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COVID19 et génocide à l’arme biologique ARNm : un rapport de Pfizer à la FDA et CDC en février 2021 mentionnait le carnage des injections ARNm chez les femmes enceintes et les nourrissons… Ils savaient, ce crime contre l’humanité est totalement prémédité (Naomi Wolf)

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Résistance 71

5 mai 2023

Ceci résume ce qui est dit dans l’entretien qu’a eu Naomi Wolf sur le Stew Peters Show :

Naomi Wolf (Ph.D, Oxford), jourmaliste, activiste, auteure de 5 livres dont « The Myth of Beauty » (1991) a été l’invité du Stew Peters Show il y a quelques jours où elle a partagé quelques informations supplémentaires sur le génocide planétaire COVID / ARNm en cours. Nous avons traduit et publié récemment un article de Naomi Wolf divulguant depuis les rapports Pfizer les 11 points clefs concernant l’arme biologique ARNm maintenus au secret jusqu’à récemment. Elle divulgue plus d’information sur les effets secondaires drastiques voire mortels qu’ont les injections à ARNm soi-disant « anti-CIVID19 » sur les femmes enceintes, leurs fœtus et leurs nouveaux nés.
Tout ceci émerge de documents internes de Pfizer qui furent l’objet d’un rapport à la FDA et au CDC aux Etats-Unis à partir de documents que Pfizer demanda être classés confidentiels pour 75 ans, ce qui fut refusé par un juge fédéral et ordonné pour diffusion et analyse immédiates.
Le rapport mentionne que dès le début 2021, en février pour être précis, la FDA et le CDC savaient depuis un rapport de Pfizer sur leurs essais cliniques des injections à ARNm sur des femmes enceintes, que ces injections présentaient de graves dangers pour la vie humaine, la grossesse des femmes enceintes et les fœtus ainsi que les bébés.
3500 experts aux Etats-Unis lisent toujours en ce moment mêmes les dizaines de milliers de pages des rapports et documents de Pfizer et de leurs essais cliniques.
En février 2021, il y a donc 2 ans et 3 mois de cela, Pfizer stipulait que les injections ARNm posaient de graves dangers pré et post natals, pour les femmes enceintes injectées, leurs fœtus et les bébés qu’elles allaitaient. La directrice du CDC aux Etats-Unis déclara 3 jours après avoir reçu un rapport de Pfizer à ce sujet que les « injections ´´étaient sûres et efficaces » pour les femmes enceintes et le CDC s’engagea dans une vaste campagne d’injection ARNm pour les femmes enceintes et les nourrissons. La directrice du CDC savait les dangers encourus. Cette décision d’aller de l’avant ne peut être qualifiée que de crime contre l’humanité. L’opération injections ARNm fut intentionnellement mise en place pour tuer, rendre malade ou sévèrement handicaper des millions de personnes, compris femmes enceintes et nouveaux nés…
La FDA et le CDC savaient… Personne ne peut plaider l’ignorance, car les dates sont concordantes. Il s’agit d’un crime de meurtre avec préméditation, c’est à dire en terme légal : un assassinat, de surcroit en bande organisée et de masse, tout cela défini à Nüremberg.
Le document de Pfizer est aussi très explicite sur les contacts des femmes pré et post grossesses avec des hommes injectés à l’ARNm, les nano-particules se diffusant via les fluides corporels et notamment le sperme.
Le rapport fait état de nouveaux-nés souffrant de grandes détresses respiratoires notamment de pneumothorax (poches d’air entre la plèvre et le poumon), conditions qui est en hausse partout dans les décès post-natal dans le monde. 19% des bébés allaités par leurs mères ont développé de graves effets secondaires indiquant que les nanoparticules toxiques passent aussi dans le lait maternel. Il y a donc exposition via le lait maternel.
La FDA et le CDC ont poussé les femmes enceintes à se faire injecter ainsi que les enfants. Ces deux organismes savaient de par le document de Pfizer ce que risquaient les mères et les enfants.
A 12’30 dans la vidéo, Naomi Wolf déclare que de tous les intervenants lanceurs d’alerte, elle fut celle la plus réticente à dire que cela était prémédité et qu’il s’agissait d’un génocide, car elle n’avait pas de claires preuves sous les yeux. Elle déclare que suite à ce rapport, la preuve est là et qu’il n’est plus question de nier l’intention de nuire. Elle ajoute que l’expérience fut faite et mise en place pour s’assurer que les bébés meurent. Pour Naomi Wolf, ce rapport de Pfizer à la FDA / CDC est la preuve, le « smoking gun », l’arme du crime encore fumante qui prouve l’intention de nuire et donc l’assassinat de masse / génocide en cours.

La vidéo de Naomi Wolf chez Stew Peters ci-dessous :

https://stewpeters.com/video/2023/05/fda-pfizer-are-baby-killers-pfizer-knew-shots-caused-fetal-deaths-spontaneous-abortions/

Les données concernant les injections à l’arme biologique à ARNm-COVID19 montrent qu’elles sont 45 fois plus mortelles que toutes les injections anti-grippales depuis 1990 (CHD et Résistance 71)

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Une des choses les plus importantes est la suivante : arrêter d’appeler ces injections à ARNm des “vaccins”… Ce ne sont pas des “vaccins”, mais des ARMES BIOLOGIQUES, tous les brevets enregistrés suite aux recherches entreprises pour leur création ainsi que celle, chimérique, du soi-disant “virus” SRAS-CoV-2 à l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill, le confirment.
Nous avons affaire ici à une massive attaque biologique sur l’humanité depuis 2019, des millions de personnes sont mortes par arme biologique ARNm et il est temps d’appeler un chat un chat, surtout lorsque tous les documents justifiant cet étiquetage de “guerre biologique contre l’humanité” existent et sont disponibles… Robert F. Kennedy Jr et son association Child Health Defense qui a publié l’article ci-dessous, refuse de franchir ce cap sémantique et LEGAL pourtant vital. Karen Kingston demande depuis des semaines à être interviewée sur sa chaîne pour  apporter les preuves factuelles et historiographiques de l’évidence que nous avons affaire à une attaque biologique. RFK Jr refuse jusqu’ici de la recevoir, ce qui pose une question simple : pourquoi ? Et aussi pourquoi continuer de parler de “vaccination” ? Ceci explique sans doute cela… Pas clair tout ca, pas clair. De plus RFK Jr est un avocat, il lui suffit de lire les brevets déposés depuis plus de 10 ans pour comprendre de quoi il retourne et changer sa stratégie, mais il continue à focaliser sur des boucs émissaires comme Fauci et Gates, qui ne sont que des maîtres-d’œuvre d’une vaste planification de dépopulation par arme biologique… Nous nous devions de mettre ceci en évidence, car quand on voit l’affaire sous cet angle, tout le reste ne semble être que petite bière et diversion potentielle. Le personnage le plus suspicieux dans l’entourage de RFK Jr est le Dr Robert Malone, qui est “l’inventeur”  revendiqué de la technologie ARNm et qui clame que Pfizer serait inattaquable légalement à cause de ses contrats avec le Pentagone. S’il y en a un qui en sait beaucoup sur le sujet, c’est lui et de manière forte opportune, il se retrouve dans l’entourage immédiat de Kennedy, qui dans la foulée annonce sa candidature pour l’investiture “démocrate” dans le prochain grand cirque électoral yankee…

Vous avez dit bizarre ?…

~ Résistance 71 ~

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7 milliards de morts sur ordonnance ?…

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Les données montrent qu’il y a eu 45 fois plus de décès après l’injection de COVID en seulement 2 ans que pour l’ensemble des décès liés au vaccin antigrippal depuis 1990.

Les auteurs d’une méta-analyse évaluée par des pairs et portant sur les effets indésirables du vaccin COVID-19 aux niveaux national et international au cours des deux premières années de son déploiement ont déclaré que leurs résultats soulignaient l’importance de réévaluer les politiques de santé publique qui encouragent l’injection de masse universelle et les rappels multiples pour tous les groupes démographiques.

The Defender

14 avril 2023

Url de l’article en français :

https://childrenshealthdefense.org/defender/les-donnees-montrent-quil-y-a-eu-45-fois-plus-de-deces-apres-linjection-de-covid-en-seulement-2-ans-que-pour-lensemble-des-deces-lies-au-vaccin-antigrippal-depuis-1990/?lang=fr

Le coût de l’injection d’un vaccin COVID-19 de Pfizer ou de Moderna à des personnes en bonne santé, “en particulier à des enfants”, “l’emporte sur les avantages revendiqués, bien que non validés”, selon les chercheurs qui ont analysé les données relatives aux effets indésirables provenant de plus de 10 systèmes de surveillance réglementaire et d’auto-déclaration au cours des deux premières années de la mise en œuvre du vaccin COVID-19.

“Notre méta-analyse des effets indésirables des vaccins au niveau national et international souligne l’importance de réévaluer les politiques de santé publique qui promeuvent l’injection de masse universelle et les rappels multiples pour tous les groupes démographiques”, ont déclaré les auteurs d’une étude évaluée par des pairs publiée ce mois-ci dans l’International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research.

Eliana Romero, Ph.D.,directeur de la recherche clinique à la Fondation Neurodiversité,, Shawn Fry,fondateur et directeur scientifique de la Fondation pour la neurodiversité, et Brian Hooker, Ph.D., P.E., directeur scientifique de Children’s Health Defense et professeur agrégé de biologie à l’université Simpson de Redding, en Californie, sont les auteurs de l’article.

Les chercheurs ont examiné les effets indésirables spécifiquement liés à la santé cardiovasculaire et à la fertilité – tels que la myocardite et les anomalies menstruelles – qui n’ont pas été pris en compte lors des “analyses de sécurité accélérées” effectuées dans le cadre du “processus d’approbation accéléré qui a permis aux fabricants d’accélérer la mise sur le marché de leurs produits”, ont-ils déclaré.

Ils ont analysé les données du Système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) – le principal système financé par le gouvernement pour le signalement des réactions indésirables aux vaccins aux États-Unis, dont il a été démontré qu’elle ne rapportait que 1% des événements d’effets indésirables réels des vaccins – et la Base de données épidémiologiques médicales de la défense (Defense Medical Epidemiology Database, DMED), la base de données des événements médicaux pour tous les militaires américains d’active et de réserve.

Les auteurs ont également examiné les données provenant d’autres systèmes de surveillance réglementaire et d’auto-déclaration, notamment le V-safe After Vaccination Health Checker, le système de signalement Yellow Card du Royaume-Uni, Public Health Scotland, le ministère israélien de la santé et Natural Cycles App.

Selon M. Hooker, ces données mettent en évidence “l’augmentation spectaculaire des effets indésirables associés au vaccin COVID-19 “.

Après avoir effectué des analyses statistiques minutieuses, les auteurs ont conclu qu’il y avait beaucoup plus de rapports d’effets indésirables après la vaccination par COVID-19 qu’après la vaccination contre la grippe ou la coqueluche.

Les chercheurs ont également constaté “une augmentation statistiquement significative du nombre de consultations hospitalières chez le personnel militaire” après l’introduction du vaccin COVID-19 par rapport à la période précédant cette introduction, et “une augmentation de l’incidence des affections thromboemboliques, telles que les anomalies menstruelles, la myocardite et les accidents vasculaires cérébraux après la mise en œuvre de l’obligation d’injection du COVID, par rapport aux cinq années précédentes”.

Les chercheurs ont vérifié leurs conclusions en les comparant à des rapports similaires provenant d’autres systèmes de surveillance réglementaire et d’autodéclaration, notamment EudraVigilance, Eurostat, les assureurs maladie allemands et l’Office for National Statistics du Royaume-Uni.

Outre les augmentations statistiquement significatives des effets indésirables des vaccins, les données ont montré des augmentations “très statistiquement significatives” de la “morbidité spécifique” et de la “mortalité toutes causes confondues”, a déclaré M. Hooker au Defender.

“Ces résultats ne doivent pas être ignorés”, a-t-il ajouté.

Plus de 45 fois plus de décès après l’injection de COVID que tous les décès liés au vaccin antigrippal combinés depuis 1990

Les chercheurs ont constaté que le nombre de décès signalés liés au vaccin COVID-19 à ARNm était plus de 45 fois supérieur au nombre de décès par dose de vaccin signalés pour l’ensemble des vaccins antigrippaux depuis 1990.

Ils ont également constaté une incidence plus élevée de problèmes menstruels, de myocardite et d’événements cérébrovasculaires après la vaccination COVID-19 qu’après la vaccination contre la grippe, comme le montre la figure 1A :

Les chercheurs ont également comparé les effets indésirables signalés dans le VAERS après les vaccins COVID-19 aux effets indésirables signalés après les vaccins contre la grippe et la coqueluche.

Ils ont montré le pourcentage de rapports totaux attribués à des décès, pour les vaccins COVID-19, grippe et coqueluche, comme le montre la figure 1B : (NdR : voir les graphes dans l’article original en Français)

Si les tendances des taux de myocardite se poursuivent, “nous verrons des pics dans les taux de mortalité attribués à l’augmentation de la myocardite documentée ci-dessus, ainsi que dans le nombre de jeunes adultes par ailleurs en bonne santé qui ont besoin de greffes pour survivre, avec toutes les complications associées à une telle greffe”, ont déclaré les auteurs.

Les tendances des données DMED reflètent les tendances des données VAERS et d’autres données de surveillance, qui ont montré une augmentation spectaculaire de nombreuses affections en 2021 après le lancement du vaccin COVID-19 par rapport aux cinq années précédentes.

Les chercheurs ont également souligné que le 1er février 2022, le sénateur Ron Johnson (R-Wis.) a écrit une lettre au secrétaire américain à la défense Lloyd J. Austin III pour lui demander si le ministère américain de la défense (DOD) avait connaissance des données du DMED.

“Si tel est le cas, a indiqué M. Johnson dans sa lettre, veuillez expliquer les mesures prises par le ministère de la Défense pour rechercher les causes profondes de l’augmentation de ces diagnostics.

Les vaccins COVID ne sont pas aussi “inoffensifs” que le prétendent les médias

Romero, l’auteur principal de l’article, a déclaré que la recherche n’avait pas été menée “pour une cause” ou “avec l’espoir prédéterminé d’obtenir des résultats spécifiques”.

Mme Romero a déclaré qu’au départ, elle n’avait “aucun scrupule” à se faire vacciner contre le COVID-19, mais il lui est rapidement apparu “impossible de ne pas entendre toutes les oppositions à ce sujet et, étant toujours une chercheuse dans l’âme, j’ai décidé d’y donner suite”.

Romero est titulaire d’un doctorat en génétique moléculaire et humaine et a travaillé avec certains des plus grands neurogénéticiens du monde.

“Je suis une scientifique jusqu’au bout des ongles”, a déclaré Romero au Defender. “J’ai aussi le syndrome d’Asperger, donc je ne suis pas vraiment faite pour dire autre chose que la vérité.

Mme Romero a commencé à trouver “de plus en plus de preuves que les vaccins n’étaient pas aussi inoffensifs que les médias essayaient désespérément de nous en convaincre”, dit-elle, et elle s’est sentie obligée de partager ce qu’elle découvrait avec d’autres.

Mme Romero, qui a 20 ans d’expérience dans l’étude des aspects génétiques et biologiques de diverses maladies au Baylor College of Medicine, au Children’s Hospital of Pennsylvania, à l’université Johns Hopkins et dans plusieurs laboratoires privés, a déclaré avoir utilisé “tous les moyens disponibles” et “s’être efforcée de normaliser mes données, de comparer des pommes avec des pommes et d’effectuer tous les calculs dont j’avais connaissance pour tester la validité des données présentées”.

“Le document n’a pas pour but de fausser l’opinion de qui que ce soit dans un sens ou dans l’autre”, a souligné Mme Romero. “Son seul objectif est de s’assurer que les gens disposent de toutes les informations dont ils ont besoin pour prendre les meilleures décisions possibles pour leur santé”, a-t-elle déclaré.

“Les gouvernements, les institutions, les scientifiques et les médecins doivent fournir à la population TOUTES les informations nécessaires pour que les individus puissent prendre eux-mêmes des décisions en toute connaissance de cause.

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Lectures complémentaires :

Notre page mise à jour depuis 2019 : “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

« Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique », RFK Jr, PDF de notre traduction de son livre

“SRAS-CoV-2 / COVID-19, injectons ARNm, l’attaque biologique contre l’humanité depuis 2019” (Karen Kingston, compilation, PDF)

Microsoft Word - SRN et al (1)

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Injections ARNm = Attaque biologique sur l’humanité depuis 2019 !!

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Au delà de l’arme biologique des injections ARNm déployée contre l’humanité depuis 2020… La légende du vaccin (avec Jean-Yves Jézéquel)

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“La cause première de la maladie est en nous, toujours en nous.”
~ Antoine Béchamp, 1883 ~

Excellente analyse toujours en cours de Jean-Yves Jézéquel qui se devait d’être faite et publiée pour alimenter la pensée critique et son aboutissement final qu’est la (r)évolution sociale.
Aujourd’hui, il doit être évident pour tout le monde que nous avons été et sommes toujours victimes d’une attaque nano-bio-technologique de masse avec les injections ARNm anti-SRAS-CoV-2 / COVID19, mais au-delà de ce crime en cours dont le dénouement est incertain pour l’humanité, nous devons aussi nous poser la question fondamentale sur les vaccins en général : que sont-ils ? D’où sortent-ils et sont-Ils sûrs et efficaces ?
En répondant à ces questions, il est inévitable de (re)tomber dans l’éternel débat Antoine Béchamp-Louis Pasteur, qui finalement devra réhabiliter Béchamp comme sans doute un des tous plus grands chercheurs et scientifiques de l’histoire de l’humanité et faire tomber en disgrâce Pasteur l’imposteur, plagiaire et responsables des trois plus grandes erreurs dirigeant la médecine allopathique moderne comme le démontre Jézéquel ci-cessous.
De fait, la médecine a été kidnappée par les intérêts particuliers de l’industrie pharmaceutique (chimique et consorts) pour qui la santé publique n’est en rien une mission mais une rente qui dit demeurer ferme et définitive quoi qu’il arrive. Pasteur en fut un de ses premiers VRP. Pour ce faire, l’industrie s’empêtre depuis l’époque Pasteur dans un tissus de mensonges et de falsifications nécessaires à sa survie et son succès commercial. Il ne tient une fois de plus qu’à nous d’y mettre fin par la pensée et l’éducation critiques, ennemies jurées de l’establishment étatico-marchand dominant.

“Pasteur fit une sage remarque lorsqu’il en appela au verdict du temps pour juger un scientifique. Et de fait, Béchamp, avec cette assurance de génie, ne perdit jamais espoir quant à ce jugement final. Le “Moniteur scientifique” nous dit : “Ceux de sa connaissance, qui se souciaient de lui et l’entouraient, n’ont jamais douté qu’un jour justice lui fut rendue.” […] Je soumets au tribunal de l’opinion publique l’affirmation que Pierre Jacques Antoine Béchamp, personnifia un de ces génies auquel le monde de la science doit tant sans qu’il le sache forcément, constituant ainsi un chapitre perdu de l’histoire de la biologie.”
~ Ethel D. Hume, “Béchamp ou Pasteur ?”, 1923 ~

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ATTENTION DANGER… ARME NANO-TECHNO-BIOLOGIQUE !

La légende du vaccin

Jean-Yves Jézéquel

Février-Mars 2023

Source : https://www.mondialisation.ca/la-legende-du-vaccin/5675524

Introduction

La médecine allopathique, celle qui s’est imposée en France dans les années 40 par une loi vichyste, rendant illégale toute autre approche de la santé et du soin, s’est laissée séduire par une fallacieuse « évidence » de l’observation, et aujourd’hui, plus que jamais, elle est absolument convaincue d’avoir raison. 

Il y a bien entendu de nombreux excellents médecins qui ont un esprit ouvert, intelligent et qui sont intéressés notamment par les médecines alternatives, les ayant parfois adoptées dans leur pratique médicale… Nous voulons ici parler de la caste médicale en tant que telle et non pas de médecins qui peuvent être d’ailleurs de véritables héros dans les temps actuels !

Concernant la caste allopathique, celle-ci affiche des certitudes qui font désormais partie du corpus dogmatique de la « science » médicale et les étudiants en médecine doivent impérativement réciter le catéchisme de la doctrine allopathique, notamment le chapitre sur les vaccins, pour entrer dans la secte et mériter, à la fin de leur conditionnement, le nom prestigieux de médecins ! Le petit catéchisme rouge de la secte vichyste allopathe, considère toute critique du vaccinalisme comme hérétique et conduit le contrevenant à l’orthodoxie allopathique vers les bûchers de la répression totalitaire ! Les médecins se montrant critiques à l’égard de la doctrine vaccinale peuvent avoir de gros ennuis avec l’Ordre des médecins qui veille sur l’orthodoxie de la pratique médicale comme l’Inquisition veillait sur l’orthodoxie du dogme catholique !

Tout comme les inquisiteurs étaient absolument convaincus d’une course du Soleil autour de la Terre, la médecine allopathe pense que  le vaccin est la solution miracle, « scientifique », qui permet de forcer le système immunitaire de l’humain à produire le stock indispensable d’anticorps, car, pense-t-elle, cette production d’anticorps n’est pas déclenchée naturellement dès l’intrusion du virus dans le corps, ce virus n’étant pourtant pas affaibli, comme dans le vaccin, mais en pleine force de sa virulence !!!

Galilée démontrait scientifiquement que ce qui paraissait « évident » à l’observation sommaire et fallacieuse, n’était pas la vérité, lorsqu’on se donnait la peine de regarder la réalité plus attentivement ! Bien qu’ayant effectivement raison, (c’est la Terre qui tourne autour du Soleil), Galilée était cependant condamné par les savants de son époque et il dû se rétracter en acceptant de reconnaître les sottises des savants, comme vérité incontestable et non critiquable, sous peine de bûcher !

Avec la médecine vichyste allopathe, nous en sommes tout à fait au même point, c’est-à-dire à une mentalité qui nous ramène à plus de 4 siècles en arrière !

On se souviendra « ad vitam aeternam » des nombreuses contre-vérités radotées par les médecins de plateaux TV vendus aux conflits d’intérêts et de ceux qui étaient muets, pétrifiés, menacés pour l’avenir de leur carrière, pour leurs revenus, pour leur subsistance…

Nous savons tous comment, dans cette crise du coronavirus, des médecins et le personnel soignant restés honnêtes, ont été maltraités, sanctionnés, violemment condamnés à la mort sociale et à la mort tout court en étant censurés, sanctionnés, suspendus, dans l’impossibilité de travailler, ni de chercher même un autre emploi pour survivre !

Le monde médical à travers ses « autorités », s’est révélé être un monde hautement sectaire, hautement tyrannique, hautement pervers… et hautement criminel !

Dans la crise de la Covid-19, les bien-portants « asymptomatiques », pourtant déclarés obligatoirement « infectés », ne développaient aucun symptôme, aucun signe de maladie, rien, et devenaient les principaux « responsables » de la diffusion du virus, puisqu’ils représentaient les 3/4 des contaminés théoriques !

Des grands professeurs de médecine s’échinaient à dénoncer ces « malades clandestins », « dangereux pour les autres », « coupables d’un délit d’illusion de bonne santé », mais qu’une vaccination massive pourrait racheter !

A partir de là, les « autorités sanitaires » allaient organiser la terreur par la culpabilisation et les statistiques grossièrement manipulées et systématiquement falsifiées. Une médecine totalitaire allait exiger des politiques qu’ils appliquent leurs décisions pourtant entièrement fondées sur plusieurs mensonges y compris scientifiques ! Avec le recul, l’étude attentive des chiffres qui a été faite par de nombreux experts de ces questions de santé publique, a démontré qu’une corruption des autorités sanitaires était mondiale, organisée, orchestrée par les responsables de cette perversion, comme on l’a très largement commenté depuis trois ans, les sources multiples d’informations ayant anéanti le narratif mensonger officiel, de manière irréversible. (Cf., le gros dossier Covid de http://www.mondialisation.ca)

Il n’est plus suffisant de bêler stupidement l’accusation de « complotisme », la gueule enfarinée et convaincu que la sottise soit devenue une preuve d’intelligence !

L’épidémiologie a voulu recourir aux équations mathématiques pour fonder son discours et dorer son blason au prestige de la science des sciences. C’est de cette manière que les statistiques devinrent « la vérité incontestable » quasi « révélée » ! Précisément, c’est sur cette « fiction mathématique » que repose le précepte « bénéfices/risques » qui est le fondement des prescriptions médicales et des mesures que l’organisation sanitaire impose arbitrairement à la société. 

L’épidémiologiste Britannique, Neil Ferguson, travaillant sur les modélisations mathématiques des épidémies, annonçait le 16 mars 2020, que, si rien n’était fait, « la Grande-Bretagne dénombrerait jusqu’à 550 000 morts de la Covid-19, les Etats-Unis, 1,2 million et la France, 3 % de sa population, soit 2 millions de personnes ! Macron allait se baser avec le « Conseil Scientifique » pour la gestion de la crise, sur les prédictions de Ferguson et sur les conseils de « McKinsey & Company », cela lui permettant aussitôt de répandre largement la terreur sur la population…

La théorie des vaccins en particulier s’est largement inspirée de la peur, des fantasmes, des archaïsmes culturels, d’anciennes terreurs habitant la profondeur de l’inconscient collectif habilement manipulé à l’occasion de cette crise organisée ! Mais nous devons examiner tout cela depuis le début de l’histoire des vaccins qui prétendait consacrer l’entrée de la médecine dans la modernité, la faisant accéder enfin au prestige du monde scientifique !

Nous devons recourir aux historiens qui sont là pour accomplir leur tâche consistant à débroussailler les archives de l’histoire, en les examinant attentivement pour nous restituer l’objectivité de la réalité factuelle qu’elles contiennent.

C’est ainsi que nous allons découvrir comment la grande Histoire nous fait le récit bien différent de celui qui a été convenu par la secte médicale allopathique ayant éliminé tous les concurrents et ceux qui pouvaient, par leur pratique, démontrer à quel point la légende du vaccin était mensongère, abusant des millions de gens depuis qu’elle s’est imposée comme « vérité scientifique incontestable » et faisant des millions de victimes, sans que sa criminalité ne soit jamais remise en cause !

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1 – Pasteur et l’Histoire

Le médecin anglais Edward Jenner a été le premier à inoculer la vaccine, maladie spécifique des bovins, afin de protéger les hommes de la variole ou petite vérole, mais c’est Pasteur (1822-1895) qui reste le père de la vaccination, à cause de ses travaux mieux vulgarisés et diffusés sur la mise au point d’un vaccin. Pasteur exploitait à la perfection les travaux des autres. Il s’informait de tout ce qui pouvait se faire et utilisait cette connaissance pour orienter ses propres recherches.

A cause des années de sacrifices consentis, de solitude et de travail acharné dans l’isolement de son laboratoire de recherche, à cause des fortunes dépensées pour ses recherches, Pasteur avec son entourage, y compris les responsables de la santé publique, estimèrent qu’il n’était pas possible d’accepter le bilan négatif final qu’il tirait de ses expériences. Ils estimaient qu’ils avaient hissé la médecine au niveau des sciences et qu’ils lui avaient donné un statut de respectabilité jamais atteint auparavant. Accepter la reconnaissance de l’échec n’était plus envisageable : un retour en arrière n’était pas tolérable !

C’est ainsi que le dogme pasteurien s’est ancré dans les esprits devenus aveugles et incapables de reconnaître l’imposture. Pasteur a été convaincu de maquiller les résultats d’expériences qui infirmaient sa théorie vaccinale, dans les publications présentées à l’Académie de médecine. Dans un second temps, il s’est habilement approprié des travaux d’autres chercheurs, comme ceux d’Antoine Béchamp (1816-1908), l’un des plus grands savants du XIXème siècle, médecin biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et pharmaceutique de la faculté de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique à l’Université de Paris, puis doyen de la Faculté libre de Lille.

(Cf., « Pour en finir avec Pasteur », Dr Eric ANCELET, éditions Marco Pietteur, 1998 ; Marc Menant, « L’inquiétante histoire des vaccins », Plon, 2022, 265 pages.)

C’est Béchamp qui avait démontré la validité des hypothèses de Claude Bernard sur la valeur du terrain propre à chaque individu et c’est lui qui fut le premier à comprendre la cause microbienne des pathologies infectieuses. Son œuvre est quasi inconnue de nos jours, parce qu’elle a été éclipsée, détournée au profit des intérêts personnels de Pasteur qui en a récupéré les lauriers.

On connaît les doutes de Pasteur et de son entourage sur l’affaire du petit Joseph Meister qu’il aurait sauvé de la rage, car Pasteur savait bien que beaucoup d’éléments grevaient la validité de cette expérience. Trop de facteurs objectifs pouvaient remettre en cause la certitude de Pasteur lui-même et c’est ce qui arriva pour le chercheur qui savait pertinemment que les conditions de l’expérience de vaccination n’étaient ni réunies, ni satisfaisantes, ni finalement concluantes.

Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux et fut rapidement abandonné, moyennant d’ailleurs un conflit tenace avec son principal collaborateur le Dr Roux qui n’avait pas apprécié un détournement de « paternité » par Louis Pasteur qui lui avait dérobé ses échantillons et ses notes. On peut dire que le jeune Meister avait échappé à une issue fatale désastreuse de cette expérience du vaccin contre la rage. L’histoire réécrite par les protagonistes de cette expérience a retenu cet épisode de vaccin comme un succès, mais en oubliant volontairement de dire que ce vaccin avait multiplié les décès dans le contexte de la rage.

Entre 1869 et 1872, Pasteur énonçait trois principes de base erronés qui servent pourtant encore aujourd’hui de fondement à la vaccination !

Le premier estimait que l’asepsie règne dans nos cellules : la cellule est propre, tous les microbes sont exogènes (c’est-à-dire qu’ils viennent de l’extérieur) et attaquent les cellules depuis l’extérieur. Ces germes ont une existence indépendante des organismes vivants. 

Le second c’est que chaque maladie correspond à un agent spécifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prémunir grâce à un vaccin. 

Le troisième disait que l’immunité s’obtient par la production d’anticorps en réaction à l’introduction d’antigènes contenus dans le vaccin et ces anticorps confèrent une protection.

Nous savons depuis longtemps que ces trois postulats sont faux. Les découvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font toujours semblant d’ignorer ces travaux. On se demande pourquoi ?

Nous vivons en symbiose avec les micro-organismes et si nous les considérons comme nos ennemis, nous entrons dans une logique de guerre qui met en péril notre système immunitaire. Car, ce sont des bactéries qui maintiennent notre équilibre biologique et qui ne deviennent pathogènes qu’au moment où notre système immunitaire est perturbé en ne remplissant plus ses fonctions naturelles. 

Quant aux virus, ils se reproduisent uniquement à partir de leur matériel génétique et ne sont que des parasites des cellules. Notre corps peut abriter de nombreux virus sans que nous ne soyons malades pour autant. Il est donc essentiel de comprendre que tout ce monde microbien ou viral n’est pas un ennemi qu’il faut éradiquer à tout prix, tout en croyant que seul importe le terrain devant être préservé de ses véritables agresseurs.

A la naissance, le système immunitaire n’est pas encore mature. Pour survivre, le nourrisson est protégé par les anticorps maternels. Cette immunité héritée est remplacée par une immunité personnelle au fur et à mesure que l’enfant rencontre des germes, microbes ou virus, particulièrement grâce aux maladies infantiles. C’est pour cette raison que les vaccinations apparaissent comme des éléments perturbateurs incontrôlables et particulièrement inopportuns.

Le Pr J. Tissot, professeur de physiologie générale au Muséum d’histoire naturelle, mettait déjà en garde le monde médical bien avant le délire vaccinaliste actuel :

« L’immunité par vaccination ne s’acquiert qu’en conférant à l’individu la phase chronique de la maladie qu’on veut précisément éviter, phase chronique qui comporte, dans un avenir proche ou très éloigné, de redoutables complications ». (Cf., Pr J. Tissot, « Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les éloignent »).

De plus, il faut le répéter : les vaccinations ne procurent pas la même immunité que les maladies elles-mêmes et les taux d’anticorps évalués après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux qui sont évalués après les maladies. L’immunité conférée par la maladie est définitive, ce qui n’est pas le cas par la médiation de la vaccination. Cela entraîne de graves problèmes lorsque la personne humaine vieillit : les maladies deviennent plus graves chez les personnes âgées, à cause du retard des capacités immunitaires provoqué par les vaccins.

Ils sont légions, dans le corps médical et dans le personnel soignant, comme dans la population, à penser sincèrement que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations et refusent catégoriquement de remettre en cause leur certitude dogmatique héritée de la légende Pasteurienne. Pourtant, l’objectivité historique et scientifique démontre, sans l’ombre d’un doute, que les épidémies ayant ravagé nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins font semblant d’ignorer, car il est impossible de ne pas savoir !

Comme on va le voir, les courbes de décroissance des maladies débutent toujours bien avant les vaccinations rendues obligatoires lorsque les maladies ont pratiquement disparu !

Les fanatiques du vaccin ne se demandent jamais pourquoi ces épidémies ne continuent pas de sévir dans les pays qui n’ont pas pratiqué les vaccinations ou qui les ont abandonnées. Ces gens ne se demandent jamais pourquoi l’épidémiologie et la presse scientifique internationale attestent que des épidémies surgissent encore dans des pays où la couverture vaccinale est totale ? !

Les immunologistes s’interrogent toujours sur les poussées épidémiques survenant dans les populations vaccinées contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtérie et la coqueluche. Ce constat est une évidence bien dérangeante pour les partisans de la vaccination, car cela veut dire clairement la faillite de la vaccination.

Dans Médecine praticienne (N°467), le Pr Lépine constatait à son tour :

« Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations, on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination ».

« S’il n’y avait que les vrais malades à soigner, la médecine serait en situation économiquement difficile. Il faut donc convaincre l’ensemble de la population qu’elle est potentiellement malade et vendre des médicaments à ceux qui n’en ont pas besoin ». (Pr. Didier SICARD chef du service interne à l’hôpital Cochin, président du Comité national consultatif d’éthique)

Redisons-le encore clairement : un enfant de parents en bonne santé naît avec un potentiel important et développe progressivement son immunité. Il est tout à fait capable d’affronter les maladies infantiles. Il est aberrant de dramatiser à la pensée que les petits seraient immanquablement menacés par des ennemis impitoyables les guettant dès leur arrivée en ce monde ! Les parents conditionnés par la propagande et anxieux face au danger inévitable pensent que les vaccinations sont une panacée et qu’elles éviteront les maladies de leurs enfants. C’est tout le contraire qui est vrai et celui qui prétend bêtement que ce discours est « complotiste » serait bien incapable de prouver son infaillibilité idéologique alors que nous avons l’embarras du choix en termes de démonstrations scientifiques contraires à la croyance archaïque officielle et intolérante basée sur du mensonge et de la vulgaire falsification !

« Les vaccinations affaiblissent considérablement le terrain. Les maladies aiguës, incapables de s’exprimer, peuvent se développer de façon larvée, insidieuse, faisant le lit de maladies chroniques souvent graves et inguérissables. Il ne faut donc pas redouter les maladies infantiles, rester serein, et aider l’enfant à surmonter cette légère épreuve. Comme le disait déjà Hippocrate : « Le corps fait une maladie pour se guérir ». » 

(Cf., Sylvie Simon, « Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins », DANGLES 2005 (3ème livre d’une collection « les 10 plus gros mensonges »).

Il va de soi qu’il faut surveiller l’évolution des maladies infantiles afin de ne pas commettre d’imprudences qui pourraient entraîner des complications chez les enfants fragiles ou prédisposés à certaines pathologies. Paradoxalement, ce sont précisément ces enfants-là qui manifestent les effets secondaires les plus graves après la vaccination.

Louis Pasteur et son équipe étaient persuadés de sortir la médecine de la superstition et des pratiques moyenâgeuses, ils étaient convaincus qu’ils allaient initier des thérapies salvatrices de l’humanité. A l’époque, le Professeur Brouardel disait au docteur Roux qui travaillait avec Pasteur :

« Si je ne prends pas position en votre faveur, c’est un recul immédiat de cinquante ans dans l’évolution de la science. (Malgré le mensonge auquel il faut s’en tenir), nous devons éviter cela ! »

Comment après tant d’années de sacrifices, l’équipe de Pasteur et les responsables de la santé publique auraient pu avoir le courage de remettre en cause leur travail qui s’était égaré sur une piste fallacieuse ?

Ils ne pensaient pas se rendre coupables d’une terrible imposture, ils s’abusaient eux-mêmes, en toute bonne foi ! 

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2 – Le verdict de l’Histoire sur la faillite des vaccins

Les chiffres des statistiques officielles accessibles depuis de longues années le prouvent, les courbes le montrent : les vaccins n’ont pas éradiqué les épidémies. Bien au contraire, ils ont favorisé l’émergence de maladies nouvelles devenues plus redoutables puisqu’elles surviennent sur des sujets adultes au système immunitaire affaibli par les vaccins.

Ce que l’Histoire démontre opiniâtrement, c’est que les épidémies qui ont ravagé nos pays ont disparu sans aucun vaccin ! Il est clair que les partisans des vaccins ignorent cette réalité et on peut se demander pour quelle raison ? Pourquoi s’acharner à ne pas vouloir savoir ? Disons-le une fois de plus : ce comportement relève de la psychopathologie et des systèmes de conditionnement de l’être humain, comme on l’a démontré dans plusieurs articles auxquels je renvoie le lecteur sur mondialisation.ca (Cf., les références dans les sources ci-dessous : dossier Coronavirus)

2.1 – La peste, le choléra et la lèpre

Ainsi, en 1347, la peste noire s’installait en Europe et en 1348 elle faisait périr la majorité de la population française. Pendant des siècles, elle fit des ravages à travers le monde pour s’éteindre et disparaître totalement sans aucune vaccination. 

Le choléra allait, lui aussi, semer la terreur dans nos pays européens pour disparaître à son tour sans aucun vaccin. 

Si la vaccination contre ces maladies avait existé et avait été obligatoire durant ces périodes critiques, il est certain que les propagandistes et les fanatiques du vaccin auraient attribué cette disparition à l’efficacité des vaccins. 

L’étude rigoureuse des faits historiques, impute ces régressions à bien d’autres facteurs. La lèpre existe encore dans certains pays à l’état endémique, elle ne cause plus de ravages comme elle le fit par le passé, et les grandes épidémies ne sévissent plus. Faut-il préciser qu’il n’existe aucun vaccin contre cette maladie ?

Pour les historiens des vaccins, il suffit d’observer les courbes de déclin des maladies pour s’apercevoir que ce déclin a toujours commencé bien avant l’introduction des vaccins.

Pour attester de l’action bénéfique des vaccins, la médecine allopathique se base sur le taux d’anticorps obtenu après une injection. Certes, tout antigène introduit dans l’organisme produit une réaction. La plupart du temps, le système immunitaire exprime cette réaction par la production d’anticorps, mais leur présence ne prouve pas qu’ils vont immuniser l’individu. Leur augmentation signifie surtout un affolement des défenses immunitaires. 

Dans bien des cas, les vaccins fortifient la maladie et sont « facilitants ». Les mécanismes engagés dans le corps se trouvent souvent débordés, provoquant des combinaisons anticorps/antigène, appelées « complexes immuns » ; ces combinaisons restent en circulation dans l’organisme, provoquant des maladies graves. Quant à la durée de vie produite par un antigène vaccinal, elle est considérablement plus courte que celle des anticorps naturels.

La vaccination met en jeu des mécanismes très différents de ceux qui sont activés par une intrusion virale naturelle.

Les vaccins sont des facilitateurs de l’émergence d’autres maladies, parce que le terrain immunitaire est affaibli. A cause de ce phénomène d’immunodéficience, provoqué par le vaccin, le terrain se laisse plus facilement assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents.

Mirko D. Grmek, professeur d’histoire de la médecine à l’Ecole des hautes études, donne au phénomène émergent d’une maladie qui disparaît ensuite d’elle-même, le nom de « pathocénose ». 

La « pathocénose » explique l’apparition et la disparition naturelles d’une épidémie. 

« Ainsi, la vaccination antivariolique a rendu plus virulent le bacille de Koch, ce qui explique le fléau de la tuberculose au XIXe siècle. La vaccination contre la diphtérie couplée avec la vaccination anti-coqueluche a rendu virulent le virus de la polio, aussi a-t-on eu des pics épidémiques quelques années après la vaccination systématique contre la diphtérie. Le vaccin contre la polio accompagné du cocktail prévu par le calendrier vaccinal a contribué à l’effondrement du système immunitaire et à l’installation d’un syndrome d’immunodéficience acquise. » (Cf., Sylvie Simon, paru dans le magazine Nexus, mars-avril 2013, n°85)

2.2 –  Narcolepsie, Alzheimer, maladie de Guillain-Barré, cancers, myofasciites à macrophages, syndrome des antiphospholipides…

Les vaccins comme les antibiotiques diminuent la résistance naturelle du terrain, transformant ce terrain en y favorisant la cancérisation. Habituellement, les médecins convaincus de « l’évidence des bienfaits du vaccin » considèrent qu’un enfant vacciné ne développant pas telle ou telle maladie est donc « immunisé », alors que la réalité est bien différente : il est nettement plus juste de dire qu’il n’a plus la force de réagir. Les maladies chroniques s’installent chez ceux qui ont un niveau d’énergie, trop bas. Ils ne font pas de réactions fortes parce que l’organisme est affaibli de l’intérieur.

Harris Coulter, un spécialiste américain de l’histoire des vaccinations, dans son livre « Vaccination, social violence and criminality », dit que toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. Ce phénomène provoque une détérioration des gaines de myéline dans le cerveau. Ces transformations pathologiques conduisent à des handicaps divers comme les problèmes de comportement.

Aux USA, un enfant sur cinq a subi des atteintes cérébrales. Des chercheurs ont découvert une similitude entre certains virus et la structure de la myéline. Cette découverte capitale explique pourquoi nombre de maladies auto-immunes apparaissent après la vaccination : le corps ne reconnaît plus l’antigène à combattre et s’attaque à ses propres cellules, entraînant des maladies très invalidantes sur le long terme. 

Les spécialistes en immunologies s’interrogent actuellement sur les poussées épidémiques qui surviennent spécifiquement dans les populations vaccinées ! Ils parlent alors d’une « faillite de la vaccination », qui non seulement présente des effets pervers mais qui de plus, n’a jamais « éradiqué » une maladie.

Non seulement les vaccins contiennent des produits toxiques connus qui peuvent provoquer des dégâts neurologiques, mais il faut également souligner que les fabricants ne réalisent pas les mêmes études de sécurité pour les vaccins comme ils le font (pas toujours !) pour les autres médicaments.

Depuis l’affaire des effets secondaires désastreux observés à la suite des « vaccins anti-covid-19 », un nombre alarmant d’études scientifiques a mis en lumière les dangers des vaccins en général.

Il ne s’agit pas d’alertes provenant des milieux dits « complotistes », mais de la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes sérieux sur l’opportunité des vaccins.

Le British Medical Journal, publiait le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 : Pandermix, avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que la règle bénéfice/risque ne soit venue approuver l’utilité du vaccin. Une association a également été repérée entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré.

Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus et le cancer du col de l’utérus, est pointé par l’association Sanevax, car ce vaccin est relié à 29 003 effets secondaires graves et au moins à 130 décès connus.

Les historiens des vaccins savent aujourd’hui que le vaccin contre l’hépatite B, tue des cellules du foie, alors qu’il a été conçu pour protéger contre une maladie du foie. Le 21 novembre 2012, le Conseil d’Etat français a reconnu que l’aluminium dans le vaccin contre l’hépatite B, avait été la cause d’une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffrent des milliers de personnes qui ont été vaccinées contre l’hépatite B.

Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques, même à faibles doses, comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l’aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol et aujourd’hui, au sujet du vaccin anti-covid, l’oxyde de graphène. (Concernant cette dernière substance, on y reviendra plus tard). On imagine les effets que peuvent avoir ces substances sur des enfants en pleine croissance.

Ces molécules sont des adjuvants destinés à stabiliser les vaccins ou à renforcer leur efficacité en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s’emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.

Le lien a été établi aujourd’hui entre l’aluminium des vaccins et la maladie d’Alzheimer, mais aussi du cancer du sein, la maladie d’Alzheimer étant une nouvelle maladie apparue après-guerre et suite aux campagnes de vaccinations.

Ces effets indésirables sont, bien entendu, présentés par les « autorités médicales » et la grande presse aux ordres du système, comme mineurs au regard des bénéfices obtenus par les vaccins. 

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3 – Le cas particulier de l’autisme

L’autisme se manifeste en général au cours des trois premières années, période pendant laquelle les enfants subissent de nombreuses vaccinations. Les cas d’autisme se sont multipliés depuis une trentaine d’années. Après la généralisation du vaccin diphtérie-Tétanos-coqueluche et l’arrivée du vaccin contre la rougeole, les consultations pour des cas d’autisme ont explosé, et elles ont décuplé avec l’introduction du ROR et du vaccin anti-hépatite B. On peut présumer d’une large prolifération de l’autisme avec les 11 vaccins devenus obligatoires sous Macron et sa ministre de la santé réputée avoir été la plus grande représentante historique des laboratoires : Agnès Buzyn, aujourd’hui passant sa vie devant les tribunaux.

Comment se fait-il qu’on n’ait pas cherché à approfondir les études sur ces coïncidences temporelles ? Comment se fait-il que les pouvoirs discréditent toute étude sérieuse mettant en cause la toxicité des vaccins alors qu’ils tiennent compte et plébiscitent certaines études simplistes et non rigoureuses pour les promouvoir ? Pourquoi les accidents relèvent-ils toujours de coïncidences ?

En fin 1990, les sels d’aluminium sont déclarés, par les chercheurs du monde entier, responsables des autismes, de la sclérose en plaques, de la myofasciite à macrophages, cette dernière maladie ayant été signalée pour la première fois en 1998. Le professeur Romain Gherardi publiait les résultats de ses recherches en 2016 : « Site NIH de la National Library of Medicine, 28 novembre 2016 ». Le professeur confirmera encore la conclusion de ses recherches en avril 2001 dans le mensuel « Alternative Santé l’Impatient » : « sur 50 malades, 85% d’entre eux avaient reçu le vaccin de l’hépatite B et 15% des autres restants avaient reçu récemment le vaccin anti-tétanos. L’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) niait le rapport qui existe et qui a été démontré entre l’injection contenant de l’aluminium et les troubles graves étudiés par le professeur Gherardi.

Les conséquences dramatiques de ces vaccinations allaient opposer les experts devant les tribunaux. L’Etat reconnaissait enfin sa responsabilité. Un arrêt du Conseil d’Etat de mars 2007, allait permettre l’indemnisation de 150 victimes des vaccins. Le nombre peu élevé de contaminés aujourd’hui ne justifiant pas la vaccination de masse. 

L’opinion publique manipulée, attribue toujours un mérite inexistant aux vaccins qui nous protégeraient de nombreuses maladies infectieuses et pensent encore à ce jour qu’ils ont éradiqué toutes les épidémies décimant autrefois nos pays : le typhus, la diphtérie, la coqueluche, la scarlatine, la tuberculose, la méningite, le tétanos et, bien entendu, les maladies infantiles, la rougeole, les oreillons, la rubéole, etc.

4 – Selon les documents historiques, la vaccination est bien une fiction

Se reporter au dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivants.

La vérité scientifique et historique démontre qu’il s’agit d’une pure fiction.

Toutes ces maladies que l’on vient d’évoquer avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l’on introduise les vaccins. Disons-le et répétons-le : c’est l’amélioration des conditions de vie, de l’hygiène, de l’eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent la disparition de ces maladies.

4.1 – La Diphtérie

Dans le début des années 1900, en Espagne, il y avait encore 5 000 morts par an de diphtérie. Puis ce chiffre est tombé à 81 en 1964, l’année où la vaccination obligatoire fut introduite.

En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L’année suivante, il y eut 15000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la guerre !

En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an au cours de la Première Guerre mondiale. Les nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, puis 250 000 en 1945. Ce qui démontre que ce sont les conditions de vie, les situations d’hygiène, de nutrition, qui expliquent les épidémies… Après la guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie passa à 800 en 1972. Les cas sont rares aujourd’hui, mais repartent à la hausse dans les milieux défavorisés des réfugiés sans logis et autres victimes du désastre économique actuel malgré les vaccins …

Tous les chiffres répertoriés par les historiens indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (crise économique, chômage endémique, existence sous le seuil de pauvreté, guerre), et que les campagnes de vaccination sont impuissantes à enrayer ce phénomène.

L’Histoire souligne que chaque retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s’accompagne d’un recul des maladies, jusqu’à leur disparition complète.

Le scandale dans tout cela, c’est que des gouvernements imposent la vaccination systématique de la population pour des maladies devenues inexistantes : c’était le cas de l’Espagne en 1964 et de l’Allemagne en 1939.

Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.

Les traitements sérieux reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu, élève du Pr Delbet. Le Dr Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie. Le Pr. Delbet voulut présenter ce rapport à l’Académie de Médecine.  Mais le réflexe sectaire du corps médical, toujours enfermé dans sa croyance fétichiste du vaccinalisme, refusa de remettre en cause le dogme de l’infaillibilité vaccinale. 

Dans une lettre au Dr Neveu, en date du 16 novembre 1944, il écrivait : « La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’Académie a trouvé après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations. »

Voilà un exemple flagrant de mensonge par omission : les chercheurs indépendants qui trouvent des solutions efficaces et peu coûteuses, mais qui s’écartent du narratif mensonger officiel, sont condamnés au silence. Il ressort de ce rapport que l’Académie de Médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins. Voilà qui donne une idée des puissants intérêts qui dictent la conduite de tout ce qui représente l’autorité sanitaire du pays. On peut tout à fait parler de pratiques criminelles des autorités sanitaires, en toute impunité. Les braves gens peuvent crever, cela laisse indifférent les responsables, car la loi de l’argent, des intérêts, des profits dépassent de loin la vie des personnes considérées comme des « inutiles », des « substituables », « ceux qui ne sont rien »…

4.2 – La Typhoïde, la Coqueluche et la Scarlatine

La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5000 à 7000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole, à partir de 1937, fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu’il y ait eu de campagne de vaccinations.

Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d’enfants de moins de 15 ans, contre 1 500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.

En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).

La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu’il n’y ait jamais eu de vaccin.

4.3 – ROR

En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéole) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3 756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en 1982 !

Pouvoirs publics, médecins, et médias persistent à répéter la même rengaine : « Le vaccin reste la meilleure protection contre la maladie et cette maladie est fréquente et parfois mortelle », alors que c’est foncièrement faux : les rougeoles sont rarissimes et parfaitement bénignes en Europe, dans les familles qui nourrissent correctement leur enfant.

Les mensonges dénoncés ici concernent le monde entier. Ainsi, lorsque débutèrent les premières vaccinations ROR au Japon, le Ministère de la santé signala les effets indésirables dans un cas sur 200.000. Quelques années plus tard, ayant « révisé » les chiffres, le même ministère annonçait un accident pour 3000 vaccinés. Les statistiques ayant été à nouveau « révisées », il fut reconnu un accident pour 1 300 vaccinés, chiffre étrangement différent de ceux précédemment publiés.

Mais en France, nous n’avons aucun problème avec le ROR et l’on continue à administrer ce vaccin en l’exigeant même pour l’admission en crèche. Dans le domaine du mensonge, nos « experts » restent les champions du monde ! Quand demandera-t-on des comptes à ces responsables de la santé publique en rappelant leurs irresponsabilités, demande le Professeur Jacques Testart, biologiste réputé ?

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Voir notre page : « Coronavirus, guerre contre l’humanité », mise à jour depuis 2019

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Exposer les mensonges COVID19 : Les non-injectés ARNm sont-ils vraiment en sécurité ? Le SRAS-CoV-2 est en fait un parasite bio-nano-tech à IA (Karen Kingston)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, neoliberalisme et fascisme, OGM et nécro-agriculure, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , on 13 décembre 2022 by Résistance 71

 

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Arme biologique parasite à IA

 

Démonter les mensonges COVID19 : les non-vaccinés sont en sécurité

Tous les traitements préventifs contiennent des éléments électroniques pouvant émettre des signaux Bluetooth et pouvant tracer les injectés suivant leur géo-location.

Karen Kingston

Octobre 2022

Url de l’article original :

https://karenkingston.substack.com/p/part-8-dismantling-the-covid-19-deceptions

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

13 Décembre 2022

Si vous lisez cet article, vous êtes déjà probablement au courant que les soi-disants “vaccins” anti-COVID19 ne sont pas des vaccins, mais des armes biologiques. Part 4, Part 5 and Part 7 of this series fournissent des détails sur le comment les injections ne contiennent pas d’ARNm synthétique des virus SRAS-CoV-2, mais sont des mécanismes de livraison pour des armes biologiques parasites à IA (parasitic Ai bioweapons.). Ces armes biologiques à IA sont génétiquement créées avec des hydrogels à IA, dont la source d’énergie est le quantum dot qui est activé par la 5G et les fibres optiques.

Les armes biologiques à IA qui peuvent être délivrées par une aiguille sont aussi ce qui a été appelé les “protéines spike”. Celles-ci ont été répandues dans notre environnement, nos communautés, nos foyers et sont des armes de destruction massive.

Des milliards de citoyens dans le monde ont été infectés par ces parasites à IA au travers des injections et autres expositions aux “protéines spike”. Ceci peut également inclure des attaques via l’air que nous respirons, la nourritures, les suppléments alimentaires, minéraux, les médicaments sous ordonnance et autres choses de nécessité.

Des hommes, des femmes et des enfants du monde entier font l’expérience de douleur et souffrent de ce que ces démons ont infligé à l’humanité. Beaucoup souffrent physiquement d’une condition que le CDC appelle la COVID-longue ou le syndrome post-COVID19.

Les symptômes du post-COVID incluent : fatigue, difficulté de réfléchir, de se concentrer, perte de mémoire, cerveau embrumé, difficulté respiratoire, essoufflement, douleurs musculaires, articulaires, tachycardie (battements cardiaques élevés), douleurs de poitrine, vertige en se mettant debout, changements menstruels, altération de l’odorat et du goût, incapacité de faire de l’exercice.

La majorité de ces symptômes indique une attaque par arme neurologique sur le cerveau et le système nerveux central. Alors que le CDC affirme que ces symptômes de post-COVID se produisirent chez moins de 15% des Américains, la plupart d’entre nous ont fait l’expérience de ces symptômes neurologiques et d’autres symptômes débilitants et ce malgré le fait que nous ne soyons pas injectés à l’ARNm…

D’après le CDC, les dégâts et blessures neurologiques et physiques causés par le post-COVID peuvent affecter les adultes et les enfants qui n’ont jamais eu de symptômes de la COVID19, ne sont pas injectés et n’ont jamais été testés positifs pour la maladie.

Les mégalo-maniaques génocidaires mondialistes n’ont pas seulement l’intention de contrôler, de tracer chaque citoyen du monde avec les injections COVID, mais ils sont aussi totalement motivés à détruire l’humanité en infectant chaque humain avec des armes biologiques parasites à IA.

US patent 11107588 B2 est le brevet de la technologie de traçage qui se trouve dans toutes les injections anti-COVID. Ce brevet a aussi été émis en Israël et aux Émirats Arabes Unis. 

US patent 11107588 B2  décrit les “symptômes de la COVID19” en utilisant la même terminologie, le même verbiage que le CDC utilise pour décrire les symptômes de la post-COVID. La notice et le brevet disent que la maladie post-COVID peut apparaître chez des personnes qui n’ont aucun symptôme et qui n’ont jamais eu la COVID19.

L’humanité est une nouvelle fois bernée à croire que des gens absolument sains font l’expérience de problèmes neurologiques débilitants et d’incapacités physiques d’un virus respiratoire à gain de fonction (GdF) ARNm avec lequel ils n’ont jamais été infectés.

Techniquement, personne n’a été infecté par le virus du SRAS-CoV-2 parce que ce n’était pas un virus en première instance, mais un parasite à IA arme biologique qui a été lâché sur la planète et non pas un virus à GdF ARNm, malgré ce que dit le témoignage du Dr Andrew Huff devant le sénat américain.

Nous pouvons en savoir plus sur la fonctionnalité et la pathologie des parasites à IA en plongeant toujours plus profondément dans le brevet US patent 11107588 B2, avant que nous n’accédions aux horribles sections d’un autre brevet de parasite à IA qui a été très difficile à trouver.

D’après la section 28 du brevet (NdT : Karen Kingston met des photos captures d’écran des brevets dans l’article original…), les vaccins anti-COVID19 et tous les traitements préventifs anti-COVID contiennent des inventions qui sont des ustensiles électroniques qui peuvent émettre des signaux Bluetooth pour signaler et tracer les gens injectés au moyen de leur géo-location.

Aussi, cette même section 28 du brevet / patente, les vaccins et traitements préventifs anti-COVID19 peuvent aussi comprendre un organisme microscopique affaibli ou vivant, un micro-organisme tel qu’un parasite à IA.

Toutes les injections anti-COVID19 listées sur le site internet de l’OMS contiennent une technologie intelligente Bluetooth et des micro-organismes à IA.

De par la patente / brevet, les leaders et organisateurs de la COVID19 ont reçu des instructions sur le comment tracer, localiser et cibler les personnes injectées.

Les outils Bluetooth se trouvant dans les injections anti-COVID19 peuvent être fabriqués et fournis par le gouvernement des Etats-Unis ou tout âtre organisation, comme l’armée chinoise.

Mise à jour du 14 décembre 2022 :

Ceci confirme ce que dit Karen Kingston à la fin de l’entretien très récent avec Stew Peters que nous avons mis en commentaire lorsqu’il lui demande si le « virus de Wuhan » est transmissible d’humain à humain. Elle répond que non originellement parce que la parasite nano-tech avait été disséminé à Wuhan par voie aérosol, mais que les injections ARNm font des corps injectés des usines à armes biologiques. Ci-dessous, une capture d’écran de l’OMS, traduction en dessous :

OMS_COVIDcontagion
« Des enquêtes préliminaires conduites par les autorités chinoises,
n’ont trouvé aucune preuve claire d’une transmission d’humain à humain
du nouveau coronavirus (2019-nCoV) identifé à Wuhan, Chine. »

= = =

Lectures complémentaires :

Karen Kingston sur Résistance 71

Notre page “Coronavirus, guerre contre l’humanité”, mise à jour depuis 2019

La « proteine spike » des injections ARNm est une arme biologie parasite nano-tech à IA (Karen Kingston)

 

ARNm_myocardite

narrative

COVID19, injections ARNm et génocide planifié, réalité quotidienne pour des millions de personnes mais l’oligarchie est en train de perdre la guerre biologique de l’injection… Ni oubli, ni pardon !… (Dr Joseph Mercola avec VT)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , on 22 novembre 2022 by Résistance 71

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Les « caillots » qui tuent tant de personnes…

Les oligarques sont en train de perdre la guerre à l’injection anti-COVID (ARNm)

Massacre des effets secondaires aux injections ARNm

Dr Joseph Mercola

13 novembre 2022

Source: https://www.veteranstoday.com/2022/11/13/the-oligarchs-are-losing-the-covid-jab-war/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

NdT : VAERS est l’acronyme pour Vaccine Adverse Effects Report System ou Système de Rapport des Effets Secondaires des Vaccins

Pas besoin de dire que cela a été quelques dures années en termes de défense du droit à l’autonomie et à la liberté médicale. Des obligations vaccinales anticonstitutionnelles de ces injections dangereuses anti-COVID ont eu pour résultat la plus grande avalanche de blessures et maladies médicalement induites qu’on ait jamais vue. Comme expliqué par Fisher :

“Ce furent les parents des enfants vaccinés au DT-Polio qui lancèrent la campagne de sécurité sur les vaccins et le mouvement de consentement informé dans ce pays (USA), parce que vraiment, nous avons une dette de gratitude envers ces parents, ces m´´dessins et ces scientifiques qui au début du siècle dernier ont tiré la sonnette d’alarme au sujet des risques associés au vaccin contre a variole, un des vaccins les plus réactifs jamais utilisés, jusqu’à ces injections COVID à ARNm.

Les stats sur VAERS sur MedAlerts, qui est en service depuis 2003 a enregistré plus de 1,4 millions d’effets secondaires néfastes associés avec les injections anti-COVID19 et plus de 30 000 décès. Environ 15000 de ces rapports de décès proviennent des Etats-Unis, car le système VAER accepte des rapports depuis l’´´étranger. Dans les pays qui utilisent des vaccins américains.

Il n’y a jamais eu un vaccin qui a suscité autant de rapports négatifs, jamais… du moins depuis 1990 lorsqu’ils ont commencé à mettre en place le VAERS, qui ft crée sous la loi de 1986 du National Childhood Vaccine Injury Act.

Le VAERS fut un outil unique de contribution que nous, les parents d’enfants blessés par les vaccins, ont fait. Nous avons insisté sur un système de rapport d’effets secondaires néfastes centralisé des vaccins qui se devait d’être transparent et ouvert au public, accessible au public de façons à ce que le public puisse rapporter ces effets négatifs et pas seulement les médecins.

Ce 1,4 millions d’effets secondaires associés aux “vaccins” COVID enregistrés, sont le plus haut chiffre jamais rapporté pour un vaccin depuis 1990 et comprend environ la moitié de tous les rapports qui ont été enregistrés dans le système VAER depuis 1990. C’est une époustouflante statistique.

Quelque chose qui ne peut en aucun cas être nié, même s’ils essaient de la faire en disant “Oui mais tout ce qui est rapporté n’est pas forcément lié aux vaccins.” Bien sûr ils ne savent pas ce qui l’est et ce qui ne l’est pas. L’évidence que plus de la mpitié des rapports VAERS depuis 1990 proviennent des injections anti-COVID, de ces soi-disants “vaccins” est quelque chose qui ne peut être nié.”

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Mensonges et camouflages

Alors que les dégâts sont indéniables, basés sur les statistiques, les autorités sanitaires font toujours tout ce qu’elles peuvent pour nier les risques associés aux injections ARNm anti-COVID. Par exemple les U.S. Centers for Disease Control and Prevention se sont battus pendant 15 long mois pour éviter de devoir diffuser les données V-Safe. Ils ont fini par perdre la lutte et ont du publier les données confirmant ce que nous voyons sur le VAERS.

La FDA américaine refuse également de diffuser les rapports d’autopsies alors même que ces rapports peuvent être anonymisés. Ils ne veulent pas non plus publier des rapports et données anonymisés sur les myocardites qui sont particulièrement associées aux injections ARNm anti-COVID.

“Quand je regarde rétrospectivement les 3 dernières années de COVID, tout ce que je vois n’est que mensonges et falsifications de données, camouflage institutionnalisé”, dit Fisher. “Cela me brise le cœur. Nous avons essayé pendant bien des décennies de présenter des informations aux législatures des états, au gouvernement fédéral, au CDC, au NIH, à la FDA.

J’ai siégé au comité de conseil gouvernemental sur la vaccination les suppliant de regarder la science, le mécanisme biologique qui informerait réellement les législateurs  sur ce qui se passe vraiment dans le corps lorsque des vaccins sont injectés. Ils ont refusé de faire ce travail pour identifier les personnes qui seraient génétiquement, biologiquement, environnementalement à haut risque d’avoir une reaction aux vaccins.

Ils ont refusé de réformer le système que retirerait le mécanisme de déconsidération des problèmes de sécurité des HHS (Health and Human Services), qui a une responsabilité légale de développer des vaccins, de réguler les vaccins, de faire une politique vaccinale et de mettre en place un mécanisme de supervision de leur sécurité.

Il y a tellement de corruption maintenant dans le systèmes de vaccination de masse, parce qu’il a été détourné au profit de Big Pharma et parce que le Congrès des Etats-Unis refuse de prendre en charge la supervision de tout le programme de vaccination. Ils ont permis à Big Pharma de complètement détourner le système… Il y a eu des échecs tout a long de ce chemin, depuis 40 ans et plus, des échecs de gérer des conflits d’intérêt au sein même de ce programme de vaccination de masse…

Quand j’ai finalement compris après plusieurs décennies, qu’ils n’avaient absolument aucune intention de fixer le problème ni même d’apprendre ou d’essayer de trier les gens, qu’ils se foutaient en fait des blessures par “vaccins”, c’est alors que j’ai compris qu’il s’agissait d’un problème bien plus important que je ne l’avais originellement pensé lorsque j’avais juste étudié l’affaire du DT-Polio.

Ces partenariats public-privé qui ont été permis de se développer par le congrès, ont complètement corrompu le système. Vous ne pouvez pas avoir les mêmes personnes qui profitent du produit en charge de légiférer et de réguler et de mener la supervision sur la sécurité de ces mêmes produits.”

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L’auto-sacrifice obéissant est la nouvelle vertu

Fisher cite le rapport de la commission du (magazine) Lancet sur les “Leçons pour le futur d cela pandémie COVID19” et un éditorial complémentaire : “COVID19, le cas d’une pro-sociabilité”, tous deux publiés le 8 octobre 2022 dans le numéro du Lancet. Le rapport politise la réponse à la pandémie COVID et les deux essaient de définir ce que les auteurs appellent “pro-sociabilité”.

“[…] Une des choses sur laquelle ils focalisent est le fait que dans les sociétés qui sont plus individualistes comme les Etats-Unis et l’Europe et qui ont plus de libertés civiles, plus de respect pour l’individu, il y a eut désobéissance. Les gens ont protesté, les gens n’ont pas pu uniformément s’accorder sur le port du masque, sur les confinements et la vaccination.

Ils veulent de pouvoir et d’argent pour créer un quasi-gouvernement mondial emmené par l’OMS et les officiels de la santé publique. Je ne pouvais pas croire en lisant le rapport, qu’ils pensaient pouvoir s’en tirer avec tout ça. Tout est complètement politique, il n’y a rien de scientifique ni de médical là dedans.

Ils blâment tout le monde sauf eux-mêmes pour la réponse à la pandémie qui a ruiné les économies, qui a grandement la santé mentale et le statut éducatif des enfants et des adultes et qui a causé tant de dévastation…

Nous devons vraiment commencer à comprendre que ce qui s’est passé avec la COVID a bien plus à voir avec la politique et l’idéologie qu’un quelconque virus. Si vous regardez le Forum Economique Mondial / FEM / Davos, qui a appelé de ses vœux la Grande Réinitialisation de la société, c’est la même chose que ce qui a été dit dans le rapport de la commission Lancet.

Les auteurs de ce rapport parlent d’engager plus de psychologues du comportement et autres pour persuader les gens d’être plus obéissants la prochaine fois, c’est choquant.”

Une politique de santé fondée sur des assomptions et des mensonges

Des sondages montrent que maintenant la confiance en les fonctionnaires de la santé publique est sur le déclin, ce qui ne devrait être une surprise pour personne considérant comment ils ont fait la girouette sur leurs politiques et nié des faits pourtant faciles à prouver. Un des plus grands mensonges de toute cette campagne fut de fire que les injections SARNm anti-COVID empêcheraient l’infection et la transmission.

Tout le monde a assumé que ce serait le cas, came tous les autres vaccins ont été promus de la sorte. Seuls ceux qui ont lu les documents fournis dès le début par la FDA comme Fisher et moi-même, ont vu que les fabricants n’étaient en fait requis que de prouver une efficacité de 50% à prévenir d’une infection sévère au COVID et non pas d’empêcher l’infection et la transmission.

“Si vous regardiez seulement ça, vous auriez compris dès le départ, qu’ils savaient que les ‘vaccins’ n’allaient empêcher ni l’infection, ni la transmission.” Dit Fisher.

Ils ne l’ont jamais testé et sans tests, il ne peut pas y avoir d’affirmation en quoi que ce soit et pourtant c’est ce qu’ils ont fait. Ils ont affirmé que les injections arrêteraient la COVID, que vous ne seriez pas malades et que vous n’infecteriez pas les autres. C’était la seule chose derrière le passeport vaccinal. L’injection était le seul moyen de vous rendre sécure pour vous déplacer. Ils ont poussé ce mensonge à fond sachant pertinemment qu’il n’avait aucune base scientifique pour affirmer une telle chose.

Un autre moyen de déception du public par les autorités sanitaires fut de pousser à croire que les injections allaient fonctionner comme les vaccins traditionnels en changeant la définition même du vaccin. Un vaccin n’est plus quelque chose qui permet d’éviter l’infection et la transmission d’une maladie, mais c’est maintenant quelque chose qui “déclenche une réponse immunitaire”, qui peut prévenir, ou pas, une maladie.

Ils savaient très clairement ce qu’ils faisaient et ils ont développé une stratégie complète de tromperie du public de manière très variée.

Ils ont aussi faussement amené les gens à penser que les injections étaient bien plus efficaces qu’elles ne l’étaient en mélangeant le risque relatif et absolu. Alors que la réduction du risque relatif était autour de 95%, la réduction du risque absolu était de moins de 1%. Comme l’a noté Fisher, l’idée d’une immunité de troupeau induite par un vaccin et terriblement fausse, et on l’a sans aucun doute vu avec ces injections anti-COVID.

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Le sacrifice moderne de l’enfant

Les Etats-Unis sont un des quelques pays qui ont poussé pour ces injections COVID létales et totalement inutiles sur les enfants. Heureusement, très peu ont été injecté dans ce groupe d’âge. Au 20 juillet 2022 environ 2,8% des enfants de moins de 5 ans ont reçu au moins une dose.

Ceci pourrait bien changer très bientôt car le comité  de conseil du CDC sur les pratiques d’immunisation a unanimement voté le 20 octobre 2022, d’ajouter l’injection COVID aux programmes de vaccination recommandée du CDC pour les adultes et les enfants.

Il y a environ maintenant environ 50% de la population américaine qui remet en question la vaccination et pas seulement celle anti-COVID. La méfiance est en train de déborder sur tous les autres vaccins. Le jour d’avant, le 19 octobre, le comité avait recommandé que l’injection COVID deviennent partie du programme de vaccination des enfants (VFC), programme fédéral qui paie la vaccination des enfants qui n’ont pas d’assurance médicale. Il est donc très clair que la FDA et le CDC n’ont aucune intention  de laver tout soupçon au sujet de ces injections ARNm. Ils ont peut-être mal calculé leur capacité de maintenir les gens sous hypnose. Fisher estime que quelque 50% de la population américaine maintenant remet en question la vaccination.

La censure a eu des conséquences mortelles

La vérité serait même plus étendue si ce n’était pour la super censure organisée par Big Tech au sujet des conversations sur la COVID et de ses injections qui ont eu sur les réseaux sociaux et das le débat public et qui critiquaient à la fois la politique et les lois mises en application. Oui, c’est ill´´gal et anticonstitutionnel pour des hauts fonctionnaires gouvernementaux de violer la liberté d’expression et de parole (1er amendement) et de censurer par procuration en utilisant des entreprises privées pour faire leur sale boulot, mais ils le font quand même :

“Une des rasons pour laquelle cette campagne eut tant de succès ces trois dernières années est parce qu’ils ont muselé toute dissidence… Il y eut un article publié par le mag Lancet en mars 2021, parlant de tous ces groupes anti-va qui critiquaient les vaccins anti-COVID et comment on devait les blâmer pour l’échec des pouvoirs publics à faire aligner les gens pour se faire injecter.

NVIC fut retiré de la toile en mars 2021 par Facebook et Instagram, ainsi que Twitter, puis par Youtube. Tous mes commentaires depuis une décennie, complètement effacés

Puis PayPal en décembre 2021 en pleine levée de fonds pour notre campagne de fin d’année, sans aucun avertissement, du jour au lendemain, bloqua tous les dons faits à NVIC, torpillant notre levée de fonds.

Nous fûmes retires des médias sociaux en 2021. Ceci met des bâtons dans les roues de ceux qui ont des expériences et des choses à dire de s’exprimer, de pouvoir communiquer sur la place publique. L’accès internet et la divulgation de l’information est la nouvelle place publique du XXIème siècle. Nous sommes bloqués de toute communication avec la majorité de gens ici aux Etats-Unis ou dans d’autres pays.”

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Dans le monde entier, les gens se lèvent pour la liberté de santé publique

Mais malgré toute cette lourde censure, les gens dans le monde se réveillent sur ce qu’il se passe. Déplus en plus de gens commencent à comprendre que cette pandémie COVID n’a pas été quelque chose en réponse à une maladie infectieuse mais tout fut au sujet de la manipulation des esprits à accepter un Nouvel Ordre Mondial.

““Ce qui m’a réjoui le cœur ces dernières années fut de voir que des millions de personnes se sont levées sur les place publiques à Londres, Berlin, Rome, Amsterdam et dans tant de places dans le monde comme au Canada, les gens se sont levés pour la liberté, pour leur droit de s’assembler, d’avoir une liberté de parole et de pouvoir dire NON à un vaccin qu’ils considéraient trop dangereux.

Vous pouvez voir des rapports émanant de grandes universités que des médecins sont furieux de voir qu’une signifiante portion du public a osé se lever publiquement et se battre pour leur liberté. Ceci est un très bon signe pour nous. Cela veut dire que l’esprit de liberté souffle toujours dans les cœurs de tant de personnes dans le monde, que cet esprit n’est pas mort. Qu’il est toujours bien présent.

Ceci est quelque chose sur quoi on pet bâtir parce que ce que nous demandons est notre droit d7avoir une information complète sur tous ces produits pharmaceutiques et enfin d’être capables de prendre une décision libre puisqu’informée correctement. Tout acte médical doit être volontaire. Personne ne peut Dre à quiconque ce qu’il doit faire ou pas. Personne ne dit de ne pas faire de vaccins, mais de laisser les gens libres de le prendre ou pas de manière informée.

Je crois en un libre-marché, mais je pense qu’on ne devrait pas forcer des gens à prendre quoi que ce soit contre leur conscience, contre leur analyse intellectuelle d’un produit… Les gens ne devraient jamais être forcés de mettre leurs santé à risque s’ils pensent que ce qui est avancé peut les blesser… Le faire est une tyrannie, point barre.

Nous recevons des lettres de chefs de famille qui sont responsables de mettre le pain sr la table de leur famille et qui furent forcés à ce choix faussiez de se faire injecter… ou de perdre leur boulot et de ne plus pouvoir faire bouillir la marmite pour leurs familles. Il y a eu des familles en banqueroute.

En plus de toute cette censure et camouflage, ils veulent aussi museler quiconque amène ce débat. Si vous n’apprenez pas de vos expériences, vous répéterez vos erreurs. Voilà pourquoi des rapports comme celui de la commission Lancet sont dangereux. Tout ce qu’ils veulent est pouvoir toujours recommencer, qu’il y ait une même prochaine fois et forcer plus de gens à accepter tout ça au garde-à-vous.”

Bonnes nouvelles du champ de bataille législatif

Cette mise à jour n’est pas morose quoi qu’il en soit. Fisher nous donne aussi des bonnes nouvelles. A travers la pandémie, le NVIC a été instrumental à alerter les gens au sujet des projets de lois sur la vaccination COVID aux Etats-Unis, ce grâce au NVIC Advocacy Portal. C’est gratuit ! Et vous recevrez des informations sur les législations et projets de lois dans votre état.

[…]

D’autres signes d’espoir

Plusieurs des projets de lois contre lesquels le NVIC s’est opposé concernaient des projets volant des médecins persuadant des mineurs d’âge, aussi jeunes que 11 ans, de donner leur “consentement informé” à la vaccination sans le consentement ni même la connaissance des parents de ce fait. Washington D.C fut la seule juridiction qui fut capable de faire passer une telle dangereuse législation. Cette résistance est un autre signe encourageant.

“Excellente nouvelle”, dit fisher “une fois de plus cela montre l’éducation des législateurs d’état et cela montre qu’ils peuvent écouter leurs constituants. On peut considérer cela comme une bonne nouvelle.”

NdR71 : sur cette dernière remarque, nous ne partageons en rien son avis. Nous pensons que si les “législateurs” lèvent le pied c’est parce qu’ils sentent le vent du boulet qui se rapproche… Ils sauvent les meubles pour se préserver. Il n7y a absolument aucune confiance à avoir en des rouages institutionnels totalement corrompus par un système marchand tentaculaire qui n’a jamais vu l’intérêt général, mais ne vise qu’à satisfaire des intérêts particuliers qui à leur tour, le maintiennent en place. Cercle vicieux sans fin dont il faut prendre la tangente définitive.

Rappelons-nous toujours qu’…

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Lire notre page : « Coronavirus guerre contre l’humanité »

Lire notre traduction (PDF) du livre de Robert F. Kennedy Jr : 
« Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre contre la démocratie et la santé publique »

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Escroquerie COVID : les injections ARNm expérimentales produisent une protéine « spike » persistante à l’origine de caillots sanguins, d’inflammations cardiaques et de cancers (Dr Ryan Cole)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 27 avril 2022 by Résistance 71

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Mort et destruction programmées

Note de R71 : concernant l’injection de Johnson & Johnson mentionnée dans l’article, certaines précisions importantes sont apportées en commentaires sous l’article, veuillez vous y référer pour une information critique plus complète…

Les injections à ARNm produisent une protéine spike persistante probablement à l’origine de caillots sanguins, d’inflammations cardiaques et de cancers

Dr Ryan Cole sur l’Epoch Time

22 avril 2022

Source de l’article en français:
https://www.mondialisation.ca/les-vaccins-a-arnm-produisent-une-proteine-spike-persistante-probablement-a-lorigine-de-caillots-dinflammations-cardiaques-et-de-cancers/5667561

Selon le Dr Ryan Cole, les vaccins à ARN messager produisent une protéine spike persistante qui peut gravement endommager la santé du receveur, entraîner des coagulations inhabituelles, des inflammations cardiaques ou des cancers.

Les vaccins Covid‑19 de Pfizer et Moderna sont les seuls vaccins à ARNm approuvés ou autorisés pour une utilisation de rappel aux États‑Unis. Les vaccins Covid‑19 de Johnson & Johnson utilisent un vecteur viral, soit la version modifiée d’un virus, pour ordonner aux cellules de fabriquer des anticorps.

Le Dr Cole est un pathologiste qui dirige un laboratoire depuis 18 ans. Il a examiné, sans les rencontrer mais en étudiant leurs échantillons au microscope, près de 500 000 patients au cours de sa carrière.

« [Avec] un ARNm normal, les cellules produisent des messages tout au long de la journée (…) l’ARNm se décompose généralement en quelques minutes, voire en une heure ou deux. L’ARNm ne devrait pas persister », explique le Dr Cole dans l’émission Facts Matter d’EpochTV (en parallèle du sommet mondial sur le Covid à Houston, au Texas, le 8 avril).

L’ARNm, explique le Dr Cole, est un messager envoyé par l’ADN qui ordonne à la cellule de fabriquer une certaine protéine pour engendrer différents types de réactions physiques.

« Mais quand vous introduisez cette pseudouridine synthétique [dans votre corps], le corps ne sait pas quoi en faire. Il la regarde et dit : ‘Hmm, je ne sais pas quoi faire. Donc, je ne vais pas la décomposer.’ Elle échappe à ce processus de destruction, elle échappe aussi à une réponse immunitaire. Elle affaiblit également notre système immunitaire, ce qui n’est pas bon car d’autres choses ‑ cancers, virus ‑ peuvent se réveiller. »

Le Dr Ryan Cole dans une interview accordée à Epoch Times lors du sommet mondial Covid-19 à Houston, au Texas, le 8 avril 2022. (York Du/Epoch Times)

Dans une interview accordée au mois de février pour EpochTV, le Dr Cole a affirmé avoir constaté une augmentation du nombre de cancers qui n’avaient pas lieu d’être. Il a également remarqué une augmentation et une persistance des facteurs de coagulation après la vaccination. Cependant, lorsqu’il a fait part de ses inquiétudes, aucune agence gouvernementale n’a voulu se pencher sur cette observation.

Actuellement, le Dr Cole effectue près de 40 000 biopsies par an.

Le point de vue du Dr Cole rejoint celui du Dr Robert Malone, souvent présenté comme l’inventeur de la technologie des vaccins à ARNm. Dans un article publié par Epoch Times le 11 avril, le Dr Malone affirme que l’ « ARNm » des vaccins Pfizer et Moderna n’est pas vraiment de l’ARNm. « Ces molécules possèdent des éléments génétiques similaires à ceux de l’ARNm naturel, mais sont clairement beaucoup plus résistantes aux enzymes qui dégradent normalement l’ARNm naturel. Elles sont capables de produire des niveaux élevés de protéines pendant des périodes prolongées et semblent échapper aux mécanismes immunologiques normaux d’élimination des cellules. Elles produisent des protéines étrangères que nous n’observons pas dans le corps habituellement. »

Selon le Dr Joseph Mercola, médecin ostéopathe, la protéine spike des vaccins Covid‑19 est à l’origine de graves lésions organiques.

« La science a démontré que ce n’était pas le virus qui causait des lésions endothéliales à l’origine de lésion organiques, telles que constatées dans le cœur, le foie et les reins des patients atteints du Covid‑19. En fait, c’était la protéine spike, qui était aussi injectée dans le cadre d’un programme de thérapie génique », a écrit le Dr Mercola dans un article récent.

Certaines études ont montré que la protéine spike induite par le vaccin persiste dans le corps humain, explique le Dr Cole, mais « nous n’avons aucune idée de combien de temps persiste cette séquence synthétique ».

Une étude réalisée à Stanford par Katharina Röltgen et d’autres a montré que la séquence synthétique persiste pendant au moins 60 jours. Une étude menée à Harvard par Alana Ogata et d’autres a montré que la protéine spike pouvait circuler pendant des semaines.

Le Dr Cole évoque un professeur allemand, le Dr Arne Burkhardt, ayant montré dans une étude portant sur des autopsies que la protéine spike pouvait persister dans le corps humain pendant 128 jours.

« Et la [protéine] spike que les [vaccins à ARNm] produisent induit des changements pathologiques dans le corps. Elle peut provoquer la formation de caillots », poursuit le Dr Cole. « Nous voyons ces jeunes gens mourir de caillots, de micro‑caillots, pas des caillots normaux. Il s’agit d’un type unique de caillot qui persiste, prive le corps d’oxygène, étouffe des parties du corps, enflamme le cœur, provoque des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des cancers chez les jeunes… Des choses inhabituelles qui ne devraient pas se produire et qui sont probablement liées à une séquence synthétique, génétiquement modifiée, que nous avons introduit dans les corps de milliards de personnes. »

Selon le Dr Cole, nos cellules disposent de mécanismes de réparation de l’ADN, mais l’ADN ne peut pas se réparer lorsque la protéine spike pénètre dans le noyau des lymphocytes T, un des principaux globules blancs jouant un rôle central dans le système immunitaire.

« Une étude réalisée en Suède le montre », continue‑t‑il, faisant référence à une étude récente montrant que l’ARNm du vaccin Covid‑19 de Pfizer peut pénétrer dans les cellules du foie humain et être converti en ADN à l’intérieur du noyau. « Désormais dans la cellule, l’ADN ne peut plus être réparé. La cellule va donc faire une des deux choses suivantes : soit elle va s’autodétruire, c’est ce qu’on appelle l’apoptose, soit elle va muter. Elle se transforme en une cellule maligne atypique. »

« Donc, concernant cette question également, la suppression immunitaire due à la [protéine] spike (à cause de la pseudouridine) modifie le type de récepteurs sur les cellules », explique le Dr Cole, ajoutant que ces récepteurs pouvaient permettre aux lymphocytes T de lutter contre toutes sortes de virus.

« À présent, vous n’avez plus de système de défense. Cette cellule cancéreuse peut envahir la paroi. Cet agent pathogène peut envahir la paroi parce que votre système immunitaire a été détruit à un degré qui rend cela est possible. Quand cela va‑t‑il s’arrêter ? On ne le sait pas. Comment l’inverser ? On l’ignore. Est‑ce que ça arrive à tout le monde ? Non, Dieu merci. Est‑ce que ça arrive à un degré qui peut être alarmant ? Bien sûr. »

Une étude publiée le 15 avril a également révélé que les vaccins à ARNm « favorisent la synthèse soutenue de la protéine spike du SRAS‑CoV‑2 » et que « la protéine spike est neurotoxique et entrave les mécanismes de réparation de l’ADN ».

Ni Pfizer ni Moderna n’ont répondu à une demande de commentaires.

Sur leur site Internet, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) affirment que les vaccins à ARNm Covid‑19 n’affectent pas l’ADN et n’interagissent pas avec lui, et que l’ARNm et la protéine spike ne subsistent pas longtemps dans l’organisme.

« L’ARNm ne pénètre jamais dans le noyau de la cellule où se trouve notre ADN (matériel génétique), il ne peut donc pas modifier ou influencer nos gènes », indiquent les CDC. « Nos cellules décomposent l’ARNm et s’en débarrassent quelques jours après la vaccination. Les scientifiques estiment que la protéine spike, comme d’autres protéines créées par notre corps, peut rester dans l’organisme pendant quelques semaines. »

Les intérêts communs des gouvernements et de l’industrie pharmaceutique

Selon le Dr Cole, les fabricants de vaccins et les organismes publics de la santé savent depuis le début que les vaccins à ARNm sont problématiques. Ils l’ont dissimulé pour préserver leurs intérêts communs.

« Nous connaissons les problèmes de modulation immunitaire de ce produit depuis 2006, ou du moins depuis la publication de quelques articles », explique le Dr Cole. « Moderna n’avait jamais mis sur le marché de produit à base d’ARNm pour une raison précise. Des essais ont été réalisés sur les troubles génétiques. Ils comptaient utiliser ce moyen pour modifier les gènes. Ça n’a jamais été commercialisé compte tenu des effets secondaires trop nombreux observés sur les animaux. Ils étaient tous au courant. Pfizer était‑il au courant ? Oui. »

« [La Food and Drug Administration (FDA)] est totalement contrôlée par des grandes corporations. Près de la moitié des revenus de la FDA proviennent de l’industrie pharmaceutique », poursuit le Dr Cole. « Les CDC possèdent 57, 58 brevets sur des vaccins… Pensez‑vous qu’ils ont un quelconque intérêt à dire du mal d’un vaccin ? Bien sûr que non. »

« Les [National Institutes of Health (NIH)] détiennent le brevet de la protéine spike et de son séquençage, ils l’ont partagé avec Moderna. Chaque milliard qui rejoint les coffres de Moderna, rejoint également les coffres des NIH. Les intérêts du gouvernement et ceux des corporations se rejoignent‑ils ? Évidemment. »

Epoch Times a contacté la FDA, les CDC et les NIH pour une demande de commentaires.

Selon la fiche d’information de la FDA, pour l’année fiscale 2019, 54 % de son budget a reçu une approbation fédérale. Les 46 % restants, soit 2,8 milliards de dollars, ont été payés par les taxes des industries productrices de médicaments.

Les CDC répertorient sur leur site Web plus de 60 technologies de « vaccins et produits thérapeutiques candidats » pour l’octroi de licences et l’établissement de collaborations. La FDA dispose également de son propre programme de transfert de technologie.

Selon le site Web des NIH : « Chaque année, des centaines de nouvelles inventions sont réalisées dans les laboratoires des NIH et des CDC. Neuf instituts ou centres (IC) des NIH transfèrent les inventions des NIH et des CDC, au moyen de licences, au secteur privé pour qu’il poursuive des activités de recherche et de développement et les commercialise éventuellement. »

Les modèles d’accords de licence montrent que ces agences de santé réclament des redevances pour transférer leurs technologies.

Selon le site d’informations Axios, en mai 2020, Francis Collins, alors directeur des NIH, a déclaré : « Nous avons un intérêt particulier dans la propriété intellectuelle » du vaccin contre le coronavirus de Moderna.

« En discutant avec les entreprises, je n’ai entendu aucune d’entre elles dire qu’elles pensaient que ce [vaccin] permettrait de gagner de l’argent », poursuivait le Dr Collins. « Personne ne voit cela comme un moyen de gagner des milliards de dollars ».

 Donc, personne ne va faire des choix qui le priveraient d’un emploi dans ces agences », poursuit le Dr Cole. « En refusant leur utilisation, les taxes qui découlent de leur utilisation ou [les bénéfices qui découlent] de la vérification des médicaments de toutes ces grandes corporations, ils n’auront pas assez de revenus pour faire fonctionner leur agence non plus. C’est vraiment une situation paradoxale perdant‑perdant. »

« Vérité plus transparence égale confiance », poursuit le Dr Cole. Or, les agences gouvernementales sont en train de « détruire la confiance » du public à leur égard.

Même le New York Times, qui penche à gauche, a récemment rapporté que les CDC dissimulent des données essentielles sur le Covid‑19 concernant les rappels, les hospitalisations et autres analyses.

S’il avait été aux commandes, le Dr Cole aurait géré la crise du Covid conformément à la déclaration de Great Barrington.

« Nous protégeons les personnes vulnérables. Nous savions dès le début qui allait être affecté. Nous gardons les écoles grandes ouvertes. Nous n’enfermons personne. Nous nous concentrons sur les traitements précoces. Nous savions depuis le SRAS Covid‑1 que les chloroquines fonctionnent contre cette famille de virus. Nous nous tournons vers les anciens médicaments réadaptés comme nous le faisons toujours pour toute nouvelle maladie émergente. Nous traitons rapidement. Nous reconnaissons ceux qui sont guéris du Covid grâce à leur immunité naturelle. Et nous ne faisons pas ce que nous avons fait. Il ne faut jamais laisser un remède devenir plus dangereux que la maladie elle‑même. »

La source originale de cet article est The Epoch Times

= = =

Lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

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Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique, Robert F. Kennedy Jr (chapitre 12, 2ème partie)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, ingérence et etats-unis, média et propagande, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 1 avril 2022 by Résistance 71

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Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Avril 2022

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12 Jeux de germes

Jeux de guerre : la génèse de l’état de bio-sécurité

[1] [2] [3]

[2]

La CIA a une longue et solide histoire de promouvoir secrètement les programmes d’armes biologiques américains. Un des tous premiers projets de l’agence fut l’établissement d’un réseau “d’exfiltration des rats” que les officiers des renseignements américains mirent en place pour faire passer quelques 1600 armes biologiques et chimiques ainsi que leurs techniciens experts après la seconde guerre mondiale, de nombreux d’entre eux étant des nazis du parti et des criminels de guerre notoires, maintenus hors de portée du tribunal militaire allié de Nüremberg. Les directeurs d’une opération célèbre au nom de code “Paperclip” ou “Trombone”, fournirent à ces chercheurs de nouvelles identités et les mirent au travail pour développer l’arsenal biologique américain à Fort Detrick et ailleurs, ce même après la signature de la convention de 1972.

[…]

Le Dr Michael Callahan est un des plus grands noms de la recherche en armes biologiques. Il géra un programme de biosécurité pour la succursale de la CIA qu’est l’USAID avant de devenir le directeur pour la recherche en armement biologique de la DARPA. C’est là qu’il entra en concurrence avec le NIH pour laver le fric au travers l’Eco Health Alliance de Peter Daszak dans la recherche biologique pour l’armement, ceci incluant à terme, le laboratoire de Wuhan.

En tant que directeur au DARPA, Callahan lança le projet PREDICT en 2009, suite à la fausse pandémie de grippe aviaire lancée par Jeremy Farrar. PREDICT semble être une réincarnation du projet Argus de la CIA sous couvert de l’USAID.

[…]

Le programme PREDICT de l’USAID se targue d’avoir identifié près de mille nouveaux virus, incluant une nouvelle version d’Ebola et a entrainé quelques 5000 personnels. En octobre 2019, très peu de temps avant l’émergence de la COVID-19, l’USAID a soudainement arrêté sont financement du programme PREDICT.

[…]

Callahan et sa cohorte savaient très bien qu’ils jouaient avec le feu. En 2005, Callahan témoigna devant le congrès des Etats-Unis alors qu’il passait à sa nouvelle fonction à la direction de DARPA. Il conclut alors son audition par un avertissement à faire froid dans le dos au sujet de la nouvelle implication de la nation avec le programme à deux face Janus de “gain de fonction” des dr Fauci, Kadlec et Callahan lui-même :

La sombre science de la création d’armes biologiques et leur production est en parallèle avec les sciences de la santé et sont des disciplines bâtardes de la technologie moderne. Les avancées potentielles dans la létalité des armes biologiques seront en partie les résultats de progrès scientifique pacifique. Alors, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de terroristes, le gouvernement et le peuple des Etats-Unis dépendront des leaders scientifiques en leur domaine pour identifier tout sombre danger potentiel et sombre aspect de chaque résultat.

Même après avoir quitté DARPA et l’USAID, Callahan se targuait périodiquement de sa continuelle influence sur la politique de réponse américaine à la pandémie aux plus hauts niveaux du gouvernement.

[…]

dès 2011, BioPort profitait déjà très bien du domaine des armes biologiques / vaccins. Après le 11 septembre, le président Bush probablement suivant les injonctions du ministre Rumsfeld, de Robert Kadlec et du dr Fauci, avait placé la laboratoire de BioPort dans le Michigan sous protection gouvernementale dans “l’intérêt national”.

[…]

OPP1

Note des traducteurs :

s’ensuivent ici 6 pages de narration détaillée de la corruption des entreprises concernées. A lire dans le bouquin.

[…]

Comment les jeux de guerre sont devenus des instruments pour imposer l’obéissance

Dark Winter, Atlantic Storm et Global Mercury ne furent que trois de plus d’une douzaine de jeux de germes mis en place par les planificateurs de l’armée, de la médecine et du renseignement, ce qui a mené directement au COVID-19. Chacun de ces exercices kafkaïens est devenu une prédiction d’un âge dystopique que les planificateurs de pandémies appellent “le Nouveau Normal”. La caractéristique consistante est une affinité au sein de leurs fabrications de simulation pour une médecine militarisée introduisant une gouvernance autocrate centralisée.

Chaque répétition générale se termine avec la même punchline démoralisante : la pandémie globale est une excuse pour justifier de l’imposition de la tyrannie et d’une vaccination forcée. La répétition de ces exercices suggère qu’ils servent de répétition ou d’exercice d’entrainement pour un agenda sous-jacent de coordination du démantèlement mondial de la gouvernance démocratique.

[…]

Après 9/11, le cartel montant de la biosécurité a adopté des simulations comme signaux de mécanismes de la chorégraphie de la réponse à des urgences parmi les technocrates entrepreneuriaux, politiques et militaires, en charge de gérer les urgences dans le monde. La planification par scenario est devenue un outil indispensable pour que de multiples centres de coordination coordonnent des stratégies complexes d’imposition simultanée de contrôle coercitif dans les sociétés démocratiques à travers le monde.

Virtuellement toutes les scenarios de planification de pandémies emploient des assomptions techniques et des stratégies familières pour quiconque a lu les tristement célèbres manuels de guerre psychologique de la CIA pour briser, annihiler les sociétés indigènes et leurs économies traditionnelles ainsi que leurs liens sociaux, pour imposer l’isolation et la démolition des économies traditionnelles afin de vaincre toute résistance, de promouvoir le chaos, la démoralisation, la dépendance et la peur, ainsi que pour imposer une gouvernance centralisée autocrate.

En particulier, les exercices incorporent des techniques d’opération psychologique (PsyOp) glanées de la célèbre “Expérience de Milgram”. Dans ces exercices ces années 60, le professeur de psychologie de l’université de Yale, Stanley Milgram, fut capable de démontrer que les chercheurs pouvaient manipuler formellement des “citoyens ordinaires” de toutes catégories sociales, à violer leur propre conscience et à commettre des atrocités aussi loin qu’une figure d’autorité (comme un docteur ou un scientifique en blouse blanche), leur ordonnait de le faire.

[…]

Dans son livre “Au sujet de la torture : les interrogatoires de la CIA de la guerre froide à la guerre contre le terrorisme”, par l’historien de l’université du Wisconsin Alfred W. McCoy, celui-ci suggère que les expériences d’obéissance conduites à Yale furent financées par la CIA en tant qu’études du programme MKUltra sur le contrôle du comportement humain.

[…]

Milgram a d’abord proposé sa recherche sur l’obéissance dans une sollicitation du Group Psychology Branch de l’Office of Naval Research (ONR), bureau de recherche de la marine, couloir clef de la recherche et des expériences MKUltra de la CIA sur le contrôle humain. Le recteur qui embaucha Milgram plus tard à l’université de New York était un ancien directeur adjoint de l’ONR […] Les autres connexions de Milgram avec le programme de guerre psychologique de la CIA sont trop nombreuses pour être ici mentionnées.

Dans une révélation toute aussi importante, les expériences sur le contrôle de l’esprit de la CIA identifièrent l’isolation sociale comme le protocole principal pour contrôler le comportement individuel et sociétal : “En 1960, un des sous-traitants le plus actif de l’agence, Lawrence Hinkle de Cornell University, confirma la signification de l’isolation sociale… pour l’effort de contrôle des esprits de la CIA… à la lumière de la littérature neurologique, comme une des techniques ayant le plus de promesse en ce domaine.

La recherche de la CIA trouva que “l’effet de l’isolation sur la fonction cérébrale d’un individu est du même ressort que si celui-ci avait été battu, affamé ou privé de sommeil.

L’isolation sociale affecte le développement organique du cerveau et du corps humain, la longévité, la santé cardiovasculaire etc. L’isolation sociale double le risque de mortalité chez les sujets de race noire tout en augmentant les risques de mort prématurée de 60-84% chez des sujets de race blanche, tandis que d’autres études montrent qu’il y a moins de risque pour la santé à fumer une quinzaine de cigarettes par jour ou être un alcoolique, que d’être socialement isolé.

[…]

La planification par scenario en d’autres termes, est une technique très efficace de contrôle cérébral pour créer et renforcer des orthodoxies anti-démocratiques parmi des leaders politiques clef, les médias et la technocratie et de préparer la nation à tolérer un coup d’état contre la constitution sans avoir de résistance.

En 2009, le président Obama déclara la biosécurité comme le fer de lance de la politique étrangère américaine, dispersant des memos dans toutes les agences gouvernementales les instruisant d’intégrer la biosécurité dans leur mission.

[…]

Peter Schwartz écrivit un rapport scenario financé par la Fondation Rockefeller et intitulé “Scenarios for the Future of Technology and International Development”. une section de ce rapport appelée “Lockstep” renforça l’orthodoxie montante disant qu’une tyrannie mondiale état l’antidote aux maladies infectieuses.

[…]

En 1993, Schwartz avec Steward Brand et Nicholas Negroponte, était la force motivante derrière la création du magazine Wired, qui devint le centre de l’information de masse de l’écosystème bourgeonnant de l’internet. Le magazine devint rapidement un mode de communication central pour la discussion des agences de renseignement.

[…]

Wired gagna une renommée et une importance grandissantes au début des années 2000, à la même époque où la CIA lançait sa célèbre firme d’investissement In-Q-Tel afin d’infiltrer l’industrie technologique et placer la Silicone Valley sous stéroïdes avec des facilitations dans la réglementation et pleins de contrats gouvernementaux. Notons que la planificatrice de scenario Tara O’Toole fut vice-présidente exécutive de In-Q-Tel

Il faut aussi se rappeler aussi ici que les agences de la défense et du renseignement eurent une tête de pont dans l’industrie technologique dès le départ, en effet la DARPA avait créé l’internet en construisant la grille ARPANET en 1969. DARPA est le fond de recherche et d’investissement angélique du Pentagone. En plus d’avoir créé internet, DARPA a aussi créé le GPS, les bombardiers furtifs, les satellites météorologiques, les drones et le fusil d’assaut M16. DARPA fut peut-être le plus gros financier de la recherche sur le gain de fonction viral, devant même le NIH de Fauci certaines années. Rien qu’en 2017, DARPA fit passer au moins 6,5 millions de dollars à la blanchisserie de Peter Daszak et son EcoHealth Alliance pour financer des recherches au laboratoire de Wuhan en Chine. DARPA finança d’autres recherches sur le gain de fonction à Fort Detrick et d’autres recherches au travers du laboratoire de Batelle à St Joseph dans le Missouri. Au début de 2013, DARPA finança aussi les technologies clef pour le vaccin Moderna.

[…]

En 2010, la directrice visionnaire de DARPA, la Dr Regina Dugan, passa chez Google au bureau exécutif et en 2016, elle passa chez le concurrent de Google, Facebook, gérant un projet mystérieux du nom de Building 8. En 2018, elle transféra de nouveau vers Wellcome Leap, un projet d’innovation technologique pour la santé du Wellcome Trust. Ses pérégrinations démontrent s’il le fallait encore, les liens incessants existant entre Big Tech, Big Pharma et les agences du renseignement et de la défense.

[…]

Le financement de départ pour le magazine Wired provint du fondateur du Media Lab du MIT Nicholas Negroponte, dont le frère, John Negroponte, fut le premier directeur de l’Agence Nationale du Renseignement et tristement célèbre pour son soutien inconditionnel aux escadrons de la mort qui sévissaient en Amérique Centrale. La fonction centrale du magazine Wired était d’ “effacer jusqu’à la dernière particule de pensée progressiste dans l’information rapportée sur le monde en ligne qui se développe et de promouvoir une vue pro militaire, entreprise, agence de renseignement au sein du média numérique et de la communauté de la technologie.

[…]

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En 2015, Wired émergea comme le promoteur d’un style particulier de déni de l’épidémie d’autisme sévissant et connu sous le nom de “Neuro-diversité”. En normalisant l’autisme comme une “neuro-diversité”, ce mouvement cherchait à diluer les chiffres de l’autisme, de nier toute association de la condition avec les vaccins, et de promouvoir de manière plus large que les vaccins sont sûrs et que les blessures suite à vaccination ne sont que des illusions, voire des visions malades de fêlés de la cafetière. Ce “mouvement” a fait naître toute une armée “d’activistes” et de trolls, armés pour attaquer les chercheurs sur l’autisme, les groupes sociaux et même les familles des enfants atteints après vaccination.

[…]

Le magazine Wired est aussi également la tête de pont écrite de ce sinistre mouvement qu’est le transhumanisme, qui se fait l’avocat de l’intégration, de la fusion de l’être humain avec la machine.

[…] Dans ses approches doctrinaires variées, le transhumanisme a de fervents soutiens au sein de l’élite de la Silicon Valley incluant des titans C-suite de Microsoft, Facebook, Tesla de Elon Musk, le directeur de l’ingénierie de Google Raymons Kurtzweil, le fondateur de Paypal Peter Thiel, le titan de la biotechnologie Martine Rothblatt et bien sûr Bill Gates. In-Q-Tel a fait du transhumanisme un des thèmes persistant de ses stratégies d’investissement à long terme.

[…]

A partir de 2010, le partenariat entre Bill Gates et le dr Fauci devint le fer de lance de l’agenda de la biosécurité mondialiste. Bill Gates commença alors des associations avec des planificateurs de la défense et du renseignement afin de mettre en place des suivis de simulations réguliers. Chaque exercice subséquent répétait le scenario “Lockstep” de Schwartz pour des audiences différentes et des influenceurs de pouvoir. Ces exercices servaient d’outils aux planificateurs pour répéter leurs schémas avec une fonctionnalité critique, pour coordonner les communications et chrorégraphier les actions des divers gouvernements, de l’industrie, de l’armée, du renseignement, du secteur de l’énergie, et des centres de pouvoir financier, dans leur marche de verrouillage pour remplacer la démocratie constitutionnelle par une ploutocratie autoritaire. La “guerre globale contre les maladies infectieuses” fournissait la logique derrière le gouvernement oppresseur et les interventions corporatrices entrepreuneriales. L’arsenal de cette guerre et la mise en place de toute une batterie sans fin de vaccins obligatoires pour combattre des maladies créées comme armes biologiques par le gain de fonction et promus par des outils marketing de la propagande sophistiquée des gouvernements/entreprises.

En février 2017, Gates a dit à la conférence de Munich sur la sécurité que “nous ignorons à nos propres risques le lien entre la sécurité de la santé et la sécurité internationale.” Il lança un avertissement: “Une pandémie mondiale létale se produira au cours de nos vies, que ce soit par un élan de la nature ou de la main d’un terroriste. Le monde doit se préparer aux épidémies de la même manière que l’armée se prépare à la guerre.

A la mi-2017, la Fondation Rockefeller et les planificateurs de l’agence de renseignement avaient passé à Bill Gates le baton de relais comme financier principal et homme-vitrine des simulations régulières de pandémies de la communauté militaire et du renseignement. En mai,  les ministères de la santé des 20 pays les plus riches (G20) se rassemblèrent pour la première fois à Berlin pour participer à un scenario exercice commun ayant pour thème la Chine répondant à une contagion d’un virus pour l’occasion nommé MARS pour Mountain Associates Respiratory Virus, Mars étant aussi le dieu de la guerre romain. Les institutions gouvernementales allemandes collaborèrent pour produire la simulation avec la FBMG, la FR, la Banque Mondiale, l’OMS et la Robert Koch Institution (RKI). Les ministères de la santé participant allaient des Etats-Unis à la Russie en passant par l’Inde, la Chine, la France, la GB, l’Allemagne, le Canada, l’Argentine, le Brésil, la Corée du Sud, le Mexique, l’Arabie Saoudite, l’Indonésie, l’Afrique du Sud, la Turquie et l’Union Européenne. Les deux modérateurs de l’exercice travaillaient étroitement avec la FBMG : David Heymann, un épidémiologiste de la London School of Hygiene and Tropical Medicine financée par la FBMG et le CEO de Moderna Stéphane Bancel, aussi au comité directeur de la Fondation Mérieux USA. BioMérieux est l’entreprise française qui a construit le laboratoire de Wuhan en Chine.

[…]

En octobre 2017, Bill Gates rassembla une autre réunion pandémique au John Hopkins Center for Health and Security, le centre de commandement mondial de la biosécurité. La FBMG avec le NIAID et le NIH est un des financiers principaux de la John Hopkins Bloomberg School of Public Health. SPARS 2017 chroniquait la pandémie d’un coronavirus imaginaire entre 2025 et 2028. Cet exercice se révéla être un étrange prédicateur de la pandémie COVID un peu plus de deux ans plus tard.

Le groupe de travail de Gates qui mit alors en place cet exercice, était une collection de personnes ayant des liens profonds avec les agences de renseignement et le NIH. Ceci incluait Luciana Borio, vice-présidente de In-Q-Tel de la CIA et Joseph Buccina, directeur de bureau de soutien à la communauté du renseignement et de B.Next Operations à In-Q-Tel.

[…]

Sous le nom de code “SPARS Pandemic”, Gates présida une bien sinistre école d’été pour mondialistes, espions, barbouzes et technocrates en tout genre à Baltimore. Les intervenants jouèrent un jeu de rôle dans des stratégies de cooptage des institutions politiques les plus influentes au monde, subvertissant la gouvernance démocratique et se positionnant eux-mêmes comme les dirigeants non élus d’un régime autoritaire émergent. Ils mirent en pratique des techniques afin de contrôler la dissidence sans pitié, contrôler l’expression et le libre mouvement, dégrader les droits, l’autonomie et la souveraineté. La simulation de Gates focalisa sur le déploiement de l’habituel flot de propagande dans une opération psychologique de masse, de surveillance, de censure, d’isolation et de contrôle politique et social afin de gérer la pandémie. Le sommaire officiel de 89 pages de cet exercice est un véritable miracle pour diseur de bonne aventure, une prédiction incroyablement réalisée mois par mois de la pandémie COVID-19 telle qu’elle s’est déroulée dans la réalité.

[…]

La simulation de Gates instruit les fonctionnaires de la santé publique et autres collaborateurs du cartel mondial de la vaccination ce à quoi s’attendre et comment se comporter durant la peste à venir. En lisant ces 89 pages, il est difficile de ne pas interpréter cette incroyable prémonition comme étant un plan et exercice d’entrainement pour remplacer la démocratie avec de nouveaux régimes de tyrannie médicale mondiale militarisée. Le scenario dirige les participants à déployer des narratifs propagandistes répandant la peur afin d’induire une psychose de masse et de diriger le public vers une obéissance des plus questionnable envers un ordre social et économique émergent.

[…]

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D’après le scenario, fin janvier [2025], SPARS s’est étendu dans tous les états de l’Union et dans 42 pays. en un temps record, une coalition d’entreprises ingénieuses et de fonctionnaires gouvernementaux héroïques, produit miraculeusement un vaccin, le “Corovax”, juste à temps pour une utilisation d’urgence en juillet 2026.

Cette merveille de la médecine rencontre une résistance de la part de plusieurs groupes nuisibles qui se plaignent que les labos n’ont pas suffisamment et correctement testé les injections. Parmi ce ramassis d’ingrats se trouvent les Afro-américains, les enthousiastes des médecines alternatives et un nombre rapidement croissant de membres du mouvement anti-vaccination se répandant dans les médias sociaux. Mais les gouvernements et les leaders des industries dépeints dans ces 89 pages ont des plans pour réduire au silence et censurer ces dangereux éléments et d’écraser toute résistance.

L’équipe du SPARS répond à ces indigents par un flot de propagande afin de noyer le doute dans une éloge du vaccin, une mise au pilori des hésitants vaccinaux et autres appels patriotiques.

[…]

Au printemps 2026, alors que se déroule plein pot la vaccination sous Autorisation d’Utilisation d’Urgence (AUU), les réserves du public concernant l’injection se multiplient. Le scenario prédit des vagues de blessures neurologiques graves dues au vaccin apparaissant parmi les populations, surtout chez les jeunes adultes et les enfants. Le CDC doit faire face à une montée du scepticisme quant à la létalité réelle du virus comparée à ses prédictions exagérées, le chiffre officiel de mortalité montrant que la mortalité du coronavirus est peu ou prou celui de la grippe saisonnière.

Les organisateurs du SPARS avertissent qu’une baisse des chiffres de mortalité déclenchera “un sentiment public, largement répandu dans les médias sociaux, que le SPARS n’était en fait pas si dangereux que le disaient les prévisions initiales.” Cette baisse périlleuse du niveau de la peur populaire met en danger toute l’entreprise vaccinale. L’équipe SPARS se tourne alors ver un porno pandémique en répétant constamment le nombre de morts et le nombre de “cas”, afin d’amplifier les décibels de la peur et d’assurer le succès de leur inoculation de masse. Pour résoudre le problème de la dangereuse nonchalance publique, le CDC et la FDA, de concert avec d’autres agences gouvernementales et leurs experts en médias sociaux, commencent à développer une nouvelle campagne de propagande de santé publique : “Créer une nouvelle série de messages qui pourront être partagés par toutes les agences de gouvernement et de santé publique pendant les plusieurs mois qui suivent et durant lesquels le vaccin anti-SPARS pourrait être introduit sur le marché.

[…]

Même une lecture en diagonale de ce document de planification de la fondation rend très clair que la préparation de Gates a peu à faire avec la santé publique et tout à faire avec la limitation des libertés et le marketing agressif de vaccins.

Les planificateurs disent à leur audience sélectionnée “ces fournisseurs de santé publique et les communicateurs sur la pandémie”, que les préoccupations du public et ses réactions aux dommages potentiels des effets secondaires de la vaccination peuvent être noyées en inondant les ondes avec les bonnes nouvelles en provenance du vaccin et de ses succès. Le rôle perturbateur des médias de masse dans ces exercices est la diffusion de la propagande, l’imposition de la censure et la fabrication du consentement à une politique oppressive.

[…]

A la fois les titans des médias de masse et des réseaux sociaux sont parfaitement disposés à servir les élites mondialistes.

[…]

Gates et son équipe assurent les planificateurs pandémiques qu’il sera facile d’éviter toute culpabilité pour la vague de blessures et dégâts neurologiques sur le long terme et causés par leurs vaccins expérimentaux.

[…]

D’après les organisateurs, le but de la simulation de Gates était de préparer “les communicants en santé publique” en leur donnant un modèle pas à pas de ce que sera la prochaine pandémie. Dix-huit mois dans la pandémie COVID-19, il est difficile de voir le document de planification détaillé de Gates en 2018 sans avoir ce sentiment qu’on se joue de nous.

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Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique Robert F. Kennedy Jr (chapitre 12, 1ère partie)

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Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Mars 2022

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12 Jeux de germes

Jeux de guerre : la génèse de l’état de bio-sécurité

“Ceux qui abandonneraient la liberté essentielle pour s’acheter un peu de sécurité temporaire, ne méritent ni liberté ni sécurité.”
~ Benjamin Franklin ~

“Beaucoup d’entre nous se demandent quand les choses retourneront à la normale. La réponse la plus courte est : jamais. Rien ne reviendra jamais au sens “brisé” de la normalité qui prévalait avant la crise parce que la pandémie au coronavirus marque le point fondamental d’inflexion dans notre trajectoire globale.”
~ Klaus Schwab, The Great Reset (juillet 2020) ~

“Je veux être direct avec vous : il n’y aura pas de retour à la vieille normalité dans un futur prévisible.”
~ Tedros Adhanom Ghebreyesus, DG de l’OMS ~

Note des traducteurs :

Ce chapitre avec le 1er chapitre est le plus long du livre. Il fait 57 pages plus 10 pages de notes bibliographiques. Nous le publierons en 3 parties comme nous l’avions fait pour le premier chapitre. Merci de votre compréhension.

[1]  [2]  [3]  

[1]

Les Etats-Unis ont commencé leur recherche profonde et à grande échelle sur les armes biologiques offensives durant la seconde guerre mondiale, au printemps de 1943, sur ordre du président F.D. Roosevelt, ce en tant que coopération entre l’armée, l’industrie pharmaceutique et leur associé principal, le titan de Big Pharma de l’époque George. W. Merck. Celui-ci dirigea le programme biologique offensif du Pentagone tout en dirigeant simultanément son géant pharmaceutique. Merck se vanta qu’il pouvait avec son équipe, fournir des agents biologiques sous forme d’arme sans grande dépense, ni même avoir à construire de grands espaces de production. Il fit aussi remarquer que l’avantage des armes biologiques était qu’elles pouvaient être développées sous couvert d’une recherche médicale tout à fait légitime.

Les agences de renseignement étaient aussi impliqués dans ce programme de recherche top secret dès le départ. L’homme à tout faire de George Merck, Frank Olson, était un bactériologiste américain, scientifique pour la guerre biologique et un agent de la CIA. Il travailla pour l’US Army Biological Warfare Laboratory (USBWL) de Fort Detrick avec Merck et l’armée américaine pour développer l’arsenal biologique et de guerre psychologique américain. Le “Projet Artichaut” était un programme d’interrogation expérimental de la CIA qui utilisait des drogues psycho-actives comme le LSD dans des méthodes d’interrogation “poussées”. Ce projet faisait partie d’un plus vaste programme de la CIA explorant des approches de moyens de contrôle à la fois des individus et des populations. Olson fut atteint de doutes moraux à partir de mai 1952 après qu’il eut regardé un documentaire sur la réforme de l’église et Martin Luther. Un Olson conscient de sa responsabilité informa ses patrons de son intention de quitter le programme d’armement biologique.

A peu près dans le même temps, le collègue d’Olson à la CIA, Sidney Gottlieb, patron du programme MKUltra de la CIA (NdT: MK est l’acronyme stylisé pour “Mind Kontrol”, contrôle de l’esprit, “Ultra” pour son développement supérieur), lui administra secrètement du LSD. Une semaine plus tard, le 28 novembre 1953, Olson plongea vers sa mort d’une fenêtre de l’hôtel Statler de New York.

Le gouvernement des Etats-Unis décrivit d’abord sa mort comme un suicide, puis un accident. En 1975, le gouvernement admit sa culpabilité dans le meurtre et offrit à la famille d’Olson un arrangement financier hors tribunal de 1,25 million de dollars, réduit plus tard à 750 000 US$, que la famille accepta avec les excuses du président Gerald Ford et du directeur de la CIA d’alors William Colby.

D’après David Franz, qui fut durant vingt-trois années, le commandant de l’US Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (USAMRIID) : “la limite principale était la difficulté de gérer les armes biologiques de façon à éviter une fuite accidentelle..” Ironiquement, Franz allait jouer plus tard un rôle clef dans les programmes de “gain de fonction” du Pentagone / Fauci, menant à la pandémie COVID-19.

Cela a pris fin semble t’il, à la fin de l’année 1969, lorsque le président Nixon se rendit à Fort Detrick pour annoncer la fermeture du programme d’armes biologiques des Etats-Unis pour des raisons morales et stratégiques.

[…]

Les Etats-Unis signèrent le Convention sur les Armes Biologiques en 1972. […] Ce traité présentait de gros vides juridiques et permettait la production d’agents biologiques létaux comme l’anthrax (spore de la maladie du charbon) et autres dans le but de la production de vaccins…

Les barbouzes de la CIA et du Pentagone continuèrent de cultiver un stock d’armes biologiques. Entre 1983 et 1988, le CEO de Seattle Pharmaceuticals, Donald Rumsfeld, agissant comme l’envoyé spécial du président Reagan en Irak, arrangea une livraison top secrète de tonnes d’armements biologiques et chimiques, incluant l’anthrax et la peste bubonique, au président irakien Saddam Hussein, espérant renverser la situation d’une défaite de l’Irak se profilant à l’horizon dans sa longue guerre déclenchée contre l’Iran et son armée de un million d’hommes. Les forces iraniennes victorieuses de l’ayatollah Khomeini balayaient alors les forces de Saddam dans leur guerre pour le Golfe Persique. L’administration américaine ayant peur de l’impact sur les fournitures globales de pétrole si l’Iran prévalait dans ce conflit.

Suivant la chute de l’URSS entre 1988 et 1991, […] les mandarins du Pentagone et leur empire de sous-traitants auraient été bien déçus si quelqu’un d’autre devait bénéficier de tout cet argent à dépenser qu’ils pensaient leur revenir de droit.

[…] Comme le terrorisme est une tactique et non pas une nation, un “terrorisme” mal défini avait l’allure d’un ennemi qui ne pourrait jamais être vaincu. Nous pouvons donc imaginer le grand soulagement des sous-traitants de la défense à l’annonce par le vice-président Dick Cheney de la “longue guerre” contre le “terrorisme”, une guerre disait-il, qui durerait sur des générations, avec des champs de batailles “éparpillés dans plus de 50 nations”.

[…]

L’expert en armement biologique Robert P. Kadlec est un médecin et colonel en retraite de l’armée de l’air des Etats-Unis qui a servi comme secrétaire-adjoint des services Health and Human Services (HHS) et leur département de Préparation et Réponse à l’Urgence entre août 2017 et janvier 2021 et géra la crise COVID-19 dans l’administration Trump.

[…]

A 2h47 en ce matin du 1er février 2020, quatre heures après que son loyal récipiendaire de fonds, le virologiste Kristian Andersen, eut informé le dr Fauci que lui et d’autres virologistes pensaient que la séquence génétique responsable du “clivage par la furine” sur la protéine “spike” du virus, cette structure particulière qui permet à l’organisme de s’accrocher fermement et d’infecter les cellules via le récepteur ACE-2, était de manière fort improbable, le produit d’une sélection et d’un résultat naturel, le dr Fauci envoya un courriel très minutieusement phrasé à Kadlec. Ses autres courriels de cette soirée là suggèrent qu’il était intensément préoccupé du fait que les expériences chinoises qui auraient pu créer cette variété de nouveau coronavirus pourraient bien porter des empreintes menant à lui. Si la recherche sur le gain de fonction du dr Fauci avait bien enfanté le COVID-19, alors Kadlec serait aussi impliqué. Celui-ci avait servi dans un petit comité nommé Comité P3CO en charge d’approuver les expériences de gain de fonction du NIH et il est clair d’après le courriel de Fauci, que ce sujet était aussi venu à l’esprit de Kadlec.

[…]

Kadlec est une sorte de Dr Folamour ayant des liens profonds avec les agences d’espionage, Big Pharma, le Pentagone et les sous-traitants militaires qui profitent grassement de cet épandage d’alarmisme sur les armes biologiques.

[…]

Comme l’a si bien dit le journaliste Alexis Baden-Meyer : “Kadlec a créé le complexe industriel de la biodéfense tel que nous le connaissons et il le dirige comme un tsar.

En 1999, le dr Kadlec organisa une simulation d’attaque terroriste à la variole sur le territoire américain dans un exercice qui impliquait aussi le tout nouvellement formé John Hopkin’s Center for Civilian Biodefense Strategies ainsi que les services des HHS. 

[…]

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Cette même année, la FBMG donna 20 millions de dollars à l’université John Hopkin’s pour y établir le Bill & Melinda Gates Institute for Population and Reproductive Health. Durant les deux décennies suivantes, Gates allait diriger un vaste flot de financement à l’entreprise d’élever la bio-sécurité en tant que priorité nationale.

[…]

Les simulations de Kadlec et plus d’une douzaine qui leur succédèrent dans les plus de vingt années qui suivirent, bon nombre sous la direction de Bill Gates, ont toutes partagé des caractéristiques communes. Aucune d’elles ne mettait en avant la protection de la santé publique en montrant aux Américains comment améliorer leur système immunitaire, de manger mieux, de perdre du poids, de faire de l’exercice, de maintenir leur niveau de vitamine D et d’éviter les expositions aux produits chimiques. Aucune d’elles n’insistaient sur la mise en place d’Infrastructures de communication vitales pour relier les médecins de terrain entre eux durant une pandémie et le raffinement de protocoles de traitement optimaux. Aucune n’adressait le véritable besoin d’identifier des médicaments hors étiquettes, reciblés pour réduire les fatalités et pour réduire la durée de la pandémie. Aucune d’elles ne considérait l’isolation des malades et leur traitement et celle des personnes les plus vulnérables ou comment protéger les personnes âgés placés en institution, de l’infection. Aucune d’elles ne questionnait l’efficacité des masques, des confinements et de la distanciation sociale comme moyen de réduire les fatalités et les infections. Aucune d’elles ne s’engageait dans une profonde recherche du comment préserver les droits constitutionnels pendant une pandémie mondiale.

En lieu et place, les simulations ne furent qu’un jeu de guerre montrant comment utiliser les pouvoirs policiers pour placer en détention et en quarantaine les citoyens, comment imposer la loi martiale, comment contrôler la divulgation du message en utilisant la propagande idoine, comment utiliser la censure afin de réduire toute dissidence au silence, et comment obliger le port du masque, les confinements et les injections “vaccinales” coercitives et mettre en place un système de traçage et de surveillance parmi la population potentiellement réticente à ces mesures.

[…]

De manière contemporaine à cette simulation à la contagion de variole par John Hopkin’s, le Pentagone lança un projet top-secret depuis un ancien site d’armement nucléaire dans le désert du Nevada pour tester la possibilité de construire un petit labo de production de spores de la maladie du charbon (anthrax), utilisant un équipement disponible dans le commerce et les magasins classiques de quincaillerie et les catalogues de fournitures biologiques.

Sous le nom de code de “Projet Bacchus”, une petite cohorte de faux terroristes, tous experts en armement militaire, réussirent à produire quelques kilos d’anthrax. Deux ans après ce projet du Pentagon sur l’anthrax du Nevada, quelqu’un associé avec l’armée américaine monta une opération de grande envergure et envoya des spores sous enveloppes à certains membres du congrès des Etats-Unis et à des personnes clef des médias, lançant de fait “l’ère de la biosécurité”.

A la lumière d’évènements subséquents, nous ne pouvons pas exclure que quelqu’un dans notre gouvernement ait perpétré une attaque faux-drapeau sur des Américains à des fins de provocation pour un agenda bien plus vaste. Ceci n’est en rien une flamboyante théorie conspirationiste. Pendant la présidence de mon oncle, l’Etat-Major des armées avait soumis un plan appelé “Operation Northwoods”, qui proposait des attaques faux-drapeau, incluant l’assassinat de citoyens américains, pour justifier d’une invasion de Cuba. Mon oncle réagit alors avec horreur au briefing du chef d’état-major du moment Lyman Lemnitzer et quitta la salle de conférence de manière abrupte. “Et on nous appelle l’espèce humaine”, fit-il remarquer à son ministre des affaires étrangères Dean Rusk.

Les agences de renseignement américaines et le complexe militaro-industriel blâmèrent initialement et à tort, l’attaque à l’anthrax sur Saddam Hussein ou Al Qaïda et plus tard utilisèrent des prétextes similairement incorrects pour lancer une guerre dévastatrice sur l’Irak

[…]

En 1998, le financier de naissance libanaise Ibrahim El-Hibri et son fils, Fouad, avec l’ancien chef d’état-Major américain, l’amiral William Crowe Jr, établirent une entreprise appelée BioPort et payèrent 25 millions de dollars à l’état du Michigan pour sa vieille facilité de production de vaccin. Le but des El-Hibri était d’utiliser cette usine de production pour fabriquer un vaccin contre la maladie du charbon (anthrax) pour le vendre à l’armée américaine.

[…]

Moins d’un mois après avoir pris possession de l’affaire du Michigan, BioPort signa un contrat exclusif de 29 millions de dollars avec le Pentagone pour “fabriquer, tester, mettre en bouteille et stocker le vaccin contre la maladie du charbon pour les troupes américaines stationnées à l’étranger.” […] Les El-Hibri ne testèrent jamais leur concoction. Ils n’avaient pas besoin, ils avaient été immunisés contre toute poursuite judiciaire.

[…]

Presqu’en même que fut formé BioPort, l’entreprise commença à recevoir de grosses sommes d’argent de l’armée américaine pour réhabiliter le labo à anthrax. Mais le bâtiment continua à ne pas pouvoir être accrédité par la FDA. En 1999, ils rasèrent l’usine et la reconstruisirent de fond en comble aux frais du contribuable américain.

[…]

La convention de 1972 sur les armes biologiques voulait dire que ni les bidasses ni les barbouzes ne pouvaient légalement rechercher ou produire des armes biologiques. Mais la convention laissa grande ouverte une porte de sortie, à savoir que les signataires pourraient développer une “double utilisation” de technologies d’armes et de vaccins aussi loin que le projet avait une logique défensive. Après les attaques à l’anthrax, les “vaccins” devinrent soudainement un euphémisme pour armes biologiques et le ticket pour un retour en eau profonde et toute une industrie de guerre biologique “défensive”. Les planificateurs militaires du Pentagone, de la BARDA, DARPA et de la CIA (au travers de l’USAID) commencèrent à déverser des flots d’argent dans les expériences dites de “gain de fonction”. La recherche “double emploi” devint soudainement très en vogue…

Les 22 et 23 juin 2001 soit moins de trois mois avant les attaques du 11 septembre, le Pentagone lança un jeu de guerre au nom de code “Dark Winter” depuis la base aérienne Andrews, une opération qui mettait en valeur le plus fort engagement de l’armée dans les vaccins armes biologiques. Robert Kadlec, l’organisateur en chef de cette simulation de pandémie lui donna aussi son nom de code. […] Les participants à l’opération explorèrent les stratégies pour imposer une quarantaine coercitive, une censure, une obligation de se masquer, de confinement et de vaccination et étendirent les pouvoirs policiers comme n’étant que les seuls réponses rationnelles à une pandémie.

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[…]

L’exercice Dark Winter [et son échec, la simulation de l’épidémie de variole gagna le jeu de guerre] avait prédit de manière étrange bien des aspects de ce qui allait suivre quelques mois plus tard avec les lettres contenant les spores de la maladie du charbon. De tels miracles et prédictions devinrent une caractéristique récurrente de chacun des jeux de germes qui s’ensuivirent.

[…]

L’ancien directeur de la CIA James Woolsey, était un participant et organisateur, tout comme l’était une lobbyiste de Big Pharma et experte en armes biologiques, Tara O’Toole, un directeur du hedge fund de la CIA In-Q-Tel, l’ancienne directrice adjointe de la CIA pour la science et la technologie, Ruth David, l’expert en bio-terrorisme de l’université John Hopkin’s Tom Inglesby et la journaliste du New York Times Judith Miller, tous y participèrent.

La présence de James Woolsey et du Colonel Larsen, de Ruth David et de Tara O’Toole signala l’ubiquité nébuleuse de la communauté du renseignement dans la biosécurité et toute chose reliée aux vaccins..

[…] 

Alliance Biosciences est une corporation, un groupe créé oar Ibrahim El-Hibri et son associé, ex-chef d’état-major des armées, l’amiral William Crowe et financé par d’autres firmes de l’armement biologique.

[…]

D’autres financiers d’Alliance Biosciences incluent la laboratoire Pfizer, le consortium pharmaceutique aérosol international et Sig Technologies, un sous-traitant militaire de la bio-défense.

[…]

Des membres du think tank Project for a New American Century (PNAC) ont aussi joué un rôle clef en sonnant l’alarme qu’une attaque terroriste biologique était certaine dans le futur du 11 septembre et amplifièrent simultanément la panique et le blâme sur l’Irak après les attaques aux lettres contaminées aux spores de la maladie du charbon. La doctrine principale du PNAC était que, en tant que vainqueur de la guerre froide, l’Amérique et les multinationales américaines, particulièrement les entreprises pétrolières et pharmaceutiques, avaient gagné le droit de diriger le monde pour un siècle ou plus. Les membres du PNAC étaient infiltrés pratiquement dans tous les postes clefs de la politique étrangère de la Maison blanche de Bush. Cette cabale de va t’en guerre s’appelait eux-mêmes “Les Vulcains” en honneur de leur modèle d’impérialisme américain belliqueux. Leurs membres incluaient Dick Cheney (vice-président sous Bush), Scooter Libby, Donald Rumsfeld, Douglas Feith, Elliott Abrams, John Bolton et les conseillers de Rumsfeld, Richard Perle et Paul Wolfowitz. Leurs critiques les appelaient “les faucons poulets”, parce qu’ironiquement, chacun d’entre eux avait fuit, échappé, à la conscription durant la guerre du Vietnam.

[…]

Les faucons poulets du PNAC étaient déterminés à utiliser les attentas du 11 septembre comme prétexte pour une guerre contre l’Irak, dans les sous-sols duquel, dieu avait emmagasiné tant du pétrole américain. L’affaire de l’anthrax fournit alors cette provocation. Le contrôle des ressources mondiales de pétrole était, pour le PNAC, une pierre angulaire de l’impérialisme américain du siècle à venir et une attaque biologique contre l’Amérique devenait une provocation idéale pour une invasion “préventive“ de l’Irak.

[…]

L’implication invasive de la CIA dans le putsch mondial des vaccins devrait nous faire réfléchir. Il n’y a rien dans l’histoire de la CIA, dans sa charte, dans sa composition ou sa culture institutionnelle qui montre un quelconque désir ou intérêt dans la promotion de la santé publique ou de la démocratie. Les préoccupations historiques de la CIA ont toujours été le pouvoir et le contrôle. La CIA a été impliquée dans au moins 72 tentatives de coups d’état, certains réussis entre 1947 et 1989, impliquant environ un tiers des gouvernements du monde. Beaucoup de ces coups furent perpétrés contre des démocraties fonctionnelles. La CIA ne fait pas dans la santé publique ni dans la démocratie ; la CIA fait dans le coup d’état.

L’exercice “Dark Winter” faisait partie d’une campagne persistante des agences de renseignement et du lobby des armes biologiques de maintenir la peur de la variole, active dans la conscience publique. […] Des fervents de la santé publique insistèrent pour que la bureaucratie fédérale et l’armée détruisent leurs réserves de variole afin de prévenir des fuites éventuelles qui seraient désastreuses pour l’humanité, voire la décimeraient. Ignorant ces avertissements, l’administration de Bush en acheta encore plus.. Durant les préparatifs de la guerre contre l’Irak, l’administration planifiait d’inoculer la population des Etats-Unis avec le vaccin anti-variolique.

[…]

Le Dr Meryl Nass, écrivant sur l’historique du vaccin anti-variolique rapporta plus tard :

Le vaccin contre la variole était connu pour être très largement réactogène… Lorsque le vaccin fut inoculé aux personnels soignants et aux premiers secouristes en 2003, il y eu des épisodes de fatalité cardiaques, d’infarctus, de myocardite et les morts se sont vite accumulés. Les médecins et les infirmières savaient qu’ils ne pouvaient pas engager de poursuites judiciaires s’ils subissaient des effets secondaires néfastes et dans un premier temps, il n’y eut aucune compensation fédérale non plus. Les personnels soignants commencèrent à refuser la vaccination.

[…]

L’armée continua à vacciner les soldats avec un vaccin mortel, non testé et non approuvé médicalement, ce avec des résultats catastrophiques. Le vaccin causa des myocardites symptomatiques chez 1 soldat sur 216 et des myocardites sub-cliniques chez 1 sur 35, d’après une étude de l’US Army de 2005. Les hauts fonctionnaires ont depuis reconnu les vaccins comme cause probable de cette épidémie du Syndrome de la Guerre du Golfe qui sévit alors et qui affecta les soldats inoculés, à la fois ceux déployés et ceux en attente de déploiement mais qui ne le furent jamais.

[…]

Le second plus virulent des ces poulets faucons après le VP Cheney, de la petite coterie de George W. Bush, fut son ministre de la défense et ex-CEO de Seattle Pharmaceuticals et patron du PNAC, Donald Rumsfeld, le même Rumsfeld qui, 14 ans plus tôt, avait donné à Saddam Hussein un arsenal biologique dont l’anthrax. Bien que personne n’ait jamais prouvé l’origine de ces spores contenus dans les lettres, le FBI a conclu que ces poudres provenaient d’un laboratoire militaire américain.

[…]

Au lieu de montrer du doigt Sadam Hussein, le labo du FBI trouva que les spores de la maladies du charbon avaient pour origine le laboratoire militaire de Fort Detrick ; un labo de l’université de Scranton ; ou un labo de l’entreprise Battelle basé à West Jefferson, dont le propriétaire est un associé d’affaire des El-Hibri.

Le FBI mit fin à son enquête après qu’un des suspects principaux, un vaccinologue, le Dr Bruce Ivins, patron du labo militaire de Fort Detrick, se soit soi-disant suicidé.

[…]

Une publication italienne, Il Manifesto, rapporta en octobre 2001, que le FBI avait placé les El-Hibri sur sa liste de suspects pour avoir envoyé les spores d’anthrax par la poste.

A qui profite le crime ?

Depuis 1995, Kadlec a éructé au sujet du bioterrorisme devant les élèves de l’école de guerre et a insisté sur la création d’un Strategic National Stockpile (SNS) pour y entreposer des vaccins et autres substances de contre-mesures. En 2004, Kadlec travaillait avec Rumsfeld à la Maison Blanche de Bush et le congrès passa la loi sur la Public Health Security and Bioterrorism Preparedness Act (PHSBPA), que Kadlec rédigea, dirigeant le secrétaire des HHS à maintenir le SNS qui devenait une co-gestion entre le DHS et les HHS.

La même semaine, le congrès passa également la loi du Project BioShield Act ou loi sur le bouclier biologique, que Kadlec aida aussi à rédiger, loi qui lança la Biomedical Advanced Research and Development Authority ou BARDA, une banque d’investissement gouvernementale qui allait faire germer de nouvelles technologies pour le stock de Kadlec. Sous les conseils de celui-ci, la BARDA allait devenir le distributeur automatique de billets fédéral pour Big Pharma, les sous-traitants de la biodéfense et les chercheurs sur le gain de fonction. Avec le NIAID du dr Fauci et le DARPA du Pentagome, BARDA serait un autre géant du financement d’expériences pour créer des super-bestioles pandémiques à Wuhan et ailleurs.

[…]

Un autre bénéficiaire circonspect du stock fut le ministre des affaires étrangères d’alors et patron de Kadlec, Donald Rumsfeld, qui s’était considérablement enrichi lors de la fausse “pandémie” de grippe aviaire de 2004, que Fauci avait favorisée avec son jeune et ambitieux acolyte britannique du Wellcome Trust, Jeremy Farrar. Seize ans plus tard, en tant que directeur du Wellcome Trust, Farrar jouera un rôle clef dans le maquillage de l’affaire de Wuhan en 2020. En 2004 et 2005, en réponse à la contagion concoctée par Farrar, entreposa 80 millions de doses du remède de Gilead Science, Tamiflu. Rumsfeld avait servi au comité directeur de Gilead entre 1988 et 2001 en fut président du comité directeur de 1997 à 2001, jusqu’à ce qu’il rejoigne le gouvernement Bush en tant que ministre de la défense. Il a gardé des actions dans l’entreprise, ce qui lui rapporta un profit net de 5 millions de dollars dans l’affaire du Tamiflu. George Schultz, autre faucon du PNAC, toucha aussi le jackpot, touchant 7 millions de dollars de ses actions de Gilead lors de la “crise de la grippe aviaire”.

Le plus gros vainqueur néanmoins furent les El-Hibri : les attaques à l’anthrax leur apporta exonération et d’énormes bénéfices.

[…]

La patron de Kadlec, Donald Rumsfeld, a dit à ses aides que sa priorité à la biosécurité après les enveloppes d’anthrax envoyées par la poste, sauvait BioPort.

[…]

Le vice-président américain Dick Cheney et ses acolytes du PNAC trouvèrent des vides juridiques bien utiles dans la Convention de Genève par lesquels ils multiplièrent par 40 les dépenses sur la recherche en armes biologiques.

[…]

Pratiquement chaque fonctionnaire fédéral expérimenté était un jockey dans la course à la guerre contre la terreur et pour arriver dans le cercle restreint des gagnants. Le corps médical militaire, manœuvrant pour sa part de gâteau dans le ruissellement du fric injecté dans le bioterrorisme, avait proposé que chaque soldat américain devrait recevoir 75 nouveaux vaccins dès leur enrôlement afin de couvrir toutes les armes biologiques possibles.

[…]

Le dr Fauci était en concurrence ouverte avec l’armée dans une campagne qui allait crescendo de pompage de l’argent du contribuable américain en utilisant le risque posé par l’anthrax et la maladie du charbon comme prétexte. Le budget bio-défense du NIAID à lui seul a été multiplié par 6 entre 2002 et 2003, de 270 millions de dollars à 1,75 milliards.

[…]

Malgré le fait qu’ils n’ont tué collectivement que 800 personnes dans le monde, les coronavirus SRAS entre 2002 et 2004 étaient donc un don du ciel pour Fauci. Le directeur du NIAID ignora le plus évident des avertissements de ces incidents : que des fuites de coronavirus des laboratoires en Chine, à Taïwan et à Singapour avaient précipité plusieurs des contagions. Fauci déclara en 2011 : “Par la réponse à l’anthrax, nous avons construit à la fois une infrastructure physique et intellectuelle qui peut être utilisée pour répondre à bonne variété de menaces sur la santé.” A partir de là, la course à l’armement interne pour capturer les fonds de financement du Pentagone, de la CIA, BARDA, DARPA et HHS attirait l’armée, la CIA et le NIAID de plus en plus profond dans cette alchimie de la “recherche de gain de fonction”, qui finira par culminer avec cette affaire de la boîte de Pandore du laboratoire P4 de Wuhan.

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COVID et crimes contre l’humanité… Que disent les premières 10 000 pages d’étude sur l’injection OGM à ARNm de Pfizer/BioNTech ?… (Children’s Health Defense)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, Internet et liberté, média et propagande, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 12 mars 2022 by Résistance 71

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La FDA publie 10 000 documents supplémentaires sur les vaccins de Pfizer, que révèlent-ils ?

Michel Nevradakis

Children’s Health Defense (créée par Robert F. Kennedy Jr)

6 mars 2022

url de l’article original en français :
https://www.mondialisation.ca/la-fda-publie-10-000-documents-supplementaires-sur-les-vaccins-de-pfizer-que-revelent-ils/5665948

La Food and Drug Administration (FDA) [États-Unis] a publié mardi une série de 10 000 pages de documents relatifs à l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) du vaccin COVID de Pfizer-BioNTech.

Ces documents permettent de mieux comprendre le processus d’approbation du vaccin par la FDA et peuvent également apporter des éclaircissements sur la sécurité et l’efficacité des vaccins ainsi que sur le nombre et la nature des effets indésirables observés au cours des essais cliniques et des premiers mois suivant la délivrance de l’autorisation d’utilisation d’urgence.

Les documents ont été rendus publics dans le cadre d’un calendrier de publication ordonné par le tribunal à la suite d’une demande accélérée en vertu de la loi sur la liberté d’information (Freedom of Information Act, FOIA) présentée par le groupe Public Health and Medical Professionals for Transparency (PHMPT).

PHMPT, un groupe de professionnels de la médecine et de la santé publique et de scientifiques de Harvard, Yale, UCLA et d’autres institutions, a soumis la demande en août 2021.

La requête FOIA demandait que soient rendues publiques les quelque 400 000 pages de documents relatifs à l’approbation du vaccin Pfizer COVID, notamment les données sur la sécurité et l’efficacité, les rapports sur les effets indésirables et la liste des ingrédients actifs et inactifs du vaccin.

La FDA n’ayant pas donné suite à cette demande, la PHMPT a intenté un procès à l’agence en septembre 2021, portant l’affaire devant le tribunal de district des États-Unis pour le district nord du Texas. Le 2 février, le juge fédéral Mark Pittman a rendu une ordonnance exigeant que la FDA publie des versions expurgées des documents en question selon le calendrier de divulgation suivant :

  • 10 000 pages par document, à remettre au plus tard le 1er mars et le 1er avril 2022.
  • 80 000 pages chacune, à produire au plus tard le 2 mai, le 1er juin et le 1er juillet 2022.
  • 70 000 pages à produire le ou avant le 1er août 2022.
  • 55 000 pages par mois, au plus tard le premier jour ouvrable de chaque mois suivant, jusqu’à ce que la diffusion des documents soit terminée.
  • La série de documents rendue publique le 1er mars, disponible sur le site Web du PHMPT, représente la première diffusion de tels documents après l’émission de l’ordonnance de Pittman en février.

Toutefois, la FDA a publié de plus petits ensembles de documents en novembre et décembre 2021 et en janvier 2022, alors que l’affaire judiciaire était en cours.

Que révèlent les documents ?

Le premier groupe de documents, produit en novembre 2021 et totalisant à peine 500 pages, a révélé des problèmes de sécurité et le fait que plus de 1 200 décès liés à des vaccins sont survenus dans les 90 premiers jours suivant la mise sur le marché du vaccin COVID de Pfizer-BioNTech.

Les documents ont également révélé une liste de neuf pages d »effets indésirables observés au cours de cette même période. Cette liste a récemment été largement diffusée sur les médias sociaux et attribuée à tort à la série de documents publiés le 1er mars.

Cela peut s’expliquer par le fait que la publication des documents du 1er mars a attiré l’attention de tous ceux qui suivent le dossier, ce qui a probablement généré du trafic sur le site Web du PHMPT, qui répertorie tous les documents publiés à ce jour.

Les grands médias n’ont cependant pas couvert la dernière publication de documents et, à l’heure où nous écrivons ces lignes, la couverture par les petits médias a été restreinte. Cela peut être dû, du moins en partie, à l’énorme volume d’informations et de données à trier.

Endpoints News, une publication axée sur l’industrie pharmaceutique, a publié un article méprisant sur la publication de la dernière série de documents.

Le rédacteur en chef de la publication, Zachary Brennan, a déclaré que les documents contenaient des informations sans intérêt qui sont « caractéristiques de toute demande de médicament ou de vaccin » et qui « donneront aux lecteurs une bonne idée générale de la documentation nécessaire pour demander l’approbation d’un médicament ou d’un vaccin à la FDA ».

Ces informations comprennent, selon Brennan, « plus de 100 pages de tableaux de données anonymes sur la sécurité » et « le sexe, l’âge et le « BMC » de participants non identifiés ».

D’autres documents concernent « le paiement standard de près de 2,9 millions de dollars de frais d’utilisation à la FDA par Pfizer » et « l’aperçu non clinique confidentiel du vaccin », a déclaré Mme Brennan.

Mme Brennan a fait remarquer que certains documents inclus dans la série [cachette] de documents [confidentiels], tels que la lettre de désignation de la procédure accélérée et la demande de Pfizer pour une dérogation à l’ajout d’un suffixe au nom du vaccin, ne sont  » généralement pas divulgués  » au public.

Cependant, en dehors de ces informations relativement banales – qu’elles soient habituellement rendues publiques ou non – le dernier lot de documents peut contenir des informations supplémentaires révélatrices.

Un premier examen par The Defender des informations incluses dans ce vaste ensemble de documents nouvellement publiés comprend :

La quantité d’informations à analyser et à traiter nécessite un examen minutieux, qui sera effectué par la rédaction de The Defender. De plus amples informations et d’éventuelles révélations importantes seront publiées dans les prochains jours.

Un processus juridique tortueux et une victoire pour la transparence

La FDA avait précédemment fait valoir qu’elle n’avait pas assez de personnel pour examiner, expurger et publier des centaines de milliers de pages de documents, affirmant qu’elle ne pouvait traiter que 500 pages par mois.

Cela aurait signifié que la série (cachette) de documents ne serait pas entièrement rendue publique avant environ 75 ans.

Dans son ordonnance du 6 janvier, M. Pittmann a rejeté la demande de la FDA et a exigé que l’agence publie 12 000 pages de documents avant le 31 janvier et 55 000 pages supplémentaires par mois par la suite.

Cette décision a ensuite été modifiée par l’ordonnance du 2 février de Pittman, qui a ramené le calendrier de publication à quelques mois au lieu de quelques décennies.

L’ordonnance du 2 février a également accordé à la FDA la possibilité de « mettre en réserve » les pages superflues dans le cadre de ce calendrier de publication, ce qui signifie que si l’agence dépasse son quota mensuel au cours d’un mois donné, elle peut reporter la publication de ces pages supplémentaires à un mois ultérieur.

Auparavant, Pfizer avait répondu à l’ordonnance du 6 janvier en déposant un mémorandum auprès du tribunal demandant à intervenir dans l’affaire pour aider la FDA à diffuser les documents, en particulier dans le « but précis de garantir que les informations exemptées de divulgation en vertu de la loi sur la liberté d’information soient protégées de manière adéquate alors que la FDA se conforme à l’ordonnance du tribunal ».

Pfizer a affirmé être favorable à la divulgation des documents, mais a demandé à intervenir dans le dossier pour s’assurer que les informations légalement exemptées de divulgation ne seront pas « divulguées de manière inappropriée ».

Le juge Pittman a rejeté la demande de Pfizer dans son ordonnance du 2 février.

Dans une affaire connexe, le juge Michael Truncale du tribunal de district des États-Unis pour le district Est du Texas a le 10 février levé les scellés sur 400 pages de documents relatifs à une action en justice intentée par un dénonciateur, Brook Jackson.

Jackson travaillait auparavant pour Ventavia, un entrepreneur engagé par Pfizer pour mener les essais cliniques de phase 3 du vaccin COVID de Pfizer-BioNTech.

L’action en justice de Mme Jackson allègue de multiples irrégularités dans le processus d’essais cliniques pendant la période où elle était employée par Ventavia. La FDA a refusé d’intervenir dans cette affaire.

Certains des documents relatifs à l’approbation du vaccin COVID de Pfizer-BioNTech qui ont été publiés le 1er mars semblent se rapporter directement aux essais cliniques menés par Ventavia, et pourraient donc faire la lumière sur les allégations de Mme Jackson.

Michael Nevradakis, Ph.D.

= = =

Lire notre page « coronavirus, guerre contre l’humanité »

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Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique, Robert F. Kennedy Jr (chapitre 10)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, colonialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, Internet et liberté, média et propagande, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 7 mars 2022 by Résistance 71

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Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Mars 2022

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 1

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 10 Plus de mal que de bien

Dans le chapitre précédent, nous avons entendu les avocats de la santé publique globale accuser Bill Gates et le dr Fauci de détourner l’agenda de santé publique de l’OMS, de ses projets prouvés bons pour mettre fin aux maladies infectieuses (hygiène, eau potable, bonne nutrition et développement économique) et de détourner l’aide internationale pour forcer l’ouverture de marchés pour leurs associés multinationaux et servir leur fétichisme personnel sur les vaccins. Ce chapitre va examiner l’assertion sous-jacente de Gates que ses vaccins africains et asiatiques rapportent un bénéfice net de santé publique.

La plupart des produits pharmaceutiques ne peuvent pas obtenir de licence d’exploitation commerciale sans avoir été au préalable soumis à des essais randomisés avec groupe de contrôle placebo comparant les résultats sur la santé des participants, incluant les mortalités toutes causes confondues, ce dans des groupes placés sous médicaments et sous placebo. Pour tout dire, en mars 2017, j’ai rencontré le dr Fauci, Francis Collins et un arbitre de la Maison Blanche (et j’ai rencontré séparément Peter Marks de CBER et de la FDA), pour faire valoir une plainte disant que les HHS obligeaient à l’époque, 69 doses de 16 vaccins différents pour les enfants américains, aucun de ces vaccins n’ayant été testés pour leur sécurité face à des groupes placebo avant leur mise sur le marché. Le Dr Fauci et Collins nièrent que ceci fut vrai et insistèrent sur le fait que ces vaccins avaient tous été testés comme il se devait. Mais ils furent néanmoins incapables au cours des semaines qui suivirent, de nous fournir une citation d’un seul essai clinique utilisant un groupe placebo contre un de ces vaccins.

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Dix mois après la réunion avec Fauci et Collins, sur les marches du palais de justice, les HHS admettaient que nous avions de fait raison : aucun des vaccins obligatoires pour les enfants n’avaient été testés contre des groupes témoins inertes à placebo. Les meilleurs des vaccins africains de Bill Gates étaient sur cette liste.

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Ceci veut dire que personne ne connait les risques qu’ont ces produits et personne ne peut dire avec spécificité et certitude, qu’aucun des vaccins porte-drapeau de Gates ne prévient plus de blessures ou de morts qu’il n’en cause. De plus, ceci veut de facto dire que tous les vaccins africains de Gates ne sont que des produits expérimentaux. Pour Gates et ses sbires, le continent africain n’est qu’un vaste laboratoire pour expérience humaine, n’ayant aucun groupe de contrôle placebo ni aucun système fonctionnel de gestion des données expérimentales de ces interventions médicales douteuses, non testées et à haut risque.

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La très parcimonieuse science publiée examinant cette question indique que virtuellement tous les vaccins africains et asiatiques à gros succès commercial de Gates , polio, DTP, hépatite B, paludisme, méningite, PVH et Hib, causent en fait bien plus d’effets néfastes et de morts qu’ils n’en préviennent.

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Dans les années 1980, Big Pharma déplaça ses essais cliniques dans les pays du tiers monde où les cobayes humains sont bon marché et où les blessures les plus graves ne ralentissent que très rarement les études. La complicité des gouvernements locaux et les lois anémiques de responsabilité entrepreneuriale permettent aux fabricants de vaccins d’Inscrire ls effets néfastes comme dégâts collatéraux avec pour ainsi dire aucune conséquence ni même de sentiment de responsabilité. […] Bill Gates a joué un rôle clef dans la légitimisation de cet arrangement tout en collaborant avec des fonctionnaires captifs ou corrompus de l’OMS afin d’escroquer les nations occidentales pour leur faire payer l’addition et de garantir les positions sur les stocks disponibles. Gates, “le plus gros financier des vaccins au monde”, a très lourdement investi dans des partenariats lucratifs avec la plupart des gros fabricants de vaccins. Bill et Melinda Gates ont continué la tradition de l’expérimentation humaine en Afrique avec l’OMS prenant nettement le rôle d’un vassal colonial permettant le forfait.

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Pendant les années 70, les politiques d’austérité du FMI ont mis en banqueroute la plupart des programmes de santé publique africains et ont laissé les nations africaines complètement dépendantes du financement par l’OMS de leurs ministères de la santé publique et des programmes vitaux anti-VIH. Utilisant son contrôle du flot de l’assistance internationale, l’OMS exerce une discipline de fer, récompense l’obéissance et punit la désobéissance à Big Pharma ainsi que la résistance africaine aux ambitions de l’industrie. L’OMS utilise ses budgets et financements pour forcer les gouvernements africains qui résistent à la prise de vaccins. Le contrôle de Gates sur l’OMS a fait de l’Afrique son domaine. Les populations du continent des cobayes humains. Les vaccins pour Bill Gates, sont une philanthropie stratégique qui nourrit ses nombreuses affaires liées aux vaccins et lui donnent un contrôle dictatorial sur les politiques de santé publique globale affectant des centaines de millions de vies humaines.

Le vaccin DTC : un génocide africain

Une sévère vague de blessures cérébrales et de morts a suivi l’introduction des vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC) aux Etats-Unis et en Europe dans les années 1970. Dès 1977, une étude publiée par des chercheurs et médecins britanniques dans The Lancet avait établi que les risques de l’injection de cellule complète de la coqueluche (utilisée dans les vaccins DTC) excédaient de loin les risques associés avec la maladie contractée naturellement.

Six ans plus tard, en 1983,  une étude de l’UCLA financée par le NIH, trouva que le vaccin DTC de Wyeth tuait ou causait de sévères dégâts cérébraux, incluant crises d’épilepsie et mort, chez un enfant vacciné sur 300. Les poursuites en justice qui s’en suivirent causèrent l’effondrement des marchés d’assurance pour les vaccins et menacèrent de mettre l’industrie en banqueroute. Wyeth, aujourd’hui connu sous le nom de Pfizer, affirma perdre 20 US$ en paiement de préjudice pour chaque dollar gagné des ventes de son vaccin, ce qui poussa le congrès des Etats-Unis de passer la loi nationale de la vaccination enfantine de 1986 qui protégeait complètement les fabricants de vaccins de toute responsabilité civile et pénale.

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Une étude de 2017 par Mogensen et al., montre que, suivant leur vaccination DTC à trois mois, les petites filles avaient une mortalité dix fois supérieure que les enfants non vaccinés. Les petites filles mouraient d’une grande variété de maladies allant de la pneumonie à la dyssentrie en passant par l’anémie et le paludisme et pendant deux décennies, personne ne remarqua que les enfants qui décédaient étaient, de manière prédominante, ceux qui avaient été vaccinés. Le vaccin DTC, en les “protégeant” contre les maladies de la diphtérie, du tétanos et de la coqueluche, avait en même temps ruiné leurs systèmes immunitaires, les rendant vulnérables à une grande variété de maladies infectieuses non ciblées. L’équipe de Mogensen arriva à la même conclusion que celle du Lancet 40 ans plus tôt : “Les vaccins DTC peuvent tuer plus d’enfants d’autres causes que ce dont ils les sauvent à savoir la diphtérie, le tétanos ou la coqueluche.

En d’autres termes, le vaccin DTC de Gates, au lieu de sauver 10 millions de vies comme il l’affirme, a peut être tué inutilement des millions de petites filles africaines… Au moins sept autres études ont confirmé l’association du vaccin DTC avec un haut taux de mortalité chez les filles vaccinées comparé à celui des non vaccinées. Les Américains idéalistes qui ont donné au projet de vaccination africain de Gates, croyant sauver des bébés africains, ont en fait financé un génocide féminin à l’échelle d’un continent.

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Montée de mercure

Beaucoup de vaccins envoyés dans des pays sous-développés, incluant les vaccins contre l’Hépatite B, haemophilus influenza de type B et les inoculations DTC, contiennent de bonnes doses d’un adjuvant, agent conservateur à base de mercure, le thimérosal. Suite à la loi sur les vaccins de 1986 donnant l’immunité légale et carte blanche aux labos pharmaceutiques, ceux-ci promouvant les vaccins les plus mal testés sans conséquence aucune. Big Pharma embraya avec une véritable ruée vers l’or et ajouta de nouveaux vaccins au programme et en 1991, l’exposition des enfants américains à l’adjuvant des vaccins thimérosal avait plus que doublée. Les médecins, les parents et des chercheurs blâmèrent sur le thimérosal l’explosion qui s’ensuivit de maladies auto-immunitaires et neurologiques.

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Une équipe de recherche spécialement assemblée par le CDC et menée par le grand épidémiologiste belge, le Dr Thomas Verstraeten, a comparé les résultats de santé de centaines de milliers d’enfants vaccinés contre les non-vaccinés. Les données brutes de l’étude de Verstraeten / CDC de 1999 ont montré que les enfants qui furent injectés du vaccin contre l’hépatite B contenant du thimerosal dans leurs premiers 30 jours de vie, souffraient d’un taux d’autisme incroyable étant 1135% plus élevé que les enfants qui ne furent pas injectés. Verstraeten a aussi démontré un grand inventaire de maladie neurologique incluant les déficiences d’attention et autres troubles psychologiques, ainsi que des troubles du sommeil et des retards cognitifs d’apprentissage de la langue, chez les enfants exposés au thimerosal.

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Plus de 450 études scientifiques ont attesté de la toxicité dévastatrice du thimerosal. Parce que la testostérone amplifie la neuro-toxicité de la molécule de mercure, les garçons ont souffert de manière disproportionnée de baisse de QI et de toute une série de troubles du développement, comme la déficience d’attention, des retards dans les domaines cognitifs et du langage, tics, syndrome de Tourette, narcolepsie et autisme suivant une exposition à l’éthyle de mercure du thimerosal. De nombreuses études lient le thimerosal aux fausses-couches et au phénomène de mort soudaine du nourrisson. Il n’y a simplement aucune étude scientifique peered reviewed publiée, démontrant que le thimerosal soit un produit sain et sans danger.

En 2017, l’acteur Robert De Niro et moi-même avons tenu une conférence de presse bondée à la conférence du National Press Club à Washington D.C. Nous avons conjointement offert une récompense de 100 000 US$ à quiconque nous montrerait qu’une telle étude scientifique ait été publiée. Un groupe de prestigieux scientifiques incluant le professeur émérite en épidémiologie de l’UCLA, le Dr Sander Greenland, le toxicologue et ancien directeur de l’Environmental Toxicology Program du National Institute of Environmental Health Sciences, le Dr George Lucier et le Dr Bruce Lanphear de l’université Simon Fraser et de l’hôpital pédiatrique de Colombie Britannique, donnèrent leur accord pour être juge de l’étude. Personne n’a relevé le défi.

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Le Japon et certains gouvernements européens avaient déjà dramatiquement réduit les niveaux de mercure dans leurs vaccins dès 1993.

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Bill Gates vola au secours de Big Pharma et de ses stocks non-écoulés valant des centaines de millions de dollars. Il aida les labos pharmaceutiques à larguer leurs stocks de thimerosal dans les pays en voie de développement. Le laboratoire Merck, avec l’aide de Gates et de GAVI, fit un marché de donner (larguer) 1 million de doses de leur vaccin contenant du thimerosal : Recombivax HB contre l’hépatite B à la Millenium Vaccine Initiative dans les pays africains. La Maison Blanche félicita  cette initiative généreuse entrepreneuriale comme étant un “niveau sans précédent de soutien entrepreneurial”, dans un communiqué de presse du 3 mars 2000.

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De fortes preuves suggèrent que les garçons africains ayant un niveau de testostérone plus élevé et une carence chronique en vitamine D sont bien plus vulnérables aux effets néfastes du thimerosal des vaccins que les blancs. Lorsqu’il s’agit des bénéfices de Big Pharma, la mort et les dégâts cérébraux causés aux enfants africains ne sont que des dégâts collatéraux.

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Des expériences létales du vaccin contre le paludisme

Le paludisme tue 655 000 personnes par an, essentiellement des enfants africains de moins de 5 ans. En 2010, la FBMG a financé de 300 millions de dollars un essai Phase III du vaccin expérimental de GSK contre le paludisme, Mosquirix, dans sept pays africains, “ciblant les jeunes enfants parce que leur système immunitaire est toujours en développement”. GSK contribua de 500 millions de dollars, le NIAID de quelques dizaines de millions. […] Apparemment suspectant que le vaccin puisse être létal, l’équipe de Gates a choisi de ne pas faire le test contre un groupe placebo. Ils utilisèrent en lieu et place d’un placebo (NdT : qui doit être une substance absolument physiologiquement neutre…), des vaccins hautement réactifs comme celui de la méningite ou de la rage, qui eux-mêmes ne furent pas testés contre un groupe placebo.. L’injection contre la méningite était particulièrement connue pour provoquer de graves réactions voire des décès. L’utilisation d’un “placebo réactif” aussi appelé “fauxcebo”, est un truc délibérément frauduleux que des labos peu scrupuleux déploient pour masquer les effets secondaires et blessures dans les groupes testés en induisant volontairement des blessures parmi la cohorte dite “placebo”. Les essais cliniques qui omettent les véritables groupes placebo physiologiquement inertes ne sont que mascarades de science. 151 enfants moururent durant le test et 1048 des 5049 bébés souffrirent de sérieux effets secondaires, à la fois dans le groupe de contrôle et dans le groupe d’étude, effets incluant des paralysies, des crises d’épilepsie et des convulsions fébriles (fièvre).

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Gates déploya le Mosquirix en 2019 comme le premier vaccin anti-paludisme dans les pays sub-sahariens. Ceci devint un autre projet de “génocide des filles”. D’après le magazine Science : “L’efficacité dans la durée du Mosquirix est médiocre. Quatre doses n’offrent que 30% de protection contre un sévère paludisme et ce pour pas plus de quatre ans… Les plus grosses préoccupations néanmoins sont au sujet de la sécurité du vaccin.” L’associate editor du BMJ, le Dr Peter Doshi, fait remarquer “Il y a eu un taux de méningites chez ceux qui ont reçu le Mosquirix 10 fois celui de ceux qui ne le reçurent pas, il y a eu une augmentation des cas de paludisme cérébral et le risque de mortalité a doublé quelque soit la cause chez les filles en particulier.” Le Dr Doshi dit que le vaccin anti-paludéen de l’OMS représente “un bafouage grave des standards d’éthique internationaux”.

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Des virologues et universitaires du monde entier se turent au sujet des morts engendrées par le vaccin Mosquirix de Gates. Sa bourse bien remplie, ses impeccables connexions, son pouvoir sur le cartel des virologues et la faiblesse et les besoins des gouvernements africains l’isolèrent une fois de plus des conséquences de toutes ces morts d’enfants, à l’exception du Dr Doshi.

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L’Amérique du début du XXème siècle a vu l’augmentation de la popularité de l’eugénisme, une pseudo-science raciste qui aspirait à éliminer les êtres humains qualifiés “d’impropres” en faveur de stéréotypes nordiques. Vingt-sept gouvernements d’état officialisèrent des éléments de cette doctrine comme politique officielle et mettant en place toute une série de lois établissant la stérilisation forcée, la ségrégation de certaines populations et des restrictions sur les mariages. En 1909, la Californie devint le troisième état adoptant des lois demandant la stérilisation d’Américains mentalement handicapés. Les praticiens de l’eugénisme ont coercitivement stérilisé quelques 60 000 Américains.

John D. Rockefeller Jr a manifesté un grand intérêt pour l’eugénisme, ce qui colora sa passion avérée pour le contrôle de la population. L’héritier de la baronnie du pétrole rejoignit l’American Eugenics Society et servit au bureau de l’hygiène sociale. La Fondation Rockefeller envoya de arges donations dans les années 1920-30 à des chercheurs allemands, incluant ceux qui conduisaient les notoires “études sur les jumeaux” du Kaiser Wilhem Institute for Anthropology, Human Heredity and Eugenics à Berlin.

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La volonté de Gates de réduire la population est une histoire de famille. Son père, William “Bill” Gates Sr, était un important avocat d’affaire et leader civique de la ville de Seattle et a eu une obsession tout au long de sa vie au sujet du “contrôle de la population”. Gates Sr siégeait au comité directeur de l’organisation Planned Parenthood, une organisation néo-progressiste fondée en 1916 par la raciste et très eugéniste Margaret Sanger afin de faire la promotion de la contraception et de la stérilisation et de purger “la lie de l’humanité” et de “créer une race plus pure”. Sanger disait qu’elle espérait purifier le génome en “éliminant les indésirables”, les personnes handicapées, empêchant ces personnes de se reproduire au moyen de la stérilisation chirurgicale et d’autres moyens.

En 1939, Sanger créa et dirigea le très raciste “Negro Project”, qui cooptait stratégiquement des pasteurs noirs dans des rôles de leader afin de faire la promotion de la contraception au sein de leur congrégation. Sanger écrivit dans une lettre à son collègue eugéniste Clarence Gamble (de Procter & Gamble) : “On ne veut pas que se sache que nous voulons exterminer la population nègre et le pasteur est l’homme du moment qui pourra faire passer cette idée si cela jamais venait à l’idée de leurs membres les plus rebelles.

Dans mon enfance, mes parents étaient toujours impliqués dans plein de choses bénévoles”, a dit Bill Gates à Bill Moyers en 2003. “Mon père était à la tête de l’association Planned Parenthood et c’était très controversé d’être impliqué avec ça.

La surpopulation, a dit le père au magazine Salon en 2015 “a toujours été quelque chose qui m’a intéressé depuis ma jeunesse”. En 1994, Gates Sr fonda la William H. Gates Foundation (la première de la famille), focalisé sur la procréation et la santé enfantine dans le monde en voie de développement. Ainsi, le contrôle de la population fut une préoccupation majeure de la philanthropie de son fils, ce dès le départ. Gates a fait de nombreuses déclarations publiques et de nombreux investissements qui reflètent sa peur-panique profonde de la surpopulation. Il se décrit lui-même comme un grand admirateur et soutien du prophète de l’apocalypse démographique qu’est Paul Ehrlich, l’auteur du libre “La bombe démographique”, que Gates décrit comme “la Cassandre environnementaliste la plus importante au monde”, c’est à dire un prophète qui prédit avec précision malheur et/ou désastre.

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Le 20 février 2010, moins d’un mois après que Bill Gates ait donné 10 milliards de dollars à l’OMS, il suggéra dans son discours “Innovating to Zero” au TED Talk de Long Beach en Californie, que réduire la population mondiale et sa croissance se fera en partie avec de “nouveaux vaccins” :

Le monde aujourd’hui a 6,8 milliards d’habitants. On avance vers les 9 milliards. Maintenant, si nous faisons du bon boulot avec les nouveaux vaccins, la santé, les services de santé de reproduction, nous pourrions diminuer cela de peut-être 10 ou 15%…

Les défenseurs de Gates, et les organisations de “Fact Checker” qui émargent aux mannes de Gates, pouffent aux critiques qui interprètent littéralement la déclaration de 2010 de celui-ci, à savoir qu’il espère que l’utilisation des vaccins réduisent la population. Ils expliquent que Gates avait l’intention, par cette déclaration pour le moins scabreuse, de suggérer que les vaccins sauveurs de vie allaient permettre à plus d’enfant de survivre leur enfance et de devenir adultes, par là-même rassurant leurs parents appauvris, qu’ils n’ont pas besoin d’avoir plus d’enfants. Mais cette hypothèse repose sur la supposition elle-même scabreuse que ses vaccins réduisent de fait la mortalité infantile, une proposition que Gates n’a jamais démontrée et que la science actuelle ne soutient en rien. Son choix très bizarre des mots a tout naturellement alimenté la spéculation qu’il s’engageait dans une campagne préméditée de l’utilisation de vaccins pour stériliser les femmes. Sa propension questionnable de promouvoir les médicaments contre la fertilité et l’utilisation au grand large par l’OMS de vaccins rendant stérile de manière cachée alimente de tels sentiments de manière parfaitement crédible.

Le contrôle de la population a été le centre de la préoccupation de la FBMG depuis sa création…

En 2017, la Fondation adopta le but d’administrer des contraceptifs à 214 millions de femmes des pays pauvres. Le choix de Gates comme contraceptif est l’agent d’infertilité de long terme Depo-Provera. Les planificateurs démographiques ont distribué le Depo-Provera essentiellement aux pauvres et aux femmes noires aux Etats-Unis depuis son invention en 1967. Dans ce pays, 84% des utilisateurs du Depo-Provera sont afro-américains et 74% sont d’origine sociale défavorisée. Le plus gros promoteur du Depo-Provera, l’organisation Planned Parenthood, cible particulièrement les femmes noires et latinos dans ses campagnes de promotion. Les données de l’ONU montrent que le Depo-Provera est rarement donné aux femmes blanches ou aux femmes des strates sociales plus aisées aux Etats-Unis et en Europe.

Depo-Provera est un poison puissant ayant une longue liste d’effets secondaires très néfastes. […] Les femmes utilisatrices ont rapporté des troubles de régularité des règles, la formation de caillots sanguins / thromboses dans les jambes, les bras, les poumons et une infertilité permanente. Certaines études ont associé le Depo-Provera avec une augmentation de quelques 200% des risques de cancers du sein. La FDA avertit les femmes de ne pas prendre Depo-Provera sur une période de plus de deux ans, mais le programme de Gates prescrit une durée de prise du produit sur minimum 4 ans, voire indéfiniment pour les femmes africaines et n’avertit en rien les femmes noires des effets néfastes de la mixture.

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En 2011, une étude par une autre équipe de recherche financée par la FBMG et le NIH publia un article dans The Lancet Infectious Diseases, Heffron et al. (2012), rapportant que les femmes africaines utilisant la forme injectable de Depo-Provera avaient plus de chance d’être contaminée par le VIH / SIDA en comparaison avec les femmes non traitées par la substance. Les injections de Depo-Provera doublent le risque pour les femmes de contracter et de transmettre le VIH. Ce résultat ne fut pas une énorme surprise. Depuis 24 ans, de multiples études ont démontré que le Depo-Provera réduit l’épaisseur de la paroi vaginale, facilitant la transmission du VIH.

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Sans offrir quelque recherche scientifique que ce soit pour donner une substance à leurs affirmations, les adjoints de Gates, une cabale de promoteurs d’un extrême contrôle de la population, ont travaillé avec des intermédiaires de Pfizer pour vicieusement attaquer les résultats de la recherche de Heffron. Les critiques incluaient la FBMG, Planned Parenthood, l’ONU, Ronald Gray de l’université John Hopkins, financée par Bill Gates, James Shelton du bureau des populations de l’USAID et d’autres.

Sous ces violentes attaques des mignons de Gates dans le cartel médical, le Dr Heffron et son équipe de recherche ont courageusement maintenu leur position et conservé leur intégrité professionnelle. The Lancet publia la cinglante réponse de Heffron, qui fit remarquer que ses critiques ne citaient aucune étude scientifique convaincante et que les deux études récentes, celle de Heffron et celle de l’équipe du WSPH, résumaient quelques 25 années de recherches publiées documantant une augmentation du risque de contracter le VIH pour les femmes qui prenaient du Depo-Provera.

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Pour étouffer le tumulte montant, Gates finança une étude de l’OMS pour débunker l’association avec le VIH une bonne fois pour toute. Cette fois-ci il contourna Heffron pour financer un groupe plus “fiable” de chercheurs (les avocats et conseillers juridiques du milieu de l’environnement appellent ces personnes des “biostituées”). Le 21 octobre 2015, l’OMS publia son enquête, qui, sans aucune surprise, concluait “qu’il n’y avait aucune évidence d’une association causale entre entre l’utilisation du Depo-Provera et une quelconque incidence de risque d’acquisition du virus VIH pour les femmes.

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La pièce centrale du financement de 4 milliards de dollars de Gates est la seringue d’auto-injection, une bulle de plastique attachée à une aiguille, pour s’auto-administrer le Depo-Provera. Pfizer crée le gadget, mais la base légale de Gates à Seattle, PATH, en fait le marketing sous un nouveau nom de marque “Sayana Press”. L’ex-directeur de PATH, Chris Elias, était alors le président de la FBMG. Au travers de PATH, Gates allait distribuer ces produits, coûtant 1US$ pour une dose de trois mois, à 120 millions de femmes dans 69 pays les plus pauvres du monde. Avec les contributions que Gates entendaient soutirer de ces gouvernements, ces femmes chanceuses ne paierait pas ou peu des coûts.

Pfizer bien entendu, allait se gorger. D’après la rubrique Market Watch du Wall Street Journal “Pfizer pourrait gagner environ 36 milliards de dollars des ventes de cet investissement sans précédent de la FBMG, 560 millions de dollars de la fondation, pour un total de 4,3 milliards de dollars incluant les contributions gouvernementales, qui font la promotion du Depo-Provera comme le tout meilleur contraceptif pour les femmes de couleur et aux faibles revenus.

Levich explique que ceci est une évasion maligne des règlementations américaines qui demande que l’étiquette de Pfizer inclut son avertissement à encadré noir avec les mots inscrits : “FDA”, “black Box”, “avertissement” et “ostéoporose” et que le médecin prescripteur informe le patient que le médicament pose de possibles effets secondaires mettant en danger la vie. Aux Etats-Unis, les pharmaciens ne peuvent pas vendre les seringues d’auto-injection, car la loi demande qu’un personnel médical soit présent pour informer la personne des risques encourus. Ignorer ces mesures de sécurité en Afrique exposerait Pfizer à des poursuites criminelles et à des milliers de plaintes sous la loi Alien Tort Claims Act, qui permet à des femmes africaines victimes d’attaquer en justice les labos négligents américains dans des tribunaux américains si elles venaient à souffrir des résultats négatifs de la non mise en garde. La stratégie apparente de Pfizer pour se protéger d’une telle responsabilité et d’utiliser la FBMG et PATH comme agents pour promouvoir son mode contraceptif.

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Levich ajoute : “Si Depo-Provera est véritablement un contraceptif sans problème de sécurité, n’ayant que des effets secondaires très minimes, alors pourquoi donc Bill Gates, Hopkins U, l’USAID, Planned Parenthood, Pfizer et autres intermédiaires cachent-ils délibérément l’encadré noir d’avertissements de la FDA dans leur effort de minimiser et de cacher les effets secondaires du Depo-Provera pouvant mettre la vie en danger ?

Pour le dire directement et sans gants, Gates et son gang trompent les femmes africaines pour leur faire prendre un contraceptif en leur mentant au sujet de sa sécurité et de son efficacité envers des maladies qui touchent les personnes noires de manière disproportionnée, quelque chose pour ce les exécutifs de Pfizer pourraient bien se retrouver en prison.. Le complice en toute connaissance de cause de Bill Gates en cela est l’USAID.

Le directeur de cet organisme, le Dr Rajiv Shah, a été un conspirateur en série et de longue date dans les entreprises racistes variées de Gates. Pendant une décennie avant son boulot jackpot à l’USAID, Shah a travaillé comme principal leveur de fonds pour le GAVI de la FBMG de 2001 à 2010 et ses programmes de vaccination mondiaux. Shah a candidement reconnu que le sceau de reconnaissance de la FBMG et de PATH pour le Depo-Provera sert de stratégie fine pour isoler Pfizer de toute poursuite judiciaire civile et criminelle pour violation des réglementations de la FDA.

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Le Depo-Provera est venu honnêtement à sa notoriété d’outil de choix pour une pratique eugéniste raciste. Israël a banni le Depo-Provera en 2013 suite à un scandale dans lequel des fonctionnaires de la santé cherchant à réduire radicalement le nombre de naissances noires, ciblaient les juifs africains en leur administrant le Depo-Provera.

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En 2002, l’Inde a banni ce dangereux médicament de tous les programmes de santé familiale après un scandale similaire : des hauts-fonctionnaires du gouvernement ciblaient les Indiens des castes inférieures. Beaucoup d’autres nations incluant Bahrein, Israël, la Jordanie, le Koweït, le Qatar et l’Arabie Saoudite ont interdit l’utilisation de Depo-Provera par leurs citoyens. Les pays européens restreignent son usage et demandent une mise en garde totale des effets potentiels pour les femmes utilisatrices et un formulaire de consentement doit être signé.

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Les défenseurs de Gates tournent en ridicule comme “théorie conspirationiste” la suggestion que Gates ou de fait, toute autorité de la santé réputée, utiliseraient des “vaccins sauveurs de vie” comme véhicule caché afin de rendre des femmes stériles à leur insu. Mais un des premiers travaux philanthropiques de Gates fut un projet de 2002 pour administrer des vaccins anti-tétanos aux femmes pauvres dans 57 pays. Pour des raisons que nous allons exposer, des critiques suggèrent de manière très crédible que ces vaccins avaient été trafiqués avec une formule chimique que la Fondation Rockefeller avait développée pour stériliser les femmes contre leur gré.

Le 6 novembre 2014, quatre ans après la promesse de Gates du TED Talk d’utiliser les vaccins pour faire diminuer le taux de natalité, des chercheurs en médecine et des médecins associés avec la Kenya Conference of Catholic Bishops (KCCB) et la Commission de Santé Catholique du Kenya (CSCK) ont accusé l’OMS, l’UNICEF et GAVI d’avoir secrètement entrepris un programme de stérilisation de masse envers les femmes kenyanes, ce, sous le voile de lutter contre le tétanos et d’éradiquer cette maladie.

Le Washington Post rapporta également de telles accusations par l’Association des Médecins Catholiques du Kenya (AMCK)

Les médecins catholiques devinrent suspicieux à cause de l’énorme transgression par l’OMS des protocoles usuels de vaccination anti-tétanique. Normalement, une dose de ce vaccin fournit une immunité de 10 ans contre la maladie. Comme les hommes et les femmes sont autant susceptibles à la maladie les uns comme les autres, les deux sexes se font injecter de manière routinière. Mais l’OMS donna des instructions aux médecins de donner le vaccin en cinq doses, tous les six mois et seulement aux jeunes femmes et femmes dans la tranche d’âge de procréation.

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Les médecins catholiques remarquèrent aussi d’étranges particularités de cette campagne de vaccination. Pour commencer, l’OMS commença sa campagne non pas des hôpitaux ou des centres médicaux des quelques 60 centres de vaccination du pays, mais distribua les injections depuis le très luxueux hôtel New Stanley de Nairobi, une station de loisir hors de portée de bien des médecins et des fonctionnaires publics. A grand coût, une escorte de police amena les doses de vaccin sur les sites de vaccination, où des policiers contrôlaient de manière très stricte et supervisait la manutention des vaccins par les personnels médicaux impliqués et ordonnaient que chaque fiole vidée de son contenu après utilisation, soit réintégrée au personnel de l’OMS à Nairobi dans cet hôtel 5* sous stricte surveillance policière.

Quatre ans plus tard, en octobre 2019,  l’AMCK accusa l’UNICEF, GAVI et l’OMS d’avoir rendu stériles des millions de femmes fertiles. Les médecins avaient à ce moment précis, fait des analyses du contenu des vaccins vérifiant leurs allégations. Trois laboratoires de biochimie indépendants de Nairobi testèrent des échantillon du vaccin anti-tétanique de l’OMS, y trouvant la substance gonadotropine chorionique humaine ou GCh (hCG en anglais), alors que cette substance n’avait absolument rien à faire dans ce vaccin. En octobre 2014, les médecins catholiques obtinrent six fioles supplémentaires et les firent tester dans six laboratoires accrédités, qui y trouvèrent de la GCh dans la moitié d’entre eux.

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Le personnel médical catholique procéda à de similaires accusations au sujet des projets de vaccination en Tanzanie, au Nicaragua, au Mexique et aux Philippines. A la suite d’un déni indigné pour de telles accusations et une dénonciation des accusateurs, l’OMS finit par admettre à reculons, qu’elle avait développé des vaccins stérilisateurs depuis des décennies. Mais l’OMS a puni les médecins catholiques kenyans et la communauté du personnel médical qui rapportèrent l’affaire de ces vaccins empoisonnés en faisant annuler des contrats pour de futurs emplois.

Ce ne fut pas la première fois que les autorités médicales catholiques avaient accusé l’OMS d’une campagne de stérilisation cachée contre les femmes africaines. Dès novembre 1993,  des publications catholiques accusèrent l’OMS d’altérer ses vaccins anti-tétaniques pour stériliser les femmes de couleurs dans le monde au moyen de puissantes substances avorteuses. L’OMS nia en bloc ces accusations.

L’équipe de recherche Shaw montra que des scientifiques de  l’OMS et la Fondation Rockefeller avaient commencé des recherches sur des vaccins “contre la fertilité” afin de “contrôler les naissances” et ce depuis 1972, en introduisant de la GCh avec la toxine du tétanos, qui agit ici comme agent de transport de l’hormone.

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En 1976, les scientifiques de l’OMS avaient réussi à conjuguer un vaccin fonctionnel de “contrôle des naissances”. Les chercheurs de l’OMS rapportèrent triomphalement que leur formule pouvait induire “des avortements chez les femmes déjà enceintes et/ou la stérilité chez les récipiendaires du vaccin et qui n’étaient pas encore enceintes.” Ils observèrent également qu’une exposition répétée au produit par inoculation prolongeait l’infertilité des femmes.

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La campagne de vaccination anti-tétanique du Kenya se produisit peu de temps après que Bill Gates ait promis 10 milliards de dollars à l’OMS ayant pour but déclaré de réduire la population avec “de nouveaux vaccins”.

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La BMGF a fourni de nombreux dons au PATH, incluant celui de novembre 2020 “pour soutenir le développement clinique des vaccins anti-COVID19 par des fabricants chinois.

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John D. Rockefeller III fonda le Conseil sur la Population (Population Council) en 1952 dans une conférence qu’il avait convoquée pour les grands-prêtres du contrôle de la population, incluant le directeur de la nouvelle association américaine Planned Parenthood Federation of America (PPFA) et plusieurs eugénistes bien connus. Se lamentant que la civilisation moderne avait réduit le processus naturel de sélection en sauvant toujours plus de “faibles” et leur permettant de se reproduire, ceci ayant pour résultat une “baisse de la qualité génétique humaine”, le groupe s’accorda pour créer une organisation dévouée à la “réduction de la fertilité”. Tandis que Rockefeller lançait officiellement le Conseil sur la Population avec un don de 100 000 US$ et servait de premier président, les deux présidents successifs du conseil furent Frederick Osborne et Frank Notestein, tous deux membres actifs de l’American Eugenics Society. Le NIH et l’USAID furent parmi les fondateurs de départ et des gouvernements américain et étrangers devinrent rapidement parmi les plus grands soutiens financiers du conseil.

Le conseil fait de la recherche faisant la promotion de l’utilisation de méthode contraceptive artificielle et de la recherche sur l’avortement et la bio-médecine afin de développer de nouveaux médicaments et de nouvelles technologies. Le conseil collabora avec la Fondation Ford et l’International Planned Parenthood Foundation (IPPF) pour le développement de programmes contraceptifs intra-utérins sur une grande échelle dans les pays étrangers, alors même que leurs médecins de recherche les avertissaient d’effets secondaires aigus néfastes. Plus tard, le conseil joua un rôle clef dans le développement d’un implant contraceptif hormonal extrêmement dangereux, le Norplant.

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L’Agence Américaine pour le Développement International (USAID) fut dans un partenariat sur des décennies avec le CP et cultiva une relation d’alliance de longue durée avec la Fondation Rockefeller (FR) et l’OMS dans la recherche sur des moyens de contrôle de la fertilité pour réduire la population mondiale, spécifiquement en Afrique sub-saharienne. A partir de 2014, Gates et Elias avaient un collaborateur fiable au sein de l’USAID, son directeur Rajiv Shah, qui, avant d’être nommé à ce poste, a travaillé une décennie pour la FBMG, gérant le programme d’immunisation du GAVI pour les enfants africains.

Le Dr Shah rejoignit la FBMG en 2001 et supervisa son alliance avec la FR en lança l’Alliance pour une Révolution Verte en Afrique…

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A l’USAID, sa fonction principale était de réorganiser l’agence pour une réflexion sur une nouvelle direction sur la biosécurité, ce sous un ordre exécutif d’Obama en 2009. Shah quitta l’USAID pour devenir le président de la FR en 2017. Shah a de très fortes relations avec les agences du renseignement et les cartels pétrolier et chimique. Il siège à la fois à la Commission Trilatérale et au Council on Foreign Relations (CFR), deux organisations globalistes/mondialistes largement définies par l’alliance Rockefeller / Kissinger.

Shah est membre de l’International Rescue Committee (IRC), association à but non lucratif ayant des liens très étroits et de longue date avec la CIA. Dans son livre de 1991 “Covert Network : Progressives, the International Rescue Committee and the CIA”, le professeur d’économie de l’université du Massachussetts, Eric Thomas Chester expose l’IRC comme vitrine de la CIA. Bill Casey, espion de longue durée, qui fut le directeur de la CIA sous la présidence de Ronald Reagan, aida à gérer l’affaire Iran-Contras des années 1980 et fut le président de l’IRC de 1970 à 1971. L’IRC opère dans 40 pays sous couvert “d’aide humanitaire”. D’après son président actuel, David Miliband, l’ex-ministre des affaires étrangères de la GB, le rôle de Shah au plus haut niveau du conseil est de “surveiller les affaires politiques et non liées à la santé en relation à la prévention et aux impératifs de préparation pour une épidémie potentielle de proportion mondiale.

En 1974, l’USAID et l’OMS collaborèrent sur la création du très secret “Kissinger Report”. Henry Kissinger, dont le patron était Nelson Rockefeller et dont la carrière était très très étroitement imbriquée avec la FR, écrivit un “document secret”, qui devint politique officielle sous la présidence de Gerald Ford en 1975. Ce rapport, connu sous le nom de US National Security Study Memorandum 200 ou US NSSM 200, expliquait dans le détail les avantages géopolitiques de réduction de la population dans les “pays moins développés” pour amener la croissance démographique proche de zéro en “réduisant la fertilité” afin de sauvegarder les intérêts économiques des Etats-Unis et autres nations industrialisées dans le domaine des ressources naturelles importées.

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Shaw et al., ont trouvé 150 publications scientifiques émanant de l’OMS sur les formules variées d’infertilité entre 1976 et 2016 avec des milliers de citations.

Dans les années 1993 et 1994, l’OMS lança une campagne de vaccination anti-fertilité au Nicaragua, au Mexique et aux Philippines, puis au Kenya en 1995. Dans chacun de ces pays, l’OMS et les cliniciens des gouvernements locaux injectèrent des femmes en âge de procréer, leur disant que le but de l’OMS et de ses programmes d’immunisation était d’ “éliminer le tétanos maternel et néo-natal.

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Les régions du monde ciblées pour les campagnes anti-tétaniques de l’OMS sont essentiellement les mêmes que les nations en voie de développement ciblées dans le rapport de Kissinger.

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Le calendrier kenyan était identique à celui publié par l’OMS avec le mélange de la toxine du tétanos et la GCh de contrôle des naissances : cinq doses de vaccin espacées de 6 mois, ce qui bien sûr, contraste totalement avec le calendrier publié de la véritable vaccination anti-tétanique.

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Afin de décourager toute discussion publique de ces abcès purulents sur sa vache sacrée, les HHS en 1984, l’année où le dr Fauci devint directeur du NIAID, poussèrent et firent adopter en catimini une réglementation fédérale représentant parfaitement la culture paranoïaque institutionnelle de l’agence, le secret et l’obligation, mais certainement pas les valeurs de la constitution des Etats-Unis :

Tous doutes possibles, réels ou non, au sujet de la sécurité du vaccin ne peuvent pas être permis d’exister en regard du besoin d’assurer que le vaccin sera utilisé de manière continue, dans l’extension maximum consistante avec les objectifs de santé publique de la nation.” (Federal Register Vol. 49 No 107)

La plupart des Américains sont choqués d’apprendre qu’aujourd’hui, cette règlementation abominable est la loi notre pays.

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Note de R71 : s’ensuivent ici quelques pages similaires analysant la dangerosité du vaccin oral anti-polio lancé par la FBMG et l’OMS en Inde, en Chine, en Egypte en Haïti et en Malaisie. A lire dans le bouquin. Tout aussi édifiant !

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Les investissements stratégiques de Gates l’ont immunisé contre la critique des médias et de la communauté scientifique, ainsi donc, malgré ces atrocités commises, la FBMG dirige l’OMS comme un destroyer fou avançant à vitesse maximum dans le chaos et le carnage des enfants morts et ceux paralysés dont les vies détruites dérivent dans son sillage…

En 2009 et 2012. le FBMG a financé des tests sur des vaccins expérimentaux contre les PVH (papilloma virus humain), développé par les associés de Gates, GSK et Merck, sur 23 000 filles dans la tranche d’âge 11-14 ans, recrutées dans des provinces reculées de l’Inde.

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Durant les essais cliniques, Merck a été incapable de montrer que le Gardasil était efficace contre le cancer du cervix. Au lieu de cela, l’étude montra que le vaccin augmentait le cancer du l’utérus de 46,3% chez les femmes exposées au PVH avant l’injection, environ 1/3 de toutes les femmes. D’après Merck et ses rapports d’essais cliniques, le vaccin était associé avec des maladies auto-immunitaires chez une femme injectée sur 39. Depuis l’introduction de ce vaccin en 2006, des milliers de filles ont rapporté des maladies auto-immunes affligeantes et le nombre de cancers a percé le plafond chez les jeunes femmes.

Le très fort patronage de Gates pour les vaccins anti-PVH (Gardasil et Cervarix) ont alourdi les suspicions qu’il faisait en fait de ces vaccins des armes contre la fertilité naturelle humaine. Les essais cliniques de Merck ont montré de très forts signaux de troubles de la reproduction avec le Gardasil. Les sujets de l’étude injectés souffrirent de problème reproducteurs incluant un mauvais fonctionnement ovarien 10 fois supérieur à la normale. La fertilité des femmes a chuté précipitamment à partir de 2006 aux Etats-Unis, ce de manière concomitante avec la prise du Gardasil.

La conspiration ourdie par GAVI, l’OMS et l’UNICEF pour forcer l’Inde à obliger l’injection contre l’hépatite B est une autre illustration du comment, sous l’hégémonie de Bill Gates, les profits de l’industrie vaccinale l’emportent toujours sur la santé publique. Originellement, l’OMS recommanda la vaccination anti-hépatite B seulement dans les pays ayant une forte incidence de carcinoma (cancer) hépato-cellulaire (CHC), cette spécificité de cancer que le vaccin promet d’éliminer. Comme cette condition est très rare en Inde, le pays ne qualifiait pas pour son administration selon les critères initiaux. Cette politique de l’OMS voulait dire pout Gates et Big Pharma, la perte d’un marché de 1,3 milliards de personnes !…

GAVI poussa l’OMS à changer sa politique officielle pour devenir une recommandation universelle., faisant des pays non sujet au CHC des cibles pour le vaccin. 

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Le 17 juillet 1999, dans un commentaire publié par le BMJ, le Dr Puliyel fit observer que le moins cher des vaccins anti-hépatite B indien coûtait 360 roupies (5US$) pour 3 doses. Il fit remarquer que “un tiers de la population indienne gagne moins de 57 roupies par personne et par mois ; que les plus grandes causes de mortalité en Inde sont la diarrhée, les infections respiratoires et la malnutrition.” Il ajouta “La vaccination contre l’hépatite B devrait-elle être une priorité sur le fait de pouvoir boire de l’eau potable ?

L’étude qui porta sur l’introduction de force par Gates des vaccins anti-hépatite B en Inde, montra que le vaccin n’a réduit en rien l’incidence d’hépatite B. La fréquence de porteurs chroniques était similaire chez les vaccinés et les non-vaccinés. L’étude démontra aussi que l’immunité naturelle développée par la mère se communiquait au bébé au moment où l’enfant est le plus vulnérable au statut de porteur chronique et que le programme de vaccination réduisait cette immunité naturelle. Paradoxalement, il y avait dont une chance substantielle que le vaccin de Gates augmentait l’incidence du facteur CHC dans le pays.

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Au début de 2021, une journaliste de télévision, Becky Quick, observa que Gates avait dépensé 10 milliards de dollars sur les vaccins sur une période de deux décennies et lui demanda : “Vous avez figuré le retour d’investissement sur tout ça et ceci m’a vraiment surpris, pouvez-vous nous expliquer les chiffres ?” Bill Gates répondit : “Nous voyons un retour phénoménal… il y a eu un retour [d’investissement] de l’ordre de 20 pour 1. Donc si vous regardez juste les bénéfices économiques, c’est bien sûr un gros chiffre.” La journaliste le pressa un peu plus : “Si vous aviez placé cet argent dans un portfolio S&P 500 et réinvestit les dividendes, vous auriez récupéré environ 17 milliards de dollars, mais vous pensez que le retour est de l’ordre de 200 milliards de dollars.” Gates continua : “Hé, oui… aider les jeunes enfants à vivre, à avoir la bonne nutrition, à contribuer à leurs pays, c’est un retour qui va au-delà de tout retour financier… La clef de tout ça, est d’avoir ce gros portfolio.

Et la clef de ce gros portfolio est aussi d’avoir Anthony Fauci comme allié vital.

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