Comprendre le monde d’aujourd’hui passe par une compréhension de l’histoire lointaine et récente. Comprendre l’empire anglo-américano-sioniste et sa fuite en avant dans la tyrannie mondiale, c’est en comprendre l’élément fondateur que sont les attentats du 11 septembre 2001 de New York, perpétrés par ce qu’on appelle « l’état profond », pour mettre en place une grille de contrôle planétaire servant le plus petit nombre adepte d’un capitalisme monopoliste transnational destructeur, stade ultime du système étatico-capitaliste de la dictature marchande.
Ces attentats furent des attentats nucléaires ne pouvant être mis en place qu’avec le savoir faire et la complicité de pouvoirs étatiques et financiers puissants, dont un segment du gouvernement des Etats-Unis eux-mêmes.
Ci-dessous, le point de vue analytique du modus operandi nucléaire de ce néfaste jour par des scientifiques nucléaires de Los Alamos, des gens dont le métier est de construire ces engins de destruction massive inhumains que sont les armes nucléaires et qui en savent long. Ceci est un complément de notre PDF « Au sujet d’un 11 septembre nucléaire », que nous avons remis en lien sous cet article.
Ce que nous vivons aujourd’hui, y compris la situation ubuesque en ben des points de la « crise sanitaire CoV19 » devenue rapidement une dictature sanitaire, trouve en grande partie sa source dans les attentats du 11 septembre 2001, le Ground Zero de la mise en place d’une tyrannie mondiale.
~ Résistance 71 ~
Le résumé technique du 11 septembre 2001 : Les scientifiques de Los Alamos répondent aux questions sur l’attaque nucléaire de New York
VT
26 septembre 2020
url de l’article original:
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
L’information ci-dessous est hautement classifiée. Les poseurs de question sont Ian Greenhalgh et Don Fox.
Les réponses proviennent de l’équipe de l’université de Californie qui a enquêté sur les attentats du 11 septembre 2001 pour le ministère américain à l’énergie (DoE). Ceux qui répondent aux questions sont des physiciens qui travaillent tous exclusivement pour le développement et les tests d’armement nucléaire ; ce sont les plus grands experts au monde sur le sujet.
L’information fournie fut le résultat de l’enquête officielle sur le 11 septembre conclut par le DoE en 2003 et envoyé à la Maison Blanche, aux membres de la Cour Suprême des Etats-Unis et à des membres clef de comités du Congrès des Etats-Unis.
Cette information fut aussi vue et analysé par le Join Chief of Staff (JCOS NdT : ou Etat-Major général des armées).
Au moins 200 officiels et hauts-fonctionnaires américains ont vu ce rapport. Une information postérieure a quelque peu modifié ces trouvailles fondée sur la lecture par l’équipe de Los Alamos des travaux de Dimitri Khazelov.
Ce qui est représenté ci-dessous ne provient que d’un fragment de l’enquête, un fragment sur le “comment” de l’affaire. Ceci fut initialement publié par VT en mai 2014.
Nous ne disons pas que ces informations sont correctes à 100%, mais nous pensons qu’elles le sont dans une très large mesure.
Ceci constitue ce que le gouvernement des Etats-Unis a eu connaissance et est parfaitement au courant. Ce sont les véritables conclusions d’enquête. Vous a t’on dit quelque chose de différent ? Si oui, pourquoi ?…
Q: Combien de types d’engins furent utilisés à New York en ce 11 septembre 2001 ? Je vois un cas où on pourrait dire 2 ou 3 différents types d’engins [nucléaires] ?
A: Au moins deux types différents d’armes nucléaires furent utilisés. L’une est une arme micro-nucléaire standard de modèle à noyau W-54 de moins de 3 Kt et plus importante que 500 tonnes minimum de puissance explosive.
Les deux types plus avancés d’armes utilisées pour effondrer les tours 1 et 2 du WTC furent au moins de 1 à 3kt en charge. La boule de feu limite la taille en Kt de l’arme. La boule de feu doit avoir une taille maximum de 60m de diamètre à cause de la taille des bâtiments. Pour chaque Kt d’effet de démolition, vous avez environ 15m de rayon pour la boule de feu (NdT: soient 30m de diamètre, 2Kt ferait une boule de feu de 60m de diamètre…). La taille de la boule de feu peut-être moindre lorsqu’elle est contenue dans une structure en acier. Ainsi, une arme de 3Kt produira une boule de feu de 45m environ de rayon (soient 90m de diamètre).
Dans une configuration thermobarique, la boule de feu restera de la même taille, mais elle sera sous bien plus de pression et sera plus dense à cause de l’oxyde de fer dans la boule de feu. Lorsque cette boule s’étend à sa taille maximum de 45m et juste après qu’elle consomme tous les matériaux du bâtiment dans cette zone (plus de 150 tonnes pour une arme de 3 Kt), elle commence à se refroidir très rapidement.
Alors qu’elle se refroidit elle va expulser le plasma de fer fondu sous haute pression exactement comme un volcan, expulsant, éruptant la “lave” ou plasma directement vers le haut dans le centre du bâtiment. Ce jet sous pression “volcanique” de plasma très chaud va littéralement faire fondre tout l’intérieur du bâtiment et tout ce qui entre en contact avec. La Pulsion ÉlectroMagnétique (PEM) qui suit, va ajouter encore plus de chaleur thermique aux composants structurels du bâtiment. La PEM va aussi détruire ou effacer tout disque dur informatique survivant dans la zone.
Q: Les armes nucléaires au sol ainsi décrites paraissent être bien plus petites que celles utilisées enfouies. Les armes nucléaires sous les tours 1 et 2 du WTC apparaissent être différentes de celles utilisées sous le WTC7.
A: Oui, chaque bâtiment a besoin d’une charge explosive différente afin de l’effondrer. Ceci dépend de la taille, de la forme et de la masse totale du bâtiment. C’est de la physique de démolition très basique.Le bâtiment 7 a nécessité deux charges, car plus grand que les bâtiments 4, 5 et 6. Les tours 1 et 2, vu leur taille, demandèrent de bien plus grosses charges et il y eut besoin de plus gros trou pour les y mettre. Les armes utilisées pour ces deux bâtiments furent celles spécifiquement créés à cet effet (thermobarique), elles furent spécifiquement utilisées pour ce but précis.
Q: Nous voyons des preuves de l’utilisation de bombes à neutron dans les poussières collectées par l’USGS et les échantillons d’eau collectés par le DoE. Il semble que l’uranium ait été le matériau de fission prévalent et nous trouvons de l’uranium dans les échantillons de poussières et non pas des résidus de plutonium. Le secondaire paraît être du deuteride de lithium alors qu’on trouve du tritium dans les échantillons d’eau du DoE. Est-ce qu’une arme nucléaire thermobarique pourrait utiliser de l’uranium comme combustible primaire ?
A: Oui. Une arme à l’uranium ou au plutonium peut être utilisé comme primaire. La primaire n’a besoin que d’être une arme à fission. L’uranium est aussi utilisé dans une arme à plutonium en tant que réflecteur/miroir à neutrons et un catalyseur d’énergie. Il réduit la quantité nécessaire de plutonium de 25 à 50%. L’uranium ne va pas complètement brûler, car il agit comme réflecteur à neutrons, ainsi on va en retrouver dans les retombées. 450g de plutonium ou d’uranium vont produire quelques 90cm3 de retombée par 450g de carburant fissile consommé par le primaire.
Donc si l’arme a utilisé 7kg de carburant fissile, elle produira 1350cm3 de retombée radioactive. L’essentiel de cette retombée sera absorbée par la seconde combustion du carburant nucléaire dans sa réaction thermobarique. Ajouter de l’oxyde de fer dans le secondaire réduira les retombées radioactives à des niveaux très acceptables après quelques jours. C’est une arme qui brûle propre. C’est pour cela qu’elle fut utilisée, bien moins d’effets radioactifs secondaires à gérer après détonation.
Pour chaque Kt d’énergie produite dans une explosion nucléaire, elle va consommer jusqu’à 50t de fer ou d’acier lorsque c’est pompé dans la langue de plasma, les transformant en vapeurs gazeuses. Lorsque tout cela se refroidit et est exposé à l’air ou à de la vapeur d’eau, cela forme des micro-granules d’oxyde de fer sphériques d’une taille d’environ 7 à 10 nm (nanomètres). Toutes les sphères métalliques formées par la boule de plasma lorsqu’elles se refroidissent varient en taille, selon leur poids atomique et la longueur d’onde de lumière qu’elles absorbent. La taille est déterminée par la longueur d’onde de la lumière émise par la boule de feu du plasma allant de 30nm (lumière infra-rouge) à de bien plus petites tailles de l’ordre de moins de 1nm (pour les rayons X et gamma). Seul le fer absorbe la lumière dans la zone des 7 à 10 microns, c’est pourquoi elles sont de cette taille. L’Or, l’argent et l’aluminium absorbent tous des longueurs d’onde plus courtes, ainsi elles sont bien plus petites.
Si l’échantillon de retombée radioactive n’est pas directement pris de l’épicentre de Ground Zéro, il montrera moins d’uranium ou de plutonium dans les échantillons et ce, plus vous vous éloignerez du centre point zéro de la détonation. Ceci parce que la plupart du matériel radioactif non brûlé ne voyage pas bien loin de la boule de plasma.
Le but secondaire de l’oxyde de fer est de convertir l’excédent en rayons gammas, en rayons X et en radiation de neutrons en énergie thermique. Sa troisième fonction est de convertir les rayons Alpha et Béta en chaleur. Sa quatrième fonction est de convertir l’excès d’électrons libres produits par l’explosion en une pulsion électromagnétique plus importante. Sa cinquième fonction est de contenir ou d’absorber les retombées radioactives et de réduire leurs niveaux, aidant ainsi dans le nettoyage d’après utilisation.
Si un encastrage solide et épais en fer est utilisé, celui-ci va se fragmenter de la même manière qu’une grenade ou un obus d’artillerie à fragmentation, donc une poudre de fer plus douce est utilisée. Lorsque ce plasma hyper chaud de 1 million de degrés celsius en son centre et quelques 5000oC à sa périphérie, vient en contact avec tout autre matériel que ce soit, il va immédiatement le vaporiser ou le faire fondre. Même si le matériau ne fond pas, si les éléments de la structure en acier du bâtiment arrive au delà de leur point Currie, alors ces éléments vont perdre toute intégrité structurelle et plier comme des pretzels.
Ceci est fondamentalement une arme à plasma de première génération lorsqu’utilisée dans un bâtiment clos en acier. La construction close en acier va aussi contenir les retombées radioactives, lorsqu’utilisée dans une structure très haute comme ce fut le cas ce 11 septembre 2001 à New York. La structure centrale verticale en acier de quelques 300m de long des bâtiments (tours 1 et 2) agit également comme un guide d’onde thermique pour la langue de plasma convertissant la noyau central en acier du bâtiment en une arme à énergie dirigée. Ce centre agit également comme un guide d’ondes électromagnétiques pour la PEM et dirige l’énergie produite par l’arme directement verticalement dans le centre structurel du bâtiment. Cela forme de fait, une arme à énergie dirigée très basique.
La PEM est polarisée verticalement et est principalement absorbée par la structure en acier du bâtiment. Les effets de champ s’élargissant de la PEM ne s’écartent pas plus que le champ magnétique proche produit par l’explosion originale. Le bâtiment en acier agit comme une cage de Faraday absorbant et redirigeant la PEM en tant que chaleur thermique, ajoutant ainsi à l’effet thermobarique Les rayons X, gamma et les neutrons sont rapidement absorbés par la plupart des matériaux lourds du bâtiment ainsi, très peu de cette radiation va voyager plus loin que quelques pâtés de maisons hors de la structure du bâtiment.
Afin de prévenir qu’une contre-PEM ne coupe toutes les sources de courant électrique dans la partie basse de l’île de Manhattan, le bâtiment a du être mis hors secteur juste avant l’explosion. Ceci demanderait que quelqu’un coupe le courant dans le transformateur en sous-sol utilisé par le complexe du WTC et la compagnie d’électricité.
Lecture complémentaire :
Au sujet d’un 11 septembre nucléaire (PDF)