Archive pour réchauffement climatique anthropique

Nouvel Ordre Mondial et détournement de la science : le cas de la supercherie du Réchauffement Climatique Anthropique (Résistance 71)

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KP_science_et_pseudo-science

Résistance 71

5 novembre 2021

Nous avons vu et republié récemment une note sur la supercherie scientifique de la théorie biotique ou dite « fossile » de l’origine du pétrole et de fait de tout hydrocarbure plus lourd que le méthane. Nous rouvrons ici le dossier d’une autre méga-supercherie (pseudo) scientifique, celle de la tristement célèbre théorie du « Réchauffement Climatique Anthropique » qui affirme sans aucun fondement scientifique et frauduleusement, que l’activité humaine et notamment sa production de gaz carbonique depuis le début de l’ère industrielle, est responsable d’un réchauffement de la température terrestre et qu’il y aurait une « urgence climatique » imputable aux activités humaines émettant du gaz carbonique… Nous dénonçons cette escroquerie pseudo-scientifique depuis le début de ce blog en juin 2010.
La théorie, lancée en Angleterre sous l’ère Thatcher, est devenue un dogme, une religion qui possède ses textes, ses croyances, ses rites, ses prêtres, ses missionnaires, ses « lois » et donc son opposition et ses hérétiques, dûment harcelés par le système du saint GIEC et son inquisition ressuscitée.
Pour en savoir plus, lire notre page « Escroquerie du Réchauffement Climatique Anthropique » et plus précisément ces deux PDF expliquant la supercherie par le menu détail, à lire et diffuser au grand large :

Entre la flambée spéculative des prix du pétrole et des hydrocarbones énergétiques et la mise en place combinée de la dictature sanitaire et de la dictature « verte » menant à une dictature technotronique de contrôle absolu planétaire, l’humanité est attaquée de toute part. Nous, les peuples, sommes en état de légitime défense permanent ! L’oligarchie transnationale nous a déclaré une guerre sans précédent et il est grand temps de le comprendre… afin d’agir en conséquence !
Unissons-nous sur le chemin de notre humanité enfin réalisée !… Qu’on se le dise !

Slog1

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Escroquerie réchauffement climatique anthropique: C’est politique on vous dit !…

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En considérant que l’équipe de baltringues de notre « élite » auto-proclamée se rend à Davos en Suisse en empruntant au total environ 1700 jets privés pour y discuter entre autre du « comment empêcher les climato-sceptiques de s’exprimer », nous nous rendons bien compte, que toute cette fine équipe d’escrocs, n’en a strictement rien à cirer de leur « empreinte carbone » et que tout ceci n’est que fumisterie organisée comme nous ne cessons de le dire depuis des années.

La bonnne vieille politique du « faites ce que je dis pas ce que je fais » bat son plein, en d’autres termes: les restrictions, taxes carbones, mesures d’austérité etc.. c’est pour vous pauvres péons, nous ?… Nous existons dans les limbes éthérées de nos privilèges. Vous n’êtes pas contents ?… Hop, au goulag !

Dire qu’il y a encore des quelques ceux qui admirent cette fange ! Stupéfiant…

— Résistance 71 —

 

La vérité au sujet du réchauffement climatique (anthropique bien sûr…)

Que se passe t’il vraiment ?

 

Kit Daniels

 

17 janvier 2015

 

url de l’article:

http://www.infowars.com/the-truth-about-climate-change/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Le “changement climatique” anthropique est largement un mythe promut par des politiciens afin d’effrayer le public jusqu’à ce qu’il accepte une vaste expansion du gouvernement afin de supposément stopper le “réchauffement climatique”.

L’affaire du “réchauffement climatique” est un problème fabriqué joué et monté en épingle par le gouvernement afin d’instaurer une réaction du public: la peur, que le gouvernement ensuite exploite pour offrir une solution prédéterminée: l’expansion du gouvernement pour plus de contrôle aux dépends du public.

Cette stratégie, connue comme étant la dialectique hégelienne, a été utilisée avec succès par les politiciens depuis un millénaire afin de renforcer le pouvoir de l’État, qui ne peut se développer qu’aux dépends des libertés individuelles.

Le gouvernement Bush a utilisé cette sratégie avec succès en 2003 lorsqu’il a gagné le soutien de l’opinion public pour l’invasion de l’Irak, en clâmant que le pays possédait des armes de destruction massive et la guerre ultimement étendît l’action du complexe militaro-industriel et de la sécurité et l’état policier émergent aux Etats-Unis intra muros.

Aujourd’hui le “réchauffement climatique anthropique” est utilisé comme leurre car le concept permet aux Nations-Unies de faire peur au monde et à sa population en faisant croire que le “changement climatique anthropique” est une trop grande menace pour leurs pays, qu’ils ne peuvent pas le gérer seuls et que ce fléau ne peut être vaincu que par l’expansion de l’ONU aux dépends de la souveraineté des nations.

Des scientifiques financés par les états reçoivent des millions de dollars de fonds de recherche pour aider à promouvoir le mythe du “réchaufement climatique” en faisant coïncider leurs données avec l’agenda (politique) de la peur.

“Ceci fut évalué comme ayant le plus de chances de succès parce que ce serait relié à des conditions observables comme les pollutions de l’air et de l’eau, en d’autres termes, cela serait partiellement basé sur des faits et donc, serait plus crédible,” écrit G. Edward Griffin dans son livre The Creature from Jekyll Island. “Des prédictions pouvaient être faites montrant des scénarios de fin du monde tout aussi horribles que ceux de la guerre atomique.”

“La précision de ces prédictions ne serait pas importante, leur but serait d’être effrayantes et non pas d’informer.”

La dernière affirmation disant que 2014 a été l’année la plus chaude enregistrée a certainement rejeté la précision de l’information au profit de la peur.

“Toute affirmation d’”année la plus chaude” basée sur les températures de surface est fondée sur quelques centièmes de degré plus chaud que les “années les plus chaudes” précédentes, rapporte Marc Morano de Climate Depot. “Cette différence non mesurable n’est même pas dans la marge d’erreur des thermomètres.”

“L’affirmation d’une “année la plus chaude” est simplement une déclaration politique qui n’est pas fondée sur des faits de données des températures; les affirmations “d’année la plus chaude” sont faites sur des fractions de centièmes de degré tout en ignorant les données satellites montrant clairement que la Terre continue à faire l’expérience d’une ‘pause’ ou d’un “arrêt” du réchauffement depuis maintenant plus de 18 ans.”

Et cette pause dans le réchauffement pourrait bien encore durer une autre décennie.

La pause à laquelle se réfère Morano peut-être trouvée dans les données satellite du Remote Sensing System (RSS) qui montrent qu’il n’ y a pas eu de hausse signifiante de la température globale depuis le mois d’Octobre 1996, ce qui représente plus de la moitié des données enregistrées sur ses 36 années d’existence. (voir ici: no significant rise in global temperature)

“La grande pause est un embarras croissant pour ceux qui nous avaient dit avec une “confiance substantielle” que la science était définie sur le sujet et que le débat sur le réchauffement climatique était terminé,” a écrit l’analyste climatique Christopher Monckton. “La nature a eu d’autres idées.”

Escroquerie du réchauffement climatique anthropique… La fadaise des 97% de « consensus » scientifique exposée !…

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Le consensus sur le climat n’est pas de 97% mais de 100%

 

Christopher Monckton

 

11 Juillet 2014

 

url de l’article:

http://wattsupwiththat.com/2014/07/11/the-climate-consensus-is-not-97-its-100/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

 

Nouvelle choquante depuis la 9ème Conférence Internationale sur le Changement Climatique (CICC9) du Heartland Institute: parmi les 600 délégués, le consensus qui dit que l’Homme contribue au réchauffement climatique n’était pas de 97% mais de 100%.
= Note du traducteur: Le Heartland Institute est un “think tank” “libertarien” (pas libertaire, “libertarien”…) de Chicago qui organise des conférences, notamment des conférences réunissant des climato-sceptiques scientifiques et d’autres communautés. =

Durant mon intervention à la tribune, j’ai nommé la ravissante Diane Bast comme mon adjudicatrice. Elle a lu posément 6 questions à l’audience, une par une. J’ai invité ceux qui répondraient “Non” à chaque question de lever la main. D’après mon adjudicatrice, pas une seule main ne s’est levée en réponse à ces 6 questions.

Voici ces six questions:

1. Le climat change t’il ?

2. La concentration de gaz carbonique (CO2) a t’elle augmentée depuis la fin des années 1950 ?

3. Est-il probable que l’Homme ait pu contribuer à l’augmentation du CO2 mesuré depuis la fin des années 1950 ?

4. Les autres facteurs étant égaux, est-il probable que l’ajout de CO2 dans l’atmosphère causera quelque réchauffement global ?

5. Est-il probable qu’il y ait eu un quelconque réchauffement global depuis la fin des années 1950 ?

6. Est-il probable que les émissions humaines de CO2 et aures gaz à effet de serre aient pu contribuer au réchauffement global mesuré depuis la fin des années 1950 ?

Dans cette conférence regroupant 600 “négationnistes du changement climatique”, et bien pas un seul délégué a nié que le climat change. De la même manière, pas un n’a nié que nous avons contribué à un réchauffement global depuis 1950.

Une des malhonnêtetés fondamentale dans le débat climatique est cette fausse impression créée de toute pièce par les Thermageddonites et leurs alliés des médias, que les climato-sceptiques répondraient “Non” à la plupart voire à toutes ces 6 questions.

Cette malhonnêteté fondamentale était au cœur même de l’article de “consensus” de Cook et al. publié l’an dernier. Les auteurs listèrent trois “niveaux d’accord” soutenant un quelconque consensus sur le climat.
Le niveau 1 reflétait la définition de consensus du GIEC, c’est à dire, que la vaste majorité du réchauffement global depuis 1950 est du fait de l’Homme.
Les niveaux 2 et 3 reflétaient l’acceptation explicite ou implicite que l’Homme avait causé quelque réchauffement. L’opinion unanime des délégués de Heartland tombe dans la catégorie, niveau 2.

Cook et al. ayant spécifié ces trois “niveaux d’accord” et ayant été au travers de la lecture et du marquage en conséquence de 11 944 extraits/résumés d’articles scientifiques, n’ont pas publié leur évaluation du nombre de résumés marqués tombant dans chacune des trois catégories, niveaux d’accord définis au préalable. Au lieu de cela, ils publièrent un total général unique, combinant les trois catégories/niveaux.

Leur manque de rapporter totalement leurs résultats fut ce qui me rendit leur article suspicieux, celui-ci manquant aux standards d’intégrité qu’un homme de bon sens occupant tout omnibus aurait attendu d’un article se disant scientifique.

Le dossier du texte enregistrant les résultats de l’étude de Cook fut mis à disposition plusieurs semaines après la publication de l’article ; durant cette période, l’article clâmant qu’il y avait un consensus scientifique de 97% sur le changement climatique a reçu toute la publicité internationale nécessaire de la part des médias. Même le Twitteratus de Mr Obama l’a cité et endorsé indiquant que “le réchauffement climatique global est réel, anthropique et dangereux.”

L’algorithme informatique a compté le nombre de résumés que Cook avait alloué à chaque niveau d’accord. Lorsque l’ordinateur sortit les résultats, j’ai pensé qu’il devait y avoir comme une erreur. L’algorithme n’avait trouvé que 64 des 11 944 articles, ou 0,5%, marqués comme tombant dans la catégorie/niveau 1, celui reflétant le consensus du GIEC disant que le réchauffement récent était majoritairement de cause humaine.
J’ai donc procédé à une vérification manuelle utilisant la fonction recherche du logiciel Microsoft Notepad. Et de manière juste, il n’y avait que 64 données en “1”.

Ensuite, j’ai lu les 64 résumés d’articles et découvris et ce pas à ma grande surprise, que seulement 41 avait dit explicitement que l’Homme était la cause d’un réchauffement climatique global ce dernier demi-siècle.

Dans les journaux/magazines scientifiques peer reviewed, il n’y a donc que 41 des 11 944 articles, soit 0,3%, et non pas 97,1%, qui avaient endorsé la définition de la proposition du consesnsus, à laquelle le GIEC et son 5ème rapport d’évaluation de 2013, ont donné de 95 à 99% de confiance.

Maintenant que nous avons les résultats de l’étude de la conférence Heartland, la pleine étendue du “grand vague” des suspects usuels sur le “consensus climatique” peut-être révélé.

Cook et al. ont agglutiné ensemble les 96,8% qui, comme les 100% d’entre nous à la CICC9, ont endorsé la proposition que nous causons “un certain” réchauffement, avec le 0,3% qui a endorsé la proposition du GIEC que nous causons la “plupart” du réchauffement depuis 1950.

En défi total de la preuve enregistrée dans leur propre fichier de données, ils ont ensuite explicitement déclaré, à la fois dans leur article mais aussi dans un article postérieur, que 97,1% des scientifiques avaient endorsé la proposition consensuelle du GIEC.

Propagande contre la science:

99,7% de 11 944 articles scientifiques de climatologie n’ont pas dit que le réchauffement climatique récent était causé par l’Homme.

De manière amusante, 96,8% est 97% de 97,1%. En d’autres termes, 97% des résumés qui ont formé la base de l’affirmation par Cook et al. du “97% de consensus”, n’ont pas endorsé la définition de consensus du GIEC, comme l’article a faussement clâmé qu’ils firent. Quoi qu’il en soit, ces résumés ont endorsé la définition plus scientifique et crédible de Heartland.

Parmi les ignobles représentants des médias qui vinrent à la conférence de Heartland pour effectuer des entretiens condescendants avec des “négationnistes climatiques”, se trouvait un disgracieux journaliste de la chaîne CNN.

Il me demanda de ce ton hautain dont nous avons tous l’habitude, comment ce faisait-il que moi, pauvre hère du commun, avait l’audace d’affirmer que j’en savais plus et mieux que les 97% des climatologues publiés. Je le référais donc à Legates et al. (2013), la réfutation peer reviewed de la notion que 97% des scientifiques endorsent l’assertion du GIEC que la plupart du réchauffement depuis la fin des années 1950 était anthropique.

Le journaliste de CNN me dit alors que le résultat de Legates et al. n’était que mon “interprétation” de la chose. J’ai alors montré du doigt une rangée de stations internet près de nous et dit: “Si je compte ces stations et en trouve disons 12 et que vous les comptez et que vous en trouvez également 12, alors notre résultat n’est pas sujet à interprétation. C’est une affaire factuelle, que n’importe quel tiers pourra également vérifier.”

Je l’ai alors mis au défi, avant qu’il ne diffuse quoi que ce soit sur les ondes, de partir et d’aller compter combien des 11 944 résumés d’articles listés dans le dossier de données de Cook et al. étaient marqués par les auteurs eux-mêmes comme tombant dans la catégorie / niveau 1. S’il en comptait 64, alors lui ai-je dit, son compte serait en accord avec le mien et nos comptes ne pourraient plus être des “interprétations” mais des faits, dont la justesse ou l’erreur pourra très bien être établie par une tierce partie faisant exactement le même compte que nous.

Il m’a dit qu’il le ferait, mais avec cette lueur dans le regard qui dit le contraire.

Les résultats de mon étude des 600 délégués de Heartland révèlent que la différence entre les Thermageddonites et nous est bien moindre que ce que veut bien en penser le monde. Comme la plupart d’entre eux, nous tombons dans le niveau d’accord au GIEC 2 ou 3. A leur encontre, nous ne clâmons pas savoir si la plupart du réchauffement après 1950 fut du fait de l’Homme, car cela est couramment au-delà de ce que la science actuelle peut nous dire.

Par dessus tout, à leur encontre, nous ne renversons pas un consensus de 0,3% en consensus à 97,1%.

Vous pouvez également vérifier les résultats enregistrés par vous-même. J’ai demandé à Anthony d’archiver le fichier que vous pouvez trouver ici: cook.pdf ).
[Mise à Jour: David Burton écrit:  J’ai mis les données de Cook 2013 en format Excel, ce qui rend les données plus facile à analyser que dans le format .pdf, il y a un lien depuis mon site internet ici: http://sealevel.info/97pct/#cook ]

Si le journaliste de CNN qui m’a interviewé lit ceci, j’espère sincèrement qu’il fera ce compte lui-même et qu’il me recontactera une fois fait. D’ici là… Je ne vais pas non plus retenir mon souffle…

Sciences et Nouvel Ordre Mondial: L’escroquerie du Réchauffement Climatique Anthropique reconnue dans la presse de masse au pays du goulag levant…

Posted in actualité, altermondialisme, écologie & climat, économie, militantisme alternatif, N.O.M, néo-libéralisme et paupérisation, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , on 13 octobre 2013 by Résistance 71

Pour ceux qui suivent la saga de l’escroquerie de la théorie du Réchauffement Climatique Anthropique (RCA), rebaptisée ‘Changement Climatique’ (l’anthropique étant maintenant sous-entendu..) depuis 2009, les informations contenus dans l’article que nous avons traduit ci-dessous ne sont pas nouvelles…

Ce qui est nouveau en revanche est que ceci a été publié en premier lieu sur le Washington Times, organe de presse de masse et non pas « alternatif ». Les idioties et la pseudo-science derrière le dogme politique du GIEC ne peuvent plus être contenues, les faits et données empiriques réelles montrant la stagnation des températures de surface depuis 16 ans, montrent en long, en large et en travers les erreurs et l’escroquerie des soi-disants « modèles informatiques », qui furent biaisés à dessein pour induire en erreur en toute connaissance de cause, non pas par la communauté scientifique dans son ensemble, mais par une clique de vendus au système, siégeant à l’Université d’East Anglia en Angleterre, d’où est parti le ClimateGate salvateur pour la vérité scientifique en Novembre 2009.

Le RCA est mort et bientôt enterré et l’oligarchie envoie ses derniers sbires comme  Nicolas Hulot au casse-pipe de la crédibilité pour soutenir les derniers soubresauts de leur dogme en pleine débandade.

— Résistance 71 —

 

Le changement climatique est dominé par le cycle de l’eau et non pas par le CO2

 

Steve Goreham

 

7 Octobre 2013

 

url de l”article:

http://communities.washingtontimes.com/neighborhood/climatism-watching-climate-science/2013/oct/7/climate-change-dominated-water-cycle-not-carbon-di/

et

http://joannenova.com.au/2013/10/washington-times-climate-due-to-water-cycle-not-carbon-dioxide/#more-31073

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Les climatologues sont obsédés par le CO2. Le dernier rapport d’évaluation du GIEC affirne que le “forçage radiant” du CO2 émis par l’humain est la force majeure derrière le changement climatique. Le gaz carbonique est blâmé pour tout: pour les sécheresses, les inondations, les ouragans, la disparition des ours polaires et l’acidification des océans. Mais le climat terrestre est dominé par le cycle de l’eau et non pas par le CO2.

le cycle de l’eau comprend l’eau salée des océans, l’eau douce des rivières et des lacs, les calottes glaciaires et les glaciers. Cela inclut également le flot de l’eau entre les océans, l’atmosphère et la terre sous la forme d’évaporation, de précipitations, de tempêtes et des conditions météorologiques. Le cycle de l’eau contient une grande énergie qui façonne le climat de la Terre, les tendances des températures et les caractéristiques de surface. Les effets de l’eau sont bien plus importants que les effets du CO2 dont on a tant peur.

La lumière solaire rayonne directement sur les tropiques, où beaucoup d’énergie est absorbée et indirectement dans les régions polaires où moins d’énergie est absorbée. La météo sur terre est conduite par la redistribution de la chaleur des tropiques vers les régions polaires. L’évaporation créée des systèmes massifs de tempêtes tropicales, qui véhiculent cette énergie vers le nord, vers des latitudes plus fraîches. Les vents d’altitude avec les fronts de dépressions, les cyclones et les courants océaniques du cycle d’eau de la Terre, redistribuent l’énergie thermique des tropiques vers les régions polaires.

L’Océan Pacifique est la plus grosse caracteristique de la planète Terre, couvrant 1/3 du globe et suffisamment vaste pour contenir toutes les masses terrestres restantes. Les Océans ont 250 fois la masse totale de l’atmosphère et peuvent contenir plus de 1000 fois l’énergie thermique. Les océans ont un effet très puissant, même si mal compris, sur le climat de notre planète. Entre 75 et 90% de l’effet de serre de la terre est causé par la vapeur d’eau et les nuages.

Et pourtant, le GIEC et les modélistes modernes du climat nous proposent qu’en fait c’est la “puce” qui remue le “chien”. La puce étant bien sûr le CO2 et le chien le cycle de l’eau. La théorie du réchauffement anthropique de la planète assume un feedback positif de la vapeur d’eau, forcé par les émissions humaines de gaz à effet de serre.

L’argument est qu’alors que l’air plus chaud peut retenir plus d’humidité, la vapeur d’eau atmosphérique va augmenter alors que la Terre se réchauffe. Comme la vapeur d’eau est un gaz à effet de serre, plus de vapeur d’eau est présumé ajouter un réchauffement à celui causé par le CO2. De fait, la théorie assume que le gaz carbonique contrôle le cycle de l’eau pourtant bien plus puissant.

Depuis les 16 dernières années, la température de la surface de la terre ne s’est pas réchauffée et ce malgré l’augmentation du CO2 atmosphérique… Tous les modèles climatiques avaient prévu une augmentation rapide de la température globale et ce en contradiction avec les données empiriquement collectées. Les modèles d’aujourd’hui sont souvent incapables de prédire les conditions de météo sur une simple saison, loin de là de prédire la tendance climatique à long et très long terme.

Exemple, la prédiction des ouragans en Atlantique. En Mai, la NOAA a publié sa prévision 2013, disant que cette saison serait “très active”. A ce moment, la NOAA avait prédit de 7 à 11 ouragans atlantiques (tempêtes ayant des vents à 120km/h et plus). En Août, l’administration révisait sa prévision à entre 6 et 9 ouragans. Nous sommes en Octobre et seulement 2 tempêtes ayant la force d’ouragans ont eu lieu. Les modèles informatiques sont incapables de prédire de manière précise juste une saison de cycle de l’eau dans juste une région du globe.

Le GIEC et tous ceux qui soutiennent la théorie du réchauffement climatique anthropique sont bloqués par 16 ans de stagnation des températures de surface. Le professeur Kevin Trenberth fait l’hypothèse que l’énergie thermique du forçage des gaz à effet de serre est partie dans les profondeurs océaniques. Si c’est le cas, alors 1-0 pour la force des océans sur le changement climatique !

D’autres ont noté la prévalence des conditions de la Niña dans l’océan pacifique depuis 1998. Pendant la période s’étalant de 1975 à 1998. Lorsque les températures mondiales s’élevaient, le Pacifique expérimentait les effets plus chauds du phénomène d’El Nino que ceux plus frais de La Nina. Mais la Pacific Decadal Oscillation (PDO), un cycle puissant de température dans le pacifique nord, s’est déplacé vers un cycle plus frais il y a environ 10 ans. Avec le PDO en phase plus fraîche, nous constatons mieux les conditions de La Nina. Peut-être que les Ninas sont la raison pour la stagnation des températures mondiales. Si c’est le cas, n’est-ce pas une preuve que les effets de l’océan et du cycle de l’eau sont plus forts que les effets du CO2 ?

L’évidence géologique des derniers âges glaciaires montre que l’augmentation du CO2 atmosphérique SUIT, plutôt que ne précède, l’augmentation des températures globales. Alors que les océans se réchauffent, ils diffusent plus de CO2 (jusque là en solution dans l’eau) dans l’atmosphère. Le changement climatique est dominé par les changements du cycle de l’eau, piloté par les forces solaires et gravitationnelles et le gaz carbonique apparaît ne jouer qu’un rôle insignifiant.

~ Steve Goreham est directeur exécutif du Climate Science Coalition of America et l’auteur d’un nouveau livre: The Mad, Mad, Mad World of Climatism:  Mankind and Climate Change Mania. ~ 

Escroquerie du Réchauffement Climatique Anthropique: Quand l’observation empirique fait taire les modèles informatiques abusifs…

Posted in actualité, écologie & climat, média et propagande, N.O.M, réchauffement climatique anthropique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies with tags , , , , , , on 30 avril 2013 by Résistance 71

Le professeur (Ph.D) Roy Spencer est un climatologue, maître de recherche de l’université d’Alabama, il a longtemps travaillé à la NASA sur la climatologie satellite avec son collègue et ami le professeur John Christy. Tous deux ont reçu  la médaille pour excellence scientifique de la NASA. Ces deux professeurs sont parmi les experts climato-sceptiques les plus éminents.

— Résistance 71 —

 

Ralentissement du réchauffement climatique: Une vue de l’espace

Roy W. Spencer, Ph. D.

 

16 Avril 2013

 

url de l’article original (avec graphiques):

http://www.drroyspencer.com/2013/04/global-warming-slowdown-the-view-from-space/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Depuis que le ralentissement du réchauffement de surface de ces quinze dernières années soit devenu un sujet de discussion populaire récemment, j’ai pensé montrer les résultats  d’une étude comparée de la température de la troposhère inférieure (TI) avec les modèles de climat calculés sur les mêmes couches atmosphériques enregistrées par les satellites.

En remerciant John Kristy pour son apport et basée sur les données du KNMI Climate Explorer, vous trouverez ci-dessous (NdT: voir le graphique dans l’article original en anglais) la comparaison de 44 modèles de climat contre les observations satellites UAH et RSS pour les variations de température globales de la couche TI, ce pour la période de 1979 à 2012 pour les satellites et de 1975 à 2012 pour les modèles:

~ Voir graphe sur l’article original en anglais ~

Clairement, il y a une divergence qui va en augmentant au cours des années entre les observations satellites (UAH et RSS) et les modèles. Les raisons de ce désaccord ne sont pas évidentes, car il y a plusieurs possibilités:

1) Le système climatique réel n’est pas aussi sensible à l’augmentation du CO2 que les modèles le disent par programmation (ceci correspond à mon explication préférée)

2) La surface supplémentaire de réchauffement provenant de plus de CO2 a été diluée plus qu’attendu par une augmentation du mélange avec des eaux océaniques plus profondes et plus froides (Explication de Trenberth)

3) Une pollution aérosol humaine cause une influence de refroidissement, minimisant partiellement le rechauffement par CO2 anthropique.

Si j’ai raison (explication #1), alors nous continuerons de constater de moins en moins de réchauffement dans le futur. Une preuve additionnelle pour une sensibilité plus basse du climat dans ce scenario sus-mentionné est la réponse observée à l’éruption du volcan Pinatubo en 1991: La chute de la température temporaire de 1992-93 et le retour à la norme subséquent, est plus faible dans les observations empiriques que dans les modèles. Ceci est exactement ce qui serait prédit avec une plus basse sensibilité climatique.

D’un autre côté, si Trenberth a raison (explication #2), il y aurait alors une période de réchauffement rapide de la surface qui devrait recommencer à un moment donné, le système climatique devant éventuellement essayer de parvenir à un équilibre de l’énergie radiative. Exactement quand est bien sûr inconnu.

L’explication #3 (refroidissement par aérosol anthropique), bien que théoriquement possible, m’a toujours semblée être une tricherie, car la quantité de refroidissement par aérosol est tellement incertaine, qu’elle pourrait être invoquée en quelque quantité que ce soit pour expliquer les observations.. De plus, faire porter le chapeau du “manque de réchauffement” par l’humain semble juste un peu bizarre ne trouvez-vous pas ?

La ligne noire dans le graphique ci-dessus est la moyenne des 44 modèles et cela représente approximativement ce que le GIEC utilise pour sa meilleure estimation officielle de la projection du réchauffement. De manière évidente, il y a un décalage plus que substantiel entre les modèles et les observations empiriques pour cette statistique.

Je trouve un peu abusifs ceux qui disent que parce que tous les modèles individuels ne sont pas en désaccord avec les observations, que les modèles sont alors exempts de tout reproche. Ce que ces soi-disant experts omettent de mentionner est que les quelques modèles qui soutiennent un bien plus faible réchauffement en 2012 sont en général ceux qui épousent une sensibilité climatique inférieure.

Donc, si vous voulez clâmer que les observations empiriques soutiennent quelques modèles, soyez au moins honnêtes et admettez qu’elles soutiennent  des modèles qui ne SONT PAS consistants avec les meilleures estimations de réchauffement du GIEC.

L’escroquerie du réchauffement climatique anthropique: Les dessous de « l’heure de la terre »… Réfléchissez-y 2 minutes…

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Le mouvemement environnementaliste a été détourné il y a bien longtemps par l’oligarchie industrio-financière. Il suffit de chercher qui finance les WWF and co pour en être convaincu. Il en va de même pour tous les domaines de la science, achetés, corrompus pour chercher, trouver et dire ce qui arrange l’oligarchie. 

Tony Cartalucci soulève le voile ici de manière constructive et nous donne la clé des véritables solutions pour l’environnement. Si vous voulez être un activiste de la Terre, faites comme nous, laissez votre lumière allumée le jour de la grande messe de la nouvelle religion et agissez vraiment.. localement… unis. Les solutions aux problèmes de l’environnement passent par nous, pas par les oligarques leur science tronquée et leurs taxes bidons.

— Résistance 71 —

 

Earth Hour: Une escroquerie éhontée

 

Spécial « Earth Hour » par Tony Cartalucci,

 

Mis en ligne originellement le 26 Mars 2011

url de l’article original:

http://landdestroyer.blogspot.jp/2013/03/earth-hour-2013-still-despicable-hoax.html

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Rien ne personnifie mieux le mouvement environnementaliste kidnappé par le monde entrepreneurial que cette escroquerie éhontée qu’est “L’heure de la Terre”. Une fois par an, nous sommes bombardés dans le monde entier, par une campagne de publicité destinée à nous faire “sentir bien” sur toutes les radios, télévisions, panneaux d’affichage, journaux, magazines et tout autre moyen possible et imaginable pour promouvoir un évènement qui implique de fermer la lumière pendant une heure par an, pour se dresser contre le changement climatique ( « take a stand against climate change. »)

Image (sur l’article original): Ce qu’Al Gore ne vous dit pas: le CO2 était 1000 fois plus élevés durant la période du Crétacé et le niveau de l’eau était si haut que l’Amérique du Nord avait une mer intérieure. L’Antarctique était couvert de forêts tempérées et de dinosaures. (covered in temperate forests and dinosaurs.)

….

Non seulement la science a échoué de prouver que le changement climatique anthropique se passe vraiment et ce jusqu’à ce que certains de ses supporteurs comme par exemple le tzar de la science à la Maison Blanche John Holdren, l’aient renommé “changement climatique global” au lieu de “réchauffement climatique global” et maintenant même jusqu’à cette version encore plus ambigüe de “dérangement climatique global”, mais l’évidence suggère que les “scientifiques” qui ont façonnés cette théorie ont trompé le public encore et toujours. Il convient également de noter que John Holdren lui-même est une créature du Belfer Center de Havard, qui est nommé en fait, après le magnat corrompu du pétrole Robert Belfer. La plupart de la politique qui sort de ce Centre Belfer, se retrouve devant des délégués assistant à ces sommets aussi inefficaces que frauduleux sur le changement climatique, les plus récents ayant été ceux de Copenhague et de Cancun.

Quand nous regardons de plus près aux sponsors entrepreneuriaux de cette “Heure de la Terre” ou même les sponsors du World Wild Fund (WWF), (including Fortune 500 corporations (page 24, .pdf) and here), ou la myriade de banksters et de pétroliers qui dirigent les centres de politique du climat comme le Belfer Centre, nous devons bien comprendre que non seulement les gros intérêts pétroliers et le reste des entreprises polluant la planète ont détourné le mouvement environnementaliste ainsi qu’une multitude d’activistes bien intentionnés au départ, mais que ces intérêts corporatistes l’utilise pour polluer la planète et sa population plus avant, simplement maintenant avec une justification morale.

Pouvons-nous nous attendre à autre chose de la part d’une organisation aussi large et avec tant d’affiliations entrepreneuriales ?

Les solutions proposées bien sûr, impliquent de plus grandes consolidations de pouvoir dans les mains de gouvernements afin de résoudre ces problèmes, les solutions étant les taxes carbone qui doivent être directement payés aux banquiers, plus de règles et règlementations, et des lois, qui ne peuvent être suivies que des seules entreprises megalithiques, éliminant ainsi la concurrence, ainsi qu’une liste de solutions non-effectives, qui ne donnent que toujours plus de pouvoir à ces entreprises qui ont causées de véritables dégâts, prouvés et vérifiés à l’environnement.

Qu’en est-il des véritables dangers pour l’environnement ? Quid de l’industrie nucléaire débridée, de l’uranium appauvri répandu depuis les théâtres d’opérations militaires occidentaux en expansion permanente, ou des plantes et animaux génétiquement modifiés qui déplacent et corrompent les espèces naturelles qui habitent cette planète ? Et aussi tant qu’on y est, de l’industrie agro-alimentaire inefficace, utilisant des quantités faramineuses de produits dérivés du pétrole, des herbicides hautement toxiques et des pesticides de tout poil largués dans notre nourriture par des entreprises comme Monsanto, le libre échange qui voit des milliers de tonnes de gasoil brûlées pour amener tous les gadgets inutiles en plastique des usines chinoises vers les rivages américains et la liste s’étend à l’infini…

Les véritables solutions généralement n’impliquent pas les entreprises ou même les gouverements, en fait il est même nécessaire de les exclure du processus. Le mariage entre les intérêts des entreprises et les règlementations gouvernementales devrait être quelque chose sur laquelle nous devrions tous nous accorder, quelque soit le bord politique dont nous provenons.

Les véritables solutions impliquent une véritable éducation scientifique, technologique, procédurière de fabrication. Ceci donne le pouvoir aux personnes à tous les niveaux de la société, d’évaluer de manière précise les problèmes et d’appliquer les solutions localement. Ceci, couplé avec des technologies modernes de production permet de faire plus au niveau local, court-circuitant ainsi les chaînes logistiques intensives des pétroliers et des sponsors du WWF tels Walmart, sponsors sans lesquels le WWF ne pourrait pas vivre.

Le fermage bio à un niveau local couplé avec des marchés fermiers locaux éliminent totalement la nécessité des poisons Monsanto, des engrais et des cultures-frankenstein génétiquement modifiées, ainsi qu’en remplaçant les réseaux logistiques de distribution de l’agro-industrie, grandement dépendants de l’industrie pétrolière.

En fait, quand vous y pensez bien, pratiquement toutes ces solutions réelles aux problèmes demandent une action réelle des communautés locales. Ceci ne représente pas des solutions impliquant plus d’impôts, de taxes, de règlementations, mais plutôt de la technologie, de l’éducation et des solutions techniques constructives et pragmatiques, qui rendraient notre environnement non seulement meilleur à vivre, mais rendraient nos économies locales et nos communautés encore plus vivables, efficaces et autosuffisantes. Le truc est que vous noterez bien que toutes ces solutions réelles n’impliquent en aucune manière une activité des sponsors du WWF comme Walmart, Nike, IBM, Toyota, Bank of America, Coca-Cola, HSBC, Citigroup, IKEA, Nokia etc…

Cela prend-il donc tout son sens de voir pourquoi les vrais problèmes et leurs solutions sont devenus les cibles du détournement d’intention comme celui des conglomérats corporatifs comme le WWF ? Cela a t’il alors un sens de les voir offrir des solutions “alternatives”, centralisées et totalement dépendantes des entreprises qui remplacent l’activisme local ?

Enquêtez vous même au sujet du WWF et des ses commanditaires des grosses entreprises et voyez combien d’entre eux sont sur cette liste: « Naming Names”, qui expose les entreprises et les intérêts spéciaux qui nous maintiennent en état de guerre perpétuelle et au bord de la ruine financière.

Pouvons-nous honnêtement penser que ces entreprises se préoccupent d’un pilotage responsable de la planète ? Se soucient-elles des gens ? Se soucient-elles de l’environnement ? Ne sont-elles pas au centre même des plus horribles scandales, atrocités et guerres de notre âge ? Si vous vous souciez vraiment de l’environnement, alors faites vous à vous-même cette faveur: gardez votre lumière allumée pendant la prochaine “Heure de la Terre”, et lisez un peu sur la façon dont vous pouvez gagner en pouvoir, vous et votre communauté et devenez indépendants de ces entreprises avides de pétrole, ravageant le monde qui font la promotion de leur version de “l’environnementalisme” au travers d’organisations détournées comme le WWF. Elles ont créé une religion à leur image, malthusienne, haïssant l’humain, prêtant obéissance servile à une gouvernance mondiale qui “promet” d’arranger les problèmes qu’elles ont elles-mêmes créé en première instance.

Soyons plus intelligent que cela, regardons au-delà de cet écran de fumée propagandiste bien huilé qu’est cette campagne pour “L’heure de la Terre” et regardons localement pour des solutions réelles et tangibles. Pensons et agissons localement. Vous savez ce qui ne va pas dans votre ville/village et vous savez plus que vraisemblablement comment arranger les problèmes. De manière plus importante, vous et vos voisins peuvent parfaitement comprendre que cela est dans votre meilleur intérêt que de le faire et cela ne demande aucunement l’implication de charlatans comme Al Gore pour vous tenir la main, lui payant vos taxes carbone ce faisant.

 

Pour en savoir plus sur des solutions réelles qui ne promeuvent pas seulement la liberté et le libre-choix,  mais nous donnent des outils pour créer des solutions technologiques plus efficaces et plus propres localement, veuillez consulter ces liens (en anglais):

Decentralize Big-Retail

Self-Sufficiency

Alternative Economics

The Lost Key to Real Revolution

Boycott the Globalists

Détournement de la science: Escroquerie du réchauffement climatique anthropique… Stagnation des températures depuis 1997…

Posted in actualité, écologie & climat, économie, désinformation, média et propagande, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, sciences et technologies with tags , , , , , on 16 mars 2013 by Résistance 71

Quand l’observation et l’analyse scientifique réelle fait taire les incantations vaudou des modèles informatiques tronqués du GIEC et de la clique politique politico-scientifique du dogme du réchauffement climatique anthropique.

Les sciences.. La Science en général, a été détourné par l’oligarchie à des fins économico-politiques et à grand renfort de subvention et de corruption. Les peuples doivent se réapproprier la Science… et tout le reste d’ailleurs !

— Résistance 71 —

 

Nouveau rapport: La stagnation de la température à l’échelle mondiale est réelle

 

Dr. David Whitehouse

 

Le 15 Mars 2013

        

The Global Warming Policy Foundation

 

url de l’article original:

http://www.thegwpf.org/report-global-temperature-standstill-real/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Londres le 15 Mars 2013:

Un nouveau rapport ( A new report ) écrit par le Dr David Whitehouse et publié aujourd’hui par la Global Warming Policy Foundation conclut qu’il n’y a eu aucune augmentation statistiquement signifiante des températures globales annuelles depuis 1997.

Après avoir analysé la litérature scientifique, le rapport conclut que la stagnation est un fait empirique et une réalité qui défie les modèles  actuels sur le changement climatique. Pendant la période où la température globale de la terre est demeurée statique, la composition atmosphérique en gaz carbonique a augmenté de 370 à 390 ppm.

“La stagnation est une réalité et n’est pas le résultats de choix de points de départ et d’arrivée. Son commencement peut-être visualisé clairement dans les données et cela continue jusqu’à aujourd’hui”, a dit le Dr Whitehouse, l’auteur du rapport.

Le rapport démontre que la stagnation des températures a été un sujet de discussion actif dans la littérature scientifique depuis des années, mais que ce débat scientifique n’a ni été suivi par la vaste majorité des médias, ni reconnu par ceux qui font campagne pour le changement climatique, les sociétés scientifiques et les scientifiques prominents sur le sujet.

Le rapport analyse également ces quelques journalistes qui ont regardés en la matière et rapportés la stagnation, beaucoup d’entre eux étant prônes à le réfuter, manquant d’un sens évident d’enquête journalistique, préférant rapporter le chamaillage plutôt que la science.

“Si la stagnation continue pour encore quelques années, cela voudra dire que personne venant just d’atteindre l’âge adulte, ou plus jeune, n’aura été le témoin d’un réchauffement de la Terre durant le cours de sa vie”, a dit l’auteur de rapport.

Dans son introduction au rapport, Lord Tumbull, ancien secrétaire de cabinet et chef du Home Civil Service a commenté:

“Le Dr Whitehouse est un homme qui mérite d’être écouté. Il a suivi une approche consistante d’analyse des observations plutôt que de grandes projections de modèles informatiques, qui sont trop souvent cités comme “preuves”. Il analyse sans passion les données, essayant d’établir ce que celles-ci nous disent, plutôt que de les utiliser pour confirmer une vision pré-établie.”

Le rapport complet du Dr Whitehouse peut-être lu en format .pdf (en anglais), ici here

 

Escroquerie du Réchauffement Climatique Anthropique: Les anciens de la NASA s’y mettent…

Posted in actualité, écologie & climat, économie, réchauffement climatique anthropique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologie, sciences et technologies, technologie et totalitarisme with tags , , , , , , , , on 24 janvier 2013 by Résistance 71

Une équipe d’anciens scientifiques de la NASA conclut qu’il n’y a pas de preuve physique convaincante pour soutenir l’hypothèse d’un réchauffement climatique anthropique

 

Marc Morano

 

Le 23 Janvier 2013

 

url de l’article:

http://www.climatedepot.com/a/19341/Team-of-Former-NASA-Scientists-Conclude-There-is-no-convincing-physical-evidence-to-support-the-manmade-climate-change-hypothesis

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Un groupe de 20 anciens scientifiques de la NASA a conclu que la science utilisée pour soutenir l’hypothèse d’un changement climatique d’origine humaine n’est pas définie et qu’il n’y a pas de preuve convaincante pour soutenir les prévisions catastrophiques faites concernant le changement climatique.

A commencer en Février 2012, le groupe de scientifiques se nommant eux-mêmes l’équipe du “Right Climate Stuff” (TRCS), a reçu des présentations de scientifiques représentant tous les côtés du débat sur le changement climatique et s’est embarqué dans une analyse en profondeur d’un grand nombre d’études sur le climat. Employant une approche disciplinée d’identification de problème et d’analyse causale acquise au cours de décennies mises au service de la gestion de situations de vie ou de mort en ce qui concerne l’envoi d’astronautes dans l’espace et de les ramener sain et sauf sur Terre, l’équipe du TRCS en a conclu qu’aucune menace immédiate existe concernant le gaz carbonique humain.

L’équipe de TRCS comprend des scientifiques de l’espace renommés, ayant reçu une éducation formelle de haut niveau et ayant des décennies d’expérience dans l’ingénierie spatiale, la physique, la chimie, l’astrophysique, la géophysique, la géologie et la météorologie. Bon nombre de ces scientifiques possèdent un ou plusieurs doctorats (Ph.D). Tous les membres de cette équipe sont des bénévoles ne recevant aucun salaire et qui ont entamés ce projet après avoir été déçus de constater le soutien grandissant de la NASA pour les théories alarmistes du réchauffement climatique anthropique (RCA). H. Leighton Steward, président de CO2isGreen.org ainsi que de l’association éducative à but non lucratif PlantsNeedCO2.org, a fait les remarques suivantes au sujet des conclusions de TRCS, celles-ci peuvent être vues sur www.therightclimatestuff.com:

1. La science sur ce qui cause un changement climatique ou un réchauffement climatique n’est pas définie et ne l’a jamais été.

2. Il n’y a pas de preuve convaincante pour soutenir l’hypothèse d’un changement climatique de cause humaine. Le test standard de toute hypothèse est de savoir si celle-ci est soutenue par des preuves empiriques provenant d’observations physiques réelles, ceci semble avoir été totalement ignoré par les alarmistes climatiques.

3. Les affirmations faites par les supporteurs d’un réchauffement climatique catastrophique d’origine humaine sont soutenues de manière dominante par des modèles informatiques non valides et les résultats émanant de ces modèles ne devraient pas être une base de confiance donnée aux législateurs et aux politiciens. Quelques uns des membres de l’équipe de TRCS ont pris des décisions parfois critiques utilisant des modèles ordinateurs complexes pendant des décennies.

4. Il n’y a pas de menace immédiate d’un réchauffement climatique catastrophique et ce même s’il y a parfois un réchauffement. Le niveau des mers et océans ne va pas soudainement commencer une accélération de sa montée existant maintenant depuis 18 000 ans. Le niveau des eaux n’est pas en train de monter plus vite actuellement comme le prétendent les alarmistes du changement climatique.

5. Le gouvernement américain s’est emballé trop vite au sujet d’un réchauffement catastrophique potentiel. Les impacts négatifs sur l’économie, le travail, le coût de la vie, des denrées alimentaires, des transports, vont sans aucun doute être plus sévères pour les pauvres et la classe moyenne. De véritables expériences montrent que l’habitat terrestre pourrait être sévèrement endommagé si le niveau de CO2 atmosphérique était de fait diminué. Les environnementalistes ont été gravement induits en erreur de croire que le gaz carbonique est un pollueur/polluant.

6. Une preuve empirique actuellement montre que la Terre “verdit” de manière signifiante dû à l’addition de CO2 et à un réchauffement modeste.

7. L’argent économisé en abandonnant les mesures prématurées de diminution des émissions de CO2 pourrait être mieux employé en continuant la recherche sur des sources d’énergie alternatives, qui ne sont actuellement pas compétitives ou efficaces.

Le Dr. Harold Doiron, team leader for TRCS et ancien scientifique de la NASA, avec H. Leighton Steward, participeront au débat du The Hard Question panel sur le changement climatique ce soir à 17:00 au National Press Club, Holeman Lounge (13 th floor) , 529 14 th Street, Washington, DC.

Plus d’info sur: www.CO2isGreen.org.

Une information scientifique additionnelle peut-être trouvée sur: www.PlantsNeedCO2.org.

SOURCE: CO2isGreen.org

 

Escroquerie du réchauffement climatique anthropique: Une lettre ouverte au secrétaire général de l’ONU…

Posted in actualité, écologie & climat, économie, média et propagande, militantisme alternatif, néo-libéralisme et paupérisation, politique et lobbyisme, réchauffement climatique anthropique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies with tags , , , , , , , , , on 4 décembre 2012 by Résistance 71

… De scientifiques signataires qu’on ne verra nulle part dans notre pressetituée lobotomisée. Les climatologues, géophysiciens et autres paléoclimatologues se rebiffent ! Il est temps !…

Mais les eugénistes se sont déjà rabattus sur un vieux cheval de bataille remis au goût du jour: la pseudo-science malthusianiste et son mythe de la surpopulation. On est reparti pour un tour, mais sur Résistance 71, notre cher Kropotkine, par ses écrits, aide bien à remettre le couvercle sur cette science poubelle ressortie des placards…

— Résistance 71 —

 

Lettre ouverte au secrétaire général des Nations-Unies

 

Financial Post

 

Le 30 Novembre 2012

 

url de l’article original:

http://opinion.financialpost.com/2012/11/29/open-climate-letter-to-un-secretary-general-current-scientific-knowledge-does-not-substantiate-ban-ki-moon-assertions-on-weather-and-climate-say-125-scientists/

 

H.E. Ban Ki-Moon, Secretary-General, United Nations

First Avenue and East 44th Street, New York, New York, U.S.A.

 

November 29, 2012

 

Mr. le secrétaire général:

Le 9 Novembre de cette année, vous avez dit à l’assemblée générale:

“Des conditions de météo extrêmes dûes au changement climatique  sont devenues la norme… Notre défi demeure clair et urgent: réduire les émissions de gaz à effet de serre, pour renforcer l’adaptation à… des chocs climatiques encore plus importants… et pour atteindre un accord légal avant 2015… Ceci devrait être une des leçons primordiales tirée de l’ouragan Sandy.”

Le 13 Novembre, vous avez dit à Yale: “La science est claire; nous ne devrions plus perdre plus de temps à débattre.”

Le lendemain, dans l’émission sur internet d’Al Gore “Dirty Weather”, vous avez parlé “de tempêtes plus graves, de sécheresses plus dramatiques, de grandes inondations”, et avez conclu: “Il y a deux semaines, l’ouragan Sandy a frappé la côte Est des Etats-Unis. Une nation a vu la réalité du changement climatique. Cela va coûter des dizaines de milliards de dollars.  Le prix de l’inaction sera encore plus important. Nous devons réduire notre dépendance en émissions de carbone.”

Nous, soussignés, tous qualifiés en matière de climatologie, désirons déclarer que la connaissance scientifique actuelle ne soutient aucunement vos affirmations.

Le bureau britannique du MET a récemment publié des données montrant qu’il n’y a pas eu de réchauffement climatique statistiquement signifiant depuis bientôt 16 ans. Durant cette période, d’après la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) américaine, les concentrations de dioxyde de carbone (CO2) ont augmenté de 9% pour constituer maintenant 0,039% de l’atmosphère. Le réchauffement climatique qui ne s’est pas produit ne peut pas avoir causé les conditions météorologiques extrêmes de ces dernières années. Quand, si et comment un réchauffement atmosphérique va se reproduire est inconnu. La science n’est pas claire. Quelques scientifiques mettent en évidence qu’un refroidissement naturel à court-terme, en liaison avec des influences solaires, est également une possibilité distincte.

Les “plus grands chocs climatiques” que vous avez mentionnés seraient bien pires si le monde se refroidissait plutôt que se réchauffait. Le climat change naturellement en permanence, parfois de manière dramatique. L’hypothèse que nos émisions de CO2 ont causé, ou vont causer, un réchauffement dangereux n’est soutenue par aucune preuve.

L’incidence et la sévérité d’une météo extrême n’a pas augmenté. Il y a très peu d’évidence que des évènements dangereux liés à la météo vont se produire plus fréquemment dans le futur. Le GIEC de l’ONU dit dans son Special Report on Extreme Weather (2012) qu’il y a “une absence de signal d’attribution de changement climatique” dans la tendance des pertes de conditions météorologiques extrêmes. Les fonds octroyés en ce moment pour essayer d’arrêter les conditions extrêmes du temps devraient ainsi être dirigés au renforcement de nos infrastructures afin d’être capables de résister à ces évènements naturels inévitables et à aider les communautés à rebâtir après des catastrophes naturelles comme par exemple la tempête tropicale Sandy.

Il n’y a aucune raison valide pour les décisions de politique restrictive à l’encontre du public proposées par la conférence de l’ONU sur le climat au Qatar. Une analyse rigoureuse et impartiale des données ne soutient en aucun cas les projections futures des prédictions des modèles informatiques pour un réchauffement climatique, modèles qui ont été prouvés exagérer le réchauffement et ses effets.

Le rapport de la NOAA “State of the Climate in 2008” a établi que 15 ans ou plus sans aucune statistique signifiante de réchauffement indiquerait une divergence entre l’observation et la prédiction. Seize ans sans réchauffement ont donc maintenant prouvé que les modèles informatiques sont faux de par le critère de leurs propres créateurs.

Sur ces considérations, nous demandons que vous vous désistiez d’exploiter la misère de familles de ceux qui ont perdus leur vie ou leur propriété dans la tempête tropicale Sandy en faisant des affirmations qui ne peuvent être soutenues concernant le fait que des influences humaines ont causé cette tempête. Cela n’est pas vrai. Nous vous demandons également de reconnaître que les actions politiques des Nations-Unies, ou des nations signataires de l’UNFCCC, qui visent à réduire les émissions de CO2 n’auront vraisemblablement aucune influence sur le climat futur. Les politiques climatiques se doivent donc de se focaliser plus sur la préparation et l’adaptation à de dangereux évènements climatiques quelque soit leur origine.

Signée par: (ordre alphabétique)

  1. Habibullo I. Abdussamatov, Dr. Sci., mathematician and astrophysicist, Head of the Selenometria project on the Russian segment of the ISS, Head of Space Research of the Sun Sector at the Pulkovo Observatory of the Russian Academy of Sciences, St. Petersburg, Russia
  2. Syun-Ichi Akasofu, PhD, Professor of Physics, Emeritus and Founding Director, International Arctic Research Center of the University of Alaska, Fairbanks, Alaska, U.S.A.
  3. Bjarne Andresen, Dr. Scient., physicist, published and presents on the impossibility of a “global temperature”, Professor, Niels Bohr Institute (physics (thermodynamics) and chemistry), University of Copenhagen, Copenhagen, Denmark
  4. J. Scott Armstrong, PhD, Professor of Marketing, The Wharton School, University of Pennsylvania, Founder of the International Journal of Forecasting, focus on analyzing climate forecasts, Philadelphia, Pennsylvania, U.S.A.
  5. Timothy F. Ball, PhD, environmental consultant and former climatology professor, University of Winnipeg, Winnipeg, Manitoba, Canada
  6. James R. Barrante, Ph.D. (chemistry, Harvard University), Emeritus Professor of Physical Chemistry, Southern Connecticut State University, focus on studying the greenhouse gas behavior of CO2, Cheshire, Connecticut, U.S.A.
  7. Colin Barton, B.Sc., PhD (Earth Science, Birmingham, U.K.), FInstEng Aus Principal research scientist (ret.), Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation (CSIRO), Melbourne, Victoria, Australia
  8. Joe Bastardi, BSc, (Meteorology, Pennsylvania State), meteorologist, State College, Pennsylvania, U.S.A.
  9. Franco Battaglia, PhD (Chemical Physics), Professor of Physics and Environmental Chemistry, University of Modena, Italy
  10. Richard Becherer, BS (Physics, Boston College), MS (Physics, University of Illinois), PhD (Optics, University of Rochester), former Member of the Technical Staff – MIT Lincoln Laboratory, former Adjunct Professor – University of Connecticut, Areas of Specialization: optical radiation physics, coauthor – standard reference book Optical Radiation Measurements: Radiometry, Millis, MA, U.S.A.
  11. Edwin X. Berry, PhD (Atmospheric Physics, Nevada), MA (Physics, Dartmouth), BS (Engineering, Caltech), Certified Consulting Meteorologist, President, Climate Physics LLC, Bigfork, MT, U.S.A.
  12. Ian Bock, BSc, PhD, DSc, Biological sciences (retired), Ringkobing, Denmark
  13. Ahmed Boucenna, PhD, Professor of Physics (strong climate focus), Physics Department, Faculty of Science, Ferhat Abbas University, Setif, Algéria
  14. Antonio Brambati, PhD, Emeritus Professor (sedimentology), Department of Geological, Environmental and Marine Sciences (DiSGAM), University of Trieste (specialization: climate change as determined by Antarctic marine sediments), Trieste, Italy
  15. Stephen C. Brown, PhD (Environmental Science, State University of New York), District Agriculture Agent, Assistant Professor, University of Alaska Fairbanks, Ground Penetrating Radar Glacier research, Palmer, Alaska, U.S.A.
  16. Mark Lawrence Campbell, PhD (chemical physics; gas-phase kinetic research involving greenhouse gases (nitrous oxide, carbon dioxide)), Professor, United States Naval Academy, Annapolis, Maryland, U.S.A.
  17. Rudy Candler, PhD (Soil Chemistry, University of Alaska Fairbanks (UAF)), former agricultural laboratory manager, School of Agriculture and Land Resources Management, UAF, co-authored papers regarding humic substances and potential CO2 production in the Arctic due to decomposition, Union, Oregon, U.S.A.
  18. Alan Carlin, B.S. (California Institute of Technology), PhD (economics, Massachusetts Institute of Technology), retired senior analyst and manager, U.S. Environmental Protection Agency, Washington, DC, former Chairman of the Angeles Chapter of the Sierra Club (recipient of the Chapter’s Weldon Heald award for conservation work), U.S.A.
  19. Dan Carruthers, M.Sc., Arctic Animal Behavioural Ecologist, wildlife biology consultant specializing in animal ecology in Arctic and Subarctic regions, Turner Valley, Alberta, Canada
  20. Robert M. Carter, PhD, Professor, Marine Geophysical Laboratory, James Cook University, Townsville, Australia
  21. Uberto Crescenti, PhD, Full Professor of Applied Geology, Università G. d’Annunzio, Past President Società Geologica taliana, Chieti, Italy
  22. Arthur Chadwick, PhD (Molecular Biology), Research Professor of Geology, Department of Biology and Geology, Southwestern Adventist University, Climate Specialties: dendrochronology (determination of past climate states by tree ring analysis), palynology (same but using pollen as a climate proxy), paleobotany and botany; Keene, Texas, U.S.A.
  23. George V. Chilingar, PhD, Professor, Department of Civil and Environmental Engineering of Engineering (CO2/temp. focused research), University of Southern California, Los Angeles, California, U.S.A.
  24. Ian D. Clark, PhD, Professor (isotope hydrogeology and paleoclimatology), Dept. of Earth Sciences, University of Ottawa, Ottawa, Ontario, Canada
  25. Cornelia Codreanova, Diploma in Geography, Researcher (Areas of Specialization: formation of glacial lakes) at Liberec University, Czech Republic, Zwenkau, Germany
  26. Michael Coffman, PhD (Ecosystems Analysis and Climate Influences, University of Idaho), CEO of Sovereignty International, President of Environmental Perspectives, Inc., Bangor, Maine, U.S.A.
  27. Piers Corbyn, ARCS, MSc (Physics, Imperial College London)), FRAS, FRMetS, astrophysicist (Queen Mary College, London), consultant, founder WeatherAction long range weather and climate forecasters, American Thinker Climate Forecaster of The Year 2010, London, United Kingdom
  28. Richard S. Courtney, PhD, energy and environmental consultant, IPCC expert reviewer, Falmouth, Cornwall, United Kingdom
  29. Roger W. Cohen, B.S., M.S., PhD Physics, MIT and Rutgers University, Fellow, American Physical Society, initiated and managed for more than twenty years the only industrial basic research program in climate, Washington Crossing, Pennsylvania, U.S.A.
  30. Susan Crockford, PhD (Zoology/Evolutionary Biology/Archaeozoology), Adjunct Professor (Anthropology/Faculty of Graduate Studies), University of Victoria, Victoria, British Colombia, Canada
  31. Walter Cunningham, B.S., M.S. (Physics – Institute of Geophysics And Planetary Sciences,  UCLA), AMP – Harvard Graduate School of Business, Colonel (retired) U.S. Marine Corps, Apollo 7 Astronaut., Fellow – AAS, AIAA; Member AGU, Houston, Texas, U.S.A.
  32. Joseph D’Aleo, BS, MS (Meteorology, University of Wisconsin),  Doctoral Studies (NYU), CMM, AMS Fellow, Executive Director – ICECAP (International Climate and Environmental Change Assessment Project), College Professor Climatology/Meteorology, First Director of Meteorology The Weather Channel, Hudson, New Hampshire, U.S.A.
  33. David Deming, PhD (Geophysics), Professor of Arts and Sciences, University of Oklahoma, Norman, Oklahoma, U.S.A.
  34. James E. Dent; B.Sc., FCIWEM, C.Met, FRMetS, C.Env., Independent Consultant (hydrology & meteorology), Member of WMO OPACHE Group on Flood Warning, Hadleigh, Suffolk, England, United Kingdom
  35. Willem de Lange, MSc (Hons), DPhil (Computer and Earth Sciences), Senior Lecturer in Earth and Ocean Sciences, The University of Waikato, Hamilton, New Zealand
  36. Silvia Duhau, Ph.D. (physics), Solar Terrestrial Physics, Buenos Aires University, Buenos Aires, Argentina
  37. Geoff Duffy, DEng (Dr of Engineering), PhD (Chemical Engineering), BSc, ASTCDip. (first chemical engineer to be a Fellow of the Royal Society in NZ), FIChemE, wide experience in radiant heat transfer and drying, chemical equilibria, etc. Has reviewed, analysed, and written brief reports and papers on climate change, Auckland, New Zealand
  38. Don J. Easterbrook, PhD, Emeritus Professor of Geology, Western Washington, University, Bellingham, Washington, U.S.A.
  39. Ole Henrik Ellestad, former Research Director, applied chemistry SINTEF, Professor in physical chemistry, University of Oslo, Managing director Norsk Regnesentral and Director for Science and Technology, Norwegian Research Council, widely published in infrared spectroscopy, Oslo, Norway
  40. Per Engene, MSc, Biologist, Co-author – The Climate, Science and Politics (2009), Bø i Telemark, Norway
  41. Gordon Fulks, B.S., M.S., PhD (Physics, University of Chicago), cosmic radiation, solar wind, electromagnetic and geophysical phenomena, Portland, Oregon, U.S.A.
  42. Katya Georgieva, MSc (meteorology), PhD (solar-terrestrial climate physics), Professor, Space Research and Technologies Institute, Bulgarian Academy of Sciences, Sofia, Bulgaria
  43. Lee C. Gerhard, PhD, Senior Scientist Emeritus, University of Kansas, past director and state geologist, Kansas Geological Survey, U.S.A.
  44. Ivar Giaever PhD, Nobel Laureate in Physics 1973, professor emeritus at the Rensselaer Polytechnic Institute, a professor-at-large at the University of Oslo, Applied BioPhysics, Troy, New York, U.S.A.
  45. Albrecht Glatzle, PhD, ScAgr, Agro-Biologist and Gerente ejecutivo, Tropical pasture research and land use management, Director científico de INTTAS, Loma Plata, Paraguay
  46. Fred Goldberg, PhD, Adj Professor, Royal Institute of Technology (Mech, Eng.), Secretary General KTH International Climate Seminar 2006 and Climate analyst (NIPCC), Lidingö, Sweden
  47. Laurence I. Gould, PhD, Professor of Physics, University of Hartford, Past Chair (2004), New England Section of the American Physical Society, West Hartford, Connecticut, U.S.A.
  48. Vincent Gray, PhD, New Zealand Climate Coalition, expert reviewer for the IPCC, author of The Greenhouse Delusion: A Critique of Climate Change 2001, Wellington, New Zealand
  49. William M. Gray, PhD, Professor Emeritus, Dept. of Atmospheric Science, Colorado State University, Head of the Tropical Meteorology Project, Fort Collins, Colorado, U.S.A.
  50. Charles B. Hammons, PhD (Applied Mathematics), climate-related specialties: applied mathematics, modeling & simulation, software & systems engineering, Associate Professor, Graduate School of Management, University of Dallas; Assistant Professor, North Texas State University (Dr. Hammons found many serious flaws during a detailed study of the software, associated control files plus related email traffic of the Climate Research Unit temperature and other records and “adjustments” carried out in support of IPCC conclusions), Coyle, OK, U.S.A.
  51. William Happer, PhD, Professor, Department of Physics, Princeton University, Princeton, NJ, U.S.A.
  52. Hermann Harde, PhD, Professur f. Lasertechnik & Werkstoffkunde (specialized in molecular spectroscopy, development of gas sensors and CO2-climate sensitivity), Helmut-Schmidt-Universität, Universität der Bundeswehr Fakultät für Elektrotechnik, Hamburg, Germany
  53. Howard Hayden, PhD, Emeritus Professor (Physics), University of Connecticut, The Energy Advocate, Pueblo West, Colorado, U.S.A.
  54. Ross Hays, Meteorologist, atmospheric scientist, NASA Columbia Scientific Balloon Facility (currently working at McMurdo Station, Antarctica), Palestine, Texas, U.S.A.
  55. Martin Hovland, M.Sc. (meteorology, University of Bergen), PhD (Dr Philos, University of Tromsø), FGS, Emeritus Professor, Geophysics, Centre for Geobiology, University of Bergen, member of the expert panel: Environmental Protection and Safety Panel (EPSP) for the Ocean Drilling Program (ODP) and the Integrated ODP, Stavanger, Norway
  56. Ole Humlum, PhD, Professor of Physical Geography, Department of Physical Geography, Institute of Geosciences, University of Oslo, Oslo, Norway
  57. Craig D. Idso, PhD, Chairman of the Board of Directors of the Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Tempe, Arizona, U.S.A.
  58. Sherwood B. Idso, PhD, President, Center for the Study of Carbon Dioxide and Global Change, Tempe, Arizona, U.S.A.
  59. Larry Irons, BS (Geology), MS (Geology), Sr. Geophysicist at Fairfield Nodal (specialization: paleoclimate), Lakewood, Colorado, U.S.A.
  60. Terri Jackson, MSc (plasma physics), MPhil (energy economics), Director, Independent Climate Research Group, Northern Ireland and London (Founder of the energy/climate group at the Institute of Physics, London), United Kingdom
  61. Albert F. Jacobs, Geol.Drs., P. Geol., Calgary, Alberta, Canada
  62. Hans Jelbring, PhD Climatology, Stockholm University, MSc Electronic engineering, Royal Institute of Technology, BSc  Meteorology, Stockholm University, Sweden
  63. Bill Kappel, B.S. (Physical Science-Geology), B.S. (Meteorology), Storm Analysis, Climatology, Operation Forecasting, Vice President/Senior Meteorologist, Applied Weather Associates, LLC, University of Colorado, Colorado Springs, U.S.A.
  64. Olavi Kärner, Ph.D., Extraordinary Research Associate; Dept. of Atmospheric Physics, Tartu Observatory, Toravere, Estonia
  65. Leonid F. Khilyuk, PhD, Science Secretary, Russian Academy of Natural Sciences, Professor of Engineering (CO2/temp. focused research), University of Southern California, Los Angeles, California, U.S.A.
  66. William Kininmonth MSc, MAdmin, former head of Australia’s National Climate Centre and a consultant to the World Meteorological organization’s Commission for Climatology, Kew, Victoria, Australia
  67. Gerhard Kramm, Dr. rer. nat. (Theoretical Meteorology), Research Associate Professor, Geophysical Institute, Associate Faculty, College of Natural Science and Mathematics, University of Alaska Fairbanks, (climate specialties: Atmospheric energetics, physics of the atmospheric boundary layer, physical climatology – see interesting paper by Kramm et al), Fairbanks, Alaska, U.S.A.
  68. Leif Kullman, PhD (Physical geography, plant ecology, landscape ecology), Professor, Physical geography, Department of Ecology and Environmental science, Umeå University, Areas of Specialization: Paleoclimate (Holocene to the present), glaciology, vegetation history, impact of modern climate on the living landscape, Umeå, Sweden
  69. Hans H.J. Labohm, PhD, Independent economist, author specialised in climate issues, IPCC expert reviewer, author of Man-Made Global Warming: Unravelling a Dogma and climate science-related Blog, The Netherlands
  70. Rune Berg-Edland Larsen, PhD (Geology, Geochemistry), Professor, Dep. Geology and Geoengineering, Norwegian University of Science and Technology (NTNU), Trondheim, Norway
  71. C. (Kees) le Pair, PhD (Physics Leiden, Low Temperature Physics), former director of the Netherlands Research Organization FOM (fundamental physics) and subsequently founder and director of The Netherlands Technology Foundation STW.  Served the Dutch Government many years as member of its General Energy Council and of the National Defense Research Council. Royal Academy of Arts and Sciences Honorary Medal and honorary doctorate in all technical sciences of the Delft University of technology, Nieuwegein, The Netherlands
  72. Douglas Leahey, PhD, meteorologist and air-quality consultant, past President – Friends of Science, Calgary, Alberta, Canada
  73. Jay Lehr, B.Eng. (Princeton), PhD (environmental science and ground water hydrology), Science Director, The Heartland Institute, Chicago, Illinois, U.S.A.
  74. Bryan Leyland, M.Sc., FIEE, FIMechE, FIPENZ, MRSNZ, consulting engineer (power), Energy Issues Advisor – International Climate Science Coalition, Auckland, New Zealand
  75. Edward Liebsch, B.A. (Earth Science, St. Cloud State University); M.S. (Meteorology, The Pennsylvania State University), former Associate Scientist, Oak Ridge National Laboratory; former Adjunct Professor of Meteorology, St. Cloud State University, Environmental Consultant/Air Quality Scientist (Areas of Specialization: micrometeorology, greenhouse gas emissions), Maple Grove, Minnesota, U.S.A.
  76. William Lindqvist, PhD (Applied Geology), Independent Geologic Consultant, Areas of Specialization: Climate Variation in the recent geologic past, Tiburon, California, U.S.A.
  77. Horst-Joachim Lüdecke, Prof. Dr. , PhD (Physics), retired from university of appl. sciences HTW, Saarbrücken (Germany), atmospheric temperature research, speaker of the European Institute for Climate and Energy (EIKE), Heidelberg, Germany
  78. Anthony R. Lupo, Ph.D., Professor of Atmospheric Science, Department of Soil, Environmental, and Atmospheric Science, University of Missouri, Columbia, Missouri, U.S.A.
  79. Oliver Manuel, BS, MS, PhD, Post-Doc (Space Physics), Associate – Climate & Solar Science Institute, Emeritus Professor, College of Arts & Sciences University of Missouri-Rolla, previously Research Scientist (US Geological Survey) and NASA Principal Investigator for Apollo, Cape Girardeau, Missouri, U.S.A.
  80. Francis Massen, professeur-docteur en physique (PhD equivalent, Universities of Nancy (France) and Liège (Belgium), Manager of the Meteorological Station of the Lycée Classique de Diekirch, specialising in the measurement of solar radiation and atmospheric gases. Collaborator to the WOUDC (World Ozone and UV Radiation Data Center), Diekirch, Luxembourg
  81. Henri Masson, Prof. dr. ir., Emeritus Professor University of Antwerp (Energy & Environment Technology Management), Visiting professor Maastricht School of Management, specialist in dynamical (chaotic) complex system analysis, Antwerp, Belgium.
  82. Ferenc Mark Miskolczi, PhD, atmospheric physicist, formerly of NASA’s Langley Research Center, Hampton, Virginia, U.S.A.
  83. Viscount Monckton of Brenchley, Expert reviewer, IPCC Fifth Assessment Report, Quantification of Climate Sensitivity, Carie, Rannoch, Scotland
  84. Nils-Axel Mörner, PhD (Sea Level Changes and Climate), Emeritus Professor of Paleogeophysics & Geodynamics, Stockholm University, Stockholm, Sweden
  85. John Nicol, PhD (Physics, James Cook University), Chairman – Australian climate Science Coalition, Brisbane, Australia
  86. Ingemar Nordin, PhD, professor in philosophy of science (including a focus on “Climate research, philosophical and sociological aspects of a politicised research area”), Linköpings University, Sweden.
  87. David Nowell, M.Sc., Fellow of the Royal Meteorological Society, former chairman of the NATO Meteorological Group, Ottawa, Ontario, Canada
  88. Cliff Ollier, D.Sc., Professor Emeritus (School of Earth and Environment – see his Copenhagen Climate Challenge sea level article here), Research Fellow, University of Western Australia, Nedlands, W.A., Australia
  89. Oleg M. Pokrovsky, BS, MS, PhD (mathematics and atmospheric physics – St. Petersburg State University, 1970), Dr. in Phys. and Math Sciences (1985), Professor in Geophysics (1995), principal scientist, Main Geophysical Observatory (RosHydroMet), Note: Dr. Pokrovsky analyzed long climates and concludes that anthropogenic CO2 impact is not the main contributor in climate change,St. Petersburg, Russia.
  90. Daniel Joseph Pounder, BS (Meteorology, University of Oklahoma), MS (Atmospheric Sciences, University of Illinois, Urbana-Champaign); Meteorological/Oceanographic Data Analyst for the National Data Buoy Center, formerly Meteorologist, WILL AM/FM/TV, Urbana, U.S.A.
  91. Brian Pratt, PhD, Professor of Geology (Sedimentology), University of Saskatchewan (see Professor Pratt’s article for a summary of his views), Saskatoon, Saskatchewan, Canada
  92. Harry N.A. Priem, PhD, Professore-emeritus isotope-geophysics and planetary geology, Utrecht University, past director ZWO/NOW Institute of Isotope Geophysical Research, Past-President Royal Netherlands Society of Geology and Mining, Amsterdam, The Netherlands
  93. Oleg Raspopov, Doctor of Science and Honored Scientist of the Russian Federation, Professor – Geophysics, Senior Scientist, St. Petersburg Filial (Branch) of N.V.Pushkov Institute of Terrestrial Magnetism, Ionosphere and Radiowaves Propagation of RAS (climate specialty: climate in the past, particularly the influence of solar variability), Editor-in-Chief of journal “Geomagnetism and Aeronomy” (published by Russian Academy of Sciences), St. Petersburg, Russia
  94. Curt G. Rose, BA, MA (University of Western Ontario), MA, PhD (Clark University), Professor Emeritus, Department of Environmental Studies and Geography, Bishop’s University, Sherbrooke, Quebec, Canada
  95. S. Jeevananda Reddy, M.Sc. (Geophysics), Post Graduate Diploma (Applied Statistics, Andhra University), PhD (Agricultural Meteorology, Australian University, Canberra), Formerly Chief Technical Advisor—United Nations World Meteorological Organization (WMO) & Expert-Food and Agriculture Organization (UN), Convener – Forum for a Sustainable Environment, author of 500 scientific articles and several books – here is one: “Climate Change – Myths & Realities“, Hyderabad, India
  96. Arthur Rorsch, PhD, Emeritus Professor, Molecular Genetics, Leiden University, former member of the board of management of the Netherlands Organization Applied Research TNO, Leiden, The Netherlands
  97. Rob Scagel, MSc (forest microclimate specialist), Principal Consultant – Pacific Phytometric Consultants, Surrey, British Columbia, Canada
  98. Chris Schoneveld, MSc (Structural Geology), PhD (Geology), retired exploration geologist and geophysicist, Australia and France
  99. Tom V. Segalstad, PhD (Geology/Geochemistry), Associate Professor of Resource and Environmental Geology, University of Oslo, former IPCC expert reviewer, former Head of the Geological Museum, and former head of the Natural History Museum and Botanical Garden (UO), Oslo, Norway
  100. John Shade, BS (Physics), MS (Atmospheric Physics), MS (Applied Statistics), Industrial Statistics Consultant, GDP, Dunfermline, Scotland, United Kingdom
  101. Thomas P. Sheahen, B.S., PhD (Physics, Massachusetts Institute of Technology), specialist in renewable energy, research and publication (applied optics) in modeling and measurement of absorption of infrared radiation by atmospheric CO2,  National Renewable Energy Laboratory (2005-2009); Argonne National Laboratory (1988-1992); Bell Telephone labs (1966-73), National Bureau of Standards (1975-83), Oakland, Maryland, U.S.A.
  102. S. Fred Singer, PhD, Professor Emeritus (Environmental Sciences), University of Virginia, former director, U.S. Weather Satellite Service, Science and Environmental Policy Project, Charlottesville, Virginia, U.S.A.
  103. Frans W. Sluijter, Prof. dr ir, Emeritus Professor of theoretical physics, Technical University Eindhoven, Chairman—Skepsis Foundation, former vice-president of the International Union of Pure and Applied Physics, former President of the Division on Plasma Physics of the European Physical Society and former bureau member of the Scientific Committee on Sun-Terrestrial Physics, Euvelwegen, the Netherlands
  104. Jan-Erik Solheim, MSc (Astrophysics), Professor, Institute of Physics, University of Tromsø, Norway (1971-2002), Professor (emeritus), Institute of Theoretical Astrophysics, University of Oslo, Norway (1965-1970, 2002- present), climate specialties: sun and periodic climate variations, scientific paper by Professor Solheim “Solen varsler et kaldere tiår“, Baerum, Norway
  105. H. Leighton Steward, Master of Science (Geology), Areas of Specialization: paleoclimates and empirical evidence that indicates CO2 is not a significant driver of climate change, Chairman, PlantsNeedCO2.org and CO2IsGreen.org, Chairman of the Institute for the Study of Earth and Man (geology, archeology & anthropology) at SMU in Dallas, Texas, Boerne, TX, U.S.A.
  106. Arlin B. Super, PhD (Meteorology – University of Wisconsin at Madison), former Professor of Meteorology at Montana State University, retired Research Meteorologist, U.S. Bureau of Reclamation, Saint Cloud, Minnesota, U.S.A.
  107. Edward (Ted) R. Swart, D.Sc. (physical chemistry, University of Pretoria), M.Sc. and Ph.D. (math/computer science, University of Witwatersrand). Formerly Director of the Gulbenkian Centre, Dean of the Faculty of Science, Professor and Head of the Department of Computer Science, University of Rhodesia and past President of the Rhodesia Scientific Association. Set up the first radiocarbon dating laboratory in Africa. Most recently, Professor in the Department of Combinatorics and Optimization at the University of Waterloo and Chair of Computing and Information Science and Acting Dean at the University of Guelph, Ontario, Canada, now retired in Kelowna British Columbia, Canada
  108. George H. Taylor, B.A. (Mathematics, U.C. Santa Barbara), M.S. (Meteorology, University of Utah), Certified Consulting Meteorologist, Applied Climate Services, LLC, Former State Climatologist (Oregon), President, American Association of State Climatologists (1998-2000), Corvallis, Oregon, U.S.A.
  109. J. E. Tilsley, P.Eng., BA Geol, Acadia University, 53 years of climate and paleoclimate studies related to development of economic mineral deposits, Aurora, Ontario, Canada
  110. Göran Tullberg, Civilingenjör i Kemi (equivalent to Masters of Chemical Engineering), Co-author – The Climate, Science and Politics (2009) (see here for a review), formerly instructor of Organic Chemistry (specialization in “Climate chemistry”), Environmental Control and Environmental Protection Engineering at University in Växjö; Falsterbo, Sweden
  111. Brian Gregory Valentine, PhD, Adjunct professor of engineering (aero and fluid dynamics specialization) at the University of Maryland, Technical manager at US Department of Energy, for large-scale modeling of atmospheric pollution, Technical referee for the US Department of Energy’s Office of Science programs in climate and atmospheric modeling conducted at American Universities and National Labs, Washington, DC, U.S.A.
  112. Bas van Geel, PhD, paleo-climatologist, Institute for Biodiversity and Ecosystem Dynamics, Research Group Paleoecology and Landscape Ecology, Faculty of Science, Universiteit van Amsterdam, Amsterdam, The Netherlands
  113. Gerrit J. van der Lingen, PhD (Utrecht University), geologist and paleoclimatologist, climate change consultant, Geoscience Research and Investigations, Nelson, New Zealand
  114. A.J. (Tom) van Loon, PhD, Professor of Geology (Quaternary Geologyspecialism: Glacial Geology), Adam Mickiewicz University, former President of the European Association of Science Editors Poznan, Poland
  115. Fritz Vahrenholt, B.S. (chemistry), PhD (chemistry), Prof. Dr., Professor of Chemistry, University of Hamburg, Former Senator for environmental affairs of the State of Hamburg, former CEO of REpower Systems AG (wind turbines), Author of the book Die kalte Sonne: warum die Klimakatastrophe nicht stattfindet (The Cold Sun: Why the Climate Crisis Isn’t Happening”, Hamburg, Germany
  116. Michael G. Vershovsky, Ph.D. in meteorology (macrometeorology, long-term forecasts, climatology), Senior Researcher, Russian State Hydrometeorological University, works with, as he writes, “Atmospheric Centers of Action (cyclones and anticyclones, such as Icelandic depression, the South Pacific subtropical anticyclone, etc.). Changes in key parameters of these centers strongly indicate that the global temperature is influenced by these natural factors (not exclusively but nevertheless)”, St. Petersburg, Russia
  117. Gösta Walin, PhD and Docent (theoretical Physics, University of Stockholm), Professor Emeritus in oceanografi, Earth Science Center, Göteborg University, Göteborg,  Sweden
  118. Anthony Watts, ItWorks/IntelliWeather, Founder, surfacestations.org, Watts Up With That, Chico, California, U.S.A.
  119. Carl Otto Weiss, Direktor und Professor at Physikalisch-Technische Bundesanstalt,  Visiting Professor at University of Copenhagen, Tokyo Institute of Technology, Coauthor of ”Multiperiodic Climate Dynamics: Spectral Analysis of…“, Braunschweig, Germany
  120. Forese-Carlo Wezel, PhD, Emeritus Professor of Stratigraphy (global and Mediterranean geology, mass biotic extinctions and paleoclimatology), University of Urbino, Urbino, Italy
  121. Boris Winterhalter, PhD, senior marine researcher (retired), Geological Survey of Finland, former professor in marine geology, University of Helsinki, Helsinki, Finland
  122. David E. Wojick, PhD,  PE, energy and environmental consultant, Technical Advisory Board member – Climate Science Coalition of America, Star Tannery, Virginia, U.S.A.
  123. George T. Wolff, Ph.D., Principal Atmospheric Scientist, Air Improvement Resource, Inc., Novi, Michigan, U.S.A.
  124. Thomas (Tom) Wysmuller –NASA (Ret) ARC, GSFC, Hdq. – Meteorologist, Ogunquit, ME, U.S.A.
  125. Bob Zybach, PhD (Environmental Sciences, Oregon State University), climate-related carbon sequestration research, MAIS, B.S., Director, Environmental Sciences Institute Peer review Institute, Cottage Grove, Oregon, U.S.A.
  126. Milap Chand Sharma, PhD, Associate Professor of Glacial Geomorphology, Centre fort the Study of Regional Development, Jawaharlal Nehru University, New Delhi, India
  127. Valentin A. Dergachev, PhD, Professor and Head of the Cosmic Ray Laboratory at Ioffe Physical-Technical Institute of Russian Academy of Sciences, St. Petersburg, Russia
  128. Vijay Kumar Raina, Ex-Deputy Director General, Geological Survey of India, Ex-Chairman Project Advisory and Monitoring Committee on Himalayan glacier, DST, Govt. of India and currently Member Expert Committee on Climate Change Programme, Dept. of Science & Technology, Govt. of India, author of 2010 MoEF Discussion Paper, “Himalayan Glaciers – State-of-Art Review of Glacial Studies, Glacial Retreat and Climate Change”, the first comprehensive study on the region.  Winner of the Indian Antarctica Award, Chandigarh, India

Scott Chesner, B.S. (Meteorology, Penn State University), KETK Chief Meteorologist, KETK TV, previously Meteorologist with Accu Weather, Tyler, Texas, U.S.A

L’escroquerie du réchauffement climatique anthropique… Quand les intérêts des uns l’emportent sur la science…

Posted in actualité, écologie & climat, réchauffement climatique anthropique with tags , , , on 16 février 2011 by Résistance 71
La Terre se réchauffe.

par Ghislain DUCHENE

Le climat change. Quelque soit l’échelle de temps sélectionnée, le climat n’est jamais stable. Depuis la formation de la Terre, celui-ci n’a cessé de varier. Il a déjà fait sensiblement plus chaud, il a déjà fait sensiblement plus froid. Qu’en est-il du climat connu par l’homme ? Homo Habilis, un de nos ancêtres parcourait déjà le monde il y a plus de 2 millions d’années. Il a connu des températures équivalentes ou supérieures aux température actuelles. Il a également connu des périodes de glaciations d’un froid intense. En 1990 Le GIEC publie les 3 graphes ci dessous qui nous permettent d’avoir un peu de recul pour évaluer les températures mondiales.

Ce graphique illustre les changements de température du dernier million d’années. En abscisse les années avant le présent (avant 1950). En ordonnée la différence de température par rapport à la moyenne. La droite en pointillé représente les conditions du début du 20e siècle.Que nous dit le GIEC ? Que les températures étaient alors la plupart du temps plus froides qu’actuellement. La période du Pléistocène, illustrée sur le graphique, a vu de grands changements du niveau de la mer et des masses glaciaires. Alternance de glaciations et de périodes de dégel. Les écarts de températures ont pu atteindre 10 à 15°C. Depuis le dernier épisode glaciaire il y a environ 10.000ans, ce phénomène s’est atténué et les phénomènes climatiques sont devenus moins extrêmes.

Que nous dit le GIEC pour les 10.000 dernières années ? Que la variation de température est plus réduite mais que des écarts notables se produisent. Le petit âge glaciaire est un phénomène global qui à fait baisser significativement la température de notre Terre. Il a débuté il y a environ 450 ans et à pris fin il y a +/-150 ans. Malgré la faible différence des écarts de température, les changements aux niveaux des glaciers sont conséquents.

« Although not a period of continuously cold climate, the Little Ice Age was probably the coolest and most globally extensive cool period since the Younger Dryas » p202 IPCC WGI full report

Il y a 150 ans se terminait donc une époque particulièrement froide ayant mené à une grande progression de presque tous les glaciers. C’est le Petit Age Glaciaire. Période la plus froide des 10.000 dernières années.

Que dit le GIEC sur l’effet de serre ?

Le 1e rapport du GIEC stipule à plusieurs reprises que le réchauffement de la Terre est constaté mais que la théorie de l’effet de serre n’est pas prouvée.

« Il a été noté que le réchauffement constaté est compatible avec l’hypothèse de l’augmentation de l’effet de serre mais nous ne pouvons affirmer avoir détecté l’effet de serre sur cette base uniquement »

Le chapitre 8.1 est spécifiquement centré sur cette question.

« A-t-on détecté l’effet de serre ? Avons-nous détectés des changements climatiques qui peuvent , avec une grande confiance statistique, être attribués à l’augmentation de l’effet de serre associé à l’augmentation mesurée de la concentration des gaz ? »

Non ! En 1990, la question a déjà été étudiée (N R C 1983, MacCracken and Luther, 1985 Bolin et al 1986) mais une augmentation de l’effet de serre n’a pas été détectée ! (1)

Quelles sont les incertitudes liées au climat ?

En 1990 la communauté scientifique tient à préciser dans son rapport la compréhension incomplète de la Science sur

  • les sources et puits de gaz à effet de serre
  • les nuages, qui influencent fortement l’amplitude des changements climatiques
  • les océans
  • les calottes polaires

Ces différents points sont donc partiellement compris, Le GIEC précise bien que la complexité du système climatique est telle que l’on doit s’attendre à des surprises.

Le GIEC fait aussi quelques remarques lourdes de sens.

« L’envergure du réchauffement est largement en accord avec les modèles climatiques, mais elle est également de la même amplitude que les variations climatiques naturelles. L’augmentation observée peut donc être largement due à cette variabilité naturelle (…) »

« La détection non-équivoque de l’augmentation de l’effet de serre à partir d’observations, ne se fera probablement pas avant une décennie ou plus »

« Il n’y a aucune preuve solide que la variabilité du climat a augmenté au cours des dernières décennies. »

Afin de faire avancer la Science et notre compréhension du climat, le GIEC avance des recommandations dont entre autre

  • mieux comprendre les divers processus liées au climat, en particulier ceux associés aux nuages, les océans et le cycle du carbone
  • améliorer l’observation systématique des variables climatiques à l’échelle mondiale et enquêter plus en profondeur sur les changements qui ont eu lieu dans le passé.
  • faciliter l’échange international de données climatologiques

Tout cela c’était en 1990. L’atmosphère était bonne et le rapport reflétait les points de vue de chacun. L’augmentation de l’effet de serre n’était pas prouvée et la recherche scientifique devait continuer son travail.

Dès le 2e rapport du GIEC en 1995, les choses ont dérapé. Des climatologues avec pour chef de file Richard Lindzen du MIT, commencent à critiquer le GIEC avec fracas et lui reprochent entre autre d’abandonner la science pour la politique ou la religion. Lindzen claquera définitivement la porte du GIEC en 2001.

La haute finance s’emparera du volet climatique en 1997 avec le protocole de Kyoto. (2,3)

Qu’en est-il des température actuelles ?

Ce graphe (4) a été publié par Phil Jones, auteur des graphes montrés ici précédemment. Les écarts de température sont donnés par rapport à la moyenne de 1961-90. Ceci est différent des précédents graphes.

Phil Jones nous indique que les température de 2010 sont identiques aux moyennes de 2003 et que l’année 2010 fût plus fraîche que 2005 et 1998 qui garde le record absolu de température mesurée. 2008 est l’année la plus froide de la dernière décennie.

Les températures durant l’optimum médiéval sont comparables avec celles connues actuellement.

Qu’en dit la presse ?

D’une manière générale la presse francophone a plutôt contredit la version des températures actuelles tel que calculée, mesurée et publiée par Phil Jones. Le Nouvel Observateur va jusqu’à contredire les climatologues et les historiens pour affirmer « 2010, année la plus chaude de l’histoire »

Le Nouvel ObsL’agence Reuters relayée par YahooLe MondeLe FigaroLibération (5)

Pourquoi une hausse des températures est-elle importante ?

Beaucoup de temps, d’énergie et de capital ont été investis dans la théorie de l’effet de serre que nous connaissons tous. Le modèle simplificateur du climat qui veut que la température se règle automatiquement sur plus chaud s’il y a plus de gaz à effet de serre d’origine humaine connait quelques petits soucis au niveau des observations.

Depuis 13 ans maintenant les température mondiales restent à leur sommet historique des 150 dernières années mais ne croissent pas contrairement à nos émissions de carbone et autres gaz à effet de serre.

Beaucoup de gens ont tout investi dans l’effet de serre : capital, capital politique, capital médiatique (crédibilité), capital scientifique.

Les enjeux sont très lourds et certains ont beaucoup à perdre.

Certains écologistes militants n’ont jamais ou que très peu misé sur le climat. Je pense particulièrement à Domique Guillet de Kokopelli qui livre une lutte verte acharnée depuis très longtemps.

La Terre se réchauffe depuis 150 ans. Ce réchauffement peut être vu comme naturel.

Le réchauffement climatique n’est peut-être pas le fait de l’homme. Il y a bien des maux dans nos sociétés et dans nos environnements qui sont directement imputables à l’homme, au capital et à notre société de surconsommation.

Face au défi politique et écologique qui nous attend, c’est le système qu’il faut changer pas le climat !

Ghislain Duchêne

Notes(1) 8.1.1 The Issue. This chapter addresses the question Have we detected the greenhouse effect’ , or, stated more correctly, have we detected changes in climate that can, with high statistical confidence, be attributed to the enhanced greenhouse effect associated with increasing trace gas concentrations ? It is important to answer this question, because detecting the enhanced greenhouse effect will provide direct validation of models of the global climate system Until we can identify aspects of greenhouse gas induced changes in the observed climate record with high confidence, there will always be doubts about model validity and hence about even the most general predictions of future climatic change Even when detection has occurred uncertainties regarding the magnitude and spatial details of futuie changes will still remain Previous reviews of the greenhouse problem have also addressed the detection issue They have concluded that the enhanced greenhouse effect has not yet been detected unequivocally in the observational record ippc WG1 1990 p267 

(2) Il n’y a pas de consensus scientifique à l’ONU

(3) 1997-2010 : L’écologie financière

(4) http://www.cru.uea.ac.uk/cru/info/warming/gtc.pdf

(5) http://www.pensee-unique.fr/bonnetdane.html#2010

Source générale pour l’article et les citations http://www.ipcc.ch/ipccreports/far/…

http://www.legrandsoir.info/La-Terre-se-rechauffe.html