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Nouvel Ordre Mondial: La Chine rachète Syngenta et pousse pour les OGM, la solution finale globale est en marche…

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La Chine impérialiste et les brevets

 

Mai 68 repris par les 7 du Québec

 

29 juillet 2016

 

url de l’article:

http://www.les7duquebec.com/actualites-des-7/la-chine-imperialiste-et-les-brevets/

A lire sur le sujet:

« Chine, Syngenta, OGM contre le monde »

Chine et colonialsme au Canada

 

 

 

La Chine a acheté Syngenta, le premier producteur au monde de semences qui l’est devenu en privatisant et brevetant toutes les semences mondiales ! Et qui ne se prive pas d’attaquer en justice Kokopelli, et autres vendeurs de semences agricoles.   La Chine a acheté Syngenta suisse pour 43 milliards de dollars, l’un des plus gros monstres égal à égal avec Monsanto américain et Bayer allemand !   Avec cela, La Chine met tous les agriculteurs du monde entier en otage et obligé de lui payer pour chaque utilisation de semence.

La multinationale ChemChina la plus grosse entreprise de Chine (fortune 500) qui finance tous les politiciens en Chine et donc dicte la politique a acheté Syngenta :  ChemChina est un conglomérat de chimie chinois, la plus grosse multinationale de produits chimiques et agrochimiques en Chine et fait partie du rang des FORTUNE 500 dirigé par le PDG Ren Jianxi, membre du Parti communiste chinois qui fait partie des familles régnantes en Chine.  Ren Jianxi a reçu des nobels prestigieux en Chine, et a eu différents postes très importants au sein du ministère chinois. Son rôle politique au sein de la société en Chine est l’un des plus influents.

Syngenta impose ses pesticides néonicotinoides qui tuent les abeilles. Or les abeilles rapportaient 22 milliards d’euros à l’agriculture européenne.   En février 2016, ChemChina annonce l’acquisition de Syngenta, une entreprise suisse de produits de pesticides et de semences, pour 43 milliards de dollars, ce qui en fera la plus grosse acquisition d’une entreprise étrangère par une entreprise chinoise.

La Chine va « faciliter » la plantation à l’échelle industrielle de maïs et d’autres organismes génétiquement modifiés lors des cinq prochaines années, ont annoncé mercredi les autorités.

Syngenta est connu pour faire la loi à Bruxelles et à Washington pour imposer ses pesticides néonicotinoides néfastes pour les abeilles et privatiser les semences.  Syngenta et Bayer étaient furieux quand l’Union Européenne avait d’abord refusé certains pesticides cancérigènes néfastes pour les abeilles. Mais avec de l’argent, on obtient tout.

Surtout maintenant que la grande puissante multinationale chinoise qui fait partie des Fortunes 500 du globe a acheté Syngenta.

Syngenta maintenant achetée par la multinationale ChemChina qui fait sa loi en Chine, aura un pouvoir qui pourra surpasser celui de Monsanto.

A tel point que celui-ci inquiet, fait monter les enchères pour trouver un acheteur lui aussi pour augmenter la puissance de sa multinationale et son influence dans le monde.   En Russie, pays, qui interdit les OGMS ce genre d’achat par une entreprise russe aurait été inacceptable, mais en Chine, acheter Syngenta, Monsanto et toute la clique est parfaitement toléré !

La Chine fait l’inverse de la Russie et joue le jeu des lobbies des producteurs de pesticides, qui compte parmi ses membres Bayer, Monsanto, BASF, Dow, DuPont et Syngenta. jeu de Monsanto, de Bayer et de Syngenta. Enfin surtout de Syngenta, puisque la Chine vient d’acheter ce dernier.

Le club le plus privé au monde qui se réunit tous les ans en Suisse à Bâle réunit les banquiers centraux d’Angleterre, des USA, d’Allemagne, de Chine, etc… mais curieusement pas le banquier central de Russie.

La Chine achète les forêts françaises. Ce n’est pas pour les entretenir, mais les abattre, car elle a besoin du bois pour faire des planches et des meubles. La Chine est donc devenu un acteur majeur de déforestation en France.

Dans l’Indre, une société chinoise a acquis cinq exploitations agricoles totalisant 1.700 hectares de terres. Profitant d’une faille juridique, elle a contourné les instances chargées du contrôle du foncier agricole et contribue au développement d’une agriculture sans paysan.

La Chine achète les forêts et terres agricoles dans monde entier et fait le jeu de l’oligarchie qui ne veut rien laisser aux 99%. Et va bientôt utiliser l’ONU pour asseoir sa légitimité en tant que leader mondial de l’humanité.

En Chine sont cultivés 3.5 millions d’hectares d’OGM

http://picriogm.weebly.com/les-ogm-…

Les États-Unis, l’Argentine, le Brésil, le Canada et la Chine restent les principaux producteurs de plantes transgéniques.

http://www.ogm.org/Tout%20savoir/Hi…

L’État chinois vient de faire l’acquisition de près de 30.000 km² de terres arables en Ukraine, soit un domaine cultivable aussi grand que la Belgique tout entière… !l’Ukraine prévoit donc de céder à la seconde puissance mondiale 5% de son territoire, 9% de ses terres arables et une superficie équivalente à la Belgique pour combler les besoins gargantuesques de l’Empire du milieu

la Chine achète le plus grand territoire agricole d’Australie pour 255 millions de dollars https://fr.express.live/2016/04/21/…

Il est devenu clair comme le jour que la Chine est un pays capitaliste comme les autres, et qui ne songe qu’à ses propres intérêts au détriment de celui de son peuple, et des autres peuples, car en achetant des multinationales étrangères qui détruisent déjà le monde à petit feu et nos abeilles, et privent nos paysans du droit d’utiliser leurs semences il devient clair, que la richesse de l’élite chinoise devient un fardeau tout comme la richesse de l’élite Rotchild pour l’humanité.

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Voici déjà comment était Syngenta avant d’être acheté par la ChemChina et le pouvoir d’influence qu’il possédait déjà avec Bayer :

« Les producteurs de pesticides –Syngenta et Bayer en tête- joueraient leur va-tout auprès de la Commission européenne, des Etats et de l’agence européenne de sécurité alimentaire (Efsa) afin de contrer les risques d’interdiction qui pèsent sur les néonicotinoïdes [JDLE], fortement suspectés dans l’effondrement des colonies d’abeilles. Lettres à l’appui, c’est ce que dénonce Corporate Europe Observatory (CEO), qui traque les lobbies dans les instances européennes. L’association a pu consulter des documents envoyés à différents commissaires européens et à l’Efsa par Syngenta, Bayer et l’ECPA[1], afin d’infléchir le processus de régulation comme le cours de l’expertise scientifique. Les courriers sont consultables sur le site de CEO (en anglais) et permettent de mieux saisir comment avancent dans la coulisse les dossiers dans lesquels se mêlent intérêts économiques, scientifiques et sanitaires.

La palette des arguments est vaste, qui va de la pression amicale au dénigrement, des menaces de poursuites à la campagne de communication classique. Dans un courrier envoyé en novembre 2012 aux commissaires à l’agriculture et à la recherche, Syngenta tente de décrédibiliser les méthodes scientifiques employées par l’Efsa pour évaluer les trois néonicotinoïdes les plus couramment utilisés. Et de dépeindre un tableau proche de l’apocalypse si ces pesticides venaient à être interdits (des pertes de 17 milliards d’euros en 5 ans, une chute de 40% de la productivité pour le maïs, le blé d’hiver, des betteraves à sucre ou des tournesols, des banqueroutes en pagaille, etc.).

Peu de temps après l’interdiction par la France de son produit-phare, Syngenta écrit au commissaire Dalli : « Les interdictions sont faciles à décider, mais dures à lever. Une interdiction du Cruiser OSR et des autres néonicotinoïdes se ferait sans aucune base scientifique crédible et n’aurait absolument aucun impact sur l’amélioration de la santé des abeilles ». Au détour de sa missive, Michael Mack -le PSG de Syngenta- mentionne comment, il y a encore deux semaines, il partageait le repas dominical du président américain, du président du Conseil européen et du président français lors de la rencontre du G8 à Camp David. « Nous avons discuté de la contribution du secteur privé, notamment les entreprises de recherche et développement comme les nôtres, à l’égard de la sécurité alimentaire, en particulier en direction de l’Afrique, où nous sommes nous-mêmes engagés à dépenser 500 millions de dollars (382 millions d’euros) sur 10 ans. »

La science –soutenue par Copa-Cogeca (un lobby agricole à Bruxelles), l’association européenne des semenciers (qui regroupe les multinationales du secteur) et l’European Crop Protection Association, et financée par Bayer et Syngenta- est appelée à la rescousse, avec une étude publiée sur un site dédié au « traitement des graines par les néonicotinoïdes ». L’étude conclut à la contribution socio-économique et environnementale significative de ces insecticides pour l’agriculture européenne et l’économie au sens large.

Syngenta ayant pu consulter le communiqué de presse de l’Efsa avant sa publication mi-janvier–et ne le trouvant pas du tout à son goût [JDLE]- l’entreprise tente de le faire réécrire, sous peine de poursuites judiciaires. « Ce communiqué de presse est inexact et contraire aux conclusions de l’Efsa », fait valoir Syngenta au fil de plusieurs courriers de plus en plus « furieux », commente CEO. A tel point que l’entreprise exige de pouvoir consulter les brouillons du communiqué de presse, des correspondances internes et les notes d’une réunion préparatoire qui s’est tenue à l’Efsa. Celle-ci s’exécute. Avant de voir sa directrice directement prise à partie par l’entreprise.

Les pressions sur l’Efsa ayant eu peu d’effets, des courriers démontrent que Bayer et Syngenta vont opter pour une opération de dénigrement. « L’Efsa a des connaissances limitées en agriculture », écrivent-ils, comme le rapporte CEO. Et de s’alarmer : si ce type d’évaluation des risques était généralisé, « il deviendrait impossible de maintenir l’enregistrement du moindre pesticide ou d’obtenir l’enregistrement de nouveaux produits ». Enfin, les semenciers s’offrent une opération de communication à peu de frais, en proposant de planter des prairies fleuries [JDLE] –accréditant l’idée que c’est le manque de nourriture qui serait à l’origine de l’effondrement des colonies- et en plaidant pour la poursuite des recherches sur les causes de ce déclin massif.

Le 26 avril ou le 2 mai prochains, les Etats devraient voter à nouveau sur l’interdiction des trois néonicotinoïdes analysés par l’Efsa. CEO affirme que les Etats sont désormais l’objet de toutes les attentions de la part des marchands de pesticides. « Si les Etats membres ne parviennent pas à atteindre une majorité qualifiée sur la proposition [de limiter pendant 2 ans l’usage du chlothianidine, de l’imidaclopride et du thiamétoxam et des semences enrobées pour les seules cultures non attirantes pour les abeilles], la Commission pourrait l’imposer. Pendant ce temps-là, l’industrie des pesticide fait durement pression sur les Etats membres pour atteindre une majorité qualifiée qui rejetterait la proposition et bloquerait l’interdiction. Les semaines de bataille à venir seront cruciales : les intérêts de l’industrie prévaudront-ils sur la survie des abeilles ? », s’interroge CEO.

[1] Le lobby des producteurs de pesticides, qui compte parmi ses membres Bayer, Monsanto, BASF, Dow, DuPont et Syngenta.

http://www.journaldelenvironnement….

La sortie du placard de l’empire chinois en devenir…

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« Nous pensons que le marché du Renminbi est voué à devenir une des plus grands marchés de capitaux au monde, soutenant des liens commerciaux plus forts entre les pays et une croissance économique positive.

[…] Ceci est une action signifiante entreprise afin daider à construire de plus fortes relations entre la Chine, la Colombie Britannique et le Canada, Entrer dans le marché CNH (renminbi) démontre notre motivation envers une relation ayant des bénéfices mutuels et est une étape naturelle pour l’expansion et la fondation de relations plus profondes avec la Chine…”

~ Michael de Jong, ministre des finances de la province de Colombie Britannique, Canada ~

 Questions: tout çà est concocté depuis les burlingues feutrés des grands groupes financiers et industriels qui ont acheté de part et d’autre les politiques depuis belle lurette, mais cela se fait au détriment de qui ? Qui est et demeurera le grand perdant de toute cette salade coloniale remaniée à la sauce sichuan ?…

 

L’empire chinois en devenir sort du placard

 

Résistance 71

 

25 juillet 2016

 

En fait, il ne sort pas de lui-même du placard, il préfère la discrétion et le secret, mais on le sort du placard, avec une aide russe puisque des informations sortent maintenant de manière régulière en provenance de ces médias. Veulent-ils nous faire comprendre quelque chose ?

Les avancées de la Chine pour les ressources naturelles sur le continent africain sont connues et bien recensées, mais qu’en est-il de l’Europe, des Etats-Unis, du Canada ? Jetons-y un œil qu’on espère averti si vous le voulez bien…

Des enquêtes en cours actuellement en Colombie Britannique (CB) sont en train d’accumuler des preuves de la collusion des institutions provinciales et fédérales canadiennes avec des entreprises chinoises investissant au Canada et en CB en particulier et qui seraient directement liées avec la continuelle disparition non seulement de femmes autochtones attachées aux clans des mères traditionnelles et traditionnnellement gardiennes de la terre, mais aussi de famille entière et ce depuis déjà de nombreuses années.

Le devant de la scène de la continuation moderne du génocide contre les peuples indigènes du Canada entrepris par la première génération coloniale européenne chrétienne dès le XVIIème siècle, est occupée par les accords commerciaux entre la Chine et les gouvernements provinciaux et fédéral du Canada (il en va de même aux Etats-Unis où les investissements chinois ont plus que doublé depuis 2013, source Huffington Post). La Chine investit lourdement par le truchement de sa China Investment Corporation ou CIC, créée en 2007, entreprise d’état (marxiste n’oubliez pas !,…) aux nets revenus de 93 milliards de dollars par an et qui gère un portefeuille d’investissement mondial de plus de 750 milliards de dollars. La CIC est devenue la maison-mère de la Central Huijin Investment Ltd, également une entreprise d’état (marxiste) qui a ouvert son premier bureau à l’étranger en 2011 à … Toronto. Si cela n’est pas du ciblage, qu’est-ce que c’est ? Le Canada étant le second pays du monde par la superficie après la Russie et dépositaire d’énormes richesses en matières premières et ressources naturelles de l’eau au bois en passant par l’or, le gaz, le pétrole, le charbon, le poisson et les minerais de toutes sortes, l’essentiel de ces ressources se situant en territoires aborigènes bien évidemment.

En Colombie Britannique et à titre d’exemple, d’inombrables investissements chinois sont effectués dans l’immobilier, le foncier, l’énergie, l’exploitation minière et forestière, l’hydraulique, l’énergie, notons que les investissements de la China Mining Association (CMA) sont en hausses drastiques et que la Chine exporte même maintenant ses propres mineurs (pourquoi payer plus cher au Canada, des mineurs canadiens alors qu’ont peut faire bosser les “esclaves” du système chinois pour 10 fois moins cher, des gars qui en plus ne se plaindront pas de conditions de sécurité et de pollution déplorables affectant potentiellement leur santé, leur vie et l’environnement…).

La compagnie pétrolière d’état chinoise CNOOC a acheté de grosses parts de Nexen Energy. Minmetal a acheté plus de 20% de SAMA Resources, une entreprise minière de Vancouver et en 2015, le Zhang Ya Group Hebei Canada-China a acheté la ville minière abandonnée de Bradian, toujours en CB, pour 840 millions de dollars…

Pour la seule année de 2012, La RPC a investi plus de 25 milliards de dollars au Canada.

Qu’en est-il de l’Europe ?

D’après des sources russes, publiées sur sputnik.fr voici à titre d’exemples marquants ce que la Chine a acquis sur le continent depuis 2015:

  • Aéroport de Toulouse-Blagnac, France
  • Club Med, France
  • Louvre Hotels Group, France
  • Accor Hotels Group, France
  • Hôtel Marriott Champs-Elysées, France
  • Pirelli, Italie
  • Athletico de Madrid, Espagne
  • Infront-Sport & Média, Suisse
  • Le #2 des OGM, Syngenta, Suisse
  • Weetabix, GB
  • House of Fraser, GB
  • Automobile MG-Rover, GB
  • Manganese Bronze Holdings, GB
  • Aéroprt d’Heathrow, Londres, GB
  • Juillet 2016: un consortium d’investissement chinois rachète le logiciel navigateur web Opera Software (Norvège) pour 540 millions d’Euros. Opera est utilisé par plus de 400 millions d’internautes dans le monde…

Ces derniers jours, la Bank for Asian Infrastructures Investment (BAII) fait reparler d’elle. Cette nouvelle banque créée à Shanghaï en 2015 devient le nouveau havre pour la haute finance internationale, qui semble y fuiter ses capitaux (non toxiques) pour les protéger de l’effondrement programmé à venir. Un effondrement financier et économique qui fera ressembler la crise de 1929 et des années 1930 à un pique-nique aux jardins des plantes…

Le 2 avril 2015, nous avions publié ceci concernant la BAII:

https://resistance71.wordpress.com/2015/04/02/nouvel-ordre-mondial-questions-sur-la-nouvelle-banque-asiatique-dinfrastructure-et-dinvestissement/

Dans cet article, nous émettions l’hypothèse que la BAII chinoise était la nouvelle banque pour le Nouvel Ordre Mondial. Dans cet article nous expliquions également la position de la Chine et pourquoi elle est partie prenante du Nouvel Ordre Mondial. Un article on ne peut plus d’actualité aujourd’hui que nous vous proposons de (re)découvrir en cliquant sur le lien ci-dessus.

Depuis l’an dernier, les preuves s’accumulent pointant dans la direction de la Chine comme étant un rouage essentiel de l’ordre totalitaire émergeant du chaos à venir. L’élite de la haute finance et des cartels industriels monopolistes (souvent les mêmes personnes) sont en train d’opérer de derrière le rideau de fumée d’une soi-disante “tension” géopolitique en Asie avec la Chine, un repositionnement stratégique incorporant la Chine, en fait son élite ultra-capitaliste du politburo et d’ailleurs. L’empire anglo-américain, ce bernard l’ermite à l’étroit dans sa coquille, est en train d’en changer et de fusionner dans la coquille fraîche et plus spacieuse de l’empire chinois naissant… Les globalistes, depuis la normalisation des relations entre Pékin et Washington dans les années 1971-73 à l’initiative de David Rockefeller via son protégé Henry Kissinger et l’administration Nixon, ont pris la Chine communiste totalitaire comme modèle de contrôle pour leur Nouvel Ordre Mondial, depuis lors, ils ne font que pousser leurs pions dans cette direction.

Si nous laissons faire tout çà, nous ne sommes pas sortis de l’auberge… Il court il court le goulag…

En parallèle à ce que nous disons ici, nous encourageons les lecteurs à lire cet article que nous avions traduit et publié le 21 décembre 2015 au sujet d’un nouveau “système de crédit social” mis en place par la Chine pour toujours mieux contrôler les populations ; au-delà de l’article qui en soit vaut d’être lu, nous attirons l’attention sur les commentaires et un débat/info engagé au sujet de la position de la Chine sur les OGM, surtout depuis qu’il a été rendu public, comme nous l’avons dit ci-dessus, que la Chine a racheté le #2 des OGM, Syngenta (Suisse).

Se greffe là-dessus une attitude pour le moins ambigüe de la Russie, pourtant anti-OGM déclarée puisqu’ils sont interdits sur son territoire ; quand on parle du Nouvel Ordre Mondial, il devient de plus en plus difficile de la cadrer sous l’emprise de l’empire anglo-saxon tant il semble de plus en plus évident que le glissement oligarchique vers la Chine s’est opéré depuis quelques temps.

A lire ici:

https://resistance71.wordpress.com/2015/12/24/nouvel-ordre-mondial-le-modele-chinois-pour-un-systeme-de-credit-social/

A (re)lire aussi ces deux articles que nous avions publiés en 2010…

https://resistance71.wordpress.com/2010/06/25/que-faire-la-marche-vers-la-tyrannie-globale-comment-sen-sortir/

https://resistance71.wordpress.com/2010/06/26/elite-globaliste-eugenisme-et-controle-des-populations/

Le colonialisme nouveau est arrivé… La vente des terres volées canadiennes par les colons et leurs sbires à leurs remplaçants chinois…

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Canada Caïman

 

Mohawk Nation News

 

14 juillet 2016

 

url de l’article original:

http://mohawknationnews.com/blog/2016/07/14/cayman-canada/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Le Canada est en train de remettre des ports sis sur des terres autochtones à des entreprises/corporations étrangères qu’il met en place lui-même. Ils garderont nos droits d’exemption de taxes pour le bénéfice de leurs étrangers. Les corporations vont échouer et les banquiers vont saisir tous les ports du Canada. Les Chinois ont déjà essayé d’acheter des îles kanion’ke:haka/Mohawk sur le fleuve St Laurent pour des centres de fabrication et de distribution et pour héberger leur population. Cette invasion a été stoppée par les Onkwe’honweh (autochtones) d’Akwesasne.

Le Canada a bien des restitutions de terres à faire aux Iroquois/Rotino’shonni, notamment pour des territoires connus sous le nom des “mille îles” et en particulier des îles entre Akwasasne et Kahnawake, plus la côte nord de kaniatarawano’onweh, (St Laurent), incluant la ville de Cornwall. Le Canada offre 240 millions de dollars pour que nous rachetions cette terre aux colons blancs, s’ils acceptaient de nous revendre nos propres terres ! Ils veulent que utilisions le système monétaire imposé par les banquiers pour que nous rachetions les terres qu’ils nous ont volées au préalable, comme la Seigneurie, Kanekota et bien d’autres.

Un accord secret a été signé le 15 avril 2016 pour créer une entreprise commune entre la ville de Cornwall et le Conseil Mohawk d’Akwasasne Inc qui nous est illégalement imposé par le gouvernement colonial. (NdT: par la loi sur les Indiens ou Indian Act mis à jour en 1923) Les deux parties sont toutes deux des sous-ensembles de l’entreprise Canada. Elles violent les instructions originales données à Onkwe’hon;weh à savoir que la terre ne peut pas être abandonnée ou les terres vendues car elles appartiennent aux générations futures.

Les signataires sont: Abram Benedict et Heather Philips, en violation totale de Kaiane’re:kowa et des nombreux accords toujours valides mais jamais honorés, ces personnes représentant de Conseil de Bande Mohawk Inc et Lesley O’Shaughnessy et Helen Finn pour la ville de Cornwall Inc. Le Canada était représenté par l’ex-astronaute et ministre des transports Marc Garneau. Cet accord bidon implique de grandes portions de terres ayant un accès direct à l’eau et aux voies navigables, incluant des installations portuaires sur kaniatarawano’onweh [St. Lawence River]. Les communautés kanion’ke:haka [Mohawk] de Kanien:keh n’ont jamais été informées ni consultées. Tekentiokwanhoxta est le cercle des 49 familles et nos amis et alliés au travers de l’Île de la Grande Tortue (Amérique du Nord), il préside sur toute notre terre. Nous devons tous être totalement informés de ce qui se passe et consentir unanimement sur tous sujets surtout ceux ayant trait à la terre et à l’eau sur nos territoires.

Lisez l’accord scélérat ici.  MCA- Cornwall July 2016

Nous n’avons jamais été vaincus au cours de qelque guerre que ce soit (NdT: les colons ne peuvent en aucun cas clâmer une victoire militaire et donc une “conquête” des territoires Rotino’shonni / Iroquois…), nous n’avons jamais vendu notre terre. Le candidat à la présidentielle américaine Donald Trump déteste Onkwe’hon:weh à cause de son échec du racket des casinos à travers les USA. Il menace de court-circuiter la loi en exerçant la notion de “domaine éminent” contre les INDIENS en les expropriant de notre terre et ce à ses seules fins. Il dit ouvertement que “les Indiens ne sont pas souverains”…

Trump a visité récemment le Pow Wow de Kahnawakeh ainsi un de nos hommes médecine a pu soigner un problème récurrent de dos qu’il avait. Notre chaman l’a fait. Trump a ensuite appelé les ouvriers du fer Mohawk de New York (NdT: les ouvriers spécialisés travaillant à la pose des poutrelles d’acier sur les gratte-ciels en construction…) en leur hurlant: “Vous n’êtes rien d’autres qu’une clique d’ouvriers trop bien payés !”.

Tout le peuple de l’île de la Grande Tortue a une relation liant tout le monde remontant à des milliers d’années entre tous nos peuples. Nous les appelons maintenant pour qu’ils renouvellent ces liens entre nous. On a remis aux calendes grecques la fin des conseillers de bande à la solde de l’état colon il y a plus de 30 ans ! Il est grand temps que nous remettions ce problème au goût du jour et que nous le gérions une bonne fois pour toute.

Nouvel Ordre Mondial: La Chine est-elle le cheval de Troie du néo-colonialisme mondial ?… Il y a de quoi se poser des questions !…

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Une pierre de plus dans la confirmation du fait que la Chine est partie prenante dans le Nouvel Ordre Mondial que les banquiers et industriels transnationaux mettent en place. Le sous-titre de cet article pourrait bien être “La Chine, cheval de Troie du Nouvel Ordre Mondial” dans un effet “tiroir” sans doute pertinent…

Il suffit de se référer au fait que le milliardaire et criminel canadien Maurice Strong, fondateur de Petro Canada et impliqué dans les fraudes onusiennes du programme “pétrole contre nourriture” qui affligea l’Irak durant l’embargo lors de la fin de l’ère Saddam Hussein (lui-même agent de terrain de la CIA), se trouve en Chine depuis plus de 10 ans pour piloter le projet, afin d’être convaincu que toute cette affaire pue l’embrouille à plein nez. Strong est un agent des Rockefeller, dont le patriarche David admirait ouvertement et se languissait de la méthode politique et du contrôle du pays que Mao utilisait dans les années 60-70… La Chine, le modèle chinois est le modèle de gouvernance du Nouvel Ordre Mondial. Les “élites” auto-proclamées ne s’en sont jamais cachées…

Les Premières Nations du Canada en lutte contre le colonialisme l’ont dit depuis longtemps: Le Canada, entreprise commerciale de la City de Londres déguisée en pays pour la circonstance, est à vendre. Il sera racheté et ses nouveaux “propriétaires”, ignorants des affaires de souveraineté et de territorialité ancestrales, gèreront toujours plus coercitivement la chose. Grande différence néanmoins: les colons européens, jusqu’ici à l’abri et privilégiés du système, qui n’auront pas les moyens de vendre et de prendre une retraite dorée comme leurs banquiers et industriels, seront eux-aussi colonisés, d’abord subrepticement, puis de manière plus ouverte.

L’évidence n’en est que plus criante: Le véritable salut du Canada passe par l’alliance du peuple colon avec les peuples et nations premiers. Faute de quoi, la seconde colonisation en marche mettra tout le monde sous le joug étatico-capitaliste, parce que c’est de cela qu’il s’agit ne nous leurrons pas: le Nouvel Ordre Mondial est la mise en place d’une grille de contrôle supranationale, qui verra la fusion globale de la haute finance et haute industrie transnationales avec un super état planétaire dans le plus pur style mussolinien. La Chine en est le modèle, elle est obligée de passer par le stade impérialiste car elle est le premier créditeur de l’empire ! La Chine est complice et le système banquier international, les charognards en chef, y compris les grands banquiers chinois, se sont ligués contre le reste du monde. Cela devient de plus en plus évident.

L’article ci-dessous ne fait qu’apporter une brique de plus dans le mur de certitudes se construisant pas à pas… Il suffit de dire non… en masse !

~ Résistance 71 ~

 

Le Canada, cheval de Troie de la Chine

 

Ariel Noyola Rodriguez

 

15 Mai 2015

 

url de l’article:

http://www.voltairenet.org/article187605.html

 

Dans son processus d’internationalisation, la monnaie chinoise gagne de plus en plus d’adeptes. Après avoir reçu des soutiens venant de la région Asie-Pacifique et de l’Europe via l’installation de centres d’imputation directe, et après avoir permis les investissements en actifs financiers libellés en yuans, elle brise désormais les résistances du Canada, vieil allié des États-Unis appelé à devenir la plateforme de « yuanisation » du continent américain.

Le yuan est devenu un des composants du « soft power » (moyens idéologiques, culturels et diplomatiques utilisés par une nation pour influer sur les actions des acteurs du système international) de la Chine pour recevoir l’appui des pays les plus alignés sur la politique étrangère des États-Unis.

Chaque fois que son taux de croissance annuel tourne autour de 7 % et que les attentes en matière de rentabilité dans les Zones économiques spéciales se réduisent précipitamment, la Chine tente de changer les termes de sa relation économique avec les pays industrialisés.

Alors que la demande, de la part du consommateur chinois, en produits à haute valeur ajoutée progresse, des centaines d’entrepreneurs occidentaux se montrent très intéressés pour augmenter leur commerce avec le géant asiatique.

Le rôle croissant de la Chine dans les flux de capital (investissements directs étrangers, investissements de portefeuille, etc.) et le commerce mondial élargissent en parallèle la sphère d’influence du yuan comme moyen de paiement, instrument d’investissement et monnaie de réserve dans de plus en plus d’espaces de l’économie mondiale.

Il en est ainsi avec le Canada, pays faisant partie avec le Mexique et les États-Unis de l’Accord de libre-échange nord-américain (désigné en anglais par le sigle NAFTA). De façon surprenante, le Premier ministre, Stephen Harper, ne s’oppose pas à l’internationalisation du yuan mais, bien au contraire, il ne ménage pas ses efforts pour transformer la ville de Toronto en la plateforme la plus importante de la monnaie chinoise au-delà de la région Asie-Pacifique.

En fait, bien que le gouvernement chinois ait commencé par privilégier l’utilisation de la « monnaie du peuple » (renminbi) uniquement sur le territoire asiatique, le yuan a ensuite dépassé les frontières continentales et est arrivé en Amérique latine, en Afrique, au Proche-Orient et en Europe.

Dans le cas du continent américain, jusqu’à la fin de l’année dernière, l’internationalisation du yuan n’allait pas au-delà de la signature d’accords bilatéraux swap (échange de devises) avec les banques centrales du Brésil et d’Argentine (les deux économies les plus puissantes de l’Amérique du Sud).

S’il est bien vrai que depuis plusieurs mois, la Chine a engagé des discussions avec de hauts fonctionnaires du gouvernement uruguayen pour faire de Montevideo la « capitale latino-américaine du yuan » [1], il n’existe pas encore de projets destinés à promouvoir l’utilisation de la monnaie chinoise dans les pays de l’Amérique latine et des Caraïbes.

En revanche, dans les six derniers mois, le gouvernement du Canada a réussi à concrétiser trois accords importants. Premièrement, les deux pays ont accepté l’installation du premier centre d’imputation directe pour faciliter l’utilisation du yuan sur le continent américain. Auparavant, cela n’avait été fait que dans la région asiatique et en Europe.

Sous le contrôle de la Banque industrielle et commercial de Chine (désignée en français par le sigle BICC), située à Toronto, le centre d’imputation directe permet de mener des opérations de convertibilité entre le dollar canadien et la monnaie chinoise sans prendre en compte le cours du dollar américain. Cela permet ensuite de diminuer les coûts de transaction et de resserrer les liens entre les entreprises de chaque pays en augmentant les échanges de marchandises et services [2].

Selon les estimations faites par la Chambre de Commerce du Canada, grâce à la mise en place du centre d’imputation en yuan, les entreprises canadiennes pourront économiser environ 6,2 milliards de dollars dans la prochaine décennie, et par conséquent, les exportations atteindront un montant inédit d’entre 21 et 32 milliards de dollars.

Deuxièmement, la Banque populaire de Chine et la Banque centrale du Canada ont conclu un swap de change à échéance au bout de trois ans pour un total de 30 milliards de dollars canadiens (200 milliards de yuans).

Une fois que la Réserve fédérale (Fed) eût conclu ses programmes d’assouplissement quantitatif (Quantitative Easing), plusieurs pays ont souffert de la dévalorisation de leur monnaie face à la devise états-unienne : il en fut de même avec le Japon et les membres de la zone euro, mais aussi avec des pays développés exportateurs de matières premières (commodities) comme l’Australie et le Canada, sans bien entendu laisser pour compte les économies périphériques en situation de plus grande fragilité financière.

Cependant, le gouvernement états-unien refuse de plus en plus de tolérer l’appréciation du dollar à cause de ses effets secondaires sur la croissance économique. Il suffit de se rappeler qu’il y a quelques semaines, la Fed a renforcé ses critiques contre la politique monétaire accommodante de la Banque centrale européenne (BCE) et la Banque du Japon.

Par conséquent, tous les signaux paraissent indiquer que les tensions entre les devises devraient augmenter dans les prochains mois [3]. En fin de compte, par le biais de l’accord swap, la Chine et le Canada abandonnent l’utilisation du dollar et ainsi, diminuent les effets de la volatilité de type de change sur les flux de commerce et les investissements bilatéraux.

Troisièmement, le gouvernement chinois a octroyé un quota d’investissement aux entrepreneurs canadiens dont la limite est de 50 milliards de yuans (8 milliards de dollars) pour participer au Programme chinois d’investisseurs étrangers agréés en Renminbi (désigné en anglais par le sigle RQFII) [4].

De cette manière, comme c’était déjà le cas avec les entrepreneurs de Londres, Paris, Francfort et Luxembourg, maintenant les investisseurs canadiens ont l’aval des autorités de régulation chinoises pour acheter des actifs financiers libellés en yuans.

Il ne fait aucun doute que les accords de coopération entre le Chine et le Canada ont donné d’excellents résultats, tant pour les perspectives de commerce et d’investissement des entreprises canadiennes, que pour initier l’internationalisation du yuan avec l’appui du Canada en Amérique du Nord.

Inévitablement, en conséquence l’importance croissante de la région Asie-Pacifique en Amérique du Nord, le yuan occupe actuellement la 2ème position (10,2 %) dans le « classement » des devises les plus utilisées par le Canada dans ses transactions avec la Chine et Hong Kong : il est 8,5 fois plus utilisé que le dollar états-unien (1,2 %) et est dépassé uniquement par le dollar canadien (75,4 %).

En accord avec la société pour les communications interbancaires et financières internationales (désignée en anglais par le sigle SWIFT), en mars 2015, et par rapport à 2013, les entreprises canadiennes ont augmenté leurs opérations en yuans de 213% [5].

L’enthousiasme suscité par la monnaie chinoise au Canada est si grand que le 16 juin prochain se déroulera pour la première fois le Sommet Asie-Pacifique sur les finances, au centre de conférence de Vancouver, sous l’égide de CityAgeMedia, AdvantageBC et la province de la Colombie-Britannique [6].

La rencontre entre des universitaires et l’élite du monde de l’entreprise aura pour but de construire de nouveaux schémas de collaboration avec la Chine pour mettre en place l’utilisation du yuan dans plus de villes canadiennes que Toronto (Vancouver, Montréal et Calgary, entre autres) et en même temps, donner des cours de de formation a des exportateurs et importateurs pour ainsi tirer le meilleur profit des accords conclus en novembre 2014 [7].

En conclusion, alors que le Président Barack Obama échoue dans sa tentative de détruire les victoires diplomatiques du gouvernement de Xi Jinping à l’échelle mondiale. Armés du « cheval de Troie » du Canada, les Chinois consolident le processus de « yuanisation » au « nez et à la barbe » de la Maison-Blanche.

 

[1] « ¿Montevideo, la capital latinoamericana del yuan ? », por Ariel Noyola Rodríguez, Red Voltaire, 7 de octubre de 2014.

[2] “China Names ICBC for Yuan Clearing in Canada. Industrial & Commercial Bank of China Becomes the First Yuan-Clearing Bank in North America”, by William Kazer, The Wall Street Journal, November 9, 2014.

[3] « The Dollar Joins the Currency Wars », Nouriel Roubini, Project Syndicate, May 1, 2015.

[4] « China Awards $8.2 Billion RQFII Quota, Swap Deal to Canada », Nicholas Wadhams, Bloomberg, November 8, 2014.

[5] « Canada takes off as official RMB clearing centre », SWIFT, April 30, 2015.

[6] « Yuan’s role highlights Summit », Talia Beckett & Hatty Liu, China Daily, April 18, 2015.

[7] « Canada steps up efforts to become hub for yuan trade settlement », Jeanny Yu, The South China Morning Post, April 24, 2015.