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Nouvel Ordre Mondiale et chimère génétique… Main basse sur la Ganja par le cartel pharmaco !… 2ème partie

Posted in actualité, altermondialisme, écologie & climat, militantisme alternatif, OGM et nécro-agriculure, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé, sciences, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , on 26 octobre 2015 by Résistance 71

L’épopée des cannabinoïdes védiques: De la Tulsi à la Ganja

Dominique Guillet

15 Octobre 2015

url de l’article original:

http://blog.kokopelli-semences.fr/2015/10/lepopee-des-cannabinoides-vediques-de-la-tulsi-a-la-ganja/

1ère partie
2ème partie

Note de Résistance 71: Cet excellent article de Dominique Guillet a été publié d’un bloc, vu sa longueur, nous avons décidé de le relayer en deux parties. Vous pouvez le lire et le sauvegarder d’un bloc en suivant le lien ci-dessus.

La nouvelle saga des psychotropes chimériques:

Blue Dream BT, Afghan Kush Roundup Ready… ou THC à base de levure génétiquement modifiée?

Mais au fait, par quelle prouesse technique? Par sexualité naturelle ou par intervention de vecteurs non issus de la Biosphère Gaïenne? C’est un énorme dossier et les rumeurs vont bon train sur la toile. Et si l’on évoque la question des modifications génétiques, il faudrait avant tout, et déjà, poser la problématique de certaines modalités d’obtention de la féminisation de semences de cannabis.

Et Monsanto dans tout ce cannabicide? A quand des variétés chimériques de cannabis proposées par la multinationale N°1 de la Semence Industrielle et Chimérique? Afghan Kush Roundup Ready? Ou bien encore Blue Dream BT? Monsanto y travaille, peut-être, et les analystes financiers de Wall Street se demandent si la prochaine espèce génétiquement modifiée, à grande échelle planétaire, ne serait pas tout bonnement le cannabis.

En août 2015, une étude est publiée sur la première élaboration d’opioïdes (thébaïne et hydrocodone) à base de levure génétiquement modifiée par des généticiens de l’Université de Stanford en Californie, sous l’oeil très vigilant de l’Industrie Pharmaceutique, [94] [95] afin de remplacer, à terme, la production d’opium – pour laquelle les variétés chimériques de pavots sont, d’ailleurs, déjà en culture partout sur la planète, selon le second article cité, celui du New-York Times: « Les pavots sont croisés et génétiquement manipulés pour augmenter la productivité. Ils sont légalement cultivés dans plusieurs pays, avec des quotas spécifiques, sous l’égide de l’Organe international de contrôle des stupéfiants. Ils sont également cultivés pour le marché illégal de l’opium et de l’héroïne en Afghanistan, au Laos, en Birmanie, au Mexique et ailleurs… » [96] Ces pavots génétiquement modifiés sont cultivés depuis 1997, [97] [98] particulièrement en Tasmanie (qui produit 85 % de la thébaïne utilisée dans le monde et dont la culture de l’opium légal constitue 10 % du PNB). Il semblerait que ces modifications génétiques aient été induites par mutagenèse (qui donc ne serait pas GM… selon tous les textes officiels…) puisqu’en 2014, en Tasmanie, deux grands monstres de la Pharmacie, GlaxoSmithKline et Johnson & Johnson, exerçaient une pression incroyable auprès du gouvernement pour qu’il ne renouvelle pas son moratoire anti-chimérique (anti-OGM). [99] Les producteurs Tasmaniens d’opium étaient très fortement divisés sur le fait de savoir s’il fallait, ou non, cultiver des variétés de pavot Roundup Ready. Le moratoire fut maintenu.

En septembre 2015, une étude est publiée sur la première élaboration de THC à base de levure génétiquement modifiée par des généticiens de l’Université de Dortmund en Allemagne. [100] [101] Cette même équipe affirme avoir déjà produit du CBD (cannabidiol) à base également de ces levures chimériques. Selon Oliver Kayser, un biochimiste de cette université, les Autorités Régulatrices Européennes sont très impatientes de pouvoir assurer un approvisionnement stable de THC, et d’autres cannabinoïdes, sans cultiver réellement de cannabis: « ils ont peur que ces plantes soient cultivées et soutiennent une production illégale ». En 2005, des scientifiques Japonais avaient déjà inséré un gène dans la levure Pichia pastoris pour l’induire à secréter un enzyme nécessaire à la production de THC. A l’époque, cependant, on ne connaissait pas tous les enzymes requis pour l’élaboration de THC. Dix années plus tard, grâce aux nouveaux outils génomiques, les généticiens ont maintenant découvert les gènes-clés. Les généticiens de l’Université de Dortmund en Allemagne, qui travaillent sur ces levures chimériques, sont en partenariat avec l’entreprise THC Pharm de Frankfurt [105], celle qui commercialise le Dronabinol/Marinol [106] à base de THC synthétique, depuis 1998 – et dont nous avons déjà mentionné les overdoses létales. THC Pharm est le plus gros producteur de THC synthétique en Europe.

Le Dr. Jonathan Page, de l’Université de Colombie Britannique – qui effectua un séquençage génomique du cannabis dès 2011 [21] – a créé Anandia Laboratories (un petit emprunt Védique!) pour lancer une production industrielle de cannabinoïdes à base de levure chimérique. Il en est de même de Kevin Chen et de sa société Hyasynth Bio. Ils attendent tous deux l’aval du Gouvernement Canadien. [96] Le Dr. Jonathan Page possède plusieurs brevets portant sur la voie de synthèse du THC. Une autre société biotechnologique de Californie, Amyris, évoque son souhait d’entrer dans la danse – d’autant plus qu’elle produit déjà du patchouli chimérique et de l’artémisinine tout autant chimérique. Nonobstant, il reste que la compétition est rude avec les producteurs de cannabis réel. Jonathan Page évoque la possibilité de se diversifier dans l’élaboration d’autres cannabinoïdes chimériques moins connus mais bientôt très demandés – tels que la cannabidivarine et la tétrahydrocannabivarine.

Quant à Kevin Chen, sa société Hyasynth Bio est basée à Hong Kong et c’est une filiale de la société biotechnologique FuturaGene basée en Israël, au Brésil et en Chine. FuturaGene est, elle-même, une filiale de Suzano Trading Limited, au Brésil, qui est, elle-même, une filiale de Bahia Sul International Trading Ltd au Brésil. FuturaGene est fort connue des activistes anti-OGM, et du Mouvement des Sans Terre au Brésil, puisque ces derniers, en mars 2015, détruisirent ses plantations de jeunes arbres d’Eucalyptus génétiquement modifiés (souche H421) pour lesquels FuturaGene demanda une autorisation en mai 2014. [102] [103] [104]

Les partenaires de FuturaGene incluent: Bayer; Evogen, en Israël, dont les partenaires notoires sont Monsanto et Syngenta; Forage Genetics International (qui est une filiale de Land O’Lakes Canada; elle-même une filiale de Masterfeeds LP; elle-même une filiale de Ag Processing Inc.); BioCentury Transgene, une société de biotechnologies Chinoise; AA Alliance en Thaïlande, impliquée dans la culture d’eucalyptus chimériques.

Et pour en revenir à la levure, le Professeur Raphael Mechoulam, l’ancêtre de la recherche cannabinique en Israël, s’étonne: « Je me demande bien pourquoi quiconque s’évertuerait à produire du THC à base de levures; quant à la production de cannabidiole, c’est une autre histoire, car son élaboration à partir de plantes est quelque peu compliquée; et la demande est croissante ». Pour l’instant, les généticiens ne sont pas en manque de défis car ils estiment devoir insérer plus d’une douzaine de gènes dans la levure. [96] Du coupe-coupe en perspective.

D’ailleurs, le cannabis avait également été séquencé génomiquement en 2011 par la société Medicinal Genomics Corporation, rachetée l’année suivante par Courtagen Life Sciences. [47] Et Tulsi aurait-elle également été honorée d’un séquençage génomique? Oui, durant l’été et l’automne 2015, furent publiés les deux premiers séquençages génomiques de Tulsi Rama et de Tulsi Krishna par deux équipes de scientifiques en Inde. [48] [49] [50] Lorsque le séquençage/dépeçage génomique émerge des laboratoires, la grande poussée industrielle vers les remèdes synthétiques et chimériques en est d’autant plus confortée et… inexorable. Inexorable, du moins, tant que les Peuples n’auront pas repris le Pouvoir! Les Peuples de l’Inde vont-ils laisser les Terroristes Pharmaceutiques breveter, synthétiser et chimériser leur bien-aimée Tulsi?

 

De la chasse aux sorcières cannabiniques… à la croisade de CaNNabis!

C’est ainsi que, selon les analystes de Wall Street, le cannabis médical est devenu un secteur très prometteur de milliards de dollars. Nombreux sont ceux qui évoquent tout simplement une nouvelle ruée vers l’or!!  C’est une manne miraculeuse pour l’Industrie: l’une des plantes les plus vilipendées, les plus ostracisées et les plus criminalisées de la planète (plus de 8 millions d’arrestations en 10 années seulement aux USA), la Marie-Jeanne, se métamorphose – quasiment du jour au lendemain – en un nouvel Or Vert. Le Canna/bis: un remake des Noces de Cana??

Selon le PDG de Privateer Holdings [81], (qui possède Leafly, un très gros portail cannabis sur la toile, [109] ainsi que les compagnies Tilray et Marley Natural), c’est un marché potentiel de 50 milliards de dollars aux USA seulement. Privateer Holdings est en train de lever, actuellement, 75 millions de dollars pour accroître son capital [82]. CNN, l’un des réseaux câblés de lavage de cerveau les plus toxiques des USA, est en train de préparer le peuple US à la nouvelle révolution. Et c’est leur médecin attitré, le très médiatique Dr. Sanjay Gupta, (l’une des 10 personnalités les plus influentes, en 2011, selon Forbes Magazine!), qui en 2013, lors d’un interview en Israël [58] avec le Dr. Shackelford de Breed It, (celui-là même qui affirme “qu’Israël est un bastion de la recherche cannabis”) a retourné sa veste de façon fulgurante – suite, sans doute, à une apparition miraculeuse de la mère céleste, Lakshmi ou Tulsi, ou peut-être, tout simplement, à la demande de Ted Turner, son propriétaire – pour devenir l’un des avocats les plus passionnés du cannabis médical. [59] Il explique, dans son documentaire “Weed”, qu’il a terminé sa chasse aux sorcières cannabiniques (lancée en 2009) pour se transformer en le serviteur le plus zélé de l’Industrie du Cannabis Pharmaceutique… après avoir découvert par lui-même, (quel cerveau!), au bout d’une année d’investigation… que le cannabis peut soulager tous les êtres humains dans les affres de terribles souffrances. Yes, We Can/nabis! Tout cela est cannabinoïdement très émouvant.

Dr. Sanjay Gupta a vraisemblablement découvert que le Marihuana Tax Act de 1937, aux USA, avait été mis en place l’année même où la société Popular Mechanics introduisait [60] un nouveau décortiqueur industriel de chanvre qui allait révolutionner l’économie. Le chanvre est une espèce dont la production de biomasse est tout simplement incroyable. Pour la production de papier: un hectare de chanvre produit quatre fois plus de pulpe qu’un hectare de forêts à papier. Pour la production de textiles: en 1938, Popular Mechanics évoquait la présence de plus de 5000 produits textiles sur le marché. [61] Et bien sûr pour la production de compost dans l’agriculture et le jardinage. Le Marihuana Tax Act de 1937 interdit aux paysans des USA de cultiver le chanvre – ce qui laissa le champ extrêmement libre aux grandes industries du papier (dévoreuses de forêts: 95 % des séquoias géants ont été coupés aux USA), du textile (DuPont venait d’inventer le nylon!!) [63] et bien évidemment… des fertilisants de synthèse.

Il n’est que de consulter les vidéos proposées par CNN pour prendre conscience que la chaîne câblée fait de son grand mieux pour éduquer le petit peuple aux bienfaits du cannabis!!! Le programme CNN s’appelle “High Profits” [57] – un jeu de mots à peine dissimulé – que l’on pourrait traduire par “Profits Elevés” ou bien encore par “Le Fric de la Planante”. Ils auraient pu, tout aussi bien, l’appeler CaNNabis… vu que CNN est devenu aux USA le principal promoteur de toute cette industrie. CNN a lancé, en 2014, son “Weed 2. Cannabis Madness”: n’en doutons pas, la promesse d’une abondante manne financière.

Il existe même un Réseau Financier, Cannabis Financial Network (CannabisFN), chargé d’analyser les évolutions des Bourses dans le secteur du cannabis médical. [46] D’ailleurs, qui est Cannabis Financial Network? C’est une filiale de la société GrowOp Technology qui est, elle-même, une filiale de la société Terra Tech. [74] La société Terra Tech se focalise sur les biotechnologies pour reverdir la Planète. Et d’ailleurs, leur partenaire privilégié est la multinationale biocidaire Bayer.

Ce n’est donc pas étonnant que, le 7 octobre 2003, les USA se soient accordés à eux-mêmes, en toute simplicité, un brevet couvrant la totalité des cannabinoïdes en tant qu’anti-oxydants et neuro-protecteurs: “Cannabinoids as antioxidants and neuroprotectants”. [28] [29] Nous invitons à cliquer sur les liens suivants: [39] et [83] tous ceux (anglophones) qui seraient intéressés par quelque 130 études “scientifiques”, sur le thème des propriétés anti-cancer du cannabis, et par quelques centaines d’études “scientifiques”, sur le thème des propriétés thérapeutiques universelles du cannabis, publiées par l’Institut National de la Santé – à savoir le gouvernement des USA. Les anglophones peuvent également compulser le portail internet Pub Med – du gouvernement des USA. La recherche sur le terme anglais “cannabinoid” présente 19 619 publications scientifiques. [112] Quant à la recherche sur le terme anglais “cannabis”, elle présente 14 374 publications scientifiques! [111]  Cela veut dire que, durant les 20 dernières années, ce sont plus deux études qui ont été publiées, chaque jour, sur ce thème! Vous y trouverez des perles. Par exemple, cette recherche de l’Institut de Médecine Forensique de Fribourg, en Allemagne, qui invalide complètement les tests utilisés pour prouver la consommation de cannabis à partir de la présence de THC dans les cheveux. [110] A contrario, vous trouverez des études prouvant que les tests/THC  – utilisés par les Forces du Désordre – titrant négatifs ne prouvent en aucun cas la non-consommation de cannabis… car le THC a la capacité, chez certains individus, de se nicher dans les tissus adipeux et parfois de réapparaitre, au fil des années, lors d’un phénomène de stress ou tout simplement de manque de nourriture.

Et pour ne pas oublier le milliardaire prédateur George Soros du Groupe Bilderberg et du Council for Foreign Relations (CFR) (celui qui finance les crapules militaristes d’Avaaz), il a offert 1 million de dollars pour soutenir la campagne de légalisation du cannabis en Californie en 2012. Mais ce ne sont que des cacahuètes car George Soros (dont la fortune est estimée à 24 milliards de dollars) a investi, depuis 1994, 200 millions de dollars dans les campagnes de légalisation du cannabis! Une grande partie de cette somme est canalisée/cannabisée au travers de l’organisation Drug Policy Alliance dirigée par son fondateur Ethan Nadelmann. [83] Dans quel intérêt? Il y a beaucoup d’anguilles qui gigotent dans ce panier de crabes. Bloomberg propose une liste de 55 compagnies industrielles impliquées, totalement ou partiellement, dans le cannabis sous tous aspects (avec une capitalisation totale de 3 milliards de dollars). [107] Des cartes bancaires CB/CannaBis commencent même à émerger sur ce marché de dupes. Ainsi la Tommy Chong Cannabis GreenCard [108] est proposée par Cannabis Angel et la 420 Development Corporation (des filiales de FastFunds Financial Corporation qui est, elle-même, une société financière principalement impliquée dans les Casinos aux USA) en partenariat avec la société financière GreenHouse Payment Solutions. La Tommy Chong Cannabis GreenCard est une carte bancaire strictement réservée à l’usage de la commercialisation légale, médicale ou récréationnelle, du cannabis. Avec accumulation de bons points donnant droit à des petits cadeaux cannabiniques!

Tout cela n’est sûrement pas dans l’intention louable de redonner l’autonomie aux Peuples quant aux plantes et champignons qu’ils souhaitent ingérer ou utiliser pour l’alimentation, pour la thérapie, pour les rituels, pour les fibres, pour le compost…

 

Endocannabinoïdes, Système immunitaire et Acides Omega 3

C’est le Professeur Raphael Mechoulam de l’Université Hébraïque de Jérusalem – celui-là même qui a impulsé toute la recherche Israëlienne sur le cannabis thérapeutique depuis 1962 – qui, en 1964, a découvert le principe actif principal du cannabis, le THC. [75] C’est le Professeur Raphael Mechoulam, de nouveau, qui découvrit l’existence du système des cannabinoïdes endogènes – ou endocannabinoïdes – lorsque son équipe isola, en 1992, l’Anandamine – une dénomination résolument Védique! [71]. Notons, en effet, que cette appellation est dérivée du terme Sanskrit Ananda, signifiant “joie, félicité suprême”. Dans le corps humain, le système des endocannabinoïdes est vraisemblablement le système physiologique le plus important pour le maintien de la santé humaine. Il garantit l’homéostasie.

« Les cannabinoïdes affectent puissamment les réseaux neuronaux et ils jouent des rôles neuro-modulateurs essentiels au niveau du système immunitaire et des systèmes nerveux central et périphérique dans le corps humain. Nos corps produisent naturellement des cannabinoïdes (endocannabinoïdes) et les utilisent dans toutes les parties du corps où ils participent aux communications intracellulaires. Les cannabinoïdes (endo- ou ecto-) jouent des rôles modulateurs au niveau des neurotransmetteurs tels que GABA, 5HT, glutamate, acétylcholine, noradrénaline et dopamine, à partir d’un certain nombre de structures du système nerveux central telles que le cervelet, l’hippocampe, le striatum, la substance grise et le cortex. Ils agissent tel un mécanisme autorécepteur présynaptique en modulant le GABA tout autant que l’acide glutamique dans le système neuronal. Les récepteurs au glutamate induisent, en fait, la synthèse d’endocannabinoïdes en réponse à des indices environnementaux (ou internes) afin de réguler la libération de GABA et les niveaux de système. La production d’endocannabinoïdes altère l’architecture neurocognitive, stimulant la plasticité neuronale et les réponses aux perturbations environnementales. Durant des périodes de stress intense, ils sont généralement produits en très forte quantité. » (Stephen Harrod Buhner. Plant Intelligence and the Imaginal Realm. Traduction de Dominique Guillet).

Depuis janvier 2011, et la publication dans la revue Nature des recherches réalisées par une équipe Française [72], nous savons qu’une déficience en acides gras Omega 3 invalide totalement le fonctionnement harmonieux du système des endocannabinoïdes. Or selon l’INSERM, « Dans les pays industrialisés, les régimes alimentaires se sont appauvris en acides gras essentiels depuis le début du XXème siècle. Ainsi, le rapport entre les quantités d’acides gras polyinsaturés Oméga 6 et d’acides gras polyinsaturés Oméga 3 dans les rations alimentaires n’a cessé d’augmenter au cours du XXème siècle. Ces acides gras sont des lipides « essentiels » car l’organisme ne peut les synthétiser de novo. Ils doivent donc être apportés par le régime alimentaire ». [73]

En conclusion. D’une part, l’alimentation industrielle est archi-toxique et de plus en plus dépourvue des constituants les plus élémentaires pour la santé de l’humanité – tels que les acides gras Omega 3 – et le système des endocannabinoïdes est totalement dysfonctionnel chez une grande partie des êtres humains. D’autre part, les Autorités – sous le prétexte insensé de nous protéger contre nous-mêmes – ont criminalisé (aux USA, encore aujourd’hui, une arrestation/cannabis toutes les 45 secondes!!!) [80]) une source avérée de cannabinoïdes naturels, le Cannabis, depuis les années 1940, pour protéger les industriels du papier, du nylon, des fertilisants de synthèse, etc… et maintenant pour protéger les Cartels de la Pharmacie.

Que faire? Exigeons, comme nous l’avons fait avec Kokopelli pour les semences en pollinisation ouverte du Domaine Public, que les Autorités/Multinationales/Systèmes Bancaires Mafieux nous laissent en Paix. Exigeons la liberté de cultiver ce que nous souhaitons dans nos jardins et dans nos champs, la liberté de nous alimenter comme nous le souhaitons et la liberté de nous soigner comme nous le voulons.

Ce n’est d’ailleurs pas aux psychopathes de nous accorder ces libertés, c’est à nous de les incarner dans notre vie quotidienne. Prônons la non-coopération la plus intégrale avec les Dictatures Terroristes des Multinationales de l’Agro-Pharmaco-Chimie.

Dominique Guillet. Le 12 octobre 2015.

 

Hommage à Steve DeAngelo

Steve DeAngelo, [113] un activiste US, avec près de 40 années de lutte pour la légalisation du Cannabis, vient juste (le 24 septembre 2015) de publier son unique ouvrage: The Cannabis Manifesto: A New Paradigm for Wellness[114] Son ouvrage est préfacé par le maire de San Francisco. Steve a passé sa vie entière à lutter contre les Autorités – soit auto-proclamées, soit issues d’un Système Mafieux appelé “Démocratie” dont ces Autorités ont, elles-mêmes, créé les règles frauduleuses afin que l’unique fondement essentiel et primordial – permettant que le système fonctionne harmonieusement et démocratiquement!! – en soit, pour la plupart du temps, intégralement absent: à savoir, LA TRANSPARENCE. Afin que les Peuples y perdent à tous les coups/élections, ad vitam eternam. [Et d’ailleurs, pour rebondir sur la pathologie mortifère de l’extraction Occidentale, ci-dessus évoquée, n’est-il pas sidérant de voir que le concept d’élections, la base frauduleuse de la pseudo-démocratie, participe du même syndrome sémantique. Election = Extraction, du latin Eligere et du Grec Lego!!].

Steve raconte, dans le dernier chapitre de son ouvrage, “La légalisation ne peut pas être stoppée et ne sera jamais stoppée”, comment le Ministère de la Justice du gouvernement fédéral du président Obama (dont les promesses électorales étaient pourtant si “prometteuses” pour le cannabis médical…) lança, en Octobre 2011, une violente opération pour faire fermer tous les dispensaires légaux de cannabis médical dans les Etats ayant voté des lois pro-cannabis médical. Ils envoyèrent une simple lettre à tous les propriétaires ayant loué des locaux commerciaux à des dispensaires légaux – pour les menacer de poursuites judiciaires par le gouvernement fédéral. En l’espace de 3 mois, 600 dispensaires de cannabis médical furent fermés, aux USA, par la force de la persuasion et du chantage. Et Steve de préciser que cette opération cannabicide leur coûta juste une poignée de timbres postaux!

Steve DeAngelo est le fondateur d’un dispensaire médical créé en 2006, Harbor Side Health Center [115]  qui accompagne (avec 110 employés) environ 100 000 patients Californiens dans leur quête de cannabis médical (pour mémoire, en Californie, aujourd’hui, le cannabis non-médical reste illégal). Bravo Steve and Keep up the good work!

Steve DeAngelo a lutté plus particulièrement contre ces Autorités qui ont criminalisé le cannabis et ruiné la vie de dizaines de millions de familles en Amérique du nord (depuis 1937) par un système d’incarcération immonde. Steve a voué qu’il ne pourrait jamais garder le silence tant qu’un seul prisonnier/cannabis moisirait dans les prisons des Autorités. Comment ne pas être révolté lorsque l’on sait que ce sont des milliers de milliards de dollars (et d’euros) provenant des Cartels de drogues dures (cocaïne, héroïne, etc…) qui transitent par les plus grosses banques du monde Occidental (Barclays, HSBC, Wachovia, American Express Bank International, Bank of America, Wells Fargo, Banco Santander SA, Citigroup Inc, etc) et qui en assurent la pérennité? Sous quelle protection d’Etat? Nous allons présenter, dans cet article, un seul petit exemple parce que des ouvrages entiers pourraient être écrits sur ce dossier et d’ailleurs, certains ont déjà été rédigés… mais leurs auteurs ont eu la fâcheuse propension à se suicider d’une balle dans le dos! Subséquemment. Prenons, donc, l’exemple de la banque Wachovia (rachetée en 2008 par Wells Fargo): entre 2004 et 2007, la banque Wachovia a “blanchi” (et ce n’est pas un commentaire raciste) la bagatelle de 380 milliards de dollars en provenance des Cartels Mexicains. La banque Wachovia s’est repentie, en Cour de Justice US, et a payé une petite amende de 160 millions de dollars – en promettant que non, ils ne le feraient plus. [116] [117]  Nous allons garder nos commentaires pour un prochain article.

« Steal a little they throw you in jail; steal a lot and they make you a king.» Bob Dylan. 

Santé et eugénisme: La lutte pour la reconnaissance du traitement Gc-MAF contre le cancer et autres maladies…

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Il est plus que temps pour la médecine alternative de renverser la vapeur. Plus on lit sur les sujets médicaux plus on se rend compte d’une même chose encore et toujours: L’orthodoxie allopathique n’est pas là pour guérir les gens, encore moins pour prévenir les maladies, mais pour rendre les gens malades avant de les finir (projet eugéniste des grands pontes de l’industrie pharmaco-chimiques comme les Rockefeller…), tout a s’assurant une rente sur le vente de thérapie et de médicaments, qui à terme, tuent les patients plus que les maladies… Ceci avait déjà été analysé avec précision par G. Edward Griffin dans son ouvrage de 1978 « Un monde sans cancer », dont nous avons traduit de très larges extraits publiés sur ce blog. La seconde partie du livre concerne la « politique du cancer », c’est un réquisitoire sans merci contre l’industrie de la mort programmé qu’est l’industrie pharmaceutique.

Il est plus que temps de sortir de cette spirale mortifère qui nous emmène tous dans le trou à échéance. L’oligarchie nous tient par la santé publique, il nous faut faire péter les verrous et retourner la science aux scientifiques. C’est notre boulot, à nous, les peuples, personne ne le fera pour nous !

— Résistance 71 —

 

Comment les traitements renégats du cancer sont supprimés par l’orthodoxie dogmatique

 

Dans un monde qui marche sur les mains, il n’y a pas plus renversé que la “recherche” sur le cancer

 

Alliance for Natural Health

 

29 Juillet 2015

 

url de l’article:

http://www.infowars.com/how-maverick-cancer-treatments-are-suppressed-by-the-mainstream/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

La médecine orthodoxe (allopathique) joue un sale jeu en fait pour défendre son quasi-monopole sur le traitement du cancer, laissant derrière elle une litanie de traitements anti-cancer très prometteurs qui sont ignorés et supprimés dans son sillage. Pour illustrer ceci, le Dr Stanislaw Burzynski est peut-être sur le point de découvrir une nouvelle avancée dans son développement du traitement anti-néoplaste et ses luttes offrent une véritable leçon au sujet des essais en réserve pour une autre thérapie très prometteuse, celle impliquant des Facteurs Macrophages Activant connus sous le vocable de Gc-MAF

Le reconnu Dr B

Vous avez peut-être déjà entendu parler du Dr Stanislaw Burzynski, le chercheur qui a découvert les anti-néoplastes. Non seulement son travail a t’il reçu une importante attention des médias et de la blogosphère, à la fois de manière favorable et hostile, mais il est déjà le sujet d’un documentaire avec une suite programmée. Il y a une bonne raison à cette visibilité: à l’encontre de bien des chercheurs sur le cancer qui choisissent d’agir en dehors du modèle de l’orthodoxie et de sa trilogie mortifere du “couper, empoisonner, brûler”, le Dr Burzynski a tenu bon contre tout ce qui lui a été jeté à la figure et en plus, il semble gagner la bataille.

Que sont les anti-néoplastes ?

Succintement, ce sont des composants protéiniques connus sous le nom de peptides, que le Dr Burzynski pense avoir un double rôle dans la prévention du cancer. De ses propres mots: “Le corps humain possède…. des interrrupteurs moléculaires, dont certains éteignent les oncogènes et d’autres qui allument des gènes suppresseurs de tumeur. Ces interrupteurs physiologiques sont appelés anti-néoplastes, qui sont des peptides et des dérivés d’amino-acides (protéines) se produisant naturellement dans le corps, dans le sang et l’urine et que le corps humain utilise naturellement pour contrôler la croissance des cellules cancéreuses… Le nom d’anti-néoplastes vient de leur fonction de contrôle néoplastique ou de contrôle des cellules cancéreuses et donc sont ces agents cellulaires anti-néoplastes.

Marqueurs anti-néoplastes

L’histoire du Dr Burzynski est longue, impliquée et à couper littéralement le souffle. Brièvement, c’est l’histoire de la détermination d’un homme pour amener un traitement anti-cancer très prometteur sur le marché et ce malgré la campagne d’intimidation sans relâche menée par le gouvernement des Etats-Unis, le harcèlement, le sabotage et les tentatives de vol de patente. Pour simplifier les choses, nous avons établi une liste d’évènements majeurs ayant eu lieu dans la lutte permanente du Dr Burzynski pour amener les anti-néoplastes à l’attention du public et à les mettre à sa disposition. Vous pouvez télécharger cette liste ci-dessous:

download here.

Burzynski sur Burzynski

Cette histoire simplement époustoufflante est la mieux résumée par une citation du Dr Byrzynski lui-même: “L’approche entière de la médecine orthodoxe est complètement fausse: elle est fondée sur le diagnostique microscopique du cancer qui vieux d’environ 160 ans. Sans vraiment regarder ce qui cause le cancer, sans vraiment regarder la signature génétique du cancer… Tout ceci est une perte tragique, un gaspillage de ressources, un terrible gaspillage de vies hymaines parce que dans le même temps ces patients ne vont évidememnt pas répondre alors qu’ils le pourraient s’ils recevaient la bonne médecine… C’est une approche totalitaire, qui est bonne bien sûr pour l’industrie pharmaceutique parce qu’elle fait des milliards de dollars ainsi… mais tout ceci est bien mauvais pour les patients.

Gc-MAF: anti-néoplastes mark II?

En 1993, Nobuto Yamamoto, qui travaillait alors à la Temple University School of Medicine in Philadelphia, PA, USA, fut le premier à décrire une molécule assez remarquable. Son article rapportait la conversion de vitamine D3 et des ses liaisons protéiniques (DBP, connues chez l’homme comme Gc) en un facteur activant macrophage très efficace (FAM ou MAF en anglais), connu sous le nom de Gc-MAF (acronyme anglais). Les macrophages sont des composants clefs du système immunitaire humain qui ont deux rôles: attaquer et détruire les agents pathogènes ainsi que les débris cellulaires et recruter d’autres cellules immunitaires pour répondre à la source pathogène.

Les macrophages sont cruciaux à la fois pour l’immunité non-spécifique et l’immunité adaptative spécifique. Sous des circonstances normales, Gc-MAF ne sont pas régulée lorsque le système immunitaire détecte une menace, “activant” les macrophages de façon à ce qu’ils puissent poursuivre les pathogènes par eux-mêmes Les cellules cancéreuses, cibles principales des macrophages, sont de petites créatures intelligentes qui sécrète un enzyme particulier: l’alpha-N- acetylgalactosaminidase ou nagalase, qui désactive les Gc-MAF, empêchant ainsi les macrophages de s’activer, ce qui protège les cellules cancéreuses. L’administration de Gc-MAF est proposée pour court-circuiter la nagalase, stimulant ainsi les macrophages qui s’activent et attaquent alors les cellules de la tumeur. En d’autres termes, elles sont un immuno-modulateur très efficace, un peu comme des anti-néoplastes.

Pourquoi donc la vaste majorité d’entre nous n’en avons jamais entendu parler ?

A l’encontre des anti-néoplastes, les Gc-MAF n’ont pas reçu le bénéfice d’un propriétaire de patente unique, car en tant que molécule naturelle, elle ne peut pas être brevetée sans avoir été modifiée, Le détenteur du brevet devrait avoir la volonté et les ressources de pousser l’affaire sous le nez des autorités de santé publique. Le Dr Yamamoto avait fait quelques essais humains sur les cancers du sein, de la protaste et du colon et ce avec des résultats très prometteurs. Mais il n’est en aucun cas pas seul, comme David Noakes souffre à le dire: “Il y a de meilleures recherches que celles du Pr. Yamamoto ces jours-ci, elles sont toutes sur notre site internet”, a t’il dit.

David Noakes est peut-être la personne qui amènera les Gc-MAF aux yeux du grand public. Il est le PDG d’ Immuno Biotech Ltd. Et le porte-parole pour First Immune Gc-MAF, un projet qu’il décrit comme “Des biochimistes et scientifiques biomédicaux, PhD, BSc… avec des médecins externes, des oncologues et des scientifiques qui nous conseillent gentiment, tous motivés pour amener aux plus de personnes possible quelques uns des traitements à succès dont les recherches ont été publiées mais qui demeurent relativement inutilisés par la médecine orthodoxe.” En ce moment même, Noakes et ses collègues fournissent des Gc-MAF à plus de 30 pays où cela est légal, au travers d’un “réseau comprenant environ 300 médecins”. Leur Gc-MAF est faite suivant de très hauts standards et est utilisé dans une recherche clinique permanente par Noakes et ses collaborateurs et bien d’autres. Leur but ultime est de “construire l’affaire pour montrer que les Gc-MAF sont efficaces pour différentes maladies, ce qui aidera à rendre cette thérapie disponible pour le public.

Une montagne à gravir

Noakes ne se fait aucune illusion sur la lutte dans laquelle il s’engage, comme il l’explique sur ANH-Intl: “Les médecins, les spécialistes du cancer en particulier, savent ce qu’ils auront à affronter dans des pays comme les Etats-Unis et le Royaume-Uni. Dans tous les Etats-Unis, il n’y a qu’un seul médecin, – Jeffrey Bradstreet, MD – qui jusqu’ici s’est préparé à sauter le Rubicon au sujet du Gc-MAF. Beaucoup d’autres prennent une attitude prudente mais pragmatique ; ils peuvent dire à leurs patients: “allez-y faites le, mais ne me dites rien !..”

Cul-de-sac à Guernesey

Récemment, Noakes a demandé aux autorités de l’île de Guernesey si elles accepteraient que First Immune Gc-MAF produise le produit en paix et tranquilité, dans son propre laboratoire, espérant tirer avantage de l’attitude très libérale des autorités de l’île et de leur exemption des lois de l’UE. “Nous avons même offert de traiter les enfants autistes de Guernesey avec notre Gc-MAF gratuitement, et quiconque aurait une maladie infectieuse au tiers du prix normal. Mais ils ont refusé !” rapporte t’il avec dégoût. “Guernesey a même déclaré Gc-MAF être un médicament interdit, à l’encontre du reste du monde. Il est triste de constater que Dubaï est un meilleur environnement pour la production et la distribution d’un traitement médical potentiellement sauveur de vie que ne le sont l’île de Guernesey, le Royaume-Uni ou les USA, voilà, c’est dit.

Dans un monde marchant sur les mains, il n’y a rien de plus à l’envers que la recherche sur le cancer, comme viennent de le confirmer ces deux histoires. Mais chacun devrait être encouragé de voir que le Dr Burzynski est sur le point de faire plier le système américain. Nous souhaitons de tout cœur que le Dr Burzynski, David Noakes et ses collaborateurs aient la chance de pouvpir amener ces traitements potentiellement révolutionnaires au public et dans les mains du plus grand nombre de patients malades du cancer possible.

Note de résistance 71:

Le Dr Jeffrey Bradstreet mentionné dans cet article a été retrouvé mort dans une rivière le 19 Juin 2015 après que les services de la FDA et des narcotiques aient perquisitionné sa clinique. Un pêcheur a retrouvé son cadavre. Cause du décès: blessure à la poitrine causée par arme à feu. La police locale a conclu à un suicide… A la lecture de l’article ci-dessus, tout à chacun peut se poser des questions. Une autre victime de la “phase élimination” de la dissidence ?…

 

Santé et Nouvel Ordre Mondial: L’industrie du cancer et son omerta

Posted in actualité, désinformation, santé, santé et vaccins, sciences et technologie, sciences et technologies with tags , , , , , , , , , , on 28 octobre 2013 by Résistance 71

Cet article est parfaitement complémentaire de notre traduction de la recherche sur le Laétrile, vitamine B17 de Edward Griffin et notamment les chapitres 9 et 10 de l’ouvrage traduits ici par nos soins…

Jusqu’à quand la crédibilité de l’orthodoxie médicale pourra t-elle tenir ?

— Résistance 71 —

 

Ce que l’industrie du cancer ne veut pas que vous sachiez sur la chimiothérapie et les rayons

 

Waking Times, 21 octobre 2013

 

url de l’article en français:

http://bistrobarblog.blogspot.fr/2013/10/ce-que-lindustrie-du-cancer-ne-veut-pas.html#more

 

Ils nous disent que la chimiothérapie sauve des vies, augmente le taux de survie à long terme et n’endommage pas les cellules saines. Toutes ces affirmations de l’industrie du cancer sont fausses. Un poison tue sans discrimination – il l’a toujours fait et le fera toujours. Tout en endommageant les cellules saines, la chimiothérapie y déclenche la sécrétion d’une protéine qui entretient la croissance de la tumeur et sa résistance à un traitement ultérieur. C’est exact… la chimiothérapie va en fait stimuler la croissance cancéreuse et le traitement des cancers est la cause majeure des cancers secondaires.

Derrière les vaccins, médicaments, diagnostics et thérapies, soins dentaires, psychiatrie et pratiquement toute la recherche médicale, existe une industrie et une source de profit pour les sociétés. L’industrie du cancer fait preuve d’une ironie particulière car les produits cancérigènes sont fabriqués par des divisions des mêmes corporations multinationales dont les filiales construisent les scanners et l’équipement utilisé pour diagnostiquer les cancers, mettent au point les médicaments dont on se sert en chimiothérapie et ceux qu’on donne pour prévenir les récidives. Dans quelle réalité vivons-nous où les seuls moyens acceptables de traiter le cancer sont de trancher, empoisonner et irradier ?

L’industrie du cancer détruit ou marginalise les remèdes sans danger et efficaces tout en encourageant ses propres remèdes brevetés, coûteux et toxiques qui font plus de mal que de bien.

Aucun produit de chimiothérapie n’a jamais réellement guéri ou résolu les causes sous-jacentes du cancer. Les traitements par chimiothérapie considérés par la médecine dominante comme une « réussite » ne font que gérer les symptômes, au prix habituellement d’interférences avec les autres fonctions physiologiques précieuses qui engendreront tôt ou tard des effets secondaires. Il n’existe aucun médicament qui n’ait aucun effet secondaire.

La chimiothérapie et les rayons peuvent tuer le cancer, mais ils vous tuent aussi

La chimiothérapie regorge d’effets négatifs après traitement. Une majorité d’agents contenus dans les produits de chimiothérapie pénètrent dans le cerveau et peuvent directement ou indirectement induire un certain nombre de changements aigus ou retardés du système nerveux central. Ces effets peuvent durer des années avant de se dissiper, ou bien, dans le cas de jeunes enfants, se perpétuer à l’âge adulte.

Le taux de survie à long terme des patients de chimiothérapie sont grandement exagérés parce que la plupart de ces patients finissent par mourir de maladies sans relation avec le cancer d’origine, mais liés au traitement.

Les produits de chimiothérapie (surtout les agents d’alkylation) sont réputés pour occasionner d’autres cancers dont la leucémie, et nombre de ces médicaments tombent dans cette catégorie. Les agents d’alkylation endommagent directement l’ADN de toutes les cellules. Ces agents ne sont pas spécifiques à une phase ; en d’autres mots, ils sont actifs dans toutes les phases du cycle cellulaire. Comme ces drogues endommagent l’ADN, ils peuvent nuire à long terme à la moelle osseuse et par conséquent affecter l’immunité future. Avec ces produits existe le risque de développer un cancer secondaire à bas bruit mais son diagnostic est inévitable. Des études ont indiqué que le risque commence à augmenter environ deux ans après le traitement, qu’il est le plus élevé entre 5 et 10 ans. C’est la raison des décès de patients par chimiothérapie entre 10 et 15 ans après le traitement.

La radiothérapie peut également accroître le risque de développement d’un cancer chez la plupart des gens. Les variétés de cancers secondaires à une radiothérapie sont vastes, mais consistent principalement en leucémies et sarcomes. Ces cas se révèlent habituellement après exposition aux rayons avec un pic de risque cinq à dix ans environ après. De nouveau, la plupart des patients qui suivent une radiothérapie développent des cancers secondaires en lien avec le traitement et non comme la conséquence du cancer d’origine. Les cancers radio-induits ont explosé ces vingt dernières années car il y a eu une recrudescence de traitements de ce genre, souvent suite à une chimiothérapie.

D’autres cancers sont liés aussi à une radiothérapie. Des tumeurs peuvent se développer à l’endroit de la zone exposée aux rayons ou tout près, même dix ans ou plus après le traitement. Ces risques semblent être plus élevés dans certaines zones du corps, comme les seins et la thyroïde. Dans certains cas, l’âge au moment de la radiothérapie va jouer un rôle. Par exemple des patientes jeunes atteintes de cancer du sein sont plus susceptibles de développer un cancer secondaire par une thérapie par les rayons que des patientes âgées.

Des médecins dénoncent l’industrie du cancer

Le Dr Robert Atkins raconta un jour qu’il existe plusieurs traitements pour le cancer, mais qu’il n’y a pas d’argent à gagner. Ils sont naturels, efficaces et bon marché, ils ne contiennent aucun produit coûteux mais nécessitent une grande auto-discipline de la part des malades. Il faut des millions pour financer les essais en laboratoire et cliniques nécessaires pour fabriquer un nouveau médicament anticancéreux qui pourra être breveté et vendu. Il a été dit que la clé de la réussite dans le commerce de la santé est de sortir un truc génial qui donnera des gens des malades à vie. Pensez à tous ces gens dont les analyses de sang étaient mauvaises, qui sont restés sous médicaments jusqu’à les tuer, alors qu’une prise brève de médicaments avec à côté des changements majeurs de régime alimentaire et de mode de vie, les auraient ramené à une santé sans médication.

Selon le Dr John Diamond, « Une étude sur plus de 10.000 patients montre clairement que les soi-disant excellents antécédents de chimio sur maladie de Hodgkin (cancer des globules blancs ou lymphome) sont mensongers. Les malades qui ont subi de la chimio ont été 14 fois plus sujets à développer une leucémie et 6 fois plus enclins à développer un cancer des os, des articulations, des tissus mous que les patients n’ayant pas subi de chimio. »

Le Dr Glenn Warner, décédé en 2000, fut l’un des plus grands spécialistes du cancer aux États-Unis. Il utilisait des traitements alternatifs avec grand succès. Parlant du traitement du cancer dans ce pays, il disait : « Nous avons une industrie à plusieurs milliards de dollars qui tue les gens juste pour un gain financier. Leur idée de recherche est de voir si deux doses de ce poison valent mieux que trois doses de ce poison ».

Le Dr Alan C. Nixon, ancien président de la Société de Chimie américaine écrit, « En tant que chimiste formé pour interpréter les données, je trouve incompréhensible que des médecins puissent ignorer l’évidence, que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien« . Et selon le Dr Charles Mathé, spécialiste français du cancer, « …si j’avais un cancer, je n’irai jamais dans un centre anticancéreux classique. Seules les victimes du cancer qui vivent loin de ces centres ont une chance. »

Le Dr Allen Levin déclarait : « Une majorité de malades du cancer de ce pays meurent par la chimiothérapie. La chimiothérapie n’élimine pas les cancers du sein, du colon ou du poumon. Ce fait est documenté depuis plus de dix ans, pourtant les médecins utilisent toujours la chimiothérapie pour ces tumeurs. » Dans son livre, « Le Topic du cancer : quand on doit en finir avec la tuerie », Dick Richards cite plusieurs études d’autopsie montrant que les patients cancéreux sont morts en fait à cause des traitements conventionnels avant que la tumeur n’ait eu une chance de les tuer.

Comment la chimiothérapie stimule la croissance du cancer

Des chercheurs ont testé les effets d’un type de chimiothérapie sur des tissus prélevés sur des hommes avec un cancer de la prostate et ont découvert « une preuve de dommages de l’ADN » sur les cellules saines après traitement, ont écrit des scientifiques dans Nature Medecine.

La chimiothérapie fonctionne en inhibant la reproduction des cellules à division rapide du type de celles trouvées dans les tumeurs.

Les scientifiques ont découvert que les cellules saines endommagées par la chimiothérapie sécrétaient davantage une protéine appelée WNT16B qui stimule la survie de la cellule cancéreuse (voir article ICI  du BBB sur ce sujet).

« L’augmentation de WNT16B était complètement inattendue », a dit à l’AFP le co-auteur de l’étude Peter Nelson du centre de recherche sur le cancer Fred Hutchinson à Seattle.

La protéine était absorbée par les cellules tumorales voisines des cellules endommagées.

« WNT16B, quand elle est sécrétée, interagirait avec les cellules tumorales proches et les ferait grossir, devenir envahissantes et le plus important, les rendrait par la suite résistantes à la thérapie, » a expliqué Nelson.

Dans le traitement du cancer, les tumeurs répondent souvent bien au départ, puis s’ensuit une rapide prolifération et enfin une résistance à la chimiothérapie suivante.

On a démontré que le rythme de reproduction des cellules cancéreuses s’accélérait entre les traitements.

« Nos résultats indiquent que les réponses aux dommages des cellules bénignes…peuvent directement contribuer à accélérer l’activité de croissance des tumeurs », écrivait l’équipe.

Les chercheurs ont dit qu’ils ont confirmé leurs découvertes sur des tumeurs cancéreuses du sein et des ovaires.

Les malades avec un cancer incurable sont promis à accéder plus facilement aux toute dernières drogues qui pourraient leur offrir quelques mois ou quelques années de vie supplémentaire, pourtant de nombreux médecins ont été poussés à devenir plus prudents pour présenter un traitement à ces patients en phase terminale car la chimiothérapie peut souvent faire plus de mal que de bien, conseil soutenu par l’étude de Nelson.

90 % des patients qui reçoivent de la chimiothérapie souffrent d’effets fatals

Le NCEPOD ( National Confidential Enquiry into Patient Outcome and Death) a déclaré que plus de 4 patients sur 10 ayant reçu de la chimiothérapie vers la fin de leur vie ont souffert d’effets fatals par les médicaments et que le traitement était « inapproprié » dans presque un cinquième des cas.

Globalement, presque 90 % des malades à qui on a administré de la chimiothérapie meurent dans les 15 ans, soit de cancers secondaires ou d’une immunité compromise, conséquence directe du traitement. Chimiothérapie et rayons combinés sont les causes principales des cancers secondaires de par le monde.

Il y a eu une augmentation de 68 % dans l’usage de produits de chimiothérapie depuis 2003 et malgré l’augmentation massive de l’incidence des cancers depuis, les facteurs de risque (selon l’industrie du cancer) pour des cancers primitifs et secondaires sont toujours dus au tabac, à l’alcool, aux expositions professionnelles et aux déterminants génétiques. Le traitement ou le diagnostic du cancer n’est jamais mentionné comme la cause de cancers primitifs ou secondaires.

Le cancer est la cause principale des maladies et si on regarde pour l’avenir les récentes tendances au plan mondial des cancers majeurs, le fardeau du cancer s’augmentera de 22 millions de nouveaux cas chaque année d’ici 2030. Ce qui représente une hausse de 75 % comparé à 2008.

Plus de la moitié de tous les malades du cancer souffrent d’une toxicité notable en lien avec le traitement. Ce dernier peut aussi engendrer des infections graves ou les malades peuvent simplement mourir de leur cancer.

Quand on lui a demandé comment améliorer la réponse et le résultat du patient, Nelson a répondu « en alternance, il peut être possible d’utiliser des doses plus faibles, moins toxiques dans la thérapie ».

En résumé, la chimiothérapie détruit virtuellement toutes les cellules et l’organisme avant de s’occuper du vrai cancer. Ce qui veut dire que votre système nerveux central, les organes et le système immunitaire (pour n’en nommer que quelques-uns) sont tous compromis même des années après l’arrêt du traitement. Oubliez ce qui a été dit sur la chimiothérapie qui fait un meilleur travail sur le long terme en tuant le cancer.

La chimiothérapie cause la mort des cellules cérébrales longtemps après la fin du traitement et pourrait être l’une des causes biologiques sous-jacentes des effets cognitifs collatéraux – ou « cerveau chimiqué » – qu’expérimentent de nombreux malades cancéreux.

Le traitement conventionnel du cancer est une énorme et coûteuse tromperie – un non-traitement qui rend malade et tue plus de gens qu’ils ne les « guérissent ». Il ne peut jamais guérir quoi que ce soit car il empoisonne le corps, ce qui ne fait qu’entraîner plus tard d’autres maladies.

La question [de savoir si la chimiothérapie prolonge réellement ou non la vie, note de l’éditeur] ne peut probablement plus recevoir de réponse. Dans les études cliniques, les fabricants comparent toujours leurs nouveaux produits avec les précédents poisons cellulaires. Il n’y a pas de groupes de contrôle n’ayant reçu aucun traitement.

Pour qu’ils soient autorisés sur le marché, il suffit d’obtenir un avantage « statistiquement significatif » dans un petit groupe de sujets- tests soigneusement sélectionnés comparé aux malades traités avec un poison cellulaire approuvé.

Source: wakingtimes.com

Santé: G. Edward Griffin « Un monde sans cancer, l’histoire de la vitamine B17 » ~ Livre II, 1ère partie ~

Posted in actualité, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies with tags , , , , , , , , on 12 décembre 2012 by Résistance 71

“Avertissement, le Laétrile est officiellement un traitement non prouvé pour le cancer. L’auteur de ce livre est un chercheur et un écrivain, pas un médecin. Les faits dévoilés dans les pages qui suivent ne le sont que pour information seulement et ne sont pas des avis médicaux. Leur but est de créer la base d’un consentement informé. Bien qu’il y ait certaines chose que l’on puisse faire dans le domaine de la prévention, le traitement clinique du cancer ne doit pas se pratiquer seul. L’administration de quelque thérapie anti-cancéreuse que ce soit, incluant les thérapies nutritionnelles, doit être pratiquée sous la supervison directe de personnels médicaux professionnels, spécialistes en leur domaine.” (G. Edward Griffin)

=  =  =

Un monde sans cancer Livre II, 1ère partie

 

~ 2ème partie: Livre II La politique de la thérapie du cancer  1ère partie~

 

G. Edward Griffin

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Introduction

Livre I, 1ère partie

Livre I, 2ème partie

Livre I, 3ème partie

Livre I, 4ème partie

Livre II, 2ème partie

Livre II, 3ème partie

Livre II, 4ème partie

Livre II, 5ème et dernière partie

*  *  *

Chapitre 13

Les cartels, moyen d’échapper à la concurrence

 

Dans la première partie, nous avons présenté la science de la thérapie du cancer. Avant donc que de procéder à la seconde partie ayant trait à la politique derrière la thérapie du cancer, faisons un bref point des issues majeures que nous avons couvertes.

Comme nous l’avons vu, le cancer est la croissance incontrôlée et non-naturelle de cellules trophoblastiques, qui elles-mêmes sont normales et un facteur vital du processus de la vie et de la régénéréscence. Ces cellules sont produites dans le corps comme le résultat d’une réaction en chaîne impliquant l’hormone œstrogène. L’œostrogène étant toujours présente en grande quantité sur le site des tissus endommagés, servant de manière possible d’organisateur ou de catalyseur pour la réparation cellulaire du corps.

Ainsi, le cancer peut-être déclenché par un stress ou un dégât prolongés du corps, que ceci soit provoqué par le fait de fumer ou des additifs chimiques de notre alimentation ou de certains virus, car ceci est en fait ce qui déclenche la production d’œstrogène par l’organisme, fonction normale du corps concernant le processus de cicatrisation des tissus endommagés.

La nature a fourni une barrière métabolique, un mécanisme complexe pour limiter et contrôler la croissance de ces cellules trophoblastiques. De nombreux facteurs sont impliqués, les intervenants les plus directs étant semble t’il, les enzymes pancréatiques et le facteur nutritionnel connu sous le nom de nitrolosides ou vitamine B17, un composant unique qui détruit les cellules cancéreuses tout en nourrissant et préservant les cellules saines.

La réponse au cancer est donc d’éviter des dégâts ou des stress excessifs au corps, de minimiser la nourriture qui a besoin de trop d’enzymes pancréatiques pour être digérée et de maintenir un régime alimentaire riche en tous minéraux et en vitamines, spécifiquement la vitamine B17.

L’opposition au concept nutritionnel est très forte et très assourdissante. Ce concept a été marqué du sceau de la fraude et du charlatanisme par la FDA et l’ACS ainsi que par l’AMA.

Il est néanmoins important d’insister une fois de plus sur le fait que le médecin moyen ne fait pas partie de cette opposition, à l’exception peut-être de celui qui accepte sans réticence les affirmations de ces corps constitués prestigieux. La plupart des médecins serait plus encline  à essayer le Laétrile et de juger sur pied ses effets avant que de passer ou d’endosser un jugement final.

En conséquence, un nombre croissant de médecins de par le monde est en train de tester et de donner plus de considération à la thérapie vitaminique dans leur propre clinique. Les médecins aux Etats-Unis sont pourtant interdits de par la loi et la pression de leurs pairs, d’expérimenter des thérapies non-orthodoxes. En conséquence, ils ne peuvent pas vérifier par eux-mêmes si le Laétrile fonctionne ou pas, seulement peuvent-ils entendre ce qui est dit à son sujet.

Dans le même temps, avec la preuve continuant d’être établie en faveur de la thérapie vitaminique, l’opposition et la controverse continuent également de grandir. La raison de cela est à la fois simple et très dérangeante. Le cancer, du moins aux Etats-Unis, est devenu une entreprise multi-miliardaire. Non seulement des fortunes sont faites dans les domaines de la recherche, des médicaments, et du rayonnement, mais des carrières politiques sont avancées en promettant de développer des programmes et des financements gouvernementaux payés par les contribuables.

Il est de notoriété publique que chaque année, il y a plus de gens vivant (financièrement) du cancer, que de gens qui meurent de la maladie. Si cette énigme devait être résolue par un simple composant vitaminique que l’on trouve en grande abondance et pour rien dans la nature, cette gigantesque industrie commerciale et politique serait balayée du jour au lendemain. Il n’est pas attendu en l’occurrence, que les intérêts qui sont en conflit, aident à éclaircir les faits scientifiques.

Ceci ne veut pas du tout dire que les chirurgiens, les radiologues, les pharmaciens, les chercheurs et les milliers de personnes qui les soutiennent et les épaulent dans leur travail, cacheraient à dessein un moyen de contrôle du cancer. Ils, elles sont, pour la plupart, des gens hautement motivés et consciencieux qui ne désirent rien de plus que de mettre fin à la souffrance humaine. De plus, eux-mêmes et leur famille succombent au cancer de la même manière que la population normale. Ils ne gardent donc pas de “cures miracles” pour eux-mêmes.

Mais doit-on en déduire que toute opposition est innocente ? Devons-nous croire que les gains et intérêts personnels ne sont pas un facteur à un moment donné dans le processus ? Le but de la seconde partie de ce livre est de répondre à ces questions. Il sera démontré, qu’au sommet de la pyramide du pouvoir et de la politique, il y a un groupe d’intérêts économiques, politiques, financiers et industriels convergents, qui par la nature même de ses objectifs, est l’ennemi naturel d’une approche nutritionnelle de la santé. Il sera démontré que ces intérêts ont créé le climat de partialité nécessaire et suffisant pour rendre l’objectivité scientifique presque impossible et qu’eux-mêmes deviennent souvent les victimes de leur propre partialité.

Il sera montré que ces forces exercent une influence énorme sur la profession médicale, les facultés de médecine, et les publications médicales et que le médecin de base est le dernier à suspecter que la vaste majorité de sa connaissance et de son jugement a été subtilement façonnée par ces intérêts non-médicaux.

Il sera également démontré que ce groupe élitiste peut utiliser de puissants leviers politiques qui activent des agences gouvernementales en leur faveur et que ces agences, qui sont supposées être les servantes et les protectrices du peuple, sont devenues le mécanisme pour la satisfaction d’intérêts particuliers.

Ceci constitue de sérieuses accusations. Elles ne sont pas faites à la légère, ni ne doivent elles être acceptées sans avoir été mises à l’épreuve. Tournons-nous donc maintenant vers les archives pour voir quelle(s) preuves(s) il y a pour les supporter.

L’information qui va suivre trouve sa source essentiellement dans les auditions faites par le gouvernement et les rapports variés publiés par le sénat et les comités de la chambre basse (NdT: parlement américain) entre 1928 et 1946. Les principaux étant: le sous-comité parlementaire pour enquêter sur la propagande nazie en 1934, le comité spécial du sénat enquêtant sur l’industrie des munitions en 1935, le rapport sur les cartels diffusé par le comité temporaire parlementaire sur l’économie nationale en 1941, le comité sénatorial d’enquête sur le programme de la défense en 1942, la rapport du sénat sur les patentes de 1942 et le sous-comité sénatorial sur la mobilisation de guerre de 1946.

D’autres sources d’information incluent: le comité sénatorial d’enquête sur le lobbying, le comité sénatorial sur le secteur banquier et des changes, les archives du tribunal de Nuremberg et des douzaines de volumes trouvés comme références standard dans toute grande bibliothèque. En d’autres termes, bien que l’histoire que nous allons dévoiler maintenant ne soit pas connue de manière extensive, elle est quoi qu’il en soit, partie intégrale du domaine public aux Etats-Unis et peut-être vérifiée par quiconque en exprime le désir.

Voici cette histoire.

Note des traducteurs: Nos lecteurs retrouveront ici certaines similitudes avec la recherche de l’historien Antony Sutton que nous avons traduite et publiée sur ce blog, la raison en est simple: Sutton comme Griffin ont utilisé les même sources et archives, même si Sutton en tant que membre du Hoover Institute de l’université de Stanford avait sans doute un plus grand accès aux archives du Nuremberg qui sont stockées dans cet institut.

Dans les années qui ont précédées la seconde guerre mondiale, s’est créé un cartel international, centralisé en Allemagne, qui domina les industries mondiales de la chimie et du médicament. Il étendit ses opérations dans 93 pays et était une grande force politique et économique sur tous les continents. Ce cartel était connu sur le nom d’I.G Farben.

I.G veut dire en allemend: Interessen Gemeinschaft ce qui veut dire “communauté d’intérêts” ou plus simplement: “cartel”. Farben veut dire “couleurs” ou “teintures”, parce que l’industrie chimique moderne avait ses origines dans la fabrication de teintures, ceci est une consonance trompeuse pour ce qui en réalité, comprend la totalité du domaine de la chimie, incluant les munitions et les médicaments.

Les médicaments et les munitions peuvent être de très grands facteurs de motivation humains. L’un offre la promesse de la santé et d’une vie prolongée, alors que le second peut-être porteur de mort et de destruction. Il ne peut pas y a voir de plus grand désir terrestre que d’avoir le premier et d’éviter le second. Ainsi, celui ou ceux qui contrôlent les munitions et les médicaments, contrôle(nt) la carotte et le bâton ultimes.

L’ingrédient de base pour presque tous les produits chimiques, de ceux qui blessent comme de ceux qui soignent est le goudron de charbon ou le pétrole. […]

[…] I.G Farben fut créée en 1926 par le génie de deux personnes: l’industriel allemand Hermann Schmitz et un banquier suisse,  Eduart Greutert… Schmitz était aussi un des directeurs de la Reichsbank allemande et de la Bank for International Settelments (BIS ou Banques des Règlements Internationaux en français la BRI), basée à Bâle en Suisse. Ainsi depuis le départ du cartel, les leaders d’I.G Farben étaient des membres de la structure internationale banquière.

Au début de la seconde guerre mondiale, I.G Farben était devenue la plus grande entreprise industrielle d’Europe et la plus grande industrie chimique au monde, ainsi qu’elle faisait partie d’un des plus puissants cartels de l’histoire. Ce cartel a compté à un moment donné plus de 2000 entreprises dans le monde inter-reliées avec lui. […]

En Allemagne, la cartel incluait les six plus grosses entreprises chimiques et étendait son influence sur virtuellement toute l’industrie lourde, spécifiquement l’industrie de l’acier. Hermann Schmitz était un personnage important des usines d’acier Krupp et était au comité directeur ainsi qu’à celui de la plus grosse entreprise de l’acier allemand: Vereinigte Stahlwerke. En tout, 380 entreprises allemandes étaient sous contrôle du cartel.

Ailleurs en Europe, IG Farben dominait des géants de l’industrie comme Imperial Chemical de Grande-Bretagne, Kuhlmann en France, et Allied Chemical en Belgique…

Aux Etats-Unis, le cartel avait établi des accords très importants avec un spectre très vaste d’industries américaines incluant:

Abbott Laboratories, Alcoa, Anaconda, Atlantic Oil, Belle & Owell, Borden Company, Carnation Company, Ciba-Geigy, Dow Chemical, DuPont, Eastman Kodak, Firestone rubber, Ford Motor, General Drug Company, General Electric, General Mills, General Motors, General Tire, Glidden Paint, Goodyear Rubber, Gulf Oil, M.W. Kellog Company, Monsanto Chemical, National Lead, Nestle’s, Owl Drug Company, Parke-Dawis and Co, Pet Milk, Pittsburg Glass, Proctor & Gamble, Pure Oil, Remimgton Arms, Richfiels il, Shell Oil, Sinclair Oil, Socony Oil, Standard Oil, texaco Union Oil, US Rubber et des centaines d’autres moins connues. […]

[…] Dès 1929, IG Farben avait effectué toute une série d’accords limités de cartel avec son plus grand concurrent américains: DuPont.

DuPont était une puissance majeure et avait toujours été peu disposée à s’engager dans des accords avec Farben, ce dernier insistant toujours pour être le partenaire dominant de la relation. En conséquence, bon nombre de ces accords furent signés par le truchement des sociétés subsidiaires de Farben telles: Winthrop Chemical, par Imperial Chemical et au travers Mitsui, cartel japonais. En 1937, la branche IG Farben USA possédait de grosses parts d’actions de DuPont et d’Eastman Kodak. L’Olin Corporation, un holding de Farben, entra dans la fabrication de cellophane sous une license de DuPont.

La raison principale pour laquelle un géant comme DuPont entra dans ce partenariat de cartel avec IG Farben était la Standard Oil du New Jersey des Rockefeller (NdT: aujourd’hui Exxon-Mobil), qui venait juste de le faire. La combinaison de ces deux Goliath industriels présentait à DuPont un gros défi et une sérieuse concurrence domestique. DuPont aurait peut-être pu lutter contre IG seule… mais c’était sans espoir que de s’attaquer à l’alliance incluant le grand empire Rockefeller. La Standard Oil fut donc le facteur décisif qui rassembla l’ultime communauté d’intérêts”: IG Farben, DuPont, la Standard Oil, Imperial Chemical et la Shell Oil également. L’accord entre IG Farben et la Shell Oil fut consommé en 1929…

Un des facteurs qui mena à la défaite de l’Allemagne durant la 1ère guerre mondiale, fut le manque de pétrole. Les leaders allemands se promirent de ne plus jamais manquer de carburant et d’être dépendants du pétrole extérieur. L’Allemagne n’avait sans doute pas de pétrole dans ses frontières mais elle possédait de vastes réserves de charbon. Une des toutes premières préoccupation des chercheurs allemands après la guerre fut de convertir le charbon en carburant. […]

Quand Henry Ford établit une branche de son entreprise en Allemagne, IG Farben acheta immédiatement les 40% d’actions qui étaient mises en vente. Le mariage Ford-IG Farben fut complété lorsque Carl Bosch, le président d’IG Farben et Carl Krauch, le président du comité exécutif d’IG, rejoignirent tous deux le comité directeur de l’entreprise Ford-Allemagne. Aux Etats-Unis, Edsel Ford rejoignît le comité directeur d’IG Farben USA, ainsi que le fit Walter Teagle, président de la Standard Oil et bras droit des Rockefeller, ainsi que Charles Mitchell, président de la National City Bank des Rockefeller de New York et Paul M. Warburg, le frère de Max Warburg qui lui, était un directeur de la maison mère en Allemagne.

Paul Warburg était un des architectes du système de la réserve fédérale qui avait placé le contrôle du système monétaire américain dans les mains des mêmes banques qu’il représentait. (NdT: l’auteur de ce livre Edward Griffin est plus connu pour son œuvre maîtresse: “The creature of Jekyll Island”, qui raconte par le menu et de manière incroyablement documentée, la création de la fameuse réserve fédérale américaine qui n’a de “fédérale” que le nom puisqu’elle est un cartel de banque privé, comme toutes les banques centrales du reste…) […]

[…] Pour mieux comprendre cet aspect, il est nécessaire de comprendre la nature des cartels. Un cartel est un groupe d’entreprises qui sont liées entre elles par des contrats ou des accords, qui sont établis pour promouvoir la coopération inter-entreprises et ainsi réduire la concurrence entre elles… De manière générale, un cartel est un moyen d’échapper aux rigueurs de la concurrence dans un marché ouvert de libre-entreprise. Le résultat est toujours des prix plus élevés et moins de produits parmi lesquels on peut choisir. Les cartels sont des monopoles, et ne sont donc pas le résultat de la libre-entreprise, mais un moyen d’y échapper.

[…]

Les cartels et les monopoles auraient beaucoup de mal à exister, du moins au niveau où ils le font maintenant, sans une aide appropriées des gouvernements. Regardez n’importe quel marché mondial: celui du sucre, du thé, du chocolat, du café, du blé, du caoutchouc, de l’acier, du pétrole, des hydrocarbures, de l’automobile, de l’alimentaire, tous autant qu’ils sont et vous trouverez une montagne de restrictions gouvernementales, de quotas, et de subsides. Accrochée à cette montagne se trouve une armée de lobbyistes, de représentants d’intérêts spéciaux, mettant la pression sur les politiciens, qui à leur tour, font passer les lois qui sont supposées protéger les peuples.[…]

Chapitre 14

Le monopole ultime

A ce point de notre recherche, le lecteur peut se demander ce que tout cela a à voir avec la médecine contre le cancer et sa politique. La réponse, comme cela va devenir de plus en plus clair au fur et à mesure de l’exposé, est que cela a tout à y voir… Comme nous l’avons vu, les cartels et les monopoles résultent d’un effort concerté d’échapper aux rigueurs de la libre entreprise. Sur le long terme, le meilleur moyen d’y parvenir est de s’assujettir l’aide du gouvernement, de faire en sorte que des lois passent qui mettront le pouvoir régulateur de l’état du côté des intérêts de certaines entreprises et contre leur concurrence. De fait, les cartels et monopoles ne pourraient pas fleurir comme ils le font s’ils devaient exister dans un environnement de gouvernement très limité. Plus le gouvernement est important et s’exerce fortement et plus les cartels et les monopoles sont forts. Plus de gouvernement est donc bien mieux pour ces entités, le gouvernement total est le nirvana. C’est pour cette raison qu’à travers toute leur histoire, les cartels ont toujours été derrière toutes les formes de totalitarisme possibles et imaginables. Les cartels ont soutenu les nazis en Allemagne, ils étaient la main dans la main avec les fascistes en Italie, ils ont financé les bolcheviques en Russie et ils sont la force motrice derrière ce totalitarisme sans nom qui devient de plus en plus une réalité aux Etats-Unis.

Au premier abord, il apparaît paradoxal que les “super-riches” se soient souvent trouvés à soutenir le socialisme ou des mesures socialisantes, il semblerait que ce soit en fait les personnes qui auraient le plus à perdre dans l’opération. Mais sous le socialisme ou toute autre forme de gouvernement tentaculaire, il n’y a pas de concurrence et pas de libre-entreprise. Ceci est le parfait environnement pour celui qui opère au sein d’une industrie cartelisée et qui a aussi une forte influence politique au sommet de la pyramide. Ainsi on peut faire d’énormes profits et faire partie de la classe dirigeante par la même occasion. Ces gens n’ont pas peur du schéma de taxation progressiste qui oppresse la classe moyenne. Leur influence politique leur permet de créer des fondations exonérées d’impôts afin de préserver et de multiplier leur grande richesse sans l’inconvénient de lourds impôts. Voilà pourquoi les monopolistes ne peuvent et ne pourront jamais être de vrais capitalistes. […]

[…] Les monopolistes ne peuvent donc pas être des capitalistes de libre-entreprise. Sans aucune exception, ils acceptent tous soit le socialisme, soit tout autre forme de collectivisme, parce que cela représente la forme étatique ultime du monopole… La réalité est donc que le gouvernement devient l’outil des forces qu’il est supposé réguler pour protéger le peuple. Les régulations existantes sont toujours celles qui ont été au préalable approuvées par les cartels et maintenant à ce moment ils ont la police et les forces répressives de l’état pour les faire appliquer.

[…] La définition du dictionnaire pour le mot fascisme est “contrôle du gouvernement sur les moyens de production avec la propriété demeurant dans des mains privées”. Cette définition pourrait peut-être suffire dans un examen de Lycée sur la science politique, mais est bien loin de dire toute la vérité. En fait le fascisme allemand du XXème siècle était un monopole privé du gouvernement qui lui ,contrôlait l’industrie, mais de telle façon que cela favorisait toujours les monopolistes au détriment de leur concurrence.

L’économiste américain Robert Brady a correctement décrit l’état fasciste allemand comme étant “une dictature de capitalisme monopoliste. Son « fascisme » réside dans les affaires entrepreneuriales organisées sur une base monopoliste en ayant le commandement total de toute l’armée, la police et la propagande légale du pouvoir étatique.”

Stocking et Watkins ont résumé cet état de fait de la façon suivante:

“Les industries allemandes de la chimie ont été aussi proches de finaliser la cartellisation, que les efforts combinés et les talents organisationnels du monde des affaires allemand et de l’état nazi pouvaient le permettre et ce fut très très proche en effet. Avant même 1933, la réunification industrielle avait progressé, peut-être de façon la plus significative au sein de l’industrie chimique. Le fascisme ne fit que compléter le programme et intégra la structure entière… Dans les cartels établis sur les industries par l’état nazi, il était très souvent bien difficile de savoir quand l’état et son contrôle s’arrêtait et quand le contrôle des cartels commençait. Le totalitarisme, ultimement, impliqua la presque totale unification des affaires et de l’état.” (de “Cartels in Action”, Stocking et Watkins, 1946)

Cette unification ne s’est pas produite de manière inopinée au gré de forces naturelles. Ceci se produisit après de longs et patients efforts de la part des chefs de cartels en plus de la corruption des politiciens et de la naïveté abyssale des électeurs. Bien avant qu’Hitler ne devienne une figure politique importante, le cartel a été la force dominante de derrière le rideau, dans une longue succession de gouvernements allemands. Le président de Farben, Hermann Schmitz a été le conseiller personnel du Chancelier Brünning. Le Dr Karl Duisberg, premier président du conseil d’IG Farben et aussi fondateur de American Bayer and Co. et Carl Bosch, le prédécesseur de Schmitz, avaient créé un comité secret de quatre personnes. Un comité politique ayant pour but de forcer un lien de contrôle dans chacun des partis politiques allemands. […]

[…] Dans un premier temps, le cartel ne fut pas convaincu qu’Hitler était “l’homme fort”, qui servirait au mieux leurs intérêts. Mais son programme national-socialiste et sa faculté exceptionnelle de motiver et de captiver de larges foules par son talent oratoire le singularisa comme l’homme à surveiller et à financer de manière d’abord prudente… Ce ne fut pas avant 1931 que le cartel commença à offrir de larges contributions financières dans les coffres du parti nazi. Max Ilgner, neveu d’Hermann Schmmitz, fut le premier à prendre contact avec Hitler; il était souvent référé comme étant le “directeur des finances” d’IG Farben. Sa véritable fonction était en fait d’être un des chefs d’un vaste réseau d’espionnage, originellement conçu pour collecter des informations sur la concurrence industrielle, l’opération s’étendit vite à des préoccupations plus politiques, qui a depuis été peu égalée même par les agences de renseignement modernes…

“Hitler reçut alors un soutien encore plus puissant qu’il n’avait jamais osé l’imaginer. Les leaders de la finance et de l’industrie allemands, IG Farben en tête, se tinrent la main et donnèrent à Hitler leur soutien inconditionnel… Avec ce soutien, il établit très vite un état fasciste assoiffé de sang.”

Non seulement les fonds arrivèrent en quantité illimitée, mais tous les journaux allemands, qui étaient soit la propriété ou soit sous contrôle du cartel a cause de l’argent de la publicité, se mirent à soutenir Hitler. Ils créèrent ainsi l’image nécessaire de popularité universelle, qui a son tour conditionna le peuple allemand de l’accepter comme un grand leader. L’homme fort de l’Allemagne était soudain apparu.

La même tactique fut utilisée aux Etats-Unis. Si un journal américain devenait inamical avec Mr. Hitler, IG Farben annulait aussitôt ses contrats publicitaires, ce qui représentait un énorme levier financier.

[…]

Schmitz fut le conseiller du chancelier Brünning; après l’accession d’Hitler au pouvoir, il devint un membre honoraire du Reichstag et un Geheimrat, ou conseiller secret. Un autre officiel d’IG Farben, Carl Krauch, devint le fidèle conseiller d’Hermann Göring et fit appliquer le plan quadriennal… De fait, le régime nazi était le monstre Frankenstein créé par IG Farben.

[…]

Au procès de Nüremberg, les leaders de Farben ne furent pas accusés comme des nazis et criminels de guerre, comme leurs sbires qui portaient l’uniforme, mais simplement comme des hommes d’affaires trop zélés qui ne poursuivaient qu’un but lucratif. A la fin du procès quelques uns d’entre eux reçurent des peines légères de prison, mais la plupart d’entre eux sortirent de la cour de justice libre comme l’air. Oui, leur stratégie de rester derrière le rideau était très, très sage.

Nous ne pouvons pas nous empêcher de tracer un parallèle avec les réalités politiques aux Etats-Unis. Nous apprenons de plus en plus que les hommes qui ont le plus de pouvoir en Amérique ne sont pas ceux dont les noms apparaissent sur les bulletins de vote, mais ceux dont la signature apparaît au bas des chèques, particulièrement des chèques donnés pour les campagnes électorales…

Néanmoins nous sommes rassurés d’entendre que ces personnes ne sont pas politiquement motivées, car si elles l’étaient, elles participeraient elles-mêmes aux élections ou accepteraient des postes d’importance au sein des administrations et des gouvernements (NdT: Nelson Rockefeller fut le vice-président de Gerald Ford, mais ceci constitue une grande exception…). S’ils ont une idéologie politique, ils vont sans aucun doute s’opposer au socialisme, car enfin vous voyez bien qu’ils sont de riches capitalistes ! Ils sont sûrement coupables d’être veules et gourmands, mais rien de bien plus sérieux.

Espérons que le souvenir d’Auschwitz et de Buchenwald dispersera un tel non sens avant qu’il ne soit trop tard…

A suivre…

Santé: G. Edward Griffin « Un monde sans cancer, l’histoire de la vitamine B17 » ~ Livre I, 4ème partie ~

Posted in actualité, résistance politique, santé, santé et vaccins with tags , , , , , , , on 27 novembre 2012 by Résistance 71

“Avertissement, le Laétrile est officiellement un traitement non prouvé pour le cancer. L’auteur de ce livre est un chercheur et un écrivain, pas un médecin. Les faits dévoilés dans les pages qui suivent ne le sont que pour information seulement et ne sont pas des avis médicaux. Leur but est de créer la base d’un consentement informé. Bien qu’il y ait certaines chose que l’on puisse faire dans le domaine de la prévention, le traitement clinique du cancer ne doit pas se pratiquer seul. L’administration de quelque thérapie anti-cancéreuse que ce soit, incluant les thérapies nutritionnelles, doit être pratiquée sous la supervison directe de personnels médicaux professionnels, spécialistes en leur domaine.” (G. Edward Griffin)

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“Un monde sans cancer, l’histoire de la vitamine B17”

Livre I, 4ème partie

 

G. Edward Griffin

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

1ère partie

2ème partie

3ème partie

5ème partie

Livre II, 1ère partie

Livre II, 2ème partie

Livre II, 3ème partie

Livre II, 4ème partie

Livre II, 5ème et dernière partie

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Chapitre 9

Les guérisons “non prouvées” du cancer

La peur du cyanure que nous avons mentionnée plus tôt ne fut qu’une des salves du barrage continu des attaques officielles contre le Laétrile. L’arsenal complet va des simples tactiques d’effraiement à la falsification éhontée; mais le plus souvent ces attaques prennent la forme de déclarations académiques, déguisées en préoccupation apparente pour le bien de la santé et de la sécurité publiques, disant que la thérapie vitaminique peut paraître bien en théorie mais que dans la pratique cela ne marche pas.

Le Dr Ralph Weilerstein, officier de la santé publique auprès de la FDA de Californie a dit platement: “Personne n’est venu avec des données valables montrant que le Laétrile soit de quelque utilité que ce soit.” […]

[…] Aussi loin que le public soit concerné, si l’American Cancer Society classifie la vitamine B17 ou Laétrile comme une “thérapie non prouvée contre le cancer”, c’est tout ce qu’il a besoin de savoir. Conséquemment, des annonces officielles d’organisations prestigieuses comme celles-ci sont difficiles à ignorer. Mais il en va de même avec les trouvailles des cliniciens qui ont utilisé le Laétrile sur leurs propres patients.

Quelqu’un a tort !

Dans les pages précédentes, nous avons examiné l’intégrité scientifique des projets de recherche sur lesquels l’opposition au Laétrile est fondée et nous avons constaté qu’elle est défaillante en de nombreux points. Nous avons aussi découvert que la vaste majorité des experts qui se sont prononcés contre l’efficacité du laétrile, l’ont fait non pas en conséquence de leur expérience personnelle ou de leurs propres recherches, mais simplement de par leur foi dans l’intégrité scientifique des rapports discrédités. Montrer que le procès monté contre le Laétrile est une fraude ne constitue pas un argument en faveur de l’efficacité de celui-ci. Il est donc nécessaire d’examiner les preuves que la vitamine B17 marche effectivement en pratique aussi bien qu’en théorie. […]

[…] Le Dr Dean Burk, directeur de la section de cytochimie du National Cancer Institute gouvernemental a rapporté que dans une série de tests sur des tissus d’animaux, la vitamine B17 n’avait aucun effet toxique sur les cellules normales saines, mais qu’elle relâchait tellement de cyanure et de benzaldéhyde quand elle venait en contact avec les cellules cancéreuses, qu’aucune d’elles ne pouvait survivre.

Il dit: “Quand nous ajoutons du Laétrile dans une culture de cellules cancéreuses sous microscope, et pourvu que l’enzyme glucosidase soit présente, nous pouvons voir les cellules cancéreuses tomber comme des mouches.”

Lors de sa participation au 7ème congrès international de chimiothérapie qui se tint à Prague en 1971, le Dr Burk déclara:

“Le Laétrile apparaît être efficace contre de nombreuses formes de cancers y compris le cancer des poumons et c’est une substance absolument non toxique… Des tests in vitro sur l’Ehrlich ascites carcinoma (ou carcinome d’Ehrlich, une culture particulière de cellules cancéreuses) ont révélé que le cyanure seul ne tuait que 1% des cellules et que le benzaldéhyde seul en tuait 20%, tandis que la combinaison des deux substances était efficace et tuait 100% des cellules cancéreuses. L’Amygdaline (Laétrile) avec l’enzyme glucosidase (l’enzyme dévérouilleuse) est aussi parvenu à tuer toutes les cellules cancéreuses de la culture grâce à la libération des deux substances pré-citées.”

Dans une autre série de tests, le Dr Burk a rapporté que le Laétrile fut aussi capable de prolonger la vie des rats de laboratoire cancérisés de plus de 80% par rapport à ceux qui ne furent pas inoculés.

L’homme qui fit ces trouvailles était un des spécialistes du cancer les plus connus au monde de l’époque. Récipiendaire du Gerhard Domagk Award pour la recherche contre le cancer, commandeur de l’ordre du mérite de l’ordre médical de Bethléem (Rome), fondé en 1459 par le pape Pie XI. Il a un doctorat (Ph.D) en biochimie de l’université de Californie. Membre  du conseil national pour la recherche de l’université de Londres, du Kaiser Wilhem Institute pour la biologie et de Harvard. Il était un chimiste vétéran du National Cancer Institute qu’il aida à établir et en 1946 devint le directeur de la section de cytochimie. Il appartenait à onze organisations scientifiques, écrivit trois livres en relation sur la recherche en chimiothérapie pour le cancer, et était l’auteur de plus de 200 articles scientifiques publiés dans le domaine de la biologie cellulaire.

Si le Dr Burk dit que çà marche… c’est que çà marche !

Le Dr Burk n’est pas médecin, il est biochimiste (NdT: tout comme le Dr Ernst Krebs Jr qui élabora le Laétrile). Ses expériences furent faites sur des cultures de laboratoires et des animaux, pas sur les humains. Comme nous l’avons vu, les données de santé de groupes comme les Hunzakuts et les Esquimaux ainsi que d’autres groupes autour du monde concluent statistiquement positivement que la vitamine B17, combinée avec d’autres substances naturelles, contrôle le cancer chez les être humains avec une efficacité proche de 100%. Mais qu’en est-il si le cancer a déjà commencé? La B17 peut-elle restaurer la santé d’une personne après qu’elle ait déjà contracté la maladie ?

La réponse est oui, si cela est pris à temps et si le patient n’a pas déjà été trop sévèrement endommagé par des traitements préalables aux rayons ou par des médicaments toxiques. Bien malheureusement, la plupart des victimes du cancer commencent à prendre du Laétrile après que la maladie soit déjà si avancée que les canaux orthodoxes de traitement ont perdu espoir, ainsi souvent les dégâts occasionnés ne peuvent plus être renversés. […]

[…] Et pourtant, même avec ce handicap terrifiant, le nombre de patients en phase terminale de cancer qui ont retrouvé la santé est très impressionnant. De fait, il y a littéralement des milliers et des milliers de patients dans ce cas dans les archives médicales.

L’American Cancer Society a essayé de créer l’impression que ceux qui clament avoir été sauvés par le Laétrile ne sont que des hypocondriaques, qui n’avaient pas de cancer pour commencer. Mais les archives nous révèlent une réalité bien différente. Examinons quelques cas. […]

Note des traducteurs: S’ensuit ici un descriptif de 8 cas cliniques détaillés entre les pages 119 et 128.

Le 8ème cas étudié est celui d’un nommé Bud Robinson qui envoya une lettre au Dr Krebs Jr, nous la traduisons ici:

“Cher Dr. Krebs,

Merci de m’avoir donné un autre anniversiaire (17 Mai).

S’il vous plait, rappelez-vous ce 15 Novembre 1979, lorsque mon médecin et quatre autres urologues ne me donnèrent que quatre mois à vivre avec mon cancer de la prostate alors qu’ils me donnaient rendez-vous pour des rayons et de la chimiothérapie, qui, je le savais, allaient me tuer si le cancer ne le faisait pas; je refusai alors leur traitement.

Puis un dimanche après-midi je vous ai contacté par téléphone et j’ai suivi votre programme très simple.

J’ai 71 ans et suis dans ma 13ème année de survie au cancer. Trois des quatre urologues mentionnés sont morts du cancer et quarante ou cinquante personnes sont en vie aujourd’hui et en bonne santé parce qu’ils ont suivi mon simple programme du ”Dr Krebs”.

Merci encore pour m’avoir rendu la vie.

Votre ami

H.M. “Bud” Robinson”

Cette lettre fut écrite en 1992. Quand l’auteur l’a contacté en Juin 1996, Mr Robinson était toujours en excellente santé. Il avait 75 ans et non plus 71 et le nombre de patients du cancer qu’il avait aidé à récupérer de la maladie s’élevait à plus de 90. […]

[…] Lorsque confronté avec un grand nombre de ces évidences cliniques, certains médecins, à cause de leur partialité professionnelle contre la médecine nutritionnelle, cherchent toujours des explications alternatives. Leur explication favorite est souvent que le cancer a réagi tardivement aux médicaments toxiques et rayons. S’il n’y a pas eu de traitement préalable, alors le patient n’avait pas de cancer, ou si la présence d’un cancer avait été prouvée par biopsie ou chirurgie, alors ils finissent par dire que cela tombait sous le coup de la “rémission spontanée”, ce qui veut dire que le cancer avait disparu comme cela, de lui-même, sans aide extérieure. Cela peut se produire, mais cela est très, très rare. […]

Chapitre 10

Les guérisons “prouvées” contre le cancer

Ceux qui soutiennent la thérapie du Laétrile ont toujours insisté sur le fait qu’il n’y a pas de guérison du cancer en tant que telle. Comme c’est une maladie de déficience, on ne peut parler que de prévention ou de contrôle mais pas de guérison. Parmi les soutiens de la thérapie orthodoxe, il n’y a pas tant de retenue. Les portes-parole officiels de l’industrie du cancer disent au public américain sans sourciller, qu’ils ont des moyens de guérisons prouvées du cancer et que quiconque se résout à suivre de tels non-sens tel que le Laétrile ne fait que perdre son temps, que la personne ferait mieux de mettre à profit pour embrasser les thérapies orthodoxes qui guérissent du cancer de manière prouvée. Quelles sont ces thérapies ? Ce sont la chirurgie, les radiations et la chimie […]

[…] La chirurgie est la thérapie la moins nocive des trois. Elle peut sauver des vies, particulièrement lorsqu’il y a un blocage intestinal par exemple et que celui-ci doit être enlevé pour prévenir la mort du patient ou de plus amples complications. La chirurgie a aussi l’avantage psychologique d’enlever physiquement la tumeur et d’offrir un espoir temporaire […]

[…] Dans le cas du cancer du poumon, le pourcentage de patients qui survivra au delà de cinq ans après la chirurgie est entre 5 et 10% et ceci sont des chiffres optimistes en comparaison avec les chances de survie d’autres cancers comme le chorionépithéliome testiculaire. Quand nous nous tournons vers des cancers qui ont produits des métastases dans d’autres endroits, la statistique devient pratiquement sans espoir, chirurgie ou pas… Une fois qu’un cancer a produit des métastases, la chirurgie n’a pratiquement plus aucune valeur pour ajouter aux chances de survie. La raison en est que tout comme pour les autres méthodes orthodoxes de traitement du cancer, la chirurgie ne fait qu’enlever la tumeur. Elle n’en enlève pas la cause.

Le raisonnement derrière la thérapie à rayonnement est le même que celui de la chirurgie, l’objectif est d’enlever, de réduire la tumeur en la brûlant plutôt qu’en l’enlevant. Là encore, ce sont les cellules non cancéreuses qui sont majoritairement détruites. Plus la tumeur est maligne (haut pourcentage de cellules cancéreuses), plus elle est résistance à la radiothérapie. Si cela n’était pas le cas, la thérapie par rayonnement X aurait un très haut degré de succès, nous sommes loin du compte.

Si la tumeur cancéreuse moyenne est composée à la fois de cellules cancéreuses et de cellules saines, il serait alors logique de constater que les résultats du rayonnement réduirait la taille de la tumeur, mais augmenterait le pourcentage de cellules cancéreuses et donc de malignité, c’est exactement ce qui se produit.

Commentant sur ce mécanisme, le Dr. John Richardson l’explique de la façon suivante:

Les radiations et/ou les poisons radiomimétiques vont réduire la taille mesurable de la tumeur. Parfois la réduction de la taille peut atteindre 75% ou plus de la masse de croissance. Ces agents ont des effets sélectifs, radiation et poisons. Ils tuent sélectivement tout sauf les cellules néoplastiques cancéreuses. Par exemple un myoma utérin bénin va fondre comme neige au soleil. S’il y avait des cellules néoplastiques dans cette tumeur, celles-ci demeureraient. La taille de la tumeur serait considérablement réduite, jusqu’à parfois 90% de sa taille originale tandis que la concentration en cellules néoplastiques elle sera augmentée de 90%.

Comme tout clinicien expérimenté le sait, ou devrait savoir, après que les radiations ou les poisons aient considérablement réduit la tumeur, le bien-être général du patient ne s’améliore pas. Au contraire, il y a souvent une augmentation explosive de la malignité de la lésion. Ceci est marqué par l’appararition de métastases diffuses et d’une détérioration de la vitalité générale du patient, suivis à bref délai de la mort du patient.”

Ainsi nous voyons que la radiothérapie possède le même inconvénient majeur que la chirurgie. Mais il y a pire: cela augmente la possibilité que le cancer se développe dans d’autres parties du corps. De plus, une exposition intensive à la radiothérapie est connue pour provoquer plus de cancers. […]

[…] Les rayons-X provoquent le cancer à cause de deux facteurs principaux: premièrement, ils infligent des dommages au corps ce qui déclenche la production de cellules trophoblastiques comme partie du processus de cicatrisation et deuxièmement ils détruisent ou affaiblissent la production de globules blancs, qui comme nous l’avons vu constitue le système de défense immunitaire de l’organisme et la première ligne de défense contre le cancer. […]

[…] Dans une convention de radiologues, le Dr. Philip Rubin analysa les statistiques de survie au cancer publiées dans le Journal of the American Medical Association et il conclut en ces termes:

“La preuve clinique et les données statistiques dans de nombreuses études sont citées pour illustrer qu’aucune augmentation de l’espérance de survie n’a été accomplie avec la thérapie de la radiation.” Ce à quoi le Dr Peters ajouta:

“Dans le carcinome du sein, le taux de mortalité est toujours parallèle au nombre d’incidences, prouvant ainsi qu’il n’y a eu aucune véritable amélioration dans le succès du traitement de la maladie ces trente dernières années, alors même qu’il y a eu une amélioration technique signifiante concernant à la fois la chirurgie et la radiothérapie durant cette période.”

Malgré toutes ces expériences universelles de médecins prouvant le contraire, l’American Cancer Society continue à marteler au public que ses statistiques montrent un taux de guérison plus important chez les patients traités que chez ceux qui ne l’ont pas été. Après tout si cela n’était pas le cas, pourquoi diable quelqu’un paierait-il tout cet argent en plus de la difficulté de subir la douleur et la dégradation physique associées aux traitements allopathiques orthodoxes ? Comment peuvent-ils mentir si impunément ?

La réponse est qu’ils ne mentent pas vraiment, ils jouent un peu avec la vérité. En d’autres termes, ils ne font qu’ajuster la méthode de collection et d’évaluation des statistiques afin de garantir les résultats désirés. Comme l’explique le Dr Hardin Jones:

L’évaluation de la réponse clinique aux traitements du cancer par chirurgie et radiation, séparément ou en combinaison, mène à ces résultats:

La preuve d’une plus grande survie de groupes de patients traités par opposition aux groupes non traités est biaisée par la méthode de définition des groupes. Toutes les recherches rapportées prennent les cas au moment de l’origine de la maladie et les suivent jusqu’à la mort ou la fin de l’intervalle de recherche. Si des personnes dans le groupe des patients non traités ou groupes de référence meurent à quelque moment que ce soit dans l’intervalle de recherche, leurs cas  sont rapportés comme « décès dans le groupe de contrôle ».  Dans le groupe des patients traités, les décès qui se produisent avant la fin du traitement sont rejetés des données, puisque les patients ne remplissent dès lors plus le critère établi par la définition du terme « traité ». Plus cela prend de temps pour satisfaire au traitement, comme par exemple dans une thérapie en plusieurs étapes, pire sera l’erreur…

Si on ne tient pas compte de cet effet, les malignités communes montrent un taux remarquable de similarité dans la survie, que les patients soient traités ou non traités.” […]

[…] L’American Cancer Society prétend que les patients survivent maintenant plus longtemps, grâce aux thérapies orthodoxes. Mais les gens ne vivent pas plus longtemps après avoir eu le cancer, ils vivent plus longtemps après avoir été diagnostiqués avec le cancer. Avec les techniques modernes, le cancer peut-être détecté plus tôt. Le temps entre le diagnostic et la mort est plus long, mais le temps de vie en soi n’a pas augmenté du tout. Ceci n’est qu’une autre manipulation statistique. […]

[…] Comme l’observe le Dr Richardson:

“J’ai vu des patients qui ont été paralysés par une radiation au cobalt de leur colonne vertébrale et après un traitement vitaminique leurs tests HCG étaient très faiblement positifs. Nous avons eu leur cancer, mais la manipulation radiogénique fut telle qu’ils ne peuvent plus marcher… C’est le cobalt qui les aurait tués, pas leur cancer.”

[…]

A suivre…