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Coronavirus / COVID19 : la solu… pardon, la conclusion finale (Résistance 71 et J-Y Jézéquel)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, média et propagande, N.O.M, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , on 21 septembre 2022 by Résistance 71

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Nous sommes essentiellement d’accord avec la conclusion présentée ci-dessous par J-Y Jézéquel sur cette affaire génocidaire du SRAS-CoV-2 / COVID 19, nous ajouterons néanmoins ceci :

  • Si le SRAS-CoV-2 a été créé en laboratoire (Université de Caroline du Nord, Chapel Hill, entre 2008 et 2015, puis envoyé au labo P4 de Wuhan (partenariat de la Chine, des Etats-Unis-Pentagone, de la GB et de la France) pour y être transformé en arme biologique, ce virus chimérique, contenant des séquences du virus VIH, fut créé pour être de moindre létalité, mais conçu pour générer la peur, la paranoïa… et la solution finale, via une destruction chimérique de nos systèmes immunitaires sous une condition connue sous l’acronyme de VAIDS pour Vaccine Acquired Immuno Déficient Syndrome.
  • De là s’en est suivi une campagne généralisée de terreur par les médias de masse et les gouvernements sous contrôle de Big Pharma et des intérêts financiers affiliés…
  • Cette campagne visait à apeurer les gens, à les soumettre aux diktats de Big Pharma / OMS / FDA / NIH / Gates Foundation / FEM-Davos et forcer sur le public anesthésié  et terrorisé par la propagande ce qui s’est avéré être l’arme biologique conçue pour tuer, contrôler et endommager la population / démographie mondiale : les injections OGM à ARNm, présentées comme des “vaccins sûrs et efficaces”, sans jamais avoir été testés réellement et pour cause… Ces injections tuent ou affaiblissent grandement les systèmes immunitaires des injectés au fur et à mesure avec toutes les conséquences immédiates et futures que cela implique…
  • Après deux ans de ce traitement, l’oligarchie est passée à la phase suivante : le contrôle de la nourriture, la fabrication d’une pénurie alimentaire pour continuer à faiblir les systèmes immunitaires des populations mondiales, sur toile de fond de guerre en Ukraine et de sanctions économiques, pénuries énergétiques et industrielles… Tous ces évènements ne sont en rien isolés, ils sont connectés au plus haut point et font partie du même plan de développement d’une crise planétaire menant à un génocide sur une échelle encore jamais vue dans l’histoire…
  • La phase 3 sera le largage dans la nature de maladies pas spécifiquement mortelles mais bien virulentes pour des systèmes immunitaire grandement affaiblis, car voyez-vous, et la crise COVID l’a confirmé : une fois largué dans la nature, l’oligarchie ne peut plus contrôler les virus, ce qui veut dire qu’à terme de différentes mutations, parfois imprévisibles, ceux qui se croyaient protégés pourraient bien se retrouver infectés et mourir aussi, le virus ne faisant aucune distinction dans un corps hôte infecté, tuant Mr Bidochon tout aussi bien que la reine d’Angleterre. Mais si les perpétrateurs du crime, eux, maintiennent une forte immunité, une excellente nutrition, ils ne seront guère infectés, du moins bien moins gravement que les centaines de millions de personnes affaiblies et à l’immunité réduite à néant par des injections mortifères OGM répétées et une malnutrition chronique sciemment mise en place et maintenue… La pourriture du haut de la pyramide veut bien entendu continuer à jouir du luxe et de l’oisiveté qui leur incombent et qu’ils pensent être de “droit divin” comme toute pourriture élitiste historique, continuer à partouzer dans leurs résidences et yachts privés, sniffer leur saloperie de poudre blanche, à se barrer avec la caisse et contrôler un système façonné pour perpétuer leur espèce dégénérée hors sol.
  • Le “génie” de cette affaire à notre sens n’est pas dans l’utilisation d’une arme biologique pour tuer la population mondiale, ça c’est du réchauffé, mais pour neutraliser le système immunitaire du plus grand nombre afin de les faire mourir de carence et de maladies normalement bénignes par la suite… Rappelons-nous un des modus operandi des gérants étatico-ecclésiastiques des pensionnats pour Indiens / camps de la mort, du Canada entre 1867 et 1996 : priver les enfants de nourriture, les affaiblir, introduire des maladies de promiscuité telles que la tuberculose, forcer les enfants sains à dormir avec les malades après avoir affaibli les systèmes immunitaires, ce qui provoqua des dizaines de milliers de décès “naturels”. Le monde est en train de devenir un gigantesque pensionnat pour enfants indigènes, un abattoir en règle, géré par une oligarchie qui n’a jamais a grand jamais cessé d’être eugéniste et de vouloir la mort de la plus vaste majorité d’entre nous…

Notre question, toujours la même, demeure : Quand assez est-il vraiment assez ? Là nous rejoignons Jézéquel dans sa conclusion finale ci-dessous…

~ Résistance 71 ~

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Coronavirus : la conclusion finale

Le Nouvel Ordre Mondial et la situation de surveillance

Jean-Yves Jézéquel

18 septembre 2022

Source:
https://www.mondialisation.ca/coronavirus-la-conclusion-finale/5671260

Avec le massacre « coronavirus », on allait vivre dans tout l’Occident, une destruction systématique de toutes les libertés publiques et individuelles, incluant le reste de la vie politique, économique et sociale, sabordant en même temps toute la dynamique insurrectionnelle des Gilets jaunes et des autres mouvements contestataires par l’astuce d’un « état d’urgence » dit « sanitaire », mais qui n’avait rien à voir avec des mesures sanitaires !

Nous avons désormais compris ce qui est en jeu, dans le coup d’État réalisé par les « élites » de la mondialisation : il s’agit d’un génocide (crime contre l’humanité) de ceux qui sont considérés comme « inutiles », « non essentiels », « substituables ». Nous avons enfin découvert ensemble, à travers notre lecture des événements, les véritables intentions de ceux qui se sont emparés du pouvoir et nous avons compris à quel point une grande partie de l’humanité se trouve en danger. Maintenant que nous sommes avertis ; maintenant que les « masques sont tombés » au même moment où ils nous ont été physiquement imposés (!), nous savons quelle direction prendre ; nous savons qu’il s’agit de défendre nos vies et celle de nos enfants ; nous savons que le dressage à aimer notre soumission est allé assez loin, trop loin, pour le laisser continuer sa route sans réagir ! Désormais nous savons que « nous avons le devoir sacré de la désobéissance civique » puisque, comme le disait si justement le Mahatma Gandhi, c’est ce qui incombe à toute conscience humaine lorsqu’il s’avère que le « Pouvoir s’est révélé être corrompu et criminel » dans ses intentions et dans ses actions !

Tous les articles publiés ici depuis 2020 nous ont aussi expliqué que nous sommes dans « UN MONDE DE MENTEURS ». Tout nous a démontré depuis trois ans, que le sujet n’était pas le coronavirus ou SARS-COV-2, mais une mise en scène bien rodée pour un « Great Reset » en faveur d’un Nouvel Ordre Mondial.

Ce qui est apparu très clairement au cours de cette longue enquête, c’est une volonté génocidaire acharnée et promue par cette Oligarchie Stato-financière, représentée par le FEM (Forum économique mondial) de Davos… La ligne de son programme inspirait toutes les mesures qui ont été prises contre les peuples méprisés à un point exceptionnel !

« Si une peste noire pouvait se propager dans le monde une fois par génération, les survivants pourraient procréer librement sans rendre le monde trop plein. » Bertrand Russell

« La chose la plus miséricordieuse qu’une famille nombreuse puisse faire à l’un de ses enfants en bas âge, est de le tuer. » Margaret Sanger

« Une partie de la politique eugénique nous conduirait finalement à une utilisation intensive de la chambre mortelle. Un grand nombre de personnes devraient être mises hors d’existence, simplement parce que l’on perd trop de temps à s’occuper d’elles. » George Bernard Shaw

« Le contrôle de la population deviendra désormais la pièce maîtresse de la politique étrangère américaine. » Hillary Clinton

« La population mondiale doit être réduite de 50%. » Henry Kissinger

« Le monde compte aujourd’hui 6,8 milliards d’habitants. Il pourrait atteindre 9 milliards. Mais, si nous faisons un très bon travail avec les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de santé reproductive, nous pourrions peut-être réduire ce chiffre de 10 % à 15 %. » Bill Gates

C’est l’apocalypse, le déchaînement de l’horreur sur l’humanité, le crime dans toute sa laideur, l’odieux, l’injustice faite vertu ! Qui, dans ces « élites » arrogantes et macabres, peut prétendre pouvoir décider lequel vivra et lequel mourra ?

Alors que l’économie est en plein désastre, les gens suivent scrupuleusement les ordres des gouvernements !

S’aventurer à l’épicerie du coin ou se promener dans la nature, sur une plage déserte, donnait l’impression surréaliste d’être en zone nucléaire irradiée ou dans un étrange espace crépusculaire. Les gens gardaient leurs distances tout en portant des masques et des gants, et leur autorisation de sortie dûment datée et signée par eux-mêmes !

La première étape a été une réussite retentissante. La population s’est laissée plonger dans la peur et le désespoir, pendant « qu’ils se battaient pour soi-disant trouver un vaccin remède » contre ce méchant virus balayant le monde de sa féroce détermination à tuer !

Mais il ne s’agissait pas de solution contre la COVID-19, d’un remède pour combattre la maladie « pandémique ». C’était un « Great Reset », un changement, un bouleversement, un démantèlement, un basculement dans quelque chose de sordide : le transhumanisme qui se mettait en place sous nos yeux, sans scrupule, en se moquant de tous ceux qui seraient exterminés au passage, par ces injections d’ARNm et ADN …

Il y a encore peu de temps, on a entendu des paroles surprenantes qui nous faisaient découvrir que les humains étaient désormais des « animaux piratables », selon un conseiller de Klaus Schwab, qui a lancé un avertissement effrayant : les humains ne possèdent plus de « libre arbitre » et vont être « remodelés » par Bill Gates !

Si nous voulons vivre en pleine conscience, être éveillés, vigilants, nous devons être informés de ce qui se passe et de ce qui s’organise souvent à notre insu.

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Le Dr Yuval Noah Harari, contributeur officiel du FEM de Davos, expliquait ce que Klaus Schwab voulait dire lorsqu’il affirmait que « nous avons été changés » !

Grâce aux injections massives et répétitives de produits à ARNm et à leur contenu de nanotechnologie au graphène, les « élites » sont parvenues à rendre obligatoires, de façon détournée, ces injections qui n’avaient pas de finalité sanitaire, mais une finalité de dressage irréversible à longs termes…

Selon le Dr Harari, Karl Schwab faisait référence à l’humanité et à l’évolution soudaine que les « élites » mondialistes réservaient au reste d’entre nous. « Par le passé, de nombreux tyrans et gouvernements ont voulu [pirater des millions de personnes], mais personne ne comprenait assez bien la biologie !»  On trouve cette déclaration de Harari dans une vidéo qui a été tournée au dernier FEM de Davos. 

« Et personne n’avait assez de puissance de calcul et de données pour pirater des millions de personnes. Ni la Gestapo, ni le KGB ne pouvaient le faire. Mais bientôt, au moins certaines entreprises et certains gouvernements seront en mesure de pirater systématiquement toutes les personnes… »

Ces gens de Davos se réjouissent vraiment, ouvertement, de ce que les pouvoirs digitalo-financiers et les Gouvernements complices puissent enfin ressembler à la Gestapo ou au KGB ! C’est particulièrement sidérant.

« Nous, les humains, devrions nous habituer à l’idée que nous ne sommes plus des âmes mystérieuses. Nous sommes désormais des animaux piratables. » 

Voilà où nous en sommes après ces trois ans de mensonges sanitaires ! Je pense qu’il faut avoir le courage ou l’honnêteté de regarder en face cette odieuse supercherie et comprendre les implications de ce projet pervers qui a été mené de mains de maîtres par des ordures sans états d’âme.

Bien entendu, ce mariage entre la vie humaine et la technologie ne profitera pas à l’homme ou à la femme ordinaire pour qu’il ou elle puisse améliorer son propre avenir ! Non bien sûr, c’est une poignée de personnes parmi les « élites » qui désormais ne se contentera pas de « construire des dictatures numériques » pour elles-mêmes, mais « gagnera le pouvoir de réingénier l’avenir de la vie elle-même. Parce qu’une fois que vous pouvez pirater quelque chose, vous pouvez généralement aussi le concevoir… », dixit monsieur Harari. 

Puisque les « élites » vont réorganiser l’humanité, il est clair que les données de notre ADN, de notre cerveau, de notre corps et de notre vie « ne nous appartiendront plus, elles appartiendront à une société digitalo-financière comme Microsoft ou au gouvernement… ». 

Je ne serai plus le propriétaire de moi-même ; mon corps et mon esprit ne m’appartiendront plus. Je serai dépossédé radicalement de tout ce qui faisait ma réalité humaine, mon originalité et mon irréductibilité. Désormais les « élites » en question, les esclavagistes, les tyrans seront les maîtres absolus de tout ce qui fait un humain, ils pourront « pirater les animaux humains », user et abuser librement de tous ceux qui auront accepté le programme complet du marquage par injections répétées au graphène qui est un allotrope de carbone et dont le chiffre est le 666 pour 6 électrons, 6 protons, 6 neutrons. 

Pour que le marquage puisse fonctionner et donc pour que le « piratage des animaux humains » soit possible, il fallait une quantité de nanotechnologie suffisante injectée dans le corps ; d’où la stratégie des « vaccinations » répétitives organisées dans le mensonge absolu et d’où la colère et la volonté de Macron « d’emmerder » tous ceux qui refusent de se faire marquer du signe de la Bête, dont il avait par ailleurs annoncé l’arrivée le 22 mai 2020 !

Selon Harari, la technologie du cloud, comme la plateforme d’IBM ou celle de Bill Gates, Microsoft, sera l’une des « forces motrices » de cette évolution. 

« Les humains (qui continuent de croire au mensonge) sont désormais des animaux piratables ». « Toute idée que les humains ont cette âme ou cet esprit, et qu’ils ont le libre arbitre, et que personne ne peut savoir ce qui se passe en chacun, quoi qu’il choisisse, que ce soit aux élections ou au supermarché, ce libre arbitre est fini. » 

« Aujourd’hui, nous avons la technologie pour pirater les êtres humains à grande échelle », poursuit Harari, qui ajoute : « Tout est numérisé. Tout est surveillé. » 

« En cette période de crise, vous devez suivre la science ». « On dit souvent qu’il ne faut jamais laisser une bonne crise se perdre, parce qu’une crise [COVID-19] était l’occasion de faire les bonnes réformes, qu’en temps normal, les gens n’auraient jamais acceptées . Mais en temps de crise, c’est une fenêtre d’opportunité ! »

« Et si nous réussissons à pirater et à concevoir la vie, ce ne sera pas seulement la plus grande révolution de l’histoire de l’humanité, ce sera la plus grande révolution de la biologie depuis le tout début de la vie, il y a quatre milliards d’années », disent triomphalement les « élites » du FEM de Davos. « Pendant quatre milliards d’années, rien de fondamental n’a changé dans les règles du jeu. Les dinosaures, les amibes, les tomates, les humains, toute la vie était soumise aux lois de la sélection naturelle et aux lois de la biochimie organique, mais cela est sur le point de changer … »

« Mais, poursuit Harari, notre conception intelligente et la conception intelligente de nos cloud, le cloud d’ibm, le cloud de Microsoft, ce sont les nouvelles forces motrices de l’évolution et en même temps la science peut permettre à la vie, après avoir été confinée pendant quatre milliards d’années dans le domaine limité des composés organiques, de sortir dans le domaine inorganique ainsi après quatre milliards d’années de vie organique façonnée par la sélection naturelle. » 

« Nous entrons dans l’ère de la vie inorganique façonnée par la conception intelligente », ajoute le complice de Karl Schwab. 

Comme si la vie organique n’avait pas été façonnée par la conception intelligente de la nature. Au lieu d’avoir une sélection naturelle nous aurons maintenant une sélection artificielle !

Ces hommes arrogants prétendent donc être plus intelligents que la nature et d’être désormais capables de façonner une vie qui sera supérieure à tout ce qui est vivant dans le monde ! Ce sont des gens pareils qui ont pris le pouvoir et qui nous imposent cet abominable transhumanisme !

Source : https://www.anguillesousroche.com/technologie/le-fem-de-klaus-schwab-en-2020- les-humains-sont-desormais-des-animaux-piratables-et-seront-reingenierises/

Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés 

Chacun peut consulter un dossier inédit de 53 pages intitulé « Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés ». (Cf., Dossier N°4, « Vaccins Covid et contrôle des populations via les nanoréseaux injectés », 53 pages, Laurent Aventin, Santé Publique, PhD, Mai 2022) Plusieurs équipes de chercheurs indépendants, issus de différentes disciplines ont fait depuis juin 2021 ce que les autorités sanitaires des pays occidentaux n’ont pas voulu faire, et pour cause : observer à la microscopie et la spectroscopie le contenu des vaccins expérimentaux contre la Covid-19. Les nanotechnologies identifiées et leur analyse permettent de comprendre ce que les pouvoirs mondialistes, l’industrie pharmaceutique et ceux qui agissent en sous-main veulent faire des citoyens. 

L’opinion publique n’est pratiquement pas informée sur les possibilités technologiques qui existent déjà depuis 15 ans et qui ont permis d’investiguer et de contrôler non pas l’espace, ou les profondeurs de la mer mais essentiellement le corps humain et particulièrement le cerveau, grâce aux nanobiotechnologies. 

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ça pousse tout seul chez certains injectés…

Des nanotechnologies dans les 4 vaccins 

Les récentes découvertes (2021-2022) par l’observation et l’analyse indépendantes des sérums vaccinaux par des biologistes mais aussi des chimistes, des spécialistes des nanotechnologies ou des biotechnologies, des experts de la bioinformatique, des télécommunications sans fil, des nanoréseaux ou de l’internet des objets, nous conduisent à comprendre progressivement ce qu’ils envisageaient et ce qu’ils ont décidé de faire avec les citoyens, en passant à l’acte partout dans le monde. Ce dossier est un état des lieux sur ce que nous savons aujourd’hui. 

Je me suis souvent heurté au rejet et à la condamnation de certaines personnes, y compris dans ma propre famille, lorsque j’évoquais dans mes articles le transhumanisme, démontrant que toute cette histoire n’avait rien à voir avec un motif sanitaire quelconque! On préférait déclarer que j’étais « complotiste » ou « délirant », plutôt que de regarder en face la vérité objective des faits et des preuves !

Les travaux du Dr Campra, de Mik Andersen et d’autres équipes multidisciplinaires permettent d’avancer des preuves de ce qu’on observe dans les sérums vaccinaux des 4 produits expérimentaux ayant actuellement reçu une autorisation conditionnelle de mise sur le marché : Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson. La comparaison des résultats liés à l’observation des sérums avec des informations issues de publications scientifiques permet de comprendre et de reconstituer un puzzle qui s’avère lisible et parfaitement inquiétant. 

Des éléments de preuves accablantes

 Comme une majorité de lecteurs, je me suis demandé quelle pouvait être l’efficacité ou la nocivité de nanoparticules dans un organisme, l’efficacité de nanorouters ou de nanoantennes dans ce qui s’apparente à un nanoréseau de communications sans fil. Enfin quelle influence peuvent avoir des nanotechnologies sur notre ADN et sur les neurones du cerveau humain ? Ce qui est démontré dans ce dossier peut laisser certains hébétés, mais les preuves sont là, elles sont objectives, indiscutables, réelles, et elles sont simplement présentées honnêtement. En voici le sommaire :

1. Qu’a-t-on découvert d’illicite dans les « sérums vaccinaux » contre le Covid ? 

1.1 Des nanorouteurs ou nanosenseurs 

1.2 Des nano antennes et des nano antennes plasmoniques 

1.3 Des nano antennes redresseuses 

1.4 Des hydrogels pour nanotechnologies 

1.5 Des codecs (codeurs-décodeurs) et des portes logiques 

1.6 De l’Oxyde de graphène 

1.7 Les nanopoulpes de graphène ou hydres 

2. Nano-informatique et WBAN (Wireless Body Area Network) 

2.1 Quelques principes de base de la nano-informatique et de la bio-informatique 

2.2 Les réseaux sans fil intracorporels (WBAN) 

2.3 L’alimentation énergétique d’un réseau WBAN 

2.4 L’auto-assemblage des cristaux d’ADN 

3. La transhumanisation forcée des populations par l’inoculation de nanoréseaux complexes 

3.1 Présentation d’un modèle synthétique du WBAN à partir de l’analyse des sérums de vaccins Covid 

3.2 Communication avec l’extérieur et utilisation du protocole OS TOOK 

4. Prendre le contrôle du cerveau humain, dernier bastion des bioterroristes ? 

4.1 Qu’est-ce que la cybernétique ?

4.2 Explication de la neuromodulation et contrôle à distance du cerveau humain 

Il ne s’agit là nullement d’une vue de l’esprit mais d’un ensemble d’éléments à charge qui ne peuvent plus objectivement laisser le lecteur dans le doute. La préparation des vaccins a été réalisée en amont de l’épidémie et cette épidémie de « Sars-Cov 2 » n’est ni naturelle ni accidentelle. 

Il est capital de savoir tout cela, à défaut de quoi, on se retrouve dans une ignorance qui va se rabattre aussitôt, à cause d’une absence d’arguments, sur l’accusation de « complotisme » ; faute d’arguments et faute de connaissance réelle du sujet en cause dans cette histoire invraisemblable de la fausse pandémie, on ne peut qu’ânonner l’accusation de « complotisme » ou de hurler sans fin « au délire » !

Toute personne qui n’a pas connaissance de ce dossier sur les nanoréseaux injectés, ne sait strictement rien sur ce qui se trouve en arrière-plan de toute cette histoire du « Coronavirus », sur la « Covid-19 », sur les « vaccins » et tout ce cirque criminel qui s’est mis en place par la seule volonté des mondialistes au pouvoir.

Après avoir entendu cela, demandons-nous ce que devient le but évolutif de toute vie dans la biosphère comme dans tout l’Univers lui-même ? Que devient essentiellement la conscience dans ce projet de « Great Reset » prétendant être supérieur à tout ce que la Nature a pu imaginer tout en étant sous le contrôle exclusif d’une « élite » mondialiste ?

Peut-on échapper encore à une telle désappropriation et travailler intensivement à cet « éveil supérieur de sa conscience ». Ce mot « supérieur » ne voulant pas dire « élitiste », mais  « en marche », « en libération permanente », « en évolution permanente » ; cette évolution signifiant le passage permanent d’un « moins » vers un « plus », le passage d’une précédente « ignorance » sur soi-même à une « connaissance » suivante sur soi-même ou d’une connaissance potentielle à une connaissance réelle de soi par vécu introspectif, cette expérience n’ayant jamais de rapport avec une connaissance théorique mais une connaissance expérimentale de soi !

La connaissance dont nous parlons est une « connaissance » expérimentale, existentielle, réelle et non pas purement spéculative : une « connaissance » indispensable à l’éveil permanent d’une conscience, non pas du « moi », mais du SOI. Le Cloud [nuage numérique] a-t-il une compétence quelconque dans le SOI ?

Le passage de la conscience égotique à la conscience cosmocentrique fait advenir en permanence l’avènement du SOI dans un « moi » relié par sa métamorphose au « Tout » de la cosmogenèse duquel il provient, dans lequel il peut évoluer et vers lequel il retourne…

Parce que nous sommes informés et avertis, nous allons donc utiliser des moyens appropriés pour favoriser, voire, accélérer cette « libération de la conscience » et connaître cette expérience « d’illumination » ou expérience « transpersonnelle » qui est une expérience de conscience supérieure, permettant de sortir de tous nos enfermements y compris des nouveaux qui ont surgi à l’occasion de cette violation spectaculaire de l’humain sous prétexte sanitaire…

Cette expérience première « d’illumination » est déterminante pour la suite d’une évolution supérieure de la conscience, constituant la perpétuelle vraie libération de l’Homme…

Nous savons ce qu’est un homme, mais qui sait ce qu’est un transhumain ?
« C’est juste un masque », disaient-ils !
« C’était juste 2 mètres de distanciation !
Ce n’étaient que des entreprises non essentielles !
Ce n’étaient que des travailleurs non essentiels !

Ce n’étaient que des « inutiles » ou des gens « substituables » !
C’était juste un bar, juste un restaurant, juste une salle de sport, juste une église !
C’était juste pour éviter de submerger les hôpitaux au préalable vidés de leurs lits.
C’était juste pour aplanir la courbe !
C’était juste une application informatique !
C’était juste pour nous tracer !
C’était juste un test !
C’était juste pour nous protéger et protéger les autres !
C’était juste pour faire savoir aux autres que vous étiez un cas contact !
C’était juste un vaccin !
C’était juste un certificat de vaccination !

C’était juste un pass sanitaire pour que vous puissiez sortir de chez vous et voyager !
C’était juste pour que vous puissiez aller à l’école ou en cours !
C’était juste pour que vous puissiez vous faire soigner ou vous  marier !
C’était juste une amende de 135 € !
C’était juste pour quelques mois encore !
C’était juste le NOUVEL ORDRE MONDIAL ET LA SITUATION de surveillance DEVENUE DEFINITIVE ! 

Désormais, il ne reste que la révolte des humains placés dans l’obligation de flanquer par terre ce règne sans partage des maîtres du mondialisme qui imposent à tous leur toute puissance de dominants sans demander l’avis de personne et en comptant bien être les seuls profiteurs d’en haut ayant le contrôle absolu sur les rescapés de leur génocide programmé, rescapés tolérés dans la mesure où ils acceptent d’être les serviteurs dévoués de ces pervers se moquant éperdument de l’humain. Il faut maintenant sortir de cet esclavage exceptionnel ou mourir !

= = =

Lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

Lire notre PDF de la traduction du livre de Robert F. Kennedy Jr :
« Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique »

Il n’y a pas de solution au sein du système ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

liberte_securite_vote

herbert-ley-FDA-1969

« La FDA [organisme régulateur fédéral américain pour l’alimentation
et les médicaments] protège les gros labos pharmaceutiques
et est subséquemment récompensée ; en utilisant les pouvoirs coercitifs
gouvernementaux, elle attaque ceux qui menacent les grosses entreprises 
pharmaceutiques. Les gens pensent que la FDA les protège, elle ne le fait pas.
Ce que fait la FDA et de que pense le public qu’elle fait, sont le jour et la nuit. »
~ Dr. Herbert Ley, ex-haut commissaire de la FDA, 1969 ~

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Escroquerie COVID : Quand Pfizer fait passer les effets secondaires indésirables à la trappe dans ses « essais cliniques » (Le Défenseur/Children’s Health Defense)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, militantisme alternatif, politique et lobbyisme, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 2 juillet 2022 by Résistance 71

golumfauci-rien

Pfizer a classé la quasi-totalité des événements indésirables graves survenus au cours des essais du vaccin contre la COVID comme « non liés aux vaccins ».

Le Défenseur

21 juin 2022

Source de l’article en français :
https://childrenshealthdefense.org/defender/pfizer-a-classe-la-quasi-totalite-des-evenements-indesirables-graves-survenus-au-cours-des-essais-du-vaccin-contre-la-covid-comme-non-lies-aux-vaccins/?lang=fr

Les rapports de cas inclus dans les documents d’essais cliniques de Pfizer, publiés le 1er juin par la Food and Drug Administration américaine, révèlent une tendance à classer presque tous les effets indésirables – et en particulier les effets indésirables graves – comme étant « non liés » au vaccin.

La dernière publication par la Food and Drug Administration (FDA) des documents relatifs au vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech révèle de nombreux cas de participants ayant subi des effets indésirables graves au cours des essais de phase 3. Certains de ces participants se sont retirés des essais, d’autres ont été abandonnés et d’autres encore sont morts.

La cachette de documents de 80 000 pages comprend un vaste ensemble de formulaires de rapport de cas [« Case Report Forms (CRF) »] provenant des essais de phase 3 de Pfizer menés à divers endroits aux États-Unis, ainsi que d’autres documents relatifs aux participants aux essais de vaccins de Pfizer-BioNTech aux États-Unis et dans le monde.

Le 1er juin, la FDA a publié les documents, qui concernent l’autorisation d’utilisation d’urgence (AUU) du vaccin, dans le cadre d’un calendrier de divulgation ordonné par le tribunal à la suite d’une demande accélérée en vertu de la loi sur la liberté d’information [« Freedom of Information Act (FOIA) »] déposée en août 2021.

Public Health and Medical Professionals for Transparency (PHMPT), un groupe de médecins et de professionnels de la santé publique, a soumis la demande de FOIA.

Les CRF font état de décès et de réactions graves aux vaccins pendant les essais de phase 3.

Les CRF inclus dans les documents de ce mois-ci contiennent des explications souvent vagues sur les symptômes spécifiques ressentis par les participants à l’essai.

Ils révèlent également une tendance à classer presque tous les effets indésirables – et en particulier les effets indésirables graves (EIG) – comme « non liés » au vaccin.

Par exemple :

  • Une femme d’une cinquantaine d’années (numéro de randomisation 86545) qui a participé à l’essai au Sterling Research Group à Cincinnati, Ohio, est décédée d’un infarctus du myocarde apparent le 4 novembre 2020. Elle avait reçu deux doses du vaccin, le 10 septembre et le 29 septembre 2020.

Le patient avait des antécédents médicaux de maladie pulmonaire obstructive chronique, d’hypertension, d’hypothyroïdie, d’arthrose des genoux et de troubles de l’attention. Son décès a été répertorié comme « non lié » au vaccin, et a été attribué à une « maladie cardiovasculaire hypertensive ».

  • Une femme d’une cinquantaine d’années (numéro de randomisation 220496), qui a participé à l’essai au Cincinnati Children’s Hospital Medical Center, est décédée d’un arrêt cardiaque le 21 octobre 2020. Son décès, cependant, a été indiqué comme « non lié » à ses vaccinations (qui ont eu lieu le 30 juillet 2020 et le 20 août 2020) car il est « survenu 2 mois après la dernière réception de l’agent d’étude », selon son CRF.

Les antécédents médicaux du participant comprenaient l’obésité, la pose d’une sleeve gastrique, le reflux gastro-œsophagien, l’apnée du sommeil, la tachycardie supraventriculaire, l’hypothyroïdie, la dépression et l’asthme.

  • Un homme d’une soixantaine d’années (numéro de randomisation 221076) qui participait à l’essai mené par le groupe de recherche Ventavia, basé au Texas, est décédé d’un infarctus du myocarde apparent le 28 novembre 2020. Il avait reçu les deux doses du vaccin le 31 juillet 2020 et le 19 août 2020.

Le participant avait des antécédents médicaux comprenant un infarctus du myocarde antérieur, une hypertension artérielle, un taux de cholestérol élevé, de l’anxiété, des douleurs bilatérales à la hanche, un diabète de type 2, une rétention d’eau, une angine (intermittente), un syndrome des jambes sans repos, une carence en vitamine D, une dépendance au tabac et la pose d’un stent coronarien en 2017.

Selon le CRF, il a subi l’infarctus du myocarde le 27 octobre 2020 et a reçu un diagnostic de pneumonie le jour suivant. Bien que les deux diagnostics aient été classés comme « graves » dans son CRF, ils ont tous deux été répertoriés comme « non liés » à la vaccination, l’infection du myocarde étant attribuée à un « échec de l’endoprothèse cardiaque » et la pneumonie simplement attribuée à une « infection ».

  • Une femme adolescente (numéro de randomisation 104650) a reçu un diagnostic de thrombose veineuse profonde du membre inférieur droit le 15 novembre 2020, qui était toujours en cours au 29 mars 2021, date du CRF. Elle a été hospitalisée et son état a été classé comme « grave », mais il a été indiqué comme « non lié » au vaccin, plutôt attribué à une « fracture » survenue avant sa vaccination le 11 septembre 2020.

Le patient avait des antécédents médicaux comprenant de l’asthme, un trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention, la maladie de Charcot-Marie-Tooth et l’obésité.

  • Un homme d’environ 70 ans (numéro de randomisation 227629) participant à l’essai chez Clinical Neuroscience Solutions Inc. (opérant en Floride et au Tennessee) a subi une série d’événements indésirables après avoir été vacciné les 13 août et 7 octobre 2020.

Il a été diagnostiqué COVID-19 le 30 août 2020, ce qui a coïncidé avec plusieurs autres diagnostics classés comme « graves », notamment des adhérences abdominales (29 août 2020), une altération de l’état mental (29 août 2020, qui a duré jusqu’au 16 septembre 2020) et une insuffisance respiratoire hypoxique aiguë (30 août 2020). Ces diagnostics ont nécessité son hospitalisation.

Il a également été répertorié comme ayant souffert d’une insuffisance cardiaque congestive le 30 août 2020, mais ce diagnostic a été répertorié comme « sans gravité » et comme « non lié » au vaccin, mais à une « chirurgie antérieure », sans autre précision. De même, ses autres événements indésirables graves ont été répertoriés comme étant liés à une chirurgie « antérieure » ou « précédente », ou à un « traitement non médicamenteux concomitant ».

Les autres effets indésirables « non graves » énumérés dans le CRF de ce patient comprennent l’hypokaliémie, l’anémie, l’insuffisance rénale aiguë, la septicémie, l’hyponatrémie, la leucopénie, l’occlusion de l’intestin grêle, la pneumonie par aspiration, l’hypertrophie ventriculaire gauche concentrique légère (dont les symptômes étaient toujours présents à la date du CRF, soit le 29 mars 2021) et l’infection urinaire.

Le patient avait des antécédents médicaux comprenant une hypertension permanente, une hypercholestérolémie, un reflux gastro-oesophagien, une constipation, une hernie hiatale et des diagnostics antérieurs de résection de l’intestin grêle, de perforation de l’intestin grêle, de hernie inguinale, d’arthrose aux deux genoux et de remplacement du genou (aux deux genoux).

  • Un homme d’environ 70 ans (numéro de randomisation 266982) participant à l’essai au Boston Medical Center a souffert d’une série d’effets indésirables après la vaccination, notamment une pneumonie et un œdème périphérique. Il avait reçu deux doses du vaccin, le 2 octobre 2020 et le 27 octobre 2020.

Le patient a été hospitalisé pour une pneumonie le 20 janvier 2021, un événement classé comme « grave » mais aussi comme « non lié » au vaccin. Cependant, la cause de sa pneumonie était simplement indiquée dans le CRF comme « non liée au vaccin », tandis que son diagnostic d’œdème périphérique était attribué à une « neuropathie existante ».

Pendant son hospitalisation pour pneumonie, sa tension artérielle a été mesurée jusqu’à 179/72, avec une fréquence cardiaque atteignant 105 battements par minute et un niveau de saturation en oxygène qui est tombé à 92,0. Au total, il a eu trois visites aux urgences pendant la période d’observation.

Les antécédents médicaux du patient comprenaient un diabète de type 2, une cirrhose alcoolique, une hypothyroïdie, de l’asthme, une apnée du sommeil, de l’hypertension, une neuropathie diabétique, une insuffisance cardiaque congestive, un trouble anxieux généralisé, une dépression, de l’insomnie, une miction excessive, une maladie pulmonaire obstructive chronique et une séropositivité.

Une déviation du protocole s’est également produite chez ce patient, car son journal n’a pas été activé après l’administration de la première dose du vaccin.

  • Un homme d’une quarantaine d’années (numéro de randomisation 68489) qui a participé à l’essai au centre médical de l’hôpital pour enfants de Cincinnati a souffert d’une leucémie myélogène chronique le 24 septembre 2020, l’affection étant toujours présente à la date du CRF, le 29 mars 2021.

Il s’agit d’un événement indésirable « grave » et « potentiellement mortel », même s’il n’a pas nécessité d’hospitalisation, mais il a été classé comme « non lié » à la vaccination mais à une « modification génétique des cellules souches ».

Le patient avait été vacciné le 26 août 2020 et le 17 septembre 2020, et avait des antécédents médicaux d’asthme et d’allergies saisonnières. Les autres effets indésirables « non graves » qu’il a subis sont la leucocytose et la thrombocytose.

  • Une femme d’une quarantaine d’années (numéro de randomisation 49018) ayant participé à l’essai de Clinical Neuroscience Solutions Inc. a reçu un diagnostic de calculs rénaux le 4 janvier 2021.

Il s’agit d’un événement indésirable « grave » qui a nécessité une hospitalisation, mais qui a été classé comme « non lié » au vaccin, étant plutôt lié, encore une fois, à un « calcul rénal » (sic). Elle avait reçu les deux doses du vaccin le 17 août 2020 et le 8 septembre 2020.

Le patient a été diagnostiqué avec COVID-19 le 27 janvier 2021. Ses antécédents médicaux comprenaient des migraines, une hypercholestérolémie et un kyste de Tarlov.

  • Une femme âgée d’environ 30 ans (numéro de randomisation 53307) participant à l’essai au Boston Medical Center, sans rien à signaler dans ses antécédents médicaux, a subi une blessure à l’épaule liée à l’administration du vaccin (SIRVA) le 9 septembre 2020, les symptômes se poursuivant jusqu’au 8 février 2021.

Cette blessure a été répertoriée comme étant liée à la deuxième dose du vaccin, qu’elle a reçue le 9 septembre 2020 (elle avait auparavant reçu sa première dose le 17 août 2020).

  • Une femme d’une cinquantaine d’années ( numéro de randomisation 260125) participant à l’essai de Clinical Neuroscience Solutions Inc. a souffert d’une exacerbation aiguë de l’asthme. Les symptômes sont apparus à la mi-décembre 2020, après sa vaccination le 16 septembre 2020 et le 5 octobre 2020.

Ses symptômes ont été classés comme graves mais ne mettant pas sa vie en danger, et elle a été hospitalisée. Cependant, ses symptômes d’asthme ont été répertoriés comme « non liés » au vaccin, mais comme liés à l’ « asthme », sans autre explication. Le 12 janvier 2021, sa tension artérielle était de 183/130, avec une fréquence cardiaque de 98 battements par minute.

Les autres effets indésirables moins graves subis par le patient comprenaient des douleurs au site d’injection, des douleurs corporelles, des frissons et une faible fièvre.

Ses antécédents médicaux comprenaient une cholécystite (et une cholécystectomie), une hernie discale, une hystérectomie abdominale totale, une ovariectomie bilatérale, une salpingectomie bilatérale, une endométriose, une hypertension, une hypercholestérolémie, une polyarthrite rhumatoïde en rémission, de l’asthme, des allergies saisonnières, un syndrome du côlon irritable et une obésité.

  • Un homme d’une vingtaine d’années (numéro de randomisation 48413) qui a participé à l’essai chez Clinical Neuroscience Solutions Inc. a subi une embolie pulmonaire bilatérale le 14 décembre 2020, avec des symptômes toujours présents à la date du CRF du 29 mars 2021.

Il s’agit d’un événement indésirable « grave » qui a nécessité une hospitalisation, mais qui a été attribué à l’habitude du patient de fumer et à son « mode de vie sédentaire ». Il avait reçu les deux doses du vaccin le 13 août 2020 et le 2 septembre 2020.

Les autres symptômes post-vaccination répertoriés pour le patient étaient les suivants : fièvre, fatigue, maux de tête, frissons, vomissements, diarrhée, douleurs musculaires nouvelles/aggravées, douleurs et gonflements articulaires nouveaux/aggravés.

Le patient avait des antécédents médicaux comprenant un taux élevé de triglycérides, un herpès génital et des allergies saisonnières, en plus d’une habitude de fumer.

Les nombreux effets indésirables graves – et plusieurs décès – enregistrés au cours des essais de la phase 3 sont également mis en évidence dans un document distinct et massif, de plus de 2 500 pages, qui répertorie ces effets indésirables.

Ce document énumère un large éventail d’effets indésirables subis par les participants à l’essai et classés au niveau de toxicité 4 – le plus élevé et le plus grave de ces niveaux.

Cependant, aucun des effets indésirables de niveau 4 (les plus graves) énumérés dans ce document particulier n’est classé comme étant lié à la vaccination.

Les effets indésirables de niveau 4 énumérés dans le document comprennent, sans s’y limiter, les éléments suivants, dont beaucoup sont survenus chez plusieurs patients :

  • Cholécystite aiguë
  • Insuffisance respiratoire aiguë
  • Carcinome surrénalien
  • Choc anaphylactique
  • Incompétence de la valve aortique
  • Appendicite
  • Arythmie supraventriculaire
  • Artériosclérose
  • Abcès cérébral
  • Arrêt cardiaque
  • Leucémie myéloïde chronique
  • Appendicite compliquée/appendicite aiguë avec nécrose
  • Maladie cardiaque congénitale/anomalie cardiaque
  • Occlusion de l’artère coronaire
  • Maladie de COVID-19
  • Thrombose veineuse profonde
  • Diverticulite
  • Migraine hémiplégique
  • Accident vasculaire cérébral hémorragique
  • Maladie pulmonaire interstitielle
  • Infarctus du myocarde
  • Hypotension orthostatique/possible hypotension posturale
  • L’arthrose
  • Abcès péricolique
  • Abcès péritonéal
  • Colique néphrétique
  • Diverticule rompu
  • Obstruction de l’intestin grêle/obstruction de l’intestin grêle
  • Dissection spontanée d’une artère coronaire
  • Hémorragie sous-arachnoïdienne
  • Idées suicidaires (et idées suicidaires avec tentative)
  • Syncope
  • Le diabète de type 2
  • Aggravation des douleurs abdominales
  • Un « événement non évaluable » ou « inconnu d’origine inconnue ».

De même, seul un petit nombre d’événements indésirables de niveau de toxicité 3 ont été indiqués comme ayant été « liés » à la vaccination. Ces effets indésirables comprennent, sans s’y limiter, les éléments suivants, dont certains sont survenus chez plusieurs participants à l’essai :

  • Arthralgie
  • Augmentation de la glycémie / pic de glycémie
  • Surdité/perte auditive
  • Dyspepsie
  • Hypotension
  • Douleur des ganglions lymphatiques
  • Lymphadénopathie/gonflement des ganglions lymphatiques
  • Douleur thoracique musculo-squelettique (non cardiaque)
  • Neutropénie
  • Douleur dans les doigts/les mains bilatérales
  • Prurit
  • Pyrexie/syndrome fébrile
  • Maux de tête sévères
  • Blessure à l’épaule liée à l’administration du vaccin
  • Trouble du sommeil/perturbation du sommeil
  • Tachycardie
  • Urticaire
  • Arythmie ventriculaire
  • Vertige

La page 2 525 du document en question énumère également six décès de participants à l’essai, les causes de la mort comprenant l’artériosclérose, l’arrêt cardiaque, l’accident vasculaire cérébral hémorragique et l’infarctus du myocarde.

Le petit nombre d’événements indésirables répertoriés comme étant liés au vaccin suit une tendance observée dans la tranche précédente des documents de Pfizer-BioNTech, publiés en mai.

Un document supplémentaire publié dans la tranche de ce mois-ci répertorie les patients qui ont interrompu leur participation à l’essai de phase 3, ou dont la participation a été interrompue par des médecins ou d’autres professionnels de la santé.

Bien que de nombreux patients aient cessé leur participation parce qu’ils n’ont pas pu être localisés, en raison de l’ordonnance d’un médecin, parce qu’ils ont déménagé dans une autre région ou pour d’autres raisons personnelles, de nombreux patients ont mis fin à leur participation en raison d’événements indésirables, notamment les symptômes suivants :

  • Infarctus aigu du myocarde
  • Amnesia
  • Anorexie
  • Fibrillation auriculaire
  • Infarctus cérébral
  • Insuffisance cardiaque congestive
  • Maladie coronarienne
  • Surdité (unilatérale)
  • Dépression
  • Pieds diabétiques
  • Perforation diverticulaire
  • Exposition pendant la grossesse
  • Douleurs oculaires
  • Instabilité de la démarche
  • Adénocarcinome gastrique
  • Hémorragie gastro-intestinale
  • Hypertension artérielle
  • Fréquence cardiaque irrégulière
  • Perte du goût et de l’odorat
  • Myalgie
  • Paraparésie
  • Parkinsonisme
  • Presyncope
  • Embolie pulmonaire
  • Pyrexie
  • Gonflement du visage
  • Tachycardie
  • Accident ischémique transitoire
  • Urticaire
  • Allergie aux vaccins
  • Vertige

Dans d’autres cas, les sujets se sont retirés en raison de craintes liées à des problèmes d’innocuité du vaccin, ou d’un malaise à recevoir la deuxième dose.

Un document d’examen clinique passe sous silence les événements indésirables survenus au cours des essais

Egalement inclus dans la décharge de documents de la FDA de juin était un document d’« examen clinique », de 334 pages, qui semble avoir été approuvé par la FDA le 30 avril 2021, et qui présente des « données essentielles » provenant de l’étude de phase 1/2/3 C4591001, réalisée aux États-Unis, ainsi que des données de phase 1/2 « justificatives » provenant de l’étude BNT162-01, réalisée en Allemagne.

Ce document fait référence à la fois au vaccin de Pfizer-BioNTech, qui a reçu un AUU de la FDA, et au vaccin Comirnaty de Pfizer, qui a reçu l’approbation complète de la FDA mais qui serait presque impossible à trouver dans les lieux de vaccination aux États-Unis.

Comme le rapportait précédemment The Defender, un juge fédéral a estimé que les vaccins de Pfizer-BioNTech et Pfizer Comirnaty sont juridiquement distincts.

Le document d’examen clinique indique :

« Le BNT162b2 a reçu des autorisations temporaires pour un approvisionnement d’urgence dans 28 pays et des autorisations de mise sur le marché conditionnelles dans 39 pays dans le monde.

« Le nom du produit fourni en vertu d’une autorisation d’utilisation d’urgence/temporaire pour toutes les régions applicables est le vaccin contre la COVID-19 de Pfizer-BioNTech.

« Le nom du produit fourni dans le cadre d’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle pour toutes les régions applicables est COMIRNATY [COVID-19 mRNA Vaccine (nucleoside modified)]. »

Le document indique que les participants à l’essai se sont vu administrer l’un des deux vaccins candidats, appelés BNT162b1 et BNT162b2 (ce dernier ayant finalement reçu une AUU de la FDA), ou un placebo. Diverses doses ont également été testées, allant de 10 μg à 100 μg pour BNT162b1, et de 10 μg à 30 μg pour BNT162b2.

Dans la phase 1 de l’étude BNT162-01, l’examen clinique rapporte que « 40 % à 45 % des participants ayant reçu BNT162b1 et BNT162b2, toutes tranches d’âge confondues et tous niveaux de dose confondus, ont signalé un ou plusieurs EI [adverse events] entre la dose 1 et les 28 jours (c’est-à-dire 1 mois) suivant la dose 2 ».

Dans ce qui s’avérera être une tendance générale tout au long de l’examen clinique, on nous dit que « la plupart des EI ont été considérés par l’investigateur comme non liés à l’intervention de l’étude et d’une gravité légère à modérée, et tous les EI ont été signalés comme résolus ».

Certains événements indésirables spécifiques mis en évidence dans cette partie de l’examen clinique sont les suivants :

« Parmi les receveurs de BNT162b1, 1 jeune participant du groupe 10 μg a arrêté l’étude en raison d’un EI modéré de malaise (considéré comme non lié à l’intervention de l’étude) après la dose 1 et 1 jeune participant du groupe 60 μg a arrêté l’étude en raison d’une toxicité limitant la dose de pyrexie après la dose 1.

« Un participant plus âgé du groupe 20 μg a présenté un EIG de syncope sévère (considéré comme non lié à l’intervention de l’étude) après la dose 1 et le traitement de l’étude a été retiré.

« Parmi les receveurs de BNT162b2, 1 jeune participant du groupe 10 μg a arrêté l’étude en raison d’un EI modéré de rhinopharyngite (considéré comme non lié à l’intervention de l’étude) après la dose 1.

« Un participant plus âgé du groupe 20 μg a eu un EIG de fracture de la cheville (considéré comme non lié à l’intervention de l’étude) après avoir reçu les deux doses, a été répertorié comme se rétablissant et reste dans le suivi. »

L’examen clinique indique également « qu’aucun décès n’est survenu dans la partie phase 1 de l’étude BNT162-01 ».

L’examen ajoute que « de la dose 1 de BNT162b2 30 μg à la date de levée de l’insu, 6 (50,0 %) participants du groupe d’âge le plus jeune et 3 (25,0 %) participants du groupe d’âge le plus âgé ont signalé au moins 1 EI. »

Plus précisément, dans cette partie de l’étude, « deux (16,7 %) participants du groupe d’âge BNT162b2 30 μg plus jeune et 1 (8,3 %) participant du groupe d’âge BNT162b2 30 μg plus âgé ont signalé au moins 1 EI grave » et « dans le groupe d’âge BNT162b2 30 μg plus jeune, 3 (25,0 %) participants ont signalé au moins 1 EI lié et 1 (8,3 %) participant a signalé 1 EIG grave. »

Selon l’étude, ces effets indésirables spécifiques ont été signalés dans « la classe de systèmes d’organes (SOC) des troubles du système nerveux (3 participants [25 .0%] dans le groupe d’âge le plus jeune et 1 participant [8 .3%] dans le groupe d’âge le plus élevé), suivis des troubles de l’appareil locomoteur et du tissu conjonctif (1 participant [8 .3%] dans chaque groupe d’âge). Tous les EI par terme préférentiel (PT) ont été signalés par au plus un participant. »

L’examen ajoute que « de la dose 1 à la date de levée de l’insu, 1 participant du groupe BNT162b2 30 μg plus jeune a signalé un EIG sévère (névrite) qui a été évalué par l’investigateur comme n’étant pas lié à l’intervention de l’étude », et « aucun participant de la phase 1 randomisé pour BNT162b2 30 μg ou le placebo correspondant n’est décédé jusqu’à la date de clôture des données du 13 mars 2021 ».

Examen des résultats de l’étude C4591001

Alors que l’incidence du BNT162b2 et du placebo était similaire dans les groupes d’âge des participants plus jeunes (9,1 % vs 11,1 %) et plus âgés (4,3 % vs 8,9 %), parmi ceux qui ont reçu le BNT162b2 au lieu du placebo, « deux événements graves de myalgie et d’adénocarcinome gastrique (qui était également un EIG) ont été signalés pour 2 participants dans le groupe d’âge … plus jeune, tous deux évalués par l’investigateur comme n’étant pas liés à l’intervention de l’étude ».

Il est également mentionné que « le seul abandon dû à un EI pendant cette période a été le participant du groupe d’âge le plus jeune de BNT162b2 qui a signalé un EI d’adénocarcinome gastrique (abandon de l’étude le jour 23 après la dose 1 de BNT162b2) ».

Enfin, de la dose 1 à 1 mois après la dose 2 pour les participants au suivi de sécurité en aveugle de l’étude C4591001, « le nombre total de participants ayant signalé au moins 1 EI et au moins 1 EI connexe était plus élevé dans le groupe BNT162b2 (30,2 % et 23,9 %, respectivement) que dans le groupe placebo (13,9 % et 6,0 %, respectivement) ».

Plus précisément, « des EI sévères ont été signalés par 1,2 % et 0,7 % dans les groupes BNT162b2 et placebo respectivement, et les EI mettant en jeu le pronostic vital étaient similaires (0,1 % dans les deux groupes) », et « des EIG et des EI conduisant à l’arrêt du traitement ont été signalés par ≤0,6 % et ≤0,2 %, respectivement, dans

les deux groupes », tandis que « des abandons dus à des EI connexes ont été signalés chez 13 participants du groupe BNT162b2 et 11 participants du groupe placebo (0,1 % dans les deux groupes) ».

Dans l’ensemble, comme indiqué pour cette partie de l’étude, « dans le groupe d’âge le plus jeune, le nombre de participants ayant signalé au moins un événement indésirable entre la dose 1 et le mois suivant la dose 2 était de 4233 (32,6 %) et de 1871 (14,4 %) dans les groupes BNT162b2 et placebo, respectivement. Dans la tranche d’âge supérieure, le nombre de participants ayant signalé au moins un événement indésirable entre la dose 1 et le mois suivant la dose 2 était de 2384 (26,7 %) et 1177 (13,2 %) dans les groupes BNT162b2 et placebo, respectivement ».

L’examen précise que « les EI les plus fréquemment signalés dans le groupe BNT162b2 … étaient des douleurs au point d’injection (2 915 [13 .3%]), la pyrexie (1517 [6 .9%]), la fatigue (1463 [6 .7%]), des frissons (1365 [6 .2%]), les maux de tête (1339 [6 .1%]), et la myalgie (1239 [5 .7%]) », mais certains effets indésirables plus graves ont été signalés au cours de cette phase de l’essai, notamment une paralysie faciale, des troubles cardiaques, une cirrhose hépatique, une cholécystite/cholécystite aiguë, une colique biliaire, un calcul du canal biliaire, une dyskinésie biliaire, une lymphadénopathie, une appendicite, une névrite optique et une hypersensibilité/anaphylaxie.

Dans l’ensemble, selon l’étude, « de la dose 1 à 1 mois après la dose 2, les EI graves signalés pendant la période de suivi en aveugle ont été peu fréquents, signalés chez 1,2 % des bénéficiaires de BNT162b2 et 0,7 % des bénéficiaires du placebo ».

Au cours de la « période de suivi ouvert », c’est-à-dire lorsque l’essai initial est terminé mais que les participants sont invités à continuer à prendre le médicament à l’étude pendant une période supplémentaire, l’étude indique que « trois participants initialement randomisés pour BNT162b2 sont décédés au cours du suivi ouvert ».

Si l’un de ces décès serait dû à un accident de la route, les deux autres ont été attribués à des métastases pulmonaires et à un infarctus du myocarde. Cependant, aucun de ces décès « n’a été évalué par l’investigateur comme étant lié à l’intervention de l’étude ».

En outre, selon le rapport, au cours de cette période, « 12 006 participants ont été suivis pendant au moins 6 mois. Parmi eux, 3 454 participants (28,8 %) ont signalé au moins un EI et 2 245 participants (18,7 %) ont signalé au moins un EI connexe. Les EI graves et les EAS ont été signalés par 2,1 % et 1,6 %, respectivement ».

L’étude fournit des données pour les participants à partir de la dose 3 (première dose de BNT162b2) jusqu’à la date limite des données. Le taux d’incidence des effets indésirables graves (EI) était de 6,0 pour 100 AP (années-patients), les conditions spécifiques rapportées comprenant des embolies pulmonaires, une thrombose, une urticaire, un accident vasculaire cérébral et une pneumonie COVID-19.

Ici, la revue ajoute que l’IR pour les participants au placebo original qui ont eu au moins un EI mettant en jeu le pronostic vital entre la dose 3 et la date de clôture des données était de 0,5 pour 100 AP. Un seul de ces événements mettant en danger la vie du patient, un cas de réaction anaphylactoïde, a été considéré comme lié à la vaccination. Les autres effets indésirables graves mettant en jeu le pronostic vital comprenaient l’arrêt cardio-respiratoire, la nécrose gastro-intestinale, la thrombose veineuse profonde et l’embolie pulmonaire.

Le rapport note également qu’« il y a eu 15 décès dans le groupe BNT162b2 et 14 décès dans le groupe placebo entre la dose 1 et la date de levée de l’aveugle pendant la période de suivi en aveugle contre placebo ».

Cependant, le rapport ne semble pas entrer dans le détail des causes de décès pour l’un ou l’autre groupe, si ce n’est pour déclarer : « Aucun de ces décès n’a été évalué par l’investigateur comme étant lié à l’intervention de l’étude ».

Dans la « période de suivi en aveugle de la dose 1 à 1 mois après la dose 2 », dans le groupe BNT162b2, « EIG [serious adverse events] était similaire dans le groupe BNT162b2 (0,6 %) et dans le groupe placebo (0,5 %) », avec trois EIG dans le groupe non placebo considérés comme liés au vaccin. Il s’agissait notamment d’arythmie ventriculaire, de lymphadénopathie et de SIRVA.

Au cours de la « période de suivi ouverte » pour les « participants originaux à l’étude BNT162b2 », le rapport indique qu’« un participant plus jeune, sans antécédents médicaux, a subi un EIG potentiellement mortel d’infarctus du myocarde 71 jours après la dose 2, qui a été évalué par l’investigateur comme lié à l’intervention de l’étude ».

Cependant, malgré son caractère potentiellement mortel, cet état « a duré 1 jour et s’est résolu le même jour ».

Dans l’ensemble, « de la dose 1 à 6 mois après la dose 2, pendant les périodes de suivi en aveugle et en ouvert, 190 (1,6 %) participants du groupe BNT162b2 ont rapporté au moins un EIG » et « le nombre de participants ayant rapporté au moins un EIG était de 73 (1,1 %) et 117 (2,2 %) dans les groupes d’âge plus jeunes et plus âgés, respectivement ».

Ces EIG ont été classés dans les catégories suivantes : néoplasmes, infections et infestations, troubles gastro-intestinaux, troubles hépatobiliaires, troubles respiratoires/thoraciques/médiastinaux et blessures/empoisonnements/complications de la procédure.

Un participant au placebo initial qui a reçu le BNT162b2 pour la dose 3 a connu un événement indésirable grave qui a été évalué par l’investigateur comme étant lié à l’intervention de l’étude ; plus précisément, une réaction anaphylactoïde 2 jours après la dose 3, ce qui a entraîné le retrait du participant de l’étude, malgré une résolution signalée.

Une sous-section distincte du rapport traite spécifiquement des cas de paralysie de Bell et de paralysie faciale chez les participants à l’essai. Plus précisément, « pendant la période de suivi en aveugle contre placebo, 6 participants ont développé une paralysie faciale unilatérale (paralysie de Bell) : 4 ont été randomisés pour le BNT162b2 (tous des hommes) et 2 ont été randomisés pour le placebo (1 homme ; 1 femme) », selon la revue.

En ce qui concerne les quatre participants à l’essai vacciné, leur âge variait de 40 à 70 ans, les symptômes apparaissant de trois à 48 jours après leur dernière dose. Leurs symptômes ont été enregistrés comme étant « d’intensité légère à modérée », avec une durée allant « de 3 à 68 jours », et deux de ces cas ont été « considérés par l’investigateur comme étant liés à l’intervention de l’étude ».

De plus, « au cours de la période de suivi en ouvert, 3 participants qui ont reçu BNT162b2 à la dose 3 ou à la dose 4 (après avoir été initialement randomisés dans un placebo) ont présenté une paralysie faciale », selon l’étude. Ces patients étaient tous des femmes, dont l’âge variait entre 19 et 34 ans. Les événements ont été enregistrés comme commençant deux à huit jours après l’administration de la troisième dose, et « étaient légers à graves ». Une affaire a duré 12 jours, tandis que les deux autres étaient en cours à la date limite de l’essai.

Notamment, selon la revue, « tous ces événements de paralysie faciale ont été considérés par l’investigateur comme liés à l’intervention de l’étude ».

La revue ajoute que « pendant la période de suivi en ouvert des participants initialement randomisés pour BNT162b2, un participant de sexe masculin âgé de 51 ans a développé une paralysie de Bell 154 jours après avoir reçu la dose 2 ». Aucune indication n’est donnée quant à savoir si cela a été considéré comme étant lié à la vaccination ou non.

De la dose 1 à la date de levée de l’insu, les événements indésirables liés au cœur comprenaient « 6 infarctus aigus du myocarde, 4 infarctus du myocarde du groupe et 1 syndrome coronarien aigu » dans le groupe BNT162b2.

Selon la revue, « la plupart de ces événements sont apparus à distance (c’est-à-dire > 30 jours après) de la réception du vaccin ou du placebo. Aucun de ces événements n’a été évalué par l’investigateur comme étant lié à l’intervention de l’étude ».

De plus, « un participant du groupe d’âge le plus âgé BNT162b2 a présenté une péricardite. L’événement est apparu 28 jours après la dose 2, était en cours à la date de clôture des données et a été évalué par l’investigateur comme n’étant pas lié à l’intervention de l’étude ».

En outre, « il y a eu 8 cas d’embolie pulmonaire dans le groupe BNT162b2 », en plus de quatre accidents vasculaires cérébraux hémorragiques et « 2 accidents vasculaires cérébraux ischémiques, 4 accidents vasculaires cérébraux, 2 accidents ischémiques transitoires » dans ce groupe, plus « 1 cas de thrombocytopénie et 1 cas de diminution du nombre de plaquettes ».

En outre, « il y a eu 9 événements thrombotiques dans le groupe BNT162b2 », dont sept cas de thrombose veineuse profonde, un cas de coagulopathie et un cas de thrombose de la veine ophtalmique.

En ce qui concerne les problèmes auto-immuns dans le groupe BNT162b2, l’étude indique que « 10 cas de maladies auto-immunes ont été identifiés », avec un cas de « thyroïdite auto-immune, colite ulcéreuse, maladie de Crohn, arthrite réactive, fibromyalgie, lupus érythémateux disséminé, alopécie areata, psoriasis » et deux cas d’arthropathie psoriasique.

Les grossesses ont été largement passées sous silence dans l’examen, qui indique que :

« Au moment de la date de clôture des données (13 mars 2021), un total de 50 participants ayant reçu BNT162b2 avaient déclaré des grossesses, dont 42 participants initialement randomisés dans le groupe BNT162b2 et 8 participants initialement randomisés dans le groupe placebo qui ont ensuite reçu BNT162b2. »

« Au total, 12 participants (n=6 chacun dans les groupes randomisés BNT162b2 et placebo) se sont retirés de la période de vaccination en aveugle contrôlée par placebo de l’étude en raison d’une grossesse, et 4 participants initialement randomisés sous placebo qui ont ensuite reçu BNT162b2 se sont retirés de la période de vaccination en ouvert en raison d’une grossesse.

« Ces participants continuent d’être suivis pour les résultats de la grossesse. « Aucune naissance n’a été signalée chez les personnes qui sont devenues enceintes dans l’étude C4591001 au moment de cette soumission.

« Toutes les grossesses comportent un risque d’anomalie congénitale, de perte ou d’autres résultats indésirables. Les données disponibles sur le BNT162b2 administré aux femmes enceintes sont insuffisantes pour informer des risques associés au vaccin pendant la grossesse. »

Pfizer conclut que les vaccins sont « sûrs et bien tolérés »

Dans l’ensemble, malgré l’incidence des effets indésirables graves – dont certains ont été reconnus comme étant liés au vaccin – et des décès, ainsi que le manque reconnu de données concernant les résultats pour les femmes enceintes qui ont participé à l’essai, les « conclusions de sécurité » de l’examen indiquent ce qui suit :

« Sur la base des données de phase 1 de l’étude FIH BNT162-01, BNT162b1 et BNT162b2 se sont révélés sûrs et bien tolérés chez des adultes en bonne santé âgés de 18 à 55 ans, sans aucun résultat inattendu en matière de sécurité … et le profil d’EI et les résultats de laboratoire clinique n’ont pas suggéré de problèmes de sécurité.

« Sur la base des données de phase 1 de l’étude C4591001 et de l’étude BNT162-01, BNT162b1 et BNT162b2 se sont avérés sûrs et bien tolérés chez des adultes sains plus jeunes, âgés de 18 à 85 ans, sans aucun résultat de sécurité inattendu … et le profil d’EI n’a pas suggéré de problèmes de sécurité, y compris jusqu’à environ 6 mois après la dose 2 pour les groupes BNT162b2 30 μg.

« Sur la base des données de phase 2/3 obtenues auprès d’environ 44 000 participants âgés de ≥16 ans et ayant bénéficié d’un suivi d’au moins 6 mois après la dose 2 de l’étude C4591001, BNT162b2 à 30 μg s’est avéré sûr et bien toléré dans tous les groupes d’âge … et le profil d’EI n’a pas suggéré de problèmes de sécurité graves. L’incidence des EIG et des décès a été faible par rapport au nombre de participants recrutés et comparable pour BNT162b2 et le placebo. L’incidence des abandons dus à des EI était également généralement faible et similaire entre les groupes BNT162b2 et placebo.

« Le suivi cumulatif de la sécurité jusqu’à au moins 6 mois après la dose 2 pour environ 12 000 participants de la phase 2/3 initialement randomisés pour BNT162b2, comprenant les périodes combinées en aveugle et en ouvert, n’a montré aucun nouveau signal de sécurité ou suggéré [any] de nouveaux problèmes de sécurité découlant de cette période de suivi.

« De même, le suivi en ouvert des participants initialement randomisés dans le groupe placebo, depuis la levée de l’obligation de recevoir BNT162b2 jusqu’à la date de clôture des données, n’a révélé aucun nouveau signal ou problème de sécurité.

« Le profil d’EI parmi environ 44 000 participants âgés de ≥16 ans inscrits à ce jour à la date limite de sécurité la plus récente (13 mars 2021), reflétait principalement des événements de réactogénicité avec de faibles incidences d’événements graves et/ou liés. L’incidence des EIG était faible et similaire dans les groupes vaccin et placebo. Peu de participants se sont retirés de l’étude en raison d’EI. Peu de décès sont survenus dans l’ensemble, tant dans le groupe vacciné que dans le groupe placebo, sans déséquilibre.

« Pour les participants randomisés dans le groupe placebo et dont l’insu a ensuite été levé pour recevoir la vaccination BNT162b2, les données ouvertes entre le moment où l’insu a été levé et la date de clôture des données (13 mars 2021) n’ont pas montré de nouveaux résultats ou signaux de sécurité.

« Dans l’ensemble, les données d’efficacité et d’immunogénicité suggèrent que le schéma à 2 doses de BNT162b2 (30 μg) induit une forte réponse immunitaire et fournit une protection durable contre la COVID-19 à travers un spectre d’individus représentatif de la population en général pour les personnes âgées de ≥16 ans : ceux qui ont ou non une exposition antérieure au SRAS-CoV-2 et ceux qui se trouvent dans des catégories à risque plus élevé en fonction de l’âge, de la race, de l’ethnicité et/ou de la comorbidité. »

En conséquence, et sur la base des données ci-dessus, l’examen se prononce en faveur de l’approbation du BNT162b2 :

« Un programme de vaccination doit être mis en œuvre rapidement et étendu pour avoir un impact significatif sur le cours de la pandémie. L’homologation du BNT162b2 est susceptible d’améliorer l’adoption du vaccin en facilitant la fourniture du vaccin de Pfizer/BioNTech directement aux pharmacies et aux prestataires de soins de santé.

« L’impact le plus important de l’homologation du BNT162b2 pourrait être l’approvisionnement direct des prestataires de soins de santé qui desservent des populations vulnérables telles que les patients âgés et ceux qui vivent dans des communautés rurales et mal desservies (c’est-à-dire des personnes qui pourraient être incapables de relever les défis de l’obtention de l’accès aux vaccins en utilisant les systèmes en place pour l’AUU).

« L’expansion du vaccin par le biais de l’homologation améliorerait en fin de compte les chances d’atteindre l’immunité collective de la population pour maîtriser la pandémie.

« Dans l’ensemble, les risques et les avantages potentiels, évalués par le profil de sécurité et l’efficacité et l’immunogénicité de BNT162b2 (30 μg), sont équilibrés en faveur des avantages potentiels pour prévenir la COVID-19 chez les personnes immunisées.

« De même, le profil de bénéfice et de risque de BNT162b2 30 μg plaide en faveur de la poursuite du développement dans les populations pédiatriques, maternelles et autres populations à risque. »

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Notre page : « Coronavirus, guerre connue l’humanité »

Le PDF de notre traduction du livre de Robert F. Kennedy jr :
« Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique »

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Faites-vous piquer qu’ils disaient…

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Escroquerie COVID19 et PfizerGate… De nouveaux documents confirment que les injections mortifères à ARNm et adenovirus affectent foie, ovaires et divers organes

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PfizerGate : de nouveaux documents confirment que les injections anti-COVID affectent le foie, la rate et les ovaires dans des études animalières

JoNova

6 mai 2022

Url de l’article original:
https://joannenova.com.au/2022/05/pfizergate-new-documents-confirm-vaccine-goes-to-liver-spleen-and-ovaries-in-animal-studies/

~ Traduit d l’anglais par Résistance 71 ~

JudicialWatch a reçu 466 pages d’informations suite à une demande FOIA (loi sur la liberté de l’information), qui auraient du être disponibles à tout le monde depuis toujours, qu’est-ce que le “consentement informé” si ce n’est de … donner de l’information pour prendre une bonne décision ?

Non seulement les injections anti-COVID prennent bien plus de temps à se dégrader et à être éliminées de nos corps, mais encore se dispersent-elles loin de la zone d’injection et se concentrent dans le foie, la rate, les glandes surrénales et les ovaires. Pfizer le savait pertinemment, mais l’a caché et toutes ces agences supposées nous protéger n’ont demandé aucune donnée et n’ont rien rapporté du tout.

Ne sous-estimez pas l’effet que cela aura sur les parents qui vont apprendre que les injections délivrent l’arme biologique qu’est la protéine spike (du virus SRAS-CoV-2) directement aux ovaires de leurs filles avec des conséquences futures inconnues. Ceci est un message que nous pouvons donc partager et qui fera des vagues.

On ne peut pas retirer effets des injections une fois inoculées, mais nous pouvons arrêter les prochaines. C’est un moment “pilule rouge”. Les gens doivent comprendre que les institutions auxquelles nous avons autrefois fait confiance, comme le CDC, la FDA, la TGA, les groupes et syndicats médicaux, les universitaires, échouent lamentablement à nous protéger et méritent d’être éradiqués.

Soit ils ne savaient pas où les particules des injections allaient dans le corps et ne l’ont pas demandé ou pire encore… Ils savaient.

Judicial Watch: Pfizer/BioNTech Study Found Lipid Nanoparticles Materials Outside Injection Site in Test Animals

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COVID19 ou la guerre biologique contre l’humanité…

(Washington, DC) – Judicial Watch a annoncé aujourd’hui qu’ils avaient reçu 466 nouvelles pages d’archives du ministère de la santé et des services humains (NdT : le HHS américain souvent cité dans le livre de Robert F. Kennedy jr “Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique”) concernant les études faites sur la bio distribution et données relatives sur les injections anti-COVID19, montrant qu’un élément clef des injections développées par Pfizer / BioNTech, les nanoparticules lipidiques (NPL), ont été trouvées hors du site de l’injection, principalement dans le foie, les glandes surrénales, la rate et les ovaires des animaux testés, ce entre 8 et 48 heure après l’injection.

Les injections ARNm de Pfizer / BioNTech sont basées sur un système de livraison NPL. Pfizer a dit le 10 janvier 2022 dans un communiqué de presse que la technologie d’Acuitas Therepaeutics NPL est utilisée dans les injections COMIRNATY, l’injection anti-COVID19 de Pfizer/BioNTech.

Judicial Watch a aussi reçu 663 pages d’archives des HHS en regard des études sur la bio distribution et données relatives aux injections anti-COVID19, qui montrent que Johnson & Johnson s’est basé sur des études montrant que des particules d’ADN et des particules de virus injecté demeurent présentes des mois après l’injection.

La biodistribution est ici le mot clef décrivant là où les substances injectées vont terminer leur course, dans quels tissus et organes ces protéines spike sont délivrées ? Ces études auraient du être les premières effectuées et les résultats en aucun cas classés comme “secret commercial” pour toute personne désireuse de prendre ces injections.

Johnson & Johnson est aussi impliqué. Ils n’ont pas d’études dans leur demande de validation à la FDA. En février 2021, Pfizer n’avait même pas fait d’études relatives à ce sujet.

Les archives Pfizer incluent un rapport (a report,) qui fut approuvé en février 2021, sur des essais animaliers concernant la distribution de l’injection Pfizer COVID sur des rats, dans une section intitulée “sécurité pharmacologique”, le rapport note spécifiquement que aucune études de sécurité pharmacologique n’a été faite avec le BNT162b2 (injection BioNTech), car considéré comme non nécessaire

Pfizer savait pertinemment que les NPL, qui sont le système de livraison de l’ARN de la protéine spike, terminaient leur course dans le foie, les ovaires et autres organes dans les 48 heures suivant l’injection. L’endroit le plus commun de livraison étant le foie (près de 18% des particules NPL y terminent leur voyage). L’hépatite est évidemment une maladie du foie. Il y a bien des raisons potentielles de penser qu’envoyer une arme biologique de protéine spike dans les cellules du foie ne va pas bien se terminer pour la personne injectée.

La même étude Pfizer a admis qu’il n’y avait pas d’études de géno-toxicité ou carcinogènes parce que ces problèmes “n’étaient pas attendus”…

Acuitas Therapeutics a payé pour une étude en novembre 2020 sur l’effet des NPL chez les rats montrant que ces particules allaient dans le foie et autres tissus et organes. Bien que les archives de Johnson & Johnson montrent qu’il y a eu une étude remontant aussi loin que 2007, montrant que les injections “vaccinales” à adenovirus chez les lapins terminaient leur course dans la rate et les nodes lymphatiques iliaques. Ce ne sont donc pas que les injections à ARNm qui se répandent plus loin que supposé le faire. Les injections à vecteur Adenovirus incluant AstraZeneca, Johnson & Johnson, Sputnik (russe) et Convidecia (chinois) aussi. Les injections à ARNm incluent Pfizer et Moderna.

La dernière tranche des documents secrets de Pfizer est sortie : Pfizer docs 

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Voir notre page : “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

Lire notre traduction en format PDF du livre de Robert F. Kennedy jr :
“Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique”

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Résistance à la tyrannie sanitaire !

« Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique » Robert F. Kennedy Jr (chapitre 1, 3ème et dernière partie)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, Internet et liberté, média et propagande, N.O.M, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 27 décembre 2021 by Résistance 71

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Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Décembre 2021

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 1 : mauvaise gestion de pandémie

Note des traducteurs : ce chapitre est le plus long du livre, il fait 95 pages + 22 pages de notes bibliographiques. Ce chapitre très important représente à lui seul 25% du bouquin… Tout est à lire, aucune longueur, il fut très très difficile de sélectionner des passages pour la traduction, nous avons fait de notre mieux pour en tirer ce que nous pensons être le plus important à diffuser le plus rapidement possible. De fait, par souci de cohérence narrative et devant la somme des informations présentées, nous avons décidé de traduire plus qu’originellement prévu. Devant la longueur de ce chapitre et pour ne pas faire trop attendre le public francophone qui se doit de connaître cette information, nous avons décidé de publier ce long chapitre en 3 parties… Bonne lecture !

Troisième partie

[1] [2] [3]

V – La solution finale : les vaccins ou l’effondrement

“Le seul moyen de combattre une peste, c’est l’honnêteté.”
– Albert Camus, “La peste”, 1947 –

Durant le printemps 2020, le dr Fauci et Bill Gates ont lourdement bombardé les ondes en prédisant qu’un “vaccin miraculeux” arrêterait la transmission de la COVID, préviendrait de la maladie, mettrait fin à la pandémie et libérerait l’humanité de son assignation à résidence. Même les plus fervents afficionados de la vaccination, les vrais croyants comme les Dr Peter Hotez et Paul Offit ont regardé cette prédiction avec suspicion comme étant bien hardie en la matière. Après tout, depuis des décennies, deux inconvénients majeurs et apparemment insurmontables ont fait échoué toute tentative de créer avec succès un vaccin contre les coronavirus.

Les vaccins à fuite (“leaky vaccines”)

Le premier obstacle est la tendance des coronavirus à muter très rapidement, produisant des variants résistants aux vaccins. Des développeurs de vaccins comme Hotez et Offit doutaient qu’après des décennies d’efforts futiles, les chercheurs puissent d’un coup développer un vaccin anti-COVID donnant “une immunité stérilisante”, c’est à dire oblitérant totalement les colonies virales chez les individus vaccinés empêchant ainsi la transmission et la mutation.

[…]

Des virologistes de renom, incluant le prix Nobel de médecine Luc Montagnier, ont fait remarqué qu’un vaccin non-stérilisant, c’est à dire “à fuite”, ne pourrait pas arrêter la transmission et échouerait ainsi de mettre fin à la pandémie. Pire même, avertit-il, les individus vaccinés deviendraient des porteurs asymptomatiques et des “usines à virus mutants” dont sortiraient des versions résistantes aux vaccins de la maladie ce qui aurait plutôt pour résultat de prolonger et d’intensifier la pandémie au lieu de l’abréger.

Mais Tony Fauci et son associé Bill Gates semblaient avoir une stratégie pour neutraliser la menace des variants. Les deux hommes injectèrent des milliards de dollars de l’argent du contribuable américain et d’argent exonéré d’impôts dans le développement d’une plateforme ARNm pour les vaccins qui, en théorie, leur permettrait de produire rapidement de nouveaux “rappels de vaccins” pour combattre chaque nouveau “variant évadé”. Ce schéma fut le saint Graal de Big Pharma. Les vaccins sont un de ces rares produits commerciaux qui multiplient les bénéfices en échouant. Chaque nouveau rappel de vaccin double les revenus de l’injection initiale. Comme le NIAID est co-propriétaire du brevet de l’ARNm, l’agence était en passe de gagner des milliards de ce pari sur le vaccin coronavirus en produisant des rappels successifs pour chaque nouveau variant, plus il y en a, mieux c’est bien évidemment. La très bonne nouvelle pour Big Pharma est que l’humanité deviendrait dépendante des injections de rappel bi voire tri-annuelles…

[…]

La primauté pathogène

L’obstacle encore compliqué de ces vaccins anti-coronavirus était leur tendance à la “primauté pathogène”, connue également sous le non de “facilitation de l’infection par anticorps” (NdT : pour “antibody-dependent enhancement” ADE), une sur-stimulation de la réponse du système immunitaire qui peut causer de graves blessures voire même la mort lorsque des personnes vaccinées rencontrent subséquemment le virus dans la nature.

Dans les premières expériences, les vaccins anti-coronavirus ont produit une robuste réponse immunitaire à la fois chez les animaux et les enfants, mais ils tuèrent tragiquement les inoculés après ré-exposition au virus naturel ou les rendant très vulnérables à des infections uniquement incapacitantes.

[…]

Le Dr Hotez confessa au comité que ses collègues avaient tué un bon nombre d’enfants par primauté pathogène lors d’expériences sur le virus respiratoire syncytial (VRS) en 1966 et qu’il avait de nouveau rencontré ce phénomène lors de son propre travail sur les vaccins contre les coronavirus, il a vu le même effet se produire sur les furets de tests…

[…]

Le dr Fauci et ses acolytes avaient au moins six stratégies pour gérer ce sombre risque ; elles impliquaient toutes la dissimulation de la preuve de la facilitation de l’infection par anticorps si elle se produisait :

1) La première approche du Dr Fauci était de stopper les essais cliniques sur trois ans à 6 mois, puis vacciner le groupe de contrôle, une prévention qui permettrait d’empêcher la détection des effets secondaires sur le long terme, incluant la primauté pathogène […]

2) En tant que tsar de la COVID, Fauci obstinément refusa de fixer le système défaillant de l’HHS du VAERS (NdT : système informatique de rapport des effets secondaires graves dus aux vaccins quels qu’ils soient), qui systématiquement supprime les rapports concernant les blessures par vaccins. Le système VAERS est co-géré par le CDC et la FDA et accepte les rapports de quiconque. […]

3) La carte dans la manche du dr Fauci était sa capacité de mettre à contribution les entreprises de médias de masse et sociaux pour faire disparaître les rapports d’effets secondaires graves et les morts, que personne n’en parle sur les ondes, dans les journaux, sur internet et donc masquer cette réalité de la conscience du public. Google, Facebook et les chaînes de télévision purgèrent les médecins et les scientifiques qui rapportèrent la primauté pathogène et censurèrent les rapports au sujet des vagues d’effets secondaires néfastes suite à la vaccination.

[…]

Le trafic des courriels montrent que le dr Fauci est entré en collusion directe avec Mark Zuckerberg et les plateformes des médias sociaux pour censurer les médecins qui rapportaient les échecs des vaccins, leurs effets secondaires graves, les décès, de censurer les avocats de la santé public comme moi et d’évincer et de museler les malades qui rapportaient leurs propres effets secondaires et leur vécu. Les magazines scientifiques, si dépendants des mannes de Big Pharma et de sa publicité, refusèrent de manière obligée de publier les études sur les réactions adverses voire mortelles suite aux injections.

[…]

Le 7 octobre 2021, le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie ARNm, se plaignait dans un tweet que le peuple américain était pratiquement complètement aveugle à la marée d’effets secondaires graves dus aux vaccins qui tuaient et  handicapaient nos compatriotes : “Le vrai problème est cette satanée presse et ces géants de l’internet. La presse et ces acteurs technologiques agissent pour fabriquer et renforcer un “consensus” autour de narratifs sélectionnés et dûment approuvés. Ensuite, ceci est transformé en arme de combat contre ceux qui s’élèvent contre tout ça, incluant des médecins et scientifiques hautement qualifiés.

4) Le dr Fauci a permis au CDC de décourager la pratique des autopsies dans les cas de décès suivant la vaccination.

[…]

5) Le dr Fauci a peuplé les comités clef de la FDA, du CDC avec des récipiendaires de fonds attribués par le NIAID, le NIH et la FBMG, ainsi que des loyalistes à leur système pour s’assurer que ces injections ARNm soient validées sans qu’il y ait d’études sur les effets secondaires graves sur le long terme.

[…]

6) En faisant vacciner la population entière, le dr Fauci semble vouloir éliminer le groupe de contrôle pour masquer les effets secondaires graves des vaccins.

[…]

cobaye

Regard objectif sur les donnés de choc du vaccin Pfizer 

A la date de publication de ce livre en novembre 2021, seul le vaccin anti-COVID de Pfizer renommé Comirnaty, a gagné l’approbation de la FDA. Bien que ce vaccin sous cette forme ne soit pas encore distribué aux Etats-Unis, sa contre-partie le Pfizer-BioNTech, le même vaccin sous un nom différent, lui l’est, nous allons donc nous concentrer sur ce vaccin. Au 6 octobre 2021, les officiels américains de la santé ont administré plus de 230 millions de doses du vaccin anti-COVID de Pfizer, comparés au 150 millions de Moderna et 15 millions de Johnson & Johnson.

Le sommaire final de l’essai clinique de six mois de Pfizer, le document que le labo a envoyé à la FDA pour agrément, a révélé un point clef de donnée qui aurait du tuer et enterrer cette intervention à tout jamais. Bien plus de personnes moururent dans le groupe vaccinés que dans le groupe placebo pendant les essais cliniques de Pfizer. Le simple fait que la FDA approuva néanmoins le vaccin Pfizer et que la communauté médicale adopta et prescrivit cette intervention à ses patients, est un témoignage des plus éloquents de la résilience de produits les plus inefficaces et les plus nocifs voire mortels, ainsi que de l’incroyable pouvoir de l’industrie pharmaceutique et de ses alliés au gouvernement, pour contrôler le narratif au travers de régulateurs pieds et poings liés, des médecins complices et une grande manipulation médiatique, ce qui a pour effet de submerger le bon sens commun fondamental de la plupart de l’humanité.

[…]

Les données de l’étude clinique de six mois de Pfizer sur le vaccin anti-COVID ont suggéré que, alors que le vaccin empêcherait une seule mort par COVID-19, le groupe des personnes vaccinées a souffert de 4 fois plus d’attaques cardiaques mortelles que les non vaccinés. En d’autres termes, il n’y a eu aucun bénéfice sur la mortalité des vaccins, pour une vie sauvée du COVID, il y a eu 4 attaques cardiaques mortelles en plus.

[…]

Bases de données internationales ou l’augmentation des infections suivant la vaccination anti-COVID

Virtuellement tous les pays qui ont mis en place une campagne d’injection rapide et agressive ont fait l’expérience d’une large augmentation des infections COVID

[…]

Gibraltar

La nation la plus vaccinée au monde avec une couverture vaccinale de 115% (toute la population de 34 000 personnes + des touristes espagnols en visite).

Après cette vaccination éclair, le nombre d’infections par COVID a été multiplié par 5 et le nombre de morts multiplié par 19.

[…]

L’Islande

Dès juillet 2021, l’Islande avait vacciné 80% de ses 360 000 habitants avec une injection et 75% avec deux. A la mi-juillet, le chiffre d’infections COVID quotidien est passé de 10 à 120 avant de se stabiliser à un nombre supérieur à la campagne d’injection. Cette récurrence soudaine a fait dire à l’épidémiologiste en chef d’Islande qu’il serait impossible de parvenir à l’immunité de groupe par la vaccination. “Ceci est un mythe” a t’il publiquement déclaré. “En Islande, les gens ne croient plus du tout à l’immunité de groupe”, d’après l’oncologue et statisticien, le Dr Gérard Delépine.

[…]

Israël

Champion de l’injection Pfizer et pionnier d’une obligation vaccinale de masse, le pays a inoculé 70% de ses 9 millions de personnes avec au moins une dose et pratiquement 90% des personnes à risque avec 2 doses, ce dès juin 2021. Israël qui se gargarisait de son effort de vaccination de masse dure et efficace, est maintenant devenu le modèle mondial de l’échec vaccinal.

L’épidémie a rebondi en Israël plus fort que jamais en juillet 2021, atteignant un record national d’infections de 11 000 cas en un seul jour (le 14 septembre 2021), dépassant de 505 le plus haut pic de janvier 2021.

Le 1er août 2021, la directrice des services de santé publique israéliens, la Dr Sharon Alroy-Preis, annonça que la moitié des infections COVID-19 était parmi les totalement injectés. Des signes de maladie plus grave chez les complètement vaccinés sont aussi en train d’émerger, a t’elle dit, particulièrement chez les plus de 60 ans.

[…]

La primauté pathogène ? Les vaccins anti-COVID sont liés à une augmentation de décès et d’hospitalisations

En août 2021, le dr Fauci et le CDC, ainsi que les officiels de la Maison Blanche, concédaient à reculons que la vaccination n’arrêterait pas la maladie ni ne stopperait la transmission, mais ils dirent aux Américains que les injections les protégeraient des formes les plus graves de la maladie ou de la mort. Il convient ici de dire également que l’HCQ et l’IVM auraient eu de meilleurs résultats à cet effet et ce à bien moindre coût. Le dr Fauci et le président Biden, sans doute poussé par le premier, déclarèrent aux Américains que 98% des cas sérieux, des hospitalisations et des décès se comptaient parmi les non-vaccinés. Ceci était un mensonge éhonté. Les véritables données en provenance de nations ayant pratiqué l’injection, montrent l’inverse de ce narratif, l’augmentation des infections accompagnée d’une explosion d’hospitalisations, de cas graves de la maladie et de décès, s’avèrent être parmi les vaccinés.

[…]

Ces données cimentèrent les suspicions que le très redouté phénomène de primauté pathogène se produisait et était en train de créer le chaos.

Gibraltar

Suite à son record mondial pionnier de la vaccination, Gibraltar a connu un pic immédiat de décès souffrant de 2893 fatalités par million d’habitants. Record européen de mortalité per capita. Dès les premiers jours de la vaccination des personnes âgées, 84 de celles-ci en moururent immédiatement. Un gouverneur général de Gibraltar visiblement en état de choc, déclara que ce fut le plus haut taux de mortalité jamais souffert par les citoyens, plus haut que celui enduré lors de la seconde guerre mondiale.

Angleterre

Sur la période de 7 mois précédents octobre 2021, quelques 60% des 2542 britanniques qui moururent de la COVID étaient des double-vaccinés. Des personnes hospitalisées au Royaume-Uni pour la COVID ces 7 derniers mois, 157 000 étaient double-vaccinés. Il y a eu plus de morts per capita parmi les double-vaccinés que chez les non-vaccinés. Le bureau gouvernemental britannique des Statistiques Nationales rapport que le taux de mortalité par injection anti-COVID montre que par taux ajusté par tranche d’âge, le taux de mortalité jusqu’à octobre 2021 était plus haut chez les vaccinés que chez les non-vaccinés.

[…]

Israël

Les vaccinés représentent la majorité des hospitalisés. Fin juillet 2021, 71% des 118 cas très graves hospitalisés en Israël étaient complètement vaccinés.

[…]

D’après un rapport officiel de l’état israélien, les décès du mois d’août furent plus fréquents chez les vaccinés (679) que chez les non vaccinés (390).

Le 5 août 2021, le Dr Kobi Haviv, directeur de l’hôpital Herzog de Jérusalem rapporta au JT de la chaîne 13 que 95% des patients sévèrement malades de la COVID-19 étaient totalement vaccinés. et que les Israéliens totalement vaccinés constituaient 85% à 90% des hospitalisations générales liées à la COVID-19. Alors que les double-vaccinés faisaient déborder les hôpitaux israéliens, le gouvernement annonça en août un nouveau plan de gestion de sa “pandémie des vaccinés”. Israël a dit qu’il allait mettre à jour sa définition de “totalement vacciné” et requérir 3 voire 4 injections…

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Cape Cod (USA)

[…]

La John Hopkins University est un pilier central de la médecine et un promoteur agressif de la vaccination anti-COVID en particulier. Cette université a reçu des dizaines de millions de dollars de la FBMG et plus d’un milliard de dollars du NIAID et du NIH de Fauci. Mais les données John Hopkins démontrent néanmoins clairement  que les décès COVID atteignent un pic dans beaucoup de pays immédiatement après la vaccination de masse.

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Aux Etats-Unis, les vaccins anti-COVID ont causé un nombre record de décès

Malgré les efforts du CDC pour camoufler le carnage aux Etats-Unis, même le système VAERS qui fonctionne mal, a enregistré des vagues sans précédent de décès documentés après la vaccination de masse anti-COVID

En 1976, Les régulateurs américains retirèrent du marché un vaccin contre la grippe porcine après que celui-ci ait été lié à 25 décès aux Etats-Unis. Par contraste, depuis le 14 décembre 2020 et le 1er octobre 2021, des médecins américains et des familles affligées ont rapporté plus de 16 000 décès et un total de 778 685 effets secondaires et blessures rapportées au travers su système VAERS du Vaccine Adverse Event Reporting System suite à la vaccination de masse anti-COVID. Les sites de surveillance médicale européens ont rapporté 40 000 morts et quelques 2,2 millions de conditions adverses. A cause d’un sous-comptage chronique de ces systèmes, ces chiffres ne sont plus que certainement qu’un fraction de la vérité concernant les décès et blessures occasionnées.

[…]

Les personnels de santé ont inoculé des milliards de vaccins pendant ces dernières 32 années, pourtant en juste huit mois, les vaccins anti-COVID ont tué et blessé bien plus d’Américains que tous les autres vaccins combinés sur trois décennies. Les données VAERS montrent les gros pics, 69,84%, de morts s’étant produites deux semaines après la vaccination, 39,48% dans les 24 heures suivant l’injection. D’après les données de fatalité du CDC, les vaccins anti-COVID ont 98 fois plus de chance de tuer leurs récipients que les vaccins anti-grippaux.

[…]

Comment le CDC a t’il trompé le président Biden ?

Une des tromperies les plus grosses du CDC est de cacher les mortalités vaccinales dans les données en comptant les personnes comme “non-vaccinées” à moins que leurs morts ne se produisent plus de deux semaines APRES la seconde injection. (et le CDC fait une double tromperie sur cette fraude en comptant beaucoup de ces morts par vaccin comme morts COVID…). De cette manière, le CDC capture la vague de décès qui se produit après la vaccination et les attribue tous aux “non-vaccinés”. Ceci ne représente qu’un des nombreux trucs de falsification statistique que le CDC emploie pour cacher les effets secondaires vaccinaux et à faire monter la sauce de la peur du public face au COVID.

Le CDC a utilisé un truc encore plus fumant pour soutenir l’affirmation du président Biden que 98% des hospitalisations et des morts dues aux vaccins étaient en fait des non-vaccinés.

Dans une vidéo du 5 août 2021, la directrice du CDC Dr Rochelle Walensky a révélé par inadvertance le truc principale de l’agence pour fabriquer cette statistique : Walensky a naïvement admis que le CDC incluait les données d’hospitalisation et de décès de janvier à juin 2021 dans ses calculs. La très grande majorité de la population américaine était de fait non-vaccinée durant cette période, cela est donc logique que presque toutes les hospitalisations soient celles de gens non vaccinés. Simplement parce qu’il n’y avait pratiquement aucun américain vacciné durant cette période ! Au 1er janvier 2021, seuls 0,4% de la population américaine avait reçu une injection anti-COVID. A la mi-avril, 37% avaient reçu une ou deux doses et au 15 juin 2021, 43% étaient totalement vaccinés.

[…]

Le vaccin Pfizer n’a reçu l’autorisation d’inoculation des enfants que parce que le labo a manipulé les essais des données et perpétré de graves crimes, comme  la dissimulation de blessure de Maddie de Garay.

[…]

con-plot-iste-rien

La vaccination des enfants est immorale

[…] Le modèle de Kirsh estime qu’environ au moins 600 enfants sont déjà morts des suite de l’inoculation anti-COVID.

[…] Une étude récente publiée dans The Lancet montre qu’un enfant en bonne santé est à risque Zéro pour la COVID, ceci suggérant que la plupart de ces enfants sont morts tout à fait inutilement. Dans les essais cliniques des vaccins, quelques 86% des enfants injectés souffrirent de conditions adverses aux injections et 1/9 a subi des conditions graves en réaction.

[…]

Kirsch demande : “Comment quiconque peut-il considérer comme éthique de soumettre des enfants à des risques avec le simple prétexte que ceux-ci pourraient protéger des adultes. Montrez moi un adulte qui pense que c’est OK et je vous montrerai un monstre..

[…]

Les enfants n’ont rien à gagner du vaccin parce que ces injections n’empêchent ni l’infection ni la transmission et dans trois récentes études publiées par le CDC, le gouvernement britannique et l’université d’Oxford, il n’y a absolument aucune preuve scientifique que les vaccins aient empêché la mort d’un seul enfant.

[…]

La plupart des Américains sont ignorants de ce carnage parce que les entreprises des médias et des réseaux sociaux ont immédiatement effacé les rapports des médecins, des victimes et des familles. Les médias comme CNN et le New York Times ignorent totalement le tsunami des blessures par vaccins et ne rapportent que les morts blâmées sur la COVID.

[…]

La théologie officielle du dr Fauci fait des “non-vaccinés” des boucs-émissaires nationaux, disant que ceux-ci sont plus enclins à diffuser la maladie et ne devraient donc plus être autorisés à participer à la vie sociale et civique. Les données au travers de multiples sources et études dépeignent une réalité bien différente.

En juillet 2021, le CDC a trouvé que les individus totalement vaccinés qui contractent la COVID ont une charge virale plus importante dans les voies aériennes supérieures (ou naso-pharyngées) que les individus non-vaccinés infectés.

Ce qui veut dire que les vaccinés sont tout aussi contagieux que les non-vaccinés. Une étude indonésienne a soutenu cette donnée en démontrant que les individus vaccinés avaient une charge virale 251 fois supérieure du variant mutant Delta que dans la période pré-vaccination.

[…]

Prochain épisode, chapitre 2…

doses

« Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique » Robert F. Kennedy Jr (Chapitre 1, 2ème partie)

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RFK_RealFauci

Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Décembre 2021

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 2

Chapitre 1 : mauvaise gestion de pandémie

Note des traducteurs : ce chapitre est le plus long du livre, il fait 95 pages + 22 pages de notes bibliographiques. Ce chapitre très important représente à lui seul 25% du bouquin… Tout est à lire, aucune longueur, il fut très très difficile de sélectionner des passages pour la traduction, nous avons fait de notre mieux pour en tirer ce que nous pensons être le plus important à diffuser le plus rapidement possible. De fait, par souci de cohérence narrative et devant la somme des informations présentées, nous avons décidé de traduire plus qu’originellement prévu. Devant la longueur de ce chapitre et pour ne pas faire trop attendre le public francophone qui se doit de connaître cette information, nous avons décidé de publier ce long chapitre en 3 parties… Bonne lecture !

Seconde partie

[1] [2] [3]

III – L’ivermectine

A partir de l’été 2020, des médecins de terrains au contact et soignant des patients avaient découvert un autre remède à la COVID qui égalait l’HCQ dans son rôle de sauveur de vie.

Cinq ans plus tôt, deux chercheurs du laboratoire Merck gagnèrent un prix Nobel pour avoir développé l’ivermectine (IVM), un médicament ayant une puissance jusqu’ici inégalée contre une vaste variété de parasites humains incluant les vers, la cécité des rivières et la filariasis lymphatique. Ce salut a été la seule récompense attribuée par le comité Nobel à un médicament pour maladies infectieuses en plus de 60 ans. La FDA approuva l’ivermectine comme efficace et sans danger pour l’utilisation chez l’humain en 1996. L’OMS inclut l’IVM (ainsi que l’HCQ) dans son inventaire des “médicaments essentiels”. L’OMS a recommandé l’utilisation de l’IVM à des populations entières afin de traiter les parasitoses, cela veut dire que l’OMS considère le médicament comme suffisamment sûr pour le faire administrer à des gens qui n’ont même pas été diagnostiqué d’infections par parasites, ce avec peu ou pas d’effets secondaires. Les notices des boîtes d’IVM indiquent que le médicament est aussi sûr que les médicaments en vente libre les plus populaires comme le tylenol et l’aspirine

Des chercheurs de l’Institut Kitasato du Japon ont publié un article en 2011 décrivant l’IVM en ses termes jusqu’ici jamais utilisés pour un tout autre médicament :

Il y a très peu de médicaments qui peuvent sérieusement s’approprier le titre de “merveille”, la pénicilline et l’aspirine étant sans doute les deux médicaments ayant eu le plus gros impact sur la santé et le bien-être de l’humanité. Mais l’ivermectine peut tout aussi être considérée faire partie de ces prétendants, ceci fondé sur sa versatilité, sa sécurité, et l’impact bénéfique qu’elle a eu et continue d’avoir dans le monde entier, spécifiquement sur les centaines de millions de personnes les plus pauvres au monde.

Trois statues, une au centre Carter, une au QG de la Banque Mondiale et une au QG de l’OMS, honorent le développement de l’ivermectine.

Depuis 2012, de multiples études in-vitro (en labo) ont démontré que l’IVM inhibe la réplication d’une grande variété de virus, le magazine “Nature” a publié en 2020 une étude faisant la synthèse de de 50 ans de recherche trouvant l’IVM “hautement efficace contre les micro-organismes incluant certains virus” et rapportant les résultats dans des études animalières démontrant “les effets anti-viraux de l’ivermectine sur des virus comme zika, dengue, fièvre jaune et fièvre du Nil occidental…

En avril 2020, un article intitulé “Des expériences de laboratoire montre que le médicament anti-parasite ivermectine élimine le virus SRAS-CoV-2 des cellules en 48 heures”, publié par des chercheurs australiens  des universités de Melbourne et du Royal Melbourne Hospital, gagna une attention internationale comme traitement potentiel de la COVID-19.

[…]

De plus, une étude de 2021 a suggéré que le mécanisme biologique clef de l’IVM, l’accroche concurrentielle avec la protéine spike du SRAS-CoV-2, n’était pas spécifique à un variant quelconque  de coronavirus et que par conséquent, à l’encontre des vaccins, l’ivermectine serait sans aucun doute efficace contre tous les variants à venir.

[…]

Le journal scientifique “Annals of Dermatology et de Venerology” a rapporté que dans un EPHAD français, tous les 69 patients, dont la moyenne d’âge était de 90 ans, et les 52 personnels soignant ont tous survécu à la contagion de la COVID-19. Il s’avéra qu’ils avaient tous reçu de l’ivermectine à cause d’une infection de gale dans l’établissement. La COVID décima la communauté environnante, mais seulement 7 résidents et 4 personnels furent infectés et tous avec des symptômes mineurs. Aucun cas ne demanda de mise sous oxygène ou une hospitalisation.

La recherche scientifique suggère que l’ivermectine fonctionnerait au travers de quelques 20 mécanismes différents. Parmi ceux-ci, ‘IVM fonctionne comme un “ionophore”, facilitant le transfert du zinc dans les cellules, ce qui inhibe la réplication virale. L’IVM stoppe la réplication de la COVID-19, de la grippe saisonnière et autres virus par ce mécanisme et autres. Par exemple, en mars 2021, une étude par Choudhury et al., a trouvé qu’ “Il s’avère que l’ivermectine est un bloqueur de la réplication virale, de la replicase et la protease et du TMPRSS2 chez l’humain, ce qui pourrait être la base biophysique se cachant derrière son efficacité anti-virale.

[…]

De plus, l’IVM perturbe la capacité de la protéine spike de s’attacher aux récepteurs ACE2 de la membrane cellulaire humaine, ce qui empêche l’entrée virale dans la cellule. De plus le médicament fait la prévention de la formation de caillots sanguins en s’accrochant à la protéine spike et empêche celle-ci de s’attacher au récepteur CD147 des globules rouges, ce qui autrement provoquerait une agglomération. Lorsque les patients prennent le médicament avant l’exposition au virus, cela fait une prévention de la maladie, ce qui arrête la transmission virale et aide à protéger des communautés entières.

[…]

En moyenne, avec une utilisation prophylactique (préventive), l’IVM empêcha 86% de résultats graves. Sur toutes les études faites, l’IVM a protégé 6 personnes sur 7 qui ont utilisé l’IVM à titre préventif.

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Une étude du Lancet de janvier 2021 a trouvé que l’IVM a réduit dramatiquement l’intensité et la durée des symptômes et de la charge virale des patients.

[…]

Le Dr Kory a témoigné que “L’IVM peut réduire les hospitalisations de près de 90% et le taux de mortalité de 75%.” Kory est un parmi la multitude de médecins de terrain, incluant le Dr McCullough, le ministre de la santé de Floride Joe Ladopo, le professeur Paul Marik, le Dr Joseph Varone et l’inventeur de la technique ARNm, le Dr Robert Malone et bien d’autres, qui pensent que le traitement précoce à l’IVM auraient évité 75 à 80% des décès liés à la COVID et aurait économisé au pays 1000 milliards de dollars en trésorerie.

La COVID-19 a eu pour résultat 6 millions d’hospitalisations et 700 000 morts aux Etats-Unis,” a dit le Dr Kory. “Si l’HCQ et l’IVM avaient été largement utilisées au lieu de leur suppression systématique, nous aurions pu empêcher 75% ou au moins 500 000 morts et 80% des hospitalisations, soient 4,8 millions. Nous aurions épargné aux états des centaines de millions de dollars.

[…]

La “non-recommandation” par le NIH de l’IVM le 14 janvier 2021, émise à l’encontre de la preuve de la sécurité et de l’efficacité de l’IVM contre la COVID-19, fut le premier signal de la détermination évidente de l’agence de supprimer l’IVM. Le NIH affirmait qu’il y avait “une insuffisance de preuve.. pour recommander de manière positive ou négative l’utilisation de l’IVM dans le traitement de la COVID-19”.

Le NIH a voilé son processus d’obtention de cette conclusion de tout le mystère possible, refusant de diffuser l’identité des gens qui prirent part au comité de décision sur l’utilisation de l’IVM et supprima les noms du document qu’il émit suite à de nombreuses demandes de divulgation selon la procédure du FOIA (loi sur la liberté de l’information) et que l’agence devait légalement fournir. pendant un temps, seuls Fauci, Francis Collins et les membres du panel eux-mêmes connaissaient ces identités. Le NIH a pris des mesures extrêmes pour garder ces noms secrets, luttant jusqu’aux tribunaux fédéraux pour protéger de toute transparence le processus de décision.

Alors que Fauci et Collins manœuvraient pour garder dans l’ombre le processus, le CDC, en réponse à une demande séparée sous FOIA, révéla les 9 membres du groupe responsable de la décision. Trois membres de ce groupe Adaora Adimora, Roger Bedimo et David V. Glidden, avaient déclaré des relations financières avec le laboratoire Merck. Un 4ème membre du comité de direction du NIH, Susanna Naggie, recevait 155 millions de dollars de fonds pour continuer la recherche sur l’IVM en suivi de la décision de “non-recommandation” du NIH. La corruption de Naggie n’aurait pas pu continuer si le comité avait voté pour approuver l’IVM.

Aujourd’hui, alors que le dr Fauci est en passe de réussir à ce que les Etats-Unis éliminent l’utilisation de l’IVM, plus de pays l’utilise toujours plus.

En février 2021, le patron de la Tokyo Metropolitan Medical Association a tenu une conférence de presse appelant à ajouter l’IVM au protocole de traitement pour les patients en ambulatoire. Plusieurs états en Inde ont ajouté l’IVM à leur liste de médicaments essentiels pour combattre la COVID-19. Le gouvernement indonésien a non seulement autorisé son utilisation mais a aussi créé un site internet montrant sa disponibilité en temps réel.

Après avoir injecté une 3ème dose du Pfizer, mais voyant toujours un haut taux de contamination COVID, d’hospitalisations et de morts, Israël a commencé à utiliser officiellement l’IVM en septembre 2021, les compagnies d’assurance distribuant l’IVM aux citoyens à haut-risque. El Salvador distribue l’IVM gratuitement à tous ses citoyens.

[…]

“L’IVM a écrasé la COVID-19 à New Delhi”, a écrit le Dr Justus R. Hope, médecin.

[…]

L’énorme et évidente preuve en faveur de l’IVM inclut la meta-analyse hautement regardé du Dr Tess Lawrie. Elle a évalué 15 essais, trouvant des effets à bénéfices cumulateurs pour l’IVM, réduisant la mortalité de 62% et que l’utilisation prophylactique de l’IVM réduisait les infections de l’ordre de 86%.

Le Dr Lawrie est une chercheuse mondialement renommée et est une éminence parmi les scientifiques et agences de santé publique dans le monde.

[…]

Dr Lawrie demanda au Dr Andrew Hill [chercheur à l’OMS] d’expliquer son retournement de veste sur l’IVM, que sa propre analyse avait trouvé particulièrement efficace. “Comment pouvez-vous faire cela ?” demanda t’elle poliment. “Vous provoquez une nuisance considérable”.

Hill expliqua que c’était une question difficile et épineuse, qu’il était dans une situation “difficile” parce que ses sponsors (financiers) avaient mis la pression sur lui. Hill est un virologiste de l’université de Liverpool qui a servi de conseiller pour Bill Gates et la Fondation Clinton. “Il m’a dit que son sponsor était Unitaid.Unitaid est une organisation quasi-gouvernementale de promotion financée par la Fondation Bill & Melinda Gates (FBMG) et plusieurs pays européens dont la France, le Royaume-Uni, la Norvège, l’Espagne et le Brésil, la Corée du Sud et le Chili, afin de faire pression sur les gouvernements (lobbying) pour financer l’achat de médicaments de laboratoires pharmaceutiques multinationaux pour les distribuer aux pauvres d’Afrique. Son objectif principal semble être de protéger les brevets et les droits de propriété intellectuelle des labos pharmaceutiques, ce qui est comme nous allons le voir, une des passions principale de Bill Gates et aussi de s’assurer que les gouvernements paient rapidement la totalité de la facture. Environ 63% du financement de l’organisation provient de la surtaxe sur les billets d’avion. La FBMG détient un siège au comité directeur et dirige le comité exécutif. La FBMG a donné 150 millions de dollars à Unitaid depuis 2005. Des succursales variées de la FBMG comme Global Fund, Gavi et l’UNICEF y contribuent également, comme le fait l’industrie pharmaceutique. La FBMG détient beaucoup d’actions dans beaucoup de compagnies pharmaceutiques qui profitent de cette aubaine. Gates utilise aussi Unitaid pour financer une science corrompue au moyen de chercheurs sous influence comme Hill, qui légitime ses directives politiques à l’OMS. Unitaid a donné 40 millions de dollars à l’employeur de Hill, l’université de Liverpool, quatre jours avant la publication de l’étude de Hill.

Hill, Ph.D a confessé que ses sponsors lui mettaient la pression pour influencer sa conclusion. Lorsque le Dr Lawrie lui demanda qui essayait de l’influencer, Hill répondit : “Je… Je pense que je suis ici dans une position très délicate…

[Note des traducteurs : s’ensuit ici l’entretien de Lawrie et Hill sur 6 pages, à lire dans le livre, il en vaut la peine…]

[…]

En conclusion de la conférence BIRD du 14 janvier 2021, le Dr Lawrie a délivré un monumental discours de clôture, qui devrait être enregistré comme un des discours les plus importants dans les annales de l’histoire médicale. Elle parla en prenant énormément de risques car sa vie sociale et sa carrière reposent largement sur ces mêmes agences qui sont la cible de sa critique acerbe.

La Dr Lawrie a commencé son discours en reconnaissant la miraculeuse efficacité de l’ivermectine ; puis elle dit à l’audience que la suppression de l’IVM était un signe de la corruption envahissante de Big Pharma qui a retourné le cartel médical contre les malades et contre l’humanité.

Elle a appelé à une réforme de la méthode utilisée pour analyser la preuve scientifique.

Elle a dénoncé la corruption de la médecine moderne par Big Pharma et autres intérêts et a attribué la suppression barbare de l’IVM à l’obsession aveugle pour des vaccins plus financièrement profitables.

Elle a fait allusion au rôle de Bill Gates dans la suppression de l’IVM.

Finalement, le Dr Lawrie a suggéré que les médecins forment une nouvelle OMS qui représente les intérêts des gens, des peuples et non des entreprises multinationales et des milliardaires, une organisation qui serait centrée sur le bien-être et la santé des gens.

[…]

Janvier 2021, Syracuse, état de New York, un avocat, Ralph Lorigo, fait une injonction devant un tribunal pour la mère d’un des ses clients, gravement malade de la COVID et hospitalisée. La requête est dirigée contre l’hôpital qui a refusé la demande de la famille de la malade pour qu’elle soit traitée à l’ivermectine. Un juge d’une cour supérieure de l’état de New York acquiesça de suite à la demande de l’avocat. Dans les douze heures de sa prise d’IVM, la mourante commença à récupérer. Deux semaines plus tard, Lorigo obtint un second succès pour un cas similaire et le malade eut une guérison miracle. […] A ce jour, Lorigo a été dans plus de 30 tribunaux plaider la cause de malades. “Les gens pour qui j’ai réussi à obtenir l’IVM à temps sur décision judiciaire ont tous survécu. Les autres sont morts.” Il a obtenu des douzaines de succès dans ses injonctions légales provoquant une pléthore de guérisons. “Les hôpitaux sont tellement arrogants. Ils laissent les gens mourir. Ils reçoivent 37 000 US$ s’ils placent une personne en réanimation pour COVID, ensuite ils les laissent mourir.

[…]

Merck était le laboratoire pharmaceutique originel de l’IVM et a formellement reconnu l’IVM comme sa “merveille médicamenteuse”. Pendant les 40 années durant lesquelles Merck a fabriqué le médicament, jamais il n’a parlé de ces signaux de sécurité concernant la substance. Depuis 1987, Merck a distribué des milliards de doses d’IVM dans le monde entier, de cette substance qui a soigné efficacement et rapidement de la gale, de la cécité des rivières, de la filiariasis lymphatique, de la fibromatose (éléphantisme) et autres parasitoses ce sans effets secondaires néfastes ou préoccupations alarmantes. En 2016, Merck a fourni plus de 200 millions de doses en Afrique.

[…]

Qu’est-ce qui a déclenché la soudaine préoccupation de sécurité de Merck pour son IVM ?

Le brevet exclusif de Merck sur l’ivermectine a expiré en 1996 et des douzaines de labos pharmaceutiques génériques produisent maintenant le médicament pour environ 0,40 US$ la dose, diminuant le profit de Merck dramatiquement. De plus 10 jours avant la découverte par Merck de sa préoccupation concernant la substance, Merck avait signé un contrat d’association dans la fabrication du vaccin anti-COVID Novarax et Emergent BioSolutions alors que celui-ci entamait ses essais finaux.

[…]

De manière plus importante, l’ivermectine est aussi un concurrent à bas profit pour un nouveau produit de chez Merck contre la COVID-19, un médicament très cher antiviral, le molnupiravir, pour lequel Merck a la plus haute ambition financière. De manière ironique, le molnupiravir, formule quasi copie carbone, utilise un mécanisme d’action identique à celui de l’IVM. Ce nouveau médicament va se vendre 700 US$ par traitement, mais seulement si Merck tue son rival bon marché.

Prenons un moment pour considérer le pédigré du molnupiravir, parce que ce médicament a émergé d’un sombre marché noir d’espions, de profiteurs en bio-sécurité et de sous-contractants du Pentagone qui ont joué un rôle clef dans la militarisation et la monétarisation de cette pandémie COVID, vous les rencontrerez plus tard dans ce livre. L’officier de la CIA et développeur d’armes biologiques, Michael Callahan, une des personnes clef dans cette affaire du molnupiravir, a appelé ce groupe d’opérateurs d’armes biologiques de l’ombre son “club de la poignée de main secrète”. Le molnupiravir est un inhibiteur de protease qui reproduit les propriétés antivirales de l’IVM. A l’encontre de l’IVM, le molnupiravir a démontré des signes de sécurité si alarmants que quelques uns de ses co-développeurs à l’université Emory ont protesté contre son introduction dans la Phase I d’essais sur les humains.

Entre autres problèmes, ils citent la possibilité de mal-formations de naissance.

Le patron de Callahan, l’afficionado des armes biologiques et ex-sous-secrétaire au DHHS pour la préparation et réponse à l’urgence, Robert Kadlec, docteur en médecine et promoteur sans scrupule du processus de “gain de fonction”, ayant un pédigré militaire et de renseignement, qui construisit sa carrière en profitant de pandémies surexagérées, créa presqu’à lui seul le stock stratégique national (SSN) de 7 milliards de dollars et le géra comme un fief privé pour enrichir ses amis les gens de son cercle de connexions. Kadlec gère aussi le super secret comité P3CO au sein du NIH, qui donne le feu vert et ne refuse jamais les projets de recherche de “gain de fonction” pour armes biologiques du dr Fauci. Le “gain de fonction” se réfère à des expériences qui modifient intentionnellement un organisme pathogène pour créer la capacité de causer ou d’empirer une maladie, de la rendre plus contagieuse, et/ou de créer de nouveaux pathogènes se généralisant chez l’humain. 

[…]

En juin 2021, alors que la FDA et le NIAID remontaient l’opposition du cartel médical contre l’IVM, le HHS fut d’accord pour acheter 1,7 millions de traitement sur 5 jours de molnupiravir du laboratoire Merck pour 1,2 milliards de dollars, lorsque le médicament obtiendra l’accord de la FDA pour sa mise sur le marché, chose virtuellement garantie alors que Fauci est le roi du médicament à Washington.

[…]

Diaboliser l’IVM comme un “remède pour cheval” était bien entendu ironique étant donné que le NIAID développa initialement la thérapie de remplacement de Merck, le molnupiravir, comme un médicament pour cheval. De plus, appelé l’IVM un médicament pour cheval, c’est comme dire qu’un antibiotique est un médicament pour cheval.. Un grand nombre de médicaments de base, établis de longue date sont bien entendu, efficaces également chez les mammifères, parce qu’ils fonctionnent sur notre biologie partagée, commune. L’efficacité dévastatrice de l’IVM sur les infections par parasites et sa solide histoire médicale depuis 40 ans tant pour sa sûreté que son efficacité, en a fait également un des médicaments vétérinaires les plus prescrits, mais le prix Nobel décroché fut pour ces millions de fois qu’il aida les humains et les avertissements de sécurité à son encontre par le gouvernement étaient parfaitement idiots.

Comparez les résultats et la sécurité de l’IVM par rapport aux deux remèdes anti-COVID choisis par le dr Fauci, le remdesivir, que les infirmières en milieu hospitalier ont nommé “Run death is near”, (NdT : en français “sauvez-vous la mort est proche”, mais ça n’a ni la consonance, ni l’humour du jeu de mots existant en anglais avec cette expression…) et les vaccins anti-COVID. En 30 ans, l’IVM a été associée avec seulement 379 décès. Un impressionnant rapport de sécurité du nombre de décès par dose de 1 / 10 584 408. Par contraste, sur les 18 mois d’utilisation du remdesivir reçu en AUU, environ 1,5 millions de malades ont reçu le médicament pour 1499 morts rapportées soit un taux de 1/1000 doses. Dans le même temps, parmi les récipients des injections anti-COVID aux Etats-Unis durant les dix mois qui ont suivi leur mise en service, le rapport de décès par dose est de 1/13 250. Par conséquent l’IVM est des milliers de fois plus sûre que le remdesivir ou les injections COVID. La science nous indique de plus que l’IVM est bien plus efficace que les deux autres.

[…]

Malgré des affirmations d’empoisonnement de masse, un média local n’a pas pu trouver un seul cas de prise d’IVM ayant mené à la mort ou l’hospitalisation du malade. Les gens clairement ne mourraient pas d’une overdose d’IVM pour cheval. Ils ne mourraient certainement pas de l’IVM correctement prescrite et administrée par voie orale. Mais beaucoup de gens mourraient de COVID non traité !

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Lorsqu’en septembre 2021, le populaire comédien et célèbre hôte de podcast Joe Rogan a annoncé qu’il avait vaincu la COVID en quelques jours en utilisant un cocktail de médicaments impliquant l’IVM, les médias de masse, le gouvernement et les intérêts pharmaceutiques se sont ligués pour le dénoncer, vilipender, diaboliser. Le programme de radio national NPR, qui a reçu 3 millions de dollars de la FBMG, s’est ajoutée à la meute et insinua de manière erronée que Joe Rogan avait pris des doses de cheval. Mais Rogan n’avait jamais pris de la pâte d’IVM vétérinaire. Il déclara avoir discuté avec plusieurs médecins qui lui conseillèrent de prendre le médicament. Il suivit leur conseil et guérit très rapidement.

[…]

Alors que les débuts du molnupiravir approchaient, la guerre contre l’IVM montait de plusieurs crans.

[…]

Le 28 septembre, le New York Times introduisit une nouvelle tactique : rapporter que la demande pour l’IVM de tous ces fadas qui essaient de traiter la COVID-19 avait créé une pénurie du médicament à but vétérinaire et que à tout moment, des animaux allaient commencer à souffrir.

Peter McCullough se moqua de la propagande : “L’IVM est une molécule qui est miraculeusement efficace contre les parasites et certaines infections virales en ayant de multiples voies dans ses mécanismes d’action. C’est une molécule. Elle ne se soucie pas de savoir si elle est utilisée par un cheval, une vache ou un humain. Les règles de la physique et de la chimie sont les mêmes quelques soient les espèces…

Le Dr Pierre Kory se rallie : “L’IVM possède des propriétés multiples. Elle fonctionne contre la COVID le long d’une multitude de voies différentes. En plus d’être anti-parasitique, elle a aussi de puissantes propriétés antivirales et protège même contre les dégâts causés par la protéine spike du virus SRAS-CoV-2.

[…]

IV – Le remdesivir

Anthony Fauci a eu besoin d’utiliser toute son aura et ses manœuvres bureaucratiques qu’il a maîtrisées durant son demi siècle au NIH, pour gagner l’accord de mise sur le marché par la FDA de son vain médicament, le remdesivir. Celui-ci n’a absolument aucune efficacité contre la COVID19 d’après toutes les études légitimes. Pire, c’est un poison mortel, un poison aussi très cher à 3000 US$ de prix de vente du traitement !

[…]

Le défi pour Fauci fut d’abord de tuer l’HCQ et l’IVM, car une reconnaissance par la FDA de ces deux médicaments aurait automatiquement détruit les ambitions de faire passer le remdesivir pour une Autorisation d’Utilisation d’Urgence (AUU)

[…]

Pourquoi le dr Fauci se préoccuperait-il de minimiser tout médicament qui pourrait entrer en concurrence avec le remdesivir ? Cela peut-il avoir quelque à faire avec le fait que le NIH et le NIAID venaient juste de dépenser 79 millions de dollars dans le développement du remdesivir pour Gilead Science, une entreprise dans laquelle la FBMG possède à hauteur de 6,5 millions de dollars d’actions ? La FBMG est aussi engagée dans d’autres accords de développement médicamenteux avec le laboratoire, incluant un co-financement de 55 millions de dollars dans un traitement pour le paludisme développé par Lyndra Therapeutics. Gates a aussi financé la promotion du truvada de Gilead au Kenya. Un autre associé de Gilead, l’US Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (l’USAMRIID) du Fort Detrick dans le Maryland, où le médicament fut étudié sur des singes, a aussi contribué au développement du remdesivir à hauteur de plusieurs millions de dollars.

[NdT : Gilead Science a eu pendant de longues années Donald Rumsfeld, ministre de la défense de George W. Bush en fonction lors des attentats du 11 septembre 2001, comme Chairman of the Board, la connexion Gilead, armée et haute sphère politique corrompue ne date pas d’hier…]

[…]

Après la disparition de la menace du virus zika [pour lequel le remdesivir fut déployé sans grand succès], le NIAID a mis quelques 6,9 millions de dollars dans l’identification d’une nouvelle pandémie contre laquelle redéployer le remdesivir. En 2018, Gilead entra le remdesivir dans un essai clinique financé par le NIAID contre le virus ébola en Afrique.

C’est pour cela que nous savons que Fauci était parfaitement au courant de la toxicité du remdesivir lorsqu’il orchestra son approbation par la FDA pour les malades de la COVID. Le NIAID sponsorisa le projet. Le dr Fauci avait un autre médicament incubé par le NIAID, le ZMapp, dans le même essai clinique, testant l’efficacité contre ébola ainsi que deux médicaments d’anticorps monoclonaux expérimentaux. Les chercheurs planifièrent d’administrer les quatre médicaments à des malades d’ébola en Afrique sur une période de 4 à 8 mois.

Mais 6 mois dans l’étude, le comité de révision de sécurité soudainement retira les deux médicaments de Gilead, le remdesivir et le ZMapp de l’essai. Il s’avéra que le remdesivir était extrêmement dangereux. En 28 jours, les patients qui furent soumis au remdesivir eurent des effets secondaires létaux, incluant l’arrêt de fonctionnement de plusieurs organes, sévère insuffisance rénale, choc septique et hypotension. 54% des patients du groupe remdesivir moururent, le plus haut taux de mortalité des quatre médicaments testés. Le médicament de Fauci, ZMapp, eut le second taux de mortalité à 44%

[…]

Mais tout antiviral breveté et réassigné qui était efficace contre la COVID pour sa prévention ou son traitement précoce (comme l’IVM et l’HCQ) pouvait tuer dans l’œuf tout son programme vaccinal parce que la FDA ne pourrait pas accorder une AUU pour ses injections. Le remdesivir était un remède inoculé en intra-veineuse (I.V), approprié pour l’administration à des malades hospitalisés déjà en stade avancé de la maladie. Il ne serait donc pas en concurrence avec les vaccins, permettant au dr Fauci de le soutenir sans compromettre son business principal. De plus, alors que l’IVM et l’HCQ étaient hors délai de brevet et disponibles de manière générique (hors marque), le remdesivir quant à lui avait l’avantage d’être toujours sous brevet et donc bien rentable. L’avantage de gros profits potentiels était impressionnant. Le remdesivir coûtait 10 US$ par dose à Gilead à la production. Mais en accordant une AUU à Gilead, les régulateurs pouvaient forcer la main  des assureurs privés, Medicare et Medicaid de payer quelques 3120 US$ par traitement, des centaines de fois le prix de production du médicament. Gilead Science avait prédit 3,5 milliards de recettes pour la seule année 2020.

Fauci n’a pas eu soudainement l’idée que le remdesivir pourrait marcher contre la COVID en janvier 2020. Dans une de ses extraordinaires visions, au début 2017, le dr Fauci paya 6 millions de dollars à son gourou du “gain de fonction”, Ralph Baric, microbiologiste à l’université de Chapel Hill Caroline du Nord, pour accélérer le remdesivir comme remède contre coronavirus au laboratoire de haute sécurité de Wuhan en Chine. Baric utilisa des cultures de coronavirus obtenus de chauve-souris par des virologistes chinois qui travaillaient avec l’Eco Heallth Alliance de Peter Dasrak, autre récipiendaire des largesses financières de Fauci. Ce dernier démontra son intérêt principal dans ces expériences en envoyant ses dévoués adjoints, Hugh Auchincloss en 2018 et Cliff Lane en 2020, pour négocier avec le gouvernement chinois et pour superviser les expériences de Baric au labo de Wuhan et ailleurs en Chine. Baric affirma que ses études sur les souris ont montré que le remdesivir ralentissait la réplication du virus SRAS-CoV-1, et que cela pourrait s’appliquer à d’autres coronavirus. Des chercheurs chinois au laboratoire de Wuhan à l’académie militaire des sciences de l’Institut Médical Militaire de l’Armée de Libération du Peuple, firent leur propre demande de brevet dans “le but de protéger les intérêts nationaux chinois”.

Début mars 2020, la Fondation Gates débloqua 125 millions de dollars de financements exonérés d’impôts pour soutenir les fabricants de médicaments pour le traitement des coronavirus.

[…]

Pour l’HCQ, le dr Fauci demanda des essais randomisés très structurés en double aveugle avec contrôle placebo et mit en garde contre l’utilisation de l’IVM comme traitement. Par contraste, Fauci donna le feu vert les études subséquentes sur le remdesivir dans lequel le groupe de contrôle n’avait pas reçu un véritable placebo. Au lieu de cela, les chercheurs de Fauci n’utilisèrent pas de placebo chez les patients plus avancés dans la maladie et donnèrent au reste des patients un “comparatif actif” contenant les mêmes agents de traitement que le protocole utilisés dans le remdesivir, simplement en substituant la substance sulfobutyl pour le remdesivir en tant qu’agent de test. L’utilisation de soi-disants “toxiques” ou “spiked” placebo aussi connus sous le vocable de “fauxcebos” (NdT: en français dans le texte], est un truc frauduleux que le Dr Fauci et ses chercheurs ont mis au point sur une période de 40 années de maquillage des effets secondaires graves de médicaments toxiques pour lesquels ils recherchaient une autorisation de mise sur le marché.

[…]

Les chercheurs en fait ont changé le point de clôture de l’essai deux fois dans un effort de créer une bien maigre illusion de bénéfice pour la santé. Les nouveaux points de clôture de Fauci ont permis au médicament de montrer un bénéfice, non pas d’augmenter les chances de survivre la COVID, mais de parvenir à écourter le passage en hôpital. Et pourtant, ceci également était une supercherie, parce qu’il s’avéra que presque deux fois plus de sujet remdesivir que de sujets soumis au placebo ont du être réadmis à l’hôpital après en être sortis., ce qui suggère que le temps de guérison de Fauci était du en fait, du moins en partie, à avoir laissé partir les malades soignés au remdesivir trop prématurément.

[…]

Avant que son étude [du Dr Cliff Lane du NIH] ne fut achevé ou révisée par les pairs et encore moins publiée, le dr Fauci apprit que The Lancet venait juste de publier une étude chinoise avec groupe de contrôle placebo qui montrait le remdesivir comme étant absolument inefficace à maintenir les malades avancés en vie OU à réduire la duré de leur hospitalisation. Plus important encore, le remdesivir ne diminuait en rien la présence du virus dans le sang ; pire encore, l’étude chinoise démontrait la toxicité mortelle du remdesivir. Les régulateurs chinois mirent un terme à cet essai à cause de ses effets létaux potentiels. Le remdesivir provoquait de graves conditions chez 12% des patients, comparé à 5% dans le groupe placebo. A l’encontre de l’étude du dr Fauci, l’étude chinoise était randomisée en double aveugle, avec un groupe de contrôle placebo réel, multi-centrée et peer reviewed, publiée dans le plus grand magazine scientifique au monde The Lancet. Toutes les donnés sous-jacentes étaient disponibles à la presse ou au public curieux et mal informé.

Par contraste, l’étude du dr Fauci avec le NIAID et Gilead Science était à ce stade, non publiée, non révisée par les pairs (peer-reviewed) et les détails en étaient soigneusement cachés. Elle employait un groupe placebo bidon et avait souffert d’un changement de protocole à mi-parcours. En avril, les Chinois annulèrent deux essais cliniques avec le NIAID en Chine parce que la Chine avait réussi à mettre fin à la pandémie COVID sur son sol et les chercheurs ne pouvaient plus identifier suffisamment de malades de la COVID pour participer à l’étude…

[…]

Le dr Fauci déclara à une presse bien crédule : “Les données montrent que le remdesivir à un effet positif clair et significatif en diminuant le temps de guérison.” Il affirma que son étude avait donc démontré que le remdesivir était très bénéfique contre la COVID et qu’il avait décidé qu’il ne serait pas éthique de refuser aux Américains les bénéfices de ce merveilleux médicament.. Il déclara qu’il mettait fin à l’étude et qu’il allait donné du remdesivir au groupe placebo. Le remdesivir serait donc le nouveau “standard de soin” contre la COVID-19. Tout ceci n’était bien entendu que mensonge.

[…]

Sur la base de la représentation de Fauci, le président Trump fit acheter le stock mondial entier de remdesivir pour les Américains. L’Union Européenne signa un “accord de livraison” avec Gilead en attente de 500 000 traitements.

Le jour d’après l’annonce du dr Fauci à la Maison blanche, l’université de Caroline du Nord publia un communiqué de presse intitulé : “Le remdesivir développé en association avec l’UNC-Chapel Hill, est efficace contre la COVID-19 dans des essais cliniques sur humains menés par le NIAID”. Le magicien du gain de fonction du dr Fauci, le dr Ralph Baric, a appelé cela “un grand changement pour le traitement des malades atteints de la COVID-19”.

[…]

La reconnaissance par la FDA du remdesivir comme le nouveau “traitement standard” pour la COVID veut dire que Medicaid et les compagnies d’assurance ne pouvaient légalement plus le refuser aux malades et devraient payer le prix exorbitant de Gilead sur un produit pour lequel le contribuable américain avait à ce moment là, dépensé quelques 85 millions de dollars pour son développement. Pour améliorer la situation financière de Gilead encore plus, les médecins et les hôpitaux qui n’utiliseraient pas le remdesivir pourraient maintenant être poursuivis en justice pour mauvaise pratique de la médecine, menant certains experts médicaux à penser que forcer l’utilisation de ce médicament inutile et dangereux sur les malades de la COVID a plus que certainement coûté la vie de quelques centaines de milliers de malades.

Comme nous le verrons plus tard, Fauci copia le script bien chorégraphié d’acquisition d’AUU depuis une formule qu’il développa durant ses premières années avec la recherche sur le SIDA, script qu’il réutilisa tout au long de sa carrière pour gagner des autorisations de mise sur le marché de médicaments inefficaces et dangereux. Encore et encore, il a mis un terme aux essais cliniques de ses médicaments dès que ceux-ci présentaient les premiers signes d’une toxicité cataclysmique.

[…]

Puis, le 19 octobre 2020, trois jours avant l’accord de la FDA sur le remdesivir, l’OMS publia une étude définitive sur le médicament impliquant 11 266 malades de la COVID dans 405 hôpitaux de 30 pays. La puissance de cette étude minimisa le projet Fauci / Gilead, qui avait recruté 1062 malades. Dans l’étude de l’OMS sur le remdesivir, celui-ci échoua à réduire la mortalité et échoua à réduire le besoin de mise en réanimation des malades OU le temps de leur hospitalisation. Les chercheurs de l’OMS ne trouveraient aucun bénéfices détectables pour le remdesivir et ils déconseillèrent son utilisation pour traiter les malades de la COVID-19.

[…]

Beaucoup de médecins pensent que le record de fatalités à la COVID dans notre pays [aux Etats-Unis] est au moins dû en partie à la vaste utilisation du remdesivir en 2020. “Nous avons eu le plus de morts au monde”, dit le Dr Ryan Cole. “C’est une question qui nous hante : combien de ces Américains furent des victimes du remdesivir?”

Pendant plusieurs mois, nous fûmes le seul pays au monde à traiter les malades de la COVID avec un médicament prouvé létal.

[…]

Le Dr Peter McCullough nous donne un résumé court, clair et concis : “Le remdesivir a deux problèmes en un : d’abord, il ne marche pas et ensuite il est toxique et tue les gens.

A suivre…

BonBrutetTuand

Science marchande… Pfizer multirécidiviste du mensonge et de la corruption…

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nwo-covid-19-vaccin

Avec la clique associée des Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson et autres pourritures de la science marchande falsifiée, pas loin derrière dans leurs activités de lobbying et de tromperie généralisée. Ici l’objectif est double, la règle du 2 en 1 :

  • Engranger le fric dans un marché organisé comme un véritable racket international en bande organisée et..
  • Cocher les cases de l’agenda eugéniste de réduction de la population mondiale

Nous devons considérer et admettre une fois pour toute une vérité terrifiante mais bien réelle qui est celle-ci :
L’industrie pharmaceutique, en tant qu’industrie marchande dont le seule fonction est de rémunérer des actionnaires veules et imbéciles, n’a aucun intérêt à guérir les gens de quoi que ce soit. De fait, elle doit les rendre de plus en plus malades pour assurer une rente perpétuelle avant de finit le boulot en achevant les patients criblés de maux dérivés d’effets secondaires souvent dévastateurs. Nous irons même plus loin : cette industrie doit contrôler l’amont et l’aval  des maladies c’est à dire les créer et les « traiter ». Tout n’est que gestion de pathologies servant le double but du profit et de la réduction de la population mondiale selon un dogme néo-malthusianisme bien ancré dans la populace milliardaire « d’élites » auto-proclamées. Ce n’est pas un hasard si l’industrie pharmaceutique n’est en fait qu’une branche de l’industrie chimique… La seconde rend les gens malades dans un environnement de plus en plus toxique et la première, succursale de la seconde, engrange les profits sur une ligne thérapeutique chimérique et lucrative sous la forme d’une rente à vie avant de bien achever les bêtes de somme.
Simple et efficace. Ça l’est d’autant plus que nous les laissons faire, hypnotisés que nous sommes par le miroir aux alouettes de la « science » projeté à grand renfort d’effets de manches de blouse blanche portées par des scientifiques essentiellement (mais pas exclusivement…) véreux, vendus aux dieux du fric et de la gloriole.

Il est temps de sortir de l’hypnose généralisée et de reprendre les affaires médicale (et scientifiques) en main pour redonner à la science sa fonction humaine. La science, en tout domaine, a été détournée au profit de ce double agenda depuis au moins 70 ans, voire plus si l’on considère la récupération de la médecine américaine par l’industrie pétrochimique des Rockefeller entre 1910 et 1916. Si l’on veut en sortir, il faut sortir de la relation toxique état-marchandise-argent-salariat et transformer radicalement notre société pour que surgisse enfin toute notre humanité réalisée.
Tout le reste n’est que pisser dans un violon !

~ Résistance 71 ~

antiterrorisme-covidelire

Nous ne devrions pas accorder notre confiance à des laboratoires pharmaceutiques condamnés et multirécidivistes comme Pfizer

Le média en 442

13 mai 2021

url de l’article orignal:
https://lemediaen442.fr/nous-ne-devrions-pas-accorder-notre-confiance-a-des-laboratoires-pharmaceutiques-condamnes-et-multi-recidivistes-comme-pfizer/

Une chose étonne dans la gestion de la crise sanitaire, c’est le choix de faire appel, avec le minimum de garanties, à des laboratoires pharmaceutiques multi-condamnées pour assurer les solutions médicales ou logistiques. Amendes record pour Pfizer ou Johnson & Johnson, idem pour Mc Kinsey dans des cas de scandales sanitaires de grande ampleur. Et visiblement, rien ne semble affecter la confiance que leur portent les dirigeants, totalement soumis aux conseils et aux conditions des maîtres lobbyistes en chef.

Pfizer

La firme américaine est à l’origine du vaccin à ARN messager, prouesse technologique saluée par tous et devrait, grâce à ce seul produit, engranger 15 milliards de dollars de recettes cette année.

Pfizer s’attend par ailleurs à dégager sur ce produit une marge avant impôt de 25% à 30%, selon un communiqué publié le 2 février.

À Bruxelles, la firme emploie de deux à cinq personnes qui peuvent aller et venir au sein des institutions et dépense environ 900 000 euros en lobbying. Et à Washington, les dépenses en lobbying de la firme se montent à 11 millions de dollars pour 2020.

Connaissez-vous l’affaire du virus synthétique de Pfizer?

En avril 2010, un jury fédéral américain (US District Court de Hartford) a accordé 1,37 million de dollars de dommages-intérêts à une ancienne scientifique de Pfizer, Becky McClain,  une biologiste moléculaire, qui a affirmé avoir été contaminée par un virus génétiquement modifié dans un laboratoire de l’entreprise, puis renvoyée pour avoir soulevé des problèmes de sécurité.

Le jury a jugé que Pfizer avait violé les lois protégeant la liberté d’expression et les lanceurs d’alerte en lançant des représailles à l’encontre de Mme McClain, qui a travaillé pour l’entreprise de 1996 à 2005.

« Lorsque je me suis opposé à Pfizer dans une bataille juridique en tant que lanceuse d’alerte pour la sécurité dans les laboratoires de biotechnologie, l’immense réseau de relations économiques et politiques de Pfizer était son plus puissant défenseur contre moi et contre la santé et la sécurité publiques.»

«Par exemple, la Division de la santé au travail de l’Université de Yale, sans aucune justification pour étayer ses affirmations, a envoyé une lettre à mon médecin indiquant que le lentivirus auquel j’ai été exposé chez Pfizer «est incapable de provoquer des maladies». Quand j’ai découvert cela, j’étais indignée ! Le lentivirus était en effet dangereux; les preuves publiées plus tard sur le lentivirus ont confirmé que ce virus pouvait infecter les humains et qu’il était conçu pour attaquer les gènes humains. J’ai appris plus tard que Pfizer donnait à Yale une somme substantielle.»

«Pfizer a infiltré de nombreuses agences gouvernementales et autres structures de pouvoir pour arrêter tous les lanceurs d’alerte. Le seul espoir que nous ayons est d’amener notre gouvernement à nous accorder le pouvoir de riposter. Cette bataille a besoin de plus de soutien public et j’espère que mon histoire pourra inciter les gens à se joindre à nous dans cette lutte.»

Le jugement a été confirmé en appel en décembre 2012.

Autre scandale de grande ampleur, celui de la trovafloxacine, médicament contre la méningite

Pfizer a été accusé d’avoir pratiqué un essai clinique sur son antibiotique Trovan (trovafloxacine) en 1996 sur plusieurs centaines d’enfants et nourrissons lors d’une épidémie de méningite et de rougeole dans l’Etat nigérian de Kano (nord). Le test de la trovafloxacine, médicament contre la méningite sur 200 enfants avait provoqué la mort de 11 enfants et handicapé de nombreux autres.

Pfizer avait alors affirmé que le Trovan “avait aidé à sauver des vies”.

En juillet 2009, après deux ans de bataille juridique, Pfizer et l’Etat de Kano avaient annoncé un accord à l’amiable de 75 millions de dollar.

Mais les familles des victimes, via le cabinet d’avocats Streamsowers & Kohn, ont rejeté l’offre initiale de dédommagement car les tests ADN menés par Pfizer pour savoir qui avait droit à des compensations n’étaient pas menés de manière indépendante.

Finalement, en 2011, la firme a négocié un accord à l’amiable pour mettre un terme aux poursuites de familles nigérianes qui l’accusaient d’avoir testé son antibiotique sans autorisation sur leurs enfants. Le montant de l’accord n’a jamais été communiqué.

Vous en voulez encore ? Une amende record ?

En 2009, Pfizer a été contraint de verser une amende historique de 2,3 milliards de dollars aux autorités américaines.

Pfizer était poursuivi pour pratiques commerciales abusives concernant un médicament contre l’arthrite retiré du marché pour raison de santé publique, le Bextra et trois autres traitements: le Zyvox (infections bactériennes), le Geodon (troubles bipolaires et schizophrénie) et le Lyrica (troubles nerveux).

Selon les avocats du cabinet Kenney Egan McCafferty & Young : “Pfizer a ciblé des pédiatres et des adolescents pour étendre la commercialisation du Geodon”, alors que “la FDA a validé le Geodon pour une population de 18-65 ans”. “Pfizer a aussi régulièrement versé des commissions à ces médecins pour enfants pour qu’ils fassent des présentations promotionnelles à leurs pairs sur les bienfaits du Geodon”.

La sanction pécuniaire était assortie d’une mesure de surveillance du laboratoire par les autorités américaines pendant cinq années.

Et concernant le vaccin actuel, Pfizer entend bien réaliser des profits records !

Il est “de plus en plus probable” que le vaccin contre le Covid-19 représentera une source régulière de revenus, comme pour la grippe, avait annoncé le PDG Albert Bourla lors d’une conférence, estimant qu’il faudra des rappels réguliers pour maintenir un niveau d’immunité satisfaisant dans l’ensemble de la population et contrer « la menace de nouveaux variants ».

La recherche et le développement ont été en grande partie financés par des fonds publics et l’Union européenne, tout comme les États-membres assument également le risque commercial et le risque financier en cas de vices cachés !

Un haut responsable de la Commission européenne l’a confirmé au journal Le Monde : « Les entreprises avaient une demande très forte de n’être responsables de rien du tout. Elles voulaient le même genre de clause qu’aux Etats-Unis. » Et dans les deux contrats rendus partiellement publics, on peut lire que les Etats membres participants s’engagent « à indemniser et dégager de toute responsabilité » le laboratoire en cas de recours de tiers.

Astra Zeneca, Johnson & Johnson, Mc Kinsey et bien d’autres n’échapperont pas à des rappels utiles de leur passé judiciaire et de leurs activités de lobbying.

= = =

Nos pages : “Coronavirus, guerre contre l’humanité” et “COVID-19 du mythe aux stats et des stats au scandale”

A lire aussi : « Injection COVID Pfizer, la Rolls Royce des poisons ? »

nbdecesvaxxins

Toujours plus d’infos sur la chimère SRAS-CoV-2 (Veterans Today)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, militantisme alternatif, pédagogie libération, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , on 13 mai 2021 by Résistance 71

antiterrorisme-covidelire

“Les nouveaux variants [COVID-19] sont créés par la sélection des anticorps produits par la vaccination.”
~ Professeur Luc Montagnier, mai 2021 ~

Renseignement : SARS-CoV-2 Mise à jour du 11 mai 2021

Gordon Duff

11 mai 2021

url de l’article original:
https://www.veteranstoday.com/2021/05/11/intel-drop-may-11-2021/

Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

VT est prêt à citer, dans ses briefings de renseignement pour ses clients, ce que nous savons maintenant être un fait inexorable :

La guerre des vaccins est financée par les mêmes organisations qui ont créé le virus du SARS-CoV-2 et l’ont déployé dans le monde. Nous sommes aussi prêts à dire que nous pouvons prouver, sans l’ombre d’un doute, que la COVID-19 fut créée non pas comme une arme apocalyptique mais comme un outil politico-économique par des groupes occultes ayant un très grand pouvoir d’influence sur l’armée américaine et un énorme soutien du crime organisé et de la finance mondiaux.

  • La COVID a permis à certains groupes liés à la franc-maçonnerie, de se repositionner globalement afin de dominer une économie post-hydrocarbones et manipuler ainsi que supprimer de nouveaux facteurs économiques tels que les crypto-monnaies.
  • La déstabilisation permanente du gouvernement américain était le but principal.
  • La COVID, soutenue par des spécialistes de la théorie du chaos, a “armé” la “stupidité mondiale”. La destruction du système éducatif aux Etats-Unis en particulier, fut un précurseur à la création d’un passage constant à des réalités alternatives variées qui minimisent et handicapent tout future potentiel pour une évolution planétaire.

Dans le processus, nous avons vu des problèmes similaires de “commandement fugitif” lorsque nous avons vu Obama prendre ses fonctions.. A cette époque l’état-major demeurait sous le contrôle de Rumsfeld et Cheney, afin d’assurer les exportations mondiales de la production d’héroïne d’Afghanistan.

Aujourd’hui, avec Israël sous la menace d’une forte présidence de Biden après avoir co-gouverné l’Amérique dans une donne de partage du pouvoir avec le crime organisé de la Kosher-Nostra russe sous la présidence Trump, des organisations militaires, utilisant à la fois l’armée de l’air américaine et des milliers de mercenaires, maintiennent des opérations criminelles de par le monde, en Syrie, en Irak, au Yémen, en Palestine, en Libye, au Tchad, en Somalie, au Venezuela, dans la péninsule coréenne, en Ukraine, en Biélorussie, en Arménie, en Azerbaïdjan, au Tadjikistan, en Iran, en Turquie, au Pakistan et ailleurs.

Ces opérations ne sont pas seulement ne sont pas simplement des opérations de déstabilisation ou de terrorisme, mais elles incluent également des expériences utilisant du matériel nucléaire, des agents biologiques et elles sont toutes soutenues et protégées par des médias sociaux militarisés de la “propagande noire”, gérés depuis Fort Huachuca et son “école de la tromperie et du mensonge”.

La COVID-19 est une de ces opérations, la première d’autres à venir et la plus importante jusqu’ici.

Jusqu’ici plus de 4000 personnes sont mortes aux Etats-Unis du vaccin anti-COVID d’après les rapports. Nous savons cela pour sûr parce que les morts nous l’ont dit en rapportant le fait utilisant une app de leur téléphone, demandant, dans la plupart des cas, un login / connexion biométrique. Oui. Les chiffres que nous communiquent Hannity et Tuckstein sont ceux de rapports de décès faits par … ceux qui sont morts et qui rapportent le fait après leur mort. On peut pas inventer un truc pareil.

Les plus grosses infos impliquent des rapports qu’un livre, publié en Chine par l’armée chinoise, cite la preuve que les Etats-Unis sont responsables de la création de la COVID-19 en tant que partie d’un programme de défense et qu’il fut relâché en Chine dans une action terroriste.

Les rapports, en tout cas dans les journaux du “South China Post”et du “Sun” britannique, inversent les faits de manière prévisible et tente de désamorcer le rapport chinois en disant que “tous les scientifiques ne sont pas d’accord pour dire que le SARS-CoV-2 fut créé en laboratoire”. Cela ressemble étrangement à ce langage inventé pour protéger les compagnies de tabac et de cigarettes des accusations disant que fumer cause le cancer.

Dans ce cas-ci, le terme “preuve conclusive” fut inventé, voulant dire que si quelqu’un, aussi fou ou non-qualifié soit-il, n’était pas d’accord avec la science, alors “il n’existe pas de preuve… c’est à dire pas de preuve conclusive.”

Ce qui apparaît être vrai est ceci :

Nos propres recherches ont conclu qu’il y a eu plusieurs raisons pour que les Etats-Unis aient créé et lâché le SARS-CoV2 qui existe de manière quasi certaine sous des formes ne ciblant que certains groupes de populations par âge, ethnicité et autres facteurs, qui sont expliqués dans le rapport de Michael Ainscough pour l’École de Guerre de l’Armée de l’Air des Etats-Unis (USAF War College).

Nous pouvons aussi noter qu’il y a quelques années, VT a examiné l’utilisation des appareils drones de très longue portée de modèle Global Hawk et de leur utilisation de sous-munitions sous la forme de mini-drones en tant que méthode de dispersion et d’épandage. Nous pensons que certains de ces drones ont été utilisés dans certaines régions pour épandre la COVID tandis que dans d’autres, des groupes comme l’équipe américaine qui alla à Wuhan un octobre 2019 (délégation de 367 touristes militaires pour les “jeux militaires”), comme un autre moyen de dispersion du virus.

Nous pensons que l’administration Bush43 (fils) a utilisé le rapport ci-dessous comme schéma pour un énorme programme mondial de développement d’un armement biologique et d’agents biologiques de nouvelle génération, ceci est explicité dans ce document, originellement cité comme “défensif” :

[s’ensuit ici des scans de documents en anglais datant de l’ère du président Bush fils sur “La nouvelle génération d’armes biologiques”… Les documents présentés parlent dans le chapitre : “six voies de développement de la menace biologique”, de: “1) Armes biologiques binaires”, “2) Gènes fabricants”, “3) La thérapie génique comme arme biologique”, NdR71 : là on est en plein dans la situation COVID-19… “4) les virus indétectables / dormants”, “5) Les maladies changeant d’hôtes” et “6) Les maladies à hôte fabriqué”, ces documents sont tous reproduits dans l’article original de VT…]

[…]

Mais que savons-nous ? Nous savons que parce qu’avoir blâmé un laboratoire chinois de développement d’armes biologiques d’être la cause de la dispersion de la COVID-19 ne marche pas, alors attaquer ceux qui utilisent de fortes preuves citant une guerre biologique comme source plus que probable de la pandémie, est requis, mais pourquoi donc ?

Est-ce parce que la piste mène immanquablement vers les labos américains d’armement biologique ?

= = =

Lectures complémentaires:

Nos pages: “Coronavirus, guerre contre l’humanité” et “COVID-19 du mythe aux statistiques et des stats au scandale”

Notre traduction de l’article de VT de mars 2020 sur l’origine biogénétique du virus SRAS-CoV-2 donnant la COVID-19

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La reprise de justice Pfizer monopolise le marché européen du vaccin COVID-19 pour 1,8 milliards de doses… Sera t’elle reprise de justesse ?…

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Stats officielles, donc minimisées: au 13 mars 2021 (plus d’un mois)
3,900 morts et 162 000 effets secondaires graves dus aux vaccins
de la troïka de Big Pharma…

 

Un conglomérat pharmaceutique au casier judiciaire chargé : Pfizer s’empare du marché européen des vaccins soit 1,8 mililards de doses

 

Michel Chossudovsky

 

21 avril 2021

 

url de l’article en français:
https://www.mondialisation.ca/un-conglomerat-pharmaceutique-au-casier-judiciaire-charge-pfizer-sempare-du-marche-europeen-des-vaccins-soit-18-milliard-de-doses/5655722

 

« Des centaines de millions de personnes ont accepté de recevoir une injection qui introduit une molécule bio-réactive de « thérapie génique » dans leur corps, et ce, simplement à cause de la peur, de l’ignorance et du refus de considérer que les personnes qui font cette promotion … ont des arrière-pensées » ~ Edward Curtin, avril 2021

Introduction

Le 14 avril 2021, le président de la Commission européenne a confirmé que Bruxelles négocie un contrat avec Pfizer pour la production de 1,8 milliard de doses de vaccin à ARNm.

Ce chiffre astronomique représente 23% de la population mondiale. C’est exactement quatre fois la population des 27 États membres de l’Union européenne (448 millions, données 2020).

Il s’agit du plus grand projet de vaccination de l’histoire mondiale, qui s’accompagne de l’imposition d’un « calendrier » diabolique aux citoyens de l’Union européenne, consistant en des inoculations récurrentes d’ARNm au cours des « deux prochaines années et au-delà ».

L’ensemble du processus sera associé à une campagne de peur incessante et au passeport vaccinal numérique intégré, approuvé par le Parlement européen quelques semaines à peine avant l’annonce de l’UE.

Le passeport vaccinal numérique de l’UE qui sera mis en œuvre par Pfizer BioNTech fait partie du tristement célèbre projet ID2020 parrainé par l’Alliance mondiale pour les Vaccins et la Vaccination (GAVI) de Bill Gates « qui utilise la vaccination généralisée comme plateforme pour l’identité numérique ».

Si ce contrat européen avec Pfizer, qui s’étend jusqu’en 2023, devait être exécuté comme prévu, chaque personne de l’Union européenne serait vaccinée quatre fois sur une période de deux ans (2021-2023).

Et n’oubliez pas qu’à l’heure où nous écrivons ces lignes, l’ARNm de Pfizer (ainsi que ceux de ses concurrents, dont AstraZeneca, Moderna et J & J) sont légalement classés (aux États-Unis) comme « non approuvés » et « produits expérimentaux ». Ce sont des médicaments illégaux.

Aux États-Unis, la FDA, dans une déclaration ambiguë, a accordé une autorisation dite d’utilisation d’urgence (EUA) au vaccin Pfizer-BioNTech, à savoir « permettant l’utilisation d’urgence du produit non approuvé, … pour l’immunisation active… » (voir ci-dessous)

J’ai vérifié cette déclaration auprès d’un éminent avocat. Il est manifestement illégal de commercialiser un « produit non approuvé » (indépendamment des autorisations gouvernementales y afférentes).

Une aubaine de plusieurs milliards de dollars pour Pfizer BioNTech

Le même jour que la décision historique de l’UE du 14 avril 2021, Pfizer a annoncé que le prix de son vaccin a été porté à 23 dollars la dose.

Beaucoup d’argent pour Big Pharma. Le projet de vaccin de 1,8 milliard de doses coûtera 41 milliards de dollars, qui seront en grande partie financés par des emprunts. Le projet de vaccin contribuera ainsi à la spirale de la crise de la dette publique qui touche la plupart des pays européens et qui résulte des blocages survenus au cours des 14 derniers mois.

Entre-temps, Pfizer a étendu son marché mondial en grande partie au détriment de ses concurrents.

  • Un contrat pour fournir aux États-Unis jusqu’à 600 millions de doses,
  • au Brésil, environ 100 millions,
  • à l’Afrique du Sud, 20 millions de doses,
  • aux Philippines, 40 millions, etc.

Le moyen terme : 2021-2023 et « au-delà ». Pas de retour à la « nouvelle normalité » une fois vacciné

Ce qui est envisagé dans l’UE est un plan dit « à moyen terme » qui s’étend jusqu’en 2022/23. Ce calendrier « à moyen terme » implique-t-il une quatrième et une cinquième vague ?

Le projet « à moyen terme » sera réalisé en liaison avec le « Great Reset » proposé par le Forum économique mondial. Il sera très probablement accompagné de mesures de confinement et autres mesures restrictives. Aucun retour prévisible à la « nouvelle normalité » n’est envisagé :

« Mais laissez-moi [la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen] me concentrer également sur le moyen terme. … Il est clair que pour vaincre le virus de manière décisive, nous devrons nous préparer à ce qui suit : … nous pourrions avoir besoin de rappels pour renforcer et prolonger l’immunité ; … nous devrons développer des vaccins adaptés aux nouveaux variants ; et nous en aurons besoin rapidement et en quantité suffisante. Dans cette optique, nous devons nous concentrer sur les technologies qui ont fait leurs preuves. Les vaccins à ARNm en sont un bon exemple …

Sur la base de tout cela, nous entamons maintenant une négociation avec BioNTech-Pfizer pour un troisième contrat. Ce contrat prévoit la livraison de 1,8 milliard de doses de vaccin sur la période 2021-2023. Et il impliquera que non seulement la production des vaccins, mais aussi tous les composants essentiels, qui seront basés dans l’UE …

Les négociations que nous lançons aujourd’hui [14 avril 2021] – et que nous espérons conclure très rapidement – constituent une nouvelle étape importante dans la réponse de l’Europe à la « pandémie » …

Je tiens à remercier BioNTech-Pfizer. Cette société a prouvé qu’elle était un partenaire fiable. Pfizer a tenu ses engagements et il est à l’écoute de nos besoins. Les citoyens de l’UE en tirent un bénéfice immédiat » ~ président de la Commission européenne

Un partenaire fiable ? Le casier judiciaire de Pfizer

Il existe une autre dimension, une « boîte de Pandore » que l’UE ne veut pas ouvrir. Le plus grand projet de vaccin d’un « médicament non approuvé » doit être mis en œuvre par une grande entreprise pharmaceutique qui a un long passé de corruption de médecins et de responsables de la santé publique.

Pfizer a été un « contrevenant habituel », s’engageant de manière persistante dans des pratiques commerciales illégales et corrompues, soudoyant des médecins et supprimant des résultats d’essais défavorables. Depuis 2002, l’entreprise et ses filiales se sont vu imposer 3 milliards de dollars de condamnations pénales, de sanctions civiles et de récompenses par un jury. (Dr Robert G. Evans, National Institutes of Medicine)

De plus, Pfizer a un casier judiciaire aux États-Unis, car inculpé par le ministère américain de la justice en 2009 pour « marketing frauduleux ».

« Pfizer, la plus grande entreprise pharmaceutique du monde, a été frappée de la plus grosse amende pénale de l’histoire des États-Unis dans le cadre d’un accord de 2,3 milliards de dollars avec les procureurs fédéraux pour avoir fait la promotion abusive de médicaments et versé des pots-de-vin à des médecins complaisants » ~ Guardian

Dans une décision historique du Département américain de la justice en septembre 2009, Pfizer Inc. a plaidé coupable face à des accusations criminelles. Il s’agissait du « plus important règlement pour fraude dans le domaine de la santé » de l’histoire du Département américain de la Justice.

Comment pouvez-vous faire confiance à un conglomérat de vaccins Big Pharma qui a plaidé coupable face à des accusations criminelles portées par le Département américain de la Justice (DoJ), notamment en matière de « marketing frauduleux » et de « violation criminelle de la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques » ?

Dans le jugement rendu par le DOJ en 2009, Pfizer a été pour ainsi dire « mis en probation » pour une période de quatre ans. Il a été ordonné à Pfizer de conclure « un accord d’intégrité de l’entreprise » avec l’inspecteur général du Department of Health and Human Services (DHHS), agissant de facto comme un « agent de libération conditionnelle ». « Cet accord prévoyait « des procédures et des examens visant à … éviter et à détecter rapidement » les (futurs) écarts de conduite de la part de Pfizer, Inc.

Le « vaccin » tueur

L’intégrité de l’entreprise ? Le comportement de Pfizer BioNTech en matière de « commercialisation frauduleuse » prévaut en ce qui concerne les 1,8 milliard de doses prévues de son « vaccin » à ARNm COVID 19 Tozinameran, « non approuvé » et « expérimental », vendu sous la marque Comirnaty.

Nous avons affaire à la « commercialisation frauduleuse » de ce qui est décrit comme un « vaccin » mortel.

Mais en fait, le « vaccin » à ARNm qui modifie le génome humain « n’est PAS » un vaccin. Il est basé sur la thérapie génique combinée à un passeport vaccinal intégré.

Décès et effets secondaires graves résultant du « vaccin expérimental » à l’ARNm

La Commission européenne a-t-elle l’intention d’écarter AstraZeneca et J & J (au nom de Pfizer ??). Des déclarations officielles laissent entendre que Pfizer BioNTech finira par s’emparer de l’ensemble du marché européen des vaccins.

Début mars 2021, 18 pays européens dont la France, l’Italie, l’Allemagne et l’Espagne ont décidé de suspendre le vaccin à ARNm d’AstraZeneca. AstraZeneca était la cible des gouvernements nationaux de l’UE, de l’Agence européenne des Médicaments (EMA) ainsi que de la Commission européenne.

L’UE a maintenant confirmé qu’elle ne renouvellerait pas ses contrats avec J et J et AstraZeneca malgré le fait (selon les données de l’UE et du Royaume-Uni) que les décès et les effets secondaires graves résultant du « vaccin » Pfizer BioNTech sont beaucoup plus élevés que ceux de l’AstraZeneca.

Les données officielles de l’UE relatives aux décès et effets secondaires graves liés aux vaccins de Pfizer, Moderna et AstraZeneca font état de : 3 964 décès et 162 610 effets secondaires graves (27 décembre 2020 – 13 mars 2021).

La répartition (AstraZeneca, Pfizer, Moderna)

Total des réactions pour le vaccin expérimental AZD1222 (CHADOX1 NCOV-19) d’Oxford/AstraZeneca : 451 décès et 54 571 effets secondaires graves au 13/03/2021.

Nombre total de réactions pour le vaccin expérimental à ARNm Tozinameran (code BNT162b2, Comirnaty) de BioNTech/Pfizer : 2 540 décès et 102 100 effets secondaires graves au 13/03/2021.

Total des réactions au vaccin expérimental à ARNm mRNA-1273 (CX-024414) de Moderna : 973 décès et 5 939 effets secondaires graves au 13/03/2021.

Les données britanniques confirment également que les soi-disant effets secondaires du mRNA sont nettement plus élevés pour le « vaccin » Pfizer BioNTech (par rapport à AstraZeneca).

Voir le rapport choquant du gouvernement britannique sur les effets secondaires des vaccins Corona : Accidents vasculaires cérébraux, cécité, fausses couches.

Alors pourquoi les concurrents de Pfizer, à savoir Astrazeneka et J & J, sont-ils évincés du marché européen ?

Il y a une guerre au sein de Big Pharma.

Remarques finales

Comme c’est amplement documenté, le vaccin n’est pas nécessaire. Il n’y a pas de pandémie.

Et pourquoi la Commission européenne, qui représente 450 millions de personnes dans 27 pays, s’engagerait-elle à acheter 1,8 milliard de doses du « vaccin » à ARNm de Pfizer, dont on sait dès le départ qu’il a entraîné des décès et des effets secondaires graves, notamment des réactions auto-immunes, des anomalies de la coagulation sanguine, des accidents vasculaires cérébraux et des hémorragies internes.

Voir la réfutation de Doctors for Covid Ethics adressée à l’Agence européenne des Médicaments (EMA).

Dites NON au virus tueur. Le « vaccin » Pfizer parrainé par l’UE doit faire l’objet d’un mouvement populaire coordonné dans les 27 États membres de l’Union européenne, ainsi que dans le monde entier.

Les preuves scientifiques confirment amplement qu’un vaccin Covid-19 n’est PAS nécessaire. C’est plutôt le contraire.

Les estimations des soi-disant cas positifs au Covid-19 sont basées sur le test RT-PCR qui, selon la dernière déclaration de l’OMS (20 janvier 2021), n’est absolument pas fiable et qui a servi à gonfler les chiffres, tout en justifiant la nécessité d’un vaccin à ARNm, qui en fait n’est pas un vaccin.

Voir : L’OMS confirme que le test PCR Covid-19 est défectueux : Les estimations de « cas positifs » n’ont aucun sens. Le confinement n’a pas de base scientifique.

Alors que les médias mettent en avant le « virus tueur », avec des « preuves » maigres et contradictoires, ce qui est en jeu est mieux décrit comme « un vaccin tueur ».

Estimations trompeuses des décès dus au Covid

En outre, les estimations des décès dus au Covid utilisées pour justifier la nécessité d’un vaccin sont fausses. Aux États-Unis, les certificateurs ont reçu l’ordre d’indiquer que la « cause sous-jacente du décès » était le Covid-19 « le plus souvent possible ».

Voir Covid-19 et la falsification des certificats de décès : La clause « More Often Than Not » du CDC.

Pour une étude plus large, voir le livre électronique en dix chapitres de Michel Chossudovsky intitulé :

The 2020-21 Worldwide Corona Crisis: Destroying Civil Society, Engineered Economic Depression, Global Coup d’État and the “Great Reset” (« La crise mondiale de Corona 2020-21 : Destruction de la société civile, dépression économique artificielle, coup d’État mondial et “Great Reset” »).

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En lectures complémentaires, notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

et notre page « COVID-19 du mythe aux statistiques et des statistiques au scandale »

 

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Thérapie chimérique : Dire NON ! refuser les pseudo-vaccins expérimentaux (PDF JBL1960)

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Dernier PDF de Jo :
Refuser_vaccins_COVID_experimentaux

En 2005, le CRIIGEN avertissait déjà contre les vaccins génétiquement modifiés (vaccin OGM)… 15 ans plus tard la menace s’affirme…

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Les vaccins issus d’organismes génétiquement modifiés (OGM), 2005

CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Informations Indépendantes sur le Génie Génétique)

url de l’article original:
https://criigen.org/les-vaccins-issus-dorganismes-genetiquement-modifies-2005/

Les techniques de l’ADN recombinant utilisées pour créer des organismes génétiquement modifiés, végétaux ou animaux, servent également pour fabriquer des vaccins à partir de recombinaisons effectuées chez les micro-organismes (MGM). Analyse par Michel Georget, membre du Conseil Scientifique du CRIIGEN

Analyse par Michel Georget, membre du Conseil Scientifique du CRIIGEN

Les techniques de l’ADN recombinant utilisées pour créer des organismes génétiquement modifiés, végétaux ou animaux, servent également pour fabriquer des vaccins à partir de recombinaisons effectuées chez les micro-organismes (MGM). Les antigènes microbiens (et par voie de conséquence les antigènes vaccinaux) étant dans leur très grande majorité de nature protéique, on a recherché le moyen d’obtenir les molécules protéiques reconnues par le système immunitaire en les faisant exprimer par des organismes microbiens déjà connus ou, mieux encore, en les faisant exprimer dans un milieu de culture par un système cellulaire pour ne plus avoir recours aux organismes microbiens entiers afin d’obtenir ainsi des vaccins plus purs. La synthèse de ces antigènes protéiques par voie chimique est très délicate car chaque protéine comporte le plus souvent des centaines d’acides aminés et leur enchaînement ne suffit pas, la molécule doit aussi acquérir une structure spatiale particulière, difficile à obtenir. Le génie génétique est donc arrivé à point nommé. Il suffit en théorie de déterminer le gène détenant l’information correspondant à la protéine recherchée et de le faire exprimer. Deux stratégies sont donc utilisées : construction d’organismes microbiens au patrimoine génétique chimérique ou obtention de protéines antigéniques.

Les organismes chimères

Des vaccins sont ainsi fabriqués pour les animaux, par exemple contre la maladie de Newcastle des volailles, la peste bovine, la leucose bovine et la rage. Dans ce dernier cas, des essais ont été réalisés avec des virus recombinés, inclus dans des appâts et dispersés par hélicoptère. De tels essais ont été conduits par les Etats-Unis…dans la pampa d’Argentine (à l’insu des habitants), la loi leur interdisant de les mener sur leur propre territoire. Un vaccin antirabique a également été mis au point par la société Transgène de Strasbourg et l’Institut Mérieux. Il est fabriqué à partir du virus de la vaccine (c’est-à-dire l’ancien vaccin antivariolique) dans lequel a été introduit le gène codant pour une protéine d’enveloppe du virus de la rage. Si ce vaccin élimine le risque de contamination directe par le virus de la rage, il n’exclut pas pour autant le risque de recombinaison de ce virus-vaccin avec des virus sauvages sans qu’on puisse en prévoir les résultats. Certains scientifiques spécialistes en bioingéniérie s’inquiètent du risque de se retrouver sur le terrain avec autre chose que ce qui a été disséminé au départ. L’opinion publique allemande, alertée par les Verts, s’est d’ailleurs montrée hostile à cette dissémination d’OGM.

De tels vaccins porteurs d’organismes chimériques ont également été conçus pour l’homme. Un vaccin contre les rotavirus, responsables de nombreuses diarrhées à travers le monde, a été obtenu en associant des gènes humains à une souche simienne de rotavirus. Mis sur le marché aux Etats-Unis, et sur le point de l’être sur le marché européen, il a été retiré en catastrophe en juillet 1999, quelques mois seulement après son autorisation, parce que des nourrissons vaccinés étaient atteints de diverticulose.

On retrouve pour ces vaccins à base d’organismes chimériques les mêmes problèmes que pour les végétaux : dissémination de gènes dans une population animale ou humaine avec le risque de recombinaisons incontrôlables.

 Obtention de protéines antigéniques

L’exemple le plus connu des vaccins recombinants est celui des vaccins anti-hépatite B (GenHevac B®, Engerix B®, HBVax DNA® ou Recombivax®). Dans ce cas là, on n’utilise pas directement le micro-organisme génétiquement modifié mais le produit qu’il génère. La technique consiste à faire exprimer par un système cellulaire la protéine de surface du virus de l’hépatite B (HBs) grâce à un plasmide recombinant introduit dans ces cellules.

Dans le cas du GenHevac B®, les opérations successives sont les suivantes :

– Création de deux plasmides recombinants à partir de plasmides d’Escherichia coli (le colibacille) comportant un gène de résistance à l’ampicilline et dans lesquels on insère pour l’un le gène S du virus de l’hépatite B, pour l’autre un gène de résistance (dhfr) au méthotrexate. Chacun de ces gènes est placé sous le contrôle d’un promoteur viral provenant du virus simien SV40 pour le gène S et du virus MMTV (virus de la tumeur mammaire de la souris) pour le gène de résistance dhfr. Des séquences régulatrices issues du SV40 complètent ces assemblages. – La fusion de ces deux plasmides donne le plasmide recombinant « pSVS dhfr » qui est cloné dans des bactéries, le gène de résistance à l’ampicilline permettant de trier les bactéries ayant incorporé les plasmides

– Les plasmides sont ensuite transfectés dans des cellules de lignée continue CHO (issues de cellules d’ovaire de hamster de Chine et déficientes en dhfr). Après transfection, les cultures cellulaires sont traitées par le méthotrexate : celles qui ont incorporé des plasmides pSVS dhfr résistent à ce poison et peuvent traduire le gène S en protéine HBs.

Les autres vaccins anti-hépatite B sont obtenus sur le même principe mais avec quelques différences, la principale étant le système cellulaire d’expression du gène S qui est constitué par des levures.

Quels risques ces vaccins font-ils courir ?

Dans un dossier du Centre national d’information sur le médicament hospitalier (CNIMH) consacré aux vaccins contre l’hépatite B, il apparaît que ces vaccins contiennent entre 1 et 30 picogrammes d’ADN résiduel. Cet ADN provient aussi bien des cultures cellulaires (dont certaines, comme les cellules CHO, ont les caractères de cellules cancéreuses) que des manipulations nécessaires à la fabrication des plasmides recombinants. Ces impuretés d’ADN représentent des quantités non négligeables puisqu’un seul picogramme d’ADN représente un milliard de paires de bases. Le risque principal est de voir cet ADN s’incorporer au patrimoine génétique des receveurs et provoquer des mutations par insertion pouvant participer à l’apparition de cancers. Ce risque a d’ailleurs été évoqué dès 1987 par l’OMS dans un rapport d’experts sur « l’acceptabilité des cultures cellulaires pour la production de substances biologiques », rapport dans lequel on peut lire :

 » Un des grands problèmes est le risque de malignité que pourrait présenter à long terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s’il s’avère qu’il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière.  » […]

 » Il faut tenir compte de plusieurs points lorsqu’on fait ces estimations du risque.

Premièrement, tous les calculs sont fondés sur le postulat selon lequel le facteur de risque d’induction tumorale décroît linéairement avec la concentration d’ADN. Ce postulat n’est pas forcément exact, puisqu’une quantité d’ADN qui n’a aucun effet biologique mesurable lors d’un essai normalisé parce qu’elle est présente à une trop faible concentration, peut quand même avoir un effet dans certaines conditions ou sur certains organes ou tissus.

Deuxièmement, on ignore encore si le risque associé à des expositions répétées à de l’ADN agira de façon cumulative ou non.

Troisièmement, il faut envisager la possibilité que les préparations d’ADN qui n’induisent pas de tumeurs dans les systèmes expérimentaux puissent provoquer chez l’homme des modifications susceptibles d’accroître l’incidence de l’apparition de tumeurs après de longues périodes de latence. Quatrièmement, les expériences conduites sur des animaux à courte durée de vie ne permettent pas d’évaluer les effets à long terme des séquences d’ADN acquises. »

Voulait-on, avec ces vaccins anti-hépatite B, juguler une maladie très répandue ? Il n’en est rien si l’on en croit cet extrait d’un ouvrage d’hépatologie clinique : Dans les pays de faible endémie (dont la France),  » l’hépatite B est essentiellement une maladie d’adultes, survenant typiquement dans des groupes particuliers à haut risque. Dans ces pays, la prévalence des porteurs chroniques est faible, la cirrhose et le carcinome hépatocellulaire associés au virus de l’hépatite B sont rares et la transmission mère-enfant peu habituelle. «

Les autorités sanitaires françaises se sont laissé séduire par l’industrie pharmaceutique, ce qui n’a pas été le cas de la Grande Bretagne qui a la même prévalence de l’hépatite B que la France mais qui ne considère pas pour autant cette maladie comme un grave problème de santé publique.

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Additif: vidéo Dr Didier Raoult : « Si on rend ce vaccin obligatoire on a une révolution ! » et « Tout ce que j’ai vu jusqu’ici ce n’est que de la publicité… »

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En application actuelle, lire notre page : « Coronavirus, guerre biologique contre l’humanité »


Le cauchemar génétique va t’il commencer ?