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6 puissantes stratégies pour protéger la génération suivante de la dictature technotronique et ne pas laisser se mettre en place la grille de contrôle 5G / NanoTech / Smart Cities (Children Health Defense de RFK Jr)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, colonialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, police politique et totalitarisme, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 11 janvier 2023 by Résistance 71

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6 stratégies de non-conformité pour protéger enfants et adolescents en 2023

Association Children Health Defence

7 janvier 2023

Source de l’article en français : 

https://www.mondialisation.ca/6-strategies-de-non-conformite-pour-proteger-les-enfants-et-les-adolescents-en-2023/5673840

Depuis 2020, les parents doivent faire face à des efforts de plus en plus effrontés de la part des gouvernements, des écoles, des fondations, de Big Tech, de Big Pharma et d’autres pour détourner, blesser ou détruire l’esprit et le corps des enfants.

Loin d’être des réponses fragmentaires ou simplement opportunistes à une « pandémie » commode, ces agressions contre les enfants – et les adultes aussi – sont le reflet d’un programme de contrôle à long terme bien financé visant à la mise en œuvre des identités numériques, le scoring social et « la surveillance et le suivi complets de chaque être humain grâce aux mécanismes déjà en place ».

Lors du rassemblement « Defeat the Mandates » en janvier 2022, le président de la Children’s Health Defense et avocat en chef des litiges, Robert F. Kennedy Jr, a affirmé que « personne dans l’histoire de la planète n’a jamais réussi à se conformer pour échapper à un contrôle totalitaire » et a rappelé au public que « chaque fois que vous vous conformez, vous vous affaiblissez ».

M. Kennedy a également averti, « ils viennent pour nos enfants ».

Comme s’il s’agissait d’une confirmation, des nourrissons, des enfants de maternelle et des étudiants ont été harcelés tout au long de l’année pour recevoir des injections contre la COVID-19, qui leur ont causé des dommages atroces, malgré les preuves accablantes que ces vaccins devaient être retirés du marché de toute urgence.

Conscients de ces dangers et d’autres qui entourent leurs enfants, un nombre croissant de parents ont reconnu la nécessité de la non-conformité.

En gardant la non-conformité comme mot d’ordre pour 2023, voici quelques actions qui pourraient faire une réelle différence dans l’année à venir.

Choisir l’enseignement à domicile

Dans une série en neuf parties écrite au début de l’année, la journaliste Corey Lynn, de Corey’s Digs, a décrit les efforts globaux d’ingénierie sociale – « formation à l’obéissance » – déployés de manière coordonnée dans 110 pays, en partie par le biais de programmes scolaires d’ « apprentissage social et émotionnel ».

Mis en œuvre par des éducateurs, des conseillers et d’autres professionnels dans « les écoles publiques, les écoles à charte, les programmes extrascolaires, les camps d’été, les écoles virtuelles et l’enseignement à distance », l’objectif est, selon Lynn, « de former les esprits, de réguler les émotions, de contrôler les comportements, d’inculquer des croyances tordues et de constituer une main-d’œuvre obéissante ».

Comme le dit Anna L. Noble dans un article paru en avril 2022 dans The Defender, « les écoles constituent un terrain d’essai utile pour expérimenter des moyens de retenir l’attention des enfants, de développer des coups de pouce et de susciter des réponses comportementales souhaitables ».

La cinglante dénonciatrice de l’éducation Charlotte Thomson Iserbyt, ancienne conseillère politique principale du ministère américain de l’éducation, aujourd’hui décédée, a décrié « l’abrutissement délibéré de l’Amérique » et a retracé le passage du système éducatif « de l’académie à la modification du comportement » depuis au moins 1965.

Mme Iserbyt a fait remarquer que le ministère de l’éducation n’existait pas avant sa création en 1979 sous l’administration Carter, déclarant : « La constitution ne prévoit nulle part la création d’un ministère de l’éducation. »

Même les écoles privées, sous la coupe de l’Association nationale des écoles indépendantes [National Association of Independent Schools], semblent avoir perdu tout vestige d’« indépendance », les contrats d’inscription interdisant aux parents de « [voicing] désaccord profond avec la politique ou les programmes de l’école, sous peine d’expulsion ».

Au lieu de continuer à attendre quelque chose de différent d’un système éducatif « abusif », Mme Lynn suggère que l’enseignement à domicile peut être une forme puissante de non-conformité.

De nombreux parents sont apparemment d’accord : en réponse à l’imposition désastreuse par les écoles de mesures telles que l’apprentissage à distance et le masquage en 2020, un nombre record de ménages se sont tournés vers l’enseignement à domicile.

Avant COVID-19, environ 3,4 % des enfants d’âge scolaire étaient scolarisés à domicile, mais au début de l’année scolaire 2020-2021, l’estimation du Bureau du recensement des États-Unis était passée à 11,1 %.

L’enseignement à domicile est aujourd’hui la forme d’enseignement qui connaît la plus forte croissance aux États-Unis.

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Compilation Karen Kingston en PDF

Arrêtez l’empoisonnement

Au début du mois, plus d’un tiers des parents interrogés (35 %) – contre moins d’un quart (23 %) en 2019 – ont remis en question le mandat de vaccination scolaire,

Et ce n’est que le dernier d’une série de rapports traitant de l’ambivalence croissante des parentsà l’égard des vaccins infantiles « de routine ».

Ces tendances suggèrent qu’une masse critique de parents en vient à considérer les vaccins comme un « truc d’escroc », comprenant que les promesses de sécurité des vaccins étaient fausses et empreintes de conflits d’intérêts bien avant l’arrivée des vaccins contre la COVID-19 – et en fait, depuis le tout début des programmes de vaccination des enfants.

Les experts mondiaux en matière de vaccins ont concédé ce point de manière détournée lors d’un sommet mondial sur la sécurité des vaccins organisé par l’Organisation mondiale de la santé fin 2019, comme l’a fait à peu près au même moment la chercheuse danoise Christine Stabell Benn, initiée de longue date aux vaccins.

Mme Benn a déclaré: « Les opposants à la vaccination ont raison d’être inquiets [about safety] », ajoutant :

« Aucun vaccin n’a été étudié pour ses effets non spécifiques sur la santé globale, et avant de les avoir examinés, nous ne pouvons pas réellement déterminer si les vaccins sont sûrs. »

Le collègue de Mme Benn, Peter Aaby, a admis, également en 2019 : « La plupart d’entre vous pensent que nous savons ce que font tous nos vaccins ; ce n’est pas le cas. »

Au milieu de l’année 2021, Mme Benn et M. Aaby ont prudemment plaidé contre les injections contre la COVID-19 pour les enfants dans la très prestigieuse revue scientifique BMJ.

Compte tenu des probabilités choquantes de lésions vaccinales qui prévalaient déjà avant COVID-19 – estimées de manière prudente dans un rapport commandé par le gouvernement en 2010 à un vaccin sur 39 administrés – il n’est pas surprenant que le carnage des piqûres contre la COVID-19 vienne maintenant grossir les rangs des contestataires et des « ex-vaxxers ».

Cependant, la vaccination – même avec sa charge d’ingrédients toxiques connus et non divulguéset son apparente variabilité d’un lot à l’autre – est loin d’être le seul moyen d’empoisonner nos plus vulnérables.

Les parents désireux d’effectuer leurs propres recherches et de forger le propre parcours nutritionnel et sanitaire de leur famille constateront qu’il est peut-être à leur portée de réduire, voire d’éliminer complètement, l’exposition de leurs enfants à d’autres poisons courants tels que les additifs alimentaires, le glyphosate, les pesticides organochlorés et organophosphorés et les médicaments en vente libre comme l’acétaminophène, dont les dangers sont largement sous-estimés.

Réduire le temps passé devant l’écran

En 2006, l’auteur Richard Louv a inventé le terme « trouble déficitaire de la nature » dans le sous-titre de son livre « Last Child in the Woods », suggérant que la « génération branchée » d’aujourd’hui, avec la permission consciente ou inconsciente des parents, a imprudemment privilégié les écrans au détriment du temps passé dans la nature.

Avec l’aggravation des habitudes des enfants face aux écrans au cours des dernières années, le déficit de nature est devenu un « sujet brûlant ».

Des chercheurs inquiets décrivent également comment les écrans supplantent des « activités bénéfiques pour le développement » aussi fondamentales que le sommeil, l’activité physique, les interactions familiales et la lecture de livres.

Le problème connexe de l’addiction aux écrans ou aux médias sociaux – lié non seulement à l’insomnie mais aussi aux troubles de l’alimentation et à des conséquences comme le suicide – est devenu l’objet de poursuites judiciaires alléguant que les sociétés de médias sociaux déploient « agressivement » des algorithmes conçus pour rendre les enfants et les adolescents dépendants.

Découvrant le rôle majeur que les « influenceurs sociaux » semblent jouer dans le phénomène explosif de la « dysphorie de genre à apparition rapide » chez les filles, l’auteur Abigail Shrierrecommande dans son livre, « Irreversible Damage : The Transgender Craze Seducing Our Daughters », est de ne pas donner de smartphone à sa fille.

Comme l’explique Catherine Austin Fitts, de « Financial Rebellion » et du Solari Report, « les enfants sont la cible de certaines des personnes les plus puissantes et des technologies les plus dangereuses de la planète » , et c’est aux parents de « comprendre cela et de les protéger ».

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Apprenez aux enfants à utiliser de l’argent comptant, pas du plastique

Fin 2020, le directeur général de la Banque des règlements internationaux, Augustín Carstens, a fait part de la vision hostile des banquiers centraux d’un système monétaire permettant le contrôle total de toutes les transactions par le biais des monnaies numériques des banques centrales [central bank digital currency (CBDC)] qui, de manière inquiétante, permettraient également aux banques centrales d’activer et de désactiver l’argent des gens à volonté.

Malheureusement, les jeunes générations se dirigent résolument vers cette vision dystopique. Selon une étude réalisée par Capital One en 2021, les milléniaux « délaissent de plus en plus les dépenses en espèces » au profit des systèmes de paiement numériques.

Dans un souci de commodité, certaines banques – qui semblent ignorer que les CBDC menacent leur propre avenir – font la promotion de l’agenda sans numéraire en proposant aux lycéens des cartes de débit qui font également office de carte d’identité scolaire, en disant aux parents qu’ils n’auront plus à « s’inquiéter de la perte de l’argent du déjeuner ».

Mme Fitts est une fervente partisane de la revitalisation de l’ utilisation de l’argent liquide.

Les parents peuvent aider en étant eux-mêmes des modèles d’argent liquide, mais aussi en faisant en sorte que leurs enfants « commencent à manipuler de l’argent liquide dès leur plus jeune âge ».

En 2015, la rédactrice en chef Janet Bodnar du Kiplinger’s Personal Finance a estimé que « l’utilisation d’argent comptant est le meilleur moyen d’amener les jeunes esprits à penser sagement à l’argent », y compris les adolescents plus âgés qui peuvent bénéficier de « la discipline de la gestion d’une réserve d’argent réel ».

Mme Bodnar a rejeté comme imparfait l’argument parental selon lequel le plastique peut enseigner aux enfants la « responsabilité financière ».

Un expert britannique en mathématiques a déclaré au Guardian en 2021 : « Être capable de manipuler de l’argent et d’acheter quelque chose soi-même est très spécial : cela renforce votre confiance avec l’argent. »

Ne tombez pas dans les pièges de la santé mentale

Au fil des ans, de nombreux parents ont appris à se méfier des recommandations émanant des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), une agence tellement habituée aux conflits d’intérêts et à la fausse science qu’elle n’a pas honte de faire appel au même cabinet de relations publiques que Big Pharma.

Ainsi, les appels en faveur d’un dépistage accru de la santé mentale et d’un accès plus large aux « soins » – de la naissance au début de l’âge adulte – lancés par les CDC et les groupes de façadeCDC/pharma comme l’American Academy of Pediatrics méritent un examen minutieux.

Comme l’a récemment souligné The Defender, la surveillance psychiatrique du berceau à la tombe est un outil furtif de contrôle social, et risque également d’avoir des conséquences stigmatisantes et potentiellement mortelles comme le surdiagnostic, la surmédicalisation et la surmédication.

Les écoles servent de plus en plus de mécanisme de prestation de services pour le dépistage et les services de santé mentale, mais comme l’a fait l’organisation de la Commission des Citoyens pour les Droits de l’Homme (CCDH) – un groupe de surveillance de la santé mentale – a prévenu dans une fiche d’information que les outils de dépistage de la santé mentale « subjectifs et non scientifiques » que les écoles utilisent sont « développés par des psychiatres ayant principalement des liens financiers avec l’industrie pharmaceutique ».

Selon la CCDH :

« Le dépistage de la santé mentale pose aux jeunes étudiants des questions embarrassantes, personnelles et potentiellement bouleversantes que les psychiatres ont formulées de telle manière qu’aucun étudiant ne pourrait échapper à l’étiquette de malade mental à un moment ou à un autre de sa scolarité. »

La CCDH ajoute : « Ces questionnaires peuvent déboucher sur une intervention psychologique ou psychiatrique dans la vie d’un enfant et de sa famille – souvent contre leur gré ou sous la menace. »

Pour les foyers qui ne pratiquent pas l’enseignement à domicile, le groupe de surveillance recommande aux parents de prendre conscience de ce qui se passe, de signer des formulaires d’exemption avant tout dépistage ou conseil en matière de santé mentale et de « s’unir pour faire expulser le dépistage psychiatrique des écoles ».

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Cessez de financer l’ennemi

L’auteure et chercheuse Naomi Wolf a récemment bravé le froid devant son alma mater, l’université de Yale, pour démontrer que le vaccin contre la COVID-19 imposé par l’université transforme les étudiants en « otages médicaux » et constitue un trafic d’êtres humains.

Dans son compte rendu de la visite à Yale, Mme Wolf décrit les conversations avec les parents, qui ont déclaré que « leurs enfants les avaient suppliés de ne pas parler, de ne pas appeler le doyen, de ne pas plaider en leur faveur pour les protéger de ces injections, de quelque manière que ce soit », par crainte de représailles et d’expulsion.

Cependant, les parents ont le devoir de s’assurer que leurs jeunes comprennent ce qu’ils échangent contre le prestige – y compris, potentiellement, leur santé, leur fertilité future ou leur vie.

En outre, même si, comme le prétend Mme Wolf, les universités sont désormais plus redevables aux contrats gouvernementaux qu’à ceux qui paient les frais de scolarité, les étudiants et leurs parents représentent toujours un bloc économique puissant capable de voter avec ses pieds.

L’un des outils à la disposition des parents, suggère Mme Wolf, est de mettre les dons potentiels sous séquestre pour montrer aux universités les fonds qui leur échappent.

Mais les parents qui donnent à leurs étudiants actuels ou futurs la permission et le courage de fuir tout établissement d’enseignement supérieur qui se montre prêt à les empoisonner et à les priver de leurs libertés constitutionnelles peuvent offrir à leurs enfants une leçon de vie encore plus puissante.

Un lycéen qui a reconnu que « les mandats ne cesseront pas tant que nous participerons » a élaboré une lettre destinée aux bureaux d’admission des universités (disponible comme modèle pour d’autres) qui dit ceci :

« Pour l’instant, je n’envisage que les écoles, collèges et universités qui n’exigent pas de vaccin contre la Covid-19, c’est-à-dire la série initiale, les rappels éventuels et les exigences à venir pour être considéré comme « à jour ». La liberté médicale et l’autonomie corporelle sont ma priorité absolue. »

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Le futur planifié pour nous en une photo-montage…

Dites non à la grille de contrôle

Bien que cet article se soit concentré sur les mesures visant à protéger les jeunes, la grille de contrôle – sous la forme d’interventions telles que les identifications numériques, les passeports vaccinaux et les CBDC – s’en prend également aux adultes.

Comme M. Kennedy l’a écrit dans la postface de son best-seller, « The Real Anthony Fauci », « Nous pouvons nous incliner et nous conformer… Ou nous pouvons dire non. Nous avons le choix, et il n’est pas trop tard. »

L’émission « Financial Rebellion » de la CHD.TV propose chaque semaine des suggestions sur la manière de ne pas se conformer.

Selon les mots de M. Kennedy :

« Nous pouvons dire non à la conformité avec les vaccins pour le travail, non à l’envoi des enfants à l’école avec des tests et des masques forcés, non aux plateformes de médias sociaux censurées, non à l’achat de produits des entreprises qui font faillite et cherchent à nous contrôler. Ces actions ne sont pas faciles, mais vivre avec les conséquences de l’inaction serait bien plus difficile. En faisant appel à notre courage moral, nous pouvons arrêter cette marche vers un État policier mondial. »

= = =

Il n’y a pas de solution au sein du système ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

AuroreSocieteEmancipee
Merci Jo…

« Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique » Robert F. Kennedy Jr (Chapitre 8)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 1 février 2022 by Résistance 71

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Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Janvier 2022

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 8 La malfaisance blanche : les atrocités africaines du Dr Fauci

Note des traducteurs :
Chapitre intéressant détaillant les méandres des turpitudes du dr Fauci pour tester en toute impunité en Afrique et notoirement en Ouganda ses médocs de prédilection et la corruption systémique mise en œuvre pour toute cette opération anti-SIDA et sa conclusion. Nous traduirons le début pour planter le décor et la conclusion du chapitre, les détails étant à lire dans le livre.

-[]- Comme le fait remarquer Vera Sharav, le racisme est une caractéristique intégrée à l’autoritarisme médical et l’expérimentation humaine. Le biologiste moléculaire Harvey Bialy, éditeur de la revue Nature Biotechnology a observé que la toile de fond raciale subtile et la bigoterie sexuelle ainsi que le harcèlement, sont les attributs très distinctifs de la recherche sur le SIDA : “La terrifiante fascination de la contagion fut amplifiée par le narratif officiel que la maladie avait pour origine l’Afrique et des Africains faisant des trucs bizarres avec des singes et qu’elle s’est propagée sur Haïti, vous savez ce royaume du vaudou et aussi que la sexualité dépravée des homosexuels a attiré la maladie aux Etats-Unis.

[…]

A partir de juin 2003, le NIH et le NIAID avaient mis en place 10 906 essais cliniques dans 90 pays du monde et la branche pionnière du dr Fauci, nouvellement rebaptisée DAIDS (pour Division of Acquired ImmunoDeficiency Syndrome), testait de nouvelles concoctions toxiques dans quelques 400 essais cliniques aux Etats-Unis et dans le monde. Les PI du dr Fauci ciblaient les nations en voie de développement qui n’avaient pas les structures institutionnelles suffisamment fortes pour protéger leurs citoyens appauvris des pratiques abusives de puissantes multinationales pharmaceutiques. D’après Vera Sharav, le dr Fauci demanda au NIAID et ses associés de l’industrie pharmaceutique de déplacer les études risquées et controversées à l’étranger, “parce que là-bas, ils pouvaient faire des trucs avec lesquels ici aux Etats-Unis, ils auraient bien du mal à ne pas être inquiétés…

[…]

L’Afrique a été une colonie pharmaceutique depuis plus d’un siècle. C’est l’endroit de prédilection pour les entreprises cherchant des officiels de gouvernement coopératifs, des populations obéissantes, les coûts les plus bas d’enrôlement par patient et une supervision médiatique et régulatrice des plus laxistes. Des volontaires quasi illettrés, soumis, impuissants et si nécessaires, sacrifiables, permettent aux PI de Big Pharma de gérer administrativement toute erreur ayant parfois des conséquences catastrophiques.

[…]

L’art et la manière avec lesquels le dr Fauci a obtenu le droit d’exploitation de la FDA pour l’AZT en 1988 avait lancé une véritable ruée vers l’or sur les médicaments contre le SIDA. Le nevirapine était le médicament tête de pont du géant allemand de la pharmacie Boehringer Ingelheim pour la course au remède “miracle”. Boehringer avait apparemment déniché ce nevirapine dans la même poubelle toxique où Burroughs Wellcome avait dégoté son AZT. Les régulateurs canadiens avaient rejeté le nevirapine en 1996 et 1998 à cause de sa très haute toxicité et son efficacité plus que douteuse.

[…]

Au début des années 1990, le dictateur ougandais Yoweri Museveni, déroula le tapis rouge pour Big Pharma. L’Ouganda devint une des nombreuses nations africaines recherchant l’argent facile de ce business lucratif des essais cliniques en faisant de son peuple une ferme à cobayes pharmaceutiques pour ce business des essais cliniques en plein boum.

En 1997, l’Ouganda accorda au PI du dr Fauci et de la John Hopkins Medical School, le dr Brooks Jackson, la permission de pratiquer des essais cliniques avec le nevirapine à Kampala.

[NdT : s’ensuivent ici 16 pages des détails de toute l’opération, de la corruption, de la falsification de données et des conséquences désastreuses sur les humains s’étant prêtés aux essais… De ce système émergea un lanceur d’alerte interne, le Dr Fishbein, qui déposa plainte contre le NIH en mars 2004, nous reprenons le narratif à ce moment et juste avant la conclusion du chapitre]

[…]

Le Dr Fishbein se plaça sous le système de protection des lanceurs d’alerte et demanda une enquête approfondie du congrès sur la corruption au grand large du NIAID.

[…]

En mai 2004, sous la pression des législateurs, le NIH s’est accordé pour recevoir une enquête de l’Institute of Medicine (IOM) pour son HIVNET 012 [NdT : nom de code donné par le NIAID à ses essais sur le nevirapine en Ouganda]. Cet institut est une branche de la National Academy of Sciences, indépendant du congrès et un conseiller de confiance sur les affaires scientifiques. L’IOM rassemble régulièrement des panels de scientifiques de haut niveau pour superviser et réviser la science des agences gouvernementales.. La présomption est celle qui veut qu’alors que les industries régulées capturent et compromettent facilement les agences fédérales, l’IOM est incorruptible. Les membres de l’IOM ne travaillent ni pour l’industrie, ni pour le gouvernement et le congrès des Etats-Unis s’attend à recevoir la merde brute, si elle existe, de l’IOM.

Mais, déjà à cette époque, le dr Fauci avait déjà compris comment contrôler l’IOM avec des fils invisibles. Les législateurs de Capitol Hill, D.C ne comprirent jamais que les PI du dr Fauci dominaient le panel de l’IOM qui s’assembla pour enquêter sur ses malversations. Six des neuf membres étaient des personnes qui recevaient des fonds du NIAID, qui faisaient alors des essais pour le dr Fauci, ces gens recevaient des bourses allant de 120 000 à 2 millions de dollars. L’étude de l’IOM sur les accusations du Dr Fishbein fut, de manière bien prévisible, un autre de ces blanchiments. L’IOM adopta de manière stratégique un mode d’enquête très restrictif qui n’a pas inclus les scandaleuses mal-pratiques de l’agence en Ouganda et dans l’état du Tennessee. Le 7 avril 2004, le panel de l’IOM rapporta ses trouvailles et déclara que les données du HIVNET 012 devraient être considérées comme valides. Le même jour, le Dr Fishbein reçut une lettre l’avertissant de la fin de ses fonctions.

[…]

Dans le même temps, une revue interne du NIH tenue secrète sur les essais du nevirapine confirma les pires accusations du Dr Fishbein au sujet du dr Fauci et du HIVNET 012. le 9 août 2004, la Dr Ruth Kirschstein, conseillère de Zerouhni, envoya les résultats de son enquête au directeur du NIH. Elle avertissait que les efforts du dr Fauci pour virer le Dr Fishbein donnait au mieux, “l’apparence de représailles” contre l’intéressé et elle ajouta que “Il est clair que [la branche du SIDA du dr Fauci] est une organisation trouble et que la plainte du Dr Fishbein “n’est clairement que l’amorce de problèmes plus profonds”. Zerhouni resta silencieux sur ces résultats incriminants des enquêtes internes de l’agence. Défiant le sénat, il licencia le Dr Fishbein le 4 juillet 2005.

A la suite  de son licenciement, le Dr Fishbein amena son cas devant le Merit Systems Protection Board (MSPB), assurant la protection contre toute représailles dans le cadre de la loi sur les lanceurs d’alerte. Le MSPB réinstalla le Dr Fishbein dans ses fonctions après avoir conclus que son licenciement était une “mauvaise rétribution”. Il était néanmoins très clair que le Dr Fishbein n’avait plus aucun futur au NIH. Il négocia donc un accord de fin de contrat. Les termes de cet accord entre le Dr Fishbein et le NIH sont secrets et l’accord lui-même lui interdit d’en discuter publiquement ou en privé des termes.

Le Dr Fishbein m’a dit que malgré sa victoire nominale, de principe, le dr Fauci a continué à le punir de loin, au gré de conséquences et de connexions allant bien au-delà du NIAID. “Je n’ai pas pu trouver de travail dans la fonction publique de la santé pendant cinq ans.” dit le Dr Fishbein de la vendetta du dr Fauci. “tout le monde dans le domaine de la science est terrifié à l’idée de le contredire et de se le mettre à dos. Il est comme un caïd de la mafia, un Don, il contrôle tout et tout le monde dans le domaine de la santé publique.” Il ajouta : “Il arrose avec tellement de fric aux alentours et tout le monde sait qu’il est vindicatif. J’avais un ami qui m’a dit ‘Je ne peux pas prendre le risque de t’employer parce que je ne peux pas me permettre le courroux de Fauci.’ Ceci fut ma première rencontre avec la “cancel culture”, la culture de l’annihilation.”

Il se rappela : “J’avais quitté le secteur privé et pris le boulot au NIH parce que je voulais faire du service public. Mais j’étais très naïf. Je croyais que le gouvernement pouvait trouver des solutions et que la justice prévaudrait toujours. Mon expérience dans cette Division du SIDA (DAIDS) m’a vraiment ouvert les yeux sur le comment le système opère réellement. Le budget fédéral est un vaste trou qui nourrit les intérêts de quelques groupes. Mais si vous devenez clairvoyant de tout cela, que vous en parlez et que vous vous retrouvez du mauvais côté de quelqu’un de vraiment très puissant, alors ils voudront votre peau. La meute des avocats œuvrant pour le gouvernement est à vos trousses et ils ont des ressources illimitées pour vous crâmer. La vérité n’est pas de leur côté, mais ils peuvent vous balancer quelque obstacle que ce soit et vous ne pouvez obtenir justice parce que les frais de justice et le temps vont vous pomper toute vos ressources, jusqu’à votre dernier dollar. Le système n’est pas fait pour aider la partie accablée. Je n’ai pas pu forcer Fauci à faire une déposition. Il était bien trop occupé à donner des interviews et à recevoir des récompenses. Il n’y eut jamais de conséquences pour les perpétrateurs de ces crimes. Ils ont continué leurs carrières tandis que moi j’ai du recommencer de zéro. S’ils sont déterminés à ruiner votre vie, ils peuvent le faire.

Farber est aussi désenchantée : “Ils lâchent une telle violence sur votre existence si vous les exposez. Vous ne marchez plus jamais de la même façon. Ils vous font ressentir comme si vous étiez mort, totalement dévalué. Ils ont mis beaucoup d’argent dans ces campagnes pour attaquer mon article. Ce fut nucléaire. Leur croisade pour me discréditer et me détruire a eu des effets permanents sur ma vie. Mais vous savez quoi ? Je n’ai pas été assassinée. Joyce [Hafford] l’a été. Je pense à elle tout le temps.

Et les vrais perdants dans toute cette bataille, furent les millions de femmes africaines et les bébés qui furent forcés de prendre du nevirapine, un médicament qui non seulement ne prévient pas du SIDA mais rend très malades et tue les personnes qui en prennent.  En fin de compte, le dr Fauci a réussi à bidouiller des essais cliniques, à cacher une triche systémique catastrophique et à manipuler les politiques pour faire accepter son médicament dangereux et inefficace sur le marché : le nevirapine.

En mars 2005, le Dr Valendar Turner, chirurgien  du ministère de la santé de Perth en Australie Occidentale, fit remarquer dans une lettre au magazine Nature : “Aucune des preuves disponibles concernant le nevirapine ne proviennent d’essais dans lesquels le médicament fut testé contre des placebo. Pourtant, comme l’a dit l’auteur principal de l’étude, un placebo est la seule façon pour un scientifique d’évaluer l’efficacité d’un médicament avec une réelle assurance scientifique.

Le Dr Turner a observé que “le ratio de transmission du VIH par le groupe du HIVNET 012 est de 13,1% et que ceci est au dessus du ratio de transmission de base. Le résultat de la transmission du VIH est supérieur au ratio de 12% rapporté dans une étude prospective préalable sur 561 femmes africaines n’ayant reçu aucun traitement antiviral. Ce de facto devient le groupe placebo.” Donc, tout ce qu’a fait le médicament de Fauci est d’aggraver plutôt que d’empêcher la transmission du VIH chez tous ces bébés africains qu’il prétendait sauver.

Farber argumente que, sous le dr Fauci, l’échec des chercheurs de proprement contrôler au moyen d’un groupe placebo “est peut-être la caractéristique primordiale de la recherche sur le SIDA en général.” Le trucage statistique pour se débarrasser du groupe de contrôle placebo inerte allait devenir un outil utilisé par Fauci pour obtenir des accords de mise sur le marché de centaines de nouveaux médicaments et vaccins et ce, du SIDA au COVID.

D’après Farber, “Il n’y avait pas de groupe placebo, ainsi les résultats des essais cliniques du HIVNET 012 sont un trucage statistique, un spectacle d’ombres chinoises, dans lequel le succès est mesuré à l’encontre d’un autre médicament et non pas en référence à un groupe placebo, qui est et demeure l’étalon or en matière d’essais cliniques.

[…]

Finalement, durant tout ce temps du dr Fauci au NIH, le Dr Zeke Emmanuel fut le directeur du département de bioéthique (DOB), le comité de supervision éthique de tout le NIH. L’adjointe d’Emmanuel fut l’épouse de Fauci, Christine Grady. En 2012, Grady est devenue directrice du DOB. Le département supervise la bioéthique des essais cliniques de toutes les succursales du NIH [dont le NIAID], incluant les responsabilités de supervision de problèmes éthiques dans des essais cliniques commissionnés par son mari, comme ceux sur les médicaments nevirapine et proleukin.

Grady a reconnu dans un entretien avec le magazine Vogue qu’elle était au courant de la réputation de Tony Fauci comme étant une personne très intimidante dès lors de leur première rencontre en 1983. “Tout le monde avait peur de lui et quand je l’ai vu la première fois, j’ai pensé : ‘De quoi parle t’il ? Il est jeune, charmant et ne paraît pas être intimidant ni faire peur.

Avoir à faire avec Tony Fauci, c’est comme avoir à faire avec le crime organisé”, dit le Dr Fishbein. “Il est comme un véritable parrain. Il a des connexions partout. Il arrive toujours à avoir des gens à qui il a donné de l’argent dans des positions de pouvoir important de façon à ce qu’il puisse toujours faire prévaloir sa façon, sa voie, qu’il puisse toujours avoir ce qu’il veut. Ces connexions lui donnent le pouvoir ultime de pouvoir tout arranger, de contrôler chaque narratif, d’échapper aux conséquences, et de pouvoir balayer toute la merde et les cadavres sous le paillasson, de terroriser et de détruire quiconque le double et expose sa malfaisance.

NdT: Compagnons, lecteurs, le chapitre 9 est long et très dense en information, cela prendra du temps à le publier, merci de votre patience et votre compréhension…

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Pire que la Führer des bruits de bottes covidistes, le silence des pantoufles covidiotes…

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, colonialisme, coronavirus CoV19, désinformation, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, pédagogie libération, police politique et totalitarisme, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , on 25 novembre 2021 by Résistance 71

Triste constat certes, mais bien réel. L’espoir est néanmoins le suivant : nous n’avons pas besoin que 100% de la population soient convaincus du crime commis contre les peuples, la solution à 10% est une réalité savamment cachée, mais néanmoins importante : Il suffit de 10% d’une population décidée et incorruptible pour qu’à terme la masse bascule et suive l’idée poursuivie.
En France par exemple, si nous parvenons à avoir 5 millions d’adultes convaincus, décidés et irréductibles, refusant les contraintes et commençant à œuvrer hors système en associations libres confédérées et refusant les diktats oligarchiques, court-circuitant les institutions et faisant fonctionner la société de partout de manière décentralisée partant du local, ce sera fin de partie pour l’imposture et la dictature étatico-marchande.
Il suffit de dire NON ! et surtout de se liguer entre humains de bonne volonté œuvrant pour le véritable bien commun que seuls les peuples sont capables de mettre en place, sans intermédiaires parasites, par et pour eux-mêmes.
Qu’on se le dise ! et que vienne la mise en pratique de la solution à 10%…
~ Résistance 71 ~

“Ce que je crains pire que le bruit des bottes, c’est le silence des pantoufles.”
~ Max Frisch ~

“Vous voulez savoir à quoi ressemblera le futur ? Imaginez un visage humain écrasé par une botte militaire, pour toujours.”
~ George Orwell ~

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Le silence des pantoufles

Philippe Huysmans

23 novembre 2021

Source : https://www.mondialisation.ca/le-silence-des-pantoufles/5662552

Mes lecteurs fidèles l’auront remarqué, je n’écris plus guère ces temps-ci, lassé par le cruel constat que c’est parfaitement vain.  Pas que j’aurais eu tort, non, mais simplement que même la réalité observable aujourd’hui cède le pas à une hyperréalité anxiogène entretenue par le pouvoir et ses chiens de garde médiatique.

Cette hyperréalité, créée de toutes pièces aux fins de propagande vise à maintenir, par le moyen de violence psychologique, d’injonctions paradoxales et de lois iniques la population dans un état de prostration résignée, terrorisée par une « pandémie » qui n’a jamais existé.   On le sait maintenant, les chiffres sont là, ce virus n’a pas tué plus qu’une grippe, et aujourd’hui moins que jamais.  On ne vend plus du rêve, désormais, mais du cauchemar.  On sait qu’au plus fort de la crise, seuls 2% des personnes hospitalisées en France l’étaient en raison du covid, c’est officiel, et pourtant la comédie continue comme si de rien n’était, et une majorité de la population a été réduite à l’état de serpillères dociles et stupides1.

L’histoire s’accélère et nous basculons de plus en plus vite dans un monde totalitaire, glaçant, dans l’indifférence générale.  Samedi 20 novembre, lors de manifestations anti pass sanitaire à Rotterdam, les forces de l’ordre ont tiré à balles réelles sur des manifestants désarmés et en ont mis au moins trois sur le carreau.  Avez-vous seulement entendu un seul pays s’offusquer contre ces méthodes dignes des pires dictatures?  Non, pas un mot…  Mais il y a nettement plus grave encore, ceci n’a pas suscité la moindre indignation dans la population, ils acceptent ces dérives comme si elles étaient désormais tolérables, voire normales.

Dans le même temps, l’Autriche avait instauré, le 15 novembre dernier, l’apartheid sanitaire, en reconfinant les non-vaccinés, ce qui n’a absolument aucun sens, sauf à penser qu’il ne s’agit aucunement de politique sanitaire.  Aujourd’hui, ils vont plus loin, et ont reconfiné l’ensemble de la population et ont annoncé la vaccination obligatoire pour le 1er février.

En Australie, les autorités en sont à envoyer la police et l’armée pour faire appliquer le confinement à Katherine (territoires du Nord), officiellement pour « aider les gens à se faire tester ».  Apparemment, au pays des kangourous, ça prend deux bidasses pour faire retrouver aux sauvages du cru le chemin du dispensaire, sont-ils évaporés!

Ce qui m’inquiète n’est pas tant les agissements des psychopathes qui nous gouvernent que l’apathie de la population. Attendez-vous, dans les semaines qui viennent, à une banalisation des tirs à balles réelles sur tout qui oserait manifester un peu résolument contre l’instauration du pass sanitaire qui se transformera bien vite en obligation vaccinale, puis en dictature féroce.

Les ténèbres s’en viennent, et nos libertés s’en vont doucement, sur la pointe des pieds, suivant ainsi la raison qui a depuis longtemps déserté ce banquet d’ivrognes.  Enivrés de la croyance illusoire que d’être le serviteur le plus zélé, au prix d’abdiquer jusqu’à sa moindre dignité d’homme, suffirait à leur garantir les bonnes grâces de leur maître.  Pauvres fous qui ne voient pas qu’ils sont les instruments de leur propre déchéance.

Note :

1.Stupide : (litt.) Frappé de stupeur, paralysé par l’étonnement.

La source originale de cet article est Le Vilain Petit Canard

= = =

Lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

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Arnaque COVID, fraude et tyrannie pseudo-vaccinale… Fauci, Gates et les 1000 milliards de dollars de corruption pour un crime contre l’humanité en bande organisée (entretien avec Robert F. Kennedy Jr)

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Le compte rendu de l’entretien de Robert Kennedy Jr avec le Dr Mercola est très bon et donne un éclairage très précis des trames politico-financières de derrière le rideau de cette supercherie, escroquerie COVID et la main mise d’une poignée de personnes sur le système médical et de la politique de santé publique mondiaux. L’inconvénient est qu’il met sous les feux de la rampe des ordures du calibre de Fauci et Bill Gates, laissant penser que si on se débarrassait de ces gugusses, cela irait beaucoup mieux… Ceci est un leurre total ! Fauci et Gates n’existent que parce qu’un système a permis leur éclosion et l’amplitude de leur pouvoir. Croire que changer des têtes changerait quoi que ce soit est absurde ! C’est tout le système qu’il faut changer, radicalement, depuis la racine, car si l’homme crée le système, à terme les rouages d’un puissant système créent les hommes qui aident à sa perpétuation. Pas de solution au sein du système et ne saurait y en avoir. Nous devons tout passer par dessus bord et mettre en place la société des associations libres mondialement confédérées, sans état, sans marchandise, sans argent ni salariat.
C’est la seule solution viable pour l’humanité, tout le reste n’est que réformisme imbécile qui ne peut mener qu’à un renouvellement éternel du marasme ambiant ; même malbouffe poison on change juste de sauce…
~ Résistance 71 ~

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Robert Kennedy Jr sur Fauci, Bill Gates et Big Pharma…

Anthony Fauci et 1000 milliards de dollars de pouvoir et de corruption

Compte-rendu d’entretien sur le livre de Robert Kennedy Jr “The real Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma and the Global War on Democracy and Public Health”

JoAnn Nova

17 novembre 2021

url de l’article original:
https://joannenova.com.au/2021/11/anthony-fauci-and-a-trillion-dollars-worth-of-power-and-corruption/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Il est le haut-fonctionnaire le mieux payé des Etats-Unis et il occupe sa position [de directeur de l’Institut de la Santé Nationale américain] depuis des décennies (NdT : depuis 1987 si nos souvenir sont exacts…) ; il a été capable de diriger des milliers de milliards de dollars de financement. L’an dernier, il a aidé à infecter l’Amérique alors que cela aurait pu être stoppé et cette année, il garde des médicaments efficaces et bon marché contre la COVID loin des patients et de leurs médecins.

Robert F. Kennedy Junior vient juste de faire paraître un nouveau bouquin des plus intéressants intitulé “Le véritable Anthony Fauci”. Je ne l’ai pas encore, mais les entretiens de Kennedy concernant le lancement de son livre sont radioactives. Pire encore que les expériences de Beagle rapportées il y a tout juste deux semaines (Beagle experiments reported) sont les allégations d’expériences médicales sur des orphelins dominicains et des citoyens américains malades.

Le véritable Anthony Fauci conservera t’il son boulot ? Les notes ci-dessous proviennent de la transcription de l’entretien du Dr Joseph Mercola avec Robert F. Kennedy Jr

Voici ce que je voudrais dire aux gens. Nous devons mettre un terme à tout cela. C’est la colline pour laquelle nous devons tous mourir.

Kennedy affirme que tout ceci se répète décennie après décennie. Les médicaments efficaces et bon marché sont bloqués, tandis que de nouveaux médicaments bien plus profitables sont promus. Tout le monde dans cette chaîne reçoit sa récompense, sauf les malades et les médecins hérétiques qui sont mis au pilori et virés.

  • Fauci est le haut-fonctionnaire le mieux payé des Etats-Unis, et 68% des 437 000 US$ par an de salaire proviennent de la recherche sur les armes biologiques
  • Au lieu de préserver la santé publique, Fauci a transformé le National Institute of Health (NIH) en un incubateur pour produits pharmaceutiques et a essentiellement vendu le pays à l’industrie pharmaceutique
  • Fauci a mis les mains à la pâte dans la création d’une ruée vers l’or vaccinale. Il a rencontré Bill Gates en 2000, qui lui a demandé d’établir un partenariat avec le NIH dans un accord de vaccination du monde avec toute une batterie de nouveaux vaccins. En 2009, cet accord fut rebaptisé “La décennie des vaccins”, dont l’objectif est de mettre en place des vaccinations obligatoires pour chaque adulte et enfant sur la planète pour l’année 2020

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Bill « la piquouze » dans son labo…

Le capitalisme philanthropique ressemble à un hybride entre les banquiers et les verts : trop important pour échouer et trop sacré pour être critiqué.

Le couvert de la charité est un bouclier contre toute tentative d’enquête sérieuse.

“Gates appelle ce qu’il fait du capitalisme philanthropique, [l’idée] que vous pouvez utiliser la philanthropie pour faire de l’argent. Il a une fondation où il a planqué 50 milliards de dollars exonérés d’impôts et il continue à avoir un contrôle absolu sur cet argent. Il l’utilise pour gagner le contrôle sur les agences de santé publique de notre pays et sur l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Il a créé un bon nombre de ses propres organisations avec le Dr Fauci et beaucoup de ces agences quasi-gouvernementales, que les gens pensent être gouvernementales (mais qui ne le sont pas). Elles sont en fait des avant-postes de l’industrie pharmaceutique comme GAVI, SEPI etc…

Il utilise cette batterie d’organisations et ce contrôle exercé sur l’OMS pour faire mettre en place des politiques médicales ou pharmaceutiques, de santé publique dans le monde, ce de telle façon que cela maximise les profits pour ses investissements dans l’industrie pharmaceutique.

(NdT: n’oublions pas que Bill Gates et sa fondation sont les second financiers de l’OMS derrière les Etats-Unis… La fondation Gates finance plus l’OMS que les pays du G7 hors Etats-Unis… le contrôle est total)

Le gouvernement des Etats-Unis prend quasiment tous les risques, fait le promotion et garantit les bénéfices :

Le contribuable américain a financé la recherche tandis que les laboratoires pharmaceutiques ont fait environ 100 mililards de dollars de bénéfice de ces injections en même pas un an. Tout cela alors qu’on leur a accordée une responsabilité zéro pour toutes morts ou séquelles alors même que les gens ont été contraints et forcés de se faire injecter.

Cela ne peut jamais être bon de mettre un homme en charge d’une telle poule aux œufs d’or :

… entre Fauci, Gates et le U.K Wellcome Trust du Royaume-Uni, ils conrôlent 63% de la recherche bio-médicale sur la planète au travers de leurs financements. Dans sa carrière, Fauci à lui seul a distibué plus de 930 milliards de dollars en budgets de recherche au travers du NIAID. Vous pouvez même dire qu’ils contrôlent tout, vraiment, parce qu’ils ont aussi la capacité d’assécher le financement des projets qu’ils ne veulent pas entrepris.

Un homme détient la clef du coffre contenant tant d’argent, comment ne peut-il pas être corrompu dans le processus ? Qu’est-ce qui empêche cet homme seul de devenir si influent que beaucoup de personnes au sein d’une branche complète de la science commence à travailler pour lui ?

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Anthony Fauci… patron de l’Institut de Santé Publique
depuis… 34 ans !

Ce système est comme un processus de révision de potes formalisé de la science du climat.

“Entre 2009 et 2016, environ 230 médicaments ont été approuvés par la FDA (NdT : Food & Drug Administration, l’agence fédérale américaine qui accorde les droits de mises sur le marché de produits alimentaires et de médicaments), toutes en provenance de son magasin. Il est donc un incubateur de Big Pharma. Voici ce qu’il fait : dans son labo, il a des cultures de tous les virus possibles et imaginables et il a des scientifiques qui jouent avec différentes molécules et différents poisons et ils vont larguer ces poisons dans les cultures et regarder si ils tuent ce qu’elles contiennent. Si c’est le cas, alors ils ont un médicament potentiellement anti-viral.

L’étape suivante est de donner tout ça à des rats de labo et voir si ça tue le rat. Si la plupart des rats survivent, alors vous avez un anti-viral qui peut potentiellement marcher sur les humains. Ensuite, il fait sous-traiter tout ça par une grosse université. La personne qu’il contacte dans cette université est en général quelqu’un de très puissant. Le directeur de la fac de médecine ou le patron d’un des départements médicaux et ils font les tests cliniques, ce qui est extrêmement lucratif.

Donc, ils passent en phase 1 des essais cliniques, ils vont recruter 100 personnes pour l’essai. Fauci donne à cet instigateur principal environ 20 000 US$ par recrue. L’université pompe 50 ou 75% de cette somme. Maintenant, l’université est accroc à ce système.

Ensuite, si le médicament marche en phase 1 et phase 2, alors ils vont mettre en place un plus grand groupe de gens, 10 000 personnes, là on parle de centaines de millions de dollars. Et ils doivent amener dans le processus un labo pharmaceutique qui va maintenant prendre le contrôle de la moitié de la patente.

L’agence de Tony Fauci garde des actions sur la patente. Par exemple, elle collecte toujours maintenant des royalties sur le vaccin anti-COVID de Moderna. Le NIAID reçoit la moitié des royalties, des milliards de dollars. Le chercheur de l’université garde un pourcentage de la patente, de cette manière il demeure lié en permanence à Fauci et va faire tout ce que celui-ci lui demande, l’université elle-même profite aussi de la patente. (NdT : bref, tout le monde en croque et ferme sa gueule…)

Si le tas de fric est conséquent, cela réduit au silence des universités entières… (NdT: parce que “l’éducation” une fois de plus est basée sur le fric, c’est une marchandise, à Yankland sans doute plus qu’ailleurs…). Ce sont donc des centaines de milliards de dollars qui sont acheminés annuellement vers ces universités, en plus des budgets qu’il alloue et il a le pouvoir de fermer le robinet si quelqu’un de l’université se plaît à faire des recherches qui ne vont pas dans le “bon sens”…

Une fois que le médicament passe en phase 3, il passe à la FDA. Le panel est appelée VRBPAC [Vaccines and Related Biological Products Advisory Committee] et ses membres ne sont pas des gens qui travaillent pour la FDA. Ce sont des personnes externes qui y siègent.

D’où viennent-ils donc ? Ce sont les enquêteurs principaux de Fauci de toutes les universités, qui travaillent sur ses autres projets et ils sont amenés dans ce comité pour juste mettre le coup de tampon à l’exploitation commerciale. Le comité ne dit jamais non. Il donne toujours le feu vert à tout et est complètement contrôlé par Fauci. Il contrôle la totalité du processus d’amont en aval… Ils donnent leur accord et donnent une licence d’exploitation au médicament, parce qu’ils savent que l’an prochain leur propre médicament va venir devant le comité pour y être approuvé et ils veulent bien entendu que le comité valide l’exploitation commerciale.

Les médias deviennent partie prenante de cette corruption généralisée. Ils pourraient y mettre fin s’ils rapportaient  le meilleur des deux côtés :

Chaque expert que vous voyez à la télévision, CNN etc, émarge au budget de Fauci et CNN ne vous le dira jamais. Ils vous diront : “C’est un virologue indépendant, c’est un immunologue de l’université de Baylor ou Stanford ou Harvard.” Ils ne vous disent pas où le pain de cette personne a été beurré et que la personne qui met le beurre sur sa tartine est Fauci et ce avec le pognon de vos impôts. Tout le système est truqué, bidouillé.

Il n’y a pas de “vaccins” anti-COVID approuvé aux Etats-Unis. “Pfizer” est et n’est pas “Corminaty”.

Maintenant, la meilleure des choses à faire en l’état actuel des choses, est de les laisser vous virer pour ne pas utiliser une autorisation d’urgence de vaccination, parce qu’il n’y a absolument aucun vaccin approuvé dans ce pays pour quelque Américain que ce soit. C’est un mythe. C’est une supercherie ; ce fut une boutade pour eux de dire ‘Nous avons approuvé ce vaccin Corminaty”. Si vous allez sur le site internet de Pfizer, on vous dira : “nous ne faisons pas le Corminaty disponible aux Etats-Unis.”

Big Pharma a besoin de vaccins pour les enfants approuvés pour avoir une protection légale ?

Pourquoi veulent-ils piquer vos enfants ? Voici pourquoi. Les vaccins ne peuvent recevoir une protection légale que s’ils sont approuvés. La seule façon de faire cela est de faire mettre les vaccins sur le programme de vaccination des enfants. Ensuite, une fois que le CDC vote pour les mettre sur le programme, alors ils obtiennent la protection légale, même pour les adultes.

Une action en justice peut ruiner l’entreprise si elle n’a pas de protection légale, c’est pourquoi ils en veulent à vos enfants. Ils en ont besoin pour avoir la protection légale. Nous avons besoin de les arrêter dans ce qu’ils vont provoquer comme dégâts collatéraux à une génération entière d’enfants : 26 millions d’enfants vont recevoir une injection qui n’a été testé que sur 1300 enfants, avec des résultats catastrophiques.”

C’est une grosse interview et plus encore…

It’s a big interview and there is lot more.

Je ne suis pas nécessairement d’accord avec tout ce que dit Robert Kennedy Jr, mais fort heureusement il peut le dire, du moins jusque maintenant…

= = =

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

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Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

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Survivra t’il ? Les stats familiales sont contre lui…

Les dictateurs du COVID ont leur école, celle des Young Global Leaders du Forum Economique Mondial de Klaus Schwab

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École pour dictateurs en herbe…

“Il n’y a aucune possibilité de satisfaire chez un peuple le besoins de vérité si l’on ne peut trouver à cet effet des hommes qui aiment la vérité.”
~ Simone Weil ~

L’école pour dictateurs COVID de Klaus Schwab, plan de la “Grande Réinitialisation”

Michael Lord

10 novembre 2021

url de l’article original:
https://rairfoundation.com/exposed-klaus-schwabs-school-for-covid-dictators-plan-for-great-reset-videos/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

L’économiste Ernst Wolff pense qu’une alliance cachée des leaders politiques et entrepreneuriaux exploite la pandémie avec pour but de faire s’effondrer les économies nationales afin de pouvoir introduire une monnaie mondiale numérique.

Comment se fait-il que plus de 190 gouvernements dans le monde ont fini par gérer la “pandémie” COVID19 de presque la même manière, avec des confinements, des obligations de masque et les cartes de vaccination devenant commune presque partout ? La réponse pourrait bien se trouver dans l’école des Young Global Leaders, établie et gérée par Klaus Schwab, grand ponte du Forum Economique Mondial (FEM) et au fait que la vaste majorité des leaders politiques et du monde des affaires soient passés par là pour accéder au top de la pyramide.

Le journaliste et économiste allemand Ernst Wolff a révélé certains faits au sujet de l’école des “Young Global Leaders” de Schwab qui aident à la compréhension des évènements mondiaux pendant la pandémie, dans une vidéo de Comité Allemand Corona. Alors que Wolff est principalement connu comme critique du système financier mondialiste, il s’est récemment concentré sur le fait d’apporter la lumière sur ce qu’il perçoit être l’agenda caché se trouvant derrière les mesures anti-COVID mises en place à travers le monde.

Débuts mystérieux

L’histoire commence avec le FEM, ONG fondée en Suisse en 1971 par Klaus Schwab, économiste allemand et ingénieur en mécanique, alors qu’il n’avait que 32 ans. Le FEM est mieux connu du public sous le nom de “Davos” pour le lieu de sa réunion annuelle en Suisse, tous les mois de janvier et qui vise à réunir des leaders de la politique et du monde des affaires du monde entier afin de discuter des problèmes du jour. Aujourd’hui, il s’agit d’un des réseaux le plus important dans le onde de l’élite mondialiste (NdT : avec les réunions plus informelles, mais non moins élitistes et complotistes, du groupe Bilderberg depuis 1954). Davos est financé par plus de mille entreprises multinationales.

Le FEM, qui s’appelait à l’origine le Forum de Gestion Européen jusqu’en 1987, a réussi à réunir plus de 440 exécutifs de 31 nations dès sa première réunion en février 1971, ce qui représenta un succès inattendu pour Schwab selon Wolff, car Schwab n’avait que peu d’expérience professionnelle et internationale avant cela. Wolff pense que cela est sans doute dû aux connexions qu’il a faites durant ses années d’université, incluant ses études avec l’ancien conseiller à la sécurité nationale américain, Henry Kissinger. (NdT : Kissinger lui-même un protégé depuis le début de sa carrière de David Rockefeller et avec qui il créa la “Commission Trilatérale”) Wolff indique également que durant les années de présence de Schwab à Harvard, l’université planifia de mettre en place un forum économique et il est possible que Harvard en vint à lui laisser le soin de l’organiser.

Le Forum réunit au départ des gens du secteur économique, mais avant longtemps, il commença à inviter des politiciens, des figures importantes des médias (incluant la BBC et CNN) et même des célébrités.

Les Young Global Leaders de Schwab : incubateur de la Grande Réinitialisation ?

En 1992, Schwab institua une organisation parallèle, l’école des Global Leaders for Tomorrow (école des leaders de demain), qui fut réétablie comme Young Global Leaders en 2004. Les participants doivent faire la demande à l’école pour y être admis, puis être soumis à une sélection très rigoureuse. Les membres de la toute première classe de 1992 incluaient déjà un bon nombre de personnes qui allaient devenir des figures importantes du monde libéral, comme Angela Merkel, Nicolas Sarkozy ou Tony Blair. Il y a actuellement plus de 3000 personnes qui sont sorties des bancs de cette école et la liste des anciens élèves comprend un grand nombre de gens qui sont devenus des leaders d’institutions de la santé de leur nation. Quatre d’entre elles sont des anciens ministres ou ministre en activité de la santé allemands comme Jens Spahn, qui est le ministre fédéral de la santé depuis 2018. Philip Rösler, ministre de la santé allemand de 2009 à 2011 et qui fut nommé Directeur de Gestion du FEM par Schwab en 2014.

Un autre nom notable de cette école est Jacinda Ardem, la première ministre de la Nouvelle-Zélande dont les mesures de confinement ont été louées par les autorités sanitaires mondialistes ; Emmanuel Macron, le président de la France, Sebastian Kurz, jusqu’à récemment le chancelier autrichien, Vikto Orban, le PM de Hongrie ; JC Junker, ancien ministre luxembourgeois et président de la Commission Européenne et Annalena Baerbock, leader du parti des verts allemands qui fut la première candidate du parti pour les élections de chancelier cette année et qui est toujours en course pour être successeur de Merkel. Nous avons aussi le gouverneur de Californie Gavin Newsom, sélectionné pour la classe 2005 tout comme l’ancien candidat à la présidentielle et actuel ministre des transports américain Peter Buttigieg, qui est récemment diplômé car sélectionné pour la classe de 2019. Tous ces politiciens qui étaient en poste ces deux dernières années ont tous été en faveur de mesures draconiennes en réponse au COVID19, ce qui a aussi considérablement augmenté les pouvoirs des gouvernements en place.

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des « anciens »…

Mais la liste des anciens élèves ce l’école n’est pas constituée que de politiciens et de leaders politiques. Nous y trouvons également des capitaines d’industries et d’entreprises privées, incluant l’ex-CEO de Microsoft Bill Gates, le fondateur d’Amazon Jeff Bezos, le CEO de Virgin Richard Branson et Chelsea Clinton de la Fondation Clinton. Toujours, ces personnes ont exprimé leur soutien total à la réponse globale à la “pandémie” et la plupart ont récolté de gros profits suite à ces mesures.

Wolff pense que les gens derrière le FEM et cette école des Young Global Leaders sont ceux qui déterminent vraiment ceux qui vont devenir des leaders politiques bien qu’il insiste sur le fait qu’il ne pense pas que Schwab lui-même soit celui qui prenne ces décisions, mais qu’il n’est qu’un facilitateur des choses. Il note également que l’école ne sort pas seulement des gens pour l’occident mais aussi pour l’Asie, l’Afrique, l’Amérique du Sud, indiquant par là, que c’est une organisation véritablement mondiale.

En 2012, Schwab et le FEM créèrent une autre institution la “Global Shapers Community” ou la “Communauté des Influenceurs Globaux”, qui rassemblent ceux qui ont été identifiés comme ayant le potentiel d’être leader dans le monde et ayant moins de 30 ans. Il y a 10 000 participants qui sont passés sous ce programme jusqu’ici et ils tiennent des réunions dans plus de 400 villes du monde. Wolff pense que c’est un autre domaine qui facilite la sélections des futurs élèves de l’école, des gens choisis, choyés avant d’être positionnés dans l’appareil politique et économique du pouvoir mondial.

Wolff points out that very few graduates of the Global Leaders school list it on their CVs. He says that he has only seen it listed on one: namely, that of the German economist Richard Werner, who is a known critic of the establishment. 

Wolff suggère également que bien peu de ceux qui sortent de l’école le marquent sur leur CV. Il dit qu’il ne l’a vu qu’une seule fois : sur le CV de l’économiste allemand Richard Werner, qui est un critique connu de l’establishment. Wolff suggère que l’école forme aussi des critiques du système, comme l’Allemand Gregor Hackmack de Change.org qui était dans la classe de 2010. Wolff pense que c’est parce que l’organisation désire présenter une image d’équilibre et de justice, mais veut aussi s’assurer que ses critiques font partie de l’opposition contrôlée.

Un autre point commun de ces Leaders sélectionnés : ils ont tous un CV très léger avant leur participation au programme et avant d’être élevés à des positions de pouvoir, ce qui veut dire que leur connexion avec l’institution de Schwab et l’école est décisive dans le lancement de leurs carrières Ceci devient plus évident lorsque des anciens élèves sont publiquement questionnés sur des sujets sur lesquels ils n’ont pas été instruits de la façon d’en parler et leur grande peine à trouver des réponses. Wolff affirme que leur rôle n’est que d’agir en tant que porte-parole sur les points abordés pour ceux tapis dans l’ombre derrière eux et leur dictant ce qu’ils veulent qui soit discuter lors de débat public.

Les bénis oui-oui de Schwab

Etant donné le mécontentement croissant avec les mesures anti-COVID mises en pratique par les élèves de l’école qui sont devenus des leaders nationaux dans leurs pays respectifs (NdT: Comme… Macron et Sarkozy avant lui, en France), Wolff pense que ces gens furent sélectionnés en fonction de leur capacité à appliquer ce qui leur est suggéré voire ordonné et qu’ils sont voués à échouer de façon à ce que le retour de bâton qui s’ensuit puisse être exploité pour justifier la création d’une nouvelle forme de gouvernement mondial. Wolff note de surcroit que les politiciens avec forte personnalité et vues fortes et originales sont devenus très rares et que le trait de caractère des leaders nationaux ces 30 dernières années a été leur veulerie et leur capacité à adhérer à une ligne mondialiste stricte dictée d’en haut.

Ceci a été particulièrement évident dans la plupart des pays avec la réponse à la “pandémie”, où les politiciens qui n’y connaissaient absolument rien en virus il y a encore deux ans, ont proclamé que COVID était une crise sanitaire des plus sévères, qui justifiait de confiner les gens sains chez eux, de fermer leurs commerces et affaires, et de détruire les économies. Déterminer exactement comment l’école opère est bien difficile, mais Wolff a pu apprendre certaines choses sur ce sujet. Dans les premières années de l’école, cela demandait que les élèves de la classe se rencontrent plusieurs fois au cours de l’enseignement de un an, ceci incluant une session de “formation exécutive” de dix jours à la Harvard Business School. Wolff pense que par la rencontre de leurs camarades de promotion et du fait de devenir partie d’un réseau bien plus large, les élèves nouèrent des liens sur lesquels ils pouvaient compter pour la suite de leurs carrières.

Aujourd’hui, le programme de l’école inclut des cours offerts sur une durée de cinq ans à intervalles irréguliers, ce qui dans certains cas, peut se chevaucher avec les débuts politiques ou affairistes de quelques uns des participants, ce qui veut dire qu’ils feront de multiples visites à Davos. Emmanuel Macron et Peter Buttigieg par exemple, furent sélectionnés pour l’école il y a moins de cinq ans, ce qui veut dire qu’il est fort possible qu’ils aient régulièrement participé à des cours du programme des Young Global Leaders alors même qu’ils étaient déjà en fonction politique et il se peut même bien qu’ils soient toujours en cours de formation aujourd’hui.

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Un réseau mondial de richesse et d’influence

Les diplômés de cette école et de celle d’avant celle-là se retrouvent bien situés dans la mesure où ils ont accès aux contacts du réseau FEM. Le Board of Trustees actuel du FEM inclut des grosses pointures telles Christine Lagarde, ex-patronne du FMI et l’actuelle présidente de la BCE, la reine Rania de Jordanie, classée par le magazine Forbes dans les 100 femmes les plus puissantes du monde, Larry Fink le CEO de BlackRock, la plus grosse entreprise d’investissement international qui gère environ 9000 milliards de dollars par an. En retraçant les connexions entre les élèves de l’école, Wolff affirme qu’on peut voir qu’ils continuent à se fier les uns aux autres dans le soutien de leurs initiatives, ce longtemps après avoir participé aux programmes des Young Global Leaders.

Wolff pense aussi qu’un certain nombre de l’élite universitaire joue un rôle dans le processus déterminé par le FEM et qu’ils ne devraient plus être vus comme étant en dehors des domaines politique et économique. Il cite comme exemple la Harvard Business School, qui reçoit des millions de dollars chaque année de donateurs privés, tout comme la Harvard School of Public Health (Ecole de santé publique de Harvard), qui a été rebaptisée la Harvard T.H. Chan School of Public Health après avoir reçu une donations de 350 millions de dollars du milliardaire de Hong Kong Gerald Chan. La même chose est vraie avec la John Hopkins School of Public Health qui est devenue la John Hopkins Bloomberg School of Public Health, ajoutant le nom du magnat de la presse et milliardaire Michael Bloomberg après qu’il eut donné 1,8 milliards de dollars à l’école en 2018.

Wolff dit que l’influence du FEM va bien au-delà de ceux qui sont passés par les Young Global Leaders et le programme des Influenceurs globaux, mais, bien que le nombre de personnes participant aux conférences de Davos soit bien plus grand que suspecté, il mentionne être informé qu’environ 1500 jets privés amènent les participants chaque année, engorgeant les aéroports suisses.

L’alliance du gros business et du gouvernement

Le but principal des activités du FEM, pense Wolff, est de faciliter et d’améliorer la coopération de haut niveau entre le gros business et les gouvernements, chose que nous voyons déjà se mettre en place. (NdT : n’oublions pas que c’est le but : la fusion des états-nations avec les grosses entreprises transnationales en un fascisme supra-national, qui verra des zones d’influence gérées non plus par des pays mais par des corporations du grand complexe industrio-financier…) Viviane Fisher, une autre participante de la retransmission du Corona Committee, fait remarquer que l’entreprise britannique SERCO gère les migrants pour le gouvernement britannique et gère aussi des prisons autour du monde, entre autres activités. (NdT : Notons que Dean Henderson que nous avons traduit durant des années sur ce blog avant qu’il ne disparaisse de la vie publique en 2019, avait noté les actions de SERCO dans ses derniers articles. Il avait également analysé que Julian Assange avait été exfiltré de l’ambassade d’Equateur de Londres dans un véhicule de SERCO).

L’influence de l’industrie pharmaceutique est également considérable : Wolff mentionne que l’alumni des Young Global Leaders Bill Gates est en affaire avec Pfizer depuis bien longtemps, devenu un des producteurs principaux des injections controversées à ARNm anti-COVID, ce au travers des initiatives de santé publique de sa fondation en Afrique, ce bien avant que la “pandémie” COVID ne débute.

Ce n’est pas un hasard si Bill Gates est devenu un des champions de la cause des confinements et que les injections anti-COVID sont devenues disponibles depuis, le Wall Street Journal ayant rapporté que sa fondation a engrangé environ 200 milliards de dollars en “bénéfices sociaux” dans la distribution des vaccins. (The Wall Street Journal has reported that his Foundation had made approximately $200 billion in “social benefits” from distributing vaccines ) ce avant même que la “pandémie” n’ait commencé. On ne peut qu’imaginer ce que sont ses profits sur les “vaccins” aujourd’hui.

La technologie numérique, qui est maintenant omni-présente jour aussi un rôle déterminant dans les plans de l’élite mondialiste. Wolff souligne que BlackRock, géré par un ancien de l’école Larry Fink, est en ce moment le plus gros conseiller des banques centrales et a collecté des données sur le système financier mondial depuis maintenant plus de 30 ans et possède une bien meilleure compréhension du fonctionnement du système que les banques centrales elles-mêmes.

Un des buts de la politique actuelle poursuivit par bien des gouvernements, pense Wolff, est de détruire les petits et moyens entrepreneurs de façon à ce que les multinationales basées aux Etats-Unis et en Chine puissent monopoliser le business partout. Amazon, qui était jusqu’à récemment mené par l’ancien de l’école des Young Global Leaders Jeff Bezos, a fait d’énormes bénéfices grâce aux mesures de confinement qui ont dévasté la classe moyenne et les petits commerçants.

Wolff affirme que le but ultime de cette domination par les larges plateformes est de mener à l’introduction d’une monnaie numérique planétaire. Ces quelques derniers mois, le Forum de la Finance Internationale de Chine, qui est similaire au FEM, a proposé la mise en circulation d’un yuan numérique, qui pourrait être ensuite internationalisé via le réseau monétaire à base de block-chain Diem. De manière intéressante, Diem est le successeur de Libra, la crypto-monnaie qui fut introduite par Mark Zuckerberg de Facebook, indiquant qu’il y a des discussions et une mise en place d’une monnaie mondiale qui va transcender le pouvoir du dollar et du yuan et qui sera géré au travers d’une coopération avec les réseaux affairistes chinois, européens et américains. Le comité de supervision du Forum International de la Finance inclut des noms comme Christine Lagarde du FEM, Jean-Claude Trichet l’ex-président de la BCE et Horst Köhler, l’ancien patron du FMI (NdT : tout comme Lagarde du reste…)

Wolff explique plus avant que les confinements et les packages de sauvetage subséquents que l’on a vu autour du monde ces deux dernières années, ont laissé bien des nations au seuil de la banqueroute. Afin d’éviter une catastrophe économique, les gouvernements du monde se sont résolus à sortir 650 milliards de special drawing rights (SDR, un panier de monnaies qui sert d’étalon d’échange), qui sont des biens de réserve en monnaies supplémentaires gérées par le FMI. Lorsque ceci devra être payé, cela va laisser certains gouvernements dans une totale détresse, ce qui explique que pour beaucoup la mise en place d’une monnaie numérique soit devenu une priorité soudaine et que ceci a pu être le but final de toute cette affaire de confinements depuis le départ.

Wolff dit que deux pays européens sont déjà prêts à utiliser une monnaie numérique : La Suède et la Suisse. Peut-être n’est-ce pas une coïncidence mais la Suède n’a quasiment pas eu de confinements à cause de la pandémie et la Suisse n’a adopté que des mesures très légères. Wolff pense que la raison de tout cela est que ces deux pays n’avaient pas besoin d’effondrer leur économie à coup de confinements car ils étaient déjà prêts à utiliser la monnaie numérique avant même que la “pandémie” ne commence. Il affirme également qu’une nouvelle bordée de confinements pourrait bien être planifiée afin d’achever l’économie mondiale pour de bon, menant à un chômage mondial de masse et à l’introduction d’un salaire de base universel ainsi que l’utilisation d’une monnaie numérique géré par une banque centrale mondiale. Cette monnaie pourrait être restreinte, à la fois en termes de ce sur quoi les individus pourraient la dépenser ainsi que de la période où elle peut être dépensée.

De plus, Wolff indique que l’inflation que l’on voit un peu partout dans le monde est une conséquence inévitable du fait que les gouvernements nationaux, après avoir emprunté aux banques centrales, ont introduit environ 20 000 milliards de dollars dans l’économie mondiale en moins de deux ans. Alors que les packages de sauvetage furent destinés aux marchés auparavant, cette dernière fournée est allée aux peuples et ceci a pour effet de rendre la vie plus chère, notamment pour les biens de consommation de premières nécessités comme la nourriture.

La démocratie a été annulée

NdR71 : Véritablement, elle n’a JAMAIS existé dans ce système étatico-capitaliste et elle ne le peut pas. Le pouvoir du peuple pour et par le peuple est incompatible avec une société construite et gérée depuis une fracture politico-sociale originelle et irréductible quelque part au néolithique et savamment entretenue depuis. Une fois de plus : Il n’y a pas de solution au sein du système et ne saurait y en avoir. Le présent article est une preuve supplémentaire de cette conclusion s’il en fallait encore. 

L’ultime conclusion que l’on doit tirer de tout cela d’après Wolff, est que la démocratie telle que nous la connaissons a été annulée en catimini et que bien que les processus démocratiques demeurent en apparence dans nos pays, le fait est qu’un examen de la gouvernance dans le monde telle qu’elle fonctionne aujourd’hui montre qu’une élite d’individus super-riches et surpuissants contrôle tout ce qui touche à la politique et ceci a été particulièrement évident avec la réponse faite à la “pandémie”.

La meilleure façon de combattre leurs projets, nous dit Wolff, est simplement d’éduquer les gens sur ce qui se passe et qu’ils réalisent et comprennent que le narratif de ce “virus global super-dangereux” est un mensonge qui a été créé pour les manipuler à accepter les choses qui se passent à l’opposé de leurs intérêts. Si ne serait-ce que 10% des citoyens ordinaires s’éveillaient et décidaient d’agir, ceci pourrait mette à bas le plan de ces élites auto-proclamées et peut-être même ouvrir une fenêtre d’opportunité pour les gens de reprendre le contrôle de leurs propres destinées.

NdR71 : Waouh ! “La solution à 10%” (2011) prônée ici avec en sus un éclairage de ce que nous disons depuis si longtemps ! 

Video Interview

Ernst Wolff est interviewé dans cette série de vidéos par le Dr Reiner Fuellnish, un avocat allemand et politicien qui est l’hôte d’u podcast appelé Corona Ausschuss (Comité Corona), qui fait un examen critique de la réponse du gouvernement allemand à la pandémie. Dans cette discussion figure également Viviane Fisher, une avocate d’affaire et économiste basée à Berlin, participante régulière de l’émission de Fuellnish. Y figure également Wolfang Wodarg, ex-député du SPD et qui s’est élevé contre les mesures de confinement et de vaccination du gouvernement allemand.

Lisez une sélection de RAIR Foundation USA Articles:

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“La peur ou la terreur comme états d’âme durables, sont des poisons presque mortels, que la cause en soit la possibilité du chômage, ou la répression policière, ou la présence d’un conquérant étranger , ou l’attente d’une invasion probable, ou tout autre malheur qui semble surpasser les forces humaines. […] Même si la peur permanente constitue seulement un état latent, de manière à n’être que rarement ressentie comme une souffrance elle est toujours une maladie. C’est une demi-paralysie de l’âme.”
~ Simone Weil ~

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Aussi: en PDF « Le dossier Rockefeller »

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Novembre 2021 : Petit bilan de l’escroquerie COVID19 et du crime contre l’humanité que constitue sa gestion par une clique de psychopathes dictatoriaux (Résistance 71)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 15 novembre 2021 by Résistance 71

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Résistance 71

15 novembre 2021

Que savons-nous en bref de cette affaire de « pandémie COVID » débutée en février 2020 (sources sur notre page spéciale dont le lien est sous le texte):

  • Que le virus SRAS-CoV-2 a été créé en laboratoire et lâché dans la nature
  • Que les chiffres concernant les hospitalisations et la mortalité dans le monde ont été surgonflés à dessein depuis le départ
  • Que les « tests » RT-PCR sont une vaste fumisterie et ne peuvent pas détecter le virus, encore moins la charge virale des patients, surtout à des niveaux de cycles de reproduction > 20. La plupart des pays testant à Ct 35 ou 40, le résultat donnant de l’ordre de 97% de faux-positifs, ce qui est parfait pour générer la peur voulue
  • Que des traitements efficaces de la maladie avec des médicaments déjà existant et peu coûteux (Ivermectine, Hydroxychloroquine etc…) ont été supprimés et interdits afin de pousser à une utilisation d’urgence de soi-disants « vaccins » non testés et à technologie ARNm jamais utilisée chez l’humain
  • Que les mesures de confinement de populations saines sont en contradiction totale avec toute la littérature médicale épidémique depuis des siècles
  • Que le ciblage des enfants est une absurdité, ceux-ci n’étant pas vecteurs de la maladie
  • Que le port du masque en extérieur ne sert à rien
  • Que les masques commercialisés n’empêchent pas la pénétration d’un virus bien plus petit que le maillage filtre du masque
  • Que les « vaccins » n’en sont pas. Qu’ils sont des injections à ARNm, des manipulations génétiques faisant produire la « spike protéine » du virus SRAS-CoV-2 aux cellules du corps pour un laps de temps indéfini. Que ces « vaccins » n’auront fini la phase de test qu’en 2023, ce qui veut dire que tous les injectes sont des cobayes humains à l’échelle planétaire (dans le meilleur des cas…) sans le savoir
  • Que les injections OGM sont chargées de nanoparticules lipidiques qui diffusent le code de reproduction de la « spike protéine » dans tout le corps et provoquent des effets secondaires désastreux (caillots sanguins / thromboses, micro-thromboses, thromboses symptômatiques, myocardites et péricardites chez les jeunes injectés de moins de 30 ans, maladies auto-immunes diverses, réactions anaphylactiques, réactions neuro-musculaires et autres syndromes affiliées)
  • Que ces injections OGM sont plus que vraisemblablement responsables de la mutation rapide du virus
  • Que dans bien des pays maintenant, la très vaste majorité des personnes hospitalisées en lien avec le COVID sont des double ou triple injectées sujets à des réactions adverses plus ou moins graves, certaines ayant entraînées la mort, d’autres l’hospitalisation des sujets test
  • Que les statistiques depuis le début de la « pandémie » ont été falsifiées
  • Que les chiffres sortent maintenant, donnant pour la France par exemple un taux de 2% des gens hospitalisés en France en 2020 pour des raisons liées au COVID, alors que médias et gouvernement abreuvaient la population de chiffres falsifiés à des fins anxiogènes pour justifier des mesures « sanitaires » dictatoriales mises en place
  • Que les mesures sanitaires prises en 2020 et 2021 ne le furent pas sur des bases scientifiques ou médicales mais ne furent que des décisions POLITIQUES ayant un agenda bien particulier dans les domaines politique, économique et social
  • Que les mesures « vaccinales » sont des mesures abusives, coercitives sans aucun fondement scientifique
  • Que l’OMS change constamment les définitions de termes comme « épidémie », « pandémie », « vaccins », « immunité naturelle », afin de faire passer le non-sens total de décisions et de mesures abusives prises à l’échelle planétaire
  • Rajouter à cette liste ce qui vous semble pertinent, celle-ci n’étant en rien exhaustive…

Que faire donc ?

Arrêtons de nous laisser diviser. Unissons-nous dans le boycott de toutes les mesures dictatoriales sanitaires qui sont en train de verrouiller sur nous la grille de contrôle de la dictature technotronique du Nouvel Ordre Mondial / Grande Réinitialisation pondue par le FEM de Davos, outil du système étatico-capitaliste.
Il suffit de dire NON ! Ensemble et de nous unir dans la formation des associations libres.

BOYCOTT des mesures sanitaires, BOYCOTT du « passe sanitaire », BOYCOTT de toute dose d’injection transgénique et de pseudo-vaccins non testés, à ARNm ou pas. BOYCOTT des institutions et du vote.

CREATION des associations libres confédérées reprenant en main les affaires politiques de nos communautés et DETERMINATION de défendre le nouveau paradigme politique de réflexion et d’action ainsi créé, par tous les moyens envisageables…
COMPREHENSION qu’il n’y a pas de solution au sein du système et qu’il ne saurait y en avoir, cette crise fabriquée du COVID19 en est une autre preuve s’il en fallait encore une.

A lire :

Notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

Notre article de septembre 2021 : « Fraude et crime CIVID en bande organisée : résumé et perspectives hors système »

Nos articles de juillet 2020 : « Le masque, rituel de la soumission » et sa suite

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

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Marasme étatico-capitaliste cristallisé dans la crise fabriquée COVID19 : Cesser d’avoir peur, la peur divise et fait le jeu de l’oligarchie, dire NON ! Ensemble… (avec le Dr Pascal Sacré)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , on 23 octobre 2021 by Résistance 71

 

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La peur… encore et toujours la peur

 

Dr Pascal Sacré

 

21 octobre 2021

 

url de l’article original:
https://www.mondialisation.ca/la-peur-encore-et-toujours-la-peur/5661612

 

« Errare humanum est, perseverare diabolicum »

Cela veut dire : « l’erreur est humaine, persévérer (dans son erreur) est diabolique », phrase attribuée au philosophe grec Sénèque.

En observant le comportement de nos gouvernants, notamment en Belgique, cette sentence vient immédiatement à l’esprit.

Que ce soit en Belgique, en France, au Québec, au Canada, les pays les plus obsédés par la certitude que seule une injection ARN/ADN considérée comme une vaccination peut sauver la population du SARS-CoV-2 et de ses variants, nous retrouvons toujours le même schéma anti-COVID :

  • Peur
  • Culpabilisation
  • Certitude d’avoir raison

Ce qui se passe ici est exactement ce qui se passe en France, au Québec, au Canada et dans tous les pays qui n’ont comme solution de sortie de crise que cette injection ARN/ADN à proposer à leur population.

Chez nous, les ministres et spécialistes s’appellent Frank Vandenbroucke (ministre de la santé), Elio Di Rupo (ministre-président wallon), Marc Van Ranst, Emmanuel André (virologues conseillant le gouvernement), comme au Québec il y a François Legault (premier ministre), au Canada, Justin Trudeau (premier ministre), ou en France, Jean Castex (premier ministre) et Olivier Véran (ministre de la santé).

Seuls les visages et les mimiques changent, sinon, c’est pareil, les mêmes paroles, les mêmes comportements, les mêmes consignes :

  1. Gardez vos distances
  2. Mettez des masques
  3. Vaccinez-vous
  4. Ayez peur

Ainsi, dans un journal belge du 21 octobre, monsieur Vandenbroucke nous invite à nous « préparer à affronter la quatrième vague » [1].

Dans cet éditorial, ils se demandent : « la Belgique est-elle prête pour une quatrième vague ? » [2].

Quant à Elio Di Rupo, il se fâche et insiste sur la nécessité de se faire vacciner car pour lui, « mourir libre, c’est mourir » [3].

Il faut dire que la troisième dose de vaccin n’attire pas les foules, chez nous [4].

Nos « spécialistes » depuis avril 2020 emboîtent le pas aux gouvernants, quand ils ne les précèdent pas, pour nous mettre en garde, nous dire que c’est loin d’être fini, maintenir le feu sous la casserole et nous garder dans la peur de ces virus décidément tenaces.

D’autres spécialistes, des médecins cliniciens rappellent dans un silence médiatique assourdissant que la peur est très délétère pour le système immunitaire. 

La peur paralyse nos globules blancs et entrave nos réponses immunitaires adaptatives.

Ce sont ces dernières que les injections ARN/ADN hâtivement qualifiées de vaccins sont censées stimuler.

Stimuler d’un côté, entraver de l’autre.

La psycho-neuro-endocrino-immunologie ou PNEI, une spécialité médicale en développement exponentiel, étudie depuis longtemps les interactions entre les systèmes nerveux, endocrinien (hormones) et immunitaire et souligne les influences réciproques profondes entre ces systèmes fondamentaux du corps humain [5].

De nombreuses études démontrent que le stress chronique peut supprimer les réponses immunitaires adéquates et/ou aggraver les réponses immunitaires inadéquates, excessives [6].

Les formes graves du COVID sont justement caractérisées par une réaction immunitaire excessive, allant jusqu’à l’orage cytokinique dévastateur pour nos organes.

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Depuis mars 2020, depuis 19 mois, nos gouvernements et leurs conseillers, relayés par nos journalistes, sont stressants et n’ont décidément que ces armes pour transmettre un message aux populations : la peur, la menace, l’avertissement. 

Ils usent et abusent du stress, largement devenu chronique, permanent et sans fin, bien plus délétère envers nos immunités que le virus lui-même [7-8-9-10].

Après 19 mois, il est certain que ces gouvernants, conseillers scientifiques et journalistes ne changeront plus, et qu’à moins de les remplacer par des personnes plus compétentes et au fait de ces connaissances, nous sommes condamnés à subir leurs prévisions angoissantes et leur mantra compulsif : « vaccinez-vous », encore longtemps.

Ne se disent-ils pas, après qu’un si grand pourcentage de la population belge se soit fait injecter leurs produits (plus de 80%), qu’ils aient pu se tromper, finalement ?

Ne peuvent-ils même envisager que cette compulsion pour la « vaccination » [11] soit l’origine du problème, via la sélection de variants plus agressifs et la facilitation de l’infection par les anticorps [12] ?

Les gens, les peuples ont droit à autre chose que ces discours angoissants et répétitifs aujourd’hui.

Après 19 mois, il faut envisager d’autres voies et les gens ont le droit de savoir que d’autres issues existent, comme de nombreux médecins le clament malgré la censure, malgré les dangers, malgré les menaces de mort ou de perdre leur emploi.

La vérité n’a pas de prix et trouve toujours son chemin.

Le traitement du COVID, même grave, existe et s’appelle ivermectine.

La prise d’ivermectine éviterait la flambée de formes symptomatiques et diminuerait fortement l’évolution vers des formes graves, ce qui soulagerait d’autant les hôpitaux et les services de soins intensifs.

Pour une raison « inconnue », il n’est pas « autorisé » d’en parler. 

« Par exemple, Wikipédia ne peut pas mentionner les méta-analyses évaluées par des pairs du Dr Tess Lawrie ou du Dr Pierre Kory publiées dans l’American Journal of Therapeutics. Wikipédia n’est pas autorisé à publier la récente méta-analyse sur l’ivermectine rédigée par le Dr Andrew Hill. De plus, il n’est pas permis de dire quoi que ce soit concernant ivmmeta montrant les 61 études portant sur 23 000 patients qui révèlent jusqu’à 96 % de réduction des décès [prophylaxie] avec l’ivermectine. » [13] 

Nous ne sommes pas autorisés à expliquer aux gens comment l’ivermectine a endigué la pandémie de COVID en Inde ou en Afrique.

La littérature scientifique sérieuse appuie ces dires, en voici un échantillon :

La littérature examinée suggère qu’il semble y avoir suffisamment de preuves de la sécurité de l’ivermectine orale, ainsi que de l’efficacité du médicament dans le traitement précoce et la prophylaxie du COVID-19.

(The reviewed literature suggests that there seems to be sufficient evidence about the safety of oral ivermectin, as well as the efficacy of the drug in the early-treatment and the prophylaxis of COVID-19.)

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8354804/

Compte tenu de l’urgence de la pandémie actuelle de COVID-19, de la détection simultanée de diverses nouvelles souches mutantes et de la réémergence potentielle de nouveaux coronavirus, la réorientation de médicaments approuvés tels que l’ivermectine pourrait mériter une attention particulière.

(Considering the urgency of the ongoing COVID-19 pandemic, simultaneous detection of various new mutant strains and future potential re-emergence of novel coronaviruses, repurposing of approved drugs such as Ivermectin could be worthy of attention.)

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8203399/

L’ivermectine joue un rôle dans plusieurs mécanismes biologiques, elle pourrait donc servir de candidat potentiel dans le traitement d’un large éventail de virus, dont le COVID-19 ainsi que d’autres types de virus à ARN simple brin positif.

(Ivermectin plays a role in several biological mechanisms, therefore it could serve as a potential candidate in the treatment of a wide range of viruses including COVID-19 as well as other types of positive-sense single-stranded RNA viruses.)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32533071/

vaxRNAm

L’ivermectine comme traitement potentiel du COVID-19

(Ivermectin as a potential treatment for COVID-19)

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/34061842/

L’ivermectine est également étudiée dans le cancer :

Il est intéressant de noter que l’ivermectine peut également inhiber les cellules souches tumorales et inverser la résistance aux médicaments. Elle exerce un effet optimal lorsqu’elle est utilisée en association avec d’autres médicaments de chimiothérapie.

(Interestingly, ivermectin can also inhibit tumor stem cells and reverse multidrug resistance and exerts the optimal effect when used in combination with other chemotherapy drugs.)

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7505114/

Cancer du sein :

https://journals.lww.com/…/use_of_the_anti_parasitic…

Si on a peur de l’ivermectine pour un quelconque danger imaginaire, alors on devrait avoir vraiment peur de la pénicilline et de l’aspirine. 

Et du paracétamol, alors là, encore plus !

Ceux qui ont peur de l’ivermectine, alors fuyez le paracétamol !

Depuis les débuts de sa prescription chez l’Homme (années 1980), avec 4 milliards de prescriptions humaines à son actif, l’ivermectine a sauvé la vie de centaines de millions de gens !

L’ivermectine n’a jamais tué personne, contrairement à la pénicilline, l’aspirine, le paracétamol : chocs anaphylactiques, hémorragiques, insuffisance hépatique sévère vous menacent si vous prenez de la pénicilline, de l’aspirine ou du paracétamol.

Avec l’ivermectine ? 

Quasi rien, aucun danger. 

Si, vous pouvez être guéri en deux jours du COVID, c’est mon expérience clinique de terrain.

Je connais un jeune homme hospitalisé avec un masque à oxygène à 100%. Il allait être intubé et transféré aux soins intensifs.

Après deux prises d’ivermectine par voie orale, il était sevré de l’oxygène et pouvait rentrer chez lui.

Je connais des dizaines de cas dont le COVID d’allure pourtant sévère s’est amélioré sans nécessité d’hospitalisation après 2 à 5 prises d’ivermectine (12 mg par prise par voie orale).

Et le glutathion ?

C’est le roi des antioxydants [14]. 81 000 articles scientifiques appuient son rôle de protecteur de l’organisme, en particulier de l’immunité.

Qu’attendent nos gouvernants, puisqu’ils se prennent pour nos médecins généralistes, et ces conseillers et experts pour nous pousser à prendre du glutathion, surtout en prévision de vagues et d’hiver ?

D’autant que des chercheurs ont bien montré que les produits expérimentaux ARN/ADN nommés « vaccins anti-COVID », déconseillés aujourd’hui par le créateur de cette technologie [15], entraînent un stress oxydant majeur avec vieillissement cellulaire accéléré, notamment des cellules immunitaires [16].

Booster nos réserves de glutathion devrait être notre priorité, plutôt que d’en bloquer la production par la prise de paracétamol !

Il faudrait s’orienter vers une prise d’1 Gr de glutathion par jour, en deux fois et en gélules gastro-résistantes, ou vers du glutathion liposomal en association avec de la vitamine C également liposomale.

Il est temps de réveiller le médecin qui sommeille en chacun de nous [17], comme les Grecs d’autrefois qui vouaient un culte à Hygée, la sœur de Panacée et la fille d’Esculape, dieu de la médecine.

Hygée soufflait à l’oreille de chacun les conseils de bon sens pour rester en bonne santé : repos, hygiène de vie, bonne alimentation, propreté, nature, méditation, usage des plantes et de médecine naturelle.

C’est pourtant un médecin intensiviste, anesthésiste spécialisé dans les techniques et médicaments de toutes sortes qui vous pousse dans cette voie.

Quittez le chemin conseillé par nos gouvernants, leurs conseillers et leurs journalistes : le chemin de la peur, de l’obsession vaccinale, de l’isolement social, de la sous-respiration et du stress sans fin.

Vous méritez mieux et surtout, vous avez droit à de vraies réponses, de vraies solutions :

  • Renforcer votre immunité et vos niveaux d’antioxydants : vitamine C, zinc, sélénium et surtout, glutathion.
  • Traiter le COVID avec l’ivermectine éventuellement associée à l’azithromycine.
  • Éviter le paracétamol qui bloque le glutathion, et les inhibiteurs de pompes à proton qui altèrent votre microbiote (ensemble des bactéries utiles dans votre intestin).
  • Se promener dans la nature vivante et respirer à pleins poumons.

Notes :

[1] Frank Vandenbroucke invite à «se préparer à affronter la quatrième vague » : les réactions – Le Soir

[2] La Belgique est-elle prête pour une quatrième vague ? Les mesures prises région par région (msn.com)

[3] L’épidémie repart, Elio Rupo se fâche et insiste sur la nécessité de se faire vacciner : « Mourir libre, c’est mourir » (msn.com)

[4] La troisième dose du vaccin n’attire pas les foules : « Les Belges francophones à risque ne suivent pas encore… » (msn.com)

[5] LA PSYCHO-NEURO-ENDOCRINO-IMMUNOLOGIE (ianeva.fr)

[6] Effects of stress on immune function : the good, the bad, and the beautiful | SpringerLink « Chronic stress can suppress protective immune responses and/or exacerbate pathological immune responses. » 

[7] A neuro-endocrine-immune symphony – PubMed (nih.gov)

[8] Psycho-Neuro-Endocrine-Immunology : A Psychobiological Concept – PubMed (nih.gov)

[9] http://www.gapsante.uottawa.ca/newSite/Articles-PDF/12-Fillion.pdf  Stress et immunité : recension en psychoneuroimmunologie

[10] Comment les stress psychologiques nous rendent malades physiquement | LaNutrition.fr

[11] Bientôt des « vaccins » à ARNm dans votre assiette? – Nouveau Monde (nouveau-monde.ca) L’agenda mondial pour vacciner chaque homme, femme et enfant en voie d’aboutir directement dans votre assiette.

[12] Les phénomènes de facilitation de l’infection par des anticorps (ADE) et le Covid-19 — Santé et Bien-être — Sott.net Compte tenu des données antérieures sur les multiples tentatives de vaccination contre le Sras-CoV-1 et le Mers-CoV qui ont échoué en raison d’un phénomène d’ADE dans des modèles animaux, il est raisonnable de supposer un risque d’ADE similaire pour les anticorps et les vaccins contre le Sras-CoV-2.

[13] Silence total sur la façon dont l’ivermectine a éliminé le covid-19 en Inde (lemediaen442.fr)

[14] Le glutathion, roi des anti-oxydants – Alternative Santé (alternativesante.fr) Plus de cent années de recherches et 81 000 articles scientifiques ont établi que le glutathion est l’une des plus importantes molécules protectrices dans l’organisme, y compris au niveau immunitaire qu’elle nourrit indirectement.

[15] Robert Malone, pionnier des « vaccins à ARNm », déclare que « la protéine Spike native est toxique » — Santé et Bien-être — Sott.net Dans la première partie de cette vidéo, Robert Malone revient en détail sur sa carrière de scientifique et sur l’histoire de l’invention de cette technologie de l’ARN messager il y a 30 ans. À propos de la sécurité des [ces] « vaccins », il déclare que ce n’est pas la technologie des [ces] « vaccins » qui pose problème, mais la protéine Spike native qui est toxique. Il regrette que le rapport bénéfice/risque n’ait pas été calculé pour chaque catégorie de la population et demande des preuves et pas des opinions aux différentes instances de régulations après avoir eu connaissance des différentes toxicités notamment cardiaques.

[16] Walter Chesnut : « Les injections anti-COVID accélèrent le vieillissement et seront encore plus mortelles si répétées » — Santé et Bien-être — Sott.net Les produits expérimentaux nommés « vaccins » anti-Covid-19 détruisent la télomérase des gens tout comme le fait la chimiothérapie, accélérant chez eux le vieillissement.

[17] Il est temps de réveiller le médecin qui sommeille en nous – Le blog de Bien-être-soi (tdg.ch) De nombreux tests d’évaluation vous apprendront à poser un diagnostic par vous-même pour devenir en quelque sorte votre propre médecin, c’est-à-dire un individu qui prend sa santé en main et non pas seulement une victime qui subit la maladie. Vous n’êtes pas la maladie. Il est évident que nous avons à notre disposition toutes les ressources pour sortir de cette époque de confusion. Encore faut-il s’en rappeler et aspirer à s’y connecter !

= = =

Notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

 

idees_luttes

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Législation scélérate : caméra-piétons, drones, surveillance totale et mise en place de la grille de contrôle technotronique

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, pédagogie libération, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , on 22 octobre 2021 by Résistance 71

dictature_technotronique
Surveillance partout, liberté nulle-part

Un député des Yvelines Philippe Benassaya veut des flics pour vous filmer à tous les coins de rue de France

cela s’appelle des caméras piétons, il a proposé sa loi le 20 octobre 2021

Anonyme

21 octobre 2021

Le député Philippe Benassaya a déposé le 20 octobre une proposition de loi pour mettre des flics portant des caméras minuscules filmant les piétons (rappel la loi de surveillance globale nous interdit de filmer les flics, alors qu’eux ont tous les droits) dans toutes les communes de plus de 10 000 habitants.

https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3801_proposition-loi

https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b3790_proposition-resolution#

définition des caméras piétons; les caméras piétons ce sont ces flics portant des caméras en forme de bouton sur leur uniforme invisible au citoyen ordinaire s’appellent des caméras piétons. En gros, des caméras portés par des piétons à la place de poteaux.

J’imagine qu’ils vont utiliser ces caméras de reconnaissance faciale pour ficher ceux qui ne portent pas de masque https://reinfocovid.fr/temoignage/usurpation-dautorite/, ou n’ont pas le QRcode de la piqouze, et les rafler dans les prisons de la piqouze forcé à l’insu de tous

ou ficher ceux qui n’ont pas leur pass sanitaire et les rafler

en tout cas ces caméras piétons sont une bonne préparation pour le confinement martiale à venir avec piqouze forcé et rafle si ces caméras piétons sont partout dans toutes les communes de France

le député Philippe Benassaya a aussi déposé une proposition de loi le 20 octobre pour faire plus de place dans les prisons.

Donc les raflés iront dans les prisons.de la piqouze forcé

https://resistance71.wordpress.com/2021/10/06/escroquerie-covid-crime-contre-lhumanite-et-dictature-technotronique-prospective-2022/

ils nous préparent un cadeau d’Halloween mortel

ils préparent un confinement plus martial que les précédents pour contrôler les révoltés de la famine

car ils font le chantage de priver les populations de nourriture, s’ils refusent le poison OGM

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/10/20/etats-unis-les-penuries-continueront-jusqua-ce-que-tout-le-monde-soit-vaccine-previent-le-secretaire-adjoint-au-tresor/

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/10/18/entierement-vaccine-colin-powell-est-mort-du-covid-19/

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/10/15/pour-la-directrice-du-fmi-le-bordel-logistique-et-les-penuries-viennent-dun-taux-de-vaccination-covid-insuffisant/

avec des caméras piétons et les drones caméras:

L’Assemblée nationale vient d’adopter une nouvelle loi pour légaliser l’usage de drones de surveillance par la police. Alors que le texte est quasiment identique à celui censuré par le Conseil constitutionnel en début d’année, les parlementaires n’ont pas hésité à le voter une nouvelle fois. C’est une énième preuve qu’il n’y a rien à attendre du Parlement pour nous protéger des dérives sécuritaires du gouvernement. La lutte contre la Technopolice ne se fera pas sur les bancs de l’Assemblée.

https://www.laquadrature.net/2021/09/23/la-loi-drones-2-est-docilement-adoptee-par-lassemblee/

les drones caméras peuvent envahir vos maisons et vos jardins à votre insu, ils vont repérer les survivalistes, et leur confisquer leurs biens, Castex avait fait une loi dès janvier 2021 pour voler les biens ou rafler des gens:

»la généralisation d’un tel usage de drones caméras sur l’ensemble du territoire national et pour différentes missions de maintien de l’ordre public fait peser un certain nombre de risques sur les libertés publiques et le droit à la vie privée. En effet, le cadre juridique auquel ces drones sont soumis est vague et peu défini. Si la vidéo-surveillance au moyen de caméras-piétons obéit à certaines règles, comme l’interdiction de filmer les espaces privés ou l’interdiction de conservation des images au-delà d’un mois, ce n’est pas le cas des drones équipés de caméras »

https://questions.assemblee-nationale.fr/q15/15-29476QE.htm

Une caméra-piéton est une caméra légère et compacte attachée à la poitrine ou à l’épaule d’un agent des forces de l’ordre pour filmer les piétons

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cam%C3%A9ra-pi%C3%A9ton

la caméra piéton en forme de bouton facile à faire passer pour un bouton comme un autre sur un un uniforme boutonné est en rupture de stock

sans doute servi à fournir tous les flics

https://www.ledmesmile.com/product/camera-espion-avec-micro-integre-spy-cam-en-forme-de-bouton/

ils commencent déjà à vouloir tuer les non piqouzés par la famine, en coupant les vivres à ceux qui refusent la piqouze:

les salariés qui refusent la piqouze sont virés sans alloc chômage

prochaine étape, révélé dans sa vidéo 5ème vague (génocide par piqouze et famine):

les retraités qui refusent la piqouze se feront supprimer leur retraite

https://lemediaen442.fr/jean-quatremer-sur-larret-du-versement-des-retraites-aux-non-vaccines/

donc avant même que l’injection OGM soit obligatoire avec amende et prison + piqouze forcée, ils commencent déjà à couper les vivres à ceux qui refusent la piqouze, pour les rafler dans les prisons et les piqouzer de force à l’insu de tous, tant que la loi n’est pas officiel, en général, ils publient une loi qu’ils pratiquent déjà à l’insu de tous

et prochaine étape, la rafle des gosses pour la piqouze forcée

ils commencent déjà à faire la liste des gosses non piqouzés

https://lemediaen442.fr/secret-medical-olivier-veran-veut-autoriser-les-directeurs-detablissements-a-savoir-si-votre-enfant-est-vaccine/

tout comme ils ont fait la liste des adultes non piqouzés en juin

https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-le-oui-mais-de-la-cnil-a-la-liste-des-non-vaccines-fournie-aux-medecins-traitants-83543.html

après ils vont faire passer les morts de la famine causés par eux (le FMI et son collabo USA vont faire les magasins vides tant que toute la population ne sera pas piqouzé et les autres gouvernements collabos vont suivre, comme l’Australie, et le Royaume Uni qui  le font déjà, centres de vaccination bourrés à craqués de doses alors que les magasins sont vides https://strategika.fr/2021/09/11/panique-en-australie-les-rayons-sont-vides-penurie-de-tout/ 

https://www.profession-gendarme.com/le-gouvernement-australien-reconnait-que-le-vaccin-sars-cov-2-covid-19-est-un-poison/  

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/08/21/laustralie-organise-un-rituel-de-vaccination-luciferienne-ciblant-24-000-enfants/ 

https://www.cielvoile.fr/2021/08/l-australie-suspend-les-droits-de-l-homme-et-les-libertes.html 

https://www.profession-gendarme.com/folie-pingdemic-le-gouvernement-britannique-engage-la-nation-a-se-suicider-par-la-famine-en-ordonnant-aux-travailleurs-du-secteur-alimentaire-de-sauto-mettre-en-quarantaine/ 

https://www.profession-gendarme.com/taux-de-deces-et-dhospitalisation-plus-eleves-chez-les-personnes-vaccinees-donnees-covid-19-du-royaume-uni/) 

pour les morts du soit disant covid à la place, en parlant de 5ème vague

https://reseauinternational.net/87-institutions-sanitaires-scientifiques-du-monde-entier-nont-pas-reussi-a-citer-un-seul-cas-de-purification-du-sars-cov-2-par-qui-que-ce-soit-ou-que-ce-soit-jamais/

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/10/20/etats-unis-les-penuries-continueront-jusqua-ce-que-tout-le-monde-soit-vaccine-previent-le-secretaire-adjoint-au-tresor/

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/10/18/entierement-vaccine-colin-powell-est-mort-du-covid-19/

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/10/15/pour-la-directrice-du-fmi-le-bordel-logistique-et-les-penuries-viennent-dun-taux-de-vaccination-covid-insuffisant/

depopulation

Hécatombe « vaccinale » cet hiver ?…

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vaxpoison1

Les décès liés aux injections anti-COVID vont-ils augmenter cet hiver ?

Mike Whitney

19 octobre 2021

Source :
https://www.mondialisation.ca/les-deces-lies-aux-vaccins-vont-ils-augmenter-fortement-cet-hiver/5661525

« Je suis préoccupé par la possibilité que les nouveaux vaccins visant à créer une immunité contre la protéine spike du SRAS-CoV-2 aient le potentiel de causer des lésions microvasculaires au cerveau, au cœur, au foie et aux reins d’une manière qui ne semble pas avoir été évaluée dans les essais de sécurité » ~ Dr J. Patrick Whelan

« Nous avons affaire au mal. Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué » ~ Robert W Malone, MD, Twitter

*

Question : Pourquoi tout le monde doit-il être vacciné ?

Réponse : Afin de sauver des vies. Les vaccins procurent une immunité qui aide à lutter contre les maladies.

Q : Les vaccins préviennent donc les infections ?

R : Pas exactement, mais les vaccins procurent une immunité temporaire qui dure généralement environ 6 mois.

Q : Et ensuite ?

R : Eh bien, les experts en santé publique recommandent que les personnes éligibles – en particulier les personnes âgées et les personnes immunodéprimées – reçoivent un « rappel ».

Q : Donc, une autre injection ?

R : Oui.

Q : Le rappel a-t-il été adapté au nouveau variant « Delta » qui s’est répandu aux États-Unis et dans le monde ?

R : Non, pas du tout. C’est le même vaccin qu’avant.

Q : Alors l’immunité sera de courte durée ?

R : Oui, bien que nous ne puissions pas en être totalement sûrs. Aucun essai clinique n’a été mené sur les rappels.

Q : Quoi ? Donc, nous volons à l’aveugle ?

R : Oui. Comme je l’ai dit, il n’y a pas eu d’essais cliniques supplémentaires pour les boosters, donc personne ne peut en être sûr.

Q : Mais j’ai entendu dire que plus on injecte de personnes, plus le virus s’adapte, ce qui rend le vaccin moins efficace ?

R : C’est vrai. La vaccination de masse avec un vaccin « fuyant » – qui ne neutralise pas complètement l’infection – exerce une « pression sélective » sur le virus qui favorise l’émergence de variants. Les immunologistes le savent depuis longtemps, en fait, certains appellent cela « Virologie 101 ». Le Dr Byram Bridle, vaccinologue canadien, l’a expliqué dans une récente interview. Voici ce qu’il a dit :

« Nous ne devons pas chercher plus loin que … l’émergence de la résistance aux antibiotiques … Le principe est le suivant : Si vous avez une entité biologique qui est sujette à la mutation – et le SRAS-CoV-2, comme tous les coronavirus, est sujet à la mutation – et que vous appliquez une pression sélective étroitement ciblée qui n’est pas létale, et que vous le faites sur une longue période de temps, c’est la recette pour favoriser l’émergence de nouvelles variants.

C’est exactement ce que nous faisons. Nos vaccins se concentrent sur une seule protéine (spike) du virus, de sorte que le virus ne doit modifier qu’une seule protéine, et les vaccins sont loin de fournir une immunité stérilisante »1.

Q : Donc les vaccins sont à l’origine des variants ?

R : Oui.

Q : Nous verrons donc bientôt l’émergence d’une variant résistante au vaccin ?

R : Oui.

Q : Mais les fabricants de vaccins ne le savent-ils pas ?

R : Vous voulez dire, « ne comprennent-ils pas la relation de base entre l’infection virale et les vaccins » ? Si, ils savent.

Q : Alors pourquoi le font-ils ?

R : Excellente question, mais la réponse nécessite beaucoup de recherches et une bonne dose de supposition. Tout ce que je peux dire, c’est que les auteurs de cette campagne de vaccination de masse nous conduisent intentionnellement vers une crise encore plus grave.

Q : Ok, alors qu’allons-nous faire lorsque nous rencontrerons une variante résistante au vaccin ?

R : Je ne peux pas répondre à cette question, mais – à en juger par l’expérience passée – une autre injection expérimentale sera mise au point et le public sera obligé de la prendre.

Q : Mais qu’en est-il de la sécurité ? Pouvons-nous être sûrs que ces nouvelles concoctions hybrides sont sans danger ?

R : La sécurité n’a jamais été une priorité absolue, pas plus que l’immunité. L’objectif n’a jamais été « l’immunité de groupe » mais « la vaccination de groupe ». L’un des porte-parole les plus influents de la campagne actuelle l’a bien résumé en disant : « Nous devons vacciner les sept milliards d’habitants » de la planète. Les autorités de santé publique n’ont jamais dévié de cet objectif initial.

Q : Mais si l’objectif est de vacciner tous les habitants de la planète, alors les vaccins doivent être sûrs, non ?

R : Non, en fait, les vaccins représentent une menace sérieuse pour la santé et la vie de chacun. Ils sont dangereux.

Q : Êtes-vous sûr de ne pas exagérer, après tout, près de 2 milliards de personnes ont déjà été vaccinées et seul un petit pourcentage d’entre elles sont tombées gravement malades ou sont mortes ? Peut-être exagérez-vous le danger ?

R : Les vaccins sont une attaque contre l’infrastructure critique du corps, le système vasculaire, et en particulier la fine tapisserie de cellules qui tapisse les parois des vaisseaux sanguins. Les vaccins déclenchent des hémorragies, des caillots sanguins et des maladies auto-immunes. À mon avis, ils constituent un moyen assez simple d’infliger de graves dommages aux systèmes et organes essentiels dont on a besoin pour survivre. C’est pourquoi le Dr Vladimir Zelenko les qualifie de « piqûres de poison mortel », ce qui semble être une évaluation correcte. Vous avez cependant raison de dire que « seul un petit pourcentage des personnes tombent gravement malades ou meurent » immédiatement après l’injection. Mais c’est uniquement parce que le vaccin fonctionne davantage comme une bombe à retardement que comme un poison. L’impact risque d’être tout aussi dévastateur à long terme. Jetez un coup d’œil à cet extrait d’un document de l’association Doctors for Covid Ethics : :

« À la lumière de la réponse anticorps au SRAS-CoV-2 récemment caractérisée, lorsque les anticorps se fixent aux cellules endothéliales productrices de protéines spike sur les parois des vaisseaux après l’administration du vaccin, on peut s’attendre à ce que les protéines du complément activées se fixent aux cellules endothéliales et perforent leurs membranes cellulaires. La mort des cellules endothéliales qui s’ensuit va exposer le tissu situé sous l’épithélium, ce qui va déclencher deux événements importants. Il va induire la coagulation du sang et provoquer une fuite des parois du vaisseau. Ce mécanisme pathogène a été documenté dans des biopsies prélevées sur des patients infectés par le SRAS-CoV-2. Ces études ont décrit un « syndrome de lésion microvasculaire catastrophique médié par l’activation du complément ».

… dans le cadre de la réponse immunitaire à la protéine de pointe du SRAS-CoV-2. C’est précisément cette réponse immunitaire que les vaccins COVID-19 cherchent à induire. De telles interactions vaccin-immunité sont cohérentes avec les événements indésirables impliquant une rupture visible des capillaires sous la peau qui ont été documentés et rapportés après la vaccination contre le COVID-19 »2.

Je répète : un « syndrome de lésion microvasculaire catastrophique médié par l’activation du complément ».

Q : Qu’est-ce que cela signifie en clair ?

R : Cela signifie que le vaccin crée une situation où votre corps attaque vicieusement votre propre système circulatoire, générant des caillots sanguins et des fuites de vaisseaux sanguins. Pensez-vous pouvoir vivre avec un système vasculaire endommagé ? Pensez-vous que vous pourrez jouir d’une vie longue et heureuse avec un système immunitaire programmé pour attaquer et tuer les cellules saines qui produisent maintenant la « protéine spike » pathogène ? Si oui, alors pendant combien de temps ; combien de temps pensez-vous pouvoir survivre à ce type de guerre interne ? 2 ans ? 5 ans ? 10 ans ?

Q : Votre analyse semble très conspirationniste. Si les vaccins font ce que vous dites qu’ils font, alors les personnes qui poussent cette campagne (de vaccination de masse) doivent le savoir, n’est-ce pas ? Ils doivent avoir une connaissance de base des dangers que représentent ces injections.

R : Bien sûr, ils le savent. Comment pourraient-ils l’ignorer ? Pensez-vous que les personnes les plus riches et les plus puissantes de la planète arrêteraient arbitrairement l’économie mondiale, enfermeraient tout le monde chez soi, supprimeraient les médicaments qui sauvent des vies et censureraient toute personne qui conteste le discours officiel s’ils ne savaient pas exactement ce que le vaccin peut faire ?

Ils le savent. Ils ne font pas que « lancer les dés ». Ils ont un plan et ils le mettent en œuvre. C’est clair.

Quant à l’affirmation de « conspiration », les faits parlent d’eux-mêmes. De nombreux exercices et simulations ont-ils été menés au cours de la dernière décennie, avec la participation des principales agences de renseignement, des grandes entreprises pharmaceutiques, des élites militantes, de la Défense, des médias et de l’OMS ?

Oui, il y en a eu.

Et ces exercices prévoyaient-ils fondamentalement les mêmes résultats et scénarios que ceux que nous observons aujourd’hui, en particulier le contournement des gouvernements représentatifs, le renforcement des pouvoirs des politiciens, l’application des mandats de vaccination et l’imposition d’une stratégie pandémique sans précédent qui était étonnamment similaire dans tous les pays où elle était imposée ?

Oui, encore une fois.

Et les non-vaccinés sont-ils menacés de représailles s’ils résistent à l’inoculation ? Les gouvernements vont-ils déjà de l’avant avec les passeports vaccinaux, la monnaie numérique, les systèmes de crédit social, les centres de détention et la surveillance intensifiée ?

Oui, ils le font.

Est-ce que tout cela vous semble aléatoire ou est-ce que cela se rapproche plus de la définition réelle du mot « conspiration » qui est : « un plan diabolique, illégal, perfide ou subreptice formulé en secret par deux ou plusieurs personnes » ?

Le fait que les médias ridiculisent les « théoriciens du complot » ne change rien au fait que les complots existent bel et bien. Les deux dernières années ne font que souligner ce fait. Pratiquement rien n’a été laissé au hasard. Notre avenir et celui de l’humanité sont dirigés par des forces puissantes que nous n’avons même pas encore réussi à identifier. C’est effrayant. (Voir : RFK jr. sur l’Événement 201)

Et voici autre chose à méditer puisque nous sommes sur le sujet des « complots ». Je pense qu’il est très probable que le vaccin ait été développé bien avant l’apparition du virus.

Q : En quoi cela est-il important ?

R : En fait, c’est assez important, car cela permet d’illustrer que la « solution » a précédé le problème, « la poule avant l’œuf ». En d’autres termes, la recherche américaine sur les armes biologiques visait probablement à créer une substance qui minerait progressivement (et finirait par tuer) un nombre incalculable de personnes qu’il faudrait éliminer pour réduire les émissions de carbone, atténuer l’épuisement des ressources rares et inverser la destruction de l’environnement naturel. Pensez-vous que le Pentagone et la CIA disposent de programmes d’urgence de ce type ? Pensez-vous que les élites mondialistes pourraient soutenir une telle politique ?

En fait, oui, et elles la mettraient effrontément en œuvre au nom du « sauvetage de l’humanité » ou d’autres absurdités de ce genre. N’oubliez pas que la population mondiale au début du siècle (1900) n’était que de 1,6 milliard d’habitants. En 2021, ce chiffre est passé à 7,9 milliards. Et, selon les projections des Nations unies, ce chiffre atteindra environ 11 milliards d’ici 2100.

Pensez-vous que les élites mondiales vont rester les bras croisés alors que les dangers « perçus » de l’épuisement des combustibles fossiles et de la hausse des températures continuent de croître ? Pensez-vous que, peut-être, après des années d’appels passionnés à « faire quelque chose pour le climat », un consensus a finalement été atteint en 2019, ouvrant la voie à un programme agressif de « gestion de la population » ?

Bien sûr, ce sont des hommes « civilisés » qui n’auraient jamais recours à quelque chose d’aussi vulgaire que des chambres à gaz ou des pelotons d’exécution. Oh, non, ils chercheraient une méthode subreptice pour réduire le troupeau sans que celui-ci ne sache vraiment ce qui se passe. Ils auraient besoin d’un remède qui les aiderait à atteindre leur objectif tout en invoquant un déni plausible. (Et si la vérité venait à éclater, ils persuaderaient le public qu’ils n’agissent que dans l’intérêt de l’humanité en essayant d’empêcher la course inexorable vers une crise climatique catastrophique. Cela vous semble familier ?

C’est normal. Que la planète se réchauffe ou non est discutable, mais ce qui ne l’est pas, c’est la façon dont la fureur climatique s’intègre parfaitement au programme politique autoritaire des mondialistes. Il n’y a rien de fortuit à cela.

Quoi qu’il en soit, les manigances du gain de fonction à Wuhan n’étaient probablement que la touche finale d’un plan qui avait été mis au point des années auparavant dans les groupes de réflexion et les conférences mondialistes où les riches et les puissants se réunissent pour décider de la meilleure façon de façonner le monde pour qu’il réponde à leurs propres spécifications. À mon avis, le système d’administration de la protéine spike (alias le vaccin anti-Covid-19) avait été créé des années auparavant et n’avait besoin que du feu vert pour être diffusé dans le monde.

Q : On dirait qu’on s’est encore égaré. Pouvons-nous revenir aux boosters une minute ? Vous dites qu’il n’y a pas eu d’essais cliniques supplémentaires. Cela signifie-t-il que les boosters n’ont pas été officiellement approuvés par la FDA ?

R : Ils n’ont pas été formellement approuvés par la FDA. Ils ont été approuvés dans le cadre de l’autorisation d’utilisation d’urgence, tout comme les vaccins. Mais cela ne signifie pas que les risques sont les mêmes. Ce n’est pas le cas. Les rappels sont nettement plus dangereux que les vaccins, comme le souligne ce clip de l’association Doctors for Covid Ethics :

« Nous expliquons ici que les rappels sont particulièrement dangereux, d’une manière sans précédent dans l’histoire des vaccins. En effet, le renforcement répété de la réponse immunitaire augmentera de manière répétée l’intensité de l’attaque de soi à soi…
Les injections répétées de « vaccins » à base de gènes (c’est-à-dire les « rappels ») sont destinées à intensifier et à reproduire cet événement de base partout où la protéine spike nouvellement exprimée apparaît sur la paroi du vaisseau… Les lésions vasculaires induites par le complément qui se produisent en de multiples endroits du corps auront des effets potentiellement dévastateurs non seulement sur la santé de la personne vaccinée, mais aussi sur la grossesse et la fertilité…
Les molécules de protéines spike, dont on sait qu’elles sont libérées dans la circulation sanguine peu après la vaccination, se lieront aux plaquettes, les marquant comme cibles pour la fixation des anticorps. Il faut s’attendre à ce qu’une attaque ultérieure… provoque la destruction des plaquettes,… que se passera-t-il lorsque les « vaccins » s’échapperont des vaisseaux sanguins endommagés et atteindront les organes du corps ? L’assimilation des gènes et la production de pics marqueront-ils alors chaque type de cellule pour la destruction par les lymphocytes tueurs ? Sommes-nous sur le point d’assister à la naissance d’un monde entièrement nouveau de maladies auto-immunes ? »

Quelle partie de la citation ci-dessus donne l’impression que les boosters sont bons pour votre santé et votre bien-être général ?

Aucune, n’est-ce pas ? Et tout comme nous avons constaté une forte augmentation des cas, des hospitalisations et des décès après le lancement de campagnes de vaccination de masse dans le monde, nous voyons maintenant le même phénomène se produire en Israël avec les rappels. (Regardez cette vidéo étonnante de 2 minutes du statisticien Joel Smalley sur les décès consécutifs à la vaccination).

Et n’oubliez pas que ni les rappels ni les vaccins ne restent dans le muscle du bras (deltoïde) comme les compagnies pharmaceutiques l’avaient annoncé. Ils entrent dans la circulation sanguine environ 30 minutes après l’injection et se répandent dans tout le corps via le système circulatoire. Mais comme le vaccin est un plan pour fabriquer la protéine spike et non la protéine elle-même, il est capable d’échapper au système immunitaire et de pénétrer dans les cellules avant d’être détecté. C’est ce qui rend la protéine spike injectée plus dangereuse que la protéine spike du Covid-19. Le virus doit pénétrer par le nez ou la gorge avant d’incuber et de pénétrer dans le système vasculaire, mais la spike du vaccin trouve une voie plus directe par le biais de l’injection. Voici encore le Dr Byram Bridle :

« Nous savons depuis longtemps que la protéine spike est pathogène… C’est une toxine. Elle peut causer des dommages dans notre corps si elle est en circulation. Maintenant, nous avons des preuves claires et nettes que… le vaccin lui-même, plus la protéine, passe dans la circulation sanguine.
Une fois que cela se produit, la protéine spike peut se combiner avec les récepteurs des plaquettes sanguines et avec les cellules qui tapissent nos vaisseaux sanguins. C’est pourquoi, paradoxalement, elle peut provoquer à la fois la coagulation du sang et des saignements. Et bien sûr, le cœur est impliqué, en tant que partie du système cardiovasculaire… C’est pourquoi nous voyons des problèmes cardiaques. La protéine peut également traverser la barrière hémato-encéphalique et causer des dommages neurologiques…
En bref, … nous avons fait une grosse erreur. Nous ne l’avons pas réalisé jusqu’à maintenant. Nous n’avons pas réalisé qu’en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine …
… la protéine spike, à elle seule, est presque entièrement responsable des dommages causés au système cardiovasculaire, si elle entre en circulation. En effet, si vous injectez la protéine spike purifiée dans le sang des animaux de la recherche, ils obtiennent toutes sortes de dommages au système cardiovasculaire, et elle peut traverser la barrière hémato-encéphalique et causer des dommages au cerveau »3.

Depuis que Bridle a fait ces affirmations dans un talk-show radio, il a été sauvagement harcelé, ridiculisé et banni de l’université où il était employé. Pourtant, il ne s’est pas rétracté d’un mot de sa déclaration malgré les lourdes pertes subies par lui-même et sa réputation.

L’erreur de Bridle a été de penser que ses recherches seraient applaudies par ses collègues et ses pairs. Il pensait naïvement que les partisans de la vaccination de masse reconnaîtraient leur erreur et feraient un effort pour la corriger. Il n’a jamais imaginé que le vaccin était conçu pour fonctionner comme il le fait, en pénétrant dans les cellules de l’hôte et en fabriquant un agent pathogène cytotoxique qui suscite une forte réponse immunitaire de soi à soi conduisant à une nouvelle décimation du système vasculaire.

Le traitement de Bridle en dit long sur les personnes qui gèrent la pandémie, sur l’étendue de leur pouvoir et sur leurs objectifs tout à fait malins. (Regardez cette vidéo du Dr Nathan Thompson : « Ma mâchoire s’est décrochée lorsque j’ai testé le système immunitaire d’une personne après la deuxième injection », qui montre comment la vaccination peut conduire à l’auto-immunité et à des « infections révolutionnaires ».

Q : Je pense que nous nous sommes encore éloignés du sujet. Vous avez beaucoup parlé de la protéine spike et de son effet sur les vaisseaux sanguins, mais tout cela semble bien théorique. Avez-vous des preuves tangibles que les vaccins causent de graves dommages aux tissus ?

R : Oui. Deux professeurs allemands de pathologie, Arne Burkhardt et Walter Lang, ont fourni les résultats des autopsies qu’ils ont pratiquées sur dix personnes décédées après avoir reçu une injection du vaccin anti-Covid-19. Voici un court extrait d’un article sur ce qu’ils ont découvert :

« Au cours des derniers mois, le pathologiste de Reutlingen et le professeur Walter Lang ont examiné au microscope le matériel tissulaire des personnes décédées. … Dans cinq des dix cas mentionnés ci-dessus, les deux médecins estiment que le lien entre le décès et la vaccination est très probable, dans deux cas, il est probable. Un cas n’a pas encore été évalué. Les deux autres cas ont été classés comme non clairs/possibles ou « plutôt coïncidents ».

En ce qui concerne les causes de décès, Burkhardt a souligné que la myocardite lymphocytaire est le diagnostic le plus fréquent… Les médecins soupçonnent que d’autres effets secondaires de la vaccination ayant des conséquences potentielles sur le décès sont les phénomènes auto-immuns, la réduction de la capacité immunitaire, l’accélération de la croissance du cancer, les dommages vasculaires « endothélitis », la vasculite, la périvasculite et l’ »agglutination » des érythrocytes …

Burkhardt et ses collègues ont enquêté ces derniers mois. Il a déclaré qu’il ne pouvait penser qu’à une chose en voyant les résultats : « une émeute de lymphocytes », potentiellement dans tous les tissus et organes. Les lymphocytes ont été trouvés dans une grande variété de tissus tels que le foie, les reins, la rate jusqu’à l’utérus et des tumeurs, qui y ont massivement attaqué le tissu…

Burkhardt a conclu que les politiciens disent : « Si vous ne voulez pas vous faire vacciner, vous devez en assumer les conséquences, mais tous ceux qui se font vacciner doivent aussi en assumer les conséquences ». Celles-ci sont encore largement inconnues. « Jusqu’à présent, seuls les premiers résultats, mais inquiétants, ont été documentés, qui feront l’objet d’une étude plus approfondie en ce qui concerne leur pathogenèse », a déclaré Burkhardt.

Les résultats confirment la déclaration du Prof. Dr. Peter Schirmacher selon laquelle, sur plus de 40 cadavres autopsiés qui sont décédés dans les deux semaines suivant la vaccination anti-Covid-19, environ un tiers est mort à cause de la vaccination »4.

Bon, passons en revue. Qu’ont trouvé les médecins ?

1- Ils ont trouvé dans un grand pourcentage des autopsies « le lien entre le décès et la vaccination (était) très probable ».

2- Ils ont constaté que « la myocardite lymphocytaire, (était) le diagnostic le plus fréquent ». (La myocardite lymphocytaire est une affection rare dans laquelle l’inflammation du muscle cardiaque (myocardite) est causée par une accumulation de globules blancs (lymphocytes). Les symptômes peuvent inclure des douleurs thoraciques, des palpitations cardiaques, de la fatigue et un essoufflement (dyspnée), surtout à l’effort ou en position couchée. En d’autres termes, l’injection de protéines spike entraîne à la fois une inflammation grave et une immunodépression. C’est la double peine.

3- Ils ont trouvé des preuves d’une « éruption lymphocytaire », potentiellement dans tous les tissus et organes. Les lymphocytes ont été trouvés dans une grande variété de tissus tels que le foie, les reins, la rate jusqu’à l’utérus et les tumeurs, qui attaquent massivement les tissus qui s’y trouvent. (Remarque : les lymphocytes sont des globules blancs du système immunitaire qui entrent en action pour combattre les envahisseurs ou les cellules infectées par des agents pathogènes. Une « éruption lymphocytaire » suggère que le système immunitaire est devenu fou en essayant de contrer les effets de milliards de protéines spike situées dans les cellules de la circulation sanguine. Au fur et à mesure que les lymphocytes sont épuisés, le corps devient plus sensible à d’autres infections, ce qui peut expliquer pourquoi un grand nombre de personnes contractent maintenant des virus respiratoires à la fin de l’été).

4- Ils ont découvert qu’il existe de multiples risques sanitaires graves liés au vaccin Covid-19.

Les autopsies fournissent des preuves solides que les vaccins créent en fait des dommages importants aux tissus.

Dernière question : comment voyez-vous la situation évoluer ?

R : Je m’attends à voir des signes de détresse dès cet hiver-printemps, même si les données seront compilées sous la rubrique « mortalité toutes causes confondues » plutôt que sous celle des décès dus au Covid-19. Nous devrions également observer une forte hausse des arrêts cardiaques, des myocardites et des accidents vasculaires cérébraux, qui devraient s’écarter radicalement de leur ligne de tendance sur 5 ans. Comme le vaccin entraîne une détérioration généralisée de l’état de santé général, les signes de nocivité devraient être perceptibles dans un certain nombre d’affections, des maladies neurodégénératives à la paralysie de Bell.

Il ne s’agit pas tant d’une prédiction que d’une reconnaissance de ce que nous observons déjà. Jetez un œil à ce récent tweet du Dr Claire Craig, pathologiste britannique, et vous verrez ce que je veux dire :

Dr Clare Craig@ClareCraigPath

Excès de décès pour la semaine se terminant le 10 septembre 2021 :

  • 24% de décès supplémentaires par insuffisance cardiaque par rapport à la base de référence
  • 19% de maladies cardiaques ischémiques
  • 16% de maladies cérébrovasculaires (accidents vasculaires cérébraux)
  • 18% d’autres maladies circulatoires

Pourquoi cela se produit-il ? Pourquoi cette hausse soudaine des crises cardiaques, des maladies cardiaques, des maladies vasculaires et des accidents vasculaires cérébraux ? Qu’avons-nous fait de différent en 2021 par rapport aux années précédentes ?

Nous avons vacciné la majeure partie de la population, voilà ce que nous avons fait différemment. Et maintenant, nous allons voir quel effet cela a sur les nombreuses affections liées à la vaccination, comme les arrêts cardiaques, les myocardites, les embolies pulmonaires, les thromboses, les lésions rénales aiguës, les lésions hépatiques, la paralysie de Bell, la myélite transverse, l’anaphylaxie, le syndrome inflammatoire multisystémique, l’avortement spontané et le syndrome de détresse respiratoire aiguë. Toutes ces manifestations apparaissent dans le « Vaccine Adverse Events Reporting System » (VAERS), tout comme elles sont susceptibles d’apparaître lors de futures hospitalisations. Il faudra donc un tour de passe-passe assez agressif de la part du gouvernement pour truquer les données ou balayer l’affaire sous le tapis.

Et quel sera l’impact de ce déluge de maladies inattendues sur le système de santé publique, qui pourrait être mis à rude épreuve. Peut-on éviter une catastrophe ? Jetez un coup d’œil à cet extrait d’un article récent du Telegraph britannique :

« Alors que l’attention reste fixée sur le Covid-19, une deuxième crise sanitaire émerge discrètement en Grande-Bretagne. Depuis le début du mois de juillet, il y a eu des milliers de décès en excès qui n’ont pas été causés par le coronavirus. Selon les experts de la santé, cette situation est tout à fait inhabituelle pour l’été. Bien que l’on s’attende à une surmortalité pendant les mois d’hiver, lorsque le froid et les infections saisonnières se combinent pour mettre la pression sur le NHS, l’été connaît généralement une accalmie.

Cette année est une exception inquiétante.

Selon l’Office for National Statistics (ONS), depuis le 2 juillet, il y a eu 9 619 décès en excès en Angleterre et au Pays de Galles, dont 48% (4635) n’ont pas été causés par le Covid-19.

Donc, si toutes ces personnes supplémentaires ne meurent pas du coronavirus, qu’est-ce qui les tue ?

Les données de Public Health England (PHE) montrent qu’au cours de cette période, 2103 décès supplémentaires ont été enregistrés pour des cardiopathies ischémiques, 1552 pour des insuffisances cardiaques, ainsi que 760 décès supplémentaires pour des maladies cérébro-vasculaires telles que les accidents vasculaires cérébraux et les anévrismes, et 3915 pour d’autres maladies circulatoires.

Les infections respiratoires aiguës et chroniques sont également en hausse, avec 3416 mentions supplémentaires sur les certificats de décès depuis le début du mois de juillet, tandis que 1234 décès supplémentaires sont dus à des maladies du système urinaire, 324 à une cirrhose ou à une maladie du foie et 1905 à un diabète…

“On a l’impression que l’hiver est déjà là, plutôt qu’il n’arrive. C’est pire cette année que ce dont je me souviens à aucun moment au cours des 20 dernières années” »5.

Naturellement, les médias vont imputer la recrudescence de la maladie à la pandémie ou aux « traitements retardés », mais les gens peuvent tirer leurs propres conclusions. Ce que le Telegraph appelle une urgence « non-Covid » est tout aussi susceptible d’être une blessure liée au vaccin que de ne pas l’être. Ce que je veux dire est simple : Les caillots sanguins, les saignements et les maladies auto-immunes ne sont pas des choses anodines ; ils indiquent que l’infrastructure vitale du corps a été compromise et, peut-être, gravement endommagée. Cela va se manifester dans la mortalité toutes causes confondues et dans les données plus générales de la santé publique. Une part importante de ces maladies sera directement liée à l’injection d’un agent pathogène potentiellement mortel dans le sang de millions de personnes qui ont été délibérément trompées sur la sécurité du produit. Maintenant, nous allons voir les premiers résultats de cette expérience. Que Dieu nous aide.

= = =

Lire notre page : « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

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Lettre ouverte du Dr Jean Stevens aux « autorités » sanitaires

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, média et propagande, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , on 20 octobre 2021 by Résistance 71

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Lettre ouverte aux présidents des conseils de l’Ordre et à tous mes confrères cliniciens

Marsac le 01/10/2021

Cher Confrère,

Je suis médecin, retraité depuis 5 ans et fort de 45 ans d’une expérience clinique particulièrement éclectique : médecine hospitalo-universitaire, médecine interne, médecine générale (en Belgique) et cardiologie (en France). Depuis ma retraite, je ne n’avais suivi que de loin l’épidémie de Covid-19 jusqu’à ce que, il y a quelques mois, suivant les conseils des « autorités » politiques et sanitaires, je reçoive, la seconde injection du Vaccin Astra-Zeneca. Or, depuis lors, je souffre de douleurs musculaires diffuses et de transpirations à l’effort qui me donnent le sentiment d’avoir vieilli de 10 ans. Ces effets secondaires invalidants ainsi que l’émergence évidente, dans mon entourage proche, d’autres effets secondaires nullement bénins et d’une défiance croissante vis-à-vis des contraintes imposées par ces « autorités » m’ont poussé à tenter d’éclairer au mieux ma lanterne. Et si j’écris cette lettre, c’est parce que je sors atterré de ce que j’ai découvert.

J’ai très logiquement cherché d’abord les données scientifiques et médicales objectives concernant cette nouvelle maladie, mais en y incluant intentionnellement le discours de ces confrères cliniciens éprouvés ou de ces scientifiques à la compétence incontestée que ces mêmes « autorités » et la plupart des médias qualifient — depuis la pandémie — de « complotistes ». La raison en est que l’Histoire nous a très souvent appris que les « complotistes » vilipendés un temps par les « autorités » en place s’avèrent devenir, quelques années plus tard, des héros, des « résistants » au pouvoir en place et des sauveurs de notre humanité et de ses valeurs profondes. Nous applaudissons ainsi aujourd’hui ceux qui ont résisté aux autorités nazies comme ceux qui se battent pour la défense de ces mêmes valeurs en Afghanistan, en Russie ou en Chine. Notez que ces « complotistes » sont toujours, au départ, largement minoritaires. La vérité et la vertu exigent du courage et riment rarement avec le discours majoritaire du pouvoir en place.

J’ai eu la chance de découvrir, dès le début de mon enquête, une vidéo publiée en juin dernier par un médecin américain de réputation internationale, le Dr Richard Fleming. En quatre heures de conférence, il brosse un tableau du « dessous des cartes » de cette épidémie qui font frissonner d’horreur en moi autant le passionné de science que le vieux clinicien. Son discours me convainc parce qu’il fonde ses propos exclusivement sur des faits objectifs, vérifiables et incontestables (émanant de documents publiés par les institutions qui ont « autorité » dans leur domaine). Je suis de plus particulièrement sensible à son discours parce qu’il a une formation et une expérience très proche de la mienne (clinicien en médecine interne et cardiologie et chercheur depuis 53 ans). Son palmarès est prestigieux : 500 publications scientifiques et une théorie des maladies cardiovasculaires aujourd’hui reprise dans les classiques « textbooks » de cardiologie. Quant à son enquête – fouillée et compétente –, elle présente tous les signes d’une grande rigueur scientifique et morale. Comme les conclusions qu’il tire de son enquête sont diamétralement opposées à ce que nous présentent lesdites « autorités », il me semble que, selon leurs critères, son discours devrait être qualifié de « complotiste ».

Le scientifique et le clinicien en moi se trouvent donc confrontés à un dilemme moral. Si je pratiquais encore, devrais-je me fier aveuglément aux contraintes imposées par les « autorités » ou au contraire écouter mon « intime conviction » – à savoir que ses propos sont fondés – et donc entrer en « résistance » ? Heureusement, je ne pratique plus la médecine, ce qui m’offre une liberté d’expression que n’ont plus les cliniciens en fonction puisque ceux qui ne se soumettent pas aux règles imposées par lesdites « autorités » sont menacés de perdre leur autorisation de pratiquer.

Ce problème « moral » est en réalité extrêmement grave et repose, à mon sens, sur la question de la légitimité (et des limites) de cette « autorité » que s’attribuent aujourd’hui certaines institutions politiques, scientifiques et sanitaires au nom de l’idée qu’elles se font du bien public et de leur fonction dans la santé des citoyens. La fonction des politiciens est de gérer au mieux l’organisation de la société, celle de la Science de présenter des données objectives aux preneurs de décision et celle des institutions sanitaires d’organiser au mieux le réseau de la santé et l’information des médecins. Jusqu’ici, toutes ces institutions sont largement diffusées par la plupart des médias.

Aucune de ces institutions, toutefois, n’est en droit de se substituer aux médecins cliniciens dans les décisions qu’ils prennent, en âme et conscience, dans le dialogue singulier qui les lie (par la confiance) à leurs malades. C’est là une fonction spécifique à la profession médicale. Même un conseil de l’ordre n’a pas le droit d’intervenir de façon coercitive sur la liberté de conscience du médecin. Il contreviendrait ainsi gravement aux principes mêmes qu’il est censé défendre : ceux du serment d’Hippocrate (qui sacralise la valeur de l’individu et du dialogue singulier) et celui, fondamental, du « primum non nocere ». Il est particulièrement regrettable de constater que, dans cette pandémie, les premiers concernés par le respect de ces principes – les médecins généralistes – ont été totalement écartés des lieux de décision au profit de spécialistes certes pointus, mais inévitablement moins concernés que ces derniers par la dimension humaine du problème.

Les contraintes qu’imposent aujourd’hui ces « autorités » à la liberté diagnostique et thérapeutique des médecins sont incompatibles avec les valeurs sacrées de leur métier, valeurs auxquelles ils ont tous juré fidélité au début de leur carrière. Au vu de la tournure que prennent les événements dans cette pandémie, j’en viens à penser que le serment d’Hippocrate qui lie tous les cliniciens – mais ne contraint aucune institution – constitue le dernier rempart de la défense des valeurs humaines fondamentales face à la puissance manipulatrice et médiatique des mondes politiques, économiques et même scientifiques. Après tous les scandales (sang contaminé, grippe H1N1, Mediator, Vioxx etc…) qui ont ébranlé ces honorables institutions, il faudrait être d’une grande naïveté pour croire encore en l’absolue pureté de leurs motivations.

Ces institutions, à l’image de toute notre société, ont quasiment sacralisé la Science. Cependant, quarante ans de réflexion profonde sur les rapports entre science et médecine m’ont fait clairement comprendre que ce mode de connaissance est, par principe (d’objectivité, de causalité et de réductionnisme) aveugle à la dimension subjective de la réalité. Cela signifie que la Science appliquée unilatéralement à la médecine est aveugle à la réalité du sujet. Elle ne peut voir dans l’organisme humain qu’un objet dénué de toute « profondeur ». C’est d’ailleurs cette « cécité sélective » de la Science qui explique son incapacité – avouée par tous les chercheurs honnêtes – à définir la vie et la conscience.

La « scientocratie »  est en réalité la philosophie qui, jusqu’ici, a inspiré la logique décisionnelle des « autorités » sanitaires et politiques, mais cette philosophie souffre d’une « inhumanité » intrinsèque. C’est donc le rôle, me semble-t-il, des vrais cliniciens de rendre au sujet et à l’individu une place centrale face aux arguments objectifs, mais exclusivement statistiques des autorités sanitaires et politiques.

La remarquable vidéo du Dr Fleming a le désavantage de durer quatre heures et d’entrer souvent dans des détails techniques qui ne sont vraiment pertinents que pour des initiés. Il me semble toutefois que son message devrait être connu de tous les cliniciens embarqués en confiance (par naturelle « soumission à l’autorité ») dans une entreprise d’envergure mondiale qui a fait sauter tous les verrous de sécurité mis en place depuis des décennies par nos institutions démocratiques : le code de Nuremberg (1946), la convention internationale en matière d’expérimentation humaine (1966), la déclaration d’Helsinki sur l’éthique de la recherche (1964), la convention sur les armes biologiques (1975) et – ce qui devrait intéresser les membres des conseils de l’ordre – le code éthique de l’association des médecins américains.

Aujourd’hui je suis vraiment en colère et je sais ma colère juste. Les « autorités » auxquelles je m’étais fié ont trompé ma confiance et continuent à tromper (par négligence ou compromission, je ne sais) celle de mes pairs à propos

  • (1) de la fiabilité du travail de contrôle des essais cliniques avant la mise sur le marché des vaccins,
  • (2) de l’efficacité des vaccins et, plus grave encore,
  • (3) de leur toxicité. Toutefois, personnellement, ce qui a le plus violemment heurté mon « âme » de chercheur et de médecin, c’est
  • (4) l’occultation délibérée par des « autorités » scientifiques et politiques de l’origine non pas « naturelle », mais « chimérique » (artificielle) du virus responsable de la pandémie.

1 – Fiabilité des études préliminaires

La FDA et l’ANSM ont accordé aux industriels du médicament l’autorisation de la procédure d’urgence (EUA) malgré le non-respect d’une de ses conditions impératives, l’inexistence d’alternatives thérapeutiques. Ceci leur a permis de raccourcir la durée des expérimentations de 10 ans à 11 mois. De plus, les instances responsables de la vérification des expérimentations (FDA, ANSM) – entièrement pilotées par ces industriels – n’ont pas fait correctement leur travail de lecture critique des statistiques des résultats publiées. Une lecture plus attentive (dénoncée par Fleming et d’autres experts3 leur aurait montré une réalité qu’aujourd’hui même les « autorités » acceptent, à savoir que le vaccin ne protège ni du risque de réinfection, ni du risque de contagion, ni (bien évidemment) d’une infection par les inévitables variants.

2 – Efficacité du vaccin

Une lecture critique des essais cliniques réalisés avant mise sur le marché montre que l’efficacité (voisinant les 90% selon les industriels) a en fait été évaluée sur base d’un paramètre – le « risque relatif » – qui n’a pas de signification clinique alors qu’exprimé sur base du paramètre cliniquement pertinent généralement utilisé (le « risque absolu »), cette efficacité voisine plutôt les 1%. La « manipulation » des chiffres (et de l’incompétence des citoyens et des médecins en matière de statistique) est flagrante, mais inacceptable. De plus, une lecture attentive démontre, à partir des résultats présentés par les firmes que, par exemple, l’efficacité des vaccins n’est pas statistiquement significative chez les sujets de plus de 70 ans, pourtant les premiers bénéficiaires du vaccin. Si j’avais su cela, jamais je ne me serais fait vacciner.

Quant aux études faites après mise sur le marché, on trouve – quand on les cherche – des preuves accablantes de nombreux cas d’infections et d’hospitalisations pour la Covid-19 chez des patients dûment vaccinés.

3 – L’étude critique de la toxicité potentielle des vaccins est encore plus effrayante

Le « rapport bénéfice/risque » avancé par les firmes correspond à une grossière manipulation des statistiques. Des responsables compétents n’auraient jamais permis sa mise sur le marché en temps normal. Aujourd’hui que des millions de gens ont été vaccinés, la chose est évidente. Le site américain de recensement des « effets indésirables » des vaccins (VAERS) recense en mai 2021 plus de 4 000 morts et 17 200 effets secondaires sévères. Une étude européenne de pharmacovigilance recense, elle près de 20 000 morts et 800 0000 cas d’effets secondaires jugés « graves ». En France, l’ANMS recensait en juillet 2021 900 décès et 8 700 cas d’effets secondaires graves pour le seul vaccin Pfizer. Pour rappel, l’épidémie de grippe porcine en 1976 aux USA (célèbre scandale sanitaire) a été arrêtée quand on a recensé 25 morts après une campagne de publicité semblablement orchestrée par les « autorités » politiques et sanitaires qui avait amené 46 millions d’Américains à se faire vacciner.

Le statisticien en santé publique (l’autorité ultime de la « scientocratie ») va mettre ces chiffres en balance avec le nombre (supposé) de « vies sauvées » grâce au vaccin. Aux yeux de tout médecin vivant une relation de confiance avec son patient (la base du serment d’Hippocrate), ce calcul est inacceptable parce qu’en prescrivant ou administrant un médicament qui peut causer la mort ou un handicap grave à son patient il n’est en rien excusable puisque, s’il connaît le risque statistique du vaccin qu’il propose, il est déontologiquement obligé de donner cette information à son patient et d’obtenir son consentement « libre et éclairé ». En rendant le vaccin obligatoire, les « autorités » sanitaires et politiques bafouent ouvertement ces principes fondamentaux de la médecine au nom de statistiques portant sur l’incidence (potentielle) et la mortalité (inférieure à 0,1%) d’une maladie virale « naturelle » (cf. point 4).

Mourir de la Covid est certes un drame pour les proches, mais cette mort est « naturelle » (pour autant qu’on croie le virus de la Covid-19 naturel). Par contre, mourir à cause d’un vaccin qu’on a forcé le médecin à administrer ou le malade à accepter contre sa volonté, sa conscience dûment éclairée ou son intime conviction est tout simplement un sacrilège, une atteinte inacceptable aux valeurs fondamentales (sacrées) de l’homme. C’est là que moi personnellement je décide d’entrer en résistance et de donner raison à tous ces citoyens anonymes et soignants de plus en plus en plus nombreux qui, se fondant sur leur profonde intuition (l’intime conviction), s’opposent aux directives des autorités. L’attitude de ces autorités politiques et sanitaires est aujourd’hui inacceptable du point de vue de l’éthique médicale. En dépossédant les médecins de leur fonction spécifique, elles se rendent en réalité complices de ce que certains appellent un « crime contre l’humanité ».

4 – Du caractère « naturel » du virus de la Covid-19

Toutes ces « révélations » génèrent chez moi une profonde colère, mais celles qui, dans cette vidéo, m’ont personnellement le plus effrayé sont d’ordre scientifique et pas médical. Elles concernent la protéine spike, l’acteur majeur de cette pandémie et la cible visée par les vaccins. J’ignorais, avant la lecture de cette vidéo, que cette protéine (les « épines » du virus) commune à tous les coronavirus est, dans le cas du SARS-Cov-2, une pure « chimère » c’est-à-dire le résultat de manipulations génétiques menées patiemment depuis 20 ans dans des laboratoires de virologie largement financés par le ministère de la Défense (!!!) des USA (laboratoire de Ralph Baric) puis « améliorés » par des virologues chinois dans l’institut de Wuhan (laboratoire de Shi Zhengli). Ces études portant sur le « gain de fonction » des virus visent à « améliorer » la virulence du virus pour la race humaine et sa capacité à pénétrer dans le cerveau. C’est donc indubitablement une arme biologique. Ces bricoleurs de virus ont en effet « inséré » dans la protéine spike du coronavirus de la chauve-souris (H4U4), totalement inoffensif pour l’homme, des fragments du virus du sida (insert de 590 acides aminés) et de celui de l’hépatite C ainsi qu’un court « insert » appelé PRRA constitué de 4 acides aminés (codés par 12 nucléotides) absents de toutes les autres souches naturelles de coronavirus et impossibles à attribuer à des mutations naturelles puisqu’il faudrait qu’apparaisse simultanément la mutation de 12 nucléotides successifs du génome.

De plus, en déformant la protéine, ces trois inserts ont créé à son extrémité un domaine dit de type « prion », c’est-à-dire semblable à l’agent de la vache folle. Et, de fait, on peut induire expérimentalement ce type de maladie (encéphalopathie spongiforme) chez les souris génétiquement modifiées (dites « humanisée ») après infection par le SARS-Cov-2. Le SARS-Cov-2 est donc, incontestablement à mon sens, un virus artificiel – une « chimère » – dont la création a « bypassé » tous les processus de sélection naturelle. Tous les gouvernements impliqués dans la mise au point de cette chimère (les USA, la Chine, mais aussi la France cofondatrice de l’institut de Wuhan) se sont empressés de nous faire passer ce virus pour une zoonose (le fameux pangolin) ou le résultat de mutations (naturelles). Mais une chimère n’est pas un mutant (naturel) et j’ai le sentiment que tout est fait « quelque part » pour que cette vérité embarrassante – mais cruciale dans le procès de la thèse du complotisme – soit tue.

5 – De la vaccination obligatoire et généralisée

Nous devons prendre conscience, nous médecins cliniciens, que les vaccins actuels contre ce « monstre » de la biotechnologie forcent nos propres cellules à synthétiser en millions d’exemplaires cette protéine chimérique imaginée et créée de toutes pièces par des scientifiques irresponsables. Le simple principe de précaution devrait nous pousser à redoubler de vigilance vis-à-vis de ce vaccin doublement atypique (technologie à ARN messager/nanoparticules lipidiques et antigène spike artificiel), mais les médecins généralistes, témoins les plus concernés par la santé individuelle de leurs patients et source la plus fiable des éventuels effets secondaires ont été écartés des centres de décision gérés par les autorités politiques, sanitaires et scientifiques. Avec un an et demi de recul, nous disposons aujourd’hui de statistiques de mortalité, de létalité et du rapport bénéfice/risque des différents vaccins commercialisés. Nous avons le devoir de les analyser objectivement et, personnellement, ils me glacent d’effroi.

Alors que le risque de mourir est quasiment nul pour un Covid “naturel” entre 0 à 14 ans, il est non nul pour l’administration du vaccin. Or, cette seule réalité n’empêche pas les autorités de prévoir une vaccination obligatoire de tous les enfants.

Dans la tranche d’âge entre 15 et 44 ans, le rapport bénéfice-risque est à peu près égal à 1 (seuil maximal admissible), mais si on évalue ce même rapport chez les sujets sans « comorbidité » (c’est-à-dire la majorité de cette population), il grimpe à 3 (1,5 à 4,4), ce qui signifie qu’il est trois fois plus toxique qu’efficace. Un parent ou un patient dûment éclairé de ces chiffres refuserait très certainement le vaccin. Comme personne n’est en droit de prétendre remplacer la responsabilité parentale ou personnelle dans une telle situation, les « autorités » ont balayé ce droit et manipulé l’information au nom d’une « immunité collective » dont nous savons aujourd’hui qu’elle ne sera jamais réalisée par les vaccins puisqu’ils ne protègent ni des réinfections, ni de la contagiosité, ni des variants.

Il est plus que temps, me semble-t-il, messieurs les présidents des conseils de l’ordre et chers confrères cliniciens, d’ouvrir nos yeux à des réalités que les « autorités » impliquées jusqu’au cou dans une politique unilatérale ne peuvent pas regarder en face sans perdre la face. Nous avons maintenant un recul suffisant face à cette maladie nouvelle. Le corps médical – et en particulier les omnipraticiens, premiers acteurs responsables dans une pandémie, et les conseils de l’ordre, seuls remparts officiels de l’éthique médicale – peut-il continuer à se « soumettre à une autorité » qui nous a dépossédés de ce qui fait toute la valeur éthique de notre métier, sa « densité humaine ». Comme le rappelle à plusieurs reprises mon collègue Richard Fleming : « Qu’en est-il si ceux qui prétendent soigner le problème (les “autorités” politiques et scientifiques et l’industrie biotechnologique) sont aussi ceux qui l’ont créé ? »

Si, après avoir visionné en intégralité la vidéo du Dr Fleming et, si possible aussi, celle de Christine Cotton (ICI) ou du Dr de Lorgeril () (deux spécialistes français de la lecture critique des statistiques dans les études cliniques) vous continuez, chers confrères à accorder votre confiance au discours des « autorités », je crains fort que vous ne puissiez rétablir – quand la vérité sera enfin établie – la confiance de la population en une médecine qu’elle jugera, à juste titre, très sévèrement.

Tout le monde sait que la pandémie a créé en quelques mois une vague de décès (en rien comparable à celle la grippe espagnole ou de la peste), une secousse sans précédent de l’économie mondiale, mais aussi quelques heureux, les neuf nouveaux milliardaires de l’industrie du vaccin et des tests biologiques. À titre d’exemple, le patron de la firme Moderna – qui ne cache pas publiquement son rêve de créer une médecine préventive fondée sur la manipulation (le « piratage », dit-il même) du génome, le plus précieux trésor de chaque organisme vivant que la Nature a mis plusieurs milliards d’années à sélectionner. En apprenant que ses gains personnels en 2020 (4.3 milliards de $) ont été exemptés d’impôts (cadeau de l’État du Delaware), et placés dans des paradis fiscaux (cadeau de la Suisse qui abrite le siège social de sa société), j’ai peine à croire en la pureté des objectifs humanitaires de ce genre d’industrie. Il est très loin le temps où le Dr Sabin, inventeur du vaccin de la polio, avait fait don de son brevet aux enfants de l’humanité.

La seule façon, me semble-t-il, chers confrères – et mon exhorte s’adresse également à tous les soignants, parents et jeunes – de résister à la puissance de ces géants est, je pense, d’entrer massivement en « résistance » et d’unir les voix de plus en plus nombreuses de ceux qui devinent – sans souvent pouvoir le démontrer – que quelque chose de fondamental à l’homme est en train de pourrir dans notre société capitaliste et hyperlibérale. En tant qu’humain, médecin, père et grand-père soucieux du devenir des générations futures, il me semble que cette démarche relève du noble « devoir civique ».

Très confraternellement,

Jean Stevens, 82 140 Saint Antonin (France)

P.S. : Au moment d’envoyer cette lettre, j’apprends la courageuse démission de l’ordre des médecins d’un médecin de Montpellier à qui ses « autorités sanitaires » avaient refusé qu’il publie des résultats (très inquiétants) concernant les effets secondaires graves dans 83 EPHAD4. Il souligne au passage l’inquiétante augmentation des effets secondaires du vaccin Pfizer (+160 % en deux mois)

Source :
https://jbl1960blog.wordpress.com/2021/10/19/a-laube-dune-nouvelle-vague-et-dun-nouveau-confinement/

Lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

Notre communiqué du 14 juillet 2021 : « La solution de la crise fabriquée COVID n’est en aucun cas médicale mais politique »

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