Téléphonie mobile et santé publique
Que dire de la relation entre notre santé et la téléphonie mobile (3G, 4G et 5G à venir) ?
Un élément de réponse dans ce document du CRIIREM (format PDF)
Reconnaître la menace : Il est temps d’en finir avec Google, Facebook, pas l’Iran
Gordon Duff
28 juillet 2018
url de l’article:
https://www.veteranstoday.com/2018/07/28/recognizing-threats-time-to-finish-off-facebook-not-iran/
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
Introduction: Pendant des années, des personnes ont cru être les cibles d’hélicoptères noirs sans marquage, de micro-ondes et d’ondes sonores dirigées sur leur habitat, de hacking, de filatures, de trolls et pire, d’attaques visant leur intégrité physique, d’empoisonnement, de cancer induit. Tout cela est vrai, Ce billet ne sera pas une discussion sur ces sujets, mais sur le rôle que Facebook et les médias sociaux jouent sur l’identification des “gens d’influence” et sur le contrôle de leur vie.
C’est le terme utilisé pour les personnes qui sont au centre de groupes sociaux, de personnes qui démontrent une certaine aura, un certain leadership ou une certaine originalité. Elles sont identifiées, l’ont toujours été, recrutées, ciblées, d’abord à petite échelle dans les années 1940 et aujourd’hui, au travers de recherches dans les médias sociaux et par Intelligence Artificielle (IA).
Ceux qui influencent sont soumis à des expériences, des tortures, et des programmes de contrôle de leur esprit. Nous avons une ample documentation sur ces programmes (NdT: MK Ultra et autres…), tous très secrets, au cours des années 1970 (NdT: Naomi Klein trace un horrible portrait de ces pratiques au Canada avec le programme psychiatrique secret géré par la CIA à l’université McGill de Montreal par exemple dans son livre “La thérapie du choc”…)
Ecrire ceci est un avertissement pour certains et une menace contre d’autres. Nous l’avons vraiment cette information. A bon entendeur…
Ainsi, vous êtes attaqués. Avertir les gens au sujet de contrôle psychologique et de manipulation par des organisations qui, elles-mêmes, manipulent et induisent la peur par le moyen des médias de l’information sous contrôle, Hollywood et surtout de nos jours, par le contrôle des médias sociaux, ne peut-être qu’ironique.
En son cœur résident Facebook, Google, la moitié des entreprises de la Silicon Valley sous la gestion du Mossad et son unité Unit 8200, les médias, l’ensemble du truc.
Nous ne parlons pas juste des plus évidents comme Fox News ou InfoWars/Stratfor mais aussi de CNN comme “opposition contrôlée”, MSNBC et tout le reste.
Derrière tout ça, Wikipedia, la machine à diffamation ; Wikileaks, la “blanchisserie du mensonge” du Mossad et l’État très profond.
Commençons:
Facebook a perdu 124 milliards de dollars la semaine dernière et les investisseurs se sauvent. C’est le plus gros coup contre son fric que le renseignement israélien a dû subir jusqu’ici, la plus grande menace jusqu’ici à leur domination de la population des Etats-Unis psychologiquement accroc et handicapés par les gadgets électroniques.
Il n’y aura aucune liberté tant que ces ustensiles de contrôle ne soient pas saisis, Google et Facebook brisés, démantelés et ceux responsables de bien pire qu’une invasion soient traînés devant la justice.
Il y a quelques années, nous identifions que quelque chose de mal se passait à Facebook, ou comme on l’appelle à VT “FakeBook” (NdT: jeu de mot, “fake” voulant dire “faux” en anglais). Nous pensons que cette entreprise a toujours eu l’intention :
Nous avions initialement reconnu que la mutation de “My Space” au moyen de quelques développements et un énorme soutien de la part d’Hollywood et des médias de désinformation, puait à 10km à la ronde. Ce ne fut pas juste pour la collecte de données mais la création d’un mécanisme d’IA afin de générer des dizaines de milliers et plus de faux comptes afin d’alimenter et de manipuler les opinions publiques dans le monde, le mélange d’une “addiction à un gadget”, d’une censure de masse et de la dissémination constante de rumeurs fabriquées par des IA, de campagnes de diffamation et de “pornographie de la peur”.
Le flot de revenus de Facebook n’était que pure fantaisie, une mise en valeur de 1000 milliards de dollars fabriquée depuis la construction de 100 millions de faux utilisateurs et le verbiage inepte de gens les plus improductifs et les plus obtus de la planète.
Le fric n’existait tout simplement pas.
A petite échelle, nous avions un groupe d’étude pour tracer les identités des trolls de Facebook, certains de listes du FBI, d’autres de listes soumises au congrès des Etats-Unis, d’autres encore de nos propres recherches. Les schémas de construction étaient là et tout cela puait à plein nez la fabrication par IA, la “clameur publique” instantanée ou pire, la filature, le trollage, le ciblage et la guerre psychologique contre des milliers d’Américains et autres, tous attaqués pour leurs convictions ou simplement à titre expérimental, en poussant beaucoup au suicide.
Nous avons identifié des méthodologies issues de programmes de la CIA dans les années 1970 et maintenant utilisés pour “radicaliser” au moyen de peurs et de haines manipulées, le tout “fait sur mesure” et hautement basé sur des détails de profil des individus.
De là commencèrent les attaques, ciblant des groupes identifiés, basées sur une série de profils tout comme dans le manuel d’interrogatoires KUBARK de la CIA, alimentant les infos, des rumeurs par courriers électroniques, des posts et des commentaires en provenance de faux utilisateurs, vrais comptes d’IA et pire.
Par “pire”, je veux dire que beaucoup d’utilisateurs ont été manipulés vers des relations et des amitiés en ligne ayant de fausses identités générées par IA.
Aidant en cela sur toute la ligne fut Google Corporation. Il y a quelques années, Google s’est militarisée lorsqu’elle ajouta le voyou de la Maison Blanche de Bush, Jared Cohen, dont le “plan d’affaire” était d’être le “vrai George Soros”, créant une énorme organisation de “changement de régime”.
Jigsaw (Puzzle)
Voici comment ils recrutent des activistes en association avec Twitter, Facebook et YouTube. Leur projet qui a eu le plus de succès jusqu’à présent est sans conteste l’EIIL ou Daesh, État Islamique.
L’organisation Jigsaw de Google est un mélange d’entreprises de médias sociaux, de fournisseurs de technologie et d’accès internet et de contractants militaires “cinétiques”. Jigsaw, c’est l’assassinat par drone, Jigsaw gère les “Casques Blancs” en Syrie, le MEK en Irak et en Iran et les Gulanites en Turquie.
Jigsaw gère le centre de contrôle MOC à Amman en Jordanie et opère au Yémen contre l’alliance Houthi qui défend la nation contre l’agression saoudienne, israélienne et américaine.
Jigsaw gère quelques planques clandestines de Idlib en Syrie vers Bari en Italie en passant par l’Azerbaïdjan, et vers France où cette organisation transporte de faux djihadistes et des armes vers des théâtres d’opérations “à la demande” qui ressemblent aux opérations des attentats du marathon de Boston et du flingage de Las Vegas.
Rien de tout cela ne pourrait se faire à cette échelle et de la façon dont nous le voyons. Admettez-le. Nous savons tous, au fond de nous-mêmes, ou suspectons grandement que cette cacophonie sans fin de mises en scène d’attentats faux-drapeaux a un thème central et centralisé.
Maintenant avec Google et Facebook profondément impliqués dans la définition même de la “vérité” et de la “réalité”, parce que, et oui, ils ont eux-mêmes inondé le monde de propagande et de supercheries, la menace n’a jamais été aussi grande.
Il faut les démanteler, il est plus que temps de se séparer de ces Google, Facebook et YouTube.
Chaque mot que vous tapez sur chacune de ces entités est acheminé vers un programme d’IA qui offre votre vie à des êtres, réels ou de silicone, dont le seul but est de vous détruire, vous et tout ce qui vous est cher.
Chaque site internet qui les inclut, chaque pub Google, chaque click que vous faites sous leur contrôle est un clou supplémentaire dans votre cercueil.
= = =
Article connexe: « Les liaisons troubles de Julian Assange (Wikileaks) et Alex Jones (InfoWars)… »
Ceci s’est déjà produit auparavant lorsque les Etats-Unis via des entreprises à vocation transnationale, aidaient technologiquement l’URSS, établie en 1917 comme « marché captif » pour l’entreprise coloniale anglo-américaine. L’historien Antony Sutton l’avait déjà magistralement démontré lors d’un exposé devant une commission sénatoriale en Floride dans les années 1970 en pleine guerre du Vietnam.
Ceci n’a en fait JAMAIS cessé et prouve s’il en était encore besoin que tout n’est que paravent et écran de fumée, « guerre froide », guerre chaude, tout n’est que racket, crime et profit pour la caste privilégié du haut de la pyramide transnationale.
~ Résistance 71 ~
A lire: « Le meilleur ennemi qu’on puisse acheter » (Antony C. Sutton)
Les Etats-Unis fournissent à la Russie de nouveaux équipements militaires violant les sanctions
Alterinfo
25 avril 2018
La politique d’agression envers les pays limitrophes, la negligeace grave des normes du droit international et le détriment au système international de la sécurité ont forcé la communauté internationale d’imposer les sanctions politiques et économiques contre la Russie. Les restrictions les plus sévères ont touché la sphère de la coopération militaro-technique.
Dans cette question les États-Unis ont pris la position de principe, et aujourd’hui continuent à tenir le concept orienté sur le durcissement du régime des sanctions, particulièrement dans les questions concernant le renforcement des ressources militaires de la Fédération de Russie. Mais, malgré cela, certaines compagnies américaines continuent à coopérer avec le pays, qu’aujourd’hui est considéré le paria politique. Et non simplement coopérer, mais aider à l’armée russe à améliorer l’armement (*), utilisé dans les conflits militaires au Donbass ukrainien et contre les populations civiles en Syrie. Il n’y a aucunes garanties que demain la Russie ne voudra pas utiliser cette arme contre d’autres États.
Voici quelques exemples de la coopération russo-américaine dans la sphère militaro-technique. Dès 2014 la compagnie américaine FLIR livre aux forces navales de la Fédération de Russie des caméras thermiques. La Russie installe ces caméras de la production américaine sur des bateaux antisabotages dans le cadre du projet de 03160 « Raptor » (les navires P-415 et P-425 se trouvent à Sébastopol dans la Crimée annexée), sur des vedettes de combat à l’usage spécial BК-10, BК-16 et BК-18, ainsi que sur des croiseurs lance-missile (« Schtorm » et « Okhotsk ») du projet 22800 fabriqués par l’usine de Sébastopol « More ».
De plus, les résultats de l’ investigation de véhicules aeriens sans pilote russe Orlan-10 (les numéros de bord 10212 и 11057), abattus en 2014 et en 2017 lors de combats dans le Donbass ont montré qu’ils étaient presque entièrement assemblés de composants de production américaines: moteur, optique et toutes électronique des companies américaines: Filtronetics, Texas Instruments, Linéair, Pulse Electronics. Aussi les résultats de l’analyse des relevés statistiques sur la production des véhicules aériens sans pilote en Russie témoignent que la fabrication de ces véhicules s’augmente constamment. Ainsi, en février 2014 le Ministère de la Défense de la Russie avait 500 véhicules aériens sans pilote, près de 650 véhicules aériens sans pilote étaient livrés aux forces armées de la Russie au mois d’avril 2015, et en novembre 2016 – près de 1000. La croissance considérable en Russie au début de 2014 de la production de véhicules aériens sans pilote « Orlan » (à 4 fois), témoigne que des pièces de rechange nécessaires de la production étrangère etaient déjà aquises lors de l’invasion militaire en Ukraine et meme pendant le régime des sanctions.
Ainsi, contrairement aux declarations du Washington, certaines compagnies américaines continuent la coopération militaro-technique avec la Russie, ignorant la position officielle de leurs pays.
Implants électroniques sur des employés volontaires en Suède
Pas à pas la réalité cybernétique du contrôle des masses par implant électronique s’implante au sus de tous. Le plus effarant est que la technologie trouve des volontaires pour expérimenter le nouvel esclavage électronique tant voulu par l’oligarchie transnationale…
Résistance 71
4 avril 2017
Source: https://www.yahoo.com/tech/cyborgs-employees-getting-implanted-microchips-125759240.html
Depuis janvier 2015, l’entreprise Epicenter de Stockholm en Suède, un centre d’activité qui héberge plus de 100 entreprises et où naviguent quotidiennement plus de 2000 employés, implante des salariés volontaires avec une puce électronique RFID utilisant la technologie Near Field Communication (NFC), similaire à celle employée pour les cartes de crédits et les paiements mobiles. Cette puce permet aux employés d’accéder aux portes électroniques, d’utiliser la machinerie comme les imprimantes et d’acheter des denrées dans le centre.
Alors bien entendu cette technologie n’est pas nouvelle, on en parle depuis longtemps, mais de constater que des gens depuis deux ans maintenant, acceptent de se faire implanter cette saloperie dans le main, est une chose qui malgré tout dépasse l’entendement.
Nous sommes entrés dans la phase terminale de la fermeture de la grille de contrôle oligarchique planétaire, grille, qui comme l’avait annoncé l’écrivain Aldous Huxley, frère de l’eugéniste britannique et fondateur de l’UNESCO Julian Huxley, s’effectue avec le consentement de la masse insouciante, petit à petit, on infuse le concept “d’utilité” et “d’inéluctabilité” de la chose sous couvert de la science et du “progrès”.
Nous vous conseillons de regarder la vidéo qui accompagne l’article source qui nous a servi pour rédiger ce billet. Les ordures d’en haut continuent de pousser leur agenda du “devenez un cyborg demain, c’est très mode…”
Que la Suède serve de laboratoire pour ce genre d’expérience d’ingénierie sociale n’a rien de réelleemnt surprenant dans la mesure où la société suédoise est déjà sérieusement avancée dans le domaine du fichage informatique. En Suède, les informations personnelles informatisées sont accessibles à tout employeur potentiel d’un simple clic.
Une chose est certaine, si l’affaire passe pour anodine aujourd’hui, qu’en sera t’il lorsque les données personnelles de santé, bancaires, de sécurité personnelle, seront stockées sur ces puces et accessibles à toute “autorité” le plus souvent auto-proclamée ? Les oligarques parlent aujourd’hui de supprimer l’argent physique de n’en garder que l’empreinte virtuelle ; ceci fait assurément partie du système de la grille de contrôle: pourquoi trimbaler toutes ces cartes alors que tout peut-être contenu dans votre puce électronique ?
Allons, allons… ne voyez vous pas l’utilité du procédé ? Allez, mettez votre main sur la table (voir la vidéo)… Non ? Hum… Vous êtes sérieusement anti-social… Vous êtes psychologiquement déséquilibré de refuser de vous faire implanter alors que tous vos collègues le font sans rechigner, pour leur bien et celui de l’entreprise… Nous vous prescrivons une visite chez le psychiâtre… Comment çà “Non !”…
Sécurité ?.. Nous avons une classe C233Z au 4ème C…
(plus personne n’entendit plus jamais parle de Mr Tuttle.. ou était-ce Mr Tutle ?…)