Archive pour NSA terrorisme d’état

Pays du goulag levant (ex-USA): La NSA crée le super méga moteur de recherche ICREACH, le Google des barbouzes…

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, Internet et liberté, média et propagande, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, police politique et totalitarisme, politique et social, presse et média, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , on 26 août 2014 by Résistance 71

Nous en profitons pour dire à la NSA, CIA, FBI, CSIS, DGSE, DCRI, MI5, MI6, Mossad, BND, tous les gouvernements, tonton Lulu et tata Ginette et que tous ceux qu’on oublie nous pardonnent… que nous les emmerdons à pied à cheval et en voiture !

— Résistance 71 —

 

Le moteur de recherche de la NSA permet aux services de renseignement de collecter des données sur les citoyens

 

RT

 

25 Août 2014

 

url de l’article original:

http://rt.com/usa/182724-icreach-nsa-snowden-search/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

La NSA américaine a construit un énorme système de partage de l’information qui a pour but de permettre aux analystes des agences de renseignement (NdT: Il y en a 16 au pays du goulag levant !…) du pays, d’avoir accès à des centaines de milliards de fichiers et de données sur la vie des gens du monde entier.

Le moteur de recherche créé, ressemblant à “Google” (NdT: les ingénieurs de Google ont-ils participé à sa création ?… Bonne question…), d’après le journaliste Ryan Gallagher d’Intercept, a été développé par la NSA dès 2007, mais n’a été rendu public que lundi dernier, gràce aux documents classifiés fuités au site d’information par l’ancien contractant du renseignement Edward Snowden.

D’après les documents fuités et l’analyse de Gallagher, le moteur de recherche ICREACH créé par la NSA permet aux analystes de près de deux douzaines d’agences gouvernementales, incluant le FBI et la DEA (Drug Enforcement Administration, la Brigade des Stups fédérale), parmi d’autres, de partager un vaste domaine de détails sensibles collectés par la communauté du renseignement et ses partenaires ne concernant pas seulement des suspects de terrorisme, mais “des millions et des millions de données au sujet des citoyens américains, qui n’ont été accusés d’aucun crime ni délit”, écrit Gallagher.

“La NSA a reconnu qu’elle partage certaines de ses données avec des agences intra muros comme le FBI, mais les détails au sujet de la méthode et de l’ampleur de ce partage demeurent entourés de secret”, a ajouté Gallagher. Avec le dernier article en provenance de cœur des dossiers classifiés glânés par Snowden l’an dernier, des détails quoi qu’il en soit commencent à se faire jour au sujet de l’ampleur du partage de l’information stockée, ouvrant ainsi de nouvelles questions quant à ce qui apparaît la source illimitée d’information à la disposition de la communauté du renseignement au sujet des citoyens.

“ICREACH a été accessible à plus de 1000 analystes appartenant à 23 agences gouvernementales US qui travaillent dans le renseignement, d’après un mémo datant de 2010. Un document de planification datant de 2007, liste la DEA, le FBI, la CIA et la DIA (Renseignement militaire) comme des membres étant au cœur du partage de l’info. L’information partagée au travers d’ICREACH peut-être utilisée pour tracer des gens, reconstituer leur réseau de connaissances et d’association, aider à prédire des actions futures et potentiellement révéler les affiliations religieuses ou croyances politiques.” Écrit Gallagher. D’après un mémo confidentiel inclus dans les sources de Snowden, le moteur de recherche ICREACH est le tout premier système de partage de communications de méta-données au sein de la communauté du renseignement américaine”, en référence au terme utilisé pour décrire les détails bruts concernant les signaux de renseignement ou SIGINT, comme par exemple qui parle à qui et quand.

Depuis l’an dernier, les documents fuités par Snowden ont révélé et exposé l’ampleur de la portée que le renseignement américain et ses partenaires ont atteint afin de collecter et d’exploiter les meta-données personnelles afin de pouvoir tracer des personnes de leur intérêt. De manière routinière quoi qu’il en soit, des infornations concernant des citoyens américains lambdas sont injustement et illégalement collectées et néanmoins stockées dans les vastes bases de données gouvernementales, ce qui a levé certaines préoccupations au sujet de la vie privée et de ses avocats qui disent que le gouvernement va bien au delà de ses prérogatives en ce qui concerne la collecte et le stockage des données.

Des détails au sujet de ICREACH montrent maintenant que la NSA a construit un moteur de recherche qui peut contenir jusqu’à 850 milliards de fichiers différents, de communications ou “d’évènements”, démontrant par là les intentions de l’agence en regard de ce que le général Keith Alexander, l’ancien patron de l’agence, avait pour habitude de résumer en ce motto de la NSA: “Collectons tout.” Avec ce système très spécifique, la NSA apparaît avoir créé un moteur de recherche suffisamment puissant pour que les agences gouvernementales puissent scanner l’équivalent de plus de 100 fichiers par personne habitant cette planète. Parce que les documents de Snowden sont déjà anciens, il est plus que probable que la NSA ait déjà avancé vers la possibilité plus accrue de stocker des informations encore plus sensibles.

Tandis que la NSA estimait initialement pouvoir maintenir des archives de plus de 850 milliards de dossiers sur ICREACH, les documents indiquent que l’objectif pourrait bien avoir été amplement dépassé et que le nombre de données personnelles stockées par le sytème puisse avoir augmenté depuis le rapport de 2010 faisant référence aux 1000 analystes. Le “budget noir” de la communauté du renseignement pour 2013, qui a aussi été obtenu par Snowden, montre que la NSA a récemment demandé plus de financement afin de mettre à jour son ICREACH pour “donner aux analystes de l’IC (Intelligence Community / Communauté du Renseignement) un accès à de plus amples données partageables,” a écrit Gallagher.

Résistance politique: Appel au boycott total du pays du goulag levant (ex-USA)

Posted in actualité, altermondialisme, colonialisme, guerre iran, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, police politique et totalitarisme, politique et lobbyisme, résistance politique, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , on 16 Mai 2014 by Résistance 71

Pour un analyste américain, le monde devrait totalement boycotter les Etats-Unis

 

Dr. Kevin Barrett

 

15 Mai 2014

 

url de l’article:

http://www.veteranstoday.com/2014/05/15/boycott-us/

et

http://www.presstv.ir/detail/2014/05/13/362522/the-world-should-boycott-the-us/ avec vidéo interview sur Press TV

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Les pays du monde devraient boycotter les Etats-Unis car ils sont la tyrannie mondiale qui forcent les autres pays à faire ce qu’ils veulent comme ils ont forcé les membres du CS de l’ONU à voter des sanctions contre l’Iran, dit un analyste politique américain.

Commentant sur un récent rapport montrant l’ambassadrice américiane à l’ONU en 2010, Susan Rice, remercier l’agence de la NSA d’avoir espionné les membres du CS ce qui aida Washington à mieux planifier ses actions anti-Iran, a dit à Press TV le Dr. Kevin Barrett, rédacteur en chef du site Veteran Today (VT) et que les Etats-Unis agissent “comme un dictateur mondial”.

Des documents qui ont récemment été publiés dans un livre par le journaliste américain Glenn Greenwald, montrent que Rice a demandé à la NSA d’espionner les membres du CS de l’ONU “de façon à ce qu’elle puisse développer une stratégie” en regard d’un vote de sanctions contre l’Iran au sujet de son programme d’énergie nucléaire.

D’après un rapport interne de la NSA, Rice a dit que l’espionnage de la NSA sur des membres du conseil permanent du CS de l’ONU, la Chine, la France, l’Angleterre et la Russie, “nous ont donné un avantage dans les négociations” qui menèrent à une bordée de sanctions contre l’Iran en Juin 2010.

Le document révèle également que la NSA a espionné des diplomates d’autres membres du CS incluant la Bosnie, le Gabon, le Nigéria et l’Ouganda, dont les ambassades et les missions n’étaient pas encore sous surveillance.

“Essentiellement, ces pays la Bosnie, le Gabon, le Nigéria et l’Ouganda, furent ceux spécifiquement ciblés pour les forcer à voter les sanctions contre l’Iran ne sont plus des nations indépendantes, ils n’ont plus de souveraineté parce que la NSA peut intercepter toutes les communications de leurs leaders et forcer ces leaders à agir d’une manière ou d’une autre pour faire ce que veut quiconque contrôle la NSA”, a dit Barrett. “Ceci constitue une tyrannie à l’échelle mondiale et quiconque est prêt à vivre contrôlé par ce type de tyrannie est complètement à côté de ses pompes”, a t’il ajouté. “Le monde devrait totalement boycotter les Etats-Unis.”

Espionnage, contrôle des populations et Nouvel Ordre Mondial: La saga de la NSA continue…

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La NSA intercepte des achats d’ordinateurs portables en ligne pour y installer des logiciels espions

 

29 décembre 2013

 

url de l’article:

http://dprogram.net/2013/12/29/the-nsa-intercepts-laptops-purchased-online-to-install-malware/

article connexe:

http://www.presstv.ir/detail/2013/12/29/342674/nsa-installing-spy-malware-on-laptops/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

(TheWire) – 

D’après un article du magazine allemand Der Spiegel sur l’équipe de super-hackers de la NSA, l’agence d’espionnage intercepte des objets électroniques achetés en ligne (sur internet) avant qu’ils ne soient délivrés à leurs acheteurs pour y installer des logiciels ,des malware et autres outils d’espionnage.

La division de la Tailored Access Operation (TAO) de la NSA (NdT: qu’on pourrait traduire par la division d’ “opération d’accès ciblé” ) est responsable  des plus grosses opérations de hacking qui ont été divulguées cette année, ainsi l’article du magazine Der Spiegel est un regard spécial sur les méthodes et la folie totale derrière cette équipe de tordus de la NSA. Lorsque le téléphone portable d’un leader d’une nation est envahi, “hacké” par la NSA, la division TAO en est responsable. Ils sont les hackers qui peuvent avoir accès à toutes les informations de tout le monde où que ce soit sous quelques conditions que ce soit.

Les hackers du TAO peuvent tracer vos mouvements numériques à distance en exploitant des faiblesses dans la sécurité des systèmes opérateurs, comme Windows par exemple (NdT: sans compter du fait que ces plateformes ont été construites à dessein avec ces faiblesses qui peuvent ainsi être constamment exploitées par les agences d’espionnage gouvernementales ou privées, tout en dédouannant les entreprises responsables qui se réfugient toujours derrière le “Oh, désolé de l’erreur, on va l’arranger…” pour ouvrir une autre backdoor à côté…), qui est un des favoris du TAO à exploiter. Mais quand de nouvelles stratégies d’invasion à distance ne fonctionnent pas, alors la NSA emploie les moyens d’antan. Les hackers les plus talentueux de la NSA ne travaillent pas toujours derrière des écrans d’ordinateur. Parfois, une cible se doit d’être physiquement interceptée pour que la NSA puisse recueillir les infos. Dans ces cas précis, TAO attend que la cible commande de nouveaux gadgets électroniques en ligne. Quand leur système de surveillance les alerte que la cible X vient d’acheter un nouvel ordinateur portable sur internet, le TAO intercepte le colis d’envoi et l’ordinateur est livré à la NSA. Ils ouvrent le packet, installent les nouveaux logiciels, malwares sur l’ordinateur de la cible puis ils réempaquettent l’ordinateur et le réexpédient vers son destinataire.

Si une personne, entreprise ou agence ciblée commande un nouvel ordinateur ou des accessoires, par exemple, TAO peut alors détourner la livraison vers ses propres ateliers secrets. La NSA appelle cette méthode “interdiction”. Dans ces “stations de chargement”, les agents ouvrent le paquet précautionneusement afin de charger les outils espions dans les objets électroniques ou même installent des composants harware qui peuvent fournir un accès furtif via backdoors a l’agence d’espionnage. Toutes les étapes suivantes peuvent être ensuite effectuées depuis un ordinateur à distance. Ces petites interférences dans l’envoi de paquets sont parmi les “opérations les plus efficaces” des hackers de la NSA, un document secret relate tout ceci avec grand enthousiasme. Cette méthode, continue la présentation, permet à la TAO d’obtenir un accès aux réseaux “dans le monde entier”. Et vous vous demandez pourquoi votre commande Amazon prend tant de temps à arriver ?

Mais habituellement, l’équipe adhère aux méthodes de hacking de la nouvelle école, comme l’utilisation d’un système compliqué appelé QUANTUM, qui focalise sur les réseaux sociaux qu’une cible fréquente souvent comme Facebook, Yahoo, Twitter et YouTube afin de gagner un accès à distance de leur ordinateur. Lorsque l’équipe a fait suffisamment de surveillance et est prête à frapper, le système QUANTUM de TAO va alerter les hackers lorsqu’une cible essaie de visitier un site particulier. Si le travail de TAO est fait correctement, le système se dépêche d’intercepter la demande d’information de la cible et va au lieu de cela injecter le système opérateur de la cible avec un malware / outil espion. Pour certaines raisons Linkedin est particulièreemnt efficace pour cela:

La technique peut littéralement être une course entre les serveurs, une course qui est ainsi appellée dans le jargon interne de l’agence de renseignement: “attente pour l’initiation par le client  d’une nouvelle connexion”, “Shoot!” et “espérons vaincre la réponse serveur-client”. Comme dans toute compétition, parfois la surveillance furtive de l’agence et de ses outils sont “trop lents pour gagner la course”. Le plus souvent, ils sont effectifs. Les implants avec QUANTUMINSERT, spécifiquement lorsqu’utilisé en connexion avec Linkedin, ont maintenant un ratio de succès au-delà de 50%, d’après un document interne.

Parfois les hackers du TAO ont besoin d’aide, alors ils vont sur l’unique “catalogue de commande” d’outils d’invasion électronique, qui peut avoir accès à tout système informatique auquel vous pouvez rêver. Vos mesures de sécurité n’ont aucune importance. Les hackers de la NSA ont les outils pour craquer des systèmes créés par Cisco, Western Digital, Huawei ou toute autre firme de cybersécurité. Personne n’est à l’abri.

Source: The Wire

NSA espionnage global: Le but de la NSA est « l’élimination totale de toute vie privée dans le monde »…

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A notre sens, témoigner devant une « commission européenne » n’est que pisser dans un violon, car il est évident depuis bien longtemps que l’UE fait partie intégrante du Nouvel Ordre Mondial. elle en est même un maillon essentiel de contrôle des populations. Il est impossible que la NSA ait pu faire ce qu’elle a fait sans qu’aucune agence de renseignement européenne ne soit au courant. La collusion est totale et les fournisseurs d7accès internet et les réseaux de téléphonie etc européens sont complices comme le sont les Google, Yahoo, Microsoft, Apple et les suspects habituels des turpitudes totalitaires.

Confiance zéro et tout cela n’est que poudre aux yeux et va se terminer sans suite, lavé plus blanc que blanc…

— Résistance 71 —

 

Le but ultime de la NSA est l’abolition totale de la vie privée dans le monde entier (Greenwald à l’UE)

 

RT

 

18 décembre 2013

 

url de l’article original:

http://rt.com/news/greenwald-eu-parliament-testimony-424/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

A lire 20 décembre: La NSA achète RSA et corrompt le protocle d’encryptage de données

La National Security Agency (NSA) a pour but avec son partenaire britannique du GCHQ d’éliminer complètement toute vie privée dans le monde entier a dit le journaliste Glenn Greenwald dans une enquête de l’Union Européenne.

Il a critiqué les gouvernements de l’UE et leur silence assourdissant lors des révélations de l’espionnage de masse commis par la NSA. Décrivant la réaction “apathique et indifférente” aux rapports que des citoyens lambda étaient espionnés, Greenwald a dit que les politiciens européens n’ont réagi et pris certaines actions que lorsqu’ils ont découvert qu’ils avaient eux-mêmes victimes du ciblage d’espionnage de la NSA.

 “Je pense que les gouvernements ont inculqué aux gens d’accepter que la vie privée n’est pas de grande importance”, a dit Greenwald, ajoutant que c’était “pour former des populations accoutumées aux violations ininterrompues de leur vie privée.”

Greenwald, ancien journaliste du quotidien anglais The Guardian est connu pour avoir publié les fuites d’Edward Snowden sur l’espionnage de masse de la NSA ; il témoignait devant le comité européen des libertés civiles au parlement et communiquait via une connexion vidéo, contribuant ainsi à une enquête sur la surveillance globale de la NSA des citoyens européens.

 “La NSA n’a pas besoin de raisons spécifiques pour collecter les données des citoyens et leur communications” a dit le journaliste, rappelant au passage au panel du comité que le but ultime de l’agence d’espionnage est “d’éliminer toute vie privée individuelle dans le monde entier.”

Contredisant l’affirmation de Washington que l’agence ne s’engage pas dans de l’espionnage économique, Greenwald a dit que les activités de la NSA  et du GCHQ britannique sont dirigées vers “la manipulation diplomatique et l’accumulation de pouvoir”.

Greenwald a rejeté les accusations du gouvernement américain disant que Snowden et ses complices ont mis en danger le combat contre le terrorisme en divulgant et publiant des données classifiées top secrètes. Il a dit que la seule chose dans cette affaire qui a été endommagée est de fait “la perception d’honnêteté et de crédibilité” des gouvernements engagés dans l’espionnage.

L’enquête a été commanditée pour discuter de l’augmentation de la sécurité de l’internet et de la téléphonie et de leurs réseaux dans l’UE.

Le lanceur d’alerte Edward Snowden a révélé l’énorme volume du programme d’espionnage de la NSA en Europe plus tôt cette année. Il a disséminé des fichiers et documents classifiés aux médias internationaux. Documents qui montrèrent que la NSA espionnait un bon nombre de personalités politiques importantes incluant la chancelière allemande Angela Merkel. De plus, il fut révélé que l’organisation collecte et stocke des metadonnées de millions de coups de téléphone dans l’UE.

Snowden est aussi attendu pour témoigner devant le comité européen des libertés civiles en janvier 2014. Ceci fait partie de la procédure d’enquête.

Technologie et Nouvel Ordre Mondial: Intel et Via Technology compromettent la sécurité de leurs processeurs RNG au profit de l’espionnage de la NSA !!…

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Des ingénieurs informatiques abandonnent les puces à encryptage après les révélations de Snowden “On ne peut plus avoir confiance”

RT

 

10 décembre 2013

 

url de l’article original:

http://rt.com/usa/snowden-leak-rng-randomness-019/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Les développeurs du système opératoire informatique FreeBSD disent qu’ils ne peuvent plus faire confiance à des puces de microprocesseurs fabriqués par deux des top entreprises du domaine et citent les fuites sur la NSA de Snowden comme raison du pourquoi de cette évaluation.

Le journaliste Richard Chirgwin du site internet d’informatique basé en Grande-Bretagne “the Register” a rapporté lundi que les développeurs de l’OS libre Unix et affilié ont abandonné leur confiance en deux fabricants majeurs de processeurs et leurs produits “RDRAND” d’Intel et “Padlock” de l‘entreprise taïwanaise Via Technology, à la suite des documents de la NSA fuités par Edward Snowden et qui suggèrent que le gouvernement des Etats-Unis et leurs alliés d’agences de renseignement ont sérieusement compromis la sécurité d’outils important de chiffrage et d’encryptage de données informatiques.

Chirgwin fut le premier journaliste à avoir eu vent de la nouvelle que FreeBSD avait décidé au cours d’une réunion des développeurs à Malte en septembre dernier, d’arrèter de faire confiance à ces entreprises de RNG (Random Number Generators) et les minutes de la réunion obtenues par Dan Goodwin sur le site web Ars Technica confirms que les programmeurs sont devenus suspicieux après la fuite de documents par Snowden qui accusaient la NSA d’avoir violé les protocoles d’encryptage les plus communément utilisés.

FreeBSD a utilisé jusque maintenant un cadre de “random generator” au sein de leur OS d’après les notes vues par Chirwin contenant trois RNG: RDRAND, Padlock et un autre appelé Yarrow, créé en 1999 par le magicien de la sécurité Bruce Schneier, entre autres. Individuellement et en tandem, ces générateurs utilisent une entropie numérique pour brouiller les sorties de données d’un ordinateur, masquant ainsi les opérations au travers de multiples couches d’encryptage dont on pensait auapravant qu’elles étaient impossible à craquer. Des documents récents fuités de la NSA ont néanmoins suggéré que ce n’était pas le cas.

L’OS est sur le point de sortir sa nouvelle version, le FreeBSD 10, mais tout utilisateur qui fera une mise à jour de cette édition ne sera plus capable de faire confiance seulement aux RNG Intel ou Via.

“Pour la version 10, nous allons faire machine arrière et enlever les backends de RDRAND et de Padlock et les mettre sur Yarrow au lieu de cela”, peut-on lire sur un extrait du “rapport spécial” de FreeBSD.

Les développeurs reconnaissent qu’il sera toujours possible pour les utilisateurs de FreeBSD d’avoir accès aux hardwares RNG, RDRAND et Padlock en l’occurence, mais les programmeurs qui travaillent sur l’OS disent “Nous ne pouvons plus leur faire confiance”.

Dans les minutes du sommet des développeurs dévouvertes par Goodwin, FreeBSD offre une vision du pourquoi ils ont décidé d’abandonner deux processeurs d’encryptage très utilisés. Ils référencient Snowden et admettent que ses fuites suggèrent qu’il y a “une très, très haute probabilité de backdoors” dans certains des hardwares RNG et que ces générateurs ne peuvent simplement plus être considérés comme sûrs afin de donner “directement une bonne entropie”.

La réunion au sommet des développeurs de FeeeBSD cette année n’était que sur invitation et se tint environ 3 semaines après que des journalistes du New York Times, ProPublica et du Guardian de Londres, publièrent simultanément un rapport détaillant l’attaque de la NSA sur les méthodes d’encryptage de données, qui fut inspiré par des documents secrets jamais publiés auparavant fuités par Edward Snowden.

La NSA, rapportèrent les organes de presse le 5 septembre, “est en train de gagner sa longue guerre secrète contre l’encryptage, utilisant des super-ordinateurs, de la tricherie technologique, des décisions de justice et de la persuasion  forcée de derrière le rideau pour endommager les outils majeurs de protection de la vie privée des communications de la vie de tous les jours dans cet âge de l’internet.”

Ailleurs dans le rapport, les journalistes disent que la NSA a dépensé des milliards de dollars ces dernières années pour briser des algorithmes complexes d’encodage et d’encryptage et dans certains cas où les super-ordinateurs n’étaient pas suffisants, ils obligèrent les fabriquants de ces outils à installer des backdoors (portes arrières) utiles au gouvernement.

“Les capacités cryptanalytiques arrivent maintenant en ligne”, lit le memo de 2010 fournit aux reporters par Snowden. “Une somme énorme de données internet encodées qui avaient été jusqu’ici mise à l’écart, sont maintenant exploitables.”

Schneier, l’expert en codage / encryptage de données responsable de la création du RNG de Yarrow, a travaillé avec le quotidien du Guardian afin de disséminer les documents de Snowden avant leur publication et a décrit les révélations contenues comme “explosives” quand elle furent finalement publiées.

Fondamentalement, la NSA demande à des entreprises de subtilement changer leurs produits de manière indétectable: faisant le RNG moins “aléatoire”, fuitant les clefs d’une manière ou d’une autre, ajoutant un exponent commun à un protocole d’échange de clef publique etc…” a t’il écrit dans un essai pour le Guardian début Septembre. “Si le backdoor est découvert on l’explique comme étant une erreur et comme nous le savons maintenant, la NSA a eu bien des succès avec ce programme.

Les documents de la NSA n’ont pas mentionné de fabriquants spécifiques qui ont aidés les opérations de surveillance, mais les exerts en sécurité furent très rapides à exprimer leur suspicion et RSA, le fabriquant d’un des RNG les plus utilisés au monde a dit à ses clients qu’ils devraient s’abstenir d’utiliser certains de leurs produits après la fuite de documents de Snowden début Septembre.

La même semaine, Le développeur Linux et cryptographe diplômé du MIT Theodore Ts’o a déclaré publiquement qu’il était satisfait de sa décision de résister à des demandes antérieures d’ingénieurs d’Intel d’avoir ce système opératoire (Linux) seulement entièrement impliqué avec RDRAND pour l’encryptage.

Dépendre exclusivement d’un RNG qui utilise une puce scellée intégrée qu’il est impossible de vérifier et de contrôler est une très mauvaise idée,” a dit Ts’o. Juste trois mois plus tard, FreeBSD lâche les RNG d’Intel et de Via.

Lorsqu’une pétition a commencé à circuler à la mi-septembre, implorant Linux d’arrêter de faire confiance à RDRAND, un des chefs développeurs de l’OS, Linus Torvalds, avait qualifié ceux qui faisaeint cette requête “d’ignorants”.

Technologie et état policier: NSA + Google + Yahoo = Grille de contrôle…

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La NSA a un “accès d’ensemble” aux centres de traitement de données de Google et de Yahoo grâce à un programme secret

 

Alex Lantier

 

1er Novembre 2013

 

url de l’article original:

http://www.wsws.org/fr/articles/2013/nov2013/nsag-n01.shtml

 

 

La National Security Agency (NSA) espionne des centaines de millions d’utilisateurs de Google et Yahoo, selon un article du Washington Post paru le 30 octobre et s’appuyant sur les documents internes fournis par l’ex-agent Edward Snowden.

La NSA a pénétré les principaux canaux de communication qui relient les serveurs de Yahoo et Google sur toute la planète dans le cadre d’un programme intitulé « MUSCULAR » établi en partenariat avec le GCHQ (Government Communications Headquarters) britannique. Ces agences collectent et passent en revue toutes les communications – qu’elles concernent des citoyens américains ou non – entre ces serveurs.

En raison du caractère indiscriminé de cette collecte de données, la NSA décrit cette opération comme une « prise complète, » un « accès total » et de « gros volume. » Une fois les communications collectées, elles sont explorées en s’appuyant sur des critères qu’elle ne divulgue pas, et l’essentiel est stocké de manière permanente dans des sites de la NSA.

Ce reportage dément totalement les affirmations du gouvernement Obama et des députés américains selon lesquelles les agences américaines respectent la vie privée et opèrent sous supervision stricte de la loi. Les témoignages des chefs des agences de renseignements devant la Commission de la Chambre des députés mercredi, qui visaient à désamorcer la crise diplomatique sur les révélations d’espionnage par les Etats-Unis de la Chancelière allemande Angela Merkel et de centaines de millions d’appels téléphoniques et de SMS en Europe, étaient de la désinformation et du mensonge.

Un document top secret de la NSA montre que durant la période d’un mois précédant le 9 janvier 2013, le programme MUSCULAR a expédié plus de 181 millions de nouveaux enregistrements pour archivage au quartier général de la NSA à Fort Meade, dans le Maryland. Ces données comprennent à la fois des « metadonnées » – comme l’identité ou l’emplacement de l’expéditeur et du destinataire des messages – et le contenu des communications, qu’elles soient en texte, audio ou vidéo.

Google et Yahoo gèrent d’énormes centres de traitement des données sur toute la planète, qui conservent les données des utilisateurs en plusieurs endroits en cas de perte accidentelle des données ou de coupure du système. Ils expédient également des sauvegardes d’archives entières – contenant des années d’emails et de fichiers joints – d’un serveur à l’autre, que la NSA collecte dans leur ensemble. Les documents de la NSA affirment que cela permet à l’agence non seulement d’intercepter des communications sur le vif, mais aussi d’avoir « une vue rétrospective de l’activité de la cible. »

Les ingénieurs de Google qui ont parlé au Post sous le couvert de l’anonymat « ont proféré un flot d’injures » quand les journalistes leur ont montré les diagrammes de la NSA sur l’« exploitation du cloud de Google, » qui révèlent comment la NSA a brisé le cryptage de Google.

« L’objectif clair de la NSA n’est pas simplement de collecter tout cela, mais de le conserver aussi longtemps qu’ils peuvent, » a déclaré le journaliste Glenn Greenwald au quotidien espagnol El Mundo. « Donc ils peuvent désigner à n’importe quel moment un citoyen espagnol ou de n’importe où ailleurs et savoir ce qu’il a fait, avec qui il a communiqué. »

Les responsables de la NSA contactés par le Post et Politico ont refusé de nier le rapport du Post ou d’expliquer les caractéristiques du programme MUSCULAR. Une porte-parole de la NSA a déclaré à Politico, « la NSA est une agence de renseignements extérieurs. Et nous nous concentrons sur la découverte et le développement de renseignements sur des cibles valides pour les renseignements extérieurs uniquement. »

Les affirmations de la NSA n’ont cependant aucune crédibilité. Des documents du tribunal FISA (Foreign Intelligence Surveillance) montrent que les agences américaines de renseignements ont déjà collecté une énorme masse de données sur les citoyens américains et ont menti à ce sujet devant ce tribunal. (Lire en anglais : FISA records document “daily violations” by government spy agencies).

Les responsables de Google et Yahoo, qui confient déjà des données sur leurs utilisateurs au gouvernement américain dans le cadre du programme PRISM de la NSA, ont déclaré qu’ils n’étaient pas au courant de cette infiltration supplémentaire dans leurs Centres de traitement des données. Google a publié une déclaration disant qu’ils sont « troublés par les allégations sur l’interception par le gouvernement du trafic entre nos centres de traitement des données, et [qu’ils ne sont] pas au courant de cette activité. »

Cet article est une indication de plus de la manière dont le complexe militaro-secret américain a développé, par des moyens illégaux, l’infrastructure de surveillance dont aurait besoin un état policier mondial.

L’ampleur des opérations et le fait qu’elles visent des chefs d’états européens démentent les affirmations selon lesquelles ces programmes sont conçus pour lutter contre Al Qaïda dans le cadre de la « guerre contre le terrorisme ». Ils visent toute personne considérée comme une menace potentielle pour les intérêts stratégiques de la classe dirigeante américaine, non seulement les gouvernements européens, mais, surtout, la population des États-Unis, d’Europe et du monde.

Cette activité a été menée durant des années en violation manifeste du droit des États-Unis, ce que même le tribunal FISA, un tribunal secret qui fonctionne sans rendre de comptes au public et sans possibilité d’appel, a reconnu. En 2011, quand il a découvert que des méthodes similaires étaient utilisées à une plus petite échelle pour espionner les flux d’informations aux États-Unis, le juge John D. Bates de ce tribunal a rendu une décision qui affirmait que ce programme n’était « pas conforme » au quatrième amendement de la constitution américaine.

La tentative du gouvernement de rassurer le public sur ces programmes a consisté en des séances de désinformation. L’audience de mercredi a été l’occasion d’une déclaration conjointe minutieusement élaborée par James Clapper, directeur des renseignements nationaux, le général Keith Alexander, directeur de la NSA, et James Cole, adjoint du ministre de la justice.

Cette déclaration insistait sur l’idée que les reportages des médias sur la collection de renseignements effectués conformément à la section 215 du USA Patriot Act et à la section 702 de la Loi sur les renseignements extérieurs (Foreign Intelligence Surveillance Act) étaient « inexacts. » Ils affirmaient que dans le cadre de la section 215, les agences de renseignement « ne collectent le contenu d’aucun appel téléphonique ni d’aucune information identifiant les appelants, nous ne collectons pas non plus les informations sur la localisation des téléphones portables. » Ils expliquaient aussi que l’espionnage mené dans le cadre de la section 702 « ne visait que des non-Américains à l’étranger. »

Aucune de ces affirmations ne réfute les informations qui disent que Washington est impliqué dans une vaste opération d’espionnage contre des cibles aux États-Unis comme à l’étranger. En admettant que ces affirmations ne sont pas des mensonges éhontés, elles signifient simplement que les espions utilisent d’autres justifications pseudo-légales pour enregistrer les appels téléphoniques des citoyens américains et pour espionner ceux-ci.

Dans le cas des saisies totales de données de Google et Yahoo, la NSA a exploité le fait que les centres de traitement des données en question sont situés en dehors des États-Unis, ils ne tombent pas sous la juridiction de la FISA, mais relèvent directement du pouvoir exécutif. Les données en question sont cependant les mêmes que celles qui se trouvent dans les centres de ces compagnies situés aux États-Unis.

« Une collection de contenu Internet d’une telle ampleur serait illégale aux États-Unis, » écrit le Post, « mais les opérations ont lieu à l’étranger, où la NSA a le droit de présumer que toute personne qui se sert d’un lien de communication étranger est un étranger. »

En dépit des contorsions et des mensonges évidents des responsables des services de renseignements, les représentants du peuple se sont aplatis devant les chefs de l’espionnage mercredi. Le député démocrate Dutch Ruppersberger a déclaré qu’il voulait « remercier les gens de la communauté des renseignements » et a ajouté : « la NSA ne cible pas les Américains aux États-Unis et ne cible pas non plus d’Américains n’importe où ailleurs, sans un mandat judiciaire. »

Comme le montrent clairement les révélations du Post, les affirmations de Ruppersberger sont fausses et l’ensemble de cette audience n’était qu’une parodie destinée à tromper le public.

Nouvel Ordre Mondial: la NSA écoute et enregistre 125 milliards de communications téléphoniques dans le monde en un mois !…

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La NSA a écouté 125 milliards de coups de téléphones en un mois

 

Press TV

 

24 Octobre 2013

 

url de l’article original:

http://www.presstv.ir/detail/2013/10/24/331029/us-report-nsa-spied-phone-calls/

 

~ Traduit de langlais par Résistance 71 ~

 

L’Agence Nationale de la Sécurité américaine (NSA) a écouté 125 milliards de communications téléphoniques dans le monde en juste un mois, ce incluant 3 milliards de coups de téléphone provenant des Etats-Unis seuls, d’après un document diffusé par le lanceur d’alerte Edward Snowden.

L’extension de la collecte de données de la NSA a été compilée de multiples sources et organisée Mercredi par des membres de l’équipe du site Cryptome (NdT: Créé par John Young un des Cypherpunks et ancien associé/fondateur de Wikileaks), qui publie régulièrement des documents gouvernementaux et autres informations.

La majorité des communications espionnées par la NSA émanaient d’Afghanistan et du Pakistan, où 13,76 et 21,98 milliards de communications respectivement furent écoutées en Janvier 2013, d’après l‘informateur “heat map” révélé par le quotitien britannique The Guardian.

Des milliards de communications téléphoniques furent aussi enregistrées provenant de pays du Moyen-Orient incluant l’Irak, l’Arabie Saoudite, l’Egypte, l’Iran et la Jordanie. De plus, quelques 6,28 milliards de coups de fil d’inde furent collectés. Une estimation de 3 milliards de conversations téléphoniques américaines ont été enregistrées par la NSA.

Peut-être l’élément le plus controversif de ce programme d’espionnage de la NSA est l’effort intense de collecter des communications provenant des nations occidentales qui ont des relations amicales avec les Etats-Unis.

L’Allemagne, la France et plusieurs autres pays ont exprimé leur préoccupation au sujet de l’espionnage américain après que Snowden, un ancien employé de la NSA, eut révélé des informations classées secrètes au sujet des programmes de surveillance américains.

Le chef d’état-major des armées américain, le général Martin Dempsey a admit en Juillet que l’exposé de Snowsen avait endommagé les liens des Etats-Unis avec d’autres nations. “Il y a eu des dégâts, c’est sûr. Je ne pense pas que nous soyons capables en ce moment d’évaluer la profondeur et l’étendue de ces dégâts.