Archive pour Mai, 2021

Humanité en rébellion vers la société des sociétés : Instructions pour une insurrection (Internationale Situationniste 1960)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, autogestion, colonialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, démocratie participative, gilets jaunes, guerres hégémoniques, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et social, politique française, résistance politique, société des sociétés, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , on 31 Mai 2021 by Résistance 71

IS

Il est important de noter que ce court texte fut écrit il y a 61 ans, 8 ans avant mai 68 et 7 ans avant que Guy Debord n’écrive et ne publie sa “Société du spectacle” (1967)… Texte collectif toujours d’actualité aujourd’hui parce que de fait, rien n’a changé, nous sommes toujours et encore dans la récupération réformiste systémique qui ne fait qu’entretenir le consensus du statu quo oligarchique. Si l’IS s’est auto-dissoute au début des années 70, elle est toujours bien vivante et son esprit plane sans cesse au dessus de l’intention (r)évolutionnaire que nous devons réactiver par la pensée critique et l’action juste qui en découle immanquablement.
Il n’y a pas de solutions au sein du système et ne saurait y en avoir.
A bas l’État ! A bas la marchandise ! A bas l’argent ! A bas le salariat !
Le reste n’est que pisser dans un violon !
~ Résistance 71 ~

“Avec les mouvements dada et surréaliste, l’Internationale Situationniste se réfère au mouvement ouvrier anti-autoritaire, à la pensée de Marx, de Bakounine, à celle de Rosa Luxembourg et Henri Lefebvre, mais surtout au communisme des conseils.”
~ Pascal Dumontier, historien de l’IS ~

IS1

Instructions pour une insurrection

Internationale Situationiste

1960

Il paraît ridicule de parler de révolution, essentiellement parce que le mouvement révolutionnaire organisé a disparu depuis longtemps des pays modernes où les possibilités de transformation sociale décisive sont concentrées. Mais toutes les alternatives sont encore plus ridicules, car elles impliquent d’accepter l’ordre établi existant d’une manière ou d’une autre. Si le mot “révolutionnaire” a été neutralisé au point d’être utilisé en terme publicitaire pour décrire le moindre changement dans une production de commodité toujours changeante, c’est parce que les possibilités d’un changement central désirable ne sont plus exprimées nulle part. Aujourd’hui, le projet révolutionnaire se tient comme accusé devant le tribunal de l’histoire, accusé d’avoir échoué, d’avoir simplement engendré une autre forme d’aliénation. Ceci revient à reconnaître que la société dominante a prouvé qu’elle pouvait se défendre, a tous niveaux de la réalité, de manière bien meilleure que les révolutionnaires l’avaient envisagé. Ceci ne veut pour autant pas dire qu’elle soit devenu plus tolérable. Le fait est que la révolution se doit d’être réinventée.

Ceci pose un nombre de problèmes conséquents qui doivent être résolus théoriquement et pratiquement dans les prochaines années. Nous pouvons ici mentionner brièvement quelques points qu’il est urgent de comprendre et de résoudre.

De toutes les tendances au regroupement des minorités variées de travailleurs qui sont apparues ces dernières années au sein de mouvements en Europe, seul le courant le plus radical vaut la peine d’être conservé : celui se concentrant sur les conseils ouvriers. Nous ne devons pas non plus ignorer le fait qu’un certain nombre d’éléments confusionnistes cherchent à s’insinuer dans ce débat (voir les récents accords de journaux de la “gauche” philosophico-sociologique de différents pays).

La plus grande difficulté à laquelle doivent faire face les groupes qui recherchent un nouveau type d’organisation révolutionnaire est celle d’établir un nouveau type de relations humaines au sein de l’organisation elle-même. Les forces de la société exercent une pression constante contre un tel effort. Mais à moins que ceci ne soit accomplit au moyen de méthodes que l’on doit encore expérimenter, nous ne pourrons jamais sortir de la politique spécialisée. La demande de participation de la part de tous souvent dégénère en un simple idéal abstrait, alors qu’en fait cela est une nécessité pratique absolue pour le développement d’une véritable nouvelle organisation et pour l’organisation d’une véritable société nouvelle. Même si les militants ne sont plus de simples rouages appliquants des décisions prises pour eux par les maîtres de l’organisation, ils courent toujours le risque de n’être que de simples spectateurs de ceux parmi eux qui sont le plus politiquement qualifiés, conçus en tant que spécialisation. Ainsi, la passivité relationnelle du vieux monde se reproduit.

La créativité des gens et leur participation ne peuvent être éveillées que par un projet collectif qui se préoccupe explicitement de tous les aspects de l’expérience vécue. La seule manière de “motiver et de faire bouger les masses” est de mettre en évidence le contraste pathétique entre les constructions potentielles de la vie et la pauvreté présente de celle-ci. Sans une critique de la vie quotidienne, une organisation révolutionnaire demeure une entité séparée, aussi conventionnelle et ultimement aussi passive que ces camps de vacances qui sont le terrain spécialisé du loisir moderne. Des sociologues comme Henri Raymond dans son étude de Palinuro, ont montré comment dans de tels endroits le mécanisme spectaculaire recrée, au niveau ludique, les relations dominantes de la société en tant que telle.

Puis en arrive à naïvement louer la “multiplicité des contacts humains” par exemple, sans voir que la simple augmentation quantitative de ces contacts ne fait que les laisser tout aussi insipides et inauthentiques qu’ils le sont ailleurs. Même dans le plus libertaire et anti-hiérarchique des groupes révolutionnaires, la communication entre les personnes n’est en rien garantie par un programme politique partagé. Bien entendu, les sociologues soutiennent les efforts de réforme de la vie quotidienne, d’organiser une compensation de celle-ci dans le temps de congés. Mais le projet révolutionnaire ne peut pas accepter la notion traditionnelle de jeu, d’un jeu limité dans l’espace, dans le temps et dans sa profondeur qualitative.

Le jeu révolutionnaire, la création de la vie, est opposé à tout souvenir des jeux passés. Pour fournir une rupture de 3 semaines du type de vie menée durant 49 semaines de travail, les villages vacances du Club Med tirent sur une idéologie polynésienne douteuse, un peu comme la révolution française se présentant sous le déguisement de la Rome républicaine ou comme les révolutionnaires d’aujourd’hui qui se définissent principalement en accord avec comment ils intègrent le bolchévisme ou tout autre style idéologique dans leur rôle de militant. La révolution de la vie quotidienne ne peut pas tirer sa poésie du passé, mais seulement du futur.

L’expérience du loisir vide produit par le capitalisme moderne a fourni une correction critique à la notion marxienne de l’extension du temps de loisir : il est maintenant clair que la liberté totale de temps demande d’abord une transformation du travail et l’appropriation de ce travail en vue de buts et sous des conditions, qui sont différentes de celles du travail forcé qui ont prévalu jusqu’à présent (voir l’activité des groupes qui publient Socialisme et Barbarie en France, Solidarity en Angleterre et Alternative en Belgique). Mais ceux qui mettent toute l’emphase sur la nécessité de changer le travail lui-même, de le rationaliser et d’y intéresser les gens et qui ne font aucune attention au contenu libre de la vie (comme le développement d’un pouvoir créatif matériellement équipé au delà des catégories traditionnelles du temps de travail et du temps de repos / loisir), courent le risque de fournir une couverture idéologique pour une harmonisation du système de production actuel dans la direction d’une plus grande efficacité et profitabilité sans avoir jamais questionné l’expérience de cette production ou la nécessité même de ce type de vie. La construction libre de tout l’espace-temps de la vie individuelle est une demande qui devra être défendue contre toutes sortes de rêves d’harmonie dans les esprits de ces aspirants gérants de la réorganisation sociale.

Les différents moments de l’activité situationniste jusqu’à maintenant ne peuvent être compris que dans la perspective de la réapparition de la révolution qui sera à la fois sociale et culturelle et dont le champ d’action sera dès le départ plus large que pendant ses actions préalables. L’Internationale Situationniste ne veut pas recruter des disciples ou des partisans, mais rapprocher des gens capables de se dévouer à cette tache dans les années à venir, par tous les moyens et sans se soucier des étiquettes. Ce qui veut dire que nous devons rejeter non seulement les vestiges de l’activité artistique spécialisée, mais aussi ceux de la politique spécialisée et particulièrement le masochisme post-chrétien si caractéristique de tant d’intellectuels de ce domaine.

Nous n’affirmons pas que nous développons un nouveau programme révolutionnaire tous seuls par nous-mêmes ; nous disons que ce programme, dans le processus de formation, va un jour s’opposer dans la pratique à la réalité dominante et que nous participerons à cette opposition. Quoi qu’il nous arrive à titre individuel, le nouveau mouvement révolutionnaire ne se formera pas sans prendre en compte ce que nous avons recherché ensemble et qui pourrait se résumer comme le passage de la vieille théorie de la révolution permanente limitée à une théorie de la révolution permanente généralisée.

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L’IS sur Résistance 71 :

“La société du spectacle”, Guy Debord, 1967 (PDF)

Raoul Vaneigem

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

communarde

L’académie de médecine française refuse toute responsabilité dans les effets néfastes des injections géniques anti-COVID en violation du serment d’Hippocrate et pousse à l’obligation vaccinale…

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gaston.CoV

l’Académie de médecine qui refuse d’être responsable des effets secondaires ou complications post vaccinales (thrombose, AVC, décès) des pseudo vaccins (ce qui est une violation du serment d’Hippocrate qui appelle à la responsabilité du médecin sur tout ce qu’il propose au patient) veut imposer la vaccination obligatoire

Anonyme

30 mai 2021

NdR71 : Nous avons reçu cette très intéressante compilation par courriel de source anonyme. Nous voudrions ici simplement ajouter que nous ne considérons en rien ce qui est présenté au public comme un “vaccin anti-COVID” comme étant un vaccin. Ce n’est même pas une thérapie génique puisque le mot thérapie implique que l’on soit malade, en l’occurence plus de 99% des gens injectés sont sains. Il s’agit d’une injection transgénique, d’une injection de matériel génétiquement modifié dans des corps sains à des fins expérimentales. Il s’agit d’une vaste expérience génétique planétaire (voire pire) où les gouvernements vendus aux grands intérêts politico-financiers, utilisent leurs citoyens comme cobayes humains sans que ceux-ci n’en soient informés, ni n’y consentent librement de manière totalement informée, ceci est imposé de manière coercitive par la contrainte de la peur ou de la réglementation pseudo-légale. Personne ne sait aujourd’hui, pas même les créateurs de cette tambouille génétiquement modifiée, ce qu’il adviendra des corps injectés dans les mois et les années à venir et non contents de cela, les perpétrateurs envisagent des injections transgéniques chroniques (à répétition) pour maintenir courants une paperasserie bureaucratique de total contrôle des déplacements et des activités des populations. Nous sommes en présence d’une agression délibérée contre l’humanité perpétrée par des “élites” auto-proclamées totalement hors-sol et agissant en total conflit avec l’intérêt commun et la santé publique. N’appelons plus ces piqures “vaccins” mais injections transgéniques, OGM ou quoi que ce soit d’autre dans cette veine expérimentale. Nous sommes sous attaque directe et le bon sens commun nous indique simplement de nous défendre, pour nous-mêmes et pour les générations futures. Il en va purement et simplement de la survie de l’humanité.

A lire également: “Hécatombe post-vaccinatoire”, Dr Delépine, PDF

https://resistance71.files.wordpress.com/2021/05/covid_hecatombe_post-vaccinatoire.pdf 

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nwo-covid-19-vaccin

l’Académie de médecine qui refuse d’être responsable des effets secondaires ou complications post vaccinales (thrombose, AVC, décès) des pseudo vaccins (ce qui est une violation du serment d’Hippocrate qui appelle à la responsabilité du médecin sur tout ce qu’il propose au patient) veut imposer la vaccination obligatoire.

les violateurs du serment d’Hippocrate veulent utiliser leurs blouses blanches pour imposer la piqouze à la population

extrait du serment d’Hippocrate: « Que les hommes m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses. Que je sois couvert d’opprobre et méprisé si j’y manque »

https://lyon-est.univ-lyon1.fr/medias/fichier/serment_d_hippocrate_1256564610151.pdf

en un mot, le fait que l’ordre national des médecins possède l’immunité juridique sur les « vaccins » https://www.lci.fr/sante/vaccination-cette-note-qui-decharge-les-medecins-de-toute-responsabilite-penale-au-nom-de-l-urgence-2174286.html ,  prouve qu’il viole le serment d’Hippocrate

En effet Hippocrate a dit, vous devez être responsable de tout ce que vous donnez aux patients, et prendre vos responsabilités si jamais cela se passe mal et ne va pas selon vos promesses aux patients

l’immunité juridique est une preuve d’une violation du serment d’Hippocrate

source citation: 

extrait du serment d’Hippocrate: « Que les hommes m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses. Que je sois couvert d’opprobre et méprisé si j’y manque »

et montre donc que l’Académie de Médecine, l’ordre national des médecins en ayant l’immunité juridique sur les « vaccins » violent le serment d’Hippocrate

ce sont ces  violateurs du serment d’Hippocrate qui veulent imposer leur soit disant « vaccin » à la population

et si respecter le serment d’Hippocrate est une condition pour être un vrai médecin, alors cela signifie qu’ils devraient s’appeler Académie des violateurs du serment d’Hippocrate, ou Ordre National des violateurs du serment d’Hippocrate.

Le Monsieur Vaccin Alain Fisher qui fait partie de l’Académie de Médecine demandant la vaccination obligatoire, fait également partie de la fondation d’Edmond de Rothschild

https://media.medias-presse.info/wp-content/uploads/2021/01/ALAIN_FISCHER_FONDATION_ROTHSCHILD.jpg

les médecins tout comme les labos refusent d’être responsables de tous les effets secondaires ou complications post vaccinales (thrombose, AVC, décès) possibles venant du soit disant vaccin

https://www.lefigaro.fr/societes/vaccins-covid-19-l-ue-nbsp-indemnisera-les-laboratoires-en-cas-de-problemes-20200827

en effet, le gouvernement  a donné l’immunité juridique aux médecins pour les rassurer qu’ils ne seront pas responsables des effets secondaires ou complications post vaccinales (thrombose, AVC, décès)  des vaccins covid (décès inclus)

https://www.lci.fr/sante/vaccination-cette-note-qui-decharge-les-medecins-de-toute-responsabilite-penale-au-nom-de-l-urgence-2174286.html

Si l’Académie de Médecine est si sure de ses vaccins, pourquoi refuser d’être responsables des effets secondaires ou complications post vaccinales (thrombose, AVC, décès) ?

donc l’Académie de Médecine en profite d’avoir l’immunité juridique sur les soit disants vaccins covid pour rendre le vaccin obligatoire

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/05/26/fascisme-vaccinal-lacademie-de-medecine-veut-rendre-obligatoire-la-piqure-anti-covid/

le fait même que les médecins refusent d’être responsables juridiquement des effets secondaires ou complications post vaccinales (thrombose, AVC, décès) du vaccin est une violation du serment d’Hippocrate à laquelle ils ont tous allégeance au moment de faire leur profession:

Serment d’Hippocrate extrait:  » Que les hommes m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ! Que je sois couvert d’opprobre et méprisé de mes confrères si j’y manque ! »

https://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/Serment_dHippocrate/143995

https://www.conseil-national.medecin.fr/medecin/devoirs-droits/serment-dhippocrate

antiterrorisme-covidelire

si  leur soit disant vaccin covid est si sure, pourquoi  les médecins ont besoin de violer leur serment d’Hippocrate  (refus d’être responsable judiciairement pour de toutes les conséquences possibles du soit disant vaccin) pour le prescrire et l’imposer?

Si l’Académie de Médecine est si sure de ses vaccins, pourquoi refuser d’être responsables des effets secondaires ou complications post vaccinales (thrombose, AVC, décès) ?

quel foutage de gueule de la populace qui se voit un vaccin imposé par ceux qui violent leur serment d’Hippocrate!

donc l’Académie de Médecine en profite pour rendre le soit disant vaccin obligatoire

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/05/26/fascisme-vaccinal-lacademie-de-medecine-veut-rendre-obligatoire-la-piqure-anti-covid/

l’Académie de Médecine a-t-elle le droit d’imposer des vaccins à la population  dont elle même ne veut même pas être responsable des effets secondaires ou complications post vaccinales (thrombose, AVC, décès) ?

donc les médecins promettent que les vaccins protègent de la maladie, mais refusent d’en subir les conséquences judiciaires ou ‘d’être couverts d’opprobre et de mépris’ (si on reprend les termes d’Hippocrate) si les soit disant vaccins ne remplissent pas les promesses, voilà pourquoi ils se sont arrangés à l’avance pour avoir l’immunité juridique pour les vaccins, afin de continuer leur boulot comme si de rien n’était, même si les vaccins ne remplissent pas leurs promesses et tuent des gens.

Ce qui est une violation du serment d’Hippocrate, où un vrai médecin doit toujours être prêt à prendre responsabilité si le traitement ou vaccin qu’il a proposé au patient marche mal, ces médecins qui violent le serment d’Hippocrate en s’ayant accordé l’immunité juridique pour des effets secondaires ou complications post vaccinales (thrombose, AVC, décès) des vaccins n’ont pas le droit d’imposer le vaccin obligatoire à la population enfin, il est nullement prouvé que ces vaccins expérimentaux sont des vaccins

https://www.americasfrontlinedoctors.com/wp-content/uploads/AFLDS-10-Facts-Experimental-Vaccine-Cole-4-12-21.pdf

https://resistance71.wordpress.com/2021/04/11/covid-19-alors-vaccins-ou-machines-a-fabriquer-du-virus-mutant/

ce qui est d’ailleurs confirmé que ni les médecins ni les labos ne veulent pas être responsables des effets secondaires ou complications post vaccinales (thrombose, AVC, décès) si les vaccins ne peuvent pas tuer, alors pourquoi les médecins et les labos ont l’immunité juridique pour tous les  effets secondaires ou complications post vaccinales (thrombose, AVC, décès) ?

les labos des vaccins AstraZeneca (NYSE: AZN), GlaxoSmithKline (NYSE: GSK), Janssen (NYSE: JNJ), Merck (NYSE: MRK), Novavax (NASDAQ: NVAX), Pfizer (NYSE: PFE), Sanofi Pasteur (NASDAQ) : SNY), Takeda (NYSE: TAK), Abbott (NYSE: ABT) , Moderna et CureVac (NASDAQ: CVAC) ont tous demandé à être exonérés de toute responsabilité sur les effets secondaires de leurs vaccins vecteurs viral ou ARN

https://seekingalpha.com/news/3608810-coronavirus-vaccine-makers-seek-eu-liability-protections

https://www.cnbc.com/2020/12/16/covid-vaccine-side-effects-compensation-lawsuit.html

RT-PCR1

et comme les tests PCR sont bidons

https://resistance71.wordpress.com/2021/03/22/confirmation-de-loms-le-test-pcr-pour-le-covid-19-est-invalide-et-source-de-97-de-faux-positifs-avec-un-ct-de-35-et-plus-comme-le-font-la-plupart-des-pays/

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/05/12/aux-etats-unis-on-change-les-regles-du-depistage-pour-reduire-le-nombre-de-cas-chez-les-vaccines-anti-covid/

les fabricants des tests PCR sont aussi protégés par l’immunité juridique

https://www.phe.gov/emergency/events/COVID19/COVIDvaccinators/Pages/PREP-Act-Immunity-from-Liability-for-COVID-19-Vaccinators.aspx

à noter que la vaccination obligatoire ne concernera pas les milliardaires, Elon Musk qui impose la 5G en France

https://www.thelocal.fr/20210219/the-french-village-blocking-elon-musks-space-age-internet-dream/, a dit qu’il ne se vaccinera pas alors que pourtant il fait des vaccins ARN avec Curevac

Elon Musk ne veut pas se vacciner, cela ne l’empêche pas d’imprimer des RNA artificiels pour aider Curevac à créer des vaccins à ARN

https://www.capital.fr/economie-politique/elon-musk-refuse-detre-vaccine-face-au-covid-19-1382073

https://electrek.co/2020/11/10/elon-musk-tesla-rna-vaccine-printer-curevac-important-product-world/

« C’est le moment de NOUS lever, en nombre invincibles pour RÉSISTER aux injonctions à l’injection et REFUSER le PASS SANITAIRE.

Comment ? Par la révolte de nos consciences, en se mutualisant dans le réel, pas besoin d’armes, de haine, de violence et par un BOYCOTT TOTAL ► https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2021/02/tract-pdf-appel-de-1871-a-2021-pour-une-commune-universelle.pdf

remarque hors sujet mais qui montre la mentalité royaliste: l’Académie de médecine a été créé durant la monarchie de Louis 18

https://en.wikipedia.org/wiki/Acad%C3%A9mie_Nationale_de_M%C3%A9decine

donc pas étonnant qu’ils prennent des mesures liberticides comme au temps de monarchie absolue où les français étaient des sujets et pas des citoyens, chairs à canons pour servir les intérêts impérialistes…

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Lire nos pages :

“Coronavirus, guerre contre l’humanité” et

“COVID19 du mythe aux statistiques et des stats au scandale”

approchez_pas_si_vaccines

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De l’antagonisme à la complémentarité : Nietzsche et la tradition anarchiste 4ème partie

Posted in actualité, démocratie participative, documentaire, militantisme alternatif, pédagogie libération, philosophie, politique et social, politique française, résistance politique, terrorisme d'état with tags , , , , , , on 29 Mai 2021 by Résistance 71

FN1a

“Le socialisme vient des siècles et des millénaires précédents. Le socialiste englobe toute la société et son passé, sent et sait d’où nous venons et ensuite détermine où nous allons.”
~ Gustav Landauer ~

“La terre et l’esprit [Geist] sont donc la solution du socialisme… Les socialistes ne peuvent en aucune manière éviter le combat contre la propriété foncière. La lutte pour le socialisme est une lutte pour la terre ; la question sociale est une question agraire !”
~ Gustav Landauer ~

De l’antagonisme à la complémentarité : Nietzsche et la tradition anarchiste

2ème partie

1ère partie

3ème partie

4ème partie

Gustav Landauer, la révolte des consciences (1870-1919)

Second volet du chapitre des “Héritiers hérétiques” du livre de Max Leroy “Dionysos au drapeau noir, Nietzsche et les anarchistes”, 2014

“L’anarchie n’est pas une chose du futur mais du présent : elle n’est pas l’espérance mais la vie.” (Gustav Landauer)

On ne lit jamais mieux que sous les verrous. Goldman, Luther King et Gandhi plongèrent dans l’œuvre de Thoreau en prison ; Landauer, incarcéré pour avoir publié un article et, rapporta la police, incité à la “rébellion”, y dévora Nietzsche. Cela n’était toutefois pas une découverte : le jeune homme l’avait déjà étudié trois années plus tôt à l’université de Strasbourg. Ce qu’il en avait retenu ? La vivacité, la grandeur, la profusion, la fièvre… Nietzsche projette ses rayons sitôt ses livres ouverts : ceux-ci saisissent les lecteurs à la gorge et l’irradient durablement. Mais l’isolement carcéral lui permit d’affiner ses jugements : oui au vitalisme nietzschéen, non à son mépris des humains.

Nous sommes en 1900, Landauer, trente ans, rédige le texte “La communauté par le retrait” et déclare ne plus croire en la Révolution dans sa formule prométhéenne : il a vu puis en revint. Vu de près puisqu’il a derrière lui une intense vie de militant : il a animé des journaux socialistes, participé à des réunions politiques, assisté à des congrès, connu la prison pour ses idées, fondé une coopérative ouvrière, participé à des grèves… Tout ceci l’a conduit à repenser la question de la révolution. Il ne sert à rien de vouloir détruire l’appareil d’État et la classe possédante ni d’attaquer bille en tête le pouvoir capitaliste, les institutions et les structures politiques en place sont trop puissantes et les abattre (quand bien même cela relèverait du possible) n’extirpera pas l’inclination des hommes à la soumission. Il faut d’abord procéder à une révolte des consciences dans les cœurs de chacun, il faut d’abord lever les âmes de leurs penchants à la servitude volontaire.

Attaquer l’État ? Son armée massacrera aussitôt les insurgés. En revanche, il est possible de bâtir des réseaux de coopérative et d’organiser, ici et maintenant, la libération des classes laborieuses. Non plus la Révolution mais la révolution, celle qui préfère les minuscules de l’immédiat aux majuscules vendeuses d’espoir. La modestie n’invite pas au renoncement mais elle propose des chemins que Landauer estime plus praticables : ceux, déjà foulés par La Boétie, qui invitent à ne plus servir le pouvoir pour qu’il s’effondre de lui-même. Son texte écarte d’emblée deux tentations : exhorter en tribun fougueux, le peuple à se soulever et se replier dans le cynisme des dandys et des jouisseurs solitaires. Reste une troisième voie, la sienne, qui consiste à créer des communautés révolutionnaires composées d’individualités fortes. Non pas le troupeau mais l’association d’âmes isolées. Landauer refuse d’attendre plus longtemps l’accomplissement de quelque prophétie révolutionnaire : puisque les masses ne sont pas encore disposées à se soulever, ne nous morfondons plus pour élaborer l’idéal dont nous rêvons. Et c’est ainsi, seulement, qu’il sera donné à chacun de “s’élever vers les sommets, vers les lacs sauvages du possible et de l’imagination.”

Disciple de Tolstoï

Les textes de Landauer rejettent catégoriquement la violence, et plus précisément celle dont usent certains anarchistes. Les attentats, les assassinats, les bombes et les coups de feu, tout cela ne mène à rien. Pis, cela s’oppose à ce qu’ils tentent de construire. Landauer estime que la fin ne justifie pas les moyens : comment prétendre bâtir une société éprise de justice et d’équité si l’on emploie en amont des procédés abjects ? Comment élever de ses mains l’avenir tant espéré si celles-ci furent souillées de sang ? Fut-il celui d’ordures. “Une fin ne se laisse atteindre que lorsque le moyen est déjà peint aux couleurs de cette fin.” Absurdité, dit-il, que celle de croire que l’on peut viser la non-violence en ayant recours à a violence… Landauer perçoit dans les partisans de “la propagande par le fait”, des êtres en quête de reconnaissance ; ils existent, ou se sentent exister, à la seule condition de pouvoir s’affirmer, par la force, contre autrui. Pour le révolutionnaire allemand, ces anarchistes “ne sont pas assez anarchistes  leur langage naïf et primitif, n’honore pas l’idéal dont ils se disent, avec force fureur, les disciples. Leur sang est froid, le cœur amer. Leur ossature n’est qu’une abstraction, leurs nerfs des idées, leurs chairs des catégories. Une âme n’en est plus une lorsque l’on peut la classifier : vous croyez avoir devant vous un hominidé né d’un père et d’une mère et qui, comme vous, rit, pleure, geint et fait l’amour ? Erreur. Il s’agit là d’un suppôt de la classe bourgeoise qui opprime le Prolétariat. Vous n’abattez pas un humain et la balle qui déchire son lobe occipital n’a nul scrupule : comment s’émouvoir de la mort d’un concept ? Landauer affirme que “toute action violente est une dictature” et qu’elle porte en elle le despotisme ou l’autorité.

L’anarchiste réel se dispense du sang, c’est du moins ce qu’il écrit. Mais comme le fit savoir Erich Mühsam dans ses journaux intimes, Landauer revint sur sa position lorsqu’il participa, concrètement, à une révolution (celle de 1918 en Allemagne). “Landauer a toujours insisté sur le fait qu’il fallait tout à fait souhaiter que la révolution puisse si possible se développer sans répandre le sang, pourtant, je l’ai vu une fois vraiment en colère se déchaînant contre la phrase “aucune effusion de sang”. Il a déclaré à ce propos textuellement, je m’en souviens très nettement : “Aucune effusion de sang est un non-sens ! Qui veut la révolution, doit la vouloir en entier et s’accommoder de ce qu’elle porte en elle. Jusqu’à maintenant il n’y a a jamais eu de révolution non sanglante, nous devons viser à sacrifier le moins de vies humaines possible.” Et Mühsam de rappeler avec admiration, que son compagnon de lutte combattit alors les armes à la main.

Un socialisme de l’immanence

L’idéalisme philosophique plante ses lances dans les flancs de ce que Gustav Landauer nomme le monde vivant. Le monde des idées, de l’abstraction pure et des concepts livre un combat sans merci à la vie réelle, matérielle et terrestre. Landauer dénonce “la déduction morte, vide et désertique” qui calomnie l’existence tout comme il se réjouit de voir la vie se redresser afin de “tuer le concept mort”. Il mentionne le nom de Kant au détour d’une phrase assassine contre la conceptualisation du vivant mais ne prend pas la peine d’expliciter. Pourquoi Kant ? (NdR71: celui que Nietzsche appelait “le grand Chinois de Koënigsberg”…) Landauer vise ici le penseur idéaliste qui érigea le concept en outil d’accession à la connaissance, ce dernier expliqua dans sa “Critique de la raison pure”, qu’il n’y a “pas d’autre manière de connaître que par concepts.” (pour mémoire, rappelons que Nietzsche considérait Kant comme un “chrétien dissimulé”, un théologien et un faussaire coupable d’avoir mutilé la vie en la sacrifiant sur l’autel du “Moloch de l’abstraction”). Landauer oppose donc la vie immanente à toute espèce d’idéalisme et de transcendance, ou, en d’autres termes, il affirme que rien ne dépasse la matière et qu’il n’y a en fin de compte qu’une seule réalité.

Passe-temps d’intellectuels que toutes ces philosophies ? Débats incestueux de spécialistes ? Les idées produisent des effets sur le réel et la pratique politique anarchiste de Landauer procède de son refus de l’idéalisme philosophique : parce qu’il ne souscrit ni à la théorie pure ni à l’idée désincarnée, il ancre son projet révolutionnaire dans la vérité d’une terre qu’il sait imparfaite. D’où son appel à un “socialisme libre et non dogmatique” : un socialisme qui ne soit pas celui des slogans, du systématisme, de la pureté, de la sainteté. “Le socialisme a pour tâche de […] renouer avec les gens, avec la relativité, avec la totalité de la vie ordinaire”, précise t’il dans son texte “Dieu et le socialisme”. Plus loin, il ajoute : “La grandeur du socialisme est de nous mener hors de l’édifice des mots jusqu’à la demeure du réel.” La référence à l’ordinaire revient à plusieurs reprises sous sa plume, à l’instar de George Orwell, Landauer entend, en dernière instance, fonder son projet sur la base, le peuple, les hommes et les femmes du quotidien. Landauer reproche aux marxistes de nécroser le socialisme et de l’enkyster “dans une science”. Marx et Engels ont prophétisé l’avènement de la société communiste, certes, mais on oublie parfois qu’ils faisaient du capitalisme une étape nécessaire à la venue d’une humanité débarrassée de l’exploitation. Landauer se porte en faux : rien ne permet d’affirmer que le communisme (ou le socialisme) succédera mécaniquement au capitalisme, rien ne permet d’assurer que le capitalisme périra et rien, surtout, ne devrait empêcher le socialisme d’éclore quand bon lui semblera, c’est à dire lorsque les peuples, dans leur majorité, le voudront. Landauer fait entendre dans son essai “La révolution”, qu’il ne mord pas à l’hameçon du progrès : le messianisme marxiste relève de l’imposture car l’Histoire n’a ni sens ni fin !

En 1918, il se dresse contre le bolchévisme qui, après Robespierre et ses thuriféraires, n’aspire qu’à l’établissement d’un pouvoir fort, jacobin et centralisé. Le régime de Lénine va “établir un régime militariste, qui dépassera en atrocité tout ce que le monde a connu jusque là” annonce Landauer dans sa correspondance… Le lecteur connaît la suite.

Viser la joie 

Landauer rompt avec un certain courant aride, rugueux et faussement vertueux de la pensée révolutionnaire. La lutte pour l’affranchissement n’a aucune raison de passer par un militantisme austère et sec. Son socialisme en appelle à la joie et aux sens. Il faut rompre avec cette morale chrétienne qui désavoue la vie en conspuant le plaisir et la sensualité dans le seul objectif de porter aux nues l’âme immatérielle et l’esprit, purs, sains, éthérés et délestés de toutes attaches matérielles, terrestres et finalement humaines. Il incombe aux socialistes de “rendre l’esprit sensuel et corporel”, de descendre des cieux chastes de l’absolu pour gagner les terres, plus humbles, de la relativité charnelle.

Le christianisme exècre la chair. Deux millénaires de règne ont crucifié la sexualité. Éros patauge dans le sang, les épines et les clous. Les fidèles portent la mort au cou, la mort d’un homme que l’on dit mort pour eux. Haine des pulsions et du plaisir. Haine de la femme, vierge ou putain, Marie ou Madeleine. Il faudra choisir, somme Landauer, ou le christianisme, message de nuit, ou le socialisme, émissaire de vie… Les instincts croupissent, muselés et ligotés, dans les cages de la Raison. Gustav Landauer raille la vanité des Hommes à taire le mammifère en eux. Reste à “pénétrer avec joie et confiance dans l’animalité.”

Nietzsche n’est jamais bien loin…

La Nation n’est pas l’État

L’État ? Le plus froid des monstres froids. Landauer emprunte la formule de Nietzsche mais ajoute que la nation, en tant qu’entité historique, culturelle et civilisationnelle, n’est pas l’État. L’état est “un délire ou une illusion.”, une entité éphémère vouée à être surmontée.

La nation est une communauté liée par le passé, “une vérité belle et aimable”. Elle permet de défendre les singularités et la diversité des peuples. Le socialisme espère à raison améliorer l’humanité mais il ne doit pas chercher à l’uniformiser : un socialisme authentiquement démocratique n’arase pas les cultures et les particularismes mais travaille à une “union du multiple” (NdR71 : ce que nous appelons la complémentarité dans la diversité, hors de l’antagonisme induit). D’où notamment, l’affection de Landauer pour la décentralisation et le fédéralisme.

Notons que Bakounine avait opéré une distinction assez semblable lorsqu’il déclarait : “L’État n’est pas la patrie. C’est l’abstraction, la fiction métaphysique, mystique, politique, juridique de la patrie. Les masses populaires de tous les pays aiment profondément leur patrie ; mais c’est un amour réel, naturel. Pas une idée un fait et c’est pour cela que je me sens franchement et toujours patriote de toutes les patries opprimées.

La révolution de 1918

Grève générale, mutinerie… L’Allemagne, qui s’apprête à signer l’armistice dans la clairière de Rethondes est en proie à des soubresauts intérieurs. La révolte éclate à l’automne : l’empereur Guillaume II abdique, des conseils ouvriers se forment ici et là, le drapeau rouge est hissé au balcon du château royal de Berlin et la République Socialiste est proclamée. Mais les socialistes allemands sont plus que divisés. Quelle voie prendre ? Réformisme ou révolution ? Suffrage universel ou dictature du prolétariat ? Parlementarisme ou conseils ouvriers ? Les spectres de la révolution russe et de la guerre civile qu’elle déclencha hantent toutes les têtes…

A la demande de Kurt Eisner, premier ministre-président de la nouvelle république, Landauer revient dans l’arène politique et préconise l’instauration d’une démocratie radicale, décentralisée et constituée en républiques autonomes, puis il se présente comme candidat à l’USPD, un parti social démocrate. Au mois de janvier 1919, la Ligue Spartakiste (marxiste et socialiste révolutionnaire) se soulève pour instaurer un régime ouvrier. Le mouvement est écrasé par le gouvernement républicain et le cadavre de Rosa Luxembourg est retrouvé dans le canal Landwehr, une balle dans la tête. Au mois d’avril, un république des conseils, d’inspirations soviétique, est instaurée en Bavière et Landauer y participe en tant que commissaire du peuple à l’instruction publique. Le gouvernement essaie en vain d’écraser le mouvement révolutionnaire qui, très vite, se transforme en “Deuxième république des conseils” : les communistes l’administrent, Lénine les soutient, une armée rouge locale est créée et Landauer, suspecté d’anarchisme, est mis sur la touche. Il choisit de se retirer de l’action politique, refusant de prêter main forte à un pouvoir autoritaire.

L’assaut gouvernemental est donné le 23 avril : la zone autonome révolutionnaire est réduite à néant, les corps s’écroulent dans le sang par centaines, Gustav Landauer est arrêté le 1er mai puis massacré le lendemain à la prison de Münich-Stadelhelm (NdR71: par des membres du Freikorps ou Corps Franc, l’avant-garde du IIIème Reich nazi), il aura jusqu’au bout défié ses assassins.

C’est au même moment qu’un certain Adolf Hitler découvre ses talents d’orateur en propageant autour de lui ses diatribes anticommunistes…

*

L’anarchiste américain Hakim Bey, que l’on retrouvera plus loin dans le présent ouvrage, écrira dans son essai “TAZ” (Temporary Autonomous Zone) :

Landauer, qui avait passé des années dans l’isolement, pour travailler sur une grande synthèse de Nietzsche, Proudhon, Kropotkine, Stirner, Meister Eckardt, les mystiques radicaux et les volk-philosophes romantiques, savait depuis le début que le soviet [conseil] était voué à l’échec ; il espérait simplement qu’il durerait assez longtemps pour être compris. […] Landauer mérite qu’on se souvienne de lui comme d’un saint. Pourtant, même les anarchistes d’aujourd’hui ont tendance à ne pas le comprendre et le condamnent pour s’être “vendu” à un “gouvernement socialiste”. Si le soviet avait duré ne serait-ce qu’une année, on pleurerait en souvenir de sa beauté, mais avant même que les premières fleurs de ce printemps ne soient fanées, le Geist [Esprit, génie, en allemand] et l’âme de la poésie avaient été écrasés, et nous avons oublié. Imaginez le bonheur de respirer l’air d’une ville où le ministre de la culture vient d’annoncer que les écoliers vont bientôt étudier les œuvres de Walt Whitman…

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”Aujourd’hui ! aujourd’hui vous vous rendez, une fois tous les cinq ans, au vote ! Rien ne vous est proposé, pas une loi, pas un projet, absolument rien. Vous entrez dans l’isoloir avec une enveloppe de scrutin officielle, y insérez délicatement un bulletin nominatif pré-imprimé, vous collez l’enveloppe, de façon à ce que personne ne voie ce que vous pensez et décidez, et jetez le pli dans un pot cadenassé. Ce qu’alors les hommes élus de cette manière ont à délibérer et comment ils se décident, cela ne vous regarde pas, vous n’y avez pas votre mot à dire. Et les hommes sont élus de la façon qui correspond à la majorité : quant au droit de la minorité à se séparer alors de la majorité, et à faire prévaloir ce qui lui est propre, ne serait-ce que par ce moyen follement perverti que vous appelez vote, ce droit n’existe pas. La majorité va tout les cinq ans dans l’isoloir pour abdiquer.”
~ Gustav Landauer ~

“La vaste majorité des humains est déconnecté de la terre et de ses produits, de la terre et des moyens de production, de travail. Ils vivent dans la pauvreté et l’insécurité. […] L’État existe afin de créer l’ordre et la possibilité de continuer à vivre au sein de tout ce non-sens dénué d’esprit (Geist), de la confusion, de l’austérité et de la dégénérescence. L’État avec ses écoles, ses églises, ses tribunaux, ses prisons, ses bagnes, l’État avec son armée et sa police, ses soldats, ses hauts-fonctionnaires et ses prostituées. Là où il n’y a aucun esprit et aucune compulsion interne, il y a forcément une force externe, une régimentation, un État. Là où il y a un esprit, il y a société. La forme dénuée d’esprit engendre l’État, L’État est le remplaçant de l’esprit.”
~ Gustav Landauer ~

Gustav Landauer sur Résistance 71 :

Notre page “Gustav Landauer”

Notre page : “Friedrich Nietzsche, l’intégrale en PDF”

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L’ex-VP de Pfizer, Michael Yeadon garantit des effets indésirables graves et de nombreuses morts via les injection ARNm

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, pédagogie libération, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , on 28 Mai 2021 by Résistance 71

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Injectés ARNm : La Rencontre

Dr Michael Yeadon, ex-vice-président de Pfizer : “Je vous garantis que les vaccins ARNm COVID causeront des effets indésirables graves et des morts massives »

Réseau International

21 mai 2021

Source:
https://reseauinternational.net/lancien-vice-president-de-pfizer-dr-michael-yeadon-je-vous-garantis-que-les-vaccins-a-arnm-covid-causeront-des-reactions-indesirables-graves-et-des-morts-massives/

Les médecins pour l’éthique du COVID-19 (Doctors for COVID-19 Ethics)- un groupe de plus de 160 experts médicaux indépendants dans le monde – ont lancé un avertissement sévère aux agences de santé publique au sujet des vaccins expérimentaux contre le COVID-19, qualifiant ces vaccins de « inutiles, inefficaces et dangereux » et susceptibles de conduire à « décès en masse prévisibles », selon un rapport de Lifesitenews.

Le groupe Doctors for COVID-19 Ethics, cofondé par l’ancien vice-président de Pfizer, Michael Yeadon, compte plus de 160 experts médicaux du monde entier parmi ses signataires. Parmi les autres membres fondateurs figurent le professeur Sucharit Bhakdi MD, ancien président de l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence, en Allemagne, et le Dr Wolfgang Wodarg, ancien chef du comité de la santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Les médecins ont écrit plusieurs lettres à l’Agence européenne des médicaments sur les problèmes du vaccin COVID-19 et sont confrontés à la censure… Le groupe peut également être trouvé sur Twitter

Dans leur lettre du début du mois, Doctors for COVID-19 Ethics a souligné les graves implications sanitaires des vaccins pour les personnes en bonne santé et pour les malades, affirmant que les vaccins « ne sont pas sûrs, ni pour les receveurs, ni pour ceux qui les utilisent ou autorisent leur utilisation ».

Ils ont souligné les risques de « perturbations létales et non létales de la coagulation sanguine, y compris les troubles hémorragiques, la thrombose cérébrale, les accidents vasculaires cérébraux (AVC) et les crises cardiaques », « une aggravation des maladies dépendant des anticorps », des réactions auto-immunes et les effets potentiels des « impuretés vaccinales dues à des normes de fabrication précipitées et non réglementées ».

« Contrairement aux affirmations selon lesquelles les troubles sanguins post-vaccination sont « rares », de nombreux effets secondaires courants du vaccin (maux de tête, nausées, vomissements et « éruptions cutanées » de type hématome sur le corps) peuvent indiquer une thrombose et d’autres anomalies graves », ont déclaré les experts.

« Les événements de coagulation qui reçoivent actuellement l’attention des médias ne sont probablement que la « pointe d’un énorme iceberg ».

« En raison de l’amorçage immunologique, les risques de coagulation, de saignement et d’autres événements indésirables peuvent augmenter avec chaque revaccination et chaque exposition au coronavirus intermédiaire« , a ajouté Doctors for COVID-19 Ethics. « Au fil du temps, que ce soit des mois ou des années, cela rend à la fois la vaccination et les coronavirus dangereux pour les groupes d’âge jeunes et en bonne santé, pour lesquels la non vaccination COVID-19 ne pose aucun risque substantiel », ont-ils soutenu.

« Tout comme le tabagisme pourrait causer le cancer du poumon sur la base des premiers principes, tous les vaccins à base de gènes peuvent provoquer des troubles de la coagulation sanguine et de la coagulation, en fonction de leurs mécanismes moléculaires d’action », ont-ils déclaré. « Dans le même ordre d’idées, des maladies de ce type ont été observées dans tous les groupes d’âge, entraînant des suspensions temporaires de vaccins dans le monde ».

« Depuis le déploiement du vaccin, l’incidence du COVID-19 a augmenté dans de nombreuses régions où les taux de vaccination sont élevés. En outre, plusieurs séries de décès par COVID-19 se sont produites peu de temps après le début des vaccinations dans les résidences pour personnes âgées », ont déclaré les médecins. « Ces cas peuvent être dus non seulement à une amélioration dépendante des anticorps, mais aussi à un effet immunosuppresseur général des vaccins, ce qui est suggéré par la fréquence accrue de l’herpès zoster chez certains patients ».

« Quel que soit le mécanisme exact responsable de ces décès signalés, nous devons nous attendre à ce que les vaccins augmentent plutôt que de diminuer la létalité du COVID-19 », ont-ils poursuivi….

« Les vaccins sont expérimentaux par définition. Ils resteront dans les essais de phase 3 jusqu’en 2023. Les destinataires sont des sujets humains ayant droit au consentement éclairé libre en vertu de Nuremberg et d’autres protections, y compris la résolution 2361 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe et les conditions d’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA ».

Les médecins pour l’éthique du COVID-19 (Doctors for COVID-19 Ethics ) ont particulièrement mis en garde contre les vaccins, comme ceux produits par Pfizer et Moderna, qui reposent sur la nouvelle méthode de vaccination à l’ARNm.

« L’expérience initiale pourrait suggérer que les vaccins dérivés d’adénovirus (AstraZeneca/Johnson & Johnson) provoquent des effets indésirables plus graves que les vaccins à ARNm (Pfizer/Moderna). Cependant, lors d’injections répétées, le premier induira bientôt des anticorps contre les protéines du vecteur adénovirus », selon les médecins. « Ces anticorps neutraliseront ensuite la plupart des particules virales du vaccin et provoqueront leur élimination avant qu’elles ne puissent infecter des cellules, limitant ainsi l’intensité des lésions tissulaires ».

« En revanche, dans les vaccins à ARNm, il n’y a pas d’antigène protéique à reconnaître par les anticorps. Ainsi, quel que soit le degré d’immunité existant, l’ARNm du vaccin atteindra sa cible – les cellules du corps », ont-ils déclaré. « Ceux-ci exprimeront alors la protéine de pointe (spike) et subiront par la suite l’assaut complet du système immunitaire ».

« Avec les vaccins à ARNm, il est pratiquement garanti que le risque d’événements indésirables graves augmentera à chaque injection successive ».

« Leur préférence apparente par rapport à ces derniers [vaccins à ARNm] est préoccupante au plus haut degré ».

« Dans la plupart des pays, la plupart des gens seront désormais immunisés contre le SRAS-CoV-2 », ont également noté les experts, soulignant que le coronavirus a un taux de survie estimé à 99,8% dans le monde. « Quelle que soit la gravité de la maladie, ils disposeront désormais d’une immunité suffisante pour être protégés d’une maladie grave en cas de nouvelle exposition. Cette majorité de la population ne tirera AUCUN bénéfice de la vaccination ».

Pour les personnes à risque d’infection sévère, le virus reste traitable, ont déclaré les Médecins pour l’éthique du COVID-19. « Une convergence de preuves indique qu’un traitement précoce avec des médicaments existants réduit l’hospitalisation et la mortalité d’environ 85% et 75%, respectivement », ont-ils expliqué, soulignant « de nombreux médicaments anti-inflammatoires, antiviraux et anticoagulants éprouvés, ainsi que des médicaments monoclonaux anticorps, zinc et vitamines C et D ».

« L’immunité naturelle des cellules T offre une protection plus forte et plus complète contre toutes les souches de SRAS-CoV-2 que les vaccins, car l’immunité naturellement amorcée reconnaît plusieurs épitopes viraux et signaux costimulateurs, et pas simplement une seule protéine (spike) », ont-ils poursuivi.

La lettre des médecins a également démenti les affirmations selon lesquelles la vaccination est nécessaire pour empêcher la propagation du virus par une infection asymptomatique.

« Les vaccins ont été présentés comme un moyen de prévenir une infection asymptomatique et, par extension, une “transmission asymptomatique” », ont déclaré les Médecins pour l’éthique du COVID-19. « Cependant, la « transmission asymptomatique » est un artefact de procédures et d’interprétations de test PCR invalides et peu fiables, conduisant à des taux élevés de faux positifs. Les preuves indiquent que les personnes asymptomatiques positives à la PCR sont des faux positifs en bonne santé, et non des porteurs ».

Le groupe a cité une étude chinoise portant sur près de 10 millions de personnes, qui a révélé que les porteurs asymptomatiques de COVID ne transmettent pratiquement jamais le virus. « En revanche, les articles cités par le Center for Disease Control pour justifier les allégations de transmission asymptomatique sont basés sur des modèles hypothétiques et non sur des études empiriques », ont-ils déclaré. « En clair, les vaccins ne sont pas nécessaires pour prévenir une maladie grave ».

Les experts ont également exprimé des inquiétudes quant à l’efficacité des vaccins COVID-19, déclarant qu’« aucune donnée longitudinale à moyen ou long terme » ne prouve l’efficacité du vaccin. Ils ont critiqué les essais de vaccin contre le coronavirus, observant que l’Agence européenne des médicaments « a noté du vaccin Comirnaty (Pfizer mRNA) que les cas graves de COVID-19 « étaient rares dans l’étude et que des conclusions statistiquement certaines ne peuvent pas en être tirées ».

« Le calcul bénéfice-risque est donc clair, les vaccins expérimentaux sont inutiles, inefficaces et dangereux ». « Urger la vaccination pour « protéger les autres » n’a donc aucun fondement en fait », conclut leur lettre, offrant un avertissement qui donne à réfléchir à ceux qui poussent les vaccins.

« Les acteurs autorisant, contraignant ou administrant une vaccination expérimentale contre le COVID-19 exposent les populations et les patients à des risques médicaux graves, inutiles et injustifiés », ont-ils déclaré. « Les fabricants de vaccins se sont exonérés de toute responsabilité légale pour les événements indésirables pour une raison. En cas de décès et de dommages dus aux vaccins, la responsabilité incombera aux personnes responsables de l’autorisation, de l’administration et/ou de la coercition des vaccins via des passeports vaccinaux, dont aucun ne peut être justifié par une analyse risques-avantages sobre et fondée sur des preuves ».

Le Dr Michael Yeadon est devenu un problème pour la mafia médicale dominante qui continue d’insister sur le fait que la « pandémie » est réelle – et que les vaccins expérimentaux sont non seulement « nécessaires » mais aussi « sûrs et efficaces ».

Les références de Yeadon ne peuvent être remises en question – et son expérience interne avec Pfizer le place dans une position pratiquement inattaquable pour être une voix faisant autorité sur ce sujet.

Si les médias n’étaient pas complices de ce programme de dépeuplement de masse en cours, les terribles commentaires du Dr Yeadon feraient la une des journaux 24h/24 et 7j/7 – au lieu de cela, ses articles sont effacés même des archives Internet, ce démontre encore plus leur importance.

Le Dr Yeadon a précédemment souligné qu’il n’y a pas d’explication rationnelle quant à la raison pour laquelle les autorités « préféreraient » les vaccins à ARNm dangereux et problématiques aux vaccins à base d’andénovirus – à moins que l’intention de leurs promoteurs ne soit de tuer et de mutiler autant de personnes que possible, puis être en mesure de nier que le vaccin avait quelque chose à voir avec les décès.

Le fait que Yeadon pense que les vaccins contre l’adénovirus sont moins susceptibles de tuer autant de personnes que les vaccins à ARNm de Moderna et Pfizer explique en grande partie pourquoi les vaccins contre l’adénovirus AstraZeneca et Johnson & Johnson ont été retirés dans de nombreux pays en raison de « problèmes de sécurité ».

En retirant ces vaccins, le public aura bien sûr le sentiment qu’il peut « faire confiance » à son gouvernement et à sa responsabilité de le protéger – alors qu’en fait, ces vaccins sont retirés afin que le public soit obligé de prendre les vaccins ARNm bien plus dangereux, et dont les effets secondaires dévastateurs sont bien plus durables et n’apparaîtront pas avant la soi-disant troisième vague de la « pandémie ».

Il est également intéressant de noter que ce rapport confirme quelque chose d’autre que nous avons rapporté auparavant, à savoir que, grâce à notre réponse immunitaire naturelle au coronavirus, la plupart d’entre nous développons une immunité à long terme des cellules T sans le vaccin.

Malgré ce fait, personne ne prend la peine d’obtenir un simple test d’anticorps pour savoir s’il est déjà immunisé contre les lymphocytes T contre le coronavirus avant d’obtenir un vaccin dont il n’a même pas besoin – et pourrait le tuer.

Pour découvrir à quel point les intentions sont corrompues derrière les « recommandations » vaccinales et les passeports obligatoires, voyons s’ils sont prêts à accepter des tests positifs d’anticorps au lieu de la vaccination – étant donné que l’immunité naturelle est plus efficace que la vaccination.

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Voir nos pages :

« Coronavirus, guerre contre l’humanité » et « COVID19 du mythe aux statistiques et des stats au scandale »

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Supercherie COVID19 et dictature sanitaire… Mettre au pas la France, casser le Gaulois Réfractaire pour assujettir le vieux monde (Résistance 71)

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Brennos humilie Rome…

Casser le Gaulois Réfractaire pour assujettir le vieux monde

Résistance 71

26 mai 2021

Ce qui se passe aujourd’hui en France est sans précédent dans le monde occidental. La répression effrénée menée par l’État et ses institutions médiatiques, politiques, et scientifiques contre les réfractaires à l’ineptie des mesures “sanitaires” prises pour gérer cette “crise coronavirus” à grand renfort de falsification scientifique et de complicité propagandiste médiatique, a atteint un niveau stratosphérique encore jamais vu. Bien sûr les campagnes de propagande font rages ailleurs en Europe et outre-Atlantique, mais il y a aujourd’hui, par exemple, en mai 2021, 22 états des Etats-Unis qui fonctionnent de nouveau sans aucune restriction sanitaire, plus de masques, plus de “distanciation sociale”, pas d’injections transgéniques encore moins  rendues obligatoires. La Russie fait de même depuis des mois, certains états européens comme la Suède et la Hollande n’ont pas confiné et très peu injecté et s’en portent bien mieux…

Alors pourquoi, pourquoi la France a t’elle viré à fond les manivelles dans la dictature sanitaire, la répression et les privations de libertés systémiques ?

La réponse est simple : Si la clique des oligarques aux manettes de cette supercherie criminelle planétaire à la “pandémie COVID19” en bande organisée pour des raisons à la fois de bénéfices financiers, d’assise de pouvoir et d’assouvissement des dogmes de la religion néo-malthusienne eugéniste, parvient à casser les reins des sempiternels Gaulois Réfractaires, de cette France profonde communarde (qui fête cette année, les 150 ans d’une révolte réprimée dans un bain de sang par la république assassine), toujours prompte à se rebeller ; s’ils parviennent à briser, étouffer cet esprit communard éternel se ravivant épisodiquement au fil des siècles des Jacqueries paysannes du moyen-âge aux Gilets Jaunes en passant par la France des sections (1790-93), des révolutions de 1830 et 1848, de la Commune de 1871 et de mai 1968 (le vrai mai 68, celui des grèves sauvages et de la masse prolétarienne s’organisant avant que ce ne soit brisé par la dilution bobo des intellos trotsko-maoïstes estudiantins…), alors cette clique criminelle pourra faire passer la pilule du passage au Nouvel Ordre Mondial sous couverture “sanitaire” au reste de l’Europe et au reste du monde. La clef de tout cela demeure le “vieux monde” et ses rebelles historiques. Brisez-les et on brisera le reste.

Il ne faut pas chercher plus loin le déchaînement coercitif qui s’abat sur le peuple français depuis un peu plus d’un an. C’est un travail de sape, une guerre psychologique d’usure et Macron, ce larbin de la haute finance, parfait exécuteur psychopathe, a été mis en place à ce seul dessein. 

La question est : quand assez est-il assez ? Que faut-il pour que ça bouge vraiment, non pas dans un sens usuel réformiste de bas étage, cataplasme sur jambe de bois, mais de manière radicale, c’est à dire en remontant aux racines profondes du mal et en s’y adressant de manière particulière et effective ?

On apprend ce 25 mai que l’académie de médecine française, ce nid de corrompus et de collabos à Big Pharma et aux méga-profits générés par de multiples conflits d’intérêt, “préconise de rendre le vaccin obligatoire pour bon nombre de professions ainsi que pour les enfants et les adolescents”… Un peu fort de café pour une maladie qui ne tue que 0,03% des gens qui en sont infectés (99,97% en guérissant donc !… chiffres révisés récents de l’OMS) et pour laquelle les responsables sanitaires ont sciemment négligé, depuis le départ, les traitements efficaces disponibles pour ne considérer que la seule vaccination chimérique (OGM) de la population française et mondiale, ce à grand renfort de propagande des merdias complices de ce crime contre l’humanité en bande organisée et de bidouillage systématique des chiffres, fondant les analyses sur des extrapolations usuelles de modèles informatiques négligeant les observations empiriques pourtant si vitales en science et en médecine (ce n’est pas le Pr. Raoult qui nous contredira…).

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Les questions sont donc aujourd’hui : Le Gaulois Réfractaire livre t’il sa dernière bataille ? Celle-ci est-elle perdue d’avance faute de combattants ? Le Gaulois Réfractaire va t’il se laisser piquer avec cette merde transgénique à ARNm, hydrogel, nanoparticules de labos Big Pharma, outil de la dépopulation mondiale planifiée et bénéficiaires de profits faramineux ? Va t’il obéir et se laisser piquouzer tous les 6 mois pour maintenir valide son Ausweis de “pass sanitaire” orwellien, le maintenant dans cette nouvelle normalité de l’esclavage post-moderne ? Va t’il laisser piquer sa progéniture, tant qu’il en a encore et qu’il n’est pas encore stérilisé, ce qui ne saurait plus tarder au train où vont les choses ?… Le Gaulois Réfractaire va t’il oublier son rôle, son obligation historique ? Quand assez est-il vraiment assez ? Quand va t’il enfin agir radicalement, en allant à la racine des choses au lieu de râler stérilement pour finir par se coucher devant l’autorité usurpatrice autant agressive que goguenarde et condescendante. Quand va t’il revêtir de nouveau son Gilet Jaune et reprendre les affaires là où elles furent délaissées, le tout de manière plus efficace en changeant profondément de stratégie générale et de tactiques de terrain ?

Maintenant, la Gauloise Réfractaire va t’elle se laisser piquer, se laisser stériliser, laisser ses enfants se faire piquer, se faire stériliser, jeunes, aller à l’abattoir de l’injection fatale à court ou moyen terme sans moufeter ? Quand les femmes, véritables piliers fondateurs de toute société, reprendront-elles le flambeau ancestral du pouvoir décisionnaire collectif ? Ce sont les mères et les compagnes qui connaissent le prix du combat, du sang et des larmes ; elles seules savent quand l’heure est venue. Y a t’il encore suffisamment d’instinct maternel chez les femelles tendant à suivre le modèle des harpies d’un système mortifère dénaturant.

Cette crise virale fabriquée, issue de laboratoires militaires de l’empire anglo-américano-sioniste, est la guerre que l’oligarchie a déclenché contre l’humanité. Nous devons la traiter comme telle. L’heure n’est plus à tergiverser avec les guignols du pouvoir coercitif, l’heure est au retrait des gants et à nous lever, une fois de plus, pour notre survie et au-delà, notre émancipation finale. Nous devons arrêter d’acquiescer, nous devons réapprendre à dire non ! haut et fort, portant haut l’héritage de nos ancêtres celtes et communards, à nous solidariser, à refuser de nous laisser artificiellement diviser, à accepter cette nouvelle division factice qui se met en place entre les soi-disants “vaccinés”, victimes de leur crédulité et de leur confiance en une autorité inique et usurpatrice et les “non-vaccinés”, représentant toujours quelques 70% de la population française aujourd’hui et qui rejettent viscéralement l’horreur transgénique qu’on veut nous imposer à nous et aux générations futures, ce qui est pire.

Solidarité Union Persévérance Réflexion Action, devenons ensemble, des S.U.P.R.A résistants contre toutes les impostures du monde marchand et étatique, contre cette vaste entreprise criminelle exploiteuse et répressive dont le seul désir est de nous réduire en une nouvelle forme d’esclavage pour servir son “élite” auto-proclamée dans ce Nouvel Ordre Mondial suprafasciste transnational en cours de métamorphose ultime. Le monstre se tue dans l’œuf car une fois éclos, il est souvent trop tard.

Ce dont nous avons besoin maintenant n’est pas d’une révolution, qui par essence nous ramène toujours au point de départ, mais d’une (r)évolution, qui nous fasse prendre la tangente hors du cercle vicieux et nous mène sur le chemin de la société des sociétés, émancipée de la division et réconciliée avec la complémentarité de sa diversité si bénéfique pourvu qu’on la mette réellement en pratique.

Résoudre la crise COVID radicalement, c’est la prendre à sa racine, qui n’est en rien sanitaire ou médicale mais en tous points politiques. Résoudre cette crise durablement, définitivement, c’est résoudre notre problème de parasitose qui nous affaiblit depuis des siècles. Gaulois Réfractaires, une fois de plus, l’heure est venue ! L’heure du combat arrive, mais pour vaincre, il faut connaître son ennemi et se connaître soi-même… Ci-dessous quelques pistes pour nous aider.

Dans l’esprit de Cheval Fou

Vive la Résistance !

Vive la Commune Universelle de notre humanité enfin réalisée !

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

SlogBD7
Gauloise réfractaire 

gauloispenseur
Gaulois penseur… donc réfractaire

Dans une vidéo de mars 2020, un colonel du GRU russe explique ce qu’est la crise coronavirus et l’agenda totalitaire à laquelle elle répond (Vladimir Kvachkov)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, économie, colonialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, désinformation, documentaire, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , on 25 Mai 2021 by Résistance 71

colonel-du-gru-quest-ce-qui-se-cache-derriere-la-pandemie-de-coronavirus
Que se cache t’il derrière le coronavirus ?

Quand le renseignement militaire russe crache le morceau… Nous avons cette vidéo sous le coude depuis l’an dernier, mais nous avions alors pensé qu’il était un peut trop tôt pour pour en parler et qu’il était sans doute plus prudent de voir un peu l’évolution de cette affaire COVID-19.
15 mois plus tard, il suffit de constater le quotidien  et de le comparer avec ce que dit ce colonel du renseignement militaire russe, le colonel Vladimir Kvachkov. Nous avons traduit le sous-titrage anglais de la vidéo ci-dessous.
L’analyse des 4 dimensions de cette affaire SRAS-CoV-2 / COVID-19 est simple, directe et brillante.
A voir, lire et diffuser sans modération.
~ Résistance 71 ~

Entretien avec l’ex-colonel du renseignement militaire russe (GRU) Vladimir Kvachkov sur l’origine et le développement de la COVID-19

25 mars 2020

~ Traduction Résistance 71 ~

Ceci est la transcription traduite en français par nos soins du sous-titrage de la vidéo:

https://www.bitchute.com/video/WyYUFXWqaQtc/

Journaliste : Aujourd’hui, nous avons comme invité Vladimir Kvachkov. colonel du renseignement militaire russe (GRU), figure publique et possédant un doctorat en science militaire.

Vladimir Kvachkov : Bon après-midi.

J: Oui bon après-midi Vladimir Vassilievitch, Je sais que vous avez servi entre autre comme chef chercheur au Centre pour la Recherche Stratégique de la Défense de l’état-major des armées ; considérant votre expertise, que tirez-vous de ce phénomène coronavirus ?

VK : Vous devez examiner cela du point de vue de cette perspective et non pas du point de vue de la santé publique ni épidémiologique, etc. Le phénomène du coronavirus qu’ils ont faussement nommé pandémie, doit être examiné du point de vue de la perspective des puissances mondiales. Religieuse, politique, financière, économique et nationale. Le phénomène coronavirus, la soi-disante pandémie – laissez-moi vous dire qu’il n’y a pas de pandémie. C’est un mensonge. Ceci doit être considéré du point de vue des opérations spéciales stratégiques. Voilà exactement la façon dont vous devez voir la chose. Ce ne sont que des exercices de commandement et de personnels des puissances mondiales agissant derrière le rideau et qui veulent contrôler l’humanité. Ceci est le véritable but de ce coronavirus. Je vais le répéter une fois de plus : nous n’avons que bien peu de foi en dieu et encore moins en l’existence de satan, l’ennemi de la race humaine. Donc, le but des puissances sionistes et financières de derrière le rideau est de réduire la population mondiale. C’est leur idée fixe. Ils pensent qu’il y a beaucoup trop de nous, de ces gens ordinaires, dans le monde. Il devrait n’y avoir qu’environ 100 millions de leur propre caste et un grand maximum 1 milliard de personnes sur la planète pour les servir. Alors pourront-ils vivre en toute abondance ici sur Terre. Parce qu’il y a bien trop de nous autres, simples terriens pour ces puissances de derrière le rideau.

Voilà pourquoi le coronavirus et la crise financière qui a émergé presque immédiatement, et ils sont inextricablement liés l’un à l’autre, le but est d’arrêter le mouvement des gens dans le monde, de réduire les libertés politiques. En termes politiques, il serait pratiquement impossible de faire tout cela. Il y a des différences dans les constitutions, qu’elles soient mises en application ou pas, ceci est une autre affaire, mais il y a des droits politiques auxquels les gens sont attachés et ils pensent qu’ils leur appartiennent pour toujours. La première tentative de prendre ces droits aux peuples s’est produite avec les attentats du 11 septembre 2001. Plus beaucoup de personnes semblent se rappeler de cela, mais après les soi-disantes attaques sur le WTC de New York, le Pentagone et la Maison Blanche aux Etats-Unis, la guerre globale au terrorisme fut déclarée. Rappelons-nous, afin de bien comprendre ce qu’est aujourd’hui cette affaire du coronavirus et analysons cette première tentative. La déclaration de guerre contre l’humanité qui fut déguisée en guerre contre le terrorisme. C’était il y a 19 ans. Les puissances mondiales de derrière le rideau ont créé les évènements du 11 septembre 2001. Maintenant, ils ont besoin d’une autre excuse pour contrôler l’humanité. C’est ainsi qu’ils ont pensé au coronavirus. En fait, pour le dire de cette façon, il ne s’agit pas d’une pandémie, pas une épidémie. Même maintenant, j’ai juste regardé les dernières données ce matin [NdT: rappelons-nous que nous sommes alors le 20 mars 2020, il y a 15 mois, la France en est à son 3ème jour de confinement commencé le 17 mars quand Kvachkov fait sa déclaration sur une chaîne russe devant quelques millions de téléspectateurs…], il y a 300 personnes par jour dans le monde qui meurent de la maladie. Vous pouvez imaginer quelle échelle cela représente. Bien entendu, je suis profondément désolé pour chaque personne qui meurt. Mais 300 personnes / jour sur une base de 7,5 milliards de personnes, c’est quasiment négligeable.

Ces exercices de commandement et de personnels des puissances mondiales de derrière le rideau ont un but de limiter certains droits politiques et de faire peur aux gens. Des idiots sont déjà en train de faire des stocks dans les magasins ici, ils stockent du millet, des céréales etc…

J : et du papier toilette !

VK : Oui, même du papier toilette ? bon dieu !

Pourquoi ? Le but est d’effrayer les gens. Une fois de plus, ce sont des exercices de commandement en provenance des pouvoirs de derrière le rideau sioniste et des puissances financières libérales ayant pour but de limiter les droits politiques auxquels les gens sont habitués et ce spécifiquement en Europe occidentale. Ceci est leur second objectif. Le premier est la réduction de la population mondiale. C’est leur objectif satanique. Le second, objectif politique des pouvoirs de l’envers du décor, et de saisir le pouvoir et le troisième objectif est relié aux finances et au pouvoir sur l’économie. Pouvoir financier, ça nous le savons déjà, du moins ceux qui sont intéressés par cette question. Maintenant, pour chaque produit qui existe… Prêtez-moi votre crayon SVP… OK, disons que ce crayon vaut 1 rouble ou 1 dollar, disons 1 dollar pour ce crayon. Il a été émis 20 fois le montant en argent, en notes de crédit en équités et autres dérivatifs financiers. Cela veut dire que si vous prenez la valeur véritable de ce crayon, 1 dollar, elle vient avec différents papiers qui augmentent sa valeur 20 fois. Par ce principe, toutes les relations financières et économiques sont passées d’une économie réelle à cette forme d’économie virtuelle. C’est une bulle financière qui existe maintenant et qui comprend, je pense quelques 1 quadrillion et 200 trillions de dollars. C’est une bulle financière fictive qui doit être percée. Le Système de la Réserve Fédérale (SRF) américain, il y a quelques jours, c’était en février je crois, a introduit un taux d’intérêt de zéro pourcent sur les dépôts.

Maintenant, dans beaucoup de pays, on est même dans des taux d’intérêts négatifs, c’est à dire que si vous déposez 100 dollars, vous n’avez en fait que 90 ou 95 dollars, mais au moins vous les aurez toujours. Donc, on a déjà des taux négatifs sur les dépôts. Alors cette richesse doit être dégonflée. Comment ? Là encore, au travers de cet artifice international… nous voyons que l’économie s’est effondrée. C’est très clair et donc, nous ne pouvons plus remplir notre demande domestique comme nous le faisions avant, vous devez vous serrez la ceinture, etc… Un moment important maintenant. Notez bien, cela a commencé apparemment en Chine. Alors même que les Chinois sont maintenant sceptiques et rapportent que le coronavirus a été créé artificiellement. Il a une origine artificielle, ceci a déjà été prouvé scientifiquement. Bien sûr avec chaque virus, voyant que c’est le plus simple des micro-organismes, aussi loin que je me souvienne, les mutations peuvent se produire, mais elles sont de nature accidentelle. Et lorsque vous prenez la molécule d’ARN, pas d’ADN, ils ont de l’ARN et il y a une partie du génome qui a été clairement retirée et une autre insérée à sa place et que ceci s’est produit 3 ou 4 fois, il est parfaitement évident et les scientifiques chinois s’en sont aperçus, qu’il a été créé artificiellement et a été disséminé volontairement, initialement à Wuhan. OK et maintenant quid de l’Italie, que s’est-il passé là-bas ? Comment se fait-il qu’une souche du virus, plus virulente que celle apparue en Chine, fasse soudain son apparition en Italie ? Je crois que maintenant ils ont déjà plusieurs milliers de personnes infectées et environ un millier de personnes sont déjà mortes. Mais une fois de plus, disons que 100 fois plus de gens en Italie meurent de la grippe, de pneumonie et de l’hépatite. Mais on ne parle pas de ça. On nous sert une information de propagande politique, une propagande psycho-informative. C’est une opération psycho-informative [PSYOP] des médias mondialistes de masse, servant les puissances libérales sionistes de derrière le rideau et qui créent cette nouvelle terreur maintenant. C’est pourquoi nous devons gérer ce phénomène comme nous le ferions d’une opération spéciale [militaire] menée sous la forme d’exercices de commandement et de personnels. Maintenant, ils observent, qui obéit et qui n’obéit pas. En Chine, ils ont introduit des mesures très strictes. Mais le camarade Xi a été à Wuhan et a mis la faction du parti pro-américaine qui a pris cette direction à leur place. En Chine, tout n’est pas comme un long fleuve tranquille. Ils ont, appelons la comme ça, une faction pro-chinoise (patriotique) qui est proche de nous et qui est associée avec Xi Jinping. Et il y a évidemment des pro-américains, membres de l’ex-Komsomol, qui sont orientés sur le fric et le profit ou plus simplement, focalisent sur le “flouze, l’oseille”. Et ceux-là bien entendu, essaient d’utiliser le coronavirus à Wuhan pour gagner certains avantages et bénéfices économiques et politiques. Le camarade Xi les a remis à leur place et en conséquence, c’en fut terminé du virus en Chine. Cela a commencé ensuite en Europe. Dès lors, nous, le renseignement militaire, regardons le “qui ?” qui est évident et aussi le “où?” qui est aussi évident. L’Europe et la Chine sont deux adversaires géo-économiques des Etats-Unis. C’est donc là qu’ils ont injecté ce virus. Ce virus a aussi une quatrième dimension, la dimension économique. La première est religieuse, la destruction des populations sur terre, réduire la population mondiale. La seconde est d’établir un contrôle politique sur l’humanité. La troisième est le dégonflage de cette immense bulle financière et la quatrième dimension est l’élimination de leur concurrence géo-économique. Je vous dis tout cela du point de vue de la perspective d’un officier du Centre de Recherches Stratégiques de la Défense de l’état-major des armées russes. Ceci est mon évaluation de l’épidémie actuelle.

J : Vladimir Vassilievitch, vous avez parlé avec une très grande clarté. Vous l’avez expliqué dans un style militaire. Pouvez-vous nous donner des prédictions pour le futur proche ? En connexion avec cette affaire du coronavirus ?

VK : Oui…

J : Que pensez-vous, quels pays pourraient être ensuite sous pression ?

VK : La Russie bien entendu, ce sera sûrement la Russie. Parce que pour l’Amérique, la Russie n’est en rien un concurrent économique. Maintenant, les plus gros efforts en coulisse en provenance de ces pouvoirs mondiaux sont focalisés sur la perturbation de la Chine et de l’Europe occidentale. La Russie est leur cible aussi pour deux raisons : ils veulent en réduire la population et nettoyer le territoire. Ceci doit toujours se produire.

J : Bien entendu, nous voudrions entendre votre avis sur un plan d’action pratique, comment agir. Comment se protéger, des recommandations ? Peut-être n’est-ce pas votre domaine d’expertise (ce qu’il faut faire), mais peut-être pourriez-vous nous dire deux ou trois choses en ce domaine.

VK : Bien sûr, je ne suis pas épidémiologiste, bien que vous pourriez dire que je suis un parasitologue, parce que vous devez en être un pour comprendre les structures du pouvoir en Russie. Je parle donc comme un médecin militaire, épidémiologiste et parasitologue. Tant que nous ne sommes pas capables de nous débarrasser des parasites internes qui nous gouvernent, nous ne pourrons pas nous occuper des autres parasites.

= = Fin de la vidéo = =

A lire en complément :

Nos pages « Coronavirus, guerre contre l’humanité » et
« COVID19 du mythe aux statistiques et des stats au scandale »

VK_interview
Col. Kvachkov entretien 20/3/20

« Connais ton ennemi et connais-toi toi-même » (Sun Tzu)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, autogestion, gilets jaunes, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , on 25 Mai 2021 by Résistance 71

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Très bonne analyse de Philippe Huysmans ci-dessous, qui résume en peu de mots le mécanisme de mise en place du Nouvel Ordre Mondial tant voulu par les “élites” psychopathes auto-proclamées. Le problème de ce genre d’écrits est qu’ils ne font que décrire une réalité souvent le plus justement du monde, mais ne s’engagent jamais ou que trop rarement à offrir des solutions. C’est pourtant aujourd’hui, ce qui fait le plus défaut. Le niveau de conscience est monté de plusieurs crans, mais personne ne sait quoi faire et la merdasse dictatoriale continue parce que nous continuons à acquiescer et à “faire confiance” aux ordures du pouvoir… faute de mieux ou ne sachant quoi faire.
Nous devons comprendre et admettre notre réalité certes, mais aussi nous devons agir sur elle afin de la transformer. Huysmans admet, sans le dire, et là réside une part du problème, ce que nous disons depuis bien longtemps, à savoir qu’il n’y a pas de solution au sein du système et qu’il ne saurait y en avoir. Ceci doit donc immanquablement ouvrir la porte de la proposition de solution à la crise permanente imposée par un système à la dérive n’arrivant plus à reproduire son propre  mécanisme de fonctionnement et menant le monde à une sanglante hécatombe d’inspiration malthusiano-eugéniste.
Entre l’analyse et l’action juste correspondante, il ne doit pas (plus) y avoir l’épaisseur d’un cheveu. Il n’y a pourtant pas 50 solutions viables. Nous devons sortir et mettre un terme à cette situation sans espoir de retour et mettre la société sur la voie de notre humanité enfin réalisée, celle de cette réalité sociale que nous devons transformer en société des sociétés s’épanouissant de la complémentarité de sa diversité, sans concurrence, sans compétition, sans division induite, hors État, hors marchandise, hors argent et hors salariat. Ceci représente le seul futur viable pour l’humanité, en résonance avec sa nature profonde. Ainsi, la société des sociétés se réalisera ou l’humanité disparaîtra, psychopathes aux manettes compris.
La solution au capitalisme défaillant proposée par la clique des psychos “en charge” est une dictature permanente qui doit nous faire garder constamment à l’esprit ce que disait déjà George Orwell il y a plus de 70 ans : “Vous voulez savoir ce que sera le futur [dans ce système] ? Imaginez une botte militaire écrasant un visage… pour toujours.”
De plus en plus de gens font le constat, s’éveillent à la réalité dictatoriale inévitable du système étatico-capitaliste ? Excellent ! Maintenant, agissons en conséquence. Il en va de notre survie a toutes et tous sur cette planète, ni plus ni moins. Cessons d’acquiescer, il est temps de dire NON ! et ce NON ! retentissant passe par l’individu conscientisé pour rayonner périphériquement sur le collectif actif et organisé. Comprenons qu’il suffit de dire NON ! et la fine équipe n’aura plus aucune prise sur nous, plus jamais ! Terminons sur ces sages paroles de Victor Hugo qui disait : “Aucune armée au monde ne peut arrêter une idée dont l’heure est venue.”
Ressentons dans nos fibres les plus intimes cette idée, cette idée de liberté franche et totale enfouie sous le fatras inique étatico-marchand depuis des siècles, cette idée universelle dont l’heure est enfin arrivée et qui fut déjà le guide des Communard(e)s il y a 150 ans, bien que son heure ne le fusse pas encore. Ils sont morts massacrés aux mains d’une “république” dite “démocratique” dans un bain de sang interne, second sans doute du seul dégénéré Pol Pot, mais en nous montrant la voie à suivre contre toutes les impostures socio-politiques du système dictatorial en place. Comprenons et mettons en pratique le fait évident qui est celui-ci : les ordures parasites du pouvoir ont besoin de nous, nous n’avons ABSOLUMENT pas besoin d’eux ni de leur outil de contrôle étatico-capitaliste ! Elle est LÀ la réalité profonde. Une fois cela compris, la marche à suivre est évidente !

Qu’on se le dise !…

~ Résistance 71 ~

covid-mettre-le-masque-et-la-plume

Coup d’état planétaire, connais ton ennemi

Philippe Huysmans

18 mai 2021

url de l’article original : https://www.levilainpetitcanard.be/connais-ton-ennemi/

“Connais ton ennemi et connais-toi toi même.”
~ Sun Tsu ~

Mars 2020, une majorité des pays les plus riches, mais aussi les plus endettés de la planète basculaient dans la dictature sanitaire.  Incarcération domiciliaire en dehors de tout cadre constitutionnel, décrets et arrêtés toujours plus liberticides, absurdes, humiliants, contradictoires, contraires au bon sens et à l’évidence scientifique.  Tout ça pour quoi?  Pour un virus qui ne tue pas plus qu’une mauvaise grippe.

Lassé de courir après la baballe en attendant le prochain train de mesures quasi-dictatoriales décidées dans le confortable entre soi d’un quarteron de pourritures et claironnées le lendemain par tous les médias de grands chemins, j’ai décidé de m’arrêter un instant pour réfléchir.  Eh oui, la vraie question à se poser c’est comment des pays réputés démocratiques ont-ils pu basculer simultanément dans la dictature sanitaire, et donc comment l’ensemble des politiques aux pouvoir dans ces pays ont-ils pu s’affranchir du droit pour imposer des mesures dont on se rend parfaitement compte aujourd’hui qu’elles ont tué par centaines de milliers?

Prenons l’exemple d’Olivier Véran, Ministre français de la Santé.  Le 28 mars 2020 était publié le fameux décret Rivotril, pour « soulager » les patients covid en état de détresse respiratoire.  En pratique le Rivotril les a « soulagés » comme l’avaient été les handicapés mentaux victimes du tristement célèbre programme Aktion T4 des nazis2.  On les a piqués comme des chiens.  Or en France, l’euthanasie est illégale, elle est assimilée à un meurtre.  Logiquement donc, en cas de retour à la normale, Olivier Véran devrait être mis en examen en tant que responsable de plusieurs milliers de meurtres, voire de crimes contre l’humanité, ce qui lui vaudrait une condamnation à perpétuité.  Pourtant, aucun de ces hommes de pouvoir ne semble craindre un seul instant l’éventualité d’être traduit en justice un jour, et ils se vautrent toujours plus avant dans l’abjection et la tyrannie3.  Comment cela est-il possible?

[ Ce qui suit est une opinion, une tentative d’expliquer ce qui est apparemment inexplicable si l’on ne prend pas la peine d’articuler les causes et les événements qui nous ont amenés là.  C’est une étape cruciale pour savoir qui est à la manoeuvre, et pour savoir précisément jusqu’où ces gens sont prêts à aller.  À la lumière de ce qui précédait, vous devez déjà vous en douter un peu, non? ]

En règle générale, les hommes politiques sont d’une prudence de Sioux, ne s’engageant qu’à coup sûr, s’assurant que leur responsabilité n’est jamais engagée au point que l’on pourrait ultérieurement les poursuivre en justice sur base de leurs actions, et le timide docteur Véran ne fait pas exception à la règle.  Comment transforme-t-on des paisibles chapons4 en sociopathes prêt à tuer sans l’ombre d’une hésitation?

Au commencement était l’effondrement

En 1991, la chute du bloc soviétique était consommée, le communisme avait vécu.  Ca s’est passé sans un bruit, sur fond de déclarations insipides des dirigeants de l’époque qui évoquaient la question comme s’il s’agissait d’une simple formalité.  En pratique c’était le principal opposant au bloc capitaliste qui disparaissait brutalement de la carte, laissant libre cours au néolibéralisme le plus débridé.

Ce qu’on a oublié de vous dire à l’époque, c’est que le système capitaliste était lui-aussi en phase d’effondrement, et que c’était inéluctable.  L’usure ayant tout dévoré, les pays les plus riches, écrasés par le service de la dette détruisirent méticuleusement ce qu’il restait du tissu industriel, pour le convertir en actions plus lucratives, mais ne reposant que sur la spéculation.   Le crash qui se produisit en 2008 signa l’arrêt de mort de l’économie capitaliste.  La seule chose qui a pu retarder l’échéance jusqu’à présent, c’est que tant les États-Unis que l’Europe se sont mis à faire tourner la planche à billets à un rythme toujours plus vertigineux.

Par des mécanismes douteux, la FED s’est mise à racheter la quasi-totalité des actifs boursiers américains, afin d’éviter l’effondrement total de l’économie, mais au prix d’endetter toujours plus les citoyens américains, et en diluant leur pouvoir d’achat.  La diplomatie de la canonnière trouvant ses limites dans le fait que désormais, tous les pays étaient plongés dans les mêmes difficultés.

Ainsi l’Europe n’était pas en reste pour produire par tombereaux de la fausse monnaie ultimement destinée à maintenir les banques systémiques sous perfusion.  Vous avez sérieusement cru qu’il s’agissait d’aider les États?

Ayant atteint le bout du bout, craignant par-dessus tout un effondrement généralisé qui serait inévitablement cause de révoltes un peu partout, et donc de leur disparition, les vrais dirigeants de ce monde ont décidé de prendre les choses en main.

À qui profite le crime?

Dans l’hypothèse normale d’un système failli, et sachant que personne ne pourra jamais rembourser la dette colossale des États, la question logique à se poser aurait été celle de l’effacement de la dette.  C’est bien ainsi que cela se passe dans le monde de l’entreprise, pourquoi devrait-il en être autrement s’agissant du système capitaliste dans son ensemble?  Eh bien tout simplement parce que les détenteurs de la dette, une toute petite brochette de fonds requins, de multinationales et de banques ne l’entendent pas de cette oreille.  Ils veulent le beurre et l’argent du beurre, et n’ont pas l’intention de rien lâcher de ce qui constitue leur pouvoir de domination sur le monde.

J’entends d’ici les pleureuses opposer que l’effacement de la dette signifierait aussi la disparition des fonds de pension qui reposent largement sur des produits financiers basés sur la dette, mais c’est un faux problème, les pensions pourraient être financées sans aucun problème en y consacrant seulement quelques pourcents des moyens aujourd’hui consacrés au service de la dette.

Magistrature de collusion, corruption et technique des petits pas

Maintenant que nous avons identifiés les donneurs d’ordre, reste à comprendre comment ils ont pu prendre le contrôle total des leviers du pouvoir dans tous les pays concernés, soit l’ensemble des pays les plus endettés et les plus soumis aux diktats du FMI, de la Commission Européenne et de l’État profond américain.

On pourrait d’abord parler de magistrature de collusion, puisque l’ensemble de ces donneurs d’ordre, même s’ils ne représentent pas un corps social homogène, même s’ils ne partagent pas forcément la même vision politique, sont les représentants d’une petite élite ultra-minoritaire qui forme à elle seule une classe au sens marxiste du terme.  C’est par sa cohésion autour d’un projet (préserver leur domination à tout prix), ses moyens illimités, et son réseau de contacts s’étendant dans toutes les strates du pouvoir autour du globe —tels les tentacules d’une pieuvre gigantesque— qu’ils ont pu mettre en place leurs hommes de paille : nos dirigeants.  Ceux qu’ils ne peuvent acheter, ils les font chanter5.

La technique mise en oeuvre recouvre plusieurs méthodes de manipulations visant à mettre leurs obligés dans l’impossibilité de reculer.

  • La peur : on évoque une pandémie gravissime, qui pourrait bien être la cause de millions de morts, mais dans le même temps on présente ça comme une fenêtre d’Overton6 qui permettrait l’instauration d’une société plus contrôlée, dans laquelle il serait plus facile d’empêcher l’émergence des inévitables mouvements sociaux que la crise ne manquera pas d’engendrer dans les mois et années à venir.  Pour instaurer cette société largement amputée de ses attributs démocratiques, il faut nécessairement en passer par la violation des garde-fous que sont les constitutions.  Le passage en force s’impose désormais partout comme la nouvelle norme7.
  • Brûler ses vaisseaux : on pousse les dirigeants à tout fermer, quitte à écraser pour de bon ce qui restait de la classe moyenne, et dans le même temps, on incite les États à s’endetter toujours plus pour distribuer de l’argent hélicoptère afin d’indemniser les entreprises lésées.  On parle là de centaines de milliards de dette qui étrangleront toujours plus les États, les rendant d’autant plus tributaires des donneurs d’ordre.
  • L’intérêt supérieur : on présente l’ensemble des mesures comme une sorte d’opération de la dernière chance qui viserait justement à minimiser l’impact de la crise8, et de son cortège de victimes.  Certes on va faire très mal, mais c’est pour éviter des maux bien plus grands encore.  Les tortionnaires se verront ainsi en sauveurs et il ne subsistera plus l’ombre d’une prévention dans leur esprit puisqu’ils croiront agir dans l’intérêt de la population.
  • Liés par le crime : on poussera les dirigeants à commettre, et à faire commettre par leurs subalternes des actions passibles de poursuites pénales, ce qui leur fermera ensuite toute possibilité de retraite.  C’est une méthode mafieuse qui a fait ses preuves.
  • Les petits pas : les hommes de paille n’ont aucune connaissance du plan et le découvrent au fur et à mesure au travers des feuilles de route qui leur sont transmises par d’obscurs cabinets conseils américains à la solde des donneurs d’ordre.   Finalement, ces hommes politiques sont tout aussi manipulés que nous, mais à un autre niveau.  C’est un peu l’histoire de la grenouille qu’on met à cuire doucement dans la casserole.  Se rendent-ils compte de ce vers quoi ils se dirigent, et comment ça se terminera?  Peu importe, en fait, parce qu’il ne leur sera pas donné le choix de revenir en arrière.

Ne vous y trompez pas, ce que vous vivez actuellement n’a rien à voir avec une crise sanitaire, c’est un coup d’État planétaire visant à asseoir le pouvoir absolu des donneurs d’ordre sur une dictature féroce.  Vous aurez le pire du communisme (pour les masses) et le pire du capitalisme (le seul bénéfice étant réservé à l’élite).

Quand comprendrez-vous que vous êtes victime d’une guerre psychologique visant à briser la résistance des peuples avant de les mettre en esclavage?  Si j’ai réussi à exprimer correctement mes idées, vous devriez avoir réalisé à présent que non seulement ce cauchemar ne s’arrêtera jamais, mais qu’on en est qu’aux préliminaires, et qu’ils ne reculeront devant rien.

= = =

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

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Manifeste pour la Société des Sociétés

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Résistance au colonialisme sioniste : « Le Hezbollah en contact quotidien avec la résistance palestinienne » (Naïm Qassem)

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gazasoleimani

N. Qassem : le transfert de missiles vers la Palestine bat son plein. Le Hezbollah était en contact quotidien avec la résistance

Al Manar

23 mai 2021

url de l’article original : https://french.almanar.com.lb/2080553

Le vice-secrétaire général du Hezbollah, cheikh Naïm Qassem, a affirmé le samedi 22 mai que «les Palestiniens détiennent désormais une grande capacité à fabriquer (des armes). Je vous rassure que le transfert des missiles vers la Palestine bat son plein. Il existe d’importants cerveaux palestiniens, entrainés par l’axe de la résistance, qui contribuent à cette production. Le soutien (aux forces de résistance palestiniennes) ne s’arrêtera pas, mais il s’amplifiera».

Lors d’une interview avec la radio libanaise al-Nour, cheikh Qassem a en outre révélé que «le Hezbollah était en contact quotidien avec les commandants de la résistance palestinienne lors des derniers évènements en Palestine. Notre position consistait à soutenir la résistance (palestinienne) par tous les moyens».

Et d’ajouter : «la victoire de la Palestine constitue une étape stratégique et un tournant historique. Il ne s’agit pas d’une victoire ordinaire. Ce que la résistance palestinienne a accompli est d’une grande importance et sur laquelle on se basera désormais».

Pour cheikh Qassem, «l’unité des Palestiniens a sapé tout ce qu’Israël avait fomenté au cours des dernières décennies. Il n’y a plus plusieurs causes palestiniennes mais une seule cause et cela constitue en soi une victoire. La nouvelle équation imposée est que Jérusalem Al-Qods n’est plus détaché de Gaza et de la Palestine. Il n’y a plus aucune partie de la Palestine qui n’a rien à voir avec la Palestine, car toute la Palestine résiste aujourd’hui… Il n’y a pas de succès pour la résistance sans sacrifices, et si nous comparons les sacrifices consentis à ce qui s’est passé en Palestine, nous disons que cette victoire est historique et stratégique». «Au niveau mondial, l’Israélien est apparu en train de tuer des civils, attaquer des femmes et des enfants et détruire des bâtiments, mettant en relief l’oppression et l’injustice dont fait objet la Palestine».

Le numéro deux du Hezbollah a en outre souligné que «l’accord stipulait un cessez-le-feu et que la résistance n’avait fait aucun engagement», soulignant que «le blocus contre Gaza sera levé progressivement, et Gaza sera reconstruite, faute de quoi la résistance à son mot à dire».

Sur un autre plan, cheikh Qassem a déclaré que «le Hamas reviendrait bientôt en Syrie, et les efforts déployés dans ce sens vont bon train. Nous sommes sur la voie du rétablissement des relations entre le Hamas et la Syrie».

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Lecture complémentaire :

“Hezbollah, son histoire de l’intérieur”, Naïm Qassem, PDF traduction R71

palestiniennes

secret_liberte_resistance
« Ils avaient pour habitude de dire que
les Palestiniens se battent comme des héros ;
aujourd’hui ils disent que les héros se battent
comme des Palestiniens. »
~ Norman Finkelstein ~

Veterans Today et New Eastern Outlook : COVID-19, une arme biologique… Questions de l’autre côté du miroir

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Vaccin-OGM
Injection OGM pour virus OGM…

Notez que cet article fait suite à l’article de VT du 25 mars 2020 que nous avions traduit et publié à l’époque : 

“Le SRAS-CoV-2 / COVID-19 créé dans un labo de Caroline du Nord pour une guerre biologique et payé par des fonds de l’USAID / CIA”.

Une guerre biologique est menée contre l’humanité, il est temps de bien le comprendre et de cesser d’acquiescer à la dictature se mettant en place et à faire confiance aux gouvernements et Big Pharma qui ne sont là que pour nous massacrer et nous réduire en un esclavage post-moderne.
Le doute n’est plus permis ! Le temps d’agir est venu ! Boycott et révolte !
~ Résistance 71 ~

La COVID-19 comme arme biologique, les bonnes questions à poser depuis l’envers du décor

Gordon Duff avec New Eastern Outlook (NEO, russia, établi en 1816)

17 mai 2021

url de l’article :
https://www.veteranstoday.com/2021/05/18/neo-covid-as-a-bioweapon-hard-questions-from-behind-closed-doors/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Une analyse de la pandémie mondiale COVID-19 par une équipe d’ex-officiers du renseignement en provenance de plusieurs nations est effective et permanente depuis janvier 2020. Les trouvailles de cette analyse sont communiquées à des clients, et ce, sous la plus stricte des sécurités. Le nom même de ces clients est hautement gardé secret.

Un certain nombre de choses sont tracées et évaluées en utilisant des matériaux open-source essentiellement mais pas exclusivement.

  • Les anomalies dans la diffusion et la contagion de la maladie COVID-19 [NdT: provenant du virus SRAS-CoV-2] et le potentiel du ciblage à l’arme biologique.
  • Les anomalies dans la production et la distribution des vaccins et de leur usage potentiel, même thérapeuthiquement, comme arme de guerre.
  • Le financement occulte derrière les mouvements anti-vax et anti-science
  • Des investissements indiquant une pré-connaissance des vecteurs pandémiques.
  • Les récurrences dans les publications des réseaux sociaux ayant pour intention d’handicaper les efforts de limiter la pandémie.
  • Les schémas de “financement obscur” des médias (ceux ce Fox-Carlson-Murdock) qui sont en parallèle de programmes de “propagande noire” de certaines agences de renseignement
  • L’énorme indifférence étendue des grosses entreprises et de certains individus et les bénéfices engrangés qui suivent un schéma “d’influence mortifère” et d’un “délit d’initié” coupable.
  • La récurrence de fausses nouvelles et de supercherie ainsi que de théories conspiratrices qui montrent une “coordination opérationnelle”.

L’analyse de ces facteurs a fourni suffisamment de soutien pour faire la maquette d’une hypothèse unique ayant un bon nombre de sous-effets :

  • La COVID-19 fut le plus sûrement lâchée après sa création et sa distribution depuis plus d’un laboratoire de recherche en Chine, en Europe et aux Etats-Unis
  • Les gouvernements, incluant spécifiquement le gouvernement américain alors géré par Donald Trump, furent totalement complices de l’affaire.
  • La politique initiale de ces gouvernements entre octobre 2019 et avril 2020 a non seulement garanti le succès de la pandémie, mais a aussi suivi un plan opérationnel.
  • Ce plan opérationnel implique une reconstruction à une échelle planétaire, changeant les “attentes” des populations clefs du monde et leur “conditionnement” pour des “résultats politiques des plus sombres”.

Au-delà de cela, la même hypothèse a déterminé que la COVID-19 est le plus sûrement un test, un “essai”, une “répétition générale” pour des vecteurs plus spécifiques.

Pour une toile de fond plus détaillée, voici un extrait de “Guerre biologique au dessus de Cuba” de Stewart McMillan, datant de 1998 :

“Une fois de plus, le monde est au bord d’une autre guerre, cette fois-ci soi-disant parce que les Etats-Unis pensent que Saddam Hussein pourrait cacher des stocks d’armes biologiques. Pourtant, que les Etats-Unis possèdent et utilisent de telles armes est moins bien connu.

Le gouvernement américain pourrait-il être si hypocrite pour menacer de frappe militaire un Saddam Hussein qui pourrait potentiellement fabriquer de telles armes, alors même que ce gouvernement est accusé de déployer ces armes contre d’autres nations ?

Toujours premiers de la classe.

OGMa

Les Etats-Unis sont les leaders du développement et de la production d’armes bactériologiques et chimiques à l’échelle mondiale. Leur utilisation par l’armée dans les guerres de Corée et du Vietnam est bien documentée dans des documents du gouvernement américain et par les médias. Ce qui l’est moins en revanche, c’est leur utilisation par l’armée américaine lors d’opérations secrètes. Officiellement, toutes ces armes furent détruites en 1972, après la signature de la convention sur les armes biologiques. De cette manière, les Etats-Unis sont comme l’Irak. Mais de manière officieuse, la recherche et le développement et l’utilisation d’armes biologiques par le gouvernement US a été suspectée de longue date et récemment, un étrange incident impliquant un avion américain a ramené ce sujet sous les feux de la rampe une fois de plus.

Le 21 octobre 1996, un avion S2R d’épandage agricole enregistré au nom du ministère des affaires étrangères des Etats-Unis, volait de la Floride vers la Colombie via les Îles Caïmans. L’avion survolait une zone connue sous le nom de Couloir Giron, qui est très fréquenté par les avions commerciaux. L’avion avait une autorisation cubaine de survol de son territoire, ceci faisant soi-disant partie d’une opération anti-drogue américaine régulièrement programmée.

Volant au dessus de la même zone se trouvait le vol commercial régulier CU-170 de la Cubana de Aviacion qui allait de La Havanne à Las Tunas. Les pilotes de l’appareil notèrent que l’avion américain volait sur une trajectoire presque parallèle à la leur, juste quelques 300m au dessus d’eux. Les pilotes cubains virent un “brouillard blanc-gris”, comme ils le dirent plus tard, sortir 7 fois de l’avion de manière intermittente. Le pilote cubain fit immédiatement un rapport de la décharge de l’avion américain de cette substance inconnue à la tour de contrôle.

Un contrôleur aérien cubain prit contact avec l’appareil américain. Il enregistra la conversation leur demandant s’ils avaient eu un problème technique, le pilote américain répondit “Non”. Lorsqu’on lui demanda de quel type d’appareil il s’agissait, la réponse fut “AY-65, monomoteur”. Ce qu’il n’était pas ; c’était un S2R. Bizarre qu’un pilote put oublier sur quel type d’apparel il volait.

Le 18 décembre 1996, apparaissait le premier signe de l’invasion d’un insecte étranger dans une plantation de pommes de terre de la Lenin State Horticultural Farm. des échantillons furent envoyés au laboratoire central de quarantaine du centre de contrôle nationale des parasites, l’insecte étant totalement inconnu à Cuba. L’enquête identifia l’organisme comme étant le Thrips palmi karay.

Le problème avec le Thrips est qu’il est originaire d’Asie. Depuis 1985, il s’est propagé dans certains pays des Caraïbes comme par exemple Haïti, la république Dominicaine et la Jamaïque. Cet insecte parasite infecte pratiquement toutes les cultures, les plantes sauvages et d’ornement. Il se reproduit lui-même dans un champ et est facilement transporté dans le transport de plantes et de sols. Il est résistant au changement de température et à beaucoup d’insecticides. bref, c’est un cauchemar pour le monde agricole.

Ces deux incidents auraient-ils pu être connectés ? Le gouvernement cubain le pense et a regroupé un grand nombre d’informations pour le prouver, informations qu’il a fourni aux Nations-Unies avec son dépôt de plainte officielle à l’ONU.

Après avoir enregistré la plainte avec des diplomates américains, le gouvernement cubain s’est plaint au SG de l’ONU d’alors Koffi Annan, accusant que le Thrips “attaque et endommage gravement pratiquement toutes les récoltes et qu’il est aussi résistant à une grande variété de pesticides.”

De manière similaire, nous allons jeter un œil sur à la FPA ou Fièvre Porcine Africaine et de son utilisation comme arme biologique, ce avec le Dr Steinbock qui écrivit pour le FX Trade en 2019 :

La Fièvre Porcine Africaine est mortelle et très coûteuse et pénalise la sécurité de la chaîne alimentaire en Chine et dans plus d’une demie-douzaine de pays asiatiques. Malgré l’histoire officielle de la FPA, le virus a été utilisé comme arme biologique dans le passé. La suppression de telles menaces biologiques demande une coopération multipolaire.

Le 20 août, le ministre de l’agriculture Willian Dar, confirma le rapport BAI sur la croissance du taux de mortalité des cochons élevés par les paysans dans leurs cours de ferme. Les Philippines renforce leur sécurité biologique en attendant les résultats des labos.

Avec le Myanmar (Birmanie), les Philippines pourraient prouver être la cible la plus récente de la FPA. Le virus est déjà présent dans six pays asiatiques : le Cambodge, la Chine, la Corée du Nord, le Laos, la Mongolie et le Vietnam. Les pertes courantes représentent plus de 10% du cheptel total porcin en Chine, au Vietnam et en Mongolie respectivement.

Mais comment donc a commencé la contagion à la FPA ?

Le narratif officiel de la FPA

La FPA est une fièvre hémorragique dévastatrice qui affecte les cochons avec un taux de mortalité des animaux infectés de près de 100%. Cette maladie cause cause d’énormes pertes économiques, menace la sécurité alimentaire et limite la production porcine dans les pays affectés. Il n’y a pas de vaccin contre ce virus. Il infecte de manière persistante ses hôtes naturels, les cochons sauvages, sangliers et autres phacochères ainsi que les tiques molles, qui sont vecteur de transmission sans être affectés symptomatiquement par la maladie.

Historiquement, la première contagion à la Fièvre Porcine Africaine a eu lieu au Kenya en 1907. La première contagion hors Afrique eut lieu au Portugal en 1957, de manière présumée par des déchets de vols commerciaux donnés à des cochons près de l’aéroport de Lisbonne. Ainsi par la suite, d’autres contagions à la FPA furent rapportés dans d’autres pays d’Europe.

Cuba fut le premier pays dans les Caraïbes a être infecté de la FPA en 1971. Il fut longtemps cru que ce fut introduit depuis l’Espagne. La FPA fut aussi rapportée à la fin des années 70 dans plusieurs îles des Caraïbes et au Brésil en 1978. De manière présumée, introduite depuis l’Espagne et le Portugal via des déchets de vols commerciaux transportés lors de vols intercontinentaux.

Après une décennie de calme relatif, la FPA se propagea en 2007 dans le Caucase en provenance de Georgie et dans des pays limitrophes comme l’Arménie, l’Azerbaïdjan et plusieurs territoires russes. Après une autre décennie de calme, il y eut une recrudescence de contagions par FPA en 2018, spécifiquement en Chine, bien que cette maladie ne fut pas détectée en Chine ou en Asie auparavant. Depuis, quelques 2,8 millions de porcs ont été abattus à cause de la FPA d’après Organisation Mondiale pour la Santé Animale, mais les observateurs de l’industrie pensent que les pertes sont en fait bien plus élevées.

C’est la sagesse conventionnelle, impliquant que la FPA demeura cantonnée à l’Afrique jusqu’aux années 50. En réalité, la FPA est arrivée en Amérique du Nord dès le début des années 50, lorsque Fort Terry, une base labo de guerre biologique à Plum dans l’état de New York, y hébergea sept formes particulièrement mortelles.

Allons au cœur du problème :

La FPA comme agent de guerre biologique

Après l’expérience de la seconde guerre mondiale, la guerre biologique américaine fut lancée avec des buts offensifs. Durant la guerre froide, la FPA fut de grand intérêt parmi les virus anti-animaux, comme aussi la peste ovine et la fièvre aphteuse (NdT: “foot and mouth disease” en anglais). Dès 1954, d’après les historiens de la guerre biologique, trois virus étaient disponibles en tant qu’agents de destruction de nourriture animale, ceci incluait la FPA.

Entre le milieu des années 60 et la fin des années 90, Cuba a accusé les Etats-Unis de 10 attaques biologiques suivant de sérieuses infections par contagion sur son territoire. Aucune ne fut prouvée de manière conclusive, mais il est plus que probable qu’il y en eut de fait plusieurs. En 1971, les porcs d’une ferme porcine de La Havane furent diagnostiqués avec la FPA, qui s’étendit et causa la mort de près d’un demi millions de porcs qui durent être abattus et détruits. En résultat, Cuba fut victime d’un problème alimentaire. Les Nations Unies l’appelèrent “L’évènement le plus alarmant de 1971”.

En 1977, Les journalistes d’enquête de Newsday, un quotidien de Long Island, rapportèrent que le virus fut délivré depuis une base militaire américaine de la zone du canal de Panama ; le site des opérations secrètes de l’armée américaine et de la CIA pour l’Amérique Latine et les Caraïbes.

D’après le rapport, des saboteurs anti-Castro, soutenus par la CIA, ont introduit la FPA à Cuba six semaines avant le début de la contagion afin de déstabiliser l’économie du pays. L’armée américaine réfuta toute implication. Néanmoins, Norman Covert, un historien du labo militaire de guerre biologique de Fort Detrick dans l’état de Maryland, dans les années 50 et 60, a dit que la CIA avait accès à ces laboratoires. Plus tard, un document de la CIA confirma que la guerre biologique fut utilisée parmi tous les efforts pour déstabiliser Cuba.

Ces efforts de déstabilisation ne se sont pas arrêtés avec la guerre froide. En 2000, les néo-conservateurs derrière l’administration Bush ont flirté avec l’idée d’armes biologiques ethniques “politiquement utiles”. Ceci mena à l’interdiction par la Russie en 2007 de toute exportation d’échantillons biologiques humains. (NdT: il était probablement déjà trop tard… les échantillons humains étant déjà entre les mains des docteurs Folamour yankees, la période Eltsine de 1991 à 1998 ayant été “open bar” pour toutes les turpitudes)

En octobre 2018, le ministère de la défense russe affirma que la propagation de maladies virales en provenance de Georgie, incluant la FPA depuis 2007, pourrait bien être connectée à un réseau de laboratoires américains. Dans la zone, plus de 70 Georgiens sont morts dans des conditions mystérieuses, ce que Moscou attribua à des toxines ou des armes biologiques américaines. La Russie pense que des agents biologiques ont violé l’interdiction sur les armes biologiques.

Le réseau de labos fait partie d’un Programme d’Engagement Biologique Coopératif (PEBC). financé par l’Agence de Coopération pour la Réduction de la Menace (ACRM) du Pentagone. Les labos du PEBC sont localisés dans 25 pays, particulièrement en Europe de l’Est, au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie du Sud-Est, incluant les Philippines.

Alors que le Pentagone nia que les Etats-Unis développaient des armes biologiques dans ces labos, Vladimir Shamanov, patron du comité de défense de la Douma russe (parlement russe), appela à “une évaluation compréhensive” suggérant une “inspection conjointe”. Toutes ces demandes multilatérales ont été ignorées. Dans son multi-millions dollars budget de 2020, l’ACRM caractérise le programme en Asie par ses fonctions de bio-sécurité, mais aussi comme “le partenaire de choix dans une région en compétition avec l’influence chinoise”. Donc, tandis que les contagions par virus se produisent à travers les frontières, la coopération multilatérale est boudée au profit de la géopolitique.

La FPA est une de plusieurs maladies suspectées d’avoir été créée et relâchée par ce réseau de labos que la Russie pensent les Etats-Unis gérer à ses frontières. A la fois Veterans Today et New Eastern Outlook ont publié plusieurs informations en provenance d’un officier américain spécialiste NBC (Nucléaire-Biologique-Chimique), Jeffrey Silverman, en relation avec ces labos, particulièrement le “Labo Lugar” de Tbilissi en Georgie. De fait, ces rapports ont produit des attaques à la fois individuelles et de sources médiatiques, d’organisations de “diseurs de vérité” au financement obscur par l’OTAN et les agences de renseignement occidentales.

Ces efforts sont pris par les analystes professionnels du renseignement comme des preuves que non seulement les assertions faites sur le labo de Tbilissi et autres sont justes en substance, mais que cette intention montre que de telles opérations seront continuées et intensifiées.

En cela, on peut bien vouloir parler de la COVID-19 elle-même ou quelque chose de bien pire. Voyez-vous, COVID-19 peut être tracée à Tbilissi où des élèves doctorants de la région passent leurs étés dans des grottes à chauves-souris à collecter des échantillons de virus pour la “recherche biologique”. Des rapports précédents ont montré que cet endroit est géré par l’armée et les agences du renseignement et, en réalité, n’est pas du tout un “centre de recherche agricole”.

L’analyse a aussi trouvé un schéma de “black ops” utilisant des armes chimiques et biologiques dans la région avec de similaires intervenants, incluant des officiels du renseignement ukrainien, liés non seulement aux armes biologiques, mais aussi à la délivrance de gaz sarin aux groupes d’opérations spéciales qui sont déployés dans les attaques faux-drapeau en Syrie. De Jeffrey Silverman, 2014 :

Jeffrey Silverman interviewed par Maia Chubinishvili

Le 27 août 2013, le célèbre investigateur politique américain Gordon Duff et principal éditeur de l’ex service de publication du ministère américain des affaires étrangères et du renseignement, Veterans Today, a publié un article intitulé “US Contractors Cited for Syrian Chemical Attacks,” et une vidéo intitulée “Syrian Gas Attack Proof Syrian Army Has No Involvement.”

Le commentaire décrivant cette vidéo dit : “La vidéo que vous regardez maintenant a été filmée en Syrie et montre les armes chimiques utilisées qui furent envoyées depuis la Georgie. Les Etats-Unis sont derrière tout cela. L’ex-sénateur américain Richard Lugar est la personne qui a assisté et rendu possible le transport de ces armes. de la Georgie vers la Syrie via la Turquie. Regardez les armes dans cette vidéo et observez comment elles ont été rendues opérationnelles. Un programme d’armes chimiques américain fournit les rebelles syriens en armes de destruction massive. Une équipe d’enquêteurs a déterminé que des armes chimiques sont fournies dans cette région qui est sous contrôle américain. Ils ont suivi la piste de ces armes chimiques vers la république de Georgie. Des subdivisions de l’armée turque les ont transportées aux terroristes d’Al Qaïda qui opèrent en territoire syrien.

Les journalistes Jeffrey Silverman et Lika Moshiashvili sont crédités de la découverte de ces opérations secrètes illégales se déroulant dans le Laboratoire de Référence Centrale contrôlé par les USA dans la banlieue de Tbilissi connue sous le nom de Alekseevka Settlement.” Dès que cette information fut connue du public, Georgia & World a contacté le journaliste et chercheur américain basé à Tbilissi Jeffrey Silverman.

Silverman: 

J’ai appris en 2004 au sujet du Projet National Bechtel, de l’existence d’un centre de stockage biologique en Georgie de sous-traitants du ministère de la défense [américain], incluant des sous-traitants turcs. Ils travaillaient à la construction du labo qui se construisait près de l’aéroport de Tbilissi. je me suis mis à rechercher ce projet en profondeur avec des journalistes georgiens et norvégiens. Mes premières questions furent : pourquoi près de l’aéroport et pourquoi en Georgie ?

J’ai compris très rapidement que le gouvernement et le ministère de la défense américains voulaient étudier de nouvelles souches infectieuses, comme l’Anthrax, qui évoluaient dans la nature parmi les troupeaux de bétail dans les régions rurales de Georgie. Il doit être ici mentionné qu’il s’agit d’un petit pays et que Tbilissi fut déjà dans le passé un centre de recherche du système d’armes biologiques de l’URSS, à la fois pour animaux et plantes.

J’ai été capable d’avoir accès aux plans du labo et en discutant avec des contractants et des lanceurs d’alerte, j’ai appris que le ministère de la défense opère un réseau de laboratoires en Georgie et que ces labos ont une capacité offensive.

Certains vont même jusqu’à dite que les Etats-Unis utilisent a Georgie et sa population comme parties de leur recherche incessante sur le sujet. Je le suspecte également, c’est pourquoi j’essaie d’obtenir des preuves solides de cette allégation en ce moment. 

La question est de savoir si les Georgiens sont utilisés à des fins sinistres de tests de programmes biologiques et d’essais de vaccination. Ceci sera peut-être difficile à prouver, mais les Etats-Unis eux-mêmes ont conduit des expériences sur leur propre population au cours des années, et ils peuvent utiliser la population de Georgie comme part d’essais de vaccination de terrain sans que cette population puisse donner un consentement informé.

Un certain nombre de labos, éparpillés à travers l’Europe de l’Est, sont reliés par une sorte de cordon ombilical par le Programme de Prévention de Prolifération des Armes Biologiques (PPPAB) et aux nombreux projets qui lui sont rattachés Ce programme fournit une parfaite couverture pour ce qui est le plus probablement un programme de recherche offensive. Si les souches sur lesquelles ils travaillent s’avèrent être résistantes aux antibiotiques, ceci implique qu’ils font de la recherche sur des organismes spécifiques qui peuvent manger les bactéries et attaquer des infections qui sont résistantes aux antibiotiques et facilement accessibles.

Quiconque a la capacité de larguer ceci dans la nature contrôle le champ de bataille des armes biologiques.

Depuis des mois maintenant, les pouvoirs officiels aux Etats-Unis et ailleurs ont éludé certains aspects bien anormaux de la COVID-19. C’est un jeu de pourcentage, d’un point de vue scientifique, regardez les facteurs de possibilité qu’un virus migre d’une espèce à une autre, ou qu’il voyage magiquement d’un état à un autre comme un groupe terroriste comme l’EIIL / ISIS se rendant en Syrie de partout dans le monde.

Excusez l’analogie, je n’ai pas pu m’en empêcher.

Simplement, la science dit qu’un “accident” de laboratoire est la source “probable” de la COVID-19. Ceux qui choisissent de ne pas suivre ce sujet publiquement après des annonces voilées le font pour “éviter la panique”. Ceci est toujours l’excuse lorsque des choses se passent qui pourraient altérer le narratif accepté qu’on a fait ingurgité au public et c’est pourquoi tant de théories du complot ont trouvé un terreau si fertile de nos jours.

Il y a certainement eu une recherche COVID [SRAS-CoV-2] au labo de Wuhan, mais aussi au labo d’armes biologiques géré par les Etats-Unis à Tbilissi en Georgie, ce qui a été largement rapporté mais tout aussi largement censuré.

La recherche la plus extraordinaire fut conduite à the University of North Carolina.

Là, une équipe américaine constituée d’”anciens” top-experts en armement biologique a créé un ou plusieurs virus SARS-CoV-2 en tant que part d’une recherche de l’USAID (CIA) afin “d’évaluer la vulnérabilité des Etats-Unis à une attaque biologique.”

covorwell

De ProPublica :

Du 1er janvier 2015 au 1er juin 2020, l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill a rapporté 28 incidents de laboratoire impliquant des organismes génétiquement modifiés, rapportés aux officiels de sécurité de la National Institute of Health (NIH, dont le patron est le pathétique Dr Anthony Fauci…), d’après des documents de l’UNC fournis à ProPublica sous demande de divulgation d’archives publiques. Le NIH supervise la recherche impliquant les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM)

Bas de formulaire

Six des incidents ont impliqué des types variés de coronavirus créés en laboratoire. Beaucoup furent créés pour permettre une étude de l’effet du virus sur la souris. L’UNC a refusé de répondre aux questions au sujet des incidents et de fournir publiquement les détails clefs, incluant les noms des virus impliqués, la nature des modifications apportées et quels types de risques cela posaient au public, ce contrairement aux ligne de conduite du NIH.

L’UNC a dit dans une déclaration “qu’elle avait notifié les agences de supervision idoines au sujet des incidents et pris les mesures appropriées.”

Conclusion

Quand nous disons “huis-clos” ou “envers du décor”, nous nous référons à cet “autre côté du miroir” qui différencie ce qui est dit au public et les élus et, en particulier les “hacks” militaire et du renseignement et le “sombre monde” qui existe réellement.

Les briefings ne vont qu’aux personnes “de confiance”, sélectionnées représentant les plus grosses puissances financières mondiales et les organisations clandestines, certaines dont on n’a jamais entendu parler et qui ont un pouvoir extraordinaire sur les évènements. Oui, tout ceci existe bel et bien et franchement, peu de personnes disputeront un mot de tout ceci.

Dans le processus de divulguer une information autrement inaccessible telle que celle avec laquelle nous jonglons en l’occurence, à une audience qui aura du mal à contextualiser proprement, ceci peut tout aussi bien être considéré comme “expérimental” en soi.

Afin de faire avancer ce processus, nous allons regarder quelques possibles conclusions.

  • Des puissances bien plus grandes qu’un simple gouvernement peuvent très bien utiliser des armes biologiques pour altérer non seulement les évènements du monde, mais l’histoire elle-même.
  • COVID-19 ne peut très bien n’être qu’un test et bien des faits bizarres qui ont “accidentellement” permis à la pandémie de devenir sauvage et hors de contrôle ne sont pas du tout accidentels.

Et nous nous arrêterons ici…

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A lire en complément, nos pages :

“Coronavirus, guerre biologique contre l’humanité” et

“COVID-19 du mythe aux statistiques et des stats au scandale”

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

obsede-du-virus

covid+and+Technology

150 ans : En hommage aux 30 000 Communards assassinés par l’état français dans la semaine du 21 au 28 mai 1871 : « Révolte et révolution » (Albert Camus, 1951)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, démocratie participative, gilets jaunes, guerres hégémoniques, militantisme alternatif, pédagogie libération, philosophie, politique et social, politique française, résistance politique, société des sociétés, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , on 22 Mai 2021 by Résistance 71

Ceci est le texte intégral retranscrit par nos soins de la 6ème et dernière partie du chapitre “La révolte historique” de “L’homme révolté” (1951) d’Albert Camus, qui est composé de trois grands chapitres : “La révolte métaphysique”, “La révolte historique” et “Révolte et art”. Nous pensons que cet écrit possède plus que jamais sans doute, une résonance d’une grande actualité, comme tout l’ouvrage du reste que nous tenons pour une des plus grandes réflexions sur la condition humaine jamais écrite. De fait, la contribution de l’occident à la conscience universelle humaine tient en trois ouvrages à notre sens clefs et uniques dans leur portée philosophico-socio-politique, dans l’ordre chronologique :

“”Les possédés”, Fiodor Dostoïevski, 1871, “Ainsi parlait Zarathoustra”, Friedrich Nietzsche, 1883 et “L’homme révolté” d’Albert Camus, 1951.

“La révolte est, dans l’homme, le refus d’être traité en chose et d’être réduit à la simple histoire. Elle est l’affirmation d’une nature commune à tous les hommes, qui échappe au monde, la puissance.” (Albert Camus)

AC1

Révolte et révolution

Albert Camus

Transcription Résistance 71 pour le cent-cinquantenaire de la Commune de Paris 1871-2021 et de la semaine sanglante du 21 au 28 mai 1871

22 Mai 2021

NdR71 : Nous publions et dédions ce texte lumineux de Camus, à la mémoire des communards tombés durant la semaine sanglante de la Commune de Paris du 21 au 28 mai 1871 et à toutes celles et ceux qui furent déportés, “empontonnés” suite à l’évènement, ainsi qu’à tous ceux qui font vivre éternellement l’esprit communard au fil du temps, comme les Gilets Jaunes, derniers communards en date. L’ère n’est plus à la révolte et la révolution mais à la révolte et à l’évolution nous faisant emprunter le chemin vers notre humanité enfin réalisée, celui de la Société des Sociétés… Pensez également que Camus écrivait cela il y a 70 ans cette année… L’heure de la mise en pratique a sonné. La crise fabriquée SRAS-CoV-2 / COVID-19 est une preuve supplémentaire, s’il en fallait encore une, démontrant que tout ce que sait faire l’État, c’est terroriser les peuples pour mieux les réprimer et les contrôler, ce à plus forte raison dans sa version capitalisto-républicaine.

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La révolution des principes tue Dieu dans la personne de son représentant. La révolution du XXème siècle tue ce qui reste de Dieu dans les principes eux-mêmes, et consacre le nihilisme historique. Quelles que soient ensuite les voies empruntées par ce nihilisme, dès l’instant où il veut créer dans le siècle, hors de toute règle morale, il bâtit le temple de César. Choisir l’histoire, et elle seule, c’est choisir le nihilisme contre les enseignements de la révolte elle-même. Ceux qui se ruent dans l’histoire au nom de l’irrationnel, criant qu’elle n’a aucun sens, rencontrent la servitude et la terreur et débouchent dans l’univers concentrationnaire. Ceux qui s’y lancent en prêchant sa rationalité absolue rencontrent servitude et terreur et débouchent dans l’univers concentrationnaire. La fascisme veut instaurer l’avènement du surhomme nietzschéen. Il découvre aussitôt que Dieu, s’il existe, est peut-être ceci ou cela, mais d’abord le maître de la mort. Si l’homme veut se faire Dieu, il s’arroge le droit de vie ou de mort sur les autres. Fabricant de cadavres, et de sous-hommes, il est sous-homme lui-même et non pas Dieu, mais serviteur ignoble de la mort. La résolution rationnelle veut, de son côté, réaliser l’homme total de Marx. La logique de l’histoire, à partir du moment où elle est acceptée totalement, la même, peu à peu, contre sa passion la plus haute, à mutiler l’homme de plus en plus et à se transformer elle-même en crime objectif. Il n’est pas juste d’identifier les fins du fascisme et du communisme russe. Le premier figure l’exaltation du bourreau par le bourreau, lui-même. Le second, plus dramatique, l’exaltation du bourreau par les victimes. Le premier n’a jamais rêvé de libérer tout l’homme, mais seulement d’en libérer quelques uns en subjuguant les autres. Le second, dans son principe le plus profond, vise à libérer tous les hommes en les asservissant tous, provisoirement. Il faut lui reconnaître la grandeur de l’intention. Mais il est juste, au contraire, d’identifier leurs moyens avec le cynisme politique qu’ils ont puisé tous deux à la même source : le nihilisme moral. Tout s’est passé comme si les descendants de Stirner et de Nietzsche utilisaient les descendantes de Kaliayev et de Proudhon. Les nihilistes aujourd’hui sont sur les trônes. Les pensées qui prétendent mener notre monde au nom de la révolution sont devenues en réalité des idéologies de consentement, non de révolte. Voilà pourquoi notre temps est celui des techniques privées et publiques d’anéantissement.

La révolution obéissant au nihilisme, s’est retournée en effet contre ses origines révoltées. L’homme qui haïssait la mort et le dieu de la mort, qui désespérait de la survivance personnelle, a voulu se délivrer dans l’immortalité de l’espèce. Mais tant que le groupe ne domine pas le monde, tant que l’espèce n’y règne pas, il faut encore mourir. Le temps presse alors, la persuasion demande le loisir, l’amitié une construction sans fin : la terreur reste dans le plus court chemin de l’immortalité. Mais ces extrêmes perversions crient en même temps, la nostalgie de la valeur révoltée primitive. La révolution contemporaine qui prétend nier toute valeur est déjà, en elle-même, un jugement de valeur. L’homme par elle, veut régner. Mais pourquoi régner si rien n’a de sens ? Pourquoi l’immortalité si la face de la vie est affreuse ? Il n’y a pas de pensée absolument nihiliste sinon, peut-être, dans le suicide, pas plus qu’il n’y a de matérialisme absolu. La destruction de l’homme affirme encore l’homme. La terreur et les camps de concentration sont les moyens extrêmes que l’homme utilise pour échapper à la solitude. La soif d’unité doit se réaliser, même dans la fosse commune. S’ils tuent des hommes, c’est qu’ils refusent la condition mortelle et veulent l’immortalité pour tous. Is se tuent alors d’une certaine manière. Mais ils prouvent en même temps qu’ils ne peuvent se passer de l’homme, ils assouvissent une affreuse faim de fraternité. “La créature doit avoir une joie, et quand elle n’a pas de joie, il lui faut une créature.” Ceux qui refusent la souffrance d’être et de mourir veulent alors dominer. “La solitude c’est le pouvoir”, dit Sade. Le pouvoir aujourd’hui, pour des milliers de solitaires, parce qu’il signifie la souffrance de l’autre, avoue le besoin de l’autre. La terreur est l’hommage que des haineux solitaires finissent par rendre à la fraternité des hommes.

Mais le nihilisme, s’il n’est pas, essaie d’être et cela suffit à déserter le monde. Cette fureur a donné à notre temps son visage repoussant. La terre de l’humanisme est devenue cette Europe, terre inhumaine. Mais ce temps est le nôtre, et comment le renier ? Si notre histoire est notre enfer, nous ne saurions en détourner la face. Cette horreur ne peut être éludée, mais assumée pour être dépassée, par ceux-là même qui l’ont vécue dans la lucidité, non par ceux qui, l’ayant provoquée, se croient en droit de prononcer le jugement. Une telle plante n’a pu jaillir en effet que sur un épais terreau d’iniquités accumulées. Dans l’extrémité d’une lutte à mort où la folie du siècle mêle indistinctement les hommes, l’ennemi reste le frère ennemi. Même dénoncé dans ses erreurs, il ne peut être ni méprisé, ni haï : le malheur est aujourd’hui la patrie commune, le seul royaume terrestre qui ait répondu à la promesse.

La nostalgie du repos et de la paix doit elle-même être repoussée ; elle coïncide avec l’acceptation de l’iniquité. Ceux qui pleurent après les sociétés heureuses qu’ils rencontrent dans l’histoire avouent ce qu’ils désirent : non pas l’allègement de la misère, mais son silence. Que ce temps soit loué au contraire où la misère crie et retarde le sommeil des rassasiés Maistre parlait déjà du “sermon terrible que la révolution prêchait aux rois.” Elle le prêche aujourd’hui, et de façon plus urgente encore, aux élite déshonorées de ce temps. Il faut attendre ce sermon. Dans toute parole et dans tout acte, fut-il criminel, gît la promesse d’une valeur qu’il nous faut chercher et mettre au jour. L’avenir ne peut se prévoir et il se peut que la renaissance soit impossible. Quoique la dialectique historique soit fausse et criminelle, le monde, après tout, peut se réaliser dans le crime, suivant une idée fausse. Simplement, cette sorte de résignation est refusée ici : il faut parier pour la renaissance.

Il ne nous reste plus d’ailleurs qu’à renaître ou à mourir. Si nous sommes à ce moment où la révolte parvient à sa contradiction la plus extrême en se niant elle-même, elle est alors contrainte de périr avec le monde qu’elle a suscité ou de retrouver une fidélité et un nouvel élan. Avant d’aller plus loin, il faut au moins mettre en clair cette contradiction. Elle n’est pas bien définie lorsqu’on dit, comme nos existentialistes par exemple (soumis eux aussi, pour le moment, à l’historisme et à ses contradictions), qu’il y a progrès de la révolte à la révolution et que le révolté n’est rien s’il n’est pas révolutionnaire. La contradiction est, en réalité, plus serrée. Le révolutionnaire est en même temps révolté ou alors il n’est plus révolutionnaire, mais policier et fonctionnaire qui se tourne contre la révolte. Mais s’il est révolté, il finit par se dresser contre la révolution. Si bien qu’il n’y a pas de progrès d’une attitude à l’autre, mais simultanéité et contradictions sans cesse croissante. Tout révolutionnaire finit en oppresseur ou en hérétique. Dans l’univers purement historique qu’elles ont choisi, révolte et révolution débouchent dans le même dilemme : ou la police ou la folie.

A ce niveau, la seule histoire n’offre donc aucune fécondité. Elle n’est pas source de valeur, mais encore de nihilisme. Peut-on créer du moins la valeur contre l’histoire sur le seul plan de la réflexion éternelle ? Cela revient à ratifier l’injustice historique et la misère des hommes. La calomnie de ce monde ramène au nihilisme que Nietzsche a défini. La pensée qui se forme avec la seule histoire, comme celle qui se tourne contre toute histoire, enlèvent à l’homme le moyen ou la raison de vivre. La première le pousse à l’extrême déchéance du “pourquoi vivre”, la seconde au “comment vivre”. L’histoire nécessaire, non suffisante, n’est donc qu’une cause occasionnelle. Elle n’est pas absence de valeur, ni la valeur elle-même, ni même le matériau de la valeur. Elle est l’occasion, parmi d’autres, où l’homme peut éprouver l’existence encore confuse d’une valeur qui lui sert à juger l’histoire. La révolte elle-même nous en fait la promesse.

La révolution absolue supposait en effet l’absolue plasticité de la nature humaine, sa réduction possible à l’état de force historique. Mais la révolte est, dans l’homme, le refus d’être traité en chose et d’être réduit à la simple histoire. Elle est l’affirmation d’une nature commune à tous les hommes, qui échappe au monde, la puissance. L’histoire, certainement, est l’une des limites de l’homme, en ce sens le révolutionnaire a raison. Mais l’homme, dans sa révolte, pose à son tour une limite à l’histoire. A cette limite naît la promesse d’une valeur. C’est la naissance de cette valeur que la révolution césarienne combat aujourd’hui implacablement, parce qu’elle figure sa vraie défaite et l’obligation pour elle de renoncer à ses principes. En 1950, et provisoirement, le sort du monde ne se joue pas, comme il paraît, dans la lutte entre la production bourgeoise et la production révolutionnaire ; leurs fins seront les mêmes. Elle se joue entre les forces de la révolte et celles de la révolution césarienne. La révolution triomphante dit faire la preuve, par ses polices, ses procès et ses excommunications, qu’il n’y a pas de nature humaine. La révolte humiliée par ses contradictions, ses souffrances, ses défaites renouvelées et sa fierté inlassable, doit donner son contenu de douleur et d’espoir à cette nature.

“Je me révolte, donc nous sommes” disait l’esclave. La révolte métaphysique ajoutait alors le “nous sommes seuls”, dont nous vivons encore aujourd’hui. Mais si nous sommes seuls sous le ciel vide, si donc il faut mourir à jamais, comment pouvons-nous être réellement ? La révolte métaphysique tentait alors de faire de l’être avec du paraître. Après quoi les pensées purement historiques sont venues dire qu’être, c’était faire. Nous n’étions pas, mais devions être par tous les moyens. Notre révolution est une tentative pour conquérir un être neuf, par le faire, hors de toute règle morale. C’est pourquoi elle se condamne à ne vivre que pour l’histoire, et dans la terreur. L’homme n’est rien selon elle, s’il n’obtient pas dans l’histoire, de gré ou de force, le consentement unanime. A ce point précis, la limite est dépassée, la révolte est trahie, d’abord et logiquement assassinée ensuite, car elle n’a jamais affirmé dans son mouvement le plus pur que l’existence d’une limite, justement, et l’être divisé que nous sommes : elle n’est pas à l’origine la négation totale de tout être. Au contraire, elle dit en même temps oui et non. Elle est le refus d’une part de l’existence au nom d’une autre part qu’elle exalte. Plus cette exaltation est profonde, plus implacable est le refus. ensuite, lorsque sans le vertige et la fureur, la révolte passe au tout ou rien, à la négation de tout être et de toute nature humaine, elle se renie à cet endroit. La négation totale justifie seule le projet d’une totalité à conquérir. Mais l’affirmation d’une limite, d’une dignité et d’une beauté communes aux hommes, n’entraîne que la nécessité d’étendre cette valeur à tous et à tout et de marcher vers l’unité sans renier les origines. En ce sens, la révolte est l’unité, la revendication de la révolution historique : la totalité. La première part du non appuyé sur un oui, la seconde part de la négation absolue et se condamne à toutes les servitudes pour fabriquer un oui rejeté à l’extrémité des temps L’une est créatrice, l’autre nihiliste. La première est vouée à créer pour être de plus en plus, la seconde forcée de produire pour nier de mieux en mieux. La révolution historique s’oblige à faire toujours dans l’espoir, sans cesse déçu, d’être un jour. Même le consentement unanime ne suffira pas à créer l’être. “Obéissez!” disait Frédéric le Grand à ses sujets. Mais en mourant : “je suis las de régner sur des esclaves.” Pour échapper à cet absurde destin, la révolution est et sera condamnée à renoncer à ses propres principes, au nihilisme et à la valeur purement historique, pour retrouver la source créatrice de la révolte. La révolution pour être créatrice ne peut se passer d’une règle, morale ou métaphysique, qui équilibre le délire historique. Elle n’a sans doute qu’un mépris justifié pour la morale formelle et mystificatrice qu’elle trouve dans la société bourgeoise. Mais sa folie a été d’étendre ce mépris à toute revendication morale. A ses origines mêmes et dans ses élans les plus profonds, se trouve une règle qui n’est pas formelle et qui pourtant, peut lui servir de guide. La révolte, en effet, lui dit et lui dira de plus en plus haut qu’il faut essayer de faire, non pour commencer d’être un jour, aux yeux d’un monde réduit au consentement, mais en fonction de cet être obscur qui se découvre déjà dans le mouvement d’insurrection. Cette règle n’est ni formelle ni soumis à l’histoire, c’est ce que nous pourrons préciser en la découvrant à l’état pur, dans la création artistique. Notons seulement, auparavant, qu’au “je me révolte donc nous sommes”, au “Nous sommes seuls”, de la révolte métaphysique, la révolte au prise avec l’histoire ajoute qu’au lieu de tuer et mourir pour produire l’être que nous ne sommes pas, nous avons à vivre et faire vivre pour créer ce que nous sommes.

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“Deviens ce que tu es.” (Friedrich Nietzsche)

Albert Camus sur Résistance 71

CHEVAL FOU
Dans l’esprit de Cheval Fou…