurs dossiers concernant des accidents survenus chez des nourrissons, d’autres associations en détiennent également.

MENSONGE N°10: 

L’autisme n’a aucun rapport avec les vaccinations

« Lorsque nous laissons au gouvernement le pouvoir de prendre des décisions médicales à notre place, nous acceptons tacitement que l’Etat soit le propriétaire de notre corps » Dr Ron Paul Sénateur américain

L’autisme se manifeste en général au cours des trois premières années, période pendant laquelle les enfants subissent de nombreuses vaccinations. Serait-ce un des curieux « hasards » qui jalonnent le parcours des vaccins ?

Les cas d’autisme se sont multipliés depuis une trentaine d’années.

Alors qu’aux Etats-Unis on avait détecté seulement une poignée de cas les années quarante, vingt ans plus tard, après la généralisation du vaccin diphtérie-Tétanos-coqueluche et l’arrivée du vaccin contre la rougeole, les consultations pour des cas d’autisme devinrent de plus en plus fréquente, et elles ont décuplé avec l’introduction du ROR et du vaccin anti-hépatite B.

A présent les scientifiques sont très inquiets.(Texte de 2006:  nous sommes aujourd’hui à  enfant sur 150,  et peut-être 1 sur 67 selon  certaines études; Doctorix)

S’agit-il d’une simple coïncidence, qu’avant l’introduction de ces vaccins, il y a eu si peu de cas et qu’ils se soient multiplié plus de dix fois depuis la vaccination ?

Comment se fait-il qu’on ne cherche pas à approfondir les études sur ces coïncidences temporelles ?

Comment se fait-il que les pouvoirs discréditent toute étude sérieuse mettant en cause la toxicité des vaccins alors qu’ils tiennent compte et plébiscitent certaines études simplistes et non rigoureuses pour les promouvoir ?

Pourquoi les accidents relèvent-ils toujours de coïncidence ?

Pouvoirs publics, médecins, et médias persistent à répéter la même rengaine : « Le vaccin reste la meilleure protection contre la maladie et cette maladie est fréquente et parfois mortelle », alors que les rougeoles sont rarissimes et parfaitement bénignes en Europe, dans les familles qui nourrissent correctement leur enfant.

Les mensonges que nous dénonçons concernent tous les pays de la planète. Ainsi, lorsque débutèrent les premières vaccinations ROR au Japon, le Ministère de la santé signala les effets indésirables dans un cas sur 200 000. Quelques années plus tard, ayant « révisé » les chiffres, le même ministère annonçait un accident pour 3000 vaccinés. Les statistiques ayant été à nouveau « révisées », il fut reconnu un accident pour 1 300 vaccinés, chiffre étrangement différent de ceux précédemment publiés.

Mais en France, nous n’avons aucun problème avec le ROR et l’on continue à administrer ce vaccin et à l’exiger pour l’admission en crèche. 

Dans le domaine du mensonge, nos «experts » restent imbattables ! leurs discours insultent l’intelligence et s’apparente à un faux témoignage

.

Quand demandera-t-on des comptes à ces spécialistes en rappelant leurs responsabilités ? demande le Professeur Jacques Testart, biologiste réputé.

Pour conclure:

« Ce n’est pas le rôle du gouvernement d’empêcher le citoyen de tomber dans l’erreur ; c’est le rôle du citoyen d’empêcher le gouvernement de tomber dans l’erreur »
Robert Houghwout Jackson Président du Tribunal de Nuremberg (1945)

Le dogmatisme médical pourrait être comparé aux pratiques de l’Inquisition qui brûlait tout ce qui dépassait son entendement ou risquait de mettre en péril l’hégémonie de l’Eglise Catholique.

Dans notre pays où Voltaire et Diderot ont théoriquement détrôné la superstition et le fanatisme, la sagesse n’est guère de mise et les lavages de cerveau qui vont bon train causent des dégâts irréparables. Il serait grand temps de nous réveiller et de secouer le joug des idées reçues. Il serait grand temps de penser par nous-mêmes, au lieu de laisser aux « experts » le soin de le faire à notre place.

Devant la puissance financière des laboratoires, leur mainmise sur la politique de santé, sommes-nous condamnés à développer une certaine désobéissance civique ? Refusant aux Pouvoirs Publics le droit de nous imposer ces vaccins inutiles et dangereux au nom de la solidarité publique. Pourquoi ne pas utiliser cette arme que n’apprécient ni les fabricants de vaccins, ni les gouvernements, en attendant qu’une évolution législative respectueuse des droits de l’homme et de la liberté des citoyens s’instaure ?

Pour mieux désobéir et résister, il est prudent d’adhérer à des associations de consommateurs de santé, puisqu’il est bien connu que l’union fait la force.

Amicalement, Doctorix le Gaulois.

Bibliographie:

Livres sur la vaccination qui ont pour auteur Sylvie SIMON

Vaccinations l’overdose Editeur déjà 1999

Déjà vacciné, comment s’en sortir ? (avec le Dr André BANOS) Déjà 2000

Faut-il avoir peur des vaccinations (ouvrage collectif) Déjà 2000

Vaccin hépatite B, les coulisses d’un scandale (avec le Dr Marc VERCOUTERE) MARCO PIETEUR 2001

Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins DANGLES 2005 (3ème livre d’une collection « les 10 plus gros mensonges »)

Livres sur la santé

Le réveil de la conscience avec Jacqueline BOUSQUET – Editeur TREDANIEL 2003

Information et désinformation – TREDANIEL 2004

La dictature médico -scientifique – FILIPACCHI – 1997

Exercices illégal de la guérison – MARCO PIETTEUR – 2202

Autres livres sur les vaccinations

Vaccinations, les vérités indésirables – Michel Georget DANGLES – 2000

Vaccinations, erreurs médicales du siècle – Dr Louis de Brouwer Louise Courteau – 1997

Le dossier noir du vaccin contre l’hépatite B – Lucienne Foucras Editions du Rocher – 2004

Vaccination, la grande illusion Bickel (s’adresser à René Bickel, 116 rue de Mittelwihr 68150 OSTHEIM – Tél/Fax : 03 89 47 83 06

Pour en finir avec Pasteur – Dr Eric ANCELET – Marco Pietteur – 1998

Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les atteignent – 3 vol. Pr. J. TISSOT – Laboratoire de physiologie générale – PARIS

Dr CHAUFFAT François, vaccinations : le Droit de choisir – Jouvence 2001

Dr COUZIGOU Yves, la longue traque de la variole – Perrin 1986