Santé: G. Edward Griffin « Un monde sans cancer, l’histoire de la vitamine B17 » ~ Livre I, 4ème partie ~

“Avertissement, le Laétrile est officiellement un traitement non prouvé pour le cancer. L’auteur de ce livre est un chercheur et un écrivain, pas un médecin. Les faits dévoilés dans les pages qui suivent ne le sont que pour information seulement et ne sont pas des avis médicaux. Leur but est de créer la base d’un consentement informé. Bien qu’il y ait certaines chose que l’on puisse faire dans le domaine de la prévention, le traitement clinique du cancer ne doit pas se pratiquer seul. L’administration de quelque thérapie anti-cancéreuse que ce soit, incluant les thérapies nutritionnelles, doit être pratiquée sous la supervison directe de personnels médicaux professionnels, spécialistes en leur domaine.” (G. Edward Griffin)

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“Un monde sans cancer, l’histoire de la vitamine B17”

Livre I, 4ème partie

 

G. Edward Griffin

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

1ère partie

2ème partie

3ème partie

5ème partie

Livre II, 1ère partie

Livre II, 2ème partie

Livre II, 3ème partie

Livre II, 4ème partie

Livre II, 5ème et dernière partie

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Chapitre 9

Les guérisons “non prouvées” du cancer

La peur du cyanure que nous avons mentionnée plus tôt ne fut qu’une des salves du barrage continu des attaques officielles contre le Laétrile. L’arsenal complet va des simples tactiques d’effraiement à la falsification éhontée; mais le plus souvent ces attaques prennent la forme de déclarations académiques, déguisées en préoccupation apparente pour le bien de la santé et de la sécurité publiques, disant que la thérapie vitaminique peut paraître bien en théorie mais que dans la pratique cela ne marche pas.

Le Dr Ralph Weilerstein, officier de la santé publique auprès de la FDA de Californie a dit platement: “Personne n’est venu avec des données valables montrant que le Laétrile soit de quelque utilité que ce soit.” […]

[…] Aussi loin que le public soit concerné, si l’American Cancer Society classifie la vitamine B17 ou Laétrile comme une “thérapie non prouvée contre le cancer”, c’est tout ce qu’il a besoin de savoir. Conséquemment, des annonces officielles d’organisations prestigieuses comme celles-ci sont difficiles à ignorer. Mais il en va de même avec les trouvailles des cliniciens qui ont utilisé le Laétrile sur leurs propres patients.

Quelqu’un a tort !

Dans les pages précédentes, nous avons examiné l’intégrité scientifique des projets de recherche sur lesquels l’opposition au Laétrile est fondée et nous avons constaté qu’elle est défaillante en de nombreux points. Nous avons aussi découvert que la vaste majorité des experts qui se sont prononcés contre l’efficacité du laétrile, l’ont fait non pas en conséquence de leur expérience personnelle ou de leurs propres recherches, mais simplement de par leur foi dans l’intégrité scientifique des rapports discrédités. Montrer que le procès monté contre le Laétrile est une fraude ne constitue pas un argument en faveur de l’efficacité de celui-ci. Il est donc nécessaire d’examiner les preuves que la vitamine B17 marche effectivement en pratique aussi bien qu’en théorie. […]

[…] Le Dr Dean Burk, directeur de la section de cytochimie du National Cancer Institute gouvernemental a rapporté que dans une série de tests sur des tissus d’animaux, la vitamine B17 n’avait aucun effet toxique sur les cellules normales saines, mais qu’elle relâchait tellement de cyanure et de benzaldéhyde quand elle venait en contact avec les cellules cancéreuses, qu’aucune d’elles ne pouvait survivre.

Il dit: “Quand nous ajoutons du Laétrile dans une culture de cellules cancéreuses sous microscope, et pourvu que l’enzyme glucosidase soit présente, nous pouvons voir les cellules cancéreuses tomber comme des mouches.”

Lors de sa participation au 7ème congrès international de chimiothérapie qui se tint à Prague en 1971, le Dr Burk déclara:

“Le Laétrile apparaît être efficace contre de nombreuses formes de cancers y compris le cancer des poumons et c’est une substance absolument non toxique… Des tests in vitro sur l’Ehrlich ascites carcinoma (ou carcinome d’Ehrlich, une culture particulière de cellules cancéreuses) ont révélé que le cyanure seul ne tuait que 1% des cellules et que le benzaldéhyde seul en tuait 20%, tandis que la combinaison des deux substances était efficace et tuait 100% des cellules cancéreuses. L’Amygdaline (Laétrile) avec l’enzyme glucosidase (l’enzyme dévérouilleuse) est aussi parvenu à tuer toutes les cellules cancéreuses de la culture grâce à la libération des deux substances pré-citées.”

Dans une autre série de tests, le Dr Burk a rapporté que le Laétrile fut aussi capable de prolonger la vie des rats de laboratoire cancérisés de plus de 80% par rapport à ceux qui ne furent pas inoculés.

L’homme qui fit ces trouvailles était un des spécialistes du cancer les plus connus au monde de l’époque. Récipiendaire du Gerhard Domagk Award pour la recherche contre le cancer, commandeur de l’ordre du mérite de l’ordre médical de Bethléem (Rome), fondé en 1459 par le pape Pie XI. Il a un doctorat (Ph.D) en biochimie de l’université de Californie. Membre  du conseil national pour la recherche de l’université de Londres, du Kaiser Wilhem Institute pour la biologie et de Harvard. Il était un chimiste vétéran du National Cancer Institute qu’il aida à établir et en 1946 devint le directeur de la section de cytochimie. Il appartenait à onze organisations scientifiques, écrivit trois livres en relation sur la recherche en chimiothérapie pour le cancer, et était l’auteur de plus de 200 articles scientifiques publiés dans le domaine de la biologie cellulaire.

Si le Dr Burk dit que çà marche… c’est que çà marche !

Le Dr Burk n’est pas médecin, il est biochimiste (NdT: tout comme le Dr Ernst Krebs Jr qui élabora le Laétrile). Ses expériences furent faites sur des cultures de laboratoires et des animaux, pas sur les humains. Comme nous l’avons vu, les données de santé de groupes comme les Hunzakuts et les Esquimaux ainsi que d’autres groupes autour du monde concluent statistiquement positivement que la vitamine B17, combinée avec d’autres substances naturelles, contrôle le cancer chez les être humains avec une efficacité proche de 100%. Mais qu’en est-il si le cancer a déjà commencé? La B17 peut-elle restaurer la santé d’une personne après qu’elle ait déjà contracté la maladie ?

La réponse est oui, si cela est pris à temps et si le patient n’a pas déjà été trop sévèrement endommagé par des traitements préalables aux rayons ou par des médicaments toxiques. Bien malheureusement, la plupart des victimes du cancer commencent à prendre du Laétrile après que la maladie soit déjà si avancée que les canaux orthodoxes de traitement ont perdu espoir, ainsi souvent les dégâts occasionnés ne peuvent plus être renversés. […]

[…] Et pourtant, même avec ce handicap terrifiant, le nombre de patients en phase terminale de cancer qui ont retrouvé la santé est très impressionnant. De fait, il y a littéralement des milliers et des milliers de patients dans ce cas dans les archives médicales.

L’American Cancer Society a essayé de créer l’impression que ceux qui clament avoir été sauvés par le Laétrile ne sont que des hypocondriaques, qui n’avaient pas de cancer pour commencer. Mais les archives nous révèlent une réalité bien différente. Examinons quelques cas. […]

Note des traducteurs: S’ensuit ici un descriptif de 8 cas cliniques détaillés entre les pages 119 et 128.

Le 8ème cas étudié est celui d’un nommé Bud Robinson qui envoya une lettre au Dr Krebs Jr, nous la traduisons ici:

“Cher Dr. Krebs,

Merci de m’avoir donné un autre anniversiaire (17 Mai).

S’il vous plait, rappelez-vous ce 15 Novembre 1979, lorsque mon médecin et quatre autres urologues ne me donnèrent que quatre mois à vivre avec mon cancer de la prostate alors qu’ils me donnaient rendez-vous pour des rayons et de la chimiothérapie, qui, je le savais, allaient me tuer si le cancer ne le faisait pas; je refusai alors leur traitement.

Puis un dimanche après-midi je vous ai contacté par téléphone et j’ai suivi votre programme très simple.

J’ai 71 ans et suis dans ma 13ème année de survie au cancer. Trois des quatre urologues mentionnés sont morts du cancer et quarante ou cinquante personnes sont en vie aujourd’hui et en bonne santé parce qu’ils ont suivi mon simple programme du ”Dr Krebs”.

Merci encore pour m’avoir rendu la vie.

Votre ami

H.M. “Bud” Robinson”

Cette lettre fut écrite en 1992. Quand l’auteur l’a contacté en Juin 1996, Mr Robinson était toujours en excellente santé. Il avait 75 ans et non plus 71 et le nombre de patients du cancer qu’il avait aidé à récupérer de la maladie s’élevait à plus de 90. […]

[…] Lorsque confronté avec un grand nombre de ces évidences cliniques, certains médecins, à cause de leur partialité professionnelle contre la médecine nutritionnelle, cherchent toujours des explications alternatives. Leur explication favorite est souvent que le cancer a réagi tardivement aux médicaments toxiques et rayons. S’il n’y a pas eu de traitement préalable, alors le patient n’avait pas de cancer, ou si la présence d’un cancer avait été prouvée par biopsie ou chirurgie, alors ils finissent par dire que cela tombait sous le coup de la “rémission spontanée”, ce qui veut dire que le cancer avait disparu comme cela, de lui-même, sans aide extérieure. Cela peut se produire, mais cela est très, très rare. […]

Chapitre 10

Les guérisons “prouvées” contre le cancer

Ceux qui soutiennent la thérapie du Laétrile ont toujours insisté sur le fait qu’il n’y a pas de guérison du cancer en tant que telle. Comme c’est une maladie de déficience, on ne peut parler que de prévention ou de contrôle mais pas de guérison. Parmi les soutiens de la thérapie orthodoxe, il n’y a pas tant de retenue. Les portes-parole officiels de l’industrie du cancer disent au public américain sans sourciller, qu’ils ont des moyens de guérisons prouvées du cancer et que quiconque se résout à suivre de tels non-sens tel que le Laétrile ne fait que perdre son temps, que la personne ferait mieux de mettre à profit pour embrasser les thérapies orthodoxes qui guérissent du cancer de manière prouvée. Quelles sont ces thérapies ? Ce sont la chirurgie, les radiations et la chimie […]

[…] La chirurgie est la thérapie la moins nocive des trois. Elle peut sauver des vies, particulièrement lorsqu’il y a un blocage intestinal par exemple et que celui-ci doit être enlevé pour prévenir la mort du patient ou de plus amples complications. La chirurgie a aussi l’avantage psychologique d’enlever physiquement la tumeur et d’offrir un espoir temporaire […]

[…] Dans le cas du cancer du poumon, le pourcentage de patients qui survivra au delà de cinq ans après la chirurgie est entre 5 et 10% et ceci sont des chiffres optimistes en comparaison avec les chances de survie d’autres cancers comme le chorionépithéliome testiculaire. Quand nous nous tournons vers des cancers qui ont produits des métastases dans d’autres endroits, la statistique devient pratiquement sans espoir, chirurgie ou pas… Une fois qu’un cancer a produit des métastases, la chirurgie n’a pratiquement plus aucune valeur pour ajouter aux chances de survie. La raison en est que tout comme pour les autres méthodes orthodoxes de traitement du cancer, la chirurgie ne fait qu’enlever la tumeur. Elle n’en enlève pas la cause.

Le raisonnement derrière la thérapie à rayonnement est le même que celui de la chirurgie, l’objectif est d’enlever, de réduire la tumeur en la brûlant plutôt qu’en l’enlevant. Là encore, ce sont les cellules non cancéreuses qui sont majoritairement détruites. Plus la tumeur est maligne (haut pourcentage de cellules cancéreuses), plus elle est résistance à la radiothérapie. Si cela n’était pas le cas, la thérapie par rayonnement X aurait un très haut degré de succès, nous sommes loin du compte.

Si la tumeur cancéreuse moyenne est composée à la fois de cellules cancéreuses et de cellules saines, il serait alors logique de constater que les résultats du rayonnement réduirait la taille de la tumeur, mais augmenterait le pourcentage de cellules cancéreuses et donc de malignité, c’est exactement ce qui se produit.

Commentant sur ce mécanisme, le Dr. John Richardson l’explique de la façon suivante:

Les radiations et/ou les poisons radiomimétiques vont réduire la taille mesurable de la tumeur. Parfois la réduction de la taille peut atteindre 75% ou plus de la masse de croissance. Ces agents ont des effets sélectifs, radiation et poisons. Ils tuent sélectivement tout sauf les cellules néoplastiques cancéreuses. Par exemple un myoma utérin bénin va fondre comme neige au soleil. S’il y avait des cellules néoplastiques dans cette tumeur, celles-ci demeureraient. La taille de la tumeur serait considérablement réduite, jusqu’à parfois 90% de sa taille originale tandis que la concentration en cellules néoplastiques elle sera augmentée de 90%.

Comme tout clinicien expérimenté le sait, ou devrait savoir, après que les radiations ou les poisons aient considérablement réduit la tumeur, le bien-être général du patient ne s’améliore pas. Au contraire, il y a souvent une augmentation explosive de la malignité de la lésion. Ceci est marqué par l’appararition de métastases diffuses et d’une détérioration de la vitalité générale du patient, suivis à bref délai de la mort du patient.”

Ainsi nous voyons que la radiothérapie possède le même inconvénient majeur que la chirurgie. Mais il y a pire: cela augmente la possibilité que le cancer se développe dans d’autres parties du corps. De plus, une exposition intensive à la radiothérapie est connue pour provoquer plus de cancers. […]

[…] Les rayons-X provoquent le cancer à cause de deux facteurs principaux: premièrement, ils infligent des dommages au corps ce qui déclenche la production de cellules trophoblastiques comme partie du processus de cicatrisation et deuxièmement ils détruisent ou affaiblissent la production de globules blancs, qui comme nous l’avons vu constitue le système de défense immunitaire de l’organisme et la première ligne de défense contre le cancer. […]

[…] Dans une convention de radiologues, le Dr. Philip Rubin analysa les statistiques de survie au cancer publiées dans le Journal of the American Medical Association et il conclut en ces termes:

“La preuve clinique et les données statistiques dans de nombreuses études sont citées pour illustrer qu’aucune augmentation de l’espérance de survie n’a été accomplie avec la thérapie de la radiation.” Ce à quoi le Dr Peters ajouta:

“Dans le carcinome du sein, le taux de mortalité est toujours parallèle au nombre d’incidences, prouvant ainsi qu’il n’y a eu aucune véritable amélioration dans le succès du traitement de la maladie ces trente dernières années, alors même qu’il y a eu une amélioration technique signifiante concernant à la fois la chirurgie et la radiothérapie durant cette période.”

Malgré toutes ces expériences universelles de médecins prouvant le contraire, l’American Cancer Society continue à marteler au public que ses statistiques montrent un taux de guérison plus important chez les patients traités que chez ceux qui ne l’ont pas été. Après tout si cela n’était pas le cas, pourquoi diable quelqu’un paierait-il tout cet argent en plus de la difficulté de subir la douleur et la dégradation physique associées aux traitements allopathiques orthodoxes ? Comment peuvent-ils mentir si impunément ?

La réponse est qu’ils ne mentent pas vraiment, ils jouent un peu avec la vérité. En d’autres termes, ils ne font qu’ajuster la méthode de collection et d’évaluation des statistiques afin de garantir les résultats désirés. Comme l’explique le Dr Hardin Jones:

L’évaluation de la réponse clinique aux traitements du cancer par chirurgie et radiation, séparément ou en combinaison, mène à ces résultats:

La preuve d’une plus grande survie de groupes de patients traités par opposition aux groupes non traités est biaisée par la méthode de définition des groupes. Toutes les recherches rapportées prennent les cas au moment de l’origine de la maladie et les suivent jusqu’à la mort ou la fin de l’intervalle de recherche. Si des personnes dans le groupe des patients non traités ou groupes de référence meurent à quelque moment que ce soit dans l’intervalle de recherche, leurs cas  sont rapportés comme « décès dans le groupe de contrôle ».  Dans le groupe des patients traités, les décès qui se produisent avant la fin du traitement sont rejetés des données, puisque les patients ne remplissent dès lors plus le critère établi par la définition du terme « traité ». Plus cela prend de temps pour satisfaire au traitement, comme par exemple dans une thérapie en plusieurs étapes, pire sera l’erreur…

Si on ne tient pas compte de cet effet, les malignités communes montrent un taux remarquable de similarité dans la survie, que les patients soient traités ou non traités.” […]

[…] L’American Cancer Society prétend que les patients survivent maintenant plus longtemps, grâce aux thérapies orthodoxes. Mais les gens ne vivent pas plus longtemps après avoir eu le cancer, ils vivent plus longtemps après avoir été diagnostiqués avec le cancer. Avec les techniques modernes, le cancer peut-être détecté plus tôt. Le temps entre le diagnostic et la mort est plus long, mais le temps de vie en soi n’a pas augmenté du tout. Ceci n’est qu’une autre manipulation statistique. […]

[…] Comme l’observe le Dr Richardson:

“J’ai vu des patients qui ont été paralysés par une radiation au cobalt de leur colonne vertébrale et après un traitement vitaminique leurs tests HCG étaient très faiblement positifs. Nous avons eu leur cancer, mais la manipulation radiogénique fut telle qu’ils ne peuvent plus marcher… C’est le cobalt qui les aurait tués, pas leur cancer.”

[…]

A suivre…

28 Réponses to “Santé: G. Edward Griffin « Un monde sans cancer, l’histoire de la vitamine B17 » ~ Livre I, 4ème partie ~”

  1. […] B17, santé traitement alternatif cancer. Suivez toutes les réponses à cet article via le flux RSS 2.0. Vous pouvez laisser une réponse ou envoyer un rétrolien depuis votre […]

  2. Ou se procurer la laetrile,? se vend t’elle librement?.
    Tres interesant et utile pour beaucoup de gens desesperes. Dont mon beau frere qui a ete opere dernierement pour cancer du co lon.J’ai aussi ds probleme dans cette region mais j’ai peur d’en parler a mon medecin,qui va probablement me faire subir un tas d’examens et a 78 ans je ne suis pas disposer a souffrir ces tripotages et mourir de toute maniere,Je vais essayer de me procurer la vitamine b17,je prend presentement de l’extrait de graines de pamplemousse ce qui m’aide enormement,mais ca goute le diable,c’est terrible la saveur.mais tue tout les mauvaise bacteries et aussi virus sans effets secondaires

  3. J’aimerais connaitre les taux de b17 dans les différents aliments. pour voir s’il serait pas plus simple de substituer les amandes d’abricot par autre chose plus facile à se procurer et moins cher.
    De simples amandes entières pour la cuisine par exemple feraient elles l’affaire ?
    -15€/kg

  4. […] vitamine B17 de Edward Griffin et notamment les chapitres 9 et 10 de l’ouvrage traduits ici par nos […]

  5. mon pere agé de 80 ans a un adenocarcinome de l’oesophage avec metastase. Je veux lui faire un traitement à la vitamine B17, pouvez-vous m’indiquer les centres si possible en France qui font cette thérapie ? Merci.

    • A part moi, je ne connais personne qui pratique ce traitement interdit en France.
      Je suppose que ça se fait sous le manteau…
      Je viens de commander du Laetrile en Chine, en poudre, à 60 euros (oui, oui) la cure de deux mois…
      J’ai peu de patients, peu de recul, mais une patiente en pleine forme après 18 mois (K du colon, ganglion atteint).
      J’en ai trois autres qui débutent le ttt.
      Avec B15, extraits pancréatiques, jus d’orge, cartilage de requin, antioxydants, diverses vitamines (20 à 30 gr de Vit C par jour seraient très efficaces, avec autant de Lysine. Voir les travaux pleins d’espoirs du Dr Rath:
      http://www.alliance-du-dr-rath-pour-la-sante.org/pdf-files/livres/Avancee_recherche_le%20cancer_screen.pdf)
      Je testerai aussi l’artémisine, un jour:
      http://actumag.info/2014/05/07/lartemisinine-lherbe-tue-98-cellules-cancereuses-en-16-heures/
      Bien sûr, mes patients ont en commun le refus catégorique de toute chimio (ce qui me donne du champs et une légitimité à agir), et sont informés à fond des incertitudes actuelles sur le Laetrile. Je ne leur promets rien, je ne leur demande rien, et ils savent que ce sont des sortes de cobayes…Mais ils ont lu l’article de R71, ils sont partants, et ils en veulent.
      Je vous en dirai plus dans un an, cinq ans, dix ans…

  6. il y a pas mal de chercheurs méconnus indiqués dans le livre de Pierre Lance : savants maudits, chercheurs exclus

  7. cancho Says:

    Bonjour,
    Mon frère ,58 ans, a un cancer de la prostate de 5mm. traitement non débuté. Vit en océanie. Pouvez-vous m’indiquer combien de noyaux d’abricots il doit prendre par jour et comment et conbien de temps. Les extraits pancréatiques sont -ils indispensables? Il a 4 enfants ( 9 à 16 ans) dont il s’occupe seul. Je suis professionnel de santé retraité, il attends mes conseils. Merci+++ de nous aider.

  8. il y a également : curcuma+piperine (regardez sur Tunisia daily entr’autre) – ici c’est un médecin qui l’avait indiqué à une amie atteinte d’un cancer de la vessie

  9. http://www.phytomania.com/noni.htm

    je crois que le noni peut également aider

  10. cancho Says:

    J’ai viens d’acheter le livre pdf de Ty Bollinger : « cancer sortez de la boite » (plus de 500 pages !) que je dois lire et étudier.

  11. je viens de lire que les femmes qui prenaient des traitements hormonaux à la ménopause avaient plus de risques de cancer du sein –

    merci pour les indications – je vais m’informer –

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