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COVID-19 crime contre l’humanité : un parasite nano-techno-biologique injecté sciemment aux populations (Karen Kingston, article + vidéo entretien)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , on 30 octobre 2022 by Résistance 71

Encapsulation of the DNA within liposomes would be useful for pr

Notre traduction la plus importante depuis celle du livre de Robert F. Kennedy Jr. en début d’année. Information absolument stupéfiante, même si à terme, bien des gens se doutaient que quelque chose de la sorte allait finir par transpirer… Surtout depuis certains propos du professeur Luc Montagnier en 2020 et 2021. Cela demeure néanmoins hallucinant, quand on prend cette info en pleine tronche ! Plus de 48 heures pour que les traducteurs reprennent leurs esprits et se mettent à l’ouvrage ! Pourtant on en a lu des trucs dégueulasses, mais là on est bien tristement dans une autre dimension…
A lire et diffuser sans aucune modération. Ceux qui se posaient encore la question de savoir si toute cette affaire SRAS-CoV-2 / COVID19 est vraiment un crime contre l’humanité plutôt qu’une affaire de gros sous comme à l’habitude. Dites-nous ce que vous pensez après avoir lu ce qui suit et visionné la vidéo en VOSTF de l’entretien de Karen Kingston avec Stew Peters que nous mettons sous le texte et que nous replaçons aussi en section commentaires.
A partir de là… Que faisons-nous ? On continue à les laisser faire ?… Ceci ne fait que confirmer une fis de plus si cela était encore nécessaire qu’il n’y a pas et ne saurait y avoir de solution au sein du système. 

« Ami, entends-tu le vol noir des corbeaux sur nos plaines,
Ami, entends-tu ces cris sourds du pays qu’on enchaîne,
Ohé ! partisans, ouvriers et paysans, c’est l’alarme !
Ce soir l’ennemi connaîtra le prix du sang et des larmes. »
~ 1er couplet du chant des partisans ~

Maintenant, ça ne devrait plus faire de doute pour quiconque de savoir qui est vraiment l’ennemi… Il suffit d’agir en conséquence … Hoka Hey !

~ Résistance 71 ~

LM1

Brevet pour un vaccin global contre la COVID19 sur une plateforme ARNm mortelle

Série de courriels envoyés à des personnes du monde de la science et des médias entre le 21 et 29 mai 2021, notifiant ces personnes influentes que les injections ARNm anti-COVID19 sont des ARMES BIOLOGIQUES.

Karen Kingston*

30 septembre 2022

Url de l’article original: 

https://karenkingston.substack.com/p/911-patent-for-global-covid-19-vaccine

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

(*) Karen Kingston est une analyste consultante pour les industries pharmaceutiques et médicales. Elle analyse les données cliniques, les brevets d’exploitation et la réglementation / communication fédérales aux Etats-Unis sur ces sujets. Elle développe ensuite des contenus stratégiques de gestion de maladies pour influencer les médecins dans leur pratique de diagnostique et de soins. Elle sert aussi de relais de communication avec le public. Ses clients dans sa pratique de consultation ont inclus : Pfizer, Johnson & Johnson, Medtronic, Allergan et al. etc…

NdR71 : juste sous notre traduction, nous mettons une vidéo de l’entretien (32 minutes) en VOSTF (Excellente traduction du sous-titrage…) qu’a eu Karen Kingston avec Stew Peters dans sa toujours excellente émission. Radio “The Stew Peters Show”. Lien vidéo que nous avons reçu par courriel dans sa version française. Dans cette vidéo, elle explique, preuves à l’appui, que le soi-disant virus du SRAS-CoV-2, est en fait un “parasite biotechnologique, un parasite à intelligence artificielle””, empruntant chimériquement du parasite biologique et de la nanotechnologie militaire. Ces révélations sont époustouflantes et sont complémentaires de ce qui est dit ici dans cette article datant du 30 septembre dernier. L’entretien avec KK a eu lieu le 21 octobre 2022, la semaine dernière donc. Nous sommes ici estomaqués par la portée de ces révélations et demandons à nos lecteurs d’apporter toute information complémentaire et documentée possible. Nous ne publierons rien dans les jours qui viennent pour laisser cette traduction et la vidéo qui suit, diffuser au plus large, en espérant que des lecteurs pourront contribuer, confirmer ou infirmer de manière étayée, les informations présentées. Si ce qui est dit s’avère être la vérité, alors tout est bien pire que ce qui a pu être démontré jusqu’ici. Comme le mentionne Karen, il y a néanmoins de l’espoir puisque ces parasites nanotech peuvent être détruits. A suivre donc…

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Ci-dessous, un exemple de courriel des quelques 75 d’entre eux que j’ai envoyés entre le 22 mai et le 29 mai 2021, notifiant les médias de masse, les médias alternatifs, les influenceurs, les organisations de médecins, des sénateurs et des gouverneurs que les INJECTIONS ARNm ANTI-COVID19 ETAIENT DES ARMES BIOLOGIQUES.

Vous pouvez vous demander ce qui m’a poussé à écrire ce courriel et ensuite d’appeler de manière incessante les organisations les harcelant afin de savoir pourquoi elles ne divulguaient pas les preuves que je leur avais envoyées et qui pourraient sauver des millions de vies ?

Réponse brève : lorsque j’ai étudié le maître brevet, j’ai découvert la technologie des nanotechnologies lipidiques (dont personne ne fut informé être injecté avec…) et je suis parvenue à une section du brevet mentionnant “l’ADN à triple hélices”. La gravité des implications pour nos enfants injectés et pour l’humanité m’a frappé de plein fouet à ce moment. J’ai passé essentiellement les 72 heures suivantes sans dormir afin de comprendre ce que je dis dans le courriel ci-dessous de la manière la plus efficace et la plus cohérente possible tout en ingurgitant les centaines de pages de ces documents gouvernementaux et cliniques.

Mon point clef est la fin de l’email :

“Ceci apparaît être des armes biologiques qui ne peuvent que tuer et endommager des millions de personnes dans le monde. L’Autorisation d’Utilisation d’Urgence (AUU) pour ces agents biologiques dans chaque pays doit immédiatement cesser. Il semble y avoir des preuves que des participants actifs, définis comme fabricants, agents (incluant les médias sociaux), le CDC, le NIH, la FDA, HHS, les portes-parole, les publicitaires etc ont agi selon leur propre conduite volontaire malfaisante pour cacher l’information scientifique et clinique ainsi que de s’engager dans une campagne de propagande manipulatrice autour de la sécurité et de l’efficacité de ces agents biologiques injectables.”

Mes intentions et mes vœux étaient que ceux qui ont reçu mes courriels en mai de l’année 2021 pouvaient vérifier l’information que j’avais envoyée et immédiatement partager le message que les “vaccins” à ARNm anti-COVID19 sont des ARMES BIOLOGIQUES, qui utilisent une technologie de nanoparticules lipidiques avancée conçue en Chine.

Malheureusement, mes intentions n’étaient pas les mêmes que ceux qui ont reçu initialement mon message ou que j’ai contactés à ce moment. On m’a fait savoir que mon idée d’éduquer les gens sur ce que les injections anti-COVID étaient des armes biologiques et devaient être immédiatement stoppées, n’était “pas une bonne idée” ; que le narratif devait insister sur le “choix”. A quelques exceptions près, le point de focus des médias alternatifs a commencé par essentiellement glisser sur la notion que les individus devaient “avoir le choix de se faire injecter ou non” tandis que les médias de masse eux, enclenchèrent la surmultipliée dans la promotion des injections mortelles.

Ainsi fut-il décidé que je devienne le propre messager de ma recherche et de mes résultats. Je suis profondément reconnaissante à Doug Billings, Stew Peters, Ann VanderSteel et Brannon Howse, qui eurent le courage de me laisser partager cette VERITÉ malgré son aspect absolument terrifiant et malgré le fait que le messager de cette vérité n’avait pas le crédit tant prisé d’être médecin ou docteur en quoi que ce soit.

Décharge : Je ne suis pas une experte en ARNm, ni une médecin ou scientifique. J’ai rassemblé les données de mon courriel au mieux de mes connaissances et mes recherches après avoir lu des milliers et milliers de pages de documents scientifiques, légaux et gouvernementaux (NdT : ceci est le métier de Karen…). A cause des données publiés par le VAERS (Vaccine Adverse Effects Report System) et les rapports publiés sur les myocardites, les disfonctionnements pulmonaires et les fausses-couches et après avoir lu et analysé le brevet-maître sur l’ARNm de MODERNA, j’ai fait l’hypothèse que des agents de thérapie chimique pouvaient bien potentiellement être dans ces injections. Il n’y a pas eu de preuves prouvant cette hypothèse. Mais il y a un corps très important de preuves montrant que les protéines spire ARNm et les NanoParticules Lipidiques (NPL) PEG induisent ces horribles effets mortels et mettent en danger la vie des gens ainsi que d’autres effets.

La vidéo entretien de Karen Kingston avec Stew Peters sur SPS le 21/10/22 en VOSTF (excellent sous-titrage précisons-le) et voir et diffuser sans aucune modération :

« COVID-19, pas un virus mais un parasite à intelligence artificielle »

https://odysee.com/@BigNads:8/Paradite_covid:9

= = =

NdT : Les courriels de Karen Kingston à différentes personnes, ici à la chaîne yankee de (dés)information FOX NEWS, qui l’a mise en liste noire…

From: Karen Kingston <*kingston@*****.com>
Date: Thursday, May 27, 2021 at 8:02 PM
To: « Wendy.****@foxnews.com » <Wendy.***@foxnews.com>
Subject: 911: Patent for Global COVID-19 Vaccine – Highly Deadly mRNA Platform

Bonjour Wendy, je suis consultante pour l’industrie pharmaceutique et médicale. Je fais des analyses sur des données cliniques, des brevets et paysage IP, des réglementations fédérales et des prédiction de communication, puis je développe des plans de contenus stratégiques pour influencer le comment les médecins gèrent différentes étapes de maladies, ainsi que ce qu’il faut communiquer à la population consommatrice. Mes clients incluent Pfizer, Johnson & Johnson, Medtronic, Allergan et al.

J’espère que vous pourrez passer l’information que j’ai rassemblée en ce qui concerne les agents biologiques du COVID19, à une  équipe de FOX et que FOX puisse aider dans les efforts contre la propagande du faux concernant les injections anti-COVID19. Un grand nombre de personnes se mettent en danger ainsi que leurs enfants, résultant souvent en infirmités permanentes ou la mort.

Le plus important est l’attachement intitulé brevet SM-102, qui est le brevet global de Moderna pour les injections à ARNm au NPL qui lui fut accordé par WIPO le 6 août 2020. S’il vous plaît, ayez un expert en recherche sur les maladies auto-immunes analyser ce brevet et ceux que j’ai mis en liens dans ce courriel. Je pense qu’ils concluront que les injections anti-COVID19 sont des armes biologiques qui contiennent des virus chimériques (OGM) de Gain de Fonction (GdF) et des toxines sous l’apparat de vaccins thérapeutiques à ARNm sous une plateforme diagnostique / thérapeutique à NPL. De par le brevet, les NPL peuvent cibler des organes et des systèmes spécifiques du corps incluant, mais pas seulement limité, aux systèmes reproductif, cardiovasculaire, pulmonaire et Système Nerveux Central (SNC) et ce spécifiquement en faisant traverser la sacro-sainte barrière sang-cerveau.

Je m’excuse par avance du volume d’information contenu dans ce courriel qui donne sans doute l’impression de tenter de “boire au tuyau d’incendie”…

Le droit des Américains au consentement informé

La FDA, le CDC et le NIH ainsi que la plupart des associations médicales, comme l’American Academy of Pediatrics, sont coupables de douzaines de violations tombant sous le coup de la loi du FD&C Act, en masquant l’information ou en mentant au sujet de ces agents biologiques, incluant les risques et  dangers des “vaccins anti-COVID19” sous consentement informé par la Section 564 de la loi FD&C Act :

  • Toute communication (écrite, informations, vidéo, médias sociaux, websites, podcasts, etc) au sujet des “vaccins” anti-COVID19 doivent clairement faire état que :
    • “Les “vaccins” ne sont pas approuvés par la FDA pour la prévention ou le traitement de la COVID19 mais sont sujets à seulement une Autorisation d’Utilisation d’Urgence (AUU)
    • Les “vaccins” n’ont pas prouvé être “sûrs et efficaces” pour stopper les infections ou la transmission du SRAS-CoV-2, le virus qui cause la COVID19
    • Chaque patient a le droit d’être informé des bénéfices et des risques du “vaccin”, incluant la liste de tous les effets secondaires répertoriés, des autres traitements disponibles et de leur droit de refuser le traitement

Ci-dessous, un court extrait de l’information que j’ai recherchée :

sinopeg1

Les brevets des vaccins COVID19 sont basés sur une recherche faite en Chine

En janvier 2017, le MIT, Harvard et al. ont soumis un brevet pour une nanotechnologie de vaccin. https://pubchem.ncbi.nlm.nih.gov/patent/US-9539210-B2 Sous la section DECLARATION DE SOUTIEN GOUVERNEMENTAL, il est clairement spécifié que l’invention fut rendue possible grâce aux financements de l’Institut National de la Santé (NIH) américain (NdT : dont le Dr Anthony Fauci est le patron) et qu’il a le droit de prétendre à l’invention. Ce brevet remonte à une provision du 12 octobre 2007, Ser, No 60/979,596 qui liste également le droit de propriété du NIH sur les plateformes de la nanotechnologie de vaccin.

En décembre 2017, le NIH a levé ses restrictions sur la recherche de Gain de Fonction (GdF) (en attachement, NIH GdF de décembre 2017)

En février 2018, le USPTO a donné à l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill, un brevet pour la protéine spike de coronavirus chimérique (OGM) (USPTO granted the University of North Carolina a patent for Chimeric Coronavirus Spike Protein). Le brevet couvrait le GdF des protéines spike de coronavirus allant du SRAS-CoV-1 au coronavirus de chauve-souris en passant par le MERS. Le titre de propriété du NIH est aussi stipulé dans ce brevet. En 2005, une étude financée par le NIH et la RPC fut publiée ayant pour objet la recherche chimérique / OGM sur les coronavirus de la chauve-souris (NIH/People’s Republic of China funded study) Ref 29— Remerciements au NIH pour leur fond de recherche.

Ref—29. Ce travail fut financé conjointement par une bourse spéciale pour “un réservoir animal du SRAS-CoV”, programme clef d’état pour fond de recherche spécial 2005CB523004, et fond de recherche du Programme de Haute Technologie d’Etat no. 2005AA219070 en provenance du ministère (chinois) de la science et de la technologie ; également du 6ème programme d’encadrement EPISARS de la Commission Européenne (no. 51163); de l’Australian Biosecurity Cooperative Research Centre for Emerging Infectious Disease (Project 1.007R); et une bourse du NIH / NSF “Ecologie des maladies infectieuses” (No R01-TW05869) du Centre International John E. Fogarty et de la Fondation V. Kann Rasmussen. Pour la séquence complète du génome du SL-CoVRp3, voir l’accession GenBank no. DQ71615. D’autres numéros d’accès a la GenBank sont donnés dans le matériel de soutien.

Il est à noter qu’en 2004, le NIH a aussi collaboré avec la Chine sur une recherche de GdF chimérique sur le coronavirus et le virus VIH-1 ainsi que le SIV, chimeric gain of function research of coronavirus with HIV-1 (Simian Immunodeficiency Virus ou VIS en français, le VIH du singe)

En janvier 2021, des chercheurs ont publié un article notant 4 insertions du VIH-1 protéine spire gp120 et du VIH-Gag dans la protéine spire du SRAS-CoV-2 (NdT : ce qu’avait dit le professeur Luc Montagnier en France dès 2020…). En attachement, la copie de la publication qui a été retirée de la circulation (attachement spike-HIV)

  • Le VIH gp120 est une glycoprotéine qui fait partie de la couche externe du virus VIH. Elle est essentielle pour une infection virale et la pénétration du VIH dans les cellules CD4+ et leur suppression. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/20088758/
  • La polyprotéine Gag est la principale structure protéinique du VIH-1 et autres retrovirus. Un fondu de la technologie pourrait comparer la Gag au “système opératoire” / OS d’un retrovirus parce qu’elle forme des structures plus ordonnées requises pour un assemblage correct, la création de liens et la maturation de nouvelles particules infectieuses. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/23266279/

Note : Les retrovirus sont des virus ARN qui insèrent une copie ADN dans le génome pour réplication virale.

Note: Les chercheurs pourraient vouloir tester la COVID-19 et ses agents biologiques pour ces protéines VIH-1, ainsi que le sang de quelques sujets qui furent injectés de 3 à 6 mois après la seconde injection, incluant les enfants. (NdT : Le Pr Montagnier avait dit en 2021 que les injectés aillent se faire tester pour le VIH, ils pourraient avoir des surprises…) Des évènements cardiovasculaires et thrombolytiques deviennent de plus en plus fréquents parme les enfants et les adolescents selon les informations locales. https://alethonews.com/2021/05/26/at-least-18-teens-and-young-adults-hospitalized-in-connecticut-with-myocarditis-after-covid-vaccines/

Les “vaccins” américains anti-COVID19 sont fabriqués en Chine, les entreprises chinoises font de très larges bénéfices

Une entreprise appelée SINOPEG, basée en Chine, est le fabricant PEG (NdT : Polyéthylène Glycols Derivatives, la technologie des lipides pour la nanotechnologie et la bio-pharmacologie…) pour TOUS les vaccins ARNm qui contiennent le PEG, incluant Pfizer et Moderne. Il est important de noter que ces composants trouvés dans les injections anti-COVID19 possèdent des Material Safety Data Sheets (MSDS) qui sont utilisées pour les produits chimiques, les métaux, les lubrifiants industriels et les toxines. Comme stipulé sur le site internet de SINOPEG, ils ne sont pas destinés à la consommation humaine.

Le portfolio de SINOPEG COVID-19 PEG peut être vu ici https://www.sinopeg.com/covid-19-vaccine-excipients_c138

Les ingrédients pour les ‘vaccins” américains peuvent être vus ici https://portal.ct.gov/Coronavirus/Covid-19-Knowledge-Base/Vaccine-Ingredients

Le “vaccin Pfizer” n’a pas été développé par Pfizer. En juin 2018, Pfizer est entré dans une relation de droits de propriété intellectuelle avec l’entreprise allemande BioNTech pour la fabrication de vaccin à ARNm. A part les 50 millions de $ payés en avance à BioNTech, l’accord sur les droits était contingent à la production et la vente des vaccins ARNm à NPL sous une AUU en réponse à une pandémie mondiale.

BioNTech partage aussi les bénéfices du “vaccin Pfizer” avec une autre entreprise en Chine, Fosun Pharma, qui est aussi un fabricant du “vaccin Pfizer”. Il fut garanti à Pfizer un minimum de commande de 1 milliard d’injections jusqu’à 2 milliards d’injections jusqu’à cette année. Voir diapo 8 de la présentation de BioNTech pour ses investisseurs https://investors.biontech.de/static-files/82c9e451-7503-4217-a51f-ee7fb6497b17?fbclid=IwAR2MRfUtXExUeDS4qiqbk6jnRay-k0fp74ZKeBlGobChqyLAcqToU2uxm7Q

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Les essais du “vaccin” américain anti-COVID19 sont conduits dans des pays étrangers, les études globales sur le “vaccin” anti-COVID19 sont faites en Chine

Le 26 août 2020, le CDC américain a publié une liste de 19 essais globaux anti-COVID19. 9 de ces essais furent menés en Chine (NdT : Grosso modo 50%) https://www.cdc.gov/vaccines/acip/meetings/downloads/slides-2020-08/COVID-07-Oliver.pdf

Bien qu’il y ait 4 thérapies enregistrées sous les “essais cliniques états-uniens”, si vous lisez les memoranda de la FDA pour l’AUU de Pfizer, vous noterez que ces études sont des études multinationales. La majorité des patients et enquêteurs sont en dehors des Etats-Unis.

Le brevet ARNm de Moderna est pour la thérapeutique et le diagnostique, c’est un brevet de vaccination global.

Le 6 août 2020, Moderna a reçu un brevet international pour la technologie des nanoparticules lipidiques (NPL) a des fins d’utilisation de diagnostique et thérapeutique, incluant les technologies sous-ensemble d’ARNm à NPL (voir l’attachement du brevet SM-102, page 1)

Il est important de noter qu’aux Etats-Unis, les diagnostiques sont catégorisés comme outils médicaux par la FDA.

Bien que plus de 100 millions d’Américains aient pu être injectés avec une technologie médicale, s’ils le furent, aucun n’a vraiment donné un consentement informé sur la procédure.

Ces vaccins NE SONT “PAS APPROUVES” PAR LA FDA et donc sous l’article 21 de la loi FD&C Act, sec. 814.9 : la confidentialité des données et de l’information pour une autorisation pré-marché (pre-market approval ou PMA) d’outils médicaux stipule :

(b) L’existence d’une référence PMA peut ne pas être divulguée par la FDA avant qu’un ordre d’autorisation soit délivré à l’appliquant à moins que ceci n’ait été publiquement révélé préalablement ou reconnu.

Le 25 mai 2021, la FDA approuve des modifications des injections de rappel anti-COVID19 sans en notifier le public

La FDA a aussi mis à jour le guide des fabricants autorisant les modifications pour les injections de rappel anti-COVID19 sans avoir à en informer le public.

Dans la préface du document de la FDA ci-dessous, l’agence dit que les modifications pour les rappels de vaccin sont effectives immédiatement et qu’il n’est pas pratique d’en informer le public.

La page 2 note aussi que “les gens sains seront injectés et que les injections ont le potentiel d’une “utilisation plus large” sous l’AUU.” — Là encore, pas besoin d’en informer le public et appliquer ces “utilisations plus larges” avec effet immédiat.

https://www.fda.gov/media/142749/download

“Résumé” du brevet Moderna / NIH SM-102

Les vaccins peuvent incorporer des produits chimiques, des protéines virales (ex : Gag du VIH), des toxines et des médicaments ou substances qui peuvent mener à la stérilité, au cancer, biocorona, psychoses et autre.

A la fin de ce courriel, j’ai fait un copié/collé de quelques-uns des ingrédients du brevet, ceci inclus, le sel de lithium, le chlorure de lithium, acétate de cellulose, des médicaments, des matériaux génétiques, des protéines génétiques, des cytosines, des métaux et autres substances dangereuses, certaines substances psychotropes.

Une des thérapies médicamenteuses (NdT : chemotherapies en anglais dans le texte) mentionnée dans le brevet est le trastuzumab, un produit fait par Pfizer. http://labeling.pfizer.com/ShowLabeling.aspx?id=12725 Ci-dessous figure un extrait de l’information de prescription du Trastuzumab…

AVERTISSEMENT : CARDIOMYOPATHIE, REACTIONS INFUSOIRES, TOXICITE EMBRYO-FŒTALE et TOXICITE PULMONAIRE

Cardiomyopathie : les produits trastuzumab peuvent résulter en des problèmes voire arrêts cardiaques cliniques et sub-cliniques se manifestant comme CHF et diminution LVEF, avec de plus brands risques lorsqu’administré avec des anthracyclines. Evaluer la fonction cardiaque avant et pendant le traitement. Discontinuer le TRAZIMERA pour la cardiomyopathie. (2.3, 5.1)

Réactions d’infusions, toxicité pulmonaire : discontinuer le TRAZIMERA en cas d’anaphylaxie, d’angine de poitrine, de pneumonie interstitielle ou de syndrome aigu de détresse respiratoire (5.2, 5.4)

Toxicitié embryo-fœtale : une exposition au trastuzumab pendant la grossesse peut résulter en une oligohydramnios, dans certains cas compliquée par une hypoplasie pulmonaire et un enfant mort-né. Avisez les patients de ces risques et du besoin d’une contraception efficace. (5.3, 8.1, 8.3)

Est-ce que le trastuzumab est la raison pour laquelle des enfants et adolescents en bonne santé injectés du “vaccin” Pfizer souffrent de problèmes cardiaques comme des péricardites et des arrêts cardiaques ? https://www.nbcconnecticut.com/news/coronavirus/covid-vaccine/mom-of-conn-teen-speaks-after-son-suffers-heart-condition-days-after-covid-19-vaccine/2495057/

 Le trastuzumab est-il la raison pour laquelle des effets secondaires de l’injection Moderna sont comme si le patient avait subi une chimiothérapie ? Dans la phase 3 des essais Moderna soumis à la FDA, de la page 37 de l’AUU ; “82% des sujets qui ont reçu deux doses des injections biologiques de Moderna ont eu des effets secondaires systémiques de niveau 2 et 3 “ (82% of subject who received 2 doses of the Moderna biological injections had Grade 3 or 4 Systemic Side Effects). La FDA définit des signes cliniques adverses comme suit FDA Presentation Slide 14:

  • Grade 3: Sévère ou de bonne importance médicale mais pas immédiatement mettant la vie en danger, ne demandant pas d’hospitalisation.
  • Grade 4: Conséquences graves pouvant entraîner la mort, indication d’une intervention médicale urgente
  • Grade 5: Mort

Est-ce que le trastuzumab est la raison pour laquelle les protocoles d’inclusion de Phase 1 sont similaires à ceux de la chimiothérapie ou des études sur le VIH ?

https://cdn.pfizer.com/pfizercom/2020-11/C4591001_Clinical_Protocol_Nov2020.pdf

Deux formes de protection sexuelle doivent être utilisées si un sujet mâle a des relations intimes avec une femme (une femme qui ne fait pas partie de l’étude). Elle doit aussi consulter un conseiller de sécurité. Si elle devient enceinte, elle doit le rapporter (si elle ne fait pas partie du groupe d’étude), de plus, les sujets mâles doivent rapporter s’ils touchent ou sont en contact rapproché avec une femme enceinte. Voir Sec 10.4.1 Male Participants Reproductive Inclusion Criteria

Les femmes qui sont potentiellement susceptible d’être enceinte ne PEUVENT PAS PARTICIPER à l’étude Pfizer. Voir Sec. 10.4.2

De plus, les femmes sont avisées de ne pas être exposées au “vaccin” Pfizer si elles allaitent leur enfant ou si elles sont exposés à quiconque a participé à cette étude. Voir Sec. 8.3.5.2 Exposure During Breastfeeding

L’injection biologique Pfizer pourrait-elle inclure le chimiothérapie trastuzumab ? Ou être additionnée de protéines VIH ?

Les “vaccins” sont-ils un outil biologique médical et une plateforme technologique ?

Si le public est incrédule qu’ils aient pu être injectés avec une technologie intelligente, ils pourraient être intéressés d’apprendre qu’Elon Musk / Tesla vient juste de rejoindre le marché du “vaccin” anti-COVID19 au 12 mai 2021 par cet article du magazine hautement regardé NATURE. https://www.nature.com/articles/s41587-021-00912-9.pdf?fbclid=IwAR1xNdAetLM4ZzmTSH9gdvscml6S7AJ4ijl4-J9GiAwXof4dyZCdEY7ozcU

A noter, par l’aide visuelle du COVID-19 Patent Landscape de l’article, il transparaît que tous les fabricants vont devoir payer des droits au NIH pour l’ARNm et la theranostic (thérapeutique/diagnostique). Ceci est vraisemblablement lié au brevet sur la nanotechnologie de 2017 https://pubchem.ncbi.nlm.nih.gov/patent/US-9539210-B2  et le brevet de 2018 sur l’ARNm chimérique.

https://patft.uspto.gov/netacgi/nph-Parser?Sect1=PTO1&Sect2=HITOFF&p=1&u=/netahtml/PTO/srchnum.html&r=1&f=G&l=50&d=PALL&s1=9884895.PN.

Les préoccupations des membres du panel de la FDA allèrent à la sécurité des femmes enceintes, la sécurité et les besoins des enfants de moins de 18 ans et pour citer verbatim d’un memo de la FDA : “La FDA a fait remarquer que le développement de vaccin a une longue histoire et que la FDA n’a pas connaissance d’un exemple de quelque vaccin que ce soit qui soit efficace contre une maladie bénigne qui ne serait pas aussi efficace contre une maladie grave.

  • En regard des enfants, au moins 8 ont eu un incident cardiaque ou thrombolytique (NdT : thrombose due à des caillots) dans le groupe d’étude des essais de Phase 3 de Pfizer, groupe comprenant environ 2000 enfants âgés de 12 à 15 ans.. D’après l’Association de Cardiologie Américaine, le risque dans ce groupe d’âge n’est que de 5/100 000

Les agents biologiques distribués par Pfizer, Moderna et Johnson & Johnson ne sont pas des vaccins. De par leur propre registration à la FDA et les lettres d’autorisation de la FDA, ces injections ne préviennent en rien l’infection ou la transmission du virus SRAS-CoV-2, mais ne feraient que réduire le risque de symptomes de cette maladie ambiguë nommée COVID19, don’t 99,9% des adultes guérissent et chez les enfants 99,998% de chances d’y survivre. Spécifiquement pour les enfants, il est statistiquement et cliniquement impossible de faire un vaccin pour enfant qui soit plus sûr ou efficace que leur propre réponse immunitaire innée au SRAS-CoV-2 et ses variants.

Ainsi, ces injections apparaissent comme des armes biologiques qui ne peuvent que causer détresse, maladie et mort à des millions de personnes dans le monde. L’AUU de ces agents biologiques dans chaque pays doit cesser immédiatement. Il y a des preuves que des participants actifs, définis comme les fabricants, les agents (incluant les médias sociaux), Le CDC, le NIH, la FDA, Les HHS, les portes-parole, publicitaires etc, ont tous agi selon leur malfaisance volontaire dans le fait de masquer et de cacher une information scientifique et clinique au public, ainsi que de s’engager dans une campagne de propagande manipulatrice autour de l’efficacité et de la sécurité de ces agents biologiques injectables.

J’ai beaucoup plus de preuves et de références pour soutenir les déclarations que je viens de faire et plus encore des sites mêmes de la FDA.gov, et de sites internat tels que le CDC, les HHS, PubMed, PubChem, SEC fillings etc. Je peux fournir une chronologie complète remontant à 2004 jusqu’à aujourd’hui pour montrer comment tout cela s’est produit. J’ai aussi des données cliniques et technologiques de J&J s’il y a un intérêt à obtenir des informations supplémentaires en ce qui concerne ce sujet.

Avec respect et appréciation pour l’intégrité et le courage de l’équipe de FOX NEWS — Karen Kingston

– The Kingston Report. LA VERITE L’EMPORTE.

Page 149 – Peut inclure le trastuzumab. [0677]. Dans certains cas, les NPL décrites ici peuvent être utilisées de manière thérapeutique. Par exemple, un ARNm inclus dans des NPL peut coder une polypeptide thérapeutique et produire celle-ci en contactant et / ou entrant dans la cellule (ex : transfection). Dans d’autres cas, un ARNm inclus dans des NPL peut coder une polypeptide qui pourrait améliorer ou augmenter l’immunité d’un sujet. Dans d’autres cas, un ARNm peut coder un facteur stimulant d’une colonie de granulocyte ou trastuzumab.

= = =

Lire notre page “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

Article connexe : COVID19, nanotechnologie et pseudo-vaccins

Le livre de Robert F. Kennedy Jr : « Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique » (PDF en français)

montagnier_vaxcovid_vih

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Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique Robert F. Kennedy Jr (chapitre 12, 1ère partie)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, média et propagande, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 25 mars 2022 by Résistance 71

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Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Mars 2022

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12 Jeux de germes

Jeux de guerre : la génèse de l’état de bio-sécurité

“Ceux qui abandonneraient la liberté essentielle pour s’acheter un peu de sécurité temporaire, ne méritent ni liberté ni sécurité.”
~ Benjamin Franklin ~

“Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses retourneront à la normale. La réponse la plus courte est : jamais. Rien ne reviendra jamais au sens “brisé” de la normalité qui prévalait avant la crise parce que la pandémie au coronavirus marque le point fondamental d’inflexion dans notre trajectoire globale.”
~ Klaus Schwab, The Great Reset (juillet 2020) ~

“Je veux être direct avec vous : il n’y aura pas de retour à la vieille normalité dans un futur prévisible.”
~ Tedros Adhanom Ghebreyesus, DG de l’OMS ~

Note des traducteurs :

Ce chapitre avec le 1er chapitre est le plus long du livre. Il fait 57 pages plus 10 pages de notes bibliographiques. Nous le publierons en 3 parties comme nous l’avions fait pour le premier chapitre. Merci de votre compréhension.

[1]  [2]  [3]  

[1]

Les Etats-Unis ont commencé leur recherche profonde et à grande échelle sur les armes biologiques offensives durant la seconde guerre mondiale, au printemps de 1943, sur ordre du président F.D. Roosevelt, ce en tant que coopération entre l’armée, l’industrie pharmaceutique et leur associé principal, le titan de Big Pharma de l’époque George. W. Merck. Celui-ci dirigea le programme biologique offensif du Pentagone tout en dirigeant simultanément son géant pharmaceutique. Merck se vanta qu’il pouvait avec son équipe, fournir des agents biologiques sous forme d’arme sans grande dépense, ni même avoir à construire de grands espaces de production. Il fit aussi remarquer que l’avantage des armes biologiques était qu’elles pouvaient être développées sous couvert d’une recherche médicale tout à fait légitime.

Les agences de renseignement étaient aussi impliqués dans ce programme de recherche top secret dès le départ. L’homme à tout faire de George Merck, Frank Olson, était un bactériologiste américain, scientifique pour la guerre biologique et un agent de la CIA. Il travailla pour l’US Army Biological Warfare Laboratory (USBWL) de Fort Detrick avec Merck et l’armée américaine pour développer l’arsenal biologique et de guerre psychologique américain. Le “Projet Artichaut” était un programme d’interrogation expérimental de la CIA qui utilisait des drogues psycho-actives comme le LSD dans des méthodes d’interrogation “poussées”. Ce projet faisait partie d’un plus vaste programme de la CIA explorant des approches de moyens de contrôle à la fois des individus et des populations. Olson fut atteint de doutes moraux à partir de mai 1952 après qu’il eut regardé un documentaire sur la réforme de l’église et Martin Luther. Un Olson conscient de sa responsabilité informa ses patrons de son intention de quitter le programme d’armement biologique.

A peu près dans le même temps, le collègue d’Olson à la CIA, Sidney Gottlieb, patron du programme MKUltra de la CIA (NdT: MK est l’acronyme stylisé pour “Mind Kontrol”, contrôle de l’esprit, “Ultra” pour son développement supérieur), lui administra secrètement du LSD. Une semaine plus tard, le 28 novembre 1953, Olson plongea vers sa mort d’une fenêtre de l’hôtel Statler de New York.

Le gouvernement des Etats-Unis décrivit d’abord sa mort comme un suicide, puis un accident. En 1975, le gouvernement admit sa culpabilité dans le meurtre et offrit à la famille d’Olson un arrangement financier hors tribunal de 1,25 million de dollars, réduit plus tard à 750 000 US$, que la famille accepta avec les excuses du président Gerald Ford et du directeur de la CIA d’alors William Colby.

D’après David Franz, qui fut durant vingt-trois années, le commandant de l’US Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (USAMRIID) : “la limite principale était la difficulté de gérer les armes biologiques de façon à éviter une fuite accidentelle..” Ironiquement, Franz allait jouer plus tard un rôle clef dans les programmes de “gain de fonction” du Pentagone / Fauci, menant à la pandémie COVID-19.

Cela a pris fin semble t’il, à la fin de l’année 1969, lorsque le président Nixon se rendit à Fort Detrick pour annoncer la fermeture du programme d’armes biologiques des Etats-Unis pour des raisons morales et stratégiques.

[…]

Les Etats-Unis signèrent le Convention sur les Armes Biologiques en 1972. […] Ce traité présentait de gros vides juridiques et permettait la production d’agents biologiques létaux comme l’anthrax (spore de la maladie du charbon) et autres dans le but de la production de vaccins…

Les barbouzes de la CIA et du Pentagone continuèrent de cultiver un stock d’armes biologiques. Entre 1983 et 1988, le CEO de Seattle Pharmaceuticals, Donald Rumsfeld, agissant comme l’envoyé spécial du président Reagan en Irak, arrangea une livraison top secrète de tonnes d’armements biologiques et chimiques, incluant l’anthrax et la peste bubonique, au président irakien Saddam Hussein, espérant renverser la situation d’une défaite de l’Irak se profilant à l’horizon dans sa longue guerre déclenchée contre l’Iran et son armée de un million d’hommes. Les forces iraniennes victorieuses de l’ayatollah Khomeini balayaient alors les forces de Saddam dans leur guerre pour le Golfe Persique. L’administration américaine ayant peur de l’impact sur les fournitures globales de pétrole si l’Iran prévalait dans ce conflit.

Suivant la chute de l’URSS entre 1988 et 1991, […] les mandarins du Pentagone et leur empire de sous-traitants auraient été bien déçus si quelqu’un d’autre devait bénéficier de tout cet argent à dépenser qu’ils pensaient leur revenir de droit.

[…] Comme le terrorisme est une tactique et non pas une nation, un “terrorisme” mal défini avait l’allure d’un ennemi qui ne pourrait jamais être vaincu. Nous pouvons donc imaginer le grand soulagement des sous-traitants de la défense à l’annonce par le vice-président Dick Cheney de la “longue guerre” contre le “terrorisme”, une guerre disait-il, qui durerait sur des générations, avec des champs de batailles “éparpillés dans plus de 50 nations”.

[…]

L’expert en armement biologique Robert P. Kadlec est un médecin et colonel en retraite de l’armée de l’air des Etats-Unis qui a servi comme secrétaire-adjoint des services Health and Human Services (HHS) et leur département de Préparation et Réponse à l’Urgence entre août 2017 et janvier 2021 et géra la crise COVID-19 dans l’administration Trump.

[…]

A 2h47 en ce matin du 1er février 2020, quatre heures après que son loyal récipiendaire de fonds, le virologiste Kristian Andersen, eut informé le dr Fauci que lui et d’autres virologistes pensaient que la séquence génétique responsable du “clivage par la furine” sur la protéine “spike” du virus, cette structure particulière qui permet à l’organisme de s’accrocher fermement et d’infecter les cellules via le récepteur ACE-2, était de manière fort improbable, le produit d’une sélection et d’un résultat naturel, le dr Fauci envoya un courriel très minutieusement phrasé à Kadlec. Ses autres courriels de cette soirée là suggèrent qu’il était intensément préoccupé du fait que les expériences chinoises qui auraient pu créer cette variété de nouveau coronavirus pourraient bien porter des empreintes menant à lui. Si la recherche sur le gain de fonction du dr Fauci avait bien enfanté le COVID-19, alors Kadlec serait aussi impliqué. Celui-ci avait servi dans un petit comité nommé Comité P3CO en charge d’approuver les expériences de gain de fonction du NIH et il est clair d’après le courriel de Fauci, que ce sujet était aussi venu à l’esprit de Kadlec.

[…]

Kadlec est une sorte de Dr Folamour ayant des liens profonds avec les agences d’espionage, Big Pharma, le Pentagone et les sous-traitants militaires qui profitent grassement de cet épandage d’alarmisme sur les armes biologiques.

[…]

Comme l’a si bien dit le journaliste Alexis Baden-Meyer : “Kadlec a créé le complexe industriel de la biodéfense tel que nous le connaissons et il le dirige comme un tsar.

En 1999, le dr Kadlec organisa une simulation d’attaque terroriste à la variole sur le territoire américain dans un exercice qui impliquait aussi le tout nouvellement formé John Hopkin’s Center for Civilian Biodefense Strategies ainsi que les services des HHS. 

[…]

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Cette même année, la FBMG donna 20 millions de dollars à l’université John Hopkin’s pour y établir le Bill & Melinda Gates Institute for Population and Reproductive Health. Durant les deux décennies suivantes, Gates allait diriger un vaste flot de financement à l’entreprise d’élever la bio-sécurité en tant que priorité nationale.

[…]

Les simulations de Kadlec et plus d’une douzaine qui leur succédèrent dans les plus de vingt années qui suivirent, bon nombre sous la direction de Bill Gates, ont toutes partagé des caractéristiques communes. Aucune d’elles ne mettait en avant la protection de la santé publique en montrant aux Américains comment améliorer leur système immunitaire, de manger mieux, de perdre du poids, de faire de l’exercice, de maintenir leur niveau de vitamine D et d’éviter les expositions aux produits chimiques. Aucune d’elles n’insistaient sur la mise en place d’Infrastructures de communication vitales pour relier les médecins de terrain entre eux durant une pandémie et le raffinement de protocoles de traitement optimaux. Aucune n’adressait le véritable besoin d’identifier des médicaments hors étiquettes, reciblés pour réduire les fatalités et pour réduire la durée de la pandémie. Aucune d’elles ne considérait l’isolation des malades et leur traitement et celle des personnes les plus vulnérables ou comment protéger les personnes âgés placés en institution, de l’infection. Aucune d’elles ne questionnait l’efficacité des masques, des confinements et de la distanciation sociale comme moyen de réduire les fatalités et les infections. Aucune d’elles ne s’engageait dans une profonde recherche du comment préserver les droits constitutionnels pendant une pandémie mondiale.

En lieu et place, les simulations ne furent qu’un jeu de guerre montrant comment utiliser les pouvoirs policiers pour placer en détention et en quarantaine les citoyens, comment imposer la loi martiale, comment contrôler la divulgation du message en utilisant la propagande idoine, comment utiliser la censure afin de réduire toute dissidence au silence, et comment obliger le port du masque, les confinements et les injections “vaccinales” coercitives et mettre en place un système de traçage et de surveillance parmi la population potentiellement réticente à ces mesures.

[…]

De manière contemporaine à cette simulation à la contagion de variole par John Hopkin’s, le Pentagone lança un projet top-secret depuis un ancien site d’armement nucléaire dans le désert du Nevada pour tester la possibilité de construire un petit labo de production de spores de la maladie du charbon (anthrax), utilisant un équipement disponible dans le commerce et les magasins classiques de quincaillerie et les catalogues de fournitures biologiques.

Sous le nom de code de “Projet Bacchus”, une petite cohorte de faux terroristes, tous experts en armement militaire, réussirent à produire quelques kilos d’anthrax. Deux ans après ce projet du Pentagon sur l’anthrax du Nevada, quelqu’un associé avec l’armée américaine monta une opération de grande envergure et envoya des spores sous enveloppes à certains membres du congrès des Etats-Unis et à des personnes clef des médias, lançant de fait “l’ère de la biosécurité”.

A la lumière d’évènements subséquents, nous ne pouvons pas exclure que quelqu’un dans notre gouvernement ait perpétré une attaque faux-drapeau sur des Américains à des fins de provocation pour un agenda bien plus vaste. Ceci n’est en rien une flamboyante théorie conspirationiste. Pendant la présidence de mon oncle, l’Etat-Major des armées avait soumis un plan appelé “Operation Northwoods”, qui proposait des attaques faux-drapeau, incluant l’assassinat de citoyens américains, pour justifier d’une invasion de Cuba. Mon oncle réagit alors avec horreur au briefing du chef d’état-major du moment Lyman Lemnitzer et quitta la salle de conférence de manière abrupte. “Et on nous appelle l’espèce humaine”, fit-il remarquer à son ministre des affaires étrangères Dean Rusk.

Les agences de renseignement américaines et le complexe militaro-industriel blâmèrent initialement et à tort, l’attaque à l’anthrax sur Saddam Hussein ou Al Qaïda et plus tard utilisèrent des prétextes similairement incorrects pour lancer une guerre dévastatrice sur l’Irak

[…]

En 1998, le financier de naissance libanaise Ibrahim El-Hibri et son fils, Fouad, avec l’ancien chef d’état-Major américain, l’amiral William Crowe Jr, établirent une entreprise appelée BioPort et payèrent 25 millions de dollars à l’état du Michigan pour sa vieille facilité de production de vaccin. Le but des El-Hibri était d’utiliser cette usine de production pour fabriquer un vaccin contre la maladie du charbon (anthrax) pour le vendre à l’armée américaine.

[…]

Moins d’un mois après avoir pris possession de l’affaire du Michigan, BioPort signa un contrat exclusif de 29 millions de dollars avec le Pentagone pour “fabriquer, tester, mettre en bouteille et stocker le vaccin contre la maladie du charbon pour les troupes américaines stationnées à l’étranger.” […] Les El-Hibri ne testèrent jamais leur concoction. Ils n’avaient pas besoin, ils avaient été immunisés contre toute poursuite judiciaire.

[…]

Presqu’en même que fut formé BioPort, l’entreprise commença à recevoir de grosses sommes d’argent de l’armée américaine pour réhabiliter le labo à anthrax. Mais le bâtiment continua à ne pas pouvoir être accrédité par la FDA. En 1999, ils rasèrent l’usine et la reconstruisirent de fond en comble aux frais du contribuable américain.

[…]

La convention de 1972 sur les armes biologiques voulait dire que ni les bidasses ni les barbouzes ne pouvaient légalement rechercher ou produire des armes biologiques. Mais la convention laissa grande ouverte une porte de sortie, à savoir que les signataires pourraient développer une “double utilisation” de technologies d’armes et de vaccins aussi loin que le projet avait une logique défensive. Après les attaques à l’anthrax, les “vaccins” devinrent soudainement un euphémisme pour armes biologiques et le ticket pour un retour en eau profonde et toute une industrie de guerre biologique “défensive”. Les planificateurs militaires du Pentagone, de la BARDA, DARPA et de la CIA (au travers de l’USAID) commencèrent à déverser des flots d’argent dans les expériences dites de “gain de fonction”. La recherche “double emploi” devint soudainement très en vogue…

Les 22 et 23 juin 2001 soit moins de trois mois avant les attaques du 11 septembre, le Pentagone lança un jeu de guerre au nom de code “Dark Winter” depuis la base aérienne Andrews, une opération qui mettait en valeur le plus fort engagement de l’armée dans les vaccins armes biologiques. Robert Kadlec, l’organisateur en chef de cette simulation de pandémie lui donna aussi son nom de code. […] Les participants à l’opération explorèrent les stratégies pour imposer une quarantaine coercitive, une censure, une obligation de se masquer, de confinement et de vaccination et étendirent les pouvoirs policiers comme n’étant que les seuls réponses rationnelles à une pandémie.

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[…]

L’exercice Dark Winter [et son échec, la simulation de l’épidémie de variole gagna le jeu de guerre] avait prédit de manière étrange bien des aspects de ce qui allait suivre quelques mois plus tard avec les lettres contenant les spores de la maladie du charbon. De tels miracles et prédictions devinrent une caractéristique récurrente de chacun des jeux de germes qui s’ensuivirent.

[…]

L’ancien directeur de la CIA James Woolsey, était un participant et organisateur, tout comme l’était une lobbyiste de Big Pharma et experte en armes biologiques, Tara O’Toole, un directeur du hedge fund de la CIA In-Q-Tel, l’ancienne directrice adjointe de la CIA pour la science et la technologie, Ruth David, l’expert en bio-terrorisme de l’université John Hopkin’s Tom Inglesby et la journaliste du New York Times Judith Miller, tous y participèrent.

La présence de James Woolsey et du Colonel Larsen, de Ruth David et de Tara O’Toole signala l’ubiquité nébuleuse de la communauté du renseignement dans la biosécurité et toute chose reliée aux vaccins..

[…] 

Alliance Biosciences est une corporation, un groupe créé oar Ibrahim El-Hibri et son associé, ex-chef d’état-major des armées, l’amiral William Crowe et financé par d’autres firmes de l’armement biologique.

[…]

D’autres financiers d’Alliance Biosciences incluent la laboratoire Pfizer, le consortium pharmaceutique aérosol international et Sig Technologies, un sous-traitant militaire de la bio-défense.

[…]

Des membres du think tank Project for a New American Century (PNAC) ont aussi joué un rôle clef en sonnant l’alarme qu’une attaque terroriste biologique était certaine dans le futur du 11 septembre et amplifièrent simultanément la panique et le blâme sur l’Irak après les attaques aux lettres contaminées aux spores de la maladie du charbon. La doctrine principale du PNAC était que, en tant que vainqueur de la guerre froide, l’Amérique et les multinationales américaines, particulièrement les entreprises pétrolières et pharmaceutiques, avaient gagné le droit de diriger le monde pour un siècle ou plus. Les membres du PNAC étaient infiltrés pratiquement dans tous les postes clefs de la politique étrangère de la Maison blanche de Bush. Cette cabale de va t’en guerre s’appelait eux-mêmes “Les Vulcains” en honneur de leur modèle d’impérialisme américain belliqueux. Leurs membres incluaient Dick Cheney (vice-président sous Bush), Scooter Libby, Donald Rumsfeld, Douglas Feith, Elliott Abrams, John Bolton et les conseillers de Rumsfeld, Richard Perle et Paul Wolfowitz. Leurs critiques les appelaient “les faucons poulets”, parce qu’ironiquement, chacun d’entre eux avait fuit, échappé, à la conscription durant la guerre du Vietnam.

[…]

Les faucons poulets du PNAC étaient déterminés à utiliser les attentas du 11 septembre comme prétexte pour une guerre contre l’Irak, dans les sous-sols duquel, dieu avait emmagasiné tant du pétrole américain. L’affaire de l’anthrax fournit alors cette provocation. Le contrôle des ressources mondiales de pétrole était, pour le PNAC, une pierre angulaire de l’impérialisme américain du siècle à venir et une attaque biologique contre l’Amérique devenait une provocation idéale pour une invasion “préventive“ de l’Irak.

[…]

L’implication invasive de la CIA dans le putsch mondial des vaccins devrait nous faire réfléchir. Il n’y a rien dans l’histoire de la CIA, dans sa charte, dans sa composition ou sa culture institutionnelle qui montre un quelconque désir ou intérêt dans la promotion de la santé publique ou de la démocratie. Les préoccupations historiques de la CIA ont toujours été le pouvoir et le contrôle. La CIA a été impliquée dans au moins 72 tentatives de coups d’état, certains réussis entre 1947 et 1989, impliquant environ un tiers des gouvernements du monde. Beaucoup de ces coups furent perpétrés contre des démocraties fonctionnelles. La CIA ne fait pas dans la santé publique ni dans la démocratie ; la CIA fait dans le coup d’état.

L’exercice “Dark Winter” faisait partie d’une campagne persistante des agences de renseignement et du lobby des armes biologiques de maintenir la peur de la variole, active dans la conscience publique. […] Des fervents de la santé publique insistèrent pour que la bureaucratie fédérale et l’armée détruisent leurs réserves de variole afin de prévenir des fuites éventuelles qui seraient désastreuses pour l’humanité, voire la décimeraient. Ignorant ces avertissements, l’administration de Bush en acheta encore plus.. Durant les préparatifs de la guerre contre l’Irak, l’administration planifiait d’inoculer la population des Etats-Unis avec le vaccin anti-variolique.

[…]

Le Dr Meryl Nass, écrivant sur l’historique du vaccin anti-variolique rapporta plus tard :

Le vaccin contre la variole était connu pour être très largement réactogène… Lorsque le vaccin fut inoculé aux personnels soignants et aux premiers secouristes en 2003, il y eu des épisodes de fatalité cardiaques, d’infarctus, de myocardite et les morts se sont vite accumulés. Les médecins et les infirmières savaient qu’ils ne pouvaient pas engager de poursuites judiciaires s’ils subissaient des effets secondaires néfastes et dans un premier temps, il n’y eut aucune compensation fédérale non plus. Les personnels soignants commencèrent à refuser la vaccination.

[…]

L’armée continua à vacciner les soldats avec un vaccin mortel, non testé et non approuvé médicalement, ce avec des résultats catastrophiques. Le vaccin causa des myocardites symptomatiques chez 1 soldat sur 216 et des myocardites sub-cliniques chez 1 sur 35, d’après une étude de l’US Army de 2005. Les hauts fonctionnaires ont depuis reconnu les vaccins comme cause probable de cette épidémie du Syndrome de la Guerre du Golfe qui sévit alors et qui affecta les soldats inoculés, à la fois ceux déployés et ceux en attente de déploiement mais qui ne le furent jamais.

[…]

Le second plus virulent des ces poulets faucons après le VP Cheney, de la petite coterie de George W. Bush, fut son ministre de la défense et ex-CEO de Seattle Pharmaceuticals et patron du PNAC, Donald Rumsfeld, le même Rumsfeld qui, 14 ans plus tôt, avait donné à Saddam Hussein un arsenal biologique dont l’anthrax. Bien que personne n’ait jamais prouvé l’origine de ces spores contenus dans les lettres, le FBI a conclu que ces poudres provenaient d’un laboratoire militaire américain.

[…]

Au lieu de montrer du doigt Sadam Hussein, le labo du FBI trouva que les spores de la maladies du charbon avaient pour origine le laboratoire militaire de Fort Detrick ; un labo de l’université de Scranton ; ou un labo de l’entreprise Battelle basé à West Jefferson, dont le propriétaire est un associé d’affaire des El-Hibri.

Le FBI mit fin à son enquête après qu’un des suspects principaux, un vaccinologue, le Dr Bruce Ivins, patron du labo militaire de Fort Detrick, se soit soi-disant suicidé.

[…]

Une publication italienne, Il Manifesto, rapporta en octobre 2001, que le FBI avait placé les El-Hibri sur sa liste de suspects pour avoir envoyé les spores d’anthrax par la poste.

A qui profite le crime ?

Depuis 1995, Kadlec a éructé au sujet du bioterrorisme devant les élèves de l’école de guerre et a insisté sur la création d’un Strategic National Stockpile (SNS) pour y entreposer des vaccins et autres substances de contre-mesures. En 2004, Kadlec travaillait avec Rumsfeld à la Maison Blanche de Bush et le congrès passa la loi sur la Public Health Security and Bioterrorism Preparedness Act (PHSBPA), que Kadlec rédigea, dirigeant le secrétaire des HHS à maintenir le SNS qui devenait une co-gestion entre le DHS et les HHS.

La même semaine, le congrès passa également la loi du Project BioShield Act ou loi sur le bouclier biologique, que Kadlec aida aussi à rédiger, loi qui lança la Biomedical Advanced Research and Development Authority ou BARDA, une banque d’investissement gouvernementale qui allait faire germer de nouvelles technologies pour le stock de Kadlec. Sous les conseils de celui-ci, la BARDA allait devenir le distributeur automatique de billets fédéral pour Big Pharma, les sous-traitants de la biodéfense et les chercheurs sur le gain de fonction. Avec le NIAID du dr Fauci et le DARPA du Pentagome, BARDA serait un autre géant du financement d’expériences pour créer des super-bestioles pandémiques à Wuhan et ailleurs.

[…]

Un autre bénéficiaire circonspect du stock fut le ministre des affaires étrangères d’alors et patron de Kadlec, Donald Rumsfeld, qui s’était considérablement enrichi lors de la fausse “pandémie” de grippe aviaire de 2004, que Fauci avait favorisée avec son jeune et ambitieux acolyte britannique du Wellcome Trust, Jeremy Farrar. Seize ans plus tard, en tant que directeur du Wellcome Trust, Farrar jouera un rôle clef dans le maquillage de l’affaire de Wuhan en 2020. En 2004 et 2005, en réponse à la contagion concoctée par Farrar, entreposa 80 millions de doses du remède de Gilead Science, Tamiflu. Rumsfeld avait servi au comité directeur de Gilead entre 1988 et 2001 en fut président du comité directeur de 1997 à 2001, jusqu’à ce qu’il rejoigne le gouvernement Bush en tant que ministre de la défense. Il a gardé des actions dans l’entreprise, ce qui lui rapporta un profit net de 5 millions de dollars dans l’affaire du Tamiflu. George Schultz, autre faucon du PNAC, toucha aussi le jackpot, touchant 7 millions de dollars de ses actions de Gilead lors de la “crise de la grippe aviaire”.

Le plus gros vainqueur néanmoins furent les El-Hibri : les attaques à l’anthrax leur apporta exonération et d’énormes bénéfices.

[…]

La patron de Kadlec, Donald Rumsfeld, a dit à ses aides que sa priorité à la biosécurité après les enveloppes d’anthrax envoyées par la poste, sauvait BioPort.

[…]

Le vice-président américain Dick Cheney et ses acolytes du PNAC trouvèrent des vides juridiques bien utiles dans la Convention de Genève par lesquels ils multiplièrent par 40 les dépenses sur la recherche en armes biologiques.

[…]

Pratiquement chaque fonctionnaire fédéral expérimenté était un jockey dans la course à la guerre contre la terreur et pour arriver dans le cercle restreint des gagnants. Le corps médical militaire, manœuvrant pour sa part de gâteau dans le ruissellement du fric injecté dans le bioterrorisme, avait proposé que chaque soldat américain devrait recevoir 75 nouveaux vaccins dès leur enrôlement afin de couvrir toutes les armes biologiques possibles.

[…]

Le dr Fauci était en concurrence ouverte avec l’armée dans une campagne qui allait crescendo de pompage de l’argent du contribuable américain en utilisant le risque posé par l’anthrax et la maladie du charbon comme prétexte. Le budget bio-défense du NIAID à lui seul a été multiplié par 6 entre 2002 et 2003, de 270 millions de dollars à 1,75 milliards.

[…]

Malgré le fait qu’ils n’ont tué collectivement que 800 personnes dans le monde, les coronavirus SRAS entre 2002 et 2004 étaient donc un don du ciel pour Fauci. Le directeur du NIAID ignora le plus évident des avertissements de ces incidents : que des fuites de coronavirus des laboratoires en Chine, à Taïwan et à Singapour avaient précipité plusieurs des contagions. Fauci déclara en 2011 : “Par la réponse à l’anthrax, nous avons construit à la fois une infrastructure physique et intellectuelle qui peut être utilisée pour répondre à bonne variété de menaces sur la santé.” A partir de là, la course à l’armement interne pour capturer les fonds de financement du Pentagone, de la CIA, BARDA, DARPA et HHS attirait l’armée, la CIA et le NIAID de plus en plus profond dans cette alchimie de la “recherche de gain de fonction”, qui finira par culminer avec cette affaire de la boîte de Pandore du laboratoire P4 de Wuhan.

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Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique Robert F. Kennedy Jr (chapitre 11)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 15 mars 2022 by Résistance 71

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Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Mars 2022

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 12

Chapitre 11 Exagérer de fausses pandémies : crier au loup !

“Les gouvernements adorent les épidémies, de la même manière qu’ils adorent la guerre, vraiment. Cela leur donne la chance d’imposer leur volonté et de nous faire peur afin de nous agglutiner et nous faire faire ce qu’on nous dit de faire.”
~ Dr Damien Downing, président de la British Society of Ecological Medicine, entretien sur Al Jazeera, 2009 ~

“La peur est un marché. Instiller la peur chez les gens a aussi un avantage. Pas seulement en ce qui concerne l’utilisation de produits médicamenteux. Les gens pilotés par l’anxiété et l’angoisse sont plus faciles à manipuler et diriger.”
~ Greg Gogerenzer, directeur émérite du Max Planck Institute for Educational Research, 2021 ~

En 1906, les maladies infectieuses causaient un tiers des décès aux Etats-Unis chaque année et entre 800 et 1000 sur 100 000 Américains mouraient d’une maladie infectieuse. En 1976, moins de 50 Américains sur 100 000 en mouraient et le CDC et le NIAID étaient soumis à une intense pression pour justifier de leurs budgets. Gonfler les épidémies / pandémies devint une stratégie institutionnelle de ces deux agences.

[…]

La grippe porcine de 1976

En tant que patron de la section de physiologie clinique du NIAID de Laboratoire d’Enquête Clinique, le dr Fauci était, en 1976, un spectateur de première ligne durant la pandémie bidon mise en place par le NIH. Cette année là, un soldat de Fort Dix est mort d’une maladie pulmonaire après un exercice de marche forcée. Des médecins militaires envoyèrent des échantillons au CDC, qui identifia la maladie comme étant la grippe porcine. Le patron du dr Fauci au NIAID, Richard Krause (que Fauci allait bientôt remplacer), travailla dur avec son compère du CDC, David Sencer, pour répandre la terreur d’une pandémie catastrophique et initier une demande publique pour qu’une vaccination soit mise en place.

[…]

Dans le numéro d’août 2020 du magazine Rolling Stone, Gerald Posner, auteur de “Big Pharma : Greed, Lies, and the Poisoning of America” se rappelait comment Merck et autres labos utilisèrent leur réunion secrète avec les régulateurs pour pondre un plan qui garantirait à l’industrie de gros bénéfices tout en la protégeant de toute responsabilité légale. Cette innovation, aujourd’hui une caractéristique persistante et établie de Big Pharma et de son modèle affairiste, s’avéra devenir une carte blanche pour une attitude négligente voire carrément criminelle. 

Big Pharma et le NIAID dirent au congrès des Etats-Unis, à la Maison Blanche et au public, que la grippe porcine de Fort Dix était de la même souche que le virus qui provoqua la “grippe espagnole” de 1918, qui avertirent-ils, avait tué quelques 50 millions de personnes dans le monde. Ils mentaient de manière éhontée ; les scientifiques de Fort Dix, le CDC et les HHS savaient pertinemment que ce H1N1 était un virus porcin ordinaire qui ne posait aucune menace aux humains. Quoi qu’il en soit, le NIAID monta une grosse campagne de mise en garde faisant état de la possibilité de plus de 1 million de morts aux Etats-Unis. Travaillant avec les labos pharmaceutiques, le NIAID, CDC et Merck, persuadèrent le président arrivant Gerald Ford de signer un décret s’appropriant pour une valeur de 135 millions de dollars chez les fabricants de vaccins pour inoculer 140 millions d’Américains contre cette peste.

[…]

A la fin de cette pandémie fabriquée, le nombre de morts ne fut pas de 1 million comme annoncé, mais de… un mort.

[…]

L’expert et médecin vétéran du NIH pour la grippe et le vaccin, virologiste et bactériologiste, le Dr John Anthony Morris, informa ses patrons aux HHS que cette panique à la grippe porcine était une farce et que la campagne de propagande du NIAID n’était qu’une galéjade pour promouvoir un vaccin dangereux et inefficace aux seuls profits d’une industrie par trop gourmande.

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Morris avait eu une carrière des plus distinguées dans la recherche des maladies respiratoires. Lorsqu’il protesta de la fraude en cours, son supérieur direct lui demanda de démissionner, lui conseillant “de ne pas en parler”. Ses patrons aux HHS le menacèrent de licenciement et de ruine professionnelle s’il ne la fermait pas. Lorsque les récipients du vaccin commencèrent à rapporter des effets secondaires néfastes, incluant le Syndrome de Guillain-Barré (SGB), le Dr Morris désobéit alors aux ordres. Il déclara publiquement qu’il n’y avait absolument aucune preuve scientifique que la grippe porcine de Fort Dix était contagieuse et transmissible aux êtres humains et il réitéra que le vaccin pouvait générer de très mauvais effets secondaires neurologiques. En réponse, les HHS confisquèrent les matériaux de recherche du Dr Morris, changèrent les serrures d’accès à son laboratoire, le transférèrent dans une petite salle sans téléphone, réassignèrent son personnel laborantin et lui interdirent de recevoir des visites sauf avec permission spéciale et bloquèrent tous ses efforts de publication de ses trouvailles et recherches. Finalement, après des mois de menaces et de persécution, les HHS licencièrent le Dr Morris sous le motif d’insubordination, citant une longue liste d’accusations, incluant le fait que le Dr Morris n’avait pas réintégré des livres en temps et en heure à la bibliothèque.

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D’après de nouvelles informations, l’incidence de la grippe fut 7 fois plus marquante chez les injectés que chez les non-injectés. De plus, le vaccin causa quelques 500 cas de maladies nerveuses dégénératives du SGB, 32 décès, plus de 400 paralysies et plus de 4000 autres blessures et effets néfastes.

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Le gouvernement paya 134 millions de dollars pour le programme de vaccination contre la grippe porcine. Des plaignants blessés enregistrèrent 1604 actions en justice. En avril 1985, le gouvernement avait déjà payé 83,2 millions de dollars et dépensé des dizaines de millions de dollars en dommages et intérêts et autres frais de litige. En 1987, le Dr Morris témoigna devant une commission du congrès des Etats-Unis : “Ces chiffres donnent une idée des conséquences résultant d’un programme pour lequel le gouvernement fédéral assume la responsabilité d’un produit connu pour provoquer de sérieux dégâts à la santé chez un nombre indéterminé de récipiendaires… Quand j’ai quitté la FDA en 1976, il n’y avait aucune technique disponible pour mesurer de manière fiable et consistante, la neuro-toxicité ou l’efficacité de la vaste majorité des vaccins alors utilisés, incluant les vaccins DTC. Aujourd’hui (1987), 11 ans plus tard, la situation demeure essentiellement identique.” La recherche du Dr Morris a trouvé que les vaccins anti-grippaux induises souvent de la fièvre chez les enfants et les femmes enceintes et de graves dommages au fœtus.

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Jusqu’à sa mort en juillet 2014, le Dr Morris est resté un critique très vocal du programme annuel de vaccination anti-grippe du CDC. En 1979, le Dr Morris a dit au Washington Post : “C’est une arnaque médicale… Je pense que le public devrait avoir une véritable information sur une base qui leur servirait à prendre la décision de se faire vacciner ou pas… Je pense que si toute l’information était divulguée, les gens ne se feraient pas piquer.” L’épitaphe du New York Times pour le Dr Morris comportait sa déclaration : “Les producteurs de des vaccins (anti-grippaux) savent qu’ils sont absolument inutiles, mais ils continuent à les vendre quoi qu’il en soit.

Le Dr B.G. Young a dit au New York Times que la culture de l’industrie dominant le NIH au département vaccination avait chassé tous les régulateurs honnêtes, ceux qui avaient la volonté de se dresser contre Big Pharma. Par contraste, le dr Fauci est le rare scientifique qui a tenu 50 ans aux HHS. Il a tant fait pour s’aligner avec les seigneurs et maîtres du NIH que sont les gros labos pharmaceutiques et a été leur porteur d’eau pendant des décennies.

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L’agence a d’abord dégainé ces armes de pression et de harcèlement dans les années 1950 pour détruire la carrière de son virologiste phare, la Dr Bernice Eddy, qui avait découvert le virus de la poliomyélite et qui trouva plus tard un virus du singe causant des cancers dans les vaccins anti-polio Salk & Sabin Lorsque se recherche exposa des problèmes de sécurité pour le vaccin, les fonctionnaires du NIH l’ont bannie de son laboratoire, changèrent les serrures de son bureau et lui demandèrent de ne plus faire d’interviews ni de conférences. Après avoir réduit Eddy au silence, le NIH administra le vaccin à 99 millions de babyboomers, qui souffrirent par la suite de cancers des tissus mous plus de 10 fois la normale, ce qui résulta en un désastre de santé publique qui minimisa grandement tous dégâts potentiels faits par la polio.

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La grippe aviaire de 2005

En 2005, le dr Fauci raviva le script du NIAID de la débâcle de 1976. Cette fois-ci, le vilain était un virus de la grippe aviaire, le H5N1. Agité comme un poulet sans tête, le dr Fauci avait prévenu le monde d’une pandémie imminente de grippe aviaire depuis 2001.

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En 2007, le journaliste médical britannique John Stone avait soulevé le problème des fausses pandémies dans une lettre au British Medical Journal en ligne : “Il y a toujours ce problème de savoir si des peurs sont en fait promues par évaluation de risque conservatrice ou parce qu’elles constituent un gros bonus pour l’industrie pharmaceutique. Nous devons avoir de meilleurs moyens internationaux pour faire la différence, jusqu’ici la pandémie grippale a été bien décevante pour les marchands d’horreur… Est-ce que quelqu’un se rappelle de la morale de l’histoire du petit garçon qui criait toujours au loup ?. Et bien c’est ce que l’industrie fait en permanence.

En 2020, Farrar s’associait avec Bill Gates pour financer le modéliste informatique Neil Ferguson, l’épidémiologiste qui a produit les projections largement exagérées des décès prévisibles concernant la COVID-19, ce qui aida grandement à déclencher cette campagne de peur et donner une logique à la politique des confinements.

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Ferguson est l’impresario du modeling, du montage en épingle des fausses pandémies, son C.V inclut :

En 2005, Ferguson fit la prédiction que quelques 150 millions de personnes pourraient mourir de la grippe aviaire. En fin de compte, 282 personnes moururent dans le monde de cette maladie entre 2003 et 2009, soient 6 années.

En 2001, une projection par modèle informatique de Ferguson publiée par l’Imperial College initia l’abattage de masse de 11 millions de moutons et de bovins pendant la contagion de la fièvre aphteuse de 2001. Le gouvernement britannique fit abattre des millions de bovins. Le chiffre réels de décès par la maladie fut de 177.

En 2009, Ferguson projeta que la grippe porcine tuerait 65 000 Britanniques. La maladie tua 457 personnes dans tout le Royaume-Uni.

En 2020, Ferguson avait notoirement prédit 2,2 millions de morts par COVID aux Etats-Unis, pour la seule année 2020. Le dr Fauci et bon nombre de pays occidentaux utilisèrent la projection de Ferguson pour justifier des mesures de confinement et autres obligations médicales draconiennes.

En 2005, le dr Fauci pensa que sa grippe aviaire si longtemps attendue était enfin arrivée. Utilisant des données de Ferguson, il avertit que la maladie allait “tuer des millions de gens” dans le monde à moins que lui et ses associés de Big Pharma ne puissent déployer à temps un vaccin pour faire dérailler cet holocauste qui approchait à grands pas. Les Pom-Pom girls politiques et médicales se mobilisèrent pour ce qui était maintenant devenu la routine technique de la panique pandémique.

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Le président Bush a dit au congrès des Etats-Unis que le pays avait besoin de 1,2 milliards de dollars pour avoir suffisamment de vaccins anti-grippe aviaire à inoculer à 20 millions d’Américains. De plus, il ajouta 3 milliards supplémentaires pour le nouveau vaccin saisonnier anti-grippe de Fauci et 1 milliard pour le stockage de médicaments anti-viraux. Bush demanda aussi au congrès de passer la loi de 2005 sur la “Bio-défense le vaccin pandémique et le développement de médicaments”, loi donnant une immunité légale aux fabricants de vaccins. Les labos pharmaceutiques expliquèrent à la Maison Blanche qu’ils refuseraient de fabriquer des vaccins sans une couverture contre la responsabilité civile et criminelle. La loi bannissait toute action en justice contre même les plus négligentes et répréhensibles des attitudes des fabricants de vaccins, ce même si la vaccination était administrée de force. La provision d’immunité judiciaire était un chèque en blanc et la porte ouverte à toute les veuleries et profits criminels de Big Pharma. Le National Vaccine Information Center appela ce cirque “le rêve des actionnaires et le cauchemar des consommateurs.

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Une fois de plus, la pandémie du dr Fauci fut non-existante. Au moment où tout se termina, l’OMS estima qu’au 16 mai 2006, la grippe aviaire du dr Fauci avait tué seulement 100 personnes dans le monde entier.

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La grippe porcine de Hong Kong en 2009

En 2009, le dr Fauci une fois de plus surgonfla une épidémie frauduleuse. Cette fois-ci ce fut celle de la grippe porcine de Hong Kong.

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La déclaration de l’OMS activa des contrats dormants d’une valeur de 18 milliards de dollars que l’OMS, Gates et autres organisations, avaient mis divers pays africains et européens sous pression d’accepter et de signer avec GSK et autres labos pharmaceutiques. Ces accords secrets ont obligé les nations signataires incluant l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Italie et la France, d’acheter pour une valeur de 18 milliards de dollars des doses de vaccins anti-grippe aviaire H1N1 non testés, passés en hâte sur le marché et soumis au code de zéro responsabilité légale pour les labos., ce fut le cas pour le plus notoire d’entre eux, l’injection de GSK, Pandemix, ce dans le cas de figure où l’OMS déclarait une pandémie mondiale de classe 6.

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Des informations contemporaines identifient le dr Fauci comme le principal responsable de la mise ultra-rapide de ce vaccin anti-H1N1 sur le marché, ce qui représentait des milliards de dollars, pour que ce vaccin soit administré cette année-là à des millions d’Américains. […] Comme à l’accoutumée, les médias américains à la botte répandirent la peur et les mensonges afin de promouvoir les injections H1N1 du dr Fauci.

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L’historien Russel Blaylock écrit : “Le ministère de la peur (le CDC) travaillait jour et nuit à la promotion de la noirceur et du pessimisme, sachant pertinemment que des gens apeurés ne prennent pas de décisions réfléchies, rien ne vend mieux les vaccins que la panique.”

Dans une conférence de janvier 2009 de la FBMG dans son centre financé du Global Health Security à la Chatham House de Londres, Marc van Ranst, un virologiste belge et membre interne de l’industrie pharmaceutique lié financièrement et idéologiquement à GSK, Sanofi-Pasteur, J&J et Abbott, décrivit son rôle durant la farce de la grippe porcine 10 ans auparavant. La Chatham House est un think tank exclusif de l’élite mondialiste et entrepreneuriale. Ses délibérations sont voilées du secret et son nom même est synonyme de secret.

En 2009, Van Ranst était commissaire belge pour la grippe en charge de gérer les crises de communication. Devant ce parterre de groupies, il expliqua à ses co-religionnaires comment mettre en scène une pandémie : “Vous n’avez qu’une seule opportunité de le faire correctement. Vous devez pratiquer le ‘une voix, un message’… Vous devez être omniprésent en ce premier jour ou ces premiers jours de façon à attirer l’attention médiatique… et ils ne rechercheront pas de voix alternative.” Il expliqua que “parler de fatalité est important parce que… les gens se disent Waouh ! que voulez-vous dire, que les gens meurent à cause de la grippe ?. C’est une étape nécessaire à prendre. Puis, bien entendu, quelques jours plus tard, vous aviez le premier mort du H1N1 dans le pays et le décor était planté.” Il continua : “J’ai détourné le fait que les grands clubs de foot belges faisaient de leurs joueurs et de manière inappropriée et contre tous les accords pris, leurs personnes de priorité. Je pouvais utiliser cela, car si les gens, la population croyaient vraiment que ce vaccin est si désirable, que même ces joueurs de foot seraient malhonnêtes d’avoir leur vaccin, alors OK, je peux jouer avec ça. J’en ai fait tout un plat… et ça a marché.

En 2020, ce genre de philosophie fit nommer Van Ranst au “Groupe de Gestion du Risque” de Belgique et au “Comité Scientifique sur le Coronavirus”.

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Dès octobre 2009, beaucoup de personnes se plaignaient d’une vague de maladies dévastatrices après les injections anti-grippe.

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Une recherche par Goldman en 2013 a documenté une augmentation 11 fois supérieure de fausses-couches après la saison pandémique 2009-2010, lorsque les femmes enceintes reçurent deux injections anti-grippales et l’injection anti-H1N1.

Une étude de 2017 lie les fausses-couches aux vaccins anti-grippaux., particulièrement dans le premier trimestre. Les femmes enceintes injectées dans les saisons grippales 2010-11 et 2011-12 avaient deux fois plus de chances d’être victimes d’une fausse-couche dans les 28 jours après avoir reçu le vaccin. Chez les femmes ayant reçu le vaccin anti-H1N1 dans la saison grippale précédente, les chances de faire une fasse-couche dans les 28 jours après l’injection étaient 7,7 fois plus importantes que les femmes n6ayant pas reçu une injection anti-grippale durant leur grossesse.

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Deux mois après que le dr Fauci ait rassuré le public sur la qualité du vaccin, une explosion de graves effets secondaires incluant des fausses-couches, des narcolepsies et des convulsions fébriles, causèrent un carnage dans de nombreux pays. D’après l’Agence Médicale Européenne (AME), le vaccin pandemix causa plus de 980 cas de blessures neurologiques, de paralysies associées au SGB, de narcolepsies débilitantes et de cataplexies, ceci incluant une population de plus de 500 enfants. Le vaccin de GSK tua et blessa beaucoup d’enfants et de personnels de santé sous des formes variées de dégâts cérébraux, ce qui força GSK à retirer ses injections du marché.

La pandémie de grippe porcine H1N1 de 2009 fut une autre contagion complètement surgonflée, une fraude qui ne s’est jamais matérialisée dans les faits de terrain.

L’épidémiologiste, le Dr Wolfgang Wodarg, directeur du Comité de Santé de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE) a déclaré que la “fausse pandémie” de 2009 fut “l’un des plus grands scandales de la médecine du siècle.

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2016 Zika

En mars 2016, le dr Fauci une nouvelle fois trompa le public, cette fois-ci à croire que le virus zika causait une épidémie de micro-encéphalite chez les nouveaux-nés du Brésil. Il y a une chose que nous savons pour sûre : le virus zika ne cause pas de micro-encéphalite.

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Les critiques de Fauci affirmèrent qu’un vaccin expérimental du DTC administré à des femmes enceintes en 2015 et 2016 dans les bidonvilles du nord-est du Brésil, était certainement le coupable de cette vague de micro-encéphalite. L’utilisation extensive de pesticides dans cette partie de la nation brésilienne avait aussi certainement contribuée.

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Le dr Fauci dirigea 125 millions de dollars vers une nouvelle start-up de la ville de Cambridge dans le Massachussetts, entreprise appelée : Moderna Threrapeutics, afin de développer un vaccin à ARNm (messager ARN) contre le zika. Bill Gates fit une apparition sur la chaîne CNBC pour promouvoir Moderna et les efforts de délivrer une injection anti-zika.

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Au plus fort de la “pandémie” de 5200 cas en 2016, les Etats-Unis avaient alors enregistré un total de 550 cas de zika depuis lors, 80% de ces cas ayant eu lieu en 2017, sans qu’aucune micro-encéphalite ne soit rapportée. La maladie ne s’est jamais étendue au-delà de la Floride et du Texas et il n’y a jamais eu de cas de micro-encéphalite.

Indéracinable, Fauci prévint que la maladie “allait revenir” aux Etats-Unis et que le pays devait “absolument être préparé à cet évènement”.

En 2019, des officiels de la santé publique ne rapportèrent que 15 cas de zika aux Etats-Unis, aucun d’eux ne présentant de micro-encéphalite. Dans le même temps, la Mayo Clinic rapportait en décembre que, malgré la dépense de 2 milliards de dollars du dr Fauci, il n’y avait aucun vaccin efficace contre la maladie.

En 2020, le dr Fauci ne pouvait plus de manière crédible se reposer sur les micro-encéphalites dûes à une “épidémie de zika” et il arrêta de parler du vaccin.

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2016 la fièvre dengue

La fraude Gates/Fauci/Zika gaspilla, détourna des milliards de dollars du contribuable américain. Mais la collaboration pour le vaccin contre la dengue Gates/Fauci a eu une plus grave conséquence : cette fois-ci, leur “vaccin sauveur de vie” était un piège mortel dans une seringue.

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Début 2008, le dr Fauci émit une nouvelle alerte hystérique à la pandémie dans un commentaire pour l’American Medical Association Journal (AMAJ) : “Une maladie peu connue d’une grand nombre d’Américains pourrait bien devenir prévalante si la fièvre dengue, une maladie ressemblant à la grippe et qui peut être mortelle, continue de s’étendre sous les climats tempérés et d’augmenter sa sévérité.

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Le Dr Ralph Baric, le gourou du gain de fonction, était le chouchou à la fois du NIAID et de la Defense Advanced Research Project Agency (DARPA) du Pentagone. Son laboratoire à l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill, avait reçu 726 498 US$ de la FBMG pour l’utilisation de virus recombinant de la dengue pour faire avancer le développement d’un vaccin contre la dengue. De son origine en 2015, le financement sur trois ans devait se conclure en 2018.

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Un article publié par la revue American Ethnologist était curieusement intitulé “Chimeric globalism : Global health in the shadow of the dengue vaccine” (“Modialisme chimérique : la santé mondiale dans l’ombre du vaccin contre la dengue”) (Avril 2015). L’article décrivait l’effort du NIAID : “Un vaccin contre la fièvre dengue génétiquement créé en laboratoire est entré dans les phases d’essais cliniques.” L’article demandait aux lecteurs de considérer les implications lorsque le développement de vaccin n’est pas totalement conduit par une aspiration de la santé publique, mais par “les logiques divergentes du capital pharmaceutique, l’humanitarisme et la bio-sécurité”.

L’aventure de la dengue ne s’est pas bien passée pour Sanofi-Pasteur. Avec le soutien de la fondation Gates, le labo pharmaceutique français passa 20 ans et quelques 2 milliards de dollars à développer Dengvaxia, testant le vaccin sur plusieurs essais cliniques et sur 30 000 enfants dans le monde. Lorsque le Dr Scott Halstead, qui a étudié la fièvre dengue pendant plus de 50 ans avec l’armée américaine, a lu les données de sécurité des essais cliniques dans le NEJM, il a tout de suite su que quelque chose n’allait pas du tout.

Quelques enfants qui contractèrent la fièvre dengue après la “vaccination” furent sujets à des symptômes bien plus graves. Pour des enfants qui ne furent jamais exposés à la dengue, le Dengvaxia apparaissait augmenter le risque à vie d’une complication mortelle connue sous le nom de syndrome de fuite plasmatique, qui catapulte un malade dans un état de choc profond avant de mourir.

Le Dr Halstead fut si préoccupé qu’il tira la sonnette d’alarme dans six éditoriaux différents de journaux scientifiques. Il fit même une vidéo avertissant le gouvernement philippin qui devait commencer une campagne de vaccination contre la maladie. Gates, le dr Fauci et Sanofi-Pasteur ignorèrent les avertissements frénétiques du Dr Halstead.

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En mai 2019, la FDA approuva le vaccin Dengvaxia de Sanofi-Pasteur pour son utilisation aux Etats-Unis, à Porto-Rico. Guam et aux BVI, à la condition que les médecins aient d’abord la preuve d’une infection dengue antérieure afin que l’injection ne pose pas de problème ni de risques à l’enfant.

Les 600 enfants philippins moururent de “pathogénie primaire” ou de réaction auto-immune Antibody Dependance Enhancement (ADE). Des douzaines d’articles médicaux ont montré que des vaccins en cours d’essais contre des virus SRAS et MERS menèrent à des ADE chez les animaux testés une fois ceux-ci confrontés au virus.

[…]

Le virus vaccinia exprimant la protéine spike S du virus SRAS a montré de fortes réponses inflammatoires menant à des hépatites dans les foies des furets vaccinés dès que les animaux étaient en contact avec le virus SRAS-CoV.

[…]

Un vaccin basé sur la spike protéine transgénique du virus MERS, lorsqu’administré à des souris, mena à des hémorragies pulmonaires une fois les animaux entrant en contact avec le virus MERS-CoV. Conclusion : “Le développement de vaccins hautement efficaces et sains contre la COVID-19 devrait considérer des aspects comme celui du potentiel d’ADE (drastique réponse auto-immune) et autres effets secondaires néfastes auparavant observés avec les virus SRAS et MERS […]

En avril 2020, peu de temps après le début de la “pandémie” COVID-19, le magnat du vaccin et porte-parole de Merck, le Dr Paul Offit, directeur du Vaccine Education Center de l’hôpital pédiatrique de Philadelphie, avait averti d’effets similaires en rapport avec le vaccin contre le SRAS-CoV-2. “Nous avons déjà vu ça avec le vaccin contre la dengue,” dit alors le Dr Offit à un journaliste. “Chez les enfants qui n’ont jamais été exposés au virus à l’état naturel, cela rendait en fait les symptômes pires que s’ils avaient rencontré la maladie de manière naturelle., le vaccin a rendu les choses bien pires lorsqu’ils se sont retrouvés exposés au virus naturel. Bien pire puisque causant ce qui est appelé le syndrome du choc hémorragique de la fièvre dengue. Des enfants moururent, des enfants injectés de moins de 9 ans.

Un avertissement au sujet de la tendance des vaccins anti-coronavirus d’induire des réactions pathogéniques primaires a été publié dans un article datant de 2009 dans l’Expert Review of Vaccines, republié sur le site internet du NIH en janvier 2014 : “La plus grande peur des vaccinologues est la création d’un vaccin qui est non seulement inefficace, mais aussi qui exacerbe la maladie. Malheureusement, les vaccins anti-coronavirus ont un historique de cette exacerbation et de manière notoire les CoV félins.

[…]

La preuve irréfutable suggérant que la COVID-19 a émané d’un petit magasin / laboratoire des horreurs co-financé par le dr Fauci à Wuhan en Chine, pose la question de l’ironique possibilité que l’homme que deux présidents des Etats-Unis ont chargé de mener une réponse mondiale contre la pandémie COVID-19, pourrait bien être la même personne qui l’a disséminée.

[…]

Mise à part l’implication du dr Fauci à Wuhan et ses décennies de façonnage de fausses contagions, nous devons reconnaître qu’en 2020, il a finalement gagné le jackpot avec la COVID-19.

[…]

Note des traducteurs :
Le 12ème et dernier chapitre du livre de Robert F. Kennedy Jr est, à l’instar du premier chapitre, très long. Ce 12ème chapitre fait 57 pages dans le bouquin plus 10 pages de notes bibliographiques. Comme le premier chapitre, nous le publierons donc en 3 parties afin de ne pas trop vous faire attendre et que ce ne soit pas non plus trop long à lire à l’écran. Quoi qu’il en soit, tout sera rassemblé à l’issus dans un superbe PDF mis en page par Jo.
Merci de votre compréhension…

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Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique, Robert F. Kennedy Jr (chapitre 10)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, colonialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, Internet et liberté, média et propagande, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 7 mars 2022 by Résistance 71

RFK_RealFauci

Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Mars 2022

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 10 Plus de mal que de bien

Dans le chapitre précédent, nous avons entendu les avocats de la santé publique globale accuser Bill Gates et le dr Fauci de détourner l’agenda de santé publique de l’OMS, de ses projets prouvés bons pour mettre fin aux maladies infectieuses (hygiène, eau potable, bonne nutrition et développement économique) et de détourner l’aide internationale pour forcer l’ouverture de marchés pour leurs associés multinationaux et servir leur fétichisme personnel sur les vaccins. Ce chapitre va examiner l’assertion sous-jacente de Gates que ses vaccins africains et asiatiques rapportent un bénéfice net de santé publique.

La plupart des produits pharmaceutiques ne peuvent pas obtenir de licence d’exploitation commerciale sans avoir été au préalable soumis à des essais randomisés avec groupe de contrôle placebo comparant les résultats sur la santé des participants, incluant les mortalités toutes causes confondues, ce dans des groupes placés sous médicaments et sous placebo. Pour tout dire, en mars 2017, j’ai rencontré le dr Fauci, Francis Collins et un arbitre de la Maison Blanche (et j’ai rencontré séparément Peter Marks de CBER et de la FDA), pour faire valoir une plainte disant que les HHS obligeaient à l’époque, 69 doses de 16 vaccins différents pour les enfants américains, aucun de ces vaccins n’ayant été testés pour leur sécurité face à des groupes placebo avant leur mise sur le marché. Le Dr Fauci et Collins nièrent que ceci fut vrai et insistèrent sur le fait que ces vaccins avaient tous été testés comme il se devait. Mais ils furent néanmoins incapables au cours des semaines qui suivirent, de nous fournir une citation d’un seul essai clinique utilisant un groupe placebo contre un de ces vaccins.

[…]

Dix mois après la réunion avec Fauci et Collins, sur les marches du palais de justice, les HHS admettaient que nous avions de fait raison : aucun des vaccins obligatoires pour les enfants n’avaient été testés contre des groupes témoins inertes à placebo. Les meilleurs des vaccins africains de Bill Gates étaient sur cette liste.

[…]

Ceci veut dire que personne ne connait les risques qu’ont ces produits et personne ne peut dire avec spécificité et certitude, qu’aucun des vaccins porte-drapeau de Gates ne prévient plus de blessures ou de morts qu’il n’en cause. De plus, ceci veut de facto dire que tous les vaccins africains de Gates ne sont que des produits expérimentaux. Pour Gates et ses sbires, le continent africain n’est qu’un vaste laboratoire pour expérience humaine, n’ayant aucun groupe de contrôle placebo ni aucun système fonctionnel de gestion des données expérimentales de ces interventions médicales douteuses, non testées et à haut risque.

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La très parcimonieuse science publiée examinant cette question indique que virtuellement tous les vaccins africains et asiatiques à gros succès commercial de Gates , polio, DTP, hépatite B, paludisme, méningite, PVH et Hib, causent en fait bien plus d’effets néfastes et de morts qu’ils n’en préviennent.

[…]

Dans les années 1980, Big Pharma déplaça ses essais cliniques dans les pays du tiers monde où les cobayes humains sont bon marché et où les blessures les plus graves ne ralentissent que très rarement les études. La complicité des gouvernements locaux et les lois anémiques de responsabilité entrepreneuriale permettent aux fabricants de vaccins d’Inscrire ls effets néfastes comme dégâts collatéraux avec pour ainsi dire aucune conséquence ni même de sentiment de responsabilité. […] Bill Gates a joué un rôle clef dans la légitimisation de cet arrangement tout en collaborant avec des fonctionnaires captifs ou corrompus de l’OMS afin d’escroquer les nations occidentales pour leur faire payer l’addition et de garantir les positions sur les stocks disponibles. Gates, “le plus gros financier des vaccins au monde”, a très lourdement investi dans des partenariats lucratifs avec la plupart des gros fabricants de vaccins. Bill et Melinda Gates ont continué la tradition de l’expérimentation humaine en Afrique avec l’OMS prenant nettement le rôle d’un vassal colonial permettant le forfait.

[…]

Pendant les années 70, les politiques d’austérité du FMI ont mis en banqueroute la plupart des programmes de santé publique africains et ont laissé les nations africaines complètement dépendantes du financement par l’OMS de leurs ministères de la santé publique et des programmes vitaux anti-VIH. Utilisant son contrôle du flot de l’assistance internationale, l’OMS exerce une discipline de fer, récompense l’obéissance et punit la désobéissance à Big Pharma ainsi que la résistance africaine aux ambitions de l’industrie. L’OMS utilise ses budgets et financements pour forcer les gouvernements africains qui résistent à la prise de vaccins. Le contrôle de Gates sur l’OMS a fait de l’Afrique son domaine. Les populations du continent des cobayes humains. Les vaccins pour Bill Gates, sont une philanthropie stratégique qui nourrit ses nombreuses affaires liées aux vaccins et lui donnent un contrôle dictatorial sur les politiques de santé publique globale affectant des centaines de millions de vies humaines.

Le vaccin DTC : un génocide africain

Une sévère vague de blessures cérébrales et de morts a suivi l’introduction des vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC) aux Etats-Unis et en Europe dans les années 1970. Dès 1977, une étude publiée par des chercheurs et médecins britanniques dans The Lancet avait établi que les risques de l’injection de cellule complète de la coqueluche (utilisée dans les vaccins DTC) excédaient de loin les risques associés avec la maladie contractée naturellement.

Six ans plus tard, en 1983,  une étude de l’UCLA financée par le NIH, trouva que le vaccin DTC de Wyeth tuait ou causait de sévères dégâts cérébraux, incluant crises d’épilepsie et mort, chez un enfant vacciné sur 300. Les poursuites en justice qui s’en suivirent causèrent l’effondrement des marchés d’assurance pour les vaccins et menacèrent de mettre l’industrie en banqueroute. Wyeth, aujourd’hui connu sous le nom de Pfizer, affirma perdre 20 US$ en paiement de préjudice pour chaque dollar gagné des ventes de son vaccin, ce qui poussa le congrès des Etats-Unis de passer la loi nationale de la vaccination enfantine de 1986 qui protégeait complètement les fabricants de vaccins de toute responsabilité civile et pénale.

[…]

Une étude de 2017 par Mogensen et al., montre que, suivant leur vaccination DTC à trois mois, les petites filles avaient une mortalité dix fois supérieure que les enfants non vaccinés. Les petites filles mouraient d’une grande variété de maladies allant de la pneumonie à la dyssentrie en passant par l’anémie et le paludisme et pendant deux décennies, personne ne remarqua que les enfants qui décédaient étaient, de manière prédominante, ceux qui avaient été vaccinés. Le vaccin DTC, en les “protégeant” contre les maladies de la diphtérie, du tétanos et de la coqueluche, avait en même temps ruiné leurs systèmes immunitaires, les rendant vulnérables à une grande variété de maladies infectieuses non ciblées. L’équipe de Mogensen arriva à la même conclusion que celle du Lancet 40 ans plus tôt : “Les vaccins DTC peuvent tuer plus d’enfants d’autres causes que ce dont ils les sauvent à savoir la diphtérie, le tétanos ou la coqueluche.

En d’autres termes, le vaccin DTC de Gates, au lieu de sauver 10 millions de vies comme il l’affirme, a peut être tué inutilement des millions de petites filles africaines… Au moins sept autres études ont confirmé l’association du vaccin DTC avec un haut taux de mortalité chez les filles vaccinées comparé à celui des non vaccinées. Les Américains idéalistes qui ont donné au projet de vaccination africain de Gates, croyant sauver des bébés africains, ont en fait financé un génocide féminin à l’échelle d’un continent.

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Montée de mercure

Beaucoup de vaccins envoyés dans des pays sous-développés, incluant les vaccins contre l’Hépatite B, haemophilus influenza de type B et les inoculations DTC, contiennent de bonnes doses d’un adjuvant, agent conservateur à base de mercure, le thimérosal. Suite à la loi sur les vaccins de 1986 donnant l’immunité légale et carte blanche aux labos pharmaceutiques, ceux-ci promouvant les vaccins les plus mal testés sans conséquence aucune. Big Pharma embraya avec une véritable ruée vers l’or et ajouta de nouveaux vaccins au programme et en 1991, l’exposition des enfants américains à l’adjuvant des vaccins thimérosal avait plus que doublée. Les médecins, les parents et des chercheurs blâmèrent sur le thimérosal l’explosion qui s’ensuivit de maladies auto-immunitaires et neurologiques.

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Une équipe de recherche spécialement assemblée par le CDC et menée par le grand épidémiologiste belge, le Dr Thomas Verstraeten, a comparé les résultats de santé de centaines de milliers d’enfants vaccinés contre les non-vaccinés. Les données brutes de l’étude de Verstraeten / CDC de 1999 ont montré que les enfants qui furent injectés du vaccin contre l’hépatite B contenant du thimerosal dans leurs premiers 30 jours de vie, souffraient d’un taux d’autisme incroyable étant 1135% plus élevé que les enfants qui ne furent pas injectés. Verstraeten a aussi démontré un grand inventaire de maladie neurologique incluant les déficiences d’attention et autres troubles psychologiques, ainsi que des troubles du sommeil et des retards cognitifs d’apprentissage de la langue, chez les enfants exposés au thimerosal.

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Plus de 450 études scientifiques ont attesté de la toxicité dévastatrice du thimerosal. Parce que la testostérone amplifie la neuro-toxicité de la molécule de mercure, les garçons ont souffert de manière disproportionnée de baisse de QI et de toute une série de troubles du développement, comme la déficience d’attention, des retards dans les domaines cognitifs et du langage, tics, syndrome de Tourette, narcolepsie et autisme suivant une exposition à l’éthyle de mercure du thimerosal. De nombreuses études lient le thimerosal aux fausses-couches et au phénomène de mort soudaine du nourrisson. Il n’y a simplement aucune étude scientifique peered reviewed publiée, démontrant que le thimerosal soit un produit sain et sans danger.

En 2017, l’acteur Robert De Niro et moi-même avons tenu une conférence de presse bondée à la conférence du National Press Club à Washington D.C. Nous avons conjointement offert une récompense de 100 000 US$ à quiconque nous montrerait qu’une telle étude scientifique ait été publiée. Un groupe de prestigieux scientifiques incluant le professeur émérite en épidémiologie de l’UCLA, le Dr Sander Greenland, le toxicologue et ancien directeur de l’Environmental Toxicology Program du National Institute of Environmental Health Sciences, le Dr George Lucier et le Dr Bruce Lanphear de l’université Simon Fraser et de l’hôpital pédiatrique de Colombie Britannique, donnèrent leur accord pour être juge de l’étude. Personne n’a relevé le défi.

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Le Japon et certains gouvernements européens avaient déjà dramatiquement réduit les niveaux de mercure dans leurs vaccins dès 1993.

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Bill Gates vola au secours de Big Pharma et de ses stocks non-écoulés valant des centaines de millions de dollars. Il aida les labos pharmaceutiques à larguer leurs stocks de thimerosal dans les pays en voie de développement. Le laboratoire Merck, avec l’aide de Gates et de GAVI, fit un marché de donner (larguer) 1 million de doses de leur vaccin contenant du thimerosal : Recombivax HB contre l’hépatite B à la Millenium Vaccine Initiative dans les pays africains. La Maison Blanche félicita  cette initiative généreuse entrepreneuriale comme étant un “niveau sans précédent de soutien entrepreneurial”, dans un communiqué de presse du 3 mars 2000.

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De fortes preuves suggèrent que les garçons africains ayant un niveau de testostérone plus élevé et une carence chronique en vitamine D sont bien plus vulnérables aux effets néfastes du thimerosal des vaccins que les blancs. Lorsqu’il s’agit des bénéfices de Big Pharma, la mort et les dégâts cérébraux causés aux enfants africains ne sont que des dégâts collatéraux.

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Des expériences létales du vaccin contre le paludisme

Le paludisme tue 655 000 personnes par an, essentiellement des enfants africains de moins de 5 ans. En 2010, la FBMG a financé de 300 millions de dollars un essai Phase III du vaccin expérimental de GSK contre le paludisme, Mosquirix, dans sept pays africains, “ciblant les jeunes enfants parce que leur système immunitaire est toujours en développement”. GSK contribua de 500 millions de dollars, le NIAID de quelques dizaines de millions. […] Apparemment suspectant que le vaccin puisse être létal, l’équipe de Gates a choisi de ne pas faire le test contre un groupe placebo. Ils utilisèrent en lieu et place d’un placebo (NdT : qui doit être une substance absolument physiologiquement neutre…), des vaccins hautement réactifs comme celui de la méningite ou de la rage, qui eux-mêmes ne furent pas testés contre un groupe placebo.. L’injection contre la méningite était particulièrement connue pour provoquer de graves réactions voire des décès. L’utilisation d’un “placebo réactif” aussi appelé “fauxcebo”, est un truc délibérément frauduleux que des labos peu scrupuleux déploient pour masquer les effets secondaires et blessures dans les groupes testés en induisant volontairement des blessures parmi la cohorte dite “placebo”. Les essais cliniques qui omettent les véritables groupes placebo physiologiquement inertes ne sont que mascarades de science. 151 enfants moururent durant le test et 1048 des 5049 bébés souffrirent de sérieux effets secondaires, à la fois dans le groupe de contrôle et dans le groupe d’étude, effets incluant des paralysies, des crises d’épilepsie et des convulsions fébriles (fièvre).

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Gates déploya le Mosquirix en 2019 comme le premier vaccin anti-paludisme dans les pays sub-sahariens. Ceci devint un autre projet de “génocide des filles”. D’après le magazine Science : “L’efficacité dans la durée du Mosquirix est médiocre. Quatre doses n’offrent que 30% de protection contre un sévère paludisme et ce pour pas plus de quatre ans… Les plus grosses préoccupations néanmoins sont au sujet de la sécurité du vaccin.” L’associate editor du BMJ, le Dr Peter Doshi, fait remarquer “Il y a eu un taux de méningites chez ceux qui ont reçu le Mosquirix 10 fois celui de ceux qui ne le reçurent pas, il y a eu une augmentation des cas de paludisme cérébral et le risque de mortalité a doublé quelque soit la cause chez les filles en particulier.” Le Dr Doshi dit que le vaccin anti-paludéen de l’OMS représente “un bafouage grave des standards d’éthique internationaux”.

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Des virologues et universitaires du monde entier se turent au sujet des morts engendrées par le vaccin Mosquirix de Gates. Sa bourse bien remplie, ses impeccables connexions, son pouvoir sur le cartel des virologues et la faiblesse et les besoins des gouvernements africains l’isolèrent une fois de plus des conséquences de toutes ces morts d’enfants, à l’exception du Dr Doshi.

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L’Amérique du début du XXème siècle a vu l’augmentation de la popularité de l’eugénisme, une pseudo-science raciste qui aspirait à éliminer les êtres humains qualifiés “d’impropres” en faveur de stéréotypes nordiques. Vingt-sept gouvernements d’état officialisèrent des éléments de cette doctrine comme politique officielle et mettant en place toute une série de lois établissant la stérilisation forcée, la ségrégation de certaines populations et des restrictions sur les mariages. En 1909, la Californie devint le troisième état adoptant des lois demandant la stérilisation d’Américains mentalement handicapés. Les praticiens de l’eugénisme ont coercitivement stérilisé quelques 60 000 Américains.

John D. Rockefeller Jr a manifesté un grand intérêt pour l’eugénisme, ce qui colora sa passion avérée pour le contrôle de la population. L’héritier de la baronnie du pétrole rejoignit l’American Eugenics Society et servit au bureau de l’hygiène sociale. La Fondation Rockefeller envoya de arges donations dans les années 1920-30 à des chercheurs allemands, incluant ceux qui conduisaient les notoires “études sur les jumeaux” du Kaiser Wilhem Institute for Anthropology, Human Heredity and Eugenics à Berlin.

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La volonté de Gates de réduire la population est une histoire de famille. Son père, William “Bill” Gates Sr, était un important avocat d’affaire et leader civique de la ville de Seattle et a eu une obsession tout au long de sa vie au sujet du “contrôle de la population”. Gates Sr siégeait au comité directeur de l’organisation Planned Parenthood, une organisation néo-progressiste fondée en 1916 par la raciste et très eugéniste Margaret Sanger afin de faire la promotion de la contraception et de la stérilisation et de purger “la lie de l’humanité” et de “créer une race plus pure”. Sanger disait qu’elle espérait purifier le génome en “éliminant les indésirables”, les personnes handicapées, empêchant ces personnes de se reproduire au moyen de la stérilisation chirurgicale et d’autres moyens.

En 1939, Sanger créa et dirigea le très raciste “Negro Project”, qui cooptait stratégiquement des pasteurs noirs dans des rôles de leader afin de faire la promotion de la contraception au sein de leur congrégation. Sanger écrivit dans une lettre à son collègue eugéniste Clarence Gamble (de Procter & Gamble) : “On ne veut pas que se sache que nous voulons exterminer la population nègre et le pasteur est l’homme du moment qui pourra faire passer cette idée si cela jamais venait à l’idée de leurs membres les plus rebelles.

Dans mon enfance, mes parents étaient toujours impliqués dans plein de choses bénévoles”, a dit Bill Gates à Bill Moyers en 2003. “Mon père était à la tête de l’association Planned Parenthood et c’était très controversé d’être impliqué avec ça.

La surpopulation, a dit le père au magazine Salon en 2015 “a toujours été quelque chose qui m’a intéressé depuis ma jeunesse”. En 1994, Gates Sr fonda la William H. Gates Foundation (la première de la famille), focalisé sur la procréation et la santé enfantine dans le monde en voie de développement. Ainsi, le contrôle de la population fut une préoccupation majeure de la philanthropie de son fils, ce dès le départ. Gates a fait de nombreuses déclarations publiques et de nombreux investissements qui reflètent sa peur-panique profonde de la surpopulation. Il se décrit lui-même comme un grand admirateur et soutien du prophète de l’apocalypse démographique qu’est Paul Ehrlich, l’auteur du libre “La bombe démographique”, que Gates décrit comme “la Cassandre environnementaliste la plus importante au monde”, c’est à dire un prophète qui prédit avec précision malheur et/ou désastre.

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Le 20 février 2010, moins d’un mois après que Bill Gates ait donné 10 milliards de dollars à l’OMS, il suggéra dans son discours “Innovating to Zero” au TED Talk de Long Beach en Californie, que réduire la population mondiale et sa croissance se fera en partie avec de “nouveaux vaccins” :

Le monde aujourd’hui a 6,8 milliards d’habitants. On avance vers les 9 milliards. Maintenant, si nous faisons du bon boulot avec les nouveaux vaccins, la santé, les services de santé de reproduction, nous pourrions diminuer cela de peut-être 10 ou 15%…

Les défenseurs de Gates, et les organisations de “Fact Checker” qui émargent aux mannes de Gates, pouffent aux critiques qui interprètent littéralement la déclaration de 2010 de celui-ci, à savoir qu’il espère que l’utilisation des vaccins réduisent la population. Ils expliquent que Gates avait l’intention, par cette déclaration pour le moins scabreuse, de suggérer que les vaccins sauveurs de vie allaient permettre à plus d’enfant de survivre leur enfance et de devenir adultes, par là-même rassurant leurs parents appauvris, qu’ils n’ont pas besoin d’avoir plus d’enfants. Mais cette hypothèse repose sur la supposition elle-même scabreuse que ses vaccins réduisent de fait la mortalité infantile, une proposition que Gates n’a jamais démontrée et que la science actuelle ne soutient en rien. Son choix très bizarre des mots a tout naturellement alimenté la spéculation qu’il s’engageait dans une campagne préméditée de l’utilisation de vaccins pour stériliser les femmes. Sa propension questionnable de promouvoir les médicaments contre la fertilité et l’utilisation au grand large par l’OMS de vaccins rendant stérile de manière cachée alimente de tels sentiments de manière parfaitement crédible.

Le contrôle de la population a été le centre de la préoccupation de la FBMG depuis sa création…

En 2017, la Fondation adopta le but d’administrer des contraceptifs à 214 millions de femmes des pays pauvres. Le choix de Gates comme contraceptif est l’agent d’infertilité de long terme Depo-Provera. Les planificateurs démographiques ont distribué le Depo-Provera essentiellement aux pauvres et aux femmes noires aux Etats-Unis depuis son invention en 1967. Dans ce pays, 84% des utilisateurs du Depo-Provera sont afro-américains et 74% sont d’origine sociale défavorisée. Le plus gros promoteur du Depo-Provera, l’organisation Planned Parenthood, cible particulièrement les femmes noires et latinos dans ses campagnes de promotion. Les données de l’ONU montrent que le Depo-Provera est rarement donné aux femmes blanches ou aux femmes des strates sociales plus aisées aux Etats-Unis et en Europe.

Depo-Provera est un poison puissant ayant une longue liste d’effets secondaires très néfastes. […] Les femmes utilisatrices ont rapporté des troubles de régularité des règles, la formation de caillots sanguins / thromboses dans les jambes, les bras, les poumons et une infertilité permanente. Certaines études ont associé le Depo-Provera avec une augmentation de quelques 200% des risques de cancers du sein. La FDA avertit les femmes de ne pas prendre Depo-Provera sur une période de plus de deux ans, mais le programme de Gates prescrit une durée de prise du produit sur minimum 4 ans, voire indéfiniment pour les femmes africaines et n’avertit en rien les femmes noires des effets néfastes de la mixture.

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En 2011, une étude par une autre équipe de recherche financée par la FBMG et le NIH publia un article dans The Lancet Infectious Diseases, Heffron et al. (2012), rapportant que les femmes africaines utilisant la forme injectable de Depo-Provera avaient plus de chance d’être contaminée par le VIH / SIDA en comparaison avec les femmes non traitées par la substance. Les injections de Depo-Provera doublent le risque pour les femmes de contracter et de transmettre le VIH. Ce résultat ne fut pas une énorme surprise. Depuis 24 ans, de multiples études ont démontré que le Depo-Provera réduit l’épaisseur de la paroi vaginale, facilitant la transmission du VIH.

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Sans offrir quelque recherche scientifique que ce soit pour donner une substance à leurs affirmations, les adjoints de Gates, une cabale de promoteurs d’un extrême contrôle de la population, ont travaillé avec des intermédiaires de Pfizer pour vicieusement attaquer les résultats de la recherche de Heffron. Les critiques incluaient la FBMG, Planned Parenthood, l’ONU, Ronald Gray de l’université John Hopkins, financée par Bill Gates, James Shelton du bureau des populations de l’USAID et d’autres.

Sous ces violentes attaques des mignons de Gates dans le cartel médical, le Dr Heffron et son équipe de recherche ont courageusement maintenu leur position et conservé leur intégrité professionnelle. The Lancet publia la cinglante réponse de Heffron, qui fit remarquer que ses critiques ne citaient aucune étude scientifique convaincante et que les deux études récentes, celle de Heffron et celle de l’équipe du WSPH, résumaient quelques 25 années de recherches publiées documantant une augmentation du risque de contracter le VIH pour les femmes qui prenaient du Depo-Provera.

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Pour étouffer le tumulte montant, Gates finança une étude de l’OMS pour débunker l’association avec le VIH une bonne fois pour toute. Cette fois-ci il contourna Heffron pour financer un groupe plus “fiable” de chercheurs (les avocats et conseillers juridiques du milieu de l’environnement appellent ces personnes des “biostituées”). Le 21 octobre 2015, l’OMS publia son enquête, qui, sans aucune surprise, concluait “qu’il n’y avait aucune évidence d’une association causale entre entre l’utilisation du Depo-Provera et une quelconque incidence de risque d’acquisition du virus VIH pour les femmes.

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La pièce centrale du financement de 4 milliards de dollars de Gates est la seringue d’auto-injection, une bulle de plastique attachée à une aiguille, pour s’auto-administrer le Depo-Provera. Pfizer crée le gadget, mais la base légale de Gates à Seattle, PATH, en fait le marketing sous un nouveau nom de marque “Sayana Press”. L’ex-directeur de PATH, Chris Elias, était alors le président de la FBMG. Au travers de PATH, Gates allait distribuer ces produits, coûtant 1US$ pour une dose de trois mois, à 120 millions de femmes dans 69 pays les plus pauvres du monde. Avec les contributions que Gates entendaient soutirer de ces gouvernements, ces femmes chanceuses ne paierait pas ou peu des coûts.

Pfizer bien entendu, allait se gorger. D’après la rubrique Market Watch du Wall Street Journal “Pfizer pourrait gagner environ 36 milliards de dollars des ventes de cet investissement sans précédent de la FBMG, 560 millions de dollars de la fondation, pour un total de 4,3 milliards de dollars incluant les contributions gouvernementales, qui font la promotion du Depo-Provera comme le tout meilleur contraceptif pour les femmes de couleur et aux faibles revenus.

Levich explique que ceci est une évasion maligne des règlementations américaines qui demande que l’étiquette de Pfizer inclut son avertissement à encadré noir avec les mots inscrits : “FDA”, “black Box”, “avertissement” et “ostéoporose” et que le médecin prescripteur informe le patient que le médicament pose de possibles effets secondaires mettant en danger la vie. Aux Etats-Unis, les pharmaciens ne peuvent pas vendre les seringues d’auto-injection, car la loi demande qu’un personnel médical soit présent pour informer la personne des risques encourus. Ignorer ces mesures de sécurité en Afrique exposerait Pfizer à des poursuites criminelles et à des milliers de plaintes sous la loi Alien Tort Claims Act, qui permet à des femmes africaines victimes d’attaquer en justice les labos négligents américains dans des tribunaux américains si elles venaient à souffrir des résultats négatifs de la non mise en garde. La stratégie apparente de Pfizer pour se protéger d’une telle responsabilité et d’utiliser la FBMG et PATH comme agents pour promouvoir son mode contraceptif.

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Levich ajoute : “Si Depo-Provera est véritablement un contraceptif sans problème de sécurité, n’ayant que des effets secondaires très minimes, alors pourquoi donc Bill Gates, Hopkins U, l’USAID, Planned Parenthood, Pfizer et autres intermédiaires cachent-ils délibérément l’encadré noir d’avertissements de la FDA dans leur effort de minimiser et de cacher les effets secondaires du Depo-Provera pouvant mettre la vie en danger ?

Pour le dire directement et sans gants, Gates et son gang trompent les femmes africaines pour leur faire prendre un contraceptif en leur mentant au sujet de sa sécurité et de son efficacité envers des maladies qui touchent les personnes noires de manière disproportionnée, quelque chose pour ce les exécutifs de Pfizer pourraient bien se retrouver en prison.. Le complice en toute connaissance de cause de Bill Gates en cela est l’USAID.

Le directeur de cet organisme, le Dr Rajiv Shah, a été un conspirateur en série et de longue date dans les entreprises racistes variées de Gates. Pendant une décennie avant son boulot jackpot à l’USAID, Shah a travaillé comme principal leveur de fonds pour le GAVI de la FBMG de 2001 à 2010 et ses programmes de vaccination mondiaux. Shah a candidement reconnu que le sceau de reconnaissance de la FBMG et de PATH pour le Depo-Provera sert de stratégie fine pour isoler Pfizer de toute poursuite judiciaire civile et criminelle pour violation des réglementations de la FDA.

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Le Depo-Provera est venu honnêtement à sa notoriété d’outil de choix pour une pratique eugéniste raciste. Israël a banni le Depo-Provera en 2013 suite à un scandale dans lequel des fonctionnaires de la santé cherchant à réduire radicalement le nombre de naissances noires, ciblaient les juifs africains en leur administrant le Depo-Provera.

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En 2002, l’Inde a banni ce dangereux médicament de tous les programmes de santé familiale après un scandale similaire : des hauts-fonctionnaires du gouvernement ciblaient les Indiens des castes inférieures. Beaucoup d’autres nations incluant Bahrein, Israël, la Jordanie, le Koweït, le Qatar et l’Arabie Saoudite ont interdit l’utilisation de Depo-Provera par leurs citoyens. Les pays européens restreignent son usage et demandent une mise en garde totale des effets potentiels pour les femmes utilisatrices et un formulaire de consentement doit être signé.

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Les défenseurs de Gates tournent en ridicule comme “théorie conspirationiste” la suggestion que Gates ou de fait, toute autorité de la santé réputée, utiliseraient des “vaccins sauveurs de vie” comme véhicule caché afin de rendre des femmes stériles à leur insu. Mais un des premiers travaux philanthropiques de Gates fut un projet de 2002 pour administrer des vaccins anti-tétanos aux femmes pauvres dans 57 pays. Pour des raisons que nous allons exposer, des critiques suggèrent de manière très crédible que ces vaccins avaient été trafiqués avec une formule chimique que la Fondation Rockefeller avait développée pour stériliser les femmes contre leur gré.

Le 6 novembre 2014, quatre ans après la promesse de Gates du TED Talk d’utiliser les vaccins pour faire diminuer le taux de natalité, des chercheurs en médecine et des médecins associés avec la Kenya Conference of Catholic Bishops (KCCB) et la Commission de Santé Catholique du Kenya (CSCK) ont accusé l’OMS, l’UNICEF et GAVI d’avoir secrètement entrepris un programme de stérilisation de masse envers les femmes kenyanes, ce, sous le voile de lutter contre le tétanos et d’éradiquer cette maladie.

Le Washington Post rapporta également de telles accusations par l’Association des Médecins Catholiques du Kenya (AMCK)

Les médecins catholiques devinrent suspicieux à cause de l’énorme transgression par l’OMS des protocoles usuels de vaccination anti-tétanique. Normalement, une dose de ce vaccin fournit une immunité de 10 ans contre la maladie. Comme les hommes et les femmes sont autant susceptibles à la maladie les uns comme les autres, les deux sexes se font injecter de manière routinière. Mais l’OMS donna des instructions aux médecins de donner le vaccin en cinq doses, tous les six mois et seulement aux jeunes femmes et femmes dans la tranche d’âge de procréation.

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Les médecins catholiques remarquèrent aussi d’étranges particularités de cette campagne de vaccination. Pour commencer, l’OMS commença sa campagne non pas des hôpitaux ou des centres médicaux des quelques 60 centres de vaccination du pays, mais distribua les injections depuis le très luxueux hôtel New Stanley de Nairobi, une station de loisir hors de portée de bien des médecins et des fonctionnaires publics. A grand coût, une escorte de police amena les doses de vaccin sur les sites de vaccination, où des policiers contrôlaient de manière très stricte et supervisait la manutention des vaccins par les personnels médicaux impliqués et ordonnaient que chaque fiole vidée de son contenu après utilisation, soit réintégrée au personnel de l’OMS à Nairobi dans cet hôtel 5* sous stricte surveillance policière.

Quatre ans plus tard, en octobre 2019,  l’AMCK accusa l’UNICEF, GAVI et l’OMS d’avoir rendu stériles des millions de femmes fertiles. Les médecins avaient à ce moment précis, fait des analyses du contenu des vaccins vérifiant leurs allégations. Trois laboratoires de biochimie indépendants de Nairobi testèrent des échantillon du vaccin anti-tétanique de l’OMS, y trouvant la substance gonadotropine chorionique humaine ou GCh (hCG en anglais), alors que cette substance n’avait absolument rien à faire dans ce vaccin. En octobre 2014, les médecins catholiques obtinrent six fioles supplémentaires et les firent tester dans six laboratoires accrédités, qui y trouvèrent de la GCh dans la moitié d’entre eux.

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Le personnel médical catholique procéda à de similaires accusations au sujet des projets de vaccination en Tanzanie, au Nicaragua, au Mexique et aux Philippines. A la suite d’un déni indigné pour de telles accusations et une dénonciation des accusateurs, l’OMS finit par admettre à reculons, qu’elle avait développé des vaccins stérilisateurs depuis des décennies. Mais l’OMS a puni les médecins catholiques kenyans et la communauté du personnel médical qui rapportèrent l’affaire de ces vaccins empoisonnés en faisant annuler des contrats pour de futurs emplois.

Ce ne fut pas la première fois que les autorités médicales catholiques avaient accusé l’OMS d’une campagne de stérilisation cachée contre les femmes africaines. Dès novembre 1993,  des publications catholiques accusèrent l’OMS d’altérer ses vaccins anti-tétaniques pour stériliser les femmes de couleurs dans le monde au moyen de puissantes substances avorteuses. L’OMS nia en bloc ces accusations.

L’équipe de recherche Shaw montra que des scientifiques de  l’OMS et la Fondation Rockefeller avaient commencé des recherches sur des vaccins “contre la fertilité” afin de “contrôler les naissances” et ce depuis 1972, en introduisant de la GCh avec la toxine du tétanos, qui agit ici comme agent de transport de l’hormone.

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En 1976, les scientifiques de l’OMS avaient réussi à conjuguer un vaccin fonctionnel de “contrôle des naissances”. Les chercheurs de l’OMS rapportèrent triomphalement que leur formule pouvait induire “des avortements chez les femmes déjà enceintes et/ou la stérilité chez les récipiendaires du vaccin et qui n’étaient pas encore enceintes.” Ils observèrent également qu’une exposition répétée au produit par inoculation prolongeait l’infertilité des femmes.

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La campagne de vaccination anti-tétanique du Kenya se produisit peu de temps après que Bill Gates ait promis 10 milliards de dollars à l’OMS ayant pour but déclaré de réduire la population avec “de nouveaux vaccins”.

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La BMGF a fourni de nombreux dons au PATH, incluant celui de novembre 2020 “pour soutenir le développement clinique des vaccins anti-COVID19 par des fabricants chinois.

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John D. Rockefeller III fonda le Conseil sur la Population (Population Council) en 1952 dans une conférence qu’il avait convoquée pour les grands-prêtres du contrôle de la population, incluant le directeur de la nouvelle association américaine Planned Parenthood Federation of America (PPFA) et plusieurs eugénistes bien connus. Se lamentant que la civilisation moderne avait réduit le processus naturel de sélection en sauvant toujours plus de “faibles” et leur permettant de se reproduire, ceci ayant pour résultat une “baisse de la qualité génétique humaine”, le groupe s’accorda pour créer une organisation dévouée à la “réduction de la fertilité”. Tandis que Rockefeller lançait officiellement le Conseil sur la Population avec un don de 100 000 US$ et servait de premier président, les deux présidents successifs du conseil furent Frederick Osborne et Frank Notestein, tous deux membres actifs de l’American Eugenics Society. Le NIH et l’USAID furent parmi les fondateurs de départ et des gouvernements américain et étrangers devinrent rapidement parmi les plus grands soutiens financiers du conseil.

Le conseil fait de la recherche faisant la promotion de l’utilisation de méthode contraceptive artificielle et de la recherche sur l’avortement et la bio-médecine afin de développer de nouveaux médicaments et de nouvelles technologies. Le conseil collabora avec la Fondation Ford et l’International Planned Parenthood Foundation (IPPF) pour le développement de programmes contraceptifs intra-utérins sur une grande échelle dans les pays étrangers, alors même que leurs médecins de recherche les avertissaient d’effets secondaires aigus néfastes. Plus tard, le conseil joua un rôle clef dans le développement d’un implant contraceptif hormonal extrêmement dangereux, le Norplant.

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L’Agence Américaine pour le Développement International (USAID) fut dans un partenariat sur des décennies avec le CP et cultiva une relation d’alliance de longue durée avec la Fondation Rockefeller (FR) et l’OMS dans la recherche sur des moyens de contrôle de la fertilité pour réduire la population mondiale, spécifiquement en Afrique sub-saharienne. A partir de 2014, Gates et Elias avaient un collaborateur fiable au sein de l’USAID, son directeur Rajiv Shah, qui, avant d’être nommé à ce poste, a travaillé une décennie pour la FBMG, gérant le programme d’immunisation du GAVI pour les enfants africains.

Le Dr Shah rejoignit la FBMG en 2001 et supervisa son alliance avec la FR en lança l’Alliance pour une Révolution Verte en Afrique…

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A l’USAID, sa fonction principale était de réorganiser l’agence pour une réflexion sur une nouvelle direction sur la biosécurité, ce sous un ordre exécutif d’Obama en 2009. Shah quitta l’USAID pour devenir le président de la FR en 2017. Shah a de très fortes relations avec les agences du renseignement et les cartels pétrolier et chimique. Il siège à la fois à la Commission Trilatérale et au Council on Foreign Relations (CFR), deux organisations globalistes/mondialistes largement définies par l’alliance Rockefeller / Kissinger.

Shah est membre de l’International Rescue Committee (IRC), association à but non lucratif ayant des liens très étroits et de longue date avec la CIA. Dans son livre de 1991 “Covert Network : Progressives, the International Rescue Committee and the CIA”, le professeur d’économie de l’université du Massachussetts, Eric Thomas Chester expose l’IRC comme vitrine de la CIA. Bill Casey, espion de longue durée, qui fut le directeur de la CIA sous la présidence de Ronald Reagan, aida à gérer l’affaire Iran-Contras des années 1980 et fut le président de l’IRC de 1970 à 1971. L’IRC opère dans 40 pays sous couvert “d’aide humanitaire”. D’après son président actuel, David Miliband, l’ex-ministre des affaires étrangères de la GB, le rôle de Shah au plus haut niveau du conseil est de “surveiller les affaires politiques et non liées à la santé en relation à la prévention et aux impératifs de préparation pour une épidémie potentielle de proportion mondiale.

En 1974, l’USAID et l’OMS collaborèrent sur la création du très secret “Kissinger Report”. Henry Kissinger, dont le patron était Nelson Rockefeller et dont la carrière était très très étroitement imbriquée avec la FR, écrivit un “document secret”, qui devint politique officielle sous la présidence de Gerald Ford en 1975. Ce rapport, connu sous le nom de US National Security Study Memorandum 200 ou US NSSM 200, expliquait dans le détail les avantages géopolitiques de réduction de la population dans les “pays moins développés” pour amener la croissance démographique proche de zéro en “réduisant la fertilité” afin de sauvegarder les intérêts économiques des Etats-Unis et autres nations industrialisées dans le domaine des ressources naturelles importées.

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Shaw et al., ont trouvé 150 publications scientifiques émanant de l’OMS sur les formules variées d’infertilité entre 1976 et 2016 avec des milliers de citations.

Dans les années 1993 et 1994, l’OMS lança une campagne de vaccination anti-fertilité au Nicaragua, au Mexique et aux Philippines, puis au Kenya en 1995. Dans chacun de ces pays, l’OMS et les cliniciens des gouvernements locaux injectèrent des femmes en âge de procréer, leur disant que le but de l’OMS et de ses programmes d’immunisation était d’ “éliminer le tétanos maternel et néo-natal.

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Les régions du monde ciblées pour les campagnes anti-tétaniques de l’OMS sont essentiellement les mêmes que les nations en voie de développement ciblées dans le rapport de Kissinger.

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Le calendrier kenyan était identique à celui publié par l’OMS avec le mélange de la toxine du tétanos et la GCh de contrôle des naissances : cinq doses de vaccin espacées de 6 mois, ce qui bien sûr, contraste totalement avec le calendrier publié de la véritable vaccination anti-tétanique.

[…]

Afin de décourager toute discussion publique de ces abcès purulents sur sa vache sacrée, les HHS en 1984, l’année où le dr Fauci devint directeur du NIAID, poussèrent et firent adopter en catimini une réglementation fédérale représentant parfaitement la culture paranoïaque institutionnelle de l’agence, le secret et l’obligation, mais certainement pas les valeurs de la constitution des Etats-Unis :

Tous doutes possibles, réels ou non, au sujet de la sécurité du vaccin ne peuvent pas être permis d’exister en regard du besoin d’assurer que le vaccin sera utilisé de manière continue, dans l’extension maximum consistante avec les objectifs de santé publique de la nation.” (Federal Register Vol. 49 No 107)

La plupart des Américains sont choqués d’apprendre qu’aujourd’hui, cette règlementation abominable est la loi notre pays.

[…]

Note de R71 : s’ensuivent ici quelques pages similaires analysant la dangerosité du vaccin oral anti-polio lancé par la FBMG et l’OMS en Inde, en Chine, en Egypte en Haïti et en Malaisie. A lire dans le bouquin. Tout aussi édifiant !

[…]

Les investissements stratégiques de Gates l’ont immunisé contre la critique des médias et de la communauté scientifique, ainsi donc, malgré ces atrocités commises, la FBMG dirige l’OMS comme un destroyer fou avançant à vitesse maximum dans le chaos et le carnage des enfants morts et ceux paralysés dont les vies détruites dérivent dans son sillage…

En 2009 et 2012. le FBMG a financé des tests sur des vaccins expérimentaux contre les PVH (papilloma virus humain), développé par les associés de Gates, GSK et Merck, sur 23 000 filles dans la tranche d’âge 11-14 ans, recrutées dans des provinces reculées de l’Inde.

[…]

Durant les essais cliniques, Merck a été incapable de montrer que le Gardasil était efficace contre le cancer du cervix. Au lieu de cela, l’étude montra que le vaccin augmentait le cancer du l’utérus de 46,3% chez les femmes exposées au PVH avant l’injection, environ 1/3 de toutes les femmes. D’après Merck et ses rapports d’essais cliniques, le vaccin était associé avec des maladies auto-immunitaires chez une femme injectée sur 39. Depuis l’introduction de ce vaccin en 2006, des milliers de filles ont rapporté des maladies auto-immunes affligeantes et le nombre de cancers a percé le plafond chez les jeunes femmes.

Le très fort patronage de Gates pour les vaccins anti-PVH (Gardasil et Cervarix) ont alourdi les suspicions qu’il faisait en fait de ces vaccins des armes contre la fertilité naturelle humaine. Les essais cliniques de Merck ont montré de très forts signaux de troubles de la reproduction avec le Gardasil. Les sujets de l’étude injectés souffrirent de problème reproducteurs incluant un mauvais fonctionnement ovarien 10 fois supérieur à la normale. La fertilité des femmes a chuté précipitamment à partir de 2006 aux Etats-Unis, ce de manière concomitante avec la prise du Gardasil.

La conspiration ourdie par GAVI, l’OMS et l’UNICEF pour forcer l’Inde à obliger l’injection contre l’hépatite B est une autre illustration du comment, sous l’hégémonie de Bill Gates, les profits de l’industrie vaccinale l’emportent toujours sur la santé publique. Originellement, l’OMS recommanda la vaccination anti-hépatite B seulement dans les pays ayant une forte incidence de carcinoma (cancer) hépato-cellulaire (CHC), cette spécificité de cancer que le vaccin promet d’éliminer. Comme cette condition est très rare en Inde, le pays ne qualifiait pas pour son administration selon les critères initiaux. Cette politique de l’OMS voulait dire pout Gates et Big Pharma, la perte d’un marché de 1,3 milliards de personnes !…

GAVI poussa l’OMS à changer sa politique officielle pour devenir une recommandation universelle., faisant des pays non sujet au CHC des cibles pour le vaccin. 

[…]

Le 17 juillet 1999, dans un commentaire publié par le BMJ, le Dr Puliyel fit observer que le moins cher des vaccins anti-hépatite B indien coûtait 360 roupies (5US$) pour 3 doses. Il fit remarquer que “un tiers de la population indienne gagne moins de 57 roupies par personne et par mois ; que les plus grandes causes de mortalité en Inde sont la diarrhée, les infections respiratoires et la malnutrition.” Il ajouta “La vaccination contre l’hépatite B devrait-elle être une priorité sur le fait de pouvoir boire de l’eau potable ?

L’étude qui porta sur l’introduction de force par Gates des vaccins anti-hépatite B en Inde, montra que le vaccin n’a réduit en rien l’incidence d’hépatite B. La fréquence de porteurs chroniques était similaire chez les vaccinés et les non-vaccinés. L’étude démontra aussi que l’immunité naturelle développée par la mère se communiquait au bébé au moment où l’enfant est le plus vulnérable au statut de porteur chronique et que le programme de vaccination réduisait cette immunité naturelle. Paradoxalement, il y avait dont une chance substantielle que le vaccin de Gates augmentait l’incidence du facteur CHC dans le pays.

[…]

Au début de 2021, une journaliste de télévision, Becky Quick, observa que Gates avait dépensé 10 milliards de dollars sur les vaccins sur une période de deux décennies et lui demanda : “Vous avez figuré le retour d’investissement sur tout ça et ceci m’a vraiment surpris, pouvez-vous nous expliquer les chiffres ?” Bill Gates répondit : “Nous voyons un retour phénoménal… il y a eu un retour [d’investissement] de l’ordre de 20 pour 1. Donc si vous regardez juste les bénéfices économiques, c’est bien sûr un gros chiffre.” La journaliste le pressa un peu plus : “Si vous aviez placé cet argent dans un portfolio S&P 500 et réinvestit les dividendes, vous auriez récupéré environ 17 milliards de dollars, mais vous pensez que le retour est de l’ordre de 200 milliards de dollars.” Gates continua : “Hé, oui… aider les jeunes enfants à vivre, à avoir la bonne nutrition, à contribuer à leurs pays, c’est un retour qui va au-delà de tout retour financier… La clef de tout ça, est d’avoir ce gros portfolio.

Et la clef de ce gros portfolio est aussi d’avoir Anthony Fauci comme allié vital.

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Nature / Contre-nature

« Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique » Robert F. Kennedy Jr (Chapitre 1, 2ème partie)

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Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Décembre 2021

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 2

Chapitre 1 : mauvaise gestion de pandémie

Note des traducteurs : ce chapitre est le plus long du livre, il fait 95 pages + 22 pages de notes bibliographiques. Ce chapitre très important représente à lui seul 25% du bouquin… Tout est à lire, aucune longueur, il fut très très difficile de sélectionner des passages pour la traduction, nous avons fait de notre mieux pour en tirer ce que nous pensons être le plus important à diffuser le plus rapidement possible. De fait, par souci de cohérence narrative et devant la somme des informations présentées, nous avons décidé de traduire plus qu’originellement prévu. Devant la longueur de ce chapitre et pour ne pas faire trop attendre le public francophone qui se doit de connaître cette information, nous avons décidé de publier ce long chapitre en 3 parties… Bonne lecture !

Seconde partie

[1] [2] [3]

III – L’ivermectine

A partir de l’été 2020, des médecins de terrains au contact et soignant des patients avaient découvert un autre remède à la COVID qui égalait l’HCQ dans son rôle de sauveur de vie.

Cinq ans plus tôt, deux chercheurs du laboratoire Merck gagnèrent un prix Nobel pour avoir développé l’ivermectine (IVM), un médicament ayant une puissance jusqu’ici inégalée contre une vaste variété de parasites humains incluant les vers, la cécité des rivières et la filariasis lymphatique. Ce salut a été la seule récompense attribuée par le comité Nobel à un médicament pour maladies infectieuses en plus de 60 ans. La FDA approuva l’ivermectine comme efficace et sans danger pour l’utilisation chez l’humain en 1996. L’OMS inclut l’IVM (ainsi que l’HCQ) dans son inventaire des “médicaments essentiels”. L’OMS a recommandé l’utilisation de l’IVM à des populations entières afin de traiter les parasitoses, cela veut dire que l’OMS considère le médicament comme suffisamment sûr pour le faire administrer à des gens qui n’ont même pas été diagnostiqué d’infections par parasites, ce avec peu ou pas d’effets secondaires. Les notices des boîtes d’IVM indiquent que le médicament est aussi sûr que les médicaments en vente libre les plus populaires comme le tylenol et l’aspirine

Des chercheurs de l’Institut Kitasato du Japon ont publié un article en 2011 décrivant l’IVM en ses termes jusqu’ici jamais utilisés pour un tout autre médicament :

Il y a très peu de médicaments qui peuvent sérieusement s’approprier le titre de “merveille”, la pénicilline et l’aspirine étant sans doute les deux médicaments ayant eu le plus gros impact sur la santé et le bien-être de l’humanité. Mais l’ivermectine peut tout aussi être considérée faire partie de ces prétendants, ceci fondé sur sa versatilité, sa sécurité, et l’impact bénéfique qu’elle a eu et continue d’avoir dans le monde entier, spécifiquement sur les centaines de millions de personnes les plus pauvres au monde.

Trois statues, une au centre Carter, une au QG de la Banque Mondiale et une au QG de l’OMS, honorent le développement de l’ivermectine.

Depuis 2012, de multiples études in-vitro (en labo) ont démontré que l’IVM inhibe la réplication d’une grande variété de virus, le magazine “Nature” a publié en 2020 une étude faisant la synthèse de de 50 ans de recherche trouvant l’IVM “hautement efficace contre les micro-organismes incluant certains virus” et rapportant les résultats dans des études animalières démontrant “les effets anti-viraux de l’ivermectine sur des virus comme zika, dengue, fièvre jaune et fièvre du Nil occidental…

En avril 2020, un article intitulé “Des expériences de laboratoire montre que le médicament anti-parasite ivermectine élimine le virus SRAS-CoV-2 des cellules en 48 heures”, publié par des chercheurs australiens  des universités de Melbourne et du Royal Melbourne Hospital, gagna une attention internationale comme traitement potentiel de la COVID-19.

[…]

De plus, une étude de 2021 a suggéré que le mécanisme biologique clef de l’IVM, l’accroche concurrentielle avec la protéine spike du SRAS-CoV-2, n’était pas spécifique à un variant quelconque  de coronavirus et que par conséquent, à l’encontre des vaccins, l’ivermectine serait sans aucun doute efficace contre tous les variants à venir.

[…]

Le journal scientifique “Annals of Dermatology et de Venerology” a rapporté que dans un EPHAD français, tous les 69 patients, dont la moyenne d’âge était de 90 ans, et les 52 personnels soignant ont tous survécu à la contagion de la COVID-19. Il s’avéra qu’ils avaient tous reçu de l’ivermectine à cause d’une infection de gale dans l’établissement. La COVID décima la communauté environnante, mais seulement 7 résidents et 4 personnels furent infectés et tous avec des symptômes mineurs. Aucun cas ne demanda de mise sous oxygène ou une hospitalisation.

La recherche scientifique suggère que l’ivermectine fonctionnerait au travers de quelques 20 mécanismes différents. Parmi ceux-ci, ‘IVM fonctionne comme un “ionophore”, facilitant le transfert du zinc dans les cellules, ce qui inhibe la réplication virale. L’IVM stoppe la réplication de la COVID-19, de la grippe saisonnière et autres virus par ce mécanisme et autres. Par exemple, en mars 2021, une étude par Choudhury et al., a trouvé qu’ “Il s’avère que l’ivermectine est un bloqueur de la réplication virale, de la replicase et la protease et du TMPRSS2 chez l’humain, ce qui pourrait être la base biophysique se cachant derrière son efficacité anti-virale.

[…]

De plus, l’IVM perturbe la capacité de la protéine spike de s’attacher aux récepteurs ACE2 de la membrane cellulaire humaine, ce qui empêche l’entrée virale dans la cellule. De plus le médicament fait la prévention de la formation de caillots sanguins en s’accrochant à la protéine spike et empêche celle-ci de s’attacher au récepteur CD147 des globules rouges, ce qui autrement provoquerait une agglomération. Lorsque les patients prennent le médicament avant l’exposition au virus, cela fait une prévention de la maladie, ce qui arrête la transmission virale et aide à protéger des communautés entières.

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En moyenne, avec une utilisation prophylactique (préventive), l’IVM empêcha 86% de résultats graves. Sur toutes les études faites, l’IVM a protégé 6 personnes sur 7 qui ont utilisé l’IVM à titre préventif.

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Une étude du Lancet de janvier 2021 a trouvé que l’IVM a réduit dramatiquement l’intensité et la durée des symptômes et de la charge virale des patients.

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Le Dr Kory a témoigné que “L’IVM peut réduire les hospitalisations de près de 90% et le taux de mortalité de 75%.” Kory est un parmi la multitude de médecins de terrain, incluant le Dr McCullough, le ministre de la santé de Floride Joe Ladopo, le professeur Paul Marik, le Dr Joseph Varone et l’inventeur de la technique ARNm, le Dr Robert Malone et bien d’autres, qui pensent que le traitement précoce à l’IVM auraient évité 75 à 80% des décès liés à la COVID et aurait économisé au pays 1000 milliards de dollars en trésorerie.

La COVID-19 a eu pour résultat 6 millions d’hospitalisations et 700 000 morts aux Etats-Unis,” a dit le Dr Kory. “Si l’HCQ et l’IVM avaient été largement utilisées au lieu de leur suppression systématique, nous aurions pu empêcher 75% ou au moins 500 000 morts et 80% des hospitalisations, soient 4,8 millions. Nous aurions épargné aux états des centaines de millions de dollars.

[…]

La “non-recommandation” par le NIH de l’IVM le 14 janvier 2021, émise à l’encontre de la preuve de la sécurité et de l’efficacité de l’IVM contre la COVID-19, fut le premier signal de la détermination évidente de l’agence de supprimer l’IVM. Le NIH affirmait qu’il y avait “une insuffisance de preuve.. pour recommander de manière positive ou négative l’utilisation de l’IVM dans le traitement de la COVID-19”.

Le NIH a voilé son processus d’obtention de cette conclusion de tout le mystère possible, refusant de diffuser l’identité des gens qui prirent part au comité de décision sur l’utilisation de l’IVM et supprima les noms du document qu’il émit suite à de nombreuses demandes de divulgation selon la procédure du FOIA (loi sur la liberté de l’information) et que l’agence devait légalement fournir. pendant un temps, seuls Fauci, Francis Collins et les membres du panel eux-mêmes connaissaient ces identités. Le NIH a pris des mesures extrêmes pour garder ces noms secrets, luttant jusqu’aux tribunaux fédéraux pour protéger de toute transparence le processus de décision.

Alors que Fauci et Collins manœuvraient pour garder dans l’ombre le processus, le CDC, en réponse à une demande séparée sous FOIA, révéla les 9 membres du groupe responsable de la décision. Trois membres de ce groupe Adaora Adimora, Roger Bedimo et David V. Glidden, avaient déclaré des relations financières avec le laboratoire Merck. Un 4ème membre du comité de direction du NIH, Susanna Naggie, recevait 155 millions de dollars de fonds pour continuer la recherche sur l’IVM en suivi de la décision de “non-recommandation” du NIH. La corruption de Naggie n’aurait pas pu continuer si le comité avait voté pour approuver l’IVM.

Aujourd’hui, alors que le dr Fauci est en passe de réussir à ce que les Etats-Unis éliminent l’utilisation de l’IVM, plus de pays l’utilise toujours plus.

En février 2021, le patron de la Tokyo Metropolitan Medical Association a tenu une conférence de presse appelant à ajouter l’IVM au protocole de traitement pour les patients en ambulatoire. Plusieurs états en Inde ont ajouté l’IVM à leur liste de médicaments essentiels pour combattre la COVID-19. Le gouvernement indonésien a non seulement autorisé son utilisation mais a aussi créé un site internet montrant sa disponibilité en temps réel.

Après avoir injecté une 3ème dose du Pfizer, mais voyant toujours un haut taux de contamination COVID, d’hospitalisations et de morts, Israël a commencé à utiliser officiellement l’IVM en septembre 2021, les compagnies d’assurance distribuant l’IVM aux citoyens à haut-risque. El Salvador distribue l’IVM gratuitement à tous ses citoyens.

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“L’IVM a écrasé la COVID-19 à New Delhi”, a écrit le Dr Justus R. Hope, médecin.

[…]

L’énorme et évidente preuve en faveur de l’IVM inclut la meta-analyse hautement regardé du Dr Tess Lawrie. Elle a évalué 15 essais, trouvant des effets à bénéfices cumulateurs pour l’IVM, réduisant la mortalité de 62% et que l’utilisation prophylactique de l’IVM réduisait les infections de l’ordre de 86%.

Le Dr Lawrie est une chercheuse mondialement renommée et est une éminence parmi les scientifiques et agences de santé publique dans le monde.

[…]

Dr Lawrie demanda au Dr Andrew Hill [chercheur à l’OMS] d’expliquer son retournement de veste sur l’IVM, que sa propre analyse avait trouvé particulièrement efficace. “Comment pouvez-vous faire cela ?” demanda t’elle poliment. “Vous provoquez une nuisance considérable”.

Hill expliqua que c’était une question difficile et épineuse, qu’il était dans une situation “difficile” parce que ses sponsors (financiers) avaient mis la pression sur lui. Hill est un virologiste de l’université de Liverpool qui a servi de conseiller pour Bill Gates et la Fondation Clinton. “Il m’a dit que son sponsor était Unitaid.Unitaid est une organisation quasi-gouvernementale de promotion financée par la Fondation Bill & Melinda Gates (FBMG) et plusieurs pays européens dont la France, le Royaume-Uni, la Norvège, l’Espagne et le Brésil, la Corée du Sud et le Chili, afin de faire pression sur les gouvernements (lobbying) pour financer l’achat de médicaments de laboratoires pharmaceutiques multinationaux pour les distribuer aux pauvres d’Afrique. Son objectif principal semble être de protéger les brevets et les droits de propriété intellectuelle des labos pharmaceutiques, ce qui est comme nous allons le voir, une des passions principale de Bill Gates et aussi de s’assurer que les gouvernements paient rapidement la totalité de la facture. Environ 63% du financement de l’organisation provient de la surtaxe sur les billets d’avion. La FBMG détient un siège au comité directeur et dirige le comité exécutif. La FBMG a donné 150 millions de dollars à Unitaid depuis 2005. Des succursales variées de la FBMG comme Global Fund, Gavi et l’UNICEF y contribuent également, comme le fait l’industrie pharmaceutique. La FBMG détient beaucoup d’actions dans beaucoup de compagnies pharmaceutiques qui profitent de cette aubaine. Gates utilise aussi Unitaid pour financer une science corrompue au moyen de chercheurs sous influence comme Hill, qui légitime ses directives politiques à l’OMS. Unitaid a donné 40 millions de dollars à l’employeur de Hill, l’université de Liverpool, quatre jours avant la publication de l’étude de Hill.

Hill, Ph.D a confessé que ses sponsors lui mettaient la pression pour influencer sa conclusion. Lorsque le Dr Lawrie lui demanda qui essayait de l’influencer, Hill répondit : “Je… Je pense que je suis ici dans une position très délicate…

[Note des traducteurs : s’ensuit ici l’entretien de Lawrie et Hill sur 6 pages, à lire dans le livre, il en vaut la peine…]

[…]

En conclusion de la conférence BIRD du 14 janvier 2021, le Dr Lawrie a délivré un monumental discours de clôture, qui devrait être enregistré comme un des discours les plus importants dans les annales de l’histoire médicale. Elle parla en prenant énormément de risques car sa vie sociale et sa carrière reposent largement sur ces mêmes agences qui sont la cible de sa critique acerbe.

La Dr Lawrie a commencé son discours en reconnaissant la miraculeuse efficacité de l’ivermectine ; puis elle dit à l’audience que la suppression de l’IVM était un signe de la corruption envahissante de Big Pharma qui a retourné le cartel médical contre les malades et contre l’humanité.

Elle a appelé à une réforme de la méthode utilisée pour analyser la preuve scientifique.

Elle a dénoncé la corruption de la médecine moderne par Big Pharma et autres intérêts et a attribué la suppression barbare de l’IVM à l’obsession aveugle pour des vaccins plus financièrement profitables.

Elle a fait allusion au rôle de Bill Gates dans la suppression de l’IVM.

Finalement, le Dr Lawrie a suggéré que les médecins forment une nouvelle OMS qui représente les intérêts des gens, des peuples et non des entreprises multinationales et des milliardaires, une organisation qui serait centrée sur le bien-être et la santé des gens.

[…]

Janvier 2021, Syracuse, état de New York, un avocat, Ralph Lorigo, fait une injonction devant un tribunal pour la mère d’un des ses clients, gravement malade de la COVID et hospitalisée. La requête est dirigée contre l’hôpital qui a refusé la demande de la famille de la malade pour qu’elle soit traitée à l’ivermectine. Un juge d’une cour supérieure de l’état de New York acquiesça de suite à la demande de l’avocat. Dans les douze heures de sa prise d’IVM, la mourante commença à récupérer. Deux semaines plus tard, Lorigo obtint un second succès pour un cas similaire et le malade eut une guérison miracle. […] A ce jour, Lorigo a été dans plus de 30 tribunaux plaider la cause de malades. “Les gens pour qui j’ai réussi à obtenir l’IVM à temps sur décision judiciaire ont tous survécu. Les autres sont morts.” Il a obtenu des douzaines de succès dans ses injonctions légales provoquant une pléthore de guérisons. “Les hôpitaux sont tellement arrogants. Ils laissent les gens mourir. Ils reçoivent 37 000 US$ s’ils placent une personne en réanimation pour COVID, ensuite ils les laissent mourir.

[…]

Merck était le laboratoire pharmaceutique originel de l’IVM et a formellement reconnu l’IVM comme sa “merveille médicamenteuse”. Pendant les 40 années durant lesquelles Merck a fabriqué le médicament, jamais il n’a parlé de ces signaux de sécurité concernant la substance. Depuis 1987, Merck a distribué des milliards de doses d’IVM dans le monde entier, de cette substance qui a soigné efficacement et rapidement de la gale, de la cécité des rivières, de la filiariasis lymphatique, de la fibromatose (éléphantisme) et autres parasitoses ce sans effets secondaires néfastes ou préoccupations alarmantes. En 2016, Merck a fourni plus de 200 millions de doses en Afrique.

[…]

Qu’est-ce qui a déclenché la soudaine préoccupation de sécurité de Merck pour son IVM ?

Le brevet exclusif de Merck sur l’ivermectine a expiré en 1996 et des douzaines de labos pharmaceutiques génériques produisent maintenant le médicament pour environ 0,40 US$ la dose, diminuant le profit de Merck dramatiquement. De plus 10 jours avant la découverte par Merck de sa préoccupation concernant la substance, Merck avait signé un contrat d’association dans la fabrication du vaccin anti-COVID Novarax et Emergent BioSolutions alors que celui-ci entamait ses essais finaux.

[…]

De manière plus importante, l’ivermectine est aussi un concurrent à bas profit pour un nouveau produit de chez Merck contre la COVID-19, un médicament très cher antiviral, le molnupiravir, pour lequel Merck a la plus haute ambition financière. De manière ironique, le molnupiravir, formule quasi copie carbone, utilise un mécanisme d’action identique à celui de l’IVM. Ce nouveau médicament va se vendre 700 US$ par traitement, mais seulement si Merck tue son rival bon marché.

Prenons un moment pour considérer le pédigré du molnupiravir, parce que ce médicament a émergé d’un sombre marché noir d’espions, de profiteurs en bio-sécurité et de sous-contractants du Pentagone qui ont joué un rôle clef dans la militarisation et la monétarisation de cette pandémie COVID, vous les rencontrerez plus tard dans ce livre. L’officier de la CIA et développeur d’armes biologiques, Michael Callahan, une des personnes clef dans cette affaire du molnupiravir, a appelé ce groupe d’opérateurs d’armes biologiques de l’ombre son “club de la poignée de main secrète”. Le molnupiravir est un inhibiteur de protease qui reproduit les propriétés antivirales de l’IVM. A l’encontre de l’IVM, le molnupiravir a démontré des signes de sécurité si alarmants que quelques uns de ses co-développeurs à l’université Emory ont protesté contre son introduction dans la Phase I d’essais sur les humains.

Entre autres problèmes, ils citent la possibilité de mal-formations de naissance.

Le patron de Callahan, l’afficionado des armes biologiques et ex-sous-secrétaire au DHHS pour la préparation et réponse à l’urgence, Robert Kadlec, docteur en médecine et promoteur sans scrupule du processus de “gain de fonction”, ayant un pédigré militaire et de renseignement, qui construisit sa carrière en profitant de pandémies surexagérées, créa presqu’à lui seul le stock stratégique national (SSN) de 7 milliards de dollars et le géra comme un fief privé pour enrichir ses amis les gens de son cercle de connexions. Kadlec gère aussi le super secret comité P3CO au sein du NIH, qui donne le feu vert et ne refuse jamais les projets de recherche de “gain de fonction” pour armes biologiques du dr Fauci. Le “gain de fonction” se réfère à des expériences qui modifient intentionnellement un organisme pathogène pour créer la capacité de causer ou d’empirer une maladie, de la rendre plus contagieuse, et/ou de créer de nouveaux pathogènes se généralisant chez l’humain. 

[…]

En juin 2021, alors que la FDA et le NIAID remontaient l’opposition du cartel médical contre l’IVM, le HHS fut d’accord pour acheter 1,7 millions de traitement sur 5 jours de molnupiravir du laboratoire Merck pour 1,2 milliards de dollars, lorsque le médicament obtiendra l’accord de la FDA pour sa mise sur le marché, chose virtuellement garantie alors que Fauci est le roi du médicament à Washington.

[…]

Diaboliser l’IVM comme un “remède pour cheval” était bien entendu ironique étant donné que le NIAID développa initialement la thérapie de remplacement de Merck, le molnupiravir, comme un médicament pour cheval. De plus, appelé l’IVM un médicament pour cheval, c’est comme dire qu’un antibiotique est un médicament pour cheval.. Un grand nombre de médicaments de base, établis de longue date sont bien entendu, efficaces également chez les mammifères, parce qu’ils fonctionnent sur notre biologie partagée, commune. L’efficacité dévastatrice de l’IVM sur les infections par parasites et sa solide histoire médicale depuis 40 ans tant pour sa sûreté que son efficacité, en a fait également un des médicaments vétérinaires les plus prescrits, mais le prix Nobel décroché fut pour ces millions de fois qu’il aida les humains et les avertissements de sécurité à son encontre par le gouvernement étaient parfaitement idiots.

Comparez les résultats et la sécurité de l’IVM par rapport aux deux remèdes anti-COVID choisis par le dr Fauci, le remdesivir, que les infirmières en milieu hospitalier ont nommé “Run death is near”, (NdT : en français “sauvez-vous la mort est proche”, mais ça n’a ni la consonance, ni l’humour du jeu de mots existant en anglais avec cette expression…) et les vaccins anti-COVID. En 30 ans, l’IVM a été associée avec seulement 379 décès. Un impressionnant rapport de sécurité du nombre de décès par dose de 1 / 10 584 408. Par contraste, sur les 18 mois d’utilisation du remdesivir reçu en AUU, environ 1,5 millions de malades ont reçu le médicament pour 1499 morts rapportées soit un taux de 1/1000 doses. Dans le même temps, parmi les récipients des injections anti-COVID aux Etats-Unis durant les dix mois qui ont suivi leur mise en service, le rapport de décès par dose est de 1/13 250. Par conséquent l’IVM est des milliers de fois plus sûre que le remdesivir ou les injections COVID. La science nous indique de plus que l’IVM est bien plus efficace que les deux autres.

[…]

Malgré des affirmations d’empoisonnement de masse, un média local n’a pas pu trouver un seul cas de prise d’IVM ayant mené à la mort ou l’hospitalisation du malade. Les gens clairement ne mourraient pas d’une overdose d’IVM pour cheval. Ils ne mourraient certainement pas de l’IVM correctement prescrite et administrée par voie orale. Mais beaucoup de gens mourraient de COVID non traité !

[…]

Lorsqu’en septembre 2021, le populaire comédien et célèbre hôte de podcast Joe Rogan a annoncé qu’il avait vaincu la COVID en quelques jours en utilisant un cocktail de médicaments impliquant l’IVM, les médias de masse, le gouvernement et les intérêts pharmaceutiques se sont ligués pour le dénoncer, vilipender, diaboliser. Le programme de radio national NPR, qui a reçu 3 millions de dollars de la FBMG, s’est ajoutée à la meute et insinua de manière erronée que Joe Rogan avait pris des doses de cheval. Mais Rogan n’avait jamais pris de la pâte d’IVM vétérinaire. Il déclara avoir discuté avec plusieurs médecins qui lui conseillèrent de prendre le médicament. Il suivit leur conseil et guérit très rapidement.

[…]

Alors que les débuts du molnupiravir approchaient, la guerre contre l’IVM montait de plusieurs crans.

[…]

Le 28 septembre, le New York Times introduisit une nouvelle tactique : rapporter que la demande pour l’IVM de tous ces fadas qui essaient de traiter la COVID-19 avait créé une pénurie du médicament à but vétérinaire et que à tout moment, des animaux allaient commencer à souffrir.

Peter McCullough se moqua de la propagande : “L’IVM est une molécule qui est miraculeusement efficace contre les parasites et certaines infections virales en ayant de multiples voies dans ses mécanismes d’action. C’est une molécule. Elle ne se soucie pas de savoir si elle est utilisée par un cheval, une vache ou un humain. Les règles de la physique et de la chimie sont les mêmes quelques soient les espèces…

Le Dr Pierre Kory se rallie : “L’IVM possède des propriétés multiples. Elle fonctionne contre la COVID le long d’une multitude de voies différentes. En plus d’être anti-parasitique, elle a aussi de puissantes propriétés antivirales et protège même contre les dégâts causés par la protéine spike du virus SRAS-CoV-2.

[…]

IV – Le remdesivir

Anthony Fauci a eu besoin d’utiliser toute son aura et ses manœuvres bureaucratiques qu’il a maîtrisées durant son demi siècle au NIH, pour gagner l’accord de mise sur le marché par la FDA de son vain médicament, le remdesivir. Celui-ci n’a absolument aucune efficacité contre la COVID19 d’après toutes les études légitimes. Pire, c’est un poison mortel, un poison aussi très cher à 3000 US$ de prix de vente du traitement !

[…]

Le défi pour Fauci fut d’abord de tuer l’HCQ et l’IVM, car une reconnaissance par la FDA de ces deux médicaments aurait automatiquement détruit les ambitions de faire passer le remdesivir pour une Autorisation d’Utilisation d’Urgence (AUU)

[…]

Pourquoi le dr Fauci se préoccuperait-il de minimiser tout médicament qui pourrait entrer en concurrence avec le remdesivir ? Cela peut-il avoir quelque à faire avec le fait que le NIH et le NIAID venaient juste de dépenser 79 millions de dollars dans le développement du remdesivir pour Gilead Science, une entreprise dans laquelle la FBMG possède à hauteur de 6,5 millions de dollars d’actions ? La FBMG est aussi engagée dans d’autres accords de développement médicamenteux avec le laboratoire, incluant un co-financement de 55 millions de dollars dans un traitement pour le paludisme développé par Lyndra Therapeutics. Gates a aussi financé la promotion du truvada de Gilead au Kenya. Un autre associé de Gilead, l’US Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (l’USAMRIID) du Fort Detrick dans le Maryland, où le médicament fut étudié sur des singes, a aussi contribué au développement du remdesivir à hauteur de plusieurs millions de dollars.

[NdT : Gilead Science a eu pendant de longues années Donald Rumsfeld, ministre de la défense de George W. Bush en fonction lors des attentats du 11 septembre 2001, comme Chairman of the Board, la connexion Gilead, armée et haute sphère politique corrompue ne date pas d’hier…]

[…]

Après la disparition de la menace du virus zika [pour lequel le remdesivir fut déployé sans grand succès], le NIAID a mis quelques 6,9 millions de dollars dans l’identification d’une nouvelle pandémie contre laquelle redéployer le remdesivir. En 2018, Gilead entra le remdesivir dans un essai clinique financé par le NIAID contre le virus ébola en Afrique.

C’est pour cela que nous savons que Fauci était parfaitement au courant de la toxicité du remdesivir lorsqu’il orchestra son approbation par la FDA pour les malades de la COVID. Le NIAID sponsorisa le projet. Le dr Fauci avait un autre médicament incubé par le NIAID, le ZMapp, dans le même essai clinique, testant l’efficacité contre ébola ainsi que deux médicaments d’anticorps monoclonaux expérimentaux. Les chercheurs planifièrent d’administrer les quatre médicaments à des malades d’ébola en Afrique sur une période de 4 à 8 mois.

Mais 6 mois dans l’étude, le comité de révision de sécurité soudainement retira les deux médicaments de Gilead, le remdesivir et le ZMapp de l’essai. Il s’avéra que le remdesivir était extrêmement dangereux. En 28 jours, les patients qui furent soumis au remdesivir eurent des effets secondaires létaux, incluant l’arrêt de fonctionnement de plusieurs organes, sévère insuffisance rénale, choc septique et hypotension. 54% des patients du groupe remdesivir moururent, le plus haut taux de mortalité des quatre médicaments testés. Le médicament de Fauci, ZMapp, eut le second taux de mortalité à 44%

[…]

Mais tout antiviral breveté et réassigné qui était efficace contre la COVID pour sa prévention ou son traitement précoce (comme l’IVM et l’HCQ) pouvait tuer dans l’œuf tout son programme vaccinal parce que la FDA ne pourrait pas accorder une AUU pour ses injections. Le remdesivir était un remède inoculé en intra-veineuse (I.V), approprié pour l’administration à des malades hospitalisés déjà en stade avancé de la maladie. Il ne serait donc pas en concurrence avec les vaccins, permettant au dr Fauci de le soutenir sans compromettre son business principal. De plus, alors que l’IVM et l’HCQ étaient hors délai de brevet et disponibles de manière générique (hors marque), le remdesivir quant à lui avait l’avantage d’être toujours sous brevet et donc bien rentable. L’avantage de gros profits potentiels était impressionnant. Le remdesivir coûtait 10 US$ par dose à Gilead à la production. Mais en accordant une AUU à Gilead, les régulateurs pouvaient forcer la main  des assureurs privés, Medicare et Medicaid de payer quelques 3120 US$ par traitement, des centaines de fois le prix de production du médicament. Gilead Science avait prédit 3,5 milliards de recettes pour la seule année 2020.

Fauci n’a pas eu soudainement l’idée que le remdesivir pourrait marcher contre la COVID en janvier 2020. Dans une de ses extraordinaires visions, au début 2017, le dr Fauci paya 6 millions de dollars à son gourou du “gain de fonction”, Ralph Baric, microbiologiste à l’université de Chapel Hill Caroline du Nord, pour accélérer le remdesivir comme remède contre coronavirus au laboratoire de haute sécurité de Wuhan en Chine. Baric utilisa des cultures de coronavirus obtenus de chauve-souris par des virologistes chinois qui travaillaient avec l’Eco Heallth Alliance de Peter Dasrak, autre récipiendaire des largesses financières de Fauci. Ce dernier démontra son intérêt principal dans ces expériences en envoyant ses dévoués adjoints, Hugh Auchincloss en 2018 et Cliff Lane en 2020, pour négocier avec le gouvernement chinois et pour superviser les expériences de Baric au labo de Wuhan et ailleurs en Chine. Baric affirma que ses études sur les souris ont montré que le remdesivir ralentissait la réplication du virus SRAS-CoV-1, et que cela pourrait s’appliquer à d’autres coronavirus. Des chercheurs chinois au laboratoire de Wuhan à l’académie militaire des sciences de l’Institut Médical Militaire de l’Armée de Libération du Peuple, firent leur propre demande de brevet dans “le but de protéger les intérêts nationaux chinois”.

Début mars 2020, la Fondation Gates débloqua 125 millions de dollars de financements exonérés d’impôts pour soutenir les fabricants de médicaments pour le traitement des coronavirus.

[…]

Pour l’HCQ, le dr Fauci demanda des essais randomisés très structurés en double aveugle avec contrôle placebo et mit en garde contre l’utilisation de l’IVM comme traitement. Par contraste, Fauci donna le feu vert les études subséquentes sur le remdesivir dans lequel le groupe de contrôle n’avait pas reçu un véritable placebo. Au lieu de cela, les chercheurs de Fauci n’utilisèrent pas de placebo chez les patients plus avancés dans la maladie et donnèrent au reste des patients un “comparatif actif” contenant les mêmes agents de traitement que le protocole utilisés dans le remdesivir, simplement en substituant la substance sulfobutyl pour le remdesivir en tant qu’agent de test. L’utilisation de soi-disants “toxiques” ou “spiked” placebo aussi connus sous le vocable de “fauxcebos” (NdT: en français dans le texte], est un truc frauduleux que le Dr Fauci et ses chercheurs ont mis au point sur une période de 40 années de maquillage des effets secondaires graves de médicaments toxiques pour lesquels ils recherchaient une autorisation de mise sur le marché.

[…]

Les chercheurs en fait ont changé le point de clôture de l’essai deux fois dans un effort de créer une bien maigre illusion de bénéfice pour la santé. Les nouveaux points de clôture de Fauci ont permis au médicament de montrer un bénéfice, non pas d’augmenter les chances de survivre la COVID, mais de parvenir à écourter le passage en hôpital. Et pourtant, ceci également était une supercherie, parce qu’il s’avéra que presque deux fois plus de sujet remdesivir que de sujets soumis au placebo ont du être réadmis à l’hôpital après en être sortis., ce qui suggère que le temps de guérison de Fauci était du en fait, du moins en partie, à avoir laissé partir les malades soignés au remdesivir trop prématurément.

[…]

Avant que son étude [du Dr Cliff Lane du NIH] ne fut achevé ou révisée par les pairs et encore moins publiée, le dr Fauci apprit que The Lancet venait juste de publier une étude chinoise avec groupe de contrôle placebo qui montrait le remdesivir comme étant absolument inefficace à maintenir les malades avancés en vie OU à réduire la duré de leur hospitalisation. Plus important encore, le remdesivir ne diminuait en rien la présence du virus dans le sang ; pire encore, l’étude chinoise démontrait la toxicité mortelle du remdesivir. Les régulateurs chinois mirent un terme à cet essai à cause de ses effets létaux potentiels. Le remdesivir provoquait de graves conditions chez 12% des patients, comparé à 5% dans le groupe placebo. A l’encontre de l’étude du dr Fauci, l’étude chinoise était randomisée en double aveugle, avec un groupe de contrôle placebo réel, multi-centrée et peer reviewed, publiée dans le plus grand magazine scientifique au monde The Lancet. Toutes les donnés sous-jacentes étaient disponibles à la presse ou au public curieux et mal informé.

Par contraste, l’étude du dr Fauci avec le NIAID et Gilead Science était à ce stade, non publiée, non révisée par les pairs (peer-reviewed) et les détails en étaient soigneusement cachés. Elle employait un groupe placebo bidon et avait souffert d’un changement de protocole à mi-parcours. En avril, les Chinois annulèrent deux essais cliniques avec le NIAID en Chine parce que la Chine avait réussi à mettre fin à la pandémie COVID sur son sol et les chercheurs ne pouvaient plus identifier suffisamment de malades de la COVID pour participer à l’étude…

[…]

Le dr Fauci déclara à une presse bien crédule : “Les données montrent que le remdesivir à un effet positif clair et significatif en diminuant le temps de guérison.” Il affirma que son étude avait donc démontré que le remdesivir était très bénéfique contre la COVID et qu’il avait décidé qu’il ne serait pas éthique de refuser aux Américains les bénéfices de ce merveilleux médicament.. Il déclara qu’il mettait fin à l’étude et qu’il allait donné du remdesivir au groupe placebo. Le remdesivir serait donc le nouveau “standard de soin” contre la COVID-19. Tout ceci n’était bien entendu que mensonge.

[…]

Sur la base de la représentation de Fauci, le président Trump fit acheter le stock mondial entier de remdesivir pour les Américains. L’Union Européenne signa un “accord de livraison” avec Gilead en attente de 500 000 traitements.

Le jour d’après l’annonce du dr Fauci à la Maison blanche, l’université de Caroline du Nord publia un communiqué de presse intitulé : “Le remdesivir développé en association avec l’UNC-Chapel Hill, est efficace contre la COVID-19 dans des essais cliniques sur humains menés par le NIAID”. Le magicien du gain de fonction du dr Fauci, le dr Ralph Baric, a appelé cela “un grand changement pour le traitement des malades atteints de la COVID-19”.

[…]

La reconnaissance par la FDA du remdesivir comme le nouveau “traitement standard” pour la COVID veut dire que Medicaid et les compagnies d’assurance ne pouvaient légalement plus le refuser aux malades et devraient payer le prix exorbitant de Gilead sur un produit pour lequel le contribuable américain avait à ce moment là, dépensé quelques 85 millions de dollars pour son développement. Pour améliorer la situation financière de Gilead encore plus, les médecins et les hôpitaux qui n’utiliseraient pas le remdesivir pourraient maintenant être poursuivis en justice pour mauvaise pratique de la médecine, menant certains experts médicaux à penser que forcer l’utilisation de ce médicament inutile et dangereux sur les malades de la COVID a plus que certainement coûté la vie de quelques centaines de milliers de malades.

Comme nous le verrons plus tard, Fauci copia le script bien chorégraphié d’acquisition d’AUU depuis une formule qu’il développa durant ses premières années avec la recherche sur le SIDA, script qu’il réutilisa tout au long de sa carrière pour gagner des autorisations de mise sur le marché de médicaments inefficaces et dangereux. Encore et encore, il a mis un terme aux essais cliniques de ses médicaments dès que ceux-ci présentaient les premiers signes d’une toxicité cataclysmique.

[…]

Puis, le 19 octobre 2020, trois jours avant l’accord de la FDA sur le remdesivir, l’OMS publia une étude définitive sur le médicament impliquant 11 266 malades de la COVID dans 405 hôpitaux de 30 pays. La puissance de cette étude minimisa le projet Fauci / Gilead, qui avait recruté 1062 malades. Dans l’étude de l’OMS sur le remdesivir, celui-ci échoua à réduire la mortalité et échoua à réduire le besoin de mise en réanimation des malades OU le temps de leur hospitalisation. Les chercheurs de l’OMS ne trouveraient aucun bénéfices détectables pour le remdesivir et ils déconseillèrent son utilisation pour traiter les malades de la COVID-19.

[…]

Beaucoup de médecins pensent que le record de fatalités à la COVID dans notre pays [aux Etats-Unis] est au moins dû en partie à la vaste utilisation du remdesivir en 2020. “Nous avons eu le plus de morts au monde”, dit le Dr Ryan Cole. “C’est une question qui nous hante : combien de ces Américains furent des victimes du remdesivir?”

Pendant plusieurs mois, nous fûmes le seul pays au monde à traiter les malades de la COVID avec un médicament prouvé létal.

[…]

Le Dr Peter McCullough nous donne un résumé court, clair et concis : “Le remdesivir a deux problèmes en un : d’abord, il ne marche pas et ensuite il est toxique et tue les gens.

A suivre…

BonBrutetTuand

Injections ARNm mortifères : les gouvernements du monde vous mentent en long, en large et en travers (Comité des Médecins pour l’Ethique Covid)

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A diffuser… en long, en large et en travers (Résistance 71)

J’accuse ! Les “vaccins” ARNm sont mortels. Les gouvernements du monde entier sont des menteurs

Médecins pour l’Ethique du COVID

Septembre 2021

Source :
https://www.mondialisation.ca/jaccuse-les-vaccins-arnm-sont-mortels-les-gouvernements-du-monde-entier-sont-des-menteurs/5658518

Lettre ouverte urgente pour l’information de :

Tous les citoyens de l’Union européenne (UE), de l’Espace économique européen (EEE) et de la Suisse

Tous les citoyens du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord (Royaume-Uni)

Tous les citoyens des États-Unis d’Amérique (USA)

À:

L’Agence européenne des médicaments (EMA)

L’Agence de réglementation des médicaments et des produits de santé (MHRA)

La Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis

Centres for Disease Control and Prevention (CDC) 

De:

Médecins pour l’éthique Covid (D4CE)

20 juillet 2021

Chers Messieurs/Mesdames,

Les sources officielles, à savoir EudraVigilance (UE, EEE, Suisse), MHRA (Royaume-Uni) et VAERS (États-Unis), ont désormais enregistré plus de blessures et de décès dus au déploiement du vaccin «Covid» que de tous les vaccins précédents combinés depuis le début des enregistrements.

UE/EEE/Suisse jusqu’au 28 août 2021 – 23 252 décès liés à l’injection de Covid-19 et plus de 1,8 million de blessures, selon la base de données EudraVigilance.

Royaume-Uni jusqu’au 18 août 2021 -1609 décès liés à l’injection de Covid-19 et 1,165646 million de blessures, selon le programme de carte jaune de la MHRA.

États-Unis jusqu’au 20 août 2021 – 13 627 décès liés à l’injection de Covid-19 et 2,932001 millions de blessures, selon la base de données VAERS.

TOTAL pour l’UE/Royaume-Uni/USA38 488 décès liés à l’injection de Covid-19 et 6,262922  millions de blessures signalés à ce jour (30 août 2021).

Nota Bene : Il est important de souligner que les chiffres officiels ci-dessus (rapportés aux autorités sanitaires) ne représentent qu’un faible pourcentage des chiffres réels. De plus, des personnes meurent (et subissent des blessures) de manière quotidienne en raison des injections du vaccin et par conséquent les chiffres officiels sont évidemment plus élevés au moment de la rédaction – c’est-à-dire le 30 août, 2021 qu’aux dates limites indiquées ci-dessus, à savoir le 18 août 2021 (Royaume-Uni), 20 août, 2021 (États-Unis) et 28 août, 2021 (UE/EEE/Suisse).

Cette situation catastrophique n’a pas été rapportée par les médias au grand public, bien que les chiffres officiels ci-dessus sont disponibles.

Le préjudice encouru par les victimes du vaccin ARNm est désormais incontestable, et  conformément aux normes éthiques universellement acceptées pour les essais cliniques,  Médecins pour l’éthique Covid (D4CE) exige que le programme de vaccin « Covid » soit immédiatement discontinué.

La poursuite de ce programme en toute connaissance de cause des dommages graves et de la mortalité en cours, tant pour les adultes que pour les enfants, constitue un crime contre l’humanité/génocide dont les personnes reconnues responsables ou complices seront tenues responsables.

MESSAGE AU PEUPLE : Les gouvernements du monde entier mentent à vous les citoyens  qu’ils sont censés servir.

Bien cordialement,

Médecins pour l’éthique Covid

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La tambouille de Bill « la piquouze »…

Big Pharma, « science », injections OGM et casseroles au cul… Avoir confiance, vraiment ?… (F. William Engdahl)

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BigPharma_credo

Et nous devrions faire confiance en la “science” de l’industrie pharmaceutique ?

F. William Engdahl

Juillet 2021

url de l’article original:
http://www.williamengdahl.com/englishNEO29July2021.php

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Le patron à vie de l’agence américaine des maladies infectieuses le NIAID, Tony Fauci, a demandé à de multiples reprises que le public “fasse confiance à la science” alors qu’il fait passer sa propre opinion scientifique d’un bord à un autre. Ce qui n’est quasiment jamais mentionné dans les merdias occidentaux et pratiquement partout dans le monde, c’est l’historique scientifique des principaux géants pharmaceutiques fabricants de vaccins. Brièvement, ça touche le fond et est alarmant à l’extrême. Ceci devrait simplement amener les gouvernements à interdire de pousser pour l’utilisation d’injections expérimentales radicales non-testées sur leurs populations sans d’autres tests de long terme sur des animaux et autres afin d’en assurer toute la sécurité possible.

En avril dernier, alors que le programme “vaccinal” tournait à plein pot, le conseiller en chef de Biden pour la COVID, le vieillard Fauci de 80 piges, patron du National Institute of Allergy and Infectious Disease (NIAID) depuis 1984 (NdT : 37 ans à la tête d’un organe de contrôle du pouvoir, c’est digne du meilleur politburo ayant existé…), a annoncé que le Centre américain pour le contrôle des maladies (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) ont décidé d’ordonner une “pause” dans l’inoculation du “vaccin” de Johnson & Johnson (Janssen) afin d’examiner les rapports sur les caillots sanguins. Ils se trouvent qu’il n’y a eu que six cas rapportés de caillots sanguins sur les quelques septs millions de personnes qui ont reçu l’injection Janssen. Dans sa remarque à la presse, Fauci a déclaré : “Je pense qu’une des bonnes choses de ce système est que nous sommes dirigés par la science et aucune autre considération.” Il y a de bonnes raisons de questionner Fauci.

Ceci état supposé rassurer les gens en leur faisant remarquer que les autorités étaient super attentives avec les médicaments expérimentaux anti-covid, qui après tout, n’avaient jamais été testés en masse sur l’humain auparavant et n’avaient obtenus qu’une “autorisation d’exploitation temporaire d’urgence” estampillée dans l’autorisation provisoire de la FDA. Celle-ci très rapidement leva la “pause” et J&J accepta de diffuser par écrit que son vaccin pouvait causer des caillots sanguins.

Dans le même temps, les fabricants rivaux de ces injections, Pfizer et Moderna, tous deux utilisant un traitement génétique hyper-expérimental connu sous le vocable  d’ARNm, ne furent pas mis en “pause” par la “science” ce malgré que des centaines de milliers de cas de sévères réactions liées à leurs injections furent enregistrées, ceci incluant des données officielles faisant état de plusieurs milliers de décès liés aux deux injections, données archivées par le CDC et dans la base de données du VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System).

D’après le CDC, de tels évènements “adverses” post-vaccinatoires, incluant des chocs anaphylactiques, des thromboses avec syndrome de thrombocytopénie, de syndrome de Guillain-Barré, de myocardite, de péricardite et de mort. Pour la semaine du 16 juillet, le CDC et le VAERS ont rapporté un alarmant 9 125 morts depuis la fin décembre, liées à l’injection anti-covid. Jamais dans toute l’histoire un tel chiffre n’avait été associé à quelque vaccin que ce soit et pourtant le silence médiatique à ce sujet est simplement assourdissant.

Leur historique scientifique plombé

Le phrasé de Fauci est précis et délibérément manipulateur. Il suggère qu’il y a une chose bien déterminée que nous appelons “La Science”, comme un dogme religieux issu du Vatican, alors que la véritable méthode scientifique est faite de remise en question perpétuelle, de renversement d’hypothèses passées avec de nouvelles prouvées exactes, par l’ajustement systématique. Pourtant, lorsqu’on en vient à la “Science”, la poignée de quelques fabricants de vaccins, parfois appelés Big Pharma, un cartel ressemblant à celui du pétrole, ont un historique de fraude, de manipulation et de falsification de leurs propres tests, ainsi que de corrompre largement les médecins et les hauts-fonctionnaires de la santé publique afin de promouvoir leurs médicaments variés, ce malgré des résultats scientifiques prouvant une grande contradiction entre les faits et leurs dires sur la sécurité de leurs produits. Regarder de plus près ces géants pharmaceutiques se révèle toujours très instructif…

J&J 

Commençons avec la compagnie du New Jersey Johnson & Johnson. Le 21 juillet 2021, J&J et trois autres entreprises pharmaceutiques plus petites furent d’accord de payer un extraordinaire 26 milliards de dollars en dommages et intérêts à un groupe d’états américains pour leur rôle dans la cause du déclenchement d’une véritable “épidémie” d’addiction aux opiacés aux Etats-Unis. De cette somme, J&J en paiera 5 milliards. Le CDC estime en effet que l’utilisation de substances opiacées hautement addictives comme analgésiques a causé la mort d’au moins 500 000 personnes entre 1999 et 2019. J&J est accusé de pousser à l’utilisation de ces analgésiques tueurs en minimisant les risques d’addiction.

Ils le savaient.

La même J&J est impliquée dans une énorme bataille judiciaire pour avoir utilisé un carcinogène en toute connaissance de cause dans son célèbre talc pour bébé. En 2018, une enquête de Reuters trouva que J&J savait depuis des décennies que l’amiante, un carcinogène reconnu, se trouvait dans ses talcs pour bébé et autre produits cosmétiques. L’entreprise est rapporté considérer séparer légalement sa branche de talc pour bébé en une petite entreprise séparée qui déclarerait alors banqueroute afin d’éviter d’avoir à payer de très grosses sommes en dommages en intérêts. Le “vaccin” anti-covid J&J, au contraire des injections de Pfizer et Moderna, n’utilise pas d’altération génétique par ARNm.

Les deux gros fabricants de vaccins qui ont jusqu’ici les plus grosses parts de marché sont les deux activement promus par Fauci. Ils proviennent de Pfizer en alliance avec une petite entreprise allemande BioNTech sous le nom de Comirnaty et de l’entreprise de biotechnologie américaine Moderna.

Pfizer

Pfizer, un des plus gros marchands de vaccins au monde par les ventes, fut fondé en 1849 aux Etats-Unis. L’entreprise a aussi le plus lourd casier judiciaire concernant la fraude, la corruption, la falsification et les dégâts collatéraux prouvés. Une étude canadienne datant de 2010 nota que “Pfizer a été un “contrevenant habituel”, s’engageant avec persistance dans des pratiques de marketing corrompues et illégales, soudoyant des médecins et supprimant des résultats de tests compromettants.” Ceci est très sérieux. Notez également que Pfizer doit toujours rendre public les détails de ses études de vaccination anti-covid afin qu’elles soient étudiées de manière externe.

La liste des crimes de Pfizer s’est allongée depuis 2010. L’entreprise est couramment engagée dans des procédures judiciaires en relation avec son médicament digestif Zantac qui est contaminé avec une substance carcinogène. De plus, Pfizer a été condamné à la plus grande amende concernant l’industrie pharmaceutique en 2009 dans une affaire de 2,3 milliards de dollars pour publicité mensongère de ses médicaments Bextra et Celebrex et payant des pots-de-vin aux médecins complices. Pfizer a plaidé coupable sur le chef d’accusation de promouvoir quatre médicaments incluant Bextra “avec l’intention de tromper et de manipuler l’opinion”. Ils furent forcés de retirer de la vente des USA et de l’UE leur analgésique anti-arthrite Bextra, pour avoir causé des crises cardiaques, des embolies et de graves maladies cutanées.

Manifestement pour augmenter ses revenus, Pfizer paya illégalement des médecins pour l’utilisation “hors marque” de plus d’un de ses médicaments, ce qui eut pour effet que des patients furent blessés ou même moururent. Parmi ces médicaments figuraient Bextra (valdecoxib); Geodon (ziprasidone HCl) un psychotrope atypique ; Zyvox (linezolid), un antibiotique ; Lyrica (pregabalin), un médicament contre les crises d’épilepsie ; et son célèbre Viagra (sildenafil), un médicament contre le disfonctionnement érectile ; et Lipitor (atorvastatin), un médicament contre le cholestérol.

Dans un autre procès, des sous-traitants de Pfizer durent payer 142 millions de dollars et publier des documents d’entreprise qui montraient que ces entreprises faisaient la promotion illégale de la substance gabapentin pour son utilisation hors marque.

Des données révélées au gré de toute une série de procès aux Etats-Unis indiquent que la molécule était promue par l’entreprise comme un traitement de la douleur, des migraines et de la bipolarité, bien qu’elle ne fut pas efficace à traiter ces conditions et fut même toxique dans certains cas”, d’après Therapeutics Initiative, un groupe de recherche indépendant de l’université de Colombie Britannique au Canada. “Les procès ont forcé l’entreprise à diffuser toutes ses recherches sur le médicament, incluant celles qu’elle cachait.

En 2004, la succursale de Pfizer, Warner-Lambert, a du payer 430 millions de dollars pour lever des accusations criminelles et de responsabilité civile concernant des pratiques de marketing frauduleuses de son médicament Neurontin, son nom pour la molécule gabapentin. Originellement créée pour le traitement de l’épilepsie, Neurontin fut aussi promu hors-label pour le traitement de douleur neurologique et en particulier pour les migraines et la condition de bipolarité. Neurontin pour une utilisation non approuvée a fait quelques 90% des 2,7 milliards de dollars de ses recettes en 2003.

Un rapport du quotidien du New York Times divulgua en 2010 que Pfizer “… paya environ 20 millions de dollars à 4500 médecins et autres professionnels médicaux aux Etats-Unis pour consultation et agir en porte-parole de l’entreprise dans les derniers mois de 2009.” Pfizer paya 15,3 millions de dollars en plus à 250 centres médicaux universitaires et autres groupes de recherche pour des essais cliniques. Dans la pratique légale américaine, il est très rare que des exécutifs entrepreneuriaux se livrant à des malversations criminelles soient poursuivis en justice. Le résultat en est que les amendes infligées par les tribunaux peuvent être traitées comme passant en “perte et profit” pour les entreprises de ce milieu cynique. En huit ans de malfaisance répétée jusqu’en 2009. Pfizer a accumulé juste sous la barre des 3 milliards de dollars en pénalités légales civiles, ce qui constitue à peine un tiers des revenus nets annuels.

En 2020, alors que son injection anti-covid était en cours de développement, Pfizer a payé 13 150 000 US$ en frais de lobbying auprès du congrès des Etats-Unis et des officiels de Washington entre autres. Il est aussi notable que la Fondation Bill & Melinda Gates possède des actions à la fois de Pfizer et de ses associés dans la recherche de la technologie ARNm, l’entreprise allemande BioNTech.

Moderna

Le troisième producteur de vaccins aujourd’hui avec cette autorisation temporaire d’urgence de la FDA est l’entreprise Moderna, de Cambridge dans l’état du Massachussetts. Elles n’a pas encore été poursuivie pour pratiques illégales, contrairement à Pfizer et J&J, Mais ceci n’est dû qu’au fait de ses seulement 10 ans d’existence avant son autorisation d’utilisation de la technologie ARNm et que dans ses dix ans d’existence, elle a échoué d’obtenir des approbations de la FDA pour mettre sur le marché ne serait-ce qu’un seul de ses médicaments et ce malgré bien des tentatives infructueuses. Quoi qu’il en soit, Moderna a un signe néon rouge qui clignote au-dessus de sa tête disant “conflit d’intérêts” et ceci devrait mettre tout en pause.

Moderna et le NIAID de Fauci ont collaboré sur le développement de vaccins utilisant la plateforme technologique ARNm de Moderna et de la NIAID de Fauci sur bien des virus à couronne (coronavirus) ceci incluant le MERS, ce depuis au moins novembre 2015. Le 13 janvier 2020, avant même que le premier cas d’un supposé nouveau coronavirus de Wuhan en Chine ne fusse détecté aux Etats-Unis, le NIAID de Fauci et Moderna signèrent un accord de coopération mis à jour les décrivant ensemble comme co-propriétaires d’un coronavirus basé sur une technologie ARNm et qu’ils avaient finalisé une séquence pour l’ARNm-1273, le vaccin maintenant utilisé et injecté à des millions de personnes pour supposément contrer le nouveau coronavirus.

Ceci veut dire que le NIAID de Fauci et sans doute Fauci lui-même (ce qui est permis aux Etats-Unis) se positionnèrent pour tirer d’énormes bénéfices financiers de l’autorisation d’urgence pour l’injection Moderna, pourtant, Fauci n’a jamais admis publiquement ce conflit d’intérêt lorsqu’il fut le conseiller de Trump pour le Corona, ni ne le fait en tant que conseiller de Biden.

Dix jours plus tard, le 23 janvier 2020, Moderna annonça qu’il avait reçu un financement du CEPI, un fond vaccinal créé par Bill Gates et sa fondation ainsi entre autres que le Forum Economique Mondial de Davos, afin de développer un vaccin à ARNm contre le coronavirus de Wuhan.

Moderna fut créée par un entrepreneur capitaliste, Noubar Afeyan avec un professeur de Harvard, Timothy A. Springer et d’autres personnes. En 2011, Afeyan recruta l’homme d’affaire français et ancien exécutif d’Eli Lilly, Stéphane Bancel, comme CEO du nouveau Moderna. Ce malgré le fait qu’il n’ait aucune expérience de gestion d’une entreprise médico-pharmaceutique, ni aucun diplômes scientifique ou médical ; Bancel se liste lui-même comme co-propriétaire de centaines de patentes de Moderna liées à la fabrication de vaccins. Début 2013, la toute petite entreprise Moderna recevait des financements du Pentagone pour le développement de sa technologie ARNm. Jusqu’à 2020 et son autorisation de mise sur le marché pour urgence sanitaire de sa technologie par la FDA, quelques 89% des revenus de l’entreprise Moderna étaient constitués de fonds gouvernementaux sous une forme ou une autre. Elle est très très loin d’être une entreprise expérimentée en la matière et pourtant elle tient dans ses mains le destin de millions et de millions de personnes, mais hé ! Comme le dit Fauci : “Faites confiance à la science !”

En février 2016, un éditorial de la revue “Nature” critiqua Moderna pour ne publier aucun article peer reviewed sur sa technologie à la différence de la plupart des entreprises de biotechnologie. L’entreprise demeure ultra-secrète. Cette même année 2016, Moderna a reçu 20 millions de dollars de la Fondation Gates pour son développement de vaccin utilisant la technologie ARNm.

Jusqu’à réception de son autorisation d’utilisation d’urgence pour son produit anti-COVID à ARNm en décembre 2020, Moderna n’avait enregistré que des déficits depuis sa création. Puis, curieusement, juste après une réunion personnelle de Bancel avec le président Trump lors de laquelle il lui annonça que Moderna pourrait avoir un vaccin prêt à l’emploi dans les mois qui venaient, la chance de Moderna tourna…

Le 15 mai, Trump annonça la création de l’opération “Warp Speed” pour mettre en place une campagne de vaccination anti-COVID19 pour décembre. Le chef du groupe présidentiel était un ancien de trente ans de GlaxoSmithKline (GSK), Moncef Slaoui, qui rejoignit le comité directeur de nulle autre que Moderna. Sous le “Warp Speed” de Slaoui, quelques 22 milliards de dollars du contribuable américain furent aloués à différents fabricants de vaccins.

Moderna fut un des principaux récipiendaires des fonds, un conflit d’intérêt flagrant et éhonté qui ne sembla gêner absolument personne. Slaoui dirigea 2 milliards de dollars de fonds gouvernementaux vers sa vieille entreprise, Moderna, afin de fabriquer le vaccin anti-covid à ARNm. Ce n’est que sous une pression publique que Slaoui se décida de vendre ses actions de Moderna, ce qui lui fit gagner des millions de dollars sur le dos du rôle de leader joué par Moderna dans la création du vaccin anti-covid. Peu de temps après avoir démissionné à la fin de la présidence Trump, Slaoui fut viré par sa vieille firme GSK, d’une de ses succursales, après que furent dressées contre lui des accusations de harcèlement sexuel sur une femme du personnel.

En février 2020, le secrétaire (NdT: les ministres aux States sont appelés “secrétaires d’état”…) de Trump aux services de santé, Alex Azar, invoqua le Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP) pour exempter Moderna, Pfizer, J&J et tout autre fabricant covid dans le futur de toute responsabilité émanant de dégâts physiques ou de morts causés par leurs vaccins contre le coronavirus de Wuhan. La protection et immunité légales durent jusqu’à 2024. Si les vaccins sont si bons, efficaces et sûrs, pourquoi donc avoir besoin de cette mesure ? Azar est l’ancien patron du géant du médicament américain Eli Lilly. Il y a donc de sérieuses questions qui doivent être posées ouvertement en ce qui concerne tous ces fabricants de vaccins qui poussent tous maintenant des formules expérimentales génétiques hautement controversives et controversées dans des expérimentations humaines sans précédent.

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Lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

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Passe-sanitaire et tutti quanti… Tout était prévu AVANT janvier 2020 !… (Claude Janvier)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, Internet et liberté, média et propagande, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , on 30 juillet 2021 by Résistance 71

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Ceci ne fait que confirmer ce que nous disons : la solution à la crise synthétique COVID n’est en rien médécale mais POLITIQUE, parce que tout ce qui a été entrepris dans ce domaine n’est que décision POLITIQUE reposant sur une science vaudou au mieux…
~ Résistance 71 ~

Passe sanitaire : preuve que tout était déjà prévu avant janvier 2020 !

Claude Janvier 

30 juillet 2021

C’est bête de faire des erreurs, surtout venant de Santé publique France. Surtout qu’ils n’en sont pas à leur coup d’essai. Dans leur rapport – Covid-19 : point épidémiologique hebdomadaire du 1er avril 2021 -, le nombre total des décès dus au virus est publié page 41: « Entre le 1er mars 2020 et le 30 mars 2021 : Total de 95 364 décès de patients Covid ». Puis, page 43, tableau 10 : « 14 471 décès imputés au Covid-19 seul, 27 031 décès imputés au Covid-19 mais avec une ou plusieurs comorbidités, donc un total de 41 502 décès ». Entre les deux totaux, une différence de 53 862 décès. Ah ! quand même…Le vrai total n’a donc plus rien à voir avec le bourrage de crâne politico/médico/médiatique. (1)

Que se passait-il en janvier 2020 ?

– 98 cas de Coronavirus dans le monde, pas de décès. (2)

– Le vaccin contre la Covid-19 avait fait l’objet de recherches alors que la pandémie coronavirus (Covid-19) n’avait pas commencé. Ainsi, le cofondateur de BioNTech a expliqué, le 20 novembre 2020, que son vaccin a été conçu en quelques heures dès janvier 2020. (Le Point du 12/12/2020 : … Et il n’aura pas fallu beaucoup plus de temps au cofondateur de BioNTech pour élaborer le précieux élixir. Ugur Sahin aurait en effet conçu le vaccin en quelques heures à la mi-janvier, selon The Journal, un podcast du Wall Street Journal…) (3)

– 13 janvier 2020 : en France, la « sinistre » de la santé du moment, Agnès Buzyn, et son directeur général de la santé, Jérôme Salomon, classe l’hydroychloroquine dans les substances vénéneuses. Étrange, car ce médicament, utilisé depuis plusieurs décennies, a fait ses preuves sur le marché. Commercialisé sous le nom de Plaquenil, il ne devient disponible que sur ordonnance.

Revenons au présent. Tout a commencé il y a quelques jours, lorsque mon épouse et moi, avions décidé de se prendre quelques jours de vacances en Bretagne, histoire de se changer les idées face à la morosité covidienne et aussi, d’en profiter un peu avant l’imposition du passe sanitaire liberticide.

Vendredi 23 juillet 2021 : nous étions devant l’entrée du château de Fougères, quand mon regard fut attiré par une affiche indiquant : « Pass Sanitaire Covid-19 ». Déjà ! Diantre, rapide comme l’éclair ce gouvernement. Pour augmenter le SMIC et les retraites, ça traîne, mais pour ce genre de choses, ça carbure. En plus, sabotage de la langue française. Pourquoi écrire « Pass » en anglais ? Pour avoir l’air branché ? Allô M. Blanquer ? Un commentaire ?

Je prends donc en photo la fameuse affichette que l’on va devoir subir dans notre champ de vision jour après jour et qui orne déjà toutes les entrées des sites et des établissements recevant du public. Peu de temps après, un ami me demande si j’ai regardé la date en bas à gauche du document. Je jette un œil, et je découvre avec stupeur ceci : W-0333-001-2003-20 janvier 2020. Suivi du logo ne pas jeter sur la voie publique.

En recherchant sur Google la référence ci-dessus et la date, je tombe directement sur Santé publique France. Organisme d’Etat. Notez au passage qu’ils ont reçu 3,831 milliards d’euros de subvention pour 2021 – oui, vous lisez bien – pour 625 agents. Déjà en 2020, cet organisme avait reçu une dotation exceptionnelle de 860 millions d’euros. (4). Tout cet argent pour pondre des rapports alarmants, soporifiques, souvent mensongers et des affiches Covid. Démentiel !

J’ai mis sur mon compte Twitter, https://twitter.com/JANVIERClaude1, ma photo de l’affiche. Beaucoup de rififi à ce propos sur le réseau, surtout de la part d’une quantité non-négligeable de trolls macronistes.

Florilège :

– C’est la loi concernant le fait de ne rien jeter sur la voie publique, loi 2003, modifiée en 2020.

– C’est la référence d’un papier utilisé en imprimerie, et je cite un commentaire : « ce marquage/logo a été imprimé en 01/2020 et depuis, il sert pour chaque nouvelle impression. »

– La photo est fausse.

– Vous avez retouché la photo avec l’ordinateur.

– Insultes diverses.

Sauf que, d’après mes recherches, cela ne correspond en rien :

– avec la loi de ne rien jeter sur la voie publique.

– avec une erreur de l’imprimerie nationale : parce que les affiches sont conçues en PDF virtuels avec la date indiquée dessus, donc des documents créés au fur et à mesure des événements par Santé publique France et téléchargeables pour qui veut.

– C’est une vraie photo : il suffit d’aller sur Google et de trouver avec le numéro cette affiche toujours disponible chez un bon nombre d’institutions départementales et régionales. (5)(6)

Cette affiche a été conçue par Santé publique France le 20 janvier 2020. Pas de doute possible. Or, à cette date, personne n’avait entendu parler du passe sanitaire, ni des confinements, ni du masque obligatoire, etc. A chacun d’en tirer des conclusions.

Toute cette coronafolie était donc bien prévue avant janvier 2020. Dur à avaler certainement pour beaucoup, mais le fait est là. Tout ce cinéma infernal afin de permettre à quelques labos d’empiler des milliards d’euros. Répugnant.

Il est plus que temps de faire le ménage, d’établir une véritable démocratie et de retrouver notre souveraineté.

Claude Janvier

Ecrivain, polémiste.

Co-auteur avec Jean-Loup Izambert du livre « Le virus et le président ». IS édition. https://www.is-edition.com/actualites/parution-le-virus-et-le-president-jean-loup-izambert-claude-janvier/

Notes :

(1) https://www.santepubliquefrance.fr/maladies-et-traumatismes/maladies-et-infections-respiratoires/infection-a-coronavirus/documents/bulletin-national/covid-19-point-epidemiologique-du-1er-avril-2021

(2) Source : OMS, Déclaration du Directeur général de l’OMS sur le Comité d’urgence du RSI sur le nouveau coronavirus (2019-nCoV), 30 janvier 2020.

(3) https://www.lepoint.fr/sante/covid-19-comment-le-cofondateur-de-biontech-a-concu-un-vaccin-en-quelques-heures-12-12-2020-2405471_40.php

(4) Tec hopital 24 février 2021 la dotation exceptionnelle de Santé publique France pour 2021 passe à 3,8 milliards d’euros pour la « prévention épidémique et la constitution de stocks stratégiques  » – …de caviar et de champagne peut-être car à ce tarif-là…

(5) https://museum.nantesmetropole.fr/files/live/sites/museum/files/06_Venir/Passe_Sanitaire_20210721.pdf

(6) https://www.gouvernement.fr/sites/default/files/affiche_a4_m1_0.pdf

covid-mettre-le-masque-et-la-plume

L’ex-VP de Pfizer, Michael Yeadon garantit des effets indésirables graves et de nombreuses morts via les injection ARNm

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, pédagogie libération, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , on 28 Mai 2021 by Résistance 71

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Injectés ARNm : La Rencontre

Dr Michael Yeadon, ex-vice-président de Pfizer : “Je vous garantis que les vaccins ARNm COVID causeront des effets indésirables graves et des morts massives »

Réseau International

21 mai 2021

Source:
https://reseauinternational.net/lancien-vice-president-de-pfizer-dr-michael-yeadon-je-vous-garantis-que-les-vaccins-a-arnm-covid-causeront-des-reactions-indesirables-graves-et-des-morts-massives/

Les médecins pour l’éthique du COVID-19 (Doctors for COVID-19 Ethics)- un groupe de plus de 160 experts médicaux indépendants dans le monde – ont lancé un avertissement sévère aux agences de santé publique au sujet des vaccins expérimentaux contre le COVID-19, qualifiant ces vaccins de « inutiles, inefficaces et dangereux » et susceptibles de conduire à « décès en masse prévisibles », selon un rapport de Lifesitenews.

Le groupe Doctors for COVID-19 Ethics, cofondé par l’ancien vice-président de Pfizer, Michael Yeadon, compte plus de 160 experts médicaux du monde entier parmi ses signataires. Parmi les autres membres fondateurs figurent le professeur Sucharit Bhakdi MD, ancien président de l’Institut de microbiologie médicale et d’hygiène de l’Université Johannes Gutenberg de Mayence, en Allemagne, et le Dr Wolfgang Wodarg, ancien chef du comité de la santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Les médecins ont écrit plusieurs lettres à l’Agence européenne des médicaments sur les problèmes du vaccin COVID-19 et sont confrontés à la censure… Le groupe peut également être trouvé sur Twitter

Dans leur lettre du début du mois, Doctors for COVID-19 Ethics a souligné les graves implications sanitaires des vaccins pour les personnes en bonne santé et pour les malades, affirmant que les vaccins « ne sont pas sûrs, ni pour les receveurs, ni pour ceux qui les utilisent ou autorisent leur utilisation ».

Ils ont souligné les risques de « perturbations létales et non létales de la coagulation sanguine, y compris les troubles hémorragiques, la thrombose cérébrale, les accidents vasculaires cérébraux (AVC) et les crises cardiaques », « une aggravation des maladies dépendant des anticorps », des réactions auto-immunes et les effets potentiels des « impuretés vaccinales dues à des normes de fabrication précipitées et non réglementées ».

« Contrairement aux affirmations selon lesquelles les troubles sanguins post-vaccination sont « rares », de nombreux effets secondaires courants du vaccin (maux de tête, nausées, vomissements et « éruptions cutanées » de type hématome sur le corps) peuvent indiquer une thrombose et d’autres anomalies graves », ont déclaré les experts.

« Les événements de coagulation qui reçoivent actuellement l’attention des médias ne sont probablement que la « pointe d’un énorme iceberg ».

« En raison de l’amorçage immunologique, les risques de coagulation, de saignement et d’autres événements indésirables peuvent augmenter avec chaque revaccination et chaque exposition au coronavirus intermédiaire« , a ajouté Doctors for COVID-19 Ethics. « Au fil du temps, que ce soit des mois ou des années, cela rend à la fois la vaccination et les coronavirus dangereux pour les groupes d’âge jeunes et en bonne santé, pour lesquels la non vaccination COVID-19 ne pose aucun risque substantiel », ont-ils soutenu.

« Tout comme le tabagisme pourrait causer le cancer du poumon sur la base des premiers principes, tous les vaccins à base de gènes peuvent provoquer des troubles de la coagulation sanguine et de la coagulation, en fonction de leurs mécanismes moléculaires d’action », ont-ils déclaré. « Dans le même ordre d’idées, des maladies de ce type ont été observées dans tous les groupes d’âge, entraînant des suspensions temporaires de vaccins dans le monde ».

« Depuis le déploiement du vaccin, l’incidence du COVID-19 a augmenté dans de nombreuses régions où les taux de vaccination sont élevés. En outre, plusieurs séries de décès par COVID-19 se sont produites peu de temps après le début des vaccinations dans les résidences pour personnes âgées », ont déclaré les médecins. « Ces cas peuvent être dus non seulement à une amélioration dépendante des anticorps, mais aussi à un effet immunosuppresseur général des vaccins, ce qui est suggéré par la fréquence accrue de l’herpès zoster chez certains patients ».

« Quel que soit le mécanisme exact responsable de ces décès signalés, nous devons nous attendre à ce que les vaccins augmentent plutôt que de diminuer la létalité du COVID-19 », ont-ils poursuivi….

« Les vaccins sont expérimentaux par définition. Ils resteront dans les essais de phase 3 jusqu’en 2023. Les destinataires sont des sujets humains ayant droit au consentement éclairé libre en vertu de Nuremberg et d’autres protections, y compris la résolution 2361 de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe et les conditions d’autorisation d’utilisation d’urgence de la FDA ».

Les médecins pour l’éthique du COVID-19 (Doctors for COVID-19 Ethics ) ont particulièrement mis en garde contre les vaccins, comme ceux produits par Pfizer et Moderna, qui reposent sur la nouvelle méthode de vaccination à l’ARNm.

« L’expérience initiale pourrait suggérer que les vaccins dérivés d’adénovirus (AstraZeneca/Johnson & Johnson) provoquent des effets indésirables plus graves que les vaccins à ARNm (Pfizer/Moderna). Cependant, lors d’injections répétées, le premier induira bientôt des anticorps contre les protéines du vecteur adénovirus », selon les médecins. « Ces anticorps neutraliseront ensuite la plupart des particules virales du vaccin et provoqueront leur élimination avant qu’elles ne puissent infecter des cellules, limitant ainsi l’intensité des lésions tissulaires ».

« En revanche, dans les vaccins à ARNm, il n’y a pas d’antigène protéique à reconnaître par les anticorps. Ainsi, quel que soit le degré d’immunité existant, l’ARNm du vaccin atteindra sa cible – les cellules du corps », ont-ils déclaré. « Ceux-ci exprimeront alors la protéine de pointe (spike) et subiront par la suite l’assaut complet du système immunitaire ».

« Avec les vaccins à ARNm, il est pratiquement garanti que le risque d’événements indésirables graves augmentera à chaque injection successive ».

« Leur préférence apparente par rapport à ces derniers [vaccins à ARNm] est préoccupante au plus haut degré ».

« Dans la plupart des pays, la plupart des gens seront désormais immunisés contre le SRAS-CoV-2 », ont également noté les experts, soulignant que le coronavirus a un taux de survie estimé à 99,8% dans le monde. « Quelle que soit la gravité de la maladie, ils disposeront désormais d’une immunité suffisante pour être protégés d’une maladie grave en cas de nouvelle exposition. Cette majorité de la population ne tirera AUCUN bénéfice de la vaccination ».

Pour les personnes à risque d’infection sévère, le virus reste traitable, ont déclaré les Médecins pour l’éthique du COVID-19. « Une convergence de preuves indique qu’un traitement précoce avec des médicaments existants réduit l’hospitalisation et la mortalité d’environ 85% et 75%, respectivement », ont-ils expliqué, soulignant « de nombreux médicaments anti-inflammatoires, antiviraux et anticoagulants éprouvés, ainsi que des médicaments monoclonaux anticorps, zinc et vitamines C et D ».

« L’immunité naturelle des cellules T offre une protection plus forte et plus complète contre toutes les souches de SRAS-CoV-2 que les vaccins, car l’immunité naturellement amorcée reconnaît plusieurs épitopes viraux et signaux costimulateurs, et pas simplement une seule protéine (spike) », ont-ils poursuivi.

La lettre des médecins a également démenti les affirmations selon lesquelles la vaccination est nécessaire pour empêcher la propagation du virus par une infection asymptomatique.

« Les vaccins ont été présentés comme un moyen de prévenir une infection asymptomatique et, par extension, une “transmission asymptomatique” », ont déclaré les Médecins pour l’éthique du COVID-19. « Cependant, la « transmission asymptomatique » est un artefact de procédures et d’interprétations de test PCR invalides et peu fiables, conduisant à des taux élevés de faux positifs. Les preuves indiquent que les personnes asymptomatiques positives à la PCR sont des faux positifs en bonne santé, et non des porteurs ».

Le groupe a cité une étude chinoise portant sur près de 10 millions de personnes, qui a révélé que les porteurs asymptomatiques de COVID ne transmettent pratiquement jamais le virus. « En revanche, les articles cités par le Center for Disease Control pour justifier les allégations de transmission asymptomatique sont basés sur des modèles hypothétiques et non sur des études empiriques », ont-ils déclaré. « En clair, les vaccins ne sont pas nécessaires pour prévenir une maladie grave ».

Les experts ont également exprimé des inquiétudes quant à l’efficacité des vaccins COVID-19, déclarant qu’« aucune donnée longitudinale à moyen ou long terme » ne prouve l’efficacité du vaccin. Ils ont critiqué les essais de vaccin contre le coronavirus, observant que l’Agence européenne des médicaments « a noté du vaccin Comirnaty (Pfizer mRNA) que les cas graves de COVID-19 « étaient rares dans l’étude et que des conclusions statistiquement certaines ne peuvent pas en être tirées ».

« Le calcul bénéfice-risque est donc clair, les vaccins expérimentaux sont inutiles, inefficaces et dangereux ». « Urger la vaccination pour « protéger les autres » n’a donc aucun fondement en fait », conclut leur lettre, offrant un avertissement qui donne à réfléchir à ceux qui poussent les vaccins.

« Les acteurs autorisant, contraignant ou administrant une vaccination expérimentale contre le COVID-19 exposent les populations et les patients à des risques médicaux graves, inutiles et injustifiés », ont-ils déclaré. « Les fabricants de vaccins se sont exonérés de toute responsabilité légale pour les événements indésirables pour une raison. En cas de décès et de dommages dus aux vaccins, la responsabilité incombera aux personnes responsables de l’autorisation, de l’administration et/ou de la coercition des vaccins via des passeports vaccinaux, dont aucun ne peut être justifié par une analyse risques-avantages sobre et fondée sur des preuves ».

Le Dr Michael Yeadon est devenu un problème pour la mafia médicale dominante qui continue d’insister sur le fait que la « pandémie » est réelle – et que les vaccins expérimentaux sont non seulement « nécessaires » mais aussi « sûrs et efficaces ».

Les références de Yeadon ne peuvent être remises en question – et son expérience interne avec Pfizer le place dans une position pratiquement inattaquable pour être une voix faisant autorité sur ce sujet.

Si les médias n’étaient pas complices de ce programme de dépeuplement de masse en cours, les terribles commentaires du Dr Yeadon feraient la une des journaux 24h/24 et 7j/7 – au lieu de cela, ses articles sont effacés même des archives Internet, ce démontre encore plus leur importance.

Le Dr Yeadon a précédemment souligné qu’il n’y a pas d’explication rationnelle quant à la raison pour laquelle les autorités « préféreraient » les vaccins à ARNm dangereux et problématiques aux vaccins à base d’andénovirus – à moins que l’intention de leurs promoteurs ne soit de tuer et de mutiler autant de personnes que possible, puis être en mesure de nier que le vaccin avait quelque chose à voir avec les décès.

Le fait que Yeadon pense que les vaccins contre l’adénovirus sont moins susceptibles de tuer autant de personnes que les vaccins à ARNm de Moderna et Pfizer explique en grande partie pourquoi les vaccins contre l’adénovirus AstraZeneca et Johnson & Johnson ont été retirés dans de nombreux pays en raison de « problèmes de sécurité ».

En retirant ces vaccins, le public aura bien sûr le sentiment qu’il peut « faire confiance » à son gouvernement et à sa responsabilité de le protéger – alors qu’en fait, ces vaccins sont retirés afin que le public soit obligé de prendre les vaccins ARNm bien plus dangereux, et dont les effets secondaires dévastateurs sont bien plus durables et n’apparaîtront pas avant la soi-disant troisième vague de la « pandémie ».

Il est également intéressant de noter que ce rapport confirme quelque chose d’autre que nous avons rapporté auparavant, à savoir que, grâce à notre réponse immunitaire naturelle au coronavirus, la plupart d’entre nous développons une immunité à long terme des cellules T sans le vaccin.

Malgré ce fait, personne ne prend la peine d’obtenir un simple test d’anticorps pour savoir s’il est déjà immunisé contre les lymphocytes T contre le coronavirus avant d’obtenir un vaccin dont il n’a même pas besoin – et pourrait le tuer.

Pour découvrir à quel point les intentions sont corrompues derrière les « recommandations » vaccinales et les passeports obligatoires, voyons s’ils sont prêts à accepter des tests positifs d’anticorps au lieu de la vaccination – étant donné que l’immunité naturelle est plus efficace que la vaccination.

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Voir nos pages :

« Coronavirus, guerre contre l’humanité » et « COVID19 du mythe aux statistiques et des stats au scandale »

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Professeur Raoult « Effets des vaccins et corruption » (vidéo)

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nwo-covid-19-vaccin
Thérapie Génique mortifère

 

Résistance 71

 

15 mai 2021

 

A l’instar d’un nombre croissant de médecins, experts et scientifiques à l’échelle planétaire, nous pensons qu’il convient de ne plus appeler ces chimères génétiques appliquées aujourd’hui sur la population mondiale dans ce qui est une gigantesque expérience de labo planétaire, « vaccins » mais thérapie génique. Les cocktails injectables non testées des labos Pfizer/BioNTech, AstraZeneca, Moderna, Johnson & Johnson ne sont que ça: des expériences génétiques (criminelles ?) illégales menées sur le plus grand cobaye humain possible: la population de l’humanité !

Vidéo du professeur Raoult « Effets des vaccins et corruption » :

Voir nos pages : « Coronavirus, guerre contre l’humanité » et « Du mythe aux statistiques et des stats au scandale »

 

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