Archive pour juin, 2023

COVID-19 et injections ARNm, attaque nano-bio-technologique contre l’humanité depuis 2019… Cet éléphant installé dans le salon et que bien peu veulent voir (Karen Kingston & Résistance 71)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, média et propagande, pédagogie libération, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 29 juin 2023 by Résistance 71

nanobot

Aujourd’hui, avec les informations sorties et disponibles, il n’est plus possible de se méprendre pour qui veut y voir clair. Toute cette affaire SRAS-CoV-2 / COVID-19 s’avère être une attaque nano-bio-technologique sur l’humanité depuis 2019. Le but est la fusion du biologique humain avec la technologie numérique. Tout ceci n’est plus du domaine de la science-fiction, nous sommes en plein dedans depuis quelques décennies déjà, mais récemment, avec les milliards de dollars d’investissement des suspects habituels, la technologie en ce domaine a fait un grand bon en avant, pour le pire.
Ainsi donc, rechercher encore d’où sort le “virus”, qui est le “patient zéro”, quid du labo P4 de Wuhan ? y a t’il eu accouplement entre une chauve-souris contaminée et un pangolin dont la progéniture aurait lâché une fiante dans une soupe du marché de Wuhan ou que savons-nous encore dans cette veine de l’intox psyop officielle, c’est totalement faire fausse route, intentionnellement ou pas est une autre histoire.
L’évidence criante est là devant nous, écrite noir sur blanc dans d’innombrables documents depuis plus de deux décennies : la technologie ARNm est une nanotechnologie et cette technologie est duelle dont un de ses aspects ne peut en aucun cas être ignoré : c’est une arme nano-biologique de destruction massive et un ustensile électromagnétique et est dûment répertoriée comme telle du Pentagone aux officines de régulation et de Big Pharma, ce, depuis des années (voir nos traductions sur le sujet).
Toute cette affaire COVID19 est une ATTAQUE NANO-BIO-TECHNOLOGIQUE SUR L’HUMANITE depuis plus de trois ans maintenant… Le nier aujourd’hui, à quelque niveau que ce soit, c’est en être complice, volontairement ou à l’insu de son plein gré. Les dégâts collatéraux des injections ARNm, arme biologique, ont bien réels, des millions de personnes en sont et en seront affectées. Elle est là la véritable “plandémie” déclenchée par cette attaque nano-bio-technologioque.
Agissons donc en conséquence sachant une fois pour toute qu’il n’y a pas de solution au sein du système et ne saurait y en avoir ! Encore moins de “messie” et d’homme / femme politique “providentiel”, pas de deus ex machina. Il n’y a que nous face à cette réalité. Qu’allons-nous en faire ? Plus rien d’autre n’a vraiment d’importance devant l’ampleur inégalée de cette atrocité toujours en cours.
~ Résistance 71 ~

« Jusqu’à ce que le peuple américain frappe sur la table et dise assez, arrêtez ça, ils continueront de nous pousser jusqu’à ce qu’ils effacent l’Amérique. Et ils s’en prennent aux enfants, ce qui brise tant le cœur. Il n’y aura plus de postérité. Il n’y aura plus d’Amérique. Si les femmes en âge de procréer deviennent stériles et que les enfants sont au plus hauts risques de souffrir des effets sérieux voire la mort de ces injections. Regardez simplement l’explosion du chiffre des myocardites et maladies cardiaques… » – Karen Kingston, Stew Peters Show, July 2021

Norma L. Rangel.

Nanotech arme de destruction massive

Il est plus que temps de faire sauter le couvercle de protection du système de “santé” mondial

Nier que Pfizer est civilement et criminellement responsable ou que la nanotechnologie n’est pas dans les injections ARNm COVID-19 sont de faux narratifs manipulateurs !..

Karen Kingston

25 juin 2023

Url de l’article original:

https://karenkingston.substack.com/p/its-time-to-blow-the-lid-off-the

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

En 2020, l’ex-industrie secrète aux milliers de milliards de dollars de la nanotechnologie et de la biologie synthétique a éclaté autour du globe avec l’introduction des injections à ARNm anti-COVID19. L’industrie nanotechnologique est une industrie non régulée qui a un double emploi avec ses applications pour le consommateur mais aussi avec les armes de grade militaire, qui ont causé des malfonctions allant du plus léger au plus grave, à la stérilité, aux maladies cardio-vasculaires, cancers et la mort, ce depuis des décennies.

Les injections anti-COVID19 sont des injections à nanoparticules fabriquées modARN qui sont classifiées en tant qu’ustensiles électromagnétiques. Vous ne me croyez pas ? Lisez simplement le contrat passé entre Pfizer et le ministère de la défense américain, DoD (Pfizer DoD contract) et le guide de la FDA qui indiquent clairement et définissent les nanoparticules à ARNm comme des outils électromagnétiques. Ou lisez les articles du Dr. Ana Mihalcea’s SubStack où vous pourrez voir par vous même la nanotechnologie dans le sang des gens injectés tout comme chez les non-injectés.

Le mensonge au sujet de l’utilisation de la nanotechnologie a rendu le mouvement pour la liberté médicale sans voix dans ses efforts de trainer Pfizer et autres criminels impliqués devant les tribunaux…

Il y a des leaders de ce mouvement qui affirment que discuter de la nanotechnologie affaiblirait les efforts de retirer les injections du marché quand en fait, c’est exactement le contraire qui est vrai. L’industrie de la nanotechnologie n’est quasiment pas régulée aux Etats-Unis. Essentiellement, la FDA, l’agence supposée protéger les consommateurs et l’EPA disent : “Nous allons laisser les fabricants se réguler eux-mêmes…” (NdT : cela reviendrait à avoir laissé le Dr Mengele et consorts réguler la médecine, depuis près d’un siècle… au bout du compte, nous y sommes.)

Une industrie virtuellement non-régulée veut dire qu’il n’y a aucune loi ou agences gouvernementales protégeant Pfizer et tout autre fabricant de leur responsabilité civile et/ou pénale pour permettre l’injection d’adultes et d’enfants avec des nanoparticules ARNm fabriquées synthétiquement et qui sont connues et documentées pour être des pathogènes toxiques et des ustensiles électro-magnétiques.

En d’autres termes, la Childhood Vaccine Protection ne protège pas Pfizer d’avoir injecté des enfants avec des nanoparticules électro-magnétiques et prétendre que Pfizer est protégé de sa responsabilité légale par l’armée américaine est une histoire complètement fabriquée de toutes pièces.

Quand les leaders du Mouvement pour la Liberté et des civils dans le monde reconnaîtront que des milliards d’adultes et enfants innocents ont été injectés et empoisonnées avec des nanoparticules fabriquées, ce que sont les “nanotechnologies vaccinales” qui ont un double usage en tant qu’armes biologiques, je pense que quiconque sain de corps et d’esprit fera tout ce qui est en son pouvoir pour faire retirer ces injections à ARNm anti-COVID19 des communautés autour du monde.

DARPA_vaccin_armebiologique
Pentagone et nanotechnologie…

Nous devons demander avec fermeté la mise en accusation immédiate de Pfizer en commençant par la saisie des biens et avoirs de l’entreprise.

Je vous demande de partager cet entretien que j’ai eu avec Stew Peters (share this interview with Stew Peters) et cet article gratuit avec toutes les connexions d’influence que vous pourriez avoir ; de fonctionnaires aux médias en passant par vos paroisses et experts du Mouvement pour la Liberté…

Publié initialement le 21 juin 2023 : Quand un individu (ou groupe d’individus) étant enclin à s’engager dans des actions de manipulation, de tromperie, de mensonge et de malveillance est pris dans le fait de transgresser, leurs réponses typiques incluent des choses comme : nier que la transgression ait jamais eu lieu ou nier qu’ils connaissent leur co-conspirateurs ou même dire que les témoins de leurs crimes ne “sont pas crédibles” et sont “émotionnellement instables” ; mais iraient-ils aussi loin que de nier l’existence même des armes qu’ils ont utilisées ?…

Je veux dire… A quel point serait-il brillant par un groupe d’une élite globale tyrannique de pouvoir attaquer la population humaine mondiale avec des technologies à nanoparticules qui sont définies comme armes de destruction massive par notre propre gouvernement des Etats-Unis (by our own US government; ) pour ensuite nier que ces technologies à nanoparticules existent parce que… les élites globales contrôlent les leaders des citoyens du monde qui essaient d’arrêter leur plan d’extermination massive.

Ne les laissez plus se moquer de nous plus longtemps…

Les leaders du Mouvement pour la Liberté de la Santé ignorent l’existence des nanotechnologies dans les injections à ARNm anti-COVID19 alors même qu’il y a des centaines de documents de l’industrie (hundreds of industry documents ) qui stipulent que les injections à ARNm anti-COVID19 contiennent des nanotechnologies qui sont faites dans le but de fusionner les humains biologiques avec les technologies numériques.

Si nous regardons l’utilisation des nanotechnologies secrètes de manière objective (sans agir comme troll ou en insultant), l’industrie de la nanotechnologie est une industrie valant plusieurs milliers de milliards de dollars qui est en plein boum dans le secteur de la biologie synthétique, spécifiquement avec le largage dans la nature de “virus” nanoparticules à ARNm / COVID-19 complètement fabriqués, des protéines spike et des injections.

La nanotech a eu un autre tremplin avec l’aubaine neurotech / armes neurologiques avec la couverture médiatique récente de Neuralink (Neuralace).

Neuralink and mRNA Technologies are Weapons of Mass Destruction Neuralink et les technologies à ARNm sont des armes de destruction massive

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Applications militaires de la nanotechnologie…

James Giordano, conseiller de la communauté militaire et du renseignement américains, a écrit que les technologies neurostim et neurotechnologiques à nanoparticules (comme Neuralink / Neuralace), “ne devrait pas être considérée (thérapeutiquement) à cause de leurs effets destructeurs massifs.

Vraiment James ? “Des technologies à nanoparticules ne devraient pas être considérées à cause de leurs effets destructeurs massifs”, car dans cette vidéo datant de 2018  (in this 2018 video,) Giordano informe les élèves de l’école militaire de West Point que :

“Le cerveau est et sera le champ de bataille du XXIème siècle en bien des points. Point final. Vous rencontrerez une forme quelconque de science neuro-cognitive qui a été transformée en arme, non seulement dans vos carrières militaires, mais aussi dans vos vies personnelles et professionnelles.”

Si vous visitez son site internet (James Giordano’s website,) il y a plus de deux douzaines de publications et présentations expliquant comment les technologies d’armes neurologiques et les nanoparticules armes de destruction massive (ADM), peuvent être utilisés sur des civils en créant des partenariats avec le secteur privé et en créant des marchés et des demandes pour l’utilisation des technologies à nanoparticules sur les humains ou toutes autres formes de vies biologiques.

transhumanisme2

La nanotechnologie a pour but “l’évolution dirigée” de l’humain (c’est à dire… le Transhumanisme)

Le Dr Robert Malone, l’inventeur auto-proclamé de la technologie des nanoparticules à ARNm a même publiquement déclaré que les technologies à ARNm sont “une suite de technologies qui sont le point d’entrée vers le trans humanisme .” Celui-ci est l’évolution forcée de l’espèce humaine utilisant des nanoparticules à ARNm fabriquées synthétiquement pour mettre en place des changements génétiques non humains et des changements bio-numériques de l’ADN des êtres humains. La fin de partie du trans humanisme est l’extermination de l’espèce humaine. Il est la définition incarnée de la guerre biologique.

Le Dr Malone a fait allusion au fait que les protéines SRAS-CoV-2 ModARN trouvées dans les injections COVID19 sont des armes neurologiques à ARNm fabriquées, qui traversent la barrière hémato-cérébrale causant une inflammation du cerveau.

Elon Musk fabrique ouvertement des micro-usines å ARNm, des nano-piles et des armes neurologiques nanotech avec des fonds en provenance du FEM/Davos et de la Fondation Bill & Melinda Gates.

Malgré toutes ces preuves devant nos yeux, la discussion sur la nanotechnologie est hors de question sur la plupart des plateformes ainsi qu’avec les leaders du Mouvement pour la Liberté Médicale, à l’exception de quelques très rares plateformes médiatiques comme par exemple le réseau alternatif de Stew Peters.

L’industrie soi-disant émanant de “théories conspirationnistes” pesant mille milliard de dollars et qui va détruire la planète

Les nanotechnologies ne sont pas seulement utilisées en électronique et pour les objets “intelligents”, mais elles sont aussi utilisés dans les produits biologiques, médicaux, la nourriture, les suppléments alimentaires, les produits cosmétiques, la purification de l’eau, l’agriculture et les produits à base de tabac.

Les experts de l’industrie sont bien conscients que l’utilisation de nanoparticules synthétiques est partout, endommageant toute vie biologique et notre planète à un rythme accéléré.

Dès le début des années 2000, des dizaines de milliers d’applications nouvelles pour la nanotechnologie furent développées pour leur utilisation dans l’électronique et les objets connectés, les agents préservateurs dans les boissons et la nourriture, dans les engrais et l’hygiène de l’eau courante ainsi que pour la création de “virus” synthétiques (comme les coronavirus) et de bactéries.

Du début des années 2000 à aujourd’hui, des centaines de milliers d’articles peer-reviewed ont été publiés et des discussions dans des symposiums globaux pour discuter des risques pour l’environnement, la sécurité et la santé des nanoparticules synthétiques. (Quelques exemples ici : https://www.sciencedirect.com/topics/engineering/engineered-nanoparticles)

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En 2007, l’European Chemicals Agency (ECHA) a mis sous forme de loi REACH (Registration, Authorization, and Restriction of Chemicals) et a mis en place la première série de guide de sécurité en 2010 en regard de la quantité, du type de matériau et de la sécurité pour la fabrication de matériels nanotech.

L’Environmental Protection Agency (EPA) aux Etats-Unis, a écrit un brouillon (ne faisant pas office de loi) de guide en 2017 qui vaut moins que le bout de papier sur lequel il est écrit. Mais l’année suivante, le NIOSH a émis un plan de sécurité de 7 ans pour protéger les travailleurs qui fabriquent les nanotechnologies.

Comprenez-vous bien tout ceci… En 2018, l’institut National Institute for Safety and Health (NIOSH)  a publié un guide pour les travailleurs qui peuvent être exposés aux nanoparticules fabriquées par inhalation, contact avec la peau et en décembre 2020, Pfizer et l’industrie Biotech ont commencé à injecter des milliards de personnes dans le monde avec des nanoparticules synthétiques, directement dans leurs corps, dans leur système circulatoire…

En 2014, La FDA a publié sa Guidance for the Nanotechnology Industry disant essentiellement que c’était aux leaders de l’industrie de réguler la sécurité en ce qui concerne l’utilisation des nanotechnologies dans les produits médicaux, la nourriture, les suppléments alimentaires, les cosmétiques et le tabac.

Les tyrans de l’industrie nanotechnologique proclame haut et fort “Il n’y a pas d’industrie nanotechnologique !!…”

Sans surprise, d’après une étude des leaders de l’industrie de 2009 (alias les tyrans nanotechnologiques), lorsqu’on leur demanda de participer à une étude sur leur industrie, la première réponse de ces leaders fut de “nier l’existence même d’une telle industrie nanotechnologique”

Quand questionnés sur l’éducation des consommateurs, les tyrans ont répondu de manière consensuelle que l’éducation des consommateurs au sujet de l’utilisation des nanotechnologies n’était “pas nécessaire” et serait “très mauvaise pour les affaires”.

C’est “mauvais pour les affaires” d’éduquer le consommateur sur les nanotechnologies ? Voyons voir…Pensez-vous que si les consommateurs savaient qu’inhaler, ingérer ou être directement injectés avec des nanoparticules synthétiques avaient des effets toxiques sur leurs poumons, reins, foies, cœurs, cerveaux et organes reproducteurs (incluant les hormones et la libido), ils auraient dit “non merci” ? Ou auraient même organisé un mouvement pour criminaliser l’utilisation des technologies à ARNm et nanoparticules synthétiques sur les humains, animaux, plantes et même pour l’hygiène de l’eau courante ?…

D’après cette étude, lorsque questionnés sur les réglementations de sécurité, les leaders de cette industrie furent d’accord pour dire qu’il était “du meilleur intérêt pour les consommateurs que les fabricants régulent la sécurité des nanotechnologies, parce qu’en fin de compte, c’est l’industrie qui sera responsable de la sécurité et non pas la FDA ou les entités régulatrices.” Un sujet ajouta même que les entreprises ne peuvent pas utiliser les décisions de régulation comme défense devant un tribunal et qu’elles sont donc les seules légalement responsables pour la sécurité.” Pouvons-nous maintenant être tous d’accord qu’on peut traîner Pfizer devant la justice maintenant ?…

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bidouillage criminel

La nanotechnologie est toxique au niveau génétique

La nanotechnologie n’est pas nano-fantastique. C’est nanotoxique. Elle détruit l’espèce humaine au niveau mitochondrial, c’est à dire cellulaire, destruction de l’ADN.

La nanotechnologie a infiltré tous les aspects de nos vies. On nous a dit que tout ça est “dans notre imagination” et que même cela n’existe pas, ou que c’est “parfaitement sûr” (NdT : “sûr et efficace” comme les merdes ARNm COVID injectées, dans le monde moderne, un mensonge répétée des milliers de fois devient vérité…)

La nanotechnologie est peut-être invisible à l’œil nu, mais elle est bien réelle. Les technologies à nanoparticules furent développées comme arme de destruction massive et sont maintenant utilisées pour nous rendre malades et nous tuer, nous et nos enfants au travers de la transformation de nos médicaments, de nos suppléments, nourriture, eau et au moyen du plus efficace des systèmes de livraison de l’arme : les “vaccins”…

La seule raison pour laquelle la nanotechnologie est devenue cette industrie globale pesant des milliers de milliards de dollars qui lentement est en train de détruire et de stériliser l’humanité, est parce qu’elle a été maintenue dans le secret des citoyens du monde. Pourquoi tant des leaders de ce mouvement pour la liberté médicale sont en accord avec le déni de l’existence même de ces technologies, spécifiquement de l’utilisation de nanoparticules synthétiques dans les injections ARNm COVID19 ? Leur a t’on dit que s’ils en venaient à parler des nanotechnologies dans les entretiens qu’ils accordent aux différentes plateformes, ils seraient mis au ban des médias et seraient virés du mouvement ? (Comme on me l’a dit personnellement…) 

(NdT : aussi, cette “affaire COVID” a généré une nouvelle caste de mandarins de la “dissidence” médicale qui surfent une certaine vague de succès bien juteuse pour certains… la soupe est bonne, dans une certaine dissidence contrôlée, PSYOP… sacré panier de crabes aussi que cette nouvelle branche de la “dissidence”. Malone serait le tsar médical de RFK Jr s’il était élu, on risque pas de parler de nanotech avec RFK Jr… celui-ci refuse de franchir une certaine ligne et fait donc partie de l’opposition contrôlée aussi désolant cela soit-il, c’est un fait maintenant avéré…)

Mettre les projecteurs sur ce monde de l’ombre est la seule façon d’en sortir

La nanotechnologie est le seul sujet qui doit impérativement demeuré secret afin de forcer la dystopie bio-numérique sur l’humanité et pour que nos ennemis, ennemis de l’humanité, gagnent.

Si les scientifiques, les médecins, et les avocats (NdT : allusion non masquée ici à RFK Jr…) continuent de chercher des origines biologiques de laboratoires pour expliquer cet assaut global à la nanotechnologie sur l’espèce humaine, l’humanité sera balayée…

Les “vaccins” injections à ARNm et les “coronavirus” sont des nanoparticules synthétiques avancées. (mRNA ‘vaccines’ and ‘coronaviruses’ are advanced engineered nanoparticles. ) Ce sont des nanotechnologies qui s’auto-assemblent et qui se développent de la taille nanométrique à la taille macro à l’échelle de structures synthétiques visibles dans le corps humains, aussi connues sous le vocable de “caillots fibreux blancs qui ne se dissolvent pas”. Voir le documentaire “Died Suddenly” / “Mort subitement”.

Devons-nous nier l’existence de ces nanoparticules ARNm synthétiques parce que nous avons des experts médicaux, légaux, et en ARNm qui ne peuvent pas être questionnés ou ne peuvent débattre parce lorsqu’ils disent “Il n’y a pas de nanotechnologie”, cela veut en fait dire “Il ne doit pas y avoir de nanotechnologie !” ?…

Malgré ce que d’autres experts ont trouvé dans les fioles des injections COVID-19 et le sang des personnes injectées, malgré la documentation de centaines de brevets / patentes, de milliers et de milliers d’articles peer-reviewed dans des journaux, magazines scientifiques, sur les sites internet des géants de Big Pharma, les archives de la FDA et l’existence d’une industrie nanotechnologique de plus de 3000 milliards de dollars qui existe ici et maintenant et qui est utilisée dans notre nourriture, nos cosmétiques, nos suppléments, les systèmes de distribution d’eau, leur filtrage, les médicaments et les “vaccins”, ceci incluant des milliards de dollars de revenus dans la fabrication de nanoparticules d’oxyde de graphène.

Quelques uns des leaders sélectionnées nous ont montrés des documents crédibles ou des échantillons de fioles de vaccins ou de sang, nous montrant les preuves de l’existence de nanotechnologie dans les injections ARNm COVID19, d’une manière que nous pouvons facilement comprendre et la possibilité de pouvoir “constater par nous-mêmes”.

La biologie synthétique, l’ARNm et l’IA dans l’évolution dirigée de l’humain, nous mènent-elles au point de notre extinction ?

Et si certains leaders du mouvement de la liberté avaient été manipulés, soudoyés, ou même soumis au chantage afin d’éviter toute discussion sur les technologies à nanoparticules synthétiques ? Sommes-nous en train, sans le savoir, de soutenir une opposition contrôlée de notre propre mission de restaurer notre pays et de rechercher la justice contre tous ceux qui ont lancé cette attaque biologique contre l’humanité ? Comment pouvez-vous dire si quelqu’un est un penseur critique indépendant ou si cette personne est contrôlée ? Facile, demandez-leur de parler de la nanotechnologie s’auto-assemblant dans les fioles des injections ARNm COVID19 et dans le sang des injectés… (NdT : idem en ce qui concerne les questions politiques, les 3 sujets juges de paix : le 11 septembre, le réchauffement climatique anthropique et… “Israël”, on sait par exemple où se situent RFK Jr sur les points 2 et 3 donc => opposition contrôlée…)

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Unissons-nous !!…

Je suis d’accord pour dire que nous devons nous unir sous la vérité divine. Espérons que les leaders vont arrêter d’adhérer au faux narratif qu’il “n’y a pas de nanotech” par peur d’être virés comme “leaders du mouvement de la liberté” ou simplement parce qu’ils sont trop fiers pour admettre qu’ils se sont trompés ou sous-estimés quelque chose.

Personne n’est infaillible. Se tromper sur la convergence des domaines les plus avancés de la biologie et de la technologie jamais développés dans l’histoire de l’humanité est quelque chose d’attendu… si en fait.. vous êtes toujours humain.

Puisse dieu sauver l’humanité.

NdT : Seule l’humanité peut sauver l’humanité, s’en remettre à une volonté “divine” ou d’un guignol figure “politique” relève de la pure naïveté. C’est la croyance de Karen, dont acte. En ce qui nous concerne nous ne croyons qu’en notre humanité se réalisant pas à pas et qui triomphera de tous les complots pour l’éliminer en tant que telle. Ceci dit, Karen Kingston fait un boulot extraordinaire, elle est une des rares personnes que l’on pourrait qualifier “d’héroïque” depuis le début de cette affaire SRAS-CoV-2/COVID-19, elle garde le cap de la vérité contre vents et marées et amène toujours plus d’infos au grand jour par ses lectures détaillées des documents officiels, parce que le pire est que tout est là, écrit noir sur blanc au fil des ans, sur des documents que personne ne lit, sauf les intéressés et maintenant, grâce à Karen Kingston, une petite portion de la dissidence et résistance à la tyrannie trans humaniste mondiale.

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Lectures complémentaires :

“SRAS-CoV-2 / COVID19, l’attaque nano-bio-technologique sur l’humanité depuis 2019” (compilation de nos traductions des articles de Karen Kingston en format PDF)

Notre traduction en PDF du livre de JFK Jr « Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique »

Notre page mise à jour depuis 2019 : « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

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Quand assez est-il assez ?…

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Analyse critique afin de ne pas recommencer la plus grosse erreur « socialiste » du siècle dernier 1ère partie (Peter Gelderloos et Résistance 71)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, autogestion, crise mondiale, démocratie participative, gilets jaunes, guerres hégémoniques, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, philosophie, politique et social, politique française, résistance politique, société des sociétés, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , on 28 juin 2023 by Résistance 71

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Du point de vue de Résistance 71 : Remplacer une tyrannie par une autre, porte ouverte au capitalisme d’état léniniste, trotskiste, staliniste, maoïste et trahison de la révolution sociale, méthode Marx-Engels et de leurs propres mots :

Cette organisation du prolétariat en une classe et conséquemment en un parti politique est continuellement dérangée par la concurrence entre les travailleurs eux-mêmes. Mais il revient toujours, plus fort, plus ferme, plus puissant. Il force la reconnaissance législative des intérêts particuliers des travailleurs en prenant avantage des divisions au sein de la bourgeoisie même…
Les communistes ne forment pas un parti séparé des autres partis de la classe ouvrière…
Le prolétariat utilisera sa suprématie politique pour arracher par degré, tout le capital de la bourgeoisie, pour centraliser tous les outils de production dans les mains de l’État, du prolétariat organisé en classe dirigeante…
Ce qui suit sera généralement applicable : [s’ensuivent 10 points élaborés par Marx et Engels]
[…]
5- Centralisation du crédit entre les mains de l’État…
6- Centralisation des moyens de communication et de transport aux mains de l’État.
7- Extension des usines et instruments de production propriétés de l’État
[…]”
~ Karl Marx, “Manifeste du PARTI communiste”, 1848 ~

“A quoi sert l’État ?… C’est la protection de l’exploitation, de la spéculation, de la propriété privée, — produit de la spoliation. Le prolétaire, qui n’a que ses bras pour fortune, n’a rien à attendre de l’État ; il n’y trouvera qu’une organisation faite pour empêcher à tout prix son émancipation.
Tout pour le propriétaire fainéant, tout contre le prolétaire travailleur : l’instruction bourgeoise qui dès le bas âge corrompt l’enfant, en lui inculquant les préjugés anti-égalitaires ; l’Église qui trouble le cerveau de la femme ; la loi qui empêche l’échange des idées de solidarité et d’égalité ; l’argent, au besoin, pour corrompre celui qui se fait un apôtre de la solidarité des travailleurs ; la prison et la mitraille à discrétion pour fermer la bouche à ceux qui ne se laissent pas corrompre. Voilà l’État.”
~ Pierre Kropotkine, “Paroles d’un révolté”, 1885 ~

Nous avons trouvé la récente analyse, que nous avons traduite ci-dessous très intéressante et appropriée alors que l’on voit ces derniers temps, comme en chaque période de crise grave, refleurir les officines, les cultes éculés de la droite “droitarde beauf” et de la gauche “gauchiasse pseudo-révolutionnaire” dont le seul but est de garder le troupeau dans la ligne étatique et de maintenir la division entre ses membres. Il est particulièrement important  de comprendre certaines choses pour ne pas reproduire les mêmes erreurs fatales. Il n’y aura pas de révolution, celle-ci est un leurre de plus… mais il y aura une (r)évolution en dehors de tous les systèmes, hors État, hors marchandise, hors argent et hors salariat. Toute proposition politique ramenant les ouailles vers les officines d’état et un système “réformé” n’est que poudre aux yeux et merde habituelle du contrôle étatico-marchand. Ne reproduisons pas nos erreurs. Changeons-nous pour changer la société radicalement, à sa racine, ensemble, dans toute la complémentarité de notre diversité et notre humanité vraie. Comme l’analyse très bien Gelderloos : ne resssuscitons pas la pire erreur du XXème siècle !… Cet article est le premier de toute une série que nous publierons dans les semaines à venir, en provenance de nombreux auteurs sur ce sujet. Notre but n’est pas tant une critique du “marxisme”, mais de faire prendre conscience du danger du dogmatisme d’où qu’il vienne et d’inciter les gens à agir sur la base d’une pensée critique au delà de toutes les paroisses étatico-marchande en place.

Vive la Commune Universelle de notre humanité enfin réalisée!

~ Résistance 71 ~

1ère partie
2ème partie
3ème partie
4ème partie

Resistance71_slogan

Socialisme : ne ressuscitons pas la pire erreur du XXème siècle

Peter Gelderloos

Juin 2023

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Url de l’article original :

https://petergelderloos.substack.com/p/socialism-lets-not-resuscitate-the

Vers la moitié du XIXème siècle, socialisme et communisme furent largement synonymes et le plus souvent référaient au rêve d’un futur sans les institutions au service des banquiers, des propriétaires terriens et industriels, un futur sans État. Comme le marxisme a supplanté (en volume) les variations utopistes du socialisme, le terme est devenu une référence au glissement autoritaire du mouvement anticapitaliste international. Dans le courant du XXème siècle, le socialisme s’est référé à tout un système de politiques d’état, qui furent générées au cours de révolutions ou au sein d’états pré-existants capturés par les moyens électoraux au service des partis politiques socialistes.

C’est par référence à cette expérience que je dis que le socialisme fut la plus grosse erreur commise ces deux derniers siècles et si dans le cours des deux prochaines décennies nous ne survivons pas aux ravages du capitalisme, l’impasse du socialisme en portera le blâme. Pour bien en comprendre le pourquoi, revenons à l’origine de la division.

D’abord, je veux clarifier quelque chose : je n’écris pas cet argument pour tourner en rond dans les intérêts du dogmatisme. Je ne veux pas faire que quelqu’un pense comme moi. Sur un plan de contacts humains et de voisinage, je suis parfaitement à l’aise pour travailler avec des gens qui ont de terribles idées, aussi loin qu’ils n’appellent pas les flics ou fassent quelque chose qui mettrait les autres voisins en dangers. Sur une plus grande échelle, je suis heureux de travailler avec des gens qui ne sont pas anarchistes. Mais ceux qui poussent des mouvements afin de créer des partis politiques, à participer à des élections ou imaginent la révolution comme la création d’un nouvel état, mettent le reste d’entre nous en danger. Le but de cet essai est d’expliquer pourquoi.

Le résumé le plus bref du marxisme

Marx et Engels doivent être crédités d’une brillante analyse et critique du modèle économique moderne qui est aussi plus que cela, car elle est une analyse de la relation entre l’économie, l’organisation sociale et comment les gens pensent et parlent de nos circonstances. Ils ont démontré en de très forts termes comment la relation entre tous les aspects de la vie furent connectés, historiques et en évolution.

Ils donnèrent également une inspiration vitale aux mouvement anti-coloniaux les décennies suivantes parce qu’ils furent parmi les quelques premiers hommes blancs de la classe moyenne à être directement concernés par les horreurs du colonialisme, bien qu’ils exprimèrent tous deux des vues coloniales et racistes essentiellement liées à leur vision progressiste de l’histoire sous un angle de la suprématie blanche.

Ceci nous amène à leurs faiblesses primordiales qui, ironiquement, sont aussi inter-connectées à leurs relations subjectives de classe envers le mouvement des travailleurs qu’ils firent plus à détruire et à affaiblir que toutes les agences policières de la plupart des gouvernements contemporains.

Toutes leurs hypothèses au sujet de la cause et de l’ordre, d’où viennent ces oppressions, comment elles changeront, comment les changer, sont pires que nulles. Elles sont soit phrasées d’une façon pseudo-scientifique et intestable, ce qui aide à comprendre pourquoi le marxisme a maintenu une attraction croissante parmi les cultes gauchistes et pourquoi les expériences marxistes ont prouvé être des échecs dans la vie réelle (les cultes reposent et fleurissent sur la pseudo-science). Ou, leurs affirmations au sujet du futur du capitalisme et comment le changer phrasées de manière falsifiable, furent prouvées fausses ; exactement comme l’avaient prédit leurs contemporains anarchistes.

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Ces anarchistes n’avaient pas une méthode claire, reproductible et publiée, mais leurs prédictions sur l’évolution de la géopolitique européenne sur les 50 années suivantes, le résultat des états socialistes et l’importance relative et les rôles des mouvements abolitionnistes du capitalisme contre les résultats de l’évolution du capitalisme comme un moteur de l’histoire, se sont toutes avérées correctes. Parce que sans doute les anarchistes pensaient non pas depuis une méthodologie rigide, mais d’une compréhension intuitive du capitalisme et de l’État basée sur leur position subjective pleine au sein des luttes des plus basses strates de la société de la Russie à Oaxaca, des luttes qui, plutôt que d’imposer une classification morale du prolétariat favorisant le travail industriel mâle comme le parangon de la classe travailleuse, furent ouverts et enthousiastes à la solidarité et à l’apprentissage mutuel entre les paysans, les ouvriers des usines, les marins, les travailleurs du sexe, les vrais intellectuels déclassés (c’est à dire ceux qui ne gardaient pas dans leurs poches les copains industriels…), le sous-prolétariat des bidonvilles et les paysans indigènes (autochtones, ex : Chiapas, Oaxaca, Rojava etc…)

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Rien ne fut parfait dans la solidarité, mais elle fut sincère et à la fin du XIXème siècle, ce fut le catalyseur le plus efficace de la révolution globale que nous ayons eu. Marx a détruit tout ça, parce qu’en tant qu’intellectuel aliéné qui se voyait comme le leader d’un mouvement sans jamais vraiment avoir été participant (quant à sa présence de jeunesse sur les barricades, nous pouvons en avoir l’écho avec Andreas Malm), il a détruit l’Internationale par des jeux politiques mesquins en expulsant les anarchistes. […]

En fait, les anti-autoritaires finirent par être la plus grande partie de la scission comme cela devint apparent lorsque l’Internationale Anarchiste partit dans la région des artisans auto-organisés de St Imier, en Suisse. Dans le même temps, Marx et Engels, pour s’assurer du contrôle de l’Internationale et qu’elle ne fut pas prise en charge par des ouvriers et travailleurs, la transportèrent à New York où le climat était réactionnaire et où les travailleurs organisés étaient bien rares. L’Internationale y mourut d’une mort rapide, mais l’essentiel fut réalisé : épargner l’ego de Marx.

Les révolutions socialistes

Toute création étatique résultant d’une révolution par un parti socialiste ou communiste n’a résulté que dans la continuation du capitalisme. Souvent, les communistes (autoritaires d’état) eurent plus de succès que les capitalistes à implanter le capitalisme dans des pays “moins développés” comme la Russie ou la Chine (terminologie souvent cohérente d’un bureaucrate de parti ou d’un technocrate du FMI).

Eu URSS, dès le début des années 1920, le parti (communiste) abandonna ses tentatives limitées d’abolir le capitalisme. Lénine lui-même admit alors, qu’ils avaient créé une sorte de capitalisme d’état. Ils avaient aussi détruit une plus large partie du mouvement anticapitaliste. En 1918, les bolchéviques tuèrent et emprisonnèrent des centaines d’anarchistes à Moscou pour les empêcher de mettre en pratique les expropriations  et autres attaques contre la bourgeoisie locale. Afin de conserver la main mise sur le pouvoir, les bolchéviques eurent besoin en bien des occasions de s’allier avec la bourgeoisie, montrant une fois de plus qu’indépendamment de la couleur du drapeau, les calculs de l’état et de sa bureaucratie demeurent.

Alors que des membres de la classe supérieure furent victimes des purges, la vaste majorité de l’appareil policier bolchévique fut dirigée contre la classe travailleuse et les paysans, spécifiquement ceux qui menèrent des actions révolutionnaires. Les paysans furent supprimés et assassinés pour avoir établi des communes, des ouvriers supprimés et assassinés pour avoir mené des grèves. Informez-vous plus en détail sur les actions répressives contre-révolutionnaires des bolchéviques ici : One Hundred Years after the Bolshevik Counterrevolution (NdT : et aussi “La révolution inconnue” de Voline, récit de l’intérieur de la révolution russe par un anarchiste qui combattit avec Makhno et fut condamné à mort par son « pote » de longue date : Trotsky)

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Le leadership socialiste de Cuba a aussi réprimé les organisations de travailleurs et après une brève tentative de changer les fondations du système économique, a décidé qu’il était plus censé de préserver le rôle de Cuba dans l‘économie globale en tant que plantation de canne à sucre. Ceci parce que tous les états ont besoin d’implanter et de gérer des économie exploiteuses. Et c’est ainsi que la Chine, sous le règne d’un parti communiste, est la seconde plus grosse économie capitaliste au monde. En fait, mesurée idéologiquement, c’est le pays sans doute le plus purement capitaliste étant donné que dans sa politique intérieure et extérieure, le gouvernement chinois promeut de manière constante et priorise la croissance économique, tout en critiquant le gouvernement américain pour ses guerres aventurières qui mettent en danger la croissance continue.

Les gouvernements socialistes sont aussi impérialistes. L’URSS déploya une géopolitique qui fut en bien des circonstances une continuation de l’impérialisme russe. Les communistes chinois ont reproduit la politique de la cour impériale chinoise envers l’Asie du Sud-Est et les communistes vietnamiens ont reproduit les prétentions impériales de leurs monarchies antérieures envers le Cambodge et envers les peuples (volontairement) sans état comme les Hmong, vivant au sein de leurs frontières nationales autoproclamées et fabriquées.

Les élections socialistes

Les tentatives de parvenir au socialisme par le processus électoral ont (souvent) été moins violentes, mais elles ont été toutes aussi désastreuses pour les mouvements révolutionnaires, pour nos tentatives de finalement nous libérer du joug capitaliste, de créer des vies valant la peine d’être vécues, de survivre à ce système exploiteur, oppresseur qui détruit la vie sur cette planète.

Quand Marx a poussé l’Internationale à abandonner sa mission historique de créer des organisations de travailleurs autonomes afin de former des partis politiques et de errer pour capturer l’État, ce fut en fait l’État qui la captura de manière si prévisible. Ce fut aussi la fin d l’Internationale et un grand échec pour le mouvement des travailleurs. Mais les partis politiques d’inspiration marxiste réussirent bien ! Un des premiers d’entre eux, le SPD allemand, arriva au pouvoir et eut une grosse opportunité de mettre un terme à une guerre nationaliste, ou dans ce cas-ci, de soutenir une guerre nationaliste et d’envoyer des millions d’ouvriers et de travailleurs au massacre, parce qu’un parti politique dit faire ce qu’il a à faire.

Les socialistes n’ont pas tiré beaucoup de leçons des désastres de la première guerre mondiale. En Italie, le parti socialiste a ralenti l’expansion des communes de travailleurs, les conseils ouvriers, empêchant une bien possible révolution en 1919-20. Quand le mouvement ouvrier a rompu (NdT : trahi par le PCI), les fascistes de Mussolini prirent le relais. En France, le Parti socialiste (Front Populaire) refusa d’agir contre le coup fasciste de Franco en Espagne en 1936 ou de donner un soutien effectif au mouvement antifasciste dans la guerre civile qui s’en suivit en Espagne. De leur côté, les socialistes espagnols firent leur part du boulot à réprimer les communes libres, les organisations autonomes des travailleurs et les anarchistes afin de protéger les droits bourgeois à la propriété plutôt que de combattre les fascistes (et renforcer la révolution sociale).

Après la seconde guerre mondiale, les partis socialistes de l’Europe occidentale soutinrent les priorités de la guerre froide des planificateurs militaires yankees. En GB, le parti travailliste commença son tournant vers le néolibéralisme dès le début des années 1970, les autres partis socialiste européens suivirent.

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Les Referenda

Les partis de gauche tentant de canaliser le pouvoir des soulèvements populaires en ce qu’ils comprennent être des gains concrets, ont aussi aidé à détruire ces mouvements et à renforcer l’État, parce qu’ils ont échoué dans la compréhension qu’un changement substantiel, pour ceux qui croient en l’État, n’est rien d’autres que quelques mots sur un bout de papier.

En Grèce, après l’insurrection de 2008, quand les gens ont brûlé tous les commissariats de police et les banques du pays, des mouvements sociaux en ont pris avantage dans les années qui suivirent et dans le rétablissement de l’équilibre des forces qui créa des centaines et centaines d’espaces autonomes, afin d’améliorer l’accès pour les gens aux soins médicaux et encourager à l’auto-organisation des voisinages contre l’augmentation des loyers et aider les réfugiés à survivre à la violence des frontières et à la criminalisation.

Le parti politique “progressiste” Syriza a aussi pris avantage de la situation pour gagner des élections alors que les forces combinées de la Banque Centrale Européenne (BCE) et du FMI firent de leur mieux pour écraser les mouvements sociaux avec la précarité, utilisant l’arme de la restructuration de la dette qu’ils ont provoquée les décennies précédentes ans le grand sud global. Quand Syriza a promis de rejeter les mesures d’austérité s’il gagnait le referendum, la participation fut massive, incluant des gens des mouvements sociaux qui auparavant avaient défendu l’autonomie en ne faisant jamais confiance au gouvernement ou aux partis politiques et en les tenant à distance respectable. Tous ces gens furent remplis d’espoir et l’espoir est une des meilleures choses dans un mouvement révolutionnaire. L’option de rejeter les mesures d’austérité gagna le referendum et de manière tout à fait prévisible, le parti Syriza ne tint pas ses promesses. Lorsque vous êtes un parti politique au pouvoir, vous faire ennemi des banques et autres états n’a aucun sens. Les espoirs déçus, balayés, les mouvements sociaux se dégonflèrent, la droite vint au pouvoir et l’austérité fut à l’ordre du jour en Grèce.

Fin 2020, un referendum constitutionnel se tint au Chili pour remplacer la constitution qui autorisa la prise de pouvoir de Pinochet et sa dictature. Le referendum fut proposé comme soupape de sécurité à la pression du soulèvement qui fit tanguer le pays en 2019 et la plus grande partie de 2020, provoqué par des années d’austérité et une augmentation de la pauvreté. Une grande majorité des gens votèrent pour la nouvelle constitution, élisant des représentants des différents peuples indigènes des territoires occupés par l’état chilien, ainsi que des politiciens “progressistes” et des représentants des mouvements ou du moins, de gens se disant représenter ces mouvements.

Pendant deux ans, les mouvements sociaux qui furent si combattifs entrèrent en léthargie et devinrent spectateurs de ce processus. Quand le manuscrit de la nouvelle constitution alla au vote dans un autre referendum, il fut défait et tout cela ne servit absolument à rien. Ceci était bien entendu totalement prévisible. Les capitalistes continuent de posséder les médias et les médias de masse, indépendamment de qui les possèdent, créent des spectateurs et des spectateurs passifs sont très faciles à effrayer. Historiquement, la seule exception à l’efficacité de cette forme de contrôle social des esprits est quand le peuple est dans la rue, mettant le feu aux banques et construisant un futur différent au lieu de rester assis sur le canapé à la maison devant sa télé propagandiste.

Une dernière chance

Beaucoup d’entre nous, peut-être la plupart d’entre nous, n’aurons plus une autre chance à la révolution, à la création d’un monde fait pour la vie et non pas pour l’extraction perpétuelle du profit et du pouvoir. Nous avons eu une réelle opportunité il y a un siècle et on s’est chié dessus. Depuis lors, il est bien tard. Malgré cela ou, le plus vraisemblablement, intoxiqués par un certain sens de l’urgence, beaucoup d’entre nous ont oublié notre histoire et nous tournons de nouveau vers toutes ces fausses promesses de l’État, sous la forme de ces politiciens charismatiques, soit disant “progressistes”, de cet éco-socialisme ou plutôt éco-léninisme, les sectes trotskistes et staliniennes ont commencé à proliférer de nouveau, ou ce crypto-autoritarisme du tout nouveau culte en date de ces étudiants supérieurs qui croient savoir mieux que les autres.

Beaucoup d’entre nous ont été écrasés par la répression, la fatigue des luttes, la déception perpétuelle de ces mouvements politiques qui refusent de voir et d’analyser leurs faiblesses ou le sentiment de dépression de vivre une belle rébellion par laquelle nous devenons plus forts que jamais, pour nous voir revenir au point de départ (NdT : c’est pourquoi nous disons toujours d’enlever le “r” de “révolution” = (r)évolution…). Alors ils prient pour cette balle d’argent magique, pour ce super-héros, cette entité toute puissante, un État qui viendrait résoudre les choses pour nous. Et tout ce que dieu demande en retour est qu’ils abandonnent leur mémoire et leur capacité d’agir.

TLPARP

Mais seulement nous et nous seuls, serons capables de nous sauver. Une insurrection n’a jamais résolu les choses en une nuit. Le révolution a toujours été un long chemin, un chemin qui ne se termine en fait jamais. Les rébellions majeures, les expansions qualitatives de nos mouvements, ne sont faites que pour nous présenter un nouveau défi, un besoin de développer de nouvelles stratégies de nouvelles structures. La stagnation, spécifiquement dans nos moments de force, ne peut mener qu’à toujours plus de stagnation.

Mais il n’est pas trop tard. Récupérer notre mémoire collective de générations de lutte. D’apprendre de nos récents échecs. De découvrir des façons de nous entraider le plus possible afin de survivre cet enfer capitaliste. L’État est une machine de contrôle et d’exploitation de la société. Il n’a pas d’autre fonction. Aucune autre.

Mais des communautés d’êtres vivant en solidarité ? Personne n’est mieux positionné pour définir la survie et la réaliser. La survie mais surtout, la vie, la joie et la guérison du traumatisme.

= = =

DÉMOCRATIE

« Le drapeau va au paysage immonde, et notre patois étouffe le tambour.
« Aux centres nous alimenterons la plus cynique prostitution. Nous massacrerons les révoltes logiques.
« Aux pays poivrés et détrempés ! — au service des plus monstrueuses exploitations industrielles ou militaires.
« Au revoir ici, n’importe où. Conscrits du bon vouloir, nous aurons la philosophie féroce ; ignorants pour la science, roués pour le confort ; la crevaison pour le monde qui va. C’est la vraie marche. En avant, route ! »
~ Arthur Rimbaud, “Les Illuminations”, 1886 ~

“Sur plus de 6000 pages, il y a donc 7 références directes de Marx à l’abolition de l’État (dont une est d’Engels d’ailleurs), en des termes vagues et qui constituent un matériel bien mince pour conclure que Marx était un ‘théoricien de l’anarchisme’. On peut s’étonner qu’un auteur qui voulait, paraît-il, faire sur l’État ce qu’il avait fait sur le capital, n’ait pas parsemé son œuvre d’indications plus nombreuses sur la société sans État, Or, c’est là tout de même un concept déterminant de la théorie anarchiste qui, s’il constituait une préoccupation majeurs de Marx, devrait être suffisamment présent dans son œuvre pour qu’il ne puisse pas être occulté par les différents partis qui se réclament de son enseignement. […] Le ‘Manifeste [du parti communiste]’ne dit nulle part comment la conquête de la démocratie pourrait assurer au prolétariat l’hégémonie politique ; Engels dit simplement dans son projet de Catéchisme, que le suffrage universel assurera directement dans les pays où la classe ouvrière est majoritaire, la domination de cette dernière…[…] Il y a des textes où Marx fait une critique radicale d’un type déterminé d’État, mais la critique de l’État en tant que principe, reste très limitée.”
~ René Berthier ~

Il n’y a pas de solution au sein du système ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

Cobra_soleil
Et dans une aube nouvelle…
le peuple se dressa…

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Un appel à la communauté scientifique / médicale : Régler le débat sur les virus…

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, documentaire, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , on 27 juin 2023 by Résistance 71

covid-infection-natural-immunity
combien de représentation CGI de virus
voyons-nous quotidiennement ?

Régler le débat sur les virus

Malo Naturo

22 novembre 2022

Source : https://maloxxx8.wixsite.com/malonaturo/post/régler-le-débat-sur-les-virus

« Un petit parasite constitué d’acide nucléique (ARN ou ADN) enfermé dans une enveloppe protéique qui peut se répliquer uniquement dans une cellule hôte sensible. »1

Plus de deux ans se sont écoulés depuis le début de la crise du « corona », qui a changé la trajectoire de notre monde. Le principe fondamental de cette crise est qu’un « virus » mortel et nouveau, le SRAS-CoV-2, s’est propagé dans le monde entier et a eu un impact négatif sur de larges segments de l’humanité. Au cœur de ce principe se trouve la sagesse acceptée selon laquelle les virus, définis comme des morceaux de matériel génétique enrobés de protéines, ADN ou ARN, existent en tant qu’entités indépendantes dans le monde réel et sont capables d’agir comme agents pathogènes. C’est-à-dire que l’on pense généralement que la soi-disant particule avec le revêtement protéique et l’intérieur génétique infecte les tissus et cellules vivants, se réplique à l’intérieur de ces tissus vivants, endommage les tissus lorsqu’elle sort et, ce faisant, on pense également qu’elle crée la maladie et parfois la mort de son hôte, c’est la soi-disant théorie virale de la causalité de la maladie. On dit alors que les particules virales présumées peuvent se transmettre à d’autres hôtes, provoquant également des maladies chez eux.

Après un siècle d’expérimentation et d’études, ainsi que des milliards de dollars incalculables dépensés pour cette « guerre contre les virus », nous devons nous demander s’il ne serait pas temps de reconsidérer cette théorie. Depuis plusieurs décennies, de nombreux médecins et scientifiques soutiennent que cette compréhension communément acceptée des virus est basée sur de fausses idées fondamentales. Fondamentalement, plutôt que de voir les « virus » comme des entités indépendantes, exogènes et pathogènes, ces médecins et scientifiques ont suggéré qu’ils seraient simplement les particules de dégradation ordinaires et inévitables des tissus stressés et/ou morts ou mourants. Ils ne sont donc pas pathogènes, ils ne sont pas nocifs pour les autres êtres vivants et il n’existe aucune raison scientifique ou rationnelle de prendre des mesures pour se protéger ou protéger les autres contre eux. Les idées fausses sur les « virus » semblent provenir en grande partie de la nature des expériences qui sont utilisées comme preuve pour affirmer que de telles particules existent et agissent de manière pathologique comme décrit ci-dessus. Essentiellement, les publications en virologie sont en grande partie de nature descriptive, plutôt que des expériences contrôlées et falsifiables fondées sur des hypothèses qui sont au cœur de la méthode scientifique.

Peut-être que la principale preuve que la théorie virale pathogène est un problème, c’est qu’aucun article scientifique publié n’a jamais montré que des particules répondant à la définition des virus ont été directement isolées et purifiées à partir de tissus ou de fluides corporels de tout humain ou animal malade. En utilisant la définition communément acceptée de « l’isolement », qui est la séparation d’une chose de toutes les autres choses, il est généralement admis que cela n’a jamais été fait dans l’histoire de la virologie. Il n’a pas été démontré que des particules qui ont été isolées avec succès par purification sont compétentes pour la réplication, infectieuses et pathogènes, elles ne peuvent donc pas être considérées comme des virus. De plus, les « preuves » de virus fournies par les « génomes » et les expériences sur les animaux proviennent de méthodologies avec des contrôles insuffisants. 

Les expériences suivantes devraient être menées à bien avant que la théorie virale puisse être considérée comme factuelle :

1. une particule unique ayant les caractéristiques d’un virus doit être purifiée à partir des tissus ou fluides d’un être vivant malade. La méthode de purification à utiliser est à la discrétion des virologues mais des micrographies électroniques doivent être fournies pour confirmer la purification réussie de particules virales présumées morphologiquement identiques ;

2. la particule purifiée est caractérisée biochimiquement pour ses composants protéiques et sa séquence génétique ;

3. il doit être prouvé que les protéines sont codées par ces mêmes séquences génétiques ;

4. il doit être démontré que les particules virales purifiées seules, par une voie d’exposition naturelle, provoquent une maladie identique chez les sujets testés, en utilisant des témoins valides ;

5. les particules doivent ensuite être réisolées avec succès (par purification) du sujet de test au point 4 ci-dessus, et il doit être démontré qu’elles ont exactement les mêmes caractéristiques que les particules trouvées à l’étape 1.

Cependant, nous réalisons que les virologues ne peuvent pas suivre les étapes décrites ci-dessus, probablement parce que toutes les tentatives en date ont échoué. Ils évitent maintenant simplement cette expérience, insistant sur le fait que ce qu’ils appellent des « virus » ne peuvent pas être trouvé en quantités suffisantes dans les tissus de toute personne ou animal malade pour permettre une telle analyse. Par conséquent, nous avons décidé de rencontrer les virologues à mi-chemin. Dans un premier temps, nous proposons que les méthodes des usages actuels soient mis à l’épreuve. Les virologues affirment que ces virus pathogènes existent dans nos tissus, cellules et les fluides corporels parce qu’ils prétendent voir les effets de ces supposées particules uniques dans une variété de cellules de cultures. Ce processus est ce qu’ils appellent « l’isolement » du virus. Ils affirment également qu’en utilisant la microscopie électronique, ils peuvent voir ces particules uniques dans les résultats de leurs cultures cellulaires. Enfin, ils prétendent que chaque « espèce » de virus pathogène a son génome unique, qui peut être séquencé soit directement à partir des fluides corporels de la personne malade ou des résultats d’une culture cellulaire. Nous demandons maintenant à la communauté virologique de prouver que ces allégations sont valides, scientifiques et reproductibles. Plutôt que de s’engager dans des échanges verbaux inutiles, mettons fin à cet argument en faisant des expériences scientifiques claires, précises qui, sans aucun doute, montreront si ces affirmations sont valables.

1 Definition of ‘virus’ from Harvey Lodish, et al., Molecular Cell Biology, 4th ed, Freeman & Co., New  York, NY, 2000 : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1470817501000236?via%3Dihub

Nous proposons l’expérience suivante comme première étape pour déterminer si une entité telle qu’un virus humain pathogène existe…

PREMIÈRE ÉTAPE

5 laboratoires de virologie dans le monde participeraient à cette expérience et aucun ne connaîtrait l’identité des autres laboratoires participants. Un moniteur sera désigné pour superviser toutes les étapes. Chacun des 5 laboratoires recevra cinq échantillons nasopharyngés de quatre catégories de personnes (soit 20 échantillons chacun), qui soit :

1) ne reçoivent pas ou ne sont pas actuellement traités pour un diagnostic médical ;

2) ont reçu un diagnostic de cancer du poumon ;

3) ont reçu un diagnostic de grippe A (selon les lignes directrices reconnues) ; ou qui

4) ont reçu un diagnostic de « COVID-19 » (par le biais d’un « test » PCR ou d’un test de flux latéral.).

Le diagnostic (ou « non-diagnostic ») de chaque personne sera vérifié de manière indépendante, et les rapports de pathologie seront mis à disposition dans le rapport d’étude. Les laboratoires seront aveuglés sur la nature des 20 échantillons qu’ils reçoivent.

Chaque laboratoire tentera alors d' »isoler » les virus en question (Influenza A ou SARS-CoV-2) à partir des échantillons ou conclura qu’aucun virus pathogène n’est présent. Chaque laboratoire montrera des photographies documentant le CPE (effet cytopathique), s’il est présent, et expliquera clairement chaque étape du processus de culture et des matériaux utilisés, y compris tous les détails des contrôles ou des « fausses infections ». Ensuite, chaque laboratoire obtiendra des images au microscope électronique vérifiées de manière indépendante du virus « isolé », s’il est présent, ainsi que des images montrant l’absence du virus (vraisemblablement, chez les personnes en bonne santé et les personnes atteintes d’un cancer du poumon). Le microscopiste électronique ne connaitra pas la nature des échantillons qu’il analyse. Toutes les procédures seront soigneusement documentées et contrôlées.

DEUXIÈME ÉTAPE

TOUS les échantillons seront alors envoyés pour séquençage génomique et encore une fois les opérateurs resteront aveugles sur la nature de leurs échantillons. On devra s’attendre à ce que si les 5 laboratoires reçoivent du matériel provenant du même échantillon d’un patient diagnostiqué avec COVID-19, chaque laboratoire devrait signaler des séquences IDENTIQUES du génome présumé du SRAS-CoV-2. En revanche, ce génome ne devrait être retrouvé dans aucun autre échantillon.

(Remarque : cette déclaration est un bref aperçu des expériences suggérées – un protocole entièrement détaillé devrait évidemment être développé et accepté par les laboratoires et les signataires.)

Si les virologues ne parviennent pas à obtenir un résultat satisfaisant de l’étude ci-dessus, leurs affirmations concernant la détection de « virus » se révéleront sans fondement. Toutes les mesures mises en place à la suite de ces revendications doivent être arrêtées immédiatement. S’ils réussissent dans cette première tâche, nous les encourageons à procéder aux expériences de purification requises pour obtenir la preuve probante de l’existence des virus.

Il est dans l’intérêt de tous d’aborder la question de l’isolement, et de l’existence même, de prétendus virus tels que le SRAS-CoV-2. Cela nécessite la preuve que l’entrée de particules virales morphologiquement et biochimiquement dans les cellules vivantes est à la fois nécessaire et suffisante pour provoquer l’apparition de particules identiques, qui sont contagieuses et pathogènes.

Nous apprécions votre soutien et vos commentaires pour cette initiative.

Signataires :

NdR71 : l’abréviation “M.D” en anglais veut dire “Medical Doctor” c’est à dire Docteur en médecine.

Thomas Cowan, MD 

Mark Bailey, MD 

Samantha Bailey, MD 

Jitendra Banjara, MSc 

Kelly Brogan, MD 

Kevin Corbett, PhD 

Mufassil Dingankar, BHMS 

Michael Donio, MS 

Jordan Grant, MD 

Andrew Kaufman, MD 

Valentina Kiseleva, MD 

Christine Massey, MSc 

Paul McSheehy, PhD 

Prof. Timothy Noakes, MD 

Sachin Pethkar, BAMS 

Saeed Qureshi, PhD 

Stefano Scoglio, PhD 

Mike Stone, BEXSc 

Amandha Vollmer, NDoc 

Michael Yeadon, PhD

Source du document : https://drsambailey.com/resources/settling-the-virus-debate

Citation : 

« Les virus n’existent pas ! Ce que l’on prend pour de virus sont en réalité des fragments d’ADN ou d’ARN encapsulés (exosomes) qui sont excrétés, rejetés par nos cellules dans certaines conditions. Les virus n’existent pas selon la définition et les fonctions qui leur sont attribués. La médecine moderne n’est qu’un dogme, et la plupart des humains croient aux virus comme à une religion ! Les événements dramatiques que nous vivons sont la conséquence d’une présence inhabituelle d’ondes électromagnétiques dans notre environnement, dont une partie sont liés aux technologies de communication. » – Dr. Hugues Holleville

Articles complémentaires : 

pandemies_fabriquees
Fabrication et entretien de la peur, ingrédient essentiel
du pouvoir coercitif

Résistance et analyse politiques : les Gilets Jaunes, l’État et la contre-révolution avec « Soulèvement » de Mirasol (PDF)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, autogestion, colonialisme, crise mondiale, gilets jaunes, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, philosophie, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, société des sociétés, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 26 juin 2023 by Résistance 71

mirasol_soulevement

Introduction du livre “Soulèvement, premiers bilans d’une vague mondiale”

Mirasol

Novembre 2020

Introduction

Un spectre hante le monde.Le spectre d’un soulèvement global. Toutes les puissances capitalistes se sont unies en une sainte alliance pour conjurer ce risque. Donald Trump et Xi Jinping, Bolsonaro et Macron, Erdogan comme Jeff Bezos et Zuckerberg, les milices d’Amal et du Hezbollah (NdR71 : nous sommes ici en désaccord avec cette remarque causée par une ignorance totale du sujet…), les gardiens de la révolution en Iran et les polices de Hong Kong, de France, des USA, du Chili, d’Irak… (NdR71 : pourquoi ne pas inclure « Israël » ?…)
Désormais, tout ce que nous écrivons sur les réseaux sociaux, simples messages ou articles de presse, est sous la menace de lois de censure votées à la hâte un peu partout, de la France à l’Allemagne en passant par Hong Kong ou l’Algérie, sous prétexte de combattre “la haine”. La Chine interdit l’usage de centaines de mots, dresse un mur de feu de propagande entre le pouvoir et l’aspiration à le renverser, tous les moyens des technologies du contrôle et de la surveillance sont mis au service d’états bunkérisés.
Mais désormais aussi, au soulèvement ici répond le mouvement là-bas. On lit, voit, écoute, se documente et propage à son tour, dans une toile aux innombrables ramifications.
Ce livre n’est pas un manifeste. Le mouvement pour lequel nous prenons parti n’a pas de voix unique ou de direction qui pourrait prétendre parler pour lui, et c’est heureux.
Ce livre propose de discuter stratégie. Il nous faut entreprendre des bilans des mouvements passés, émettre des hypothèses pour les combats à venir, gagner en intelligence collective. La tâche devant nous est immense : abattre l’ordre social mondial, faire tomber les États, changer la vie enfin.
Autant prévenir, ce livre aborde beaucoup et résout peu. Il s’adresse et propose de nommer ce qui déjà existe, se lève et se bat : le soulèvement mondial des prolétaires contre des existences réduites à la marchandise, comme la police qui nous y contraint, comme l’ordre social qui s’y conduit.

= = =

Le livre ci-dessous en PDF est constitué de 3 chapitres et une conclusion :

1- Sur le mouvement des Gilets Jaunes

2- L’État et la contre-révolution

3- Insurrection & révolution

Conclusion

“Soulèvement”, PDF à lire et diffuser sans modération :

Soulevement(Mirasol)

= = =

Lectures complémentaires :

Du chemin vers notre humanité enfin réalisée (Collectif Résistance 71)

Petit précis sur la société et l’État (Collectif Résistance 71)

Gouverner par le chaos

Contre les guerre de l’avoir, la guerre de l’être (Collectif Guerre de Classe)

Au delà du parti (Collectif Junius)

La politique du post-anarchisme (Saul Newman)

Pourquoi suis-je anarchiste (Zénon)

Insurrection et Utopie (Dr Bones)

Réflexions sur le peuple en arme, 3 textes

democracy-v-anarchy

« Les anarchistes ont une telle vision de l’ordre qu’ils n’en supportent aucune caricature »

TLPARP

Guerre Ukraine : marasme OTANazi et destruction de l’Europe (Thierry Meyssan)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, colonialisme, crise mondiale, guerre ukraine, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, neoliberalisme et fascisme, politique et social, politique française, résistance politique, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , on 24 juin 2023 by Résistance 71

Excellente analyse de Meyssan qui éclaire sur les dessous de cette guerre. Il devrait être clair pour le plus de monde possible maintenant, que cette guerre par procuration est celle de l’OTAN (Organisation Terroriste de l’Atlantique Nord ne l’oublions jamais…) et au delà, des Etats-Unis contre… l’Europe et surtout la France et l’Allemagne. La hantise depuis la fin de la seconde guerre mondiale pour l’hégémonie de l’empire anglo-américain a toujours été de devoir faire face à une alliance de raison et d’affinités culturelles entre Paris, Berlin et Moscou. Imaginons (dans ce même monde de la pourriture marchande…) une Europe dont les deux plus grandes puissances technologiques et industrielles s’allient avec une Russie riche en ressources naturelles. Ce serait la fin immédiate de la domination impérialiste anglo-américaine et ceci ne peut en aucun cas être permis. Tout a été fait depuis 1945 pour creuser le fossé entre l’Europe et une Russie européenne. La guerre en Ukraine a pour but principal la destruction de l’Europe et sa mise sous tutelle définitive comme satellite des transnationales supplantant les états, qui ne seront plus en charge que de la répression des peuples par leurs rouages bureaucratiques et coercitifs par nature.
Rappelons-nous toujours, qu’en tout et pour tout… Il suffit de dire NON ! Et tout s’arrête, nous devons retirer notre consentement à toute cette merdasse étatico-marchande qui avance sans cesse ses pions dans son délire totalitaire transhumaniste et nous passe sans cesse au rouleau compresseur de leurs dogmes et décisions coercitives ne favorisant toujours que le plus petit nombre. Le 1er janvier 1994, un groupe autochtone du sud-mexicain a crié au monde et au capitalisme totalitaire ¡Ya Basta! Ils luttent et s’autonomisent aujourd’hui  toujours plus encore, près de 30 ans plus tard. Il est plus que grand temps de généraliser cette approche directe et de reprise en main.
~ Résistance 71 ~

euromaidan
Ukronazis + OTANazie = euthanazie

La fausse contre-offensive et le refus de bons offices

Thierry Meyssan

20 juin 2023

Url de l’article original : https://www.voltairenet.org/article219511.html

Selon les autorités de Kiev, l’armée ukrainienne aurait lancé depuis le 8 juin « une vaste contre-offensive contre l’agresseur russe ».

LA CONTRE-OFFENSIVE N’EXISTE PAS

La littérature militaire préfère parler de contre-attaque que de contre-offensive. La contre-attaque consiste à profiter des faiblesses momentanées de l’ennemi pour partir à l’assaut. On pense à Napoléon à Austerlitz qui fit battre en retraite certaines de ses troupes pour faire tomber ses adversaires dans un piège dont il sortit victorieux.

Choisir le terme « contre-offensive » n’est pas neutre. C’est un artifice de communication suggérant que les Russes ont lancé une « offensive » pour s’emparer de l’Ukraine. D’ailleurs, ils ont livré bataille à l’aéroport du Nord de la capitale, avant de se retirer.

En réalité, les Russes n’ont jamais tenté de prendre Kiev et ne veulent pas envahir l’Ukraine. C’est ce qu’a déclaré leur président, Vladimir Poutine, dans la première semaine de son « opération spéciale ». Prendre un aéroport militaire, même au Nord de Kiev, n’est qu’une bataille devant assurer aux Russes la supériorité aérienne. Cela n’indique pas qu’ils entendaient prendre la capitale.

L’expression « opération spéciale » n’est pas neutre non plus. Moscou souligne ainsi qu’il ne fait pas une guerre d’invasion, mais met en œuvre sa « responsabilité de protéger » les populations des oblats de Donetsk et de Lougansk qui étaient officiellement les cibles d’une opération punitive de Kiev, depuis 2014. Remettre en cause le bien-fondé de l’opération spéciale russe ce serait comme remettre en cause l’opération de l’armée française visant à mettre fin aux massacres au Rwanda. Les deux opération spéciales ont été autorisées par des résolutions du conseil de sécurité des Nations unies (les résolutions 929 du 22 juin 1994 et 2202 du 17 février 2015) . Sauf que la résolution sur laquelle s’appuie Moscou n’a pas été prise dans l’urgence. C’est celle qui avalise les accords de Minsk et donne à l’Allemagne, à la France et à la Russie la capacité d’intervenir pour les faire appliquer.

D’un point de vue de la communication, le terme « contre-offensive » a l’avantage de faire oublier que durant huit ans, Kiev a mené une guerre contre ses propres concitoyens, faisant entre 14 000 et 22 000 morts selon les décomptes.

Durant des mois, Kiev a quémandé et obtenu quantité d’armes occidentales. Il a aussi formé ses soldats à les manier. Pendant ce temps, Moscou se repliait sur les lignes qu’il avait accepté durant les négociations de paix, conduites en Biélorussie, puis en Turquie, avant d’être dénoncées par la Verkhovna Rada (le Parlement de Kiev dans lequel Washington a installé un bureau de conseillers permanents du département d’État et de l’USAID). Moscou est allé plus loin en abandonnant la rive droite de Kherson (mais pas la rive gauche), faisant du fleuve Dniepr la frontière naturelle entre l’Ukraine et la Novorossia. Les habitants de cette région ayant adhéré par référendum à la Fédération de Russie, Moscou a construit deux lignes de défense, allant de l’embouchure du Dniepr jusqu’au Donbass (Lougansk et Donetsk). Il s’agit de deux lignes de dents de dragons (des fortifications empêchant le passage de blindés) et de tranchées.

L’Alliance atlantique, qui fournit les armes et les stratégies, a donné l’ordre de lancer la contre-offensive alors que Kiev n’a plus du tout de maîtrise des airs et dispose de peu de munitions. Durant l’année précédente, l’armée ukrainienne pouvait utiliser des drones pour surveiller les mouvements de l’adversaire. Aujourd’hui, elle ne peut plus, car celui-ci brouille toutes les communications sur « son » territoire et un peu au-delà. Kiev dispose en théorie d’un armement terrestre impressionnant, tel qu’aucun pays n’en a jamais eu. Mais en pratique, quantité d’armes livrées ont disparues, parties vers d’autres cieux, avec ou sans l’accord des généreux donateurs. Quant aux munitions, il n’est pas possible de les stocker en Ukraine sans qu’elles soient détruites par des missiles hypersoniques russes. Aussi sont-elles entreposées en Pologne et en Moldavie et ne traversent-elles la frontière que pour rejoindre le front.

Depuis deux semaines, les forces ukrainiennes tentent de percer les lignes de défense russes, sans y parvenir. Les troupes s’amassent devant ces lignes et se font tirer dessus par l’artillerie russe. Lorsqu’elles décident de se retirer, les Russes envoient des drones disperser des mines sur le chemin du retour.

La seule chose que les forces de Kiev peuvent faire est de prendre les villages qui se situent sur les quelques kilomètres devant les lignes de défense. Pendant ce temps, l’aviation russe bombarde leurs arsenaux, parfois très à l’intérieur de l’Ukraine. Les systèmes de protection anti-aériens les plus performants, les Patriots, ont été détruits dès leur installation. Il ne reste pas grand-chose, juste de quoi atteindre de vieux missiles. L’état-major ukrainien prétend avoir détruit six missiles Kinzhal, ce qui, compte tenu de leur vitesse (10 mach) est impossible. Le maire de Kiev, Vitali Klitschko, a diffusé une photographie où il pose devant une épave de Kinzhal. Las ! Les débris ne correspondent absolument pas à cette arme.

Le moral des troupes ukrainiennes est au plus bas. Le ministère de la Défense assure qu’il reste beaucoup d’hommes à l’arrière. Cependant, l’oblast d’Ivano-Frankivsk a décrété la mobilisation de tous les hommes de 18 à 60 ans. Les exemptions sont rares. La réalité semble donc plutôt être qu’il n’y a plus de combattants prêts à l’action.

L’Alliance atlantique a déployé tous ses AWACS pour surveiller à distance le champ de bataille. Elle ne peut ignorer l’ampleur de la défaite. Étrangement, elle continue à pousser les Ukrainiens au combat, ou plutôt à la mort.

OTANazi

KIEV NE SOUHAITE PAS DE MISSION DE BONS OFFICES

Washington espère encore que Kiev gagnera, offrant au président Joe Biden une éclatante réélection. Il pourrait toutefois faire marche arrière et s’appuyer sur les deux missions de bons offices de la Chine et de l’Union africaine. Cependant, à l’incitation de Washington, la Verkhovna Rada a interdit à quiconque de négocier avec l’« envahisseur ».

La Chine a publié 12 principes qui, selon elle, devraient charpenter tout accord de paix. L’envoyé spécial de Beijing, Li Hui, refuse de discuter de leur mise en application tant qu’ils n’ont pas été approuvés par les deux parties. C’est désormais chose faite. Mais les Occidentaux ne sont pas dupes. On ne peut faire semblant de partager ces principes qu’en poursuivant les mensonges que l’on développe depuis trois décennies. Faute de quoi, ils conduiront à reconnaître le bien-fondé de la position russe et donc, à souhaiter la défaite de Kiev.

L’Union africaine et la Fondation Brazaville ont envoyé quatre chefs d’État : Azali Assoumani, (Comores et président en exercice de l’Union africaine), Macky Sall (Sénégal), Cyril Ramaphosa (Afrique du Sud) et Hakainde Hichilema (Zambie). Tous les autres ont fait faux bond. Le président égyptien a envoyé son Premier ministre, Mostafa Madbouly. L’Ougandais, Yoweri Museveni, atteint de la Covid a délégué son ancien ministre des Affaires étrangères, Ruhakana Rugunda. Le Congolais Denis Sassou-Nguesso s’est fait représenter par le ministre d’État à la présidence, Florent Ntsiba.

À peine arrivée, toute la délégation a été invitée à visiter Boutcha où leurs hôtes leur ont expliqué que les occupants russes avaient commis des atrocités. Les Africains n’ont pas rencontré les enquêteurs internationaux qui ont établi, au contraire, que les massacres ont été perpétrés avec des fléchettes (des munitions très utilisées durant la Première Guerre mondiale). Surtout les Russes ont quitté Boutcha le 30 mars 2022. Le maire de la localité n’a rien constaté d’anormal. Puis, le lendemain les nationalistes intégraux du bataillon Azov sont entrés dans la ville, mais les corps n’ont été trouvés que le 4 avril. Il s’agit donc à l’évidence d’une scène de guerre civile au cours de laquelle les nationalistes intégraux ont exécuté des concitoyens qu’ils pensaient avoir collaboré avec les Russes. De toute manière, les Africains ont la connaissance de ce genre de situation et ne sont pas faciles à berner.

Lors de leur arrivée à Kiev, les sirènes ont retenti. Mais ces dirigeants n’ont pas été impressionnés. Ils ont constaté que la capitale n’était pas bombardée, mais exclusivement quelques cibles militaires.

Lors de la conférence de presse finale, le président comorien, Azali Assoumani, a déclaré : « La voie de la paix doit passer par le respect de la charte des Nations Unies et l’Afrique est disposée à continuer à travailler avec vous dans la recherche d’une paix durable (…) Même si le chemin de la paix peut être long, l’espoir est permis puisque des pourparlers sont possibles ». À quoi le président ukrainien Volodymyr Zelensky lui a répondu : « Aujourd’hui j’ai clairement dit pendant notre rencontre que permettre toute négociation avec la Russie maintenant, quand l’occupant est sur notre terre, signifie de geler la guerre, geler la douleur et la souffrance ».

Après cette fin de non-recevoir, les Africains se sont rendus à Saint-Petersbourg rencontrer le président russe Vladimir Poutine. Celui-ci s’est bien sûr montré bien plus ouvert. Non seulement il n’avait rien à perdre, mais il dispose d’un argument massif. Il a présenté à la délégation (voir vidéo) le texte du traité de paix et de l’addendum négociés par les Ukrainiens, en mars 2022, et signés par le chef de leur délégation. Il a même expliqué qu’en application de ce projet, les troupes russes avaient quitté les oblasts de Kiev et de Tchernihiv, et que les Ukrainiens n’avaient pas seulement refusé de ratifier ces textes, mais avaient adopté une loi interdisant de poursuivre ou de reprendre les négociations de paix.

On verra, lors du sommet Afrique-Russie prévu du 26 au 29 juillet, lequel des deux chefs d’État aura paru le plus sincère aux yeux de la délégation de l’Union africaine. L’intérêt de Kiev pour les missions de bons offices est aussi faux que sa contre-offensive.

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Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

Europe_1941_2016
Même en russe… on comprend…

agressionrusse
« Il est inadmissible que la Russie se tienne si proche de nos bases militaires,
ceci constitue un acte belliqueux sans précédent !… »
~Lieutenant-General-Adjudant Robert O. « smokey » Arsehole, OTAN, 2020 ~

Médecine et santé publique : comprendre la controverse Béchamp-Pasteur met au grand jour l’ampleur d’un potentiel enfumage… Maladie, contagion, nous aurait-on menti ?

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microzymas

Science et santé : revoir la copie sur la maladie et la contagion… Si cette vision (apparemment prouvée) de l’affaire présentée ci-dessous est correcte, alors surgissent les inévitables questions à cent balles : à quel point nous a t’on menti ? Quelle est la profondeur de la supercherie ?  Quelle est l’étendue du massacre ? Comment en sortir ?
Ci-dessous, un exposé de la théorie des microzymas du Professeur Antoine Béchamp fournissant pas mal de blé à moudre pour les esprits critiques…
~ Résistance 71 ~

Les microzymas et le polymorphisme microbien

Malo Naturo

Mai 2020

Source :

https://maloxxx8.wixsite.com/malonaturo/post/les-microzymas-et-le-polymorphisme-microbien

Chapitre de biologie passionnant ! C’est grâce à l’illustre Professeur Antoine Béchamp que nous devons la découverte des MICROZYMAS en 1858.

30 années de recherche ont été consacrées à comprendre le rôle de ces “granulations moléculaires” que Béchamp a su isoler. Le microzyma est une micro-cellule mesurant entre 30 et 60 nanomètres de diamètre. Il apparaît comme limité clairement par une membrane et présente en son cœur un cristal de silicium.  On trouve des microzymas dans l’air, dans la craie et surtout dans tous les êtres organisés (plantes, animaux), au sein de leurs tissus et de leurs humeurs dans lesquels ils jouent un rôle essentiel. Ils peuvent devenir morbides et évoluer (polymorphisme) en bactéries uniquement si le milieu (terrain) dans lequel ils exercent leur fonction se déséquilibre.

Ce sont eux qui synthétisent les enzymes ou zymases (d’où leur nom) et qui métabolisent les différents substrats qui constituent les êtres organisés.

« Les microzymas sont la racine même de l’organisation ; sans eux pas d’organisation et pas de matière vivante. » – A. Béchamp

En fonction de l’état du milieu les microzymas se rassemblent pour former nos cellules (milieu équilibré) ou nos microbes (milieu déséquilibré), microbes spécifiques à chacun de nous.

Nos cellules sont transitoires ; « nous nous putréfions sans cesse » dit-il, une cellule qui se décompose redevient microzymas. Ces microzymas formeront de nouvelles cellules si les conditions sont favorables, sinon ils peuvent se regrouper et former des bactéries en passant par différentes étapes (polymorphisme des microbes).

« L’unité vitale, irréductible, physiologiquement indestructible dont la cellule même est formée, n’est autre que le microzyma. Il est la forme vivante, réduite à sa plus simple expression, ayant la vie en soi, sans laquelle la vie ne se manifeste nulle part… Bref, le microzyma est l’unité vivante per se ; et c’est ce qui ne peut être affirmé de la cellule. » – A. Béchamp

La cellule n’est donc pas l’unité de base de la vie, mais bien le microzyma.

La prise en compte des microzymas permet de démontrer de manière scientifique que les maladies infectieuses viennent de l’intérieur du corps et non de l’extérieur, et, plus précisément des microzymas. Ces derniers, notamment en fonction du pH du milieu extracellulaire, construisent des bactéries ou des bacilles pour réparer l’organisme. Ce sont également eux qui construisent les cellules de l’organisme et le tissu conjonctif. Le travail de Béchamp prouve que ces bactéries sont présentes en tant que résultat et non en tant que cause. Les bactéries évoluent à partir des microzymas qui les construisent de façon à nettoyer les vieux tissus qui se détériorent.

Lorsqu’il y a déséquilibre et que le liquide interstitiel (extra-cellulaire) devient acide, toxique et pollué, les microzymas changent alors de forme et deviennent virus, puis bactéries, et finalement levures. Ceux-ci nettoient les détritus, les cellules mortes, les toxines et autres déchets, résultat d’une intoxination (toxémie). C’est le rôle des bactéries et des microbes.

microzyma_microscope_electronique
Micozyma et son noyau de cristal de silicium pentagonal

La maladie aiguë purificatrice peut virer en maladie chronique, dégénérative ou fatale sous certaines conditions :

  • Niveau de toxémie trop élevé à cause des précédentes tentatives d’expulsion et de nettoyage (crise aiguë) arrêtées par des médicaments, accumulation de toxines refoulées dans les profondeurs humorales.
  • Prolifération hors de contröle de microbes du fait d’un terrain surchargé. Le métabolisme de ces éboueurs va générer encore plus de déchets.
  • Émonctoires congestionnés, fatigués.
  • Energie vitale faible.
  • Carences.

Louis Pasteur, contemporain de Béchamp, a refusé de prendre en compte les microzymas. Ces derniers sont visibles sur le vivant à partir d’un grossissement de 750 et il a donc interdit à ses collaborateurs de dépasser un grossissement de 450 : Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ! Pasteur a élaboré la théorie de la « panspermie atmosphérique » (contagion aérienne) en mettant en route une guerre incessante aux germes venant soi-disant de l’extérieur.

Pour les naturopathes orthodoxes et les hygiénistes, l’idée que le microbe est la cause de la maladie est erronée ! Ce ne sont pas les mouches et les asticots qui font les ordures, mais les ordures qui font les mouches et les asticots…

La médecine moderne ne traite qu’avec des antibiotiques (anti-vie) et des vaccins qui ne sont absolument pas nécessaires… Puisque ces bactéries sont la conséquence et non la cause. Ce n’est donc pas sur le microbe qu’il faut agir mais sur le terrain de l’individu. Les antibiotiques bloquent le travail des microzymas et ralenti le rétablissement profond. Béchamp jugeait la vaccination scandaleuse, car « elle néglige la vitalité propre, indépendante, des microzymas de l’organisme ».

Le microzyma est capable de métaboliser certaines substances par un mécanisme de nutrition. On retrouve les diverses phases classiques que sont la digestion, l’assimilation, la respiration et la désassimilation. 

Dans certains cas, les microzymas, faute de certains éléments (carences, vitamine C, etc.), rejettent des toxines particulièrement néfastes. Lorsqu’ils n’ont pas su métaboliser complètement les substances ingérées.

Les maladies avec germes sont toujours des processus de guérison et de vie. Elles prennent un caractère de gravité qu’en cas de carences importantes ou de détérioration du terrain.

Il n’existe donc pas de guerre bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines. Il est d’ailleurs étonnant de constater que les divers globules blancs sont remplis de microzymas vivants se déplaçant à l’intérieur du cytoplasme. Il semble que l’une des fonctions des divers globules blancs soit justement de transporter les microzymas là où il y a besoin de main d’œuvre… Les cellules contiennent de très nombreux microzymas, il est donc facile de les accuser (assimiler au virus) d’être des parasites intracellulaires…

La pureté et la qualité des humeurs, les constantes bioélectroniques, la température, les antioxydants, le sucre et la dimension psychosomatique influencent les microzymas. Pensons donc aux fruits qui sont des nettoyants humoraux non encrassants, des aliments vivants vibratoires à hautes fréquences, riches en antioxydants, en vitamines, notamment en vitamine C, en eau organique et en sucres simples. Tout comme le sucre et la vitamine C, l’oxygène est du carburant pour les microzymas.

La théorie d’Antoine Béchamp est confirmée par la bioélectronique et les travaux du Pr. Louis-Claude Vincent sur le déplacement du terrain biologique.

Le polymorphisme microbien

Voici un exemple d’une des nombreuses observations qu’Antoine Béchamp a faites :

Un hiver, il a observé au microscope une plante grasse dont une partie avait été gelée. Qu’a t’il vu ?

  • Dans la partie gelée : des bactéries.
  • Dans la partie saine : des granulations moléculaires (visibles à x 700).
  • Dans la partie intermédiaire : des étapes de formation des bactéries à partir des granulations moléculaires (microzymas).

Bien entendu, il a reproduit, comme à son habitude très rigoureuse, en laboratoire en variant divers paramètres.

La plante était malade : seulement la cause de la maladie n’est pas la bactérie, mais le froid qui a changé les conditions du milieu (terrain), les bactéries n’en sont qu’une conséquence. Voire même une défense.

Le Prof. Antoine Béchamp, qui a eu une expérience hospitalière (ce que n’a jamais eu le chimiste PASTEUR), a découvert les microzymas, ces particules vivantes de la taille du micron (microsomes ? nano bactéries ? cellules-souches ?), constitutives de nos tissus, observables au microscope à fond noir (points blancs animés d‘un mouvement brownien), qui, par agrégation, sont capables de générer des bactéries ou des cellules saines selon la qualité du ‘’ terrain ‘’ sur lequel elles se trouvent (ce qui a été confirmé, indépendamment, par d’autres chercheurs, tout autant occultés voire persécutés…).

Plus généralement, bactéries, mycéliums (champignons) et virus sont des formes interchangeables, réversibles (poly- ou pléomorphisme), chaque fois que les caractéristiques du terrain se modifient.

Ce sont par conséquent nos terrains déséquilibrés qui sont responsables des maladies qui nous touchent, et pas les microbes et virus ! Ces derniers ne font que se développer sur des terrains qui leur sont momentanément favorables. Il est illusoire de vouloir guérir le malade en tentant de les exterminer, car ils ne sont pas directement responsables, et ils sont capables de changer de forme pour aller se mettre à l’abri !

Une même souche de microbes, cultivée sur des milieux différents donne des microbes différents. C’est ainsi qu’une culture de colibacilles peut donner naissance, au choix, à des streptocoques, pneumocoques, staphylocoques, etc. Ce transformisme microbien permet d’expliquer pourquoi une vaccination contre la diphtérie ou la variole peut déclencher une tuberculose, que la vaccination antivariolique peut trop souvent donner la syphilis, le BCG et le vaccin anticoquelucheux, la polio, etc. De tels accidents restaient jusqu’alors inexplicables scientifiquement. On se contentait de penser que la vaccination, en perturbant les humeurs, avait temporairement abaisser la résistance de l’organisme et permis l’invasion d’une autre ‘race’ microbienne, alors que ce sont les microbes inoculés qui ont évolué de façon ‘anormale’ et sont la cause directe de l’accident. 

Le Professeur Peter DUESBERG, virologue de l’Université de Californie à Berkeley, dénonce vigoureusement l’ineptie des arguments arrangés par les ‘’ chasseurs de virus ‘’ inconditionnels, alors qu’il s’agit de s’interroger sur les véritables causes des déficits immunitaires qui sont à l’origine du SIDA.

NdR71 : au sujet du Pr. Duesberg, voit la controverse en détail dans notre traduction du livre de RFK Jr « Le véritable A. Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre contre la démocratie et la danté publique »

Il n’est pas étonnant de rencontrer des virus sur les tissus et organes soumis à des conditions oxydantes, très souvent le siège de mécanismes de dégénérescence… mais il est absolument inutile de les accabler et de les pourchasser (sauf pour quelques laboratoires et quelques industriels…).

Nous pouvons donc mettre de côté toutes les peurs, à la mode aujourd’hui, par exemple autour de la soi-disant maladie de Lyme.

Les microbes qui peuplent l’humus sain et nos systèmes digestifs (microbiote) sont capables de nous faire profiter d’étonnantes transformations, ce qui signe la solidarité qui nous lie aux microbes.

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Le professeur de biologie Jules Tissot du muséum d’histoire naturelle de Paris confirma les thèses d’Antoine Béchamp sur le polymorphisme microbien et la nature bactérienne des êtres vivants. Il en apporta les preuves par des photographies de haute précision de cellules végétales et animales. Il démontra que les organismes vivants, quand ils se dérèglent, produisent eux-mêmes bactéries pathogènes et virus. Il fut victime, comme Béchamp, de la conspiration du silence entretenue par les pasteuriens qui l’attaquèrent violemment, dès la parution du premier volume de son œuvre magistrale, en 1926. Cette œuvre consacrait la ruine des idées pasteuriennes, en même temps qu’elle était susceptible de porter atteinte à des intérêts privés considérables représentés par la fabrication et la vente de sérums et vaccins, notamment…

En Allemagne, le chercheur zoologue, entomologiste, microbiologiste et médecin Günter Enderlein (1872-1968) appelle les microzymas : “Protits”. Il est devenu célèbre avec le concept de pléomorphisme ou polymorphisme des micro-organismes.

Plus récemment, Gaston Naessens (1924-2018) avec son 714-X découvert pour le traitement du cancer et ses recherches sur les somatides (microzymas). Dans le cas du cancer, par exemple, 1 à 2 ans avant l’apparition de la tumeur, la somatide commence à présenter des anomalies sans toutefois changer de forme. La tumeur n’est pas encore apparue, c’est le stade précancéreux. Si nous rétablissons la santé à ce moment là, la tumeur n’apparaîtra pas.

Les scientifiques travaillent actuellement sur ce qu’ils appellent : les “nanobes ou nanobactéries” (microzymas).

« L’Être vivant rempli de microzymas porte donc en lui-même les éléments essentiels de la vie, de la maladie, de la mort et de la destruction totale. » – A. Béchamp et Estor

Les microbes sont à la base de toutes les structures vivantes (il est aujourd’hui reconnu que nous renfermons plus de bactéries que de cellules), et ils ne demandent qu’à vivre en harmonie, pour le bénéfice de tous les écosystèmes, de toute la biosphère. Les charger de tous nos maux, prétendre qu’ils sont programmés pour nous détruire, et chercher à les exterminer sont d’une incommensurable absurdité, qui nous conduit à altérer et à dégrader de façon irréversible les structures intimes de la nature humaine, que nous léguons à notre descendance. Les microbes rencontrés dans les maladies ne sont pas leur cause, mais ils sont produits par le terrain déséquilibré du malade.” – Pr. André Fougerousse

« Il faut bien comprendre que l’hypothèse virale n’a jamais été prouvée et que jamais aucun scientifique n’a pu visualiser de manière objective un virus. Les superbes images proposées ici et là, sont la plupart du temps, des dessins réalisés par des infographistes, ou des montages plus ou moins grossiers. Quand par hasard nous avons une image un peu plus crédible, obtenue en général au microscope électronique, nous pouvons y reconnaître une petite bactérie ou un MICROZYMA ! Les épidémies s’expliquent par la psychosomatique. » – Dr. Alain Scohy 

La somatide est une particule élémentaire vivante, c’est un élément indispensable à la vie. Nous la retrouvons dans le domaine végétal et le domaine animal. Sans elle il n’y a pas de division cellulaire. Elle a un polymorphisme.” – Gaston Naessens, biologiste

« Les virus n’existent pas ! Ce que l’on prend pour de virus sont en réalité des fragments d’ADN ou d’ARN encapsulés (exosomes) qui sont excrétés, rejetés par nos cellules dans certaines conditions. Les virus n’existent pas selon la définition et les fonctions qui leur sont attribués. La médecine moderne n’est qu’un dogme, et la plupart des humains croient aux virus comme à une religion ! Les événements dramatiques que nous vivons sont la conséquence d’une présence inhabituelle d’ondes électromagnétiques dans notre environnement, dont une partie sont liés aux technologies de communication. » – Dr. Hugues Holleville

“Depuis 150 ans, les autorités ont réussi – et parviennent toujours – à imposer la médecine pasteurienne envers et contre tous. Envers et contre le bon sens, envers et contre la nature elle-même. Mais la nature a toujours le dernier mot… malheur à qui l’oublie ! Choisir entre Pasteur et Béchamp, c’est beaucoup plus qu’un choix de santé, c’est un choix de vie. La somatide est immortelle, elle est la source de la vie.” – Dr. Ghislaine Lanctôt

“Lorsque j’ai découvert le pléomorphisme, il y a à peu près 15 ans, en tant que médecin éduqué aux USA (22 ans à l’école de médecine), cela a été un choc profond dont je ne me suis sincèrement pas encore remis. Je suis choqué que l’on nous ait tant menti… La biologie que nous avions tous apprise à l’école de médecine est erronée et cela affecte tous les aspects de la médecine, de haut en bas. Le méchant microbe s’attaquant indifféremment à n’importe qui sans raisons, et la nécessité de s’immuniser contre lui, est un conte de fée pour effrayer les ignorants. La réalité de la médecine moderne est une religion juteuse pour ses prêtres et funeste pour ses croyants.” – Dr. Dennis Myers & Dr. Robert Miller, 2006.

« Les microbes ne sont pas transmis par contagion, mais fabriqués par les MICROZYMAS pour « poncer » les zones réparées, ou bien opérer des opérations chirurgicales spontanées et naturelles quand il le faut. » – Dr. Jean-Claude Fajeau

Les microbes ne sont pas la cause de la maladie mais son effet. Toute maladie a un sens biologique bien déterminé.” – Dr. Ryke Geerd Hamer

« Un microbe ne vit que si le milieu dans lequel il se trouve, lui permet d’exister. Comme on est axé sur les problèmes de microbes, on ne s’occupe pas du terrain, alors qu’on sait très bien qu’une variation de terrain peut très bien faire varier la nature du microbe, on le sait ! Seulement ça fait partie de ce qu’on ne dit pas ! Là aussi il y a un commerce qu’il ne faut pas déranger… » – Dr. Jeanne Rousseau

Un terrain affaibli laisse émerger des constituants qui, normalement, ne se manifestent pas. Les prétendus “agresseurs”, microbes, virus et autres prions sont des produits endogènes et non des “agresseurs venus d’ailleurs”… On prétend éradiquer des maladies alors que l’on en fait émerger de nouvelles, celles-ci pires encore, en refusant – par méconnaissance des mécanismes du vivant – de reconnaitre les conséquences néfastes du déplacement du terrain.” – Dr. Jacqueline Bousquet, CNRS

Le Dr. Béchamp et d’autres après lui comme Claude Bernard ont depuis longtemps prouvé plusieurs points d’une importance capitale concernant l’origine des microbes et des virus, et ceci s’opposant radicalement aux théories énoncées par Pasteur, théories qui à l’heure actuelle induisent le public en erreur.” – Daniel Kieffer, CENATHO

Le microzyma est l’unité de vie antérieure à la cellule. Il est spécifique à l’individu et à un organe.” – Cédric Mannu, CIRAB

« Les microbes ne sont pas la cause des maladies. Ils naissent par mutation de nos cellules. La théorie pasteurienne est un « sophisme ». Il n’y a pas d’organisme aseptique ; tout être est une « moisissure organisée », une collection de bons microbes, qui évoluent sous l’influence néfaste du milieu dans lequel ils se trouvent. Nos éléments cellulaires sont des microbes ou des anciens microbes qui peuvent prendre des allures différentes avec les altérations humorales variables selon les idiosyncrasies (apparition de microbes, bactéries, bacilles, virus par autogenèse). En d’autres termes, sous l’influence plus ou moins néfaste (mutante) des poisons des liquides humoraux qui les baignent, nos propres éléments histologiques refont, en sens inverse, le chemin de l’évolution déjà parcouru. Ils redeviennent ce qu’ils étaient à l’aube de la Vie : virus, bactéries, etc. » – Dr. Jules Tissot

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« Les microzymas, il s’agit de particules indestructibles, première manifestation de l’énergie dans la matière, structurant en permanence le corps physique de tous les êtres organisés, du virus à l’homme. Ces particules sont polymorphiques en fonction des paramètres physico-chimiques du milieu intérieur. Les travaux de Louis-Claude Vincent dans les années 50, confirmés par les découvertes les plus récentes de la microbiologie, démontrent en effet la possibilité d’une endogenèse microbienne, l’apparition spontanée de micro-organismes pathogènes ou symbiotes dans le milieu intérieur, par transformation successives de structures cellulaires telles que les microzymas que Béchamp nommait aussi « virus-gènes ». Ces transformations sont consécutives aux modifications de paramètres tels que le pH, le potentiel d’oxydoréduction ou la concentration en ions du milieu intérieur, eux-mêmes étroitement corrélés aux grands cycles cosmotelluriques comme la rotation de la Terre ou les cycles lunaire et solaire. Les épidémies suivent étroitement ces rythmes ‘extraterrestres’ auxquels nous ne pouvons nous soustraire. La constellation mouvante de nos ‘états d’âmes’, pensées et émotions, modifie elle aussi ces paramètres bioélectroniques, et participent donc à l’activation ou à la mise en sommeil des microbes que nous disons ‘pathogènes’ ». – Dr. Éric Ancelet

« La théorie microzymienne de Béchamp est à la biologie et à la microbiologie, ce que le tronc est à l’arbre. » – Dr. Marc Emily

« Les microzymas sont susceptibles d’évoluer en bactéries, les microbes pathogènes ne sont autres que les microzymas ou vibrioniens émanés d’un organisme malade. Ils ne sont pathogènes qu’au sortir de cet organisme, et leur morbidité s’atténue plus ou moins rapidement, soit dans l’être vivant, soit après culture. C’est un fait que l’on observe naturellement dans le cours des épidémies ou par le fait des expériences de laboratoires : IL Y A SIMPLEMENT CHANGMENT DE FONCTION DU MICROZYMA PAR MODIFICATION DU MILIEU VIVANT OU DU MILIEU ARTIFICIEL DE CULTURE. Nous pouvons comparer le microzyma à l’insecte qui est toujours le même animal sous sa forme de chenille, chrysalide, papillon. » – Pr. Dr. Ing. José Giralt-Gonzalez

« Le microzyma est le fondement de toute vie organique et les conditions du milieu physique, chimique, atmosphérique, dynamique déterminent les évolutions de ces micro-organismes avec celles des cellules, tissus, organes, appareils, systèmes divers des macro-organismes (végétaux, animaux, hommes, organiques). » – Dr. Louis De Brouwer

« Le microzyma de Béchamp est le facteur organique de la vie et le point de départ de tous les microbes pathologiques qu’amènent ces diverses formes de dégénérescence. Le microzyma est normal et biogène selon les voies physiologiques dans les bonnes conditions de milieu ; celles-ci changées, on voit le microzyma s’altérer et l’évolution cellulaire suivre des voies anormales. D’ores et déjà l’observateur physio-biologiste voit clair et peut conclure que l’évolution de la vie organique – normale ou pathologique – est connexe aux conditions de milieu. […] La nature proclame la loi : La santé s’alimente aux conditions sanitaires du microzyma et des cellules, la maladie se greffe sur les conditions opposées. » – Dr. Jules Vinderogel

« Aucun virus n’a jamais été isolé selon le Gold Standard (test de référence). […] L’humanité n’a jamais été capable de trouver les micro-organismes pathogènes. Les micro-organismes sont produits dans nos corps à partir de nos propres particules, les microzymas. Nous ne pouvons pas les transmettre à un autre organisme, c’est impossible. La thèse microbienne est une imposture. » –  Dr. Valentina Kiseleva

« J’ai défendu durant toute ma carrière scientifique longue de 40 ans la théorie d’Antoine Béchamp, qui me semble, effectivement, bien supérieure à celle de Louis Pasteur. Je n’ai donc aucune leçon à recevoir en ce domaine. Je l’ai fait au plus haut niveau universitaire possible et non par la bande ou en catimini. J’ai ainsi pu constater que la théorie de Pasteur collait beaucoup mieux à l’idéologie capitaliste dominante, que celle de Béchamp. C’est un fait qu’il faut considérer, même si cela ne nous plaît pas. Sachez aussi, que jusqu’à mon dernier souffle, je défendrai la théorie d’Antoine Béchamp contre ses détracteurs. » – Pr. Marc Henry

« Il a été établi plus précisément que la morphologie d’un micro-organisme peut se modifier lorsque les facteurs environnementaux changent. » – Dr. Ivan Wallin

Articles complémentaires :

Sources :

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Antoine Béchamp (1816-1908)
Docteur ès Sciences, Docteur Médecine, Professeur de chimie et doyen de l’université de Lille

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Guerre Ukraine par procuration : L’OTAN terroriste attaque l’Europe (Manlio Dinucci)

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Guerre ukraine : USA vs UE

L’OTAN attaque l’Europe

Manlio Dinucci

17 juin 2023

Source de l’article en français : 

https://www.mondialisation.ca/lotan-attaque-leurope/5678738

“Une équipe de saboteurs a utilisé la Pologne comme base opérationnelle pour faire sauter les gazoducs Nord Stream qui transportaient du gaz de la Russie en Allemagne à travers la Mer Baltique” : c’est ce qu’a établi une enquête officielle allemande, rapportée par The Wall Street Journal. Les enquêteurs allemands ont reconstruit la route en Mer Baltique du yacht Andromeda, provenant de Pologne, à bord duquel ils ont trouvé des traces de HMX, un explosif militaire pour la démolition d’infrastructures sous-marines. Ainsi s’ajoute un nouveau chapitre explosif à l’enquête du journaliste étasunien Seymour Hersh “Comment l’Amérique a démoli la gazoduc Nord Stream”. Tout est désormais prouvé.

En décembre 2021 est convoqué à la Maison Blanche un groupe de travail -composé d’officiers de la CIA, de l’État-Major et du Département d’État- avec la mission de saboter le Nord Stream. En juin 2022, pendant l’exercice OTAN Baltops, des patrouilleurs étasuniens et norvégiens, opérant à partir du yacht Andromeda envoyé de Pologne, placent les charges sous-marines.  Trois mois plus tard, le 26 septembre 2022, un avion P8 de la Marine norvégienne largue une bouée sonar, dont le signal fait exploser les charges.

Le Wall Street Journal le définit comme “un des plus grands actes de sabotage en Europe depuis la Seconde guerre mondiale”. C’est une action de guerre accomplie par trois membres de l’OTAN -États-Unis, Norvège et Pologne- contre l’Allemagne, membre de l’OTAN, pour empêcher l’Europe d’importer du gaz russe à bas coût. Le Secrétaire d’État Anthony Blinken a qualifié le blocage du Nord Stream d’”opportunité extraordinaire pour éliminer une fois pour toutes la dépendance de l’Europe de l’énergie russe, une énorme opportunité stratégique pour les années à venir” et a souligné que “les États-Unis sont devenus le principal fournisseur de gaz naturel liquéfié à l’Europe”. GNL, évidement, beaucoup plus cher que le gaz russe.

Maintenant arrivent à la conquête du marché énergétique européen Exxon, Chevron et d’autres compagnies USA qui “ont enregistré des profits record grâce à la flambée des prix du pétrole”. À cause du prix croissant de l’énergie -écrit le Wall Street Journal– “l’Eurozone glisse vers la récession, parce que l’inflation fait chuter la consommation, et l’Europe est bloquée par l’équivalent économique d’un long Covid”.   

Dans cette Europe a commencé “le plus grand déploiement de forces aériennes dans l’histoire de l’OTAN” avec l’exercice “Air Defender” qui se déroule en Allemagne sous commandement USA. 

OTANazi
OTANazi ou
Organisation Terroriste de l’Atlantique Nazifié

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Big Brother and Co… Avec « l’affaire du 8 décembre », le chiffrement des donnée numériques privées vu comme un acte de « clandestinité lié au terrorisme » (La Quadrature du Net)

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Rappel de ce qu’est “l’affaire du 8 décembre 2020” :

En cette date, interpellation en France par les flics de la DGSI (sécurité intérieure, ex-DST) de 9 personnes dites de “l’ultra-gauche” (anarchiste) pour avoir été au Rojava lutter contre Daesh (création de la CIA et des forces de l’OTAN) et participer à la révolution sociale s’y tenant depuis 2011 (depuis 2016 et la trahison du “contrat social du Rojava”, cette révolution sociale a été en grande partie infiltrée, récupérée par les Yankees pour contrôler la région et ses ressources énergétiques…). Accusés d’”association de malfaiteurs en lien avec une entreprise terroriste”, 7 des personnes interpelées seront placées en détention provisoire, 6 seront libérées sous contrôle judiciaire. La dernière personne demeurant en détention préventive et maintenue en régime d’isolement pendant plus d’un an.
Cette opération visant à discréditer les militants anarchistes partant au Rojava. La cible est l’ultragauche et faire passer le message de ce qui attend les dissidents au système. La cible est également les moyens de protection électronique que les personnes peuvent utilisées pour protéger leur vie privée devant l’invasion constante du mode de surveillance étatico-marchand. Il est important pour le système de discriminer et surtout contrôler les outils électroniques de protection afin que la surveillance puisse être totale. Ceci constitue à terme, une tentative de criminaliser des outils de chiffrement des communications comme les VPN, les logiciels Tor, les messageries encryptées comme Riseup et Protonmail. Tous ces outils emmerdent grandement le pouvoir car il freine la mise en place du contrôle numérique totalitaire complet. Qu’on ne s’y trompe pas, il s’agit là de pousser des réglementations plus drastiques et d’interdire les outils de chiffrement des communications. Il est important de lutter pour préserver notre droit absolu à la vie privée et de protéger nos vies de toute intrusion néfaste et de toute surveillance par la pourriture systémique étatico-marchande, qui ne rêve que de mettre en place une prison numérique pour un goulag urbain à la sauce 5G.
Ci-dessous, La Quadrature du Net nous rappelle les faits et les enjeux de cette affaire…
~ Résistance 71 ~

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Affaire du 8 décembre : le chiffrement des communications assimilé à un comportement terroriste

La Quadrature du Net

Juin 2023

Url de l’article original:

https://www.laquadrature.net/2023/06/05/affaire-du-8-decembre-le-chiffrement-des-communications-assimile-a-un-comportement-terroriste/

Cet article a été rédigé sur la base d’informations relatives à l’affaire dite du “8 décembre”1 dans laquelle 7 personnes ont été mises en examen pour « association de malfaiteurs terroristes » en décembre 2020. Leur procès est prévu pour octobre 2023. Ce sera le premier procès antiterroriste visant « l’ultragauche » depuis le fiasco de l’affaire Tarnac2.

L’accusation de terrorisme est rejetée avec force par les inculpé·es. Ces dernier·es dénoncent un procès politique, une instruction à charge et une absence de preuves. Ils et elles pointent en particulier des propos decontextualisés et l’utilisation à charge de faits anodins (pratiques sportives, numériques, lectures et musiques écoutées…)3. De son côté la police reconnaît qu’à la fin de l’instruction – et dix mois de surveillance intensive – aucun « projet précis » n’a été identifié4.

L’État vient d’être condamné pour le maintien à l’isolement du principal inculpé pendant 16 mois et dont il n’a été libéré qu’après une grève de la faim de 37 jours. Une seconde plainte, en attente de jugement, a été déposée contre les fouilles à nu illégales et répétées qu’une inculpée a subies en détention provisoire5.

De nombreuses personnalités, médias et collectifs leur ont apporté leur soutien6.

C’est dans ce contexte que nous avons été alerté du fait que, parmi les faits reprochés (pour un aperçu global de l’affaire, voir les références en notes de bas de page7), les pratiques numériques des inculpé·es, au premier rang desquelles l’utilisation de messageries chiffrées grand public, sont instrumentalisées comme autant de « preuves » d’une soi-disant « clandestinité » qui ne peut s’expliquer que par l’existence d’un projet terroriste.

Nous avons choisi de le dénoncer.

« Tous les membres contactés adoptaient un comportement clandestin, avec une sécurité accrue des moyens de communications (applications cryptées, système d’exploitation Tails, protocole TOR permettant de naviguer de manière anonyme sur internet et wifi public). » DGSI

« L’ensemble des membres de ce groupe se montraient particulièrement méfiants, ne communiquaient entre eux que par des applications cryptées, en particulier Signal, et procédaient au cryptage de leurs supports informatiques […]. » Juge d’instruction

Ces deux phrases sont emblématiques de l’attaque menée contre les combats historiques de La Quadrature du Net dans l’affaire du 8 décembre que sont le droit au chiffrement8 des communications9, la lutte contre l’exploitation des données personnelles par les GAFAM10, le droit à l’intimité et la vie privée ainsi que la diffusion et l’appropriation des connaissances en informatique11.

Mêlant fantasmes, mauvaise foi et incompétence technique, les éléments qui nous ont été communiqués révèlent qu’un récit policier est construit autour des (bonnes) pratiques numériques des inculpé·es à des fins de mise en scène d’un « groupuscule clandestin » et « conspiratif ».

Voici quelques-unes des habitudes numériques qui sont, dans cette affaire, instrumentalisées comme autant de « preuves » de l’existence d’un projet criminel12:

– l’utilisation d’applications comme Signal, WhatsApp, Wire, Silence ou ProtonMail pour chiffrer ses communications ;

– le recours à des outils permettant de protéger sa vie privée sur Internet comme un VPN, Tor ou Tails ;

– le fait de se protéger contre l’exploitation de nos données personnelles par les GAFAM via des services comme /e/OS, LineageOS, F-Droid ;

– le chiffrement de supports numériques ;

– l’organisation et la participation à des sessions de formation à l’hygiène numérique ;

– la simple détention de documentation technique.

Alors que le numérique a démultiplié les capacités de surveillance étatiques13, nous dénonçons le fait que les technologies qui permettent à chacun·e de rétablir un équilibre politique plus que jamais fragilisé soient associées à un comportement criminel à des fins de scénarisation policière.

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Le chiffrement des communications assimilé à un signe de clandestinité

Loin d’être un aspect secondaire de l’affaire, le lien supposé entre pratiques numériques et terrorisme apparaît dans la note de renseignements à l’origine de toute cette affaire.

Dans ce document, par lequel la DGSI demande l’ouverture d’une enquête préliminaire, on peut lire : « Tous les membres contactés adoptaient un comportement clandestin, avec une sécurité accrue des moyens de communications (applications cryptées, système d’exploitation Tails, protocole TOR permettant de naviguer de manière anonyme sur internet et wifi public). »

Cette phrase apparaîtra des dizaines de fois dans le dossier. Écrite par la DGSI, elle sera reprise sans aucun recul par les magistrat·es, au premier titre desquels le juge d’instruction mais aussi les magistrat·es de la chambre de l’instruction et les juges des libertés et de la détention.

Durant la phase d’enquête, l’amalgame entre chiffrement et clandestinité est mobilisé pour justifier le déploiement de moyens de surveillance hautement intrusifs comme la sonorisation de lieux privés. La DGSI les juge nécessaires pour surveiller des « individus méfiants à l’égard du téléphone » qui « utilisent des applications cryptées pour communiquer ».

Après leurs arrestations, les mis·es en examen sont systématiquement questionné·es sur leur utilisation des outils de chiffrement et sommé·es de se justifier : « Utilisez-vous des messageries cryptées (WhatsApp, Signal, Telegram, ProtonMail) ? », « Pour vos données personnelles, utilisez-vous un système de chiffrement ? », « Pourquoi utilisez-vous ce genre d’applications de cryptage et d’anonymisation sur internet ? ». Le lien supposé entre chiffrement et criminalité est clair: « Avez-vous fait des choses illicites par le passé qui nécessitaient d’utiliser ces chiffrements et protections ? », « Cherchez-vous à dissimuler vos activités ou avoir une meilleure sécurité ? ». Au total, on dénombre plus de 150 questions liées aux pratiques numériques.

Et preuve de l’existence d’« actions conspiratives »

À la fin de l’instruction, l’association entre chiffrement et clandestinité est reprise dans les deux principaux documents la clôturant : le réquisitoire du Parquet national antiterroriste (PNAT) et l’ordonnance de renvoi écrite par le juge d’instruction.

Le PNAT consacrera un chapitre entier aux « moyens sécurisés de communication et de navigation » au sein d’une partie intitulée… « Les actions conspiratives ». Sur plus de quatre pages le PNAT fait le bilan des « preuves » de l’utilisation par les inculpé·es de messageries chiffrées et autres mesures de protection de la vie privée. L’application Signal est particulièrement visée.

Citons simplement cette phrase : « Les protagonistes du dossier se caractérisaient tous par leur culte du secret et l’obsession d’une discrétion tant dans leurs échanges, que dans leurs navigations sur internet. L’application cryptée signal était utilisée par l’ensemble des mis en examen, dont certains communiquaient exclusivement [surligné dans le texte] par ce biais. ».

Le juge d’instruction suivra sans sourciller en se livrant à un inventaire exhaustif des outils de chiffrement qu’ont « reconnu » – il utilisera abondamment le champ lexical de l’aveu – utiliser chaque mis·e en examen : « Il reconnaissait devant les enquêteurs utiliser l’application Signal », « X ne contestait pas utiliser l’application cryptée Signal », « Il reconnaissait aussi utiliser les applications Tails et Tor », « Il utilisait le réseau Tor […] permettant d’accéder à des sites illicites ».

Criminalisation des connaissances en informatique

Au-delà du chiffrement des communications, ce sont aussi les connaissances en informatique qui sont incriminées dans cette affaire : elles sont systématiquement assimilées à un facteur de « dangerosité ».

La note de la DGSI, évoquée ci-dessus, précise ainsi que parmi les « profils » des membres du groupe disposant des « compétences nécessaires à la conduite d’actions violentes » se trouve une personne qui posséderait de « solides compétences en informatique et en communications cryptées ». Cette personne et ses proches seront, après son arrestation, longuement interrogé·es à ce sujet.

Alors que ses connaissances s’avéreront finalement éloignées de ce qu’avançait la DGSI – elle n’est ni informaticienne ni versé·e dans l’art de la cryptographie – le juge d’instruction n’hésitera pas à inscrire que cette personne a « installé le système d’exploitation Linux sur ses ordinateurs avec un système de chiffrement ». Soit un simple clic sur « oui » quand cette question lui a été posée lors de l’installation.

La simple détention de documentation informatique est elle aussi retenue comme un élément à charge. Parmi les documents saisis suite aux arrestations, et longuement commentés, se trouvent des notes manuscrites relatives à l’installation d’un système d’exploitation grand public pour mobile dégooglisé (/e/OS) et mentionnant diverses applications de protection de la vie privée (GrapheneOS, LineageOS, Signal, Silence, Jitsi, OnionShare, F-Droid, Tor, RiseupVPN, Orbot, uBlock Origin…).

Dans le procès-verbal où ces documents sont analysés, un·e agent·e de la DGSI écrit que « ces éléments confirment [une] volonté de vivre dans la clandestinité. ». Le PNAT suivra avec la formule suivante : « Ces écrits constituaient un véritable guide permettant d’utiliser son téléphone de manière anonyme, confirmant la volonté de X de s’inscrire dans la clandestinité, de dissimuler ses activités […]. ».

Ailleurs, la DGSI écrira que « […] la présence de documents liés au cryptage des données informatiques ou mobiles [dans un scellé] » matérialisent « une volonté de communiquer par des moyens clandestins. ».

Et de leur transmission

L’incrimination des compétences informatiques se double d’une attaque sur la transmission de ces dernières. Une partie entière du réquisitoire du PNAT, intitulée « La formation aux moyens de communication et de navigation sécurisée », s’attache à criminaliser les formations à l’hygiène numérique, aussi appelées « Chiffrofêtes » ou « Cryptoparties ».

Ces pratiques collectives et répandues – que La Quadrature a souvent organisées ou relayées – contribuent à la diffusion des connaissances sur les enjeux de vie privée, de sécurisation des données personnelles, des logiciels libres et servent à la réappropriation de savoirs informatiques par toutes et tous.

Qu’est-il donc reproché à ce sujet dans cette affaire ? Un atelier de présentation de l’outil Tails, système d’exploitation grand public prisé des journalistes et des défenseurs·ses des libertés publiques. Pour le PNAT c’est lors de cette formation que « X les a dotés de logiciels sécurisés et les a initiés à l’utilisation de moyens de communication et de navigation internet cryptés, afin de leur garantir l’anonymat et l’impunité ». Le lien fait entre droit à la vie privée et impunité, corollaire du fantasme policier d’une transparence totale des citoyen·nes, a le mérite d’être clair.

Le PNAT ajoutera: « X ne se contentait pas d’utiliser ces applications [de protection de la vie privée], il apprenait à ses proches à le faire ». Phrase qui sera reprise, mot pour mot, par le juge d’instruction.

Pire, ce dernier ira jusqu’à retenir cette formation comme un des « faits matériels » caractérisant « la participation à un groupement formé […] en vue de la préparation d’actes de terrorisme », tant pour la personne l’ayant organisé – « en les formant aux moyens de communication et de navigation internet sécurisés » – que pour celles et ceux l’ayant suivi – « en suivant des formations de communication et de navigation internet sécurisés ».

De son côté, la DGSI demandera systématiquement aux proches des mis·es en examen si ces dernier·es leur avaient recommandé l’utilisation d’outils de chiffrement : « Vous ont-ils suggéré de communiquer ensemble par messageries cryptées ? », « C’est lui qui vous a demandé de procéder à l’installation de SIGNAL ? ».

Une réponse inspirera particulièrement le PNAT qui écrira : « Il avait convaincu sa mère d’utiliser des modes de communication non interceptables comme l’application Signal. »

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« Êtes-vous anti-GAFA? »

Même la relation à la technologie et en particulier aux GAFAM – contre lesquels nous sommes mobilisés depuis de nombreuses années – est considérée comme un signe de radicalisation. Parmi les questions posées aux mis·es en examen, on peut lire : « Etes-vous anti GAFA ? », « Que pensez-vous des GAFA ? » ou encore « Eprouvez-vous une certaine réserve vis-à-vis des technologies de communication ? ».

Ces questions sont à rapprocher d’une note de la DGSI intitulée « La mouvance ultra gauche » selon laquelle ses « membres » feraient preuve « d’une grand culture du secret […] et une certaine réserve vis-à-vis de la technologie ».

C’est à ce titre que le système d’exploitation pour mobile dégooglisé et grand public /e/OS retient particulièrement l’attention de la DGSI. Un SMS intercepté le mentionnant sera longuement commenté. Le PNAT indiquera à son sujet qu’un·e inculpé·e s’est renseigné·e à propos d’un « nouveau système d’exploitation nommé /e/ […] garantissant à ses utilisateurs une intimité et une confidentialité totale ».

En plus d’être malhonnête – ne pas avoir de services Google n’implique en rien une soi-disante « confidentialité totale » – ce type d’information surprend dans une enquête antiterroriste.

Une instrumentalisation signe d’incompétence technique ?

Comment est-il possible qu’un tel discours ait pu trouver sa place dans un dossier antiterroriste ? Et ce sans qu’aucun des magistrat·es impliqué·es, en premier lieu le juge d’instruction et les juges des libertés et de la détention, ne rappelle que ces pratiques sont parfaitement légales et nécessaires à l’exercice de nos droits fondamentaux ? Les différentes approximations et erreurs dans les analyses techniques laissent penser que le manque de compétences en informatique a sûrement facilité l’adhésion générale à ce récit.

À commencer par celles de la DGSI elle-même, dont les rapports des deux centres d’analyses techniques se contredisent sur… le modèle du téléphone personnel du principal inculpé.

Quant aux notions relatives au fonctionnement de Tor et Tails, bien qu’au centre des accusations de « clandestinité », elles semblent bien vagues.

Un·e agent·e de la DGSI écrira par exemple, semblant confondre les deux : « Thor [sic] permet de se connecter à Internet et d’utiliser des outils réputés de chiffrement de communications et des données. Toutes les données sont stockées dans la mémoire RAM de l’ordinateur et sont donc supprimées à l’extinction de la machine ». Ne serait-ce pas plutôt à Tails que cette personne fait allusion?

Quant au juge d’instruction, il citera des procès verbaux de scellés relatifs à des clés Tails, qui ne fonctionnent pas sur mobile, comme autant de preuves de connaissances relatives à des « techniques complexes pour reconfigurer son téléphone afin de le rendre anonyme ». Il ajoutera par ailleurs, tout comme le PNAT, que Tor permet de « naviguer anonymement sur internet grâce au wifi public » – comme s’il pensait qu’un wifi public était nécessaire à son utilisation.

La DGSI, quant à elle, demandera en garde à vue les « identifiants et mots de passe pour Tor » – qui n’existent pas – et écrira que l’application « Orbot », ou « Orboot » pour le PNAT, serait « un serveur ‘proxy’ TOR qui permet d’anonymiser la connexion à ce réseau ». Ce qui n’a pas de sens. Si Orbot permet bien de rediriger le trafic d’un téléphone via Tor, il ne masque en rien l’utilisation faite de Tor14.

Les renseignements intérieurs confondent aussi Tails avec le logiciel installé sur ce système pour chiffrer les disques durs – appelé LUKS – lorsqu’elle demande: « Utilisez vous le système de cryptage “Tails” ou “Luks” pour vos supports numériques ? ». S’il est vrai que Tails utilise LUKS pour chiffrer les disques durs, Tails est un système d’exploitation – tout comme Ubuntu ou Windows – et non un « système de cryptage ». Mentionnons au passage les nombreuses questions portant sur « les logiciels cryptés (Tor, Tails) ». Si Tor et Tails ont bien recours à des méthodes chiffrement, parler de « logiciel crypté » dans ce contexte n’a pas de sens.

Notons aussi l’utilisation systématique du terme « cryptage », au lieu de « chiffrement ». Si cet abus de langage – tel que qualifié par la DGSI sur son site – est commun, il trahit l’amateurisme ayant conduit à criminaliser les principes fondamentaux de la protection des données personnelles dans cette affaire.

Que dire enfin des remarques récurrentes du juge d’instruction et du PNAT quant au fait que les inculpé·es chiffrent leurs supports numériques et utilisent la messagerie Signal ?

Savent-ils que la quasi-totalité des ordinateurs et téléphones vendus aujourd’hui sont chiffrés par défaut15? Les leurs aussi donc – sans quoi cela constituerait d’ailleurs une violation du règlement européen sur la protection des données personnelles16.

Quant à Signal, accuseraient-ils de clandestinité la Commission Européenne qui a, en 2020, recommandé son utilisation à son personnel17? Et rangeraient-ils du côté des terroristes le rapporteur des nations Unies qui rappelait en 2015 l’importance du chiffrement pour les droits fondamentaux18 ? Voire l’ANSSI et la CNIL qui, en plus de recommander le chiffrement des supports numériques osent même… mettre en ligne de la documentation technique pour le faire19 ?

En somme, nous ne pouvons que les inviter à se rendre, plutôt que de les criminaliser, aux fameuses « Chiffrofêtes » où les bases des bonnes pratiques numériques leur seront expliquées.

Ou nécessité d’un récit policier ?

Si un tel niveau d’incompétence technique peut permettre de comprendre comment a pu se développer un fantasme autour des pratiques numériques des personnes inculpé·es, cela ne peut expliquer pourquoi elles forment le socle du récit de « clandestinité » de la DGSI.

Or, dès le début de l’enquête, la DGSI détient une quantité d’informations considérables sur les futur·es mis·es en examen. À l’ère numérique, elle réquisitionne les données détenues par les administrations (Caf, Pôle Emploi, Ursaff, Assurance-Maladie…), consulte les fichiers administratifs (permis de conduire, immatriculation, SCA, AGRIPPA), les fichiers de police (notamment le TAJ) et analyse les relevés téléphoniques (fadettes). Des réquisitions sont envoyées à de nombreuses entreprises (Blablacar, Air France, Paypal, Western Union…) et le détail des comptes bancaires est minutieusement analysé20.

À ceci s’ajoutent les informations recueillies via les mesures de surveillances ayant été autorisées – comptant parmi les plus intrusives que le droit permette tel la sonorisation de lieux privés, les écoutes téléphoniques, la géolocalisation en temps réel via des balises gps ou le suivi des téléphones, les IMSI catcher – et bien sûr les nombreuses filatures dont font l’objet les « cibles ».

Mais, alors que la moindre interception téléphonique évoquant l’utilisation de Signal, WhatsApp, Silence ou Protonmail fait l’objet d’un procès-verbal – assorti d’un commentaire venant signifier la « volonté de dissimulation » ou les « précautions » témoignant d’un « comportement méfiant » – comment expliquer que la DGSI ne trouve rien de plus sérieux permettant de valider sa thèse parmi la mine d’informations qu’elle détient ?

La DGSI se heurterait-elle aux limites de son amalgame entre pratiques numériques et clandestinité ? Car, de fait, les inculpé·es ont une vie sociale, sont déclarées auprès des administrations sociales, ont des comptes bancaires, une famille, des ami·es, prennent l’avion en leur nom, certain·es travaillent, ont des relations amoureuses…

En somme, les inculpé·es ont une vie « normale » et utilisent Signal. Tout comme les plus de deux milliards d’utilisateurs et utilisatrices de messageries chiffrées dans le monde21. Et les membres de la Commission européenne…

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Chiffrement et alibi policier

La mise en avant du chiffrement offre un dernier avantage de choix au récit policier. Elle sert d’alibi pour expliquer l’absence de preuves quant à l’existence d’un soi-disant projet terroriste. Le récit policier devient alors : ces preuves existent, mais elles ne peuvent pas être déchiffrées.

Ainsi le juge d’instruction écrira que si les écoutes téléphoniques n’ont fourni que « quelques renseignements utiles », ceci s’explique par « l’usage minimaliste de ces lignes » au profit d’« applications cryptées, en particulier Signal ». Ce faisant, il ignore au passage que les analyses des lignes téléphoniques des personnes inculpées indiquent une utilisation intensive de SMS et d’appels classiques pour la quasi-totalité d’entre elles.

Ce discours est aussi appliqué à l’analyse des scellés numériques dont l’exploitation n’amène pas les preuves tant espérées. Suite aux perquisitions, la DGSI a pourtant accès à tout ou partie de six des sept téléphones personnels des inculp·ées, à cinq comptes Signal, à la majorité des supports numériques saisis ainsi qu’aux comptes mails et réseaux sociaux de quatre des mis·es en examen. Soit en tout et pour tout des centaines de gigaoctets de données personnelles, de conversations, de documents. Des vies entières mises à nu, des intimités violées pour être offertes aux agent·es des services de renseignements.

Mais rien n’y fait. Les magistrat·es s’attacheront à expliquer que le fait que trois inculpé·es refusent de fournir leurs codes de déchiffrement – dont deux ont malgré tout vu leurs téléphones personnels exploités grâce à des techniques avancées – entrave « le déroulement des investigations » et empêche « de caractériser certains faits ». Le PNAT ira jusqu’à regretter que le refus de communiquer les codes de déchiffrement empêche l’exploitation… d’un téléphone cassé et d’un téléphone non chiffré. Après avoir tant dénoncé le complotisme et la « paranoïa » des inculpé·es, ce type de raisonnement laisse perplexe22.

Antiterrorisme, chiffrement et justice préventive

Il n’est pas possible de comprendre l’importance donnée à l’association de pratiques numériques à une soi-disant clandestinité sans prendre en compte le basculement de la lutte antiterroriste « d’une logique répressive à des fins préventives »23 dont le délit « d’association de malfaiteurs terroristes en vue de » (AMT) est emblématique24. Les professeur·es Julie Alix et Oliver Cahn25 évoquent une « métamorphose du système répressif » d’un droit dont l’objectif est devenu de « faire face, non plus à une criminalité, mais à une menace ».

Ce glissement vers une justice préventive « renforce l’importance des éléments recueillis par les services de renseignements »26 qui se retrouvent peu à peu libres de définir qui représente une menace « selon leurs propres critères de la dangerosité »27.

Remplacer la preuve par le soupçon, c’est donc substituer le récit policier aux faits. Et ouvrir la voie à la criminalisation d’un nombre toujours plus grands de comportements « ineptes, innocents en eux-mêmes »28 pour reprendre les mots de François Sureau. Ce que critiquait déjà, en 1999, la Fédération internationale des droits humains qui écrivait que « n’importe quel type de “preuve”, même insignifiante, se voit accorder une certaine importance »29.

Et c’est exactement ce qu’il se passe ici. Des habitudes numériques répandues et anodines sont utilisées à charge dans le seul but de créer une atmosphère complotiste supposée trahir des intentions criminelles, aussi mystérieuses soient-elles. Atmosphère dont tout laisse à penser qu’elle est, justement, d’autant plus nécessaire au récit policier que les contours des intentions sont inconnus.

À ce titre, il est particulièrement frappant de constater que, si la clandestinité est ici caractérisée par le fait que les inculpé·es feraient une utilisation « avancée » des outils technologiques, elle était, dans l’affaire Tarnac, caractérisée par le fait… de ne posséder aucun téléphone portable30. Pile je gagne, face tu perds31.

Toutes et tous terroristes

À l’heure de conclure cet article, l’humeur est bien noire. Comment ne pas être indigné·e par la manière dont sont instrumentalisées les pratiques numériques des inculpé·es dans cette affaire ?

Face au fantasme d’un État exigeant de toute personne une transparence totale au risque de se voir désignée comme « suspecte », nous réaffirmons le droit à la vie privée, à l’intimité et à la protection de nos données personnelles. Le chiffrement est, et restera, un élément essentiel pour nos libertés publiques à l’ère numérique.

Soyons clair: cette affaire est un test pour le ministère de l’intérieur. Quoi de plus pratique que de pouvoir justifier la surveillance et la répression de militant·es parce qu’ils et elles utilisent WhatsApp ou Signal?

Auditionné par le Sénat suite à la répression de Sainte-Soline, Gérald Darmanin implorait ainsi le législateur de changer la loi afin qu’il soit possible de hacker les portables des manifestant·es qui utilisent « Signal, WhatsApp, Telegram » en des termes sans équivoque: « Donnez-nous pour la violence des extrêmes les mêmes moyens que le terrorisme ».

Pour se justifier, il avançait qu’il existe « une paranoia avancée très forte dans les milieux d’ultragauche […] qui utilisent des messageries cryptées » ce qui s’expliquerait par une « culture du clandestin ». Un véritable copier-coller de l’argumentaire policier développé dans l’affaire du 8 décembre. Affaire qu’il citera par ailleurs – au mépris de toute présomption d’innocence – comme l’exemple d’un « attentat déjoué » de « l’ultragauche »32 pour appuyer son discours visant à criminaliser les militant·es écologistes.

Voici comment la criminalisation des pratiques numériques s’inscrit dans la stratégie gouvernementale de répression de toute contestation sociale. Défendre le droit au chiffrement, c’est donc s’opposer aux dérives autoritaires d’un pouvoir cherchant à étendre, sans fin, les prérogatives de la lutte « antiterroriste » via la désignation d’un nombre toujours plus grand d’ennemis intérieurs33.

Après la répression des personnes musulmanes, des « écoterroristes », des « terroristes intellectuels », voici venu la figure des terroristes armé·es de messageries chiffrées. Devant une telle situation, la seule question qui reste semble être : « Et toi, quel·le terroriste es-tu ? ».

References

References

↑1, ↑7 Pour un résumé de l’affaire du 8 décembre voir notamment les témoignages disponibles dans cet article de la Revue Z, cet article de Lundi matin, les articles des comités de soutien suivants (ici ici et ici) et la page Wikipedia ici.
↑2 L’affaire de Tarnac est un fiasco judiciaire de l’antiterrorisme français. Les inculpé·es ont tous et toutes été relaxé·es après dix années d’instruction. C’est la dernière affaire antiterroriste visant les mouvements de gauche en France.
↑3 Voir cette lettre ouverte au juge d’instruction, cette lettre de Libre Flot au moment de commencer sa grève de la faim, cette compilation de textes publiés en soutien aux inculpé·es ici, l’émission de Radio Pikez disponible ici et celle-ci de Radio Parleur, un article du Monde Diplomatique d’avril 2021 disponible ici et les articles publiés sur les sites des comités de soutien ici et ici.
↑4 Voir notamment cet article du monde.
↑5 Sur les recours déposés par Camille et LibreFlot, voir le communiqué de presse ici. Sur la condamnation de l’État sur le maintien illégal à l’isolement de LibreFlot, voir l’article de Reporterre disponible ici et de Ouest-France disponible ici. Sur ses conditions de vie à l’isolement et sa grève de la faim, voir notamment cette compilation d’écrits de LibreFlot et le témoignage joint au communiqué de presse évoqué ci-avant.
↑6 Voir la tribune de soutien signée plusieurs collectifs et intellectuelles féministes ici, la tribune de soutien du collectif des combattantes et combattants francophones du Rojava ici et la tribune de soutien signée par plusieurs médias et personnalités disponible ici.
↑8 Pour rappel, aujourd’hui le chiffrement est partout. Sur Internet, il est utilisé de manière transparente pour assurer la confidentialité de nos données médicales, coordonnées bancaires et du contenu des pages que nous consultons. Il protège par ailleurs une part croissante de nos communications à travers l’essor des messageries chiffrées comme WhatsApp ou Signal et équipe la quasi-totalité des ordinateurs et téléphones portables vendus aujourd’hui pour nous protéger en cas de perte ou de vol.
↑9 Le droit au chiffrement des communications, et en particulier le chiffrement de bout en bout, c’est-à-dire des systèmes de communications « où seules les personnes qui communiquent peuvent lire les messages échangés » dont l’objectif est de « résister à toute tentative de surveillance ou de falsification », est régulièrement attaqué par les États au motif qu’il favoriserait la radicalisation politique et constituerait un obstacle majeur à la lutte contre le terrorisme. Récemment, on peut citer un article de Nextinpact décrivant l’appel en avril dernier des services de polices internationaux à Meta (Facebook) pour que Messenger n’intègre pas le chiffrement de bout-en-bout et disponible ici, le projet de loi américain EARN IT, les discussions européennes autour du CSAR ou britannique « Online Safety Bill », deux projets qui, par nature, représentent la fin du chiffrement de bout en bout en forçant les fournisseurs de messageries chiffrées à accéder à tout échange pour les vérifier. Une tribune a été publiée le 4 mai dernier, journée de la liberté de la presse, par une quarantaine d’organisations dénonçant ces différents projets. En 2016 et 2017, de nombreuses voix ont réagi aux velléités françaises et allemandes de limiter le chiffrement de bout en bout. À ce sujet, voir notamment cet article de La Quadrature, mais aussi les réponses de l’Agence européenne pour la cybersécurité, de la CNIL et du Conseil National du Numérique ou encore de l’Agence national pour la sécurité des systèmes d’information ici.
↑10 Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft.
↑11 Parmi les dernières actions de La Quadrature pour le droit au chiffrement et le respect de la vie privée sur Internet, voir notamment notre intervention au Conseil constitutionel contre l’obligation de donner ses codes de déchiffrement en 2018 ici, contre le réglement de censure terroriste adopté en 2021 ici, nos prises de positions suite aux attaques étatiques contre le chiffrement de bout-en-bout en 2016/2017 (ici, ici et ici), ou encore notre plainte collective contre les GAFAM déposée en 2018. Voir aussi nos prises de positions lors du projet de loi Terrorisme en 2014 ici et la loi renseignement en 2015 ici.
↑12 La criminalisation des pratiques numériques est discutée dans cet article de CQFD par Camille, une inculpée du 8 décembre.
↑13 La surveillance généralisée via les outils numériques a notamment été révélée par Snowden en 2013). Concernant les enquêtes policières, le discours selon lequel le chiffrement serait un obstacle à leur avancée est pour le moins incomplet. La généralisation du recours au chiffrement ne peut être analysée qu’en prenant en compte le cadre historique de la numérisation de nos sociétés. Cette numérisation s’est accompagnée d’une accumulation phénoménale de données sur chacun·e, et dans une large partie accessibles à la police. Ainsi, le chiffrement ne fait que rétablir un équilibre dans la défense du droit à la vie privée à l’ère numérique. Dans une étude commanditée par le ministère néerlandais de la justice et de la sécurité publiée en 2023 et disponible ici, des policiers expliquent clairement ce point : « Nous avions l’habitude de chercher une aiguille dans une botte de foin et maintenant nous avons une botte de foin d’aiguilles. En d’autres termes, on cherchait des preuves pour une infraction pénale dans le cadre d’une affaire et, aujourd’hui, la police dispose d’un très grand nombre de preuves pour des infractions pénales pour lesquelles des affaires n’ont pas encore été recherchées ». D’autre part, d’autres techniques peuvent être utilisées pour contourner le chiffrement comme l’expliquait l’Observatoire des libertés et du Numérique en 2017 ici et la magistrate Laurence Blisson dans l’article « Petits vices et grandes vertus du chiffrement » publié dans la revue Délibérée en 2019 et disponible ici.
↑14 La connexion à Tor peut être masquée via l’utilisation de pont. Voir ici.
↑15 Pour le chiffrement sur Windows, voir la page Wikipedia de Bitlocker et la documentation de Microsoft. Pour le chiffrement sur Android, voir la documentation officielle et l’article de Wire ici. Pour Apple, voir leur documentation ici.
↑16 Voir le guide pratique du RGPD publié par la CNIL et disponible ici. Il y est écrit : « Le règlement général sur la protection des données (RGPD) précise que la protection des données personnelles nécessite de prendre les “mesures techniques et organisationnelles appropriées afin de garantir un niveau de sécurité adapté au risque”. Cette exigence s’impose aussi bien au responsable du traitement de données personnelles qu’aux sous-traitants impliqués (article 32 du RGPD) ».
↑17 Voir l’article de Politico disponible ici.
↑18 Voir le rapport du rapporteur des Nations Unies, David Kaye, sur la protection de la liberté d’expression et d’opinion et disponible ici. Voir aussi les prises de position de l’Agence national pour la sécurité des systèmes d’information ici, de la Commission nationale de l’informatique et des libertés, et du Conseil National du Numérique ici ou de l’Agence européenne pour la cybersécurité ici, et le document de l’Observatoire des libertés et du numérique signé notamment par la Ligue des droits de l’Homme, le Syndicat de la magistrature, Amnesty International et le Syndicat des avocats de France ici.
↑19 Voir le guide de l’hygiène numérique de l’ANSSI préconisant le chiffrement de ses disques durs et disponible ici. Voir aussi la page chiffrement de la CNIL ici et son guide de chiffrement des données ici.
↑20 Mentionnons les données détenues par les administrations (Assurance maladie, Pôle emploi, les Caisses d’allocations familiales, les URSSAF, les impôts), les fichiers administratifs (permis de conduire, immatriculation, SCA, AGRIPPA), les fichiers de police (notamment le TAJ), les relevés téléphoniques (fadettes). Les réquisitions effectuées par la DGSI auprès des administrations et des entreprises varient selon les inculpé·es. De manière générale, sont contactés Pôle Emploi, la CAF, l’Assurance Maladie, les banques et les opérateurs de téléphonie.
↑21 En 2020, WhatsApp annonçait compter plus de deux milliards d’utilisateurs et utilisatrices. À ceci s’ajoutent celles et ceux d’autres applications de messageries chiffrées comme Signal, Silence, Wire… Voir cet article du Monde.
↑22 Cette affaire ne fait par ailleurs que confirmer notre opposition, portée devant le Conseil constitutionel en 2018, à l’obligation de fournir ses codes de déchiffrement et dont nous rappellions récemment l’utilisation massive pour les personnes placées en gardes à vue. En plus d’être particulièrement attentatoire à la vie privée et au droit de ne pas s’auto-incriminer, cette obligation a, dans cette affaire, été utilisée comme un moyen de pression au maintien des mesures de détention provisoire et même mise en avant pour justifier le refus d’accès au dossier d’instruction à un·e des inculpé·es. A ce sujet voir notre article revenant sur l’utilisation de cette mesure lors des gardes à vue ici et notre article présentant la question prioritaire de ponstitutionalité posée par La Quadrature à ce sujet en 2018.
↑23, ↑26 Pauline Le Monnier de Gouville, « De la répression à la prévention. Réflexion sur la politique criminelle antiterroriste », Les cahiers de la Justice, 2017. Disponible ici.
↑24 Voir l’article de la magistrate Laurence Buisson « Risques et périls de l’association de malfaiteurs terroriste » publié en 2017 dans la revue Délibérée et disponible ici.
↑25, ↑27 Julie Alix et Olivier Cahn, « Mutations de l’antiterrorisme et émergence d’un droit répressif de la sécurité nationale », Revue de science criminelle et de droit pénal comparé, 2017. Disponible ici.
↑28 Intervention devant le Conseil constitutionnel sur le délit d’« Entreprise individuelle terroriste » en 2017. Une rediffusion est disponible ici.
↑29 Fédération Internationale des Droits Humains, Rapport « La porte ouverte à l’arbitraire », 1999. Voir aussi le rapport de Human Rights Watch de 2008 intitulé « La justice court-circuitée. Les lois et procédure antiterroristes en France » et disponible ici. Voir aussi l’entretien dans Lundi matin avec une personne revenant du Rojava, citée ici, revenant sur la criminalisation de la parole.
↑30 Voir le rapport de la DCPJ du 15 novembre 2008 et disponible ici et les chapitres « Benjamin R. » et « Mathieu B. », pages 109 et 143 du livre Tarnac, Magasin Général de David Dufresne (édition de poche).
↑31 Voir notamment l’archive du site des comités de soutien aux inculpé·es de Tarnac ici, une tribune de soutien publiée en 2008 ici et cette interview de Julien Coupat. Voir aussi le livre de David Dufresne Tarnac, Magasin Général.
↑32 Son audition est disponible ici. Voir à partir de 10:53:50 et 10:55:20 pour les moyens de l’antiterrorisme et à 10:20:19 pour la référence à l’affaire du 8 décembre. Voir aussi sur BFM ici Gérald Darmanin utiliser l’affaire du 8 décembre pour dénoncer la « menace d’ultragauche ».
↑33 Voir notamment les livres L’ennemi intérieur. La généalogie coloniale et militaire de l’ordre sécuritaire dans la France contemporaine de Mathieu Rigouste et Répression. L’État face aux contestations politiques de Vanessa Codaccioni.

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chiffrenum3

Tribune : Attachés aux libertés fondamentales dans l’espace numérique, nous défendons le droit au chiffrement des communications

La Quadrature du Net

15 juin 2023

Source:

https://www.laquadrature.net/2023/06/15/tribune-attaches-aux-libertes-fondamentales-dans-lespace-numerique-nous-defendons-le-droit-au-chiffrement-de-nos-communications/

Cette tribune a été rédigée suite à la publication de notre article sur la criminalisation des pratiques numériques des inculpé·es de l’affaire du 8 décembre. Cette tribune a été signée par plus de 130 personnes et organisations et publiée hier sur le site du journal Le Monde. La liste complète des signataires est disponible ici.

Chiffrer ses communications est une pratique banale qui permet qu’une correspondance ne soit lue par personne d’autre que son destinataire légitime. Le droit au chiffrement est le prolongement de notre droit à la vie privée, protégé par l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme, qui garantit à chacun le « droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance ».

Toute personne qui souhaite protéger sa vie privée peut chiffrer ses communications. Cela concerne aussi bien des militants, des défenseurs des droits humains, des journalistes, des avocats, des médecins… que de simples parents ou amis. Dans le monde entier, le chiffrement est utilisé pour enquêter sur la corruption, s’organiser contre des régimes autoritaires ou participer à des transformations sociales historiques. Le chiffrement des communications a été popularisé par des applications comme WhatsApp ou Signal.

En 2022, ce sont ainsi plus de deux milliards de personnes qui chiffrent quotidiennement leurs communications pour une raison simple : protéger sa vie privée nous renforce toutes et tous. Pourtant, le droit au chiffrement est actuellement attaqué par les pouvoirs policiers, judiciaires et législatifs en France, mais aussi dans l’Union européenne, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. En tant que société, nous devons choisir. Acceptons-nous un futur dans lequel nos communications privées peuvent être interceptées à tout moment et chaque personne considérée comme suspecte ?

Le chiffrement des communications utilisé comme « preuve » d’un comportement clandestin… donc terroriste

La Quadrature du Net a récemment révélé des informations relatives à l’affaire dite du « 8 décembre » (2020) dans laquelle neuf personnes de l’« ultragauche » – dont l’une avait précédemment rejoint la lutte contre l’organisation Etat islamique aux côtés des combattants kurdes des Unités de protection du peuple (YPG) – ont été arrêtées par la DGSI et le RAID. Sept ont été mises en examen pour « association de malfaiteurs terroristes », et leur procès est prévu pour octobre 2023. Ces éléments démontrent, de la part de la police française, une volonté sans précédent de criminaliser l’usage des technologies de protection de la vie privée.

Le chiffrement des communications est alors utilisé comme « preuve » d’un comportement clandestin… donc terroriste ! Des pratiques de sécurité numérique parfaitement légales et responsables – dont le chiffrement des communications qui est pourtant soutenu, et recommandé, par de nombreuses institutions, comme les Nations unies, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL), l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi), l’Agence européenne pour la cybersécurité (Enisa) ou la Commission européenne – sont criminalisées à des fins de mise en scène d’un « groupuscule clandestin » vivant dans « le culte du secret ».

Outre l’usage de messageries chiffrées sont aussi incriminées des pratiques telles que le recours à des services comme Proton Mail pour chiffrer ses e-mails, l’utilisation d’outils permettant de protéger la confidentialité de sa navigation sur Internet (VPN, Tor, Tails), de se protéger contre la surveillance des Gafam, le simple chiffrement d’ordinateurs personnels ou encore l’organisation de formations à la protection numérique (chiffro-fêtes).

Rejet de l’amalgame entre protection des données et terrorisme

Par la criminalisation du chiffrement et de pratiques répandues de sécurité informatique, la police française vise à construire un récit selon lequel les sept personnes mises en examen vivraient « dans la clandestinité ». En l’absence d’un projet terroriste prouvé et avéré, cette prétendue « clandestinité » devient une preuve de l’existence cachée d’un projet inconnu.

Nous, journalistes, activistes, fournisseurs de services tech ou simples citoyens attentifs à la protection des données à l’ère numérique, sommes profondément révoltés de voir qu’un tel amalgame entre la protection basique des données et le terrorisme puisse être alimenté par les services de renseignement et la justice antiterroriste française.

Nous sommes scandalisé·es que des mesures nécessaires à la protection des données personnelles et de la vie privée soient désignées comme des indices d’« actions conspiratives » de personne vivant supposément dans le « culte du secret ».

Nous dénonçons le fait qu’une formation classique et bienveillante au numérique, portant sur Tails, un système d’exploitation grand public développé pour la protection de la vie privée et la lutte contre la censure, puisse constituer un des « faits matériels » caractérisant « la participation à un groupement formé […] en vue de la préparation d’actes de terrorisme ».

Sous prétexte de terrorisme, le système judiciaire français incrimine des pratiques basiques de sécurité. Mais l’exemple français ne représente malheureusement pas l’unique tentative d’affaiblir le droit au chiffrement. A Bruxelles, la Commission européenne a proposé en 2022 le règlement Child Sexual Abuse Regulation (CSAR). Au nom de la lutte contre la pédopornographie, ce texte veut obliger les fournisseurs de messageries chiffrées à donner accès à chacun de nos messages pour les vérifier.

Pour un numérique émancipateur, libre et décentralisé

De nombreuses voix se sont élevées contre cette proposition, parmi lesquelles celles de cent trente organisations internationales. Elles dénoncent notamment l’absence de considération pour la mise en place d’autres moyens qui permettraient de lutter contre ces graves infractions de manière moins liberticide. De récentes fuites ont d’autre part révélé que des pays comme l’Espagne veulent purement et simplement interdire le chiffrement de bout en bout.

En Grande-Bretagne, le projet de loi Online Safety Bill et, aux Etat-Unis, le projet EARN IT s’ajoutent à cette inquiétante guerre contre le chiffrement. Attachés à promouvoir et défendre les libertés fondamentales dans l’espace numérique, nous défendons le droit au chiffrement et continuerons à utiliser et à créer des outils protégeant la vie privée.

Nous refusons que les services de renseignement, les juges ou les fonctionnaires de police puissent criminaliser nos activités au motif qu’elles seraient « suspectes ». Nous continuerons de nous battre pour un numérique émancipateur, libre et décentralisé afin de bâtir une société plus digne pour toutes et tous. Le combat pour le chiffrement est un combat pour un futur juste et équitable.

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Dans le même temps :

Il n’y a pas de solution au sein du système ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

RR

De la vie des marionnettes : R.F.Kennedy Jr annonce son soutien à l’entité sioniste criminelle d’apartheid pour valider sa campagne électorale (Kurt Nimmo)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, colonialisme, crise mondiale, guerres hégémoniques, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , on 19 juin 2023 by Résistance 71

Nous avons dit quelque part en commentaire que la plus grosse connerie que puisse faire RFK Jr serait de se présenter à la présidence et bingo… Le bouffon bouffonne et il s’avère que c’est une pute politicarde comme les autres. Nous pensons que les infos présentées dans son livre “Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates Big Pharma et la guerre contre la démocratie et la santé publique” que nous avons traduit et publié en format PDF, sont valides et bien vues, mais depuis il loupe pas mal de train en marche, notamment celui de dénoncer l’ARNm our ce qu’elle est: arme biologique. Il est contrôlé de l’intérieur et cette candidature ne fera que confirmer plus avant qu’il n’est en rien ce “sauveur” politique que tant de gens attendent, de plus pour “valider” cette candidature il doit ramper et lécher les bottes de toute la pourriture sioniste en place, ce qu’il fait sans hésitation en falsifiant l’histoire au passage… Une pourriture de plus se révèle au grand jour… Mais qui comprend le système ne peut en aucun cas être surpris. La routine mon colonel, la routine, sous le plus grand chapiteau du monde et son spectacle marchand perpétuel de la connerie en barre et des marionnettes 13 à la douzaine…
E la nave va … Vive la Commune !
~ Résistance 71 ~

RFKJr_sionard

RFK Jr annonce son soutien (inconditionnel) à l’apartheid d’Israël

Kurt Nimmo

14 juin 2023

Url de l’article original:

https://kurtnimmo.substack.com/p/rfk-jr-announces-support-for-apartheid

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Commençons par dire l’évidence : si vous votez pour un de ces politiciens unipartistes carriéristes, vous votez pour toujours plus de la même chose, plus de guerre, plus de vol, plus de corruption, plus de surveillance, plus de destruction de la constitution et de ses amendements et toujours plus de contrôle autoritaire d’état sur votre vie.

Maintenant parlons de Robert F. Kennedy Jr.

Kennedy parle et en fait beaucoup, sur l’environnement, les vaccins, les droits indigènes, sur les supposées énergies renouvelables, l’opposition à la guerre en Ukraine etc…

Il est absolument évident que Kennedy ne sera pas autorisé de demander l’investiture du parti unipartite démocrate pour la présidence et ce sans aucun rapport avec le nombre d’Américains qui le voudraient dans le bureau oval (rappelez-vous ce qui est arrivé à Bernie Sanders).

Mais même si Kennedy parvenait à gagner les élections, sans compter sur Trump avec ou sans son bel uniforme pyjama orange de prisonnier, son agenda politique finira dans les poubelles, comme tous ceux des candidats du système unipartite (NdT: se référant au fait que le “paradigme gauche-droite” ,aux Etats-Unis “démocrate-républicain”, n’est qu’une vaste fumisterie et que toutes et tous pédalent dans le même sens pour les mêmes ordures qui manipulent le système après l’avoir acheté…) passés et présents.

Le congrès des Etats-Unis, considérant sa composition actuelle, ne consentira jamais à passer une législation pour “mettre fin à la fusion corruptrice de l’État et du pouvoir entrepreneurial, qui menace maintenant d’imposer un nouveau système corporatiste, entrepreneurial féodal dans notre pays”.

Le Congrès est la propriété du “pouvoir entrepreneurial”, du fric. Il sert sa classe de donateurs qui les met au pouvoir (fictif). Ceci ne changera en rien si un miracle se produit et que Kennedy gagne sa nomination.

Kennedy clame haut et fort qu’il est “un absolutiste constitutionnel” et qu’il soutient donc le second amendement (NdT : celui de droit et du devoir pour le peuple de porter les armes). Son soutien à la constitution est diamétralement opposé à l’agenda du parti démocrate dont il brigue l’investiture. Rien que ça a le potentiel de faire couler sa campagne.

Malgré l’agenda politique dramatique de Kennedy, il y a “un intérêt spécial” qui détient un remarquable contrôle sur le Congrès et l’exécutif : l’état d’apartheid (NdT: et nous ajouterons génocidaire) d’Israël.

Le 4 juin courant, le journal “Israel Today” a rapporté que durant un podcast sur l’émission de Craig Pasta Jardula, Kennedy a dit : “Je soutiens Israël. Ma famille a une longue relation avec Israël et de soutien à son droit d’exister et de protéger sa sécurité.”

Kennedy répondait à sa remarque précédente en soutien de l’ex-leader du Group Pink Floyd, Roger Waters, grand critique d’Israël et de son traitement des Palestiniens.

Comme on pouvait s’y attendre, Israel Today a décrit Roger Waters comme un “antisémite”, même s’il n’a jamais fait aucun commentaire racial sur les juifs. Pour la presse israélienne et sa chambre d’écho des médias de masse aux Etats-Unis, critiquer plus de 70 ans de colonialisme et de traitement brutal, de nettoyage ethnique des Palestiniens, est étiqueté antisémitisme.

Ça a marché. Juste mentionné la soutien de Kennedy au musicien (en regard de son opposition à la guerre eu Ukraine) fut apparemment suffisant pour que Kennedy soutienne l’apartheid d’Israel. L’accusation d’antisémitisme est si forte (NdT : contre les petits esprits qui ont quelque chose à perdre dans le système…), que Kennedy a même effacé un tweet qui encensait Waters.

Il a ajouté une réponse insensée et franchement insultante à sa génuflexion et à son baissage de froc en règle devant l’état sioniste raciste d’apartheid : “et une fin humaine ainsi qu’une reconnaissance des aspirations du peuple palestinien sont importantes pour tout le monde.” Il ne fait aucun doute que Kennedy comprend que ce projet n’ira nulle part.

Le 6 juin, Kennedy “a retiré son soutien à Roger Waters et a promis son soutien à Israel… rencontrant le rabbin Shmuley Boteach pour encenser l’état juif et rejoindre une marche pro-Israel en agitant un drapeau israélien,” écrit Chris Menahan.

Il est intéressant de noter que Kennedy n’a pas daigné répondre quand le rabbin Boteach “fut d’accord pour dire que la beauté d’Israel, en opposition à tous ses voisins, est que c’est une démocratie ouverte avec une presse et des médias libres, comme en Amérique, très favorable à la critique.

Israel tolérant de la critique ?… C’est de ce fait donc, que quiconque écharpe Israel pour son occupation militaire [de la Palestine] et pour les meurtres des enfants de Gaza et de Cisjordanie est automatiquement étiqueté d’antisémite ?

La remarque au sujet d’Israel étant une “démocratie” (NdT : “La seule démocratie de la région” selon les mots mêmes de Kennedy, répétant le mantra propagandiste éculé auquel plus personne ne croit…), tout en occupant et nettoyant ethniquement la terre arabe avec une force militaire brutale (NdT : pléonasme…), est un sérieux délire que seul les déficients mentaux soutiennent toujours (et il y en a un paquet au Congrès des Etats-Unis, à la Maison Blanche et dans les merdias de masse).

RFK Jr est un politicien unipartite. En cela, il est obligatoire pour lui de soutenir Israel, d’être d’accord de toujours lui envoyer  des wagons de pognon volé aux contribuables américains (en 2020, le gouvernement américain a donné 3,8 milliards de dollars à Israel) et de ne pas critiquer le meurtre, massacre d’enfants en bas âge et de journalistes, ou alors, sa campagne politique, comme celle d’un bon nombre qui ont critiqué l’état sioniste, sera laissée dans une poubelle de trottoir pour être ramassée par les éboueurs.

Commentaire d’un lecteur sous le texte de l’article original en anglais qui va dans le sens de ce que nous disons succinctement en préambule… Commentaire lucide et bien vu. (Traduction R71) :

“Je me doute que la famille Kennedy a travaillé pour les intérêts juifs lorsqu’elle trafiquait de l’alcool du Canada vers les Etats-Unis durant la prohibition ; il n’y a pas un seul candidat à la présidence des Etats-Unis qui vaut la peine d’être considéré ces derniers temps. RFK Jr pousse aussi l’agenda de l’escroquerie du “changement climatique” et a appelée à l’arrestation de ceux qui nient la “science” sur le sujet. Son interprétation et son pirouettage de l’histoire de l’apartheid d’Israel révèle son double langage et sa nature de menteur.”

= = =

Rappelez-vous toujours en ces circonstances de tromperie universelle que voter c’est abdiquer. Voter c’est valider le système et acquiescer. Voter c’est pisser dans un violon. Ainsi gardez présent à l’esprit :

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

nazi-sionisme-medaille_eichmann

zionism_nazism_collabo2

Injonction à dénoncer et à agir contre la biologie synthétique, sa nanotechnologie et son dérivé ARNm, arme biologique déployée contre l’humanité (Karen Kingston, vidéo)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, OGM et nécro-agriculure, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 16 juin 2023 by Résistance 71

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Karen Kingston

Nous laisserons cette traduction et vidéo de cet entretien de Karen Kingston en tête de gondole du blog pendant quelques jours afin que cette information et injonction fasse son bonhomme de chemin dans notre lectorat et diffuse au plus grand large. Si la crise COVID19 est “bidon” et fut créé de toute pièce, cela ne veut en rien dire que tout cela est du pipeau. Nous les peuples, le MONDE ont été et sont toujours victimes d’une  ATTAQUE BIOLOGIQUE MASSIVE à l’ARNm et aux répercussions dramatiques pour l’espèce humaine. Il est important de divulguer cette information, d’en parler autour de soi et d’avertir les gens que si nous ne bougeons pas et LES LAISSONS FAIRE… notre fin est proche, toute proche !

Pour qu’une révolution sociale profonde et organique ait lieu, il faut déjà que nous survivions ce cauchemar eugéniste, scientiste et transhumaniste que nous vivons quotidiennement depuis 2019 sous la houlette de la pourriture oligarchique étatico-marchande…

Boycott Union Rébellion Négation Evolution… une B.U.R.N.E utile et nécessaire !

~ Résistance 71 ~

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Traduction d’extraits de l’entretien de Karen Kingston avec Stew Peters sur la Biologie synthétique et la nanotechnologie, arme de destruction massive

13 juin 2023

Traduction et compilation Résistance 71

Voir la vidéo correspondante ici en anglais (durée 20 minutes, Karen commence à parler à partir de 2:27 après une introduction toujours percutante en forme d’uppercut de Stew Peters comme à l’accoutumée) :

https://stewpeters.com/video/2023/06/lab-grown-meat-is-an-abomination-transhumanists-play-god-pervert-his-creation/

Nous ne traduisons ici que ce qui nous a paru essentiel des propos de Karen Kingston, analyste scientifique et conseillère juridique sur les brevets depuis plus de deux décennies, elle fut consultante pour Big Pharma et notamment pour Pfizer. Nous n’avons pas traduit les interventions de l’hôte Stew Peters, mais uniquement les propos importants de Karen au cours ce cet entretien.

“La biologie synthétique.. personne n’en parle. Ils viennent juste d’y investir quelques 100 milliards de dollars en mars dernier. Il s’agit du remplacement des cellules par une biologique synthétique ; c’est prendre une forme biologique et la transformer en une technologie […] Il y a la création en laboratoire et ce qu’ils appellent “l’évolution dirigée”, ce qu’on appelle la technologie à l’ARNm. Ils utilisent la technologie du CRISPR-Cas9 qui est une sorte de “ciseaux génétiques” pour détourner la fonction des cellules, humaines ou autres… […] Le but est la fusion de la biologie avec la technologie. […] Des milliards de dollars ont été investis depuis 2012 pour réécrire et transformer le génome humain. C’est ce qu’une technologie comme Neuralink d’Ellon Musk fait. Il a un accord commercial avec CureVac pour son projet Neuralink et Tesla fabrique dans ses usines de batteries, une imprimante moléculaire 3D pour le développeur de l’ARNm allemand : CureVac (entreprise financée par la Bill & Melinda Gates Foundation et CEPI). Ellon Musk est très actif dans le domaine de l’arme biologique qu’est l’ARNm. Il y a de la nanotechnologie dans les injections ARNm COVID et dans les tests PCR (ceci est déclaré officiellement dans le budget de 2023 pour la nanotechnologie).

ciseauxgenetiques
La technologie, l’outil en lui-même,
n’est ni bon ni mauvais, c’est l’usage qu’on en fait …

Aujourd’hui, toute véritable résistance à cette tyrannie doit parler et dénoncer cette nanotechnologie, comme vous et moi et vos invités ici le faisons dans votre émission. […] En 2016, James Clapper, ex-patron du renseignement américain a clairement énoncé que cette nanotechnologie est une arme de destruction massive. Les leaders des mouvements pour la liberté, contre cette tyrannie, doivent impérativement dénoncer la nanotechnologie… Personne de correctement informé et sain d’esprit aurait accepté de se faire injecter ainsi que ses enfants, avec une nanotechnologie susceptible d’être programmée et contrôlée de l’extérieur et qui peut changer les fonctions corporelles de leur corps. Il est du reste impossible de “vacciner” contre une technologie. […] J’ai été spécifiquement avertie que les termes de nanotechnologie et d’arme biologique sont interdits de prononcer sur certains réseaux médiatiques et c’est pour cela que je ne suis quasiment plus invitée nulle part. Ce sont les mêmes techniques de censure et de suppression d’information qui sont utilisées par les abuseurs et violeurs d’enfants pour les faire taire. Le pire est que la vaste majorité d’entre nous tombons d’accord pour ne pas ou plus en parler. Quand je parle avec des spécialistes de la biologie synthétique, ils pensent que nous sommes des idiots qui ne comprennent pas l’avantage de tout cela, ils sont persuadés œuvrer pour le mieux. Le résultat ultime de tout cela sera le contrôle total de nos corps par une source extérieure. […] Imaginez si nous entendions de la part d’un candidat à la présidence des Etats-Unis (NdT : Karen fait ici une allusion directe à RFK Jr depuis qu’il a annoncé récemment, être candidat à la présidence de Yankland…) que ‘cette technologie ARNm est une arme biologique qui peut-être saisie par tout Sheriff ou canton du territoire comme on saisit une bombe dans un bâtiment et que l’on met les responsables sous les verrous !’

[…] Gardez aussi présent à l’esprit que le but de tout cela est également la stérilité. Par GMO, transformation génétique, nous avons des fruits stériles, sans pépins, graines ; il en va de même pour l’être humain : le but est aussi de stériliser nos enfants. Les gens, les résistants, doivent impérativement parler de la malfaisance de cette nanotechnologie…”

SRAS-CoV-2_NanoparticuleARNm
Le SRAS-CoV-2 n’est pas un virus,,,
c’est une nanotechnologie, l’ARNm un logiciel…
de reprogrammation du corps

-[]- Stew Peters qui a émaillé l’entretien de quelques questions pertinentes, reprend ici la parole jusqu’à la fin de l’entretien pour conclure. Il avoue au passage être bouleversé d’apprendre de la bouche de Karen, qu’il y a de la nanotechnologie dans les tests PCR nasaux, qu’il n’en savait rien jusque là et que le crime commis est pire  que ce qu’il pensait. Karen ajoute que “la quantité fait la toxicité” et que la contamination par écouvillonnage nasal lors du test PCR n’est pas garantie et qu’ils se devaient d’injecter les gens DIRECTEMENT avec cette nanotechnologie arme biologique à ARNm. Avec l’injection, personne n’en réchappe sauf ceux qui sont injectés d’un placebo/solution saline…

Lire notre page mise à jour depuis 2019 : “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

Et aussi le PDF de la compilation de nos premières traductions de Karen Kingston :

“SRAS-CoV-2 / COVID19, l’attaque nano-bio-technologique contre l’humanité depuis 2019”

Le Pentagone et son agence DARPA à l’origine des injections à ARNm :

https://www.francesoir.fr/societe-sante/vaccins-arnm-departement-defense-americain-darpa-pfizer

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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Manifeste pour la Société des Sociétés

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Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

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