Big Pharma, « science », injections OGM et casseroles au cul… Avoir confiance, vraiment ?… (F. William Engdahl)
Et nous devrions faire confiance en la “science” de l’industrie pharmaceutique ?
Juillet 2021
url de l’article original:
http://www.williamengdahl.com/englishNEO29July2021.php
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Le patron à vie de l’agence américaine des maladies infectieuses le NIAID, Tony Fauci, a demandé à de multiples reprises que le public “fasse confiance à la science” alors qu’il fait passer sa propre opinion scientifique d’un bord à un autre. Ce qui n’est quasiment jamais mentionné dans les merdias occidentaux et pratiquement partout dans le monde, c’est l’historique scientifique des principaux géants pharmaceutiques fabricants de vaccins. Brièvement, ça touche le fond et est alarmant à l’extrême. Ceci devrait simplement amener les gouvernements à interdire de pousser pour l’utilisation d’injections expérimentales radicales non-testées sur leurs populations sans d’autres tests de long terme sur des animaux et autres afin d’en assurer toute la sécurité possible.
En avril dernier, alors que le programme “vaccinal” tournait à plein pot, le conseiller en chef de Biden pour la COVID, le vieillard Fauci de 80 piges, patron du National Institute of Allergy and Infectious Disease (NIAID) depuis 1984 (NdT : 37 ans à la tête d’un organe de contrôle du pouvoir, c’est digne du meilleur politburo ayant existé…), a annoncé que le Centre américain pour le contrôle des maladies (CDC) et la Food and Drug Administration (FDA) ont décidé d’ordonner une “pause” dans l’inoculation du “vaccin” de Johnson & Johnson (Janssen) afin d’examiner les rapports sur les caillots sanguins. Ils se trouvent qu’il n’y a eu que six cas rapportés de caillots sanguins sur les quelques septs millions de personnes qui ont reçu l’injection Janssen. Dans sa remarque à la presse, Fauci a déclaré : “Je pense qu’une des bonnes choses de ce système est que nous sommes dirigés par la science et aucune autre considération.” Il y a de bonnes raisons de questionner Fauci.
Ceci état supposé rassurer les gens en leur faisant remarquer que les autorités étaient super attentives avec les médicaments expérimentaux anti-covid, qui après tout, n’avaient jamais été testés en masse sur l’humain auparavant et n’avaient obtenus qu’une “autorisation d’exploitation temporaire d’urgence” estampillée dans l’autorisation provisoire de la FDA. Celle-ci très rapidement leva la “pause” et J&J accepta de diffuser par écrit que son vaccin pouvait causer des caillots sanguins.
Dans le même temps, les fabricants rivaux de ces injections, Pfizer et Moderna, tous deux utilisant un traitement génétique hyper-expérimental connu sous le vocable d’ARNm, ne furent pas mis en “pause” par la “science” ce malgré que des centaines de milliers de cas de sévères réactions liées à leurs injections furent enregistrées, ceci incluant des données officielles faisant état de plusieurs milliers de décès liés aux deux injections, données archivées par le CDC et dans la base de données du VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System).
D’après le CDC, de tels évènements “adverses” post-vaccinatoires, incluant des chocs anaphylactiques, des thromboses avec syndrome de thrombocytopénie, de syndrome de Guillain-Barré, de myocardite, de péricardite et de mort. Pour la semaine du 16 juillet, le CDC et le VAERS ont rapporté un alarmant 9 125 morts depuis la fin décembre, liées à l’injection anti-covid. Jamais dans toute l’histoire un tel chiffre n’avait été associé à quelque vaccin que ce soit et pourtant le silence médiatique à ce sujet est simplement assourdissant.
Leur historique scientifique plombé
Le phrasé de Fauci est précis et délibérément manipulateur. Il suggère qu’il y a une chose bien déterminée que nous appelons “La Science”, comme un dogme religieux issu du Vatican, alors que la véritable méthode scientifique est faite de remise en question perpétuelle, de renversement d’hypothèses passées avec de nouvelles prouvées exactes, par l’ajustement systématique. Pourtant, lorsqu’on en vient à la “Science”, la poignée de quelques fabricants de vaccins, parfois appelés Big Pharma, un cartel ressemblant à celui du pétrole, ont un historique de fraude, de manipulation et de falsification de leurs propres tests, ainsi que de corrompre largement les médecins et les hauts-fonctionnaires de la santé publique afin de promouvoir leurs médicaments variés, ce malgré des résultats scientifiques prouvant une grande contradiction entre les faits et leurs dires sur la sécurité de leurs produits. Regarder de plus près ces géants pharmaceutiques se révèle toujours très instructif…
J&J
Commençons avec la compagnie du New Jersey Johnson & Johnson. Le 21 juillet 2021, J&J et trois autres entreprises pharmaceutiques plus petites furent d’accord de payer un extraordinaire 26 milliards de dollars en dommages et intérêts à un groupe d’états américains pour leur rôle dans la cause du déclenchement d’une véritable “épidémie” d’addiction aux opiacés aux Etats-Unis. De cette somme, J&J en paiera 5 milliards. Le CDC estime en effet que l’utilisation de substances opiacées hautement addictives comme analgésiques a causé la mort d’au moins 500 000 personnes entre 1999 et 2019. J&J est accusé de pousser à l’utilisation de ces analgésiques tueurs en minimisant les risques d’addiction.
Ils le savaient.
La même J&J est impliquée dans une énorme bataille judiciaire pour avoir utilisé un carcinogène en toute connaissance de cause dans son célèbre talc pour bébé. En 2018, une enquête de Reuters trouva que J&J savait depuis des décennies que l’amiante, un carcinogène reconnu, se trouvait dans ses talcs pour bébé et autre produits cosmétiques. L’entreprise est rapporté considérer séparer légalement sa branche de talc pour bébé en une petite entreprise séparée qui déclarerait alors banqueroute afin d’éviter d’avoir à payer de très grosses sommes en dommages en intérêts. Le “vaccin” anti-covid J&J, au contraire des injections de Pfizer et Moderna, n’utilise pas d’altération génétique par ARNm.
Les deux gros fabricants de vaccins qui ont jusqu’ici les plus grosses parts de marché sont les deux activement promus par Fauci. Ils proviennent de Pfizer en alliance avec une petite entreprise allemande BioNTech sous le nom de Comirnaty et de l’entreprise de biotechnologie américaine Moderna.
Pfizer
Pfizer, un des plus gros marchands de vaccins au monde par les ventes, fut fondé en 1849 aux Etats-Unis. L’entreprise a aussi le plus lourd casier judiciaire concernant la fraude, la corruption, la falsification et les dégâts collatéraux prouvés. Une étude canadienne datant de 2010 nota que “Pfizer a été un “contrevenant habituel”, s’engageant avec persistance dans des pratiques de marketing corrompues et illégales, soudoyant des médecins et supprimant des résultats de tests compromettants.” Ceci est très sérieux. Notez également que Pfizer doit toujours rendre public les détails de ses études de vaccination anti-covid afin qu’elles soient étudiées de manière externe.
La liste des crimes de Pfizer s’est allongée depuis 2010. L’entreprise est couramment engagée dans des procédures judiciaires en relation avec son médicament digestif Zantac qui est contaminé avec une substance carcinogène. De plus, Pfizer a été condamné à la plus grande amende concernant l’industrie pharmaceutique en 2009 dans une affaire de 2,3 milliards de dollars pour publicité mensongère de ses médicaments Bextra et Celebrex et payant des pots-de-vin aux médecins complices. Pfizer a plaidé coupable sur le chef d’accusation de promouvoir quatre médicaments incluant Bextra “avec l’intention de tromper et de manipuler l’opinion”. Ils furent forcés de retirer de la vente des USA et de l’UE leur analgésique anti-arthrite Bextra, pour avoir causé des crises cardiaques, des embolies et de graves maladies cutanées.
Manifestement pour augmenter ses revenus, Pfizer paya illégalement des médecins pour l’utilisation “hors marque” de plus d’un de ses médicaments, ce qui eut pour effet que des patients furent blessés ou même moururent. Parmi ces médicaments figuraient Bextra (valdecoxib); Geodon (ziprasidone HCl) un psychotrope atypique ; Zyvox (linezolid), un antibiotique ; Lyrica (pregabalin), un médicament contre les crises d’épilepsie ; et son célèbre Viagra (sildenafil), un médicament contre le disfonctionnement érectile ; et Lipitor (atorvastatin), un médicament contre le cholestérol.
Dans un autre procès, des sous-traitants de Pfizer durent payer 142 millions de dollars et publier des documents d’entreprise qui montraient que ces entreprises faisaient la promotion illégale de la substance gabapentin pour son utilisation hors marque.
“Des données révélées au gré de toute une série de procès aux Etats-Unis indiquent que la molécule était promue par l’entreprise comme un traitement de la douleur, des migraines et de la bipolarité, bien qu’elle ne fut pas efficace à traiter ces conditions et fut même toxique dans certains cas”, d’après Therapeutics Initiative, un groupe de recherche indépendant de l’université de Colombie Britannique au Canada. “Les procès ont forcé l’entreprise à diffuser toutes ses recherches sur le médicament, incluant celles qu’elle cachait.”
En 2004, la succursale de Pfizer, Warner-Lambert, a du payer 430 millions de dollars pour lever des accusations criminelles et de responsabilité civile concernant des pratiques de marketing frauduleuses de son médicament Neurontin, son nom pour la molécule gabapentin. Originellement créée pour le traitement de l’épilepsie, Neurontin fut aussi promu hors-label pour le traitement de douleur neurologique et en particulier pour les migraines et la condition de bipolarité. Neurontin pour une utilisation non approuvée a fait quelques 90% des 2,7 milliards de dollars de ses recettes en 2003.
Un rapport du quotidien du New York Times divulgua en 2010 que Pfizer “… paya environ 20 millions de dollars à 4500 médecins et autres professionnels médicaux aux Etats-Unis pour consultation et agir en porte-parole de l’entreprise dans les derniers mois de 2009.” Pfizer paya 15,3 millions de dollars en plus à 250 centres médicaux universitaires et autres groupes de recherche pour des essais cliniques. Dans la pratique légale américaine, il est très rare que des exécutifs entrepreneuriaux se livrant à des malversations criminelles soient poursuivis en justice. Le résultat en est que les amendes infligées par les tribunaux peuvent être traitées comme passant en “perte et profit” pour les entreprises de ce milieu cynique. En huit ans de malfaisance répétée jusqu’en 2009. Pfizer a accumulé juste sous la barre des 3 milliards de dollars en pénalités légales civiles, ce qui constitue à peine un tiers des revenus nets annuels.
En 2020, alors que son injection anti-covid était en cours de développement, Pfizer a payé 13 150 000 US$ en frais de lobbying auprès du congrès des Etats-Unis et des officiels de Washington entre autres. Il est aussi notable que la Fondation Bill & Melinda Gates possède des actions à la fois de Pfizer et de ses associés dans la recherche de la technologie ARNm, l’entreprise allemande BioNTech.
Moderna
Le troisième producteur de vaccins aujourd’hui avec cette autorisation temporaire d’urgence de la FDA est l’entreprise Moderna, de Cambridge dans l’état du Massachussetts. Elles n’a pas encore été poursuivie pour pratiques illégales, contrairement à Pfizer et J&J, Mais ceci n’est dû qu’au fait de ses seulement 10 ans d’existence avant son autorisation d’utilisation de la technologie ARNm et que dans ses dix ans d’existence, elle a échoué d’obtenir des approbations de la FDA pour mettre sur le marché ne serait-ce qu’un seul de ses médicaments et ce malgré bien des tentatives infructueuses. Quoi qu’il en soit, Moderna a un signe néon rouge qui clignote au-dessus de sa tête disant “conflit d’intérêts” et ceci devrait mettre tout en pause.
Moderna et le NIAID de Fauci ont collaboré sur le développement de vaccins utilisant la plateforme technologique ARNm de Moderna et de la NIAID de Fauci sur bien des virus à couronne (coronavirus) ceci incluant le MERS, ce depuis au moins novembre 2015. Le 13 janvier 2020, avant même que le premier cas d’un supposé nouveau coronavirus de Wuhan en Chine ne fusse détecté aux Etats-Unis, le NIAID de Fauci et Moderna signèrent un accord de coopération mis à jour les décrivant ensemble comme co-propriétaires d’un coronavirus basé sur une technologie ARNm et qu’ils avaient finalisé une séquence pour l’ARNm-1273, le vaccin maintenant utilisé et injecté à des millions de personnes pour supposément contrer le nouveau coronavirus.
Ceci veut dire que le NIAID de Fauci et sans doute Fauci lui-même (ce qui est permis aux Etats-Unis) se positionnèrent pour tirer d’énormes bénéfices financiers de l’autorisation d’urgence pour l’injection Moderna, pourtant, Fauci n’a jamais admis publiquement ce conflit d’intérêt lorsqu’il fut le conseiller de Trump pour le Corona, ni ne le fait en tant que conseiller de Biden.
Dix jours plus tard, le 23 janvier 2020, Moderna annonça qu’il avait reçu un financement du CEPI, un fond vaccinal créé par Bill Gates et sa fondation ainsi entre autres que le Forum Economique Mondial de Davos, afin de développer un vaccin à ARNm contre le coronavirus de Wuhan.
Moderna fut créée par un entrepreneur capitaliste, Noubar Afeyan avec un professeur de Harvard, Timothy A. Springer et d’autres personnes. En 2011, Afeyan recruta l’homme d’affaire français et ancien exécutif d’Eli Lilly, Stéphane Bancel, comme CEO du nouveau Moderna. Ce malgré le fait qu’il n’ait aucune expérience de gestion d’une entreprise médico-pharmaceutique, ni aucun diplômes scientifique ou médical ; Bancel se liste lui-même comme co-propriétaire de centaines de patentes de Moderna liées à la fabrication de vaccins. Début 2013, la toute petite entreprise Moderna recevait des financements du Pentagone pour le développement de sa technologie ARNm. Jusqu’à 2020 et son autorisation de mise sur le marché pour urgence sanitaire de sa technologie par la FDA, quelques 89% des revenus de l’entreprise Moderna étaient constitués de fonds gouvernementaux sous une forme ou une autre. Elle est très très loin d’être une entreprise expérimentée en la matière et pourtant elle tient dans ses mains le destin de millions et de millions de personnes, mais hé ! Comme le dit Fauci : “Faites confiance à la science !”
En février 2016, un éditorial de la revue “Nature” critiqua Moderna pour ne publier aucun article peer reviewed sur sa technologie à la différence de la plupart des entreprises de biotechnologie. L’entreprise demeure ultra-secrète. Cette même année 2016, Moderna a reçu 20 millions de dollars de la Fondation Gates pour son développement de vaccin utilisant la technologie ARNm.
Jusqu’à réception de son autorisation d’utilisation d’urgence pour son produit anti-COVID à ARNm en décembre 2020, Moderna n’avait enregistré que des déficits depuis sa création. Puis, curieusement, juste après une réunion personnelle de Bancel avec le président Trump lors de laquelle il lui annonça que Moderna pourrait avoir un vaccin prêt à l’emploi dans les mois qui venaient, la chance de Moderna tourna…
Le 15 mai, Trump annonça la création de l’opération “Warp Speed” pour mettre en place une campagne de vaccination anti-COVID19 pour décembre. Le chef du groupe présidentiel était un ancien de trente ans de GlaxoSmithKline (GSK), Moncef Slaoui, qui rejoignit le comité directeur de nulle autre que Moderna. Sous le “Warp Speed” de Slaoui, quelques 22 milliards de dollars du contribuable américain furent aloués à différents fabricants de vaccins.
Moderna fut un des principaux récipiendaires des fonds, un conflit d’intérêt flagrant et éhonté qui ne sembla gêner absolument personne. Slaoui dirigea 2 milliards de dollars de fonds gouvernementaux vers sa vieille entreprise, Moderna, afin de fabriquer le vaccin anti-covid à ARNm. Ce n’est que sous une pression publique que Slaoui se décida de vendre ses actions de Moderna, ce qui lui fit gagner des millions de dollars sur le dos du rôle de leader joué par Moderna dans la création du vaccin anti-covid. Peu de temps après avoir démissionné à la fin de la présidence Trump, Slaoui fut viré par sa vieille firme GSK, d’une de ses succursales, après que furent dressées contre lui des accusations de harcèlement sexuel sur une femme du personnel.
En février 2020, le secrétaire (NdT: les ministres aux States sont appelés “secrétaires d’état”…) de Trump aux services de santé, Alex Azar, invoqua le Public Readiness and Emergency Preparedness Act (PREP) pour exempter Moderna, Pfizer, J&J et tout autre fabricant covid dans le futur de toute responsabilité émanant de dégâts physiques ou de morts causés par leurs vaccins contre le coronavirus de Wuhan. La protection et immunité légales durent jusqu’à 2024. Si les vaccins sont si bons, efficaces et sûrs, pourquoi donc avoir besoin de cette mesure ? Azar est l’ancien patron du géant du médicament américain Eli Lilly. Il y a donc de sérieuses questions qui doivent être posées ouvertement en ce qui concerne tous ces fabricants de vaccins qui poussent tous maintenant des formules expérimentales génétiques hautement controversives et controversées dans des expérimentations humaines sans précédent.
= = =
Lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »
This entry was posted on 25 août 2021 at 2:34 and is filed under 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags coronavirus pfizer rolls royce des poisons, coronavirus vaccins moderna pfizer, désobéissance civile, dissidence a l'oligarchie, dissidence au nouvel ordre mondial, guerre contre le terrorisme d'état, pfizer moderna J&J injections OGM poison, pfizer multirécidiviste mensonge corruption, politique française, résistance politique, vaccins ARNm armes biologiques, vaccins COVID-19 armes biologiques, vaccins escroquerie laboratoires pharmaceutiques. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. You can leave a response, or trackback from your own site.
7 Réponses vers “Big Pharma, « science », injections OGM et casseroles au cul… Avoir confiance, vraiment ?… (F. William Engdahl)”
Votre commentaire Annuler la réponse.
Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.
25 août 2021 à 10:43
d’accord avec l’article, sauf que Johnson aussi altère l’ADN, sauf qu’il n’utilise pas la méthode d’ARNm mais la méthode d’adénovirus
dommage que l’auteur ne sache pas que l’adénovirus change autant le génome que l’ARNm
ou alors ignore t il que Johnson utilise l’adénovirus qui peut transformer les cellules en usines à protéines spikes comme l’ARNm dans Pfizer et Moderna?
https://wexnermedical.osu.edu/blog/explaining-johnson-johnson-astrazeneca-vaccines
https://resistance71.wordpress.com/2021/05/11/therapies-geniques-la-spike-proteine-du-sras-cov-2-repliquee-par-larnm-des-pseudo-vaccins-est-mortifere/
25 août 2021 à 12:02
Peut-être l’ignore t’il… pinaillage… il dit clairement que ce sont tous des merdes et qu’aucun de ces barjots criminels de Big Pharma ne doit être cru !… c’est l’essentiel.
Ce qu’il y a d’important c’est d’établlr au grand jour la fraude et le crime, le reste c’est de la technicité qui peut être débattue entre spécialistes…
😉
25 août 2021 à 12:15
Bonjour à tous,
pour ceux qui sont en mal d’inspiration pour se faire vite fait des pancartes, j’ai fait quelques visuels format A4 donc aussi A3 et A2!
http://lesudiste.eklablog.com/un-peu-de-matos-a209885890
Merci pour l’article. Encore un!
Bienvenu en Dystopie…
25 août 2021 à 5:24
merci… 😉
25 août 2021 à 3:02
[…] Traduit de l’anglais par Résistance71 dans ► Big Pharma, « science », injections OGM et casseroles au cul… Avoir confiance, vraiment ?… (… […]
25 août 2021 à 9:44
https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2021/08/25/le-psychiatre-alessandro-meluzzi-les-vip-recoivent-de-faux-vaccins-je-le-jure-sur-la-tete-de-ma-fille/
26 août 2021 à 1:21
L’un d’entre nous en a eu une confirmation par « demi-mot » et silence évocateur de la part d’un médecin de haut rang… c’est tout à fait logique quand on y réfléchit une seconde, l’oligarchie doit se préserver… et préserver tous ceux qui lui sont de grande utilité.