Les scientifiques japonais lancent l’alerte depuis déjà un bon moment. Il est plus que temps que les gens comprennent que la crise COVID, fausse pandémie fabriquée, fut de fait une attaque nano-biotechnologique sur l’humanité depuis 2019 et que la nanotechnologie est le FLEAU #1 auquel nous devons faire face maintenant sur cette planète. tout ceci est construit et mis en place par l’oligarchie étatico-marchande en phase de mutation vers leur Nouvel Ordre Mondial transhumaniste.
Si nous n’agissons pas unis, de concert, c’en sera fait de l’humanité.
À DIFFUSER AU GRAND LARGE !…
~ Résistance 71 ~
Étude explosive ! Dégâts cardiovasculaires et neurologiques après transfusions sanguines avec le sang de personnes injectées à l’ARNm anti-COVID-19
Un avertissement en provenance de recherches faites par des centres de recherche hospitaliers japonais
Veterans Today
26 mars 2024
Url de l’article original :
~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~
“La pandémie coronavirus a été déclarée par l’OMS en 2020 et un programme mondial de vaccination génétique a été rapidement mis en place en tant que solution fondamentale. Mais, beaucoup de pays dans le monde ont rapporté que ces soi-disants vaccins génétiques, comme ceux utilisant de l’ARNm modifiée codant la protéine spike et des nanoparticules lipidiques (NPL) comme système de livraison médicamenteux, ont provoqué en résultat de graves thromboses post-vaccinales et des dégâts cardiovasculaires subséquents, ainsi qu’une grande variété de maladies impliquant tous les organes du système, ce incluant le système nerveux.”
Ainsi commence le résumé d’une nouvelle étude publiée sur Preprint.org, qui supporte l’alarme sonnée au sujet des dangers concernant les transfusions sanguines avec le sang des personnes injectées lors de la crise COVID et déjà mise en avant par l’explosion d’actions légales en cours en Italie et une loi aux Etats-Unis.
La recherche, intitulée : “Préoccupations concernant les transfusions de produits sanguins dérivés des récipients des vaccins génétiques et propositions de mesures spécifiques” (en anglais : “Concerns regarding Transfusions of Blood Products Derived from Genetic Vaccine Recipients and Proposals for Specific Measures”) est toujours en attente de révision mais peut déjà être considérée comme absolument fiable alors qu’elle est signée par sept médecins de cinq hôpitaux universitaires japonais et de deux centres de recherche privés.
Nous jugeons ici approprié de les nommer :
- Department of Advanced Medical Science, Asahikawa Medical University, Asahikawa 078-8510, Hokkaido
- Pre-Clinical Research Center, Tokyo Medical University Hospital, 6-7-1 Nishi-Shinjuku, Shinjuku-ku, Tokyo 160-0023, Tokyo
- MCL Corporation, Jimukino-Ueda bldg. 603, 21 Sakaimachi Gojo-Takakurakado, Shimogyo-Ku, Kyoto 600- 8191, Kyoto
- 4 Department of Cardiovascular Surgery, Center of Varicose Veins, Okamura Memorial Hospital, 293-1 Kakita Shimizu-cho, Sunto-gun, Shizuoka
- Department of Biological Science and Technology, Faculty of Advanced Engineering, Tokyo University of Science, 6-3-1 Niijuku, Katsushika-ku, Tokyo
- Foundation of Learning Health Society Institute, Nagoya 450-0003, Aichi
- Kokoro Medical Corporation, Honbetsu Cardiovascular Medicine Clinic, Honbetsu 089-3314, Hokkaido
“Dans cet article, basé sur ces circonstances et le volume d’évidences récemment venu à la lumière, nous attirons l’attention des professionnels de la médecine sur les risques variés associés aux transfusions sanguines utilisant le sang et les produits sanguins dérivés de personnes ayant souffert de COVID long et des récipients des vaccins génétiques, incluant ceux ayant reçu les injections ARNm, et nos faisons des propositions en regard de tests spécifiques, de méthodes d’évaluation et de régulations pour gérer ces risques. Nous attendons que cette proposition serve de base à la discussion sur le comment résoudre le syndrome de post-vaccination et ses conséquences à la suite de ces programmes de vaccination génétique.”
L’étude comprend comme premier signataire Jun Ueda 1 (les nombres réfère aux institutions listées ci-dessus pour lesquelles ces personnes travaillent) et est aussi signée par Hideyuki Motohashi 2, Yuriko Hirai 3, Kenji Yamamoto 4, Yasufumi Murakami 5, Masanori Fukushima 6 et Akinori Fujisawa 7.
L’étude signale également le danger d’utiliser les fluides sanguins de personnes souffrant de COVID long, bien que d’autres études soient nécessaires pour confirmer que ce problème soit très similaire que ceux des victimes vaccinées souffrant de Spikedemic ou de Spikeopathy : deux néologismes visant à indiquer des désordres légers ou des pathologies sérieuses causées par la persistance de la protéine spike dans le corps, ce des mois voire des années après injections, malgré les prédictions insouciantes de Big Pharma prévoyant une résidence limitée à 24/48 heures de la substance pour déclencher les réactions d’anticorps contre le virus SRAS-CoV-2 (NdT : dont on doit toujours confirmer l’existence réelle, tant il s’avère plus plausible dans le temps, que ce “virus” ne fut en fait qu’une création nano-biotechnologique cf. les recherches de Karen Kingston et du Dr Ana Milhacea…)
Injections ARNm = arme nano-biotechnologique
Maladies sanguines corrélées à la post-vaccination génétique
“Une grande variété de maladies liées au sang et aux vaisseaux sanguins, comme les thromboses (NdT : caillots), se sont développées après la vaccination génétique, incluant les vaccins à ARNm et de nombreux cas de sérieux dommages à la santé ont été rapportés. Par exemple, une recherche sur PubMed concernant les maladies comme la thrombocytopenia, désordres thrombotiques avec thrombocytopenia (NdT : impliquant les cellules), les thromboses veineuses profondes, les thrombocytopenic purpura, les vasculitis cutanées et les thromboses de sinus, combinée avec les mots clefs essentiels “COVID-19 vaccine” et “side effects” (NdT : “effets secondaires”, a donné plusieurs centaines d’articles en résultat, ce sur une période d’environ deux ans après le déploiement des vaccins génétiques [14, 17, 20, 21, 48].”
Voici ce que les chercheurs japonais écrivent encore en référence à ces réactions adverses multiples et sérieuses, trop souvent fatales, cadrées au sein d’autres études dans le vaste domaine de la soi-disante Spikeopathy.
“En plus d’une forme anormale des globules rouges, un matériau sans forme a été trouvé flottant dans le sang des personnes vaccinées à l’ARNm sous observation microscopique, ce qui a parfois montré de grosses anormalités (tableau 1, point 5) [7-10,49]. Des études récentes ont aussi rapporté que la protéine spike possède un potentiel amyloïdogénétique [50-54], est neurologique [55-57], et peut traverser la barrière hémato-cérébrale [58-60]. Ainsi, il n’y a plus aucun doute que la protéine spike utilisée comme un antigène dans les vaccins génétiques est en elle-même toxique. [22,61,62].”
Mais il y a un autre danger très sérieux auquel sont exposés les personnes vaccinées et qui a été mis en lumière dans d’autres enquêtes récentes : la grande possibilité de risque de développer une forme plus pathologique et agressive depuis le SRAS-CoV-2.
“En plus des thromboses, les individus qui ont reçu de multiples doses de vaccin génétique pourraient avoir de multiples expositions au même antigène dans un laps de temps très court, faisant qu’ils soient imprégnés d’une réponse immunitaire préférentielle à cet antigène [63,64}. Ce phénomène, appelé le pêché antigénique original ou l’impression immunitaire, a fait que des récipiendaires du vaccin COVID-19 deviennent plus susceptibles de contracter la COVID-19 [65]. De plus, le renforcement de l’infection dépendante des anti-corps est aussi connu ; les anticorps produits par la vaccination peuvent plutôt favoriser l’infection virale et les symptômes.[66,67]”
“D’un autre côté, il a aussi été suggéré que l’administration répétée de vaccins génétiques puisse résulter en une tolérance immunitaire à cause d’un glissement de classe de l’immune-globuline non-inflammatoire G4 (IgG4) [68-71], quand le système immunitaire du receveur ne déclenche pas de réponse excessive telle une tempête cytokine [27,72] et des rapports de cas de maladie liée à l’IgG4 ont commencé à émerger [73-75]. Ceci soulève une grande préoccupation concernant les altérations de la fonction immunitaire à cause de l’impression immunitaire et du changement de classe de l’immune-globuline vers l’IgG4, qui pourraient se produire chez les receveurs de vaccins génétiques.”
L’alarme sur la molécule diabolique et les donneurs d’organes
Comme nous l’avons vu dans de précédentes enquêtes, ce dangereux phénomène est causé par les manipulations génétiques menées en laboratoires par les producteurs d’ARNm en insérant une double protéine Proline (découverte par le bio-immunologue italien Mauro Montavani) et la molécule diabolique ARN altérée appelée methylPseudouridine (N1-Me-pUTP ou N1φ) tenue pour responsable dans les cas de turbo-cancers et de pathologies neuro-cérébrales létales, merci en cela à la recherche du bio-mathématicien français Jean-Claude Perez, chercheur à la Fondation Luc Montagnier, après que le professeur, ami de l’auteur de ces lignes, ne décède.
Les chercheurs japonais font aussi remarquer le danger lié à la N1φ que nous avons rebaptisée la “molécule Frankenstein”, bien qu’elle valut le prix Nobel de chimie à la scientifique Katalin Kariko, qui fut même récompensée avec sa nomination à l’Académie Pontificale pour la Vie.
“Des études récentes ont montré que la pseudouridilation ARN peut résulter en un glissement de domaine [133]. Il n’est pas encore clair de savoir si la portion de l’ARNm pseudouridinée pour la protéine spike est transférée dans une autre protéine de fonction inconnue chez les receveurs de vaccins. Si ces protéines sont aussi pathogènes, des tests additionnels concernant ces glissements de protéines devraient être effectués dans le futur. Même si un tel transfert n’est pas toxique, cela doit être étranger au corps et pourrait causer des maladies auto-immunitaires.”
“Finalement, nos voudrions déclarer que si nous continuons à utiliser les vaccins génétiques comme cux à ARNm à pseudouridine et les plateformes ARNm à NPL (nano-particules lipidiques) [46,103], il y aura plus de risques comme ceux décrits dans cette revue. Il doit aussi être divulgué que ce dont nous discutons ici est aussi valable pour toutes les transplantations d’organes, incluant les transplantation de mœlle osseuse et ne se cantonne pas aux seuls produits sanguins. L’ampleur des impacts de ces vaccins génétiques sur les produits sanguins et les dégâts qu’ils causent, sont jusqu’à présent inconnus.”, ajoutent les médecins universitaires japonais…
“En sus, les NPL elles-mêmes sont des substances hautement inflammatoires [23,100-102], comme décrit en section 3.1, mais les NPL ont une activité plus forte comme adjuvant que ceux utilisés dans les vaccins conventionnels [104], il y a aussi des préoccupations à avoir sur les maladies auto-immunes résultant de cet aspect {tableau 1, point 4) [105,163].”
“Ainsi donc, afin d’éviter ces risques et de prévenir une plus grande étendue de la contamination du sang ainsi que des complications dues à cette situation, nous suggérons fortement que la campagne de vaccination utilisant des vaccins génétiques soit suspendue et qu’une évaluation bénéfice-inconvénient soit conduite le plus rapidement possible, comme déjà demandé par Fraiman et al. et Polykretis et al. [27,31-33]. Comme nous l’avons stipulé à répétition, les blessures et dégâts à la santé causés par les vaccins génétiques sont déjà extrêmement sérieux et il est plus que grand temps que les pays et les organisations idoines prennent des mesures concrètes pour identifier les risques pour les contrôler et résoudre ces problèmes.”
« Les dégâts causés par le vaccin sont maintenant
un problème global. Des milliards de vies sont en jeu ! »
Dr Masanori Fukushima
Des lois japonaises pour contrôler les transfusions dangereuses
En ce qui concerne les transfusions sanguines, dans leurs conclusions de recherche, les médecins japonais demandent une enquête appropriée sur le sang des personnes injectées, comme certains législateurs dans l’état de l’Illinois l’ont déjà fait, dans une proposition de loi en cours d’analyse.
“Le problème des produits sanguins dérivés des receveurs de vaccins génétiques décrit dans cet article est attendu affecter de très larges zones dans des pays autour du monde. Au Japon, la “Loi sur la prévention des maladies infectieuses et les soins aux patients de maladies contagieuses” a été mise en place pour empêcher la dissémination des maladies contagieuses par les produits sanguins et la “Loi sur la transplantation d’organes” a été mise en place pour gérer les transplantations. Le ministère de la santé du travail et de la sécurité sociale japonais a émis un “Guide pour la thérapie par transfusion sanguine” en ce qui concerne les transfusions sanguines. Ces lois et guides spécifient les responsabilités du public, des médecins et des gouvernements national et locaux pour protéger leurs droits.”
“Quoi qu’il en soit, comme la protéine spike utilisée comme un antigène n’est pas un organisme, il va sûrement y avoir un nombre de problèmes difficiles, comme par exemple comment définir légalement la pathogénie. De ce point de vue, , lorsque les risques et les dégâts à la santé causés par des produits sanguins dérivés des receveurs de la vaccination génétique ont été dégrossis (voir tableau 2), il sera essentiel de formuler des réglementations pour induire et prévenir les risques et contamination, en développant des lois reliées avec la participation de la branche législative, d’experts légaux, de personnels de l(administration médicale, des prestataire de services de santé et des chercheurs dans le domaine médical et en prenant ces mesures comme vérifier le statut de vaccination et les dates d’injection tout en régulant l’import/export de produits sanguins (Figure 1). La grande variété de problèmes rend la coordination entre les agences et les professionnels de la santé essentielle dès le départ.”
L’étude des hôpitaux universitaires japonais ajoute finalement une prédiction tragique et une contre-mesure indispensable :
“Deuxièmement, on doit s’attendre à ce que la situation soit déjà compliquée parce qu’en contraste avec les désastres médicamenteux, la vaccination génétique fut mise en place à l’échelle mondiale et simultanément pour un très grand nombre de personnes [2,3].”
“Il y a un besoin urgent de développer des méthodes d’identification ainsi que de retrait de la protéine spike et des gènes modifiés dérivés des vaccins génétiques dans les produits sanguins. Afin de développer un standard d’inspection uniforme, il y a un besoin urgent au Japon pour que la Société Japonaise d’Hématologie (http://www.jshem.or.jp/modules/en/index.php?content_id=1),, la Société Japonaise de Transfusion Sanguine et de Thérapie Cellulaire (http://yuketsu.jstmct.or.jp/en/), et leurs organisation affiliée ou reliées pour développer des guides fiables sur comment gérer les produits sanguins qui contiennent des protéines spike ou des résidus ou des gènes modifiés par la manipulation génétique.”
“Également, comme noté plus tôt, la vaccination génétique a été promue à l’échelle mondiale [2,3], ce qui nécessite la coordination et l’échange d’information avec les administrations nationales et les sociétés médicales internationales idoines (figure1). Des références internationales sur la manipulation des produits sanguins et l’établissement d’une organisation d’enquête internationale seront nécessaires. (Figure 2).”
De manière évidente, la plupart des pays de l’Union européenne et les Etats-Unis, empêtrés dans les tourbillons de centaines de millions de dollars issus par Big Pharma, Pfizer BioNTech et Moderna, à la fois financé par Bill Gates dans un plan de vaccination global lancé conjointement avec la Fondation Rockefeller en 1999 en Italie, ils continuent d’ignorer les alarmes tirées par la communauté scientifique internationale aussi dû aux macro conflits d’intérêt du ministre de la santé italien Orazio Schillaci du gouvernement Meloni.
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Lire notre page mise à jour depuis 2019: “Coronavirus, guerre contre l’humanité”
“Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et l’attaque contre la démocratie et la santé mondiale” (RFK Jr, notre traduction compilée en PDF)
“SRAS-CoV-2, injections ARNm, l’attaque nano-biotechnologie sur l’humanité depuis 2019” (compilation PDF de nos traductions des recherches de Karen Kingston)
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