Archive pour décembre, 2021

« Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique » Robert F. Kennedy Jr (chapitre 2)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , on 30 décembre 2021 by Résistance 71

RFK_RealFauci

Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Décembre 2021

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 1

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 2 – Les profits de Big Pharma sur le dos de la santé publique

Depuis cinq décennies le dr Fauci a exercé un pouvoir considérable pour fortifier la croissance explosive de l’industrie pharmaceutique et son influence corrosive sur les agences gouvernementales de réglementation et de politique de santé publique. Durant sa carrière de cinquante années, le dr Fauci a tissé et peaufiné une vaste et complexe toile d’intrications financières entre l’industrie pharmaceutique et le NIAID ainsi que ses employés, transformant cette agence en une tranquille succursale de l’industrie pharmaceutique. Le dr Fauci a sans relâche fait la promotion de sa relation amoureuse avec Big Pharma en une forme de “partenariat public-privé”.

Depuis sa tour d’ivoire, le dr Fauci a utilisé ses 6 milliards de dollars de budget annuel pour parachever une domination et un contrôle sur une longue liste d’agences et de corps constitués, incluant le CDC, la FDA, les HHS, le NIH, le Pentagone, la Maison Blanche, l’OMS des organisations de l’ONU et se frayer un chemin dans les poches profondes des fondations Gates et Clinton et du Wellcome Trust britannique.

Un budget annuel énorme donne au dr Fauci le pouvoir de faire et de défaire des carrières, d’enrichir ou de punir des centres de recherche universitaires, de manipuler des journaux scientifiques et de dicter non pas juste les protocoles d’étude de sujets variés, mais aussi les résultats de la recherche scientifique à travers le monde. Depuis 2005,  la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) du Pentagone, a dirigé 1,7 milliards de dollars de plus au budget annuel discrétionnaire du dr Fauci afin de blanchir des financements limites sur la recherche sur les armes biologiques, ceci le plus souvent dans une légalité des plus douteuses. Ce financement additionnel du Pentagone fait monter le budget annuel du dr Fauci à 7,7 milliards de dollars, presque le double des dons annuels de la FBMG. En travaillant en relation très étroite avec les laboratoires pharmaceutiques et autres grands pourvoyeurs de fonds, incluant Bill Gates, le plus gros financier des vaccins au monde, le dr Fauci a utilisé de manière consistante son énorme pouvoir pour supprimer les financements, harceler, réduire au silence, et ruiner des scientifiques dont les recherches étaient une menace pour le paradigme Big Pharma et pour récompenser ces scientifiques qui le soutenaient. Le dr Fauci récompense la loyauté envers lui avec de prestigieuses sinécures dans les comités clefs des HHS d’où ces personnes continuent à faire avancer ses intérêts. Lorsque les soi-disants panels “indépendants” d’expertise donnent une licence et recommandent de nouveaux médicaments, le contrôle de ces panels par le dr Fauci lui donne le pouvoir absolu d’expédier ses médicaments et vaccins de prédilection et protégés au travers des obstacles de la réglementation, le plus souvent en sautant des étapes clefs du processus, comme par exemple le test sur animaux ou les études de fonctionnalité et de sécurité sur les humains.

[…]

Durant son demi-siècle comme tsar de la santé publique des Etats-Unis, le dr Fauci a joué un rôle central dans le façonnage d’un monde où les Américains paient le prix le plus fort pour leurs médicaments et souffrent des pires résultats en comparaison des autres pays riches. Les réactions adverses aux médicaments sont parmi les quatre causes principales de mortalité de la nation après le cancer et les attaques cardiaques. La longévité impressionnante du dr Fauci au NIAID est essentiellement due à son grand enthousiasme à promouvoir un agenda pharma-centré.

Sous la gestion de Fauci, le NIAID est devenu le centre de la toile de liens de corruption financière avec l’industrie pharmaceutique. Le NIAID du dr Fauci ressemble bien plus à une entreprise de médicaments qu’à une agence gouvernementale faite pour faire avancer la science.

[…]

En tous points, le dr Fauci a mis en place un système de disfonctionnement conflictuel et de culture de transactions qui a fait du NIAID un appendice sans faille de Big Pharma. Il est devenu impossible de dire où s’arrête le NIAID et où commence Big Pharma et inversement.

Les chercheurs des labos du NIAID agrémentent leurs revenus de positions honorifiques grassement rémunérées qu’ils gagnent dans les séminaires de Big Pharma et en briefant les personnels pharmaceutiques avec de l’information interne au sujet des progrès de certaines recherches sur de nouveaux médicaments se trouvant dans le pipeline du NIAID. Les protégés du dr Fauci font de manière routinière des projets privés pour des labos pharmaceutiques dans leurs labos du NIAID et prennent des contrats de travail en menant des essais cliniques pour les nouveaux médicaments de Big Pharma. Le journaliste et écrivain Bruce Nussbaum rapporte que c’est une pratique standardisée que de voir les employés du dr Fauci empocher de grosses commissions sur les affaires et ainsi d’ajouter entre 10 et 20% à leurs salaires du NIAID avec ce type de boulot.

[…]

Des enquêteurs ont trouvé que le NIAID n’a pas obtenu d’autorisation pour ses “activités externes” dans 66% ou 2/3 des cas.

[…]

Sous une politique secrète et non promulguée des HHS, le dr Fauci et ses collaborateurs du NIAID peuvent personnellement empocher jusqu’à 150 000 US$ par an des médicaments qu’ils ont aidé à développer avec l’argent du contribuable américain.

Le département (ministère) américain des Services Humains et de Santé (HHS) est le propriétaire nominatif d’au moins 4400 brevets. Le 22 octobre 2020, le Government Accountability Office (GAO) des Etats-Unis a publié un rapport intitulé : Biomedical Research : NIH should Publicly Report More Information about the Licensing of its Intellectual Property (Recherche biomédicale : le NIH devrait rapporter publiquement plus d’information au sujet des brevets sur sa propriété intellectuelle). Dans ce document, les auteurs ont rapporté que le NIH a reçu jusqu’à 2 milliards de dollars de revenus de droits depuis 1991, lorsque la FDA a approuvé le premier de ces médicaments. Trois brevets ont généré plus de 100 millions de dollars chacun pour l’agence.

[…]

Les financements du NIAID ont eu pour résultat 2655 brevets et demandes de brevet desquels seulement 95 incluent une assignation par le ministère des HHS en tant que propriétaire. Le dr Fauci a assigné la plupart de ces brevets à des universités, ce qui rend totalement opaque les bénéficiaires commerciaux tout en assujettissant la loyauté des facultés de médecine américaines et des médecins les plus influents au dr Fauci et ses politiques.

[…]

Quelle est la taille de l’entreprise de développement de médicaments du dr Fauci ? Depuis que celui-ci est arrivé au NIH, l’agence a approximativement dépensé 856,9 milliards de dollars. Entre 2010 et 2016, chaque médicament qui a reçu l’accord d’exploitation de la FDA, 210 médicaments différents, avaient pour origine du moins en bonne partie, la recherche financé par le NIH.

Suite à l’agrément d’un médicament, le dr Fauci continue de collaborer avec ses associés de l’industrie pharmaceutique pour la promotion, la décision du prix de vente et des bénéfices de leur nouveau produit. Sur les décennies de la direction de Fauci sur le NIAID, l’agence a formalisé un processus élaboré de négociation contre  les contribuables américains pour permettre à Big Pharma d’engranger les plus gros bénéfices de ces médicaments qui ont germé dans les labos du NIAID. Avec l’aide de l’agence, la chanceuse entreprise pharmaceutique promène le nouveau médicament au travers d’une procédure de mise sur le marché accélérée. Le CDC impose ensuite un prix de vente obscène et exorbitant pour ces produits dans des négociations secrètes. De tels arrangements entre coquins, aux dépends à la fois du contribuable et  du consommateur et les accords de mise sur le marché accélérés peuvent rapporter de gros bénéfices financiers au NIAID, aux employés du NIAID favoris du dr Fauci et à lui-même.

Le dr Fauci a lancé sa carrière en permettant à l’entreprise Burroughs Wellcome (aujourd’hui le labo GlaxoSmithKline ou GSK) de faire payer 10 000 US$ par an pour l’azidothymidine ou AZT, un médicament anti-rétrovirus développé exclusivement par le NIH et testé et approuvé par le dr Fauci lui-même. Celui-ci savait fort bien que le produit ne coûtait à Burroughs Wellcome que 5US$ la dose à la production.

Plus de bénéfices pour les “partenaires” de l’industrie veut souvent dire plus de droits extravagants à payer pour ses sbires du NIH et du NIAID.

Un autre médicament anti-viral développé par Fauci dans sa boutique, le remdesivir,  fournit un exemple récent de magouille à pomper le fric similaire de Big Pharma, le tout facilité par le NIH et le NIAID. Alors que le remdesivir a été prouvé complètement inutile contre la COVID, le dr Fauci a altéré les protocoles d’étude pour donner à son petit dernier l’illusion d’efficacité. Malgré l’opposition de la FDA et de l’OMS, le dr Fauci a déclaré depuis la Maison Blanche à Washington, que le remdesivir “sera le standard thérapeutique” contre la COVID19, garantissant par là même à l’entreprise un énorme marché mondial. Puis le dr Fauci ignora le prix astronomique de Gilead, l’entreprise vendit le remdesivir entre 3300 et 5000 US$ la dose pendant la pandémie COVID. Les matières premières pour produire le remdesivir coûtent à Gilead Science moins de 10 US$ par dose. Le Medicaid (NdT : sécurité sociale américaine) doit, de par la loi, couvrir tout médicament approuvé par la FDA, ainsi donc le contribuable américain a payé et paie la facture. C’est par ces mannes incessantes que le dr Fauci est devenu l’Archange investisseur pour l’industrie pharmaceutique.

Le traitement totalement différent des médicaments brevetés contre ceux bien moins chers hors brevets (NdT : comme maintenant l’HCQ et l’IVM) par les agences fédérales régulatrices de la santé expose très clairement le favoritisme historique du dr Fauci pour des brevets médicaux onéreux qui favorisent outrageusement  et de manière extravagante les bénéfices exclusifs de l’industrie pharmaceutique au détriment de la santé publique.

[…]

Sous le patronage du dr Fauci, les caractéristiques commerciales de ce partenariat ont totalement éclipsé la mission de l’agence de faire avancer la science. Au NIAID, c’est depuis un bon moment la queue qui remue le chien de la santé publique et non l’inverse. Le dr Fauci n’a quasiment rien fait pour faire avancer l’obligation principale du NIAID au développement scientifique et à la recherche des causes des explosions à l’échelle épidémique de maladies comme les allergies chroniques et les maladies auto-immunes qui, sous sa direction, ont proliféré jusqu’à maintenant affecter quelques 54% des enfants américains, une augmentation sur les 12,8% existant lorsque Fauci prit en charge le NIAID en 1984. Tout en ignorant l’explosion des conditions allergiques, le dr Fauci a au contraire refaçonné le NIAID en un incubateur majeur de nouveaux produits pour Big Pharma ; beaucoup d’entre eux ironiquement, profitent de la cascade pandémique des maladies chroniques.

[…]

La plupart d’entre nous désirerait que le “Docteur de l’Amérique” fasse un diagnostique correct de nos maladies en utilisant le meilleur de la science, puis nous instruise sur le comment être en bonne santé. Et si, au lieu de dépenser la totalité de leurs budgets à développer des produits pour remplir les poches de Big Pharma, le dr Fauci et les patrons des autres instituts affiliés au NIH déployaient des chercheurs pour explorer les liens entre le glyphosate (NdT: pesticide de Monsanto trouvé dans son RoundUp) dans la nourriture et l’explosion des allergies au gluten, le lien entre les résidus de pesticides et l’épidémie de maladies neurologiques et de cancers, les connexions causales entre l’aluminium et la maladie d’Alzheimer, entre le mercure des centrales électriques à charbon et l’escalade dans le taux d’autisme chez les enfants et l’association des particules dans l’air et la véritable épidémie d’asthme ? Et si le NIH finançait une recherche pour explorer le lien entre la vaccination infantile et l’explosion de diabète juvénile, d’asthme, d’arthrite rhumatisante et les liens entre l’aluminium des adjuvants des vaccins et les épidémies d’allergies ? Et s’ils étudiaient l’impact du sucre et des boissons gazeuses sucrées sur l’obésité et le diabète et le lien entre les perturbateurs endocriniens, la malbouffe industrielle, les fermes usines et les OGM, sur le déclin dramatique de la santé publique ? A quoi ressembleraient les Américains si depuis 50 ans, nous avions un véritable défenseur de la santé publique, gérant nos agences de santé, au lieu d’une pourriture vendue à Big Pharma ? Le dr Fauci semble ne vouloir que nous donner des diagnostiques et des médicaments qui engraissent ses associés de Big Pharma en lieu et place de santé publique et de couvrir les traces de ses méfaits au moyen d’artifices.

Ses critiques ont comparé le dr Fauci à un grand bureaucrate fédéral le dépassant même dans la longévité : J. Edgar Hoover, qui passa cinq décennies en contrôle dictatorial du FBI pour transformer cette agence en un véhicule protégeant le crime organisé, fortifiant ses associés politiques corrompus, opprimant les Afro-Américains, surveillant sans cesse ses ennemis politiques, supprimant la libre-pensée, le droit de parole et la dissidence, et faisant de l’agence une rutilante plateforme d’un culte de la personnalité ne fonctionnant qu’autour de son ego surgonflé. Plus récemment, Charles Ordeb, biographe de Fauci a fait un parallèle de la carrière du dr Fauci avec le mensonge pathologique d’escrocs sociopathes comme Bernie Madoff et Charles Ponzi…

[…]

Mais le dr Fauci ne fait pas vraiment dans la santé publique. Son régime de 50 années a été catastrophique pour la santé des Américains ; mais en tant qu’homme d’affaires, son succès est sans précédent et sans limites.

En 2010, le dr Fauci déclara à Michael Specter, l’écrivain du New York Times et admirateur de Fauci, que son modèle de gestion politique est le célèbre roman de Mario Puzo “Le parrain” et il récita de manière la plus spontanée qui soit sa réplique préférée du roman épique de Puzo : “Rien de personnel là dedans, c’est juste strictement une question d’affaire.” (“It’s nothing personal, it’s strictly business.”)

A suivre en 2022…

BonBrutetTuand

D’avril à décembre 2021 : pandémie de la peur COVID fabriquée où en est-on ? (Entretien avec la Dr Nicole Delépine avril 2021)

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roulettevaccinale

Entretien en 4-4-2 avec le Dr Nicole Delépine

COVID, test PCR, danger injections OGM, médecine et devoir de soigner

Media 4-4-2

Avril 2021

url de l’article original:
https://lemediaen442.fr/nicole-delepine-le-danger-actuel-nest-pas-le-virus-mais-bien-le-vaccin/

Le Dr Nicole Delépine, pédiatre et oncologue, a publié de nombreux ouvrages et articles scientifiques. Avec son mari, Gérard Delépine, elle a alerté, chiffres à l’appui, sur les dangers et l’inutilité du confinement et des vaccins expérimentaux. Le Conseil de l’Ordre et les médecins qui ne déclarent jamais leurs conflits d’intérêts occupent tous les écrans. Nicole Delépine n’est jamais invitée à donner son avis qui dérange les intérêts des laboratoires. Elle fait partie des « justes », comme le Pr Perronne — dont notre récente interview a été censurée par YouTube —, qui pensent que la médecine est faite pour soigner. Un avis qu’un certain Hippocrate aurait certainement partagé.

« Les appels à la vaccination des enfants qui fleurissent actuellement dans les médias sont criminels »

Le Média en 4-4-2 : Avant de commencer, on va vous poser la question que les médias devraient toujours soumettre à leurs invités médecins : avez-vous des liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique ?

Nicole Delépine : Non, je n’ai aucun lien d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique et n’en ai jamais eu. Merci de poser la question, car la loi de 2011, suite au scandale du Mediator, impose aux médecins cette déclaration et aux médias, y compris les chaînes TV, de l’indiquer (en bandeau par exemple sur l’écran).

Le Média en 4-4-2 : Nous voyons que le gouvernement accélère sa campagne de communication pour pousser à la vaccination. Nous avons de nombreux témoignages de personnes ayant cédé à cette pression ou à celle de leurs proches en se faisant vacciner. Sans parler de ceux qui vont le faire pour « retrouver la vie d’avant »… Quels conseils et arguments clés pouvez-vous nous donner pour convaincre notre entourage de ne pas craquer ?

Nicole Delépine : Cette maladie ne nécessite pas de vaccin ! Le premier argument qui devrait venir à l’idée de tous est le très faible risque mortifère de ce Covid-19 (moins de 0,1 % de la population), très proche de celui d’une grippe sévère, et dont l’âge moyen de mortalité est de 84 ans (soit deux ans de plus que l’âge moyen de la mort dans la population française). Les enfants n’auraient jamais dû être embringués dans ce coronacircus puisqu’ils ne font quasiment jamais de maladie grave, ne contaminent jamais les autres, ni les enfants ni les adultes, et qu’ils acquièrent à cette occasion une immunité plus solide et plus durable que ce que pourraient leur donner les vaccins… Les appels à la vaccination des enfants, qui fleurissent actuellement dans les médias, sont criminels puisqu’ils aboutiraient à les exposer à des risques sans espoir de bénéfice personnel, ni d’ailleurs sociétal, puisque les vaccins n’empêchent pas la transmission de la maladie. Les jeunes adultes ne risquent pratiquement rien non plus et s’ils se contaminent ils constituent peu à peu le futur rempart qui protégera peu à peu la population âgée. Les personnes âgées sont à risque relatif, mais les vaccins qu’on leur injecte ne sont pas non plus dénués de risque, comme l’a alerté l’Agence de santé norvégienne, et ils sont trop peu efficaces. Une récente étude gouvernementale anglaise reconnaît que 70 % des morts attribuées au Covid-19 depuis la vaccination concernaient des personnes ayant reçu les deux doses de vaccins. Un exemple : la mort récente du prince Philip, vacciné en janvier pour la promotion vaccinale, et qui a souffert dix jours plus tard d’une aggravation de ses problèmes de santé qui l’a amené à la mort devrait faire réfléchir.

« Les tests PCR sont une arnaque inventée et imposée par le conseiller de Mme Merkel via l’OMS »

Le Média en 4-4-2 : Ceux qui n’ont comme source d’informations que les médias mainstream pensent qu’il n’existe aucun traitement contre le Covid. Vous nous confirmez que la réalité est tout autre ?

Nicole Delépine : Le Covid-19, comme les autres maladies, doit être traité tôt et il existe des traitements efficaces ! Pour les malades ayant contracté le Covid, et quel que soit leur âge, nous savons depuis février 2020 qu’il existe des traitements médicaux efficaces, à condition qu’ils soient précoces, dès les premiers symptômes de la maladie. Les médicaments efficaces sont nombreux et variés, y compris les plantes comme l’artémisine, un antipaludéen, qui ont permis d’éviter l’épidémie dans les pays africains qui les ont immédiatement utilisés. Plus les mois passent et plus le nombre de médicaments efficaces contre le Covid s’allonge, au-delà des antipaludéens et antibiotiques, des vitamines D et C et du zinc, et des antiagrégants plaquettaires. L’ivermectine prend actuellement la vedette, mais les antiallergiques et antiasthmatiques ont manifestement un rôle. Bref, sans refaire la liste exhaustive, on note que ce virus est largement sensible à de nombreux traitements que les médecins de première ligne devraient utiliser chez les patients présentant des signes cliniques à l’examen clinique.

Le Média en 4-4-2 : Les tests PCR auraient coûté à l’Assurance maladie plus de 4 milliards d’euros depuis leur lancement en juillet. Au-delà de ce coût stratosphérique, ont-ils une quelconque utilité ?

Nicole Delépine : Les tests PCR sont une arnaque inventée et imposée par le conseiller de Mme Merkel via l’OMS ! Le Covid-19, comme toute maladie, devrait être pris en charge par les médecins traitants. Le diagnostic doit être clinique et ne pas reposer sur la supercherie des tests PCR dont les faux positifs sont légion (plus de 97 % chez les asymptomatiques). Ces tests ne doivent en aucun cas être retenus comme critère diagnostique comme l’ont affirmé déjà de nombreuses juridictions, dont celle du Portugal de novembre 2020. D’autant que l’Académie de Médecine vient d’avertir sur les dangers des tests PCR sur prélèvement nasal. Il est temps. Quoi qu’il en soit, il faut que cesse cette tragi-comédie du test PCR à toutes les sauces : pour se rassurer après une sortie ou sur injonction d’un patron ou de la sécu qui ne peuvent légalement vous l’imposer.

« Si ce virus était si contagieux et justifiait le masque (ce qui n’est pas le cas) pourquoi le chercher si loin dans le nez ? »

Le Média en 4-4-2 : Beaucoup se demandent pourquoi ces tests PCR sont-ils enfoncés si loin dans le nez. Beaucoup d’hypothèse circulent… Quel est votre avis ?

Nicole Delépine : Il est clair qu’enfoncer un coton-tige aussi loin dans le nez, atteignant la proximité du cerveau, pour une maladie où l’on n’hésite pas à vous faire promener masqué y compris seul dans une forêt, relève d’une incohérence évidente. Si ce virus était si contagieux et justifiait le masque (ce qui n’est pas le cas), pourquoi le chercher si loin ? Le geste est évidemment à risque et traumatisant, avec danger de méningite. Même si l’accident est rare, pourquoi le courir pour un test non fiable ?

Le Média en 4-4-2 : On a d’ailleurs découvert avec ces tests PCR les « asymptomatiques » ! Quel est votre avis sur ceux-ci ?

Nicole Delépine : Les bien-portants dits asymptomatiques ne sont pas contagieux. Et dans votre tête, il faut être clair, les asymptomatiques appelés avant ce cirque bien portants ne sont pas contaminants ! Une étude sur dix millions de Chinois l’a encore démontrée récemment. Cette coronafolie que nous vivons depuis un an repose sur deux mystifications, la fiabilité du test PCR et la contagiosité potentielle des personnes sans symptômes (inventée aussi par C. Drosten). Faisons tomber ces deux mythes et le château de cartes s’effondre. C’est d’ailleurs ce que s’efforcent de faire l’avocat Reiner Fuellmich et ses collaborateurs.

« Il n’existe aucune raison sanitaire à toutes les mesures prises depuis plus d’un an, qui sont politiques en vue de soumission des peuples et de réorganisation des sociétés »

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Le Média en 4-4-2 : Le Pr Perronne se demande « Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ? » On peut aussi se demander s’ils ne le font pas exprès…

Nicole Delépine : Il n’existe aucune raison sanitaire à toutes les mesures prises depuis plus d’un an, qui sont politiques en vue de soumission des peuples et de réorganisation des sociétés. Le vaccin qu’on veut nous imposer depuis mars 2020, niant les traitements précoces, est un vaste marché potentiel à une centaine de milliards d’euros, même avant leur mise sur le marché comme en témoignent les cours de la Bourse des différents labos. Son deuxième volet est la tentative de mise sous contrôle des populations à l’image de la dictature chinoise qui tente tellement nos gouvernements. Savoir à tout moment ce que fait le citoyen, où il déjeune, avec qui, etc. est un fantasme illustré par le passeport sanitaire et ses équivalents papier ou puce électronique. Mais les peuples occidentaux, pourtant conditionnés à la soumission depuis quelques décennies, n’en sont peut-être pas là, après des siècles imbibés de philosophie des Lumières et de Liberté. La bonne nouvelle est que les États-Unis l’ont déjà rejeté tant dans plusieurs États républicains, qu’au niveau fédéral. Quoique l’Union européenne et ses fidèles serviteurs des entreprises pharmaceutiques espèrent, il est difficile d’imaginer un passeport vaccinal sans les États-Unis ni la Russie…

« La mise sur le marché du vaccin a été obtenue en violant toutes les règles de sécurité »

Le Média en 4-4-2 : Nous sommes donc actuellement en pleine campagne de vaccination qui est, c’est le moins que l’on puisse dire, chaotique. Quel est votre point de vue sur ces « vaccins » ?

Nicole Delépine : Voici en pratique, que retenir sur les vaccins (OGM et thérapie génique) disponibles en France :

Ils sont tous EXPERIMENTAUX : les phases classiques des essais n’ont pas été réalisées et le site clinicaltrials.gov montre pour chaque vaccin que la phase 3 (qui doit traditionnellement être terminée avant commercialisation) ne se terminera pas avant 2023.

La mise sur le marché a été obtenue en violant toutes les règles de sécurité, sans recul aucun sur l’efficacité et les effets indésirables à craindre. Elle est dite « conditionnelle » sur le double mensonge de la gravité de la pandémie (pourtant comparable à celle des autres grippes) et de l’absence de traitement efficace (malgré le traitement Raoult et autres antipaludéens naturels, etc). Les campagnes actuelles de vaccination large réalisent de fait une « phase 3-4 » mais sans la surveillance habituelle des accidents et incidents par le laboratoire. Ce sont les malades qui doivent informer les agences sanitaires.

Ils n’ont démontré aucune efficacité sur l’absence de transmission du virus, sur la protection des vaccinés. C’est ce qu’affirme le ministre Véran répondant au conseil d’État à la suite d’une plainte d’un sujet vacciné réclamant sa libération des contraintes liberticides : « Les vaccinés sont au contraire plus susceptibles de faire des formes graves et d’en mourir, et en tout cas pas protégés à plus de quelques semaines d’autres formes de la maladie dites variants. » Tout ça pour cela, reste l’argent et le contrôle mais aucun rôle sanitaire.

Ils sont à l’origine de nombreux incidents immédiats qui ont poussé la Haute Autorité de santé à étaler les vaccinations des personnels pour éviter les absences bloquant les services. Pire, ils sont d’ores et déjà à l’origine de près de 6 000 décès (hors Grande-Bretagne) reconnus liés par l’Agence européenne depuis le début de la campagne de vaccination versus quelques centaines pour le vaccin H1N1 pourtant retiré du marché beaucoup plus rapidement (chiffres vérifiables sur le site de l’EMA).

De plus ils semblent bien à l’origine de rebonds de l’épidémie dans les pays lourdement vaccinés pendant les quelques semaines qui suivent les vaccinations intensives, épidémie qui se calme ensuite comme dans les autres pays vaccinés ou non. En bref, vous n’avez rien à attendre actuellement des vaccins en expérimentation, si vous n’aimez pas jouer à la roulette russe ou servir de cobaye.

Le Média en 4-4-2 : D’après les gouvernements et l’OMS, la sortie de crise passe donc UNIQUEMENT par le vaccin. D’après ce que vous nous dites, nous savons que ce n’est pas possible. Quelle est donc notre « sortie de crise » à nous ?

Nicole Delépine : Il semble bien que même le gouvernement et le conseil scientifique n’en soient plus là et commencent doucement à rétro-pédaler. La déclaration du ministre relativisant largement le rôle bénéfique des vaccins laisse augurer d’un changement de stratégie devenu indispensable devant les accidents y compris mortels des vaccins utilisés en Union européenne, et les résultats décevants, voire inquiétants, des pays phares de la vaccination. Les arguments d’Olivier Véran adressés au Conseil d’État méritent d’être rappelés :

« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »

Ces affirmations inattendues du ministre de la Santé sur l’incertitude de la capacité de prévention de la transmission du virus par les vaccins anti-Covid sont confirmées par la Haute autorité de Santé :

« Au vu des données limitées à ce jour sur l’impact de la vaccination avec le vaccin d’AstraZeneca sur le risque de transmission du SARS-CoV-2, la HAS insiste sur la nécessité de maintenir l’ensemble des gestes barrières et des mesures de distanciation sociale. »

Le Pr Delfraissy dans un papier au Lancet passé inaperçu avait dès février sonné le glas du confinement :

« Il est temps d’abandonner une politique de la peur centrée sur des confinements itératifs Leur impact a été dévastateur sur l’économie, le chômage, les dettes et la santé mentale, en particulier sur les jeunes, et le pire reste à venir. Continuer à confiner globalement n’est plus tenable même si cela reste attractif pour de nombreux politiques. »

Et même des vaccins :

« Des études suggèrent que l’émergence des variants est corrélée à une réponse immunitaire insuffisante après exposition naturelle ou après vaccination. Si cette évasion immunitaire se généralise, l’espoir de contrôler l’épidémie par les vaccins pourrait être indéfiniment retardée. »

Au total, l’avenir des vaccins anticovid semble bien ressembler à celui du H1N1 dont un bon nombre ont fini dans les poubelles. Il est évident qu’il convient de libérer rapidement la population de toute mesure anticovid partout, comme l’ont fait avec succès plusieurs États républicains ou la Suède d’emblée, et de traiter par les médicaments efficaces les malades qui pourraient consulter un médecin. Les informations des réseaux Sentinelle semblent très rassurants. L’abandon prévisible des vaccins anticovid à plus ou moins court terme est une bonne nouvelle, car il permettra d’enterrer de fait le passeport sanitaire déjà mal en point avec son refus aux États-Unis.

Le Média en 4-4-2 : Nous avons remarqué comme vous une corrélation entre les pays ayant fortement vacciné et l’apparition de variants (anglais, brésiliens, sud-africain…). Certains scientifiques appellent à stopper d’urgence la campagne de vaccination car ils s’inquiètent de voir apparaître un « super-variant » qui serait, lui, très dangereux. Ce risque existe-t-il selon vous ?

Nicole Delépine : Je ne suis pas prophète et ne peux pas prévoir l’avenir. Je ne peux parler que des faits établis. Oui, les virus à ARN mutent fréquemment. Oui, plusieurs études sérieuses ont montré que leur mutation semble favorisée, entre autres, par les vaccins (cinq membres du comité scientifique l’ont reconnu dans le Lancet). Rien ne permet de craindre qu’un futur variant soit plus dangereux. L’évolution naturelle se fait habituellement vers une plus grande contagiosité et une moindre dangerosité. Mais les mutations sont aussi synonymes d’inefficacité des vaccins utilisés (la grippe nécessite un vaccin différent chaque année). Cet échappement immunitaire explique que le vaccin ne sera pas la solution.

« Trop de médecins restent soumis au gouvernement et ont peur des menaces du Conseil de l’Ordre qui les sanctionne s’ils traitent efficacement leurs patients »

Le Média en 4-4-2 : Question très concrète pour tous ceux qui nous liront : demain je tombe malade, sans doute du Covid au vu des symptômes, que me conseillez-vous de faire ?

Nicole Delépine : La première chose à faire si on tombe malade (c’est-à-dire si on a des symptômes cliniques et pas un faux test PCR) est de voir un médecin qui vous examinera… Le trouver est maintenant difficile ! Regardez sur manifestedesmedecinsengagés pour avoir une liste par département. Difficile, car  trop de médecins restent soumis au gouvernement et ont peur des menaces du Conseil de l’Ordre qui les sanctionne s’ils traitent efficacement leurs patients.

En tout cas, si les symptômes se confirment (évitez le test qui ne prouve RIEN !), exigez un traitement efficace précoce soit par ivermectine, soit par hydroxychloroquine et azithromycine  et prenez en plus de la vitamine D et C, du zinc… Surtout ne paniquez pas : le traitement précoce est efficace ! En ce qui concerne les variants, pas de panique on n’en sait pas grand-chose pour les nouveaux mais le principe est le même : faire peur. On peut supposer que ce sera pareil que pour le variant anglais, plus contagieux et moins méchant, comme c’est la règle avec ce type de virus. Et il semble que, au Brésil comme ailleurs en Inde, les zones qui vont mal sont les non traitées. Toutes celles qui traitent précocement à l’ivermectine, par exemple, n’ont pas de mortalité élevée. Le danger actuel n’est pas le virus qui, si on le laisse circuler librement ne fait pas de catastrophe, mais bien le vaccin avec ses gros dangers ! Alors soyez prudents et ne jouez pas les cobayes.

Le Média en 4-4-2 : Vous vous battez sans relâche depuis plus d’un an pour dénoncer ce « coronacircus ». Comment faites-vous pour garder la forme et le moral face aux attaques ? Subissez-vous des pressions de l’Ordre des Médecins ou d’autres organisations ?

Nicole Delépine : Merci ! C’est le combat qui nous permet de tenir ! Et beaucoup de gens connus ou inconnus surtout nous disent que cela les aide aussi  et donc, en quelque sorte, nous poursuivons notre boulot de médecin… Evidemment, l’Ordre des Médecins fait ce qu’il peut  contre nous. Mon mari Gérard avait démissionné de l’Ordre dès sa retraite et donc, comme j’ai gardé une inscription pour autorisation limitée à la famille, je suis poursuivie devant le conseil national en bonne compagnie (Perronne, Raoult, Nicolas Zeller, un généraliste qui a eu le malheur de guérir ses patients avec azithromycine, Joyeux et une autre généraliste ). On verra ! Surtout ce combat est clair  quand on suit l’avocat Reiner Fuellmich par exemple et ses démonstrations percutantes. Ça nous beaucoup aidés aussi.

Lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

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Réforme marxiste et illusion systémique…

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Marx_worker

Entretien de plus de 10 ans, mais intéressant pour constater l’évolution de certains “marxistes” face à la sclérose que la doctrine génère. Ceci dit, son paradigme demeure systémique, étatique et ne peut mener qu’à une impasse.
Pourquoi s’accrocher à l’illusion systémique, la réforme marxiste demeure une bouillabaisse bien indigeste et futile.
~ Résistance 71 ~

Entretien avec Constanzo Preve : Que veut dire être “marxiste” de nos jours ?

Rébellion / OSRE

12 décembre 2021

url de l’article original: http://rebellion-sre.fr/entretien-avec-costanzo-preve/

Sur le sentier étroit et abrupt de l’authentique engagement révolutionnaire

Article paru dans le numéro 33 (2008) de la revue Rébellion.  En Novembre prochain, nous célébrerons les dix ans de la disparition du philosophe italien Costanzo Preve. Nous avons réédité l’hommage que nous lui avions consacré pour participer à la redécouverte de son oeuvre majeure.

Un grand merci à monsieur Y. Branca pour sa traduction et ses notes.

Rébellion : Tu rejettes la pertinence de la dichotomie gauche/droite. Tu as été, semble-t-il, vilipendé pour cela en Italie. Peux-tu expliquer ta pensée à ce sujet ainsi que la genèse de celle-ci ? Comment faire pour traduire politiquement la critique de cette dichotomie ?

Costanzo Preve : Les attaques dont j’ai été l’objet en Italie (et par là-même, la rupture ou l’affaiblissement d’amitiés vieilles de plusieurs dizaines d’années) n’ont pas pu modifier le moins du monde mon programme de travail et de recherches, qui s’étend sur cent quatre vingt degrés ; je ne peux donc admettre le chantage de ceux qui veulent imposer de se borner à l’angle droit. Quand on cherche des voies nouvelles, on a toujours un prix à payer, et je considère que celui que je paie est minime. Comme enseignant à la retraite, je n’ai pas eu à payer économiquement (expulsions politiques, licenciements, refus d’embauche, etc.). Encore une preuve du principe marxiste selon lequel la liberté spirituelle n’est possible que sur la base d’une liberté matérielle qui la précède : dans mon cas, la fonction publique.

Ces attaques ont eu trois raison essentielles: d’abord, mon refus argumenté de la pertinence actuelle de la dichotomie droite/gauche, comme critère pour s’orienter dans les grandes questions politiques, économiques, géopolitiques, et culturelles présentes. Deuxièmement, j’ai accordé des entretiens et collaboré à des revues et des périodiques réputés de «droite » par préjugé, parmi lesquelles les revues françaises d’Alain de Benoist. J’en profite en passant pour dire que je ne considère pas les revues d’Alain de Benoist comme de « droite », que je les considère plutôt comme des revues qui critiquent l’actuelle évolution « mercatiste » de la droite. Si je devais les définir en un mot, je dirais : « revues critiques ouvertes à cent quatre vingt degrés ». Troisièmement, j’ai publié certains livres sans n’avoir fait aucune distinction entre des éditeurs réputés de « gauche »

( Bollati Boringhieri, Citta’ del Sole : La Cité du Soleil)) et des éditeurs réputés de « droite » : ( Settimo Sigillo : Le Septième Sceau, All’ insegna del Veltro : Le signe du Lévrier1). Vous savez bien comme il est difficile d’être publié si l’on est hors des circuits universitaires ou politiques « protégés ». Je n’ai jamais et seulement exigé que deux choses : qu’on ne me demande pas d’argent pour me publier, et aucune censure explicite ni implicite. Il me semblait que j’avais, pour ainsi dire, « joué franc jeu ».

Il n’en a pas été ainsi. Non sans un peu de naïveté, je pensais que, de même qu’un juge s’exprime par ses sentences, et un médecin par ses observations cliniques et ses diagnostics, de même fait un philosophe , par ses positions, absolument indépendantes de la couleur de la couverture du livre où elles sont exprimées. Mais évidemment, ce n’est pas comme cela que les choses se passent. Dans le monde manipulé de la paranoïa politique et identitaire de l’appartenance tribale, les positions philosophiques ne comptent pour rien, ce qui compte, c’est la couleur de la couverture. Et ce problème-là est sans solution, parce que c’est le problème lui-même qui prétend être la solution, et nous sommes dans un cercle vicieux. Je suis certainement un penseur original, mais aussi très modeste. Je suis certain que si des penseurs comme Sartre ou Althusser avaient publié chez des éditeurs considérés comme «  impurs », ils auraient été eux-mêmes passés sous silence.

Et voici, en bref, ce que je pense: la dichotomie Droite/Gauche a globalement exprimé un ensemble de vraies contradictions politiques et sociales, grosso modo, pendant deux siècles : de 1789 à 1989 ; mais cette dichotomie tend à disparaître, en entrant dans une nouvelle phase du capitalisme, que Hegel aurait définie comme « spéculative », et non plus dialectique, où la structure des classes antagonistes subsiste encore, mais ne peut plus être connotée par le conflit entre une bourgeoisie et un prolétariat dans le vieux sens du terme ; et par conséquent , si nous nous trouvons vraiment dans une phase inédite d’un capitalisme absolument post-bourgeois et post-prolétarien, et donc aussi post-fasciste et post-communiste, dans lequel s’est rompue la vieille alliance entre intellectuels et salariés (V. Boltanski-Chiapello2), il est alors inévitable que toutes les anciennes catégories politiques et culturelles dichotomiques soient à redéfinir et à réécrire. Mais c’est cela qui est empêché, présentement, par la force d’inertie, qui ralentit tout, des formes institutionnelles des trois structures de domination : la classe politique d’administration du système, dépourvue de toute conscience malheureuse3 ; le cirque médiatique de manipulation spectaculaire ; la cléricature intellectuelle universitaire de la philosophie et des sciences sociales. Ce ralentissement ne durera pas toujours, mais il peut durer encore pendant tout le cours de la vie terrestre de qui est entré dans le troisième âge, et peut-être bien même du deuxième âge. La genèse de ma pensée doit être reconstituée par d’autres, parce que tout point de vue autobiographique sur soi-même, par définition, n’est pas digne de créance. Mais si je dois répondre à tout prix, je dirai qu’il faut en trouver la genèse dans un processus d’autocritique radicale, interne, du point de vue révolutionnaire marxiste d’extrême gauche auquel j’ai adhéré dans ma jeunesse, dans les trois pays où j’ai vécu et dont je connais bien la langue et la situation politique: l’Italie, la France, et la Grèce. Cette autocritique politique radicale m’a pris plusieurs dizaines d’années ; elle s’est évidemment assortie d’inévitables désillusions existentielles, et de ruptures, quelquefois tragiques, quelquefois comiques, toujours tragi-comiques, avec d’anciennes appartenances et solidarités politiques et culturelles. Mais ici, mon expérience personnelle rejoint celle de ceux de ma génération politique, celle des quarante années qui vont de 1960 à 2000.

Comment faire pour traduire politiquement la critique de cette dichotomie ? Il est bien connu que la principale difficulté pratique et quotidienne consiste à être amalgamés et diffamés comme « fascistes infiltrés » dans le corps sacré de la vraie gauche politiquement correcte. Ces gens de gauche ne sont certainement pas les ennemis principaux, évidemment, mais ils sont les adversaires directs, immédiats, qui de fait empêchent la communication politique et la légitimation culturelle publique de cette position. A court terme, sur la base d’une évaluation réaliste et sans gémissements inutiles, nécessairement impuissants, j’estime que, malheureusement, les conditions politiques et culturelles ne sont pas mûres encore pour que cet obstacle soit surmonté. Je voudrais, évidemment, qu’il en fût autrement. Mais pour le moment, c’est comme cela. Je me rends compte parfaitement que l’ on s’use assez vite, lorsqu’on doit concentrer quatre-vingt quinze pour cent de ses propres efforts pour expliquer qu’ on ne fait pas partie des émules de Barbe-bleue, de Landru, du Marquis de Sade, ou de Jack l’éventreur.

De même que la pensée des Lumières fut la condition préalable et indispensable à la formation consécutive d’organisations politiques, je considère qu’il est aujourd’hui nécessaire qu’apparaisse un équivalent nouveau des anciennes Lumières, qui puisse donner jour à une nouvelle configuration symbolique et philosophique, qui fasse évanouir peu à peu non seulement la dichotomie Droite/Gauche, mais encore tout le cirque des dichotomies qui l’accompagnent : (Athéisme/religion ; Progressisme/ Conservatisme, Bourgeoisie/Prolétariat – dans le vieux sens du terme, Fascisme/ Antifascisme, Communisme/Anticommunisme, etc.). Aujourd’hui, ces dichotomies ne sont pas seulement erronées, elles se sont incorporées à des structures matérielles de pouvoir et de légitimation. Or, la force d’inertie de ces structures parasitaires est énorme.

Et cependant, ce n’est pas une raison pour se retirer dans la vie privée, ou se contenter d’une simple attitude de témoignage culturel, d’ ailleurs nécessaire. Mais le « militant » de cette position doit savoir, hélas, que l’obstacle symbolique de la diffamation sera dévastateur ; et s’il n’en allait pas ainsi, cela voudrait dire que sa propre proposition est inoffensive, et insignifiante. C’est justement parce qu’elle n’est ni insignifiante ni inoffensive, mais explosive en puissance et éruptive, qu’il faut s’attendre à ce que le « vieux monde » symbolique s’accroche et lutte avec bec et ongles avant de disparaître.

R : Que veut dire être «  marxiste » de nos jours ? Que signifie ta position de «  communisme critique » ?

C.P : Se déclarer « communiste critique » est une tautologie, parce qu’il est impossible de ne pas être tout ensemble communiste, et critique. Comme l’a fait remarquer Emmanuel Renault avec justesse, la pensée de Marx se base sur l’idée de critique comme fondement essentiel, d’où il suit que sa prétention propre à la véracité dérive de là-même – mais ceci, Renault ne l’affirme sans doute pas.

C’est du reste ce que Kant appelle un jugement analytique, où le prédicat est contenu dans le sujet. Le communiste est critique comme le corps est étendu.

Alors – pourra-t-on dire – comment expliquer que l’immense majorité des communistes réels (et non l’idée platonicienne du communiste, ou son idéal-type weberien) n’ont pas été critiques, mais acritiques, c’est-à-dire, dogmatiques? Marx lui-même l’a expliqué. Lorsqu’une théorie originairement critique est idéologiquement incorporée à des stratégies de légitimation du pouvoir, vient s’y greffer la fausse-conscience qui est par nécessité celle des agents historiques, et qui est « organisée » en structures administratives de pouvoir. Il s’agit d’un phénomène dialectique, que la seule lecture de la Phénoménologie de l’Esprit de Hegel permet de conceptualiser.

L’idée de critique se retourne dialectiquement en idéologie de légitimation, sitôt que la nécessaire fausse-conscience des agents historiques s’en empare, si la situation historique objective ne permet pas une élaboration communautaire plus appropriée aux possibilités historiques.

En ce qui me concerne, plutôt qu’un « marxiste critique », je suis un marxiste qui essaie, presque toujours vainement, d’être critique. J’y réussis quelquefois, mais pas toujours.

Quant à ce que peut signifier être marxiste aujourd’hui, il faudrait le demander aux quelques marxistes encore en activité. Je ne peux répondre que pour moi-même, en utilisant nécessairement ce petit mot, «  je », que l’écrivain italien Carlo Emilio Gadda4a défini autrefois comme « le plus odieux des pronoms ». Par manque de place, je suis obligé d’être extrêmement synthétique.

En premier lieu, je serais souvent tenté de suivre mon défunt ami Jean-Marie Vincent, qui a indiqué que la première chose à faire pour celui qui veut se relier à Marx, c’est de « se débarrasser du marxis-me ». Mais le contexte symbolique où je me trouve m’oblige malgré que j’en aie à revendiquer fièrement mon marxisme, comme le signe provocateur de mon refus de me confondre avec la pittoresque bande des « soixante-huitards repentis ». Il ne s’agit pas tant du vieil et glorieux mot d’ordre d’ « épater le bourgeois » ; et c’est aussi parce que dans l’entre-temps, le bourgeois est devenu impossible à repérer, et a entièrement «  libéralisé » ses puissances d’indignation. Si nous nous déclarons marxistes en face d’un post-bourgeois d’aujourd’hui, il va nous répondre, comme le marquis de Sade : « Français, encore un effort ! ».

En second lieu, le modèle de Marx demeure le seul à unir une philosophie universaliste de l’émancipation à une théorie des modes de production, et du mode de production capitaliste en particulier. Chez Althusser, j’accepte la critique de l’historicisme et de l’économisme, mais certainement pas celle de l’humanisme. Je considère celui de Marx comme un humanisme révolutionnaire intégral. Je ne crois pas aux sciences de l’histoire. A mes yeux, les seules sciences proprement dites sont les sciences naturelles. Quitte à faire scandale, je tiens Marx pour la troisième et dernière grande figure de la philosophie classique allemande, après Fichte et Hegel (quant à Schelling, pour être bref, je le considère comme un panthéiste romantique et un spinoziste kantien5). Je ne crois pas du tout que Marx soit « matérialiste », à moins d’user de ce terme dans un sens métaphorique, comme une triple métaphore représentant l’athéisme, la « praxis », et surtout la structure si on l’oppose à la superstructure. Je tiens véritablement Marx pour un penseur traditionaliste, parce qu’il se relie à la tradition communautaire de la philosophie européenne, qui s’oppose à la nouveauté de l’individualisme moderne atomisé (Hobbes, Locke, Hume, Adam Smith, et quant à Smith, je partage son approche par Michéa). Je considère Denis Collin comme l’un des penseurs marxistes français les plus intéressants, parce qu’il a eu le courage de critiquer les aspects utopiques de la pensée de Marx, sympathiques mais erronés, devant lesquels, en général, les « marxistes » se prosternent avec vénération.

Pour faire bref, si l’on veut être des critiques vrais, et non pas feints et domestiqués, il faut que la critique adopte ce que Descartes appelait le doute hyperbolique. Se contenter du vieil et ennuyeux doute méthodique n’est digne que d’appariteurs de la philosophie. En un mot, voici ma définition du marxiste critique: c’est celui qui, fidèle à l’anticapitalisme radical de Marx, porte sa critique jusqu’au niveau du doute hyperbolique, sans se laisser épouvanter par la force d’inertie des positions erronées solidifiées en plus d’un siècle (et erronées surtout par historicisme et/ou par utopisme). Tout le reste doit être laissé au libre débat. Lequel, cependant, n’est en fait pas même commencé, nonobstant quelques pionniers courageux (l’un d’eux me vient à l’esprit : Georges Labica, mon ami disparu.)

R : Quels sont les grands axes de ta critique du capitalisme ? Est-ce que la crise actuelle du capitalisme rend légitime un projet communiste de dépassement de celui-ci ?

C.P : Deux remarques préliminaires, avant d’aborder la partie essentielle de ta question.

Premièrement, je ne pense pas qu’il existe quelque chose qui s’appelle un « projet communiste pour dépasser le capitalisme ». Sur ce point, je reste fidèle à la manière dont Marx posait le problème: il ne croyait pas à l’élaboration d’un projet communiste, qu’il tenait pour la formulation d’une utopie. En admettant qu’il soit possible (comme d’ ailleurs je le crois), et que nous puissions nous accorder aussi sur les seuls linéaments généraux de son profil historique, économique, politique, et culturel (et tout cela reste évidemment encore à vérifier), le communisme, à mon avis, n’est pas un projet, mais plutôt un ensemble de conditions économiques, sociales, et surtout culturelles préalables, qui d’ailleurs ne me paraissent pas encore mûres du tout, pour le moment, et sur la base desquelles les agents sociaux concrets peuvent alors éventuellement tenter de greffer des pratiques visant à dépasser la synthèse sociale capitaliste. J’espère que tu apprécieras ma démarche prudente pour définir les choses. Le défaut des groupes communistes d’extrême gauche est justement selon moi celui de se présenter devant des militants et des électeurs avec une sorte de « projet », qu’il s’agirait évidemment d’appliquer. Mais le communisme n’est jamais un projet à appliquer. Si c’est un projet, alors, cela ressemble comme deux gouttes d’eau au défunt communisme historique du XX° siècle mort depuis peu ( 1917-1991), qui était exactement un projet d’ ingénierie sociale, ensemble despotique et égalitaire, sous coupole géodésique protégée ( cette expression est de Jameson6). Il s’agit là d’une conception positiviste, qui trouve sa source non pas chez Karl Marx, mais chez Auguste Comte. Rien là de très grave, évidemment, pourvu qu’on en soit pleinement conscient. Partant, plutôt que de recommencer à se promettre un impossible projet (et déjà, Spinoza disait de se garder de concevoir Dieu comme un sujet qui projette la construction du monde naturel et moral), mieux vaut essayer de construire les conditions culturelles et sociales au sein desquelles, libres de toute omnipotence « projective », les sujets individuels et sociaux puissent développer leurs « potentialités » (ici encore dans le sens spinozien de « puissance » : en France, vous avez le bonheur d’avoir d’excellents commentateurs de Spinoza, comme mon ami André Tosel7).

En second lieu, je crois que c’est une erreur que de relier trop hâtivement les possibilités d’une révolution anticapitaliste à la montée d’une crise structurelle du capitalisme lui-même (comme il me semble que le soit celle qui est en cours, qui a éclaté il y a à peu près un an). Ses deux grands précédents historiques ne sont pas rassurants.

La grande crise du capitalisme qu’on appelle la « grande dépression » des années 1873 à 1896 a donné lieu à la période la plus contre-révolutionnaire de l’histoire contemporaine (colonialisme, racisme, impérialisme, antisémitisme, etc.). Si nous passons à la grande crise de 1929: elle a donné lieu à une période de contre-révolution : fascisme et guerre. Le communisme historiquement constitué en Europe après 1945 (non seulement dans les pays de l’Est, mais aussi en Italie et en France) n’a pas été un résultat de la crise économique, mais exclusivement des victoires militaires de l’U.R.S.S. Par conséquent, sans avoir la place ici d’approfondir ce sujet, j’affirme que je trouve imprudent de fonder d’excessifs espoirs anticapitalistes sur l’existence d’une telle crise, pour grave et structurelle qu’elle soit.

L’axe principal de ma critique à l’égard du capitalisme se base sans aucun doute aussi sur le scandale moral de l’inégalité croissante et sur le scandale culturel des manipulations médiatiques et de la dégradation anthropologique des sujets de l’individualisme absolu, mais je dois reconnaître que ce ne sont pas là pour moi les deux éléments philosophiques fondamentaux. L’aliénation et le fétichisme de la marchandise sont affreux, mais on a toujours pu jusqu’ici, d’une certaine façon, coexister avec eux. Le problème fondamental pour moi consiste dans cette dynamique de développement sans limites de la production capitaliste, et en ceci, que l’infini-illimité (en grec ancien apeiron, comme dans le fragment d’Anaximandre8), est le facteur principal de désagrégation et de dissolution de toute quelconque forme de vie communautaire. Et d’ailleurs, j’interprète la dynamique même de la philosophie grecque classique comme un combat entre l’élément communautaire et l’élément privé ; plus spécifiquement : dans tout le cours de la lutte entre les classes subalternes qui aspirent à sauvegarder la cohésion sociale et économique de la communauté, et les classes supérieures qui visent à dissoudre les liens communautaires, en se libérant de liens de dépendance économique de la communauté, ouvrant ainsi les portes à l’accumulation chrématistique9, dont Aristote avait déjà formulé une critique radicale, qui n’a rien à envier à celle que fit Marx dans d’autres circonstances ( voir, à ce sujet, les développements jamais dépassés de Karl Polanyi10).

Si j’insiste beaucoup sur cette référence aux anciens grecs, ce n’est pas pour faire étalage d’archaïsme ou d’érudition, mais parce que mon interprétation de Marx en est directement influencée. La principale erreur qu’on fait généralement sur le communisme, c’est celle de le considérer comme une sorte d’« affaire privée » des contradictions spécifiques au seul mode de production capitaliste, alors qu’il s’agit au contraire de la forme spécifiquement moderne (moderne = capitaliste) d’ un courant de l’histoire universelle beaucoup plus profond, et de longue durée : celui de la toujours résurgente opposition entre la tendance communautaire, agrégative, solidariste des hommes, et leur tendance individualiste, dissolutive, privative11.

Au moins, ceci est ma conception personnelle et spécifique du communisme. D’où il dérive pour moi, que, paradoxalement (mais c’est un paradoxe dont j’ai bien conscience, et Jean-Jacques Rousseau disait qu’entre paradoxe et préjugé, il faut choisir le paradoxe) Marx a été non seulement un philosophe idéaliste allemand classique, mais encore un grand penseur traditionnel classique, parce que tout simplement il a redéfini et reformulé la tradition communautaire et anti-individualiste (fondée par Aristote dès les temps antiques, renouvelée et présentée d’ une nouvelle manière par Hegel à l‘époque moderne), dans une opposition radicale à la nouveauté individualiste du capitalisme anglais robinsonien12, destructrice de tout fondement communautaire de la société ; fondement que John Locke exprima métaphoriquement par le terme de « substance » (le mot vient de sub stare :être dessous, tenir bon), précisément pour en proclamer l’inexistence, en tant que, selon sa conception de la société privée de toute «substance » ( qui représente la communauté), elle était redéfinie en termes de réseau de relations mercantiles individuelles. David Hume compléta l’ouvrage en concevant une auto-fondation intégrale économique de la société sur l’habitude de l’échange marchand, éliminant toute référence philosophique (le droit naturel) et politique (le contrat social). Jean-Claude Michéa a entièrement raison de dire que la contradiction propre à la « gauche » consiste à nier les conséquences du modèle de Smith, tout en recevant ses présupposés philosophiques et anthropologiques13.

Je pourrais m’étendre sur ce propos ; je dois m’arrêter par manque de place. Mais j’estime qu’il est déjà clair que j’apporte une image radicalement nouvelle de Marx, et des raisons fondamentales qui légitiment une critique du capitalisme après l’échec du communisme historique du XX°siècle tel qu’il fut réellement; et après la découverte des apories du modèle original utopico-scientifique de Marx – cet oxymoron n’est évidemment pas le fruit d’une distraction, il est absolument voulu, et intentionnel.

R :T’intéresses-tu à la géopolitique, et penses-tu que celle-ci puisse être un instrument utile à une théorie critique du capitalisme ?

C.P. : A l’intérieur de l’univers symbolique auto-référentiel de la culture de la gauche au profil politiquement correct, la géopolitique est a priori, en tant que telle, considérée comme « de droite », sans tenir compte de ses différentes écoles et thèses diverses. Ce fait est apparemment incompréhensible, puisque la gauche a en effet dans son pedigree de grands maîtres du « réalisme », de Machiavel à Marx et Lénine, etc. Mais cela provient d’une évolution récente de la gauche elle-même, du réalisme au moralisme; plus précisément, du réalisme stratégique à des doctrines et programmes d’un moralisme testimonial qui n’est pas loin de jouir de son impuissance. Cette fascination de

l’impuissance moraliste testimoniale a toute une génétique, avec deux racines principales. La première est, eu égard aux aspects extrême-ment « réalistes » du communisme historique du XX° siècle récemment décédé (le réalisme d’un Staline, d’un Mao, etc.), l’élaboration d’un sentiment de culpabilité, qui comporte un revirement dialectique de la violence révolutionnaire en programmes d’impuissance moraliste testimoniale. La seconde de ces racines est un sentiment d’im-puissance à former des projets, lequel procède, quant à lui, de l’écrasante menace d’une sorte de dispositif technico-économique inexorable : le Gestell14 de Heidegger, «  l’horreur économique » de madame Forrester, etc.

Il est évident que la géopolitique n’est ni de droite, ni de gauche, et fut toujours pratiquée par tous, de Gaulle, Roosevelt, Hitler, Staline, etc. Le seul fait de s’en occuper représente déjà un acte très symbolique de résistance intellectuelle envers ceux qui prétendrent nous imposer une position de témoignage purement moraliste condamnant tout « réalisme » en tant que tel. Alors qu’en son temps Marx essaya de dépasser Hegel (je n’ai pas ici la place d’examiner s’il y a plus ou moins bien réussi), la gauche voudrait désormais bel et bien enterrer les critiques de Hegel envers ce qu’ il appelle « la belle âme ». L’interprétation la moins mauvaise de la géopolitique qu’on trouve aujourd’hui sur le marché est celle dite « eurasiatique ». Cet avis ne suppose pas du tout mon adhésion à une mystique eurasiatique, qui combine la vieille slavophilie à l’idéalisation de l’empire mongol. Ce qui m’intéresse est une pure géopolitique de défense de l’Europe contre son incorporation à l’empire des U.S.A (V. Jacques Sapir, Emmanuel Todd, Samir Amin, etc.). Mais il est indubitable que Sarkozy et madame Merkel rament en sens contraire, et que par conséquent, ce projet (qui est aussi celui de De Grossouvre, etc.) ne paraît guère actuel. Dommage ! Personnellement, je le partage pour l’essentiel.

R : Les derniers mois, s’est développée ce que l’on a appelé « l’Obamania ». Comment analyses-tu cette nouvelle lubie médiatique, et plus profondément, y vois-tu un nouveau cap adopté par la politique des Etats Unis ?

C.P : Pour moi, je ne crois pas à la légende qui a cours dans la vieille métropole européenne, et selon laquelle Obama aurait été expressément choisi par les Américains pour une opération internationale de lifting d’image, destinée au reste du monde désormais indigné par la politique et les idées de Bush. Les américains sont le peuple culturellement le plus introverti du monde, et comme tous les peuples impériaux et autoréférentiels, dotés d’une idéologie messianique de « destin évident » ( Manifest destiny15), sur des bases bibliques marquées par l’Ancien Testament (et qui servent aussi de fondement symbolique à leur appui intégral au sionisme), ils se fichent complètement de ce que le reste du monde peut penser. Ils votent en partant d’eux-mêmes, et de leur situation économique. J’estime que les causes de la victoire d’Obama sont toutes internes, et qu’elles tiennent à l’éclatement de la grande crise de l’été 2008. Les républicains avaient mené la politique économique la plus oligarchique et inégalitaire depuis la déclaration d’indépendance de 1776, et il s’est donc formé une alliance sociologique et électorale entre les travailleurs et la couche inférieure de la classe moyenne (lower middle class). Pour les U.S.A., je crois qu’Obama, c’est cela, et rien que cela. Je crois que ceux qui se font des illusions sur un changement stratégique dans la situation impériale et géopolitique des U.S.A. seront vite déçus. La stratégie impériale des U.S.A. domine sur tout changement d’image et de classe politique, si important soient-ils.

Voilà pour Obama. Tandis que l’« obamania » est un phénomène européen, fermement piloté par la manipulation médiatique, et particulièrement par la télévision. Le cirque médiatique est assurément poussé par des logiques internes de spectacularisation, devenues très autonomes par commission même, désormais directe, de la politique et de l’économie. Les européens sont devenus comme les sujets provinciaux de l’Empire romain. Après la mort de Vercingétorix étranglé dans une prison de Rome (sort très semblable à celui de Saddam Hussein et de Milosevic), les sujets provinciaux se sont mis à considérer que la domination de Rome était prévisible, et à souhaiter simplement qu’un Marc-Aurèle remplace un Néron. En bref, l’Obamania est un phénomène culturel inspiré par la volonté européenne de servilité envers le gentil empereur noir qui a remplacé le méchant empereur blanc, et aussi par l’espoir dont se flattent les intellectuels de gauche, qui croient que l’empire deviendra multilatéral de soi-même, c’est-à-dire à partir d’en haut.

Ce n’est pas grave. Il y en a encore qui croient au créationnisme et à la terre plate. Mais tôt ou tard, il faudra bien que l’enfant même le plus naïf devienne adulte.

R : Certains voient se développer avec espoir l’expérience boliva-rienne de Chavez au Venezuela. Que penses-tu de ce projet « socia-lisant » ? A-t-il une originalité ?

C.P. : Bien sûr que je suis attentif à l’expérience bolivarienne du Venezuela de Chavez, avec adhésion, solidarité, intérêt, espoir. Je soutiens complètement son solidarisme populaire, comme sa politique d’indépendance à l’égard des U.S.A. Ceci est évident, et ne demande pas d’autres précisions. Mais à ce propos, je tiens à mettre en garde de ne pas retomber dans un vieux défaut européen, l’exotisme révolutionnaire latino-américain de compensation de notre longue et pittoresque impuissance. Au moins, l’exotisme chinois comportait cinq années d’étude des idéogrammes et des monosyllabes à plusieurs tons ; mais l’exotisme latino-américain est plus à la portée de la main, il suffit d’un simple cours de trois mois d’espagnol dans une ambiance d’ « immersion totale ». Pauvre Ernesto Che Guevara, devenu une icône pop de l’esthétique post-moderne ! Il ne l’aurait certes pas voulu, ni mérité. Les pays andins ont le problème de la mise en valeur politique et culturelle des indiens, situation absolument non-européenne, bien qu’idéale pour les touristes politiques européens. Si les portugais sont des brésiliens tristes et introvertis, les brésiliens sont des portugais joyeux et extravertis, et dans ma perspective le Brésil est le pays le plus intéressant pour nous, européens. Toutefois, je n’ai aucune confiance dans le syndicalisme (voir Lula), que je considère comme un phénomène peu intéressant, à la différence du populisme charismatique (voir Chavez), qui l’est beaucoup plus, et adéquat à la culture politique latino américaine (voir à ce sujet les analyses d’ Alberto Buela16, que je partage). Mais le populisme a un défaut : il ne tient que tant que le Chef populaire est vivant et en bonne santé. Le populisme charismatique du parti unique du type communiste vaut certainement mieux, vu l’expérience historique du siècle dernier ; mais cela ne résout pas le problème…

Chavez n’est pas si intéressant par sa culture politique, qui répète de vieux modèles du populisme anti-impérialiste latino-américain, et qu’ en ce qui me concerne, j’ai souvent entendu exposer dans les mêmes termes par des étudiants latino-américains de gauche, dans le Paris des années soixante ; mais par la fonction historique objective qu’ il exerce. Dieu le bénisse et le garde longtemps ! Economie mixte, participation populaire, abandon du stupide « athéisme scientifique », rattachement aux traditions bolivariennes (Guevara était d’ailleurs un bolivariste). Parfait, tant que le prix du pétrole est élevé. Chavez n’est pas important parce qu’il est un modèle, ou parce qu’il offre des livres à Obama. Chavez est important simplement parce qu’il existe. Et c’est déjà beaucoup.

R. : Quelle est ta position sur la construction européenne ? En France, les « souverainistes » rejettent toute idée de projet politique supranational européen. Comment te situes-tu par rapport à ce débat, et penses-tu qu’il soit possible d’envisager un socialisme pour l’Europe ? Aurait-il d’ ailleurs une spécificité ?

C.P. : Les « souverainistes » français, qui pour l’essentiel ont mon approbation et ma solidarité (je suis ici en désaccord avec mon cher ami Alain de Benoist), représentent une version de gauche du gaullisme. C’est donc un phénomène presque exclusivement français, en ce que, hors de France, un vrai gaullisme n’a en effet jamais existé. Je porte en fait sur le gaullisme un jugement positif tempéré, au delà de son profil culturel conservateur (que je ne partage évidemment pas); c’est que je vois l’aspect principal de la contradiction européenne dans l’indépendance de l’Europe à l’égard des U.S.A.

(je tiens, comme vous le voyez, le langage de Mao), et cet aspect principal détermine aussi l’ aspect social du modèle économique européen, qui ne deviendra l’aspect principal (ce que pour le moment il n’est pas encore), que lorsque seulement le premier aspect sera résolu, et que la dernière base militaire américaine devra décamper de l’ Europe. Pas de démocratie athénienne avec une garnison athénienne ou spartiate sur l’Acropole. Je suis helléniste, mais il n’est pas besoin d’être helléniste pour comprendre cela.

L’Italie est un pays complètement dépourvu d’aspiration à la souveraineté nationale (je n’ai pas la place ici d’en montrer les causes, qui se résument dans le fait que le fascisme a entraîné la souveraineté nationale elle-même dans sa défaite méritée); à son sujet, je dois donc, malheureusement, dire avec de Gaulle, que l’Italie n’est pas un « pays pauvre », mais un « pauvre pays »17. C’est triste, mais il y a bien là une douloureuse vérité.

L’Europe, selon moi, n’est pas une nation. Si je pensais qu’elle l’était, et qu’elle peut le devenir en un temps moins long que les temps bibliques, je serais un européiste convaincu. Mais je ne vois pas pourquoi je devrais penser que je suis compatriote des finlandais, ou des estoniens, et non des tunisiens, ou des égyptiens. Une belle confédération d’Etats- nations en Europe me suffirait, en lui en ajoutant peut-être quelques-uns pacifiquement, par autodétermination (comme par exemple les basques, qui méritent, selon moi, d’avoir leur Etat-nation). Quant à un possible modèle de socialisme européen, il ne peut se caractériser que par un communautarisme démocratique, avec la plus complète liberté d’expression et d’organisation politique, constitutionnellement garantie; il n’en est évidemment pas question avec l’O.T.A.N. et les bases américaines. Mais tout cela appartient au futur. Pour le présent, j’aurais voté « non » à la constitution européenne, comme l’ont fait une intelligente majorité de français.

(Réponses traduites de l’italien par Yves Branca)

= = =

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

abolitionsalariat
A bas l’État, à bas la marchandise,
à bas l’argent… à bas le salariat !

« Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique » Robert F. Kennedy Jr (chapitre 1, 3ème et dernière partie)

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RFK_RealFauci

Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Décembre 2021

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 2

Chapitre 3

Chapitre 4

Chapitre 5

Chapitre 6

Chapitre 7

Chapitre 8

Chapitre 9

Chapitre 10

Chapitre 11

Chapitre 12

Chapitre 1 : mauvaise gestion de pandémie

Note des traducteurs : ce chapitre est le plus long du livre, il fait 95 pages + 22 pages de notes bibliographiques. Ce chapitre très important représente à lui seul 25% du bouquin… Tout est à lire, aucune longueur, il fut très très difficile de sélectionner des passages pour la traduction, nous avons fait de notre mieux pour en tirer ce que nous pensons être le plus important à diffuser le plus rapidement possible. De fait, par souci de cohérence narrative et devant la somme des informations présentées, nous avons décidé de traduire plus qu’originellement prévu. Devant la longueur de ce chapitre et pour ne pas faire trop attendre le public francophone qui se doit de connaître cette information, nous avons décidé de publier ce long chapitre en 3 parties… Bonne lecture !

Troisième partie

[1] [2] [3]

V – La solution finale : les vaccins ou l’effondrement

“Le seul moyen de combattre une peste, c’est l’honnêteté.”
– Albert Camus, “La peste”, 1947 –

Durant le printemps 2020, le dr Fauci et Bill Gates ont lourdement bombardé les ondes en prédisant qu’un “vaccin miraculeux” arrêterait la transmission de la COVID, préviendrait de la maladie, mettrait fin à la pandémie et libérerait l’humanité de son assignation à résidence. Même les plus fervents afficionados de la vaccination, les vrais croyants comme les Dr Peter Hotez et Paul Offit ont regardé cette prédiction avec suspicion comme étant bien hardie en la matière. Après tout, depuis des décennies, deux inconvénients majeurs et apparemment insurmontables ont fait échoué toute tentative de créer avec succès un vaccin contre les coronavirus.

Les vaccins à fuite (“leaky vaccines”)

Le premier obstacle est la tendance des coronavirus à muter très rapidement, produisant des variants résistants aux vaccins. Des développeurs de vaccins comme Hotez et Offit doutaient qu’après des décennies d’efforts futiles, les chercheurs puissent d’un coup développer un vaccin anti-COVID donnant “une immunité stérilisante”, c’est à dire oblitérant totalement les colonies virales chez les individus vaccinés empêchant ainsi la transmission et la mutation.

[…]

Des virologistes de renom, incluant le prix Nobel de médecine Luc Montagnier, ont fait remarqué qu’un vaccin non-stérilisant, c’est à dire “à fuite”, ne pourrait pas arrêter la transmission et échouerait ainsi de mettre fin à la pandémie. Pire même, avertit-il, les individus vaccinés deviendraient des porteurs asymptomatiques et des “usines à virus mutants” dont sortiraient des versions résistantes aux vaccins de la maladie ce qui aurait plutôt pour résultat de prolonger et d’intensifier la pandémie au lieu de l’abréger.

Mais Tony Fauci et son associé Bill Gates semblaient avoir une stratégie pour neutraliser la menace des variants. Les deux hommes injectèrent des milliards de dollars de l’argent du contribuable américain et d’argent exonéré d’impôts dans le développement d’une plateforme ARNm pour les vaccins qui, en théorie, leur permettrait de produire rapidement de nouveaux “rappels de vaccins” pour combattre chaque nouveau “variant évadé”. Ce schéma fut le saint Graal de Big Pharma. Les vaccins sont un de ces rares produits commerciaux qui multiplient les bénéfices en échouant. Chaque nouveau rappel de vaccin double les revenus de l’injection initiale. Comme le NIAID est co-propriétaire du brevet de l’ARNm, l’agence était en passe de gagner des milliards de ce pari sur le vaccin coronavirus en produisant des rappels successifs pour chaque nouveau variant, plus il y en a, mieux c’est bien évidemment. La très bonne nouvelle pour Big Pharma est que l’humanité deviendrait dépendante des injections de rappel bi voire tri-annuelles…

[…]

La primauté pathogène

L’obstacle encore compliqué de ces vaccins anti-coronavirus était leur tendance à la “primauté pathogène”, connue également sous le non de “facilitation de l’infection par anticorps” (NdT : pour “antibody-dependent enhancement” ADE), une sur-stimulation de la réponse du système immunitaire qui peut causer de graves blessures voire même la mort lorsque des personnes vaccinées rencontrent subséquemment le virus dans la nature.

Dans les premières expériences, les vaccins anti-coronavirus ont produit une robuste réponse immunitaire à la fois chez les animaux et les enfants, mais ils tuèrent tragiquement les inoculés après ré-exposition au virus naturel ou les rendant très vulnérables à des infections uniquement incapacitantes.

[…]

Le Dr Hotez confessa au comité que ses collègues avaient tué un bon nombre d’enfants par primauté pathogène lors d’expériences sur le virus respiratoire syncytial (VRS) en 1966 et qu’il avait de nouveau rencontré ce phénomène lors de son propre travail sur les vaccins contre les coronavirus, il a vu le même effet se produire sur les furets de tests…

[…]

Le dr Fauci et ses acolytes avaient au moins six stratégies pour gérer ce sombre risque ; elles impliquaient toutes la dissimulation de la preuve de la facilitation de l’infection par anticorps si elle se produisait :

1) La première approche du Dr Fauci était de stopper les essais cliniques sur trois ans à 6 mois, puis vacciner le groupe de contrôle, une prévention qui permettrait d’empêcher la détection des effets secondaires sur le long terme, incluant la primauté pathogène […]

2) En tant que tsar de la COVID, Fauci obstinément refusa de fixer le système défaillant de l’HHS du VAERS (NdT : système informatique de rapport des effets secondaires graves dus aux vaccins quels qu’ils soient), qui systématiquement supprime les rapports concernant les blessures par vaccins. Le système VAERS est co-géré par le CDC et la FDA et accepte les rapports de quiconque. […]

3) La carte dans la manche du dr Fauci était sa capacité de mettre à contribution les entreprises de médias de masse et sociaux pour faire disparaître les rapports d’effets secondaires graves et les morts, que personne n’en parle sur les ondes, dans les journaux, sur internet et donc masquer cette réalité de la conscience du public. Google, Facebook et les chaînes de télévision purgèrent les médecins et les scientifiques qui rapportèrent la primauté pathogène et censurèrent les rapports au sujet des vagues d’effets secondaires néfastes suite à la vaccination.

[…]

Le trafic des courriels montrent que le dr Fauci est entré en collusion directe avec Mark Zuckerberg et les plateformes des médias sociaux pour censurer les médecins qui rapportaient les échecs des vaccins, leurs effets secondaires graves, les décès, de censurer les avocats de la santé public comme moi et d’évincer et de museler les malades qui rapportaient leurs propres effets secondaires et leur vécu. Les magazines scientifiques, si dépendants des mannes de Big Pharma et de sa publicité, refusèrent de manière obligée de publier les études sur les réactions adverses voire mortelles suite aux injections.

[…]

Le 7 octobre 2021, le Dr Robert Malone, inventeur de la technologie ARNm, se plaignait dans un tweet que le peuple américain était pratiquement complètement aveugle à la marée d’effets secondaires graves dus aux vaccins qui tuaient et  handicapaient nos compatriotes : “Le vrai problème est cette satanée presse et ces géants de l’internet. La presse et ces acteurs technologiques agissent pour fabriquer et renforcer un “consensus” autour de narratifs sélectionnés et dûment approuvés. Ensuite, ceci est transformé en arme de combat contre ceux qui s’élèvent contre tout ça, incluant des médecins et scientifiques hautement qualifiés.

4) Le dr Fauci a permis au CDC de décourager la pratique des autopsies dans les cas de décès suivant la vaccination.

[…]

5) Le dr Fauci a peuplé les comités clef de la FDA, du CDC avec des récipiendaires de fonds attribués par le NIAID, le NIH et la FBMG, ainsi que des loyalistes à leur système pour s’assurer que ces injections ARNm soient validées sans qu’il y ait d’études sur les effets secondaires graves sur le long terme.

[…]

6) En faisant vacciner la population entière, le dr Fauci semble vouloir éliminer le groupe de contrôle pour masquer les effets secondaires graves des vaccins.

[…]

cobaye

Regard objectif sur les donnés de choc du vaccin Pfizer 

A la date de publication de ce livre en novembre 2021, seul le vaccin anti-COVID de Pfizer renommé Comirnaty, a gagné l’approbation de la FDA. Bien que ce vaccin sous cette forme ne soit pas encore distribué aux Etats-Unis, sa contre-partie le Pfizer-BioNTech, le même vaccin sous un nom différent, lui l’est, nous allons donc nous concentrer sur ce vaccin. Au 6 octobre 2021, les officiels américains de la santé ont administré plus de 230 millions de doses du vaccin anti-COVID de Pfizer, comparés au 150 millions de Moderna et 15 millions de Johnson & Johnson.

Le sommaire final de l’essai clinique de six mois de Pfizer, le document que le labo a envoyé à la FDA pour agrément, a révélé un point clef de donnée qui aurait du tuer et enterrer cette intervention à tout jamais. Bien plus de personnes moururent dans le groupe vaccinés que dans le groupe placebo pendant les essais cliniques de Pfizer. Le simple fait que la FDA approuva néanmoins le vaccin Pfizer et que la communauté médicale adopta et prescrivit cette intervention à ses patients, est un témoignage des plus éloquents de la résilience de produits les plus inefficaces et les plus nocifs voire mortels, ainsi que de l’incroyable pouvoir de l’industrie pharmaceutique et de ses alliés au gouvernement, pour contrôler le narratif au travers de régulateurs pieds et poings liés, des médecins complices et une grande manipulation médiatique, ce qui a pour effet de submerger le bon sens commun fondamental de la plupart de l’humanité.

[…]

Les données de l’étude clinique de six mois de Pfizer sur le vaccin anti-COVID ont suggéré que, alors que le vaccin empêcherait une seule mort par COVID-19, le groupe des personnes vaccinées a souffert de 4 fois plus d’attaques cardiaques mortelles que les non vaccinés. En d’autres termes, il n’y a eu aucun bénéfice sur la mortalité des vaccins, pour une vie sauvée du COVID, il y a eu 4 attaques cardiaques mortelles en plus.

[…]

Bases de données internationales ou l’augmentation des infections suivant la vaccination anti-COVID

Virtuellement tous les pays qui ont mis en place une campagne d’injection rapide et agressive ont fait l’expérience d’une large augmentation des infections COVID

[…]

Gibraltar

La nation la plus vaccinée au monde avec une couverture vaccinale de 115% (toute la population de 34 000 personnes + des touristes espagnols en visite).

Après cette vaccination éclair, le nombre d’infections par COVID a été multiplié par 5 et le nombre de morts multiplié par 19.

[…]

L’Islande

Dès juillet 2021, l’Islande avait vacciné 80% de ses 360 000 habitants avec une injection et 75% avec deux. A la mi-juillet, le chiffre d’infections COVID quotidien est passé de 10 à 120 avant de se stabiliser à un nombre supérieur à la campagne d’injection. Cette récurrence soudaine a fait dire à l’épidémiologiste en chef d’Islande qu’il serait impossible de parvenir à l’immunité de groupe par la vaccination. “Ceci est un mythe” a t’il publiquement déclaré. “En Islande, les gens ne croient plus du tout à l’immunité de groupe”, d’après l’oncologue et statisticien, le Dr Gérard Delépine.

[…]

Israël

Champion de l’injection Pfizer et pionnier d’une obligation vaccinale de masse, le pays a inoculé 70% de ses 9 millions de personnes avec au moins une dose et pratiquement 90% des personnes à risque avec 2 doses, ce dès juin 2021. Israël qui se gargarisait de son effort de vaccination de masse dure et efficace, est maintenant devenu le modèle mondial de l’échec vaccinal.

L’épidémie a rebondi en Israël plus fort que jamais en juillet 2021, atteignant un record national d’infections de 11 000 cas en un seul jour (le 14 septembre 2021), dépassant de 505 le plus haut pic de janvier 2021.

Le 1er août 2021, la directrice des services de santé publique israéliens, la Dr Sharon Alroy-Preis, annonça que la moitié des infections COVID-19 était parmi les totalement injectés. Des signes de maladie plus grave chez les complètement vaccinés sont aussi en train d’émerger, a t’elle dit, particulièrement chez les plus de 60 ans.

[…]

La primauté pathogène ? Les vaccins anti-COVID sont liés à une augmentation de décès et d’hospitalisations

En août 2021, le dr Fauci et le CDC, ainsi que les officiels de la Maison Blanche, concédaient à reculons que la vaccination n’arrêterait pas la maladie ni ne stopperait la transmission, mais ils dirent aux Américains que les injections les protégeraient des formes les plus graves de la maladie ou de la mort. Il convient ici de dire également que l’HCQ et l’IVM auraient eu de meilleurs résultats à cet effet et ce à bien moindre coût. Le dr Fauci et le président Biden, sans doute poussé par le premier, déclarèrent aux Américains que 98% des cas sérieux, des hospitalisations et des décès se comptaient parmi les non-vaccinés. Ceci était un mensonge éhonté. Les véritables données en provenance de nations ayant pratiqué l’injection, montrent l’inverse de ce narratif, l’augmentation des infections accompagnée d’une explosion d’hospitalisations, de cas graves de la maladie et de décès, s’avèrent être parmi les vaccinés.

[…]

Ces données cimentèrent les suspicions que le très redouté phénomène de primauté pathogène se produisait et était en train de créer le chaos.

Gibraltar

Suite à son record mondial pionnier de la vaccination, Gibraltar a connu un pic immédiat de décès souffrant de 2893 fatalités par million d’habitants. Record européen de mortalité per capita. Dès les premiers jours de la vaccination des personnes âgées, 84 de celles-ci en moururent immédiatement. Un gouverneur général de Gibraltar visiblement en état de choc, déclara que ce fut le plus haut taux de mortalité jamais souffert par les citoyens, plus haut que celui enduré lors de la seconde guerre mondiale.

Angleterre

Sur la période de 7 mois précédents octobre 2021, quelques 60% des 2542 britanniques qui moururent de la COVID étaient des double-vaccinés. Des personnes hospitalisées au Royaume-Uni pour la COVID ces 7 derniers mois, 157 000 étaient double-vaccinés. Il y a eu plus de morts per capita parmi les double-vaccinés que chez les non-vaccinés. Le bureau gouvernemental britannique des Statistiques Nationales rapport que le taux de mortalité par injection anti-COVID montre que par taux ajusté par tranche d’âge, le taux de mortalité jusqu’à octobre 2021 était plus haut chez les vaccinés que chez les non-vaccinés.

[…]

Israël

Les vaccinés représentent la majorité des hospitalisés. Fin juillet 2021, 71% des 118 cas très graves hospitalisés en Israël étaient complètement vaccinés.

[…]

D’après un rapport officiel de l’état israélien, les décès du mois d’août furent plus fréquents chez les vaccinés (679) que chez les non vaccinés (390).

Le 5 août 2021, le Dr Kobi Haviv, directeur de l’hôpital Herzog de Jérusalem rapporta au JT de la chaîne 13 que 95% des patients sévèrement malades de la COVID-19 étaient totalement vaccinés. et que les Israéliens totalement vaccinés constituaient 85% à 90% des hospitalisations générales liées à la COVID-19. Alors que les double-vaccinés faisaient déborder les hôpitaux israéliens, le gouvernement annonça en août un nouveau plan de gestion de sa “pandémie des vaccinés”. Israël a dit qu’il allait mettre à jour sa définition de “totalement vacciné” et requérir 3 voire 4 injections…

[…]

Cape Cod (USA)

[…]

La John Hopkins University est un pilier central de la médecine et un promoteur agressif de la vaccination anti-COVID en particulier. Cette université a reçu des dizaines de millions de dollars de la FBMG et plus d’un milliard de dollars du NIAID et du NIH de Fauci. Mais les données John Hopkins démontrent néanmoins clairement  que les décès COVID atteignent un pic dans beaucoup de pays immédiatement après la vaccination de masse.

[…]

Aux Etats-Unis, les vaccins anti-COVID ont causé un nombre record de décès

Malgré les efforts du CDC pour camoufler le carnage aux Etats-Unis, même le système VAERS qui fonctionne mal, a enregistré des vagues sans précédent de décès documentés après la vaccination de masse anti-COVID

En 1976, Les régulateurs américains retirèrent du marché un vaccin contre la grippe porcine après que celui-ci ait été lié à 25 décès aux Etats-Unis. Par contraste, depuis le 14 décembre 2020 et le 1er octobre 2021, des médecins américains et des familles affligées ont rapporté plus de 16 000 décès et un total de 778 685 effets secondaires et blessures rapportées au travers su système VAERS du Vaccine Adverse Event Reporting System suite à la vaccination de masse anti-COVID. Les sites de surveillance médicale européens ont rapporté 40 000 morts et quelques 2,2 millions de conditions adverses. A cause d’un sous-comptage chronique de ces systèmes, ces chiffres ne sont plus que certainement qu’un fraction de la vérité concernant les décès et blessures occasionnées.

[…]

Les personnels de santé ont inoculé des milliards de vaccins pendant ces dernières 32 années, pourtant en juste huit mois, les vaccins anti-COVID ont tué et blessé bien plus d’Américains que tous les autres vaccins combinés sur trois décennies. Les données VAERS montrent les gros pics, 69,84%, de morts s’étant produites deux semaines après la vaccination, 39,48% dans les 24 heures suivant l’injection. D’après les données de fatalité du CDC, les vaccins anti-COVID ont 98 fois plus de chance de tuer leurs récipients que les vaccins anti-grippaux.

[…]

Comment le CDC a t’il trompé le président Biden ?

Une des tromperies les plus grosses du CDC est de cacher les mortalités vaccinales dans les données en comptant les personnes comme “non-vaccinées” à moins que leurs morts ne se produisent plus de deux semaines APRES la seconde injection. (et le CDC fait une double tromperie sur cette fraude en comptant beaucoup de ces morts par vaccin comme morts COVID…). De cette manière, le CDC capture la vague de décès qui se produit après la vaccination et les attribue tous aux “non-vaccinés”. Ceci ne représente qu’un des nombreux trucs de falsification statistique que le CDC emploie pour cacher les effets secondaires vaccinaux et à faire monter la sauce de la peur du public face au COVID.

Le CDC a utilisé un truc encore plus fumant pour soutenir l’affirmation du président Biden que 98% des hospitalisations et des morts dues aux vaccins étaient en fait des non-vaccinés.

Dans une vidéo du 5 août 2021, la directrice du CDC Dr Rochelle Walensky a révélé par inadvertance le truc principale de l’agence pour fabriquer cette statistique : Walensky a naïvement admis que le CDC incluait les données d’hospitalisation et de décès de janvier à juin 2021 dans ses calculs. La très grande majorité de la population américaine était de fait non-vaccinée durant cette période, cela est donc logique que presque toutes les hospitalisations soient celles de gens non vaccinés. Simplement parce qu’il n’y avait pratiquement aucun américain vacciné durant cette période ! Au 1er janvier 2021, seuls 0,4% de la population américaine avait reçu une injection anti-COVID. A la mi-avril, 37% avaient reçu une ou deux doses et au 15 juin 2021, 43% étaient totalement vaccinés.

[…]

Le vaccin Pfizer n’a reçu l’autorisation d’inoculation des enfants que parce que le labo a manipulé les essais des données et perpétré de graves crimes, comme  la dissimulation de blessure de Maddie de Garay.

[…]

con-plot-iste-rien

La vaccination des enfants est immorale

[…] Le modèle de Kirsh estime qu’environ au moins 600 enfants sont déjà morts des suite de l’inoculation anti-COVID.

[…] Une étude récente publiée dans The Lancet montre qu’un enfant en bonne santé est à risque Zéro pour la COVID, ceci suggérant que la plupart de ces enfants sont morts tout à fait inutilement. Dans les essais cliniques des vaccins, quelques 86% des enfants injectés souffrirent de conditions adverses aux injections et 1/9 a subi des conditions graves en réaction.

[…]

Kirsch demande : “Comment quiconque peut-il considérer comme éthique de soumettre des enfants à des risques avec le simple prétexte que ceux-ci pourraient protéger des adultes. Montrez moi un adulte qui pense que c’est OK et je vous montrerai un monstre..

[…]

Les enfants n’ont rien à gagner du vaccin parce que ces injections n’empêchent ni l’infection ni la transmission et dans trois récentes études publiées par le CDC, le gouvernement britannique et l’université d’Oxford, il n’y a absolument aucune preuve scientifique que les vaccins aient empêché la mort d’un seul enfant.

[…]

La plupart des Américains sont ignorants de ce carnage parce que les entreprises des médias et des réseaux sociaux ont immédiatement effacé les rapports des médecins, des victimes et des familles. Les médias comme CNN et le New York Times ignorent totalement le tsunami des blessures par vaccins et ne rapportent que les morts blâmées sur la COVID.

[…]

La théologie officielle du dr Fauci fait des “non-vaccinés” des boucs-émissaires nationaux, disant que ceux-ci sont plus enclins à diffuser la maladie et ne devraient donc plus être autorisés à participer à la vie sociale et civique. Les données au travers de multiples sources et études dépeignent une réalité bien différente.

En juillet 2021, le CDC a trouvé que les individus totalement vaccinés qui contractent la COVID ont une charge virale plus importante dans les voies aériennes supérieures (ou naso-pharyngées) que les individus non-vaccinés infectés.

Ce qui veut dire que les vaccinés sont tout aussi contagieux que les non-vaccinés. Une étude indonésienne a soutenu cette donnée en démontrant que les individus vaccinés avaient une charge virale 251 fois supérieure du variant mutant Delta que dans la période pré-vaccination.

[…]

Prochain épisode, chapitre 2…

doses

La France de Maocron… Pays du goulag levant et camps de « placement » des non-injectés OGM ou le grand bond en arrière

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Quand on parlait de goulag planétaire ce n’était que du “complotisme”, mais maintenant que ça se met en place, c’est quoi ?… de la voyance ou du réalisme ? Pas de boule de cristal, suffit de lire et d’ouvrir ses oreilles, toutes ces ordures expliquent depuis des lustres leur projet, c’est expliqué dans le détail dans bien des documents. Suffit d’éplucher les documents émanant des think-tanks, ces rouages de la communication oligarchique, tout ou presque y est dit et expliqué.
Le projet est un goulag planétaire et une réduction de la population mondiale de l’ordre de 90-95%. Alors qui va vivre ? Qui va mourir ? Et aussi au passage… Qui décide de qui meurt et qui vit ?…
Certaines questions ne peuvent plus être éludées.
Dans l’article ci-dessous, nous voyons comment la France pense établir son goulag. On n’est plus dans la supputation là, on est déjà dans le “projet de loi”. C’est à dire, c’est pour demain.
Ouvrez les yeux ! Réflexion Organisation Action (directe) Rébellion
Que le tigre de cette année 2022 rugisse (R.O.A.R)… enfin.

Illustration choc: dans le film “La liste de Schlinder” a un moment donné, les nazis raflent des juifs dans un ghetto, un officier nazi et un bidasse contrôlent un groupe et les font allonger à plat ventre par terre. L’officier nazi met une balle dans la tête de chacun des gars. Au dernier, son flingue s’enraye, il le manœuvre pour le faire fonctionner… Le public qui assiste à la scène dans la salle de cinéma est estomaqué et se dit “va y avoir un deus ex machina, quelque chose va sauver le type, ou il va se barrer, ou se lever de rage et foutu pour foutu va se jeter sur les ordures et jouer son va-tout, de preference sur le bidasse dont l’arme fonctionne, profiter de l’effet de surprise, l’instinct de survie quoi… » que nenni, le type reste allongé, le nazi arrange son flingue et lui colle une balle dans la tête, les trouffions s’en vont… fin de la scène qui laisse le public scotché, effet garanti…
Question et sans doute question que Spielberg veut que le public se pose à ce moment au delà de l’horreur de la scène : qu’est-ce qui fait que le type reste allongé et attend la mort, résigné ; chaque être vivant possède un instinct de survie, en quoi celui-ci peut-il être éradiqué ?
Notre question : Sommes-nous devenus comme ce pauvre gars, si résigné qu’il est tétanisé et ne fait rien et se laisse flinguer sans broncher, sans aucune réaction ? Ou allons-nous réagir ? Allons-nous nous laisser mener au goulag et abattre sans broncher ? Ou comprendre, réfléchir, nous unir et réagir en conséquence ?… La vaste majorité de l’humanité aujourd’hui est couchée. Le restera t’elle ? Ceux et celles qui sont prêts à mourir debout en luttant pour les générations futures auront quand même besoin d’un petit coup de main le moment venu. Ceux qui lisent ces lignes sont déjà debout. Votre boulot est que vous en fassiez se lever un ou deux dans votre entourage.
L’oligarchie ne reculera plus, elle est déjà allée trop loin. C’est elle / le système ou nous. A Résistance 71, nous avons déjà choisi et nous aidons d’autres à le faire. C’est le boulot de chacun, de chacune d’entre nous.

On ne peut pas être neutre dans un train en marche, y a même des moments où le train… vaut mieux le louper… mais quand on est dedans, on est tous dans la même galère, mieux vaut pédaler dans le même sens, ça aide grandement.
Pas de solution au sein du système : A bas l’État, A bas la marchandise, A bas l’argent et A bas le salariat, tout le reste n’est que pisser dans un violon !

Dans l’esprit de Cheval Fou
Pour un 2022 de rébellion organisée et émancipatrice.

Hoka Hey !

~ Résistance 71 ~

obeissance_cauchemar

Castex autorise un projet de loi autorisant le “placement” des non-injectés

Arnaud de Brienne

24 décembre 2021

Source:
https://arnauddebrienne.wordpress.com/2021/12/24/urgent-castex-depose-un-projet-de-loi-autorisant-le-placement-des-non-vaccines/ 

Le « placement » des non-vaccinés, c’est-à-dire leur installation forcée dans un lieu qui ne serait pas leur domicile, fait partie des mesures prévues par le projet de loi nº 3714 instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires. Ce texte hallucinant, déposé le 21 décembre à l’Assemblée Nationale, utilise le prétexte sanitaire pour transformer ce pays en véritable dictature. Il autoriserait le gouvernement à prendre des décrets qui nous font basculer dans un régime qui ne s’appelle plus la démocratie. Le texte sur le passe sanitaire devrait être un leurre pour cacher des dispositions qui constituent une rupture majeure avec la logique républicaine.

https://www.slideshare.net/slideshow/embed_code/key/mDbX4hTYWyhIPW Projet de loi passe vaccinal from Société Tripalio

Installer des non-vaccinés dans des lieux d’hébergement loin de leur domicile ? Oui, ce sera possible avec le projet de loi instituant un régime pérenne de gestion des urgences sanitaires, que le gouvernement a déposé au Parlement selon le dispositif de la procédure accélérée, qui limite les débats parlementaires.

Il faut absolument lire ce texte pour comprendre quelle rupture il introduit dans nos traditions démocratiques.

Un projet de loi préparé de longue date

Bien entendu, ce texte n’est pas né avec le variant O Micron et la panique simulée qui l’entoure. Il est préparé de longue date, et cherche à inscrire dans les textes les pouvoirs d’exception que le gouvernement a demandé depuis un an et demi pour gérer la crise avec le brio que l’on connaît.

L’essentiel du texte, qui tient en cinq articles, vise à créer un régime de “crise sanitaire” et un autre “d’urgence sanitaire” qui donneraient des pouvoirs exceptionnels au gouvernement. 

Dans ces pouvoirs exceptionnels, il faut surtout comprendre qu’il s’agit d’autoriser le gouvernement à violer gravement les libertés sans aucun contrôle parlementaire.

Nous vous proposons ici une présentation “panoramique” de ce texte pour en comprendre les enjeux.

Un régime pérenne d’urgence…

Premier point qui en dit long sur les véritables intentions du texte : il s’agit de créer un “régime pérenne” en matière d’urgences sanitaires. Sous-entendu : d’autres épidémies sont à venir, et il faut désormais disposer d’un appareil juridique qui permette d’y faire face.

Ceux qui accusaient le gouvernement de vouloir faire durer les épidémies pour s’arroger des pouvoirs exceptionnels ont été régulièrement taxés de complotisme. 

Ce texte qui comporte 92 pages avec son intéressante étude d’impact montre qu’ils étaient plutôt fine mouche.

L’invention burlesque de l’état de crise sanitaire

Première innovation estomaquante : le gouvernement propose de créer un “état de crise sanitaire”.

Cet état serait proclamé de la façon suivante :

L’état de crise sanitaire peut être déclaré sur tout ou partie du territoire métropolitain ainsi que du territoire des collectivités mentionnées à l’article 72‑3 de la Constitution en cas de menace ou de situation sanitaire grave aux fins de prévenir ou de limiter les conséquences de cette menace ou de cette situation. Il peut également être déclaré, à l’issue de l’état d’urgence sanitaire prévu à l’article L. 3131‑5, afin de mettre fin à la catastrophe sanitaire ou d’en réduire les conséquences sanitaires.

« L’état de crise sanitaire est déclaré par décret motivé pris sur le rapport du ministre chargé de la santé.

Autrement dit, lorsque le gouvernement considérerait qu’il existe une crise sanitaire, il prendrait un décret pour s’arroger des pouvoirs exceptionnels.

Mais qu’est-ce qu’une crise sanitaire  “grave” ? Le texte ne le dit pas, et prend bien garde de ne surtout pas le définir.

Voilà qui s’appelle un chèque en blanc donné au gouvernement pour prendre le prétexte de n’importe quelle grippe pour suspendre les libertés.

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Les pouvoirs exceptionnels en cas de crise sanitaire

En cas de “crise sanitaire”, des pouvoirs exceptionnels sont confiés au gouvernement :

  1. le Premier Ministre peut fixer les prix
  2. le Premier Ministre peut réquisitionner des biens et des personnes
  3. le ministre de la Santé peut décider “le placement et le maintien en isolement des personnes affectées ou contaminées, au sens de l’article 1er du règlement sanitaire international de 2005, ou la mise en quarantaine des personnes susceptibles d’être affectées ou contaminées
  4. le ministre de la Santé peut prendre “toute mesure permettant la mise à la disposition des patients de produits de santé”
  5. le ministre de la Santé peut prendre “toute autre mesure relative à l’organisation et au fonctionnement du dispositif de santé”

On mesure ici l’étendue des pouvoirs exceptionnels accordés au Premier Ministre et au ministre de la Santé.

On notera en particulier que celui-ci aura la faculté de “placer” toute personne susceptible d’être contaminée… Cette violation sans contrôle des libertés est tout simplement hallucinante.

L’état d’urgence sanitaire…

L’état d’urgence sanitaire est une sorte de degré supérieur dans la crise sanitaire. Il est prononcé “en cas de catastrophe sanitaire mettant en péril, par sa nature et sa gravité, la santé de la population”.

Cet état d’urgence serait déclaré par décret en conseil des ministres… “Les données scientifiques disponibles sur la situation sanitaire qui ont motivé la décision sont rendues publiques.”

On ne pouvait imaginer de forme plus simple et plus “dépouillée” pour prendre des décisions de ce genre.

Rappelons que, en l’état actuel des choses, l’urgence sanitaire suppose une loi. On comprend quelle dégradation démocratique le projet gouvernemental introduit.

Les pouvoirs exceptionnels en cas d’urgence sanitaire

En cas d’urgence sanitaire, le gouvernement dispose des pouvoirs exceptionnels de la “crise sanitaire”, et de quelques pouvoirs supplémentaires :

  1. le Premier Ministre peut “réglementer ou interdire la circulation des personnes et des véhicules et réglementer l’accès aux moyens de transport et les conditions de leur usage”
  2. le Premier Ministre peut aussi “interdire aux personnes de sortir de leur domicile, sous réserve des déplacements strictement indispensables aux besoins familiaux ou de santé”
  3. le Premier Ministre peut “ordonner la fermeture provisoire et réglementer l’ouverture, y compris les conditions d’accès et de présence, d’une ou plusieurs catégories d’établissements recevant du public ainsi que des lieux de réunion, en garantissant l’accès des personnes aux biens et services de première nécessité”
  4. le Premier Ministre peut encore “limiter ou interdire les rassemblements sur la voie publique ou dans un lieu ouvert au public ainsi que les réunions de toute nature, à l’exclusion de toute réglementation des conditions de présence ou d’accès aux locaux à usage d’habitation”
  5. le Premier Ministre peut aussi “prendre toute autre mesure limitant la liberté d’entreprendre”…
  6. le Premier Ministre peut enfin “subordonner les déplacements des personnes, leur accès aux moyens de transports ou à certains lieux, ainsi que l’exercice de certaines activités à la présentation des résultats d’un test de dépistage établissant que la personne n’est pas affectée ou contaminée, au suivi d’un traitement préventif, y compris à l’administration d’un vaccin, ou d’un traitement curatif”

On mesure là encore l’étendue des pouvoirs exceptionnels que le gouvernement peut s’accorder sur simple décret lorsqu’une “catastrophe sanitaire” survient, dont on ne mesure pas bien la définition ni les éléments objectifs de déclenchement.

nazisme-covidisme

Des mesures définitivement liberticides

Le chapitre sur les “dispositions communes” concernant la crise sanitaire et l’urgence sanitaire en disent long sur l’implosion prévisible de la démocratie une fois ce texte adopté.

Ainsi, la loi prévoit cette mesure scélérate : “Sous réserve des obligations résultant du droit international et du droit de l’Union européenne, les projets d’actes réglementaires pris sur le fondement des dispositions du présent chapitre sont dispensés de toute consultation préalable obligatoire prévue par une disposition législative ou réglementaire, à l’exception de celles prévues par ce chapitre”.

Autrement dit, les corps intermédiaires ne sont plus consultés lorsque la crise sanitaire arrive. Le gouvernement décide seul.

En outre, les Préfets sont autorisés à prendre eux-mêmes les mesures liberticides que le gouvernement est autorisé à prendre au niveau national.

Les éléments d’une véritable dictature sous couvert de menace sur la santé publique sont posés.

L’inquiétant “placement” des dissidents

Un paragraphe mérite d’être lu très attentivement. Il s’agit du futur article L 3131-12 du Code de la Santé Publique, qui précise le régime du “placement” des personnes.

Cette mesure est prononcée “par décision individuelle motivée du représentant de l’État dans le département sur proposition du directeur général de l’agence régionale de santé”.

Le texte précise que le placement peut “se dérouler, au choix des personnes qui en font l’objet, à leur domicile ou dans des lieux d’hébergement adaptés.”

Le texte apporte deux précisions importantes sur les interdictions qui peuvent être faites aux personnes placées :

« 1° Ne pas sortir de son domicile ou du lieu d’hébergement, sous réserve des déplacements qui lui sont spécifiquement autorisés par l’autorité administrative. Dans le cas où un isolement complet de la personne est prononcé, il lui est garanti un accès aux biens et services de première nécessité ainsi qu’à des moyens de communication téléphonique et électronique lui permettant de communiquer librement avec l’extérieur ;

« 2° Ne pas fréquenter certains lieux ou catégories de lieux.

Enfin, la loi ajoute :

“Lorsque la mesure impose à l’intéressé de demeurer dans le lieu où la quarantaine ou l’isolement se déroule plus de douze heures par jour, elle ne peut se poursuivre au‑delà d’un délai de quatorze jours sans que le juge des libertés et de la détention, préalablement saisi par le représentant de l’État dans le département, ait autorisé cette prolongation.”

Autrement dit, le gouvernement s’arroge le droit de “confiner” strictement les personnes susceptibles d’être contaminées dans des lieux d’hébergement, pendant deux semaines, sans que le juge des libertés ne soit saisi.

Pouvoirs “informatiques” exceptionnels

Enfin, le texte du gouvernement a cette formulation curieuse dont on finit par se demander ce qu’elle vise au juste :

En cas de situation sanitaire exceptionnelle ou pour tout événement de nature à impliquer de nombreuses victimes, notamment les accidents collectifs, les informations strictement nécessaires à l’identification des victimes et à leur suivi, notamment pour la prise en charge de leurs frais de santé, sont recueillies dans un système d’identification unique des victimes.

Mais quels accidents collectifs le gouvernement a-t-il en tête ?

En tout cas, on voit que “l’urgence sanitaire” a bon dos. Elle constitue un véhicule idéal pour faire passer des mesures de fichage très variées, que la CNIL refusait jusqu’ici.

Une rupture avec la démocratie

Dans le principe, utiliser la crise sanitaire pour créer le précédent d’un régime où le gouvernement peut décider, sans autorisation du Parlement (même si nous avons bien conscience de la faiblesse de ce Parlement), de s’octroyer des pouvoirs liberticides de cette importance, en dit long sur l’instrumentalisation du COVID.

Beaucoup, depuis mars 2020, répètent en boucle (et c’est notre cas), que le COVID est le prétexte à autre chose, en particulier à une marginalisation du processus démocratique au profit de la caste mondialisée.

= = =

RAPPELEZ-VOUS TOUJOURS :

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

guignolsdelintox

BonBrutetTuand

Textes modernes fondamentaux pour sortir de la merdasse totalitaire ambiante… (Résistance 71)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, colonialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, société des sociétés, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , on 26 décembre 2021 by Résistance 71

Esprit_Cheval_Fou

26 décembre 2021

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

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Manifeste pour la Société des Sociétés

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Parce qu’il ne fut jamais oublier que… « Nous sommes tous des colonisés ! »

et que comme le disait Howard Zinn: « On ne peut pas être neutre dans un train en marche »

Il est impératif de faire tomber « Les chaînes de l’esclavage » moderne si l’humanité veut aller au delà de la survie… vers la vie, enfin.

Petite piqure de rappel sur « L’histoire du cartel pharmaceutique »

Université, laboratoires, gain de fonction : il court, il court le virus, le virus du bois mesdames…

Meurtre par décret : 1820, USA / 1840 Canada / 2020 France

Le grand timonier de l’apocalypse

Appel à la vie contre la tyrannie étatique et marchande

Sortir de l’hypnose

L’art de ne pas être gouverné

1871-2021 : Recherche esprit communard désespérément

La solution à la crise COVID n’est ni scientifique ni médicale mais… POLITIQUE !

ying-yang-coeur-et-raison
Équilibre universel

Noël et / ou Rébellion…

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desproges-par-rien

« La différence entre dieu et le père noël…
C’est que le père noël, il est vrai … »
~ Coluche ~

R71slogan

« Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique » Robert F. Kennedy Jr (Chapitre 1, 2ème partie)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, média et propagande, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , , , on 22 décembre 2021 by Résistance 71

RFK_RealFauci

Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Décembre 2021

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 2

Chapitre 1 : mauvaise gestion de pandémie

Note des traducteurs : ce chapitre est le plus long du livre, il fait 95 pages + 22 pages de notes bibliographiques. Ce chapitre très important représente à lui seul 25% du bouquin… Tout est à lire, aucune longueur, il fut très très difficile de sélectionner des passages pour la traduction, nous avons fait de notre mieux pour en tirer ce que nous pensons être le plus important à diffuser le plus rapidement possible. De fait, par souci de cohérence narrative et devant la somme des informations présentées, nous avons décidé de traduire plus qu’originellement prévu. Devant la longueur de ce chapitre et pour ne pas faire trop attendre le public francophone qui se doit de connaître cette information, nous avons décidé de publier ce long chapitre en 3 parties… Bonne lecture !

Seconde partie

[1] [2] [3]

III – L’ivermectine

A partir de l’été 2020, des médecins de terrains au contact et soignant des patients avaient découvert un autre remède à la COVID qui égalait l’HCQ dans son rôle de sauveur de vie.

Cinq ans plus tôt, deux chercheurs du laboratoire Merck gagnèrent un prix Nobel pour avoir développé l’ivermectine (IVM), un médicament ayant une puissance jusqu’ici inégalée contre une vaste variété de parasites humains incluant les vers, la cécité des rivières et la filariasis lymphatique. Ce salut a été la seule récompense attribuée par le comité Nobel à un médicament pour maladies infectieuses en plus de 60 ans. La FDA approuva l’ivermectine comme efficace et sans danger pour l’utilisation chez l’humain en 1996. L’OMS inclut l’IVM (ainsi que l’HCQ) dans son inventaire des “médicaments essentiels”. L’OMS a recommandé l’utilisation de l’IVM à des populations entières afin de traiter les parasitoses, cela veut dire que l’OMS considère le médicament comme suffisamment sûr pour le faire administrer à des gens qui n’ont même pas été diagnostiqué d’infections par parasites, ce avec peu ou pas d’effets secondaires. Les notices des boîtes d’IVM indiquent que le médicament est aussi sûr que les médicaments en vente libre les plus populaires comme le tylenol et l’aspirine

Des chercheurs de l’Institut Kitasato du Japon ont publié un article en 2011 décrivant l’IVM en ses termes jusqu’ici jamais utilisés pour un tout autre médicament :

Il y a très peu de médicaments qui peuvent sérieusement s’approprier le titre de “merveille”, la pénicilline et l’aspirine étant sans doute les deux médicaments ayant eu le plus gros impact sur la santé et le bien-être de l’humanité. Mais l’ivermectine peut tout aussi être considérée faire partie de ces prétendants, ceci fondé sur sa versatilité, sa sécurité, et l’impact bénéfique qu’elle a eu et continue d’avoir dans le monde entier, spécifiquement sur les centaines de millions de personnes les plus pauvres au monde.

Trois statues, une au centre Carter, une au QG de la Banque Mondiale et une au QG de l’OMS, honorent le développement de l’ivermectine.

Depuis 2012, de multiples études in-vitro (en labo) ont démontré que l’IVM inhibe la réplication d’une grande variété de virus, le magazine “Nature” a publié en 2020 une étude faisant la synthèse de de 50 ans de recherche trouvant l’IVM “hautement efficace contre les micro-organismes incluant certains virus” et rapportant les résultats dans des études animalières démontrant “les effets anti-viraux de l’ivermectine sur des virus comme zika, dengue, fièvre jaune et fièvre du Nil occidental…

En avril 2020, un article intitulé “Des expériences de laboratoire montre que le médicament anti-parasite ivermectine élimine le virus SRAS-CoV-2 des cellules en 48 heures”, publié par des chercheurs australiens  des universités de Melbourne et du Royal Melbourne Hospital, gagna une attention internationale comme traitement potentiel de la COVID-19.

[…]

De plus, une étude de 2021 a suggéré que le mécanisme biologique clef de l’IVM, l’accroche concurrentielle avec la protéine spike du SRAS-CoV-2, n’était pas spécifique à un variant quelconque  de coronavirus et que par conséquent, à l’encontre des vaccins, l’ivermectine serait sans aucun doute efficace contre tous les variants à venir.

[…]

Le journal scientifique “Annals of Dermatology et de Venerology” a rapporté que dans un EPHAD français, tous les 69 patients, dont la moyenne d’âge était de 90 ans, et les 52 personnels soignant ont tous survécu à la contagion de la COVID-19. Il s’avéra qu’ils avaient tous reçu de l’ivermectine à cause d’une infection de gale dans l’établissement. La COVID décima la communauté environnante, mais seulement 7 résidents et 4 personnels furent infectés et tous avec des symptômes mineurs. Aucun cas ne demanda de mise sous oxygène ou une hospitalisation.

La recherche scientifique suggère que l’ivermectine fonctionnerait au travers de quelques 20 mécanismes différents. Parmi ceux-ci, ‘IVM fonctionne comme un “ionophore”, facilitant le transfert du zinc dans les cellules, ce qui inhibe la réplication virale. L’IVM stoppe la réplication de la COVID-19, de la grippe saisonnière et autres virus par ce mécanisme et autres. Par exemple, en mars 2021, une étude par Choudhury et al., a trouvé qu’ “Il s’avère que l’ivermectine est un bloqueur de la réplication virale, de la replicase et la protease et du TMPRSS2 chez l’humain, ce qui pourrait être la base biophysique se cachant derrière son efficacité anti-virale.

[…]

De plus, l’IVM perturbe la capacité de la protéine spike de s’attacher aux récepteurs ACE2 de la membrane cellulaire humaine, ce qui empêche l’entrée virale dans la cellule. De plus le médicament fait la prévention de la formation de caillots sanguins en s’accrochant à la protéine spike et empêche celle-ci de s’attacher au récepteur CD147 des globules rouges, ce qui autrement provoquerait une agglomération. Lorsque les patients prennent le médicament avant l’exposition au virus, cela fait une prévention de la maladie, ce qui arrête la transmission virale et aide à protéger des communautés entières.

[…]

En moyenne, avec une utilisation prophylactique (préventive), l’IVM empêcha 86% de résultats graves. Sur toutes les études faites, l’IVM a protégé 6 personnes sur 7 qui ont utilisé l’IVM à titre préventif.

[…]

Une étude du Lancet de janvier 2021 a trouvé que l’IVM a réduit dramatiquement l’intensité et la durée des symptômes et de la charge virale des patients.

[…]

Le Dr Kory a témoigné que “L’IVM peut réduire les hospitalisations de près de 90% et le taux de mortalité de 75%.” Kory est un parmi la multitude de médecins de terrain, incluant le Dr McCullough, le ministre de la santé de Floride Joe Ladopo, le professeur Paul Marik, le Dr Joseph Varone et l’inventeur de la technique ARNm, le Dr Robert Malone et bien d’autres, qui pensent que le traitement précoce à l’IVM auraient évité 75 à 80% des décès liés à la COVID et aurait économisé au pays 1000 milliards de dollars en trésorerie.

La COVID-19 a eu pour résultat 6 millions d’hospitalisations et 700 000 morts aux Etats-Unis,” a dit le Dr Kory. “Si l’HCQ et l’IVM avaient été largement utilisées au lieu de leur suppression systématique, nous aurions pu empêcher 75% ou au moins 500 000 morts et 80% des hospitalisations, soient 4,8 millions. Nous aurions épargné aux états des centaines de millions de dollars.

[…]

La “non-recommandation” par le NIH de l’IVM le 14 janvier 2021, émise à l’encontre de la preuve de la sécurité et de l’efficacité de l’IVM contre la COVID-19, fut le premier signal de la détermination évidente de l’agence de supprimer l’IVM. Le NIH affirmait qu’il y avait “une insuffisance de preuve.. pour recommander de manière positive ou négative l’utilisation de l’IVM dans le traitement de la COVID-19”.

Le NIH a voilé son processus d’obtention de cette conclusion de tout le mystère possible, refusant de diffuser l’identité des gens qui prirent part au comité de décision sur l’utilisation de l’IVM et supprima les noms du document qu’il émit suite à de nombreuses demandes de divulgation selon la procédure du FOIA (loi sur la liberté de l’information) et que l’agence devait légalement fournir. pendant un temps, seuls Fauci, Francis Collins et les membres du panel eux-mêmes connaissaient ces identités. Le NIH a pris des mesures extrêmes pour garder ces noms secrets, luttant jusqu’aux tribunaux fédéraux pour protéger de toute transparence le processus de décision.

Alors que Fauci et Collins manœuvraient pour garder dans l’ombre le processus, le CDC, en réponse à une demande séparée sous FOIA, révéla les 9 membres du groupe responsable de la décision. Trois membres de ce groupe Adaora Adimora, Roger Bedimo et David V. Glidden, avaient déclaré des relations financières avec le laboratoire Merck. Un 4ème membre du comité de direction du NIH, Susanna Naggie, recevait 155 millions de dollars de fonds pour continuer la recherche sur l’IVM en suivi de la décision de “non-recommandation” du NIH. La corruption de Naggie n’aurait pas pu continuer si le comité avait voté pour approuver l’IVM.

Aujourd’hui, alors que le dr Fauci est en passe de réussir à ce que les Etats-Unis éliminent l’utilisation de l’IVM, plus de pays l’utilise toujours plus.

En février 2021, le patron de la Tokyo Metropolitan Medical Association a tenu une conférence de presse appelant à ajouter l’IVM au protocole de traitement pour les patients en ambulatoire. Plusieurs états en Inde ont ajouté l’IVM à leur liste de médicaments essentiels pour combattre la COVID-19. Le gouvernement indonésien a non seulement autorisé son utilisation mais a aussi créé un site internet montrant sa disponibilité en temps réel.

Après avoir injecté une 3ème dose du Pfizer, mais voyant toujours un haut taux de contamination COVID, d’hospitalisations et de morts, Israël a commencé à utiliser officiellement l’IVM en septembre 2021, les compagnies d’assurance distribuant l’IVM aux citoyens à haut-risque. El Salvador distribue l’IVM gratuitement à tous ses citoyens.

[…]

“L’IVM a écrasé la COVID-19 à New Delhi”, a écrit le Dr Justus R. Hope, médecin.

[…]

L’énorme et évidente preuve en faveur de l’IVM inclut la meta-analyse hautement regardé du Dr Tess Lawrie. Elle a évalué 15 essais, trouvant des effets à bénéfices cumulateurs pour l’IVM, réduisant la mortalité de 62% et que l’utilisation prophylactique de l’IVM réduisait les infections de l’ordre de 86%.

Le Dr Lawrie est une chercheuse mondialement renommée et est une éminence parmi les scientifiques et agences de santé publique dans le monde.

[…]

Dr Lawrie demanda au Dr Andrew Hill [chercheur à l’OMS] d’expliquer son retournement de veste sur l’IVM, que sa propre analyse avait trouvé particulièrement efficace. “Comment pouvez-vous faire cela ?” demanda t’elle poliment. “Vous provoquez une nuisance considérable”.

Hill expliqua que c’était une question difficile et épineuse, qu’il était dans une situation “difficile” parce que ses sponsors (financiers) avaient mis la pression sur lui. Hill est un virologiste de l’université de Liverpool qui a servi de conseiller pour Bill Gates et la Fondation Clinton. “Il m’a dit que son sponsor était Unitaid.Unitaid est une organisation quasi-gouvernementale de promotion financée par la Fondation Bill & Melinda Gates (FBMG) et plusieurs pays européens dont la France, le Royaume-Uni, la Norvège, l’Espagne et le Brésil, la Corée du Sud et le Chili, afin de faire pression sur les gouvernements (lobbying) pour financer l’achat de médicaments de laboratoires pharmaceutiques multinationaux pour les distribuer aux pauvres d’Afrique. Son objectif principal semble être de protéger les brevets et les droits de propriété intellectuelle des labos pharmaceutiques, ce qui est comme nous allons le voir, une des passions principale de Bill Gates et aussi de s’assurer que les gouvernements paient rapidement la totalité de la facture. Environ 63% du financement de l’organisation provient de la surtaxe sur les billets d’avion. La FBMG détient un siège au comité directeur et dirige le comité exécutif. La FBMG a donné 150 millions de dollars à Unitaid depuis 2005. Des succursales variées de la FBMG comme Global Fund, Gavi et l’UNICEF y contribuent également, comme le fait l’industrie pharmaceutique. La FBMG détient beaucoup d’actions dans beaucoup de compagnies pharmaceutiques qui profitent de cette aubaine. Gates utilise aussi Unitaid pour financer une science corrompue au moyen de chercheurs sous influence comme Hill, qui légitime ses directives politiques à l’OMS. Unitaid a donné 40 millions de dollars à l’employeur de Hill, l’université de Liverpool, quatre jours avant la publication de l’étude de Hill.

Hill, Ph.D a confessé que ses sponsors lui mettaient la pression pour influencer sa conclusion. Lorsque le Dr Lawrie lui demanda qui essayait de l’influencer, Hill répondit : “Je… Je pense que je suis ici dans une position très délicate…

[Note des traducteurs : s’ensuit ici l’entretien de Lawrie et Hill sur 6 pages, à lire dans le livre, il en vaut la peine…]

[…]

En conclusion de la conférence BIRD du 14 janvier 2021, le Dr Lawrie a délivré un monumental discours de clôture, qui devrait être enregistré comme un des discours les plus importants dans les annales de l’histoire médicale. Elle parla en prenant énormément de risques car sa vie sociale et sa carrière reposent largement sur ces mêmes agences qui sont la cible de sa critique acerbe.

La Dr Lawrie a commencé son discours en reconnaissant la miraculeuse efficacité de l’ivermectine ; puis elle dit à l’audience que la suppression de l’IVM était un signe de la corruption envahissante de Big Pharma qui a retourné le cartel médical contre les malades et contre l’humanité.

Elle a appelé à une réforme de la méthode utilisée pour analyser la preuve scientifique.

Elle a dénoncé la corruption de la médecine moderne par Big Pharma et autres intérêts et a attribué la suppression barbare de l’IVM à l’obsession aveugle pour des vaccins plus financièrement profitables.

Elle a fait allusion au rôle de Bill Gates dans la suppression de l’IVM.

Finalement, le Dr Lawrie a suggéré que les médecins forment une nouvelle OMS qui représente les intérêts des gens, des peuples et non des entreprises multinationales et des milliardaires, une organisation qui serait centrée sur le bien-être et la santé des gens.

[…]

Janvier 2021, Syracuse, état de New York, un avocat, Ralph Lorigo, fait une injonction devant un tribunal pour la mère d’un des ses clients, gravement malade de la COVID et hospitalisée. La requête est dirigée contre l’hôpital qui a refusé la demande de la famille de la malade pour qu’elle soit traitée à l’ivermectine. Un juge d’une cour supérieure de l’état de New York acquiesça de suite à la demande de l’avocat. Dans les douze heures de sa prise d’IVM, la mourante commença à récupérer. Deux semaines plus tard, Lorigo obtint un second succès pour un cas similaire et le malade eut une guérison miracle. […] A ce jour, Lorigo a été dans plus de 30 tribunaux plaider la cause de malades. “Les gens pour qui j’ai réussi à obtenir l’IVM à temps sur décision judiciaire ont tous survécu. Les autres sont morts.” Il a obtenu des douzaines de succès dans ses injonctions légales provoquant une pléthore de guérisons. “Les hôpitaux sont tellement arrogants. Ils laissent les gens mourir. Ils reçoivent 37 000 US$ s’ils placent une personne en réanimation pour COVID, ensuite ils les laissent mourir.

[…]

Merck était le laboratoire pharmaceutique originel de l’IVM et a formellement reconnu l’IVM comme sa “merveille médicamenteuse”. Pendant les 40 années durant lesquelles Merck a fabriqué le médicament, jamais il n’a parlé de ces signaux de sécurité concernant la substance. Depuis 1987, Merck a distribué des milliards de doses d’IVM dans le monde entier, de cette substance qui a soigné efficacement et rapidement de la gale, de la cécité des rivières, de la filiariasis lymphatique, de la fibromatose (éléphantisme) et autres parasitoses ce sans effets secondaires néfastes ou préoccupations alarmantes. En 2016, Merck a fourni plus de 200 millions de doses en Afrique.

[…]

Qu’est-ce qui a déclenché la soudaine préoccupation de sécurité de Merck pour son IVM ?

Le brevet exclusif de Merck sur l’ivermectine a expiré en 1996 et des douzaines de labos pharmaceutiques génériques produisent maintenant le médicament pour environ 0,40 US$ la dose, diminuant le profit de Merck dramatiquement. De plus 10 jours avant la découverte par Merck de sa préoccupation concernant la substance, Merck avait signé un contrat d’association dans la fabrication du vaccin anti-COVID Novarax et Emergent BioSolutions alors que celui-ci entamait ses essais finaux.

[…]

De manière plus importante, l’ivermectine est aussi un concurrent à bas profit pour un nouveau produit de chez Merck contre la COVID-19, un médicament très cher antiviral, le molnupiravir, pour lequel Merck a la plus haute ambition financière. De manière ironique, le molnupiravir, formule quasi copie carbone, utilise un mécanisme d’action identique à celui de l’IVM. Ce nouveau médicament va se vendre 700 US$ par traitement, mais seulement si Merck tue son rival bon marché.

Prenons un moment pour considérer le pédigré du molnupiravir, parce que ce médicament a émergé d’un sombre marché noir d’espions, de profiteurs en bio-sécurité et de sous-contractants du Pentagone qui ont joué un rôle clef dans la militarisation et la monétarisation de cette pandémie COVID, vous les rencontrerez plus tard dans ce livre. L’officier de la CIA et développeur d’armes biologiques, Michael Callahan, une des personnes clef dans cette affaire du molnupiravir, a appelé ce groupe d’opérateurs d’armes biologiques de l’ombre son “club de la poignée de main secrète”. Le molnupiravir est un inhibiteur de protease qui reproduit les propriétés antivirales de l’IVM. A l’encontre de l’IVM, le molnupiravir a démontré des signes de sécurité si alarmants que quelques uns de ses co-développeurs à l’université Emory ont protesté contre son introduction dans la Phase I d’essais sur les humains.

Entre autres problèmes, ils citent la possibilité de mal-formations de naissance.

Le patron de Callahan, l’afficionado des armes biologiques et ex-sous-secrétaire au DHHS pour la préparation et réponse à l’urgence, Robert Kadlec, docteur en médecine et promoteur sans scrupule du processus de “gain de fonction”, ayant un pédigré militaire et de renseignement, qui construisit sa carrière en profitant de pandémies surexagérées, créa presqu’à lui seul le stock stratégique national (SSN) de 7 milliards de dollars et le géra comme un fief privé pour enrichir ses amis les gens de son cercle de connexions. Kadlec gère aussi le super secret comité P3CO au sein du NIH, qui donne le feu vert et ne refuse jamais les projets de recherche de “gain de fonction” pour armes biologiques du dr Fauci. Le “gain de fonction” se réfère à des expériences qui modifient intentionnellement un organisme pathogène pour créer la capacité de causer ou d’empirer une maladie, de la rendre plus contagieuse, et/ou de créer de nouveaux pathogènes se généralisant chez l’humain. 

[…]

En juin 2021, alors que la FDA et le NIAID remontaient l’opposition du cartel médical contre l’IVM, le HHS fut d’accord pour acheter 1,7 millions de traitement sur 5 jours de molnupiravir du laboratoire Merck pour 1,2 milliards de dollars, lorsque le médicament obtiendra l’accord de la FDA pour sa mise sur le marché, chose virtuellement garantie alors que Fauci est le roi du médicament à Washington.

[…]

Diaboliser l’IVM comme un “remède pour cheval” était bien entendu ironique étant donné que le NIAID développa initialement la thérapie de remplacement de Merck, le molnupiravir, comme un médicament pour cheval. De plus, appelé l’IVM un médicament pour cheval, c’est comme dire qu’un antibiotique est un médicament pour cheval.. Un grand nombre de médicaments de base, établis de longue date sont bien entendu, efficaces également chez les mammifères, parce qu’ils fonctionnent sur notre biologie partagée, commune. L’efficacité dévastatrice de l’IVM sur les infections par parasites et sa solide histoire médicale depuis 40 ans tant pour sa sûreté que son efficacité, en a fait également un des médicaments vétérinaires les plus prescrits, mais le prix Nobel décroché fut pour ces millions de fois qu’il aida les humains et les avertissements de sécurité à son encontre par le gouvernement étaient parfaitement idiots.

Comparez les résultats et la sécurité de l’IVM par rapport aux deux remèdes anti-COVID choisis par le dr Fauci, le remdesivir, que les infirmières en milieu hospitalier ont nommé “Run death is near”, (NdT : en français “sauvez-vous la mort est proche”, mais ça n’a ni la consonance, ni l’humour du jeu de mots existant en anglais avec cette expression…) et les vaccins anti-COVID. En 30 ans, l’IVM a été associée avec seulement 379 décès. Un impressionnant rapport de sécurité du nombre de décès par dose de 1 / 10 584 408. Par contraste, sur les 18 mois d’utilisation du remdesivir reçu en AUU, environ 1,5 millions de malades ont reçu le médicament pour 1499 morts rapportées soit un taux de 1/1000 doses. Dans le même temps, parmi les récipients des injections anti-COVID aux Etats-Unis durant les dix mois qui ont suivi leur mise en service, le rapport de décès par dose est de 1/13 250. Par conséquent l’IVM est des milliers de fois plus sûre que le remdesivir ou les injections COVID. La science nous indique de plus que l’IVM est bien plus efficace que les deux autres.

[…]

Malgré des affirmations d’empoisonnement de masse, un média local n’a pas pu trouver un seul cas de prise d’IVM ayant mené à la mort ou l’hospitalisation du malade. Les gens clairement ne mourraient pas d’une overdose d’IVM pour cheval. Ils ne mourraient certainement pas de l’IVM correctement prescrite et administrée par voie orale. Mais beaucoup de gens mourraient de COVID non traité !

[…]

Lorsqu’en septembre 2021, le populaire comédien et célèbre hôte de podcast Joe Rogan a annoncé qu’il avait vaincu la COVID en quelques jours en utilisant un cocktail de médicaments impliquant l’IVM, les médias de masse, le gouvernement et les intérêts pharmaceutiques se sont ligués pour le dénoncer, vilipender, diaboliser. Le programme de radio national NPR, qui a reçu 3 millions de dollars de la FBMG, s’est ajoutée à la meute et insinua de manière erronée que Joe Rogan avait pris des doses de cheval. Mais Rogan n’avait jamais pris de la pâte d’IVM vétérinaire. Il déclara avoir discuté avec plusieurs médecins qui lui conseillèrent de prendre le médicament. Il suivit leur conseil et guérit très rapidement.

[…]

Alors que les débuts du molnupiravir approchaient, la guerre contre l’IVM montait de plusieurs crans.

[…]

Le 28 septembre, le New York Times introduisit une nouvelle tactique : rapporter que la demande pour l’IVM de tous ces fadas qui essaient de traiter la COVID-19 avait créé une pénurie du médicament à but vétérinaire et que à tout moment, des animaux allaient commencer à souffrir.

Peter McCullough se moqua de la propagande : “L’IVM est une molécule qui est miraculeusement efficace contre les parasites et certaines infections virales en ayant de multiples voies dans ses mécanismes d’action. C’est une molécule. Elle ne se soucie pas de savoir si elle est utilisée par un cheval, une vache ou un humain. Les règles de la physique et de la chimie sont les mêmes quelques soient les espèces…

Le Dr Pierre Kory se rallie : “L’IVM possède des propriétés multiples. Elle fonctionne contre la COVID le long d’une multitude de voies différentes. En plus d’être anti-parasitique, elle a aussi de puissantes propriétés antivirales et protège même contre les dégâts causés par la protéine spike du virus SRAS-CoV-2.

[…]

IV – Le remdesivir

Anthony Fauci a eu besoin d’utiliser toute son aura et ses manœuvres bureaucratiques qu’il a maîtrisées durant son demi siècle au NIH, pour gagner l’accord de mise sur le marché par la FDA de son vain médicament, le remdesivir. Celui-ci n’a absolument aucune efficacité contre la COVID19 d’après toutes les études légitimes. Pire, c’est un poison mortel, un poison aussi très cher à 3000 US$ de prix de vente du traitement !

[…]

Le défi pour Fauci fut d’abord de tuer l’HCQ et l’IVM, car une reconnaissance par la FDA de ces deux médicaments aurait automatiquement détruit les ambitions de faire passer le remdesivir pour une Autorisation d’Utilisation d’Urgence (AUU)

[…]

Pourquoi le dr Fauci se préoccuperait-il de minimiser tout médicament qui pourrait entrer en concurrence avec le remdesivir ? Cela peut-il avoir quelque à faire avec le fait que le NIH et le NIAID venaient juste de dépenser 79 millions de dollars dans le développement du remdesivir pour Gilead Science, une entreprise dans laquelle la FBMG possède à hauteur de 6,5 millions de dollars d’actions ? La FBMG est aussi engagée dans d’autres accords de développement médicamenteux avec le laboratoire, incluant un co-financement de 55 millions de dollars dans un traitement pour le paludisme développé par Lyndra Therapeutics. Gates a aussi financé la promotion du truvada de Gilead au Kenya. Un autre associé de Gilead, l’US Army Medical Research Institute of Infectious Diseases (l’USAMRIID) du Fort Detrick dans le Maryland, où le médicament fut étudié sur des singes, a aussi contribué au développement du remdesivir à hauteur de plusieurs millions de dollars.

[NdT : Gilead Science a eu pendant de longues années Donald Rumsfeld, ministre de la défense de George W. Bush en fonction lors des attentats du 11 septembre 2001, comme Chairman of the Board, la connexion Gilead, armée et haute sphère politique corrompue ne date pas d’hier…]

[…]

Après la disparition de la menace du virus zika [pour lequel le remdesivir fut déployé sans grand succès], le NIAID a mis quelques 6,9 millions de dollars dans l’identification d’une nouvelle pandémie contre laquelle redéployer le remdesivir. En 2018, Gilead entra le remdesivir dans un essai clinique financé par le NIAID contre le virus ébola en Afrique.

C’est pour cela que nous savons que Fauci était parfaitement au courant de la toxicité du remdesivir lorsqu’il orchestra son approbation par la FDA pour les malades de la COVID. Le NIAID sponsorisa le projet. Le dr Fauci avait un autre médicament incubé par le NIAID, le ZMapp, dans le même essai clinique, testant l’efficacité contre ébola ainsi que deux médicaments d’anticorps monoclonaux expérimentaux. Les chercheurs planifièrent d’administrer les quatre médicaments à des malades d’ébola en Afrique sur une période de 4 à 8 mois.

Mais 6 mois dans l’étude, le comité de révision de sécurité soudainement retira les deux médicaments de Gilead, le remdesivir et le ZMapp de l’essai. Il s’avéra que le remdesivir était extrêmement dangereux. En 28 jours, les patients qui furent soumis au remdesivir eurent des effets secondaires létaux, incluant l’arrêt de fonctionnement de plusieurs organes, sévère insuffisance rénale, choc septique et hypotension. 54% des patients du groupe remdesivir moururent, le plus haut taux de mortalité des quatre médicaments testés. Le médicament de Fauci, ZMapp, eut le second taux de mortalité à 44%

[…]

Mais tout antiviral breveté et réassigné qui était efficace contre la COVID pour sa prévention ou son traitement précoce (comme l’IVM et l’HCQ) pouvait tuer dans l’œuf tout son programme vaccinal parce que la FDA ne pourrait pas accorder une AUU pour ses injections. Le remdesivir était un remède inoculé en intra-veineuse (I.V), approprié pour l’administration à des malades hospitalisés déjà en stade avancé de la maladie. Il ne serait donc pas en concurrence avec les vaccins, permettant au dr Fauci de le soutenir sans compromettre son business principal. De plus, alors que l’IVM et l’HCQ étaient hors délai de brevet et disponibles de manière générique (hors marque), le remdesivir quant à lui avait l’avantage d’être toujours sous brevet et donc bien rentable. L’avantage de gros profits potentiels était impressionnant. Le remdesivir coûtait 10 US$ par dose à Gilead à la production. Mais en accordant une AUU à Gilead, les régulateurs pouvaient forcer la main  des assureurs privés, Medicare et Medicaid de payer quelques 3120 US$ par traitement, des centaines de fois le prix de production du médicament. Gilead Science avait prédit 3,5 milliards de recettes pour la seule année 2020.

Fauci n’a pas eu soudainement l’idée que le remdesivir pourrait marcher contre la COVID en janvier 2020. Dans une de ses extraordinaires visions, au début 2017, le dr Fauci paya 6 millions de dollars à son gourou du “gain de fonction”, Ralph Baric, microbiologiste à l’université de Chapel Hill Caroline du Nord, pour accélérer le remdesivir comme remède contre coronavirus au laboratoire de haute sécurité de Wuhan en Chine. Baric utilisa des cultures de coronavirus obtenus de chauve-souris par des virologistes chinois qui travaillaient avec l’Eco Heallth Alliance de Peter Dasrak, autre récipiendaire des largesses financières de Fauci. Ce dernier démontra son intérêt principal dans ces expériences en envoyant ses dévoués adjoints, Hugh Auchincloss en 2018 et Cliff Lane en 2020, pour négocier avec le gouvernement chinois et pour superviser les expériences de Baric au labo de Wuhan et ailleurs en Chine. Baric affirma que ses études sur les souris ont montré que le remdesivir ralentissait la réplication du virus SRAS-CoV-1, et que cela pourrait s’appliquer à d’autres coronavirus. Des chercheurs chinois au laboratoire de Wuhan à l’académie militaire des sciences de l’Institut Médical Militaire de l’Armée de Libération du Peuple, firent leur propre demande de brevet dans “le but de protéger les intérêts nationaux chinois”.

Début mars 2020, la Fondation Gates débloqua 125 millions de dollars de financements exonérés d’impôts pour soutenir les fabricants de médicaments pour le traitement des coronavirus.

[…]

Pour l’HCQ, le dr Fauci demanda des essais randomisés très structurés en double aveugle avec contrôle placebo et mit en garde contre l’utilisation de l’IVM comme traitement. Par contraste, Fauci donna le feu vert les études subséquentes sur le remdesivir dans lequel le groupe de contrôle n’avait pas reçu un véritable placebo. Au lieu de cela, les chercheurs de Fauci n’utilisèrent pas de placebo chez les patients plus avancés dans la maladie et donnèrent au reste des patients un “comparatif actif” contenant les mêmes agents de traitement que le protocole utilisés dans le remdesivir, simplement en substituant la substance sulfobutyl pour le remdesivir en tant qu’agent de test. L’utilisation de soi-disants “toxiques” ou “spiked” placebo aussi connus sous le vocable de “fauxcebos” (NdT: en français dans le texte], est un truc frauduleux que le Dr Fauci et ses chercheurs ont mis au point sur une période de 40 années de maquillage des effets secondaires graves de médicaments toxiques pour lesquels ils recherchaient une autorisation de mise sur le marché.

[…]

Les chercheurs en fait ont changé le point de clôture de l’essai deux fois dans un effort de créer une bien maigre illusion de bénéfice pour la santé. Les nouveaux points de clôture de Fauci ont permis au médicament de montrer un bénéfice, non pas d’augmenter les chances de survivre la COVID, mais de parvenir à écourter le passage en hôpital. Et pourtant, ceci également était une supercherie, parce qu’il s’avéra que presque deux fois plus de sujet remdesivir que de sujets soumis au placebo ont du être réadmis à l’hôpital après en être sortis., ce qui suggère que le temps de guérison de Fauci était du en fait, du moins en partie, à avoir laissé partir les malades soignés au remdesivir trop prématurément.

[…]

Avant que son étude [du Dr Cliff Lane du NIH] ne fut achevé ou révisée par les pairs et encore moins publiée, le dr Fauci apprit que The Lancet venait juste de publier une étude chinoise avec groupe de contrôle placebo qui montrait le remdesivir comme étant absolument inefficace à maintenir les malades avancés en vie OU à réduire la duré de leur hospitalisation. Plus important encore, le remdesivir ne diminuait en rien la présence du virus dans le sang ; pire encore, l’étude chinoise démontrait la toxicité mortelle du remdesivir. Les régulateurs chinois mirent un terme à cet essai à cause de ses effets létaux potentiels. Le remdesivir provoquait de graves conditions chez 12% des patients, comparé à 5% dans le groupe placebo. A l’encontre de l’étude du dr Fauci, l’étude chinoise était randomisée en double aveugle, avec un groupe de contrôle placebo réel, multi-centrée et peer reviewed, publiée dans le plus grand magazine scientifique au monde The Lancet. Toutes les donnés sous-jacentes étaient disponibles à la presse ou au public curieux et mal informé.

Par contraste, l’étude du dr Fauci avec le NIAID et Gilead Science était à ce stade, non publiée, non révisée par les pairs (peer-reviewed) et les détails en étaient soigneusement cachés. Elle employait un groupe placebo bidon et avait souffert d’un changement de protocole à mi-parcours. En avril, les Chinois annulèrent deux essais cliniques avec le NIAID en Chine parce que la Chine avait réussi à mettre fin à la pandémie COVID sur son sol et les chercheurs ne pouvaient plus identifier suffisamment de malades de la COVID pour participer à l’étude…

[…]

Le dr Fauci déclara à une presse bien crédule : “Les données montrent que le remdesivir à un effet positif clair et significatif en diminuant le temps de guérison.” Il affirma que son étude avait donc démontré que le remdesivir était très bénéfique contre la COVID et qu’il avait décidé qu’il ne serait pas éthique de refuser aux Américains les bénéfices de ce merveilleux médicament.. Il déclara qu’il mettait fin à l’étude et qu’il allait donné du remdesivir au groupe placebo. Le remdesivir serait donc le nouveau “standard de soin” contre la COVID-19. Tout ceci n’était bien entendu que mensonge.

[…]

Sur la base de la représentation de Fauci, le président Trump fit acheter le stock mondial entier de remdesivir pour les Américains. L’Union Européenne signa un “accord de livraison” avec Gilead en attente de 500 000 traitements.

Le jour d’après l’annonce du dr Fauci à la Maison blanche, l’université de Caroline du Nord publia un communiqué de presse intitulé : “Le remdesivir développé en association avec l’UNC-Chapel Hill, est efficace contre la COVID-19 dans des essais cliniques sur humains menés par le NIAID”. Le magicien du gain de fonction du dr Fauci, le dr Ralph Baric, a appelé cela “un grand changement pour le traitement des malades atteints de la COVID-19”.

[…]

La reconnaissance par la FDA du remdesivir comme le nouveau “traitement standard” pour la COVID veut dire que Medicaid et les compagnies d’assurance ne pouvaient légalement plus le refuser aux malades et devraient payer le prix exorbitant de Gilead sur un produit pour lequel le contribuable américain avait à ce moment là, dépensé quelques 85 millions de dollars pour son développement. Pour améliorer la situation financière de Gilead encore plus, les médecins et les hôpitaux qui n’utiliseraient pas le remdesivir pourraient maintenant être poursuivis en justice pour mauvaise pratique de la médecine, menant certains experts médicaux à penser que forcer l’utilisation de ce médicament inutile et dangereux sur les malades de la COVID a plus que certainement coûté la vie de quelques centaines de milliers de malades.

Comme nous le verrons plus tard, Fauci copia le script bien chorégraphié d’acquisition d’AUU depuis une formule qu’il développa durant ses premières années avec la recherche sur le SIDA, script qu’il réutilisa tout au long de sa carrière pour gagner des autorisations de mise sur le marché de médicaments inefficaces et dangereux. Encore et encore, il a mis un terme aux essais cliniques de ses médicaments dès que ceux-ci présentaient les premiers signes d’une toxicité cataclysmique.

[…]

Puis, le 19 octobre 2020, trois jours avant l’accord de la FDA sur le remdesivir, l’OMS publia une étude définitive sur le médicament impliquant 11 266 malades de la COVID dans 405 hôpitaux de 30 pays. La puissance de cette étude minimisa le projet Fauci / Gilead, qui avait recruté 1062 malades. Dans l’étude de l’OMS sur le remdesivir, celui-ci échoua à réduire la mortalité et échoua à réduire le besoin de mise en réanimation des malades OU le temps de leur hospitalisation. Les chercheurs de l’OMS ne trouveraient aucun bénéfices détectables pour le remdesivir et ils déconseillèrent son utilisation pour traiter les malades de la COVID-19.

[…]

Beaucoup de médecins pensent que le record de fatalités à la COVID dans notre pays [aux Etats-Unis] est au moins dû en partie à la vaste utilisation du remdesivir en 2020. “Nous avons eu le plus de morts au monde”, dit le Dr Ryan Cole. “C’est une question qui nous hante : combien de ces Américains furent des victimes du remdesivir?”

Pendant plusieurs mois, nous fûmes le seul pays au monde à traiter les malades de la COVID avec un médicament prouvé létal.

[…]

Le Dr Peter McCullough nous donne un résumé court, clair et concis : “Le remdesivir a deux problèmes en un : d’abord, il ne marche pas et ensuite il est toxique et tue les gens.

A suivre…

BonBrutetTuand

Religion covidiste, dictature sanitaire et ignominie pseudo-vaccinale : 2021, l’An II en dessins…

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R71slogan

Les dessins sont classés par ordre chronologique du déroulement de l’année depuis le mois de janvier jusqu’à décembre 2021 ou COnVID An II, S.A.A.W (Seconde Année Après Wuhan)…
Chapeau bas aux artistes au passage !…

Résistance 71

20 décembre 2021

oswaldo-guayasamin7

Tintin_Vaccination_Volontaire

pinocchiovid

coronacircus

aujourdhui_demain

antiterrorisme-covidelire

CoVax1

covid-mettre-le-masque-et-la-plume

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nazisme-covidisme

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couillonavirus

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just-fuck-it-omicron

Il n’ y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu…
et ne saurait y en avoir !

Esprit_Cheval_Fou

« Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique » Robert F Kennedy Jr (Chapitre 1 / 1ère partie)

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RFK_RealFauci

Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique

Larges extraits

Robert F. Kennedy Jr

Skyhorse Publishing, novembre 2021, 450 pages

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Décembre 2021

La présentation de ce projet de traduction (Résistance 71)

Introduction

Chapitre 2

Chapitre 1 : mauvaise gestion de pandémie

Note des traducteurs : ce chapitre est le plus long du livre, il fait 95 pages + 22 pages de notes bibliographiques. Ce chapitre très important représente à lui seul 25% du bouquin… Tout est à lire, aucune longueur, il fut très très difficile de sélectionner des passages pour la traduction, nous avons fait de notre mieux pour en tirer ce que nous pensons être le plus important à diffuser le plus rapidement possible. De fait, par souci de cohérence narrative et devant la somme des informations présentées, nous avons décidé de traduire plus qu’originellement prévu. Devant la longueur de ce chapitre et pour ne pas faire trop attendre le public francophone qui se doit de connaître cette information, nous avons décidé de publier ce long chapitre en 3 parties… Bonne lecture !

[1] [2] [3]

I – Décrets arbitraires : médecine sans science

La stratégie de gestion de la pandémie COVID du Dr Fauci a été de supprimer la transmission virale par le port du masque obligatoire, la distanciation sociale, la mise en quarantaine de gens sains (mesure connue sous le nom de “confinement”), tout en instruisant les patients atteints de la maladie de retourner chez eux sans rien faire (NdT: à par le p’tit coup de doliprane usuel…), de ne recevoir aucun traitement, jusqu’à ce que des difficulté respiratoires ne les renvoient à l’hôpital pour y recevoir du remdevisir en intra-veineuse (I.V) et être placés sous respirateur. Cette approche pour mettre fin à une maladie infectieuse contagieuse n’a aucun précédent médical en santé publique et un soutien scientifique des plus anémiques. De manière tout à fait prévisible, ce fut totalement inefficace : les Etats-Unis eurent le plus haut taux de mortalité au monde.

Des médicaments étaient disponibles contre la COVID, des médicaments sûrs et très bon marché, qui auraient empêchés des centaines de milliers d’hospitalisations et auraient sauvé autant de vies si seulement nous les avions utilisés dans ce pays. Mais le Dr Fauci et ses collaborateurs de Big Pharma supprimèrent délibérément ces traitements pour rendre service à leur objectif à sens unique : que l’Amérique attende d’être sauvée par leurs nouveaux vaccins coûtant des milliards de dollars.

[…]

Le dr Fauci savait pertinemment que ses décrets sur le port du masque étaient contraire à l’essentiel de ce qu’en disait la science.

[…] Consistant avec les premières déclarations de Fauci, la littérature scientifique peer reviewed a toujours refusé de soutenir le port du masque pour les gens en bonne santé comme étant une manière efficace de limiter la transmission virale. Une étude compréhensive de décembre 2020 menée à Wuhan en Chine sur une échantillon de 10 millions de personnes, a confirmé l’assertion originelle de Fauci que la transmission asymptomatique du COVID était extrêmement rare.

[…]

Les obligations de distanciation sociale sont aussi fondées sur une base scientifique des plus douteuses. En septembre 2021, l’ex-commissaire à la FDA, le Dr Scott Gotleib a admis que la règle des 2m de distanciation imposée par le Dr Fauci et ses collègues du Human Health Service (HHS) était “arbitraire” et non pas fondée sur une base scientifique étayée.. “Ceci est un exemple parfait du manque de rigueur sur la façon dont le CDC fait ses recommandations.” a poursuivi l’intéressé.

[…] Finalement, le confinement des gens sains fut une mesure si “innovatrice” que les protocoles officiels de gestion de pandémie de l’OMS ne le recommandait pas du tout. Certains officiels de l’OMS étaient passionnés par le sujet…

[…] Il n’y a aucune différence convaincante en ce qui concerne les infections par la COVID et la mortalité résultante entre les juridictions qui prônèrent le laisser-faire et celles qui obligèrent coercitivement des confinements stricts de gens sains et et le port du masque.

[…]

Le Dr Fauci expliqua au journal du New York Times, qu’il avait révisé à la hausse ses estimations de couverture vaccinale nécessaire pour obtenir “l’immunité de troupeau” de 70% en mars à 80-90% en septembre, non pas sur une base scientifique, mais plutôt en réponse à un sondage qui indiquait une augmentation de l’acceptation de la vaccination dans le public. Il adopta une position publique pour dire que l’immunité naturelle ne contribue pas à protéger une population. Il a soutenu l’injection des gens ayant déjà été infectés par la maladie, en défi de massive preuve scientifique démontrant que des inoculations post-COVID étaient non seulement inutiles mais même dangereuses.. Questionné sur le sujet le 9 septembre 2021, le Dr Fauci a admis qu’il ne pouvait trouver aucune justification scientifique de sa position et de sa politique.

[…]

A l’origine de la pandémie, le dr Fauci a utilisé un modèle informatique de prédiction particulièrement imprécis qui a surestimé les morts aux Etats-Unis de 525%. L’escroc et fabricant de pandémie, Neal Ferguson, de l’Imperial College of London en était l’auteur, avec un financement de la fondation Bill & Melinda Gates (FBMG) de 48,8 millions de dollars. Le dr Fauci a utilisé ce modèle comme justification de sa politique des confinements.

[NdT : la “science des modèles informatiques” a essentiellement remplacé la science des faits et de l’observation depuis plusieurs décennies. Ceci est tout aussi vrai dans d’autres domaines comme par exemple celui de l’escroquerie au changement climatique anthropique, ce que malheureusement RFK Jr n’a pas encore intégré… On fait dire ce qu’on veut à des “modèles” en bidouillant les données qu’on leur sert pour leur calcul, le bidouillage a souvent lieu par omission de données importantes, ce qui maxime les résultats voulus]

Le Dr Fauci a acquiescé aux changements de protocole de sélection du CDC lors de l’établissement des certificats de décès, de façon à surgonfler le nombre des morts dû à la COVID et donc de surgonfler le taux de mortalité de la maladie. Le CDC a plus tard admis que seulement 6% des décès COVID se produisirent chez des sujets au demeurant sains. Le reste des 94% souffraient en moyenne de 3,8 facteurs de co-mortalité potentielle.

Les régulateurs utilisèrent mal les tests PCR ce que le CDC sur le tard a admis, en août 2021, et être de fait incapables de distinguer la COVID d’une autre maladie virale. Le Dr Fauci a toléré leur utilisation à des niveaux d’amplification de manière inappropriée très hauts de 37 à 40 cycles de reproduction (Ct), parfois même jusqu’à 45 cycles, alors même que le Dr Fauci avait dit à Vince Racaniello que les tests employant un seuil de cycle (Ct) au dessus de 35 avaient très peu de chance de signifier la présence de virus vivant qui pourrait être répliqué. En juillet 2020, le Dr Fauci fit remarquer qu’à ce niveau de réplications, un résultat positif “n’est que nucléotides morts, point barre.” Pourtant, il ne fit rien pour modifier les tests de manière à être plus précis. En tant que tsar pour les Etats-Unis du COVID, le Dr Fauci ne s’est jamais plaint au sujet de la décision du CDC ne pas pas faire d’autopsies après les cas de décès attribués aux vaccins. Cette pratique a permis au CDC d’affirmer continuellement, que toutes les morts après les injections “n’ont aucun lien avec la vaccination”. Le CDC a aussi refusé d’ouvrir des enquêtes et de suivre les gens déposant une notice pour “blessures suite à vaccination”. Inspiré par de belles récompenses pour classer tout décès hospitalier comme “mort du COVID19”, Medicare a payé 39 000 dollars par patient placé en réanimation en cours de traitement COVID19 et seulement 13 000 US$ [3 fois moins] pour tout patient placé en réanimation pour déficience respiratoire simple. Ainsi les hôpitaux contribuèrent à la manipulation et mensonges sur les chiffres. Une fois de plus le Dr Fauci fit un clin d’œil et acquiesça à cette fraude.

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Les auditeurs de CNN et lecteurs du New York Times furent désinformés de manière catastrophique au sujet des faits réels entourant la COVID19 durant toute l’année 2020. Des sondages successifs réalisés par Gallup ont montré que le démocrate moyen croyait que 50% des infections COVID19 résultaient en hospitalisation. Le véritable chiffre étant moins de 1%…

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Les groupies du dr Fauci, incluant le président Biden, ainsi que les journalistes phares des grands médias télévisés, conseillèrent aux Américains de “faire confiance aux experts”. Un tel conseil est anti-démocratique et anti-science. La science est dynamique. Les “experts” souvent diffèrent de point de vue sur des questions scientifiques et leurs opinions peuvent varier en accord avec des demandes politiques, ou des intérêts de pouvoir ou financiers. Dans quasiment toutes les procédures judiciaires dans lesquelles j’ai officié en tant qu’avocat, celles-ci mettaient en lice les uns contre les autres, des “experts” des côtés opposés de l’argument, tous témoignant sous serment de positions diamétralement opposées, le tout basé sur la même série de faits. Dire aux gens de “croire les experts” est soit naïf ou complètement manipulateur, ou les deux.

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Je fus choqué durant les premiers mois de la COVID19, que LE docteur de l’Amérique, apparemment préoccupé par sa seule solution, le vaccin, fit bien peu pour dire aux Américains comment renforcer leur système immunitaire.

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Le 30 avril 2021, le Canadian Ontario College of Physicians and Surgeons (École de médecine de l’Ontario) a menacé de radier tout médecin qui prescrirait des stratégies de santé anti-COVID non vaccinale, incluant la prescription de vitamine D. “Ils sont en train d’essayer d’effacer la notion d’immunité naturelle”, a dit la chercheuse canadienne en immunologie vaccinale, la dr Jessica Rose. Ph.D, MSc, BSc.

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En 2020, avant l’arrivée des vaccins, 99,99% des systèmes immunitaires naturels des gens protégeaient leurs propriétaires de maladies graves et de la mort. Le CDC, l’OMS, et en fait toutes les autorités de santé mondiales ont reconnu que des gens sains ayant un système immunitaire sain, sont à risque très minimum du COVID. En fait, la plupart des gens possèdent un système immunitaire suffisant pour ne même pas savoir qu’ils ont la COVID.

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Le plus troublant furent les politiques du Dr Fauci de totalement ignorer et de supprimer les traitements précoces de la maladie chez les patients symptomatiques qui étaient souvent terrifiés. “Les meilleures pratiques pour vaincre une épidémie de maladie infectieuse dictent la mise en quarantaine et le traitement thérapeutique des gens malades, de protéger les gens les plus vulnérables et  de développer une pratique agressive de réaffectation des médicaments et d’utiliser des protocoles de traitements précoces afin d’éviter les hospitalisations.” dit l’épidémiologiste de Yale Harvey Risch, qui est une des autorités mondiales sur les protocoles de traitement clinique des maladies infectieuses.

[…] Le Dr Peter McCullough va en se sens : “Seul un virus hautement transmissible comme celui de la COVID, peut établir une tête de pont dans une population et ce sera inévitable qu’il se propagera à toute personne n’ayant pas ou peu d’immunité. Vous pouvez ralentir la contagion, mais pas l’empêcher, tout comme vous ne pouvez pas empêcher la marée de monter.” Dr McCullough est interne cardiologue du Baylor University Medical Center et du Baylor Heart and Vascular Hospital de Dallas au Texas. Il a publie plus de 600 articles peer-reviewed, faisant de Peter McCullough le médecin le plus publié de l’histoire de la médecine dans le domaine des pathologies rénales dues aux pathologies cardiaques., des séquelles mortelles en l’occurrence de la COVID19.

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McCullough observe que “Nous aurions pu considérablement réduire les morts du COVID et les hospitalisations en utilisant les protocoles de traitement précoce et en réassignant thérapeutiquement des médicaments comme l’ivermectine et l’hydroxychloroquine et bien d’autres.” Le Dr McCullough a traité personnellement plus de 2000 patients atteints de la COVID avec ces thérapies. Il a indiqué que des centaines d’études peer-reviewed montrent maintenant que le traitement précoce de la maladie aurait pu empêcher quelques 80% des morts attribués à la COVID. “La stratégie dès le départ aurait du être de mettre en place des protocole de traitement pour empêcher les hospitalisations des Américains qui auraient été testés positifs, mais étaient toujours asymtomatiques. Si nous avions fait cela, nous aurions repoussé le taux de mortalité plus bas que celui que nous observons avec la grippe saisonnière et aurions stoppé les engorgements des hôpitaux. […] L’utilisation de médicaments réassignés aurait mis fin à cette pandémie vers mai 2020 et aurait sauvé quelques 500 000 vies américaines, mais cela s’est heurté à la vision dogmatique de Dr Fauci sur les vaccins et le remdevisir.

[…]

Risch, McCullough et Kory font partie d’un large chœur d’experts (incluant le prix Nobel de médecine Luc Montagnier) qui argumente qu’en ayant traité les patients infectés à la maison durant les premières étapes de la maladie, nous aurions pu éviter ces confinements cataclysmiques et trouver des ressources médicales pour protéger les populations vulnérables tout en encourageant la contagion dans les groupes d’âge à très bas risque afin d’obtenir une immunité de groupe naturelle permanente. Ils font aussi remarquer que l’immunité naturelle dans tous les cas de figures connus, est bien supérieure à une immunité induite par la vaccination, l’immunité naturelle étant de longue durée (souvent le long de toute une vie) et bien plus large, c’est à dire qu’elle offre aussi une protection substantielle contre les variants possibles d’un virus. “Vacciner les citoyens ayant déjà une immunité naturelle n’aurait jamais du être notre politique de santé publique.” dit le Dr Kory.

La stratégie du Dr Fauci a impliqué des centaines de milliards de dollars des ressources sociétales sur un pari à risque du développent d’une nouvelle technologie de vaccins et pratiquement rien vers le développement de la réassignation de médicaments existants et efficaces contre la COVID. “Cette stratégie a mis en attente le traitement médical mondialement pendant un an complet alors qu’un virus respiratoire au traitement connu ravageait des populations”, dit Kory. “Il est choquant qu’il n’a pas recommandé d’assistance et de traitement médicaux aux patients à domicile, pas même de la vitamine D, malgré le fait qu’il en prend lui-même et que la vaste majorité du pays est en carence de vitamine D.

[…]

Les médecins de terrain qui furent en première ligne ont très rapidement reconnu que la maladie se propageait selon plusieurs voies, chacun demandant un traitement et un protocole appropriés. McCullough nous dit : “Il y avait trois parties dans la maladie : 1) le virus se multipliait pour une durée aussi longue que deux semaines (incubation), 2) Il y avait une incroyable inflammation dans tout le corps, et 3) ceci était suivi de formations de caillots sanguins.” Il ajoute : “Dès avril 2020, la plupart des médecins avaient compris qu’un seul médicament ne serait pas suffisant pour traiter cette maladie. Nous devions donc utiliser des médicaments en les combinant.”

“Nous avons très rapidement développé trois principes de base, les voici :

  • Utiliser des médicaments pour ralentir le virus
  • Utiliser des médicaments pour atténuer ou réduire l’inflammation
  • S’occuper impérativement de la formation des caillots sanguins

[…] McCullough fait la chronique de la rapidité avec laquelle les médecins de terrain découvrirent une riche pharmacopée de remèdes efficaces contre la COVID. Des études anciennes de l’HHS soutenaient l’efficacité de l’hydroxychloroquine contre les coronavirus depuis 2005 et dès mars 2020, des médecins de New York à l’Asie l’utilisèrent avec une grande efficacité. Ce mois-là, McCullough et d’autres médecins organisèrent dans son centre de traitement et avec la FDA, des protocoles prophylactiques (préventifs) contre la COVID en utilisant l’hydroxychloroquine.

Nous avions aussi de super données concernant l’ivermectine en provenance du Bengladesh et d’ailleurs, ce dès le début de l’été 2020. dès lors nous avions deux médicaments génériques bon marché.” McCullough et son équipe de quelques 50 médecins de terrain découvrirent également que tandis que l’HCQ et l’IVM fonctionnaient très bien contre la COVID, ajouter d’autres médicaments aux protocoles renforçaient la rapidité et l’efficacité des résultats. Ces médicaments incluaient l’azithromycine ou la doxycycline, le zinc, la vitamine D, Celebrex, bromhexine, NAC, la vitamine C en I.V et la quercetine.

[…] McCullough continue : “Nous avons encore plus appris d’experts à UCLA et ailleurs en regard des caillots sanguins et du besoin d’agents liquéfiant du sang comme l’aspirine par exemple. Nous avons aussi eu le feu vert pour les anticorps monoclonaux. On a appris plus tard qu’à la fois la fluvoxamine et la famotidine pouvaient jouer un rôle dans un traitement multi-médicamenteux.

[…]

Les Chinois ont publié leur propre protocole de traitement le 3 mars 2020, utilisant les mêmes catégories de prophylactiques (préventifs) et médicaments de traitement précoce annoncés par McCullough : choloroquine (cousine de l’hydroxychloroquine, antibiotiques, anti-inflammatoires, anti-histaminiques, une variété de stéroïdes et substances probiotiques pour stabiliser et fortifier le système immunitaire, ainsi que des médicaments de la pharmacopée de la médecine traditionnelle chinoise, des vitamines et suppléments minéraux, incluant une variété de composants contenant de la quercitine, du zinc et des précurseurs gluthation. Les Chinois ont fait du traitement précoce leur stratégie centrale anti-COVID. Ils ont utilisé une surveillance et un traçage d’identification des patients et de leurs contacts, certes parfois intrusifs et ont immédiatement hospitalisé et traité tous les cas d’infection COVID. Le traitement précoce a aidé les Chinois à mettre fin à leur pandémie dès avril 2020 (NdT: premier cas fin novembre 2019, épidémie enrayée moins de 5 mois plus tard…). “Nous aurions pu faire la même chose” dit le Dr McCullough.

[…]

[A l’automne 2020] plus de 200 études scientifiques soutenaient le traitement par hydroxychloroquine et 60 études soutenaient l’ivermectine. “Nous avons combiné ces médicaments avec la doxycycline et l’azithomycine pour supprimer l’infection”, dit McCullough. Une autre méta-analyse soutenanait l’utilisation de prednisone et d’hydrocortisone et autres largement disponibles stéroïdes pour combattre l’inflammation.

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Le Dr David Brownstein m’a dit : “J’ai eu une réunion avec mon personnel soignant et mes six associés. Je leur ai dit : ‘nous allons resté ouvert et allons traiter la COVID.” Ils m’ont demandé comment. Je leur ai dit “Nous avons traité ici des maladies virales depuis plus de 25 ans, la COVID ne peut pas être si différente. Dans toute cette période nous n’avons pas perdu un seul patient à la grippe ou autre maladies similaires. Nous avons traité les gens dans leurs voitures avec des vitamines A, C et D par voies orales et iodine. Nous avons fait de l’intraveineux en extérieur tout l’hiver avec des IV de peroxyde d’hydrogène et de la vitamine C…

[…] Nous avons traité 715 patients, nous n’avons eu que 10 hospitalisations, aucun mort. Le traitement précoce fut la clef de toute l’affaire. On nous a empêché d’en parler. Tout l’establishment médical essayait d’étouffer le traitement précoce de la maladie et de réduire au silence tous les médecins qui en parlait avec succès. Toute une génération de médecins a juste cessé de pratiquer la médecine.

[…]

Personne ne voulait que les Américains sachent que vous n’aviez pas à mourir de la COVID. Cette maladie est traitable à 100%”, dit le Dr Brownstein. “Nous l’avons prouvé, personne ne devait mourir.” Il ajoute : “Dans le même temps, nous avons vu beaucoup de très mauvais effets secondaires dus aux vaccins qui affectaient nos patients. Nous avons sept AVC, certains se terminant en paralysie sévère. Nous avons trois cas d’embolie pulmonaire, deux thromboses, deux cas de maladie de Graves et un mort.”

[…]

Nous n’avons pas eu une seule institution universitaire ou médicale qui soit parvenue à établir un simple protocole de traitement.” a dit le Dr McCullough. “Ils n’ont même pas essayé. Harvard, John Hopkins, Duke, quelle qu’elles soient. Pas un seul centre médical n’a même mis une tente pour traiter les patients et empêcher les hospitalisations et la mort des gens. Il n’y a pas eu un gramme de recherche originale qui est sortie de l’Amérique pour combattre et traiter la COVID, rien d’autre que les vaccins.” Toutes ces universités dépendent grandement des milliards de dollars qu’elles reçoivent du NIH. Comme nous allons le voir, toutes ces institutions vivent dans la terreur absolue d’insulter Anthony Fauci et cette peur les a paralysé dans cette pandémie.

[…]

Au lieu de soutenir le travail de McCullough, le NIH et autres régulateurs fédéraux ont commencé à activement censurer l’information en ce domaine des remèdes efficaces. Les médecins qui tentèrent d’ouvrir la discussion sur les bénéfices du traitement précoce de la maladie se virent lourdement et inexpliquablement censurés. Le dr Fauci a travaillé avec Mark Zuckerberg de Facebook et autres médias sociaux pour museler toute discussion sur les remèdes à la maladie. La FDA envoya une lettre de mise en garde disant que la N-acetyl-L-cystéïne (NAC) ne pouvait pas être promue légalement comme supplément alimentaire après des décennies d’accès de la substance dans les rayons des magasins de santé et nutrition et supprima la vitamine C en I.V, que les Chinois utilisèrent avec un très grand succès.

[…]

Des médecins et scientifiques reconnus, incluant quelques uns les plus publiés et plus expérimentés de la nation et des spécialistes de terrain anti-COVID comme les Dr McCullough, Kory, Ryan Cole, David Brownstein et Risch pensent que la suppression par le Dr Fauci du traitement précoce et des remèdes hors patentes, fut responsable de près de 80% des décès attribués à la COVID. Ces cinq médecins m’ont dit la même chose de manière indépendante. La charlatanerie incessante de délibérément empêcher les traitements précoces efficaces de la COVID, la coercition pour l’utilisation du remdesivir, ont sans doute tué inutilement quelques 500 000 Américains dans les hôpitaux.

[…]

Le Dr Cole a supervisé ou aidé à faire plus de 125 000 tests COVID pendant la pandémie. […] “Pour le dire simple et direct : le traitement précoce de la COVID sauve des vies. Si la profession médicale avait eu une pensée progressiste et pratique de l’affaire et se soit focalisée sur la maladie, avec une approche multi-médicamenteuse des patients en ambulatoire, sachant que la COVID-19 est une maladie imflammatoire coagulante, des centaines de milliers de vies auraient été sauvées aux Etats-Unis.

Jamais dans l’histoire de la médecine, le traitement précoce d’une maladie n’a été aussi négligé de manière ouverte par la profession médicale et sur une si grande échelle.” Le dr Cole ajoute : “Ne pas traiter, spécifiquement dans une épidémie de maladie contagieuse potentiellement mortelle, c’est nuire.

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Cole fait remarquer que “Si vous avez moins de 70 ans et que vous n’avez pas d’autres maladies sévères, il est très difficile pour vous de mourir de la COVID. Il n’y a pas de taux de mortalité qui puisse être réduit… et pour les gens qui sont âgés et ont des maladies pré-existantes, comme nous l’avons appris du Dr McCullough et de ses collègues, il y a des médicaments très efficaces pour traiter ce virus pour que le taux de mortalité diminue de 70 ou 80%, ce qui veut dire qu’il n’y a aucune urgence en quoi que ce soit. Mais ceci est une grave menace pour le cartel vaccinal et du remdesivir.”

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Le Dr McCullough dit qu’en traitant les patients précocement à la maison, les médecins peuvent de fait mettre totalement fin à la pandémie.

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Ce sont les médecins indépendants qui ont de la compassion et qui innovent pour utiliser ce que nous appelons le principe de précaution. Ils utilisent leur meilleur jugement médical et meilleures données scientifiques pour mettre en application une thérapie immédiate et ainsi pratiquer l’art de soigner. Pour tous nos collègues universitaires qui ont dit “Dr McCullough, nous devons attendre de plus larges études et essais randomisés”, nous leur avons toujours répondu ceci “Ecoutez, ceci est un évènement de masse. Les gens meurent ici et maintenant. Ils sont hospitalisés maintenant. Nous ne pouvons pas attendre pour de plus larges essais randomisés. Nous devons être des médecins. Nous devons commencer à soigner les gens.

II. Tuer l’hydroxychloroquine

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Il n’y a pas d’aspect plus révélateur dans cette crise COVID des intentions malveillantes d’un puissant cartel vaccinal, emmené par le Dr Fauci et Bill Gates, pour prolonger la pandémie et amplifier ses effets mortels afin de promouvoir leurs inoculations malfaisantes.

Dès le départ, l’hydroxychloroquine (HCQ) et autres thérapies ont posé une menace existentielle au projet de 48 milliards de dollars de vaccination anti-COVID du Dr Fauci et de Bill Gates et aussi particulièrement à leur médicament vaniteux (et dangereux) qu’est le remdesivir, dans lequel Gates a beaucoup investi.

Sous la loi fédérale américaine, de nouveaux vaccins ou nouveaux médicaments ne peuvent pas bénéficier du label d’ “Autorisation d’Utilisation d’Urgence” ou AUE, s’il y a un médicament approuvé par la FDA qui soit efficace contre cette même maladie. […] Ainsi donc quelque médicament que ce soit comme l’HCQ ou l’ivermectine soit prouvé efficace contre la COVID, alors les labos pharmaceutiques ne seraient plus permis de faire passer en urgence une utilisation de leur projet vaccinal de milliards de dollars. Ces vaccins devraient au contraire passer par la très longue procédure méthodologique de mise sur le marché. Cela signifierait moins de bénéfices, plus d’attente, plus d’aléas et une triste fin pour cette ruée vers l’or de la vaccination anti-COVID. Le dr Fauci a investi 6 milliards de dollars du contribuable américain juste dans le vaccin Moderna. Son agence est co-détentrice du brevet et se positionne pour engranger une véritable fortune en droits et royalties. Au moins quatre des adjoints sélectionnés de Fauci sont en attente de collecter des dividendes de l’ordre de 150 000 US$ par an du succès de Moderna et ceci s’ajoutant à leurs salaires déjà payés par le trésor public américain.

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Enormément de gens en Afrique et en Inde prennent de l’HCQ durant toute leur vie. Comme la recommandation du protocole anti-COVID le demande, il ne s’agit que d’une prise du médicament pendant une semaine. La révélation soudaine du dr Fauci disant que ce médicament est dangereux est au mieux bizarre.

D’après le Dr McCullough, “Il n’y a pas à ce jour de rapport crédible que ce médicament augmente le risque de mortalité chez les patients de la COVID-19 lorsqu’il est prescrit par des médecins compétents qui comprennent son profil de sécurité.

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Le premier grand champion de l’HCQ fut le professeur français Didier Raoult, icône de la recherche sur les maladies infectieuses, qui a publié plus de 2700 articles et est célèbre pour avoir découvert 100 micro-organismes, incluant le pathogène causant la maladie de Whipple. Le 17 mars 2020 [NdT : date du commencement du premier confinement en France], le Dr Raoult a fourni un rapport préliminaire sur 36 patients traités avec succès à l’hydroxychloroquine et parfois avec de l’azithromycine dans son institution médicale marseillaise.

en avril 2020, le Dr Vladimir (Zev) Zelenko, médecin de terrain  dans l’état de New York et très tôt utilisateur de l’HCQ, a reproduit les succès du Dr Raoult en réduisant systématiquement le taux attendu de mortalité chez plus de 800 patients que Zelenko traita avec le cocktail HCQ.

[…] En mai 2020, le Dr Harvey Risch, médecin, a publié l’étude la plus compréhensive sur l’efficacité de l’HCQ contre la COVID. Risch est professeur d’épidémiologie à l’université de Yale, expert mondial de l’analyse des données médicales et cliniques.

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Le Dr Risch a démontré plus avant et avec grande spécificité, comment les critiques de l’HCQ, largement financés par la fondation B&M Gates et le Dr Fauci, ont mal interprété, mal énoncé, et mal rapporté les résultats négatifs d’études employant des protocoles erronés, dont la plupart décrivaient l’efficacité de l’HCQ sans administration de zinc, connu pour renforcé l’efficacité et du zithromax, aussi connu comme agent favorisant l’action médicamenteuse de l’HCQ. Mais leur truc favori pour s’assurer de l’échec des protocoles fut d’attendre que la maladie soit très avancée chez les patients avant d’administrer l’HCQ, dans cette période tardive où la substance est la plus inefficace.

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McCullough montre que l’efficacité du cocktail d’HCQ est basée sur la pharmacologie de l’ionophore de l’hydroxychloroquine qui agit comme le “flingue” et le zinc comme “la balle”, tandis que l’azithromycine potentialise l’effet anti-viral

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Le 13 janvier 2020, lorsque des rumeurs sur la maladie grippale de Wuhan COVID-19 commencèrent à circuler, le gouvernement français prit alors la plus bizarre et sans précédent des décisions et de plus très suspicieuse, de réassigner l’hydroxychloroquine, jusqu’ici un médicament que l’on pouvait se procurer en pharmacie sans ordonnance médicale, ce depuis des décennies, en médicament sujet à prescription. Sans citer quelque étude scientifique que ce soit, les fonctionnaires du ministère de la santé français ont changé le statut pharmacologique de l’HCQ en la reclassant “substance vénéneuse liste II” et en interdirent la vente libre. Cette remarquable coïncidence se reproduisit de la même manière lorsque les officiels de la santé canadienne firent la même chose, retirant en catimini le médicament des étagères des pharmacies.

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La compagnie mère de Google, Alphabet, possède plusieurs entreprises de vaccins, incluant Verily ainsi que VacciTech, une entreprise qui compte sur les vaccins de la grippe, le cancer de la prostate et la COVID. Google a des partenariats très lucratifs avec de très grands fabricants de vaccins incluant un partenariat à hauteur de 715 millions de dollars avec le laboratoire GlaxoSmithKline (GSK). Verily possède aussi une entreprise qui teste pour l’infection COVID. Google ne fut pas la seule plateforme de média en ligne qui censura les contenus qui contredisaient le narratif officiel contre l’HCQ. Facebook, Pinterest, Instagram, Youtube, MailChimp et quasiment toutes les grosses plateformes en ligne de Big Tech commencèrent à faire disparaître l’information démontrant l’efficacité de l’HCQ, la remplaçant par la propagande de l’industrie pharmaceutique générée par des agences de santé publique contrôlées par Fauci et Gates : Le HHS, NIH et l’OMS.

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En juillet 2020, Bill Gates endorsa la censure des recommandations de l’HCQ après qu’une vidéo démontrant son efficacité contre les coronavirus ait accumulé des dizaines de millions de vues. Gates qualifia cette vidéo de “scandaleuse” et félicita Facebook et Youtube de l’avoir rapidement escamotée. Il se plaignit néanmoins en disant : “Vous ne pouvez pas la trouver directement sur ces services, mais tout le monde envoie le lien, car on peut toujours la trouver et la voir sur internet.” Gate dit à Yahoo News que cela révélait un défaut persistant de ces plateformes  “leur incapacité à arrêter les choses avant que cela ne se propage, ils auraient probablement du améliorer tout ça”, a fustigé Gates.

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Gates continua avec la promotion du remdesivir de Gilead Science comme étant la meilleure alternative à la COVID, ce malgré les résultats minables de ce médicament comparé à ceux de l’HCQ. Il ne mentionna néanmoins pas le fait qu’il avait de gros investissements dans Gilead Science qui engrangerait des millions de dollars si Fauci arrivait à faire passer le remdesivir au travers du parcours du combattant régulateur.

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Le Lancetgate

Cela demeure un mystère que de savoir quelles grandes figures ont causé aux deux plus grands magazines scientifiques The Lancet et le New England Journal of Medicine (NEJM), de publier des études si ouvertement frauduleuses depuis une base de données inexistante, propriété d’une entreprise jusqu’alors inconnue. Anthony Fauci et le cartel vaccinal célébrèrent les publications du Lancet et du NEJM le 22 mai 2020 comme étant le clou final dans le cercueil de l’hydroxycholoroquine.

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Le titre d’un exposé de toute l’affaire par le journal anglais “The Guardian” a exprimé le choc mondial dans la communauté scientifique à la vue du niveau de corruption au sein de ces deux piliers de la publication scientifique dans le monde : “The Lancet a effectué une des plus grosses rétractations d’information de l’histoire moderne. Comment cela a t’il pu se produire ?” Les journalistes du Guardian de Londres accusèrent ouvertement The Lancet de faire la promotion de la fraude : “Le nombre incroyable et la magnitude des choses qui se sont mal passées ou ont été escamotées est bien trop énorme pour être attribué à une simple incompétence.”. Le journal commenta : “Ce qui est incroyable, c’est que les éditeurs de ces publications soient toujours en poste, les données sous-jacentes à ces études sont aussi mauvaises que cela.

La capacité de leur maîtres de Big Pharma de tordre le bras et de forcer ces deux plus grands journaux médicaux au monde, le NEJM et The Lancet, de souscrire à une recherche mortelle et dans le même temps publier des articles si ouvertement frauduleux au milieu d’une pandémie, atteste de l’incroyable pouvoir de ce cartel et de son caractère sans pitié. Il n’est plus du tout controversif que de dire et de reconnaître que les fabricants de médicaments contrôlent de manière rigoureuses les publications médicales et que The Lancet, le NEJM  et le Journal of the American Medical Association (JAMA) sont des instruments dûment corrompus au service de Big Pharma. Le rédacteur en chef du Lancet, Richard Horton confirme : “Les journaux médicaux se sont résolus au blanchiment de l’information au service de l’industrie pharmaceutique.” La Dr Marcia Angell, qui fut éditrice au NEJM pendant 20 ans dit que les journaux médicaux sont “essentiellement une machine de marketing des produits. Big Pharma a coopté et corrompu toute institution qui pourrait se tenir sur sa route.

[…]

Ces rétractations historiques passèrent pratiquement inaperçues dans les médias de masse de l’inculture scientifique, qui continuèrent à fortifier la propagande officielle COVID. Des manchettes de journaux continuèrent de blâmer l’HCQ pour de faux décès plutôt que les chercheurs délibérément traîtres qui donnèrent aux malades, personnes âgées et aux patients à l’immunité compromise des doses de médicaments toxiques.

[…]

En mars, alors que des patients mouraient à un rythme de 10 000 par semaines, le dr Fauci déclara que l’HCQ ne devait être utilisée que dans le cadre d’essais cliniques en hôpitaux. Pour la première fois dans l’histoire américaine, un haut-fonctionnaire du gouvernement passait par dessus le jugement de milliers de médecins traitants et ordonnait aux médecins d’arrêter de pratiquer la médecine comme alliée du bien commun. Le dr Fauci continua à déclarer péremptoirement et sans relâche : “la preuve conclusive est que les études randomisées proprement exécutées ne montrent aucune efficacité thérapeutique de l’hydroxychloroquine.” Il ne mentionna néanmoins pas qu’AUCUN des essais qu’il avait utilisés comme base de l’expression de sa conviction n’avait impliqué l’absorption par les patients d’HCQ dans les 5 à 7 jours après les premiers symptômes. Au lieu de cela, tous ces essais randomisés ciblaient des patients avancés dans la maladie et déjà hospitalisés.

Les gens qui voulaient être traités dans cette toute première phase critique de la maladie n’avaient pas de chance car le dr Fauci interdit alors aux patients de recevoir un remède sauveur de vies pendant la fenêtre propice du traitement, alors que la science et l’expérience accumulée démontraient la molécule être efficace dans le soin de la maladie.

[…]

Le NIAID a arrêté un essai clinique du médicament pour les patients en ambulatoire en juin 2020, seulement un mois après l’avoir commencé et en n’ayant enrôlé que 20 patients sur les 2000 planifiés. La FDA a bloqué l’accès à des millions de doses d’HCQ et de chloroquine (CQ) que le labo Sanofi et autres fabricants de médicaments avaient donné au Strategic National Stockpile (dons déductibles des impôts). Sanofi a de plus annoncé qu’il ne produirait plus le médicament pour utilisation en traitement de la COVID. Le dr Fauci et ses sbires de l’HHS ont décrété que les stocks de médicaments pourrissent dans les hangars alors que les Américains deviennent inutilement malades et meurent de la COVID-19

Le 17 juin 2020, l’OMS, dont Bill Gates et le plus grand pourvoyeur de fonds après les Etats-Unis et sur laquelle Gates et Fauci exercent un strict contrôle, a appelé à l’arrêt des essais cliniques dur l’HCQ dans des centaines d’hôpitaux du monde entier. Le patron de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus a ordonné aux nations d’arrêter d’utiliser l’HCQ et la CQ. Le Portugal, la France, l’Italie et la Belgique ont banni le traitement de la COVID-19 par HCQ.

[…]

Une méta-revue de 58 études peer-reviewed par des médecins chercheurs en Espagne, Italie, France et Arabie Saoudite a trouvé que l’HCQ réduit de manière dramatique le taux de mortalité lié à la COVID, tandis que des articles émanant de médecins turcs, canadiens et américains ont trouvé que la toxicité cardiaque de l’HCQ est négligeable.

[…]

De manière similaire et ce malgré le fait que l’hygiène dans les pas invoqués soit souvent inférieure, il y a bien moins de morts par habitants en Ethiopie, au Mozambique, Niger, Congo et Côte d’Ivoire qu’aux Etats-Unis. Dans ces pays, le taux de mortalité oscille entre 8 et 47,2 morts pour 1 million d’habitants, données au 24 septembre 2021. Par contraste, les pays occidentaux à qui on a refusé l’accès à l’HCQ font l’expérience d’un taux de mortalité bien plus élevé pour la maladie, de 220 par millions en Hollande à 2000 par million aux Etats-Unis et 850 par million en Belgique. Dr Meryl Nass a observé : “Si les gens dans ces pays à paludisme renforçaient leur système immunitaire avec du zinc, de la vitamine C et D, le taux de mortalité serait encore plus bas…

[…]

En 2013, lorsque le dr Fauci avait soutenu l’utilisation de la ribavirin / interferon contre le MERS ou Syndrome Respiratoire du Moyen-Orient, le double remède contre l’hépatite C était, d’après le NIH, extrêmement dangereux, occasionnant des dégâts chez pratiquement tous les patients qui prenaient le cocktail, qui provoque un syndrome de fatigue chronique par anémie hémolytique et une augmentation des malformations de naissance ainsi que des enfants morts-nés. La ribavirin est toxique pour les gènes, mutagène et un carcinogène potentiel.

Quoi qu’il en soit, en 2013, le dr Fauci recommandait cette thérapie malgré le manque total d’étude randomisée avec placebo dans des essais cliniques contrôlés et en fait le manque totale de donné de l’utilisation de ce cocktail sur des humains dans le traitement du MERS.

Les vaccins qui qualifient pour une Autorisation d’Utilisation d’Urgence incluent ces nouvelles plateformes ARNm et ADN sans aucun profil de sécurité connu. D’autres utilisent des adjuvants toxiques comme le squalène et l’aluminium ou de nouveaux adjuvants ayant des risques prouvés de haut risque de blessure sérieuse.

[…] Les vaccins sont si dangereux que l’industrie de l’assurance a refusé de les couvrir ! Et les fabricants refusent de les produire sans la couverture d’une immunité légale contre toute responsabilité civile et criminelle. Bill Gates qui est le principal investisseur dans bon nombre de ces vaccins anti-COVID a stipulé que le risque est si grand qu’il ne les fournirait pas aux gens à moins que les gouvernements ne le protègent contre toute poursuite judiciaire.

[…]

L’inconsistance et le constant foulage aux pieds de l’éthique du dr Fauci vont de paire avec sa longue histoire de la promotion de produits brevetés par Big Pharma et donc plus profitables et de l’utilisation de son pouvoir d’influence pour faire avancer son agenda sans aucun égard pour la santé publique. Le rôle de meneur du dr Fauci dans ce scandale mortel est tout a fait consistant avec sa longue histoire de discrédit des thérapies qui entrent en concurrence avec les vaccins et autres produits pharmaceutiques brevetés.

Grâce à la campagne stratégique du dr Fauci, la plupart des Américains sont toujours incapables d’obtenir de l’HCQ pour un traitement précoce de la COVID-19, encore moins d’Américains ne peuvent y avoir accès à titre préventif et encore moins sont au courant de ses bénéfices curatifs.

[…]

Le professeur Risch pense que le dr Fauci a sciemment menti au sujet de l’hydroxychloroquine et qu’il a utilisé son influence au sein de la FDA pour la faire supprimer parce que lui et d’autres bureaucrates “sont au lit avec d’autres forces qui leur font prendre des décisions qui ne sont pas fondées sur la science et qu’ils tuent des Américains.

De plus, le dr Risch affirme spécifiquement, que Fauci et la FDA ont provoqué la mort de centaines de milliers d’Américains qui auraient parfaitement pu être sauvés avec l’hydroxychloroquine.

A suivre…

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