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Japon et injections ARNm : 4 fois plus de mortalité chez les 65-80 ans, le professeur de médecine de l’université de Kyoto Masanori Fukushima porte plainte contre l’état japonais (France-Soir)

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ARNm_danger
Injections ARNm COVID = armes biologiques

Quatre fois plus de mortalité suite au COVID chez les 65-80 ans après la vaccination ? Le professeur Masanori Fukushima porte plainte contre l’état japonais

France-Soir

17 février 2023

Url de l’article original :

https://www.francesoir.fr/societe-sante/japon-mortalite-covid-professeur-masanori-fukushima-plainte

NdR71 : graphes et captures d’écrans dans l’article original

Le Japon connaît un contexte général de hausse de la mortalité. Certains scientifiques et médecins, après avoir constaté une inflammation générale de l’organisme chez certaines personnes décédées ainsi que des anomalies au niveau du système immunitaire, s’interrogent sur un lien possible avec les injections vaccinales anti-Covid-19. En parallèle, le professeur émérite de médecine Masanori Fukushima, déclare porter plainte contre l’État japonais qui a fait la promotion de vaccins. Or, loin de réduire la mortalité par Covid, cette dernière aurait été multipliée par quatre pour la tranche d’âge des 65-80 ans.

Depuis un an, l’archipel japonais affiche un excès inquiétant de la mortalité de sa population. La courbe des décès, au plus bas en mars-avril 2021, commence à monter vers le mois de mai 2021. Si elle est restée dans des limites « acceptables » jusqu’au début de l’année 2022, on constate une très vive accélération des décès à partir de mars-avril de cette même année.

Une hausse inquiétante de la mortalité

Un phénomène qui n’est pas propre au Japon puisque l’ensemble des pays du bloc occidental, mais également Israël, certains pays d’Amérique du Sud enregistrent des décès supplémentaires par rapport à « une année normale ».

Au Japon, ces niveaux élevés de mortalité surgissent dans un contexte de poursuite de l’épidémie, même si depuis le 20 janvier 2023, le Premier ministre japonais Fumio Kishida, considérant que l’épidémie de Covid-19 est beaucoup moins virulente qu’elle n’a pu l’être, a annoncé son intention de rétrograder au printemps prochain le Covid-19 de la catégorie 2 – qui le plaçait au même niveau que la tuberculose – à la catégorie 5, un indice de dangerosité qui classe le virus au même niveau que la grippe saisonnière.

Cependant, l’épidémie est-elle la cause principale de cette hausse de la mortalité ? Tout dépend de ce que l’on entend par « cause principale ». Si l’on prend la cause directe, c’est-à-dire la mortalité par Covid, en examinant les chiffres affichés sur le site Johns Hopkins University, on constate que ceux-ci ne sont pas très élevés comparés à ceux de certains pays occidentaux (États-Unis, Royaume-Uni, Belgique, France). Depuis trois ans, il y aurait eu un peu plus de 71 000 décès liés à l’infection par Sars-CoV-2 dans ce pays qui compte 125 millions d’habitants.

Pourtant, la fin de l’année 2022 a été marquée par la reprise de l’épidémie de Covid-19 et un taux de mortalité en nette augmentation. Face à ce phénomène, les autorités ont peu réagi, préférant mettre en avant le taux de vaccination important puisqu’à la fin de l’année 2022, de 700 000 à un million de personnes se sont vaccinées chaque jour, faisant de l’archipel, l’un des pays les plus vaccinés du G7.

Cependant, à cette cause directe de la mortalité, il en existe d’autres qui, elles aussi, pourraient être liées à l’épidémie de Sars-CoV-2.

En premier lieu, comme pour de nombreux pays de l’OCDE, la hausse de la mortalité au Japon pourrait être attribuée, d’une part à la chute de la prise en charge des personnes, par l’annulation de certains rendez-vous médicaux de patients, ce qui aurait entraîné des retards de diagnostic et une surmortalité, et d’autre part à la réduction des interactions sociales, avec des conséquences graves sur la santé mentale de certaines personnes.

Par ailleurs, selon les autorités, même si ce pays est l’un des rares à ne pas avoir connu une chute de l’espérance de vie, cette surmortalité serait due à la propagation du variant BQ1 et à un taux insuffisant de rappel vaccinal avec les boosters bivalents destinés à protéger les personnes des sous-variants d’Omicron. La tranche d’âge des 80-90 ans aurait représenté 40,55% de la mortalité par Covid et les plus de 90 ans, 34,76%.

Enfin, même si les causes des décès peuvent être multifactorielles, et si l’évolution de la courbe de mortalité doit être interprétée avec beaucoup de prudence, lorsqu’on croise la courbe de la vaccination avec celle de la mortalité, on ne peut pas exclure que la vaccination fasse également partie des causes de la hausse de l’incidence des décès à court et moyen terme.

Cette hypothèse peut d’autant moins être écartée aujourd’hui alors que certains effets indésirables parfois mortels sont désormais reconnus par les autorités qui ont commencé à indemniser les familles concernées par la perte d’un de leur membre.

Par ailleurs, les analyses de certains professeurs de médecine pourraient faire craindre un endommagement du système immunitaire des personnes vaccinées susceptibles de développer des infections plus graves que celles qui ne sont pas vaccinées (voir ci-dessous).

Vers une reconnaissance des effets secondaires post-vaccinaux

Selon la loi japonaise sur la vaccination, les vaccins contre le Sars-CoV-2 sont considérés comme ad hoc, entendez par là, destinés expressément à un usage spécifique.

Cette disposition particulière permet de commencer à indemniser les familles dont l’un des membres a été victime d’un effet indésirable suite à une injection vaccinale dès lors que l’imputabilité de la preuve a pu être établie. En effet, lorsque le lien est prouvé, les descendants de la personne décédée à cause du vaccin peuvent recevoir une indemnité forfaitaire de 44,2 millions de yens (310 000 euros environ) et une somme de 212 000 yens (1 500 euros environ) pour contribuer aux frais d’obsèques.

Le 26 juillet 2022, un groupe d’experts du ministère de la Santé japonais a accordé pour la première fois une indemnité forfaitaire à la famille d’une personne décédée après que cette dernière a développé une réaction allergique puis une crise cardiaque après une injection de vaccin contre le Covid-19.

En dépit des comorbidités préexistantes, notamment d’accidents ischémiques transitoires que présentait cette femme, le ministère n’a pas communiqué sur la date de la vaccination et le nombre de doses, estimant qu’une relation de cause à effet entre les problèmes de santé ultérieurs et le vaccin ne pouvait pas être niée dans cette affaire. Par ailleurs, les autorités ont déclaré qu’« une relation de causalité scientifiquement rigoureuse n’est pas nécessaire ».

Au-delà, de cet exemple emblématique de reconnaissance d’un effet indésirable ayant entraîné le décès de la personne, à cette date, au Japon, 3 680 personnes avaient déjà vu leur demande d’indemnisation du préjudice lié à la vaccination acceptée. Parmi tous les dossiers, 850 dossiers avaient reçu un avis favorable et 62 dossiers ont été refusés. Par ailleurs, les décisions concernant 16 autres personnes, dont certaines sont décédées, ont été reportées.

La hausse de la mortalité couplée à la reconnaissance de l’existence d’effets indésirables liés à la vaccination ont conduit certains scientifiques et médecins à étudier les liens de causalité entre la vaccination et l’augmentation des décès, notamment en analysant les mécanismes biologiques et physiologiques qui pourraient être à l’origine des réactions graves pouvant entraîner la mort des personnes après avoir reçu une injection de vaccin anti-Covid-19 à ARN messager.

Les constats biologiques, physiologiques et cliniques des scientifiques et des médecins

La température anormalement élevée des personnes décédées

Dans une vidéo mise en ligne en décembre 2022, deux chercheurs japonais analysent les mécanismes physiologiques induits par les vaccins expérimentaux à ARN messager et qui ont pu causer des réactions indésirables graves, voire entraîner la mort de sujets vaccinés dans certains cas.

Masataka Nagao, médecin légiste attaché à la faculté de médecine de l’université d’Hiroshima, pratique des autopsies sur plus d’une centaine de corps par an.

Il a constaté que les personnes décédées après une injection de vaccin anti-Covid-19 présentaient une température du corps anormalement élevée.

« La première chose qui m’a interpellée, c’est que la température des cadavres était très élevée lorsqu’ils ont été examinés par la police. Les températures corporelles étaient anormalement élevées, autour de 33 ou 34 degrés Celsius, ce qui n’est pas normal. Normalement, au stade de l’autopsie, la température du corps est de 20 degrés. La température du corps était très élevée au moment de la mort. La température était supérieure à la normale, c’est-à-dire supérieure à 40 degrés Celsius », a-t-il déclaré.

En examinant le profil génétique, l’équipe de recherche du Pr Nagao a pu constater qu’il existait des anomalies au niveau du système immunitaire et que ces dérèglements pouvaient être la cause de réactions inflammatoires fortes.

À partir de l’analyse que ces équipes ont effectué des données génétiques recueillies sur les patients décédés, le Pr Nagao pense que le vaccin peut être responsable de troubles immunitaires ayant entraîné une inflammation dans le corps et dont le signe clinique principal était cette hausse de la température corporelle au-dessus de 40° Celsius.

« Ces seules données montrant que les gènes impliqués dans la réponse immunitaire étaient hyperactifs, ne permettent pas de conclure que les vaccins sont la cause de la mort, mais ne le mettent pas hors de cause. Je peux dire que c’est une zone grise, et nous pensons que l’administration de ces vaccins est suffisamment reliée à des réactions anormales du système immunitaire. »

La suppression du système immunitaire

Dans cette même vidéo, un autre grand professeur, Shigetoshi Sano, expert en dermatologie de la faculté de médecine de l’université de Kochi, a évoqué la découverte de protéines Spike à l’emplacement de lésions cutanées et d’autres problèmes de peau sur des patients vaccinés.

« La protéine Spike issue du vaccin a été trouvée dans la peau », a expliqué le professeur Sano en montrant une diapositive montrant une région vert vif sur une lésion rendue visible par un colorant spécial. Cette technique sert à visualiser les régions où l’on peut détecter une inflammation et constater qu’elles sont « inondées » de protéines Spike.

« Les protéines Spike sont dispersées localement, elles suppriment localement le système immunitaire, ce qui a pour conséquence de faciliter la réactivation du virus de l’herpès. (…) La fonction des protéines Spike pour produire des réactions indésirables est la formation de caillots sanguins », a expliqué le Pr Sano. « Et pire encore, les protéines Spike peuvent aussi induire localement une inflammation ».

Interrogé par rapport à l’affaiblissement du système immunitaire et à la possibilité de contracter plus facilement des infections, le Pr Sano, après un bref moment d’hésitation, a répondu :

« Vous avez raison. Je ne sais pas si je devrais dire cela, mais il a été constaté que les personnes vaccinées sont plus susceptibles de contracter le coronavirus que les personnes non vaccinées. Parfois, des choses qui ne sont pas bonnes sont introduites dans le corps humain. La vaccination peut empêcher notre système immunitaire global de lutter contre ces mauvaises choses ».

La plainte contre l’État japonais déposée par le professeur Masanori Fukishima

Tandis que les investigations de scientifiques et de médecins se poursuivent, Masanori Fukushima, professeur émérite de médecine à l’université de Kyoto, dans une allocution prononcée dans un hôpital universitaire le 2 février 2023, a annoncé porter plainte contre l’État japonais qui a fait la promotion du vaccin, une décision d’une extrême gravité, selon lui. Il n’hésite pas à accuser le ministère de la Santé de fraude et dénonce un problème « historiquement grave qui menace l’existence même de la nation japonaise ».

« Aujourd’hui, nous avons déposé une plainte contre le gouvernement japonais pour l’annulation de l’action administrative. Aujourd’hui, il est d’une importance fondamentale pour le gouvernement japonais de collecter et de divulguer en permanence des données exactes. Cependant, j’ai été témoin du récent scandale de fraude commis par le ministère de la Santé. Je dois réaliser qu’il s’agit d’un problème historiquement grave qui menace l’existence même de la nation japonaise. En tant que médecin et scientifique, je n’ai pas eu d’autre choix que d’oser engager une action en justice. Il va sans dire qu’il est absolument important de divulguer les données du monde réel sur l’efficacité et la sécurité de la vaccination contre le virus du Covid-19. En effet, ces données sont directement liées à la santé, aux moyens de subsistance et à l’économie de la population. Par conséquent, je pense que le gouvernement japonais, c’est-à-dire le ministère de la Santé, doit divulguer ces données de manière appropriée au public.

Jetez un coup d’œil aux données pour les groupes de 65-69 ans et de 70-79 ans. Il est surprenant de constater que le nombre de nouvelles infections ou de cas positifs pour 100 000 personnes est quatre fois plus élevé chez les personnes vaccinées deux fois que chez les personnes non vaccinées. Regardez également les données fournies par le conseil consultatif en septembre 2021. Le taux de mortalité des personnes non vaccinées et les taux de mortalité des personnes vaccinées à une dose et à deux doses ont été décrits correctement. D’après la description en rouge, la vaccination a effectivement réduit le taux de mortalité des personnes âgées de plus de 65 ans. Cependant, pour tous les âges, la vaccination a démontré l’effet inverse, entraînant une augmentation du taux de mortalité. Il s’agit d’un phénomène paradoxal. En tant que telles, les données sur les taux de mortalité avaient déjà été publiées dans des documents officiels. 

Cependant, dans les données de l’année dernière, le ministère de la Santé a supprimé toutes ces informations. En fait, la vaccination a été recommandée sur la base de l’explication suivante : la vaccination ne prévient pas l’infection, mais la vaccination prévient les maladies graves et réduit le taux de mortalité.

Cependant, sur la base des données publiées par le Conseil consultatif en septembre 2021, la base pour recommander la vaccination pour tous les âges ne devrait plus exister. Malgré cela, le ministère de la Santé a poursuivi la vaccination. Je considère qu’il s’agit d’une grave crise nationale. C’est pourquoi j’ai décidé d’intenter un procès cette fois-ci. »

= = =

Lire notre page mise à jour depuis 2019 : « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

« SRAS-CoV-2 / COVID19 ou l’attaque biologique contre l’humanité depuis novembre 2019 »

OMS_totalitarisme
Dictature technotronique sanitaire et génocide planétaires…

Démonter les mensonges et l’enfumage SRAS-CoV-2 / COVID-19 : Protéines spike et particules nano-lipidiques sont des armes biologiques, parasites à Intelligence Artificielle programmable… (Karen Kingston)

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Protéines spike : armes biologiques parasites à Intelligence Artificielle

Démonter les mensonges COVID 19 : le “nouveau” coronavirus et la “protéine spike”

Karen Kingston

Octobre 2022

Url de l’article original :

https://karenkingston.substack.com/p/part-1-dismantling-the-the-deceptions

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Janvier 2023

Note des traducteurs : L’article foisonne littéralement d’hyperliens et de photos / captures d’écran démontrant tout ce qui est avancé dans cet article. Le boulot de Karen consiste en grande partie à lire les patentes / brevets et de faire du conseil en communication pour ces boîtes pharmaceutiques. Son métier consiste à lire toute cette littérature des plus rébarbatives dans les détails. C’est au cours de son étude et analyse des différents brevets sur la nano-technologie, les NanoParticules Lipidiques (NPL), qu’elle a compris que tout était en fait écrit noir sur blanc et que la clef de l’énigme criminelle SRAS-CoV-2 / COVID-19, de l’affaire du “gain de fonction” etc, se trouvait dans la littérature des brevets et articles scientifiques publiés, déposés et publiés pour certains depuis plus de 10 ans… En voici une partie… Tout est documenté par Karen, nous laissons le soin aux lecteurs d’aller fouiller les archives par eux-mêmes depuis l’article original en anglais, même si nous en reproduisons quelques-uns. Cet article est le premier d’une série d’une dizaine d’articles sur le sujet, ils sont tous sur son site internet (voir le lien ci-dessus, cliquez sur “The Kingston Report” en haut pour aller sur la page de garde).
Quand on considère toute l’affaire COVID, preuves à l’appui, come une attaque bio-nano-technologique sur l’humanité, alors tout s’éclaire, le rideau de fumée disparaît et nous savons où nous en sommes. De là, la riposte doit venir des peuples.

A (re)lire et diffuser sans modération :

“SRAS-CoV-2 ? COVID19 et injections ARNm, guerre nano-bio-technologique contre l’humanité” (Karen Kingston, nos traductions en PDF)

Qu’est-ce qui a causé la “pandémie” COVID-19 ? Le nouveau SRAS-CoV-2 (coronavirus) a t’il causé la maladie et la mort de millions de personnes ? Ou est-ce une longue, longue histoire à dormir debout ?

Dans le cas de figure de cette histoire romanesque COVID-19, le FAIT est bien plus étrange que la FICTION. Ce qu’on nous a raconté au sujet de ce nouveau coronavirus SRAS-CoV-2, de la COVID-19 issue de ce virus, des multiples variants, de la technologie ARNm, des protéines spike mortelles et des tests RT-PCR, ressemble en fait bien plus au scenario d’un film des séries de Marvel qu’autre chose.

Si les manchettes de journaux concernant la COVID-19 en 2020 avaient été honnêtes, précises et non-frictionnelles, elles auraient du titrer quelque chose de la sorte : “Les maîtres de mal terrorisent les citoyens du monde en épandant sur nos villes et régions une arme biosynthétique nanotech à Intelligence Artificielle sous forme aérosol appelée ‘protéine spike’”.

Quoi ? Mais les maîtres du mal ne nous ont jamais dit que la très mortelle protéine spike était en fait un hydrogel magnétique à IA encapsulé dans une technologie de Particules Nano Lipidiques (PNL) utilisée pour infecter, blesser, expérimenter sur et exécuter des humains. (https://karenkingston.substack.com/p/part-8-dismantling-the-covid-19-deceptions)

Ils nous ont convaincu que le SRAS-CoV-2 ARNm produit cette protéine spike hautement toxique après que l’ARNm ait envahi les cellules dans le corps. Mais il y a un problème majeur avec cette affirmation, il y a tout un corps de preuves scientifiques disant et confirmant que l’ARNm est très instable, fragile et impuissant (c’est à dire faible et inutile, impotent dans le corps humain).

D’après un article de C&En News du 6 mars 2021 (Chemical and Engineering News), les expériences sur l’ARNm en laboratoire ont historiquement échoué parce que cette invention de l’ARNm est si fragile et instable de et par elle-même. L’article de C&En dit explicitement que “des enzymes de l’environnement et de nos corps sont prompts à pulvériser en morceau l’ARNm, rendant ces expériences en labos et la livraison de l’ARNm aux cellules très aléatoires.” Le directeur technique de Sanofi et patron de la recherche sur l’ARNm, Frank DeRosa, a dit ceci au sujet de l’ARNm : “On dit de lui [l’ARNm] que si vous le regardez de travers, il tombe en morceau…

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La Dr Kathryn Whitehead, directrice du département de chimie et d’ingénierie biologique à l’université Carnegie Mellon a exprimé sa frustration concernant es tentatives de faire des expériences sur l’ARNm hors du corps humain et a déclaré :

Dr. Kathryn Whitehead, Carnegie Mellon, “On ne voit même plus l’ARNm in vitro, je pense que c’est bien plus prone à l’information de tester l’ARNm directement dans le corps animal.”

Dans la publication peer-reviewed Nature Biotechnology en 2017 “Overcoming Cellular Barriers for RNA Therapeutics in RNA,” Les thérapies géniques, incluant celle à l’ARNm, sont incapables d’infecter les cellules, quelques cellules que ce soient, à cause de milliards d’années d’évolution des mécanisme de défenses immunitaires résultant en la double couche lipidique protectrice des cellules.

L’ARNm serait éjectée dans une non-existence éternelle (où elle appartient en fait) si ce n’était pour la technologie avancée des particules nano-lipidiques (PNL). Celles-ci permettent à la technologie de transformation génétique de l’ARNm d’envahir la double couche lipidique des cellules pour ensuite infecter, se répliquer et produire des protéines biosynthétiques et autres structures biosynthétiques à séquence instruite par l’ARNm.

Pour bien se rendre compte de la magnitude de ce pur génie malfaisant de la technologie à PNL, l’ARNm était incapable d’infecter quelques cellules que ce soient, incluant les cellules humaines, à cause d’un processus d’évolution vieux de 4 milliards d’années qui a protégé les cellules du vivant par une double couche lipidique, jusqu’à l’invention de cette technologie.

Cette technologie NPL est de la pure malfaisance. Les NPL sont aussi considérées comme des neuro-technologies de marquage biologique et des armes nanotech, qui ressemblent exactement aux protéines spike de la COVID-19.

D’après un cours donné à l’académie militaire de West Point (NdT: l’équivalent yankee de St Cyr) par le professeur James Giordano en 2018 à l’institut de Guerre Moderne, ces NPL ont été utilisés comme armes nanotech pour détourner émotionnellement et mentalement des leaders d’influence et peuvent être utilisés pour induire une pandémie de dépression ou une pandémie d’embolies, AVC et autres… (https://mwi.usma.edu/mwi-video-brain-battlefield-future-dr-james-giordano/)

Un autre mensonge que nous avons été mené à croire est que la séquence ARNm est un virus synthétique factuel pré-chargé dans les soi-disants “vaccins”. La séquence ARNm n’est pas une séquence de virus synthétique. C’est une séquence de programme informatique. La technologie des lipides nanotech opère la transformation génétique et produit les protéines spike directement à l’intérieur des cellules du corps.

Le 12 septembre 2022. Le président Joe Biden a signé un décret appelant à “une approche toute gouvernementale” pour assurer que les corps des Américains recevront une installation de technologies d’ingénierie génétique (alias les NPL) pour programmer leurs cellules de la même manière qu’on écrit un logiciel et programme un ordinateur parce que la technologie de transformation génétique a déjà été installée dans les corps de la plupart des Américains.

Nous avons été informés que la séquence ARNm SRAS-CoV-2 dans les “vaccins” produit des protéines spike qui sont de nature biologique, en d’autres termes, de nature organique. Ceci est un autre mensonge. Ce qui est produit par les NPL et les séquences programmées sont des protéines et des structures codées de manière biosynthétique et qui sont en partie biologiques et en partie technologiques, à la fois organiques et inorganiques.
(NdT :
c’est sans doute pourquoi Hydroxychloroquine et Ivermectine marchent comme remèdes, parce qu’en tant qu’anti-parasitaires, ils tuent la partie biologique de l’arme introduite dans nos corps…)

sinopeg1

Les NPL PEG contiennent des hydrogels magnétiques (https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1002/nano.202100139), une technologie intelligente qui est perceptive, alerte et intelligente. Les produits à hydrogels magnétiques peuvent produire des virus, des bactéries, des toxines et des organismes biosynthétiques et des organelles à l’intérieur du corps humain. Les hydrogels magnétiques intelligents peuvent aussi envoyer et recevoir des signaux par la fibre optique et les fréquences électromagnétiques.

De plus en plus de personnes sont magnétisées à cause de cette technologie d’arme nanotechnologique à IA. Les humains magnétisés ne sont pas le résultat d’un gain de fonction ARNm de virus ou de vaccins. C’est la conséquence d’armes nanotechnologiques à hydrogel magnétique et IA qui ont infiltrées le corps humain.

La séquence virale ARNm du SRAS-CoV-2 qui a été lâchée sur la planète et qui est trouvée dans les soi-disants “vaccins” serait complètement inutile et incapable d’infecter les cellules et n’a aucune capacité de produire des anticorps sans les NPL et les hydrogels magnétiques à IA. Ceci veut aussi dire que la pandémie COVID-19 était impossible sans les NPL. La COVID-19 n’a pas été causée par un gain de fonction ARNm du virus SRAS-CoV-2. La COVID-19 a été provoquée par UNE ARME NANO-TECHNOLOGIQUE A INTELLIGENCE ARTIFICIELLE…

Un autre expert connu sur l’ARNm est Ralph Baric de l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill. Il est le parrain de la recherche de gain de fonction ARNm pour les coronavirus et les protéines spike chimériques (génétiques). Il a reçu plus de 100 millions de dollars pour la recherche sur le coronavirus du NIAID / NIH de Fauci et est un inventeur nominé pour des douzaines de brevets sur les coronavirus, les protéines spike chimériques (génétiquement modifiées) et autres technologies basées sur le gain de fonction d’armes biologiques.

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Ralph Baric: gouvernance mondiale par la « vaccination »

Dans son article du 4 septembre 2015 envoyé au PNAS et intitulé :, “SAR-like WIV1-CoV Poised for Human Emergence,” Ralph Baric reconnait que ses virus à ARNm , incluant le SRAS-CoV-2, sont incapables d’une transmission signifiante d’humain à humain, s’il y a même en l’occurrence une transmission possible. 

L’article dit “Le cluster de WIV1-coronavirus (CoV)…peut occasionner des transmissions limitées dans les populations humaines… une atténuation in vivo (c’est à dire que le SRAS-CoV-2 devient très faible une fois dans le corps humain) suggère qu’une adaptation additionnelle est requise pour en faire une maladie épidémique.

En 2015, Baric a reconnu que les coronavirus à ARNm étaient anodins et inoffensifs par eux-mêmes. Il déclare de manière très claire que les coronavirus à ARNm (incluant le SRAS-CoV-2) n’ont pas “de potentiel épidémique”.

Afin de capitaliser sur ses décennies de recherche, de brevets et d’accords, contrats de royalties, Baric avait besoin de trouver une façon d’utiliser ses coronavirus à gain de fonction ARNm pour créer une arme biologique qui aurait un “potentiel épidémique”.

Baric a une équipe très soudée pour sa recherche sur les coronavirus à gain de fonction ARNm. Il est associé depuis des décennies avec Peter Daszak de l’EcoHealth Alliance, et du Dr Zhenghli Shi of the Wuhan Institute of Virology (WIV). Ce trio diabolique a créé un très grand nombre de viruses à gain de fonction ARNm transformés en armes biologiques et pas seulement des coronavirus, mais aussi des virus comme zika, ebola, la grippe, la VIH et beaucoup d’autres.

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En janvier 2018, lui et ses acolytes ont contacté notre agence militaire DARPA pour un financement au travers d’une proposition. Dans la proposition de L’EcoHealth Alliance à la DARPA, Baric et Chi étaient listés comme des membres de l’équipe d’EcoHealth Alliance développant l’arme biologique de la protéine spike par gain de fonction génétiquement modifié depuis le stock de coronavirus à ARNm que l’équipe avait déjà créé.

D’après la proposition de l’agence (militaire) DARPA, la prochaine étape de leur recherche sur les armes biologiques  se concentraient sur le comment prendre les coronavirus à gain de fonction ARNm quasiment inutiles de Baric (de sa propre admission) pour créer quelque chose de ses virus à ARNm qui serait infectieux, mortel ou qui aurait un “potentiel pandémique”.

La proposition EcoHealth Alliance / DARPA de 2018 établit clairement :

“NOUS DEVELOPPERONS DES PROTEINES SPIKE CHIMERIQUES RECOMBINANTES DE SRASr-CoV… ET LES INCORPORERONS DANS DES NANOPARTICULES.”

La proposition DARPA est une preuve supplémentaire que le virus SRAS-CoV-2 à ARNm n’a jamais été infectieux encore moins mortel. C’est la spike protéine WIV1 2-SP (littéralement baptisée du nom du Wuhan Institute of Virology WIV) qui est hautement inflammatoire et mortelle, pas le SRAS-CoV-2 ARNm virus (NdT : qui a été créé entre 2006 et 2015 à l’Université de Caroline du Nord, Chapel Hill, avant d’être récupéré et transformé en arme biologique par le Pentagone…) La “spike protéine” WIV1 2-SP est un produit de l’arme parasite biologique à IA, comme toutes les autres protéines spike de la COVID-19.

IMPORTANT: la protéine spike WIV1 2-SP est aussi une invention séparée du SRAS-CoV-2. Les WIV 1 2-SP et autres S-2P protéines spike sont faites en laboratoires et ont leurs propres brevets enregistrés par Barney Graham du NIAID / NIH (du Dr Fauci) et Jason McLellan de l’Université du Texas.

Dans la proposition DARPA, Daszak dit aussi qu’ils vont infecter des chauves-souris en délivrant les protéines spike dans des capsules de PNL sous la forme d’un adhésif transdermal (par la peau), un gel que les chauves-souris mangeront, un gel sur leur peau et des sprays aérosols.

L’hypothèse que la contagion originelle de 2019 et 2020 du SRAS-CoV-2 ait impliqué des attaques aerosol aux armes biologiques est plus que hautement probable.

La proposition DARPA établit qu’ils allaient infecter des chauves-souris avec “des épandeurs aerosol faits pour l’environnement en grotte et des épandages automatisés déclenchés par minuterie et par détecteurs de mouvement en des points critiques donnés de l’entrée de la grotte.”

Le SRAS-CoV-2 à ARNm ne fut jamais dangereux ni mortel, ni du reste contagieux. Je ne peux pas suffisamment insister là-dessus : CE N’EST PAS LE SRAS-COV-2 QUI A CAUSE LA COVID-19. CETTE MALADIE, LES HANDICAPS ET MORTS OCCASIONNES SONT LE PRODUIT D’ARMES BIOLOGIQUES A INTELLIGENCE ARTIFICIELLE.

La recherche de l’inventeur du virus SRAS-CoV-2 à ARNm Ralph Baric a établi que même si les humains sont infectés avec le SRAS-CoV-2 par un mécanisme de contamination construit par l’homme, la transmission d’humain à humain est prouvée être impossible. Voilà pourquoi la théorie que le SRAS-CoV-2 et la COVID19 résultante seraient dues une fuite de laboratoire est totalement invalidée.

La COVID-19 a du être une attaque intentionnelle à l’arme biologique à IA pour causer les types de blessures et de morts qui ont été rapportés dans le monde au début de 2020. Mort et blessures ont augmenté de manière exponentielle à cause de l’arme nanobiologique à IA qui se trouve dans les injections COVID-19 et circulant dans notre environnement.

Le manque totale de transmission d’humain à humain est validé plus avant par la preuve des données du monde réel du taux d’infection des personnels médicaux de l’hôpital jouxtant le marché de Wuhan. Le taux d’infection des personnels médicaux à ground zéro de la maladie a été de 0,0000%

Dans un article publié le 8 décembre 2020 dans Immunity, Inflammation, and Disease, il est établi qu’il y eut 191 personnels hospitaliers de Wuhan qui furent testés pour des anticorps au SRAS-CoV-2 par prélèvements bucco-pharyngés et par prises de sang. Tous les tests sont revenus négatifs. 222 personnels hospitaliers on reçu une radio des poumons. Toutes les radios sont revenues claires et négatives.

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Les personnels hospitaliers de Wuhan ne furent jamais infectés par la maladie. Les experts proclamant que la COVID-19 était ou est provoquée par un virus hautement infectieux firent ou font de fausses déclarations qui ne sont en rien fondées sur les preuves apportées par le monde réel.

Le CDC a intentionnellement trompé le public américain à croire que le SRAS-CoV-2 était capable de se transmettre d’humain à humain. D’après les propres données du CDC publiées le 15 décembre 2021, l’Autorisation d’Utilisation d’Urgence (AUU) donnée aux tests PCR en 2020 et 2021 ont donné des résultats de faux positifs à hauteur de 97%.

Les tests PCR autorisés en UU sont aussi efficaces à mesurer les infections au SRAS-CoV-2 que l’argent du jeu de Monopoly pourrait vous acheter une maison ou une voiture.

Les prétendus tests PCR du SRAS-CoV-2 donnés en AUU furent cruciaux en tant “qu’accessoires théâtraux” pour convaincre le public américain (et du monde) que cette histoire de la COVID-19 était une véritable pandémie.

La demande obsessionnelle des écoles pour les tests fut et demeure une forme très sombre d’abus émotionnel et psychologique.

A travers notre nation, des enfants en parfaite santé furent déclarés “malades saufs prouvés sains” et ont été soumis à une procédure répétée d’échantillonnage génétique afin qu’ils puissent se rendre à l’école et que nous savons maintenant être “de prétendus tests viraux”.

L’école de mon fils faisait partie d’une étude de recherche génétique financée de 10,3 millions de dollars par le NIH (De Fauci) et menée par GenBody, une entreprise basée en Corée du Sud. L’ADN des élèves, celle de mon fils, ont été envoyée en Corée du Sud sans aucun consentement ou permission des parents, tout cela au frais du contribuable américain.

J’espère que ceci clarifie une bonne fois pour toute que tous ces tests PCR faits dans les écoles n’eurent jamais pour but la santé et la sécurité des élèves et des personnels. Le but était de collecter des données génétiques de ce trésor le plus important que possède l’Amérique, nos enfants, afin de les envoyer dans une nation étrangère pour continuer à développer toujours plus d’armes biologiques contre l’Amérique (NdT : et le monde… pourquoi tant de biolabs militaires yankees disséminés dans le monde, par exemple plus de 20 de ces labos rien qu’en Ukraine aux portes de la Russie ?..)

Le test PCR fut le parfait ustensile de théâtre pour convaincre les Américains (et le monde) qu’il y avait un tueur invisible qui d’abord… discriminait et ciblait les “humains non vaccinés”.

Plus tard, dans cette histoire COVID-19, le tueur invisible SRAS-CoV-2 pouvait frappé de manière indiscriminée les humains injectés ou non, de tous âges, sans test et sans prévenir.

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Les « tests » sont des collecteurs de données génétiques (ADN)

Les tests PCR devenus obsessionnels ont augmenté préoccupation et peur au sujet de la COVID-19 jusqu’à un état de stupeur paranoïaque.

Plus de deux ans plus tard, après le début de cette histoire COVID-19 aux Etats-Unis en mars 2020, nous commençons à regarder le documentaire, “L’histoire COVID-19 de l’intérieur”. Nous voyons et comprenons que le virus à ARNm SRAS-CoV-2 n’était non seulement pas mortel ni infectieux, mais fut aussi une histoire fictive pour nous distraire de la véritable histoire, celle de ces armes parasites biot-echnologiques lâchées sur l’humanité.

Pourquoi donc les leaders et influenceurs se focalisent-ils sur le narratif au sujet d’un virus respiratoire, de variants et des risques de protéines biologiques produites par des “vaccins” à ARNm, que nous savons maintenant être des armes biologiques ? Les experts ne voient-ils pas la preuve et l’évidence que les gens sont magnétisés ? No voient-ils pas les gens souffrir de bizarres attaques sur leur système nerveux central et sujets à des hallucinations ?

Lorsque des scientifiques et des ingénieurs documentent de la nanotechnologie qui s’auto-assemble depuis les fioles de “vaccins” qu’ils ont reçues en échantillon et du sang de personnes injectées, sommes-nous supposés suivre aveuglément les avis de ces experts accrédités au lieu de croire es preuves et les données offertes par le monde réel ?

On nous enfume à croire cette histoire à dormir debout du COVID-19 mettant en scène le virus SRAS-CoV-2, ses variants, les protéines spike, au lieu d’être informé au sujet de la véritable menace que représente ces armes biologiques parasites à IA qui ont été lâchées sur le peuple américain et les peuples du monde.

Peut-être que Joe Biden a signé le décret sur la biotechnologie et la bio-industrie le 12 septembre 2022 (Biotechnology and Biomanufacturing Executive Order ) déclarant que “Nous avons besoin de développer les ingénieries de bio-technologie et les techniques capables d’écrire sur les cellules comme sur des circuits imprimés et de manière prévisible, programmer la biologie de la même manière que nous écrivons des logiciels et des programmes informatiques…” parce que les Américains ont déjà reçu une installation de “technologie  et d’ingénierie génétique qui peuvent écrire des circuits pour les cellules et ainsi programmer la biologie.”

La distraction autour du virus SRAS-CoV-2, des variants et des protéines spike, combinée avec le déni de l’existence d’armes biologiques à parasites IA est un des mensonges les plus malfaisants de l’histoire de l’humanité.

[…]

Il est grand temps que nous nous unifiions en tant qu’Humanité et que nous mettions à bas ce programme COVID-19.

  • ARRETONS tous les pouvoirs donnés d’urgence pour la COVID-19 et les financements qui leur sont liés
  • Bannissons et rappelons tous les produits et technologies COVID-19
  • Mettons à bas la 5G et StarLink

Si vous voulez soutenir ces actions, rejoignez : join miFight.

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retiré du corps d’un injecté décédé…

= = =

Lectures complémentaires :

Karen Kingston sur Résistance 71

PDF compilation de nos traductions de Karen Kingston

”Le vérritable A. Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique” (notre traduction du livre de RFK Jr en PDF)

« Le virus SRAS-CoV-2 créé en labo à l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill entre 2006 et 2015 »

Notre page “Coronavirus, guerre contre l’humanité” (constamment mise à jour depuis 2019)

Rajout : Le brevet déposé en 2012 sur la préparation de nano-cristaux semi-conducteurs, aussi connus sous le nom de QuantumDot technologie ou Qdot nano-cristal et leur application / utilisation en milieu biologique (source : miFight.org) – PDF – document en anglais :
7-Dispersing_LNP_US20120228565A1

N’oublions jamais non plus qu’… Il n’y a pas de solution au sein du système ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

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Sortons de la fosse à purin propagandiste Covidiste…

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6 puissantes stratégies pour protéger la génération suivante de la dictature technotronique et ne pas laisser se mettre en place la grille de contrôle 5G / NanoTech / Smart Cities (Children Health Defense de RFK Jr)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, colonialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, police politique et totalitarisme, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 11 janvier 2023 by Résistance 71

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6 stratégies de non-conformité pour protéger enfants et adolescents en 2023

Association Children Health Defence

7 janvier 2023

Source de l’article en français : 

https://www.mondialisation.ca/6-strategies-de-non-conformite-pour-proteger-les-enfants-et-les-adolescents-en-2023/5673840

Depuis 2020, les parents doivent faire face à des efforts de plus en plus effrontés de la part des gouvernements, des écoles, des fondations, de Big Tech, de Big Pharma et d’autres pour détourner, blesser ou détruire l’esprit et le corps des enfants.

Loin d’être des réponses fragmentaires ou simplement opportunistes à une « pandémie » commode, ces agressions contre les enfants – et les adultes aussi – sont le reflet d’un programme de contrôle à long terme bien financé visant à la mise en œuvre des identités numériques, le scoring social et « la surveillance et le suivi complets de chaque être humain grâce aux mécanismes déjà en place ».

Lors du rassemblement « Defeat the Mandates » en janvier 2022, le président de la Children’s Health Defense et avocat en chef des litiges, Robert F. Kennedy Jr, a affirmé que « personne dans l’histoire de la planète n’a jamais réussi à se conformer pour échapper à un contrôle totalitaire » et a rappelé au public que « chaque fois que vous vous conformez, vous vous affaiblissez ».

M. Kennedy a également averti, « ils viennent pour nos enfants ».

Comme s’il s’agissait d’une confirmation, des nourrissons, des enfants de maternelle et des étudiants ont été harcelés tout au long de l’année pour recevoir des injections contre la COVID-19, qui leur ont causé des dommages atroces, malgré les preuves accablantes que ces vaccins devaient être retirés du marché de toute urgence.

Conscients de ces dangers et d’autres qui entourent leurs enfants, un nombre croissant de parents ont reconnu la nécessité de la non-conformité.

En gardant la non-conformité comme mot d’ordre pour 2023, voici quelques actions qui pourraient faire une réelle différence dans l’année à venir.

Choisir l’enseignement à domicile

Dans une série en neuf parties écrite au début de l’année, la journaliste Corey Lynn, de Corey’s Digs, a décrit les efforts globaux d’ingénierie sociale – « formation à l’obéissance » – déployés de manière coordonnée dans 110 pays, en partie par le biais de programmes scolaires d’ « apprentissage social et émotionnel ».

Mis en œuvre par des éducateurs, des conseillers et d’autres professionnels dans « les écoles publiques, les écoles à charte, les programmes extrascolaires, les camps d’été, les écoles virtuelles et l’enseignement à distance », l’objectif est, selon Lynn, « de former les esprits, de réguler les émotions, de contrôler les comportements, d’inculquer des croyances tordues et de constituer une main-d’œuvre obéissante ».

Comme le dit Anna L. Noble dans un article paru en avril 2022 dans The Defender, « les écoles constituent un terrain d’essai utile pour expérimenter des moyens de retenir l’attention des enfants, de développer des coups de pouce et de susciter des réponses comportementales souhaitables ».

La cinglante dénonciatrice de l’éducation Charlotte Thomson Iserbyt, ancienne conseillère politique principale du ministère américain de l’éducation, aujourd’hui décédée, a décrié « l’abrutissement délibéré de l’Amérique » et a retracé le passage du système éducatif « de l’académie à la modification du comportement » depuis au moins 1965.

Mme Iserbyt a fait remarquer que le ministère de l’éducation n’existait pas avant sa création en 1979 sous l’administration Carter, déclarant : « La constitution ne prévoit nulle part la création d’un ministère de l’éducation. »

Même les écoles privées, sous la coupe de l’Association nationale des écoles indépendantes [National Association of Independent Schools], semblent avoir perdu tout vestige d’« indépendance », les contrats d’inscription interdisant aux parents de « [voicing] désaccord profond avec la politique ou les programmes de l’école, sous peine d’expulsion ».

Au lieu de continuer à attendre quelque chose de différent d’un système éducatif « abusif », Mme Lynn suggère que l’enseignement à domicile peut être une forme puissante de non-conformité.

De nombreux parents sont apparemment d’accord : en réponse à l’imposition désastreuse par les écoles de mesures telles que l’apprentissage à distance et le masquage en 2020, un nombre record de ménages se sont tournés vers l’enseignement à domicile.

Avant COVID-19, environ 3,4 % des enfants d’âge scolaire étaient scolarisés à domicile, mais au début de l’année scolaire 2020-2021, l’estimation du Bureau du recensement des États-Unis était passée à 11,1 %.

L’enseignement à domicile est aujourd’hui la forme d’enseignement qui connaît la plus forte croissance aux États-Unis.

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Compilation Karen Kingston en PDF

Arrêtez l’empoisonnement

Au début du mois, plus d’un tiers des parents interrogés (35 %) – contre moins d’un quart (23 %) en 2019 – ont remis en question le mandat de vaccination scolaire,

Et ce n’est que le dernier d’une série de rapports traitant de l’ambivalence croissante des parentsà l’égard des vaccins infantiles « de routine ».

Ces tendances suggèrent qu’une masse critique de parents en vient à considérer les vaccins comme un « truc d’escroc », comprenant que les promesses de sécurité des vaccins étaient fausses et empreintes de conflits d’intérêts bien avant l’arrivée des vaccins contre la COVID-19 – et en fait, depuis le tout début des programmes de vaccination des enfants.

Les experts mondiaux en matière de vaccins ont concédé ce point de manière détournée lors d’un sommet mondial sur la sécurité des vaccins organisé par l’Organisation mondiale de la santé fin 2019, comme l’a fait à peu près au même moment la chercheuse danoise Christine Stabell Benn, initiée de longue date aux vaccins.

Mme Benn a déclaré: « Les opposants à la vaccination ont raison d’être inquiets [about safety] », ajoutant :

« Aucun vaccin n’a été étudié pour ses effets non spécifiques sur la santé globale, et avant de les avoir examinés, nous ne pouvons pas réellement déterminer si les vaccins sont sûrs. »

Le collègue de Mme Benn, Peter Aaby, a admis, également en 2019 : « La plupart d’entre vous pensent que nous savons ce que font tous nos vaccins ; ce n’est pas le cas. »

Au milieu de l’année 2021, Mme Benn et M. Aaby ont prudemment plaidé contre les injections contre la COVID-19 pour les enfants dans la très prestigieuse revue scientifique BMJ.

Compte tenu des probabilités choquantes de lésions vaccinales qui prévalaient déjà avant COVID-19 – estimées de manière prudente dans un rapport commandé par le gouvernement en 2010 à un vaccin sur 39 administrés – il n’est pas surprenant que le carnage des piqûres contre la COVID-19 vienne maintenant grossir les rangs des contestataires et des « ex-vaxxers ».

Cependant, la vaccination – même avec sa charge d’ingrédients toxiques connus et non divulguéset son apparente variabilité d’un lot à l’autre – est loin d’être le seul moyen d’empoisonner nos plus vulnérables.

Les parents désireux d’effectuer leurs propres recherches et de forger le propre parcours nutritionnel et sanitaire de leur famille constateront qu’il est peut-être à leur portée de réduire, voire d’éliminer complètement, l’exposition de leurs enfants à d’autres poisons courants tels que les additifs alimentaires, le glyphosate, les pesticides organochlorés et organophosphorés et les médicaments en vente libre comme l’acétaminophène, dont les dangers sont largement sous-estimés.

Réduire le temps passé devant l’écran

En 2006, l’auteur Richard Louv a inventé le terme « trouble déficitaire de la nature » dans le sous-titre de son livre « Last Child in the Woods », suggérant que la « génération branchée » d’aujourd’hui, avec la permission consciente ou inconsciente des parents, a imprudemment privilégié les écrans au détriment du temps passé dans la nature.

Avec l’aggravation des habitudes des enfants face aux écrans au cours des dernières années, le déficit de nature est devenu un « sujet brûlant ».

Des chercheurs inquiets décrivent également comment les écrans supplantent des « activités bénéfiques pour le développement » aussi fondamentales que le sommeil, l’activité physique, les interactions familiales et la lecture de livres.

Le problème connexe de l’addiction aux écrans ou aux médias sociaux – lié non seulement à l’insomnie mais aussi aux troubles de l’alimentation et à des conséquences comme le suicide – est devenu l’objet de poursuites judiciaires alléguant que les sociétés de médias sociaux déploient « agressivement » des algorithmes conçus pour rendre les enfants et les adolescents dépendants.

Découvrant le rôle majeur que les « influenceurs sociaux » semblent jouer dans le phénomène explosif de la « dysphorie de genre à apparition rapide » chez les filles, l’auteur Abigail Shrierrecommande dans son livre, « Irreversible Damage : The Transgender Craze Seducing Our Daughters », est de ne pas donner de smartphone à sa fille.

Comme l’explique Catherine Austin Fitts, de « Financial Rebellion » et du Solari Report, « les enfants sont la cible de certaines des personnes les plus puissantes et des technologies les plus dangereuses de la planète » , et c’est aux parents de « comprendre cela et de les protéger ».

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Apprenez aux enfants à utiliser de l’argent comptant, pas du plastique

Fin 2020, le directeur général de la Banque des règlements internationaux, Augustín Carstens, a fait part de la vision hostile des banquiers centraux d’un système monétaire permettant le contrôle total de toutes les transactions par le biais des monnaies numériques des banques centrales [central bank digital currency (CBDC)] qui, de manière inquiétante, permettraient également aux banques centrales d’activer et de désactiver l’argent des gens à volonté.

Malheureusement, les jeunes générations se dirigent résolument vers cette vision dystopique. Selon une étude réalisée par Capital One en 2021, les milléniaux « délaissent de plus en plus les dépenses en espèces » au profit des systèmes de paiement numériques.

Dans un souci de commodité, certaines banques – qui semblent ignorer que les CBDC menacent leur propre avenir – font la promotion de l’agenda sans numéraire en proposant aux lycéens des cartes de débit qui font également office de carte d’identité scolaire, en disant aux parents qu’ils n’auront plus à « s’inquiéter de la perte de l’argent du déjeuner ».

Mme Fitts est une fervente partisane de la revitalisation de l’ utilisation de l’argent liquide.

Les parents peuvent aider en étant eux-mêmes des modèles d’argent liquide, mais aussi en faisant en sorte que leurs enfants « commencent à manipuler de l’argent liquide dès leur plus jeune âge ».

En 2015, la rédactrice en chef Janet Bodnar du Kiplinger’s Personal Finance a estimé que « l’utilisation d’argent comptant est le meilleur moyen d’amener les jeunes esprits à penser sagement à l’argent », y compris les adolescents plus âgés qui peuvent bénéficier de « la discipline de la gestion d’une réserve d’argent réel ».

Mme Bodnar a rejeté comme imparfait l’argument parental selon lequel le plastique peut enseigner aux enfants la « responsabilité financière ».

Un expert britannique en mathématiques a déclaré au Guardian en 2021 : « Être capable de manipuler de l’argent et d’acheter quelque chose soi-même est très spécial : cela renforce votre confiance avec l’argent. »

Ne tombez pas dans les pièges de la santé mentale

Au fil des ans, de nombreux parents ont appris à se méfier des recommandations émanant des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), une agence tellement habituée aux conflits d’intérêts et à la fausse science qu’elle n’a pas honte de faire appel au même cabinet de relations publiques que Big Pharma.

Ainsi, les appels en faveur d’un dépistage accru de la santé mentale et d’un accès plus large aux « soins » – de la naissance au début de l’âge adulte – lancés par les CDC et les groupes de façadeCDC/pharma comme l’American Academy of Pediatrics méritent un examen minutieux.

Comme l’a récemment souligné The Defender, la surveillance psychiatrique du berceau à la tombe est un outil furtif de contrôle social, et risque également d’avoir des conséquences stigmatisantes et potentiellement mortelles comme le surdiagnostic, la surmédicalisation et la surmédication.

Les écoles servent de plus en plus de mécanisme de prestation de services pour le dépistage et les services de santé mentale, mais comme l’a fait l’organisation de la Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme (CCDH) – un groupe de surveillance de la santé mentale – a prévenu dans une fiche d’information que les outils de dépistage de la santé mentale « subjectifs et non scientifiques » que les écoles utilisent sont « développés par des psychiatres ayant principalement des liens financiers avec l’industrie pharmaceutique ».

Selon la CCDH :

« Le dépistage de la santé mentale pose aux jeunes étudiants des questions embarrassantes, personnelles et potentiellement bouleversantes que les psychiatres ont formulées de telle manière qu’aucun étudiant ne pourrait échapper à l’étiquette de malade mental à un moment ou à un autre de sa scolarité. »

La CCDH ajoute : « Ces questionnaires peuvent déboucher sur une intervention psychologique ou psychiatrique dans la vie d’un enfant et de sa famille – souvent contre leur gré ou sous la menace. »

Pour les foyers qui ne pratiquent pas l’enseignement à domicile, le groupe de surveillance recommande aux parents de prendre conscience de ce qui se passe, de signer des formulaires d’exemption avant tout dépistage ou conseil en matière de santé mentale et de « s’unir pour faire expulser le dépistage psychiatrique des écoles ».

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Cessez de financer l’ennemi

L’auteure et chercheuse Naomi Wolf a récemment bravé le froid devant son alma mater, l’université de Yale, pour démontrer que le vaccin contre la COVID-19 imposé par l’université transforme les étudiants en « otages médicaux » et constitue un trafic d’êtres humains.

Dans son compte rendu de la visite à Yale, Mme Wolf décrit les conversations avec les parents, qui ont déclaré que « leurs enfants les avaient suppliés de ne pas parler, de ne pas appeler le doyen, de ne pas plaider en leur faveur pour les protéger de ces injections, de quelque manière que ce soit », par crainte de représailles et d’expulsion.

Cependant, les parents ont le devoir de s’assurer que leurs jeunes comprennent ce qu’ils échangent contre le prestige – y compris, potentiellement, leur santé, leur fertilité future ou leur vie.

En outre, même si, comme le prétend Mme Wolf, les universités sont désormais plus redevables aux contrats gouvernementaux qu’à ceux qui paient les frais de scolarité, les étudiants et leurs parents représentent toujours un bloc économique puissant capable de voter avec ses pieds.

L’un des outils à la disposition des parents, suggère Mme Wolf, est de mettre les dons potentiels sous séquestre pour montrer aux universités les fonds qui leur échappent.

Mais les parents qui donnent à leurs étudiants actuels ou futurs la permission et le courage de fuir tout établissement d’enseignement supérieur qui se montre prêt à les empoisonner et à les priver de leurs libertés constitutionnelles peuvent offrir à leurs enfants une leçon de vie encore plus puissante.

Un lycéen qui a reconnu que « les mandats ne cesseront pas tant que nous participerons » a élaboré une lettre destinée aux bureaux d’admission des universités (disponible comme modèle pour d’autres) qui dit ceci :

« Pour l’instant, je n’envisage que les écoles, collèges et universités qui n’exigent pas de vaccin contre la Covid-19, c’est-à-dire la série initiale, les rappels éventuels et les exigences à venir pour être considéré comme « à jour ». La liberté médicale et l’autonomie corporelle sont ma priorité absolue. »

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Le futur planifié pour nous en une photo-montage…

Dites non à la grille de contrôle

Bien que cet article se soit concentré sur les mesures visant à protéger les jeunes, la grille de contrôle – sous la forme d’interventions telles que les identifications numériques, les passeports vaccinaux et les CBDC – s’en prend également aux adultes.

Comme M. Kennedy l’a écrit dans la postface de son best-seller, « The Real Anthony Fauci », « Nous pouvons nous incliner et nous conformer… Ou nous pouvons dire non. Nous avons le choix, et il n’est pas trop tard. »

L’émission « Financial Rebellion » de la CHD.TV propose chaque semaine des suggestions sur la manière de ne pas se conformer.

Selon les mots de M. Kennedy :

« Nous pouvons dire non à la conformité avec les vaccins pour le travail, non à l’envoi des enfants à l’école avec des tests et des masques forcés, non aux plateformes de médias sociaux censurées, non à l’achat de produits des entreprises qui font faillite et cherchent à nous contrôler. Ces actions ne sont pas faciles, mais vivre avec les conséquences de l’inaction serait bien plus difficile. En faisant appel à notre courage moral, nous pouvons arrêter cette marche vers un État policier mondial. »

= = =

Il n’y a pas de solution au sein du système ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

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Merci Jo…

COVID-19 : guerre biologique contre l’humanité… Que s’est-il passé à Wuhan ? (Karen Kingston)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, Internet et liberté, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et social, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , on 20 décembre 2022 by Résistance 71

 

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Karen Kingston on the Stew Peters Show

 

“Il est important de bien comprendre que les “virus à gain de fonction” ne sont simplement que des codes ARNm. L’ARNm n’est pas en elle-même une substance bio-synthétique, l’ARNm est un code de logiciel. Le SRAS-CoV-2 n’est pas un virus, c’est un code de logiciel programmé dans des nanoparticules.” (Karen Kingston)

COVID19 : Que s’est-il passé à Wuhan, quelques 7,5 milliards de personnes ont le droit de savoir

D’après EcoHealth Alliance, la COVID19 est une attaque biologique mondiale pré-plannifiée, qui a utilisé des “armes biologiques vaccins” à nanoparticules sous forme aérosol, mais fut décrite comme une pandémie “virale” par les Etats-Unis et les médias du monde.

Karen Kingston

15 décembre 2022

Url de l’article original :

https://karenkingston.substack.com/p/what-happened-in-wuhan-75-billion

Le lundi 12 décembre 2022, je fus interviewée dans l’émission de Stew Peters. A la fin de l’entretien, il me demanda un question très directe : “Que s’est-il passé à Wuhan ?”

Immédiatement, mon cerveau a commencé à se rappeler des douzaines de documents ainsi que les images de Wuhan diffusées par les médias et des vidéos de l’USAGM et de Voice of America (NdT : officines de la CIA)

Bien que ceci représentait le centre en retrait parfait dans la surface de réparation, but vide, je me suis loupée dans ma réponse.

J’ai donc contacté le producteur de l’émissions de Stew Peters hier et lui ai demandé si je pouvais revenir sur les ondes pour répondre directement à la question de Stew. Il fut très sympa de m’accorder de retourner dans l’émission et j’y ai donc fait la déclaration suivante :

“Les résidents de Wuhan et d’autres villes de Chine, d’Italie et des Etats-Unis furent les victimes d’une attaque biologique coordonnée par nanoparticules, une attaque aux nanoparticules qui utilise les mêmes nanoparticules (same nanoparticles) qui sont dans tous les “vaccins” COVID19 à ARNm. La plupart des victimes ont été infectées par des nanoparticules émanant d’une attaque directe par aérosol, par transmission de surface ou par contamination de la nourriture et des breuvages.

Les citoyens américains devraient être horrifiés d’apprendre que l’agence EcoHealth Alliance, le NIH (NdT : du Dr Fauci), le ministère de la défense et d’autres départements au sein de l’administration gouvernementale américaine (US government) se réfèrent aux Nano Particules Lipidiques (NPL) ou nanocarriers / nano-transporteurs, comme une technologie vaccinale pouvant délivrer une toxine, une arme chimique et/ou une arme biologique.

La proposition de l’EcoHealth Alliance à la DARPA (Defense Advanced Research Projects Agency du Pentagone) identifie clairement les armes biologiques à nanoparticules comme des protéines “spike”, des nanoparticules protéine spike qui sont des “vaccins de chauve-souris”. EcoHealth explique le plan de “vacciner” des résidents de villes sélectionnées de Chine ainsi que des résidents des Etats-Unis avec les “vaccins de chauve-souris” à nanoparticules protéines spike via une attaque aérosol, par transmission de surface, par contamination de la nourriture et des breuvages. Les objectifs des vaccins-chauve-souris à nanoparticules sont de supprimer le système immunitaire humain tout en transformant les êtres humains en porteurs de maladies mortelles.

La proposition à la DARPA fait état que EcoHealth Alliance demandera au CDC de “vacciner des chauve-souris vampires sauvages” aux Etats-Unis. L’armée américaine aura une appli de façon à pouvoir tracer toutes les “chauve-souris vaccinées”.

Il y a quatre points très importants qui doivent être exposés en regard de Wuhan, du SRAS-CoV-2 et de la COVID-19 :

  • Il n’y a pas eu de décès de masse par COVID19 en 2020. Beaucoup de gens sont tombés malades, certains très malades, certains oui sont même morts ; mais 99,99% ne sont pas morts. EcoHealth fait état que l’objectif des “vaccins à nanoparticules” est d’affaiblir les systèmes immunitaires ainsi les animaux (dont les humains) peuvent transporter des virus létaux sans en mourir. Les diagnostiques de COVID19 en 2020 furent des diagnostiques purement basés sur des récompenses financières et étaient frauduleux.
  • La COVID19 est provoquée par une arme biologique avancée à nanoparticules qui utilise la technologie ARNm pour stratégiquement détériorer et détruire les systèmes cardiovasculaires, neurologiques, immunitaires et reproducteurs. La COVID19 n’est pas provoquée par un virus que ce soit par gain de fonction ou de manière sauvage.
  • Finalement, les victimes qui furent initialement inoculées par l’arme biologique en 2020 ne furent jamais hautement contagieux, ni même  contagieux du tout. La première salve d’armes biologiques à nanoparticules ne contenait pas de codes ARNm. Ces armes furent des “balles à blanc”. Il y avait aussi plus de 200 séquences ARNm du SRAS-CoV-2 au début de 2020. Le virus ne fut jamais isolé parce que de multiples séquences ARNm furent lâchées dans la nature. Au ground zero du marché de Wuhan, les 9 patients qui furent utilisés pour séquencer le SRAS-CoV-2 n’ont pas eu de séquences conformes. Il est scientifiquement impossible pour un virus de muter à une telle vitesse.
  • En ce qui concerne les injections, le sergent Jason Murphy du corps des Marines des Etats-Unis, déclare dans sa lettre que quand les victimes sont injectés directement avec des nanoparticules ARNm dans le sang, cela a pour effet de les transformer en laboratoires d’armes biologiques à gain de fonction qui les rend aussi capables de contaminer d’autres personnes.

Des détails soutenant ces déclarations peuvent être trouvés dans le document de l’EcoHealth Alliance au DARPA et sont corroborées par des publications peer-reviewed en ce qui concerne les attaques en Chine, en Italie et aux Etats-Unis, ainsi que par des publications scientifiques et des documents des fabricants en regard de la technologique à nanoparticules, incluant les brevets enregistrés.”

Note: Il est important de bien comprendre que les “virus à gain de fonction” ne sont simplement que des codes ARNm. L’ARNm n’est pas en elle-même une substance bio-synthétique, l’ARNm est un code de logiciel. Le SRAS-CoV-2 n’est pas un virus, c’est un code de logiciel programmé dans des nanoparticules.

Les nanoparticules d’ARNm peuvent induire des mutations génétiques étrangères permanentes dans le génome d’une espèce. La technologie à nanoparticule ARNm est utilisée pour induire des maladies auto-immunes irréversibles chez les animaux et pour créer des espèces hybrides, des virus aux bactéries aux plantes et animaux en passant par les êtres humain et l’IA.

Entre les mains de malfaisants qui ont accès aux ressources et à des systèmes d’infrastructures dont dépendent toutes formes de vies, les NPL d’ARNm sont capables de mener une espèce à l’extinction en un an, ce incluant l’espèce humaine.

Dans le contexte de la Proposition DARPA, les codes ARNm font parties de programmes de logiciels pour la technologie des NPL de protéine spike. Après que les nanoparticules aient détourné les cellules du corps humain (par absorption), ces nanoparticules sont capables de modifier génétiquement les cellules avec leurs codes ARNm programmés pour transformer les cellules humaines en des usines à fabrication de “protéine spike” toxiques.

* Les documents d’EcoHealth Alliance dont il est fait référence dans cet article peuvent être trouvées sur Project Veritas.

ARNm_myocardite

Ci-dessous, l’analyse et documents (voir article original en anglais) confirmant l’attaque planifiée, bien coordonnée aux armes biologiques à Wuhan en Chine et aux Etats-Unis.

EcoHealth Alliance réfère les armes biologiques à nanoparticules ARNm pour protéine spike comme étant des “vaccins chauve-souris” dans la proposition à la DARPA du Pentagone du 24 mars 2018

D’après la proposition d’EcoHealth Alliance à DARPA, son spécialiste Ralph Baric (qui a reçu plus de 100 millions de dollars de financement pour le gain de fonction du NIH au travers de lUniversité de Caroline du Nord, Chapel Hill, EcoHealth et al.) a mené l’équipe de scientifiques d’EcoHealth dans sa recherche et sa création de protéines spike de SRAS-CoV-2, les transformant en armes biologiques et qui les ont incorporées dans des nanoparticules (ARNm).

“Nous développerons des protéines spike recombinantes depuis des virus SRAS-CoV connus (SRAS-CoV-2)… reconstruction des trimères de la “spike”… les incorporer dans des nanoparticules.

D’après les documents et graphiques d’EcoHealth et de DARPA, la description de “vaccins de chauve-souris à nanoparticule de protéine spike” correspond presque parfaitement à beaucoup d’images et de descriptions des NPL ARNm des injections anti-COVID19. (Ainsi qu’aux images des protéines spike publiées par les médias et sur internet)

Bizarre, vous avez dit bizarre ?…

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Karen Kingston sur Résistance 71

Notre page constamment mise à jour depuis 2019 : « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

 

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COVID-19, ARNm et conspiration mondialiste : bilan de trois ans de guerre biologique contre l’humanité (Résistance 71)

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Affaire COVID-19 et conspiration mondialiste : une guerre biologique ouverte contre l’humanité

Petit bilan de trois ans (2020-2021-2022) de dictature et d’enfumage sanitaires, Que savons-nous et où allons-nous ?

Résistance 71

Décembre 2022

Note : pour les références de ce que nous avançons et analysons ci-dessous, voir notre page constamment mise à jour depuis 2019 “Coronavirus, guerre contre l’humanité” et la masse d’information traduite par nos soins contenue sur cette page. Voir aussi nos notes de lecture sous le texte.

Connaissez-vous la petite fable de dame tyrannie attribuée au dramaturge Bertold Brecht ? La voici : « Un homme vivant seul répond à une frappe à sa porte. Devant lui se tient Tyrannie, armée et toute puissante qui lui demande: ‘Te soumettras-tu ?’ L’homme ne répond pas et la laisse entrer. L’homme la sert durant des années, puis Tyrannie devient malade par empoisonnement de sa nourriture. Elle finit par mourir. L’homme ouvre alors sa porte, se débarrasse du corps encore chaud, retourne dans sa maison, ferme la porte derrière lui et dit: ‘Non ! » 

Sa portée est suffisamment explicite et se passe de commentaire superflu.

Depuis trois ans, dame tyrannie a sonné à la porte de l’humanité et nous l’avons laissée entrer sous couvert d’une sécurité sanitaire des plus douteuses. Où en sommes-nous ? Pourrons-nous nous en débarrasser comme dans la fable ? Dans ce petit bilan analyse, vital pour notre (sur)vie future, nous analyserons qui est à l’origine de tout cela et depuis quand, qui en profite ? Nous analyserons le niveau de corruption des systèmes impliqués et l’objectif final de cette ignominie planétaire avant d’analyser le chemin de sortie du piège eugéniste se refermant sur une humanité rendue servile et apeurée depuis des décennies de propagande abrutissante.

Depuis 2020 donc, que savons-nous de cette affaire planétaire COVID ?

Nous savons que le département de recherche biologique du Pentagone (DARPA) travaille sur la nanotechnologie et les Polyéthylène Glycols ou PEG depuis au moins 2012. Les PEG sont la technologie qui permet la fabrication des Particules Nano Lipidiques (PNL) intervenant dans tous les systèmes de “livraison” à ARN messager ou ARNm.

Nous savons que le virus SRAS-CoV-2 provoquant la COVID19, a été créé en laboratoire. D’abord entre 2006 et 2015, au laboratoire de l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill, avec du matériel génétique viral provenant de Chine, puis a été récupéré par le Pentagone pour être mis sous forme d’arme biologique, non pas tant au niveau du virus lui-même, que de sa soi-disant prévention en forme injectable ARNm, les soi-disants “vaccins” qui eux sont des armes biologiques de grade militaire.

Nous savons que le tsar de la santé américain depuis 1984, le Dr Anthony Fauci, a monté un système mafieux redoutable de contrôle total des processus de recherches (associés au Pentagone), de réglementation et d’autorisation des produits pharmaceutiques mis sur le marché par le truchement des agences sanitaires qu’il contrôle avec quelques uns de ses sbires, le NIH, le CDC, les HHS et bien sûr le NIAID, son institut de recherche fédérale sur les allergies et les maladies infectieuses.

Nous savons que Fauci a commencé ses fraudes médicamenteuses dans l’ère VIH / SIDA des années 80 et n’a fait depuis que consolider son pouvoir et son emprise mafieuse sur les agences gouvernementales yankees ainsi que sur l’OMS.

Nous savons que Fauci s’est allié il y a plusieurs années avec Bill Gates et sa fondation, pour les financements, retour sur investissements et le contrôle de l’OMS. En 2020, la fondation Gates était le second pourvoyeur de fonds de l’OMS derrière le gouvernement fédéral américain. Ce qui veut dire en clair que toute la politique de santé mondiale émanant de l’ONU est dictée, directement ou indirectement, par le NIH / NIAID du Dr Fauci et par la Fondation Bill & Melinda Gates, dont l’origine eugéniste profonde n’est plus à démontrer (Le père de Bill Gates était un directeur de Planned Parenthood, une des branches successives post-seconde guerre mondiale de l’American Eugenics Society, le fils ne faisant que poursuivre le boulot entrepris il y a des décennies par son père). Fauci et Bill Gates, par leur alliance, ont phagocyté les agences de santé américaines et onusienne pour leur profit et le profit de leur idéologie eugéniste génocidaire néo-malthusienne.

Nous savons que si le virus SRAS-CoV-2 a été fabriqué en laboratoire (Etats-Unis, puis Wuhan-Chine), celui-ci ne fut que le leurre servant à apeurer, terroriser les populations pour qu’elles acceptent de se faire injecter avec l’arme biologique à ARNm, préservant ainsi les “élites” auto-proclamées, technologies ARNm diffusées par les entreprises privées Pfizer-BioNtech, Moderna, Johnson & Johnson et autres multinationales sous contrôle du complexe militaro-industriel dont elle est issue.

Nous savons que la COVID19 n’a tué que 0,03% des gens infectés dans le monde, presque tous ayant plus de 80 ans et souffrant de multiples pathologies et facteurs de co-mortalité. Ce qui veut dire en clair que 99,97% des gens infectés par le virus (dont l’auteur de ces lignes) ont survécu sans aucun problème à l’infection.

Nous savons que les tests RT-PCR gonflés à Ct=40 n’ont fait que produire des résultats falsifiés et des quantités astronomiques de faux positifs, ce contribuant à la distillation voulue de la terreur virale dans les populations crédules, préparant le terrain psychologique pour l’attaque biologique qui allait suivre.

Nous savons que ces “tests” ne sont pas des tests mais que la technique PCR n’est qu’une usine de reproduction génétique comme l’avait dit son inventeur Kary Mullis en son temps.

Nous savons que ces tests n’ont en fait servi qu’à collecter des données génétiques et à implanter des NPL dans le système laryngo-pharyngé des patients “testés”…

Nous savons qu’il y a des médicaments génériques efficaces contre la maladie COVID19 (hydroxychloroquine et ivermectine pour ne citer que ceux-là, l’auteur de ces lignes et son entourage ont été traités remarquablement et efficacement à l’ivermectine…) et qu’il n’y a en rien besoin d’injections ARNm pour enrayer l’épidémie et surtout pour diminuer les charges virales des gens infectés et enrayer la contagion.

Nous savons par l’analyse des brevets accordés à la technologie ARNm, notamment à Moderna, que ces injections sont des armes biologiques déployées contre l’humanité. Que la protéine “spike” virale injectée est en fait un parasite bio-nano-technologique à Intelligence Artificielle (IA).

Nous savons par les statistiques VAERS et autres, que les injections armes biologiques à ARNm ne sont ni sûres (jamais testés bien entendu, puisque la campagne d’injection mondiale EST le test…), ni efficaces (infection et contagion sont rampants chez les injectés, 83% des gens hospitalisés en relation avec la COVID en 2021-22 sont des doubles ou triples injectés à ARNm…)

Nous savons que la protéine “spike” est produite dans le corps longtemps après injection et provoque de nombreux effets secondaires indésirables allant de la simple allergie à la mort en passant par des AVC, myocardites, péricardites, abondants caillots sanguins altérant le système circulatoire, développement de “structures” protéiques dans les corps des injectés provoquant des troubles voire arrêts de la circulation et des thromboses, AVC et autres crises cardiaques surtout dans les jeunes générations.

Nous savons que les NPL traversent la barrière hémato-cérébrale et que par transcryptase inverse interne aux cellules, elles changent le génome des injectés. Que ceci est connu et que les autorités sanitaires ont sciemment menti à ce sujet.

Nous savons qu’il y a connexion de Big Pharma, des gouvernements et des géants de l’investissement Black Rock et Vanguard, poissons pilotes de la City de Londres et de sa succursale de Wall Street.

Nous savons que cette connexion a mené à un niveau de corruption des gouvernements, des médias et des agences de santé, sans précédent dans l’histoire.

Nous savons que les médias vendus et achetés depuis belle lurette ont eu un rôle clef dans la diffusion de la propagande de la terreur pour imposer la fausse solution “vaccinale”, avec des substances géniques mortifères non testées et qui ont pour but la quasi éradication, à terme, de l’espèce humaine.

Nous savons qu’il y a convergence de cette crise planifiée vers la pseudo-solution planétaire proposée par ceux-là même qui ont créé le problème, au sein du Forum Economique Mondial FEM / Davos, emmenés par les grands prêtres de la nouvelle religion transhumaniste Klaus Schwab de descendance nazie et son mignon idéologue et historien eugéniste Yuval Noah Harari.

Nous savons que, le temps passant, de plus en plus de gens s’éveillent à la supercherie et au crime commis et que donc le temps est aussi venu pour la pourriture mondialiste de faire passer la crise sanitaire fabriquée vers une crise pseudo-“climatique” toute aussi fabriquée. De faire passer les populations de l’acceptation des confinements sanitaires aux confinements climatiques “pour sauver la planète”.

Nous savons que tout cela passe par l’établissement d’une nouvelle société séquestrée dans les “smart-cities” / villes “intelligentes”, les districts 15 minutes où tout sera géré et centralisé à coup de connexions 5G d’internet des choses et des corps devenus choses, de contrôles sanitaires et climatiques / énergétiques, de crédit social, le tout passé sur carte d’identité numérique implantée dans les corps via la nanotechnologie ARNm, maintenue sous tension par les ondes électro-magnétiques 5G et les radiations LED… bref une “Grande Réinitialisation” de notre société dégénérée, allant dans le sens de l’idéologie eugéniste transhumaniste dominante.

Nous savons que cela est le but final de l’oligarchie gérant le système étatico-marchand dans sa phase capitaliste réelle terminale en cours d’implosion, car c’est la seule solution possible et logique à l’effondrement systémique en cours : métamorphoser le capitalisme monopoliste en dictature technotronique planétaire où le “capital” ne sera plus nécessaire le contrôle absolu étant achevé. Résoudre la question posée par le cynique Harari du “Que va t’on faire de tous ces gens inutiles ?” par le totalitarisme du goulag urbain placé sous stéroïdes 5G et ARNm, la limitation, la réduction du “cheptel humain” et le contrôle par crédit social du reste des esclaves, maintenu en place pour servir la clique parasitaire du haut de la pyramide.

Nous savons que depuis plus d’un siècle et demi, le pensée dominante est celle du darwinisme-social teintée de néo-malthusianisme ; une pensée élitiste, égocentrique, focalisée sur les privilèges de caste et la haine de l’humanité, de cette “plèbe” vue comme nuisance, alors que cette pourriture élitiste d’un système criminel institutionnel obsolète, n’est de fait que parasitisme de l’ordre naturel bien ordonné des choses.

Nous savons que la seule voie de sortie de cette ignominie dictatoriale qui se met en place est par le haut, par le peuple, ce peuple humain qui, durant des centaines de milliers d’années a évolué sans contraintes, sans coercition et sans violence sociale de domination.

Nous savons que la violence, la guerre, le contrôle étatique centralisé,  le rapport marchand, la religion, l’argent, le salariat sont des constructions sociales en rien inéluctables, des commodités ne servant qu’un seul maître et en rien l’humanité dans son ensemble ; que nous pouvons en sortir en disant simplement NON ! Individuellement et collectivement simultanément et que nous pouvons construire une société des sociétés changeant de mode relationnel, embrassant la complémentarité de notre diversité tout en refusant le rapport antagoniste systématique ne menant qu’à la division, la destruction et au nihilisme.

Nous savons que si nous laissons faire la pourriture criminelle mondialiste, celle-ci refermera la grille de contrôle technotronique sur des peuples apeurés et abrutis de propagande ; elle n’a de toute façon plus le choix, il en va aussi de sa survie en tant que telle. Suivre le chemin sur lequel nous mènent les psychopathes aux manettes débouchera sur notre mort physique et sociale. Sortir, prendre la tangente de ce cercle vicieux de violence et de division, nous mènera à enfin réaliser notre humanité par cette créativité qui nous est propre ; à devenir ceux que nous sommes sans le savoir encore vraiment. A choisir la Vie, l’Amour et l’Harmonie contre la mort, la haine et le chaos.

Au bout du compte…

Nous savons, viscéralement, qu’il n’en tient qu’à nous…

Nous savons qu’il nous faut cesser d’avoir peur…

Nous savons ce qu’il y a à faire… vraiment…

Alors qu’attendons-nous ?…

Le texte en format PDF à télécharger :

COVID_Bilan_Trois_ans_Guerre_Biologique_vs_humanite

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Lectures complémentaires :

Notre page “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

Notre page “Anthropologie politique”

Notre traduction du livre de Robert F. Kennedy Jr (PDF):

“Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique”

Notre testament politique :

Du chemin de la société vers son humanité réalisée (PDF)

N’oublions jamais :

Il n’y a pas de solution au sein du système ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

 

coercition

experience-de-milgram-rien-241122

MAIS …

on-ne-se-soumettra-pas-r71

GJVH

Lire les brevets et documents sur la technologie ARNm utilisée dans les pseudovax COVID19 et convenir qu’il s’agit bien d’armes biologiques de destruction massive (Karen Kingston)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 7 décembre 2022 by Résistance 71

 

KarenKingston1

 

Sommes-nous tous d’accord maintenant pour dire que ces injections ARNm anti-COVID19 sont des armes biologiques…

Quand est-ce le bon moment pour informer les Américains (et le monde) qu’ils ont été soumis à une guerre psychologique et biologique par leurs propres gouvernements sous le couvert de santé publique et de sécurité ?

Karen Kingston

5 décembre 2022

Url de l’article original:

https://karenkingston.substack.com/p/do-we-all-agree-that-the-covid-19

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Article suite de Karen Kingston:
https://resistance71.wordpress.com/2022/12/09/arretons-de-proteger-les-criminels-genocidaires-responsables-de-lhecatombe-arnm-covid19-en-appelant-ces-injections-de-leur-nom-veritable-armes-biologiques-karen-kingston/ 

“Qu’y a t’il dans les injections ARNm ?” Fut une des questions les plus posées en 2021. Le 28 juillet 2021, j’ai été interviewée par Stew Peters pour répondre à cette question.( July 28, 2021) Pendant l’entretien, j’ai mis en évidence le contenu des brevets des vaccins ARNm anti-COVID19 et la documentation des fabricants démontrant que ces injections à ARNm étaient des armes biologiques éditant, transformant le génome et contenant des technologies électroniques de pointe (l’oxyde de graphème), qui ne pouvaient que causer des maladies, des handicaps et la mort. Après que l’interview fut diffusée, j’ai été contactée par nos leaders du mouvement et nous avons travaillé ensemble pour que ces injections ARNm anti-COVID19 soient rappelées, retirées de l’utilisation publique et criminalisées

Non, je plaisante. Voyez-vous, les preuves que j’ai présentées durant cet entretien (interview) n’étaient pas alignées avec le narratif alternatif 2021 sur la COVID-19. Ce narratif alternatif disait que “les vaccins anti-COVID19 sont sûrs et efficaces pour certaines personnes”, puis plus tard cela évolua pour dire que “cela devait rester un choix.

Je n’ai jamais cru au grand jamais que quiconque devait avoir le choix de se faire injecter, ou pas, ainsi que ses enfants, avec une arme biologique militaire. Une arme biologique qui utilise les technologies de transformation génique ARNm pour infliger aux personnes des dégâts permanents, des invalidités, de graves maladies et souvent causant une mort immédiate ou quasi-immédiate.

Je pense que si le peuple américain avait été correctement informé au sujet de ce que contiennent ces injections ARNm et avait été mis en garde que ces injections sont des armes biologiques militaires faites pour causer de graves maladies, des invalidités et la mort, les gens auraient illico demandé que ces injections soient retirées du marché et soient criminalisées dans chaque état des Etats-Unis.

Pendant mon entretien avec Stew Peters en juillet 2021, j’ai été on ne peut plus claire sur le fait que le peuple américain a été trompé et a été profondément trahi par ses leaders et toutes ces personnes d’influence auxquelles il faisait confiance. J’ai dit et répète que ces injections à ARNm anti-COVID19 sont des armes biologiques faites, conçues pour provoquer des maladies graves, des handicaps et la mort. (designed to cause disease, disabilities, and death)

… Ces injections à ARNm utilisées sous autorisation “d’urgence” sont non seulement le but de toute cette campagne de mensonges et de propagande pour terroriser les gens afin qu’ils se fassent injecter.. mais ces choses ne sont pas des vaccins, il n’y a aucun bénéfice pour votre santé si vous vous faites injecter. Les seules choses que ces injections puissent faire c’est vous rendre malade, invalide et vous tuer.” ~ Karen Kingston, Stew Peters Show, 28 juillet 2021 ~

En mai 2021, j’ai envoyé un courriel à des douzaines de médias, de gens d’influence, de médecins et de représentants politiques et de gouvernement. Je crois toujours en ce que j’ai écrit il y a plus de 20 mois de cela, à savoir que je pense que si quelqu’un ayant une expertise jetait un œil sur les documents de la FDA, sur les brevets et les recherches sur le “gain de fonction”, que j’ai inclus dans mon courriel aux médias etc, ces experts concluraient exactement de la même façon que je l’ai fait, c’est à dire que les injections à ARNm anti-COVID19 sont des armes biologiques utilisant une technologie de pointe avancée de nanoparticules lipidiques (NPL).

“Le plus important est l’attachement intitulé Brevet SM-102, qui est le brevet mondial pour la Nano Particule Lipidique ou NPL de l’ARNm, accordé par WIPO à Moderna le 6 août 2020. S’il vous plait, ayez un expert en recherche médicale sur les maladies auto-immunes analyser ce brevet et ceux mis en lien dans ce courriel. Je pense qu’ils concluront que ces injections ARNm sont des armes biologiques qui contiennent des virus OGM à gain de fonction et des toxines sous le couvert de vaccins thérapeutiques à ARNm combinés avec une plateforme ‘diagnostique / thérapeutique’ NPL. Par les dires même du brevet les NPL peuvent cibler des organes ou des systèmes organiques particuliers dans le corps, incluant mais n’étant pas limité aux systèmes reproductif, cardio-vasculaire, pulmonaire et du Système Nerveux Central (SNC), ayant la particularité de traverser la fameuse barrière hémato-neurologique (sang-cerveau).
– Karen Kingston, May 2021, 911 email to media, doctors, and government officials

L’information de ce que les injections ARNm sont des armes biologiques n’est pas nouvelle. La raison pour laquelle la plupart des gens ne sont pas au courant de cela n’est pas que le preuve de ceci n’est pas disponible ou pas fiable. C’est parce que nos experts scientifiques, médicaux et légaux ont décidé que “ce n’était pas dans leur meilleur intérêt” que de le dire aux gens, de dire qu’en fait ces injections à ARNm sont des armes biologiques.

En 2021, je fus conseillée par des experts que se référer précisément aux injections COVID19 comme des armes biologiques seraient trop pour les gens et serait aussi trop source de peur ; que les gens se fermeraient à l’info comme des coquillages. Ceci n’a aucun sens. Les Américains furent terrorisés à accepter de se laisser mettre en résidence surveillée, en confinement en mars et avril 2020 pour soi-disant contre-carrer les effets d’un virus mortel et duquel pourtant ils avaient 0% de chances de mourir.

La majorité du peuple américain a cru un mensonge fondé sur absolument aucune preuve, mais fondé exclusivement sur une propagande constamment répétée. Il est absurde de dire que ce serait “trop” que les citoyens soient informés au sujet de la véritable arme biologique prouvée causer mort et dégâts importants aux organismes. Que c’est “trop” de leur fournir une information et la preuve que les “vaccins” ARNm sont toxiques et que cette information pourrait de fait leur sauver la vie et la vie de leurs enfants.

En fin de compte, la raison pour laquelle certains de nos amis et de nos voisins ne veulent pas écouter la vérité au sujet de ces injections ARNm anti-COVID19, que ce sont en fait des armes biologiques, est parce que pas assez de gens sont enclins à leur dire la vérité. Les gens croient les mensonges parce qu’on leur répète encore et encore et encore, mensonges répétés par des personnes en qui ils ont confiance. C’est aussi simple que cela.

Imaginez ce qu’il se passerait si nos experts, leaders et autres plateformes médiatiques alternatives étaient aussi tenaces à couvrir toutes les preuves disponibles que ces injections ARNm sont de fait des armes biologiques, qu’ils ne le sont à vouloir arrêter l’obligation (pseudo)vaccinale ?

Ces injections à ARNm seraient empêchées de circuler, d’être distribuées et seraient criminalisées dans la plupart des états en quelques semaines…

“Jusqu’à ce que le peuple américain se révolte et dise “Assez est assez, Stop à cette vaste fumisterie !” Ils continueront de pousser leur agenda jusqu’à la destruction totale du pays. Ils s’en prennent maintenant aux enfants. C’est ce qui est encore plus triste et déchirant. Il n’y aura pas de postérité. Il n’y aura plus d’Amérique si les personnes en âge de procréer, hommes et femmes, deviennent stériles. Et les enfants sont le plus à risque des effets secondaires néfastes et de mortalité de ces injections, il suffit de regarder le nombre de myocardites et de problèmes cardiaques dans les jeunes groupes d’âge pour comprendre .” ~ Karen Kingston, Stew Peters Show, 28 juillet 2021 ~

En tant que chrétienne, je crois que mon devoir est faire la lumière sur la vérité. Je ne crois pas en le mensonge et la tromperie comme moyens de vérité et de justice. C’est pourquoi je ne suis jamais restée sur la ligne de démarcation entre le faux narratif COVID-19 et la vérité. Les injections ARNm sont des armes biologiques et doivent être identifiées et dénoncées comme telles de manière consistante, elles doivent être sorties de l’utilisation publique et criminalisées.

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Lecture complémentaire :

Karen Kingston sur Résistance 71

Notre page “Coronavirus, guerre contre l’humanité” constamment mise à jour depuis 2019…

 

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Karen Kingston dans l’émission de Stew Peters

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COVID19 : pseudovax ARNm et flambée de cancers incontrôlables (Dr Nicole Delépine, cancérologue)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 5 décembre 2022 by Résistance 71

 

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Notre traduction du livre de Robert F. Kennedy Jr (PDF) :
« Le véritable A. Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique »
~ Résistance 71 ~

Flambée de cancers sous pseudovax (COVID-ARNm) : conseils aux naïfs tentés par un énième booster / rappel

Dr Nicole Delépine

Cancérologue

1er décembre 2022

Source:

https://www.mondialisation.ca/flambee-de-cancers-sous-pseudovax-conseils-aux-naifs-tentes-par-un-nieme-booster/5673143

Si répéter est la base de l’enseignement, il est bien une technique que possèdent les gouvernants du Nouvel Ordre Mondial (et donc les nôtres), celui de ressasser encore et encore une propagande contraire aux faits avérés pour conduire les administrés à obéir et à se faire injecter ce poison inefficace et dangereux alors qu’elle est démentie par des milliers d’articles internationaux.

Il convient de répéter aux menteurs compulsifs (et grassement payés ?) des plateaux télé :

Non, le masque ne protège pas de ce virus contrairement aux dires et supplications de la ministre.1

Non, le pseudovax n’est pas un vaccin, malgré les changements de définition du Petit Robert et cette injection encore expérimentale en AMM provisoire ne protège ni des contaminations ni des formes graves sinon il n’y aurait pas plus de décès2 liés, reconnus par les agences de santé internationales, chez les vax que chez les non-vax. Les appels internationaux à stopper le désastre sont nombreux.3

REFUSEZ LE BOOSTER À CEUX QUE VOUS AIMEZ

Si vous aimez vos proches injectés (par confiance mal placée aux médias menteurs, ou par nécessité vitale pour vivre), protégez-les du booster proposé, car les effets s’accumulent avec les doses successives, et surtout le contenu de ces nouveaux pseudovax paraît de plus en plus riche en substances toxiques. Les premières doses contenaient beaucoup de placebos, mais les suivantes sont de plus en plus riches en ARNm et en graphène, dont une multiplication des complications que chacun peut constater dans son entourage s’il ne se voile pas la face.

Comme clinicienne, je veux attirer votre attention sur les flambées de cancer qui désolent les cancérologues pourtant taiseux.

En octobre dernier 2022, une étude suédoise a révélé que la protéine de pointe associée à la maladie COVID-19 et ses vaccins expérimentaux pénètre dans le noyau des cellules et interfère de manière significative avec les fonctions de réparation des dommages à l’ADN, compromettant l’immunité adaptative d’une personne et encourageant peut-être la formation de cellules cancéreuses.

En mars 2021, le Dr Ryan Cole a signalé une « hausse » massive de diverses maladies auto-immunes et cancers chez les patients vaccinés contre la COVID.

« Depuis le 1er janvier 2021, en laboratoire, je constate une multiplication par 20 des cancers de l’endomètre par rapport à ce que je vois sur une base annuelle ». En ce qui concerne l’immunité adaptative globale, Cole décrit : « Après le vaccin, ce que nous voyons est une baisse de vos cellules T tueuses » qui « gardent tous les autres virus sous contrôle », laissant le patient vulnérable à une variété de maladies.

En janvier 2022 trois militaires décorés de haut rang, médecins et responsables de la santé publique aux USA, ont déclaré sous serment qu’à la suite de l’adoption du vaccin COVID dans l’armée américaine ils avaient constaté une augmentation des cancers de 296 %.4

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Un post d’Alexandra pour sensibiliser les humains au risque de cancer après injection anticovid5

« Je remarque que l’humain comprend mieux sur l’animal que sur lui-même. Alors je vous raconte l’histoire de Kimani, le petit gorille, né dans un zoo à Calgary. Il est né le 9 mars 2016 d’une mère Kioja, âgée de 15 ans (primipare) et d’un père illustre Kakinga, connu comme le “gentle giant” (le gentil géant), mort à 37 ans d’une déchirure dans l’aorte. Bénéficiant du nec plus ultra du traitement de l’humanité, le jeune Kimani âgé de 6 ans a été injecté début avril 2022 avec les premières doses anti-COVID19 disponibles au zoo. En moins de 2 mois, l’état de santé de Kimani s’est profondément dégradé. Il est dans un état critique, et seuls les soins palliatifs sont désormais envisagés. Il a été diagnostiqué d’un cancer du foie… Cancer pédiatrique du foie ». 6

Ces cancers foudroyants que médecins et vétérinaires n’essaient même pas de traiter, nous les appelons entre cancérologues les TURBO CANCERS. Merci d’en parler autour de vous, car il nous faut trouver un moyen pour les prendre en charge, mais aussi pour en limiter l’incidence, ce qui revient probablement à la sagesse de la déclaration du médecin en chef Dr @LeibowitzRaya : NE PLUS SE FAIRE INJECTER

Les témoignages se multiplient par mail, téléphone, rencontre. Tel un voisin bien portant de 83 ans injecté qui meurt en deux mois d’un cancer du pancréas, cancer au premier rang des récits pris au hasard, peut-être parce que ce cancer est particulièrement difficile à traiter et rapidement mortel.

Un des autres cancers les plus rapportés dans nos contacts récents est le lymphome chez de jeunes adultes…

Et tous ces articles qui fusent et disparaissent rapidement via la censure7.

« En tant qu’oncologue, je vois des personnes atteintes d’un cancer stable [qui a] progressé rapidement après avoir été forcées de recevoir un rappel ». Et suit une lettre du Dr Angus Dalgleish, professeur d’oncologie à l’Université St George de Londres, au Dr Kamran Abbasi, rédacteur en chef du BMJ.

Il écrit à l’appui de l’appel d’un collègue au Dr Abbasi pour que le BMJ fasse du consentement éclairé valide pour la vaccination Covid un sujet prioritaire.

« Cher Kamran Abbasi,

Covid n’a plus besoin d’un programme de vaccination étant donné que l’âge moyen de décès de Covid au Royaume-Uni est de 82 ans et de toutes les autres causes est de 81 ans et en baisse.

Le lien avec les caillots, la myocardite, les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux est maintenant bien accepté, tout comme le lien avec la myélite et la neuropathie. (Nous avons prédit ces effets secondaires dans notre article de juin 2020 Sorensenet al. 2020, l’analyse de l’explosion ayant révélé 79 % d’homologies avec les épitopes humains, en particulier PF4 et la myéline.)

Cependant, il y a maintenant une autre raison d’arrêter tous les programmes de vaccination. En tant qu’oncologue praticien, je vois des personnes atteintes d’une maladie stable progresser rapidement après avoir été forcées de prendre un rappel, généralement pour pouvoir voyager.

Même au sein de mes contacts personnels, je vois une maladie à base de cellules B après les rappels. Ils décrivent être nettement malades quelques jours à quelques semaines après le rappel — une leucémie en développement, deux collègues de travail lymphome non hodgkinien et un vieil ami qui a eu l’impression d’avoir eu le Covid long depuis qu’il a reçu son rappel et qui, après avoir eu une douleur osseuse intense, a été diagnostiqué comme ayant de multiples métastases d’une maladie rare des cellules B.

J’ai suffisamment d’expérience pour savoir que ce ne sont pas les anecdotes fortuites que beaucoup suggèrent, d’autant plus que le même schéma est observé en Allemagne, en Australie et aux États-Unis.

Les rapports d’immunosuppression innée après ARNm pendant plusieurs semaines conviendraient, car tous ces patients à ce jour ont un mélanome ou des cancers à base de cellules B, qui sont très sensibles au contrôle immunitaire — et c’est avant les rapports de suppression du gène suppresseur par ARNm dans les expériences de laboratoire.

Cela doit être diffusé et débattu immédiatement ».

Angus Dalgleish Professeur d’oncologie à St George’s, Université de Londres.

Quant aux mécanismes ils sont débattus par les chercheurs8, mais l’urgence pour chacun d’entre nous est de résister à l’injection poison dont les effets toxiques ne sont plus à démontrer.

https://twitter.com/JosefSa39957439
La relation possible avec les cancers du sang et les vaccins COVID-19 et les mécanismes scientifiques avérés qui peuvent l’expliquer… Mieux que quiconque, les scientifiques qui travaillent sur l’immunologie/pathologie peuvent l’expliquer et montrer comment la hausse des cancers depuis 2021 est désormais de 9-sigma…
Le cancer est à une hausse de 9 sigma. Les chiffres sont plus que clairs à ce sujet.
Le cancer est un navire difficile à tourner, lent à se déplacer 1-sigma. C’est un virage difficile pour le cancer, ce qui signifie que quelque chose est devant nous. Et le CDC a suffisamment paniqué à ce sujet pour risquer une fraude pour le dissimuler.

pinocchiovax

L’argument selon lequel l’épidémie de cancer serait due au retard dans les dépistages ne tient pas, car l’arrêt des dépistages et le retard aux traitements aboutissent à des formes plus évoluées de cancers et peut en augmenter la mortalité, mais est incapable d’en augmenter significativement l’incidence. De plus si c’était le cas il s’agirait des cancers classiques. Or ici ce sont de nouveaux types de cancer, à des âges inhabituels avec des comportements particuliers tels leur vitesse majeure de développement et leur résistance à tous les traitements habituels.

« Les dépistages différés n’ont pas produit cela. Nous voyons des cancers rares/bizarres et des augmentations hors saison. Les dépistages différés ne déclenchent pas une augmentation des cancers en une seule semaine. Il s’agit d’une intervention spécifique, intense et inédite » selon THE Random Dude  @EthicalSkeptic sur twitter9

Et si vous n’y croyez toujours pas, pensez à ce voisin dont le cancer a flambé et lisez l’article suivant 10

Par exemple on comprend pourquoi les injections suivant la première sont plus toxiques :

« Lorsqu’il y a une stimulation du système immunitaire, la microglie ramifiée passe au stade de la microglie amorcée. Les pseudopodes sont rétractés et cela devient une cellule plus arrondie. À l’intérieur de la microglie amorcée, il y a une intense régulation à la hausse de la production de cytokines, de chimiokines et d’excitotoxines — mais elles ne sont pas libérées de la cellule, il peut donc y avoir une réaction immunitaire mineure, mais sinon il n’y a pas beaucoup de signes de réaction. C’est ce qui se passerait avec la première injection de cet injectable qu’ils appellent un “vaccin” », a déclaré le Dr Blaylock.

Il est important de noter que les chimiokines attirent les macrophages, ou globules blancs, vers le cerveau. Un macrophage dans le cerveau ressemble exactement à la microglie et peut également subir un amorçage.

« Avec la deuxième stimulation immunitaire, [qui serait la deuxième injection et] qui peut être des mois plus tard, cette microglie amorcée devient complètement activée. Et lorsque cela se produit, il libère tous ces composants toxiques… vous obtenez une microglie activée de manière chronique, [un] état suractivé et il y a une réaction inflammatoire 3 fois plus élevée que celle que vous obtiendriez normalement avec l’activation microgliale. »

Il insiste sur les dangers sur les fœtus et les risques prévisibles à long terme. « Chez le bébé, il y a le même processus qui se produit chez les adultes, l’amorçage et l’activation et une activation microgliale à long terme — par exemple, lors de l’examen de l’autisme adulte, après 40 ans, la microglie était toujours activée. Le Dr Blaylock a averti :

« Je pense que nous allons tout voir [comme conséquence des injections de Covid]. Nous allons assister à une augmentation considérable des troubles du spectre autistique. L’autre trouble dont on ne parle jamais est la schizophrénie. Ce que nous voyons, c’est que si nous stimulons le système immunitaire au cours du troisième trimestre, l’incidence de la schizophrénie augmente d’environ 6 fois. Mais ça n’arrive qu’à l’adolescence donc ça va être long avant qu’on le voie.

“Mais je pense que tout — les malformations augmentent déjà de 300 à 400 %, les fausses couches — nous allons voir des choses que nous n’avons jamais vues auparavant. C’est la tragédie de tout cela.

Que les organisations pédiatriques approuvent les injections de Covid est monstrueux. »

Le Dr Ryan Cole a remarqué qu’il y avait une augmentation considérable des cancers agressifs après le déploiement de l’injection de Covid. Il a également remarqué que les personnes qui avaient des cancers bien contrôlés développaient des cancers incontrôlables et mouraient très rapidement.

De longues publications abordent maintenant ce sujet. L’important en urgence est de stopper ces injections et de les éviter à vos proches en attendant une suppression mondiale.

Dre Nicole Delépine

Cancérologue

Cet article a été publié initialement sur le site nouveau-monde.ca

Notes :

1 L’imposture du masque, outil d’enfermement — Docteur Nicole Delépine (nicoledelepine.fr)

2Bilan catastrophique de la politique sanitaire Française (nicoledelepine.fr)

3Maître Jacques Schroeter : Vaccins Covid — Un peuple gravement trompé par ses autorités | Mondialisation — Centre de Recherche sur la Mondialisation

4 : https://yournews.com/2022/11/27/2461321/govt-database-shows-10000-increase-in-cancer-reports-due-to/

5https://t.me/alexandrahenrioncaude

6 Naissance : https://calgaryherald.com/news/local-news/calgary-zoos-baby-gorilla-finally-has-a-name

Antécédents : https://calgaryherald.com/news/local-news/zoos-gentle-giant-gorilla-kakinga-dead-at-37

Injection : https://globalnews.ca/news/8742848/calgary-zoo-animals-first-dose-covid-19-vaccine/

Soin palliatif comme seule solution : https://www.cbc.ca/news/canada/calgary/gorilla-kimani-calgary-zoo-cancer-1.6479712

7As an Oncologist I Am Seeing People With Stable Cancer Rapidly Progress After Being Forced to Have a Booster – The Daily Sceptic

8Spike protein suppresses DNA repair mechanisms. News (imuno-medica.ro)

Hypothèse : le fait que la réponse immunitaire innée soit supprimée après l’injection d’ARNm pendant plusieurs semaines pourrait être la cause de ces nombreux cancers de type cancers à base de cellules B, #mélanome, #leucémie, #lymphome, #métastases osseuses…

9 Article sur les possibles mécanismes pour les curieux
Differences in Vaccine and SARS-CoV-2 Replication Derived mRNA:
Implications for Cell Biology and Future Disease
Kevin McKernan, Anthony M. Kyriakopoulos 2and Peter A. McCullough
Medicinal Genomics, Beverly Mass, USA; Kevin.McKernan@medicinalgenomics.com
Nasco A.D. Biotech

10 Dr Russell Blaylock : Comment les protéines de pointe induites par les vaccins endommagent le cerveau et causent le cancer
PAR RHODA WILSON SUR 22 NOVEMBRE 2022

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Lire notre page “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

 

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Construction protéïnique chez les injectés ARNm

R71 ON NE SE SOUMETTRA PAS

COVID et « vaccin » tueur : la concoction OGM nanotech à ARNm est faite pour tuer ! Sortez de l’hypnose et faites face à la réalité aussi pourrie soit-elle !…

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, presse et média, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, société des sociétés, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 2 décembre 2022 by Résistance 71

Ceci est tout à fait complémentaire de ces publication précédentes :

“SRAS-CoV-2 / COVID virus chimérique créé en laboratoire à l’université de Caroline du Nord Chapel Hill” (mars 2020)

“Le véritable A. Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique” (RFK Jr, avril 2022, version PDF)

“COVID19 crime contre l’humanité : un parasite nano-techno-biologique injecté aux populations » (Karen Kingston, novembre 2022)

“COVID19, injections ARNm et génocide planifié” (Dr J. Mercola, novembre 2022)

A (re)lire et diffuser sans aucune modération. 

Nous les peuples devons comprendre qu’une guerre sans merci a été déclarée à l’humanité par un système étatico-marchand en phase finale de métamorphose dictatoriale absolue et son “élite” auto-proclamée psychopathe hors-sol, menant le monde vers une réalité dystopique monstrueuse via la peur / terreur entretenues, guerres, privations et spéculations en tout genre, destinées à nous mettre KO debout et à accepter les solutions toutes prêtes qu’ils ont ourdies pour ces problèmes qu’ils ont crées de toutes pièces. Le seul complotisme est celui de cette pourriture qui veut notre mort et met ses desseins en application, technologie aidant, ce qui leur manquait ces dernières décennies.
La croisée des chemins est là, devant nous, l’heure du choix aussi , il est simple pour qui peut voir clairement sans voile et sans écran de fumée : leur société dictatoriale technotronique, donc la mort ou la société des sociétés de notre humanité enfin réalisée, donc la vie. Hors artifices, c’est aussi simple que cela.
Cessez donc d’avoir peur ! Dire NON ! est le premier pas… BOYCOTT ! Union ! Action Directe !
~ Résistance 71 ~

COVIDVax

Traduction de la pancarte ci-dessus : « Si je ne suis pas vacciné, je suis 100% protégé contre les effets secondaires du vaccin et à 99,8% protégé contre la COVID »
Gardant à l’esprit bien entendu que cette soupe ARNm OGM n’est en rien un « vaccin » mais une injection mortelle nanotech à moins d’avoir la chance d’être dans un groupe placebo… (Résistance 71)

COVID le “vaccin” tueur… Des gens meurent dans le monde entier, c’est une opération criminelle

Pr. Michel chossudovsky

30 novembre 2022

Url de l’article original:

https://www.mondialisation.ca/le-vaccin-tueur-covid-des-gens-meurent-dans-le-monde-entier-cest-une-operation-criminelle/5673099

Nous sommes accusés de « diffuser de la désinformation » concernant le vaccin Covid-19.

Les « traqueurs » médiatiques Reuters et AP vont s’employer à dénigrer les témoignages des parents qui ont perdu leurs enfants.

« Une fois que le mensonge devient la vérité, il n’y a plus de retour en arrière possible. La folie prévaut. Le monde est complètement bouleversé. »

Ne nous faisons pas d’illusions, l’injection Covid n’est pas seulement « expérimental », c’est un « vaccin tueur » de Big Pharma qui modifie le génome humain. Les preuves de la mortalité et de la morbidité résultant de l’inoculation du vaccin, qu’elles soient immédiates (données officielles) ou futures (par exemple, des caillots sanguins microscopiques non détectés) sont accablantes.

Les données officielles (mortalité et morbidité) ainsi que de nombreuses études scientifiques confirment la nature du vaccin à ARNm Covid-19 qui est imposé à l’humanité entière.

Des rapports évalués par des experts confirment les causes des décès et des « événements indésirables » (blessures) liés au vaccin, notamment les caillots sanguins, les thromboses, les myocardites et les arrêts cardiaques.

L’objectif déclaré est d’imposer la vaccination mondiale de 8 milliards de personnes dans plus de 190 pays, suivie de l’imposition d’un « passeport vaccinal » numérisé. Inutile de dire qu’il s’agit d’une opération de plusieurs milliards de dollars au profit de Big Pharma. C’est un crime contre l’humanité.

Le projet mondial de vaccin intitulé COVAX est coordonné au niveau mondial par l’OMS, GAVI, CEPI, la Fondation Bill et Melinda Gates en lien avec le Forum économique mondial (WEF), le Wellcome Trust, DARPA et Big Pharma [les grandes sociétés pharmaceutiques] qui est de plus en plus dominé par le partenariat Pfizer-GSK qui avait été établi à peine quatre mois avant le début de la crise du Covid-19, début janvier 2020.

Le « vaccin » Covid-19 a favorisé, dès le début en janvier 2021, un accroissement de la mortalité à l’échelle mondiale.

Ce n’est pas un homicide involontaire. C’est un meurtre

Oui, c’est un vaccin meurtrier [tueur]. Ce message doit être fort et clair.

Cela se passe partout dans le monde : des enfants et des adolescents meurent.

Crimes contre l’humanité, crimes contre nos enfants.

Moins de deux mois après le lancement du « vaccin » à ARNm de Pfizer, une grande marche funèbre a été organisée pour les enfants décédés à la suite de l’administration du vaccin à Genève en Suisse (29 janvier 2021.

Myocardite, arrêt cardiaque : « Les jeunes meurent ». Mort subite à grande échelle

La Fondation pour la recherche sur la sécurité des vaccins a récemment publié « Until Proven Otherwise » (jusqu’à preuve du contraire), un court documentaire vidéo sur les conclusions concordantes de deux éminents cardiologues.

funerailles

Nos enfants sont les victimes

Partagez les vidéos suivantes qui montrent ce que les parents ont déjà vécu en perdant leurs enfants.

(NdR71 : voir dans l’article original)

La criminalité de Pfizer ne fait aucun doute.

Mais saviez-vous que Pfizer a déjà un casier judiciaire auprès du ministère de la Justice des États-Unis pour « marketing frauduleux ».

Et personne n’est au courant du casier judiciaire de Pfizer parce que les médias n’en parlent pas.

Peut-on faire confiance à un conglomérat de vaccins de Big Pharma qui, en 2009, a plaidé coupable à des accusations criminelles portées par le ministère américain de la justice (DoJ), notamment de « marketing frauduleux » et de « violation criminelle de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques » ?

En 2009, Pfizer a été mis en « probation » par le ministère américain de la Justice :

« Dans le cadre du règlement, Pfizer a également accepté de conclure un accord étendu sur l’intégrité de l’entreprise avec le Bureau de l’Inspecteur général du Département de la santé et des services sociaux. Cet accord prévoit la mise en place de procédures et d’examens pour éviter et détecter rapidement des comportements similaires à ceux qui ont donné lieu à cette affaire. »

Intégrité de l’entreprise ??? Où sont les procédures et les examens ?

Cette « conduite similaire » de Pfizer se répète en 2020-2022 à une échelle bien plus grande que celle de 2009.

Ce qui se déroule est le « marketing frauduleux » mondial d’un « vaccin tueur« , qui constitue un crime contre l’humanité.

Une bombe. Le Mea Culpa de Pfizer

Pfizer révèle dans un rapport secret (déclassifié dans le cadre de la liberté d’information) que son vaccin à ARNm est un « vaccin tueur ». Les preuves proviennent de la « bouche du cheval »

« En février 2021, Pfizer avait déjà reçu plus de 1 200 rapports de décès prétendument causés par le vaccin et des dizaines de milliers d’événements indésirables signalés, dont 23 cas d’avortements spontanés sur 270 grossesses et plus de 2 000 rapports de troubles cardiaques.

Gardez à l’esprit qu’il s’agit des propres données de Pfizer.

Dans une ironie tordue, les données révélées dans ce « rapport d’initié » réfutent le récit officiel sur les vaccins mis en avant par les gouvernements et l’OMS. Il confirme également l’analyse de nombreux médecins et scientifiques qui ont révélé les conséquences dévastatrices du « vaccin » de l’ARNm.

Ce qui est contenu dans le rapport « confidentiel » de Pfizer sont des preuves détaillées sur les impacts du « vaccin » sur la mortalité et la morbidité. Ces données qui émanent de la « bouche du cheval » peuvent maintenant être utilisées pour confronter ainsi que formuler des procédures juridiques contre Big Pharma, les gouvernements, l’OMS et les médias.

Pfizer était pleinement conscient que le vaccin à ARNm qu’elle commercialise dans le monde entier entraînerait une vague de mortalité et de morbidité. Cela équivaut à un crime contre l’humanité de la part de Big Pharma.

Pfizer savait dès le départ qu’il s’agissait d’un vaccin tueur.

C’est aussi un Mea Culpa et une trahison de la part de gouvernements nationaux corrompus du monde entier qui sont menacés et corrompus par Big Pharma.

Aucun nombre de tentatives a été faite par les gouvernements pour appeler au retrait du vaccin tueur.

On dit aux gens que le vaccin est destiné à sauver des vies. » (Michel Chossudovsky)

Cliquez ici pour lire le rapport « confidentiel » de Pfizer.

Les autorités sanitaires nationales affirment que le « vaccin » contre le Covid-19 sauvera des vies. C’est un mensonge.

« Si vous permettez que cela aille de l’avant [vaccin], je vous garantis qu’il y aura des décès évitables d’enfants en parfaite santé et des maladies graves dix fois plus. Et sans avantage possible. Savoir ce que je sais après 40 ans de formation et de pratique en toxicologie, biochimie et pharmacologie, participer à cet abus extraordinaire d’enfants innocents sous nos soins ne peut être classé d’autre sens que le meurtre » –Dr. Michael Yeadon, éminent scientifique, ancien vice-président de Pfizer

« Cette campagne de vaccination sera le plus grand scandale de l’histoire de la santé, … de plus, elle sera connue comme le plus grand crime jamais commis contre l’humanité. » –La députée Christine Anderson, membre du Parlement européen, juillet 2022

Ce qui est présenté ci-dessus n’est que la « pointe de l’iceberg » de ce qui se passe dans le monde entier

  • NE VOUS FAITES PAS VACCINER.
  • SOYEZ SOLIDAIRES AVEC LES PERSONNES QUI ONT ÉTÉ VACCINÉES.
  • INFORMER LES GENS À TRAVERS LE PAYS SUR LES RISQUES DE L’INJECTION POUR LA SANTÉ.
  • ADOPTEZ  UNE POSITION FERME CONTRE LE PASSEPORT VACCINAL.

La légitimité des politiciens et de leurs sponsors Big Money doit être remise en question.

Nous devons agir d’une seule et même voix au niveau national et international.

Notre première tâche est de bloquer la campagne de peur

Le programme de « vaccination » contre la COVID-19 devrait être immédiatement arrêté dans le monde entier.

Veuillez partager cet article. Les moteurs de recherche ne le reprendront pas.

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Lire notre page constamment mise à jour depuis 2019 

“Coronavirus, guerre contre l’humanité”

Savoir aussi qu’

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

cocktailMRNA
Là où nous sommes…

but_NOM
Là où nous allons… si on les laisse faire…

Injections ARNm COVID et destruction du système endocrinien (hormonal), recherche et analyse avec le Dr Flavio Cadegiani, endocrinologue : « le pire est à venir ! » (CHD)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , on 18 novembre 2022 by Résistance 71

toxic-contaminated-vaccine
pseudo-vaccins à ARNm = arme biologique

“Le pire est à venir” alors que la protéine spike prend le dessus sur les systèmes endocriniens (hormonaux), les spécialistes préviennent d’une flambée de maladies liées au dérèglement hormonal

Marina Zhang

11 novembre 2022

Source :

https://childrenshealthdefense.org/defender/covid-spike-proteins-endocrine-hormone-disease-et/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

NdR71 : l’article original est truffé de liens sources des informations avancées (info en anglais), nous n’en avons reproduit que quelques-uns

Le Dr Flavio Cadegiani, endocrinologue brésilien, suspecte que le pire est encore à venir avec les maladies induites par la “protéine spike” dans le système endocrinien (hormonal).

Le système endocrinien , hormonal, est critique pour notre santé. Il régule la croissance et le développement, l’humeur, le métabolisme, la reproduction, l’immunité et les fonctions des autres organes au raves la sécrétion d’hormones.

Les hormones sont un des trois plus grands messagers du corps. Comparées aux autres messagers, les neurotransmetteurs et les cytokines, les hormones sont plus longues à répondre et ont des fonctions systémiques à travers le corps plutôt que des actions localisées.

Alors que les cellules peuvent généralement répondre aux neurotransmetteurs en quelques milli-secondes et les cytokines en minutes ou heures, les cellules répondent aux messages hormonaux sur des heures voire des jours ou des semaines.

Comme les hormones peuvent avoir des actions lentes et systémiques, un système endocrinien endommagé ou dysfonctionnel sera généralement lent dans le développement de ses symptômes et dans sa guérison.

Des études ont montré que les protéines spike de l’infection COVID19 et les injections ARNm peuvent endommager les glandes endocrines ce incluant les glandes pituitaire, thyroïde et surrénales, ainsi que les organes reproducteurs et bien d’autres encore.

Cadegiani a soulevé le problème que la lenteur des pathologies endocriniennes puissent poser des difficultés dans les diagnostiques et traitements.

Amoindrissement des réserves hormonales

Les pathologies endocrines peuvent prendre plus de temps pour être apparentes parce que les glandes endocrines ont des “réserves” d’après Cadegiani.

Ce que nous allons voir dans le futur (en ce qui concerne les maladies endocrines), est un peu différent de ce qu’on voit dans les autres domaines, parce que les glandes ont des réserves et la décroissance de ces réserves ne se voit par cliniquement dès maintenant, mais se verra dans le futur”, a dit Cadegiani dans une conférence sur les soins critiques face au COVID à Kissimmee en Floride (Front Line COVID-19 Critical Care Alliance conference)

Ainsi, les gens affectés peuvent très bien ne présenter aucun symptôme jusqu’à épuisement des réserves.

Cadegiani a dit que ses préoccupations pour le futur sont spéculatives et basées sur ses propres observations cliniques. Mais depuis le début de la pandémie et l’administration des injections anti-COVID à ARNm, il y a eu des rapports croissants impliquant des pathologies du système endocrinien.

L’axe hormonal et le dysfonctionnement systémique

Les hormones régulent l’ensemble du corps, une fois donc leurs réserves épuisées et que les pathologies endocriniennes sous-jacentes sont révélées, il pourrait y avoir un effect dérégulateur.

Les glandes endocriniennes contrôlent le fonctionnement de bon nombre d’organes et chacun organe endocrinien est connecté par une boucle de retour d’information aussi connu sous le nom de l’axe hormonal.

En haut de cette chaîne évènementielle se situe l’hypothalamus qui a une structure en forme de diamant dans le cerveau et agit comme la table de contrôle centrale. Il envoie des messages aux glandes pituitaires se situant derrière le nez.

Cette glande est connue comme la glande maîtresse qui régule les autres organes endocriniens du corps, formant avec l’hypothalamus les axes hormonaux.

La glande pituitaire fait partie de l’axe hypothalamus-pituitaro-gonadal (HPG) qui régule les organes reproducteurs incluants les ovaires et les testicules. Chex les femmes, il est responsable de la sécrétion et de la régulation des hormones ovariennes comme partie du cycle menstruel et pour les hommes, cet axe régule la spermatogénèse.

L’axe hypothalamus-pituitaire-surrénal (HPS) qui régule les glandes surrénales, un organe qui produit les hormones qui déclenche le combat ou une réponse au stress du combat ou de fuite. (NdT : partie intégrante du système de préservation, d’auto-défense faisant de la “combattivité” un élément de notre survie, la violence quant à elle étant elle une construction sociale induite…)

Le processus de combat ou de fuite est une réponse de stress qui se produit lorsque confronté à ne menace importante et elle peut réduire le métabolisme, supprimer l’immunité tout autant qu’activer le système nerveux sympathique.

Un autre axe hormonal majeur est l’hypothalamo-pituitaro-tyroïdien qui régule la thyroïde et les hormones qu’elle sécrète. Celles-ci ont essentielles pour les fonctions biologiques de croissance et la régulation du système cardio-vasculaire, le remplacement osseux, la fonction du foie et le métabolisme.

Comment les protéines spike ciblent le système endocrinien

La protéine spike est la partie la plus toxique du SRAS-CoV-2. Des études sur les personnes ayant un “long COVID” et symptômes post-“vaccinaux” ont souvent détecté la présence la protéine spike des mois et même un an après y avoir été exposé.

Cette protéine favorise particulièrement les tissus et les organes qui ont des récepteurs ACE2 et CD147. Beaucoup des glandes endocriniennes ont des récepteurs ACE2, incluant le pancréas, la thyroïde, les testicules, les ovaires, les glandes surrénales et la glande pituitaire, ce qui rend le système endocrinien particulièrement vulnérable au SRAS-CoV-2,

Le facteur clef derrière une maladie induite par la protéine spike est l’inflammation.

Une fois entrée dans les cellules, la protéine spike peut activer des routes pro-inflammatoires en créant des dégâts dans l’ADN, en inhibant la réparation ADN, causant un stress dans la mitochondrie cellulaire, celle qui est critique pour la production d’énergie au sein des cellules et plus encore. Tout ceci mène à un grand stress cellulaire, des blessures, maladies et potentiellement la mort cellulaire.

Quand beaucoup de cellules sont infectées, cela peut causer des problèmes aux tissus et aux organes, affectant les glandes endocrines de l’individu et le système.

Les protéines spike inhibent également l’autophagie, ou “système de recyclage” cellulaire, empêchant ainsi les cellules de purger la protéine toxique, ceci menant a de plus amples dégâts.

Les protéines spike peuvent aussi contribuer à des réactions auto-immunes. Comme elles partagent bien des similarités avec des tissus et protéines communs humains, phénomène connu sous le vocable de “mimique moléculaire”, elle a le potentiel de faire que les cellules du système immunitaire attaquent leurs propres cellules et organes, menant à des dégâts endocriniens.

Plusieurs études ont rapporté des données sur les pathologies endocriniennes suivant l’injection anti-COVID19 (endocrine pathologies following COVID-19 vaccination,), bien que les données sur les dégâts précis soient toujours en train de sortir.

Les glande pituitaires

Comme maîtresses du système endocrinien, ces glandes sécrètent beaucoup d’hormones, incluant celles qui régulent… les autres glandes endocriniennes:

  • L’hormone adreno-cortico-trophique (HACT) cible les glandes surrénales et est responsable de la production de cortisol, qui stimule toute réponse à un stress.
  • L’hormone de stimulation de la thyroïde (HST) régule la thyroïde
  • L’hormone de croissance est responsable de la croissance et du métabolisme.
  • L’hormone de stimulation mélanocyte est responsable de l’augmentation de mélanine lors d’une exposition aux rayons UV et augmente l’appétit.
  • L’hormone anti-diurétique est responsable de la rétention d’eau du corps et fait produire moins d’urine.
  • L’hormone luteinizing (HL), l’hormone stimulante des follicules (HSF) et la prolactine sont importantes pour la reproduction.
  • L’oxytocine joue un rôle dans l’accouchement, le métabolisme et la joie de vivre.

Des études dans des cultures cellulaires ont montré que la protéine spike est capable de supprimer la production d’HL et de HSF dans les cellules pituitaires, ces ayant des conséquences inconnues sur l’humain dans le long terme.

Des carences en HACT ont été observées suite aux injections ARNm au Japon, la personne affectée ayant une glande pituitaire atrophiée (ACTH deficiencies have been observed)

Cadegiani dit que les pathologies pituitaires sont difficiles à diagnostiquer, elles sont souvent masquées par d’autres conditions, il y a donc peu de littérature de présentation de pathologie pituitaire après l’injection anti-COVID19.

Les glandes surrénales

Il y a une littérature médicale avec des données pouvant être utilisées comme évidence et suggérer des dégâts causés par la protéine spike aux glandes surrénales.

Ces glandes situées sur le dessus des reins, produisent des hormones responsables de la réponse à un stress. Celles-ci incluent l’adrénaline, le cortisol et l’aldosterone. Ces hormones sont essentielles pour maintenir un certain niveau d’énergie et autres besoins dans des situations stressantes.

Des études sur la COVID19 ont montré que les glandes surrénales sont des sites majeurs d’accumulation de l’ARNm SRAS-CoV-2 et de la production de protéine spike.

Ces glandes sont aussi certainement impliquées dans les évènements de myocardite post-injections ARNm, le plus souvent chez les jeunes hommes. Cadegiani raisonne pour dire que ce type de myocardites peut-être un signe de mauvais fonctionnement surrénal.

Cadegiani est l’auteur d’une étude peer-reviewed sur les myocardites post-vaccinales et a conclu que les catecholamines sont le principale déclencheur de ces évènements cardiaques. Les catecholamines sont un groupe d’hormones neurones incluant la dopamine, la noradrénaline et l’adrénaline.

Alors que la dopamine agit essentiellement sur le système nerveux, l’adrénaline et la noradrénaline jouent un rôle important dans la réponse au stress.

L’adrénaline active la réponse combat / fuite au stress et la noradrénaline soutient la réponse en augmentant le rythme cardiaque, métabolisant le gras et augmentant le taux de sucre dans le sang.

Un exercice intense et prolongé déclenche la réponse combat / fuite de l’organisme, ce qui explique pourquoi le niveau de catecholamines est en général élevé chez les athlètes. Les hommes en particulier tendent à avoir de plus hauts niveaux de catecholomine. La testostérone est aussi suspecté jouer un rôle dans les plus fortes incidences de myocardite après injections ARNm.

Les réponses au stress augmentent la pression sanguine, provoquent de plus fortes contractions cardiaques et lorsque cela devient chronique, peuvent augmenter les risques de mal-fonctionnement cardiaque.

Cadegiani a lié les catecholamines avec la myocardite en analysant des rapports d’autopsies d’adolescents qui sont morts de myocardite trois ou quatre jours après injection ARNm.

Les dégâts causés à leurs cœurs étaient différents de ceux vus en cas de myocardite normale, ayant des similarités très claires avec une cardiomyopathie induite par le stress ; Cardegiani a observé des caractéristiques claires de myocardite induite par catecholamine.

Il a émis l’hypothèse que les injections ont déclenché un état d’hyper-catecholaminénergique en élevant le taux d’adrénaline, causant son hyper-activation.

Des études sur des athlètes injectés à l’ARNm ont aussi trouvé qu’après l’exercice, ceux qui étaient injectés avaient un rythme cardiaque et un taux de noradrénaline plus élevés qui ceux qui n’étaient pas injectés.

Les mauvais fonctionnements des glandes surrénales mènes assurément à une insuffisance d’adrénaline.

Cadegiani a fait l’hypothèse qu’une insuffisance adrénaline, une condition qui fait que les glandes surrénales sont incapables de produire suffisamment d’hormones, puisse être une conséquence possible des effets néfastes de la protéine spike.

Dans le cas des injections, un rapport évaluant la production de protéine spike après l’injection à l’ARNm a trouvé que les glandes surrénales étaient un des tissus les plus producteurs de protéine spike et que la production de spike protéine dans ces glandes augmentait avec le temps.

Une recherche courante a aussi montré que les complications dues à la thrombocytopenia en tant que symptôme post-vaccinal ont mené à des hémorragies surrénales et une insuffisance hormonale.

La thyroïde

La glande thyroïde est une glande en forme de papillon située dans la gorge. Elle a de multiples fonctions, essentiellement un rôle de régulateur de croissance et de métabolisme.

Elle fabrique deux hormones, la thyroxine et la triiodothyronine. Une carence en cette dernière résulte en une hypothyroïdie , caractérisée par un élargissement de la glande (gloitre) et une sur-sécrétion peut causer une hyperthyroïdie.

La thyroïde joue aussi un rôle de régulateur du système immunitaire. L’infection au COVID19 est souvent un signe de problèmes thyroïdiens sous-jacents et des dégâts de l’infection peuvent exacerber les problèmes thyroïdiques, créant ainsi un cercle vicieux.

Une étude sur des autopsies de 15 personnes décédées du COVID19 a trouvé que 13 d’entre elles avaient de l’ARN et des protéines viraux dans leurs tissus thyroïdiques. Les récepteurs AC2 qu’on pensait ne pas être représentés dans la thyroïde, furent aussi détectés, indiquant une route possible pour l’infection au SRAS-CoV-2.

[…]

Une étude médicale turque a dit que les injections ARNm anti-COVID19 peuvent induire une thyroïdite. L’étude a étudié 15 patients qui ont développé cette condition après leurs injections.

Quatre des patients ont développé la maladie de Grave, maladie autoimmune et complication d’une hyperthyroïdie. La maladie de Hashimoto, autre condition thyroïdienne autoimmune, a aussi été rapportée suite aux injections.

Il est possible que les protéines spike fabriquées suite aux injections puissent attaquer les cellules thyroïdiennes en s’attachant aux récepteurs AC2. En regard de tous ces rapports, Cagliari suspecte que toutes ces pathologies thyroïdiennes sont plus que certainement liées à une réaction autoimmune.

La protéine spike a aussi démontrée sa capacité autoimmune à cause de ses hauts effets de “mimétisme moléculaire”.

Le pancreas

Cet organe produit le glucagon et l’insuline, deux hormones importantes qui régulent les niveaux de sucre dans le sang. Un mauvais taux de sucre dans e sang est une indication de mauvais fonctionnement pancréatique et peut mener à des complications comme le diabète.

La protéine spike à la fois des injections ARNm et du virus lui-même a démontré un fort potentiel au dérèglement du métabolisme glucidique.

Il y a eu des rapports de développement soudain de diabète type I qui est une arme de maladie autoimmune qui voit le corps attaquer ses propres cellules pancréatiques bêta.

Une étude d’EudraVigilance a aussi trouvé des rapports de mauvaise régulation du sucre sanguin allant vers une hyperglycémie après injections anti-COVID.

L’hyperglycémie chronique, c’est à dire un haut taux de sucre dans le sang, est en général le signe d’un mauvais fonctionnement des cellules pancréatiques bêta.

Ainsi donc, Cadegiani a proposé qu’il pourrait y avoir une perte ou un mauvais fonctionnement des cellules pancréatiques bêta comme l’ont montré les études et que la protéine spike pourrait affecter directement et endommager ces cellules bëta, ce qui résulterait en leur mort.

Les organes reproducteurs

Les dégâts du COVID19 sur les organes reproducteurs mâles sont bien établis.

Une étude thaïlandaise a montré que sur 153 hommes sexuellement actifs, 64,7% ont fait l’expérience de dysfonctionnement érectile durant leur infection COVID19 et 50% d’entre eux ayant des symptômes persistants 3 mois après leur convalescence.

Ce problème a été établi dans la recherche à cause du mauvais fonctionnement des cellules endothéliales, la spike protéine endommageant ces cellules.

Des études liant la COVID19 et l’impuissance sexuelle ont largement blâmé l’action du virus sur les récepteurs AC2 de surface de ces cellules qui ont beaucoup de ces récepteurs, ce qui les rend cibles de l’infection.

Des études ont montré le même chemin infectieux dans l’évaluation des vaccins adénovirus à ADN.

Depuis la sortie des injections ARNm en 2021, le CDC a rapporté 193 cas de dysfonctionnement érectile suite aux injections.

En Israël, une étude a montré chez des donneurs de sperme une réduction de 15% de la concentration et 22% de perte de mobilité des spermatozoïdes suite aux injections ARNm.

Les auteurs de ces recherches ont confirmé que les personnes testés n’avaient aucune autre pathologie ou condition sous-jacente et que donc la réduction e pouvait pas être imputée à des conditions pré-existences à l’inoculation.

Bien que le nombre de spermatozoïdes redevienne  normal au bout d’environ 145 jours la concentration et la mobilité ne sont pas retournés à leur niveau d’avant l’injection ARNm et ce avec des effets à long terme totalement inconnus.

Des préoccupations concernant le systèmes reproducteur féminin se sont aussi fait jour, surtout après inoculation, bien plus qu’après infection par la maladie.

Les données VAERS ont montré que plus de 60% des effets secondaires rapportés venaient de femmes, indiquant que les femmes seraient plus vulnérables aux effets secondaires post-inoculation à l’ARNm.

Pendant la pandémie, beaucoup de femmes ont rapporté des anormalités menstruelles suite à l’injection ARNm. Une étude au Moyen-Orient a rapporté que 70% des femmes inoculées ont rapporté des irrégularités menstruelles après injection.

A study funded by the National Institute of Health found a “temporary increase in menstrual cycle length” linked to the COVID-19 vaccination.

A study published on the website titled My Cycle Story reported over 290 women experienced decidual cast shedding after the COVID-19 vaccines rolled out, even though less than 40 such cases have been documented over the past 109 years.

This also indicated that many of the reproductive symptoms women were suffering from may be vaccine-related, rather than related to COVID-19 infections.

[…]

Cadegiani a prédit plus de problèmes au cours des grossesses dans le futur, problèmes liés à la protéine spike des injections SRNm.

Reprinted with permission from The Epoch Times.

Marina Zhang is based in New York and covers health and science for The Epoch Times.

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Lire notre page “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

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Escroquerie COVID19 et PfizerGate… De nouveaux documents confirment que les injections mortifères à ARNm et adenovirus affectent foie, ovaires et divers organes

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , on 8 Mai 2022 by Résistance 71

holocauste_seringue

PfizerGate : de nouveaux documents confirment que les injections anti-COVID affectent le foie, la rate et les ovaires dans des études animalières

JoNova

6 mai 2022

Url de l’article original:
https://joannenova.com.au/2022/05/pfizergate-new-documents-confirm-vaccine-goes-to-liver-spleen-and-ovaries-in-animal-studies/

~ Traduit d l’anglais par Résistance 71 ~

JudicialWatch a reçu 466 pages d’informations suite à une demande FOIA (loi sur la liberté de l’information), qui auraient du être disponibles à tout le monde depuis toujours, qu’est-ce que le “consentement informé” si ce n’est de … donner de l’information pour prendre une bonne décision ?

Non seulement les injections anti-COVID prennent bien plus de temps à se dégrader et à être éliminées de nos corps, mais encore se dispersent-elles loin de la zone d’injection et se concentrent dans le foie, la rate, les glandes surrénales et les ovaires. Pfizer le savait pertinemment, mais l’a caché et toutes ces agences supposées nous protéger n’ont demandé aucune donnée et n’ont rien rapporté du tout.

Ne sous-estimez pas l’effet que cela aura sur les parents qui vont apprendre que les injections délivrent l’arme biologique qu’est la protéine spike (du virus SRAS-CoV-2) directement aux ovaires de leurs filles avec des conséquences futures inconnues. Ceci est un message que nous pouvons donc partager et qui fera des vagues.

On ne peut pas retirer effets des injections une fois inoculées, mais nous pouvons arrêter les prochaines. C’est un moment “pilule rouge”. Les gens doivent comprendre que les institutions auxquelles nous avons autrefois fait confiance, comme le CDC, la FDA, la TGA, les groupes et syndicats médicaux, les universitaires, échouent lamentablement à nous protéger et méritent d’être éradiqués.

Soit ils ne savaient pas où les particules des injections allaient dans le corps et ne l’ont pas demandé ou pire encore… Ils savaient.

Judicial Watch: Pfizer/BioNTech Study Found Lipid Nanoparticles Materials Outside Injection Site in Test Animals

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COVID19 ou la guerre biologique contre l’humanité…

(Washington, DC) – Judicial Watch a annoncé aujourd’hui qu’ils avaient reçu 466 nouvelles pages d’archives du ministère de la santé et des services humains (NdT : le HHS américain souvent cité dans le livre de Robert F. Kennedy jr “Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique”) concernant les études faites sur la bio distribution et données relatives sur les injections anti-COVID19, montrant qu’un élément clef des injections développées par Pfizer / BioNTech, les nanoparticules lipidiques (NPL), ont été trouvées hors du site de l’injection, principalement dans le foie, les glandes surrénales, la rate et les ovaires des animaux testés, ce entre 8 et 48 heure après l’injection.

Les injections ARNm de Pfizer / BioNTech sont basées sur un système de livraison NPL. Pfizer a dit le 10 janvier 2022 dans un communiqué de presse que la technologie d’Acuitas Therepaeutics NPL est utilisée dans les injections COMIRNATY, l’injection anti-COVID19 de Pfizer/BioNTech.

Judicial Watch a aussi reçu 663 pages d’archives des HHS en regard des études sur la bio distribution et données relatives aux injections anti-COVID19, qui montrent que Johnson & Johnson s’est basé sur des études montrant que des particules d’ADN et des particules de virus injecté demeurent présentes des mois après l’injection.

La biodistribution est ici le mot clef décrivant là où les substances injectées vont terminer leur course, dans quels tissus et organes ces protéines spike sont délivrées ? Ces études auraient du être les premières effectuées et les résultats en aucun cas classés comme “secret commercial” pour toute personne désireuse de prendre ces injections.

Johnson & Johnson est aussi impliqué. Ils n’ont pas d’études dans leur demande de validation à la FDA. En février 2021, Pfizer n’avait même pas fait d’études relatives à ce sujet.

Les archives Pfizer incluent un rapport (a report,) qui fut approuvé en février 2021, sur des essais animaliers concernant la distribution de l’injection Pfizer COVID sur des rats, dans une section intitulée “sécurité pharmacologique”, le rapport note spécifiquement que aucune études de sécurité pharmacologique n’a été faite avec le BNT162b2 (injection BioNTech), car considéré comme non nécessaire

Pfizer savait pertinemment que les NPL, qui sont le système de livraison de l’ARN de la protéine spike, terminaient leur course dans le foie, les ovaires et autres organes dans les 48 heures suivant l’injection. L’endroit le plus commun de livraison étant le foie (près de 18% des particules NPL y terminent leur voyage). L’hépatite est évidemment une maladie du foie. Il y a bien des raisons potentielles de penser qu’envoyer une arme biologique de protéine spike dans les cellules du foie ne va pas bien se terminer pour la personne injectée.

La même étude Pfizer a admis qu’il n’y avait pas d’études de géno-toxicité ou carcinogènes parce que ces problèmes “n’étaient pas attendus”…

Acuitas Therapeutics a payé pour une étude en novembre 2020 sur l’effet des NPL chez les rats montrant que ces particules allaient dans le foie et autres tissus et organes. Bien que les archives de Johnson & Johnson montrent qu’il y a eu une étude remontant aussi loin que 2007, montrant que les injections “vaccinales” à adenovirus chez les lapins terminaient leur course dans la rate et les nodes lymphatiques iliaques. Ce ne sont donc pas que les injections à ARNm qui se répandent plus loin que supposé le faire. Les injections à vecteur Adenovirus incluant AstraZeneca, Johnson & Johnson, Sputnik (russe) et Convidecia (chinois) aussi. Les injections à ARNm incluent Pfizer et Moderna.

La dernière tranche des documents secrets de Pfizer est sortie : Pfizer docs 

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Voir notre page : “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

Lire notre traduction en format PDF du livre de Robert F. Kennedy jr :
“Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique”

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Résistance à la tyrannie sanitaire !