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11 septembre nucléaire : Des scientifiques de Los Alamos répondent aux questions sur l’attaque nucléaire de New York (Veterans Today)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 28 septembre 2020 by Résistance 71

 

 

Comprendre le monde d’aujourd’hui passe par une compréhension de l’histoire lointaine et récente. Comprendre l’empire anglo-américano-sioniste et sa fuite en avant dans la tyrannie mondiale, c’est en comprendre l’élément fondateur que sont les attentats du 11 septembre 2001 de New York, perpétrés par ce qu’on appelle « l’état profond », pour mettre en place une grille de contrôle planétaire servant le plus petit nombre adepte d’un capitalisme monopoliste transnational destructeur, stade ultime du système étatico-capitaliste de la dictature marchande.
Ces attentats furent des attentats nucléaires ne pouvant être mis en place qu’avec le savoir faire et la complicité de pouvoirs étatiques et financiers puissants, dont un segment du gouvernement des Etats-Unis eux-mêmes.
Ci-dessous, le point de vue analytique du modus operandi nucléaire de ce néfaste jour par des scientifiques nucléaires de Los Alamos, des gens dont le métier est de construire ces engins de destruction massive inhumains que sont les armes nucléaires et qui en savent long. Ceci est un complément de notre PDF « Au sujet d’un 11 septembre nucléaire », que nous avons remis en lien sous cet article.
Ce que nous vivons aujourd’hui, y compris la situation ubuesque en ben des points de la « crise sanitaire CoV19 » devenue rapidement une dictature sanitaire, trouve en grande partie sa source dans les attentats du 11 septembre 2001, le Ground Zero de la mise en place d’une tyrannie mondiale.

~ Résistance 71 ~

 

Le résumé technique du 11 septembre 2001 : Les scientifiques de Los Alamos répondent aux questions sur l’attaque nucléaire de New York

 

VT

 

26 septembre 2020

 

url de l’article original:

https://www.veteranstoday.com/2020/09/26/excerpting-9-11-los-alamos-scientists-answer-questions-on-the-new-york-nuclear-attack/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

L’information ci-dessous est hautement classifiée. Les poseurs de question sont Ian Greenhalgh et Don Fox.

Les réponses proviennent de l’équipe de l’université de Californie qui a enquêté sur les attentats du 11 septembre 2001 pour le ministère américain à l’énergie (DoE). Ceux qui répondent aux questions sont des physiciens qui travaillent tous exclusivement pour le développement et les tests d’armement nucléaire ; ce sont les plus grands experts au monde sur le sujet.

L’information fournie fut le résultat de l’enquête officielle sur le 11 septembre conclut par le DoE en 2003 et envoyé à la Maison Blanche, aux membres de la Cour Suprême des Etats-Unis et à des membres clef de comités du Congrès des Etats-Unis.

Cette information fut aussi vue et analysé par le Join Chief of Staff (JCOS NdT : ou Etat-Major général des armées).

Au moins 200 officiels et hauts-fonctionnaires américains ont vu ce rapport. Une information postérieure a quelque peu modifié ces trouvailles fondée sur la lecture par l’équipe de Los Alamos des travaux de Dimitri Khazelov.

Ce qui est représenté ci-dessous ne provient que d’un fragment de l’enquête, un fragment sur le “comment” de l’affaire. Ceci fut initialement publié par VT en mai 2014.

Nous ne disons pas que ces informations sont correctes à 100%, mais nous pensons qu’elles le sont dans une très large mesure.

Ceci constitue ce que le gouvernement des Etats-Unis a eu connaissance et est parfaitement au courant. Ce sont les véritables conclusions d’enquête. Vous a t’on dit quelque chose de différent ? Si oui, pourquoi ?…

Q: Combien de types d’engins furent utilisés à New York en ce 11 septembre 2001 ?  Je vois un cas où on pourrait dire 2 ou 3 différents types d’engins [nucléaires] ?

A: Au moins deux types différents d’armes nucléaires furent utilisés. L’une est une arme micro-nucléaire standard de modèle à noyau W-54 de moins de 3 Kt et plus importante que 500 tonnes minimum de puissance explosive.

Les deux types plus avancés d’armes utilisées pour effondrer les tours 1 et 2 du WTC furent au moins de 1 à 3kt en charge. La boule de feu limite la taille en Kt de l’arme. La boule de feu doit avoir une taille maximum de 60m de diamètre à cause de la taille des bâtiments. Pour chaque Kt d’effet de démolition, vous avez environ 15m de rayon pour la boule de feu (NdT: soient 30m de diamètre, 2Kt ferait une boule de feu de 60m de diamètre…). La taille de la boule de feu peut-être moindre lorsqu’elle est contenue dans une structure en acier. Ainsi, une arme de 3Kt produira une boule de feu de 45m environ de rayon (soient 90m de diamètre).

Dans une configuration thermobarique, la boule de feu restera de la même taille, mais elle sera sous bien plus de pression et sera plus dense à cause de l’oxyde de fer dans la boule de feu. Lorsque cette boule s’étend à sa taille maximum de 45m et juste après qu’elle consomme tous les matériaux du bâtiment dans cette zone (plus de 150 tonnes pour une arme de 3 Kt), elle commence à se refroidir très rapidement.

Alors qu’elle se refroidit elle va expulser le plasma de fer fondu sous haute pression exactement comme un volcan, expulsant, éruptant la “lave” ou plasma directement vers le haut dans le centre du bâtiment. Ce jet sous pression “volcanique” de plasma très chaud va littéralement faire fondre tout l’intérieur du bâtiment et tout ce qui entre en contact avec. La Pulsion ÉlectroMagnétique (PEM) qui suit, va ajouter encore plus de chaleur thermique aux composants structurels du bâtiment. La PEM va aussi détruire ou effacer tout disque dur informatique survivant dans la zone.

Q: Les armes nucléaires au sol ainsi décrites paraissent être bien plus petites que celles utilisées enfouies. Les armes nucléaires sous les tours 1 et 2 du WTC apparaissent être différentes de celles utilisées sous le WTC7.

A: Oui, chaque bâtiment a besoin d’une charge explosive différente afin de l’effondrer. Ceci dépend de la taille, de la forme et de la masse totale du bâtiment. C’est de la physique de démolition très basique.Le bâtiment 7 a nécessité deux charges, car plus grand que les bâtiments 4, 5 et 6. Les tours 1 et 2, vu leur taille, demandèrent de bien plus grosses charges et il y eut besoin de plus gros trou pour les y mettre. Les armes utilisées pour ces deux bâtiments furent celles spécifiquement créés à cet effet (thermobarique), elles furent spécifiquement utilisées pour ce but précis.

Q: Nous voyons des preuves de l’utilisation de bombes à neutron dans les poussières collectées par l’USGS et les échantillons d’eau collectés par le DoE.  Il semble que l’uranium ait été le matériau de fission prévalent et nous trouvons de l’uranium dans les échantillons de poussières et non pas des résidus de plutonium. Le secondaire paraît être du deuteride de lithium alors qu’on trouve du tritium dans les échantillons d’eau du DoE. Est-ce qu’une arme nucléaire thermobarique pourrait utiliser de l’uranium comme combustible primaire ?

A: Oui. Une arme à l’uranium ou au plutonium peut être utilisé comme primaire. La primaire n’a besoin que d’être une arme à fission. L’uranium est aussi utilisé dans une arme à plutonium en tant que réflecteur/miroir à neutrons et un catalyseur d’énergie. Il réduit la quantité nécessaire de plutonium de 25 à 50%. L’uranium ne va pas complètement brûler, car il agit comme réflecteur à neutrons, ainsi on va en retrouver dans les retombées. 450g de plutonium ou d’uranium vont produire quelques 90cm3 de retombée par 450g de carburant fissile consommé par le primaire.

Donc si l’arme a utilisé 7kg de carburant fissile, elle produira 1350cm3 de retombée radioactive. L’essentiel de cette retombée sera absorbée par la seconde combustion du carburant nucléaire dans sa réaction thermobarique. Ajouter de l’oxyde de fer dans le secondaire réduira les retombées radioactives à des niveaux très acceptables après quelques jours. C’est une arme qui brûle propre. C’est pour cela qu’elle fut utilisée, bien moins d’effets radioactifs secondaires à gérer après détonation.

Pour chaque Kt d’énergie produite dans une explosion nucléaire, elle va consommer jusqu’à 50t de fer ou d’acier lorsque c’est pompé dans la langue de plasma, les transformant en vapeurs gazeuses. Lorsque tout cela se refroidit et est exposé à l’air ou à de la vapeur d’eau, cela forme des micro-granules d’oxyde de fer sphériques d’une taille d’environ 7 à 10 nm (nanomètres). Toutes les sphères métalliques formées par la boule de plasma lorsqu’elles se refroidissent varient en taille, selon leur poids atomique et la longueur d’onde de lumière qu’elles absorbent. La taille est déterminée par la longueur d’onde de la lumière  émise par la boule de feu du plasma allant de 30nm (lumière infra-rouge) à de bien plus petites tailles de l’ordre de moins de 1nm (pour les rayons X et gamma). Seul le fer absorbe la lumière dans la zone des 7 à 10 microns, c’est pourquoi elles sont de cette taille. L’Or, l’argent et l’aluminium absorbent tous des longueurs d’onde plus courtes, ainsi elles sont bien plus petites.

Si l’échantillon de retombée radioactive n’est pas directement pris de l’épicentre de Ground Zéro, il montrera moins d’uranium ou de plutonium dans les échantillons et ce, plus vous vous éloignerez du centre point zéro de la détonation. Ceci parce que la plupart du matériel radioactif non brûlé ne voyage pas bien loin de la boule de plasma.

Le but secondaire de l’oxyde de fer est de convertir l’excédent en rayons gammas, en rayons X et en radiation de neutrons en énergie thermique. Sa troisième fonction est de convertir les rayons Alpha et Béta en chaleur. Sa quatrième fonction est de convertir l’excès d’électrons libres produits par l’explosion en une pulsion électromagnétique plus importante. Sa cinquième fonction est de contenir ou d’absorber les retombées radioactives et de réduire leurs niveaux, aidant ainsi dans le nettoyage d’après utilisation.

Si un encastrage solide et épais en fer est utilisé, celui-ci va se fragmenter de la même manière qu’une grenade ou un obus d’artillerie à fragmentation, donc une poudre de fer plus douce est utilisée. Lorsque ce plasma hyper chaud de 1 million de degrés celsius en son centre et quelques 5000oC à sa périphérie, vient en contact avec tout autre matériel que ce soit, il va immédiatement le vaporiser ou le faire fondre. Même si le matériau ne fond pas, si les éléments de la structure en acier du bâtiment arrive au delà de leur point Currie, alors ces éléments vont perdre toute intégrité structurelle et plier comme des pretzels.

Ceci est fondamentalement une arme à plasma de première génération lorsqu’utilisée dans un bâtiment clos en acier. La construction close en acier va aussi contenir les retombées radioactives, lorsqu’utilisée dans une structure très haute comme ce fut le cas ce 11 septembre 2001 à New York. La structure centrale verticale en acier de quelques 300m de long des bâtiments (tours 1 et 2) agit également comme un guide d’onde thermique pour la langue de plasma convertissant la noyau central en acier du bâtiment en une arme à énergie dirigée. Ce centre agit également comme un guide d’ondes électromagnétiques pour la PEM et dirige l’énergie produite par l’arme directement verticalement dans le centre structurel du bâtiment. Cela forme de fait, une arme à énergie dirigée très basique.

La PEM est polarisée verticalement et est principalement absorbée par la structure en acier du bâtiment. Les effets de champ s’élargissant de la PEM ne s’écartent pas plus que le champ magnétique proche produit par l’explosion originale. Le bâtiment en acier agit comme une cage de Faraday absorbant et redirigeant la PEM en tant que chaleur thermique, ajoutant ainsi à l’effet thermobarique Les rayons X, gamma et les neutrons sont rapidement absorbés par la plupart des matériaux lourds du bâtiment ainsi, très peu de cette radiation va voyager plus loin que quelques pâtés de maisons hors de la structure du bâtiment.

Afin de prévenir qu’une contre-PEM ne coupe toutes les sources de courant électrique dans la partie basse de l’île de Manhattan, le bâtiment a du être mis hors secteur juste avant l’explosion. Ceci demanderait que quelqu’un coupe le courant dans le transformateur en sous-sol utilisé par le complexe du WTC et la compagnie d’électricité.

Lecture complémentaire :

Au sujet d’un 11 septembre nucléaire (PDF)

 


Du 11 septembre …
au verrouillage de la grille de contrôle

Crimes, enquête, mensonges, falsifications pour masquer un 11 septembre nucléaire (VT)

Posted in 11 septembre, actualité, colonialisme, documentaire, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, média et propagande, presse et média, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 12 septembre 2019 by Résistance 71

 

Les vrais crimes du 11 septembre

 

Gordon Duff

 

11 septembre 2019

 

url de l’article original:

https://www.veteranstoday.com/2019/09/11/the-real-crimes-of-9-11/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Note de R71: En relation à notre billet d’hier sur « les trois mensonges systémiques du Nouvel Ordre Mondial », ce qui suit est l’introduction de GD, senior editor de Veterans Today, sur la dernière compilation d’information de Heinz Pommer sur le modus operandi de la destruction nucléaire des tours du WTC le 11 septembre 2001. Suivre le lien ci-dessus pour l’article en entier qui présente de nombreux croquis et vidéos  explicatifs de ce 11 septembre nucléaire. Nous avons traduit et publié en novembre 2017 l’essentiel de cette information, nous avons mis le pdf sous l’article. Bonne lecture !

Nous savons tous que cela fait maintenant 18 ans. Les crimes, le mensonge public, la corruption des médias, d’abord les médias de masse, puis quelques faux témoins, l’implantation de quelques bennes de camions de fausses preuves.

Puis les films, les passagers appelant depuis les avions, les pirates de l’air avec leurs cutter que les passagers des avions sur une ligne aérienne américaine, auraient mangé tout cru au petit déjeuner. Oh et puis des avions qui ne sont pas abattus, voilà comment ça a commencé, suivis de bâtiments que rien ne touchent, comme ce WTC7 qui tombe quand même, des feux qui brûlent pendant des mois, du granit et de l’acier fondus transformés en poussière. Des bombes nucléaires.

Des années de mensonge, des irradiations appelées, “soupe toxique”, disant au monde que la poussière de murs de bâtiments tue.

Puis les falsificateurs, la poudre magique et les armes à rayon de l’espace qui ont fait tomber les bâtiments, un cirque ambulant de la veulerie.

Au delà de tout ça, la véritable enquête, des meurtres, un grand jury secret, qui relie tout ça à des gangsters, à Israël, à l’Arabie Saoudite et à une cabale mondiale du trafic d’armes, tous les noms mentionnés depuis longtemps, avec des pièces d’enquête fuitées depuis longtemps et enterrées par… un effort très concerté de contrôle médiatique de toute sorte avec en son cœur, des entreprises de l’internet comme Facebook, YouTube et bien entendu Google.

Les nouveaux articles allemands sont devenus viraux, sur VT et partout (NdT: traduit en 2017 par nos soins et mentionnés dans notre article précédent…), de la science de qualité, des preuves au delà de toute imagination.

Aujourd’hui, toutes la preuve est sortie, des engins nucléaires dans les sous-bassements des tours jumelles, de petits engins nucléaires dans les réservoirs de la climatisation pour le bâtiment 7 et une enquête du FBI-CIA et de la Maison Blanche qui avait prédit cela 4 ans en avance mais sans pouvoir l’arrêter alors même que nos archives montrent qu’ils ont suivi le trajet des engins nucléaires de l’aéroport de Teterboro dans le New Jersey jusqu’au consulat d’Israël à Manhattan.

Pourquoi ?

Regardez les médias aujourd’hui, quelques sites vont vous lancer un os ici ou là du style “les incendies n’ont pas pu faire tout ça.” Je vous l’assure, ceux qui écrivent cette merde ont eu entre les mains des séries de preuves en provenance de la véritable enquête, ils avaient tout ça à leur disposition mais ils n’en ont pas utilisé un mot.

Leur science ? Une falsification infantile. D’abord le “rapport” du NIST, puis les “troofers”, une bande de clowns ambulants qui ne sont en fait pas tellement marrants.

Quand on demande pourquoi ils l’ont fait, les réponses que nous recevons mènent dans une direction.

Quelques uns de ceux qui parlent de “théories du complot” maintenant étaient là avant le 11 septembre.

Et ça continue, faux tireurs, vrais morts, faux morts, fausse attaque au gaz de combat, l’Amérique qui gère l’EIIL/Daesh et les casques blancs de la mort, la vérité est sortie, a été amenée devant des tribunaux de l’ONU, mais censurée aux Etats-Unis (NdT: et ailleurs…)

Tout en ce domaine est censure ou connerie totale.

[lire le nouveau document pleins de croquis de Heinz Pommer sur l’article original de VT]

= = =

Articles connexes:

“11 septembre et les trois mensonges systémiques du Nouvel Ordre Mondial”

Au sujet d’un 11 septembre nucleaire

 


Atomisation du WTC…

Dans la vidéo ci-dessous, on nous montre la littérale vaporisation d’une des tours jumelles et notamment on y voit la vaporisation en continu de la colonne représentée sur les photos ci-dessus, c’est montré sous plusieurs angles que nous ne connaissions pas… Stupéfiant !

 

 

11 septembre et les trois mensonges systémiques du Nouvel Ordre Mondial

Posted in 11 septembre, actualité, altermondialisme, colonialisme, guerre iran, guerre Libye, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, Internet et liberté, militantisme alternatif, N.O.M, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologie, société des sociétés, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 11 septembre 2019 by Résistance 71

“Celui qui est contre la guerre est par ce seul fait dans l’illégalité. L’état capitaliste considère la vie humaine comme la matière véritablement première de la production du capital. Il conserve cette matière tant qu’il est utile pour lui de la conserver. Il l’entretient car elle est une matière et elle a besoin d’entretien et aussi pour la rendre plus malléable il accepte qu’elle vive.
[…] L’état capitaliste se sert de la vie. La guerre n’est pas une catastrophe, c’est un moyen de gouvernement. L’état capitaliste ne connaît pas les hommes qui cherchent ce que nous appelons le bonheur, les hommes dont le propre est d’être ce qu’ils sont, les hommes en chair et en os ; il ne connaît qu’une matière première pour produire du capital. Pour en produire, il a besoin à un certain moment de la guerre, comme un menuisier a besoin d’un rabot, il se sert de la guerre. […] L’état capitaliste a besoin de la guerre, c’est un de ses outils. On ne peut tuer la guerre sans tuer l’état capitaliste. Je parle objectivement. Voilà un être organisé qui fonctionne… Dans cet être organisé, si j’enlève la guerre, je le désorganise si violemment que je le rend impropre à la vie, à sa vie, comme si j’enlevas le cœur au chien, comme si je sectionnais le 27ème centre moteur de la chenille. […]
Je préfère vivre. Je préfère vivre et tuer la guerre et tuer l’état capitaliste. Je préfère m’occuper de mon propre bonheur. Je ne veux pas me sacrifier ; je n’ai besoin de sacrifier qui que ce soit. Je ne veux me sacrifier qu’à mon bonheur et au bonheur des autres. Je refuse les conseils des gouvernements de l’état capitaliste, des professeurs de l’état capitaliste, des poètes, des philosophes de l’état capitaliste. […] Il n’y a qu’un seul remède: notre force. Il n’y a qu’un seul moyen à utiliser: la révolte, puisqu’on n’a pas entendu notre voix. Puisqu’on ne nous a jamais répondu quand on a gémi.”
~ Jean Giono, “Refus d’obéissance”, 1937 ~

Ô toi, historien, qui d’encre non menteuse
Écris de notre temps l’histoire monstrueuse,
Raconte à nos enfants tout ce malheur fatal,
Afin qu’en te lisant ils pleurent notre mal,
Et qu’ils prennent exemple aux pêchés de leurs pères,
De peur de ne tomber en pareilles misères.
~ Ronsard, extrait du Discours des misères de ce temps, 1562 ~

 

 

Trois mensonges systémiques et leurs effets sur nos vies

Les trois piliers du Nouvel Ordre Mondial en marche

 

Résistance 71 

 

11 septembre 2019

 

Aujourd’hui, est le 18ème anniversaire du plus grand évènement faux-drapeau de l’histoire de l’humanité: les attentats du 11 septembre 2001 à New York et à Washington DC.

Pour ceux qui étaient en âge de le faire, nous nous rappelons tous où nous étions et ce que nous faisions en ce jour funeste.

Il y a de toute évidence un avant et un après 11 septembre 2001. Le monde a changé, dramatiquement. Les évènements correspondirent à l’annonce faite deux ans auparavant dans un document de think tank américain, le “Project for a New American Century” ou PNAC, de la nécessité d’un nouveau “Pearl Harbor” pour faire avancer un agenda hégémonique global de l’empire anglo-américano-sioniste pour une domination totale et sans partage de la planète.

Cet évènement eut donc lieu sous la formes des attentats du “11 septembre” et certainement pas de la façon dont le narratif officiel veut nous le faire croire.

Il y a un peu moins de deux ans, en novembre 2017, nous traduisions et publiions un article / document d’une ampleur exceptionnelle sur les preuves de plus en plus affirmées, même si étouffées, pour un 11 septembre nucléaire. Veuillez suivre ce lien pour vous rafraîchir la mémoire ou simplement en prendre connaissance.

Depuis, rien de nouveau sous le soleil, si ce n’est un nouveau dossier étayant toujours plus le modus operandi de la destruction / pulvérisation, atomisation des trois tours du WTC le 11 septembre 2001.

Dans ce billet nous irons au-delà de ceci et étendrons le débat aux trois mensonges annoncés dans le titre pour nous mener (en bateau) jusqu’à la finalisation de notre mise en esclavage définitive dans un Nouvel Ordre Mondial ultra oligarchique, dictatorial et eugéniste.

L’agenda de notre domination finale sous tous les aspects possibles repose sur trois mensonges et manipulations effectifs:

Mensonge # 1 – Le 11 septembre 2001, attaque nucléaire sous faux-drapeau

Cet évènement auto-destructeur de grande amplitude, construit et mis en scène de toute pièce par le segment psychopathe d’une élite auto-proclamée ; la destruction par arme nucléaire d’un centre administratif de renommée mondiale au centre de New York et celle d’une aile du Pentagone par un missile à Washington DC, a permis la mise en place immédiate puisque déjà programmée, de ce que le gouvernement américain d’alors (Bush fils) avait étiqueté comme la “Global War On Terrorism” ou GWOT, la “guerre totale au terrorisme”, terrorisme bien entendu géré et piloté depuis les instances profondes de l’empire anglo-américano-sioniste en expansion constante. Cette guerre s’est peu à peu transformée en une guerre perpétuelle impérialiste marchande pour le contrôle absolu des ressources naturelles et humaines mondiales au seul profit d’une oligarchie débridée et sans complexe ni remord.

Depuis le 11 septembre 2001, nous avons vu l’empire attaquer sous les prétextes les plus mensongers et les manipulations les plus grossières, directement ou par procuration, l’Afghanistan (2001), le Venezuela (2002), l’Irak (2003), le Liban (2006), la Palestine (Gaza 2008), la Libye (2011), la Syrie (2011), le Soudan (2013), le Yémen (2014), l’Ukraine (2014), de nouveau le Venezuela (2018-19).

Il semblerait que le plus gros morceau arrive: l’Iran depuis 2017 et la monté de tensions préfabriquées.

Cet état de guerre perpétuelle a généré et génère toujours des milliards de dollars de revenus pour les industries qui en croquent et sont inondées de contrats gouvernementaux et privés pour l’armement, la “défense”, (l’offensive serait un terme plus approprié), les ventes d’armes (légales et illégales), la surveillance et la sécurité dans le développement d’états policiers partout en occident sous couvert de cette supercherie de la GWOT.

Aujourd’hui, l’empire est néanmoins confronté à un problème majeur: sa propagande fonctionne de moins en moins et dupe de moins en moins de personnes dans le monde et surtout en occident. Dans les grandes largeurs, le public ne marche plus dans la combine et il devient de plus en plus difficile de justifier la guerre perpétuelle, finalement déclarée aux peuples du monde et à personne d’autre. A cet effet, interviennent les deux autres mensonges du contrôle…

Mensonge # 2 L’escroquerie du Réchauffement Climatique Anthropique

La manipulation et la mise sous contrôle de la science au profit d’un agenda sur la capacité de décider du comment les gens doivent vivre en fonction d’un dogme scientifico-religieux appliqué à la vie quotidienne: nous, les humains par notre activité industrielle intensive ces derniers 150 ans, avons déclenché une catastrophe incommensurable au gré de nos émissions croissantes de CO2 qui, saturant notre atmosphère, engendre un effet de serre et de réchauffement planétaire, qui d’après les calculs de modèles informatiques pondus et bidouillés à cet effet, nous mène à la fin de l’humanité si nous ne faisons rien contre ce carbone déclaré notre ennemi, un Al Qaïda / Daesh sous forme gazeuse si on veut…

Tout ceci nonobstant les arguments de scientifiques intègres et raisonnables, de plus en plus nombreux, qui contredisent en permanence les “trouvailles” et “analyses” du GIEC, politburo du dogme du RCA.

Ce dogme permet à l’empire d’à la fois contrôler nos vies, de nous diriger, de nous forcer à limiter nos activités, à nous taxer et de plus à mettre en place toute une industrie “de la marchandise verte”, générant des milliards de dollars de revenus à quelques privilégiés dont les produits (éoliens ou photovoltaïques) sont incapables de générer une quantité suffisante d’énergie pour faire fonctionner une ville de petite taille.

Mais la science et la technologie ont également été détournées pour mettre en place le toute dernière invention en date pour la mise en place finale de la grille de contrôle planétaire du Nouvel Ordre Mondial…

Mensonge # 3 , 5G la technologie du futur dystopique

Appelé aussi “l’internet des choses”, la technologie de communication de 5ème génération ou 5G est une puissance en cours d’installation de ce qu’il est convenu d’appeler une tyrannie technotronique. Cette technologie, présentée de manière anodine comme la globalisation de toute l’information, de l’échanges de données à bien plus grande vitesse et de manière fiable, est en fait:

1- Un moyen de refermer la grille de contrôle planétaire sur les populations qui auront dès lors énormément de mal à échapper à une totale surveillance puisque tout appareil aussi anodin soit-il, de la vie de tous les jours, sera connecté et enverra constamment des données à des centres de recueil d’information. Tout ce qui sera branché ou non sur le secteur pourra rendre compte des faits, gestes et paroles de quiconque. L’ensemble de notre vie sera géré depuis des centres électroniques sous surveillance, qui nous donneront accès (ou pas) aux aspects les plus futiles de notre vie quotidienne (comme ouvrir une porte, démarrer sa voiture, faire une transaction financière ou admirer notre frigo commander du lait tout seul comme un grand…), comme aux plus importants, au moyen d’une puce électronique physiologiquement insérée, la fameuse RFID ou carte d’identité à fréquence radio, connectée en tout lieu et en tout temps pour contrôler tous les aspects de notre vie.

Ça ne vous plaît pas ? Vous entrez en dissidence ? Le centre de contrôle le plus proche éteint votre RFID et vous ne pouvez plus rien faire du tout, même plus rentrer chez vous.

2- Un moyen également de finaliser le plan eugéniste de réduction massive de la population mondiale, pour la ramener au chiffre plus “gérable” de 500 à 600 millions d’individus. Ce qui implique un programme de réduction de la population mondiale de l’ordre de 7 milliards d’individus. Questions: qui seront les heureux élus ? et surtout qui décidera de qui vivra et qui mourra ?

La 5G agit comme un amplificateur de micro-ondes, elle nous fera baigner dans un océan d’ondes déjà prouvées néfastes pour notre santé et favorisera donc le développement de maladies associées aux radiations, cancers, troubles psychiques et autres joyeusetés du genre.

Elle est en quelque sorte l’arme de destruction massive rêvée et à moins de vivre en permanence dans une cage de Faraday ambulante, il sera difficile d’éviter toute exposition aux effets néfastes et mortifères à terme de ces ondes.

Comme pour les deux précédents mensonges et manipulations, ceci génère de très gros revenus pour quelques entreprises du sérail, dont la technologie informatique de haut niveau et le système de patente est directement liée aux budgets militaires et à ceux qui les contrôlent.

Ces trois mensonges fournissent des revenus gigantesques aux mêmes entreprises, elles-mêmes contrôlées par les mêmes personnes de la même caste psychopathe et permet de mettre en place la solution finale à la lutte radicale des peuples pour leur liberté.

Aujourd’hui, percer le mystère des attentats du 11 septembre n’est plus suffisant. Nous devons ébranler et effondrer ces trois piliers du mensonge systémique sur lesquels repose l’avancée du Nouvel Ordre Mondial tout en sachant qu’il n’y a pas de solutions au sein du système, qu’il n’y en a jamais eu et qu’il ne saurait y en avoir.

Nous devons reprendre la barre du bateau ivre et balancer toute cette fange technotronique humaine et systémique par dessus bord afin de remettre le cap vers les rivages paisibles de la société des sociétés ; la seule qui nous mènera à notre humanité achevée dans la reconquête de notre être profond, hors des antagonismes marchands et de leur dictature et dans l’harmonie enfin trouvée de notre complémentarité universelle.

“Chaque état, c’est à dire donc tout gouvernement et toute administration des masses populaires qui vient d’en-haut, étant nécessairement enracinée dans une lourde bureaucratie et se reposant sur des armées, l’espionnage et le clergé, ne sera jamais capable d’établir une société organisée sur la base du travail et de la justice, puisque ces entités sont par leur essence même, naturellement enclines à opprimer le travailleur et lui refuser toute justice. Comme nous le voyons, le travailleur ne sera jamais capable de se libérer de l’oppression en ce monde à moins qu’il ne substitue à ce corps démoralisant, la fédération libre de tous les groupes producteurs, une fédération fondée sur la solidarité et l’égalité.”
~ Résolution du congrès anarchiste de St Imier (Fédération du Jura), le 15 septembre 1872 ~

“Vous ne serez et ne demeurerez que des commodités aussi longtemps que l’empire existera…”
~ Russell Means, Oglala, Lakota ~

Lectures complémentaires:

Crimes, enquête, mensonges, falsifications pour masquer un 11 septembre nucléaire (VT, 11 septembre 2019)

Manifeste pour la Société des Sociétés

Au sujet d’un 11 septembre nucleaire

La_City_de_Londres_au_coeur_de_lempire

911_History_english

Compilation Howard Zinn

Resistance71_L’essentiel_articles_2010_2018

Paulo_Freire_La_pedagogie_des_opprimes

Zenon_Inversion

Scientist 5G appeal

stop-linky-gazpar-5G

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Agenda-oligarchique-de-depopulation-sarkozy-et-les-compteurs-intelligents

Manuel_du_sceptique_climatique_No1

Manuel du Sceptique II-V4

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11 septembre nucléaire: introduction à une histoire secrète des mini armes nucléaires (VT)

Posted in 11 septembre, 3eme guerre mondiale, actualité, colonialisme, documentaire, guerre iran, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , on 14 mai 2018 by Résistance 71

Lectures complémentaires sur le 11 septembre nucléaire:

Au sujet d’un 11 septembre nucleaire

 

 

L’histoire secrète des mini armes nucléaires

 

Introduction par Gordon Duff, Senior Editor avec Jeff Smith de l’AIEA et VT

 

3 mai 2018

 

Source: https://www.veteranstoday.com/2018/05/03/488735/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Depuis des documents en quelque sorte déclassifiés de l’AIEA:

Notes de l’éditeur de VT:

On nous a donné des bribes de matériaux en provenance de bon nombre d’enquêtes ; la plupart de ces infos mettent littéralement “le monde à l’envers”. Ceci provient de sources multiples, tout n’a pas les mêmes réponses. Nous avons observé que l’enquête originale sur les attentats de 11 septembre 2001, la vraie, fut un “préliminaire”, donné à la Maison Blanche, aux leaders du congrès des Etats-Unis, au Pentagone et à des juges clef. Lorsque le suivi de l’enquête fut fait, tout fut stocké pour ne pas être publié ni présenté. Ils ont voulu enterrer ce “11 septembre nucléaire” le plus profond possible.

Aujourd’hui, nous réécrivons l’histoire. Chaque article est un tout, certains furent écrits et publiés, d’autres pris de dossiers clefs et d’autres… comment dire, furent “officieusement” déclassifiés”. Nous avons établi et prouvé les thèses de physique et elles ont survécu à de multiples défis, nous avons aussi établi la vaste présence et existence d’un terrorisme nucléaire d’état, essentiellement centré autour d’Israël. Nous nous rapprochons également d’une explication plus “multinationale” des actions d’Israël alors que nous les voyons coopérer avec d’autres comme les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France dans le domaine de la technologie de l’armement.

Il a été établi il y a longtemps que ces trois nations ont injecté non seulement de la technologie, mais aussi des matériaux nucléaires, en Israël. Nous avons montré exactement qui l’a fait et comment ce fut fait et ce comme personne ne l’avait fait auparavant. A la fin, cette série, publiée en mon nom avec quelques articles de Veterans Today, devraient être lus et commentés par des universitaires et des scientifiques, des experts en sécurité qui prennent vraiment leur travail au sérieux. Nous avons rendu facile l’accès à de l’information qu’on ne trouve nulle part ailleurs. Pour certaines personnes, naviguer dans l’entourage de VT n’est pas facile. Nous ne sommes pas dans le business de la vente de bouquins ni dans celui des remèdes miracles pour charlatans. J’ai déjà été informé par des “instances supérieures” que nos infos ont déjà changé le monde et que le terrorisme nucléaire n’est plus aussi attirant pour beaucoup depuis qu’il n’est en fait plus secret.

A cette occasion, je désire remercier tous ceux qui se sentent horriblement offensés par la vérité et les dégâts irréversibles que nous avons occasionnés à leur campagne de mensonge et de maquillage des faits. Ils ont fait avancer la cause de la reconnaissance de qui sont nos ennemis véritables et ce de manière dont ils n’ont probablement même pas idée…

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“Ce ne fut pas long pour les scientifiques de réaliser qu’en créant le minuscule “noyau de l’armement” pour la bombe à hydrogène, ils créèrent aussi une micro arme nucléaire très légère qui pourrait être transportée par un simple soldat et ayant de multiples emplois possibles contre des cibles de haute valeur stratégique ceci incluant des centrales électriques et des ponts.

Moins de deux ans plus tard, la première des SADM [Special Atomic Demolition Munition] montrée en photo en haut du présent article fut mis en service opérationnel. La SADM “standard” qui en sorti, avait un noyau de Plutonium 239 dans un coffrage métallique d’uranium 238 non-fissile connu pour être un “réfléchisseur à neutron”.

Le Plutonium et le napalm brûlent sous forme de flash à la détonation, mais pouvez-dire qui est quoi ?

Lors du point critique de la détonation d’une munition de 10t équivalent TNT d’une SADM, cela bien entendu créait bien moins de radiations que l’énorme mal nommé “Little Boy” largué sur Hiroshima, mais produisait quand même un haut niveau de radiations résiduelles dangereuses. La majorité d’entre elles provenaient du “sale” réfléchisseur en uranium 238 de la SADM, qui, avec le noyau de Plutonium 239, explosaient en millions de particules une fois arrivés au point critique.

Ce même uranium 238 non-fissile produit toujours de dangereuses maladies aujourd’hui après avoir été tiré par les chars et les avions américains et leurs obus ou têtes de missiles à l’uranium appauvri sous-critique. Demandez voir aux gens en Irak ou au Kosovo à quel point cette saloperie peut vous rendre malade. Les années passèrent et des projets top-secrets furent mis en place aux Etats-Unis et en Israël pour remplacer les vieilles SADM et leur radioactivité excessive, culminant avec le développement et test réussis à la centrale nucléaire de Dimona en 1981, de “nouveaux micros engins nucléaires”. Utilisant une physique nucléaire avancée, les scientifiques trouvèrent le moyen de faire exploser les nouveaux engins “valises” sans utilisation d’uranium 238 comme réflecteur et enrichirent le noyau de plutonium 239 à 99,78%.

Ces mesures permirent la réduction considérable à la fois de la taille et du poids de l’engin, de cette nouvelle SADM, qui avait aussi un énorme avantage. Cette nouvelle micro arme nucléaire de Dimona fut la première arme critique qui pouvait être utilisée de manière “anonyme”. Disparu le sale réflecteur à neutron à l’uranium 238 et plus de pureté dans l’enrichissement du noyau de plutonium 239.

Le plutonium n’émet que des radiations alpha, qui sont de manière bien pratique, “invisibles” au compteur Geiger standard et en contraste avec ses cousines mortelles du rayonnement beta et gamma, alpha ne voyage qu’à quelques mètres de sa source et ne peut pas pénétrer la peau humaine. Rappelez-vous qu’une micro arme nucléaire est une petite arme en terme de masse critique ayant ses particules en nombre limité distribuées sur un grand secteur.

Vous devrez être dans une zone de l’ordre de 1m50 pour détecter une simple particule. Bien que les particules alpha ne puissent pas pénétrer la peau humaine, une telle radiation est extrêmement dangereuse si elle est inhalée parce que le Plutonium est la substance la plus dangereuse connue sur terre. Si vous en respirez une pleine bouche immédiatement après la détonation, vous serez mort en moins d’une heure, peut-être même en quelques minutes.

La preuve qui suit montre clairement qu’une mini bombe nucléaire semi-pure à l’hydrogène existait en 1958 et qu’elle a eu une bonne quarantaine d’années pour être raffinée. Le graphique dans le coin en haut à droite (cf article original) montre le seul diagramme publié d’une bombe atomique pour lequel la connaissance générale du public en matière d’armement nucléaire est connue. Ce n’est pas le type de bombe qu’on utiliserait pour la démolition des tours du WTC. Elle représente une bombe à hydrogène de seconde génération.

La bombe H montrée n’est pas une bombe à hydrogène pur qui est en fait très proche de la “bombe à neutron” déjà développée. En réalité, cette bombe H de seconde génération n’est rien de plus qu’une bombe à fission utilisée comme mise à feu avec la fusion d’hydrogène utilisée pour plus de puissance. Cette bombe produit le résultat connu du public, grosse puissance, radiations et des millénaires de dévastation radioactive. Elle est au moins vieille de 30 ou 40 ans, dernier modèle de technologie de seconde génération d’armes nucléaires qui a été mise au rencard pour des armes atomiques de 3ème génération à charge moins importante qui ont une plus longue demie-vie, un entretien plus facile et une source d’énergie incorporée.

Notez l’utilisation d’uranium appauvri dans l’armement. L’UA est utilisé dans l’enveloppe et comme container pour la réaction de fusion qui devient partie du matériau fissible. C’est important dans la pratique actuelle internationale de la bombe H de 3ème génération et de la bombe hybride à fusion. D’abord on a cru que l’enveloppe à l’UA et le container de fusion en UA ne feraient sûrement pas partie des armes de fin de 3ème et de 4ème générations qui furent le type d’armes utilisées pour la démolition des tours du WTC car elles sont trop sales (résidus radioactifs de longue durée) pour la bombe à hydrogène pur dont on avait besoin. Quoi qu’il en soit, des informations subséquentes des analyses de poussières, de fusion hybride, les vieux faits bien connus des bombes à fusion pure, les premières têtes nucléaires moins puissantes semi-pures, les bombes à neutron et la connaissance que les débris seraient retirés rapidement et l’information maintenue classifiée secret défense, rend n’importe lequel des scenario plausibles.

D’après Howard Morland dans son article “The Holocaust Bomb”, les bombes atomiques de seconde génération débutèrent en 1950 et devinrent standard en 1956 avec l’annonce par Eisenhower d’une bombe à 95% propre. En 1958, la bombe Mk-41C fut testée avec une charge de de 9,3 Mt, 4,8% de l’énergie résultait de la fission et 95,2 de la fusion. Des bombes H moins radioactives ou plus “propres”, demies-propres (moins d’énergie fissile et plus d’énergie de fusion) étaient alors connues et ne furent utilisées que pour des objectifs de test. Les bombes plus puissantes à fission nucléaire furent déployées pour usage avec la connaissance et la volonté d’infliger le plus de destruction possible aux “ennemis” sur des générations et sans aucune pensée pour les conséquences sur le reste du monde. Parmi quelques autres types de têtes nucléaires à hydrogène, fut développé l’arme atomique W54 en 1961. La W54 était une micro arme nucléaire qui pesait 23 kg et qui pouvait être tirée depuis une arme portable ressemblant à un bazooka modifié. Il y a eu différentes versions de la W54 allant de 0,01 Kt à 1 Kt (NdT: pour référence, la bombe d’Hiroshima faisait 20 Kt…). Entre le milieu des années 1950 et les années 1970 les deux types d’armes (grosse charge sale et petite charge propre) à hydrogène de seconde génération furent améliorés.

Des explosions nucléaires focalisées furent envisagées dès 1959. Samuel Cohen avait déclaré qu’une bombe à neutron de petite charge pouvait être construite pour diriger l’énergie et proposa ce concept il y a déjà plus de 35 ans. Une détonation souterraine de l’arme provoque aussi la possibilité de diriger le faisceau énergétique dégagé.

Vers 1960, La bombe H relativement pure fut modifié pour avoir des effets sélectifs créant ainsi la toute première arme nucléaire de 3ème génération: la bombe à neutron ou bombe à tête nucléaire avancée, essentiellement une bombe à fusion nucléaire. L’énergie déployée par une bombe à neutron était essentiellement le résultat d’une fusion utilisant du deutérium/tritium avec seulement un tout petit composant fissile pour déclencher la réaction de fusion nucléaire.

Les bombes à neutron sont faites pour relâcher au moins 85% de leur énergie sous forme de neutrons aux dépends du souffle de l’explosion et de la chaleur dégagée en comparaison avec les têtes nucléaires précédentes à fission-fusion. L’existence de bombes à neutron fut notée il y a environ une quinzaine d’années Ce fut durant cette période qu’un procès impliquant une affaire d’espionnage chinois força des révélations sur la bombe à neutron.

Peu de temps après, Reagan a déployé les W70 (des W54 améliorées), une version ayant une zone de puissance de 0,8 à 1,6 Kt. Au moins deux ans après le développement de la bombe à neutron, son test, déclassé de mai 1963, montre “le simple fait que les Etats-Unis soient “intéressés dans la recherche” d’un programme pour déterminer les caractéristiques d’une arme à radiation optimisée ou bombe à neutron”. La politique standard semble avoir été de développer l’arme, d’informer le congrès de son développement puis d’informer le public après qu’il ait été informé qu’il y avait un besoin pour cette arme.

Très peu a été dit sur les raffinements sélectifs des armes de 3ème et 4ème générations dans les 40 années suivant leur développement initial. Le fait que leur amélioration eut lieu est prouvé par l’existence de la bombe à neutron. Les effets des Pulsions Electro-Magnétiques (PEM ou EMP en anglais) ont été un autre sujet de préoccupation et de perfectionnement tandis que ces effets furent notés durant les tests nucléaires des années 1950, il y eut un intérêt plus marqué sur ces effets en 1962 avec la détonation en haute altitude produisant un massif effet PME. En novembre 1972, la phrase suivante fut déclassifiée des documents secrets: “L’existence d’armes à effets spécifiques comme par exemple à haute émission de rayons X, neutron ou gamma avec lesquels nous améliorons notre armement dans la zone haute,  sont utilisés pour endurcir les armes nucléaires contre les rayons X à haute énergie.”

A quel point une réaction nucléaire peut-elle être réduite ? Par des expériences hydrodynamiques pour déclencher la fusion, de petites explosions nucléaires ont été réalisées ayant une amplitude de quelques kilos de TNT équivalent. Comme nous l’avons noté ci-dessus, en 1961 fut réalisée une arme de 0,01 Kt (NdT: la référence en la matière est la bombe larguée sur Hiroshima en 1945 qui avait une puissance de 20 Kt c’est à dire une puissance équivalente à la détonation de 20 000 tonnes de TNT. 1Kt = 1000t de TNT, donc une arme de 0,01 Kt = 10t de TNT). En 1956 fut déclassée l’info sur Tamalpais ayant une charge de 0,072 Kt.

Avant la démolition des tours du WTC en 2001, le plus grand bâtiment qui fut implosé en démolition contrôlée a été la grande galerie marchande de l’Hudson qui faisait environ 205 000 m2 sur 33 étages et qui demanda une charge explosive répartie de 1,2t.

Les bâtiments du WTC étaient bien plus grands et résistants que le bâtiment de l’Hudson, mais il est douteux qu’une bombe de plus de 0,01Kt ait été nécessaire pour vaporiser les 47 colonnes centrales faites pour soutenir un poids total bien supérieur à celui du bâtiment entier.

Voici la liste (partielle) des informations que ce programme de développement d’une charge nucléaire de 0,01Kt a produit:

  • Rayon maximum de la boule de feu: 25,4m
  • Temps maximum de la pulsion lumineuse: 0,011 seconde
  • Rayon maximum d’explosion aérienne de la boule de feu: 10,6m
  • Temps maximum de la température maximum: 0,0032s
  • Superficie de l’exposition aux radiations: 0,35km2
  • Effets de l’onde de choc: 0,35kg/cm2
  • Détonation souterraine: diamètre de 17m donnant une magnitude de 3,52 sur l’échelle de Richter.

La portée des dégâts dûe à la radiation thermique est considérablement réduite par les nuages, la fumée ou toute autre matériau obscurcissant. Les détonations de surface sont connues pour réduire de moitié la radiation thermique. Une bombe à neutron produit bien moins d’énergie de souffle et thermique qu’une bombe à fission de la même charge en étendant son énergie par l’augmentation de la production de neutrons. Même les plus vieux modèles de bombe à neutron produisent très peu de retombées radioactives de long terme, mais ont produit une radiation induite considérable lors de détonation terrestre. La demie-vie induite des radiations est très courte et est mesurée plutôt en jours qu’en années.

Résumons l’information connue: on a à faire avec une explosion souterraine d’une bombe à hydrogène pur ou semi-pur d’une charge de 0,01Kt à radiation dirigée et à résidus minimum ayant une dispersion radioactive améliorée, le plus probablement à neutron, car cette radiation serait absorbée par le sol et le bâtiment et qui diminuerait les effets d’onde de choc et de température.

En 1993, Joe Vialls expose certains faits au sujet d’explosions simples qui étaient très similaires à celles des explosions du WTC en 2001. L’article intitulé “Micro Nukes in London” ou “Mini armes nucléaires à Londres”, note l’utilisation soudaine d’explosions massives dans les districts d’affaire par l’IRA avec la mention brève de l’explosion du WTC de 1993. Dans le supposé premier attentat à la bombe par l’”IRA”, un témoin oculaire déclara: “Le sol trembla sous nos pieds. Il y eut un flash très intense et une très haute colonne de fumée verticale.”

Information importante sur la SADM de classe W54

Tandis que le gouvernement parlait aux médias de l’utilisation d’une bombe conventionnelle, il y eut un filmage accidentel d’une équipe d’enquêteurs en complète tenue anti-radiation sur les lieux de l’attentat. La description du cratère créé par la seconde explosion révèle un trou de 18m de diamètre et de 12m de profondeur. Les dires des physiciens Galen Winsor, John McPhee et Theodore Taylor sont prophétiques dans l’utilisation de micro armes nucléaires. Taylor spécifiquement note l’utilisation future d’un micro nuke comme celui du WTC dès 1973. Un autre cratère de 7m de diamètre et d’1m50 de profondeur est noté dans l’article “Bali Micro Nuke, the lack of radiation confuses experts”. Dans les 48 heures qui suivirent, le gouvernement de Bali trouva des traces d’explosif C4. Puis s’en vint la version révisée des explosifs juchés sur des bonbonnes de gaz. Après avoir échoué d’expliquer les faits notés, la théorie suivante fut celle d’explosifs au napalm.

L’explication finale de Londres citait une source fiable qu’un type mélangé de bombes de l’IRA fut utilisé. Pourtant demeuraient d’importants problèmes à élucider avec cette théorie que l’IRA avait fait exploser plus de 500kg de cette mixture et qu’il n’y avait aucun cratère d’explosion. La bombe américaine BLU-82 utilisée pour créer des clairières dans la jungle vietnamienne pour que les hélicoptères se posent, contient 6,3t d’explosif militaire hautement raffiné avec un additif d’aluminium pour l’augmentation de chaleur, mais qui ne provoque pas de cratère. L’explosif contenu dans un container d’1cm d’épaisseur est parachuté sur la zone et est mis à feu à environ 50cm du sol. Quelques 40 personnes se trouvant suffisamment proches de l’explosion se retrouvèrent vaporisées sans laisser de traces. Des analyses de la bombe israélienne de 0,01Kt produite à Dimona sont aussi produites dans cet article. D’après les informations présentées, la bombe utilise un Plutonium 239 hautement enrichi, pur à 99,78% qui n’émet que des radiations alpha qui sont invisibles sur la plupart des compteurs Geiger.

Un autre article de Vialls parlant du supposé attentat à la voiture piégé de l’ambassade australienne de Djarkarta “Zionists Nuke the Australian Embassy in Indonesia,” révèle plus d’informations signifiantes sur les attributs nucléaires de cette explosion. Une caméra de surveillance a enregistré l’explosion nucléaire souterraine et est inclue dans l’article. Il y a des photos du champignon résultant de l’explosion en comparaison avec un champignon nucléaire typique. Le cratère laissé par l’explosion était de 6m de diamètre et près de 3m de profondeur. Des photos et de l’information sur la mise à feu par les forces spéciales américaines de deux camions chargée de plus de 500kg de composés de gasoil et de nitrate d’amonium sont montrées. Bien des liens de la couverture spéciale de Vialls sur des attentats à la bombe “terroristes” à travers le monde sont inclus à la fin de l’article.

Toute attaque terroriste à la bombe ayant une capacité de moins de 6,3t d’explosifs et qui crée un cratère est une explosion thermonucléaire jusqu’à preuve du contraire.

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“Il est pratiquement impossible d’obtenir une fission nucléaire avec l’U-238 sauf sous un gros flux de neutrons, qui est, sous conditions normales, un matériau à fission mais non fissile ; les matériaux fissiles appartenant à une certaine classe capable de fission spontanée sous certaines augmentations quantitatives et cinétiques de densité et autres considérations, comme cela est possible avec l’U-235 et le Plutonium 239 traditionnels.

Quoi qu’il en soit, l’U-238, aussi appelé uranium appauvri (UA), en l’occurence l’U-238 qui a pas mal suinté de son contenu fissile U-235, est sujet à la fission nucléaire sous un lourd flux de neutrons, qui le fait passer en plutonium 239 lorsqu’il est délibérément utilisé dans l’emballage de l’ensemble de fusion d’une arme thermonucléaire (bombe H).

Les armes nucléaires A FAIBLE CHARGE, produisant une faible énergie (entre quelques tonnes et quelques centaines de tonnes d’équivalent TNT), combinées avec une implosion électro-magnétique utilisant de lourds champs (électro-magnétiques) générés par des Générateurs de Compression de Flux (explosif), peuvent même produire de minuscules quantités de fission au Pu-239 et sont aussi beaucoup plus efficaces dans le pourcentage de matériau de matériel fissile qu’elles parviennent à fissionner lorsqu’elles sont mises en action ; ainsi les retombées radioactives sont faibles et la “bombe à neutron” qui est une sorte de mini arme nucléaire, produit un flux de neutrons à haute densité qui peut pénétrer les blindages ainsi que les endroits sous-terrains fortifiés. Ce sont ces armes qui ont vraisemblablement tué les soldats irakiens dans leurs bunkers souterrains au Koweït avant qu’ils ne soient ensevelis au bulldozer.

Afin de détruire le WTC de New York, il fallait contrôler l’effet, la charge énergétique et l’expansion de l’angle d’explosion. En octobre 2001, un tremblement de terre de magnitude 3 fut enregistré au Pakistan occidental (près des champs de batailles de l’Afghanistan) et il fut rapporté par plusieurs médias comme la possibilité de l’explosion d’une arme nucléaire tactique sous la forme d’une bombe démollisseuse de bunker. Des bombes classiques ne peuvent pas provoquer ce type d’onde de choc ; mais il n’y eut aucun enregistrement d’un plus haut niveau radioactif dans les zones avoisinantes.

Ainsi, ce fut attribué à la détonation concomitante des bombes sous-terre. Cela peut causer un choc enregistrable de 3 sur l’échelle de Richter et ne jamais causer une augmentation du niveau de radiations dans le voisinage de la zone. Si vous avez déjà réussi la bombe dans un briseur de bunker, vous pouvez utiliser le même type d’arme dans l’attaque du WTC. Vous pouvez faire exploser la bombe vers le haut au lieu de vers le bas. Des bombes conventionnelles briseuses de bunkers sont déjà développées et leurs effets et expansion énergétique peuvent parfaitement être contrôlés. Si vous utilisez une mini bombe nucléaire au lieu d’une ordinaire, alors vous pouvez utiliser un mini nuke pour démolir le WTC de manière profondément secrète.

Nouvel Ordre Mondial: 11 septembre nucléaire, une perspective européenne… Les recherches de Heinz Pommer

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Résistance 71

11 janvier 2018

En septembre 2014 nous avions traduit et publié la recherche de VT basée sur un rapport du ministère américain de l’énergie et de leur laboratoire Sandia Lab et démontrant que les attentats du 11 septembre 2001 de New York furent une attaque nucléaire sur les États-Unis nécessitant les plus hautes complicités au sein de l’appareil d’état yankee et que seule une destruction nucléaire avait pu réduire en quasi poussière les 3 gratte-ciels qui s’effondrèrent ce jour là: les WTC 1 et 2 et le WTC 7.

En appui de ce que nous avons déjà publié et qui est résumé dans ce pdf que nous avons republié par la suite avec l’assistance de Jo de JBL1960,

Au sujet d’un 11 septembre nucleaire

nous vous proposons un autre dossier récent compilé par un analyste scientifique allemand, Heinz Pommer. Son rapport est publié en anglais dont nous joignons le pdf ci-dessous. Il est un très bon document complémentaire à notre traduction de VT car il contient un grand nombre de photos et de graphiques expliquant visuellement la destruction nucléaire des tours. Nous avons été averti que Pommer travaillait sur un compte-rendu pour le grand public qu’il publiera vers le printemps 2018, compte-rendu que nous traduirons lorsqu’il sera en notre possession.

Nous remercions notre lecteur assidu « La Cariatide » de nous avoir fourni ces informations afin de continuer sans relâche à exposer la vérité sur ces évènements qui ont mené le monde depuis lors, dans une guerre perpétuelle dont nous ne verrons la fin que lorsque nous aurons changé de paradigme politique pour l’organisation de la société humaine, mais ceci est une autre histoire…

Le CR de Heinz Pommer sur le 11 septembre nucléaire
Version pdf de l’auteur:

11 septembre nucléaire recherche de Heinz Pommer