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11 septembre nucléaire : Des scientifiques de Los Alamos répondent aux questions sur l’attaque nucléaire de New York (Veterans Today)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 28 septembre 2020 by Résistance 71

 

 

Comprendre le monde d’aujourd’hui passe par une compréhension de l’histoire lointaine et récente. Comprendre l’empire anglo-américano-sioniste et sa fuite en avant dans la tyrannie mondiale, c’est en comprendre l’élément fondateur que sont les attentats du 11 septembre 2001 de New York, perpétrés par ce qu’on appelle « l’état profond », pour mettre en place une grille de contrôle planétaire servant le plus petit nombre adepte d’un capitalisme monopoliste transnational destructeur, stade ultime du système étatico-capitaliste de la dictature marchande.
Ces attentats furent des attentats nucléaires ne pouvant être mis en place qu’avec le savoir faire et la complicité de pouvoirs étatiques et financiers puissants, dont un segment du gouvernement des Etats-Unis eux-mêmes.
Ci-dessous, le point de vue analytique du modus operandi nucléaire de ce néfaste jour par des scientifiques nucléaires de Los Alamos, des gens dont le métier est de construire ces engins de destruction massive inhumains que sont les armes nucléaires et qui en savent long. Ceci est un complément de notre PDF « Au sujet d’un 11 septembre nucléaire », que nous avons remis en lien sous cet article.
Ce que nous vivons aujourd’hui, y compris la situation ubuesque en ben des points de la « crise sanitaire CoV19 » devenue rapidement une dictature sanitaire, trouve en grande partie sa source dans les attentats du 11 septembre 2001, le Ground Zero de la mise en place d’une tyrannie mondiale.

~ Résistance 71 ~

 

Le résumé technique du 11 septembre 2001 : Les scientifiques de Los Alamos répondent aux questions sur l’attaque nucléaire de New York

 

VT

 

26 septembre 2020

 

url de l’article original:

https://www.veteranstoday.com/2020/09/26/excerpting-9-11-los-alamos-scientists-answer-questions-on-the-new-york-nuclear-attack/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

L’information ci-dessous est hautement classifiée. Les poseurs de question sont Ian Greenhalgh et Don Fox.

Les réponses proviennent de l’équipe de l’université de Californie qui a enquêté sur les attentats du 11 septembre 2001 pour le ministère américain à l’énergie (DoE). Ceux qui répondent aux questions sont des physiciens qui travaillent tous exclusivement pour le développement et les tests d’armement nucléaire ; ce sont les plus grands experts au monde sur le sujet.

L’information fournie fut le résultat de l’enquête officielle sur le 11 septembre conclut par le DoE en 2003 et envoyé à la Maison Blanche, aux membres de la Cour Suprême des Etats-Unis et à des membres clef de comités du Congrès des Etats-Unis.

Cette information fut aussi vue et analysé par le Join Chief of Staff (JCOS NdT : ou Etat-Major général des armées).

Au moins 200 officiels et hauts-fonctionnaires américains ont vu ce rapport. Une information postérieure a quelque peu modifié ces trouvailles fondée sur la lecture par l’équipe de Los Alamos des travaux de Dimitri Khazelov.

Ce qui est représenté ci-dessous ne provient que d’un fragment de l’enquête, un fragment sur le “comment” de l’affaire. Ceci fut initialement publié par VT en mai 2014.

Nous ne disons pas que ces informations sont correctes à 100%, mais nous pensons qu’elles le sont dans une très large mesure.

Ceci constitue ce que le gouvernement des Etats-Unis a eu connaissance et est parfaitement au courant. Ce sont les véritables conclusions d’enquête. Vous a t’on dit quelque chose de différent ? Si oui, pourquoi ?…

Q: Combien de types d’engins furent utilisés à New York en ce 11 septembre 2001 ?  Je vois un cas où on pourrait dire 2 ou 3 différents types d’engins [nucléaires] ?

A: Au moins deux types différents d’armes nucléaires furent utilisés. L’une est une arme micro-nucléaire standard de modèle à noyau W-54 de moins de 3 Kt et plus importante que 500 tonnes minimum de puissance explosive.

Les deux types plus avancés d’armes utilisées pour effondrer les tours 1 et 2 du WTC furent au moins de 1 à 3kt en charge. La boule de feu limite la taille en Kt de l’arme. La boule de feu doit avoir une taille maximum de 60m de diamètre à cause de la taille des bâtiments. Pour chaque Kt d’effet de démolition, vous avez environ 15m de rayon pour la boule de feu (NdT: soient 30m de diamètre, 2Kt ferait une boule de feu de 60m de diamètre…). La taille de la boule de feu peut-être moindre lorsqu’elle est contenue dans une structure en acier. Ainsi, une arme de 3Kt produira une boule de feu de 45m environ de rayon (soient 90m de diamètre).

Dans une configuration thermobarique, la boule de feu restera de la même taille, mais elle sera sous bien plus de pression et sera plus dense à cause de l’oxyde de fer dans la boule de feu. Lorsque cette boule s’étend à sa taille maximum de 45m et juste après qu’elle consomme tous les matériaux du bâtiment dans cette zone (plus de 150 tonnes pour une arme de 3 Kt), elle commence à se refroidir très rapidement.

Alors qu’elle se refroidit elle va expulser le plasma de fer fondu sous haute pression exactement comme un volcan, expulsant, éruptant la “lave” ou plasma directement vers le haut dans le centre du bâtiment. Ce jet sous pression “volcanique” de plasma très chaud va littéralement faire fondre tout l’intérieur du bâtiment et tout ce qui entre en contact avec. La Pulsion ÉlectroMagnétique (PEM) qui suit, va ajouter encore plus de chaleur thermique aux composants structurels du bâtiment. La PEM va aussi détruire ou effacer tout disque dur informatique survivant dans la zone.

Q: Les armes nucléaires au sol ainsi décrites paraissent être bien plus petites que celles utilisées enfouies. Les armes nucléaires sous les tours 1 et 2 du WTC apparaissent être différentes de celles utilisées sous le WTC7.

A: Oui, chaque bâtiment a besoin d’une charge explosive différente afin de l’effondrer. Ceci dépend de la taille, de la forme et de la masse totale du bâtiment. C’est de la physique de démolition très basique.Le bâtiment 7 a nécessité deux charges, car plus grand que les bâtiments 4, 5 et 6. Les tours 1 et 2, vu leur taille, demandèrent de bien plus grosses charges et il y eut besoin de plus gros trou pour les y mettre. Les armes utilisées pour ces deux bâtiments furent celles spécifiquement créés à cet effet (thermobarique), elles furent spécifiquement utilisées pour ce but précis.

Q: Nous voyons des preuves de l’utilisation de bombes à neutron dans les poussières collectées par l’USGS et les échantillons d’eau collectés par le DoE.  Il semble que l’uranium ait été le matériau de fission prévalent et nous trouvons de l’uranium dans les échantillons de poussières et non pas des résidus de plutonium. Le secondaire paraît être du deuteride de lithium alors qu’on trouve du tritium dans les échantillons d’eau du DoE. Est-ce qu’une arme nucléaire thermobarique pourrait utiliser de l’uranium comme combustible primaire ?

A: Oui. Une arme à l’uranium ou au plutonium peut être utilisé comme primaire. La primaire n’a besoin que d’être une arme à fission. L’uranium est aussi utilisé dans une arme à plutonium en tant que réflecteur/miroir à neutrons et un catalyseur d’énergie. Il réduit la quantité nécessaire de plutonium de 25 à 50%. L’uranium ne va pas complètement brûler, car il agit comme réflecteur à neutrons, ainsi on va en retrouver dans les retombées. 450g de plutonium ou d’uranium vont produire quelques 90cm3 de retombée par 450g de carburant fissile consommé par le primaire.

Donc si l’arme a utilisé 7kg de carburant fissile, elle produira 1350cm3 de retombée radioactive. L’essentiel de cette retombée sera absorbée par la seconde combustion du carburant nucléaire dans sa réaction thermobarique. Ajouter de l’oxyde de fer dans le secondaire réduira les retombées radioactives à des niveaux très acceptables après quelques jours. C’est une arme qui brûle propre. C’est pour cela qu’elle fut utilisée, bien moins d’effets radioactifs secondaires à gérer après détonation.

Pour chaque Kt d’énergie produite dans une explosion nucléaire, elle va consommer jusqu’à 50t de fer ou d’acier lorsque c’est pompé dans la langue de plasma, les transformant en vapeurs gazeuses. Lorsque tout cela se refroidit et est exposé à l’air ou à de la vapeur d’eau, cela forme des micro-granules d’oxyde de fer sphériques d’une taille d’environ 7 à 10 nm (nanomètres). Toutes les sphères métalliques formées par la boule de plasma lorsqu’elles se refroidissent varient en taille, selon leur poids atomique et la longueur d’onde de lumière qu’elles absorbent. La taille est déterminée par la longueur d’onde de la lumière  émise par la boule de feu du plasma allant de 30nm (lumière infra-rouge) à de bien plus petites tailles de l’ordre de moins de 1nm (pour les rayons X et gamma). Seul le fer absorbe la lumière dans la zone des 7 à 10 microns, c’est pourquoi elles sont de cette taille. L’Or, l’argent et l’aluminium absorbent tous des longueurs d’onde plus courtes, ainsi elles sont bien plus petites.

Si l’échantillon de retombée radioactive n’est pas directement pris de l’épicentre de Ground Zéro, il montrera moins d’uranium ou de plutonium dans les échantillons et ce, plus vous vous éloignerez du centre point zéro de la détonation. Ceci parce que la plupart du matériel radioactif non brûlé ne voyage pas bien loin de la boule de plasma.

Le but secondaire de l’oxyde de fer est de convertir l’excédent en rayons gammas, en rayons X et en radiation de neutrons en énergie thermique. Sa troisième fonction est de convertir les rayons Alpha et Béta en chaleur. Sa quatrième fonction est de convertir l’excès d’électrons libres produits par l’explosion en une pulsion électromagnétique plus importante. Sa cinquième fonction est de contenir ou d’absorber les retombées radioactives et de réduire leurs niveaux, aidant ainsi dans le nettoyage d’après utilisation.

Si un encastrage solide et épais en fer est utilisé, celui-ci va se fragmenter de la même manière qu’une grenade ou un obus d’artillerie à fragmentation, donc une poudre de fer plus douce est utilisée. Lorsque ce plasma hyper chaud de 1 million de degrés celsius en son centre et quelques 5000oC à sa périphérie, vient en contact avec tout autre matériel que ce soit, il va immédiatement le vaporiser ou le faire fondre. Même si le matériau ne fond pas, si les éléments de la structure en acier du bâtiment arrive au delà de leur point Currie, alors ces éléments vont perdre toute intégrité structurelle et plier comme des pretzels.

Ceci est fondamentalement une arme à plasma de première génération lorsqu’utilisée dans un bâtiment clos en acier. La construction close en acier va aussi contenir les retombées radioactives, lorsqu’utilisée dans une structure très haute comme ce fut le cas ce 11 septembre 2001 à New York. La structure centrale verticale en acier de quelques 300m de long des bâtiments (tours 1 et 2) agit également comme un guide d’onde thermique pour la langue de plasma convertissant la noyau central en acier du bâtiment en une arme à énergie dirigée. Ce centre agit également comme un guide d’ondes électromagnétiques pour la PEM et dirige l’énergie produite par l’arme directement verticalement dans le centre structurel du bâtiment. Cela forme de fait, une arme à énergie dirigée très basique.

La PEM est polarisée verticalement et est principalement absorbée par la structure en acier du bâtiment. Les effets de champ s’élargissant de la PEM ne s’écartent pas plus que le champ magnétique proche produit par l’explosion originale. Le bâtiment en acier agit comme une cage de Faraday absorbant et redirigeant la PEM en tant que chaleur thermique, ajoutant ainsi à l’effet thermobarique Les rayons X, gamma et les neutrons sont rapidement absorbés par la plupart des matériaux lourds du bâtiment ainsi, très peu de cette radiation va voyager plus loin que quelques pâtés de maisons hors de la structure du bâtiment.

Afin de prévenir qu’une contre-PEM ne coupe toutes les sources de courant électrique dans la partie basse de l’île de Manhattan, le bâtiment a du être mis hors secteur juste avant l’explosion. Ceci demanderait que quelqu’un coupe le courant dans le transformateur en sous-sol utilisé par le complexe du WTC et la compagnie d’électricité.

Lecture complémentaire :

Au sujet d’un 11 septembre nucléaire (PDF)

 


Du 11 septembre …
au verrouillage de la grille de contrôle

La Russie se préparerait à publier les preuves satellites de l’implication du gouvernement des Etats-Unis dans les attentats du 11 Septembre…

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Ceci est à mettre en relation directe avec notre traduction triptique sur un « 11 septembre nucléaire ». A lire et diffuser sans modération.

— Résistance 71 —

 

Les Etats-Unis ont peur de la publication par les Russes de photos satellites des attentats du 11 Septembre 2001

 

Gordon Duff

 

10 Février 2015

 

url de l’article en anglais:

http://www.veteranstoday.com/2015/02/10/pravda-putin-threatens-to-release-satellite-evidence-of-911/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

(Note de l’éditeur:  La preuve satellite russe prouvant la démolition contrôlée des bâtiments du WTC par des “armes spéciales” a été visionnée par un des éditeurs de VT lors d’un séjour à Moscou. L’article ci-dessous nous a été envoyé afin de publication aux Etats-Unis et a été traduit du russe. Il date du 7 Février 2015. )

Moscou (Pravda):  Des experts américains croient que malgré le fait que les relations entre la Russie et les Etats-Unis ont atteint leur point le plus bas depuis la guerre froide, Poutine n’a fourni que peu de problèmes jusqu’à l’arrivée d’Obama. Les analystes pensent que ceci représente le “calme avant la tempête”. Poutine va frapper une fois, mais il va frapper très fort. La Russie se prépare à faire connaître la preuve de l’implication du gouvernement des Etats-Unis et des services de renseignement dans les attaques du 11 septembre 2001.

La liste des preuves inclut des images satellites (NdT: ce que le général Leonid Ivashov chef d’état major de l’armée russe en fonction lors des attentats avait toujours laissé entendre surtout depuis 2005 et sa participation à la 1ère conférence Axis for Peace…)

Les infos publiées peuvent prouver la complicité du gouvernement américian dans les attaques du 11 septembre et la manipulation satisfaisante de l’opinion publique. L’attaque fut planifiée par le gouvernement des Etats-Unis mais mise en pratique par ses forces proxy de façon à ce qu’une attaque sur l’Amérique et le peuple américain paraisse être un acte d’agression provenant d’organisations terroristes internationales. (NdT: application d’école de la définition de l’opération sous faux-drapeau…)

L’objectif du mensonge et de l’assassinat de ses propres citoyens a servi les intérêts pétroliers des Etats-Unis et des entreprises d’état du Moyen-Orient.

La preuve sera si convaincante que cela mettra définitivement à mal la version officielle de couverture de ces attentats soutenue par le gouvernement des Etats-Unis.

La Russie prouve que les Etats-Unis ne sont pas étrangers à l’utilisation de terrorisme sous faux-drapeau contre ses citoyens afin de parvenir à avoir un prétexte pour une intervention militiare dans un pays étranger. Dans le cas des “attaques du 11 septembre 2001”, la preuve sera une imagerie satellite irréfutable.

Si cela est couronné de succès, les conséquences des tactiques de Poutine exoseront les politiques secrètes de terrorisme d’état du gouvernement des Etats-Unis. La crédibilité du gouvernement sera sérieusement endommagée et cela devrait déclencher des manifestations de masse à travers le pays menant à un soulèvement populaire, d’après des analystes américains.

Comment paraîtront alors les Etats-Unis dans l’arène politique mondiale ? La validité et la légitimité des Etats-Unis quant à leur position de leader dans la lutte contre le terrorisme international sera totalement ternie et bafouée donnant un avantage immédiat aux états scélérats et aux terroristes islamistes.

Le développement réel de cette situation pourrait bien être pire, avertissent les experts.

Révélations sur le 11 Septembre… « Trop secret pour être publié », un rapport d’une agence du ministère de l’énergie américain (DOE) révèle que les attentats du 11 septembre 2001 de New York furent une attaque nucléaire ~ 3ème partie ~

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Les deux premières partie de ce dossier sur le 11 septembre 2001 nucléaire:

1ère partie: « Le jour où le monde s’écroula… Le 11 Septembre fut une attaque nucléaire »

2ème partie: « Trop secret pour être publié: Le piratage nucléaire de Bush »

 

Smash ! Révélations sur le plus classifé du 11 Septembre

 

Ian Greenhalgh and Don Fox

 

18 Juillet 2014

 

url de l’article original:

http://www.veteranstoday.com/2014/07/18/slam-dunk-most-classified-911-revealed/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

C’est le Dr. James Fetzer qui m’a introduit à Veterans Today. Nous avons travaillé ensemble sur le 11 Septembre où mon expertise photographique et en analyse d’image a aidé sa recherche.

Plusieurs équipes de Veterans Today (VT) étaient en train de travailler sur les attentats du 11 Septembre lorsque je les ai rencontré, toutes ces personnes étaient arrivées à la conclusion que le 11 Septembre était un évènement nucléaire. Ils étaient aussi arrivés à la conclusion que d’autres chercheurs, des amateurs complets et ceux ayant une certaine expertise mais aussi une certaine rancœur, des théories conspirationnistes à chouchouter ou des bouquins à vendre, ont handicapé tout effort d’aller de l’avant.

Bien d‘autres, beaucoup “d’activistes” étaient quelque chose d’autre, un rien inconvaincants, clairement travaillant pour ceux qui ont perpétrés les attentats du 11 Septembre. Comme beaucoup de ces gens pour ne pas dire la plupart ne sont pas très malins, cela est devenu assez évident.

La véritable percée se produisit lorsque Veterans Today eut accès à des documents “empruntés” au ministère de l’énergie et donnés au renseignement russe. Les Russes, à leur tour, énervés des Etats-Unis au sujet du coup d’état en Ukraine, se sont mis en quête d’une source américaine fiable pour faire publier ce matériel d’information. Seul VT voudrait y toucher.

La somme de cette information fut le produit d’une vaste enquête fouillant et recherchant d’où les armes nucléaires avaient été acquises, qui les avaient volé, comment avaient-elles été reconfigurées, où étaient-elle placées et bien plus. Quoi qu’il en soit, toute l’information que nous voulions n’était pas là.

Don Fox et moi-même nous adressâmes à Gordon Duff qui nous introduisit à un vétéran de haut niveau de l’armée américaine et de l’OTAN qui avait commandé des forces nucléaires en Europe. Il conclût que le 11 Septembre était nucléaire, répondit à ce qu’il put et nous aida à aller de l’avant.

Bien que nous ayons alors fait pas mal de progrès, il y avait toujours des trous dans notre connaissance, donc quand nous avons appris que Gordon Duff avait des sources au sein du labo des armes nucléaires américain et que des infos sortaient comme jamais auparavant, nous fûmes excités de voir si nous pouvions les utiliser pour boucher des trous existant.

On nous donna un accès direct à des documents, non seulement liés à l’étouffement de l’enquête nucléaire sur le 11 Septembre, mais aussi à des notes privées des enquêteurs. Duff nous a alors dit que nous pouvions soumettre des questions. Un jour plus tard, nous recevions ces réponses que vous allez découvrir ci-dessous.

Cette information est époustoufflante. Elle provient du plus haut niveau de la conception américaine des armes nucléaires et est hautement classifiée. Après avoir lu ce qui suit, vous ne pourrez plus jamais penser au sujet des attentats du 11 Septembre, ni à la menace des armes nucléaires de la même façon… Plus jamais !

Alors que pendant des années, de soi-disants enquêteurs, bloggueurs, imposteurs, vilains narcissiques pensant à mal ont pondu des théories comme des aboyeurs de foire, les véritables concepteurs et fabricants d’armes nucléaires, beaucoup d’entre eux faisant partie de l’équipe qui a écrit le rapport de 2003 du ministère de l’énergie sur le 11 Septembre, n’avaient aucun besoin de fabriquer ou de cacher l’information.

Q: Combien d’engins de type différent furent-ils utilisés à New York lors des attentats du 11 Septembre 2001 ? Je comprends qu’il pourrait s’agir de 2 ou 3 différents types d’engins.

A: Au moins deux types d’armes nucléaires furent utilisées. L’une étant une mini-arme nucléaire standard de type W-54 de moins de 3 Kt et de plus de 500 t minimum en puissance d’explosion.

Les engins plus importants et améliorés qui servirent à détruire les tours 1 et 2 étaient de 1 à 3 Kt minimum en puissance. La taille de la boule de feu (plasmique) limite la taille en kilotonne de l’engin à moins de 70m de diamètre à cause de la taille des bâtiments. Pour chaque kilotonne d’effet explosif vous avez une boule de feu d’environ 15m de rayon. La taille de la boule de feu peut-être bien moindre quand elle est contenue dans une structure d’acier. Ainsi un engin de 3 Kt produira une boule de feu plasmique de l’ordre de 50m.

Dans une construction d’arme thermo-barique, le plasma de la boule de feu demeurera de la même taille, mais elle sera sous une pression bien plus importante et aura plus de densité dûe à l’apport d’oxyde de fer dans la boule de feu. Quand la boule de feu s’étend à son maximum de 50m et juste après qu’elle ait consummé tous les matériaux du bâtiment dans cette zone (plus de 150 tonnes dans cette zone), elle commence à se refroidir rapidement. Lors de son refroidissement, elle va cracher le plasma d’acier fondu sous haute pression comme un véritable volcan, propulsant le plasma liquide directement vers le haut du cœur de la structure du bâtiment. Cette éruption volcanique de fer liquide plasmique va littéralement dissoudre tout l’intérieur du bâtiment et tout ce qui entre en contact avec. La suite de la Pulsion electro-magnétique (PEM) va même ajouter encore plus de chaleur thermique aux composants structurels du bâtiment. La PEM détruira et effacera tout disque dur d’ordinateur survivant dans la zone.

Q: Les engins nucléaires opérant au-dessus de la surface du sol apparaissent être beaucoup plus petits que les engins nucléaires opérant en sous-sol et les charges nucléaires se trouvant sous les tours apparaissent être différentes de celles étant placées sous le bâtiment 7 du WTC.

A: Oui, chaque bâtiment a besoin d’une charge explosive différente afin de le démolir. Ceci dépend de la taille, de la forme et de la masse du bâtiment. Ceci correspond à des calculs physique de démolition de base. Les bâtiments 4-6 étaient plus petits demandant des charges moins importantes pour les amener au sol. Le bâtiment 7 était plus important et demanda plus d’une charge. Les bâtiments 1 et 2 demandèrent bien plus de charge explosive et ils ont eu besoin d’un bien plus grand trou au centre de leur structure pour les amener au sol. Les charges thermo-bariques furent utilisées et faites spécifiquement pour juste cet objectif.

Q: Nous voyons des preuves de l’utilisation de bombes à neutron dans les résultats d’analyse de poussières de l’USGS et dans celles de l’eau du DOE. Le composant principal apparaît avoir été l’uranium car on retrouve de l’uranium dans les poussières et non pas du plutonium. Le second composant apparaît être du deuteride de lithium alors que nous voyons du tritium dans les échantillons d’eau analysés par le DOE. Est-ce qu’un engin nucléaire thermo-barique pourrait utiliser de l’uranium en ingrédient primaire ?

A: Oui. Une arme à l’uranium ou au plutonium peut-être utilisé primairement. L’engin primaire n’a besoin que d‘être construit pour être une arme de fission. L’uranium est aussi utilisé dans un engin à plutonium comme miroir à neutrons et décupleur d’énergie. Il réduit la quantité nécessaire de plutonium de 25 à 50%. L’uranium ne va pas complètement se consummer parce que c’est un miroir à neutrons, il va donc être détectable dans les retombées radioactives. Environ 500 g de plutonium ou d’uranium vont produire jusqu’à 85g de déchets radioactifs par 500g de carburant fissile consummés par la détonation primaire.

Donc si l’arme a utilisé 7,5kg de carburant, cela produira environ 1275g ou 1,275kg de retombées radioactives. La vastemajorité de cela sera absorbée par la combustion secondaire du résidu de carburant nucléaire dans la réaction thermo-barique. Ajouter de l’oxyde de fer dans la secondaire va réduire les retombées radioactives à un niveau acceptable après plusieurs jours. C’est une arme thermique propre. C’est pourquoi elle a été utilisée: moins de retombées radioactives a gérer.

Pour chaque Kt d’énergie produite dans une explosion nucléaire, elle va consummer jusqu’à 50 tonnes de fer ou d’acier lorsqu’il est pompé dans la boule de feu plasmique les transformant en gaz. Lorsque cela se refroidit ou est exposé à l’air ou à de la vapeur d’eau, il forme des microgranules d’oxyde de fer de forme sphérique de 7 à 10 nanomètre de taille.

Toutes les sphères de métal formées par le plasma vont varier en taille lors du refroidissement, variation basée sur leur poids atomique et la longueur d’onde de la lumière qu’elles absorbent. La taille est déterminée par la longuer d’onde de la lumière iradiée par la boule de feu plasmique et elles auront une taille allant de 30 nanomètre (lumière infra-rouge) jusqu’à moins de 1 nanomètre pour les expositions aux rayonx x et gamma. Le fer n’absorbe la lumière que dans une échelle de l’ordre de 7 à 10 microns, c’est pourquoi elles sont de cette taille, L’or, l’argent et l’aluminium absorbent tous des longueurs d’onde plus courtes, elles sont donc plus petites par la taille.

Si l’échantillon de retombées n’est pas pris directement de l’épicentre de ground zero, il révèrera de moins en moins de plutonium ou d’uranium dans les échantillons relevés ; au plus loin on s’éloigne de l’épicentre de la détonation. Ceci est dû au fait que la plus grande partie du matériau radioactif non consummé ne voyage pas très loin de la boule de feu plasmique.

Le but secondaire de l‘oxyde de fer est de convertir l’excès de rayons gamma, x et des radiations à neutron en énergie thermique. Sa troisième fonction est de convertir les radiations alpha et béta en chaleur. Sa quatrième fonction est de convertir l’excès d’électrons libres produits par la détonation en une PEM plus importante. Sa cinquième fonction est de contenir ou même d’absorber les retombées radioactives et de réduire les niveaux de radioactivité, aidant en cela le nettoyage a posteriori.

Si un coffrage épais ferreux est utilisé, il se fragmentera comme une grenade ou un obus d’artillerie, une poudre de fer plus douce est alors utilisée. Il y a aussi besoin d’une grande surface afin de produire l’effet thermo-barique. Lorsque ce plasma très chaud qui a plus de 1 000 000oC en son centre et environ 5000oC sur sa périphérie vient en contact avec quelque matériau que ce soit, il va soit le vaporiser immédiatement, ou le faire fondre. Même s’il ne le fait pas fondre entièrement, si les éléments structurels du bâtiment montent en température au dela de leur point Curie, ils perdront toute intégrité structurelle et plieront comme des fétus de paille.

Ceci est une arme plasmique de première génération quand elle est utilisée dans un bâtiment fermé en acier. La construction fermée en acier va aussi aider à contenir les radiations, quand l’engin est utilisé dans une structure très haute comme ce fut le cas le 11 Septembre. Le cœur central en acier de 300m de long ou de hauteur du bâtiment joue le rôle de guide d’une vague thermique pour le plasma très chaud transformant le cœur central d’acier du bâtiment en une arme à énergie dirigée. Il agit aussi en tant que guide de la vague de la PEM et dirige l’énergie produite par l’engin directement vers le haut du cœur de la structure centrale Cela fondamentalement forme de fait une arme à énergie dirigée.

La Pulsion electro-Magnétique (PEM) est polarisée verticalement et est primairement absorbée par la structure d’acier des bâtiments. Les effets d’élargissement du champ de la PEM ne radie pas plus loin que le proche champ magnétique produit par l’explosion initiale. Le bâtiment en acier agit comme une cage de Faraday absorbant et re-iradiant l’énergie de la PEM comme énergie thermique, ajoutant ainsi à l’effet thermo-barique. Les rayons x, gammas et les neutrons sont rapidement absorbés par la plupart des matériaux lourds du bâtiment, ainsi très peu de radiations se retrouvera à plus de quelques blocs de voisinage de la structure extérieure du bâtiment. Afin de prévenir qu’une contre-pulsation électro-magnétique endommage les sources électriques du bas de Manhattan, le bâtiment doit être mis hors secteur juste avant l’explosion. Ceci demanderait que quelqu’un coupe le courant dans la substation électrique qui était utilisée par le complexe du WTC et la compagnie d’électricité.

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Voila, vous avez les secrets nucléaires des attentats du 11 Septembre nus devant vous pour que tout le monde puisse comprendre. Il ne peut plus y avoir de doute ni de contestation sur le fait que la ville de New York a été victime d’une attaque nucléaire en ce 11 Septembre 2001. La théorie de la nano-thermite fut une opération psychologique depuis le départ pour masquer l’attaque nucléaire sur les tours.

Nous devons saluer et remercier ceux qui ont choisi de relâcher cette information hautement classifée secret défense, ils ont rendu un énorme service en répondant finalement à la question du “comment” de la destruction des tours du WTC.

Nous nous sommes demandés pourquoi cette information sort maintenant, la réponse nous a donné plus de vue sur les gens responsables de ce crime terrible du 11 septembre. Cette courte remarque se trouvait à la fin du texte envoyé.

“Bush, Cheney et Rahm Emmanuel sont partis. Tout comme le sont la majorité des co-conspirateurs. Ils ont quitté ou ont été écarté du pouvoir. Ceci rend les choses plus sûres pour les lanceurs d’alerte.”

Notez les noms utilisés et l’ordre dans lequel ils sont placés. Ceci ouvre bien d’autres questions, cette fois-ci des questions qui pourraient bien avoir des réponses et des conséquences.

Dick Cheney a récemment averti ou peut-être menacé devrait-on dire, “qu’un évenement plus mortel que le 11 septembre nucléaire” pourrait se produire, maintenant que nous savons que le 11 Septembre était nucléaire et que Cheney était au cœur de la conspiration, cette prédiction devient vraiment terrifiante.

L’information divulguée ci-dessus est loin d’être tout ce qui a été publié, fourni en provenance des documents du ministère de l’énergie (DOE) ou divulguée par de loyaux américains travaillant dans nos programmes nucléaires.Ceci n’est que la réponse à des questions sans réponse jusqu’ici, les détails auxquels nous pensons pouvoir apporter les réponses nécessaires.

Veterans Today a déjà publié des articles sur la fabrication de bombes, où les engins du 11 Septembre ont été placés et plus extensivement sur ceux qui avaient accès à ces armes. Tous les articles revus ici ainsi que celui-ci, ont détaillé pas mal de preuves scientifiques. Ce qu’il vaut la peine de noter est le fait que jamais autant d’information non publiée sur des programmes d’armement spécialisé n’a été divulguée dans une même décennie, encore moins en quelques jours.

Ce que j’ai également appris en travaillant avec VT, est que bien que les médias de masse boycottent l’information, la communauté militaire et du renseignement ne le fait pas. Quelques personnes très dangereuses sont maintenant très en colère et encore plus motivées.

J’ai vu cela. Ceci demande ce type d’ouverture et de détail après plus d’une décennie de tromperie puérile.

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Article technique connexe:

http://www.veteranstoday.com/2014/08/28/nuclear-911-revealed-theories-and-disinformation-the-misguided-and-the-inhuman/

Révélations sur le 11 Septembre… « Trop secret pour être publié », un rapport d’une agence du ministère de l’énergie américain (DOE) révèle que les attentats du 11 septembre 2001 de New York furent une attaque nucléaire ~ 2ème partie ~

Posted in 11 septembre, 3eme guerre mondiale, actualité, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, police politique et totalitarisme, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 13 septembre 2014 by Résistance 71

Cette traduction fait suite à l’article que nous avons traduit et publié hier: « Le jour où le monde s’écroula… Le 11 Septembre a été une attaque nucléaire ».

Dans l’article ci-dessous, Gordon Duff nous livre un rapport des services de renseignements russes, qui à notre avis, lâche pas à pas le morceau devant la trahison irrécupérable commise par les dirigeants corrompus yankees et occidentaux. En 2005, lors de conférences, l’ancien chef d’état-majour russe en fonction au moment des attentats, le général Ivashov, avait déjà laissé entendre que la Russie « savait ». Devant les agressions répétées dont elle fait l’objet, la Russie a sans doute décidé que le moment était venu de larguer la clique criminelle occidentale en rase campagne devant leurs peuples… Ces deux dernières traductions que nous venons de faire comptent parmi les plus importantes de notre historique.

On ingurgite toujours, le processus de digestion n’est pas encore enclenché…

3ème partie

— Résistance 71 —

 

Trop secret pour être publié: Le piratage nucléaire de Bush exposé

La Russie ouvre ses dossiers sur le 11 Septembre nucléaire et la prolifération israélienne

 

Gordon Duff

 

Mai 2014

 

url de l’article original:

http://www.veteranstoday.com/2014/05/20/too-classified-to-publish-bush-nuclear-piracy-exposed/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Le rapport reproduit ci-dessous provient d’une fuite réalisée par des sources du renseignement russes. Comme l’origine est d’une agence de renseignement sous la forme d’une “fuite”, il y a toujours des questions qui se posent (intox ou pas ?). Jusqu’ici, nous avons trouvé non seulement la confirmation de la très vaste majorité du matériel d’information fourni mais aussi que plusieurs solutions à de sérieux problèmes impliquant les attentats du 11 Septembre y sont inclues.

J’ai très peu écrit ici. Ceci est arrivé avec une grosse documentation soutenant les dires et qui pourra être publié sur SCRIBD dans le futur pour accès public. Un des éléments clé est que les Etats-Unis ont fourni à Israël des surplus d’armes nucléaires.

(Note de l’éditeur: On nous a conseillé de dire qu’une certaine documentation ne pourra jamais être téléchargée en ligne ou distribuée pour des raisons qui seront évidentes)

Nous avons obtenu une très solide confirmation de tout ceci. Pendant les années 1980, Israël a montré son inventaire de mini-nuke tactiques de modèle Davy Crockett (NdT: de fabrication américaine) à un de nos éditeurs, qui était à cette époque haut fonctionnaire du renseignement à l’OTAN. Ces mini armes nucléaires des premiers temps furent retirées de l’inventaire américain en 1978 et “disparurent”.

Ce rapport hautement classifié secret défense est publié sans changement aucun à l’exception d’une mauvaise traduction provenant d’un logiciel (NdT: Rappelons que le rapport original est en russe). Mon opinion personnelle est que ceci N’EST PAS un fuitage de désinformation mais que cela représente plutôt une très sérieuse avancée (concernant le 11 Septembre). Je pense que ceci constitue un des rares moments où on peut observer ce qu’il se passe derrière le rideau. Je publie ceci à toutes fins utiles pour ceux qui sont qualifiés pour comprendre combien très peu de tout ceci est actuellement connu sous forme d’information. Les choses nouvelles qui apparaissent ici sont stupéfiantes. Pour ceux qui trouvent que tout cela leur passe au dessus de la tête, je ne peux pas faire grand chose si ce n’est que de vous dire que cela constitue le monde dans lequel “vos anciens” vivent vraiment et que vous avez finalement une chance unique de pouvoir regarder ce qu’il y a dans le tiroir du haut de la commode de papa et maman.

 

Trop secret pour être publié

 

D’après un agent de renseignement à la retraite du FXX se spécialisant dans le contre-espionnage israélien: le type d’engins nucléaires utilisés durant le 11 septembre ont été une version modifiée des obus d’artillerie nucléaires W-54, qui furent fournis en secret aux Israéliens entre 1988 et 1998 en provenance de stock de surplus américains exportés durant la période Bush/Clinton.

Une analyse chimique faite par le laboratoire Sandia du ministère de l’énergie américain (DOE ou Department of Energy) a été capable d’identifier l’empreinte chimique/radioactive des têtes nucléaires en se basant sur des échantillons récoltés après les retombées de Ground Zero du 11 Septembre. (Note de l’éditeur: L’utilisation d’une arme nucléaire à Ground Zero est confirmée par plusieurs sources)

Toutes les têtes nucléaires au plutonium ont une empreinte chimique qui peut identifier le type de fabrication de l’arme et où le PU a été fabriqué ainsi que son âge. Ceci a constitué le chantage sur Bush 1 et Bush 2 le 11 Septembre avec le transfert illégal de surplus d’armes nucléaires américaines aux Israéliens et pourquoi la couverture continuelle fut appliquée ainsi que pour la fraude sur la marché boursier qui se produisait à Wall Street et le vol d’or, d’après le fichier ENW57.pdf page 66.

(Note de l’éditeur: Document reçu et confirmé)

Il n’y a eu besoin que d’une charge de 2 kilotonnes pour faire s’effondrer les bâtiments. Un engin de 2 Kt produira une boule de feu d’environ 50 à 70m de diamètre à plus de 4000oC. Suffisamment grande pour faire fondre les poutres d’acier du cœur de la structure des bâtiments et les faire s’effondrer sur place. Le flash lumineux serait de moins de 1 seconde et serait essentiellement dans l’échelle ultra-violette (UV). La surpression serait de 60 PSI (4 bars) maximum et serait dirigée vers le haut avec l’explosion. Voir l’effet de sous-sol.

Les retombées radoactives demeureraient minimum et se situeraient seulement aux alentours de Ground Zero seulement. Le niveau de radiation baisserait à des nivreaus acceptables 72 heures après l’explosion. La vaste majorité de la radioactivité a été prise dans les poussières de ciment et de béton, ce qui a causé toutes les morts récentes par cancer que nous avons vu et voyons encore parmi les membres des équipes de premiers secours de la ville de New York, qui sont intervenus sur place ce jour-là.

(Note de l’éditeur: Consistant avec les données observées)

L’acier fondu et l’oxyde de fer ou “nano-thermite” sont des déchets de l’extrême flux induit de rayons gammas / Neutrons dans le cœur d’acier des bâtiments. Les radiations dissolvent l’acier en oxyde de fer consummant le carbone et le silicone dans l’acier. Ceci explique la disparition des énomes colonnes d’acier et donne un indice très important sur la “vaporisation” de l’antenne de 20 tonnes qui se trouvait au sommet de la tour sud. La projection ascentionnelle des radiations l’a littéralement vaporisé. Des preuves de cela se trouvent sur les vidéos.

(Note de l’éditeur: Le problème de la tour est vital.)

La taille totale de XXOO du fichier de données en provenance de Sandia Labs du DOE sur les évènements du 11 Septembre est de plus de 72 MB, Snowden n’avait pas l’autorisation Q, il n’a donc pas pu y avoir accès.

Carnaberry avait une bonne pile de documents sur le sujet (tout sous le coup du transfert). L’histoire complète de la non-prolifération de matériel nucléaire volé venant de Russie était une couverture israélienne pour cacher la source originale du matériel d’armement en provenance des stocks américains.

(Note de l’éditeur: Totalement confirmé)

La distribution illégale de matériel d’armement nucléaire américain aux alliés étrangers ne fut pas limitée à Israël. Virtuellememnt tous les alliés de l’OTAN croquaient de cette escroquerie également. Dick Cheney est le coupable sur cette question. Bush 2/Cheney ont négocié des noyaux nucléaires avec des pays étrangers en échange d’IOUs (NdT: “IOU” en anglais se prononce “I owe you” c’est à dire “je vous dois”, faisant référence à un système d’échange impliquant des renvois d’ascenceur sur des questions essentielles de la politique américaine) afin de pouvoir faire ce qu’ils voulaient. Tom Countryman, un agent israélien bien connu, est mainenant bizarrement en charge du NNP (National Non Proliferation) au ministère des affaires étrangères sous Obama (?). Il y fut mis par Rahm Emanuel.

Il apparaît que l’arme de choix des Israéliens fut le W-54 et s’ensuivit des séries de noyaux nucéaires pris du site de stockage poubelle d’Amarillo au Texas. C’est sur quoi Carnagerry travaillait pour Bush senior à Houston.

Un total de plus de 350 noyaux nucléaires furent transférés aux Israéliens sur une période couvrant 10 à 20 ans. Le type de fabrication de noyau pour W-54 était le plus désirable à cause du mode de fabrication donnant 2 points d’implosion. Ceci est le plus facile à reconstruire et à modifier en comparaison des autres fabrications circulaires de noyau atomique.

 

La fabrication en forme de pilule de l’arme de type W-54 fait que le noyau contient 1,5 fois plus de plutonium qu’un noyau standard. Ceci permettrait que suffisamment de plutonium enrichi au niveau requis pour l’armement soit récupéré, même après 32 ans de stockage. L’Americium qui se produit au fil du temps dans le noyau, fait que le noyau devient inutilisable en tant qu’arme nucléaire et donne une date de péremption au matériel, basée sur la vitesse de production du plutonium dans le réacteur de Stanford.

De manière courante, cela prend environ 150 jours maximum. Le temps d’iradiation dans le réacteur pendant la production détermine la durée de vie du noyau en tant qe matériel fissile d’armement nucléaire.

Toutes les mini armes nucléaires utilisées par les israéliens sont reconstruites à partir d’engins W-54.

Ces engins furent utilisés dans l’attentat à la bombe de Bali, dans l’attentat de Londres et sur les réacteurs nucléaires japonais.

(Note de l’éditeur: L’utiisation d’une arme nucléaire à Bali est confirmée)

Ces engins furent aussi utilisés à Damas, en Irak et en Afghanistan par les Etats-Unis (Note de l’éditeur: Multiples confirmations avec échantillons de terrain.)

Ces engins sont stockés dans la plupart des ambassades israéliennes afin qu’ils soient plus faciles à déployer et à mettre en œuvre. Les engins qui furent utilisés durant les attentats du 11 Septembre 2001 furent gardés au consulat israélien de New York jusqu’à ce qu’ils furent mis en place. Après le 11 Septembre, le FBI teste maintenant les valises diplomatiques avec un compteur Geiger à l’entrée et au départ des Etats-Unis. Les armes (nucléaires) sud-africaines étaient aussi des surplus d’obus d’artillerie nucléaires de type W-54, acquis d’Israël, leur assemblage final et leur test étant faits en Afrique du Sud avec l’assistance d’Israël.

(Note de l’éditeur: Ceci explique les problèmes de production de Pelendaba.)

Ceci fut fait parce qu’Israêl avait besoin d’un endroit d’assemblage et de test afin de s’assurer que la reconstruction des armes se passerait de la bonne manière et qu’elles fonctionneraient efficacement

(Note de l’éditeur: test effectué le 22 Septembre 1979, confirmé de sources multiples)

Les armes nucléaires nord-coréennes sont aussi des obus d’artillerie nucléaires de 155mm, fournis par Israël. Le véritable programme nucléaire nord-coréen est basé sur l’utilisation d’artillerie nucléaire et non pas de missiles. Le plan est d’utiliser un énorme barrage d’artillerie sur la Corée du Sud si une guerre venait a éclater, incluant l’utilisation d’obus d’artillerie nucléaires pour contrer les chars américains, les roquettes et leur artillerie.

Les Saoudiens ont aussi quelques W-54 acquis des Etats-Unis sous Bush 2 (Note de l’éditeur: Confirmé). Les Israéliens ont aussi fourni ces engins à L’Inde, au Brésil, la Chine, Taiwan, le Japon et la Corée du Sud (Note de l’éditeur: Tout est confirmé sauf pour la Corée du Sud. Le Canada était pensé être la source des armes nucléaires brésiliennes). La centrale (israélienne) de Dimona abrite un réacteur thermique ouvert de 75 MGW comme celui utilisé en France, pour leur programme de production d’armes au plutonium, leur version de Stanford.

(Note de l’éditeur:  Probablement “Hanford”).

Dûe à sa sur-utilisation comme réacteur générateur rapide de plutonium par les Israéliens, Dimona a été victime d’une “explosion de vapeur”, un flash dû à l’aspect critique des neutrons à la fin des années 1980 sous Bush 1. Ceci ferma les opérations d’enrichissement pendant plusieurs années jusqu’à ce que des réparations puissent être faites.

Maintenant la centrale ne peut opérer qu’à bas régime à cause des dégâts causés par l’absorption des neutrons dans le vaisseau d’isolation de la centrale. Le réacteur est maitenant essentiellement utilisé pour la production d’isotopes. Ceci a forcé les Israéliens à se tourner vers des stocks de matériels nucléaires volés des Etats-Unis pour la continuation de leur programme nucléaire.

Les Israéliens, sachant que le matériel nucléaire qu’ils avaient acquis avait une durée de vie limitée avant qu’il ne soit plus utilisable en tant qu’arme, essayèrent de le refourguer sur le marché des surplus le plus rapidement possible avant qu’il ne soit plus d’aucune utilité pour eux. Ainsi ils le refourguèrent à des nations ne se doutant de rien qui ne feraient que le conserver étant incpables de le tester. Ce furent les tests de fission en Corée du Nord.

(Note de l’éditeur: confirmé de sources multiples)

Lorsque tout le monde s’est rendu compte de la supercherie, comme le firent le Japon et la Corée (l’épisode des sous-marins coréens qui ont coulé etc), ils furent en colère, car ils se rendirent compte qu’ils avaient payé beaucoup d’argent pour de la camelote. Ceci vit le début d’une mini guerre froide avec israël et ses vieux clients. Quoi qu’il en soit, avec des micro-armes nucléaires, même lorsque le plutonium prend de l’âge, il produira toujours une fission suffisante pour une petite détonation sous la barre des 2 Kt en amplitude.

Ainsi elles peuvent toujours ètre utilisées comme petites “bombes sales” ou comme de petites minitions nucléaires tactiques comme par exemple lors des attaques à l’artillerie nucléaire à Damas avec des W-54 sous forme de roquettes.

(Note de l’éditeur: Attaque confirmée du 4 Mai 2013)

Dans la fabrication en W-54, le noyau est toujours de la forme d’une pilule et fait environ 10cm de diamètre et pèse environ 9,5kg.

La très vaste majorité du combustible nucléaire est consummé dans la boule de feu plasmique lors de l’explosion, il y a donc très très peu de plutonium dans les retombées radioactives. S’il est mélangé à d’autres matériaux, les retombées radioactives peuvent même être réduites à un très bas niveau tout comme dans les engins à radiation intensifiée appelée également “bombe à neutrons”. C’est ce qui a été utilisé en ce 11 septembre 2001.

Le but principal de l’arme nucléaire utilisée le 11 Septembre fut de produire un énorme flux de rayons gammas / neutrons qui vaporiseraient alors environ 60 à 90m de grosses poutres d’acier épaisses de 15cm, qui constituaient le cœur de la structure des tours du WTC. Ceci créa un phénomène de chute libre comme tout le monde l’a vu à la télévision ce jour là

(Note de l’éditeur: Information critique ici…)

Le flash lumineux serait caché de la vue à cause de la détonation qui se produit sous terre. La vaste majorité de la lumière était dans le spectre non-visible de toute façon. La surpression serait réduite à 6 PSI à cause de la détonation voyageant vers le haut et vers le cœur de la structure des bâtiments et les radiations à neutron vaporisant la grosse antenne de télévision se situant au sommet du bâtiment comme vu à la télévision.

Les retombées radioactives seraient essentiellement du ciment et du béton armé vaporisé et de l’oxyde de fer. C’est pourquoi après les évènements, ils ont dit a tout le monde à la télé que les brûlures de la peau dûes aux rayons béta , étaient dûes à la causticité du ciment des bâtiments et non pas aux radiations des retombées radioactives. (Note de l’éditeur: Information totalement confirmée)

L’oxyde de fer trouvé partout sur place était ce qu’il restait des poutres d’acier. Ceci représente ce qui a été appelé nano-thermite et qui fut trouvé partout. Les retombées radioactives ont été limitées à une zone 1,5km dans le centre de New York. Voir les cartes. (Note de l’éditeur: Les cartes ont été reçues)

La chute du niveau de radiation a ramené la zone dans la norme de sécurité radiologique après 72 heures (Note de l’éditeur: Information totalement confirmée) juste en dehors de Ground Zero. Voilà pourquoi la zone a été fermée au public pendant 3 jours après les évènements afin de permettre aux radiations de retourner à des niveaux de sécurité établis.

Revélations sur le 11 Septembre… « Trop secret pour être publié », un rapport d’une agence du ministère de l’énergie américain (DOE) révèle que les attentats du 11 septembre 2001 de New York furent une attaque nucléaire…

Posted in 11 septembre, actualité, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , on 12 septembre 2014 by Résistance 71

Par ces révélations officielles, beaucoup de choses concernant les attentats du 11 Septembre s’éclaircissent. Certains articles connexes se doivent d’être traduits pour mieux comprendre cette information. C’est du lourd… Cela doit être divulgué. En fait, l’affaire ukrainienne s’ajoutant à celle de la Syrie énervent particulièrement un pays qui possède des informations depuis plus d’une décennie qu’il gardait sous le coude pour des jours plus sombres… Nous y sommes ! L’empire  ne devrait pas s’en relever si tout le monde fait son boulot.

2ème partie: « Trop secret pour être publié… Le piratage nucléaire de Bush exposé »

3ème partie: « Trop secret pour être publié… Smash ! Révélations sur le plus classifié du 11 Septembre »

— Résistance 71 —

 

Ground Zero: « The origins of the term ground zero began with the Manhattan Project and the bombing of Japan. The Strategic Bombing Survey of the atomic attacks, released in June 1946, used the term liberally, defining it as: « For convenience, the term ‘ground zero’ will be used to designate the point on the ground directly beneath the point of detonation, or ‘air zero.' »[4] William Laurence, an embedded reporter with the Manhattan Project, reported that « Zero » was « the code name given to the spot chosen for the atomic bomb test » in 1945.[5]

The Oxford English Dictionary, citing the use of the term in a 1946 New York Times report on the destroyed city ofHiroshima, defines ground zero as « that part of the ground situated immediately under an exploding bomb, especially an atomic one. »
~ Source: Wikipedia ~

 

Le jour où le monde s’écroula… Le 11 Septembre a été une attaque nucléaire

 

La lettre courriel de Veterans Today sur le 11 Septembre envoyée à 100 000 officiels d’état aux Etats-Unis

 

 … par Jim W. Dean,  VT Editor      … en compagnie d’Américains loyaux qui ont contribué pour le peuple américain et le peuple du monde

 

11 Septembre 2014

 

url de l’article original:

http://www.veteranstoday.com/2014/09/11/the-day-the-world-fell-down-9-11-was-a-nuclear-attack/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Veterans Today a rendu public le rapport officiel classifié américain de 2003 sur l’attaque de Ground Zero à New York comme étant un évènement nucléaire, ce qui a été rapidement confirmé par une analyse de spectrométrie de masse des échantillons de poussières collectés sur place.

Cet examen a été effectué depuis des décennies par les agences de renseignement nationales principales après chaque grosse explosion ayant eu lieu dans différents pays et la plupart des analyses ont révélé qu’il s’agissait d’attaque par mini bombe nucléaire.

Ce qui rend notre étude si incroyable est que les enquêteurs de l’AIEA (Agence Internationale de l’Energie Atomique) ont confirmé l’historique des attaques par bombes nucléaires et notre propre laboratoire Sandia (américain) a mis au point les bombes qui étaient supposées être utilisées pour nous défendre. Ils sont très très en colère à l’heure actuelle.

Veterans Today est une plateforme de renseignement couvrant trois générations de professionnels du renseignement civil et militaire, allant de la guerre froide jusqu’au boulot actuel du contre-terrorisme dans lequel certains membres de notre comité directeur sont engagés.

Notre poursuite des véritables coupables ayant perpétré les attentats du 11 Septembre 2001 a été récompensée juste à temps pour l’anniversaire qui arrive. Après des années à avoir été observés à distance pour nos efforts, le rapport officiel de Sandia nuclear labs de 2003 sur le 11 septembre nous a été fuité par une source au sein d’un gouvernement étranger ; rapport qui contient beaucoup de détails décrivant comment les bâtiments de Ground Zero ont été détruits au moyen de mini armes nucléaires.

Nous avons éliminé par nos propres efforts de recherche toutes les autres théories concurrentes comme n’étant physiquement pas possible. Nous avons eu beaucoup d’indices mettant la puce à l’oreille comme par exemple le granit fondu se trouvant sous les tours, qui n’a pu se produire que comme résultat d’une détonation nucléaire, puis plus tard les pics de radiation et les maladies résultant des ingestions de particules radioactives qui ont commencées à apparaître et mis sous couvert du secret au moyen de diagnostics volontairement erronés.

Malgré les experts que nous avons ici à VT, certains ayant une expérience dans le nucléaire, nous avons également lancé le mot dans les réseaux familiers de nos “anciens”, que nous avions besoin de la confirmation que nous n’étions pas les victimes d’une intox élaborée ourdie par nos nombreux ennemis. Nous recevons des histoires foireuses et de plus ou moins bons canulards toutes les semaines. A notre plus grande surprise, la confirmation est venue de la meilleure source qui puisse être: du corps des inspecteurs de l’AIEA et des fabricants, concepteurs des bombes nucléaires du labo Sandia, qui ont écrit le rapport (de 2003).

Ces personnes ont non seulement confirmé que le rapport était réel, mais pire, que les empreintes nucléaires trouvées dans les échantillons de poussière de Ground Zero, ont montré que le matériel fissile de la tête nucléaire employé provenait d’ici (des Etats-Unis).

Il apparaît que nos armes nucléaires tactiques appelées ‘Mothballed Davy Crockett” (NdT: photo dans l’article original en anglais) seraient “tombées de camions” au travers d’un système de comptabilité qui fut créé pour subrepticement faire disparaître du matériel de têtes nucléaires.

L’inventaire en question est parti en Israël après l’incident de la centrale de Dimona qui a annihilé sa capacité de produire du matérial radioactif suffisamment enrichi pour produire des têtes nucléaires, mais ils avaient l’expertise pour transformer les vieux “Davy Crockett” en armes nucléaires tactiques modernes.

Les enquêteurs de l’AIEA ont confirmé ce que nous savions déjà, que de mini-armes nucléaires ont été utilisées depuis quelque temps dans les grandes attaques terroristes à la bombe, ce qui éliminait les groupes terroristes de façade comme perpétrateurs (patsies), parce qu’une très courte liste de pays majeurs ont la capacité nécessaire pour exécuter ces attaques.

A chaque fois qu’il y a eu une énorme explosion quelque part, toutes les meilleures agences de renseignement ont dépêché sur place leurs équipe d’évaluation pour récupérer des échantillons de poussière afin de faire un test routinier de spectrométrie de masse et pour voir s’il y avait des résidus radiologiques, qui furent toujours trouvés, incluant les empreintes de ceux utilisés en particulier pour les comparer à leur base de données sur les explosions précédentes.

Voici ci-dessous une liste partielle des attaques suicides fausse-bannière qui ont utilisées de mini-bombes nucléaires. Ceci constitue une campagne de terreur pour laquelle non seulement rien n’a été fait pour faire rentrer le génie dans sa lampe, mais dont rien n’a été dit au peuple américain, ni aux peuples du monde, ce qui rend la chose aisée à continuer.

  • Les camps militaires des Marines américains et des parachutistes français à Beyrouth (Drakkar), Liban en 1983.
  • Le bâtiment Alfred P. Murrah d’Oklahoma City en 1995.
  • L’ambassade égyptienne d’Islamabad, Pakistan, 1995.
  • Les tours Khobar de Dahran, Arabie Saoudite, 1996.
  • Les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie, 1998.
  • Le consulat britannique d’Istanboul
  • Les attentats du WTC du 11 Septembre 2001
  • La boîte de nuit Sari, Bali, 2002
  • Le bureau de l’ONU à Bagdhad, 2003
  • Ambassade d’Australie, Djakarta, 2004
  • Attentat pour l’assassinat de l’ancien premier ministre libanais Rafik Hariri, mini bombe nucléaire implantée dans les égoûts, Beyrouth, 2005
  • Attentat sur l’école de police algérienne, 2008

Et beaucoup d’autres non rapportées.

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Les Etats-Unis sont sujets d’une grosse pénétration de leur système de sécurité, la plus grosse de l’histoire mondiale et cela a été classifé afin de protéger ceux responsables des transferts de matériaux fissiles vers Israël et ceux après eux pensant que si le peuple américain venait à le savoir, cela déclencherait une révolution ici.

Mais il y a eu un groupe dans le domaine de la sécurité et du renseignement qui pensait juste l’inverse, que cacher ce qui s’est passé et permettre aux véritable perpétrateurs de s’en sortir en étant toujours en possession d’un large stock de ce type d’arme, nous laissait littéralement pieds et poings liés et sous la menace.

L’autre problème fut aussi le laisser-faire de long terme en Amérique concernant toute traduction en justice d’Israël pour espionnage, pas seulement dû à l’ambarras politique que cela provoquerait, mais aussi à cause des Américains de haut niveau, toutes branches étatiques de notre gouvernement confondues, qui l’ont assistés depuis des années.

L’ordre de non poursuite judiciaire était en fait un outil de recrutement pour eux, montrant qu’ils étaient intouchables. Les médias de masse ont jusqu’ici complètement occulté notre entière série d’articles. Nous n’avons pas eu d’appels de ces médias manifestant un quelconque désir d’en savoir plus. La peur est la cause sous-jacente dans bien des cas, parce que nous parlons ici de meurtres, d’assassinats de masse et les perpétrateurs n’ont plus rien à perdre et tuer quelques personnes supplémentaires n’a plus vraiment d’importance. Mais tous n’ont pas peur. Nous allons jouer les cartes qui nous ont été distribuées, mais nous ne pouvons pas espérer de succès sans votre aide.

Nous vous demandons de travailler avec nous et de traquer ces personnes et de faire en sorte que les armes encore à leur disposition soient neutralisées avant qu’ils ne s’en servent encore. La première des choses à faire est de déclencher une demande publique de masse pour que le rapport de Sandia Labs soit rendu public et que soient aussi rendus publics tous les dossiers accumulés et classifiés sur l’espionnage d’Israël aux Etats-Unis, dont nos amis membres du FBI nous disent qu’ils seraient largement suffisants pour expliquer toute l’affaire.

Nous ne serons jamais en sécurité tant que nous ne ferons pas face et que nous ne nettoierons pas cette horrible partie de notre histoire. Si nous ne faisons rien, nous devenons les complices de ces assassins. Aucun d’entre nous ici, à Veterans Today, ne fera jamais cela et ce, quelqu’en soient les risques et les coûts.

Il est plus que temps d’appuyer sur le bouton “reset/redémarrage” de cette affaire du 11 Septembre.

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Articles connexes:

http://www.veteranstoday.com/2014/07/18/slam-dunk-most-classified-911-revealed/

http://www.veteranstoday.com/2014/05/20/too-classified-to-publish-bush-nuclear-piracy-exposed/ en français:

https://resistance71.wordpress.com/2014/09/13/revelations-sur-le-11-septembre-trop-secret-pour-etre-publie-un-rapport-dune-agence-du-ministere-de-lenergie-americain-doe-revele-que-les-attentats-du-11-septembre-2001-de-new-york-furen-2/

Note de Résistance 71: Ces deux articles ci-dessus sont de la “dynamite” (sans mauvais esprit) et nous avons l’intention de les traduire. Merci de votre patience !…