Archive pour injections ARNm crime contre l'humanité

Karen Kingston citée par le patron NBC de l’armée russe le général Kirilov pour ses recherches et analyses sur les injections arme biologique à ARNm anti-COVID et qui confirme les labos de guerre biologique yankees en Ukraine et ailleurs (Karen Kingston et Stew Peters)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, média et propagande, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , on 15 mars 2023 by Résistance 71

KKonSPS
« La Russie acquiert des documents des labos biologiques américains [en Ukraine] »

Cher congrès des Etats-Unis : ignorer les crimes à l’arme biologique de Pfizer ne va pas les faire disparaître, cela ne fait que rendre le gouvernement complice d’une attaque biologique sur les populations

Le congrès se fait expliquer que les injections à ARNm sont des “thérapies de transformation génétique”. Ce sont des armes biologiques. Les Etats-Unis se retrouvent complices de crimes de guerre si nous ne traduisons pas Pfizer immédiatement en justice.

Karen Kingston

13 mars 2023

Url de l’article original:

https://karenkingston.substack.com/p/dear-congress-ignoring-pfizers-bioweapon

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

J’ai eu un entretien avec Stew Peters dans son émission ( interviewed by Stew Peters ) aujourd’hui afin de discuter le fait que le chef militaire russe cite mon travail d’analyse comme partie d’une enquête criminelle internationale contre Pfizer et autres parties impliquées, qui a lâché des armes biologiques à ARNm sur les populations civiles sous le couvert des “vaccins anti-COVID19 sûrs et efficaces”

Le Lieutenant General russe Igor Kirilov, patron du département de protection NBC (Nucléaire, Biologique, Chimique) de l’armée russe, cite les travaux de Project Veritas et du Stew Peters Network, spécifiquement mentionnant mon analyse médico-légale, citant la définition légale de la technologie à ARNm en tant qu’arme biologique sous l’article 18 USC 175.

Stew Peters a posé une grande question lors de notre entretien : “Si un général de l’armée russe peut se figurer que ces injections sont une arme biologique, pourquoi notre congrès ne le peut-il pas ?”

Visionner l’entretien (en anglais) : interview here.

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Attention : génocide en cours !…

Pourquoi l’armée russe lance t’elle une enquête internationale contre Pfizer, mais le congrès des Etats-Unis ne le fait pas ?

Au lieu d’utiliser les documents de Pfizer et du gouvernement américain que j’ai mis en lumière lors de mes entretiens dans les émissions de Stew Peters dans dans mon SubStack afin d’amener Pfizer devant les assises, saisir et détruire ces injections arme biologique à ARNm ; les hauts fonctionnaires américains sont menés par le bout du nez sur une fausse piste par les experts en ARNm, quelques conseillers m´´ducaux et des avocats qui affirment que les injections ARNm sont “des vaccins qui ont mal tourné” ou “des thérapies géniques” ou que Pfizer est totalement protégé de pas ses contrats avec l’armée américaine.

Tout ceci n’est que mensonge et diversion, des déclarations fausses et manipulatrices qui ne font que protéger Pfizer et tous ceux impliqué dans les technologies d’armes biologiques “vaccinales” (NdT : les Fauci, Bill Gates et leur cohorte) en retardant sa mise en accusation criminelle. Les experts qui ne font que mal représenter les matériaux disponibles, preuves ou lois à considérer ou diriger le débat sur de fausses pistes, sot tous complices de fraude extrinsèque.

Ignorer les crimes commis par Pfizer (et ses complices des gouvernements et administrations) ne fait pas disparaître ces crimes, cela ne fait que rendre l’administration fédérale américaine complice de crimes contre l’humanité

Jusqu’à ce que les Américains disent assez est assez ! Et dénoncent les mensonges, les menteurs et les couards qui protègent Pfizer de poursuites judiciaires criminelles, cette expérience perverse et criminelle sur les enfants et adultes américains avec une nanotechnologie à ARNm va continuer. Si le congrès continue de réunir des “enquêtes publiques” afin de faire caler les procédures de mise en accusation criminelle de Pfizer, les Américains et l’Amérique seront soit détruits par les armes biologiques elles-mêmes ou par le rôle complice des Etats-Unis qui ignorent ces crimes contre l’humanité à l’arme biologique. (NdT : l’un comme l’autre… sont des objectifs de l’opération…)

J’envoie mes recherches et analyses au congrès des Etats-Unis depuis mai 2021

J’ai commencé à envoyer mes recherches et analyses à des membres du congrès des Etats-Unis en mai 2021 (US Congress members in May of 2021.) Dans un courriel que j’ai envoyé à quelques élus, je dis clairement :

“SVP, ayez un expert en recherche médicale sur les maladies auto-immunes lire et analyser ce brevet et ceux mis en lien dans ce courriel. Je pense qu’il conclura que les injections ARNm anti-COVID-19 sont des armes biologiques qui contiennent des viruses chimériques (fabriqués) en gain de fonction (GdF) ainsi que des toxines sous couvert de vaccins à ARNm combinés avec une plateforme de Nano Particule Lipidique (NPL) thérapeutique.
D’après le brevet en question, les NPL peuvent cibler des systèmes et des organes spécifiques du corps incluant, sans en être limités, les systèmes cardio-vasculaire, reproducteur, pulmonaire et le SNC, spécifiquement avec le franchissement de la barrière hémato-cérébrale.
Karen Kingston, email to Congress Members, May 2021

Non seulement j’ai frappé à la porte d’élus du congrès et de leaders d’état avec cette vérité qui est que les injections ARNm anti-COVID19 sont des armes biologiques, depuis maintenant près de deux ans, mais Stew Peters et les experts qu’il possède sur sa plate-forme médiatique ont été des mégaphones avertissant les citoyens et les hauts fonctionnaires au sujet de ces injections, arme biologique à ARNm.

Ce serait dans l’intérêt des citoyens américains de fortement encourager les membres de leur congrès et autres leaders de gouvernement de me contacter immédiatement afin de faire bouger les choses avec les preuves utilisées dans une enquête criminelle internationale contre Pfizer et autres entreprises américaines, gouvernement américain et les agences fédérales du NIH, NIAID, CDC, FDA et autres HHS pour leur utilisation d’une arme biologique à ARNm contre des populations adultes et enfantines.

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… à la manœuvre

Pourquoi les Etats-Unis doivent reconnaître les crimes de guerre biologique de Pfizer et les traduire en justice

Je possède toutes les informations nécessaires pour mener à bien ce procès criminel contre Pfizer. Membres du congrès, gouverneurs, ministres de la justice des états, et même les Sheriffs, peuvent me contacter sur la manière de mener une action immédiate afin de stopper cette attaque biologique à l’ARNm sur les citoyens américains, saisir ces injections mortelles ARNm soi-disant anti-COVID19, les détruire et mettre en branle la mise en accusation de Pfizer et de ses employés et reprendre le contrôle de la santé publique de notre nation actuellement en pleine crise des plus sévères.

Ou… les leaders du congrès et du gouvernement peuvent attendre que la Russie ou les autres nations les traînent devant des tribunaux internationaux et se retrouvent tous potentiellement inculpés de complicité avec Pfizer pour crime contre l’humanité dans l’attaque biologique à l’ARNm sur la population mondiale.

Si vous êtes en contact avec des membres du congrès et que vous voulez stopper immédiatement l’attaque biologique à l’ARNm sur les citoyens américains, recommandez-leur de me contacter directement via miFight.com

NdT : Karen fait ce qu’elle peut pour parvenir à une solution légale en utilisant le système et c’est là à notre sens qu’elle fait une erreur fondamentale. Demander à la pourriture politico-étatico-judiciaire marchande de traîner Pfizer, qui paie leurs campagnes électorales, comme les merdias de masse, devant les tribunaux, c’est comme demander à Al Capone d’organiser son procès… Seuls les peuples se libéreront de leurs chaînes et obtiendront justice pour tous les maux et oppressions perpétrés, ce par et pour eux-mêmes.

Nous ne le répèterons jamais assez : Il n’y a pas de solution au sein du système et ne saurait y en avoir !

A lire et diffuser sans modération :

Notre page mise à jour depuis 2019 : “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

Et

“SRAS-CoV-2 / COVID-19, l’attaque biologique contre l’humanité” (Karen Kingston, compilation PDF de nos traductions de ses recherches et analyses depuis 2020)

Video : le général russe Kirilov, chef de la protection NBC, cite Karen Kingston et le programme de Stew Peters dans son analyse des labos yankees en Ukraine et ailleurs. Les commentaires de KK sur le SPS : (24 minutes, en anglais)

https://rumble.com/v2czuaa-foreign-u.s.-biolabs-exposed-russian-general-igor-kirillov-cites-karen-king.html

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Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

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Karen Kingston : grande résistante,
qui a percé à jour le sombre secret des injections ARNm
par les brevets enregistrés depuis deux décennies…
C’est une arme nano-bio-technologique dont le but intentionnel
est de nuire et de détruire l’humanité.

Au delà de l’arme biologique des injections ARNm déployée contre l’humanité depuis 2020… La légende du vaccin (avec Jean-Yves Jézéquel)

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“La cause première de la maladie est en nous, toujours en nous.”
~ Antoine Béchamp, 1883 ~

Excellente analyse toujours en cours de Jean-Yves Jézéquel qui se devait d’être faite et publiée pour alimenter la pensée critique et son aboutissement final qu’est la (r)évolution sociale.
Aujourd’hui, il doit être évident pour tout le monde que nous avons été et sommes toujours victimes d’une attaque nano-bio-technologique de masse avec les injections ARNm anti-SRAS-CoV-2 / COVID19, mais au-delà de ce crime en cours dont le dénouement est incertain pour l’humanité, nous devons aussi nous poser la question fondamentale sur les vaccins en général : que sont-ils ? D’où sortent-ils et sont-Ils sûrs et efficaces ?
En répondant à ces questions, il est inévitable de (re)tomber dans l’éternel débat Antoine Béchamp-Louis Pasteur, qui finalement devra réhabiliter Béchamp comme sans doute un des tous plus grands chercheurs et scientifiques de l’histoire de l’humanité et faire tomber en disgrâce Pasteur l’imposteur, plagiaire et responsables des trois plus grandes erreurs dirigeant la médecine allopathique moderne comme le démontre Jézéquel ci-cessous.
De fait, la médecine a été kidnappée par les intérêts particuliers de l’industrie pharmaceutique (chimique et consorts) pour qui la santé publique n’est en rien une mission mais une rente qui dit demeurer ferme et définitive quoi qu’il arrive. Pasteur en fut un de ses premiers VRP. Pour ce faire, l’industrie s’empêtre depuis l’époque Pasteur dans un tissus de mensonges et de falsifications nécessaires à sa survie et son succès commercial. Il ne tient une fois de plus qu’à nous d’y mettre fin par la pensée et l’éducation critiques, ennemies jurées de l’establishment étatico-marchand dominant.

“Pasteur fit une sage remarque lorsqu’il en appela au verdict du temps pour juger un scientifique. Et de fait, Béchamp, avec cette assurance de génie, ne perdit jamais espoir quant à ce jugement final. Le “Moniteur scientifique” nous dit : “Ceux de sa connaissance, qui se souciaient de lui et l’entouraient, n’ont jamais douté qu’un jour justice lui fut rendue.” […] Je soumets au tribunal de l’opinion publique l’affirmation que Pierre Jacques Antoine Béchamp, personnifia un de ces génies auquel le monde de la science doit tant sans qu’il le sache forcément, constituant ainsi un chapitre perdu de l’histoire de la biologie.”
~ Ethel D. Hume, “Béchamp ou Pasteur ?”, 1923 ~

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ATTENTION DANGER… ARME NANO-TECHNO-BIOLOGIQUE !

La légende du vaccin

Jean-Yves Jézéquel

Février-Mars 2023

Source : https://www.mondialisation.ca/la-legende-du-vaccin/5675524

Introduction

La médecine allopathique, celle qui s’est imposée en France dans les années 40 par une loi vichyste, rendant illégale toute autre approche de la santé et du soin, s’est laissée séduire par une fallacieuse « évidence » de l’observation, et aujourd’hui, plus que jamais, elle est absolument convaincue d’avoir raison. 

Il y a bien entendu de nombreux excellents médecins qui ont un esprit ouvert, intelligent et qui sont intéressés notamment par les médecines alternatives, les ayant parfois adoptées dans leur pratique médicale… Nous voulons ici parler de la caste médicale en tant que telle et non pas de médecins qui peuvent être d’ailleurs de véritables héros dans les temps actuels !

Concernant la caste allopathique, celle-ci affiche des certitudes qui font désormais partie du corpus dogmatique de la « science » médicale et les étudiants en médecine doivent impérativement réciter le catéchisme de la doctrine allopathique, notamment le chapitre sur les vaccins, pour entrer dans la secte et mériter, à la fin de leur conditionnement, le nom prestigieux de médecins ! Le petit catéchisme rouge de la secte vichyste allopathe, considère toute critique du vaccinalisme comme hérétique et conduit le contrevenant à l’orthodoxie allopathique vers les bûchers de la répression totalitaire ! Les médecins se montrant critiques à l’égard de la doctrine vaccinale peuvent avoir de gros ennuis avec l’Ordre des médecins qui veille sur l’orthodoxie de la pratique médicale comme l’Inquisition veillait sur l’orthodoxie du dogme catholique !

Tout comme les inquisiteurs étaient absolument convaincus d’une course du Soleil autour de la Terre, la médecine allopathe pense que  le vaccin est la solution miracle, « scientifique », qui permet de forcer le système immunitaire de l’humain à produire le stock indispensable d’anticorps, car, pense-t-elle, cette production d’anticorps n’est pas déclenchée naturellement dès l’intrusion du virus dans le corps, ce virus n’étant pourtant pas affaibli, comme dans le vaccin, mais en pleine force de sa virulence !!!

Galilée démontrait scientifiquement que ce qui paraissait « évident » à l’observation sommaire et fallacieuse, n’était pas la vérité, lorsqu’on se donnait la peine de regarder la réalité plus attentivement ! Bien qu’ayant effectivement raison, (c’est la Terre qui tourne autour du Soleil), Galilée était cependant condamné par les savants de son époque et il dû se rétracter en acceptant de reconnaître les sottises des savants, comme vérité incontestable et non critiquable, sous peine de bûcher !

Avec la médecine vichyste allopathe, nous en sommes tout à fait au même point, c’est-à-dire à une mentalité qui nous ramène à plus de 4 siècles en arrière !

On se souviendra « ad vitam aeternam » des nombreuses contre-vérités radotées par les médecins de plateaux TV vendus aux conflits d’intérêts et de ceux qui étaient muets, pétrifiés, menacés pour l’avenir de leur carrière, pour leurs revenus, pour leur subsistance…

Nous savons tous comment, dans cette crise du coronavirus, des médecins et le personnel soignant restés honnêtes, ont été maltraités, sanctionnés, violemment condamnés à la mort sociale et à la mort tout court en étant censurés, sanctionnés, suspendus, dans l’impossibilité de travailler, ni de chercher même un autre emploi pour survivre !

Le monde médical à travers ses « autorités », s’est révélé être un monde hautement sectaire, hautement tyrannique, hautement pervers… et hautement criminel !

Dans la crise de la Covid-19, les bien-portants « asymptomatiques », pourtant déclarés obligatoirement « infectés », ne développaient aucun symptôme, aucun signe de maladie, rien, et devenaient les principaux « responsables » de la diffusion du virus, puisqu’ils représentaient les 3/4 des contaminés théoriques !

Des grands professeurs de médecine s’échinaient à dénoncer ces « malades clandestins », « dangereux pour les autres », « coupables d’un délit d’illusion de bonne santé », mais qu’une vaccination massive pourrait racheter !

A partir de là, les « autorités sanitaires » allaient organiser la terreur par la culpabilisation et les statistiques grossièrement manipulées et systématiquement falsifiées. Une médecine totalitaire allait exiger des politiques qu’ils appliquent leurs décisions pourtant entièrement fondées sur plusieurs mensonges y compris scientifiques ! Avec le recul, l’étude attentive des chiffres qui a été faite par de nombreux experts de ces questions de santé publique, a démontré qu’une corruption des autorités sanitaires était mondiale, organisée, orchestrée par les responsables de cette perversion, comme on l’a très largement commenté depuis trois ans, les sources multiples d’informations ayant anéanti le narratif mensonger officiel, de manière irréversible. (Cf., le gros dossier Covid de http://www.mondialisation.ca)

Il n’est plus suffisant de bêler stupidement l’accusation de « complotisme », la gueule enfarinée et convaincu que la sottise soit devenue une preuve d’intelligence !

L’épidémiologie a voulu recourir aux équations mathématiques pour fonder son discours et dorer son blason au prestige de la science des sciences. C’est de cette manière que les statistiques devinrent « la vérité incontestable » quasi « révélée » ! Précisément, c’est sur cette « fiction mathématique » que repose le précepte « bénéfices/risques » qui est le fondement des prescriptions médicales et des mesures que l’organisation sanitaire impose arbitrairement à la société. 

L’épidémiologiste Britannique, Neil Ferguson, travaillant sur les modélisations mathématiques des épidémies, annonçait le 16 mars 2020, que, si rien n’était fait, « la Grande-Bretagne dénombrerait jusqu’à 550 000 morts de la Covid-19, les Etats-Unis, 1,2 million et la France, 3 % de sa population, soit 2 millions de personnes ! Macron allait se baser avec le « Conseil Scientifique » pour la gestion de la crise, sur les prédictions de Ferguson et sur les conseils de « McKinsey & Company », cela lui permettant aussitôt de répandre largement la terreur sur la population…

La théorie des vaccins en particulier s’est largement inspirée de la peur, des fantasmes, des archaïsmes culturels, d’anciennes terreurs habitant la profondeur de l’inconscient collectif habilement manipulé à l’occasion de cette crise organisée ! Mais nous devons examiner tout cela depuis le début de l’histoire des vaccins qui prétendait consacrer l’entrée de la médecine dans la modernité, la faisant accéder enfin au prestige du monde scientifique !

Nous devons recourir aux historiens qui sont là pour accomplir leur tâche consistant à débroussailler les archives de l’histoire, en les examinant attentivement pour nous restituer l’objectivité de la réalité factuelle qu’elles contiennent.

C’est ainsi que nous allons découvrir comment la grande Histoire nous fait le récit bien différent de celui qui a été convenu par la secte médicale allopathique ayant éliminé tous les concurrents et ceux qui pouvaient, par leur pratique, démontrer à quel point la légende du vaccin était mensongère, abusant des millions de gens depuis qu’elle s’est imposée comme « vérité scientifique incontestable » et faisant des millions de victimes, sans que sa criminalité ne soit jamais remise en cause !

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1 – Pasteur et l’Histoire

Le médecin anglais Edward Jenner a été le premier à inoculer la vaccine, maladie spécifique des bovins, afin de protéger les hommes de la variole ou petite vérole, mais c’est Pasteur (1822-1895) qui reste le père de la vaccination, à cause de ses travaux mieux vulgarisés et diffusés sur la mise au point d’un vaccin. Pasteur exploitait à la perfection les travaux des autres. Il s’informait de tout ce qui pouvait se faire et utilisait cette connaissance pour orienter ses propres recherches.

A cause des années de sacrifices consentis, de solitude et de travail acharné dans l’isolement de son laboratoire de recherche, à cause des fortunes dépensées pour ses recherches, Pasteur avec son entourage, y compris les responsables de la santé publique, estimèrent qu’il n’était pas possible d’accepter le bilan négatif final qu’il tirait de ses expériences. Ils estimaient qu’ils avaient hissé la médecine au niveau des sciences et qu’ils lui avaient donné un statut de respectabilité jamais atteint auparavant. Accepter la reconnaissance de l’échec n’était plus envisageable : un retour en arrière n’était pas tolérable !

C’est ainsi que le dogme pasteurien s’est ancré dans les esprits devenus aveugles et incapables de reconnaître l’imposture. Pasteur a été convaincu de maquiller les résultats d’expériences qui infirmaient sa théorie vaccinale, dans les publications présentées à l’Académie de médecine. Dans un second temps, il s’est habilement approprié des travaux d’autres chercheurs, comme ceux d’Antoine Béchamp (1816-1908), l’un des plus grands savants du XIXème siècle, médecin biologiste, naturaliste, professeur de chimie médicale et pharmaceutique de la faculté de Montpellier et professeur de chimie biologique et de physique à l’Université de Paris, puis doyen de la Faculté libre de Lille.

(Cf., « Pour en finir avec Pasteur », Dr Eric ANCELET, éditions Marco Pietteur, 1998 ; Marc Menant, « L’inquiétante histoire des vaccins », Plon, 2022, 265 pages.)

C’est Béchamp qui avait démontré la validité des hypothèses de Claude Bernard sur la valeur du terrain propre à chaque individu et c’est lui qui fut le premier à comprendre la cause microbienne des pathologies infectieuses. Son œuvre est quasi inconnue de nos jours, parce qu’elle a été éclipsée, détournée au profit des intérêts personnels de Pasteur qui en a récupéré les lauriers.

On connaît les doutes de Pasteur et de son entourage sur l’affaire du petit Joseph Meister qu’il aurait sauvé de la rage, car Pasteur savait bien que beaucoup d’éléments grevaient la validité de cette expérience. Trop de facteurs objectifs pouvaient remettre en cause la certitude de Pasteur lui-même et c’est ce qui arriva pour le chercheur qui savait pertinemment que les conditions de l’expérience de vaccination n’étaient ni réunies, ni satisfaisantes, ni finalement concluantes.

Le vaccin de Pasteur, à base de moelle desséchée, était très dangereux et fut rapidement abandonné, moyennant d’ailleurs un conflit tenace avec son principal collaborateur le Dr Roux qui n’avait pas apprécié un détournement de « paternité » par Louis Pasteur qui lui avait dérobé ses échantillons et ses notes. On peut dire que le jeune Meister avait échappé à une issue fatale désastreuse de cette expérience du vaccin contre la rage. L’histoire réécrite par les protagonistes de cette expérience a retenu cet épisode de vaccin comme un succès, mais en oubliant volontairement de dire que ce vaccin avait multiplié les décès dans le contexte de la rage.

Entre 1869 et 1872, Pasteur énonçait trois principes de base erronés qui servent pourtant encore aujourd’hui de fondement à la vaccination !

Le premier estimait que l’asepsie règne dans nos cellules : la cellule est propre, tous les microbes sont exogènes (c’est-à-dire qu’ils viennent de l’extérieur) et attaquent les cellules depuis l’extérieur. Ces germes ont une existence indépendante des organismes vivants. 

Le second c’est que chaque maladie correspond à un agent spécifique, microbe ou virus, contre lequel on peut se prémunir grâce à un vaccin. 

Le troisième disait que l’immunité s’obtient par la production d’anticorps en réaction à l’introduction d’antigènes contenus dans le vaccin et ces anticorps confèrent une protection.

Nous savons depuis longtemps que ces trois postulats sont faux. Les découvertes en immunologie les contredisent totalement, mais les vaccinalistes font toujours semblant d’ignorer ces travaux. On se demande pourquoi ?

Nous vivons en symbiose avec les micro-organismes et si nous les considérons comme nos ennemis, nous entrons dans une logique de guerre qui met en péril notre système immunitaire. Car, ce sont des bactéries qui maintiennent notre équilibre biologique et qui ne deviennent pathogènes qu’au moment où notre système immunitaire est perturbé en ne remplissant plus ses fonctions naturelles. 

Quant aux virus, ils se reproduisent uniquement à partir de leur matériel génétique et ne sont que des parasites des cellules. Notre corps peut abriter de nombreux virus sans que nous ne soyons malades pour autant. Il est donc essentiel de comprendre que tout ce monde microbien ou viral n’est pas un ennemi qu’il faut éradiquer à tout prix, tout en croyant que seul importe le terrain devant être préservé de ses véritables agresseurs.

A la naissance, le système immunitaire n’est pas encore mature. Pour survivre, le nourrisson est protégé par les anticorps maternels. Cette immunité héritée est remplacée par une immunité personnelle au fur et à mesure que l’enfant rencontre des germes, microbes ou virus, particulièrement grâce aux maladies infantiles. C’est pour cette raison que les vaccinations apparaissent comme des éléments perturbateurs incontrôlables et particulièrement inopportuns.

Le Pr J. Tissot, professeur de physiologie générale au Muséum d’histoire naturelle, mettait déjà en garde le monde médical bien avant le délire vaccinaliste actuel :

« L’immunité par vaccination ne s’acquiert qu’en conférant à l’individu la phase chronique de la maladie qu’on veut précisément éviter, phase chronique qui comporte, dans un avenir proche ou très éloigné, de redoutables complications ». (Cf., Pr J. Tissot, « Constitution des organismes animaux et végétaux, causes des maladies qui les éloignent »).

De plus, il faut le répéter : les vaccinations ne procurent pas la même immunité que les maladies elles-mêmes et les taux d’anticorps évalués après les vaccinations sont généralement inférieurs à ceux qui sont évalués après les maladies. L’immunité conférée par la maladie est définitive, ce qui n’est pas le cas par la médiation de la vaccination. Cela entraîne de graves problèmes lorsque la personne humaine vieillit : les maladies deviennent plus graves chez les personnes âgées, à cause du retard des capacités immunitaires provoqué par les vaccins.

Ils sont légions, dans le corps médical et dans le personnel soignant, comme dans la population, à penser sincèrement que la plupart des épidémies ont disparu grâce aux vaccinations et refusent catégoriquement de remettre en cause leur certitude dogmatique héritée de la légende Pasteurienne. Pourtant, l’objectivité historique et scientifique démontre, sans l’ombre d’un doute, que les épidémies ayant ravagé nos pays ont bel et bien disparu sans aucun vaccin, ce que les partisans des vaccins font semblant d’ignorer, car il est impossible de ne pas savoir !

Comme on va le voir, les courbes de décroissance des maladies débutent toujours bien avant les vaccinations rendues obligatoires lorsque les maladies ont pratiquement disparu !

Les fanatiques du vaccin ne se demandent jamais pourquoi ces épidémies ne continuent pas de sévir dans les pays qui n’ont pas pratiqué les vaccinations ou qui les ont abandonnées. Ces gens ne se demandent jamais pourquoi l’épidémiologie et la presse scientifique internationale attestent que des épidémies surgissent encore dans des pays où la couverture vaccinale est totale ? !

Les immunologistes s’interrogent toujours sur les poussées épidémiques survenant dans les populations vaccinées contre la rougeole, la polio, la tuberculose, la diphtérie et la coqueluche. Ce constat est une évidence bien dérangeante pour les partisans de la vaccination, car cela veut dire clairement la faillite de la vaccination.

Dans Médecine praticienne (N°467), le Pr Lépine constatait à son tour :

« Dans plusieurs pays en voie de développement, on s’était imaginé qu’avec une seule campagne de vaccinations, on arriverait à résoudre le problème. Or, dans plusieurs de ces pays, la fréquence de ces maladies a augmenté, allant même jusqu’à quintupler depuis la vaccination ».

« S’il n’y avait que les vrais malades à soigner, la médecine serait en situation économiquement difficile. Il faut donc convaincre l’ensemble de la population qu’elle est potentiellement malade et vendre des médicaments à ceux qui n’en ont pas besoin ». (Pr. Didier SICARD chef du service interne à l’hôpital Cochin, président du Comité national consultatif d’éthique)

Redisons-le encore clairement : un enfant de parents en bonne santé naît avec un potentiel important et développe progressivement son immunité. Il est tout à fait capable d’affronter les maladies infantiles. Il est aberrant de dramatiser à la pensée que les petits seraient immanquablement menacés par des ennemis impitoyables les guettant dès leur arrivée en ce monde ! Les parents conditionnés par la propagande et anxieux face au danger inévitable pensent que les vaccinations sont une panacée et qu’elles éviteront les maladies de leurs enfants. C’est tout le contraire qui est vrai et celui qui prétend bêtement que ce discours est « complotiste » serait bien incapable de prouver son infaillibilité idéologique alors que nous avons l’embarras du choix en termes de démonstrations scientifiques contraires à la croyance archaïque officielle et intolérante basée sur du mensonge et de la vulgaire falsification !

« Les vaccinations affaiblissent considérablement le terrain. Les maladies aiguës, incapables de s’exprimer, peuvent se développer de façon larvée, insidieuse, faisant le lit de maladies chroniques souvent graves et inguérissables. Il ne faut donc pas redouter les maladies infantiles, rester serein, et aider l’enfant à surmonter cette légère épreuve. Comme le disait déjà Hippocrate : « Le corps fait une maladie pour se guérir ». » 

(Cf., Sylvie Simon, « Les 10 plus gros mensonges sur les vaccins », DANGLES 2005 (3ème livre d’une collection « les 10 plus gros mensonges »).

Il va de soi qu’il faut surveiller l’évolution des maladies infantiles afin de ne pas commettre d’imprudences qui pourraient entraîner des complications chez les enfants fragiles ou prédisposés à certaines pathologies. Paradoxalement, ce sont précisément ces enfants-là qui manifestent les effets secondaires les plus graves après la vaccination.

Louis Pasteur et son équipe étaient persuadés de sortir la médecine de la superstition et des pratiques moyenâgeuses, ils étaient convaincus qu’ils allaient initier des thérapies salvatrices de l’humanité. A l’époque, le Professeur Brouardel disait au docteur Roux qui travaillait avec Pasteur :

« Si je ne prends pas position en votre faveur, c’est un recul immédiat de cinquante ans dans l’évolution de la science. (Malgré le mensonge auquel il faut s’en tenir), nous devons éviter cela ! »

Comment après tant d’années de sacrifices, l’équipe de Pasteur et les responsables de la santé publique auraient pu avoir le courage de remettre en cause leur travail qui s’était égaré sur une piste fallacieuse ?

Ils ne pensaient pas se rendre coupables d’une terrible imposture, ils s’abusaient eux-mêmes, en toute bonne foi ! 

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2 – Le verdict de l’Histoire sur la faillite des vaccins

Les chiffres des statistiques officielles accessibles depuis de longues années le prouvent, les courbes le montrent : les vaccins n’ont pas éradiqué les épidémies. Bien au contraire, ils ont favorisé l’émergence de maladies nouvelles devenues plus redoutables puisqu’elles surviennent sur des sujets adultes au système immunitaire affaibli par les vaccins.

Ce que l’Histoire démontre opiniâtrement, c’est que les épidémies qui ont ravagé nos pays ont disparu sans aucun vaccin ! Il est clair que les partisans des vaccins ignorent cette réalité et on peut se demander pour quelle raison ? Pourquoi s’acharner à ne pas vouloir savoir ? Disons-le une fois de plus : ce comportement relève de la psychopathologie et des systèmes de conditionnement de l’être humain, comme on l’a démontré dans plusieurs articles auxquels je renvoie le lecteur sur mondialisation.ca (Cf., les références dans les sources ci-dessous : dossier Coronavirus)

2.1 – La peste, le choléra et la lèpre

Ainsi, en 1347, la peste noire s’installait en Europe et en 1348 elle faisait périr la majorité de la population française. Pendant des siècles, elle fit des ravages à travers le monde pour s’éteindre et disparaître totalement sans aucune vaccination. 

Le choléra allait, lui aussi, semer la terreur dans nos pays européens pour disparaître à son tour sans aucun vaccin. 

Si la vaccination contre ces maladies avait existé et avait été obligatoire durant ces périodes critiques, il est certain que les propagandistes et les fanatiques du vaccin auraient attribué cette disparition à l’efficacité des vaccins. 

L’étude rigoureuse des faits historiques, impute ces régressions à bien d’autres facteurs. La lèpre existe encore dans certains pays à l’état endémique, elle ne cause plus de ravages comme elle le fit par le passé, et les grandes épidémies ne sévissent plus. Faut-il préciser qu’il n’existe aucun vaccin contre cette maladie ?

Pour les historiens des vaccins, il suffit d’observer les courbes de déclin des maladies pour s’apercevoir que ce déclin a toujours commencé bien avant l’introduction des vaccins.

Pour attester de l’action bénéfique des vaccins, la médecine allopathique se base sur le taux d’anticorps obtenu après une injection. Certes, tout antigène introduit dans l’organisme produit une réaction. La plupart du temps, le système immunitaire exprime cette réaction par la production d’anticorps, mais leur présence ne prouve pas qu’ils vont immuniser l’individu. Leur augmentation signifie surtout un affolement des défenses immunitaires. 

Dans bien des cas, les vaccins fortifient la maladie et sont « facilitants ». Les mécanismes engagés dans le corps se trouvent souvent débordés, provoquant des combinaisons anticorps/antigène, appelées « complexes immuns » ; ces combinaisons restent en circulation dans l’organisme, provoquant des maladies graves. Quant à la durée de vie produite par un antigène vaccinal, elle est considérablement plus courte que celle des anticorps naturels.

La vaccination met en jeu des mécanismes très différents de ceux qui sont activés par une intrusion virale naturelle.

Les vaccins sont des facilitateurs de l’émergence d’autres maladies, parce que le terrain immunitaire est affaibli. A cause de ce phénomène d’immunodéficience, provoqué par le vaccin, le terrain se laisse plus facilement assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents.

Mirko D. Grmek, professeur d’histoire de la médecine à l’Ecole des hautes études, donne au phénomène émergent d’une maladie qui disparaît ensuite d’elle-même, le nom de « pathocénose ». 

La « pathocénose » explique l’apparition et la disparition naturelles d’une épidémie. 

« Ainsi, la vaccination antivariolique a rendu plus virulent le bacille de Koch, ce qui explique le fléau de la tuberculose au XIXe siècle. La vaccination contre la diphtérie couplée avec la vaccination anti-coqueluche a rendu virulent le virus de la polio, aussi a-t-on eu des pics épidémiques quelques années après la vaccination systématique contre la diphtérie. Le vaccin contre la polio accompagné du cocktail prévu par le calendrier vaccinal a contribué à l’effondrement du système immunitaire et à l’installation d’un syndrome d’immunodéficience acquise. » (Cf., Sylvie Simon, paru dans le magazine Nexus, mars-avril 2013, n°85)

2.2 –  Narcolepsie, Alzheimer, maladie de Guillain-Barré, cancers, myofasciites à macrophages, syndrome des antiphospholipides…

Les vaccins comme les antibiotiques diminuent la résistance naturelle du terrain, transformant ce terrain en y favorisant la cancérisation. Habituellement, les médecins convaincus de « l’évidence des bienfaits du vaccin » considèrent qu’un enfant vacciné ne développant pas telle ou telle maladie est donc « immunisé », alors que la réalité est bien différente : il est nettement plus juste de dire qu’il n’a plus la force de réagir. Les maladies chroniques s’installent chez ceux qui ont un niveau d’énergie, trop bas. Ils ne font pas de réactions fortes parce que l’organisme est affaibli de l’intérieur.

Harris Coulter, un spécialiste américain de l’histoire des vaccinations, dans son livre « Vaccination, social violence and criminality », dit que toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave. Ce phénomène provoque une détérioration des gaines de myéline dans le cerveau. Ces transformations pathologiques conduisent à des handicaps divers comme les problèmes de comportement.

Aux USA, un enfant sur cinq a subi des atteintes cérébrales. Des chercheurs ont découvert une similitude entre certains virus et la structure de la myéline. Cette découverte capitale explique pourquoi nombre de maladies auto-immunes apparaissent après la vaccination : le corps ne reconnaît plus l’antigène à combattre et s’attaque à ses propres cellules, entraînant des maladies très invalidantes sur le long terme. 

Les spécialistes en immunologies s’interrogent actuellement sur les poussées épidémiques qui surviennent spécifiquement dans les populations vaccinées ! Ils parlent alors d’une « faillite de la vaccination », qui non seulement présente des effets pervers mais qui de plus, n’a jamais « éradiqué » une maladie.

Non seulement les vaccins contiennent des produits toxiques connus qui peuvent provoquer des dégâts neurologiques, mais il faut également souligner que les fabricants ne réalisent pas les mêmes études de sécurité pour les vaccins comme ils le font (pas toujours !) pour les autres médicaments.

Depuis l’affaire des effets secondaires désastreux observés à la suite des « vaccins anti-covid-19 », un nombre alarmant d’études scientifiques a mis en lumière les dangers des vaccins en général.

Il ne s’agit pas d’alertes provenant des milieux dits « complotistes », mais de la communauté médicale internationale elle-même qui exprime ses doutes sérieux sur l’opportunité des vaccins.

Le British Medical Journal, publiait le 30 janvier 2013 une étude démontrant que le vaccin contre la grippe H1N1 : Pandermix, avait causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable, sans que la règle bénéfice/risque ne soit venue approuver l’utilité du vaccin. Une association a également été repérée entre le vaccin contre la grippe et la maladie de Guillain-Barré.

Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus et le cancer du col de l’utérus, est pointé par l’association Sanevax, car ce vaccin est relié à 29 003 effets secondaires graves et au moins à 130 décès connus.

Les historiens des vaccins savent aujourd’hui que le vaccin contre l’hépatite B, tue des cellules du foie, alors qu’il a été conçu pour protéger contre une maladie du foie. Le 21 novembre 2012, le Conseil d’Etat français a reconnu que l’aluminium dans le vaccin contre l’hépatite B, avait été la cause d’une terrible maladie invalidante, la myofasciite à macrophages, dont souffrent des milliers de personnes qui ont été vaccinées contre l’hépatite B.

Les vaccins peuvent en effet contenir diverses substances notoirement toxiques, même à faibles doses, comme le formaldéhyde (cancérigène), le mercure (neurotoxique), l’aluminium (neurotoxique) ou le phénoxyéthanol et aujourd’hui, au sujet du vaccin anti-covid, l’oxyde de graphène. (Concernant cette dernière substance, on y reviendra plus tard). On imagine les effets que peuvent avoir ces substances sur des enfants en pleine croissance.

Ces molécules sont des adjuvants destinés à stabiliser les vaccins ou à renforcer leur efficacité en stimulant la réponse immunitaire. Ainsi les personnes prédisposées génétiquement peuvent voir leur immunité s’emballer et déclencher alors une maladie auto-immune, comme la fameuse myofasciite à macrophages, le syndrome de Guillain-Barré ou le syndrome des antiphospholipides, des effets secondaires rares et graves mais parfaitement connus.

Le lien a été établi aujourd’hui entre l’aluminium des vaccins et la maladie d’Alzheimer, mais aussi du cancer du sein, la maladie d’Alzheimer étant une nouvelle maladie apparue après-guerre et suite aux campagnes de vaccinations.

Ces effets indésirables sont, bien entendu, présentés par les « autorités médicales » et la grande presse aux ordres du système, comme mineurs au regard des bénéfices obtenus par les vaccins. 

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3 – Le cas particulier de l’autisme

L’autisme se manifeste en général au cours des trois premières années, période pendant laquelle les enfants subissent de nombreuses vaccinations. Les cas d’autisme se sont multipliés depuis une trentaine d’années. Après la généralisation du vaccin diphtérie-Tétanos-coqueluche et l’arrivée du vaccin contre la rougeole, les consultations pour des cas d’autisme ont explosé, et elles ont décuplé avec l’introduction du ROR et du vaccin anti-hépatite B. On peut présumer d’une large prolifération de l’autisme avec les 11 vaccins devenus obligatoires sous Macron et sa ministre de la santé réputée avoir été la plus grande représentante historique des laboratoires : Agnès Buzyn, aujourd’hui passant sa vie devant les tribunaux.

Comment se fait-il qu’on n’ait pas cherché à approfondir les études sur ces coïncidences temporelles ? Comment se fait-il que les pouvoirs discréditent toute étude sérieuse mettant en cause la toxicité des vaccins alors qu’ils tiennent compte et plébiscitent certaines études simplistes et non rigoureuses pour les promouvoir ? Pourquoi les accidents relèvent-ils toujours de coïncidences ?

En fin 1990, les sels d’aluminium sont déclarés, par les chercheurs du monde entier, responsables des autismes, de la sclérose en plaques, de la myofasciite à macrophages, cette dernière maladie ayant été signalée pour la première fois en 1998. Le professeur Romain Gherardi publiait les résultats de ses recherches en 2016 : « Site NIH de la National Library of Medicine, 28 novembre 2016 ». Le professeur confirmera encore la conclusion de ses recherches en avril 2001 dans le mensuel « Alternative Santé l’Impatient » : « sur 50 malades, 85% d’entre eux avaient reçu le vaccin de l’hépatite B et 15% des autres restants avaient reçu récemment le vaccin anti-tétanos. L’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) niait le rapport qui existe et qui a été démontré entre l’injection contenant de l’aluminium et les troubles graves étudiés par le professeur Gherardi.

Les conséquences dramatiques de ces vaccinations allaient opposer les experts devant les tribunaux. L’Etat reconnaissait enfin sa responsabilité. Un arrêt du Conseil d’Etat de mars 2007, allait permettre l’indemnisation de 150 victimes des vaccins. Le nombre peu élevé de contaminés aujourd’hui ne justifiant pas la vaccination de masse. 

L’opinion publique manipulée, attribue toujours un mérite inexistant aux vaccins qui nous protégeraient de nombreuses maladies infectieuses et pensent encore à ce jour qu’ils ont éradiqué toutes les épidémies décimant autrefois nos pays : le typhus, la diphtérie, la coqueluche, la scarlatine, la tuberculose, la méningite, le tétanos et, bien entendu, les maladies infantiles, la rougeole, les oreillons, la rubéole, etc.

4 – Selon les documents historiques, la vaccination est bien une fiction

Se reporter au dossier « Survey on Vaccinations in Europe » dont sont tirés les chiffres suivants.

La vérité scientifique et historique démontre qu’il s’agit d’une pure fiction.

Toutes ces maladies que l’on vient d’évoquer avaient cessé de faire des morts à grande échelle bien avant que l’on introduise les vaccins. Disons-le et répétons-le : c’est l’amélioration des conditions de vie, de l’hygiène, de l’eau potable, le recul de la malnutrition et du paupérisme qui expliquent la disparition de ces maladies.

4.1 – La Diphtérie

Dans le début des années 1900, en Espagne, il y avait encore 5 000 morts par an de diphtérie. Puis ce chiffre est tombé à 81 en 1964, l’année où la vaccination obligatoire fut introduite.

En France, la vaccination obligatoire contre la diphtérie fut imposée en 1938. L’année suivante, il y eut 15000 cas de diphtérie puis trois fois plus pendant la guerre !

En Allemagne, il y avait 100 000 cas de diphtérie par an au cours de la Première Guerre mondiale. Les nazis imposèrent le vaccin obligatoire contre la diphtérie en 1939. En 1940, il y avait à nouveau 100 000 cas, puis 250 000 en 1945. Ce qui démontre que ce sont les conditions de vie, les situations d’hygiène, de nutrition, qui expliquent les épidémies… Après la guerre, la vaccination obligatoire fut abandonnée et le nombre de malades de la diphtérie passa à 800 en 1972. Les cas sont rares aujourd’hui, mais repartent à la hausse dans les milieux défavorisés des réfugiés sans logis et autres victimes du désastre économique actuel malgré les vaccins …

Tous les chiffres répertoriés par les historiens indiquent que la diphtérie se répand lorsque les conditions de vie se dégradent (crise économique, chômage endémique, existence sous le seuil de pauvreté, guerre), et que les campagnes de vaccination sont impuissantes à enrayer ce phénomène.

L’Histoire souligne que chaque retour à la prospérité et à une meilleure hygiène de vie s’accompagne d’un recul des maladies, jusqu’à leur disparition complète.

Le scandale dans tout cela, c’est que des gouvernements imposent la vaccination systématique de la population pour des maladies devenues inexistantes : c’était le cas de l’Espagne en 1964 et de l’Allemagne en 1939.

Les mêmes phénomènes ont été observés avec les autres grandes maladies infectieuses.

Les traitements sérieux reposent sur le chlorure de magnésium dont on connaît l’efficacité dans les états infectieux (diphtérie, tétanos, polio) grâce aux travaux du Dr Neveu, élève du Pr Delbet. Le Dr Neveu avait rédigé un rapport sur les guérisons qu’il avait obtenues chez des personnes atteintes de diphtérie. Le Pr. Delbet voulut présenter ce rapport à l’Académie de Médecine.  Mais le réflexe sectaire du corps médical, toujours enfermé dans sa croyance fétichiste du vaccinalisme, refusa de remettre en cause le dogme de l’infaillibilité vaccinale. 

Dans une lettre au Dr Neveu, en date du 16 novembre 1944, il écrivait : « La publication de ma communication du 20 juin est définitivement refusée. Le Conseil de l’Académie a trouvé après 6 mois de réflexion, l’argument suivant : en faisant connaître un nouveau traitement de la diphtérie, on empêcherait les vaccinations et l’intérêt général est de généraliser ces vaccinations. »

Voilà un exemple flagrant de mensonge par omission : les chercheurs indépendants qui trouvent des solutions efficaces et peu coûteuses, mais qui s’écartent du narratif mensonger officiel, sont condamnés au silence. Il ressort de ce rapport que l’Académie de Médecine a décidé délibérément d’étouffer un traitement qui aurait pu sauver des milliers de vie, mais qui aurait risqué de concurrencer les vaccins. Voilà qui donne une idée des puissants intérêts qui dictent la conduite de tout ce qui représente l’autorité sanitaire du pays. On peut tout à fait parler de pratiques criminelles des autorités sanitaires, en toute impunité. Les braves gens peuvent crever, cela laisse indifférent les responsables, car la loi de l’argent, des intérêts, des profits dépassent de loin la vie des personnes considérées comme des « inutiles », des « substituables », « ceux qui ne sont rien »…

4.2 – La Typhoïde, la Coqueluche et la Scarlatine

La fièvre typhoïde, qui décimait les armées de Napoléon et fit 5000 à 7000 morts par an pendant la Guerre civile espagnole, à partir de 1937, fut quasiment éradiquée à la fin des années 50, sans qu’il y ait eu de campagne de vaccinations.

Le vaccin contre la coqueluche ne commença à être administré que dans les années 40 aux Etats-Unis. En 1953, il fut autorisé en Angleterre. A ce moment-là, la coqueluche faisait 25 morts par million d’enfants de moins de 15 ans, contre 1 500 en 1850. Une baisse de 98,5 % sans que le vaccin y soit pour quoi que ce soit.

En Espagne, la coqueluche ne faisait plus que 33 morts par an en 1965 quand furent lancées les campagnes de vaccination DPT (diphtérie, coqueluche, tétanos).

La scarlatine ne fait pratiquement plus aucun mort depuis les années 60 bien qu’il n’y ait jamais eu de vaccin.

4.3 – ROR

En France, les campagnes à grande échelle de vaccination ROR (rougeole, oreillons, rubéole) furent lancées en 1983, alors que le nombre de décès causés par la rougeole était tombé à 20 personnes par an, contre 3 756 en 1906, une baisse de la mortalité de 99,5 % sans vaccin ! En Espagne, 18 473 personnes moururent de la rougeole en 1901, contre 19 en 1981. Les campagnes de vaccination nationales commencèrent pourtant en 1982 !

Pouvoirs publics, médecins, et médias persistent à répéter la même rengaine : « Le vaccin reste la meilleure protection contre la maladie et cette maladie est fréquente et parfois mortelle », alors que c’est foncièrement faux : les rougeoles sont rarissimes et parfaitement bénignes en Europe, dans les familles qui nourrissent correctement leur enfant.

Les mensonges dénoncés ici concernent le monde entier. Ainsi, lorsque débutèrent les premières vaccinations ROR au Japon, le Ministère de la santé signala les effets indésirables dans un cas sur 200.000. Quelques années plus tard, ayant « révisé » les chiffres, le même ministère annonçait un accident pour 3000 vaccinés. Les statistiques ayant été à nouveau « révisées », il fut reconnu un accident pour 1 300 vaccinés, chiffre étrangement différent de ceux précédemment publiés.

Mais en France, nous n’avons aucun problème avec le ROR et l’on continue à administrer ce vaccin en l’exigeant même pour l’admission en crèche. Dans le domaine du mensonge, nos « experts » restent les champions du monde ! Quand demandera-t-on des comptes à ces responsables de la santé publique en rappelant leurs irresponsabilités, demande le Professeur Jacques Testart, biologiste réputé ?

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Voir notre page : « Coronavirus, guerre contre l’humanité », mise à jour depuis 2019

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Arrêtons de protéger les criminels génocidaires responsables de l’hécatombe ARNm COVID19 en appelant ces injections de leur nom véritable : ARMES BIOLOGIQUES (Karen Kingston)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, guerres hégémoniques, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 9 décembre 2022 by Résistance 71

 

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Le fait d’appeler les injections ARNm “vaccins anti-COVID19” au lieu d’armes biologiques, nous protégeons des criminels

Karen Kingston

6 décembre 2022

Url de l’article original :

https://karenkingston.substack.com/p/by-calling-mrna-injections-covid

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Cet article fait suite à celui-ci de Karen Kingston que nous avons publié hier 7 décembre 2022 :
https://resistance71.wordpress.com/2022/12/07/lire-les-brevets-et-documents-sur-la-technologie-arnm-utilisee-dans-les-pseudovax-covid19-et-convenir-quil-sagit-bien-darmes-biologiques-de-destruction-massive-karen-kingston/

Des millions d’adultes et d’enfants innocents ont été soumis à des expériences perverses et cruelles et ont été assassinés durent l’holocauste de la seconde guerre mondiale, parce que des fonctionnaires locaux en Allemagne et en Europe ont accepté d’assister dans l’assassinat de leurs concitoyens, tout en défendant simultanément leurs actions haineuses et les tyran auxquelles ils obéissaient. Les autres membres de la communauté qui pensaient être à l’abri de la cruauté des tyrans avaient trop peur ou étaient trop apathiques pour se lever contre leurs gouvernements et leurs leaders. Cela vous semble t’il familier ?…

Le pire crime de l’histoire de notre nation est en train de se commettre maintenant (NdT : pas d’accord, connaît ton histoire Karen… second derrière le génocide des populations amérindiennes, juste un rappel, pas de “compétition victimaire” évidemment…), en notre présence. Adultes et enfants sont blessés, incapacités et tués en étant psychologiquement manipulés et forcé à participer à une haineuse expérience mondiale en étant injectés avec une technologie militaire d’arme biologique à ARNm, ce sous le couvert d’un soi-disant vaccin anti-COVID19.

Un vaccin à ARNm n’existe pas. Arrêtez de l’appeler de la sorte. L’ARNm est et a toujours été partie de la catégorie technologique de transformation génétique. Cette technologie est utilisée pour inventer de nouvelles espèces (des virus aux plantes, aux parasites hybrides en passant par les animaux…) Cette technologie crée des maladies auto-immunes, provoque des cancers et sert à développer des armes biologiques militaires. (military-grade bioweapons)

Les technologies de transformation génétique à ARNm sont l’objet de recherches et de développement depuis plus de 40 ans, elles ont mené bien des entreprises à la banqueroute et n’ont absolument jamais été approuvées par la FDA pour quoi que ce soit avant cette affaire de COVID-19 parce que ces technologies n’ont rien de bénéfique pour les humains et leur santé, elles ne provoquent que dégâts, blessures, maladies et mort.

D’après le 18 USC 175, les technologies à ARNm sont la définition littérale, verbatim d’une arme biologique.

Une arme biologique est un agent biologique quel qu’il soit (ARNm), une toxine (WIV spike S-2P) ou un système de livraison, de transfert (outil/NPL/vaccin) qui n’a aucune justification raisonnable pour une recherche prophylactique ou protectrice bona fide, ou autres buts paisibles.”

La technologie ARNm est une technologie de transformation génétique. Elle peut être utilisée pour des objectifs de mutations génétiques. D’après le NIH, la cause de mort soudaine inexpliquée chez les enfants peut être expliquée par des mutations génétiques. Spécifiquement, “les chercheurs se sont focalisés sur 137 gènes associés au cœur ou des désordres provoquant des convulsions, les deux pouvant déclencher une mort soudaine.

Nos hauts-fonctionnaires de la santé et les leaders de l’industrie pharmaceutique dans la recherche sur l’ARNm ne sont en rien surpris que les enfants et les jeunes adultes souffrent d’inflammation massive du myocarde, de convulsions et de mort soudaine, Ceci fait partie des effets secondaires horribles mais connus de la technologie ARNm. C’est pourquoi cette technologie n’a jamais été approuvée pour utilisation sur les humains dans les 40 années de son histoire.

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Appelons ces injections à ARNm des armes biologiques ou des armes de destruction massive, mais pas des vaccins. Ces injections ne préviennent en rien les maladies, cela n’a jamais été leur fonction. Ces injections anti-COVID19 ont été conçues pour provoquer des maladies, des blessures graves et la mort ; Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, les HHS, la FDA, Le CDC, le NIH et tous les officiels gouvernementaux et les experts de santé le savent pertinemment.

Des enfants innocents meurent. Des femmes enceintes ont leurs bébés assassinés dans leurs utérus, des athlètes professionnels souffrent de graves problèmes cardiaques et de crises cardiaques sur le terrain de jeu, des pilotes de ligne deviennent incapables de voler en cours de vol, certains meurent aux commandes de leurs avions ; de jeunes adultes deviennent infirmes à vie ou meurent soudainement, ce, à travers les Etats-Unis. Les blessures, maladies et morts causées par les injections à ARNm ne sont pas des “effets secondaires”. Ce sont des conséquences voulues, intentionnelles, délivrées par une arme biologique de niveau avancé.

Afin que les criminels soient tenus pour responsables, il est particulièrement critique que nous et nos experts en qui nous avons confiance, soyons capables d’articuler clairement et de documenter comment les injections ARNm anti-COVID19 ne remplissent en rien la définition d’un vaccin et que ces injections sont des armes biologiques utilisées contre nous.

Intended Consequences est un bon commencement.

Take Down COVID-19

Le vérité dérangeante est qu’on nous a menti, que nos leaders nous ont trahi, y compris certains que nous avons adorés. Toutes les institutions de cette nation, de la Maison Blanche et des agences fédérales de santé  en passant par nos gouverneurs, maires, membres de conseils municipaux et même des membres des services de santé publique, nos employeurs dans les grandes largeurs, les membres des comités scolaires sont touchées et mentent. Si vous questionnez le comment savoir si un fonctionnaire ou même votre employeur ou votre école, sont des alliés du peuple américain et de nos enfants, il y a un très simple défi à leur donner :

Demandez aux fonctionnaires et élus locaux de supprimer la COVID-19 Take Down COVID-19.

Appelez les gouverneurs, les ministres de la justice, les maires, direction d’école, des collèges, universités, aux personnels de santé, aux centres de santé publique et privée, aux entreprises, églises, paroisses etc de :

Faire une déclaration publique disant que les “vaccins” contre la COVID19 à ARNm causent des maladies et la mort et doivent être stoppés, interdits immédiatement.

D’arrêter immédiatement tous les tests COVID19 (RT-PCR etc…), les traitements expérimentaux et les injections ARNm.

De rejeter et se stopper tout financement des programmes COVID19

“Appelez les officiels à criminaliser la promotion et l’administration de ces injections ARNm.”

Les gouverneurs (NdT: préfets en France) ont le pouvoir de rejeter la déclaration des HHS disant que le SRAS-CoV-2 est une menace pour la santé publique et la sécurité nationale et de criminaliser les AUE des produits anti-COVID, les tests, les injections ARNm. Les ministres de la justice des états ont le droit et le pouvoir de faire saisir ces stocks d’injections ARNm et de les faire détruire.

Demandez qu’ils le fassent !

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Lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

 

COVID19 / ARNm holocauste :

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