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Analyse du livre de J. Baschet « Basculements, mondes émergents, possibles, désirables » (Pierre Bance)

Posted in actualité, altermondialisme, autogestion, économie, colonialisme, crise mondiale, démocratie participative, gilets jaunes, militantisme alternatif, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, philosophie, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, société des sociétés, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , on 11 juin 2021 by Résistance 71

La société des sociétés se construira hors État, hors marchandise, hors argent et hors salariat ou ne sera pas. L’État et le capitalisme sont au bout du rouleau certes, mais se métamorphosent une énième fois, fusionnent en ce que leur oligarchie appelle le “Nouvel Ordre Mondial”, fusion supranationale des mega-entreprises et des états en une entité dictatoriale technotronique et transhumaniste supra-élitiste.
L’antidote à ce cauchemar dystopique est la société des sociétés de notre humanité réalisée au sein de la diversité de notre complémentarité, hors antagonisme et en harmonie avec la simple loi naturelle.
Tout part de l’individu qui dit NON ! à tout et en tout et se ligue avec ses semblables à la racine humaine profonde du refus d’obtempérer. L’individu comprend, refuse, agit en se liguant, rayonnant ainsi de l’individu au collectif. Nous avons mis sous cet article d’analyse de livre, quelques textes qui pourront aider à la réalisation individuelle et collective de la seule société future viable pour l’humanité, quelque soit le nom qu’on lui donne.
~ Résistance 71 ~

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1871, 1921, 1936, 1956, 1968…
Vive Commune Universelle de notre humanité réalisée !

Basculer d’accord mais du bon côté

Pierre Bance

Mai 2021

Source:
http://www.autrefutur.net/Basculer-d-accord-mais-du-bon-cote

Jérôme Baschet n’aime pas l’idée d’effondrement « inéluctable et fatal », chère à la collapsologie, parce qu’elle n’a d’autre perspective que la résignation. Il préfère parler de « basculements », titre de son dernier livre. Certes les basculements portent une part d’incertitude mais ils n’écartent aucune hypothèse émancipatrice ‒ « le champ des possibles ».

La crise du Covid-19 ne se terminera pas par le basculement final. L’État-nation pourrait même s’en trouver ragaillardi, sollicité par les citoyens pour renforcer le service public de santé, sollicité par le capital pour rétablir l’ordre sanitaire qu’ils ont ensemble contribué à désorganiser. Il ne faudrait cependant pas s’arrêter à cette impression, déclare Jérôme Baschet, car, parallèlement, cette crise « a mis en évidence les hésitations, les louvoiements et les défaillances des gouvernements plutôt que leur toute puissance » (p. 24). Il y a donc des raisons d’espérer. La crise peut servir d’appui « pour porter la réflexion jusque vers l’après-capitalisme » (p. 17). Le Léviathan aurait des bases pourries et si le capitalisme est désorganisé par un virus, c’est peut-être un autre des signes annonçant qu’il est en bout de course, sans toutefois sous-estimer sa capacité de réaction, d’adaptation. Ainsi Baschet réfléchit-il au sens de la promotion d’un capitalisme vert et numérisé, nouvelle image de sa modernité. Ce leurre néolibéral qui permettra de saper la contestation écologique tout en évitant le seul effondrement certain s’il persévère dans sa dynamique de domination et de d’accumulation : l’extinction de l’humanité. Quels que soient les scénarios que le capitalisme empruntera – continuer comme aujourd’hui, se verdir ou adhérer au modèle autoritaire chinois ‒, ses méfaits chaque jour constatés, ses crises à répétition ne peuvent que favoriser des réactions antisystémiques et nourrir l’espérance en des « mondes émergents » et des « possibles désirables » (sous-titre du livre). Comment et lesquels ? C’est à cette question que l’auteur tente de répondre dans ce livre servi par d’impressionnantes connaissances et une plume agile.

Si l’on veut en finir avec la domination étatique et le productivisme capitaliste afin de respecter la nature, promouvoir la liberté et l’égalité des différentes communautés humaines, ce monde émancipé sera fondé sur l’autonomie communale, l’équilibration des contraires et la fédération des « espaces libérés ». Voilà un programme ‒ un parti pris ‒ sur lequel s’accordent de plus en plus de personnes même si les voies pour y parvenir sont multiples et peuvent se combiner, du grand soir insurrectionnel aux luttes interstitielles, en passant par l’action institutionnelle (sociale-démocrate).

Encore faudra-t-il renoncer aux références philosophiques et éthiques de nos sociétés. « On ne peut espérer sortir du capitalisme, écrit Jérôme Baschet, sans récuser une modernité qui a pour principaux fondements le naturalisme, l’individualisme et l’universalisme ‒ à quoi il faudrait ajouter la vision d’une histoire linéaire, identifiée au mouvement unique et illimité du Progrès » (p. 175). C’est un préalable qui fera déjà problème, à commencer par son rejet de l’universalisme. Pour Baschet, ce rejet n’est pas négociable si l’on veut que, sur la terre, des mondes multiples s’entrelacent dans des existences communales et se fondent dans « une condition planétaire vécue dans son hétérogénéité constitutive » (p. 178).

L’auto-administration et ses instituions

Les grandes lignes du modèle de société communaliste que propose Jérôme Baschet sont connues : assemblée communale souveraine, mandat précis et révocable des délégués, rotation des responsabilités, fédération « postlocale » pour les questions relevant de plusieurs unités territoriales. Il ne pousse pas plus loin la question de l’organisation, considérant qu’il appartiendra aux assemblées concernées de la mettre en place. Certainement sous-estime-t-il l’importance d’avoir posé la règle préalablement à « l’événement ». Pourtant, tout en disant qu’une constitution n’est pas nécessaire, au paragraphe suivant, il en écrit un morceau sur les conditions de la délégation (p. 112). Si le projet révolutionnaire ne prévoit pas les institutions de l’auto-administration [1] et leur fonctionnement, si ce n’est dans le détail tout au moins dans leurs principes politiques et juridiques, s’il s’en remet à la spontanéité du moment révolutionnaire ou aux fragiles fédérations d’alternatives mises en place en régime capitaliste, il y a fort à parier que l’État reprendra le dessus militairement ou, encore mieux, par des élections, comme en 1968. Si l’appareil d’État est affaibli au point de n’être plus en mesure de réagir, l’absence d’institutions capables d’agir immédiatement laissera le champ libre à quelque parti ou quelque leader charismatique pour s’approprier la révolution et rétablir un État sous leur domination.

De même, une fois l’installation révolutionnaire réussie, si comme le dit Jérôme Baschet chacun doit participer à la décision politique, n’en va-t-il pas autrement pour son exécution. Sont nécessaires des instances administratives stables qui n’ont pas seulement « un rôle spécial d’initiative et d’impulsion » (p. 121), mais qui exercent une autorité de compétence sous le contrôle des assemblées locales ou fédérales mandantes pour que ne se constitue pas une bureaucratie « d’intelligents ».

L’auteur, bien sûr, n’ignore pas tout cela mais se méfie de toute règle, tout « programme contraire à l’esprit de l’autonomie » (p. 119) telle qu’il la conçoit : « la reconnaissance d’une capacité partagée qui récuse toute suspicion d’incompétence ou d’ignorance » (p. 125). Il n’est pas non plus naïf : « Les discordances sont inévitables, comme les manquements au faire-commun ; et, en cas d’infraction aux règles collectivement assumées, des décisions visant à réparer le tort commis doivent être prises par les instances de justice communale » (p. 165), une justice du consensus, ajoutera-t-on.

L’autogestion de la production

Jérôme Baschet est plus à l’aise avec la question économique. Il conduit une critique serrée de la nature productiviste du capitalisme, puis envisage le « démantèlement de l’actuel système productif-destructif » (p. 83). Pour ce, il recense les secteurs qui pourraient être rationnalisés voire supprimés vu leur inutilité ou leur nuisance et conclut que « ce qu’il est pertinent de produire n’est rien d’autre que ce qui est défini comme tel par les collectifs concernés » (p. 88, voir aussi p. 103). La formule est belle, mais recouvre nombre de difficultés pratiques et juridiques pour lesquelles il vaudrait mieux envisager des procédures dès aujourd’hui. Ainsi de « la disparition des principales formes de propriété des moyens de production », du remplacement de la propriété privée par l’usage (p. 88), ou de la question de la planification que Baschet rejette au nom des mauvais souvenirs du socialisme réel qui ne le fut guère (p. 87). Peut-on envisager le fédéralisme sans planification, avancer à l’aveuglette ?

Il aborde aussi un sujet qui intéressera particulièrement les lecteurs des Chroniques Noir et Rouge : la production relève-t-elle de l’assemblée des producteurs ou de l’assemblée des citoyens de la commune ? Elle revient à la commune ou à l’instance « supralocale » compétente, répond Baschet. Si cela est vrai pour le choix de ce que l’on produit, le comment-on-le-fait doit rester aux mains des travailleurs ‒ encore un mot qui relève des catégories du capitalisme. Ce sont eux, par exemple, qui sont en mesure de mieux rompre avec la division du travail, d’édicter les normes du point de vue des exigences écologiques.

Pour résumer, il s’agira, le moment venu, de « relocaliser et réduire drastiquement la production, retrouver le sens des proportions, réencastrer les décisions productives dans les choix de vie » (p. 103). Du Bookchin.

Bookchin justement

Après avoir écarté l’option étatique pour enclencher la transformation révolutionnaire et souligné la nécessité pour les expériences alternatives de s’organiser en réseau pour sortir de « leur impuissance, sinon [de] leur insignifiance » (p. 183, voir aussi p. 197), Jérôme Baschet se rapproche, en partie, des propositions de Murray Bookchin. Il adhère à la stratégie de marginalisation de l’État par l’autonomie communale, en l’associant avec des actions de blocages (grèves, occupations, barrages routiers, boycottages par les consommateurs, etc.). Cependant, Baschet critique Bookchin sur certains points. Il lui reproche de ne pas prendre en compte la diversité culturelle, ce qui est vrai et ce grief lui est souvent opposé. Il lui reproche aussi, mais c’est moins convaincant parce que réducteur [2], « de faire d’une politique municipale alternative le levier exclusif de la sortie du capitalisme » (p. 198). Il aurait aussi pu parler du « progrès » chez Bookchin, objet de discussions, parfois de disputes, dans le monde de l’écologie sociale.

Pendant que l’on débat des mérites des théories de Bookchin, les révolutionnaires du Rojava qui s’en revendiquent au travers du confédéralisme démocratique, mesurent concrètement combien il est difficile d’abattre l’État pour mettre en place une démocratie directe. Plus qu’au Chiapas [3], dont on rappelle que Jérôme Baschet est l’un des meilleurs connaisseurs, c’est en Syrie du Nord que le discours alternatif et les théories autonomiste se confrontent au réel sur une grande échelle et dans des conditions géopolitiques dantesques. Les reculs, les échecs, les tergiversations que les ennemis de l’Administration autonome démocratique ne manquent pas de relever, peuvent, en effet, décourager, faire douter. Il faut alors prendre les oiseaux de mauvais augure à contrepied. L’analyse de chaque défaillance doit être une source d’avancée dans la compréhension du processus révolutionnaire au même titre que l’œuvre constructive de la révolution comme, simple exemple, l’application systématique du principe d’égalité [4]. Avancées qui, quel que soit le sort de cette révolution, contribueront à imaginer des réponses aux problèmes sous-jacents aux thèses de Baschet. Car il serait périlleux, le jour venu, de décider dans l’urgence, voire la panique, faute d’anticipation.

* * *

Pour conclure, Jérôme Baschet propose, sans écarter d’autres pistes, une hypothèse de basculement qui « allie stratégies interstitielles antagoniques et stratégies non étatiques de rupture – les deux interagissant dans une dynamique de crise structurelle » (p. 217). Qu’on soit ou non d’accord avec cela, ou d’autres de ses analyses adjacentes, on remerciera Baschet d’avoir alimenté la dynamique réflexive vers l’après-capitalisme et, du coup, de nous pousser à aller plus loin encore pour penser le projet d’un autre futur, pour le faire partager au plus grand nombre. Autant dire qu’il reste du travail contre-et-au-delà, comme dirait John Holloway [5].

Pierre Bance

(article paru dans les Chroniques Noir et Rouge N°5)

Jérôme Baschet, « Basculements. Mondes émergents, possibles désirables », 

La Découverte, 2021, 254 pages dont 18 pages de bibliographie, 15 € –

[1] Voir, Floréal M. Romero, Agir ici et maintenant. Penser l’écologie sociale de Murray Bookchin, Éditions du commun, 2019, 272 pages, 16 €

[2] Voir, Floréal M. Romero, Agir ici et maintenant. Penser l’écologie sociale de Murray Bookchin, Éditions du commun, 2019, 272 pages, 16 €

[3] Pierre Bance, « Rojava et Chiapas, deux lueurs d’émancipation dans un monde halluciné », Autre futur.net, 22 mars 2017 (http://www.autrefutur.net/Rojava-et-Chiapas-deux-lueurs-d-emancipation-dans-un-monde-hallucine).

[4] Pierre Bance, La Fascinante Démocratie du Rojava. Le Contrat social de la Fédération de la Syrie du Nord, Éditions Noir et Rouge, 2020, 600 pages. Voir cette revue, n° 2, mai-juin 2020, page 7.

[5] « Le mouvement vers l’autodétermination est un mouvement contre cette société basée sur la négation de l’autodétermination, et c’est en même temps une projection au-delà de cette société – une projection permettant de rêver, de parler, d’agir » (John Holloway, « Douze thèses pour l’anti-pouvoir », Contretemps, n° 6, « Changer le monde sans prendre le pouvoir ? Nouveaux libertaires, nouveaux communistes », février 2003, article page 38 ; également sur le site Europe solidaire sans frontière (www.europe-solidaire.org/spip.php?article4498).

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Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

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« Connais ton ennemi et connais-toi toi-même » (Sun Tzu)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, autogestion, gilets jaunes, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , on 25 Mai 2021 by Résistance 71

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Très bonne analyse de Philippe Huysmans ci-dessous, qui résume en peu de mots le mécanisme de mise en place du Nouvel Ordre Mondial tant voulu par les “élites” psychopathes auto-proclamées. Le problème de ce genre d’écrits est qu’ils ne font que décrire une réalité souvent le plus justement du monde, mais ne s’engagent jamais ou que trop rarement à offrir des solutions. C’est pourtant aujourd’hui, ce qui fait le plus défaut. Le niveau de conscience est monté de plusieurs crans, mais personne ne sait quoi faire et la merdasse dictatoriale continue parce que nous continuons à acquiescer et à “faire confiance” aux ordures du pouvoir… faute de mieux ou ne sachant quoi faire.
Nous devons comprendre et admettre notre réalité certes, mais aussi nous devons agir sur elle afin de la transformer. Huysmans admet, sans le dire, et là réside une part du problème, ce que nous disons depuis bien longtemps, à savoir qu’il n’y a pas de solution au sein du système et qu’il ne saurait y en avoir. Ceci doit donc immanquablement ouvrir la porte de la proposition de solution à la crise permanente imposée par un système à la dérive n’arrivant plus à reproduire son propre  mécanisme de fonctionnement et menant le monde à une sanglante hécatombe d’inspiration malthusiano-eugéniste.
Entre l’analyse et l’action juste correspondante, il ne doit pas (plus) y avoir l’épaisseur d’un cheveu. Il n’y a pourtant pas 50 solutions viables. Nous devons sortir et mettre un terme à cette situation sans espoir de retour et mettre la société sur la voie de notre humanité enfin réalisée, celle de cette réalité sociale que nous devons transformer en société des sociétés s’épanouissant de la complémentarité de sa diversité, sans concurrence, sans compétition, sans division induite, hors État, hors marchandise, hors argent et hors salariat. Ceci représente le seul futur viable pour l’humanité, en résonance avec sa nature profonde. Ainsi, la société des sociétés se réalisera ou l’humanité disparaîtra, psychopathes aux manettes compris.
La solution au capitalisme défaillant proposée par la clique des psychos “en charge” est une dictature permanente qui doit nous faire garder constamment à l’esprit ce que disait déjà George Orwell il y a plus de 70 ans : “Vous voulez savoir ce que sera le futur [dans ce système] ? Imaginez une botte militaire écrasant un visage… pour toujours.”
De plus en plus de gens font le constat, s’éveillent à la réalité dictatoriale inévitable du système étatico-capitaliste ? Excellent ! Maintenant, agissons en conséquence. Il en va de notre survie a toutes et tous sur cette planète, ni plus ni moins. Cessons d’acquiescer, il est temps de dire NON ! et ce NON ! retentissant passe par l’individu conscientisé pour rayonner périphériquement sur le collectif actif et organisé. Comprenons qu’il suffit de dire NON ! et la fine équipe n’aura plus aucune prise sur nous, plus jamais ! Terminons sur ces sages paroles de Victor Hugo qui disait : “Aucune armée au monde ne peut arrêter une idée dont l’heure est venue.”
Ressentons dans nos fibres les plus intimes cette idée, cette idée de liberté franche et totale enfouie sous le fatras inique étatico-marchand depuis des siècles, cette idée universelle dont l’heure est enfin arrivée et qui fut déjà le guide des Communard(e)s il y a 150 ans, bien que son heure ne le fusse pas encore. Ils sont morts massacrés aux mains d’une “république” dite “démocratique” dans un bain de sang interne, second sans doute du seul dégénéré Pol Pot, mais en nous montrant la voie à suivre contre toutes les impostures socio-politiques du système dictatorial en place. Comprenons et mettons en pratique le fait évident qui est celui-ci : les ordures parasites du pouvoir ont besoin de nous, nous n’avons ABSOLUMENT pas besoin d’eux ni de leur outil de contrôle étatico-capitaliste ! Elle est LÀ la réalité profonde. Une fois cela compris, la marche à suivre est évidente !

Qu’on se le dise !…

~ Résistance 71 ~

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Coup d’état planétaire, connais ton ennemi

Philippe Huysmans

18 mai 2021

url de l’article original : https://www.levilainpetitcanard.be/connais-ton-ennemi/

“Connais ton ennemi et connais-toi toi même.”
~ Sun Tsu ~

Mars 2020, une majorité des pays les plus riches, mais aussi les plus endettés de la planète basculaient dans la dictature sanitaire.  Incarcération domiciliaire en dehors de tout cadre constitutionnel, décrets et arrêtés toujours plus liberticides, absurdes, humiliants, contradictoires, contraires au bon sens et à l’évidence scientifique.  Tout ça pour quoi?  Pour un virus qui ne tue pas plus qu’une mauvaise grippe.

Lassé de courir après la baballe en attendant le prochain train de mesures quasi-dictatoriales décidées dans le confortable entre soi d’un quarteron de pourritures et claironnées le lendemain par tous les médias de grands chemins, j’ai décidé de m’arrêter un instant pour réfléchir.  Eh oui, la vraie question à se poser c’est comment des pays réputés démocratiques ont-ils pu basculer simultanément dans la dictature sanitaire, et donc comment l’ensemble des politiques aux pouvoir dans ces pays ont-ils pu s’affranchir du droit pour imposer des mesures dont on se rend parfaitement compte aujourd’hui qu’elles ont tué par centaines de milliers?

Prenons l’exemple d’Olivier Véran, Ministre français de la Santé.  Le 28 mars 2020 était publié le fameux décret Rivotril, pour « soulager » les patients covid en état de détresse respiratoire.  En pratique le Rivotril les a « soulagés » comme l’avaient été les handicapés mentaux victimes du tristement célèbre programme Aktion T4 des nazis2.  On les a piqués comme des chiens.  Or en France, l’euthanasie est illégale, elle est assimilée à un meurtre.  Logiquement donc, en cas de retour à la normale, Olivier Véran devrait être mis en examen en tant que responsable de plusieurs milliers de meurtres, voire de crimes contre l’humanité, ce qui lui vaudrait une condamnation à perpétuité.  Pourtant, aucun de ces hommes de pouvoir ne semble craindre un seul instant l’éventualité d’être traduit en justice un jour, et ils se vautrent toujours plus avant dans l’abjection et la tyrannie3.  Comment cela est-il possible?

[ Ce qui suit est une opinion, une tentative d’expliquer ce qui est apparemment inexplicable si l’on ne prend pas la peine d’articuler les causes et les événements qui nous ont amenés là.  C’est une étape cruciale pour savoir qui est à la manoeuvre, et pour savoir précisément jusqu’où ces gens sont prêts à aller.  À la lumière de ce qui précédait, vous devez déjà vous en douter un peu, non? ]

En règle générale, les hommes politiques sont d’une prudence de Sioux, ne s’engageant qu’à coup sûr, s’assurant que leur responsabilité n’est jamais engagée au point que l’on pourrait ultérieurement les poursuivre en justice sur base de leurs actions, et le timide docteur Véran ne fait pas exception à la règle.  Comment transforme-t-on des paisibles chapons4 en sociopathes prêt à tuer sans l’ombre d’une hésitation?

Au commencement était l’effondrement

En 1991, la chute du bloc soviétique était consommée, le communisme avait vécu.  Ca s’est passé sans un bruit, sur fond de déclarations insipides des dirigeants de l’époque qui évoquaient la question comme s’il s’agissait d’une simple formalité.  En pratique c’était le principal opposant au bloc capitaliste qui disparaissait brutalement de la carte, laissant libre cours au néolibéralisme le plus débridé.

Ce qu’on a oublié de vous dire à l’époque, c’est que le système capitaliste était lui-aussi en phase d’effondrement, et que c’était inéluctable.  L’usure ayant tout dévoré, les pays les plus riches, écrasés par le service de la dette détruisirent méticuleusement ce qu’il restait du tissu industriel, pour le convertir en actions plus lucratives, mais ne reposant que sur la spéculation.   Le crash qui se produisit en 2008 signa l’arrêt de mort de l’économie capitaliste.  La seule chose qui a pu retarder l’échéance jusqu’à présent, c’est que tant les États-Unis que l’Europe se sont mis à faire tourner la planche à billets à un rythme toujours plus vertigineux.

Par des mécanismes douteux, la FED s’est mise à racheter la quasi-totalité des actifs boursiers américains, afin d’éviter l’effondrement total de l’économie, mais au prix d’endetter toujours plus les citoyens américains, et en diluant leur pouvoir d’achat.  La diplomatie de la canonnière trouvant ses limites dans le fait que désormais, tous les pays étaient plongés dans les mêmes difficultés.

Ainsi l’Europe n’était pas en reste pour produire par tombereaux de la fausse monnaie ultimement destinée à maintenir les banques systémiques sous perfusion.  Vous avez sérieusement cru qu’il s’agissait d’aider les États?

Ayant atteint le bout du bout, craignant par-dessus tout un effondrement généralisé qui serait inévitablement cause de révoltes un peu partout, et donc de leur disparition, les vrais dirigeants de ce monde ont décidé de prendre les choses en main.

À qui profite le crime?

Dans l’hypothèse normale d’un système failli, et sachant que personne ne pourra jamais rembourser la dette colossale des États, la question logique à se poser aurait été celle de l’effacement de la dette.  C’est bien ainsi que cela se passe dans le monde de l’entreprise, pourquoi devrait-il en être autrement s’agissant du système capitaliste dans son ensemble?  Eh bien tout simplement parce que les détenteurs de la dette, une toute petite brochette de fonds requins, de multinationales et de banques ne l’entendent pas de cette oreille.  Ils veulent le beurre et l’argent du beurre, et n’ont pas l’intention de rien lâcher de ce qui constitue leur pouvoir de domination sur le monde.

J’entends d’ici les pleureuses opposer que l’effacement de la dette signifierait aussi la disparition des fonds de pension qui reposent largement sur des produits financiers basés sur la dette, mais c’est un faux problème, les pensions pourraient être financées sans aucun problème en y consacrant seulement quelques pourcents des moyens aujourd’hui consacrés au service de la dette.

Magistrature de collusion, corruption et technique des petits pas

Maintenant que nous avons identifiés les donneurs d’ordre, reste à comprendre comment ils ont pu prendre le contrôle total des leviers du pouvoir dans tous les pays concernés, soit l’ensemble des pays les plus endettés et les plus soumis aux diktats du FMI, de la Commission Européenne et de l’État profond américain.

On pourrait d’abord parler de magistrature de collusion, puisque l’ensemble de ces donneurs d’ordre, même s’ils ne représentent pas un corps social homogène, même s’ils ne partagent pas forcément la même vision politique, sont les représentants d’une petite élite ultra-minoritaire qui forme à elle seule une classe au sens marxiste du terme.  C’est par sa cohésion autour d’un projet (préserver leur domination à tout prix), ses moyens illimités, et son réseau de contacts s’étendant dans toutes les strates du pouvoir autour du globe —tels les tentacules d’une pieuvre gigantesque— qu’ils ont pu mettre en place leurs hommes de paille : nos dirigeants.  Ceux qu’ils ne peuvent acheter, ils les font chanter5.

La technique mise en oeuvre recouvre plusieurs méthodes de manipulations visant à mettre leurs obligés dans l’impossibilité de reculer.

  • La peur : on évoque une pandémie gravissime, qui pourrait bien être la cause de millions de morts, mais dans le même temps on présente ça comme une fenêtre d’Overton6 qui permettrait l’instauration d’une société plus contrôlée, dans laquelle il serait plus facile d’empêcher l’émergence des inévitables mouvements sociaux que la crise ne manquera pas d’engendrer dans les mois et années à venir.  Pour instaurer cette société largement amputée de ses attributs démocratiques, il faut nécessairement en passer par la violation des garde-fous que sont les constitutions.  Le passage en force s’impose désormais partout comme la nouvelle norme7.
  • Brûler ses vaisseaux : on pousse les dirigeants à tout fermer, quitte à écraser pour de bon ce qui restait de la classe moyenne, et dans le même temps, on incite les États à s’endetter toujours plus pour distribuer de l’argent hélicoptère afin d’indemniser les entreprises lésées.  On parle là de centaines de milliards de dette qui étrangleront toujours plus les États, les rendant d’autant plus tributaires des donneurs d’ordre.
  • L’intérêt supérieur : on présente l’ensemble des mesures comme une sorte d’opération de la dernière chance qui viserait justement à minimiser l’impact de la crise8, et de son cortège de victimes.  Certes on va faire très mal, mais c’est pour éviter des maux bien plus grands encore.  Les tortionnaires se verront ainsi en sauveurs et il ne subsistera plus l’ombre d’une prévention dans leur esprit puisqu’ils croiront agir dans l’intérêt de la population.
  • Liés par le crime : on poussera les dirigeants à commettre, et à faire commettre par leurs subalternes des actions passibles de poursuites pénales, ce qui leur fermera ensuite toute possibilité de retraite.  C’est une méthode mafieuse qui a fait ses preuves.
  • Les petits pas : les hommes de paille n’ont aucune connaissance du plan et le découvrent au fur et à mesure au travers des feuilles de route qui leur sont transmises par d’obscurs cabinets conseils américains à la solde des donneurs d’ordre.   Finalement, ces hommes politiques sont tout aussi manipulés que nous, mais à un autre niveau.  C’est un peu l’histoire de la grenouille qu’on met à cuire doucement dans la casserole.  Se rendent-ils compte de ce vers quoi ils se dirigent, et comment ça se terminera?  Peu importe, en fait, parce qu’il ne leur sera pas donné le choix de revenir en arrière.

Ne vous y trompez pas, ce que vous vivez actuellement n’a rien à voir avec une crise sanitaire, c’est un coup d’État planétaire visant à asseoir le pouvoir absolu des donneurs d’ordre sur une dictature féroce.  Vous aurez le pire du communisme (pour les masses) et le pire du capitalisme (le seul bénéfice étant réservé à l’élite).

Quand comprendrez-vous que vous êtes victime d’une guerre psychologique visant à briser la résistance des peuples avant de les mettre en esclavage?  Si j’ai réussi à exprimer correctement mes idées, vous devriez avoir réalisé à présent que non seulement ce cauchemar ne s’arrêtera jamais, mais qu’on en est qu’aux préliminaires, et qu’ils ne reculeront devant rien.

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Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

desobeissance-civile

Quelle connexion entre la mort du capitalisme et le Nouvel Ordre Mondial oligarchique en marche? (Résistance 71 )

Posted in actualité, altermondialisme, autogestion, coronavirus CoV19, crise mondiale, gilets jaunes, guerres hégémoniques, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, société des sociétés, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , on 16 novembre 2020 by Résistance 71

“Deviens celui que tu es.”
~ Friedrich Nietzsche ~

Quelle connexion entre l’agonie présente du capitalisme et le Nouvel Ordre Mondial oligarchique ?

Résistance 71

16 novembre 2020

La littérature est abondante sur les mécanismes, l’apologie ou la critique de l’ordre politico-économico-social dominant depuis la première révolution industrielle du début XIXème siècle et appelé “capitalisme” ou “mode de production capitaliste”. Notre intention ici n’est pas d’en faire une énième analyse / critique, tout ayant déjà été dit notamment par la critique nécrologique de l’économie politique faite par Karl Marx et Friedrich Engels entre 1848 et la fin du XIXème siècle, mais de réfléchir sur le devenir de notre société dans le temps à venir, essayer d’y voir plus clair pour mieux agir en conséquence.

Dans de précédents écrits en 2017, 2019 et cette année, nous avons décortiqué dans le détail l’organisation de la société humaine et ses rapports au pouvoir au fil de notre histoire. Notre conclusion fut de parvenir à titre d’abord individuel, puis collectif, à une forme de lâcher-prise du mode de gouvernance illusoire et mortifère en place afin de nous mettre sur la voie de la réalisation de notre humanité enfin achevée au sein d’une société des sociétés embrassant la complémentarité de notre diversité hors État, hors marchandise, hors argent et hors salariat, ce qui nous fit dire depuis bien des années qu’il n’y a pas de solution au sein du système et qu’il ne saurait y en avoir.

Même si l’économique et la division qu’il implique n’est à la base qu’une dérive du politique, il est devenu évident pour qui réfléchit sur la question, qu’au fil du temps s’est exercée une véritable phagocytose du politique par cette monstruosité tentaculaire qu’est la marchandise et la tyrannie qu’elle imprime par nécessité inhérente, tant sur le monde de l’inanimé que sur celui du vivant. Des guerres napoléoniennes à aujourd’hui, la société humaine n’a fait qu’être de plus en plus réifiée, “chosifiée” par la tyrannie marchande en marche. Marx, dans ses lumineuses analyses des rouages et des limitations de ce système de l’exploitation et de la chosification irrémédiables, avait établi de fait une nécrologie du mode de domination capitaliste. Il a établi la mort du capitalisme lorsque celui-ci, en sa phase terminale de réalisation réelle, devient alors incapable de reproduire son propre mode de fonctionnement et cale, ayant fini par tout vampiriser, y compris lui-même. Nous n’allons pas ici réinventer la roue et rendons à Marx ce qui lui appartient…

Que vivons-nous de nos jours ? Les soubresauts d’un système ayant quasiment tout vampirisé, réifié, y compris la vie sous toutes ses formes, la dernière étape étant de patenter la vie humaine elle-même, ce qui ne saurais plus tarder, du moins l’oligarchie tentera t’elle, tente t’elle devrait-on dire, de le faire en ce moment même. 

Hors que constatons-nous ? Que l’ensemble du système capitaliste déjante, peine à reproduire ses propres effets afin de se perpétuer comme il le fit si bien par le passé quand sa marge de manœuvre était encore conséquente. Dans l’histoire récente, il y eut de nombreuses “crises économiques” et crises systémiques qui toutes se résolurent via de massives remises à zéro, ou peu s’en faut, des compteurs, ce au moyen de grandes guerres qui virent les financiers faire ce qu’ils font de mieux en grands parasites qu’ils sont :  financer tous les côtés de la belligérance et à terme, engranger le jackpot sur les dettes colossales ainsi contractées par les états-nations sous leur dépendance. Ainsi fut-il fait lors des guerres napoléoniennes, puis de la guerre de 1870, de la 1ère guerre mondiale, de la seconde et dans notre histoire plus récente avec la “guerre contre le terrorisme” depuis le 11 septembre 2001, la « guerre contre le climat » et maintenant la guerre contre le coronavirus”, cet ennemi si arrangeant puisqu’invisible et totalement manipulable à souhait pour continuer de générer cette peur et cette angoisse si utiles et nécessaires à maintenir le troupeau humain sous la coupe de la domination du plus petit nombre.

Mais voilà que depuis quelques années, le système étatico-capitaliste coince, hoquète et peine à se reproduire et à muter comme il l’a toujours fait auparavant. La question est : le peut-il toujours ?

Il ne peut plus le faire dans un rapport de force du capital exploitant le salarié, esclave moderne exploité. Marx l’avait analysé sous la forme d’une baisse irrémédiable du taux de profit, enclenché dès le départ de la mise en fonctionnement de rapport marchand exploitant la masse du travail humain. C’est de cela dont il est question, sans bien entendu jamais le mentionner, dans la tentative de mise en place d’une substitution à ce mode de domination politico-économique. Sans vraisemblablement jamais avoir lu Marx et autres penseurs analystes sur ce sujet, l’oligarchie maintenant le système en fonction, a compris depuis un moment que la fin est proche et que le temps de cette substitution doit se produire. L’entrée du système étatico-capitaliste dans sa phase terminale de disparition irrémédiable a mis en route le chronomètre dans une course effrénée au changement entre deux classes en apparence antagonistes, du moins antagonistes lorsque divisées, mais qui ne le seraient plus une fois unies dans l’harmonie d’un grand tout de la complémentarité dans la diversité, hors État, hors argent et hors salariat.

D’un côté nous avons une oligarchie parasite et eugéniste capitaliste transnationale voulant imposer à marche forcée son projet de substitution qu’elle appelle depuis bien longtemps déjà le “Nouvel Ordre Mondial” ou “Gouvernance Mondiale” ou “Gouvernement Mondial” et de l’autre la quasi totalité de l’humanité “prolétaire” voulant sortir du cycle infernal de la domination et de l’oppression, même si un bon nombre ne sait pas quel chemin emprunter pour ce faire.

Nous avons analysé la situation du point de vue prolétaire dans nos analyses de 2017, 2019 unifiées en 2020 et invitons les lecteurs à s’y rapporter ceci n’étant pas le sujet ici.

Qu’est-ce donc que ce Nouvel Ordre Mondial souhaité par l’oligarchie ?

C’est la mutation du capitalisme et de ce qui est devenu son outil après avoir été son promoteur, l’État, en une fusion transnationale dictatoriale des grandes entreprises et des états-nations. Les oligarques ont compris que le capitalisme allait irrémédiablement mourir et que rien à terme, ne le maintiendrait en vie, ainsi donc ont-ils choisi de muter le système dans sa phase ultime dictatoriale de contrôle planétaire au moyen de la haute technologie à venir, de la communication et de la technologie de l’information 5ème Génération puis 6G, l’internet des choses, l’Intelligence Artificielle (IA), débouchant sur leur St Graal, la fontaine de jouvence d’une élite auto-proclamée et totalement hors sol: le transhumanisme, la fusion de l’homme et de la machine qui ne sera atteignable qu’au plus petit nombre. De fait, ils n’ont plus le choix et sont forcés de trouver une solution palliative à la mort de leur système de gouvernance arrivant au bout de son rouleau.

Dans cette transmutation du système oppresseur capitaliste, celui-ci laisse la place à une gigantesque dictature technotronique planétaire dans laquelle argent, profit, marchandise ne sont plus des finalités mais des tares laissées aux péons dans leur vie quotidienne dans la matrice sous contrôle permanent de l’IA à grand renfort de nanotechnologie dans un monde qui n’a plus besoin que d’un petit nombre de personnes assujetties pour faire tourner la machine (suite à une réduction massive de la population mondiale dans un délire eugéniste des oligarques qui a déjà commencé), tandis que ses “élites” jouissent de tout dans des “zones vertes” aménagées dans les endroits géographiques les plus favorables. L’objectif n’est plus le profit permettant la corruption de toujours plus de pouvoir, mais la mise en place d’un pouvoir coercitif technotronique qui n’a plus besoin pour lui-même de l’échange marchand pour exister et s’exercer. 

Ce Nouvel Ordre Mondial est la phase ultime de la transmutation capitaliste vers ce qui se voudrait être la jouissance apoplectique transhumaniste du plus petit nombre, maintenant une population mondiale considérablement réduite asservie à des fins purement fonctionnelles.

Regardons aujourd’hui les fusions entrepreneuriales, les mutations bancaires transnationales, l’élan vers des “cryptomonnaies” menant tout droit à l’avènement obligé et se voulant irréversible de la 5G et toutes les technologies de contrôle dans une gigantesque grille de contrôle planétaire qui se met en place, renforcée pas à pas par ces guerres sans fin que sont celles contre le “terrorisme” et les “(corona)virus”, toutes pilotées par un système non pas devenu fou, mais en phase de mutation finale, “guerres” programmées uniquement à des fins de contrôle et de mise en place de mesures toujours plus liberticides.

Tout concorde, tout se raccorde, tout concourt à l’accélération de ce processus ne servant encore et toujours que le plus petit nombre au grand détriment de l’humanité.

Alors oui, tout peut paraître bien sombre et d’aucun pourrait penser que la messe (noire) est dite et que la résignation à notre sort ne serait plus que la seule chose à faire.
La bonne nouvelle est que tout ceci est un projet, en cours de réalisation certes, mais c’est un projet mené par des humains (déjantés) contre d’autres humains (bien moins déjantés), d’une minorité possédant un certain contrôle des rouages de la gouvernance, contre la vaste majorité ne possédant que sa volonté et sa force colossale de capacité à la coopération mut par la puissance de l’amour de la vie et de la nature. Ceci n’est qu’un projet humain, tout projet peut se réaliser ou échouer, peut être mis en place ou mis en échec, réussir ou foirer. Notre pouvoir individuel et collectif est celui de dire NON ! en masse et de le mettre en échec une bonne fois pour toute ; nous en avons la pleine capacité, il ne nous manque que la vision de notre futur, celui que nous choisirons et non pas celui qui se veut imposé. Brisons l’inertie de notre soumission pour mettre en branle le mouvement de notre amour de vie et de nature en rendant la division impossible par la redilution du pouvoir dans le corps social de notre société des sociétés ayant lâché prise de tous les antagonismes factices qui nous sont imposés. Le Nouvel Ordre Mondial n’est qu’un projet qui ne nous est pas proposé mais imposé, il ne tient qu’à nous de le rejeter et de mettre en place notre projet unificateur fait de coopération, d’entraide, d’amour, de compassion hors de tous les antagonismes induits par la division, le pouvoir coercitif, le rapport marchand, l’argent et le salariat. Nous l’avons dit à maintes reprises, la balle est dans notre camp, pas dans celui de l’oligarchie, qui ne fait qu’usurper le pouvoir et changer les règles du jeu au fur et à mesure de son déroulement. Il est si simple de l’en empêcher pourvu qu’on lâche prise et s’accorde dans un premier temps sur le refus de ce “projet” de Nouvel Ordre Mondial, ce refus mettant en mouvement la force irrésistible d’une (r)évolution sociale qui sera unique dans l’histoire de l’humanité et qui la verra enfin se réaliser en nous, hommes, femmes et enfants franchissant ensemble, main dans la main, au-delà des cultures et des “races” factices, les ponts du surhumain.

Le Nouvel Ordre Mondial est la tentative de mutation du capitalisme en dictature technotronique planétaire, la seule voie possible et finale du pouvoir coercitif d’usurpation et d’oppression du plus petit nombre sur le plus grand nombre. Mort et obscurité en sont les caractéristiques.

La société des sociétés est l’avènement de notre humanité enfin réalisée ayant franchi les ponts du surhumain. Vie et lumière en sont les caractéristiques.

Les deux ne sont pas antagonistes, mais complémentaires. Il faut envisager l’un, le contempler, scruter l’abîme, pour réaliser l’autre. C’est parce que nous avons conscience de l’obscurité, de la mort, que nous chérissons la lumière et la vie.

Nous en sommes là. Croisée des chemins. Heure de vérité dont l’Amour est la clef.

Plus rien à dire, juste le comprendre, pour finalement agir.

Version PDF :
Quelle-connexion-entre-la-mort-du-capitalisme-et-le-nouvel-ordre-mondial

“Le bonheur naît du malheur, le malheur est caché au sein du bonheur. Qui peut en prévoir la fin ?” (Lao Tseu, Tao Te King, LVIII)

“Le surhumain nietzschéen n’est pas une fatalité future, une sorte de finalité, de but vers lequel certains Hommes élus seraient appelés : mais il est actuellement effort futur, surpassement continuel par lequel l’Homme doit se surmonter sans cesse et radicalement récuser, dans le même acte, le carcan des lois, des obligations, des devoirs que dès le berceau on lui a imposés comme s’ils faisaient partie de lui-même… La volonté est création, c’est ce que Nietzsche ne cesse de redire et c’est le renversement de l’idée du temps, son retournement qui, transmutant l’idée de but en origine délibérée, en volonté est justement le surhumain et le retour éternel tout à la fois.”
~ Georges-Arthur Goldschmidt, commentaires sur “Ainsi parlait Zarathoustra” ~

Que tout donc se meuve, agisse et crée
Se forme d’abord et puis se métamorphose,
En apparence, seulement, immobile par instants.
L’éternité se manifeste en toute chose,
Car tout doit s’effondrer en rien,
Si cela veut persévérer dans l’Être.
(Goethe, Un et Tout)

11 septembre nucléaire : Des scientifiques de Los Alamos répondent aux questions sur l’attaque nucléaire de New York (Veterans Today)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 28 septembre 2020 by Résistance 71

 

 

Comprendre le monde d’aujourd’hui passe par une compréhension de l’histoire lointaine et récente. Comprendre l’empire anglo-américano-sioniste et sa fuite en avant dans la tyrannie mondiale, c’est en comprendre l’élément fondateur que sont les attentats du 11 septembre 2001 de New York, perpétrés par ce qu’on appelle « l’état profond », pour mettre en place une grille de contrôle planétaire servant le plus petit nombre adepte d’un capitalisme monopoliste transnational destructeur, stade ultime du système étatico-capitaliste de la dictature marchande.
Ces attentats furent des attentats nucléaires ne pouvant être mis en place qu’avec le savoir faire et la complicité de pouvoirs étatiques et financiers puissants, dont un segment du gouvernement des Etats-Unis eux-mêmes.
Ci-dessous, le point de vue analytique du modus operandi nucléaire de ce néfaste jour par des scientifiques nucléaires de Los Alamos, des gens dont le métier est de construire ces engins de destruction massive inhumains que sont les armes nucléaires et qui en savent long. Ceci est un complément de notre PDF « Au sujet d’un 11 septembre nucléaire », que nous avons remis en lien sous cet article.
Ce que nous vivons aujourd’hui, y compris la situation ubuesque en ben des points de la « crise sanitaire CoV19 » devenue rapidement une dictature sanitaire, trouve en grande partie sa source dans les attentats du 11 septembre 2001, le Ground Zero de la mise en place d’une tyrannie mondiale.

~ Résistance 71 ~

 

Le résumé technique du 11 septembre 2001 : Les scientifiques de Los Alamos répondent aux questions sur l’attaque nucléaire de New York

 

VT

 

26 septembre 2020

 

url de l’article original:

https://www.veteranstoday.com/2020/09/26/excerpting-9-11-los-alamos-scientists-answer-questions-on-the-new-york-nuclear-attack/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

L’information ci-dessous est hautement classifiée. Les poseurs de question sont Ian Greenhalgh et Don Fox.

Les réponses proviennent de l’équipe de l’université de Californie qui a enquêté sur les attentats du 11 septembre 2001 pour le ministère américain à l’énergie (DoE). Ceux qui répondent aux questions sont des physiciens qui travaillent tous exclusivement pour le développement et les tests d’armement nucléaire ; ce sont les plus grands experts au monde sur le sujet.

L’information fournie fut le résultat de l’enquête officielle sur le 11 septembre conclut par le DoE en 2003 et envoyé à la Maison Blanche, aux membres de la Cour Suprême des Etats-Unis et à des membres clef de comités du Congrès des Etats-Unis.

Cette information fut aussi vue et analysé par le Join Chief of Staff (JCOS NdT : ou Etat-Major général des armées).

Au moins 200 officiels et hauts-fonctionnaires américains ont vu ce rapport. Une information postérieure a quelque peu modifié ces trouvailles fondée sur la lecture par l’équipe de Los Alamos des travaux de Dimitri Khazelov.

Ce qui est représenté ci-dessous ne provient que d’un fragment de l’enquête, un fragment sur le “comment” de l’affaire. Ceci fut initialement publié par VT en mai 2014.

Nous ne disons pas que ces informations sont correctes à 100%, mais nous pensons qu’elles le sont dans une très large mesure.

Ceci constitue ce que le gouvernement des Etats-Unis a eu connaissance et est parfaitement au courant. Ce sont les véritables conclusions d’enquête. Vous a t’on dit quelque chose de différent ? Si oui, pourquoi ?…

Q: Combien de types d’engins furent utilisés à New York en ce 11 septembre 2001 ?  Je vois un cas où on pourrait dire 2 ou 3 différents types d’engins [nucléaires] ?

A: Au moins deux types différents d’armes nucléaires furent utilisés. L’une est une arme micro-nucléaire standard de modèle à noyau W-54 de moins de 3 Kt et plus importante que 500 tonnes minimum de puissance explosive.

Les deux types plus avancés d’armes utilisées pour effondrer les tours 1 et 2 du WTC furent au moins de 1 à 3kt en charge. La boule de feu limite la taille en Kt de l’arme. La boule de feu doit avoir une taille maximum de 60m de diamètre à cause de la taille des bâtiments. Pour chaque Kt d’effet de démolition, vous avez environ 15m de rayon pour la boule de feu (NdT: soient 30m de diamètre, 2Kt ferait une boule de feu de 60m de diamètre…). La taille de la boule de feu peut-être moindre lorsqu’elle est contenue dans une structure en acier. Ainsi, une arme de 3Kt produira une boule de feu de 45m environ de rayon (soient 90m de diamètre).

Dans une configuration thermobarique, la boule de feu restera de la même taille, mais elle sera sous bien plus de pression et sera plus dense à cause de l’oxyde de fer dans la boule de feu. Lorsque cette boule s’étend à sa taille maximum de 45m et juste après qu’elle consomme tous les matériaux du bâtiment dans cette zone (plus de 150 tonnes pour une arme de 3 Kt), elle commence à se refroidir très rapidement.

Alors qu’elle se refroidit elle va expulser le plasma de fer fondu sous haute pression exactement comme un volcan, expulsant, éruptant la “lave” ou plasma directement vers le haut dans le centre du bâtiment. Ce jet sous pression “volcanique” de plasma très chaud va littéralement faire fondre tout l’intérieur du bâtiment et tout ce qui entre en contact avec. La Pulsion ÉlectroMagnétique (PEM) qui suit, va ajouter encore plus de chaleur thermique aux composants structurels du bâtiment. La PEM va aussi détruire ou effacer tout disque dur informatique survivant dans la zone.

Q: Les armes nucléaires au sol ainsi décrites paraissent être bien plus petites que celles utilisées enfouies. Les armes nucléaires sous les tours 1 et 2 du WTC apparaissent être différentes de celles utilisées sous le WTC7.

A: Oui, chaque bâtiment a besoin d’une charge explosive différente afin de l’effondrer. Ceci dépend de la taille, de la forme et de la masse totale du bâtiment. C’est de la physique de démolition très basique.Le bâtiment 7 a nécessité deux charges, car plus grand que les bâtiments 4, 5 et 6. Les tours 1 et 2, vu leur taille, demandèrent de bien plus grosses charges et il y eut besoin de plus gros trou pour les y mettre. Les armes utilisées pour ces deux bâtiments furent celles spécifiquement créés à cet effet (thermobarique), elles furent spécifiquement utilisées pour ce but précis.

Q: Nous voyons des preuves de l’utilisation de bombes à neutron dans les poussières collectées par l’USGS et les échantillons d’eau collectés par le DoE.  Il semble que l’uranium ait été le matériau de fission prévalent et nous trouvons de l’uranium dans les échantillons de poussières et non pas des résidus de plutonium. Le secondaire paraît être du deuteride de lithium alors qu’on trouve du tritium dans les échantillons d’eau du DoE. Est-ce qu’une arme nucléaire thermobarique pourrait utiliser de l’uranium comme combustible primaire ?

A: Oui. Une arme à l’uranium ou au plutonium peut être utilisé comme primaire. La primaire n’a besoin que d’être une arme à fission. L’uranium est aussi utilisé dans une arme à plutonium en tant que réflecteur/miroir à neutrons et un catalyseur d’énergie. Il réduit la quantité nécessaire de plutonium de 25 à 50%. L’uranium ne va pas complètement brûler, car il agit comme réflecteur à neutrons, ainsi on va en retrouver dans les retombées. 450g de plutonium ou d’uranium vont produire quelques 90cm3 de retombée par 450g de carburant fissile consommé par le primaire.

Donc si l’arme a utilisé 7kg de carburant fissile, elle produira 1350cm3 de retombée radioactive. L’essentiel de cette retombée sera absorbée par la seconde combustion du carburant nucléaire dans sa réaction thermobarique. Ajouter de l’oxyde de fer dans le secondaire réduira les retombées radioactives à des niveaux très acceptables après quelques jours. C’est une arme qui brûle propre. C’est pour cela qu’elle fut utilisée, bien moins d’effets radioactifs secondaires à gérer après détonation.

Pour chaque Kt d’énergie produite dans une explosion nucléaire, elle va consommer jusqu’à 50t de fer ou d’acier lorsque c’est pompé dans la langue de plasma, les transformant en vapeurs gazeuses. Lorsque tout cela se refroidit et est exposé à l’air ou à de la vapeur d’eau, cela forme des micro-granules d’oxyde de fer sphériques d’une taille d’environ 7 à 10 nm (nanomètres). Toutes les sphères métalliques formées par la boule de plasma lorsqu’elles se refroidissent varient en taille, selon leur poids atomique et la longueur d’onde de lumière qu’elles absorbent. La taille est déterminée par la longueur d’onde de la lumière  émise par la boule de feu du plasma allant de 30nm (lumière infra-rouge) à de bien plus petites tailles de l’ordre de moins de 1nm (pour les rayons X et gamma). Seul le fer absorbe la lumière dans la zone des 7 à 10 microns, c’est pourquoi elles sont de cette taille. L’Or, l’argent et l’aluminium absorbent tous des longueurs d’onde plus courtes, ainsi elles sont bien plus petites.

Si l’échantillon de retombée radioactive n’est pas directement pris de l’épicentre de Ground Zéro, il montrera moins d’uranium ou de plutonium dans les échantillons et ce, plus vous vous éloignerez du centre point zéro de la détonation. Ceci parce que la plupart du matériel radioactif non brûlé ne voyage pas bien loin de la boule de plasma.

Le but secondaire de l’oxyde de fer est de convertir l’excédent en rayons gammas, en rayons X et en radiation de neutrons en énergie thermique. Sa troisième fonction est de convertir les rayons Alpha et Béta en chaleur. Sa quatrième fonction est de convertir l’excès d’électrons libres produits par l’explosion en une pulsion électromagnétique plus importante. Sa cinquième fonction est de contenir ou d’absorber les retombées radioactives et de réduire leurs niveaux, aidant ainsi dans le nettoyage d’après utilisation.

Si un encastrage solide et épais en fer est utilisé, celui-ci va se fragmenter de la même manière qu’une grenade ou un obus d’artillerie à fragmentation, donc une poudre de fer plus douce est utilisée. Lorsque ce plasma hyper chaud de 1 million de degrés celsius en son centre et quelques 5000oC à sa périphérie, vient en contact avec tout autre matériel que ce soit, il va immédiatement le vaporiser ou le faire fondre. Même si le matériau ne fond pas, si les éléments de la structure en acier du bâtiment arrive au delà de leur point Currie, alors ces éléments vont perdre toute intégrité structurelle et plier comme des pretzels.

Ceci est fondamentalement une arme à plasma de première génération lorsqu’utilisée dans un bâtiment clos en acier. La construction close en acier va aussi contenir les retombées radioactives, lorsqu’utilisée dans une structure très haute comme ce fut le cas ce 11 septembre 2001 à New York. La structure centrale verticale en acier de quelques 300m de long des bâtiments (tours 1 et 2) agit également comme un guide d’onde thermique pour la langue de plasma convertissant la noyau central en acier du bâtiment en une arme à énergie dirigée. Ce centre agit également comme un guide d’ondes électromagnétiques pour la PEM et dirige l’énergie produite par l’arme directement verticalement dans le centre structurel du bâtiment. Cela forme de fait, une arme à énergie dirigée très basique.

La PEM est polarisée verticalement et est principalement absorbée par la structure en acier du bâtiment. Les effets de champ s’élargissant de la PEM ne s’écartent pas plus que le champ magnétique proche produit par l’explosion originale. Le bâtiment en acier agit comme une cage de Faraday absorbant et redirigeant la PEM en tant que chaleur thermique, ajoutant ainsi à l’effet thermobarique Les rayons X, gamma et les neutrons sont rapidement absorbés par la plupart des matériaux lourds du bâtiment ainsi, très peu de cette radiation va voyager plus loin que quelques pâtés de maisons hors de la structure du bâtiment.

Afin de prévenir qu’une contre-PEM ne coupe toutes les sources de courant électrique dans la partie basse de l’île de Manhattan, le bâtiment a du être mis hors secteur juste avant l’explosion. Ceci demanderait que quelqu’un coupe le courant dans le transformateur en sous-sol utilisé par le complexe du WTC et la compagnie d’électricité.

Lecture complémentaire :

Au sujet d’un 11 septembre nucléaire (PDF)

 


Du 11 septembre …
au verrouillage de la grille de contrôle

Effondrer les empires coloniaux et donc la dictature étatico-marchande, fléau de l’humanité (MaJ PDF)

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Jo a judicieusement réactualisé son PDF sur la nécessité toujours si vivace  d’effondrer les empires coloniaux :

Effondrer-les-empires-coloniaux-par-jo-busta-lally

 

Lectures complémentaires :

5 textes pour comprendre et éradiquer le colonialisme

« Païens en terre promise, décoder la doctrine chrétienne de la découverte », Steven Newcomb, 2008

« Comprendre le système de l’oppression coloniale par mieux le démonter », Steven Newcomb

« Comprendre le système de l’oppression coloniale pour mieux le démonter », Peter d’Errico

« Effondrer le colonialisme », Résistance 71

« Nous sommes tous des colonisés ! », Résistance 71

 


N.O.M vs nous, les peuples… (Photo Oka 1990)

Dissidence, censure et mise au goulag en république française : Le cas Hervé Ryssen…

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Résistance 71

 

23 septembre 2020

 

Hervé Ryssen représente sans doute ce qu’il peut y avoir politiquement de plus opposé à notre vision. Il est un réformiste pour qui la solution réside dans le changement de têtes en haut de la pyramide et quelques arrangements cosmétiques pour rendre la « nation » plus forte, par le truchement d’un état et d’institutions « épurées »… Il fait toujours partie de ceux qui n’ont pas compris qu’il n’y a pas, n’y a jamais eu et ne peut y avoir de solution au sein du système. A ce titre, toute position « suprémaciste » ne peut être également que contre-productive et erronée.
Ryssen et Résistance 71 sont aux antipodes du spectre politique, pourtant, Ryssen vient d’être incarcéré pour ce qui n’est que « délit d’opinion », le fait qu’il ne soit pas d’accord et dénonce tout un segment des rouages politico-sociaux qui domine le secteur dominant. Ryssen doit au contraire être autorisé à parler et à débattre et c’est sur la méthodologie et la viabilité d’un projet politique qu’il doit être évalué, de la même manière que doivent l’être les projets politiques radicaux de lutte d’évolution politico-sociale émancipatrice.
Aujourd’hui Ryssen, demain toute dissidence au système, des Gilets Jaunes, Gaulois réfractaires, aux évolutionnistes radicaux de la mise à bas de l’État, de la marchandise, de l’argent et du salariat, seront engoulagués dans les geôles d’une « république » qui montre enfin son vrai visage, celui d’une harpie au service d’intérêts particuliers ne visant qu’à perpétuer le système de domination et d’oppression.
Nous disons depuis bien longtemps déjà qu’il n’y a pas de différence fondamentale entre la république française, les soi-disantes « démocraties » du « monde libre » (illusion quand tu nous tiens…) et les régimes mussolinien, hitlérien, franquiste, pinochiste, maoïste, stalinien et autre pol potiste marxistes, capitalistes-d’état dans leurs variantes infinies ; ce n’est qu’une question de degré et le bouton du thermostat régulant la température dictatoriale étatique se trouve bien protégé en haut de la pyramide du pouvoir coercitif parasite.
Il n’y a pas et ne saurait y avoir de solution au sein du système. Il faut lâcher prise et en sortir pour embrasser notre complémentarité dans notre diversité organique et mettre fin à la tyrannie étatico-marchande qui n’a que trop duré.
Ryssen est un pion que le pouvoir veut faire sauter pour l’exemple, pour surenchérir dans la peur. C’est pour cela qu’aujourd’hui, quelle que soit la position politique de la véritable dissidence, nous sommes tous des Ryssen en suspend d’incarcération pour nos idées « déviantes » et à ce titre, nous devons agir pour que lorsque notre tour viendra, des voix continuent à s’élever pour soutenir celles mises au goulag de la pensée unique, mais qui ne seront jamais réduites au silence. Les idées sont immortelles et à l’épreuve des balles et si 30 000 communards sont tombés sous les balles républicaines criminelles, l’idée de la Commune est toujours là et bien là, de plus en plus pressante, de plus en plus présente…
En ce qui nous concerne à bas l’État et le pouvoir coercitif de la censure généralisée , vive la Commune Universelle de notre humanité enfin réalisée !

 

 

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

 

De l’incompatibilité totale de l’empire yankee et de l’entité sioniste avec la paix

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« Nous les Américains, sommes des gens de guerre, pourquoi ? parce qu’on est bon en ce domaine !… On n’est plus capable de faire une bonne bagnole, une télé ou un magnétoscope qui tiennent la route, mais on peut bien vous bombarder, ça oui, surtout si vous êtes basanés… De fait avons-nous bombardé autre chose que des gens basanés ? Ah oui, les Allemands, mais eux c’était différent, ils empiétaient sur notre business de la guerre et ça c’est notre putain de business !… »
~ George Carlin ~

 

Israël et l’empire américain sont incompatibles avec la paix

 

Caitlin Johnstone

 

1er septembre 2020

 

url de l’article en français:

https://lecridespeuples.fr/2020/09/13/israel-et-lempire-americain-sont-incompatibles-avec-la-paix/

 

Au cours des derniers jours, Israël a largué des armes à sous-munitions et du phosphore blanc sur le sud du Liban, bombardé Gaza et tiré des missiles sur Damas, car Israël est une nation dont l’existence dépend de la violence militaire incessante.

Pour qu’Israël continue d’exister en tant que l’État d’Apartheid impérialiste qu’il est, il doit mener la guerre dans toutes les directions à tout moment, à la fois contre ses voisins et contre la population palestinienne de plus en plus brutalisée. Si les bombardements cessent, Israël tel que nous le connaissons disparaîtra également, car la population régionale ne supportera jamais son oppression, sa tyrannie et ses multiples occupations illégales.

La paix et Israël sont donc deux concepts mutuellement exclusifs. Vous pouvez avoir la paix ou vous pouvez avoir l’Israël d’aujourd’hui ; vous ne pouvez pas avoir les deux.

Une nation qui ne peut exister sans une guerre incessante n’est en fait pas du tout une nation : c’est une opération militaire en cours, au milieu d’écoles et de banlieues surpeuplées. Une nation qui ne peut pas exister sans une guerre constante est comme une maison qui ne peut exister sans une construction constante : si votre maison avait besoin de travaux de construction 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, 365 jours par an afin de rester debout, soit vous repenseriez complètement la façon dont elle est construite, soit vous déménageriez.

Cela est vrai d’Israël, et à plus grande échelle, c’est vrai de l’ordre mondial oligarchique de type impérial qui s’étend sur le globe et qui est vaguement centralisé autour des États-Unis.

Cet empire centralisé autour des États-Unis, dont Israël fait partie, dépend entièrement d’une guerre sans fin pour survivre. Si la violence militaire cessait d’être un outil que les structures de pouvoir pourraient utiliser pour mettre en œuvre leurs agendas, cet empire cesserait nécessairement d’exister, car rien n’empêcherait les nations d’exercer leur souveraineté sur la scène mondiale. Les devises, les ressources et le commerce commenceraient à circuler selon des canaux complètement différents.

Cela mettrait fin non seulement à l’empire américain, mais aux États-Unis tels que nous les connaissons. Sans la capacité d’intimider et de punir le monde conformément à leurs visées hégémoniques, les États-Unis, s’ils continuaient à exister à quelque degré que ce soit, seraient complètement méconnaissables. Ce qui subsistera serait forcé de développer un type d’économie complètement différent, car les États-Unis ont atteint leur suprématie économique non pas par le biais du « libre marché », comme certains adeptes du capitalisme aiment l’imaginer, mais en déversant des fleuves de sang humain.

L’ « économie » américaine, si on peut même l’appeler ainsi, est soutenue non seulement par un réseau incompréhensible de dette et de fiat bureaucratique, mais par un accord de pétrodollars sur la fabrication d’armes et les alliances militaires, par des actes sans fin de brutalité de masse, et par la machine de propagande la plus sophistiquée qui ait jamais existé. Les États-Unis d’Amérique sont construits sur la guerre, sont faits de guerre et sont soutenus par la guerre. Si les guerres se terminent, les Etats-Unis tels que nous les connaissons prendront fin.

Je le souligne en partie parce que ceux d’entre nous qui vivent dans n’importe quelle partie de l’empire centralisé autour des Etats-Unis devraient probablement être conscients que les modes de vie auxquels nous sommes habitués sont construits sur une montagne d’ossements humains en croissance constante. Je le souligne également parce que je pense qu’il est important que ceux qui prétendent souhaiter la paix soient absolument clairs sur ce qu’ils demandent.

Un désir sincère de paix signifie vouloir la fin du massacre des êtres humains qui vivent dans d’autres parties du monde plus qu’on ne souhaite le maintien de notre statu quo personnel. Beaucoup de gens qui se considèrent comme « anti-guerre » ne sont pas vraiment à l’aise avec l’idée que les États-Unis perdent leur position de domination unipolaire sur les affaires de notre planète, et ne sont pas disposés à tenter leur chance dans un monde sans impérialisme américain. Quand il s’agit de savoir ce qu’est vraiment la paix et ce qu’elle signifie vraiment, de nombreuses personnes dont la vie est maintenue à flot par ce constant déluge de sang humain n’en veulent pas vraiment.

Mais à tout le moins, ces gens-là devraient être honnêtes avec eux-mêmes à ce sujet. À tout le moins, ils devraient admettre que sous leurs façades anti-guerre, ils s’accrochent bec et ongles à un paradigme dont la brique et le mortier sont des actes de meurtre de masse implacables.

La paix est nécessairement un saut dans l’inconnu. Si vous désirez la paix, vous désirez un monde qui est différent de celui qui existe maintenant et qui ne ressemble à aucun autre qui ait jamais existé auparavant. Si vous voulez vraiment cela, si vous vous êtes réellement confronté à cette réalité alternative à un niveau profond et viscéral et que vous la souhaitez toujours, cela vous changera nécessairement en tant que personne.

Et cela vous changera pour le mieux. Cela fera de vous une personne beaucoup plus honnête, car vous aurez affronté la réalité de votre situation de front et choisi en connaissance de cause le plus grand intérêt.

De même que nos modes de vie sont construits sur une guerre sans fin, nos vies seraient transformées par le choix authentique d’imposer notre désir de paix, quoi que cela nous coute. Cette transformation s’inscrirait dans le même mouvement que notre transformation collective d’une espèce autodestructrice en une espèce qui collaborera harmonieusement avec elle-même et avec son écosystème. Participer à cette transformation intérieure est la vocation la plus élevée d’un être humain.

Nous ne pouvons pas continuer à vivre comme nous l’avons fait jusque-là. Notre espèce transformera radicalement son comportement ou s’éteindra. Il est temps de faire un saut dans l’inconnu et de tenter la paix. Soyons parmi les premiers à franchir le pas.

= = =

R71 : En comprenant une bonne fois pour toute que…

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir !

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Pour en sortir… Décolonisons, à commencer par nous-mêmes !…

5 textes pour comprendre et éradiquer le colonialisme

« Païens en terre promise, décoder la doctrine chrétienne de la découverte », Steven Newcomb, 2008

« Comprendre le système de l’oppression coloniale par mieux le démonter », Steven Newcomb

« Comprendre le système de l’oppression coloniale pour mieux le démonter », Peter d’Errico

« Effondrer le colonialisme », Résistance 71

« Nous sommes tous des colonisés ! », Résistance 71

 

 

 

Dictature technotronique : Fibre optique, ondes et développement 5G

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Fibre Optique, 5G et Internet des choses

 

Les preuves que la fibre optique émet des ondes

 

Anonyme

 

Septembre 2020

 

– Les ondes traversent le plastique et le verre 

« avec le verre: Le portable placé dans un bécher bouché reçoit immédiatement l’appel. Le verre ne stoppe pas les ondes »

« idem pour le polystyrène »

http://dangersportables.unblog.fr/category/iii1-comment-bloquer-les-ondes/

et les fibres optiques sont couvertes de plastique ou de verre https://fr.wikipedia.org/wiki/Fibre_optique

– Les petites cellules 5G peuvent être inscrustées sur du cuivre (xDSL, modems câble à base de HFC…), ou  sur la fibre.

https://www.ciena.com/insights/articles/5G-wireless-needs-fiber-and-lots-of-it_prx.html

-5G sans fil  exige qu’un fil de fibre optique soit attaché au site de la petite cellule tous les blocs ou deux (en résumé, cela marche comme un collier à perles à une distance fixe les unes des autres, le collier est la fibre optique, la perle est la mini cellule 5G, et chaque cellule 5G disposé tout le long de la fibre optique émet des ondes, ce qui donne le 5G sans fil)

https://medium.com/@kushnickbruce/5g-wireless-is-the-new-fiber-optic-bait-and-switch-scandal-646246b8f34d 

-les fils de la fibre attachés aux cellules 5G 

https://www.financialexpress.com/opinion/5g-needs-extensive-fibre-networks/1139013/

-les réseaux de fibres optiques actuellement utilisés pour connecter les appareils sans fil à l’internet

https://phys.org/news/2020-07-radio-over-fiber-compression-poised-advance-5g.html

( si la fibre optique permet aux objets sans fils de se connecter internet, c’est la preuve que cela émet des ondes)

NdR71 : ou elle transmet aux relais qui eux émettent… quoi qu’il en soit, elle participe à la propagation finale des ondes, elle facilite le processus même.

-schéma montrant le bout de la fibre optique (patch passive fiber)  émet des ondes 5G vers (wireless)

https://foa.org/tech/ref/appln/archit.jpg

https://foa.org/tech/ref/appln/wireless.html

-Fibre sans fil (Fi-Wi) pour fournir une communication à très haut débit et à courte portée

( l’existence d’une fibre qui crée des ondes appelée Fi-wi suffit à prouver que la fibre optique  émet des ondes) 

Le schéma le plus simple, appelé RF-sur-fibre, consiste à transporter directement les signaux sans fil, de sorte qu’aucune translation de fréquence n’est nécessaire au niveau des stations de base.

https://phys.org/news/2010-03-fiber-wireless-fi-wi-ultra-high-speed-short-range.html

-La  « bande de base sur fibre », consiste à transporter les signaux sans fil sous forme de signaux en bande de base à très basse fréquence sur des fibres optiques depuis le bureau central jusqu’à la station de base, puis à convertir les informations en ondes millimétriques à la station de base. 

https://phys.org/news/2010-03-fiber-wireless-fi-wi-ultra-high-speed-short-range.html

[donc ici ils admettent que la fibre optique émet des ondes et ils expliquent même comment la fibre émet la 5G, ils sont super ingénieux, ils savent que la 5G  hautes fréquences ne peut pas traverser les murs, alors ils installent la fibre optique qui émet des ondes 5G de basse fréquence , car les ondes de basse fréquence peuvent traverser les murs et donc être piratés par les hackers du NVO et émettent des ondes cancérigènes sur les habitants, et ensuite installent un mini convertisseur d’ondes au bout de la fibre optique qui est en dehors du mur à l’intérieur du logement, pour que les ondes de basse fréquence 5G soient converties en ondes millimétriques 5G (ou hautes fréquences 5G) (inutile de rappeler que les ondes millimétriques sont plus néfastes pour la santé) en fait, faut pas oublier que la 5G peut utiliser les basses fréquences tout comme les hautes fréquences appelés aussi ondes millimétriques, 

https://blog.ariase.com/mobile/dossiers/5g-frequences  ]

-Une autre exigence est l’intégration des systèmes sans fil à fibres optiques dans l’infrastructure optique existante. Les ingénieurs expliquent que le niveau croissant de déploiement de l’infrastructure de fibre optique à proximité des habitations offre une occasion idéale d’interconnecter le sans fil avec les réseaux fixes câblés. 

https://phys.org/news/2010-03-fiber-wireless-fi-wi-ultra-high-speed-short-range.html

( ils admettent que les fibres optiques peuvent être connectés à des systèmes sans fil, c’est donc la preuve que les fibres optiques émettent des ondes)

-Cette intégration permettrait aux systèmes sans fil de tirer profit des technologies actuelles telles que le multiplexage par répartition en longueur d’onde (WDM), qui combine plusieurs signaux sur une seule fibre optique en utilisant différentes longueurs d’onde.

https://phys.org/news/2010-03-fiber-wireless-fi-wi-ultra-high-speed-short-range.html

(en gros une fibre optique peut émettre différents types d’ondes, appréciez les ondes les amis!)

-La technologie sans fil basée sur la  fibre optique a le potentiel d’ouvrir le spectre sans fil à mesure que l’utilisation de petits appareils de communication portables continue de croître.

Les systèmes sans fil à fibres optiques seraient les plus judicieux dans les zones densément peuplées, ainsi que pour les environnements de reprise après sinistre où les lignes de communication câblées ne sont pas disponibles. Comme l’a expliqué M. Lim, les systèmes sans fil à fibre optique pourraient être déployés dans un avenir proche. Au fur et à mesure que le déploiement de la fibre s’étendra aux bâtiments et aux locaux, le Fi-Wi à ondes millimétriques prendra son envol ». https://phys.org/news/2010-03-fiber-wireless-fi-wi-ultra-high-speed-short-range.html 

( ils admettent que les fibres optiques peuvent être connectés à des systèmes sans fil, c’est donc la preuve que les fibres optiques émettent des ondes)

Les hackers piratent la fibre optique

La fibre optique est vulnérable face aux hackers

https://mustbehero.files.wordpress.com/2016/02/hacking-fiber-optics-easier-than-copper-cable-paper-presentation.pdf

( si la fibre optique peut être hackée c’est la preuve qu’elle émet des ondes) la fibre optique peut être pirate à distance par des hackers en quelques minutes pour voler toutes vos données à distance sur tous les objets connectés à la fibre

https://www.ciena.com/insights/articles/How-to-hack-an-optical-fiber-in-minutes-and-how-you-can-secure-it.html

 


Aboutissement de la dictature technotronique

 

Reprise 5 : faire céder les digues du mensonge historique tout azimut (avec Norman Finkelstein)

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“Ce que l’histoire révisionniste nous enseigne est que notre inertie de citoyens à abandonner le pouvoir politique à une élite a coûté au monde quelques 200 millions de vies humaines entre 1820 et 1945…”
~ Antony Sutton ~

“La mémoire, l’histoire sont des réminiscences de mensonges passés, de forfaitures et aussi une réminiscence que des gens en apparence impuissants peuvent vaincre ceux qui les dirigent, s’ils persistent.”
~ Howard Zinn ~

Ces citations de grands historiens et cet article ci-dessous pour aussi faire comprendre que si tous les négationnistes sont des révisionnistes, tous les révisionnistes ne sont pas négationnistes, loin s’en faut. Une fois de plus, halte à l’amalgame arrangeant les affaires du pouvoir en place et de ses pathétiques marionnettes du consensus du mensonge historique tout azimut.
Posons nous cette question essentielle : le fait de constamment réviser l’histoire à la lueur de nouvelles données et des archives pour nous rapprocher le plus possible de l’exactitude des faits historiques, n’est-il pas le fondement, le sens profond de l’histoire et de son étude, servant à accroître notre connaissance afin de constamment nous améliorer ?

~ Résistance 71 ~

 

 

Norman Finkelstein : “David Irving est un très bon historien”

 

Jonas E. Alexis

 

17 août 2020

 

url de l’article original:

https://www.veteranstoday.com/2020/08/17/norman-finkelstein-david-irving-a-very-good-historian/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

L’establishment de l’holocauste est en train de paniquer parce que Norman Finkelstein a récemment dit quelque chose à laquelle ils ne s’attendaient pas du tout. Finkelstein a déclaré :

“David Irving est un bon historien. Je me fous de ce que dit Richard Evans (l’historien qui fut clef dans le procès en diffamation de Lipstadt). Il a produit des travaux très substantiels… Si vous n’aimez pas, vous n’êtes pas obligé de les lire. Dans le cas d’Irving, il sait une, deux ou trois choses…”

De manière évidente, Finkelstein a brisé un des sacro-saints dogmes prévalents de l’holocauste. Il a certainement franchi une ligne rouge parce que David Irving, en accord avec la vision du peuple élu de ce monde, n’est pas seulement un négationniste et un antisémite, mais il n’a jamais produit quoi que ce soit qui puisse susciter une quelconque envie ou intérêt de le lire. Comme Richard Evans le dit lui-même, le travail d’Irving est :

“Complètement inutile en tant qu’histoire parce qu’on ne peut pas faire confiance à Irving en quoi que ce soit, lui donner un quelconque crédit sur ce qu’il raconte ou écrit… Si on entend par historien quelqu’un qui est concerné par la découverte de la vérité au sujet du passé et d’en donner une représentation la plus précise possible, alors Irving n’est pas un historien.”[1] L’Anti Defamation League (ADL) appelle Irving “un des négationnistes le plus connu au monde”.[2]

Finkelstein, comme tout autre sérieux académique qui ont félicité Irving dans le passé (malgré le fait qu’il ne soit pas d’accord avec ses conclusions), pense différemment. Mais nous avons aussi ici un problème académique. Une personne est-elle même autorisée à utiliser les preuves archivées pour présenter son point de vue ? N’est-ce pas ce que les historiens sérieux sont supposés faire ? Rendons-nous vraiment service à l’histoire en étiquetant quiconque n’est pas d’accord avec nous comme raciste ou antisémite ?

Ceci est devenu si mauvais que Slavoj Zizek, entre tous, a eu quelque chose à dire sur le sujet, il écrit :

“Quelques juifs britanniques se sentent agressés par un certain antisémitisme dans le parti travailliste du RU. Mais combien de ceux qui se plaignent ont de l’empathie pour les plaintes en provenance des Palestiniens de Cisjordanie ?

Dans l’histoire, penser à des variantes de la ligne générale a toujours été impopulaire et risqué. Néanmoins, en bien des occasions, cela a été toléré à différents degrés. Aujourd’hui, cela est de moins en moins acceptable. Nous pouvons le voir clairement maintenant, alors que la règle non écrite déterminant les limites de ce qui est acceptable ou pas est en train de s’effriter et que des visions différentes entrent en concurrence pour imposer ce qu’elles perçoivent comme hégémonique.

Il y a des années, Noam Chomsky avait causé un scandale alors qu’il avait suivi la maxime de Voltaire jusqu’à son extrême : il avait défendu le droit au négationniste Robert Faurisson de publier son livre et son argumentation était même apparue dans la postface du livre de Faurisson. Aujourd’hui, un tel geste serait immédiatement identifié comme antisémite. Le négationnisme de l’holocauste n’est pas seulement aujourd’hui criminalisé, mais les termes de sa criminalisation sont même le plus souvent établis numériquement.”[3]

Ceci est tellement vrai. En continuant d’attaquer sans relâche la liberté d’expression et l’utilisation des documents d’archives, l’establishment de l’Holocauste creuse essentiellement sa propre tombe. Ils n’essaient pas de réduire les gens au silence. Non, ils essaient de réduire au silence des gens qui veulent poser des question profondes et essentielles au sujet du passé.

Le fait est qu’au bout de compte, personne ne peut réduire au silence la poursuite de la vérité. C’est impossible. C’est une des grandes raisons pour laquelle cet establishment de l’holocauste s’effondrera un jour.

 


Arrestation du dissident Norman Finkelstein
lors d’une manifestation pro BDS

La stratégie du choc « coronavirus » pour imposer la dictature technotronique ?

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CoV19 créé dans un labo de Caroline du Nord

 

Le vrai visage du CoV19 : une stratégie du choc pour imposer une société totalitaire ?

 

Dr Pascal Sacré

 

27 juillet 2020

 

Source:

https://www.mondialisation.ca/le-vrai-visage-du-covid-19-une-strategie-du-choc-pour-imposer-une-societe-totalitaire/5647816

 

« La peur n’est que la foi inversée ; c’est la foi dans le mal au lieu du bien. » Florence Scovel Shinn

Après plusieurs mois de crise COVID-19, des éléments pertinents d’analyse de cette crise apparaissent plus clairement.

1. La pression énorme pour convaincre 7 milliards d’humains de la nécessité de se vacciner contre un virus [1] dont on a gonflé la mortalité [2] et qu’on dit omniprésent alors qu’il est en train de disparaître, voire a disparu.

Cela nous rappelle l’opération de 2009, avec la fausse pandémie H1N1 [3] : mêmes tactiques, mêmes complicités (médiatiques, politiques, gouvernementales), mêmes « experts », mêmes scénarios, mêmes narratives avec un accent sur la peur, la culpabilité, la précipitation et toujours la même odeur nauséabonde de cet argent omniprésent sous la forme de profits immenses à l’horizon pour l’industrie productrice de vaccins.

C’est comme si l’épisode H1N1 de 2009 avait servi de répétition. 

Cette fois, l’épisode COVID-19 de 2020 est en passe de transformer l’essai en succès.

2. La capacité énorme des populations à se soumettre à l’autorité.

Malgré des indices évidents de corruption, d’incompétence, d’ignorance concernant des personnalités éminentes de la politique, de la science, de la médecine, beaucoup de personnes continuent de leur obéir. 

Malgré des recommandations confuses, contradictoires, inexpliquées, injustifiables, beaucoup de personnes continuent de leur obéir.

Exemples :

  • 1) Au cœur de l’épidémie, le port des masques n’est pas obligatoire et même déconseillé pour les gens bien portants.
  • 2) Alors que l’épidémie s’éteint, les masques deviennent obligatoires partout pour tous.
  • 1) Beaucoup de médecins généralistes d’autres pays et l’IHU Méditerranée-Infection de Marseilles, l’un des plus grands centres d’infectiologie du monde, le plus grand de France, a démontré que l’hydroxychloroquine était efficace pour diminuer la contagiosité du SRAS et le nombre de cas sévères de COVID-19 [4].

2) En Belgique, « on » dit que c’est un médicament dangereux et inefficace et « on » empêche les médecins généralistes de le prescrire à leurs patients.

Des contradictions, des mensonges, des fausses vérités…

Ainsi de suite…

Bien sûr, la peur et le conformisme peuvent expliquer cette obéissance fabriquée. 

Nous connaissons les expériences de Solomon Asch et de Stanley Milgram [5].

Cette tendance à la soumission et à l’obéissance n’est pas répartie de la même façon au sein des populations.

Ainsi en Serbie :

« Cassée, la progression implacable de la terreur coronavirale. Les Serbes récalcitrants se sont rebellés contre leur président lorsqu’il leur a ordonné de retourner en résidence surveillée. Après deux jours de batailles de rue avec des dizaines de policiers hospitalisés, les robustes manifestants ont gagné ; les autorités ont capitulé et ont renoncé à leurs plans de bouclage pour Belgrade. Les magasins, les bistrots et les restaurants de Belgrade auront un couvre-feu en début de soirée ; mais c’est beaucoup mieux que le bouclage complet qu’ils avaient prévu. » [6]

Par contre, en Belgique :

« De manière incompréhensible alors que l’épidémie, hormis de petits foyers (clusters), disparaît peu à peu [7], des mesures coercitives sont à nouveau imposées, voire élargies [8] avec port obligatoire de masque partout, pour tout le monde, obligation de donner ses coordonnées dans les restaurants et les bars à des fins de tracking [9] … »

Tout cela n’est pas justifié.

Tout cela relance la peur, la terreur, et laisse craindre un retour vers le confinement partiel ou total (assignation à résidence) alors qu’aujourd’hui, on sait que cette mesure est inutile et délétère ! [10-11]

Comme si la crise COVID-19 servait aux autorités de test grandeur nature pour évaluer le degré de soumission de leur peuple [12], et voir jusqu’où ils peuvent aller avant de rencontrer une opposition suffisante.

J’espère que le peuple belge, ce peuple le plus brave de la Gaule selon Jules César [13], aura le courage et la lucidité du peuple serbe et finira par se réveiller.

3. L’utilisation d’experts en faisant croire à un consensus qui n’existe pas

Les gouvernements forment des conseils composés d’experts pour justifier leurs mesures. 

Pour le citoyen, pourquoi mettre en doute les mesures en question ? 

Toutefois, on l’a bien démontré au sein d’organisations comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’Agence Européenne du Médicament (AEM), le comité COVID-19 en France (le CARE) ou en Belgique (Sciensano-comité COVID-19), être expert ne veut pas dire être indépendant, libre de tout conflit d’intérêt, voire même compétent [14-15].

Chaque fois qu’un gouvernement dit : « il y a un consensus d’experts sur cette question », c’est en fait un mensonge. 

Cela veut seulement dire que leurs experts se sont mis d’accord, telle une officine autosuffisante et auto-satisfaite sans débat contradictoire. 

Dans le COVID-19, vous pouvez trouver sur tous les sujets présentés comme consensuels : 

  • Masques
  • Hydroxychloroquine
  • Confinement
  • Tests utilisés
  • Traitements
  • Vaccination 

… d’autres experts aussi valables sur le plan des diplômes, de la réputation ou des activités exercées, dont les avis vont à l’encontre des diktats officiels, avec des arguments honnêtes, des démonstrations solides et des références multiples.

Pour le citoyen, comment faire la part des choses ? 

À diplôme égal, à expertise équivalente, un bon critère de discernement est de vérifier l’absence de conflit d’intérêt.

Beaucoup d’auteurs qualifiés avec des avis opposés à ceux de leurs homologues gouvernementaux ne sont pas liés à l’industrie pharmaceutique ni aux gouvernements qui, finalement, veulent faire passer une idéologie, un programme politique et ont de plus en plus de comptes à rendre à l’industrie. 

Ces auteurs indépendants ont également plus à perdre qu’à gagner dans ce débat d’avis. 

Qu’est-ce qui pourrait les pousser à prendre des risques sinon leur honnêteté, leur conscience ? Ce n’est ni la gloire, ni l’espoir d’un contrat dans le privé, ni l’argent, en tout cas.

4. La fabrication d’une fiction inspirée de faits réels et pour cela, utilisation d’une narrative qui finit par être répétée en boucle et crue sans plus être remise en question.

Le COVID-19 est une fiction basée sur des faits plausibles : un virus, de vrais morts, une vraie maladie, une épidémie de maladies respiratoires à laquelle sont ajoutés, au fur et à mesure, des déformations de vérités ou de réalités, voire carrément, des mensonges (Cf. ma série, COVID-19 : au plus près de la vérité).

Les coronavirus sont connus. Ils existent. Deux d’entre eux ont déjà menacé l’humanité d’épidémies meurtrières (SRAS, MERS). 

Qu’importe si les faits ont montré que cette pandémie était fausse et que les experts avaient déjà manipulé les chiffres, la pandémie H1N1 de 2009 a préparé le terrain à l’idée que ça ne pouvait que revenir et qu’à nouveau, seule la vaccination pourrait nous sauver. 

De vrais malades ont été hospitalisés et certains sont morts.

Tous ces éléments ont rendu l’histoire « COVID-19 » plausible.

La narrative COVID était lancée. 

Pour pérenniser ensuite LA peur qui permette la mise en place d’une stratégie du choc à l’échelle d’une population, il fallait des tests présentés comme fiables, des chiffres de mortalité élevés, des indices de contagiosité effrayants et des capacités hospitalières limitées.

Dans ce processus, la participation conformiste des médias fut essentielle. 

Comme chaque fois, ils ont bien joué leur rôle, annonçant chaque jour le nombre de morts et les attribuant au COVID-19 sans aucune discrimination. 

Aujourd’hui, ils entretiennent la peur de deuxièmes vagues, de nouveau confinement en faisant passer, à tort, les cas de tests PCR positifs pour de nouveaux cas de COVID-19.

La Suède et d’autres pays, ainsi que certains états aux USA, n’ont pas joué le jeu, ou ont suivi leur propre agenda. 

Ils n’ont pas confiné, ils ont moins traumatisé, ils sont restés plus humains. 

Ils sont la preuve supplémentaire que l’histoire COVID-19 telle qu’elle a été instaurée dans les pays liberticides et coercitifs (Belgique, France, Espagne, Canada…) est bien une fiction avec des éléments réels, plongeant leurs populations dans un piège psychologique redoutable.

Tous ces points sont des indices que l’histoire COVID-19 est une stratégie du choc et les stratégies du choc ne sont jamais utilisées pour le bien des populations, pour votre bien ou pour le mien !

La stratégie du choc psychologique est une réalité, étudiée par plusieurs auteurs et chercheurs, dont Naomi Klein [16], avec son livre paru en 2007, « La Stratégie du Choc : la montée d’un capitalisme du désastre ».

Le but est de réaliser une tabula rasa, une page blanche et sur cette page blanche, de reconstruire ce qu’on veut.

Comment ?

« À l’échelle d’une population entière, en réduisant à néant le patrimoine d’un pays, ses structures sociales et économiques pour pouvoir y construire une nouvelle société, un nouvel ordre après le chaos planifié et contrôlé.

Une fois le peuple privé de ses points de repères, mis en état de choc et infantilisé, il se retrouve sans défenses et devient facilement manipulable.

Ce processus peut s’appliquer suite à une grave crise économique ou politique, une catastrophe environnementale, un attentat, une guerre ou une crise sanitaire. » [17]

La stratégie du choc a été appliquée par des moyens économiques à la Grèce dans la foulée de la crise de 2008, entraînant des millions d’âmes dans la misère avec la complicité de leurs politiciens. [18]

La stratégie du choc a été appliquée par des moyens de terrorisme aux USA en 2001 et en France en 2015 avec l’instauration d’états d’urgence et de lois d’exception qui n’ont plus jamais été supprimés [19].

La stratégie du choc est aujourd’hui appliquée par des moyens de crise sanitaire, le COVID-19, à une partie du monde, dont mon pays, la Belgique.

« La terreur induite à grande échelle dans une société entraîne une sorte d’état d’hébétude, une situation où le contrôle peut facilement être obtenu à partir d’une autorité extérieure.

Il faut développer un état d’esprit immature chez la population afin de la contrôler au mieux.

La société doit être infantilisée. »

Ces idées ont été étudiées et diffusées par l’Institut Tavistock à Londres, créé au départ d’une clinique psychiatrique fondée en 1920, spécialisée dans le contrôle psychologique et le chaos social organisé [17].

Il est beaucoup plus facile de diriger une société par le contrôle mental que par le contrôle physique, au moyen de l’infantilisation, de la confusion, de la désinformation et de la peur.

N’est-ce pas ce qui est à l’œuvre, aujourd’hui ?

Les gens sont infantilisés…

On leur dit sur quel trottoir ils peuvent marcher, dans quel sens, quand ils peuvent rentrer dans un magasin et où ils doivent se moucher.

La peur est omniprésente. 

Ceux qui refusent les masques sont rançonnés, regardés de travers, exclus, insultés, haïs.

Des milliers de gens voient leur travail menacé, leur vie entière compromise sans possibilité de manifester, de s’opposer.

Les vieillards sont abandonnés.

Les jeunes sont emprisonnés dans un monde masqué et confiné.

Les adultes sont précarisés. 

Les gens d’une même famille, séparés.

La réflexion est paralysée.

La contestation, sanctionnée.

Si cette thèse est juste, il est à prévoir que notre gouvernement par « experts » et médias interposés, poursuive cette stratégie du choc et nous annonce toujours plus d’infectés, de morts et de vagues de COVID, quelle que soit la réalité des faits.

Les exemples de la Suède et de Belgrade sont des phares d’espoir dans cette perspective d’obscurité.

Dr Pascal Sacré

Notes :

[1] Coronavirus: l’OMS tente de mobiliser politiques et acteurs économiques en vue d’ »un vaccin pour tous » sur la planète

[2] « Le chiffre de la mortalité due au coronavirus est un faux chiffre » selon le Dr. Lass

[3] Grippe H1N1, exemple de manipulation internationale, AIMSIB, 22 octobre 2018

[4] Bulletin d’information scientifique de l’IHU, Pr Philippe Parola, directeur de service de soins et d’unité de recherche à l’IHU Méditerranée Infection

[5] PSY-OP COVID-19 : assignés à résidence !, Dr Pascal Sacré, mondialisation.ca, 11 mai 2020

[6] Belgrade libérée, par Israel Shamir, maondialisation.ca, 13 juillet 2020

[7] La virulence du Covid-19 est-elle en train de diminuer ?, par Christophe De Brouwer, Contrepoints.org, 21 juillet 2020

[8] Les décisions du Conseil National de Sécurité. Les décisions ont été communiquées aux Belges à 13h30 lors d’une conférence de presse ce 24 juillet 2020

[9] Voici à quoi ressemble le formulaire-type pour l’enregistrement des clients horeca

[10] COVID-19 : au plus près de la vérité. Confinement, Dr Pascal Sacré, mondialisation.ca, 22 juillet 2020

[11] Confinement strict, surcharge hospitalière et surmortalité, PDF, mai 2020

[12] Opération COVID-19: Tester le degré de soumission des peuples, Dr Pascal Sacré, mondialisation.ca, 26 avril 2020

[13] Horum omnium fortissimi sunt Belgae, Wikipédia,  « De tous ceux-là les plus courageux sont les Belges», souvent traduite littérairement en français par « De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves.

[14] Politique et corruption à l’OMS, Dr Pascal Sacré, mondialisation.ca, 12 janvier 2010, réédité le 14 avril 2020

[15] Et les conflits d’intérêts, on en parle ?, 5 mai 2020.

[16] La Stratégie du choc : la montée d’un capitalisme du désastre (titre original : The Shock Doctrine: The Rise of Disaster Capitalism) est un essai socio-politique altermondialiste publié en 2007 par la journaliste canadienne Naomi Klein. Wikipédia

[17] MK Abus rituels et Contrôle Mental, Alexandre Lebreton, éditions Omnia Veritas, 2016

[18] Stratégie du choc : comment le FMI et l’Union européenne bradent la Grèce aux plus offrants, Agnès Rousseaux, Bastamag, 20 juin 2013

[19] Quand la fin justifie les moyens : stratégie du choc et état d’urgence, 29 novembre 2016

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Le CoV19 créé dans un labo de l’université de Caroline du Nord

« Le masque comme rite de passage vers un Nouvel Ordre Mondial » (Résistance 71 )