
Injection OGM pour virus OGM…
Notez que cet article fait suite à l’article de VT du 25 mars 2020 que nous avions traduit et publié à l’époque :
“Le SRAS-CoV-2 / COVID-19 créé dans un labo de Caroline du Nord pour une guerre biologique et payé par des fonds de l’USAID / CIA”.
Une guerre biologique est menée contre l’humanité, il est temps de bien le comprendre et de cesser d’acquiescer à la dictature se mettant en place et à faire confiance aux gouvernements et Big Pharma qui ne sont là que pour nous massacrer et nous réduire en un esclavage post-moderne.
Le doute n’est plus permis ! Le temps d’agir est venu ! Boycott et révolte !
~ Résistance 71 ~
La COVID-19 comme arme biologique, les bonnes questions à poser depuis l’envers du décor
Gordon Duff avec New Eastern Outlook (NEO, russia, établi en 1816)
17 mai 2021
url de l’article :
https://www.veteranstoday.com/2021/05/18/neo-covid-as-a-bioweapon-hard-questions-from-behind-closed-doors/
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Une analyse de la pandémie mondiale COVID-19 par une équipe d’ex-officiers du renseignement en provenance de plusieurs nations est effective et permanente depuis janvier 2020. Les trouvailles de cette analyse sont communiquées à des clients, et ce, sous la plus stricte des sécurités. Le nom même de ces clients est hautement gardé secret.
Un certain nombre de choses sont tracées et évaluées en utilisant des matériaux open-source essentiellement mais pas exclusivement.
- Les anomalies dans la diffusion et la contagion de la maladie COVID-19 [NdT: provenant du virus SRAS-CoV-2] et le potentiel du ciblage à l’arme biologique.
- Les anomalies dans la production et la distribution des vaccins et de leur usage potentiel, même thérapeuthiquement, comme arme de guerre.
- Le financement occulte derrière les mouvements anti-vax et anti-science
- Des investissements indiquant une pré-connaissance des vecteurs pandémiques.
- Les récurrences dans les publications des réseaux sociaux ayant pour intention d’handicaper les efforts de limiter la pandémie.
- Les schémas de “financement obscur” des médias (ceux ce Fox-Carlson-Murdock) qui sont en parallèle de programmes de “propagande noire” de certaines agences de renseignement
- L’énorme indifférence étendue des grosses entreprises et de certains individus et les bénéfices engrangés qui suivent un schéma “d’influence mortifère” et d’un “délit d’initié” coupable.
- La récurrence de fausses nouvelles et de supercherie ainsi que de théories conspiratrices qui montrent une “coordination opérationnelle”.
L’analyse de ces facteurs a fourni suffisamment de soutien pour faire la maquette d’une hypothèse unique ayant un bon nombre de sous-effets :
- La COVID-19 fut le plus sûrement lâchée après sa création et sa distribution depuis plus d’un laboratoire de recherche en Chine, en Europe et aux Etats-Unis
- Les gouvernements, incluant spécifiquement le gouvernement américain alors géré par Donald Trump, furent totalement complices de l’affaire.
- La politique initiale de ces gouvernements entre octobre 2019 et avril 2020 a non seulement garanti le succès de la pandémie, mais a aussi suivi un plan opérationnel.
- Ce plan opérationnel implique une reconstruction à une échelle planétaire, changeant les “attentes” des populations clefs du monde et leur “conditionnement” pour des “résultats politiques des plus sombres”.
Au-delà de cela, la même hypothèse a déterminé que la COVID-19 est le plus sûrement un test, un “essai”, une “répétition générale” pour des vecteurs plus spécifiques.
Pour une toile de fond plus détaillée, voici un extrait de “Guerre biologique au dessus de Cuba” de Stewart McMillan, datant de 1998 :
“Une fois de plus, le monde est au bord d’une autre guerre, cette fois-ci soi-disant parce que les Etats-Unis pensent que Saddam Hussein pourrait cacher des stocks d’armes biologiques. Pourtant, que les Etats-Unis possèdent et utilisent de telles armes est moins bien connu.
Le gouvernement américain pourrait-il être si hypocrite pour menacer de frappe militaire un Saddam Hussein qui pourrait potentiellement fabriquer de telles armes, alors même que ce gouvernement est accusé de déployer ces armes contre d’autres nations ?
Toujours premiers de la classe.

Les Etats-Unis sont les leaders du développement et de la production d’armes bactériologiques et chimiques à l’échelle mondiale. Leur utilisation par l’armée dans les guerres de Corée et du Vietnam est bien documentée dans des documents du gouvernement américain et par les médias. Ce qui l’est moins en revanche, c’est leur utilisation par l’armée américaine lors d’opérations secrètes. Officiellement, toutes ces armes furent détruites en 1972, après la signature de la convention sur les armes biologiques. De cette manière, les Etats-Unis sont comme l’Irak. Mais de manière officieuse, la recherche et le développement et l’utilisation d’armes biologiques par le gouvernement US a été suspectée de longue date et récemment, un étrange incident impliquant un avion américain a ramené ce sujet sous les feux de la rampe une fois de plus.
Le 21 octobre 1996, un avion S2R d’épandage agricole enregistré au nom du ministère des affaires étrangères des Etats-Unis, volait de la Floride vers la Colombie via les Îles Caïmans. L’avion survolait une zone connue sous le nom de Couloir Giron, qui est très fréquenté par les avions commerciaux. L’avion avait une autorisation cubaine de survol de son territoire, ceci faisant soi-disant partie d’une opération anti-drogue américaine régulièrement programmée.
Volant au dessus de la même zone se trouvait le vol commercial régulier CU-170 de la Cubana de Aviacion qui allait de La Havanne à Las Tunas. Les pilotes de l’appareil notèrent que l’avion américain volait sur une trajectoire presque parallèle à la leur, juste quelques 300m au dessus d’eux. Les pilotes cubains virent un “brouillard blanc-gris”, comme ils le dirent plus tard, sortir 7 fois de l’avion de manière intermittente. Le pilote cubain fit immédiatement un rapport de la décharge de l’avion américain de cette substance inconnue à la tour de contrôle.
Un contrôleur aérien cubain prit contact avec l’appareil américain. Il enregistra la conversation leur demandant s’ils avaient eu un problème technique, le pilote américain répondit “Non”. Lorsqu’on lui demanda de quel type d’appareil il s’agissait, la réponse fut “AY-65, monomoteur”. Ce qu’il n’était pas ; c’était un S2R. Bizarre qu’un pilote put oublier sur quel type d’apparel il volait.
Le 18 décembre 1996, apparaissait le premier signe de l’invasion d’un insecte étranger dans une plantation de pommes de terre de la Lenin State Horticultural Farm. des échantillons furent envoyés au laboratoire central de quarantaine du centre de contrôle nationale des parasites, l’insecte étant totalement inconnu à Cuba. L’enquête identifia l’organisme comme étant le Thrips palmi karay.
Le problème avec le Thrips est qu’il est originaire d’Asie. Depuis 1985, il s’est propagé dans certains pays des Caraïbes comme par exemple Haïti, la république Dominicaine et la Jamaïque. Cet insecte parasite infecte pratiquement toutes les cultures, les plantes sauvages et d’ornement. Il se reproduit lui-même dans un champ et est facilement transporté dans le transport de plantes et de sols. Il est résistant au changement de température et à beaucoup d’insecticides. bref, c’est un cauchemar pour le monde agricole.
Ces deux incidents auraient-ils pu être connectés ? Le gouvernement cubain le pense et a regroupé un grand nombre d’informations pour le prouver, informations qu’il a fourni aux Nations-Unies avec son dépôt de plainte officielle à l’ONU.
Après avoir enregistré la plainte avec des diplomates américains, le gouvernement cubain s’est plaint au SG de l’ONU d’alors Koffi Annan, accusant que le Thrips “attaque et endommage gravement pratiquement toutes les récoltes et qu’il est aussi résistant à une grande variété de pesticides.”
De manière similaire, nous allons jeter un œil sur à la FPA ou Fièvre Porcine Africaine et de son utilisation comme arme biologique, ce avec le Dr Steinbock qui écrivit pour le FX Trade en 2019 :
La Fièvre Porcine Africaine est mortelle et très coûteuse et pénalise la sécurité de la chaîne alimentaire en Chine et dans plus d’une demie-douzaine de pays asiatiques. Malgré l’histoire officielle de la FPA, le virus a été utilisé comme arme biologique dans le passé. La suppression de telles menaces biologiques demande une coopération multipolaire.
Le 20 août, le ministre de l’agriculture Willian Dar, confirma le rapport BAI sur la croissance du taux de mortalité des cochons élevés par les paysans dans leurs cours de ferme. Les Philippines renforce leur sécurité biologique en attendant les résultats des labos.
Avec le Myanmar (Birmanie), les Philippines pourraient prouver être la cible la plus récente de la FPA. Le virus est déjà présent dans six pays asiatiques : le Cambodge, la Chine, la Corée du Nord, le Laos, la Mongolie et le Vietnam. Les pertes courantes représentent plus de 10% du cheptel total porcin en Chine, au Vietnam et en Mongolie respectivement.
Mais comment donc a commencé la contagion à la FPA ?
Le narratif officiel de la FPA
La FPA est une fièvre hémorragique dévastatrice qui affecte les cochons avec un taux de mortalité des animaux infectés de près de 100%. Cette maladie cause cause d’énormes pertes économiques, menace la sécurité alimentaire et limite la production porcine dans les pays affectés. Il n’y a pas de vaccin contre ce virus. Il infecte de manière persistante ses hôtes naturels, les cochons sauvages, sangliers et autres phacochères ainsi que les tiques molles, qui sont vecteur de transmission sans être affectés symptomatiquement par la maladie.
Historiquement, la première contagion à la Fièvre Porcine Africaine a eu lieu au Kenya en 1907. La première contagion hors Afrique eut lieu au Portugal en 1957, de manière présumée par des déchets de vols commerciaux donnés à des cochons près de l’aéroport de Lisbonne. Ainsi par la suite, d’autres contagions à la FPA furent rapportés dans d’autres pays d’Europe.
Cuba fut le premier pays dans les Caraïbes a être infecté de la FPA en 1971. Il fut longtemps cru que ce fut introduit depuis l’Espagne. La FPA fut aussi rapportée à la fin des années 70 dans plusieurs îles des Caraïbes et au Brésil en 1978. De manière présumée, introduite depuis l’Espagne et le Portugal via des déchets de vols commerciaux transportés lors de vols intercontinentaux.
Après une décennie de calme relatif, la FPA se propagea en 2007 dans le Caucase en provenance de Georgie et dans des pays limitrophes comme l’Arménie, l’Azerbaïdjan et plusieurs territoires russes. Après une autre décennie de calme, il y eut une recrudescence de contagions par FPA en 2018, spécifiquement en Chine, bien que cette maladie ne fut pas détectée en Chine ou en Asie auparavant. Depuis, quelques 2,8 millions de porcs ont été abattus à cause de la FPA d’après Organisation Mondiale pour la Santé Animale, mais les observateurs de l’industrie pensent que les pertes sont en fait bien plus élevées.
C’est la sagesse conventionnelle, impliquant que la FPA demeura cantonnée à l’Afrique jusqu’aux années 50. En réalité, la FPA est arrivée en Amérique du Nord dès le début des années 50, lorsque Fort Terry, une base labo de guerre biologique à Plum dans l’état de New York, y hébergea sept formes particulièrement mortelles.
Allons au cœur du problème :
La FPA comme agent de guerre biologique
Après l’expérience de la seconde guerre mondiale, la guerre biologique américaine fut lancée avec des buts offensifs. Durant la guerre froide, la FPA fut de grand intérêt parmi les virus anti-animaux, comme aussi la peste ovine et la fièvre aphteuse (NdT: “foot and mouth disease” en anglais). Dès 1954, d’après les historiens de la guerre biologique, trois virus étaient disponibles en tant qu’agents de destruction de nourriture animale, ceci incluait la FPA.
Entre le milieu des années 60 et la fin des années 90, Cuba a accusé les Etats-Unis de 10 attaques biologiques suivant de sérieuses infections par contagion sur son territoire. Aucune ne fut prouvée de manière conclusive, mais il est plus que probable qu’il y en eut de fait plusieurs. En 1971, les porcs d’une ferme porcine de La Havane furent diagnostiqués avec la FPA, qui s’étendit et causa la mort de près d’un demi millions de porcs qui durent être abattus et détruits. En résultat, Cuba fut victime d’un problème alimentaire. Les Nations Unies l’appelèrent “L’évènement le plus alarmant de 1971”.
En 1977, Les journalistes d’enquête de Newsday, un quotidien de Long Island, rapportèrent que le virus fut délivré depuis une base militaire américaine de la zone du canal de Panama ; le site des opérations secrètes de l’armée américaine et de la CIA pour l’Amérique Latine et les Caraïbes.
D’après le rapport, des saboteurs anti-Castro, soutenus par la CIA, ont introduit la FPA à Cuba six semaines avant le début de la contagion afin de déstabiliser l’économie du pays. L’armée américaine réfuta toute implication. Néanmoins, Norman Covert, un historien du labo militaire de guerre biologique de Fort Detrick dans l’état de Maryland, dans les années 50 et 60, a dit que la CIA avait accès à ces laboratoires. Plus tard, un document de la CIA confirma que la guerre biologique fut utilisée parmi tous les efforts pour déstabiliser Cuba.
Ces efforts de déstabilisation ne se sont pas arrêtés avec la guerre froide. En 2000, les néo-conservateurs derrière l’administration Bush ont flirté avec l’idée d’armes biologiques ethniques “politiquement utiles”. Ceci mena à l’interdiction par la Russie en 2007 de toute exportation d’échantillons biologiques humains. (NdT: il était probablement déjà trop tard… les échantillons humains étant déjà entre les mains des docteurs Folamour yankees, la période Eltsine de 1991 à 1998 ayant été “open bar” pour toutes les turpitudes)
En octobre 2018, le ministère de la défense russe affirma que la propagation de maladies virales en provenance de Georgie, incluant la FPA depuis 2007, pourrait bien être connectée à un réseau de laboratoires américains. Dans la zone, plus de 70 Georgiens sont morts dans des conditions mystérieuses, ce que Moscou attribua à des toxines ou des armes biologiques américaines. La Russie pense que des agents biologiques ont violé l’interdiction sur les armes biologiques.
Le réseau de labos fait partie d’un Programme d’Engagement Biologique Coopératif (PEBC). financé par l’Agence de Coopération pour la Réduction de la Menace (ACRM) du Pentagone. Les labos du PEBC sont localisés dans 25 pays, particulièrement en Europe de l’Est, au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie du Sud-Est, incluant les Philippines.
Alors que le Pentagone nia que les Etats-Unis développaient des armes biologiques dans ces labos, Vladimir Shamanov, patron du comité de défense de la Douma russe (parlement russe), appela à “une évaluation compréhensive” suggérant une “inspection conjointe”. Toutes ces demandes multilatérales ont été ignorées. Dans son multi-millions dollars budget de 2020, l’ACRM caractérise le programme en Asie par ses fonctions de bio-sécurité, mais aussi comme “le partenaire de choix dans une région en compétition avec l’influence chinoise”. Donc, tandis que les contagions par virus se produisent à travers les frontières, la coopération multilatérale est boudée au profit de la géopolitique.
La FPA est une de plusieurs maladies suspectées d’avoir été créée et relâchée par ce réseau de labos que la Russie pensent les Etats-Unis gérer à ses frontières. A la fois Veterans Today et New Eastern Outlook ont publié plusieurs informations en provenance d’un officier américain spécialiste NBC (Nucléaire-Biologique-Chimique), Jeffrey Silverman, en relation avec ces labos, particulièrement le “Labo Lugar” de Tbilissi en Georgie. De fait, ces rapports ont produit des attaques à la fois individuelles et de sources médiatiques, d’organisations de “diseurs de vérité” au financement obscur par l’OTAN et les agences de renseignement occidentales.
Ces efforts sont pris par les analystes professionnels du renseignement comme des preuves que non seulement les assertions faites sur le labo de Tbilissi et autres sont justes en substance, mais que cette intention montre que de telles opérations seront continuées et intensifiées.
En cela, on peut bien vouloir parler de la COVID-19 elle-même ou quelque chose de bien pire. Voyez-vous, COVID-19 peut être tracée à Tbilissi où des élèves doctorants de la région passent leurs étés dans des grottes à chauves-souris à collecter des échantillons de virus pour la “recherche biologique”. Des rapports précédents ont montré que cet endroit est géré par l’armée et les agences du renseignement et, en réalité, n’est pas du tout un “centre de recherche agricole”.
L’analyse a aussi trouvé un schéma de “black ops” utilisant des armes chimiques et biologiques dans la région avec de similaires intervenants, incluant des officiels du renseignement ukrainien, liés non seulement aux armes biologiques, mais aussi à la délivrance de gaz sarin aux groupes d’opérations spéciales qui sont déployés dans les attaques faux-drapeau en Syrie. De Jeffrey Silverman, 2014 :
Jeffrey Silverman interviewed par Maia Chubinishvili
Le 27 août 2013, le célèbre investigateur politique américain Gordon Duff et principal éditeur de l’ex service de publication du ministère américain des affaires étrangères et du renseignement, Veterans Today, a publié un article intitulé “US Contractors Cited for Syrian Chemical Attacks,” et une vidéo intitulée “Syrian Gas Attack Proof Syrian Army Has No Involvement.”
Le commentaire décrivant cette vidéo dit : “La vidéo que vous regardez maintenant a été filmée en Syrie et montre les armes chimiques utilisées qui furent envoyées depuis la Georgie. Les Etats-Unis sont derrière tout cela. L’ex-sénateur américain Richard Lugar est la personne qui a assisté et rendu possible le transport de ces armes. de la Georgie vers la Syrie via la Turquie. Regardez les armes dans cette vidéo et observez comment elles ont été rendues opérationnelles. Un programme d’armes chimiques américain fournit les rebelles syriens en armes de destruction massive. Une équipe d’enquêteurs a déterminé que des armes chimiques sont fournies dans cette région qui est sous contrôle américain. Ils ont suivi la piste de ces armes chimiques vers la république de Georgie. Des subdivisions de l’armée turque les ont transportées aux terroristes d’Al Qaïda qui opèrent en territoire syrien.
Les journalistes Jeffrey Silverman et Lika Moshiashvili sont crédités de la découverte de ces opérations secrètes illégales se déroulant dans le Laboratoire de Référence Centrale contrôlé par les USA dans la banlieue de Tbilissi connue sous le nom de Alekseevka Settlement.” Dès que cette information fut connue du public, Georgia & World a contacté le journaliste et chercheur américain basé à Tbilissi Jeffrey Silverman.
Silverman:
J’ai appris en 2004 au sujet du Projet National Bechtel, de l’existence d’un centre de stockage biologique en Georgie de sous-traitants du ministère de la défense [américain], incluant des sous-traitants turcs. Ils travaillaient à la construction du labo qui se construisait près de l’aéroport de Tbilissi. je me suis mis à rechercher ce projet en profondeur avec des journalistes georgiens et norvégiens. Mes premières questions furent : pourquoi près de l’aéroport et pourquoi en Georgie ?
J’ai compris très rapidement que le gouvernement et le ministère de la défense américains voulaient étudier de nouvelles souches infectieuses, comme l’Anthrax, qui évoluaient dans la nature parmi les troupeaux de bétail dans les régions rurales de Georgie. Il doit être ici mentionné qu’il s’agit d’un petit pays et que Tbilissi fut déjà dans le passé un centre de recherche du système d’armes biologiques de l’URSS, à la fois pour animaux et plantes.
J’ai été capable d’avoir accès aux plans du labo et en discutant avec des contractants et des lanceurs d’alerte, j’ai appris que le ministère de la défense opère un réseau de laboratoires en Georgie et que ces labos ont une capacité offensive.
Certains vont même jusqu’à dite que les Etats-Unis utilisent a Georgie et sa population comme parties de leur recherche incessante sur le sujet. Je le suspecte également, c’est pourquoi j’essaie d’obtenir des preuves solides de cette allégation en ce moment.
La question est de savoir si les Georgiens sont utilisés à des fins sinistres de tests de programmes biologiques et d’essais de vaccination. Ceci sera peut-être difficile à prouver, mais les Etats-Unis eux-mêmes ont conduit des expériences sur leur propre population au cours des années, et ils peuvent utiliser la population de Georgie comme part d’essais de vaccination de terrain sans que cette population puisse donner un consentement informé.
Un certain nombre de labos, éparpillés à travers l’Europe de l’Est, sont reliés par une sorte de cordon ombilical par le Programme de Prévention de Prolifération des Armes Biologiques (PPPAB) et aux nombreux projets qui lui sont rattachés Ce programme fournit une parfaite couverture pour ce qui est le plus probablement un programme de recherche offensive. Si les souches sur lesquelles ils travaillent s’avèrent être résistantes aux antibiotiques, ceci implique qu’ils font de la recherche sur des organismes spécifiques qui peuvent manger les bactéries et attaquer des infections qui sont résistantes aux antibiotiques et facilement accessibles.
Quiconque a la capacité de larguer ceci dans la nature contrôle le champ de bataille des armes biologiques.
Depuis des mois maintenant, les pouvoirs officiels aux Etats-Unis et ailleurs ont éludé certains aspects bien anormaux de la COVID-19. C’est un jeu de pourcentage, d’un point de vue scientifique, regardez les facteurs de possibilité qu’un virus migre d’une espèce à une autre, ou qu’il voyage magiquement d’un état à un autre comme un groupe terroriste comme l’EIIL / ISIS se rendant en Syrie de partout dans le monde.
Excusez l’analogie, je n’ai pas pu m’en empêcher.
Simplement, la science dit qu’un “accident” de laboratoire est la source “probable” de la COVID-19. Ceux qui choisissent de ne pas suivre ce sujet publiquement après des annonces voilées le font pour “éviter la panique”. Ceci est toujours l’excuse lorsque des choses se passent qui pourraient altérer le narratif accepté qu’on a fait ingurgité au public et c’est pourquoi tant de théories du complot ont trouvé un terreau si fertile de nos jours.
Il y a certainement eu une recherche COVID [SRAS-CoV-2] au labo de Wuhan, mais aussi au labo d’armes biologiques géré par les Etats-Unis à Tbilissi en Georgie, ce qui a été largement rapporté mais tout aussi largement censuré.
La recherche la plus extraordinaire fut conduite à the University of North Carolina.
Là, une équipe américaine constituée d’”anciens” top-experts en armement biologique a créé un ou plusieurs virus SARS-CoV-2 en tant que part d’une recherche de l’USAID (CIA) afin “d’évaluer la vulnérabilité des Etats-Unis à une attaque biologique.”

De ProPublica :
“Du 1er janvier 2015 au 1er juin 2020, l’université de Caroline du Nord à Chapel Hill a rapporté 28 incidents de laboratoire impliquant des organismes génétiquement modifiés, rapportés aux officiels de sécurité de la National Institute of Health (NIH, dont le patron est le pathétique Dr Anthony Fauci…), d’après des documents de l’UNC fournis à ProPublica sous demande de divulgation d’archives publiques. Le NIH supervise la recherche impliquant les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM)
Bas de formulaire
Six des incidents ont impliqué des types variés de coronavirus créés en laboratoire. Beaucoup furent créés pour permettre une étude de l’effet du virus sur la souris. L’UNC a refusé de répondre aux questions au sujet des incidents et de fournir publiquement les détails clefs, incluant les noms des virus impliqués, la nature des modifications apportées et quels types de risques cela posaient au public, ce contrairement aux ligne de conduite du NIH.
L’UNC a dit dans une déclaration “qu’elle avait notifié les agences de supervision idoines au sujet des incidents et pris les mesures appropriées.”
Conclusion
Quand nous disons “huis-clos” ou “envers du décor”, nous nous référons à cet “autre côté du miroir” qui différencie ce qui est dit au public et les élus et, en particulier les “hacks” militaire et du renseignement et le “sombre monde” qui existe réellement.
Les briefings ne vont qu’aux personnes “de confiance”, sélectionnées représentant les plus grosses puissances financières mondiales et les organisations clandestines, certaines dont on n’a jamais entendu parler et qui ont un pouvoir extraordinaire sur les évènements. Oui, tout ceci existe bel et bien et franchement, peu de personnes disputeront un mot de tout ceci.
Dans le processus de divulguer une information autrement inaccessible telle que celle avec laquelle nous jonglons en l’occurence, à une audience qui aura du mal à contextualiser proprement, ceci peut tout aussi bien être considéré comme “expérimental” en soi.
Afin de faire avancer ce processus, nous allons regarder quelques possibles conclusions.
- Des puissances bien plus grandes qu’un simple gouvernement peuvent très bien utiliser des armes biologiques pour altérer non seulement les évènements du monde, mais l’histoire elle-même.
- COVID-19 ne peut très bien n’être qu’un test et bien des faits bizarres qui ont “accidentellement” permis à la pandémie de devenir sauvage et hors de contrôle ne sont pas du tout accidentels.
Et nous nous arrêterons ici…
= = =
A lire en complément, nos pages :
“Coronavirus, guerre biologique contre l’humanité” et
“COVID-19 du mythe aux statistiques et des stats au scandale”
Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)
Comprendre et transformer sa réalité, le texte:
Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »
+
4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:
Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être
Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche
Manifeste pour la Société des Sociétés
Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

