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La « crise ébola » vue par un virologiste lucide et non corrompu…

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Excellente analyse à lire et diffuser sans modération…

— Résistance 71 —

 

Ébola : “C’est une affaire politique: une épidémie sans morts n’ est pas crédible”

 

Interview du Dr Carlos Arturo Guerrero, virologue colombien

 

Entretien avec Fernanda Sanchèz Jaramillo

 

29 Octobre 2014

 

url de l’article en français:

http://tlaxcala-int.org/article.asp?reference=13776

 

En Español:

http://www.es.lapluma.net/index.php?option=com_content&view=article&id=6172:2014-10-21-15-53-47&catid=58:opinion&Itemid=182

 

Grâce aux grands médias les virus comme Ébola ont provoqué la paranoïa chez les gens et génèrent des dividendes pour les entreprises pharmaceutiques. Le Dr. Carlos Arturo Guerrero explique pourquoi il n’y a pas réellement de danger que ce virus atteigne la Colombie et d’autres pays d’Amérique latine. 

Interview du Dr. Carlos Arturo Guerrero, chirurgien et virologue colombien, professeur dans les domaines de la biologie cellulaire et moléculaire, la biochimie, la génétique, le cancer et la virologie, chercheur à l’Université nationale de Colombie.

FSJ: Avant, les virus se transmettaient entre animaux sans atteindre les humains, pourquoi semblent-ils désormais passer si facilement de l’animal à l’homme?

CAG: La raison principale est que les humains détruisent l’habitat des animaux qui sont des réservoirs naturels. Deuxièmement, parce que nous allons dans des zones où coexistent les virus et les hôtes vivants, qui hébergent des parasites. C’est de cette manière que les humains ont contracté la variole, la dengue et le paludisme, entre autres.

Y a-t-il un réel danger que le virus Ébola atteigne des pays comme la Colombie, le Venezuela et le Chili, où on observe déjà une panique à ce sujet?

Aucun, parce que nous n’avons pas d’agent naturel de transmission. La seule possibilité viendrait de l’arrivée de voyageurs mais c’est facilement contrôlable : il suffit d’isoler les patients et d’éviter tout contact avec leurs fluides et sécrétions. Il faut un contact étroit et direct avec le patient [pour être contaminé]. 

Il n’est pas vrai que la transmission se fasse facilement par l’air, par la toux ou les éternuements. Cela se produit lorsque les virus sont déjà adaptés à l’espèce comme le virus de la grippe humaine. 

Pour affecter d’autres espèces, les nouveaux hôtes doivent absorber des milliers ou des millions de particules simultanément et de manière répétée. Si un virus d’une autre espèce affecte l’homme aussi facilement, comme c’est le cas pour le virus de la grippe (un éternuement une demi-heure auparavant suffit), c’est parce qu’il a été intentionnellement manipulé dans ce but. Dans la nature, cela est impossible. Le grand ramdam est entretenu par les médias au service des entreprises pharmaceutiques et des intérêts des USA. Pour cela, ils peuvent compter sur l’ OMS et les médias comme CNN; les médias nationaux ne font que répéter ce que les autres disent.

 

Pourquoi les épidémies se produisent-elles toujours dans des pays pauvres avec des systèmes de santé déjà fragiles?

La pauvreté est liée à des conditions insalubres (pas d’eau potable, pas d’égouts, les maisons sont construites de façon précaire etc.), où il n’y a pas d’accès facile, rapide et en temps utile aux systèmes de santé. De plus, dans ces zones, les faibles revenus et / ou le manque de connaissances ne permettent pas à la population de se nourrir convenablement. Par conséquent, ces facteurs ont un impact sur le système immunitaire, abaissant les défenses contre les virus et les parasites communs. Les virus affectent davantage le mal-nourri que le bien-nourri. 

Un autre aspect à prendre en compte est la manie consistant à rendre responsable seulement le virus ou le micro-organisme de l’épidémie. Cela est faux ! Tous les épidémies qui ont frappé l’humanité (voir encadré) ont en commun une ambiance de stress aigu ou chronique, généré par la pénurie économique, la guerre ou les catastrophes géographiques ou climatiques. 

Par exemple, les bactéries (de peste bubonique) qui ont balayé la population au Moyen-âge n’ont  pas disparu, elles vivent toujours parmi nous, mais il n’y a pas épidémie. Pourquoi ? Parce qu’il n’y a plus les conditions du Moyen-âge. 

Il en va de même avec le virus de la grippe, la bactérie du choléra, le typhus etc. Ils sont avec nous et vivent avec leurs hôtes près de nous, mais il n’y a pas d’épidémie. Celle-ci apparaîtra si les conditions de stress, de malnutrition, et autres prennent des proportions de masse. 

Dans les pays appauvris d’Afrique et d’Amérique du Sud, les micro-organismes ont tué la population sensible, à cause de ses conditions  de malnutrition. Les survivants sont des réservoirs et ces nouvelles épidémies ne se propageront à partir d’eux que si les conditions sociales et économiques le permettent.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) s’est réunie les 29 et 30 septembre avec des représentants des autorités de santé, des chercheurs et des entreprises multinationales pharmaceutiques afin de discuter de vaccins contre le virus Ébola. Quelle est la responsabilité de l’OMS dans l’alerte générale créée dans le cas du virus Ébola et dans le passé avec le virus H1N1?

Depuis des années, la communauté scientifique dénonce le fait que les entreprises pharmaceutiques contrôlent l’OMS. Celle-ci est devenue un appendice des boîtes pharmaceutique et elle autorise de manière impudente les «cartes» de couleurs qui indiquent quand déclarer une épidémie ou pas. 

L’impudence a commencé à partir de «l’épidémie» de virus de l’immunodéficience humaine (VIH). Ils l’ont bien maniée, ont acquis de l’expérience et  réussi à tromper le monde, y compris la communauté médicale clinique. 

Le virus du VIH n’a pas été isolé, aucun scientifique ne peut reproduire en laboratoire le modèle infectieux parce qu’aucun laboratoire scientifique ne le possède. En virologie, c’est ce qui est la clé. On doit démontrer la relation entre le nombre de virions* (particules infectieuses) qui s’ajoutent à une cellule (appelée MOI) et la réaction qui se produit à l’intérieur de la cellule pour établir la corrélation avec la pathologie. 

Cela, on n’a jamais été en mesure de le faire parce que lors de la manipulation du sérum de patients infectés, on peut faire des erreurs graves parce que nous avons des centaines de particules normales dans nos cellules qui se comportent de manière similaire à ce que le VIH est censé faire. Cela signifie que tout ce qui a été publié à ce jour est en grande partie un subterfuge technique. Mais ils ont vendu des millions de dollars en médicaments et selon eux, ils ont guéri ou tué parce que les mécanismes biologiques normaux appelés transcription inverse sont affectés. 

L’indécence a été évidente avec «l’épidémie» de H1N1 : on a déclaré une épidémie inexistante et on a fait pression sur les gouvernements pour qu’ils se « préparent » en achetant des médicaments vendus par les boîtes pharmaceutiques US. 

En Colombie, le ministre de la Santé Diego Palacios (2009-2010) a acheté pour 27 millions d’Euros de « Tamiflu » et un an et demi plus tard, on a jeté le médicament qui était périmé. [En France, Mme Roselyne Bachelot, ministre de la Santé de Sarkozy, a, elle, fait acheter 50 millions de doses du même Tamifl(o)u pour 670 millions d’Euros, dont, officiellement, seulement 6 millions de doses ont été administrés. Pour une annulation de commande, la dame au tailleur rose a du payer des indemnités de rétractation aux labos fournisseurs. Il n’est pas inutile de préciser que le Docteur (en pharmacie) Bachelot a travaillé pendant douze ans pour l’industie pharmaceutique-NdT]

Les chauffeurs de taxi, les réceptionnistes et toute personne au contact du public portaient des masques et des gants. Ils ont vendu des milliards de dollars de médicaments pour une épidémie inventée. La presse de caniveau alimente ces campagnes de terreur, en reprenant irrationnellement ce que dit l’OMS.

Est-ce un hasard si après l’apparition de la première personne infectée, le patient zéro, par un virus quelconque, par épidémie ou pandémie, apparaît aussi le moyen probable de guérison par un vaccin?

Non, parce que la santé s’est convertie en une affaire très rentable pour les entreprises pharmaceutiques. Nous vivons à une époque où on invente des épidémies, on exagère et on pervertit les connaissances scientifiques pour inciter les gens à acheter des médicaments ou à se faire vacciner. 

Par exemple, on a donné le Prix Nobel à  celui qui a trouvé le vaccin conte le papillomavirus et ça a été la base idéale pour le lancement de la vaccination de masse. Actuellement, l’industrie pharmaceutique privé contribue financièrement aux prix décernés. 

En ce qui concerne le papillomavirus, dire que c’est le virus du cancer du col utérin est un mensonge. Je dois préciser qu’il n’y a aucun virus producteur de cancer. Si cela était vrai, cela signifierait que le cancer du col utérin est contagieux, puisque le virus l’est. S’il était vrai qu’il produit le cancer, les personnes atteintes par le virus devraient avoir un cancer en peu de temps puisque le virus se réplique rapidement. 

Cela n’arrive pas parce que le virus tout seul n’est pas responsable du cancer, il contient même des molécules qui inhibent la prolifération des cellules (une caractéristique du cancer). Les statistiques indiquent que de nombreuses femmes atteintes d’un cancer du col utérin ont le virus, elles peuvent l’avoir dès l’enfance, alors que le cancer apparaît à l’âge adulte; donc, cela explique que la présence du virus n’est pas la seule cause d’apparition de la maladie. D’autres facteurs sont requis, comme la présence de bactéries agressives, un déséquilibre nutritionnel et immunitaire pendant de nombreuses années. 

Les papillomavirus habitent normalement la peau et des voies digestives. Ils se trouvent chez des nourrissonnes dont le vagin peut être contaminé par les fèces, il n’est donc pas sûr qu’il se transmette uniquement par la voie sexuelle. Donc, je pense qu’il est irresponsable de faire des vaccinations de masse, il serait plus correct de les réserver  à certains groupes à risque comme certains pays le font. L’arrière-plan de la vaccination de masse est le business des multinationales pharmaceutiques. 

Il en va de même avec de virus du chikungunya. Il a d’abord été breveté, puis on a développé des médicaments qui atténuent les symptômes et le vaccin, mais il y avait un problème: les usagers étaient peu nombreux, car il était restreint à certaines régions. 

Ce sentiment a été exprimé par le Journal de l’Institut national de la Santé des USA, où on écrit sans honte que les résultats seraient meilleurs si le marché était plus grand (Chikungunya virus and prospects for a vaccine). Et voilà que, tout d’un coup – quelle coïncidence ! – le virus se propage dans le monde entier!

 

Outre les retombées économiques, la hausse des actions en bourse, pour des multinationales comme  GlaxoSmithKline, quels autres objectifs poursuit-on avec la «paranoïa» sur les épidémies et les pandémies ?

Il y a longtemps que les USA ont l’antidote et le vaccin. On peut trouver ça sur Internet, ils ont tout breveté –évidemment, l’ antidote efficace doit être un secret militaire -, ils ont intérêt à créer la panique. De toute évidence ils jouent avec le feu. 

Les infections sont la meilleure et la plus efficace arme politique pour soumettre les adversaires. Il vaut mieux avoir un nombre (limité) de morts que de risquer une guerre totale contre d’autres puissances concurrentes comme la Chine. Les USA ont déjà fait des manœuvres conjointes dans le cadre de ce qu’ils appellent  l’ Alliance Pacifique qui comprend l’Australie et le Japon; les USA ont averti la Chine qu’ils ne vont pas faire de cadeaux. Ce n’est pas un jeu, il en va de la survie de l’empire. 

Pour leur survie, les USA ont besoin du plus petit marché, du plus insignifiant. La crise du capitalisme le justifie. Ils se noient dans leur propre production et ont besoin de la vendre au monde pour sortir de leur crise.  Tous les marchés sont bons à prendre, si petits qu’ils soient en apparence. 

Dans la guerre économique ils font feu de tout bois. L’autre chose dont ils ont besoin ce sont des ressources naturelles, en particulier celles qui sont le fondement de l’avenir : des éléments peu connus (j’ai oublié comment ils s’appellent) [coltane et terres rares, NdT) nécessaires pour développer les supraconducteurs et d’autres technologies. Et ils se trouvent en en Afrique.

 

Ils ont besoin de justifier la militarisation de l’Afrique. Le jeudi 16 octobre Barack Obama, le président des USA, a annoncé l’envoi «humanitaire» de troupes en Afrique. C’est une affaire politique et économique. Une épidémie sans morts n’est pas une épidémie crédible. Ce sont des morts « nécessaires » pour que la panique gagne.

En outre on a répandu la rumeur que le vaccin est très cher, car on investit dans la recherche pour vacciner des pauvres mais ce sera rentable avec les voyageurs en provenance des pays riches. C’ est ce qu’ils ont fait avec le chikungunya. Les épidémies apparaissent dans des zones appauvries, mais importantes pour le tourisme. Le business futur consistera à promouvoir le tourisme et le vaccin, une vraie aubaine, et ils ont le pouvoir des médias pour le faire.

Peut-on parler d’une « Pharmafia » qui grossit avec le soutien de l’OMS et des médias?

C’est une mafia plus puissante que les cartels des drogues psycho-actives et ils gagnent plus que les marchands d’armes, et avec un avantage sur eux : tout est légal et ils font même figure de «bienfaiteurs». Ils influent sur les campagnes politiques, ils font et défont les présidents, manipulent les revues scientifiques, ils tripatouillent les résultats de recherches sur des produits, ils disposent d’une gamme d’avocats et d’autres bureaucrates pour obtenir des brevets rapidement. 

La façon la plus commune de faire en sorte que tout «aille bien» est de donner des cadeaux aux « médecins prestigieux ». Par exemple, ils sponsorisent leurs congrès, financent leur participation à ces congrès ou à des réunions, et,  à l’occasion, leur payent des soldes mensuelles.  Cette pratique aberrante est considérée comme normale par les cliniciens. La meilleure façon d’assurer la vente d’un produit est de «gagner les cœurs» des médecins.

Que faudrait-il pour que la médecine sociale l’emporte sur la médecine de profit ?

Pour résoudre les problèmes de santé, il y a plus important que de de créer des milliers d’hôpitaux, c’est d’avoir les ressources nécessaires pour bien manger, pour résoudre l’aspect nutritionnel. L’accès aux connaissances est important pour avoir une alimentation adéquate. Autrement dit, il faut  un réel bien-être économique. 

Ces connaissances, les riches les ont déjà. C’est pour ça que dans les pays développés, on ne voit pas de riches gros. Tous les riches du monde sont minces parce qu’ils sont dans le coup. De nos jours, bien manger coûte cher.

Les gens du peuple ne consomment pas suffisamment de vitamines et de minéraux et absorbent plus de glucides et de gras saturés que nécessaire, ils sont dans un stress chronique, ils fument, ingèrent de grandes quantités d’alcool, font peu de sport. Tout cela entraîne que des micro-organismes suscitent facilement des maladies et qu’ils soient plus sujets au cancer, au diabète, à l’obésité et à l’hypertension.

 

Épidémies:

 

1918 grippe “espagnole”

1957 grippe “asiatique”

1968 grippe de “Hong Kong”

1976 Grippe porcine (USA)

1984 SIDA (“Haïti” “Afrique”)

2001 Anthrax “Al Qaïda”

2003 Syndrome respiratoire aigu sévère lié au coronavirus (SRAS), Asie

2003 virus de “Babylone”

2005 grippe aviaire (“chinoise”)

2005 Chikungunya, La Réunion

2009 « grippe du Mexique »

2010 Grippe porcine

2013 Ébola

Crise Ébola: Couverture d’AFRICOM pour plus d’implantation militaire en Afrique ?…

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Les Etats-Unis utilisent Ébola comme prétexte à augmenter leur intervention en Afrique

 

Press TV

 

28 Octobre 2014

 

url de l’article original:

http://www.presstv.ir/detail/2014/10/28/383971/us-uses-ebola-guise-to-penetrate-africa/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Les Etats-Unis utilisent la contagion par le virus Ébola comme couverture de leur expansion interventionniste en Afrique, dit un journaliste activiste de Detroit.

Abayomi Azikiwe, éditeur du Pan-African News Wire a fait ces remarques dans une interview par téléphone avec la chaîne Press TV mardi en commentant sur la décision de Pentagone de mettre en isolation et en quarantaine les militaires américains revenant d’Afrique de l’Ouest.

Deux états, le New Jersey et New York, ont déjà ordonné une quaranaine obligatoire de 21 jours pour les personnels médicaux qui ont traité les patients atteints d’Ébola en Afrique de l’Ouest où l’épidémie a déjà fait près de 5000 morts (NdT: Dans 3 pays depuis 8 mois…).

“Je pense vraiment que les Etats-Unis devraient fournir plus d’assistance dans les trois pays qui ont été touchés par la contagion de ce virus ébola” a dit Azikiwe.

“Mais je pense qu’il y a eu une sur-réaction de la part des Etats-Unis, largement alimentée par des forces politiques de droite (extrême) pour ostraciser et mettre en quarantaine tous ceux qui ont assisté dans les mécanismes sanitaires de ceux qui ont été touchés par le virus ébola en Sierra Leone, en Guinée et au Libéria”, a t’il ajouté.

Azikiwe a déclaré que le commandement de l’armée américaine pour l’Afrique ou AFRICOM est “fait pour étendre l’intervention militaire américaine sur le continent africain.”

“Ils utilisent AFRICOM pour pénétrer plus avant en Afrique sous le couvert d’une réponse sanitaire à la crise du virus ébola”, a t’il insisté.

Le président Obama (NdT: ou “Obola” comme il est déjà nommé au pays du goulag levant…) a autorisé le Pentagone à déployer des troupes en Afrique de l’Ouest pour lutter contre la maladie mortelle. Aux ordres du président, quelques 3600 soldats pouraient être envoyés en Afrique de l’Ouest. Quelques centaines de militaires américians sont déjà sur place au Libéria.

Azikiwe a dit que “Il est très important que ces militaires déployés au Libéria soient bien protégés.”

“Le gouvernement des Etats-Unis n’a pas d’historique de protéger ses propres soldats. Nous savons qu’ils ont été amplement exposés à l’uranium appauvri en Irak, nous savons aussi que des armes chimiques américaines qui furent utilisées par le gouvernemnt irakien dans les années 1980 dans sa guerre contre l’Iran, étaient en Irak. Elles ont été découvertes et cette découverte d’armes chimiques américaines a été cachée au public par le gouvermement américain et ses médias complices,” a continué le journaliste expérimenté.

“Ainsi nous sommes préoccupés pour ceux qui se trouvent maintenant en Afrique de l’Ouest, en particulier au Libéria, qu’ils soient protégés et que leur santé et leur vie reçoivent une priorité maximum.” A t’il insisté.

Il n’y a pas de guérison connue pour ébola qui est une forme de fièvre hémorragique impliquant des diarrhées, des vomissements et d’abondants saignements comme symptomes.

Le virus se répand par contagion au travers d’un contact direct avec du sang, des excréments, de la sueur ou des vomissures contaminés. Il peut aussi se propager au travers de contacts sexuels ou la manipulation non-protégée des corps des victimes décédées.

Récemment, plus d’experts ont dit que le virus ébola est un organisme génétiquement modifié et qu’il a été développé dans des laboratoires de guerre biologique de l’armée américaine en Afrique de l’Ouest.

Dans un entretien récent, le Dr. Francis Boyle de l’université de l’Illinois a dit: “Mon avis est que l’origine de la pandémie actuelle du virus ébola provient de labos militaires spécialisés dans la guerre biologique, établis en Afrique de l’Ouest.

Il a ajouté que les Etats-Unis ont “utilisé l’Afrique de l’Ouest comme une station offshore pour contourner la Convention sur les Armes Biologiques et pouvoir effectuer un travail de guerre biologique.

 

= = =

 

Santé et Nouvel Ordre Mondial… Quelques précisions sur l’origine du virus Ébola…

Posted in actualité, documentaire, ingérence et etats-unis, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , on 24 octobre 2014 by Résistance 71

L’épidémie d’Ébola

 

Réseau Voltaire

 

24 Octobre 2014

 

url de l’article original:

http://www.voltairenet.org/article185700.html

 

Le virus Ebola a été découvert en 1976, au Nord du Zaïre, à proximité d’un fleuve qui lui a donné son nom. L’épidémie avait alors tué 280 personnes avant de disparaître.

Il semble que certaines chauves-souris soient porteurs sains de cette maladie et qu’elles puissent contaminer à la fois certains singes et des hommes. La transmission peut également se faire d’homme à homme via le sang, le lait maternel, les selles et le vomi, éventuellement par la salive d’un malade à un stade avancé. Il ne semble pas que cette maladie puisse se transmettre de manière aérienne.

Le taux de létalité de cette maladie est de l’ordre de 20 %, cependant, il grimpe à 90 % lorsque le patient ne peut être réhydraté et transfusé correctement, ce qui est généralement le cas en Guinée, au Liberia et en Sierra Leone. D’où le rôle joué par de grandes ONG comme Médecins sans frontières ou par des États comme Cuba.

Au cours des années 80, le régime d’apartheid d’Afrique du Sud commanda des recherches au docteur Wouter Basson sur une série d’agents pathogènes que l’on aurait pu modifier de sorte qu’ils ne tuent que les sujets à peau noire (Project Coast). Ces recherches ont inclu le virus Ebola.

En 1988, le ministre de la santé du Zimbabwe, le Dr. Timothy Stamps, accusa l’Afrique du Sud d’avoir testé l’Ebola et le Marburg le long du Zambèze, dans le cadre de sa guerre biologique.

En 1992, Shōkō Asahara, leader de la secte Aum Shinrikyō, se rendit au Zaïre pour y collecter des échantillons du virus Ebola.

Les cultures d’Ebola du docteur Basson auraient été détruites par lui, en 1994, mais sans vérification.

Le test conseillé par l’Organisation mondiale de la Santé pour déterminer si un patient est atteint par le virus Ebola ne mesure pas si son sang contient le virus, mais uniquement si ses perturbations correspondent à celles provoquées par le virus. Il est donc fréquent que des patients soient détectés comme malades de l’Ebola alors qu’ils ne sont pas atteints par cette maladie. A contrario, tous les malades de l’Ebola sont positifs au test.

Depuis 1976, une trentaine d’épidémie d’Ebola ont été signalées en Afrique. Jusqu’à cette année, aucune n’avait atteint la virulence de celle de 1976 (280 victimes). Cependant, l’actuelle épidémie en Afrique de l’Ouest a tué en dix mois près de 5 000 personnes, ce qui reste négligeable comparé à d’autres maladies, mais est susceptible de donner lieu à une pandémie.

En septembre 2014, les États-Unis décident de fournir une aide massive à l’Afrique de l’Ouest contre la maladie [1]

Le 14 octobre 2014, à l’issue d’une vidéo-conférence, Barack Obama, François Hollande, Angela Merkel, Matteo Renzi et David Cameron qualifient le virus Ebola de « plus grave urgence sanitaire de ces dernières années ».

À ce jour, les États-Unis ont ouvert un site internet « Combattre l’Ebola, le grand défi ». Sous prétexte de déployer du matériel sanitaire, ils ont transféré plus de 4 000 soldats de l’AfriCom en Afrique de l’Ouest, ce qui sert sans aucun doute leurs intérêts politico-économiques mais n’a que peu d’effet contre la maladie. Pendant ce temps, Cuba a envoyé plus de 500 personnels soignants. Il s’agit, de très loin, du plus grand effort étatique en soutien aux populations touchées.

[1] « Ebola, le Pentagone s’installe en Afrique », par Manlio Dinucci, Traduction Marie-Ange Patrizio, Il Manifesto (Italie), Réseau Voltaire, 20 septembre 2014.

 

Ébola au pays du goulag levant: Incompétence, crime ? Les deux mon adjudant…

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L’ébola aux Etats-Unis… Une question politique

 

André Damon

 

18 Octobre 2014

 

url de l’article en français:

http://www.mondialisation.ca/lebola-aux-etats-unis-une-question-politique/5408489

 

Chaque nouvel événement dans l’éruption de l’Ebola aux États-Unis révèle davantage le caractère incompétent, indifférent et irresponsable de la réaction officielle américaine à ce que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a qualifié de « crise aiguë de santé publique indéniablement la plus sévère des temps modernes ».

Mercredi 15 octobre des responsables américains ont annoncé qu’une deuxième infirmière de l’hôpital ayant soigné Thomas Eric Duncan, malade de l’Ebola décédé la semaine dernière, s’était avérée atteinte de la maladie. On lui avait permis de prendre deux vols sur un avion de ligne, un aller-retour Dallas Cleveland après avoir été exposée à la maladie. Plus tard elle a déclaré qu’elle avait eu de la fièvre pendant le vol de retour.

Mardi 14 octobre, le plus important syndicat d’infirmiers américain National Nurses United a révélé que les infirmiers de cet hôpital avaient reçu des instructions de l’administration de soigner Duncan, un ressortissant du Libéria, avec une partie du visage et du cou non protégée. On leur a dit de compenser leur équipement de protection inadéquat en enveloppant la peau exposée de ruban adhésif médical.

Malgré les protestations des infirmiers, Duncan a été laissé pendant des heures dans une aire d’attente avec d’autres malades, pouvant donc les infecter. Ses échantillons de laboratoire sont passés sans protection à travers le système de tubes de l’hôpital avec la possibilité de contaminer le système tout entier. On a ordonné par la suite aux infirmiers qu’on avait obligés de soigner Duncan avec des vêtements de protection inadéquats d’assurer leurs activités habituelles à l’hôpital, rendre visite à d’autres malades avec la possibilité de les infecter.

Ces violations scandaleuses des protocoles de base anti-contamination Ebola ont eu lieu après qu’on ait amené Duncan à l’hôpital pour la seconde fois dans une ambulance parce que des membres de sa famille se doutaient qu’il avait contracté la maladie.

Mercredi 15 octobre le président Obama a réagi à l’inquiétude croissante du public et aux critiques en se faisant photographier avec des membres de son cabinet dont le secrétaire à la Défense Chuck Hagel et la conseillère à la Sécurité nationale Susan Rice. Il a prononcé une déclaration brève et superficielle et n’a répondu à aucune question de la part des médias dans ce qui était clairement une tentative de limiter les dégâts.

On ne peut rien croire de ce que dit Obama ni aucun responsable gouvernemental. Leur préoccupation primordiale est de cacher leur responsabilité pour ce désastre et non de dire la vérité à la population ou de faire le nécessaire pour la protéger.

Les premières victimes connues de la négligence des responsables gouvernementaux et hospitaliers ont été des travailleurs médicaux dont la vie a été mise en danger sans aucun souci des conséquences. L’indifférence vis-à-vis de la sécurité et de la santé de ces travailleurs résume bien l’attitude de la classe dominante envers le bien-être de la population entière. Ce n’est pas la première fois qu’une crise a démasqué le fait que la santé et les conditions sociales du public en général n’intéressent aucunement ceux qui détiennent le pouvoir économique et politique aux Etats-Unis.

Voilà neuf ans, la quasi destruction de la Nouvelle-Orléans par l’ouragan Katrina a révélé au grand jour le manque total de mesures préventives pour combattre l’impact d’une inondation majeure dans une région inondée maintes fois par le passé, ou pour protéger la vie de la classe ouvrière dans une grande ville américaine. Ce désastre a jeté une lumière crue sur des conditions de pauvreté choquantes et sur la réaction tardive, dérisoire et totalement inadéquate du gouvernement, qui a conduit à un bilan de presque 2000 morts.

Juste cinq ans plus tard, une fuite de pétrole gigantesque dans le Golfe du Mexique, le résultat d’une explosion sur la plate-forme pétrolière Deepwater Horizon, montrait une fois de plus la négligence criminelle des grandes sociétés et la complicité du gouvernement. Ce désastre a été entièrement d’origine humaine, le résultat d’économies et de méthodes dangereuses de la part de BP qui ont été facilitées par les organismes gouvernementaux de réglementation. La campagne de nettoyage a été confiée à la société responsable du désastre en premier lieu. Entre-temps il y a eu d’innombrables explosions d’usine, incendies, désastres miniers et accidents industriels dans des villes de par les États-Unis.

L’élite dirigeante américaine et ses représentants comme Obama abordent les questions de sécurité et le bien-être de la population américaine comme des agacements. Celles-ci nuisent à la génération des profits toujours plus importants des grandes entreprises et des fortunes toujours plus vastes des riches et des super-riches. Comme tout autre aspect de l’infrastructure sociale des Etats-Unis, le système de santé s’est détérioré en conséquence des coupes budgétaires et des bénéfices rapaces réalisés par les groupes pharmaceutiques, les chaînes privées d’hôpitaux et les groupes d’assurances.

Pendant qu’on savait depuis des décennies qu’une éruption d’Ebola pouvait se produire aux Etats-Unis, aucun effort n’a été engagé pour y faire face. Aucun vaccin n’a été mis au point. Au contraire, les ressources nécessaires pour s’occuper des questions urgentes de santé ont été détournées au profit de la guerre et de la conquête à l’étranger et de l’enrichissement grandissant de l’aristocratie financière américaine. Cette semaine encore, le directeur-général de l’Organisation Mondiale de la Santé, Dr. Margaret Chan a expliqué le manque d’intérêt pour développer un vaccin contre l’Ebola, en disant qu’une « industrie motivée par le profit n’investit pas dans les produits destinés aux marchés qui ne peuvent pas payer. »

Le Docteur Francis Collins, dirigeant des Instituts nationaux américains de Santé, a informé le Huffington Post de ce qu’un vaccin serait très probablement déjà disponible si des coupes budgétaires de milliards de dollars n’avaient pas eu lieu dans la recherche médicale.

Ces désastres montrent la faillite et l’échec non seulement d’un gouvernement, mais du système de profit capitaliste lui-même. La subordination de toute question sociale, y compris la santé, à la recherche des profits par les entreprises et la vénalité de l’élite dirigeante, qui s’accompagne d’une division irrationnelle du monde en Etats nationaux rivaux, rendent impossible le développement rationnel et l’utilisation socialement bénéfique des forces productives. Au lieu de quoi on trouve des niveaux de richesse immenses et obscènes entre les mains d’une minorité alors que les services sociaux de base se décomposent et que la pauvreté augmente pour la masse des gens.

Une campagne sérieuse pour stopper l’épidémie grandissante d’Ebola en Afrique et sa propagation aux Etats-Unis et à d’autres pays nécessite:

  • ▪ La création d’une équipe internationale de médecins, scientifiques et professionnels de santé afin d’enlever la réponse à la crise des mains des gouvernements aux services de la grande entreprise. Cette équipe, en développant un plan d’action global, doit se voir attribuer toutes les ressources nécessaires – quels que soient le nombre de milliards de dollars à dépenser – pour traiter ceux qui sont déjà malades et empêcher la propagation de la maladie.
  • ▪ Un programme de recherche financé par l’Etat, qui soit complètement indépendant de l’industrie de santé orientée vers le profit, des entreprises pharmaceutiques et des sociétés géantes d’assurance, doit être mis en place pour développer rapidement et rendre disponible pour tous un vaccin anti-Ebola comme un premier pas vers l’éradication de cette maladie infectieuse et de toute autre liée à la pauvreté.

Ceci n’est pas simplement une tâche scientifique. C’est une question politique.

Il est nécessaire de tirer les conclusions appropriées de l’éruption d’Ebola et de la série de catastrophes qui l’a précédé. La mise en œuvre d’une réponse humaine et rationnelle à la crise d’Ebola, comme à tous les autres fléaux sociaux propres à une société fondée sur l’exploitation, nécessite une lutte de la part de la classe ouvrière pour réorganiser la société sur des fondations socialistes afin de répondre aux besoins sociaux, et non au profit privé. Cela comprend l’élimination du profit du domaine de la Santé et la fourniture, comme un droit social, de soins médicaux de haute qualité.

Santé et propagande: Voix alternative africaine sur la « pandémie ébola »…

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« Paroles africaines sur le virus ébola »

 

L’immense arnaque de la pandémie ouest africaine de la fièvre ébola

 

Nana Kwame

 

9 octobre 2014 publié par Al Manar le 17 Octobre

url de l’article:

http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=197646&cid=21&fromval=1&frid=21&seccatid=416&s1=1

paru le 15 Octobre sur Globale Presse:

http://globalepresse.com/2014/10/15/limmense-arnaque-de-la-pandemie-ouest-africaine-de-fievre-ebola/

 

L’auteur de l’article traduit ci-dessous est un citoyen US d’origine ghanéenne, installé au Ghana depuis un certain temps où il est chef d’entreprise (un bar-restaurant). Il a écrit ce texte sur son compte Facebook le 9 octobre dernier. Suite à une prise de contact personnelle, M. Kwame explique qu’il a écrit ce texte depuis les USA, où il est en visite chez sa famille.

Ce texte est devenu « viral » sur l’Internet anglophone et nous avons décidé de vous le retranscrire ici.

Par Nana Kwame, le 9 octobre 2014



Les gens du monde occidental doivent savoir ce qui se passe ici en Afrique de l’Ouest. ILS VOUS MENTENT!!! Le virus « Ebola » en tant que tel n’existe PAS sur place et n’est PAS en train de « se propager ». La Croix-Rouge a apporté une maladie à quatre pays spécifiques pour quatre raisons spécifiques et elle n’est attrapée que par ceux qui reçoivent un traitement et des injections des mains de la Croix-Rouge. C’est pourquoi des Libériens et des Nigérians ont commencé à virer la Croix-Rouge de leurs pays et à rapporter la vérité dans les informations. Restez avec moi:

LES RAISONS

La plupart des gens bondissent sur l’idée de « dépopulation », une chose qui est assurément à l’esprit de l’Occident quand il s’agit de l’Afrique. Mais je vous assure que l’Afrique ne pourra JAMAIS être dépeuplée en tuant 160 personnes par jour alors qu’il y a des milliers de naissances quotidiennes. Les vraies raisons sont donc beaucoup plus concrètes.

Raison 1

Cette maladie inoculée par vaccination qui se fait appeler «Ebola » a été introduite en Afrique de l’Ouest dans l’objectif ultime de déployer des troupes sur le sol du Nigeria, du Liberia et de la Sierra Leone. 
Si vous vous en souvenez nous (les USA, ndlr) étions en train d’essayer d’entrer au Nigeria à cause de « Boko Haram ». FOUTAISES. Mais c’est tombé à l’eau quand les Nigérians ont commencé à raconter la vérité. Il n’y a PAS DE FILLES QUI MANQUENT. Le soutien international s’est fait la malle, et il a fallu trouver une nouvelle raison pour déployer des troupes au Nigeria pour y voler les nouvelles réserves pétrolières qui viennent d’y être découvertes.

Raison 2

Le Sierra Leone est le plus grand fournisseur de diamants au monde. Les mineurs ont été en grève depuis quatre mois, refusant de produire des diamants à cause d’horribles conditions de travail et de salaires de misère.

L’Occident ne paiera pas un salaire décent pour ces ressources parce que l’idée c’est de faire que ces gens ne puissent s’offrir que des sacs de riz et recevoir de l’aide étrangère afin de rester des esclaves corvéables à merci, pour toujours.

Il fallait aussi trouver une raison pour débarquer des troupes sur le sol du Sierra Leone pour forcer la fin des grèves des mineurs de diamants. Ce n’est pas la première fois que cela s’est fait. Quand les mineurs refusent de travailler la troupe est sonnée et même s’ils doivent tous les tuer et tous les remplacer, leur seul désir est de voir à nouveau les diamants s’écouler hors du pays.

Bien sûr, lancer des campagnes multiples pour envahir chacun de ces pays serait BEAUCOUP trop louche. Mais un truc comme « Ebola » donne l’accès à toute une région d’un seul coup…

Raison 3

En plus de voler le pétrole nigérian et de forcer le Sierra Leone à retourner au fond des mines, des troupes ont aussi été envoyées pour FORCER la vaccination sur ces Africains qui ne sont pas assez stupides pour la prendre volontairement. 3000 soldats sont envoyés pour s’assurer que ce « poison » continue de se répandre, parce qu’encore une fois il ne se répand qu’à travers la vaccination. 

Tandis que de plus en plus d’articles d’information sont publiés comme celui-ci provenant du Liberia, (Daily Observer) (traduit en français par La Conscience du peuple),  informant les populations des mensonges et des manipulations US, de plus en plus d’Africains refusent d’aller voir la Croix-Rouge.

Les soldats vont contraindre ces gens à la vaccination pour assurer l’apparence visible d’une pandémie d’Ebola. Et en plus ils protègeront la Croix-Rouge de ces Libériens et Nigérians qui ont de plein droit commencé à les expulser de leur pays.

Raison 4

3000 soldats… Le virus Ebola craint-il les balles? Absurde.

Dernière raison mais pas la moindre, l’APPARENCE de cette « pandémie» d’Ebola (si jamais les citoyens US ne comprenaient pas l’arnaque) servira à effrayer d’innombrables millions de personnes pour qu’ils prennent le « vaccin anti-Ebola » qui en réalité EST LA PANDÉMIE. Ils ont déjà commencé avec des histoires affirmant qu’il ait été ramené aux USA et ait fait son apparition à Dallas, que des médecins blancs ont été guéris mais que les Noirs infectés n’ont pas accès au traitement.

Tout ce que cela va faire va être de POUSSER les Noirs à VOULOIR le vaccin, parce qu’il apparaît que « l’antidote » est refusé aux Noirs. Ils vont sortir en masse pour l’obtenir et il y aura de sérieux problèmes. Avec toutes les révélations que nous avons eues à propos des vaccins cette année vous auriez pensé que nous aurions appris la leçon. Tout ce que je peux faire c’est l’espérer, parce qu’ils comptent largement sur notre ignorance pour faire aboutir leurs agendas. Posez-vous la question, si le virus Ebola se propageait vraiment par le contact entre personnes, plutôt que par une propagation contrôlée effectuée par vaccination – alors POURQUOI le CDC (Center for Disease Control, centre anti-épidémie US, ndlr) et le gouvernement US continueraient-ils à autoriser des vols vers et depuis ces pays sans aucun contrôle? 

Nous devons commencer à réfléchir et à partager l’information globalement parce qu’ils ne nous donnent pas la réelle perspective que vivent les gens ici en Afrique de l’Ouest. Ils mentent pour leur propre profit et il n’y a pas assez de voix là dehors avec la plateforme nécessaire pour aider à partager notre réalité.

Des centaines de milliers ont été tués, paralysés et handicapés par ces «nouveaux » vaccins tout autour du monde et nous commençons enfin à en prendre conscience. Maintenant qu’allons-nous FAIRE avec toute cette information?

Santé: Précisions sur le virus Ébola (Dr. Guy Alovor et Yves Amaïzo, Ph.D)

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« Paroles africaines sur le virus ébola »

 

Le virus Ébola

 

Dr Guy Kodzo ALOVOR, Médecin et Dr Yves Ekoué AMAÏZO, Directeur Afrocentricity Think Tank

 

30 septembre 2014

 

url de l’article:

http://www.afrohistorama.info/2014/09/ebola-virus-dr-guy-kodzo-alovor-medecin-et-dr-yves-ekoue-amaizo-directeur-afrocentricity-think-tank-afin-de-permettre-une-meilleure

 

Afin de permettre une meilleure compréhension du phénomène et d’apporter des éclaircissements sur le débat concernant l’origine du virus Ebola et sa paternité supposée africaine, Afrocentricity Think Tank s’est attelé à lever quelques ambiguïtés et rappeler que de part et d’autre, les causes avancées sans la participation d’experts africains indépendants restent de simples hypothèses dont la crédibilité commence à échapper à l’analyse scientifique par les experts africains de la Diaspora. Des informations circulent ici et là.

Il est important que les Africains et Africaines directement concernés puissent avoir un point de vue afrocentrique en attendant que les dirigeants africains financent l’étude sur l’origine du virus Ebola demandée par une équipe d’experts de la Diaspora.

Il faut pourtant clarifier le débat. Les Africains ne peuvent être responsables de ce qu’ils n’ont pas créé et diffusé.

  1. Le virus Ebola n’a pas été « créé », ni « nommé » par les Africains

C’est le nom d’un fleuve de la République Démocratique du Congo que les Occidentaux ont choisi unilatéralement pour donner à un virus créé dans leurs laboratoires lesquels poursuivent des objectifs militaires et de créations de maladies émergentes avec des solutions pour le moins mitigées.

A la différence des agents biologiques pathogènes classés par ordre de dangerosité comme la rougeole, la poliomyélite, la varicelle, la rage et la variole, le virus Ebola comme au demeurant et par ordre de dangerosité, l’hépatite C, le HIV-Sida, l’Antrax (qui est une bactérie) sont des agents pathogènes créés dans des laboratoires non Africains 1. Les motivations à l’origine de la création de ces agents pathogènes ne sont pas nécessairement pacifiques.

Le virus Ebola est un filoviridae dont l’origine remonte au mois d’août 1967, dans la ville de Marburg en République Fédérale d’Allemagne. L’apparition originelle et inaugurale s’est faite dans un des laboratoires de la ville travaillant indifféremment pour des objectifs civils et militaires. Officiellement, lors des travaux de recherche pour fabriquer des vaccins, au moins 35 laborantins ont été contaminés dont 7 ont trouvé la mort malgré les soins intensifs prodigués. L’origine du virus Ebola n’est pas en Afrique.

  1. Le virus Ebola n’a pas de réservoir naturel en Afrique

Les analyses et recherches de médecins africains commencent à mettre en évidence le fait que le virus Ebola n’a pas de réservoir naturel. Il est donc évident que sans réservoir naturel, l’hypothèse selon laquelle l’origine d’une des six souches proviendrait de la République Démocratique du Congo (ex-Zaïre) demeure une simple hypothèse qui reste à vérifier. L’hypothèse de l’inoculation, voire de la transplantation par tous les moyens possibles et inimaginables en Afrique ne peut être écartée. Une étude portant sur l’origine de certains  agents pathogènes (virus et bactéries) par des experts indépendants africains y compris la Diaspora permettrait d’en avoir le cœur net.

  1. Les animaux africains ne sont pas à l’origine du virus Ebola

Les gorilles, les chimpanzés et les antilopes ne sont pas des vecteurs du virus contrairement aux affirmations sans preuves avancées jusque-là car ces animaux n’ont pas de réservoir du virus Ebola.

La chauve-souris n’est pas un hôte naturel du virus car jamais le virus n’a été isolé sur elle. Mieux encore, lorsqu’on lui inocule expérimentalement en laboratoire le virus, cet animal l’élimine rapidement sans le conserver dans son organisme.

De même, les arthropodes ne sont pas des vecteurs car lorsqu’on inocule le virus Ebola à ces derniers, aucune réplication virale n’est observée.

Puisque l’on sait aujourd’hui le point de vue des Africains et que le virus n’a jamais été isolé chez ces animaux malgré toutes les recherches menées dans ce sens, il faut donc bien convenir qu’il faudra aller rechercher le réservoir du virus ailleurs que dans la faune africaine, ailleurs qu’au sein des populations africaines rurales ou urbaines.

  1. Les laboratoires occidentaux ou contrôlés par ces derniers sont à l’origine du virus Ebola

Avec la liste des laboratoires militaires connus et tous ceux civils non connus (voir annexe 1), il n’est plus possible de nier l’évidence, à savoir qu’un grand stock de virus divers dont l’Ebola sont disponibles dans les laboratoires biologiques de niveau pathogène 4 (le plus élevé). La France est présente en Afrique au Gabon, à Franceville (pour ce qui échappe au « secret défense »).

Comment croire que ces stocks sont destinés à l’amélioration de la santé publique en Occident ? Comment ne pas se poser la question de savoir comment s’opèrent les tests ? Une fois les animaux infectés, est-ce que ces derniers n’ont pas été transportés dans des zones rurales et urbaines africaines pour faciliter la confirmation de certaines hypothèses sur les animaux ? Puis, quelles sont les limites éthiques de telles expérimentations secrètes, parfois avec l’aval des autorités africaines, alors que les tests sur des humains africains dits « volontaires » ont commencé à se vulgariser notamment au Libéria et en Sierra Leone.

Rien ne permet d’écarter l’hypothèse selon laquelle les virus créés dans des laboratoires occidentaux ou contrôlés par ces derniers en Afrique ne sont pas justement créés pour soutenir des activités civiles de santé publique. L’hypothèse de virus créé pour des opérations militaires futures ne peut être écartée de l’analyse et donc de l’étude à venir. Il s’agirait alors purement et simplement d’armes virologiques de destruction massive. Les signes avant-coureurs ont été révélés dans le livre de Leonard G. Horowitz 2 dès 1996 où ce dernier s’interrogeait sur la nature des virus émergents comme le VIH-Sida et l’Ebola. Il avait déjà écarté l’origine naturelle de ces deux virus et ne croyait pas à l’accident, ni au dysfonctionnement des laboratoires occidentaux. Les objectifs dits « intentionnels » sont légions dans les exemples nombreux qu’il partage avec le public.

De toutes les manières, Leonard G. Horowitz n’a jamais cité l’Afrique comme un centre de production en série de virus Ebola pour une destruction massive et sélective des humains.

  1. Le Gouvernement de Sierra Leone a reconnu que des essais d’armes biologiques américaines se pratiquaient sur son sol à Kenema.

C’est officiellement sur la page « Facebook  3» du Ministère de la santé et de l’Assainissement du Gouvernement de Sierra Leone que ce pays a reconnu indirectement qu’il a laissé mener des essais d’armes biologiques américaines sur son sol notamment à Kenema. En effet, il fut décidé d’arrêter les essais d’armes biologiques notamment du virus Ebola dans le laboratoire américain de Kenama et dans l’Université de Tulane.

Le laboratoire américain de recherches d’armes biologiques basé en Sierra Leone à Kenema est le seul centre de dépistage de la fièvre hémorragique liée au virus Ebola dans ce pays et détenait en juillet 2014 le plus grand nombre de victimes. Il faut aussi savoir que l’Université de Tulane menait des recherches d’armes biologiques au nom de l’Institut de recherche médicale de l’armée américaine des maladies infectieuses (United States Army Medical Research Institute of Infectious Diseases, USAMRIID).

La décision du Gouvernement de Sierra Leone de fermer les centres d’essais d’armes biologiques n’a pas été spontanée. Cette décision est intervenue suite à des dysfonctionnements graves et un mouvement de protestation des infirmières de l’Hôpital de Kenema qui ont choisi la grève illimitée pour se faire entendre suite à la mort de trois de leurs collègues 4 suspectées d’avoir été contaminées par le virus Ebola. Les 20 dollars des Etats-Unis de prime de risques qui leur avaient été promis n’ont jamais été payés.

  1. Il ne faudrait pas favoriser une discrimination dans l’administration du vaccin expérimental entre les « Noirs » et les « Blancs » ? 

Faut-il craindre une gestion raciste de l’administration du vaccin expérimental contre le virus Ebola ? La question n’a pas véritablement été évoquée jusqu’au jour où des informations attribuant au personnel du Centre de contrôle des maladies (Centers for Disease Control and Prevention) basé à Atlanta aux Etats-Unis que le vaccin expérimental pour le virus Ebola ne fonctionnera que sur ceux à la peau blanche. Au-delà de la provocation, il faut néanmoins prendre au sérieux cette possibilité. Cet organisme gouvernemental américain aurait déclaré ceci le 19 septembre 2014 : «Les premiers tests d’un médicament expérimental, qui aurait pour effet de lutter contre la propagation du virus Ebola, n’ont fait leurs preuves que sur ceux qui ont la peau blanche. Nous travaillons avec diligence pour améliorer l’échantillon afin de pouvoir aider tous ceux qui sont dans le besoin 5 ».

Il faut espérer que le Gouvernement américain ne cacherait pas au monde le fait que le vaccin expérimental, qui n’a pas encore subi tous les tests d’usage, soit déjà opérationnel. De même, il ne faudrait pas que des stratégies ne soient mises en place pour n’administrer que très tardivement aux Africains et aux noirs victimes d’expérimentation hasardeuses des laboratoires occidentaux, ce vaccin s’il s’avère réellement efficace. Au demeurant, il ne faut pas écarter du débat le fait que certains « fournisseurs » du futur vaccin hypothétique contre le virus Ebola cherchent à préparer l’opinion occidentale qu’il ne sert à rien de distribuer le vaccin aux Africains noirs en jouant sur des retards dits « diplomatiques »…. cette discrimination potentielle doit faire partie de l’étude que les autorités africaines doivent entreprendre de manière indépendante.

  1. La lutte contre le virus Ebola passe par l’apport de l’expertise de la Diaspora africaine

Avec la défaillance des autorités africaines tant dans l’information sur leurs accords secrets avec des Etats producteurs ou testeurs en série d’agents biologiques de niveau pathogène 4 (le plus élevé) sur le sol africain, la responsabilité du désastre actuel tant médical que socio-économique est aussi africaine.

Seule une étude approfondie effectuée par des experts indépendants d’Afrique et d’ailleurs pourra permettre de faire taire certaines affirmations selon lesquelles Le virus Ebola:

7.1 a aussi été transmis par inoculation. Cela suppose que le vaccin dont il est question pourrait ne pas résoudre le problème mais l’aggraver ;

7.2 ne contamine pas systématiquement. Certains sujets africains noirs sont sortis « indemnes » du processus de contamination. C’est le cas d’un jeune Guinéen, guéri au Sénégal, qui s’est résolument engagé à promouvoir la prévention auprès de ses compatriotes 6. Ces malades guéries sont l’objet d’une appétence nouvelle des mêmes laboratoires non-africains responsables de la création du virus Ebola. En effet, le sang des malades guéries est vendu à prix d’or et sert à de multiples analyses pour comprendre la capacité de résistance et de résilience de certains Africains noirs. Des cas de résilience similaires ont été identifiés au Kenya au sein d’une population à risque.

Aussi, la Diaspora africaine éclairée a choisi d’identifier des équipements, des services, et des techniques et savoir-faire disponibles si possible dans des pays n’ayant pas d’antécédents coloniaux ou des velléités d’impérialisme militaro-sanitaires sur l’Afrique. Il est donc recommandé aux dirigeants africains de se rapprocher de leurs Diaspora respectives afin d’identifier les ressources humaines et techniques permettant de contenir cette épidémie tout en fournissant des équipements de protection, de décontamination, de diagnostic et de traitement.

Le financement africain est le seul moyen pour les dirigeants africains de lever l’ambiguïté sur leur responsabilité dans ce dossier, en permettant la réalisation de l’étude approfondie sur l’origine du virus Ebola, avec une ouverture sur les maladies émergentes et les effets collatéraux pour les populations africaines.

 

Dr Guy Kodzo Alovor et Dr Yves Ekoué AMAÏZO

Crise ébola: La zizanie au sujet du complot fait rage au sein des services d’état… Une attaque cybernétique de l’armée US met le site de Veterans Today HS suite à publication d’info

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Cet article important de Veterans Today est à mettre en connexion avec notre précédente traduction au sujet de la crise ébola: « Ébola, tout pour le vaccin ?… »

Nous confirmons ici ce que dit VT au sujet de l’attaque dont ils ont été victimes. Leur site était HS lors de deux de nos précédentes visites aujourd’hui… Il est de nouveau en ligne.

Cette affaire ébola prend une tournure des plus foireuses et est manifestement complètement pilotée de l’extérieur. Une simple réflexion: Alors qu’on n’avait pas entendu cette ordure depuis bien longtemps, le chef d’orchestre du 11 Septembre, Dick Cheney, ressort du placard pour annoncer à la cantonade que « la prochaine attaque sur les Etats-Unis sera bien pire que le 11 septembre. » Il faut prendre cette ordure très au sérieux. Il sait, il est un des organisateurs de toutes les pires turpitudes de l’empire…

— Résistance 71 —

 

Veterans Today publie un premier avertissement concernant Ébola et se fait pirater pour raison de sécurité nationale

Même nous sommes à bord

 

Gordon Duff

 

15 Octobre 2014

 

url de l’article original:

http://www.veteranstoday.com/2014/10/15/vt-issues-first-ebola-warning/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Note rédaction:

Veterans Today a été victime d’une massive attaque cybernétique de la part du corps militaire US Army Signals/Hacker Corps de Fort Huchuca, après que ceci fut publié.

Après seulement deux lectures de l’article, le site internet fut mis hors service. Quelque chose se passe de très secret. L’information de ce site est directement sourcée d’une agence de renseignement qui est un allié proche des Etats-Unis et qui est très déçue et fâchée d’avoir découvert que les Etats-Unis sont impliqués dans quelque chose de très dégueulasse et de très dangereux.

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Voici ce sont nous avons toutes les raisons de croire: Il y a un complot terroriste organisé au profit des entités financières afin de disséminer le virus ébola à travers les Etats-Unis. Nous pensons que des compagnies aériennes et des hôpitaux en font partie et que le département de la sécurité de la patrie (Homeland Security DHS, NdT: la Stasi du pays du goulag levant) et sa TSA (Transort Security Agency, NdT; la gestapo des aéroports américains)

Je regarde cela comme une analogie au “terroriste au slip explosif” de Detroit à Noël il y a quelques années quand un Nigerian sale, se parlant à lui-même, sans argent (pourtant le fils d’un millionnaire recruté par la CIA) s’envola du Yémen vers le Ghana, puis vers le Nigeria, puis vers Amsterdam en Hollande et finalement vers Detroit, sans tickets, sans passeport, sans visas, sans bagages ni même sans avoir pris un bain récemment.

Il vola en première classe.

A un moment donné durant son voyage, des officiels de la sécurité des aéroports lui ont donné une bombe, nous pensons que ce fut fait à l’aéroport de Schiphol d’Amsterdam. Aujourd’hui se passe la même chose. Nous avons des informations au travers d’une communication privée avec une agence de renseignement étrangère très connue, parfois malveillante, que les Etats-Unis ont été ciblés.

Plutôt que d’utiliser une variante d’ébola conçue comme arme biologique, des gens sont infectés volontairement avec Ébola. Quant à savoir qui ils sont et pourquoi ils font cela, il pourrait y avoir plusieurs raisons. Je ne me préoccupe pas de savoir si ce sont des djihadistes, Boko Haram, des agents conditionnés psychologiquement ou quoi que ce soit, cette question et des questions comme cela ont souvent été les excuses faciles pour bloquer des enquêtes et des mises en accusation.

Nous ne savons pas pour sûr si cela implique une vaccination pour le profit, mais nous savons que cela implique les prochaines élections américaines, les fluctuations des prix du pétrole et la manipulation des marchés boursiers américains.

Des milliards ont été perdus ces 10 derniers jours, mais de manière plus importante, des centaines de milliards vont être gagnés sur ce qui maintenant est un pur “pompage et largage” aux mains du “grand cartel” dont Preston James parle souvent.

Aujourd’hui, les chars turcs ont ouvert le feu sur les positions kurdes, défendues par le soutien aérien américain depuis la Syrie. Les Turcs se battent maintenant ouvertement aux côtés de l’EIIL. Plus tôt aujourd’hui, les Turcs ont touché des positions kurdes en Turquie et en Syrie avec des avions F-16 américains tout en refusant aux Etats-Unis la capacité d’uriiser leurs propres bases de l’OTAN en Turquie.

Le timing de cette peur ébola coïncide avec ces actions et ceux qui sont derrière l’EIIL/EI, le groupe médiatique Murdoch/Fox, les frères Koch, les leaders clef de la droite américaine comme McCain, Graham, ainsi que les groupes Bronfman et Giuliani, soutenus par le Qatar et la famille royale saoudienne et les truands du Likud en Israël.

Ce qui est requis est un grand contrôle des déplacements internationaux, des médias et de la capacité de faire bouger les personnels infectés vers les Etats-Unis en utilisant des compagnies aériennes, mais aussi des méthodes impliquant le traffic des êtres humains que les patrons de casinos de Las Vegas et de Macao connaissent très bien, c’est comme cela qu’ébola est maintenant disséminé.

Nous estimons qu’environ 5000 Américains ont maintenant été exposés au virus ébola.

Nous demandons aux personnels de sécurité de prendre note des numéros de queue des avions privés, bien que la CIA ne les utilisent pas toujours, qui sont utilisés pour transporter “les vecteurs de maladie” aux Etats-Unis et en Europe.

Nous avons la confirmation que ceci se passe actuellement. Nous n’avons pas de confirmation de tout ce qui est impliqué, mais nous savons que les Etats-Unis sont ciblés et que l’intention est de tuer le plus d’Américains possible pour endommager la cohésion sociale et détruire la confiance des Américains en leur gouvernement.

Nous avons tracé les opérations financières derrière tout ceci à la Suisse et l’Union des Banques Suisses UBS, comme étant les manutentionnaires des fonds opérationnels et un certain nombre de contractants de la CIA comme “agissants principaux”.

Ceci est une action totalement entreprise par la “droite” politique et nous avons tracé une implication directe de membres des groupes Murdoch/Fox.

La frayeur ébola, que nous craignons devenir quelque chose de bien plus sinistre qu’une simple “peur”, peut-être aussi mise en parallèle d’une peur terroriste nucléaire qui serait perpétrée de la même manière par le consortium Murdoch/Cheney pour le compte du groupe opérationnel d’Al Qaïda des anciens officiers de la CIA, du Mossad et des services saoudiens.

Ma recommandation personnelle est de fermer toutes les frontières des Etats-Unis, arrêter tous les voyages en Afrique, rendre les contrôles médicaux obligatoires sur tous les vols.

En fermant les frontières, je veux dire ici “tirer à vue” le long de la frontière mexicaine selon la nature de la menace.

Ensuite nous enquêtons et observons tous ceux impliqués, la manipulation des marchés du pétrole et du carburant, les jeux de marché et de changes et arrêter le mensonge au sujet de l’EIIL/EI.

Il est plus que grand temps que nous mettions certains en prison, flinguions d’autres et mettions en application les quelques véritables lois qui demeurent.

= = =

Vidéo:

Mise à jour ébola par Veterans Today

Compagnie aérienne Delta Airline, Tampa, Floride

http://www.youtube.com/watch?v=hOI4ReOiK4E#t=14

Ébola… Tout pour le vaccin ?…

Posted in actualité, N.O.M, politique et social, presse et média, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , on 15 octobre 2014 by Résistance 71

Nous publions cette information étonnante, qui ne nie pas la réalité de la maladie, mais qui met en garde contre la mise en scène de la « crise ébola ». Dans cet article se trouve le lien d’une vidéo qui analyse deux extraits de reportages qui ont été diffusés pour retirer par CNN et par la branche audio-visuelle du New York Times. Ces deux vidéos montrent clairement la manipulation pour les besoins du reportage et où des « acteurs » amateurs payés sur place, jouent les « malades » dans un but non défini par les vidéos. Nous postons la vidéo en question en section commentaire sous l’article. Vraiment de quoi se poser des questions.

Si l’on se réfère à la « grippe espagnole » qui n’a d’espagnole que le nom puisqu’elle provenait des Etats-Unis et est arrivée avec les militaires américains en Europe en 1917, qui a fait environ 20 millions de morts entre 1918 et 1919 dans le monde. Des études ont montré que bien des victimes étaient les vaccinés (quelques références en bas de l’article) et puis le vaccin anti-ébola (virus patenté par le CDC américain en 2007 et en 2010) s’annonce une affaire bien juteuse pour les monopolistes habituels… a condition que la peur sit tellement forte que tout le monde se rue pour se faire inoculer ou… que des lois d’exception force l’inoculation obligatoire. Dans un cas comme dans l’autre, des milliards de dollars de profit pour des résultats plus que douteux seront garantis. Ici on nous annonce que l’Institut National de la Santé américain (NIH, détenteur avec le CDC des patentes du virus…) veut faire vacciner des pays entiers avec son vaccin… La préparation psychologique est en marche… La peur viscérale fera le reste. Le Pentagone y a ses intérêts. Obama a envoyé 3000 bidasses sécuriser un labo biologique au Libéria, la première mesure des trouffions sur place pour « aider » le peuple ? La pose de barbelés ! La routine quoi !

Une question aussi à poser: dans cet article il est dit que la médecin en chef de la chaîne MSNBC, responsable des programmes médicaux, la Dr. Nancy Snydermann a violé un ordre de mise en quarantaine de 21 jours après son retour du Libéria. Pourquoi violer un el ordre pour la sécurité publique en tant que MEDECIN… si on sait peut-être… qu’il n’y a rien pu vraiment pas grand chose à craindre ?…

Bref, cette affaire ébola est plus que louche à tous les niveaux. Voyez les articles sur les vaccins sous l’article et la vidéo que nous repostons en commentaires…

— Résistance 71 —

 

Article connexe: Le complot ébola ?

 

La mise en scène de la crise ébola

 

Mohawk Nation News

13 Octobre 2014

 

url de l’article original:

http://mohawknationnews.com/blog/2014/10/13/ebola-crisis-set-up/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Des “acteurs de crise” sont employés par les agences gouvernementales et les médias de masse pour faire le portrait du traumatisme et de la souffrance. Ils jouent les victimes ou les témoins dans des évènements fausse-bannières planifiés, comme des fusillades d’école ou des attaques terroristes bidon le tout pour promouvoir le totalitarisme.

Regardez la vidéo qui suit qui reprend des diffusions passées sur CNN et l’organe audio-visuel du New York Times travaillant en collaboration sur l’établissement d’une fausse urgence ébola en Afrique: NYT and CNN busted on ebola crisis. Regardez la vidéo en entier. A la minute 02:50, vous verrez un homme vêtu d’une chemise verte atablé avec un autre homme portant une blouse blanche.

Puis regardez cette photo ci-dessous (voir l’article original) de Thomas Eric Duncan, la première victime d’ébola aux Etats-Unis.

Thomas Eric Duncan in NYT & CNN hoax video.Is Thomas Eric Duncan, a crisis actor?

Nathan Bowles, le fondateur du site internet CrisisActors.org a dit que le gouvernement emploie des acteurs de crise pour des exercices de routine. Apparemment, des publicités furent publiées avant la fusiilade de l’école Sandy Hook, du marathon de Boston et des meurtres de masse de Fort Hood.

CrisisActors.org.

Des acteurs ont même simulés une crise ébola dans un hôpital: Fake ebola crisis at hospital.  Nous allons maintenant être convaincus que la seule voie de salut est d’accepter leur vaccin, lequel va nous donner ébola !

Nous vous rassurons ! Vous pouvez toujours croire en Mohawk Nation News. Nous sommes incorruptibles, Nous ne pouvons pas être achetés !

*  *  *

Des vaccins causant les maladies:

http://www.rense.com/general45/USvaccinescaused.htm

http://www.whale.to/vaccine/sf1.html

http://ameliorermasante.com/2009/07/20/vaccination-et-grippe-espagnole-par-un-temoinle-dr-eleanor-mac-bean/

http://www.wikistrike.com/article-la-grippe-espagnole-de-1918-est-due-aux-vaccins-89664859.html

http://expovaccins.over-blog.com/article-30869107.html

Médecin américain violant une injonction de quarantaine de 21 jours:

http://www.infowars.com/just-get-your-damn-vaccine-doctor-violates-ebola-quarantine/

 

Ébola sous contrôle du Pentagone ?…

Posted in actualité, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, résistance politique, santé, santé et vaccins, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , on 8 octobre 2014 by Résistance 71

Le Pentagone développe-t-il un vaccin contre le virus Ebola afin d’« améliorer les capacités guerrières » de ses militaires?

Une entreprise pharmaceutique québécoise partenaire du Pentagone dans le développement de vaccins

 

Julie Lévesque

 

6 Octobre 2014

 

url de l’article en français:

http://www.mondialisation.ca/le-pentagone-developpe-t-il-un-vaccin-contre-le-virus-ebola-afin-d-ameliorer-les-capacites-guerrieres-de-ses-militaires/5405941

 

Au début août 2014, Bloomberg a publié un article sur les « espoirs prometteurs » qu’offrent les plants de tabac « pour développer un traitement efficace contre le virus mortel Ebola »:

Les médicaments dérivés de plants de tabac, développés également par une société qui compte Philip Morris International Inc. parmi ses investisseurs, font partie d’un petit groupe de traitements innovateurs à base de plantes comme la laitue, les carottes, même les lentilles d’eau, et mis au point pour traiter diverses maladie, de la pandémie de grippe à la rage.

Propriété de Mitsubishi Tanabe Pharma Corporation et Philip Morris, Medicago Inc., située à Québec, est une autre société soutenue par un géant du tabac et œuvrant au développement de médicaments biotechnologiques cultivés dans des plants de tabac.

Medicago effectue des tests sur un vaccin contre la grippe pandémique et possède une serre de production en Caroline du Nord, a déclaré Jean-Luc Martre, directeur des affaires gouvernementales à Medicago. Medicago prévoit une phase finale d’essai du vaccin contre la grippe pandémique pour l’an prochain, a-t-il dit dans un entretien téléphonique […]

Medicago « travaille actuellement en étroite collaboration avec des partenaires pour la production d’un anticorps contre l’Ebola, ainsi que d’autres anticorps présentant des intérêts pour la bio-défense », a-t-il déclaré dans un courriel. Il n’a pas voulu divulguer l’identité des partenaires. (Ebola Tobacco Drug Joins Duckweed in Plant War on Disease, Bloomberg 6 août 2014)

L’un de ces partenaires serait-il le Pentagone?

En 2009, la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), un organe du Département étasunien de la Défense, a lancé un programme appelé Blue Angel, décrit par certains comme « le défi de la DARPA dans le développement des vaccins ».

La DARPA a publié un communiqué de presse à la fin juillet 2012 annonçant qu’ils avaient « produit 10 millions de doses d’un vaccin contre la grippe en seulement un mois »:

Dans un communiqué de presse publié par l’agence cette semaine, des scientifiques travaillant avec la DARPA disent avoir franchi une étape importante dans la lutte contre une pandémie de grippe qui pourrait un jour décimer la population de la Terre. En collaboration avec la société de vaccins Medicago Inc., les chercheurs du laboratoire de recherche du Pentagone à la fine pointe de la technologie disent avoir utilisé une importante récolte de plants de tabac qui serviront à produire une pléthore de vaccins contre la grippe.

Les tests ont confirmé qu’une seule dose du vaccin expérimental contre la grippe H1N1 VLP induit des taux protecteurs d’anticorps contre l’hémagglutinine dans un modèle animal lorsqu’il est combiné avec un adjuvant aluminique traditionnel, écrit l’agence. Elle note cependant que « la dose équivalente nécessaire pour protéger les humains de la maladie naturelle ne pourra être déterminée que par de futurs essais cliniques ».

« Il est essentiel de vacciner les populations sensibles au cours de la phase initiale d’une pandémie afin de la contenir », a expliqué le Dr. Alan Magill, directeur du programme de la DARPA, dans un communiqué. « Nous considérons la formule à base de plantes comme une alternative plus rapide et plus efficace dans la production de vaccins que les technologies standards à base d’œufs, et la recherche est très prometteuse. » (DARPA’s Blue Angel – Pentagon Prepares Millions of Vaccines Against Future Global Flu, RT, 28 juillet 2012)

Ce lien entre l’armée étasunienne et les compagnies pharmaceutiques dans la production de vaccins contre la grippe soulève de sérieuses questions, d’autant plus que la pandémie de grippe H1N1 s’est révélée être une fraude de plusieurs milliards de dollars orchestrée par les grandes sociétés pharmaceutiques et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Un nouveau reportage stupéfiant révèle que des scientifiques de haut niveau, ayant convaincu l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) de déclarer une pandémie mondiale de H1N1, entretenaient des liens financiers étroits avec les compagnies pharmaceutiques qui ont profité de la vente de ces vaccins. Ce reportage, publié dans le British Medical Journal, expose les liens cachés qui ont conduit l’OMS à déclarer une pandémie, laquelle a entraîné des milliards de dollars de profits pour les fabricants de vaccins. (Mike Adams: WHO Scandal Exposed: Advisors Received Kickbacks From H1N1 Vaccine Manufacturers, , Natural News, le 7 juin 2010)

En 2012, on rapportait que Medicago « a été financée par une entente d’investissement technologique de 21 millions de dollars avec la DARPA ». (RT, op. cit.)

Après avoir investi dans la recherche médicale pour fabriquer des vaccins, le département étasunien de la Défense envoie maintenant des troupes pour faire face à une épidémie en Afrique. L’armée est-elle en train de remplacer peu à peu les autorités de la santé? Si c’est le cas, nous pouvons nous demander pourquoi. Quel est le but réel de cette « intervention humanitaire »? La réponse se trouve peut-être dans l’objectif du programme Blue Angel de la DARPA.

Dans une entrevue donnée en février dernier, le directeur du programme Blue Angel, le Dr. John Julias a affirmé :

Le programme Blue Angel a été lancé par la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) en 2009 en réponse à la pandémie de grippe porcine. L’objectif du projet est d’améliorer la réponse des États-Unis à la grippe pandémique par la production accélérée de vaccins […]

Le programme Blue Angel a été construit autour de la notion que le département de la Défense a besoin de répondre rapidement à toute menace pandémique ou biologique compromettant la performance des combattants. (Chris Lo, Blue Angel: DARPA’s vaccine manufacturing challenge, pharmaceutique-technology.com, 10 février 2014)

L’objectif est donc « d’améliorer la réponse des États-Unis à la grippe pandémique », mais il est construit sur un concept qui vise à protéger « les combattants [de] toute pandémie ou de menace biologique », pas la population en général.

Ce concept est-il lié au fait que l’on envoie maintenant des « combattants » plutôt que des « travailleurs de la santé » dans les zones touchées par l’épidémie d’Ebola? Est-ce pour faire l’essai d’un vaccin contre une « menace biologique compromettant la performance des combattants »? Ces 3000 soldats envoyés par Obama au Libéria seront-ils utilisés comme cobayes? Il existe un précédent à cet égard. Ce ne serait pas la première fois.

En février dernier RT rapportait:

Un juge fédéral a statué que l’Armée des États-Unis doit informer rapidement les anciens combattants de tout effet potentiellement nocifs pour la santé découlant des expériences médicales et pharmaceutiques secrètes menées sur eux pendant la guerre froide.

Selon un reportage de l’agence Courthouse News, la décision donne raison aux 7800 soldats qui affirment avoir été impliqués dans ces expériences. Après avoir recruté des scientifiques nazis à travers un programme appelé « Projet Paperclip » pour les appuyer, « l’armée et la CIA ont administré entre 250 et 400 sortes de médicaments aux soldats pour tenter d’améliorer la capacité des États-Unis à faire la guerre. (Judge sides with US servicemen used as guinea pigs in terrifying Cold War experiment, RT, 7 février 2014)

Pendant la guerre du Golfe (1990-1991), on a également donné des vaccins expérimentaux aux soldats et plusieurs études ont conclu que le syndrome de la guerre du Golfe est lié à la vaccination :

Le syndrome de la guerre du Golfe (SGG) se réfère à un ensemble de symptômes chez les soldats en service durant la guerre du Golfe (1990-1991), ou première guerre du Golfe. Ces symptômes comprennent des éruptions cutanées, de la fatigue, des douleurs musculaires et articulaires, des maux de tête, de l’irritabilité, la dépression, un sommeil non réparateur, des troubles respiratoires et gastro-intestinaux, ainsi que des troubles cognitifs et neurologiques.

En plus d’avoir été exposés à un large éventail de dangers environnementaux et à des produits chimiques toxiques, les vétérans étasuniens et britanniques de la première guerre du Golfe (VGG1) ont également reçu un grand nombre de vaccins. En tout, les VGG1 étasuniens ont reçu au moins 17 vaccins différents [1], y compris des vaccins vivants (polio et fièvre jaune), ainsi que des vaccins expérimentaux qui n’avaient pas été homologués (maladie du charbon (anthrax en anglais), antitoxine botulinique) et dont l’efficacité était douteuse [2]. Au Royaume-Uni, le ministère de la Défense (MD) a déclaré que seulement 10 vaccins avaient été administrés, mais des dossiers existant démontrent que certaines troupes en ont reçu davantage [3]. Parmi ces vaccins, injectés uniquement aux troupes britanniques, se trouvaient deux vaccins expérimentaux : un contre la maladie charbon, avec la coqueluche comme adjuvant (qui provoque un grave déconditionnement chez la souris, tel que démontré en 1990) [4], et l’autre contre la peste [1]. Les fabricants de l’adjuvant n’ont pas été informés de l’utilisation non autorisée sur les VGG1 [1,4].

La surdose de vaccin a été identifiée comme un facteur important dans le SGG […]

Ces résultats concordent avec ceux d’autres études. Un lien entre les vaccinations et la maladie a été observée chez des VGG1 au Royaume-Uni et au Canada [6]. (Dr. Mae-Wan Ho et Professeur Malcolm Hooper  Vaccines, Gulf-War Syndrome & Bio-defence)

Le but affiché de la mission des soldats étasuniens au Liberia annoncée par Obama est de construire des centres médicaux et de former des travailleurs de la santé pour les gérer.

Le National Institutes of Health, une agence du département étasunien de la Santé et des Services sociaux, a déjà mis au point un vaccin contre le virus Ebola. Au début septembre, GlaxoSmithKline a déclaré son intention de commencer à en fabriquer jusqu’à 10 000 doses, même si les scientifiques n’ont pas encore décidé si « le premier vaccin est assez prometteur » et que des « études d’innocuité ne peuvent pas garantir que les vaccins expérimentaux fonctionnent vraiment dans une flambée épidémique ». (Associated Press, Ebola vaccine research moving fast, CBSNews, 8 septembre 2014)

Il est intéressant de noter à cet égard que plusieurs effets nocifs pour la santé ont été causés par le vaccin H1N1 de GlaxoSmithKline, qui a récemment plaidé coupable et payé « 3 milliards de dollars afin de régler des allégations de fraude et de non-déclaration des données toxicologiques ». (GlaxoSmithKline to Plead Guilty and Pay $3 Billion to Resolve Fraud Allegations and Failure to Report Safety Data département de la Justice 2 juillet 2014)

Ébola: Le gouvernement américain via son Centre pour le Contrôle des Maladies, possède le brevet du virus et des vaccins…

Posted in actualité, ingérence et etats-unis, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, police politique et totalitarisme, politique et lobbyisme, politique et social, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , on 25 septembre 2014 by Résistance 71

On ne peut pas « patenter, breveter » la nature… Si le virus est breveté, c’est que le virus a été créé artificiellement… Une crise sanitaire mondiale rapporterait très gros à certains, tuerait beaucoup de gens et permettrait d’imposer loi martiale, quarantaine, inoculations et grille de contrôle. L’occasion d’imposer la dictature mondiale ? Le rêve pour certains élitistes eugénistes comme le professeur de biologie de l’université d’Austin, Texas, Eric Pianka.

Une chose est certaine, plus on cherche et plus on trouve de convergence d’intérêt chez les psychopathes du haut de la pyramide du système.

— Résistance 71 —

 

Le Centre de Contrôle des Maladies (CCM ou CDC en anglais), l’Institut National de la Santé (NIH) et Bill Gates sont propriétaires des patentes, brevets sur tout vaccin pour ébola et affiliés… La vaccination obligatoire n’est plus bien loin.

 

Dave Hodges

 

17 Septembre 2014

 

url de l’article original:

http://www.thecommonsenseshow.com/2014/09/17/the-cdc-nih-bill-gates-own-the-patents-on-existing-ebola-related-vaccines-mandatory-vaccinations-are-near/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

J’ai rapporté précédemment que Monsanto, ou Monsatan comme certains aiment à l’appeler, était entré en partenariat avec le ministère de la défense pour utiliser une tierce partie par procuration pour développer le vaccin contre le virus ébola. Les fonds de départ étaient de 1,5 million de dollars. La valeur de l’accord pourrait s’accroître jusqu’à une estimation de 86 millions de dollars. Le nom de l’entreprise est Tekmira Pharmaceuticals Corporation (TKMR) (TKM.TO), un développant majeur de thérapies ARN interférence ou ARNi.
. “TKM-Ebola, une thérapie ARNi anti-virus Ébola est en train d’être développée sous contrat de 140 millions de dollars avec le Medical Countermeasure Systems BioDefense Therapeutics (MCS-BDTX) Joint Product Management Office du ministère de la défense US.” Aussi choquante que puisse potentiellement être cette nouvelle, la véritable info est que ceci ne constitue pas la partie la plus importante de la menace ébola qui a envahie les Etats-Unis. La vérité est que ces assocations auxquelles on ne peut faire nulle confiance lorsqu’on en vient à la lutte contre un virus comme l’ébola, ne représentent que la partie émergée de l’iceberg.

Plus on creuse pour savoir qui est derrière la création et le développement des vaccins pour traiter l’Ébola et plus les réseaux de conspiration s’élargissent. La chose la plus incroyable est de voir comment il est facile de localiser toutes ces informations. Je veux être clair sur ce point: Ébola fut inventé, un vaccin contre Ébola a existé depuis 8-10 ans, Quelques institutions sponsorisées par le gouvernement ainsi que quelques personnes de l’élite globaliste se sont positionnées pour profiter énormément de la dissémination du virus et du développement et de la dissémination de vaccins anti-Ébola qui deviendront obligatoires et l’imposition de la loi martiale dans le processus. En voici la preuve.

Les espèces de virus Ébola humain et les compositions et méthodes de celui-ci CA 2741523 A1

De manière incroyable le Centre pour le Contrôle des Maladies (CCM ou CDC pour l’acronyme anglais) est propriétaire de “la” patente sur le virus Ébola et toutes ses futures variations.

La section “Summary of the Invention” du document de patente/brevet affirme aussi clairement que le gouvernement américain clâme la “propriété” sur tous les virus Ébola dont certains partagent aussi peu que 70% de similitudes avec le virus Ébola qu’il a “inventé”:

Pourquoi est-ce qu’une organisation gouvernementale clâmerait-elle d’avoir “inventé” cette maladie infectieuse et ensuite affirmerait un monopole sur son exploitation à des fins commerciales ? Il est très clair que le CCM planifie de demander des droits d’auteur/inventeur sur les vaccins contre Ébola. Ceci certainement augmente les chances pour que le(s) vaccin(s) deviennent obligatoires, augmentant ainsi le profit potentiel pour les détenteurs du brevet.

Publication number CA2741523 A1
Publication type Application
Application number CA 2741523
PCT number PCT/US2009/062079
Publication date Apr 29, 2010
Filing date Oct 26, 2009
Priority date Oct 24, 2008
Also published as EP2350270A2, 4 More »
Inventors Jonathan S. TownerStuart T. NicholJames A. ComerThomas G. KsiazekPierre E. Rollin
Applicant Jonathan S. Towner, 5 More »
Export Citation BiBTeXEndNoteRefMan
Classifications (21), Legal Events (1)
External Links: CIPOEspacenet

 

De manière très claire, Ébola a été fabriqué par l’homme et ce brevet prouve cette affirmation. Pourquoi le CCM a t’il besoin de posséder un brevet/patente sur Ébola ? Peut-être devrions-nous demander à Bill Gates qui a donné 50 millions de dollars à l’ONU et au CCM pour lutter contre le virus Ébola (voir la vidéo sur l’article original, en anglais). Le CCM s’est associé dans sa lutte contre Ébola avec Crucell, l’Institut National de la Santé (NIH) et l’ Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (USAMRIID) et bien sûr, la fondation Bill & Melinda Gates.

Depuis quand Bill Gates ne voudraient-ils pas un retour sur investissement (RI) ? Gates and Michael Bloomberg ont déjà contribué à de larges sommes d’argent pour de multiples causes de vaccinations comme la Global Polio Eradication Initiative lancée originellement en 1988 par l’OMS, le Rotary, le CCM et l’UNICEF. Le RI a été impressionnant…

Gates a annoncé qu’il planifie de faire vacciner chaque enfant du tiers monde avec de multiples vaccins, et selon ses dires, cela pourrait résulter en une dramatique réduction de la population de l’ordre de 10 à 15%. Réalisez-vous les profits colossaux qui peuvent être réalisés en vaccinant chaque enfant du tiers monde ? Si nous appliquons le penchant de Gates à investir dans des causes qui produisent une très bon RI, on peut raisonnablement penser que Gates est en train de se positionner pour bien profiter des 50 millions qu’il a investi dans la cause Ébola, qui de manière très convéniente inclue également le CCM, le propriétaire du brevet déposé sur Ébola.

Le NIH détient présentement toutes les patentes/brevets sur les vaccins contre Ébola Crucell est plus comme Tekirama et Monsanto car ce sont eux qui gèrent la science pour les patentes des traitements par vaccins ébola.

Ce qu’on ne vous dit pas. Info prises depuis le site internet de Crucell: Crucell’s Website

  • Crucell développe un vaccin contre Ébola en collaboration avec la Vaccine Research Center ou Centre de Recherche Vaccinal (VRC) de l’Institut National des Allergies et des Maladies Infectieuses (NIAID). Le vaccin a prouvé protéger les singes cobayes complètement avec une simple dose du vaccin.
  • Dans les termes de l’accord avec le VRC, Crucell a une option pour les droits de commercialisations dans le monde entier du vaccin anti-Ébola.
  • Le vaccin anti-ébola de Crucell est entré dans la phase 1 des essais cliniques dans le 3ème quart de 2006. Deux groupes de 16 volontaires se sont enrôlés et ont été vaccinés. L’étude a montré une sécurité et une immunogénécité aux doses évaluées.
  • En Octobre 2008, Crucelle a sécurisé une récompense NIAID/NIH pour faire avancer le développement des vaccins Ébola et Marburg avec pour but ultime le développement d’un vaccin polyvalent filovirus.
  • La récompense fournit des fonds jusqu’à 30 millions de dollars, avec des options additionnelles valant plus de 40 millions de dollars.

Comprenez-vous à quel point les médias nous mentent sur ce sujet ? Le travail sur le virus Ébola, sanctionné par le détenteur du brevet pour le vaccin, le NIH, s’est effectué depuis au moins 2004 avec des essais cliniques du vaccin en 2006. Ceci explique également pourquoi le CCM et le NIH amène des patients Ébola aux Etats-Unis pour les traiter. Le moment où un patient atteint du virus Ebola passe la frontière américaine, il devient la propriété intellectuelle du CCM, du NIH et de la Fondation Bill & Melinda Gates ! Comment ne pourrions nous pas croire que ceci est les dialectique hégélienne du problème, réaction, solution portée à son comble ? L’implication de l’armée et de son USAMRIID est importante à noter parce que l’armée est sujette à de vieilles rumeurs d’avoir créé le virus Ébola et, à des fins expérimentales, d’avoir implanté le virus artificiel au Zaïre en 1977.

Quand un public insouciant va finalement être mis au courant d’un vaccin contre Ébola, le Global Fund sera mis en charge de sa distribution. De manière également intéressante, Bill Gates a donné 560 millions de dollars au Global Fund. Le Global Fund s’est aussi positionné pour être en charge de la distribution des vaccins “nouvelleemnt développés” mais pas encore annoncés contre la tuberculose et le VIH. Comme le but est la vaccination de tout être humain sur terre, hommes, femmes et enfants, avec des vaccins multiples, la contribution de 560 millions de Dollars des Gates à Global Fund ne sont que menue monnaie comparés à ce qui en est attendu en retour d’investissement. Quoi qu’il en soit, pour l’heure place au virus Ebola.

La direction politique de la crise

J’ai mentionné dans la première partie de cette série ( Part One ) que ma meilleure source d’information au sein de l’armée m’a dit que le Ministère de la Sécurité de la Patrie (NdT: DHS, la Stasi du pays du goulag levant) a pris en compte les plans pour la vaccination obligatoire contre le virus Ebola et l’imposition de la loi martiale. J’ai aussi mentionné dans ma première partie que très peu de policiers et de militaires se rendront en fait compte qu’ils mettent en application une loi martiale, puisqu’ils agiront essentiellement dans le cadre d’une “crise sanitaire”, même contrainte et imposée, qui impliquera plusieurs niveaux de restrictions des déplacements, de mesures de mise en quarantaine pour des segments entiers de la population du pays. Si quelqu’un veut vraiment se rendre compte de la profondeur de cette conspiration et les joueurs qui y sont impliqués, je recommande de visiter le site de Crucell dont j’ai mis le lien ci-dessus.

Les détails opérationnels du programme de vaccination obligatoire seront exposés dans un article à venir.