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Santé et Nouvel Ordre Mondial: La militarisation des réponses aux « pandémies »…

Posted in actualité, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, média et propagande, N.O.M, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , on 2 novembre 2014 by Résistance 71

Le modèle de la guerre contre le terrorisme sera t’il le modèle de gestion de la crise Ébola ?

 

Karen Greenberg

 

1er novembre 2014

 

url de l’article:

http://www.mondialisation.ca/le-modele-de-la-guerre-contre-le-terrorisme-sera-t-il-le-modele-de-gestion-de-la-crise-de-lebola/5411335

 

Karen J. Greenberg revient dans cet article publié dans TomDispatch.com sur les tentations du gouvernement étatsunien de gérer la crise de l’Ebola à la manière d’une guerre contre le terrorisme avec le risque d’atteinte aux libertés publiques et d’aggravation de la situation sanitaire. Selon elle quatre principes devraient être pris en compte pour ne pas reproduire les erreurs antérieures de la lutte contre le terrorisme qui pourraient être transposées par le gouvernement US à la lutte contre l’Ebola :

– refuser la militarisation de la lutte contre l’Ebola

– laisser les professionnels de santé publique et médicaux gérer la crise

– avoir une gestion transparente de la crise

– refuser les centres de quarantaine

C’est seulement en faisant confiance à nos professionnels de la santé que nous pourrons éviter que la campagne contre le virus Ebola se retourne contre la sécurité nationale.”

Ces jours-ci, deux “guerres” font les titres : celle contre l’Etat islamique et son nouveau califat de terreur s’étant accaparé des régions de l’Irak et de la Syrie, et celle contre la maladie et éventuelle pandémie, du virus Ebola, se propageant au travers de l’Afrique de l’Ouest, avec déjà l’apparition des premiers cas qui ont atteint les Etats-Unis et l’Europe. Les deux guerres semblent tomber du ciel ; elles ont toutes deux été imprévues par notre vaste appareil de sécurité nationale ; elles ont induit des craintes proche de l’hystérie et, dans les deux cas, ces craintes ont été rapidement instrumentalisées par les politiques dans la perspectives des élections étatsuniennes.

Les experts ont déjà dispensé leur science avec solennité sur des menaces d’attaques comme celles du 11/9/2001 contre la patrie, se posant la question de la façon dont elles pourraient être contrées, et faisant des analogies dans le cas du virus Ebola avec les attaques à l’anthrax de 2001. Le précédent du 11/9 est encore dans leur esprit. Pendant ce temps, Thomas Frieden, directeur des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), a tenté de calmer les inquiétudes aux USA tout en se félicitant ouvertement de «nouvelles idées» dans la lutte contre la maladie. Étant donné que des comparaisons instinctives avec le terrorisme se font aux Etats-Unis, il est difficile de ne pas s’inquiéter sur la teneur de ces nouvelles idées qui pourraient se révéler étrangement similaires à celles qui, dans la période de l’après 11/9, ont amené à définir la guerre contre le terrorisme.

Les différences entre les deux «guerres» peuvent sembler trop évidentes pour insister à ce sujet, car Ebola est une maladie avec une étiologie médicale et des remèdes scientifiques, tandis que l’EI est un ennemi sensible. Néanmoins, le virus Ebola semble imiter certaines caractéristiques que les experts ont depuis longtemps attribuées à al-Qaïda et à ses successeurs en herbe ainsi qu’à ses différentes variantes. Il se cache dans l’ombre jusqu’à ce qu’il frappe. Il menace la sécurité des civils à travers les Etats-Unis. Ses causes profondes se trouvent dans la pauvreté et la misère des pays lointains. Sa diffusion doit être arrêtée dans sa région d’origine – dans ce cas, la Guinée, le Libéria et la Sierra Leone en Afrique de l’Ouest – tout comme les deux administrations Bush et Obama étaient convaincues que la lutte contre Al-Qaïda devaient mener aux déploiements de militaires dans des régions reculées de la planète allant des régions tribales limitrophes du Pakistan jusqu’aux zones rurales du Yémen.

Peut-être que nous ne devrions pas être surpris – alors que le président Obama a envoyé au moins 1 600 militaires (et des drones et des bombardiers) pour lutter contre l’EI – que sa première réponse face à la crise de l’Ébola fut également d’envoyer 3.000 soldats au Liberia dans ce que les médias ont nommé la “poussée d’Ebola” (une allusion à la “poussée” des troupes US en Irak en 2007). Le deuxième acte de l’administration Obama : a été de renforcer la protection des frontières afin d’assurer le contrôle des individus entrant aux États-Unis (un mouvement dont l’efficacité a été mise en doute par certains experts médicaux), de même que les autorités ont rapidement, dans le sillage du 11/9, transformé les aéroports et les frontières en zones de sécurité massives. Le troisième acte fut de commencer à tracer tous les personnes entrées en contact avec les victimes du virus Ebola, qui, imite étrangement les logiques et les procédés que l’état a commencé à déployer pour construire une cartographie des réseaux terroristes, établir des listes de surveillance, etc.

“La facilité avec laquelle des autorités non-médicales étatsuniennes semblent avoir opté pour un modèle de guerre contre le terrorisme pour faire face à l’Ebola doit être examinée – et rapidement.”

La prochaine étape à l’étude pour ceux qui pourraient avoir été exposés au virus, la quarantaine (qui est, une détention), est controversée parmi les experts médicaux, mais devrait de même nous rappeler quelle direction a pris la guerre contre le terrorisme après le 11/9 : à Guantanamo. Comme si les règles du jeu pour l’après 11/9 lors de la lutte contre le terrorisme étaient les mêmes que pour l’Ebola. Tim Murphy, du Congrès de Pennsylvanie, en interrogeant le Dr Frieden, a noté que, si nous ne mettons pas les politiques de surveillance, de confinement et de quarantaine en place, “nous avons toujours un risque “.

Alors que chacune de ces étapes pourraient se montrer individuellement sensible, la facilité avec laquelle des autorités non-médicales étatsuniennes semblent avoir opté pour un modèle de guerre contre le terrorisme pour faire face à l’Ebola doit être examinée – et rapidement. Si cela devient le modèle par défaut pour gérer le virus Ebola et que le pays finit par marcher sur la voie de la «guerre» contre une maladie, les problèmes pourraient être bien pire.

Alors peut-être est-il temps de nous rafraîchir la mémoire à propos de ce modèle de guerre contre la terreur et de tirer quatre leçons de prudence pour ne plus jamais reprendre cette direction à nouveau, qui n’a rien à voir avec l’élaboration d’une politique de lutte, ni à voir avec la poursuite du confinement d’une maladie.

Première leçon: Ne faites pas de la «guerre» contre l’Ebola un vaste programme de contrôle s’appuyant sur les structures de la sécurité nationale autour du renseignement, de la surveillance et de l’armée. Chercher, par exemple, les personnes se plaignant de symptômes d’Ebola en privé ou chercher les métadonnées des citoyens concernant les appels vers des médecins seraient une mission folle, ce serait l’équivalent de chercher une aiguille dans une meule de foin.

Et gardez à l’esprit que, aussi loin que nous pouvons nous rappeler, depuis le 11/9, le système de surveillance qu’ils ont construit a régulièrement montré ses défaillances. Il n’a pas, par exemple, permis d’arrêter le Shoe Bomber, le terroriste de Times Square, ou les terroristes du marathon de Boston. De même les services de renseignement, malgré tout l’argent investi depuis le 11/9, n’ont pu prévenir l’attaque de Benghazi ou le meurtre de sept agents de la CIA par un kamikaze sensé être un agent double US à Khost, en Afghanistan, en décembre 2009, pas plus qu’ils n’ont permis de prévoir la montée de l’EI. De même, il est difficile d’imaginer comment des militaires, pourront, avec des drones, des forces spéciales et des troupes sur le terrain résoudre le problème du virus Ebola.

Dans l’après 11/9, des solutions militaires ont souvent prévalu, quelque soit le problème qui se posait. Pourtant, finalement, des invasions de l’Afghanistan et de l’Irak à l’opération aérienne en Libye aux campagnes de drones de la CIA sur les tribus aux confins du Pakistan et du Yemen, aucune solution militarisée n’a apporté de victoire – et la nouvelle guerre contre l’État islamique (EI) en Syrie et en Irak semble déjà suivre le même chemin lamentable. Contre un virus, l’armée étatsunienne est susceptible d’avoir encore moins de succès si ce n’est d’aider les travailleurs de la santé et les fonctionnaires dans les zones insalubres.

“Il est difficile de comprendre comment de simples militaires, à partir de drones, de forces spéciales et de troupes sur le terrain pourront résoudre le problème du virus Ebola

Les outils que la sécurité nationale a invoquées dans sa guerre contre le terrorisme, non seulement ne fonctionnent pas (et sont très peu susceptibles de fonctionner quand il s’agit d’intervenir dans conflit au Moyen-Orient), mais s’ils étaient appliqués à l’Ebola cela aurait sans aucun doute des conséquences catastrophiques. Et encore – compter sur elle – pour enrayer la peur de cette maladie. Ils sont ce que le gouvernement sait faire, même si, dans la guerre contre le terrorisme, ils ont créé une vulnérabilité d’autant plus grande que la somme de toutes leurs actions, ont contribué à favoriser la croissance des mouvements djihadistes dans le monde, et à éroder le sentiment de confiance qui existait entre le gouvernement et le peuple étatsunien.

Deuxième leçon: Faites en sorte que les professionnels de la santé publique soient responsables de ce qui doit être fait. Trop souvent, dans la guerre contre le terrorisme, les professionnels avec une expertise ont été mis de côté par la mise en place de directive sécuritaire. Le système judiciaire, par exemple, fut embarrassé lorsqu’il fut confronté aux accusations contre des agents d’Al-Qaïda, alors que l’expertise de ceux qui n’ont trouvé aucune preuve d’armes de destruction massive en Irak en 2002-2003 a été ignorée.

C’est seulement en faisant confiance à nos professionnels de la santé que nous pourrons éviter que la campagne contre le virus Ebola influence l’état de la sécurité nationale. Et c’est seulement en refusant de militariser la crise potentielle, comme cela a été fait après le 11/9, que nous éviterons les catastrophes qui en découleraient. L’essentiel ici est de garder la lutte contre le virus Ebola dans le domaine civil. Plus cette lutte sera laissée aux mains des médecins et experts en santé publique qui connaissent la maladie, le mieux ce sera.

Troisième leçon: Ne pas enfermer la lutte contre le virus Ebola dans l’opacité. Les architectes de la guerre contre le terrorisme ont invoqué le secret comme l’un des piliers principaux de leur nouvelle façon de faire. Dès le début, l’administration Bush a caché cavalièrement ses politiques sous le voile du secret, affirmant que la sécurité nationale demandait que des informations sur ce que le gouvernement faisait devait être occulté aux yeux du peuple étatsunien afin de garantir leur propre “sécurité”. Bien que Barack Obama soit entré dans le bureau Oval en proclamant une présidence “transparente“, son administration a agi de manière encore plus féroce pour occulter les actions de la Maison Blanche et l’état de la sécurité nationale. ll suffit pour cela de ne citer que deux exemples, les justifications politiques de l’administration Obama entourant ses campagnes d’assassinats à l’aide de drones et l’étendue de ses programmes de surveillance de la population sans mandat.

En l’occurrence, ce mur du secret a montré sans cesse qu’il était faillible, alors que les fuites n’ont cessé d’inonder le monde. Néanmoins, l’envie de recréer un tel état de secret dans un autre secteur peut être particulièrement tentant. Ne soyez pas surpris si la guerre contre le virus Ebola se dirige dans l’ombre – et c’est bien la dernière chose dont le pays a besoin pour venir à bout d’une telle crise de santé publique. À ce jour, avec les professionnels médicaux toujours à la pointe de ceux qui traitent publiquement les malades atteints du virus Ebola, cette impulsion doit être transparente. Sous leur égide, des informations sur les premiers cas d’Ebola qui ont atteint ce pays et les problèmes liés à l’Ebola n’ont pas disparu derrière un voile de secret, mais ne comptez pas que cette transparence dure si les choses venaient à s’empirer. Pourtant occulter des faits importants sur une éventuelle pandémie galopante conduirait à la panique et à une détérioration rapide de la confiance entre les Etats-uniens et leur gouvernement, une relation déjà mise à rude épreuve depuis des années dans la guerre contre la terreur.

En réalité, l’opacité représenterait un point de départ de particulièrement mauvais augure pour le lancement d’une stratégie de lutte contre l’Ebola à un moment où il serait crucial pour les Etatsuniens de connaître les échecs et les succès. Les épidémies de panique drapées dans l’ignorance ne sont absolument pas un moyen d’arrêter la propagation de la maladie.

Quatrième leçon: Ne pas appliquer la méthode des «prisons secrètes (Black sites)» à la lutte contre le virus Ebola. La guerre contre le terrorisme a été marquée par la création de prisons spéciales ou «sites noirs» hors de portée du système judiciaire des États-Unis pour la détention (dans le cas du virus Ebola on pensera : isolement et quarantaine) de personnes soupçonnées de terrorisme, des lieux où beaucoup de choses sinistres se sont passées. Il n’est pas nécessaire que les patients atteints par la maladie d’Ebola, une fois diagnostiquée, soient isolés. Des combinaisons de protection et des unités d’isolement sont déjà utilisées dans le traitement des cas ici.

La question plus vaste de la quarantaine, cependant, se profile comme le premier grand débat de politique publique potentielle de l’époque Ebola. Gardez un œil sur ce point. A cause de la guerre contre le terrorisme, les tendances à la mise en quarantaine sont déjà gravées dans le mode de gestion des crises par le gouvernement, de sorte que la mise en quarantaine semblera naturel pour ses fonctionnaires.

La quarantaine est un phénomène redouté par les défenseurs des libertés civiles comme une réaction excessive qui se révélera inefficace quand il y aura une propagation de la maladie. Elle va priver les individus de leurs relations, plutôt que de les traiter effectivement quand ils afficheront effectivement des signes de la maladie. Pour beaucoup, cependant, cela apparaîtra comme une solution miracle, un équivalent de Guantanamo pour l’Ebola, un établissement pour ceux qui ont été jugés potentiellement porteurs d’une maladie terrorisante.

Occulter des faits importants sur une éventuelle pandémie galopante est la garantie de conduire à la panique et à une détérioration rapide de la confiance entre les Etatsuniens et leur gouvernement.”

Les craintes qu’une menace de quarantaines massives peut créer ne fera que rendre les choses plus difficiles pour les autorités sanitaires. Il en ira de même pour les appels aux interdictions de voyager pour ceux qui viennent des pays d’Afrique de l’Ouest, une suggestion qui rappelle une politique de profilage qui ciblera des groupes plutôt que des individus. Éviter ces interdictions n’est pas juste une question ayant trait à la préservation des libertés civiles, mais tout aussi bien une question de sécurité. Les craintes de mises en quarantaine massive et d’être soumis à des interdictions de voyager pourraient conduire les personnes concernées à devenir beaucoup plus discrètes sur la divulgation des informations concernant leur maladie et beaucoup plus mensongers dans la planification de leur voyage. Cela pourrait favoriser la propagation et non stopper la diffusion du virus Ebola.

Comme Thomas Frieden de la CDC l’affirme“nous savons en ce moment qui arrive. Si nous essayons d’interdire les voyages, certains voyageurs prendront d’autres trajets sur la terre, et passeront par d’autres endroits, et nous ne saurons pas où ils iront ce qui signifie que nous ne serons pas en mesure de prendre des mesures. Nous ne serons pas en mesure de vérifier leur température quand ils partent. Nous ne serons pas en mesure de contrôler leur température quand ils arrivent. Nous ne serons pas en mesure, comme nous le faisons actuellement, de relever l’historique détaillé pour voir si ils ont été exposéquand ils arrivent.” En d’autres termes, une réaction trop agressive pourrait effectivement rendre la détection médicale beaucoup plus difficile.

Les États-Unis sont sur le point d’être confrontés à une maladie qui par la manière dont ils vont gérer la crise pourrait concorder remarquablement bien avec la manière dont ils ont mené la guerre contre le terrorisme. Dans ce contexte, pensez à l’Ebola comme un défi injuste de l’univers à notre système gouvernemental de défense érigé sur un modèle militaire et guerrier. Ces choses que les Etats-Unis ont fait, souvent de manière inefficaces et contre-productives, pour contrecarrer ses ennemis, ses ennemis potentiels, et même ses propres concitoyens ne seront pas un antidote contre cet «ennemi» non plus. Cela pourrait être un fléau transnational, originaire des pays fragiles, et affectant ceux qui seraient confrontés à la maladie, mais il ne peut pas être arrêté par les procédés de la sécurité nationale.

La lutte contre le virus Ebola, nécessitera une nouvelle série de protections et de priorités, qui devrait émerger des communautés médicales et de santé publique. Les Instituts nationaux de la santé et d’autres organisations aujourd’hui, malheureusement sous-financés, se sont penchés sur les situations de pandémie possibles depuis des années. Il est impératif que nos fonctionnaires tirent les leçons de leurs recherches alors qu’ils ont omis de le faire à plusieurs reprises avec leurs homologues dans les politiques publiques durant la guerre menée contre le terrorisme, depuis des années. Convoquer une fois de plus les pouvoirs étatiques à s’occuper des fantasmes et des peurs plutôt que des réalités de la propagation de la maladie aboutirait à jouer dangereusement avec le destin.

Karen J. Greenberg

Article original en anglais :

Will the War on Terror Be the Template for the Ebola Crisis?  TomDispatch.com.

Traduction : SLT, http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.co

 

Karen J. Greenberg est le directeur du Centre de la sécurité nationale à Fordham Law, l’auteur de The Least Worst Place: Guantanamo’s First One Hundred Days, une contributrice régulière de TomDispatch, et la rédactrice en chef de Morning Brief, un compte-rendu quotidien des informations concernant la sécurité nationale.

L’épidémie d’Ébola est le résultat des labos militaires yankees d’Afrique de l’Ouest et d’une campagne de vaccination (Pr. Francis Boyle)

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Entretien époustouflant avec le Professeur Francis Boyle, professeur de droit international et de science politique, rédacteur de la loi internationale contre le développement des armes biologiques et bactériologiques, sommité mondiale sur la question, qui nous livre ses conclusions sur cette affaire d’épidémie de virus ébola…

Troublant… Inquiétant… Révoltant…

— Résistance 71 —

 

Pour le professeur Francis Boyle une campagne de vaccination est à l’origine de l’épidémie récente du virus Ébola

 

David Lindorff & Francis Boyle

 

30 octobre 2014

 

url de l’article en français:

http://ilfattoquotidiano.fr/les-laboratoires-us-de-guerre-biologique-a-lorigine-de-lepidemie-debola-en-afrique-de-louest-interview-de-francis-boyle/

 

Francis A. BOYLE est un professeur états-unien de renommée mondiale dans sa spécialité, le droit international, qu’il pratique et dont il est un ardent défenseur. Il rédigea la loi anti-terrorisme de 1989 sur les armes biochimiques, la législation américaine mettant en application la Convention sur les armes biologiques de 1972. Titulaire par l’université de Harvard de deux doctorats, un de Droit (Magna cum laude) et un en Sciences politiques, il enseigne à l’université de l’Illinois, à Champaigne. (Source Editions Demi Lune)

 

Voici la retranscription en français de l’interview récente du spécialiste en guerre biologique, Francis Boyle(*), auteur de plusieurs ouvrages sur le sujet des armes biologiques américaines, dont celui paru en français aux Editions Demi Lune « Guerre biologique et terrorisme« .

L’enregistrement audio de cette émission se trouve ici :http://prn.fm/cant-happening-102214/

* * *

T R A N S C R I P T I O N

 

David Lindorff (du site ThisCantBeHappening) : Nous avons l’honneur d’accueillir sur notre antenne le juriste (lawyer) Francis Boyle, qui s’est distingué en portant plainte auprès d’un tribunal de Malaysie contre George W. Bush et Dick Cheney pour Crime contre l’humanité. Il va nous parler de l’épidémie d’Ebola en Afrique de l’Ouest. Il a une opinion assez sinistre sur cette affaire. Francis, vous êtes là ?

Francis Boyle : Merci beaucoup David de m’avoir invité. Pour contextualiser cette conversation, je suis celui qui a écrit le brouillon de la loi anti-terroriste contre les armes biologiques (Biological weapons anti-terrorism act) en 1989. Les États-Unis ont mis en place cette loi au titre de la Convention sur les armes biologiques, qui a été votée à l’unanimité par les deux chambres du Congrès US et mise en application par George W. Bush, et vous pouvez lire tous les détails dans mon livre « Guerre biologique et terrorisme », tout y est documenté…

DL : D’accord. C’est évidemment un sujet que vous connaissez très bien, et j’ai lu une interview de vous par une chaine grecque, qui était assez surprenante, où vous dites que cette épidémie n’est pas ce qu’on dit, avec cette histoire de chauves-souris qui sont venues par les airs depuis le Zaïre, et qu’il s’agirait ici d’une variante de l’ « Ébola du Zaïre » ce qui est curieux, car le Zaïre est à plus de 3500 km de là. De quoi s’agit-il à votre avis ?

FB : Oui. Entre nous, toute cette histoire ne tient pas debout. Le gouvernement américain possède trois laboratoires BSL-4 (Bio Safety Lab niveau 4). Un en Guinée, un au Libéria, un en Sierra Leone, au coeur de l’épidémie en Afrique de l’Ouest. Et ces laboratoires BSL-4 font toutes sortes de  recherches plus effrayantes les unes que les autres sur les armes biologiques.

DL : Pourquoi sont-ils situés dans ces pays ?

FB : Parce que la Guinée n’a pas signé la Convention sur les Armes biologiques, le Libéria non plus. La Sierra Leone l’a signée, mais c’est une colonie britannique. J’avais d’ailleurs contesté dès 1988 le programme du Pentagone de recherche sur la Defense biologique (Biological Defense program) – et vous pouvez le lire dans mon livre, et leur avais demandé pourquoi ils conduisaient cette « double recherche », offensive et défensive, sur les armes biologiques au Libéria – qui à l’époque était une dictature militaire sous le joug du Capitaine Doe soutenu par la CIA – en contournant ainsi la Convention sur les armes biologiques. J’ai tout ici, dans un document du gouvernement US intitulé « Biological Defense program », et vous trouverez tout ça dans mon livre : le Center for Desease Control (CDC) menait des recherches dans le domaine biologique pour le Pentagone, en Sierra Leone, déjà en 1988, et probablement même avant ça, car il a fallu construire le laboratoire. De plus, la Columbia University menait aussi des travaux dans le domaine des armes biologiques (Bio warfare) pour le Pentagone, au Libéria, dès 1988. C’est celui que j’avais contesté en parlant de contournement des termes de la BWC (Bio-Weapons Convention, ou Convention sur les armes biologiques). Voyez-vous David, tout ceci n’est qu’une vaste opération de camouflage par le CDC. Ils sont plongés jusqu’au cou dans ces horribles travaux de recherche sur les armes biologiques depuis au moins 1988.

DL : Vous avez parlé de « double recherche », pouvez-vous préciser ?

FB : Bien, voilà ce qui se passe : pour pouvoir justifier ces travaux effrayants, si vous lisez les contrats, et j’ai pu en lire un avant que tout ne soit classifié, vous y lisez : « Il pourrait y avoir cette terrible forme de maladie émergente, et nous devons développer un vaccin pour cela. Et donc, nous allons commencer à travailler sur ce virus, il est possible que nous ayons à le modifier génétiquement et… »

DL : –    (l’interviewer a un rire nerveux)

FB : Non David, ne riez pas, j’ai lu ces documents…

DL : C’est un rire nerveux, c’est que je suis horrifié !

FB : …au début des années 1980, sous l’administration Reagan, au moment où j’ai pris connaissance de tout ça, « et par conséquent, nous devons le modifier génétiquement, ou faire une chose de ce genre, pour créer un vaccin et protéger tout le monde. » C’est ce qui était écrit, et ils font ça pour tous les virus : L’ébola, la fièvre hémorragique, etc…  Si vous ne me croyez pas, lisez l’édition du New York Times de vendredi dernier, où l’administration Obama a essayé d’enterrer tout ça. Obama y déclare : « Notre politique officielle est désormais d’arrêter ce type de recherche ». Ce qui revient à admettre qu’ils en faisaient.

DL : C’était vendredi dernier ?

FB : Oui, le New York Times de vendredi dernier. Cela revenait donc à admettre qu’ils en faisaient ce genre de recherches jusqu’à vendredi dernier au moins. Et si vous jetez un oeil sur la liste de ces recherches, le virus Evola n’y figure pas. Pourquoi ? Cela ne signifie pas qu’ils ne faisaient pas de « double recherche » sur l’Ebola. Toutes ces informations sont publiques. Si Ebola avait été sur la liste vendredi, les gens auraient demandé : mais que faisiez-vous avec ce virus Ebola ? Okay ? Cet article de vendredi dans le New York Times, c’est un peu le «Smoking Gun » [la preuve irréfutable – NdT], puisqu’Obama admet que les USA ont mené ce genre de recherches. Et en consultant la documentation, j’ai pu remonter jusqu’à l’administration Reagan, avec ces néoconservateurs qui sont arrivés au pouvoir et qui voulaient des armes biologiques. Et vous pouvez aussi lire le document du PNAC [Project for the New American Centurytraduit en français ici] en 2000, ces mêmes néoconservateurs de l’ère Reagan qui écrivaient clairement vouloir développer des armes biologiques. Ils sont revenus au pouvoir avec Bush Junior, et ils ont poursuivi dans cette voie. Les néocons voulaient ces armes biologiques, et je pense que ça a vraiment commencé sous Reagan et ça a continué depuis. La deuxième administration Reagan l’a fait aussi, pas la première, mais 2e très certainement, sous l’influence de ce Richard J. Danzig qui est maintenant aux Conseils d’administration de ces sociétés « Big Pharma », et qui a établi des accords (bundle) en violation duForeign Exchange (FX) and Governement Act.

DL : A-t-on la preuve que la souche du virus Ebola qui sévit en Afrique de l’Ouest a été génétiquement modifiée ?

FB : Laissez-moi vous dire ceci : toutes les précédentes épidémies d’Ebola en Afrique avaient été circonscrites, avec un taux de mortalité de 50%. Celle-ci n’est pas « contenue » et a un taux de mortalité de 70%. Cela me fait dire que nous avons affaire à un organisme génétiquement modifié, ou OGM. Nous savons que ce type de travaux était conduit à Fort Detrick. Il y a aussi ce Docteur Kawaoka  à l’University du Wisconsin de Madison, il a admis sur sa page Web avoir modifié génétiquement le virus Eola pour le rendre plus violent. Il a aussi ressuscité le virus de la grippe espagnole, pour le Pentagone.

DL : Doux Jésus…

FB : Il a aussi fait des recherches très poussées sur la grippe, y compris en modifiant génétiquement le virus H5N1, ce virus de la grippe si dangereux qui a sévi lors de l’épidémie du SRAS [SRAS -Syndrome respiratoire aigu sévère – NdT]. Et le tout était financé par le Pentagone ou bien le National Institute of Health (NIH), ou par le CDC. Ces travaux étaient si dangereux qu’il avait dû transférer son laboratoire du Wisconsin vers le Winnipeg au Canada. Mais peut-être que les Canadiens ont dit « allez-vous-en d’ici, on ne veut pas de vous ici, c’est trop dangereux pour nous », je ne sais pas. Ce que l’on sait, c’est que le laboratoire BSL-4 Kanema de l’Université de Tulane était impliqué. Nous savons qu’ils font ce type de recherches sur les armes biologiques depuis longtemps. [Le laboratoire US de] Fort Detrick était impliqué aussi. Ils sont connus également depuis longtemps pour conduire ce genre de recherches, y compris sur le virus Ebola. Les trois laboratoires que j’ai cités ont tous été mis en place par l’USAID, qui n’est rien d’autre qu’une organisation servant de couverture pour la CIA. Je suis juste en train d’essayer de relier tous ces points entre eux, sur la base des informations que j’ai pu récolter sur ces armes biologiques, depuis si longtemps, depuis mes études à l’université de droit à Harward, et je me suis intéressé professionnellement à la question, puisque j’ai été appelé à défendre le Council for Responsible Genetics au début des années 1980, dans leur Comité sur les armes biologiques, etc…

DL : Êtes-vous en train de suggérer que cette épidémie a été déclenchée délibérément, ou bien s’agit-il selon vous d’un accident, le virus leur aurait échappé sans qu’ils le veuillent ?

FB : Vous savez David, si vous allez sur le site Web du Ministère de la Santé de la Sierra Leone – c’est une information publique – ils ont fermé le BSL-4 de Kanema cet été et ont affirmé que c’était la source de l’épidémie Ebola, car Tulane et d’autres laboratoires administraient des vaccins aux gens.

DL : Vous voulez dire, au personnel des laboratoires ?

FB : Non, aux gens, aux Africains de l’Ouest. Sur une large échelle.

DL : Mais alors il y a un vaccin ?

FB : Ils disent que c’est un vaccin, mais ce dont il s’agit, c’est un virus Ebola vivant. Ils ont affaire à un virus Ebola vivant pour ce soi-disant vaccin.

DL : (rire nerveux du journaliste)

FB : De plus, nous savons que le NIH, a travaillé avec le CDC, depuis un certain temps pour combiner le virus vivant d’Ebola avec celui du « rhume commun ».

DL : Mon Dieu. Mais pourquoi font-ils ça ? Comment justifient-ils cela ?

FB : Mais pour développer un vaccin, David.

DL : C’est comme ça qu’ils l’expliquent ?

FB : Eh oui, c’est tout ce qu’ils peuvent dire. Et donc, si vous mettez ensemble le virus vivant d’Ebola avec celui du rhume, vous obtenez quelque chose qui est aussi contagieux que le rhume commun, mais pas autant que la grippe. Et ça pourrait bien être ce à quoi nous avons affaire ici. Ce vaccin, ou appelez-le comme vous voulez, avec l’Ebola vivant et le rhume commun, a été injecté à une vaste population en Sierra Leone, et peut-être au Libéria, et c’est cela l’origine de l’épidémie, mais ne me croyez pas sur parole et allez voir le site Web du Ministère de la Santé de la Sierra Leone, et vous verrez que c’est leur conclusion sur ce qui arrive aujourd’hui, et c’est pour cela qu’ils ont ordonné la fermeture du laboratoire américain BSL-4 cet été.

DL : Est-ce pour cela qu’ils sont contents que les Cubains soient venus, plutôt que de voir les Américains arriver ?

FB : Le problème c’est qu’aucun Américain ne veut y aller, parce qu’ils savent que les USA sont derrière tout ça. Si vous regardez ce qu’ils appellent le « projet d’aide », c’est le vide total. C’est simplement une vaste mise en scène pour faire croire qu’ils font quelque chose, alors qu’en réalité ils ne font pratiquement rien.

DL : Les USA n’ont d’ailleurs envoyé aucun médecin là-bas, seulement des soldats, n’est-ce pas ?

FB : Exact. Et la raison est claire. La semaine dernière il y avait une réunion à Kanema, en Sierra Leone, avec des représentants de toutes ces organisations gouvernementales internationales, et la décision a été prise d’abandonner ces gens  à leur sort. Pas de traitement…

DL : Oui j’ai lu ça, il faut juste les laisser se soigner eux-mêmes.

FB : Ils les renvoient à la maison avec du simple Tylénol (Doliprane). Ils sont désormais livrés à eux-mêmes, et ce à quoi nous assistons est seulement une mise en scène pour faire croire que les USA font quelque chose, alors qu’ils ne font rien. Les Cubains se sont montrés très héroïques vu la situation. L’organisation Médecins sans frontières est là aussi, et certaines ONG privées également. Mais toutes les organisations gouvernementales sont absentes, en fait elles n’ont jamais voulu s’en mêler, car elles ont réalisé que derrière l’épidémie, il y avait la recherche US sur les armes biologiques, et qu’il n’y avait pas grand-chose à faire, et que tout ce qui restait à faire c’était de laisser tout cela se consumer tout seul.

DL : Ce que vous dites est vraiment convaincant et me suggère deux choses. La première est la suivante : bien que le milieu de la médecine inclut beaucoup de gens très motivés sur le plan de l’aide humanitaire, pourquoi n’avons-nous eu aucun « whistle blower » (lanceur d’alerte) sur ce sujet ? Cela semble si scandaleux et dégoutant que quelqu’un aurait dû lancer l’alerte, non ?

FB : David, si vous regardez au cours de toutes ces années, et ces informations sont du domaine public, il y a environ 27 ou 28 microbiologistes qui sont morts.[1]

DL : Oui j’ai lu ça.

FB :  27 ou 28 microbiologistes morts. Je pense que ces chercheurs ont menacé de sonner l’alarme sur ces programmes aussi dangereux qu’illégaux de recherches américaines sur les armes biologiques, et on les a tués. Et c’est pour cela que nous n’avons pas de lanceurs d’alerte ici, parce qu’ils seraient tués eux aussi. Je crois que c’est clair.

DL : Oui j’ai lu à ce sujet, la liste est impressionnante. Et il y a des histoires bizarres de personnes qui arrêtent leur voiture au-dessus d’un pont et qui sautent.

FB : Des histoires souvent ridicules. Et je crois que tous ces microbiologistes, plutôt que de sonner l’alarme, ils sont allés voir leur supérieur, au CDC ou ailleurs. Cette information a suivi son chemin et on les a éliminés. C’est pour cela que nous n’avons pas de whistle blowers. En fait nous en avions, mais ils sont tous morts, avant qu’ils n’aient pu lancer l’alerte.

DL : Avez-vous publié vous-même sur ce sujet et sur les documents dont vous me parlez ? Ou bien comptez-vous le faire ?

FB : J’ai donné des interviews. Nous avons envoyé des communiqués de presse, à l’Institute for Public Accuracy, et j’ai donné aussi des interviews. J’ai travaillé sur d’autres sujets depuis le début de cette crise, mais si vous allez sur Internet, vous verrez que je suis un peu partout…

DL : Oui, j’ai vu ça. Mais pas dans les grands médias, évidemment.

FB : Évidemment, quelqu’un a donné l’ordre de ne pas m’interviewer, et d’ailleurs, après les attaques à l’anthrax d’octobre 2001, j’ai été le premier à dire qu’il s’agissait d’anthrax militarisé (weaponized anthrax) provenant d’un laboratoire gouvernemental américain. Ce qui fut confirmé plus tard. Mais personne ne m’a interrogé. Je crois que j’ai donné en tout et pour tout trois interviews. Une à FoxNews, à Boston, j’ai donné une conférence à Harvard, et une interview à la BBC, et à une chaine de la Pacific à Washington. Je parle de tout ça dans mon livre. Cela s’est passé dans les tout premiers jours après les attaques, et après plus rien. Le grand silence. Plus personne n’a parlé avec moi. Plus personne parmi les grands médias. Ces communiqués de presse sont envoyés à plus de 8000 organes de presse tout autour du globe, tous l’ont vu. Tous savent qui je suis. Mais il est clair qu’un ordre a été donné de ne pas avoir affaire avec moi. Et donc, non, rien dans les grands médias.

DL : Et les médias grands publics dans d’autres pays ? En Russie, en Chine, ou ailleurs ?

FB : Très peu. En Grèce, j’ai donné une interview[2], mais c’est la seule. Le gouvernement US a probablement dit à ces médias de se tenir éloignés de Francis Boyle. Mais vous savez, je ne suis pas payé pour les interviews, je ne suis pas en train de perdre de l’argent, je fais ça pour informer le public, pour essayer de faire sortir la vérité. Les seuls à m’interviewer ont été des médias alternatifs comme le vôtre.

DL : Ce qui est étrange dans cette histoire d’armes biologiques génétiquement modifiées, c’est qu’il est difficile de prévoir là où elle va frapper. En supposant que ce que vous dites est exact, comment peuvent-ils penser tenir ce virus éloigné des USA ?

FB : Vous savez, M. Duncan est ici, aux USA. Il est le cas « zéro » [le premier en dehors des USA – NdT]. L’information est déjà parue, selon laquelle le Département de la Défense et le NIH ont un programme informatique qui simule tout ça, ils savent exactement ce qui va se passer, en Afrique de l’Ouest, et maintenant en Espagne, à cause de l’infirmière là-bas [apparemment guérie depuis – NdT], et ici aux USA à cause de M. Duncan, puisque c’est le cas « zéro », et donc la liste de ses contacts. Ils peuvent insérer tout cela dans l’ordinateur et voir ce qui va se passer. Dans le New York Times hier, il y avait un diagramme avec M. Duncan et tous ses contacts et leurs enfants, et chacun d’entre eux est surveillé. Sauf pour les 4000 personnes sur le bateau de croisière. Ce qui pose la question : pourquoi n’ont-ils pas mis tous les gens du bateau en quarantaine ? Au Nigéria, où ils disent avoir stoppé l’épidémie…

DL : J’allais vous poser la question…

FB : …ils ont contacté tout le monde et les ont mis sous surveillance. Mais pas les 4000 personnes sur le paquebot de croisière, et ils ont tous été relâchés sur recommandation du CDC, qui a d’ailleurs dit « il suffit d’une période de quarantaine de 21 jours », et donc tous les gens sur le paquebot ont été libérés. L’OMS (Organisation mondiale de la santé) a critiqué cette décision et dit qu’il faudrait une période de 42 jours de quarantaine. Et si vous regardez les chiffres qui sont derrière les calculs de l’OMS et qui ont abouti à cette période de 42 jours, c’est toujours avec un taux d’efficacité de seulement 98% et un taux de mortalité de 50%, et non de 70%, ce dernier taux indiquant qu’il semble bien s’agir d’un virus manipulé génétiquement et qui est bien plus dangereux que l’Ebola d’origine. Je ne suis pas sûr, mais il me semble que par sécurité, il faudrait parler de période de quarantaine de 50 jours, et d’ailleurs tous ces chiffres du CDC ou de l’OMS sont simplement basés sur le rapport risque/coût, c’est tout. Ils disent simplement que c’est moins couteux de laisser les gens partir après 21 jours, ou 42 jours, plutôt que de les garder en quarantaine.  C’est une analyse risque/coût (Cross-Benefit Analysis) au détriment de nos vies. Peut-être que nous serons comme le Nigéria, mais la différence entre le Nigéria et nous [aux USA] est que le Nigéria a retrouvé tous les contacts, alors que nous avons laissé partir dans la nature 4000 personnes de ce paquebot, et avec ces 4000 personnes, ils ont simplement appliqué les protocoles du CDC qui n’ont aucune  valeur et sont très dangereux .

DL : Et bien sûr vous ne pouvez pas mettre en quarantaine toutes ces 4000 personnes ensemble, il faut les maintenir séparées les unes des autres, pour ne pas qu’ils se contaminent les uns les autres.

FB : Absolument. Ils auraient très bien pu les garder sur le bateau pendant 42 jours en leur expliquant les raisons, avant de les relâcher.

DL : Vous faites le lien entre l’OMS et le CDC en disant qu’ils sont tous deux coupables dans cette affaire, mais l’OMS comprend de nombreux pays, il y a du personnel venant de pays qui ne sont pas alignés avec les USA. Comment est-ce que ça marche ?

FB : David, je ne me rappelle pas exactement les chiffres, mais l’OMS est financée sur la même base que l’ONU, puisque c’est une organisation spécialisée.

DL: Oui, environ 25% par les USA

FB : En effet, environ 25%, plus le fait que nous devons des milliards de dollars à l’ONU.  Et celui qui paie les musiciens choisit la musique. Je ne sais pas à quel point nous devons de l’argent à l’OMS, mais ils font ce qu’on leur demande de faire. Ils peuvent à l’occasion essayer de révéler quelque chose, mais ils ne vont pas se dresser contre nous. Toujours est-il que le CDC est trempé jusqu’au cou dans cette affaire, et ils font du camouflage, nous ne pouvez pas croire un mot de ce qu’ils disent.

DL : Ouah. Mais alors que devons-nous faire face à cette situation ? Vu que nous ne pouvons pas faire confiance au gouvernement sur ce sujet ?

FB : Mon conseil est le suivant : heureusement, selon la Constitution des États-Unis, la Santé publique ne relève pas du gouvernement fédéral. Elle dépend des États, des comtés, des villes, des communautés, des villages, des autorités sanitaires [locales]. Et donc ces autorités sanitaires locales doivent s’unir, et faire appel à des experts indépendants qui n’ont jamais participé à aucune recherche dans le domaine des armes biologiques pour le gouvernement américain, et partir de là, élaborer une stratégie pour leurs communautés. Si vous lisez les médias grands publics, ils contactent tous ces experts qui ont trempé dans des recherches en guerre biologique pour les USA.

DL : Oui, c’est un peu comme demander à des généraux de nous parler des guerres.

FB : Exactement. C’est la même chose. Vous ne pouvez accorder aucune confiance à ce qu’ils disent. Et donc, je pense qu’il y a vraiment quelque chose à faire, mais que cela doit se passer au niveau local, dans les communautés et avec les autorités sanitaires. Par exemple nous avons eu une crise ici à l’université de Droit. Les abrutis en charge de l’Université ont envoyé un juriste gouvernemental taiwanais. Et ils savaient que nous avions affaire à la tuberculose. J’ai découvert cela, et ai demandé que tout le monde passe des tests, ils ont refusé, alors j’ai lancé l’alerte. Et avec les autorités sanitaires et tous ici, nous avons finalement obtenu que tout le monde passe les tests et nous avons découvert que cinq personnes étaient infectées par la tuberculose. Heureusement on a pu les traiter et elles s’en sont sorties. Sans cela, elles auraient développé la tuberculose, qui est une maladie extrêmement contagieuse. Ce qui est sûr, c’est qui faut travailler avec les autorités sanitaires locales et des spécialistes qui n’ont jamais été impliqués dans des travaux de guerre biologique pour le gouvernement des USA. Malheureusement nous avons 14 000 scientifiques qui participent à ces affreuses recherches en armements biologiques pour le compte du gouvernement des USA, je les appelle les « scientifiques de la Mort », et plus de 1500 laboratoires aux États-Unis qui font ce type de recherche. Vous ne pouvez pas leur faire confiance.

DL : Combien de laboratoires ?

FB : 1500

DL : Mon Dieu. Alors que nous ne sommes pas censés en faire.

FB : C’est exact. Ce genre de travaux de recherche constitue un crime selon les termes de la loi antiterroriste contre les armes biologiques que j’ai écrite, et nous avons dépensé 79 milliards de dollars depuis le 11 septembre 2001 dans ce domaine de recherche, ce qui en dollar constant, représente le double de ce qui a été dépensé pour le projet Manhattan pendant la Seconde Guerre mondiale pour développer la bombe atomique.

DL : Mais ils disaient que c’est défensif.

FB : Oui, ils disaient que c’est pour protéger le peuple américain de virus émergents comme l’Ebola. Mais regardez autour de vous. Vous pouvez voir qu’ils n’ont rien fait pour protéger qui que ce soit.

DL : S’ils travaillaient sur un vaccin depuis les années 80, ils devraient l’avoir maintenant, non ?

FB : Soit ils devraient l’avoir, soit ils l’ont, et c’est dans les tiroirs au fin fond du laboratoire de Fort Detrick, mais ils ne nous le disent pas, et ils ne l’ont donné qu’aux plus hauts dirigeants de notre gouvernement. C’est très similaire aux attaques à l’anthrax d’octobre 2001, et le fait que tout le monde à la Maison-Blanche prenait du Cipro [antibiotique prévenant les effets de l’anthrax – NdT]. Mais bon, je ne sais pas s’ils l’ont. Soit nous avons le vaccin, soit tout cet argent a été dépensé en pure perte, soit (et ce n’est pas incompatible) ils l’utilisent pour développer des armes biologiques. Faites votre choix. Je dois vous laisser. Merci de l’invitation.

DL : Merci Francis d’être venu si rapidement à notre antenne.

 

(*) Francis A. BOYLE est un professeur états-unien de renommée mondiale dans sa spécialité, le droit international, qu’il pratique et dont il est un ardent défenseur. Il rédigea la loi anti-terrorisme de 1989 sur les armes biochimiques, la législation américaine mettant en application la Convention sur les armes biologiques de 1972. Titulaire par l’université de Harvard de deux doctorats, un de Droit (Magna cum laude) et un en Sciences politiques, il enseigne à l’université de l’Illinois, à Champaigne. (Source Editions Demi Lune)

 

Traduction: IlFattoQuotidiano.fr

La « crise ébola » vue par un virologiste lucide et non corrompu…

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Excellente analyse à lire et diffuser sans modération…

— Résistance 71 —

 

Ébola : “C’est une affaire politique: une épidémie sans morts n’ est pas crédible”

 

Interview du Dr Carlos Arturo Guerrero, virologue colombien

 

Entretien avec Fernanda Sanchèz Jaramillo

 

29 Octobre 2014

 

url de l’article en français:

http://tlaxcala-int.org/article.asp?reference=13776

 

En Español:

http://www.es.lapluma.net/index.php?option=com_content&view=article&id=6172:2014-10-21-15-53-47&catid=58:opinion&Itemid=182

 

Grâce aux grands médias les virus comme Ébola ont provoqué la paranoïa chez les gens et génèrent des dividendes pour les entreprises pharmaceutiques. Le Dr. Carlos Arturo Guerrero explique pourquoi il n’y a pas réellement de danger que ce virus atteigne la Colombie et d’autres pays d’Amérique latine. 

Interview du Dr. Carlos Arturo Guerrero, chirurgien et virologue colombien, professeur dans les domaines de la biologie cellulaire et moléculaire, la biochimie, la génétique, le cancer et la virologie, chercheur à l’Université nationale de Colombie.

FSJ: Avant, les virus se transmettaient entre animaux sans atteindre les humains, pourquoi semblent-ils désormais passer si facilement de l’animal à l’homme?

CAG: La raison principale est que les humains détruisent l’habitat des animaux qui sont des réservoirs naturels. Deuxièmement, parce que nous allons dans des zones où coexistent les virus et les hôtes vivants, qui hébergent des parasites. C’est de cette manière que les humains ont contracté la variole, la dengue et le paludisme, entre autres.

Y a-t-il un réel danger que le virus Ébola atteigne des pays comme la Colombie, le Venezuela et le Chili, où on observe déjà une panique à ce sujet?

Aucun, parce que nous n’avons pas d’agent naturel de transmission. La seule possibilité viendrait de l’arrivée de voyageurs mais c’est facilement contrôlable : il suffit d’isoler les patients et d’éviter tout contact avec leurs fluides et sécrétions. Il faut un contact étroit et direct avec le patient [pour être contaminé]. 

Il n’est pas vrai que la transmission se fasse facilement par l’air, par la toux ou les éternuements. Cela se produit lorsque les virus sont déjà adaptés à l’espèce comme le virus de la grippe humaine. 

Pour affecter d’autres espèces, les nouveaux hôtes doivent absorber des milliers ou des millions de particules simultanément et de manière répétée. Si un virus d’une autre espèce affecte l’homme aussi facilement, comme c’est le cas pour le virus de la grippe (un éternuement une demi-heure auparavant suffit), c’est parce qu’il a été intentionnellement manipulé dans ce but. Dans la nature, cela est impossible. Le grand ramdam est entretenu par les médias au service des entreprises pharmaceutiques et des intérêts des USA. Pour cela, ils peuvent compter sur l’ OMS et les médias comme CNN; les médias nationaux ne font que répéter ce que les autres disent.

 

Pourquoi les épidémies se produisent-elles toujours dans des pays pauvres avec des systèmes de santé déjà fragiles?

La pauvreté est liée à des conditions insalubres (pas d’eau potable, pas d’égouts, les maisons sont construites de façon précaire etc.), où il n’y a pas d’accès facile, rapide et en temps utile aux systèmes de santé. De plus, dans ces zones, les faibles revenus et / ou le manque de connaissances ne permettent pas à la population de se nourrir convenablement. Par conséquent, ces facteurs ont un impact sur le système immunitaire, abaissant les défenses contre les virus et les parasites communs. Les virus affectent davantage le mal-nourri que le bien-nourri. 

Un autre aspect à prendre en compte est la manie consistant à rendre responsable seulement le virus ou le micro-organisme de l’épidémie. Cela est faux ! Tous les épidémies qui ont frappé l’humanité (voir encadré) ont en commun une ambiance de stress aigu ou chronique, généré par la pénurie économique, la guerre ou les catastrophes géographiques ou climatiques. 

Par exemple, les bactéries (de peste bubonique) qui ont balayé la population au Moyen-âge n’ont  pas disparu, elles vivent toujours parmi nous, mais il n’y a pas épidémie. Pourquoi ? Parce qu’il n’y a plus les conditions du Moyen-âge. 

Il en va de même avec le virus de la grippe, la bactérie du choléra, le typhus etc. Ils sont avec nous et vivent avec leurs hôtes près de nous, mais il n’y a pas d’épidémie. Celle-ci apparaîtra si les conditions de stress, de malnutrition, et autres prennent des proportions de masse. 

Dans les pays appauvris d’Afrique et d’Amérique du Sud, les micro-organismes ont tué la population sensible, à cause de ses conditions  de malnutrition. Les survivants sont des réservoirs et ces nouvelles épidémies ne se propageront à partir d’eux que si les conditions sociales et économiques le permettent.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) s’est réunie les 29 et 30 septembre avec des représentants des autorités de santé, des chercheurs et des entreprises multinationales pharmaceutiques afin de discuter de vaccins contre le virus Ébola. Quelle est la responsabilité de l’OMS dans l’alerte générale créée dans le cas du virus Ébola et dans le passé avec le virus H1N1?

Depuis des années, la communauté scientifique dénonce le fait que les entreprises pharmaceutiques contrôlent l’OMS. Celle-ci est devenue un appendice des boîtes pharmaceutique et elle autorise de manière impudente les «cartes» de couleurs qui indiquent quand déclarer une épidémie ou pas. 

L’impudence a commencé à partir de «l’épidémie» de virus de l’immunodéficience humaine (VIH). Ils l’ont bien maniée, ont acquis de l’expérience et  réussi à tromper le monde, y compris la communauté médicale clinique. 

Le virus du VIH n’a pas été isolé, aucun scientifique ne peut reproduire en laboratoire le modèle infectieux parce qu’aucun laboratoire scientifique ne le possède. En virologie, c’est ce qui est la clé. On doit démontrer la relation entre le nombre de virions* (particules infectieuses) qui s’ajoutent à une cellule (appelée MOI) et la réaction qui se produit à l’intérieur de la cellule pour établir la corrélation avec la pathologie. 

Cela, on n’a jamais été en mesure de le faire parce que lors de la manipulation du sérum de patients infectés, on peut faire des erreurs graves parce que nous avons des centaines de particules normales dans nos cellules qui se comportent de manière similaire à ce que le VIH est censé faire. Cela signifie que tout ce qui a été publié à ce jour est en grande partie un subterfuge technique. Mais ils ont vendu des millions de dollars en médicaments et selon eux, ils ont guéri ou tué parce que les mécanismes biologiques normaux appelés transcription inverse sont affectés. 

L’indécence a été évidente avec «l’épidémie» de H1N1 : on a déclaré une épidémie inexistante et on a fait pression sur les gouvernements pour qu’ils se « préparent » en achetant des médicaments vendus par les boîtes pharmaceutiques US. 

En Colombie, le ministre de la Santé Diego Palacios (2009-2010) a acheté pour 27 millions d’Euros de « Tamiflu » et un an et demi plus tard, on a jeté le médicament qui était périmé. [En France, Mme Roselyne Bachelot, ministre de la Santé de Sarkozy, a, elle, fait acheter 50 millions de doses du même Tamifl(o)u pour 670 millions d’Euros, dont, officiellement, seulement 6 millions de doses ont été administrés. Pour une annulation de commande, la dame au tailleur rose a du payer des indemnités de rétractation aux labos fournisseurs. Il n’est pas inutile de préciser que le Docteur (en pharmacie) Bachelot a travaillé pendant douze ans pour l’industie pharmaceutique-NdT]

Les chauffeurs de taxi, les réceptionnistes et toute personne au contact du public portaient des masques et des gants. Ils ont vendu des milliards de dollars de médicaments pour une épidémie inventée. La presse de caniveau alimente ces campagnes de terreur, en reprenant irrationnellement ce que dit l’OMS.

Est-ce un hasard si après l’apparition de la première personne infectée, le patient zéro, par un virus quelconque, par épidémie ou pandémie, apparaît aussi le moyen probable de guérison par un vaccin?

Non, parce que la santé s’est convertie en une affaire très rentable pour les entreprises pharmaceutiques. Nous vivons à une époque où on invente des épidémies, on exagère et on pervertit les connaissances scientifiques pour inciter les gens à acheter des médicaments ou à se faire vacciner. 

Par exemple, on a donné le Prix Nobel à  celui qui a trouvé le vaccin conte le papillomavirus et ça a été la base idéale pour le lancement de la vaccination de masse. Actuellement, l’industrie pharmaceutique privé contribue financièrement aux prix décernés. 

En ce qui concerne le papillomavirus, dire que c’est le virus du cancer du col utérin est un mensonge. Je dois préciser qu’il n’y a aucun virus producteur de cancer. Si cela était vrai, cela signifierait que le cancer du col utérin est contagieux, puisque le virus l’est. S’il était vrai qu’il produit le cancer, les personnes atteintes par le virus devraient avoir un cancer en peu de temps puisque le virus se réplique rapidement. 

Cela n’arrive pas parce que le virus tout seul n’est pas responsable du cancer, il contient même des molécules qui inhibent la prolifération des cellules (une caractéristique du cancer). Les statistiques indiquent que de nombreuses femmes atteintes d’un cancer du col utérin ont le virus, elles peuvent l’avoir dès l’enfance, alors que le cancer apparaît à l’âge adulte; donc, cela explique que la présence du virus n’est pas la seule cause d’apparition de la maladie. D’autres facteurs sont requis, comme la présence de bactéries agressives, un déséquilibre nutritionnel et immunitaire pendant de nombreuses années. 

Les papillomavirus habitent normalement la peau et des voies digestives. Ils se trouvent chez des nourrissonnes dont le vagin peut être contaminé par les fèces, il n’est donc pas sûr qu’il se transmette uniquement par la voie sexuelle. Donc, je pense qu’il est irresponsable de faire des vaccinations de masse, il serait plus correct de les réserver  à certains groupes à risque comme certains pays le font. L’arrière-plan de la vaccination de masse est le business des multinationales pharmaceutiques. 

Il en va de même avec de virus du chikungunya. Il a d’abord été breveté, puis on a développé des médicaments qui atténuent les symptômes et le vaccin, mais il y avait un problème: les usagers étaient peu nombreux, car il était restreint à certaines régions. 

Ce sentiment a été exprimé par le Journal de l’Institut national de la Santé des USA, où on écrit sans honte que les résultats seraient meilleurs si le marché était plus grand (Chikungunya virus and prospects for a vaccine). Et voilà que, tout d’un coup – quelle coïncidence ! – le virus se propage dans le monde entier!

 

Outre les retombées économiques, la hausse des actions en bourse, pour des multinationales comme  GlaxoSmithKline, quels autres objectifs poursuit-on avec la «paranoïa» sur les épidémies et les pandémies ?

Il y a longtemps que les USA ont l’antidote et le vaccin. On peut trouver ça sur Internet, ils ont tout breveté –évidemment, l’ antidote efficace doit être un secret militaire -, ils ont intérêt à créer la panique. De toute évidence ils jouent avec le feu. 

Les infections sont la meilleure et la plus efficace arme politique pour soumettre les adversaires. Il vaut mieux avoir un nombre (limité) de morts que de risquer une guerre totale contre d’autres puissances concurrentes comme la Chine. Les USA ont déjà fait des manœuvres conjointes dans le cadre de ce qu’ils appellent  l’ Alliance Pacifique qui comprend l’Australie et le Japon; les USA ont averti la Chine qu’ils ne vont pas faire de cadeaux. Ce n’est pas un jeu, il en va de la survie de l’empire. 

Pour leur survie, les USA ont besoin du plus petit marché, du plus insignifiant. La crise du capitalisme le justifie. Ils se noient dans leur propre production et ont besoin de la vendre au monde pour sortir de leur crise.  Tous les marchés sont bons à prendre, si petits qu’ils soient en apparence. 

Dans la guerre économique ils font feu de tout bois. L’autre chose dont ils ont besoin ce sont des ressources naturelles, en particulier celles qui sont le fondement de l’avenir : des éléments peu connus (j’ai oublié comment ils s’appellent) [coltane et terres rares, NdT) nécessaires pour développer les supraconducteurs et d’autres technologies. Et ils se trouvent en en Afrique.

 

Ils ont besoin de justifier la militarisation de l’Afrique. Le jeudi 16 octobre Barack Obama, le président des USA, a annoncé l’envoi «humanitaire» de troupes en Afrique. C’est une affaire politique et économique. Une épidémie sans morts n’est pas une épidémie crédible. Ce sont des morts « nécessaires » pour que la panique gagne.

En outre on a répandu la rumeur que le vaccin est très cher, car on investit dans la recherche pour vacciner des pauvres mais ce sera rentable avec les voyageurs en provenance des pays riches. C’ est ce qu’ils ont fait avec le chikungunya. Les épidémies apparaissent dans des zones appauvries, mais importantes pour le tourisme. Le business futur consistera à promouvoir le tourisme et le vaccin, une vraie aubaine, et ils ont le pouvoir des médias pour le faire.

Peut-on parler d’une « Pharmafia » qui grossit avec le soutien de l’OMS et des médias?

C’est une mafia plus puissante que les cartels des drogues psycho-actives et ils gagnent plus que les marchands d’armes, et avec un avantage sur eux : tout est légal et ils font même figure de «bienfaiteurs». Ils influent sur les campagnes politiques, ils font et défont les présidents, manipulent les revues scientifiques, ils tripatouillent les résultats de recherches sur des produits, ils disposent d’une gamme d’avocats et d’autres bureaucrates pour obtenir des brevets rapidement. 

La façon la plus commune de faire en sorte que tout «aille bien» est de donner des cadeaux aux « médecins prestigieux ». Par exemple, ils sponsorisent leurs congrès, financent leur participation à ces congrès ou à des réunions, et,  à l’occasion, leur payent des soldes mensuelles.  Cette pratique aberrante est considérée comme normale par les cliniciens. La meilleure façon d’assurer la vente d’un produit est de «gagner les cœurs» des médecins.

Que faudrait-il pour que la médecine sociale l’emporte sur la médecine de profit ?

Pour résoudre les problèmes de santé, il y a plus important que de de créer des milliers d’hôpitaux, c’est d’avoir les ressources nécessaires pour bien manger, pour résoudre l’aspect nutritionnel. L’accès aux connaissances est important pour avoir une alimentation adéquate. Autrement dit, il faut  un réel bien-être économique. 

Ces connaissances, les riches les ont déjà. C’est pour ça que dans les pays développés, on ne voit pas de riches gros. Tous les riches du monde sont minces parce qu’ils sont dans le coup. De nos jours, bien manger coûte cher.

Les gens du peuple ne consomment pas suffisamment de vitamines et de minéraux et absorbent plus de glucides et de gras saturés que nécessaire, ils sont dans un stress chronique, ils fument, ingèrent de grandes quantités d’alcool, font peu de sport. Tout cela entraîne que des micro-organismes suscitent facilement des maladies et qu’ils soient plus sujets au cancer, au diabète, à l’obésité et à l’hypertension.

 

Épidémies:

 

1918 grippe “espagnole”

1957 grippe “asiatique”

1968 grippe de “Hong Kong”

1976 Grippe porcine (USA)

1984 SIDA (“Haïti” “Afrique”)

2001 Anthrax “Al Qaïda”

2003 Syndrome respiratoire aigu sévère lié au coronavirus (SRAS), Asie

2003 virus de “Babylone”

2005 grippe aviaire (“chinoise”)

2005 Chikungunya, La Réunion

2009 « grippe du Mexique »

2010 Grippe porcine

2013 Ébola

Crise Ébola: Couverture d’AFRICOM pour plus d’implantation militaire en Afrique ?…

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Les Etats-Unis utilisent Ébola comme prétexte à augmenter leur intervention en Afrique

 

Press TV

 

28 Octobre 2014

 

url de l’article original:

http://www.presstv.ir/detail/2014/10/28/383971/us-uses-ebola-guise-to-penetrate-africa/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Les Etats-Unis utilisent la contagion par le virus Ébola comme couverture de leur expansion interventionniste en Afrique, dit un journaliste activiste de Detroit.

Abayomi Azikiwe, éditeur du Pan-African News Wire a fait ces remarques dans une interview par téléphone avec la chaîne Press TV mardi en commentant sur la décision de Pentagone de mettre en isolation et en quarantaine les militaires américains revenant d’Afrique de l’Ouest.

Deux états, le New Jersey et New York, ont déjà ordonné une quaranaine obligatoire de 21 jours pour les personnels médicaux qui ont traité les patients atteints d’Ébola en Afrique de l’Ouest où l’épidémie a déjà fait près de 5000 morts (NdT: Dans 3 pays depuis 8 mois…).

“Je pense vraiment que les Etats-Unis devraient fournir plus d’assistance dans les trois pays qui ont été touchés par la contagion de ce virus ébola” a dit Azikiwe.

“Mais je pense qu’il y a eu une sur-réaction de la part des Etats-Unis, largement alimentée par des forces politiques de droite (extrême) pour ostraciser et mettre en quarantaine tous ceux qui ont assisté dans les mécanismes sanitaires de ceux qui ont été touchés par le virus ébola en Sierra Leone, en Guinée et au Libéria”, a t’il ajouté.

Azikiwe a déclaré que le commandement de l’armée américaine pour l’Afrique ou AFRICOM est “fait pour étendre l’intervention militaire américaine sur le continent africain.”

“Ils utilisent AFRICOM pour pénétrer plus avant en Afrique sous le couvert d’une réponse sanitaire à la crise du virus ébola”, a t’il insisté.

Le président Obama (NdT: ou “Obola” comme il est déjà nommé au pays du goulag levant…) a autorisé le Pentagone à déployer des troupes en Afrique de l’Ouest pour lutter contre la maladie mortelle. Aux ordres du président, quelques 3600 soldats pouraient être envoyés en Afrique de l’Ouest. Quelques centaines de militaires américians sont déjà sur place au Libéria.

Azikiwe a dit que “Il est très important que ces militaires déployés au Libéria soient bien protégés.”

“Le gouvernement des Etats-Unis n’a pas d’historique de protéger ses propres soldats. Nous savons qu’ils ont été amplement exposés à l’uranium appauvri en Irak, nous savons aussi que des armes chimiques américaines qui furent utilisées par le gouvernemnt irakien dans les années 1980 dans sa guerre contre l’Iran, étaient en Irak. Elles ont été découvertes et cette découverte d’armes chimiques américaines a été cachée au public par le gouvermement américain et ses médias complices,” a continué le journaliste expérimenté.

“Ainsi nous sommes préoccupés pour ceux qui se trouvent maintenant en Afrique de l’Ouest, en particulier au Libéria, qu’ils soient protégés et que leur santé et leur vie reçoivent une priorité maximum.” A t’il insisté.

Il n’y a pas de guérison connue pour ébola qui est une forme de fièvre hémorragique impliquant des diarrhées, des vomissements et d’abondants saignements comme symptomes.

Le virus se répand par contagion au travers d’un contact direct avec du sang, des excréments, de la sueur ou des vomissures contaminés. Il peut aussi se propager au travers de contacts sexuels ou la manipulation non-protégée des corps des victimes décédées.

Récemment, plus d’experts ont dit que le virus ébola est un organisme génétiquement modifié et qu’il a été développé dans des laboratoires de guerre biologique de l’armée américaine en Afrique de l’Ouest.

Dans un entretien récent, le Dr. Francis Boyle de l’université de l’Illinois a dit: “Mon avis est que l’origine de la pandémie actuelle du virus ébola provient de labos militaires spécialisés dans la guerre biologique, établis en Afrique de l’Ouest.

Il a ajouté que les Etats-Unis ont “utilisé l’Afrique de l’Ouest comme une station offshore pour contourner la Convention sur les Armes Biologiques et pouvoir effectuer un travail de guerre biologique.

 

= = =

 

Santé et Nouvel Ordre Mondial… Quelques précisions sur l’origine du virus Ébola…

Posted in actualité, documentaire, ingérence et etats-unis, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , on 24 octobre 2014 by Résistance 71

L’épidémie d’Ébola

 

Réseau Voltaire

 

24 Octobre 2014

 

url de l’article original:

http://www.voltairenet.org/article185700.html

 

Le virus Ebola a été découvert en 1976, au Nord du Zaïre, à proximité d’un fleuve qui lui a donné son nom. L’épidémie avait alors tué 280 personnes avant de disparaître.

Il semble que certaines chauves-souris soient porteurs sains de cette maladie et qu’elles puissent contaminer à la fois certains singes et des hommes. La transmission peut également se faire d’homme à homme via le sang, le lait maternel, les selles et le vomi, éventuellement par la salive d’un malade à un stade avancé. Il ne semble pas que cette maladie puisse se transmettre de manière aérienne.

Le taux de létalité de cette maladie est de l’ordre de 20 %, cependant, il grimpe à 90 % lorsque le patient ne peut être réhydraté et transfusé correctement, ce qui est généralement le cas en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone. D’où le rôle joué par de grandes ONG comme Médecins sans frontières ou par des États comme Cuba.

Au cours des années 80, le régime d’apartheid d’Afrique du Sud commanda des recherches au docteur Wouter Basson sur une série d’agents pathogènes que l’on aurait pu modifier de sorte qu’ils ne tuent que les sujets à peau noire (Project Coast). Ces recherches ont inclu le virus Ebola.

En 1988, le ministre de la santé du Zimbabwe, le Dr. Timothy Stamps, accusa l’Afrique du Sud d’avoir testé l’Ebola et le Marburg le long du Zambèze, dans le cadre de sa guerre biologique.

En 1992, Shōkō Asahara, leader de la secte Aum Shinrikyō, se rendit au Zaïre pour y collecter des échantillons du virus Ebola.

Les cultures d’Ebola du docteur Basson auraient été détruites par lui, en 1994, mais sans vérification.

Le test conseillé par l’Organisation mondiale de la Santé pour déterminer si un patient est atteint par le virus Ebola ne mesure pas si son sang contient le virus, mais uniquement si ses perturbations correspondent à celles provoquées par le virus. Il est donc fréquent que des patients soient détectés comme malades de l’Ebola alors qu’ils ne sont pas atteints par cette maladie. A contrario, tous les malades de l’Ebola sont positifs au test.

Depuis 1976, une trentaine d’épidémie d’Ebola ont été signalées en Afrique. Jusqu’à cette année, aucune n’avait atteint la virulence de celle de 1976 (280 victimes). Cependant, l’actuelle épidémie en Afrique de l’Ouest a tué en dix mois près de 5 000 personnes, ce qui reste négligeable comparé à d’autres maladies, mais est susceptible de donner lieu à une pandémie.

En septembre 2014, les États-Unis décident de fournir une aide massive à l’Afrique de l’Ouest contre la maladie [1]

Le 14 octobre 2014, à l’issue d’une vidéo-conférence, Barack Obama, François Hollande, Angela Merkel, Matteo Renzi et David Cameron qualifient le virus Ebola de « plus grave urgence sanitaire de ces dernières années ».

À ce jour, les États-Unis ont ouvert un site internet « Combattre l’Ebola, le grand défi ». Sous prétexte de déployer du matériel sanitaire, ils ont transféré plus de 4 000 soldats de l’AfriCom en Afrique de l’Ouest, ce qui sert sans aucun doute leurs intérêts politico-économiques mais n’a que peu d’effet contre la maladie. Pendant ce temps, Cuba a envoyé plus de 500 personnels soignants. Il s’agit, de très loin, du plus grand effort étatique en soutien aux populations touchées.

[1] « Ebola, le Pentagone s’installe en Afrique », par Manlio Dinucci, Traduction Marie-Ange Patrizio, Il Manifesto (Italie), Réseau Voltaire, 20 septembre 2014.

 

Santé et propagande: Voix alternative africaine sur la « pandémie ébola »…

Posted in actualité, altermondialisme, colonialisme, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, santé, santé et vaccins, sciences et technologie, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 18 octobre 2014 by Résistance 71

« Paroles africaines sur le virus ébola »

 

L’immense arnaque de la pandémie ouest africaine de la fièvre ébola

 

Nana Kwame

 

9 octobre 2014 publié par Al Manar le 17 Octobre

url de l’article:

http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=197646&cid=21&fromval=1&frid=21&seccatid=416&s1=1

paru le 15 Octobre sur Globale Presse:

http://globalepresse.com/2014/10/15/limmense-arnaque-de-la-pandemie-ouest-africaine-de-fievre-ebola/

 

L’auteur de l’article traduit ci-dessous est un citoyen US d’origine ghanéenne, installé au Ghana depuis un certain temps où il est chef d’entreprise (un bar-restaurant). Il a écrit ce texte sur son compte Facebook le 9 octobre dernier. Suite à une prise de contact personnelle, M. Kwame explique qu’il a écrit ce texte depuis les USA, où il est en visite chez sa famille.

Ce texte est devenu « viral » sur l’Internet anglophone et nous avons décidé de vous le retranscrire ici.

Par Nana Kwame, le 9 octobre 2014



Les gens du monde occidental doivent savoir ce qui se passe ici en Afrique de l’Ouest. ILS VOUS MENTENT!!! Le virus « Ebola » en tant que tel n’existe PAS sur place et n’est PAS en train de « se propager ». La Croix-Rouge a apporté une maladie à quatre pays spécifiques pour quatre raisons spécifiques et elle n’est attrapée que par ceux qui reçoivent un traitement et des injections des mains de la Croix-Rouge. C’est pourquoi des Libériens et des Nigérians ont commencé à virer la Croix-Rouge de leurs pays et à rapporter la vérité dans les informations. Restez avec moi:

LES RAISONS

La plupart des gens bondissent sur l’idée de « dépopulation », une chose qui est assurément à l’esprit de l’Occident quand il s’agit de l’Afrique. Mais je vous assure que l’Afrique ne pourra JAMAIS être dépeuplée en tuant 160 personnes par jour alors qu’il y a des milliers de naissances quotidiennes. Les vraies raisons sont donc beaucoup plus concrètes.

Raison 1

Cette maladie inoculée par vaccination qui se fait appeler «Ebola » a été introduite en Afrique de l’Ouest dans l’objectif ultime de déployer des troupes sur le sol du Nigeria, du Liberia et de la Sierra Leone. 
Si vous vous en souvenez nous (les USA, ndlr) étions en train d’essayer d’entrer au Nigeria à cause de « Boko Haram ». FOUTAISES. Mais c’est tombé à l’eau quand les Nigérians ont commencé à raconter la vérité. Il n’y a PAS DE FILLES QUI MANQUENT. Le soutien international s’est fait la malle, et il a fallu trouver une nouvelle raison pour déployer des troupes au Nigeria pour y voler les nouvelles réserves pétrolières qui viennent d’y être découvertes.

Raison 2

Le Sierra Leone est le plus grand fournisseur de diamants au monde. Les mineurs ont été en grève depuis quatre mois, refusant de produire des diamants à cause d’horribles conditions de travail et de salaires de misère.

L’Occident ne paiera pas un salaire décent pour ces ressources parce que l’idée c’est de faire que ces gens ne puissent s’offrir que des sacs de riz et recevoir de l’aide étrangère afin de rester des esclaves corvéables à merci, pour toujours.

Il fallait aussi trouver une raison pour débarquer des troupes sur le sol du Sierra Leone pour forcer la fin des grèves des mineurs de diamants. Ce n’est pas la première fois que cela s’est fait. Quand les mineurs refusent de travailler la troupe est sonnée et même s’ils doivent tous les tuer et tous les remplacer, leur seul désir est de voir à nouveau les diamants s’écouler hors du pays.

Bien sûr, lancer des campagnes multiples pour envahir chacun de ces pays serait BEAUCOUP trop louche. Mais un truc comme « Ebola » donne l’accès à toute une région d’un seul coup…

Raison 3

En plus de voler le pétrole nigérian et de forcer le Sierra Leone à retourner au fond des mines, des troupes ont aussi été envoyées pour FORCER la vaccination sur ces Africains qui ne sont pas assez stupides pour la prendre volontairement. 3000 soldats sont envoyés pour s’assurer que ce « poison » continue de se répandre, parce qu’encore une fois il ne se répand qu’à travers la vaccination. 

Tandis que de plus en plus d’articles d’information sont publiés comme celui-ci provenant du Liberia, (Daily Observer) (traduit en français par La Conscience du peuple),  informant les populations des mensonges et des manipulations US, de plus en plus d’Africains refusent d’aller voir la Croix-Rouge.

Les soldats vont contraindre ces gens à la vaccination pour assurer l’apparence visible d’une pandémie d’Ebola. Et en plus ils protègeront la Croix-Rouge de ces Libériens et Nigérians qui ont de plein droit commencé à les expulser de leur pays.

Raison 4

3000 soldats… Le virus Ebola craint-il les balles? Absurde.

Dernière raison mais pas la moindre, l’APPARENCE de cette « pandémie» d’Ebola (si jamais les citoyens US ne comprenaient pas l’arnaque) servira à effrayer d’innombrables millions de personnes pour qu’ils prennent le « vaccin anti-Ebola » qui en réalité EST LA PANDÉMIE. Ils ont déjà commencé avec des histoires affirmant qu’il ait été ramené aux USA et ait fait son apparition à Dallas, que des médecins blancs ont été guéris mais que les Noirs infectés n’ont pas accès au traitement.

Tout ce que cela va faire va être de POUSSER les Noirs à VOULOIR le vaccin, parce qu’il apparaît que « l’antidote » est refusé aux Noirs. Ils vont sortir en masse pour l’obtenir et il y aura de sérieux problèmes. Avec toutes les révélations que nous avons eues à propos des vaccins cette année vous auriez pensé que nous aurions appris la leçon. Tout ce que je peux faire c’est l’espérer, parce qu’ils comptent largement sur notre ignorance pour faire aboutir leurs agendas. Posez-vous la question, si le virus Ebola se propageait vraiment par le contact entre personnes, plutôt que par une propagation contrôlée effectuée par vaccination – alors POURQUOI le CDC (Center for Disease Control, centre anti-épidémie US, ndlr) et le gouvernement US continueraient-ils à autoriser des vols vers et depuis ces pays sans aucun contrôle? 

Nous devons commencer à réfléchir et à partager l’information globalement parce qu’ils ne nous donnent pas la réelle perspective que vivent les gens ici en Afrique de l’Ouest. Ils mentent pour leur propre profit et il n’y a pas assez de voix là dehors avec la plateforme nécessaire pour aider à partager notre réalité.

Des centaines de milliers ont été tués, paralysés et handicapés par ces «nouveaux » vaccins tout autour du monde et nous commençons enfin à en prendre conscience. Maintenant qu’allons-nous FAIRE avec toute cette information?

Santé: Précisions sur le virus Ébola (Dr. Guy Alovor et Yves Amaïzo, Ph.D)

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« Paroles africaines sur le virus ébola »

 

Le virus Ébola

 

Dr Guy Kodzo ALOVOR, Médecin et Dr Yves Ekoué AMAÏZO, Directeur Afrocentricity Think Tank

 

30 septembre 2014

 

url de l’article:

http://www.afrohistorama.info/2014/09/ebola-virus-dr-guy-kodzo-alovor-medecin-et-dr-yves-ekoue-amaizo-directeur-afrocentricity-think-tank-afin-de-permettre-une-meilleure

 

Afin de permettre une meilleure compréhension du phénomène et d’apporter des éclaircissements sur le débat concernant l’origine du virus Ebola et sa paternité supposée africaine, Afrocentricity Think Tank s’est attelé à lever quelques ambiguïtés et rappeler que de part et d’autre, les causes avancées sans la participation d’experts africains indépendants restent de simples hypothèses dont la crédibilité commence à échapper à l’analyse scientifique par les experts africains de la Diaspora. Des informations circulent ici et là.

Il est important que les Africains et Africaines directement concernés puissent avoir un point de vue afrocentrique en attendant que les dirigeants africains financent l’étude sur l’origine du virus Ebola demandée par une équipe d’experts de la Diaspora.

Il faut pourtant clarifier le débat. Les Africains ne peuvent être responsables de ce qu’ils n’ont pas créé et diffusé.

  1. Le virus Ebola n’a pas été « créé », ni « nommé » par les Africains

C’est le nom d’un fleuve de la République Démocratique du Congo que les Occidentaux ont choisi unilatéralement pour donner à un virus créé dans leurs laboratoires lesquels poursuivent des objectifs militaires et de créations de maladies émergentes avec des solutions pour le moins mitigées.

A la différence des agents biologiques pathogènes classés par ordre de dangerosité comme la rougeole, la poliomyélite, la varicelle, la rage et la variole, le virus Ebola comme au demeurant et par ordre de dangerosité, l’hépatite C, le HIV-Sida, l’Antrax (qui est une bactérie) sont des agents pathogènes créés dans des laboratoires non Africains 1. Les motivations à l’origine de la création de ces agents pathogènes ne sont pas nécessairement pacifiques.

Le virus Ebola est un filoviridae dont l’origine remonte au mois d’août 1967, dans la ville de Marburg en République Fédérale d’Allemagne. L’apparition originelle et inaugurale s’est faite dans un des laboratoires de la ville travaillant indifféremment pour des objectifs civils et militaires. Officiellement, lors des travaux de recherche pour fabriquer des vaccins, au moins 35 laborantins ont été contaminés dont 7 ont trouvé la mort malgré les soins intensifs prodigués. L’origine du virus Ebola n’est pas en Afrique.

  1. Le virus Ebola n’a pas de réservoir naturel en Afrique

Les analyses et recherches de médecins africains commencent à mettre en évidence le fait que le virus Ebola n’a pas de réservoir naturel. Il est donc évident que sans réservoir naturel, l’hypothèse selon laquelle l’origine d’une des six souches proviendrait de la République Démocratique du Congo (ex-Zaïre) demeure une simple hypothèse qui reste à vérifier. L’hypothèse de l’inoculation, voire de la transplantation par tous les moyens possibles et inimaginables en Afrique ne peut être écartée. Une étude portant sur l’origine de certains  agents pathogènes (virus et bactéries) par des experts indépendants africains y compris la Diaspora permettrait d’en avoir le cœur net.

  1. Les animaux africains ne sont pas à l’origine du virus Ebola

Les gorilles, les chimpanzés et les antilopes ne sont pas des vecteurs du virus contrairement aux affirmations sans preuves avancées jusque-là car ces animaux n’ont pas de réservoir du virus Ebola.

La chauve-souris n’est pas un hôte naturel du virus car jamais le virus n’a été isolé sur elle. Mieux encore, lorsqu’on lui inocule expérimentalement en laboratoire le virus, cet animal l’élimine rapidement sans le conserver dans son organisme.

De même, les arthropodes ne sont pas des vecteurs car lorsqu’on inocule le virus Ebola à ces derniers, aucune réplication virale n’est observée.

Puisque l’on sait aujourd’hui le point de vue des Africains et que le virus n’a jamais été isolé chez ces animaux malgré toutes les recherches menées dans ce sens, il faut donc bien convenir qu’il faudra aller rechercher le réservoir du virus ailleurs que dans la faune africaine, ailleurs qu’au sein des populations africaines rurales ou urbaines.

  1. Les laboratoires occidentaux ou contrôlés par ces derniers sont à l’origine du virus Ebola

Avec la liste des laboratoires militaires connus et tous ceux civils non connus (voir annexe 1), il n’est plus possible de nier l’évidence, à savoir qu’un grand stock de virus divers dont l’Ebola sont disponibles dans les laboratoires biologiques de niveau pathogène 4 (le plus élevé). La France est présente en Afrique au Gabon, à Franceville (pour ce qui échappe au « secret défense »).

Comment croire que ces stocks sont destinés à l’amélioration de la santé publique en Occident ? Comment ne pas se poser la question de savoir comment s’opèrent les tests ? Une fois les animaux infectés, est-ce que ces derniers n’ont pas été transportés dans des zones rurales et urbaines africaines pour faciliter la confirmation de certaines hypothèses sur les animaux ? Puis, quelles sont les limites éthiques de telles expérimentations secrètes, parfois avec l’aval des autorités africaines, alors que les tests sur des humains africains dits « volontaires » ont commencé à se vulgariser notamment au Libéria et en Sierra Leone.

Rien ne permet d’écarter l’hypothèse selon laquelle les virus créés dans des laboratoires occidentaux ou contrôlés par ces derniers en Afrique ne sont pas justement créés pour soutenir des activités civiles de santé publique. L’hypothèse de virus créé pour des opérations militaires futures ne peut être écartée de l’analyse et donc de l’étude à venir. Il s’agirait alors purement et simplement d’armes virologiques de destruction massive. Les signes avant-coureurs ont été révélés dans le livre de Leonard G. Horowitz 2 dès 1996 où ce dernier s’interrogeait sur la nature des virus émergents comme le VIH-Sida et l’Ebola. Il avait déjà écarté l’origine naturelle de ces deux virus et ne croyait pas à l’accident, ni au dysfonctionnement des laboratoires occidentaux. Les objectifs dits « intentionnels » sont légions dans les exemples nombreux qu’il partage avec le public.

De toutes les manières, Leonard G. Horowitz n’a jamais cité l’Afrique comme un centre de production en série de virus Ebola pour une destruction massive et sélective des humains.

  1. Le Gouvernement de Sierra Leone a reconnu que des essais d’armes biologiques américaines se pratiquaient sur son sol à Kenema.

C’est officiellement sur la page « Facebook  3» du Ministère de la santé et de l’Assainissement du Gouvernement de Sierra Leone que ce pays a reconnu indirectement qu’il a laissé mener des essais d’armes biologiques américaines sur son sol notamment à Kenema. En effet, il fut décidé d’arrêter les essais d’armes biologiques notamment du virus Ebola dans le laboratoire américain de Kenama et dans l’Université de Tulane.

Le laboratoire américain de recherches d’armes biologiques basé en Sierra Leone à Kenema est le seul centre de dépistage de la fièvre hémorragique liée au virus Ebola dans ce pays et détenait en juillet 2014 le plus grand nombre de victimes. Il faut aussi savoir que l’Université de Tulane menait des recherches d’armes biologiques au nom de l’Institut de recherche médicale de l’armée américaine des maladies infectieuses (United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases, USAMRIID).

La décision du Gouvernement de Sierra Leone de fermer les centres d’essais d’armes biologiques n’a pas été spontanée. Cette décision est intervenue suite à des dysfonctionnements graves et un mouvement de protestation des infirmières de l’Hôpital de Kenema qui ont choisi la grève illimitée pour se faire entendre suite à la mort de trois de leurs collègues 4 suspectées d’avoir été contaminées par le virus Ebola. Les 20 dollars des Etats-Unis de prime de risques qui leur avaient été promis n’ont jamais été payés.

  1. Il ne faudrait pas favoriser une discrimination dans l’administration du vaccin expérimental entre les « Noirs » et les « Blancs » ? 

Faut-il craindre une gestion raciste de l’administration du vaccin expérimental contre le virus Ebola ? La question n’a pas véritablement été évoquée jusqu’au jour où des informations attribuant au personnel du Centre de contrôle des maladies (Centers for Disease Control and Prevention) basé à Atlanta aux Etats-Unis que le vaccin expérimental pour le virus Ebola ne fonctionnera que sur ceux à la peau blanche. Au-delà de la provocation, il faut néanmoins prendre au sérieux cette possibilité. Cet organisme gouvernemental américain aurait déclaré ceci le 19 septembre 2014 : «Les premiers tests d’un médicament expérimental, qui aurait pour effet de lutter contre la propagation du virus Ebola, n’ont fait leurs preuves que sur ceux qui ont la peau blanche. Nous travaillons avec diligence pour améliorer l’échantillon afin de pouvoir aider tous ceux qui sont dans le besoin 5 ».

Il faut espérer que le Gouvernement américain ne cacherait pas au monde le fait que le vaccin expérimental, qui n’a pas encore subi tous les tests d’usage, soit déjà opérationnel. De même, il ne faudrait pas que des stratégies ne soient mises en place pour n’administrer que très tardivement aux Africains et aux noirs victimes d’expérimentation hasardeuses des laboratoires occidentaux, ce vaccin s’il s’avère réellement efficace. Au demeurant, il ne faut pas écarter du débat le fait que certains « fournisseurs » du futur vaccin hypothétique contre le virus Ebola cherchent à préparer l’opinion occidentale qu’il ne sert à rien de distribuer le vaccin aux Africains noirs en jouant sur des retards dits « diplomatiques »…. cette discrimination potentielle doit faire partie de l’étude que les autorités africaines doivent entreprendre de manière indépendante.

  1. La lutte contre le virus Ebola passe par l’apport de l’expertise de la Diaspora africaine

Avec la défaillance des autorités africaines tant dans l’information sur leurs accords secrets avec des Etats producteurs ou testeurs en série d’agents biologiques de niveau pathogène 4 (le plus élevé) sur le sol africain, la responsabilité du désastre actuel tant médical que socio-économique est aussi africaine.

Seule une étude approfondie effectuée par des experts indépendants d’Afrique et d’ailleurs pourra permettre de faire taire certaines affirmations selon lesquelles Le virus Ebola:

7.1 a aussi été transmis par inoculation. Cela suppose que le vaccin dont il est question pourrait ne pas résoudre le problème mais l’aggraver ;

7.2 ne contamine pas systématiquement. Certains sujets africains noirs sont sortis « indemnes » du processus de contamination. C’est le cas d’un jeune Guinéen, guéri au Sénégal, qui s’est résolument engagé à promouvoir la prévention auprès de ses compatriotes 6. Ces malades guéries sont l’objet d’une appétence nouvelle des mêmes laboratoires non-africains responsables de la création du virus Ebola. En effet, le sang des malades guéries est vendu à prix d’or et sert à de multiples analyses pour comprendre la capacité de résistance et de résilience de certains Africains noirs. Des cas de résilience similaires ont été identifiés au Kenya au sein d’une population à risque.

Aussi, la Diaspora africaine éclairée a choisi d’identifier des équipements, des services, et des techniques et savoir-faire disponibles si possible dans des pays n’ayant pas d’antécédents coloniaux ou des velléités d’impérialisme militaro-sanitaires sur l’Afrique. Il est donc recommandé aux dirigeants africains de se rapprocher de leurs Diaspora respectives afin d’identifier les ressources humaines et techniques permettant de contenir cette épidémie tout en fournissant des équipements de protection, de décontamination, de diagnostic et de traitement.

Le financement africain est le seul moyen pour les dirigeants africains de lever l’ambiguïté sur leur responsabilité dans ce dossier, en permettant la réalisation de l’étude approfondie sur l’origine du virus Ebola, avec une ouverture sur les maladies émergentes et les effets collatéraux pour les populations africaines.

 

Dr Guy Kodzo Alovor et Dr Yves Ekoué AMAÏZO

Paroles africaines au sujet de la fièvre ébola

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Résistance 71

 

18 Octobre 2014

 

Deux choses nous frappent grandement depuis le début de la médiatisation de la “crise ébola”:

La première est son gonflage hors de proportion. Une fois de plus la peur paralyse les esprits, l’émotionnel l’emporte. Combien de morts “officielles” pour ébola ? Un peu plus de 1500 en 8 ou 9 mois dans 5 ou 6 pays. Combien de morts dans le même temps par le paludisme, le cancer ou pour rester dans le contexte, par maladies infectieuses comme amibiases et diarrhées concomitantes, maladies parfaitement sujettes à la prévention par la sanitisation de l’eau et de l’environnement. Combien de personnes dans les pays en voie de développemnt (que l’occident ne veut à aucun prix développés…) mortes de maladies apportées par le seul non accès à l’eau potable ? Des centaines de milliers voire des millions sur le même laps de temps. Bref, ébola en comparaison est de la petite bière, ce qui ne veut pas dire que la maladie n’est pas préoccupante, mais jusqu’à preuve du contraire, pour les populations pauvres, moins qu’une simple diarrhée dûe à de l’eau polluée consommée, ce qui est monnaie bien plus courante sous ces latitudes, sans mauvais jeu de mot, ceci dans la quasi-ignorance et le j’m’en foutisme d’un occident trop occuppé à assouvir son appétit gargantuesque pour l’achat de gadgets de plus en plus inutiles et futiles…

La seconde chose est le manque quasi-total de témoignage ou d’avis de personnes concernées, à savoir les Africains eux-mêmes. Quelles voix indépendantes avons-nous entendu pour expliquer ce qu’il se passe sur place concernant la “pandémie” ? Pourquoi nos médias ne donnent-ils pas plus la parole aux médecins africains qui ont été ou sont confrontés à la maladie ou ses effets collatéraux ? Pourquoi n’entendons-nous que l’avis des habituelles “tronches” de l’occident ? Les Africains n’ont-ils pas de personnels compétents pour émettre un avis ? Sont-ils incapables de s7exprimer ? Ou… a t’on peur de ce qu’ils auraient à dire ? Pourquoi la censure ?

Nous avons déjà mis des liens d’entretiens dans la section commentaires de nos deux articles publiés “Ébola, tout pour le vaccin?” et “Crise ébola…”

Nous continuons avec la publication coup sur coup de deux articles intéressant. L’un intitulé “Le virus Ébola” publié par le Docteur en médecine Guy Kodzo Alovor en Septembre 2014 sur ls site Afrohistorama et le second qui est la traduction de l’anglais d’un article qui circule beaucoup sur la toile “L’immense arnaque de la pandémie ouest-africaine de la fièvre ébola”, publié par Globale Presse et repris par le journal libanais Al Manar.

Nous ne prenons pas spécifiquement position quant aux idées tenues dans ces articles et entretiens, mais nous pensons que certaines questions se doivent d’être posées. Cette “affaire ébola” est des plus douteuses tant il y a de choses inexpliquées, de maquillage évident d’information et d’apparents “malfonctionnements” de la sécurité sanitaire entourant la “pandémie”, impliquant les services sanitaires occidentaux.

Ces deux articles méritent lecture, attention et réflexion et doivent titiller notre vigilance. Il est devenu clair depuis bien longtemps (rappelons-nous seulement la fadaise de la “pandémie” du H1N1 d’il y a quelques années…) qu’on ne peut pas faire confiance aux gouvernements et aux états en matière de santé publique (ni pour quoi que ce soit d’autre du reste…) et ce à plus forte raison que depuis maintenant plusieurs décennies, les gouvernements occidentaux sont totalement sous la houlette et contrôlés par des entités commerciales transnationales dont les seuls buts sont le profit à tout prix et toujours plus de contrôle des populations et de pouvoir que cela implique. Le vieil adage “le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument” se prouve aux yeux du monde quotidiennement.