
Injections ARNm / COVID19 = arme nano-bio-technologique
Il est temps aussi qu’experts et avocats en France et ailleurs, se penchent sur la question légales des armes biologiques. Ce que fait Karen Kingston depuis 2021 aux Etats-Unis peut-être fait partout ailleurs en épluchant les lois. Pfizer ne possède AUCUNE IMMUNITE LEGALE, car les injections à ARNm / COVID-19 ne SONT PAS DES VACCINS, mais correspondent à la définition internationale et sans aucun doute nationalement spécifique, d’arme biologique. Aucune loi dans le monde protège quiconque ou quelque entité qui déploie et utilise une arme biologique contre des populations. Nous somme en présence depuis 2019 d’une attaque à l’arme nano-bio-technologique sur l’humanité et il est temps de le reconnaître et d’appeler un crime un crime…
~ Résistance 71 ~
Faut qu’on discute d’un truc…
Karen Kingston
21 avril 2023
Url de l’article original:
https://karenkingston.substack.com/p/can-we-talk
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
NdT : nombreux hyperliens sur les sources dans l’article original
La plupart des Américains savent maintenant que Pfizer n’a jamais fait d’essai clinique contrôlé par un groupe placebo pour une durée de deux ans parce que Pfizer a retiré les caches et injecté le “groupe placebo” avec sa substance moins de 6 mois dans le déroulement de l’essai clinique. (NdT : c’est à dire que moins de 6 mois après le début de leur essai, il n’y avait plus de groupe placebo de référence pour comparer, ce qui fausse totalement et invalide l’essai clinique…). La plupart des Américains savent aussi que Pfizer a admis que leurs injections à ARNm ne préviennent pas de l’infection ni de la transmission. Et malgré les affirmations du CDC et des médias que les injections ARNm de Pfizer préviennent de l’hospitalisation et de la mort, la plupart des gens savent aussi que les preuves de terrain et les données que Pfizer a enregistrées avec la FDA, racontent une toute autre histoire.
Bien que les “anomalies vaccinales” citées ci-dessus en regard des injections Pfizer à l’ARNm / COVID-19 soient raisonnablement connues, beaucoup d’entre nous ne savent toujours pas comment expliquer à nos familles et nos amis les effets nuisibles de ces injections à ARNm. Nous voulons tous envoyer un message à des membres de nos familles, nos amis ou aller discuter avec un voisin et leur dire “Peut-on discuter d’un truc ?” Nous voulons avoir cette conversation difficile leur expliquant que nous voulons partager les faits et preuves en regards des effets nuisibles et dangereux de ces injections anti-COVID, parce que nous les aimons. Et pourtant, nous n’allons jamais sonner à la porte du voisin ni n’envoyons ce message à nos proches.
Cet article pourrait être un moyen de partager les effets secondaires nuisibles non mentionnés des injections anti-COVID19 avec nos proches et nos voisins. Cet article stipule 7 points clefs démontrant, depuis les écrits enregistrés de Pfizer et les lois régissant les Etats-Unis, que les injections à ARNm de Pfizer sont non seulement inefficaces, mais aussi surtout dangereuses.
Point 1: Les injections Pfizer à ARNm NE PREVIENNENT PAS de l’infection et de la maladie
Tout le monde sait qu’un vaccin est supposé prévenir une infection donnée et la maladie et non pas causer cette infection et cette maladie. (NDT : n’est-ce pas aussi Bill Gates et les infections de polio provoquées par ses “vaccins” dans des pays où la polio n’existait plus par la purification de l’eau et l’hygiène…). D’après l’article 18 USC 175, le critère de définition d’une arme biologique peut aussi inclure un agent biologique (ou soi-disant “vaccin”), qui n’empêche pas l’infection ni la maladie.
D’après l’analyse post-hoc de Pfizer de septembre 2021 soumise à la FDA, Pfizer déclare que leurs injections ARNm augmentent le risque de COVID-19…
La page 23 du document de briefing de la FDA (FDA Briefing Document ) déclare : “Une analyse additionnelle semble indiquer que l’incidence de COVID-19 ait généralement augmenté dans chaque groupe des participants à l’étude, ce avec augmentation après la seconde dose.”
Pfizer a conclu que le risque d’infection à la COVID-19 et de développer la maladie augmente au fil du temps avec les sujets de l’étude ayant reçu deux doses de leur injection à ARNm.
Les Américains et les citoyens du monde avaient été promis que les injections anti-COVID19 à ARNm réduiraient le risque d’infection et de maladie COVID-19, pourtant, Pfizer a enregistré avec la FDA des données disant le contraire de ce qui était promis. Le risque ‘infection à la COVID-19 augmente avec la “vaccination”. Ceci n’est clairement PAS un vaccin.
Une étude récente sur plus de 51 000 personnels de santé de la ville de Cleveland a confirmé que le risque de développer la maladie COVID-19 augmente dans le temps après la seconde injection en comparaison des ceux qui n’ont pas été injectés.
ET qu’avec chaque injection additionnelle (rappel / booster), le risque de développer la COVID-19 augmente en comparaison des non injectés.
Point 2: Les injections à ARNm de Pfizer augmentent le risque de contracter la maladie plus gravement et d’être hospitalisé
D’après la page 41 du rapport soumis de Pfizer Phase 3 data, Pfizer a rapporté que dans les 7 jours après avoir reçu la 1ère ou 2ème injection ARNm, “409 sujets du groupe des injectés ont été suspectés ou confirmés avoir la COVID-19, ce qui aurait pu masquer cliniquement de sérieux effets secondaires néfastes,”
D’après les pages 56-57 de la demande initiale de Pfizer pour un nouveau médicament, une COVID-19 grave ou de sérieux effets secondaires furent définis comme défaillance respiratoire, malfonction du foie, des reins et du système neurologique, admission aux urgences et mort.
Dans la semaine après avoir reçu la 1ère ou seconde dose de l’injection Pfizer à ARNm, 409 patients ont eu un ou plusieurs des effets secondaires sus-mentionnés et Pfizer n’a pas pu dire si cela fut causé par leur injection ou un virus.
Point 3: Les injections Pfizer à ARNm causent des AVC, des problèmes et crises cardiaques, des maladies auto-immunes, des fausses-couches, des malformation de naissance, des caillots sanguins, des myocardites, péricardites, des convulsions, de violentes crises “d’épilepsie” et la mort
Le risque d’attaques cardiaques, d’AVC, de maladies auto-immunes, de caillots sanguins, de myocardites, de convulsions et autres effets secondaires et blessures dus aux injections contre la COVID-19, incluant la mort, est connu de la FDA depuis le 22 octobre 2020.
La FDA a rencontré les fabricants de l’industrie (incluant Pfizer) pour discuter de plus de deux douzaines d’effets secondaires néfastes et de maladies causés par les injections anti-COVID-19.

Point 4: Les essais cliniques phases 2/3 de Pfizer, l’autorisation et l’approbation de la FDA sont des actes d’expérimentation biologique criminelle sur des humains et NON PAS une recherche bona fide
Ces phases 2 et 3 des essais cliniques de Pfizer et les autorisation / approbation de la FDA des injections ARNm anti-COVID-19 de Pfizer sont une violation flagrante des propres lois de sécurité de la FDA d’après 21 USC 321.42b1i/b2i et 21 USC 355 ( violation of the FDA’s own safety laws 21 U.S.C 312.42b1i/b2i and 21 U.S.C 355.)
D’après la loi 21 U.S.C 312.42b1i/b2i, pendant la phase 1 des essais de 20 à 80 personnes en bonne santé, si un “vaccin” (agent biologique) place des humains à des risques signifiants et déraisonnables de maladie ou de blessure, l’expérience doit être immédiatement terminée. Ces lois sont en place pour protéger les civils américains d’être exposés à leur insu à des agents biologiques dangereux qui peuvent causer blessure, maladie, handicap et même la mort.
Point 5: Pfizer et la FDA ont placé volontairement des adultes et des enfants à des risques inutiles de blessure ou de mort causés par un agent biologique dangereux
Sur la seule base de la réunion s’étant tenue le 22 octobre 2020 lorsque l’industrie pharmaceutique et la FDA ont discuté de plus de deux douzaines d’effets secondaires débilitants et d’effets pouvant entraîner la mort post injections ARNm / COVID-19, la FDA aurait dû mettre un terme immédiat aux essais cliniques des “vaccins” ant-COVID-19 et ne jamais laisser les populations civiles adultes et enfantines avoir accès à ces dangereuses injections à ARNm.
Même sous l’Autorisation d’Utilisation d’Urgence (AUU), d’après le guide de la FDA, celle-ci doit déterminer que les bénéfices connus d’une injection utilisée en UU (un agent biologique) dépassent les risques connus avant d’autoriser le produit à être utiliser sur le sol des Etats-Unis.
D’après l’article 21 U.S.C 355, la FDA doit déterminer si les bénéfices d’un produit outrepassent le risque avant d’aller de l’avant et l’autoriser. Les données qui étaient en possession de la FDA démontraient clairement que les bénéfices de ces injections anti-COVID-19 n’outrepassaient en rien les risques encourus. Une urgence à la santé publique déclarée par les HHS pour permettre l’utilisation d’un agent biologique expérimental sur les Américains n’est pas une raison légale valide pour la FDA, le CDC, Pfizer et Moderna pour faire la promotion frauduleuse et en connaissance de cause d’un agent biologique dangereux en tant que vaccin sûr et efficace.
Point 6: La FDA et Pfizer ont soumis des enfants à des risques inutiles de maladies et de mort causées par un agent biologique dangereux
La FDA et Pfizer ne peuvent pas affirmer être ignorants en ce qui concerne avoir placé les citoyens américains à risques inutiles, spécifiquement lorsqu’on parle aussi des enfants. L’injection des enfants à l’ARNm ne fut jamais utile. Le risque pour les enfants de contracter la COVID-19 était insignifiant d’après les documents mêmes de la FDA.
Le 10 juin 2021, la FDA s’est réunie pour discuter des points finaux d’études cliniques pour les enfants. D’après leur document de résumé de cession, le comité déclare que prouver une réduction de risque d’infection à la COVID-19 chez des enfants injectés par rapport à des enfants non injectés serait impossible à faire parce que les enfants ne sont que très rarement infectés par la maladie.
Pfizer a violé les lois de sécurité en toute connaissance de cause et a placé les enfants à prendre un risque totalement inutile de blessure, de maladie voire de mort, ce par leur rapport de données de phase 3 du 20 novembre 2020. Ce rapport déclare qu’il y avait des données sur 100 enfants âgés de 12 à 15 ans qui ont fait l’expérience d’effets réactogènes aux injections ARNm (à savoir des myocardites, des convulsions sévères, des caillots sanguins et la mort). Mais le sponsor (Pfizer/BioNTech) avait requis que les données pour ces 100 enfants NE SOIENT PAS DEVOILEES, parce que le ratio bénéfice/risque n’était pas favorable.
Verbatim depuis le document de la FDA :
“Les données réactogènes d’un total de 100 adolescents de 12 à 15 ans furent fournies dans la demande d’AUU. Mais le sponsor n’a pas requis l’inclusion de ce groupe d’âge dans la demande d’AUU parce que les données disponibles… étaient insuffisantes pour soutenir une détermination favorable du ratio risque / bénéfice à ce moment précis. Ainsi donc, les donnée réactogènes des participants de 12 à 15 ans ne FURENT PAS présentées dans ce document.”
NdT : en clair, les données prouvent un risque et dangers accrus, donc c’est pas bon pour le business et le plan, on les ignore et ça va aller comme ça…
La déclaration du 20 novembre 2020 sur les risques/bénéfices en regard des injections à ARNm anti-COVID-19 pour les enfants est une flagrante violation de la loi 21 USC 355 et la preuve qu’à la fois Pfizer et la FDA ont volontairement enfreint la loi. Le résultat est que l’autorisation et l’approbation de la FDA pour les injections / “vaccins” anti-COVID-19 est à la fois outrageusement non-éthique et criminelle, tout comme la fabrication et la promotion par Pfizer et Moderna de ces injections biologiques dangereuses comme étant des vaccins sûrs et efficaces.
Point 7: Les injections anti-COVID-19 ne remplissent PAS les critères de définitions d’un vaccin
Alors, que sont ces injections à ARNm anti-COVID-19 qui :
- Ne PREVIENNENT PAS de l’infection ou de la maladie
- Ne PROTEGENT PAS contre la maladie qu’elle soit modérée ou sévère
- Ne FURENT PAS faites sous une recherche bona fide et
- Sont connues pour causer des maladies, des blessures, des handicaps et même la mort ?
Malheureusement pour Pfizer, sous l’article per 18 USC 175., les injections à ARNm anti-COVID-19 remplissent la définition exacte d’une arme biologique.
Un agent biologique pour utilisation autre que prophylactique (prévention), protectrice, de recherche bona fide ou autre but pacifique, est une arme biologique.
Les agents biologiques “anti-COVID-19” ne préviennent ni de l’infection ni de la transmission ; ils ne protègent pas contre la maladie ; les essais cliniques n’ont pas adhéré aux lois et protocoles de sécurité et d’efficacité de la FDA et du CDC, les récipiendaires des injections sous AUU n’ont pas reçu les éléments pour donner un accord dûment consenti et les injections biologiques à ARNm anti-COVID-19 sont prouvées être la cause de sérieuses maladies, blessures, handicaps et même responsables de décès chez des adultes et des enfants auparavant en bonne santé.

ATTENTION ! ARME BIOLOGIQUE
Les injections ARNm COVID-19 sont des armes biologiques qui ont été criminellement promues, distribuées et administrées à la population civile américaine (NdT ; et du monde !…), sous le couvert de “vaccins” sûrs et efficaces.
Dénoncez ce crime et partagez les preuves autour de vous !
Alors que toujours plus d’experts et de leaders de gouvernements s’avancent pour dénoncer ces injections biologiques ARNm-COVID19 mortifères et que la recherche et l’analyse (comme ce que j’ai fait en regard de ces injections arme biologique ) gagnent toujours plus de couverture médiatique et d’attention publique, il existe une brève fenêtre d’opportunité pour que nous soyons tous du bon côté de l’histoire.
Lorsque confrontés avec les preuves que ces injections ARNm COVID-19 sont en fait des armes biologiques, je pense sincèrement que les hommes et les femmes de bonne volonté, sincères, ne vont plus continuer à jouer le jeu de cette fausse et dangereuse affirmation que ces pseudo-vaccins, véritables armes biologiques, sont des vaccins sûrs et efficaces afin d’éviter des conflits avec leurs collègues de travail, leurs amis, leur communauté et leurs familles. Je pense que les citoyens américains qui croient en leur droits et qui pensent sincèrement au bien-être d’autrui préfèreraient entrer en conflit en partageant la vérité avec nos communautés, plutôt que de se tenir cois et être les témoins silencieux des blessures et maladies infligées à leurs familles, amis, collègues et membres de leurs communautés sous cette apparence et façade de “bien-être et de sécurité pour la santé publique”.
Je pense que les lecteurs de cet article vont faire tout ce qui est en leur pouvoir pour protéger la santé et le bien-être des adultes et enfants et peuvent commencer à partager cette information.
Dans cet espoir,
Karen Kingston
Analyste en biotechnologie, conseillère médico-légale
Que faire à partir de maintenant ? Dites la vérité et demandez que justice soit faite
J’ai cette information pour mettre un terme à cette expérimentation biologique sur des humains par moyen de la technologie arme biologique ARNm depuis mai 2021 et mon analyse médico-légale de longue durée a été essentiellement balayée sous le tapis ou moquée ici dans mon pays des Etats-Unis. Parce que notre gouvernement fédéral, nos gouvernements locaux, les experts en liberté médicale, les forces de l’ordre légal et les médias alternatifs refusent (pour la plupart) de reconnaître l’évidence et la preuve requise pour saisir cette technologie à ARNm de pseudo-vaccination dans chaque communauté à travers les Etats-Unis (et au-delà) et de traîner les responsables devant les tribunaux pénaux ; une grande puissance militaire exogène aux Etats-Unis (NdT : la Russie qui a saisi des labos d’armement biologique yankees en Ukraine…) a l’intention de mettre un coup d’arrêt à l’utilisation des armes à ARNm et de traîner Pfizer et les Etats-Unis devant des tribunaux. (NdT : avec ce qu’on sait de Poutine et son acoquinent avec le système, cela reste malgré tout assez aléatoire que de croire que la Russie va agir contre le Pentagone et Pfizer, si elle ne le fait pas, nous aurons la preuve conclusive que la Russie en croque aussi au râtelier du N.O.M et de son programme de génocide planétaire, n’oublions pas que le pseudo-vaccin russe Sputnik V utilise aussi la technologie, arme biologique, à ARNm……) C’est exactement comment l’Allemagne nazie fut traitée. Notre situation n’est en rien enviable et ne doit pas être applaudie, mais nous devons être de fait endeuillés.
En août 2021, Stew Peters m’a demandé dans son émission quel conseil j’aurais à donner aux Américains pour arranger cette situation. Aujourd’hui, je conseille la même chose que ce que j’ai dit il y a près de deux ans et je suis vraiment désolée… vous avez été totalement trahis.
“Regardez les faits. Regardez les preuves. Et comprenez bien que lorsque quelqu’un a une intention malfaisante toute empreinte de sociopathie, cette ou ces personnes ne vous dit pas qu’elle va vous faire du mal et vous violer. Ces gens vous disent ce que vous avez besoin d’entendre afin qu’ils puissent accomplir leurs objectifs en toute quiétude…”
– Karen Kingston, août 2021, Stew Peters Show
On peut me joindre sur cette adresse courriel : patriots@mifight.com
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Lire notre page mise à jour depuis 2019 : « Coronavirus, guerre contre l’humanité »
« SRAS-CoV-2 / COVID-19, l’attaque nano-bio-technologique contre l’humanité depuis 2019 », Karan Kingston, PDF

et FDA. CDC, NIAID, NIH, DARPA, Pentagone : TOUS COUPABLES !
