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Crise Ébola: Couverture d’AFRICOM pour plus d’implantation militaire en Afrique ?…

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Les Etats-Unis utilisent Ébola comme prétexte à augmenter leur intervention en Afrique

 

Press TV

 

28 Octobre 2014

 

url de l’article original:

http://www.presstv.ir/detail/2014/10/28/383971/us-uses-ebola-guise-to-penetrate-africa/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Les Etats-Unis utilisent la contagion par le virus Ébola comme couverture de leur expansion interventionniste en Afrique, dit un journaliste activiste de Detroit.

Abayomi Azikiwe, éditeur du Pan-African News Wire a fait ces remarques dans une interview par téléphone avec la chaîne Press TV mardi en commentant sur la décision de Pentagone de mettre en isolation et en quarantaine les militaires américains revenant d’Afrique de l’Ouest.

Deux états, le New Jersey et New York, ont déjà ordonné une quaranaine obligatoire de 21 jours pour les personnels médicaux qui ont traité les patients atteints d’Ébola en Afrique de l’Ouest où l’épidémie a déjà fait près de 5000 morts (NdT: Dans 3 pays depuis 8 mois…).

“Je pense vraiment que les Etats-Unis devraient fournir plus d’assistance dans les trois pays qui ont été touchés par la contagion de ce virus ébola” a dit Azikiwe.

“Mais je pense qu’il y a eu une sur-réaction de la part des Etats-Unis, largement alimentée par des forces politiques de droite (extrême) pour ostraciser et mettre en quarantaine tous ceux qui ont assisté dans les mécanismes sanitaires de ceux qui ont été touchés par le virus ébola en Sierra Leone, en Guinée et au Libéria”, a t’il ajouté.

Azikiwe a déclaré que le commandement de l’armée américaine pour l’Afrique ou AFRICOM est “fait pour étendre l’intervention militaire américaine sur le continent africain.”

“Ils utilisent AFRICOM pour pénétrer plus avant en Afrique sous le couvert d’une réponse sanitaire à la crise du virus ébola”, a t’il insisté.

Le président Obama (NdT: ou “Obola” comme il est déjà nommé au pays du goulag levant…) a autorisé le Pentagone à déployer des troupes en Afrique de l’Ouest pour lutter contre la maladie mortelle. Aux ordres du président, quelques 3600 soldats pouraient être envoyés en Afrique de l’Ouest. Quelques centaines de militaires américians sont déjà sur place au Libéria.

Azikiwe a dit que “Il est très important que ces militaires déployés au Libéria soient bien protégés.”

“Le gouvernement des Etats-Unis n’a pas d’historique de protéger ses propres soldats. Nous savons qu’ils ont été amplement exposés à l’uranium appauvri en Irak, nous savons aussi que des armes chimiques américaines qui furent utilisées par le gouvernemnt irakien dans les années 1980 dans sa guerre contre l’Iran, étaient en Irak. Elles ont été découvertes et cette découverte d’armes chimiques américaines a été cachée au public par le gouvermement américain et ses médias complices,” a continué le journaliste expérimenté.

“Ainsi nous sommes préoccupés pour ceux qui se trouvent maintenant en Afrique de l’Ouest, en particulier au Libéria, qu’ils soient protégés et que leur santé et leur vie reçoivent une priorité maximum.” A t’il insisté.

Il n’y a pas de guérison connue pour ébola qui est une forme de fièvre hémorragique impliquant des diarrhées, des vomissements et d’abondants saignements comme symptomes.

Le virus se répand par contagion au travers d’un contact direct avec du sang, des excréments, de la sueur ou des vomissures contaminés. Il peut aussi se propager au travers de contacts sexuels ou la manipulation non-protégée des corps des victimes décédées.

Récemment, plus d’experts ont dit que le virus ébola est un organisme génétiquement modifié et qu’il a été développé dans des laboratoires de guerre biologique de l’armée américaine en Afrique de l’Ouest.

Dans un entretien récent, le Dr. Francis Boyle de l’université de l’Illinois a dit: “Mon avis est que l’origine de la pandémie actuelle du virus ébola provient de labos militaires spécialisés dans la guerre biologique, établis en Afrique de l’Ouest.

Il a ajouté que les Etats-Unis ont “utilisé l’Afrique de l’Ouest comme une station offshore pour contourner la Convention sur les Armes Biologiques et pouvoir effectuer un travail de guerre biologique.

 

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Ébola au pays du goulag levant: Incompétence, crime ? Les deux mon adjudant…

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L’ébola aux Etats-Unis… Une question politique

 

André Damon

 

18 Octobre 2014

 

url de l’article en français:

http://www.mondialisation.ca/lebola-aux-etats-unis-une-question-politique/5408489

 

Chaque nouvel événement dans l’éruption de l’Ebola aux États-Unis révèle davantage le caractère incompétent, indifférent et irresponsable de la réaction officielle américaine à ce que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a qualifié de « crise aiguë de santé publique indéniablement la plus sévère des temps modernes ».

Mercredi 15 octobre des responsables américains ont annoncé qu’une deuxième infirmière de l’hôpital ayant soigné Thomas Eric Duncan, malade de l’Ebola décédé la semaine dernière, s’était avérée atteinte de la maladie. On lui avait permis de prendre deux vols sur un avion de ligne, un aller-retour Dallas Cleveland après avoir été exposée à la maladie. Plus tard elle a déclaré qu’elle avait eu de la fièvre pendant le vol de retour.

Mardi 14 octobre, le plus important syndicat d’infirmiers américain National Nurses United a révélé que les infirmiers de cet hôpital avaient reçu des instructions de l’administration de soigner Duncan, un ressortissant du Libéria, avec une partie du visage et du cou non protégée. On leur a dit de compenser leur équipement de protection inadéquat en enveloppant la peau exposée de ruban adhésif médical.

Malgré les protestations des infirmiers, Duncan a été laissé pendant des heures dans une aire d’attente avec d’autres malades, pouvant donc les infecter. Ses échantillons de laboratoire sont passés sans protection à travers le système de tubes de l’hôpital avec la possibilité de contaminer le système tout entier. On a ordonné par la suite aux infirmiers qu’on avait obligés de soigner Duncan avec des vêtements de protection inadéquats d’assurer leurs activités habituelles à l’hôpital, rendre visite à d’autres malades avec la possibilité de les infecter.

Ces violations scandaleuses des protocoles de base anti-contamination Ebola ont eu lieu après qu’on ait amené Duncan à l’hôpital pour la seconde fois dans une ambulance parce que des membres de sa famille se doutaient qu’il avait contracté la maladie.

Mercredi 15 octobre le président Obama a réagi à l’inquiétude croissante du public et aux critiques en se faisant photographier avec des membres de son cabinet dont le secrétaire à la Défense Chuck Hagel et la conseillère à la Sécurité nationale Susan Rice. Il a prononcé une déclaration brève et superficielle et n’a répondu à aucune question de la part des médias dans ce qui était clairement une tentative de limiter les dégâts.

On ne peut rien croire de ce que dit Obama ni aucun responsable gouvernemental. Leur préoccupation primordiale est de cacher leur responsabilité pour ce désastre et non de dire la vérité à la population ou de faire le nécessaire pour la protéger.

Les premières victimes connues de la négligence des responsables gouvernementaux et hospitaliers ont été des travailleurs médicaux dont la vie a été mise en danger sans aucun souci des conséquences. L’indifférence vis-à-vis de la sécurité et de la santé de ces travailleurs résume bien l’attitude de la classe dominante envers le bien-être de la population entière. Ce n’est pas la première fois qu’une crise a démasqué le fait que la santé et les conditions sociales du public en général n’intéressent aucunement ceux qui détiennent le pouvoir économique et politique aux Etats-Unis.

Voilà neuf ans, la quasi destruction de la Nouvelle-Orléans par l’ouragan Katrina a révélé au grand jour le manque total de mesures préventives pour combattre l’impact d’une inondation majeure dans une région inondée maintes fois par le passé, ou pour protéger la vie de la classe ouvrière dans une grande ville américaine. Ce désastre a jeté une lumière crue sur des conditions de pauvreté choquantes et sur la réaction tardive, dérisoire et totalement inadéquate du gouvernement, qui a conduit à un bilan de presque 2000 morts.

Juste cinq ans plus tard, une fuite de pétrole gigantesque dans le Golfe du Mexique, le résultat d’une explosion sur la plate-forme pétrolière Deepwater Horizon, montrait une fois de plus la négligence criminelle des grandes sociétés et la complicité du gouvernement. Ce désastre a été entièrement d’origine humaine, le résultat d’économies et de méthodes dangereuses de la part de BP qui ont été facilitées par les organismes gouvernementaux de réglementation. La campagne de nettoyage a été confiée à la société responsable du désastre en premier lieu. Entre-temps il y a eu d’innombrables explosions d’usine, incendies, désastres miniers et accidents industriels dans des villes de par les États-Unis.

L’élite dirigeante américaine et ses représentants comme Obama abordent les questions de sécurité et le bien-être de la population américaine comme des agacements. Celles-ci nuisent à la génération des profits toujours plus importants des grandes entreprises et des fortunes toujours plus vastes des riches et des super-riches. Comme tout autre aspect de l’infrastructure sociale des Etats-Unis, le système de santé s’est détérioré en conséquence des coupes budgétaires et des bénéfices rapaces réalisés par les groupes pharmaceutiques, les chaînes privées d’hôpitaux et les groupes d’assurances.

Pendant qu’on savait depuis des décennies qu’une éruption d’Ebola pouvait se produire aux Etats-Unis, aucun effort n’a été engagé pour y faire face. Aucun vaccin n’a été mis au point. Au contraire, les ressources nécessaires pour s’occuper des questions urgentes de santé ont été détournées au profit de la guerre et de la conquête à l’étranger et de l’enrichissement grandissant de l’aristocratie financière américaine. Cette semaine encore, le directeur-général de l’Organisation Mondiale de la Santé, Dr. Margaret Chan a expliqué le manque d’intérêt pour développer un vaccin contre l’Ebola, en disant qu’une « industrie motivée par le profit n’investit pas dans les produits destinés aux marchés qui ne peuvent pas payer. »

Le Docteur Francis Collins, dirigeant des Instituts nationaux américains de Santé, a informé le Huffington Post de ce qu’un vaccin serait très probablement déjà disponible si des coupes budgétaires de milliards de dollars n’avaient pas eu lieu dans la recherche médicale.

Ces désastres montrent la faillite et l’échec non seulement d’un gouvernement, mais du système de profit capitaliste lui-même. La subordination de toute question sociale, y compris la santé, à la recherche des profits par les entreprises et la vénalité de l’élite dirigeante, qui s’accompagne d’une division irrationnelle du monde en Etats nationaux rivaux, rendent impossible le développement rationnel et l’utilisation socialement bénéfique des forces productives. Au lieu de quoi on trouve des niveaux de richesse immenses et obscènes entre les mains d’une minorité alors que les services sociaux de base se décomposent et que la pauvreté augmente pour la masse des gens.

Une campagne sérieuse pour stopper l’épidémie grandissante d’Ebola en Afrique et sa propagation aux Etats-Unis et à d’autres pays nécessite:

  • ▪ La création d’une équipe internationale de médecins, scientifiques et professionnels de santé afin d’enlever la réponse à la crise des mains des gouvernements aux services de la grande entreprise. Cette équipe, en développant un plan d’action global, doit se voir attribuer toutes les ressources nécessaires – quels que soient le nombre de milliards de dollars à dépenser – pour traiter ceux qui sont déjà malades et empêcher la propagation de la maladie.
  • ▪ Un programme de recherche financé par l’Etat, qui soit complètement indépendant de l’industrie de santé orientée vers le profit, des entreprises pharmaceutiques et des sociétés géantes d’assurance, doit être mis en place pour développer rapidement et rendre disponible pour tous un vaccin anti-Ebola comme un premier pas vers l’éradication de cette maladie infectieuse et de toute autre liée à la pauvreté.

Ceci n’est pas simplement une tâche scientifique. C’est une question politique.

Il est nécessaire de tirer les conclusions appropriées de l’éruption d’Ebola et de la série de catastrophes qui l’a précédé. La mise en œuvre d’une réponse humaine et rationnelle à la crise d’Ebola, comme à tous les autres fléaux sociaux propres à une société fondée sur l’exploitation, nécessite une lutte de la part de la classe ouvrière pour réorganiser la société sur des fondations socialistes afin de répondre aux besoins sociaux, et non au profit privé. Cela comprend l’élimination du profit du domaine de la Santé et la fourniture, comme un droit social, de soins médicaux de haute qualité.

Ébola… Tout pour le vaccin ?…

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Nous publions cette information étonnante, qui ne nie pas la réalité de la maladie, mais qui met en garde contre la mise en scène de la « crise ébola ». Dans cet article se trouve le lien d’une vidéo qui analyse deux extraits de reportages qui ont été diffusés pour retirer par CNN et par la branche audio-visuelle du New York Times. Ces deux vidéos montrent clairement la manipulation pour les besoins du reportage et où des « acteurs » amateurs payés sur place, jouent les « malades » dans un but non défini par les vidéos. Nous postons la vidéo en question en section commentaire sous l’article. Vraiment de quoi se poser des questions.

Si l’on se réfère à la « grippe espagnole » qui n’a d’espagnole que le nom puisqu’elle provenait des Etats-Unis et est arrivée avec les militaires américains en Europe en 1917, qui a fait environ 20 millions de morts entre 1918 et 1919 dans le monde. Des études ont montré que bien des victimes étaient les vaccinés (quelques références en bas de l’article) et puis le vaccin anti-ébola (virus patenté par le CDC américain en 2007 et en 2010) s’annonce une affaire bien juteuse pour les monopolistes habituels… a condition que la peur sit tellement forte que tout le monde se rue pour se faire inoculer ou… que des lois d’exception force l’inoculation obligatoire. Dans un cas comme dans l’autre, des milliards de dollars de profit pour des résultats plus que douteux seront garantis. Ici on nous annonce que l’Institut National de la Santé américain (NIH, détenteur avec le CDC des patentes du virus…) veut faire vacciner des pays entiers avec son vaccin… La préparation psychologique est en marche… La peur viscérale fera le reste. Le Pentagone y a ses intérêts. Obama a envoyé 3000 bidasses sécuriser un labo biologique au Libéria, la première mesure des trouffions sur place pour « aider » le peuple ? La pose de barbelés ! La routine quoi !

Une question aussi à poser: dans cet article il est dit que la médecin en chef de la chaîne MSNBC, responsable des programmes médicaux, la Dr. Nancy Snydermann a violé un ordre de mise en quarantaine de 21 jours après son retour du Libéria. Pourquoi violer un el ordre pour la sécurité publique en tant que MEDECIN… si on sait peut-être… qu’il n’y a rien pu vraiment pas grand chose à craindre ?…

Bref, cette affaire ébola est plus que louche à tous les niveaux. Voyez les articles sur les vaccins sous l’article et la vidéo que nous repostons en commentaires…

— Résistance 71 —

 

Article connexe: Le complot ébola ?

 

La mise en scène de la crise ébola

 

Mohawk Nation News

13 Octobre 2014

 

url de l’article original:

http://mohawknationnews.com/blog/2014/10/13/ebola-crisis-set-up/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Des “acteurs de crise” sont employés par les agences gouvernementales et les médias de masse pour faire le portrait du traumatisme et de la souffrance. Ils jouent les victimes ou les témoins dans des évènements fausse-bannières planifiés, comme des fusillades d’école ou des attaques terroristes bidon le tout pour promouvoir le totalitarisme.

Regardez la vidéo qui suit qui reprend des diffusions passées sur CNN et l’organe audio-visuel du New York Times travaillant en collaboration sur l’établissement d’une fausse urgence ébola en Afrique: NYT and CNN busted on ebola crisis. Regardez la vidéo en entier. A la minute 02:50, vous verrez un homme vêtu d’une chemise verte atablé avec un autre homme portant une blouse blanche.

Puis regardez cette photo ci-dessous (voir l’article original) de Thomas Eric Duncan, la première victime d’ébola aux Etats-Unis.

Thomas Eric Duncan in NYT & CNN hoax video.Is Thomas Eric Duncan, a crisis actor?

Nathan Bowles, le fondateur du site internet CrisisActors.org a dit que le gouvernement emploie des acteurs de crise pour des exercices de routine. Apparemment, des publicités furent publiées avant la fusiilade de l’école Sandy Hook, du marathon de Boston et des meurtres de masse de Fort Hood.

CrisisActors.org.

Des acteurs ont même simulés une crise ébola dans un hôpital: Fake ebola crisis at hospital.  Nous allons maintenant être convaincus que la seule voie de salut est d’accepter leur vaccin, lequel va nous donner ébola !

Nous vous rassurons ! Vous pouvez toujours croire en Mohawk Nation News. Nous sommes incorruptibles, Nous ne pouvons pas être achetés !

*  *  *

Des vaccins causant les maladies:

http://www.rense.com/general45/USvaccinescaused.htm

http://www.whale.to/vaccine/sf1.html

http://ameliorermasante.com/2009/07/20/vaccination-et-grippe-espagnole-par-un-temoinle-dr-eleanor-mac-bean/

http://www.wikistrike.com/article-la-grippe-espagnole-de-1918-est-due-aux-vaccins-89664859.html

http://expovaccins.over-blog.com/article-30869107.html

Médecin américain violant une injonction de quarantaine de 21 jours:

http://www.infowars.com/just-get-your-damn-vaccine-doctor-violates-ebola-quarantine/

 

Ébola sous contrôle du Pentagone ?…

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Le Pentagone développe-t-il un vaccin contre le virus Ebola afin d’« améliorer les capacités guerrières » de ses militaires?

Une entreprise pharmaceutique québécoise partenaire du Pentagone dans le développement de vaccins

 

Julie Lévesque

 

6 Octobre 2014

 

url de l’article en français:

http://www.mondialisation.ca/le-pentagone-developpe-t-il-un-vaccin-contre-le-virus-ebola-afin-d-ameliorer-les-capacites-guerrieres-de-ses-militaires/5405941

 

Au début août 2014, Bloomberg a publié un article sur les « espoirs prometteurs » qu’offrent les plants de tabac « pour développer un traitement efficace contre le virus mortel Ebola »:

Les médicaments dérivés de plants de tabac, développés également par une société qui compte Philip Morris International Inc. parmi ses investisseurs, font partie d’un petit groupe de traitements innovateurs à base de plantes comme la laitue, les carottes, même les lentilles d’eau, et mis au point pour traiter diverses maladie, de la pandémie de grippe à la rage.

Propriété de Mitsubishi Tanabe Pharma Corporation et Philip Morris, Medicago Inc., située à Québec, est une autre société soutenue par un géant du tabac et œuvrant au développement de médicaments biotechnologiques cultivés dans des plants de tabac.

Medicago effectue des tests sur un vaccin contre la grippe pandémique et possède une serre de production en Caroline du Nord, a déclaré Jean-Luc Martre, directeur des affaires gouvernementales à Medicago. Medicago prévoit une phase finale d’essai du vaccin contre la grippe pandémique pour l’an prochain, a-t-il dit dans un entretien téléphonique […]

Medicago « travaille actuellement en étroite collaboration avec des partenaires pour la production d’un anticorps contre l’Ebola, ainsi que d’autres anticorps présentant des intérêts pour la bio-défense », a-t-il déclaré dans un courriel. Il n’a pas voulu divulguer l’identité des partenaires. (Ebola Tobacco Drug Joins Duckweed in Plant War on Disease, Bloomberg 6 août 2014)

L’un de ces partenaires serait-il le Pentagone?

En 2009, la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), un organe du Département étasunien de la Défense, a lancé un programme appelé Blue Angel, décrit par certains comme « le défi de la DARPA dans le développement des vaccins ».

La DARPA a publié un communiqué de presse à la fin juillet 2012 annonçant qu’ils avaient « produit 10 millions de doses d’un vaccin contre la grippe en seulement un mois »:

Dans un communiqué de presse publié par l’agence cette semaine, des scientifiques travaillant avec la DARPA disent avoir franchi une étape importante dans la lutte contre une pandémie de grippe qui pourrait un jour décimer la population de la Terre. En collaboration avec la société de vaccins Medicago Inc., les chercheurs du laboratoire de recherche du Pentagone à la fine pointe de la technologie disent avoir utilisé une importante récolte de plants de tabac qui serviront à produire une pléthore de vaccins contre la grippe.

Les tests ont confirmé qu’une seule dose du vaccin expérimental contre la grippe H1N1 VLP induit des taux protecteurs d’anticorps contre l’hémagglutinine dans un modèle animal lorsqu’il est combiné avec un adjuvant aluminique traditionnel, écrit l’agence. Elle note cependant que « la dose équivalente nécessaire pour protéger les humains de la maladie naturelle ne pourra être déterminée que par de futurs essais cliniques ».

« Il est essentiel de vacciner les populations sensibles au cours de la phase initiale d’une pandémie afin de la contenir », a expliqué le Dr. Alan Magill, directeur du programme de la DARPA, dans un communiqué. « Nous considérons la formule à base de plantes comme une alternative plus rapide et plus efficace dans la production de vaccins que les technologies standards à base d’œufs, et la recherche est très prometteuse. » (DARPA’s Blue Angel – Pentagon Prepares Millions of Vaccines Against Future Global Flu, RT, 28 juillet 2012)

Ce lien entre l’armée étasunienne et les compagnies pharmaceutiques dans la production de vaccins contre la grippe soulève de sérieuses questions, d’autant plus que la pandémie de grippe H1N1 s’est révélée être une fraude de plusieurs milliards de dollars orchestrée par les grandes sociétés pharmaceutiques et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Un nouveau reportage stupéfiant révèle que des scientifiques de haut niveau, ayant convaincu l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) de déclarer une pandémie mondiale de H1N1, entretenaient des liens financiers étroits avec les compagnies pharmaceutiques qui ont profité de la vente de ces vaccins. Ce reportage, publié dans le British Medical Journal, expose les liens cachés qui ont conduit l’OMS à déclarer une pandémie, laquelle a entraîné des milliards de dollars de profits pour les fabricants de vaccins. (Mike Adams: WHO Scandal Exposed: Advisors Received Kickbacks From H1N1 Vaccine Manufacturers, , Natural News, le 7 juin 2010)

En 2012, on rapportait que Medicago « a été financée par une entente d’investissement technologique de 21 millions de dollars avec la DARPA ». (RT, op. cit.)

Après avoir investi dans la recherche médicale pour fabriquer des vaccins, le département étasunien de la Défense envoie maintenant des troupes pour faire face à une épidémie en Afrique. L’armée est-elle en train de remplacer peu à peu les autorités de la santé? Si c’est le cas, nous pouvons nous demander pourquoi. Quel est le but réel de cette « intervention humanitaire »? La réponse se trouve peut-être dans l’objectif du programme Blue Angel de la DARPA.

Dans une entrevue donnée en février dernier, le directeur du programme Blue Angel, le Dr. John Julias a affirmé :

Le programme Blue Angel a été lancé par la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) en 2009 en réponse à la pandémie de grippe porcine. L’objectif du projet est d’améliorer la réponse des États-Unis à la grippe pandémique par la production accélérée de vaccins […]

Le programme Blue Angel a été construit autour de la notion que le département de la Défense a besoin de répondre rapidement à toute menace pandémique ou biologique compromettant la performance des combattants. (Chris Lo, Blue Angel: DARPA’s vaccine manufacturing challenge, pharmaceutique-technology.com, 10 février 2014)

L’objectif est donc « d’améliorer la réponse des États-Unis à la grippe pandémique », mais il est construit sur un concept qui vise à protéger « les combattants [de] toute pandémie ou de menace biologique », pas la population en général.

Ce concept est-il lié au fait que l’on envoie maintenant des « combattants » plutôt que des « travailleurs de la santé » dans les zones touchées par l’épidémie d’Ebola? Est-ce pour faire l’essai d’un vaccin contre une « menace biologique compromettant la performance des combattants »? Ces 3000 soldats envoyés par Obama au Libéria seront-ils utilisés comme cobayes? Il existe un précédent à cet égard. Ce ne serait pas la première fois.

En février dernier RT rapportait:

Un juge fédéral a statué que l’Armée des États-Unis doit informer rapidement les anciens combattants de tout effet potentiellement nocifs pour la santé découlant des expériences médicales et pharmaceutiques secrètes menées sur eux pendant la guerre froide.

Selon un reportage de l’agence Courthouse News, la décision donne raison aux 7800 soldats qui affirment avoir été impliqués dans ces expériences. Après avoir recruté des scientifiques nazis à travers un programme appelé « Projet Paperclip » pour les appuyer, « l’armée et la CIA ont administré entre 250 et 400 sortes de médicaments aux soldats pour tenter d’améliorer la capacité des États-Unis à faire la guerre. (Judge sides with US servicemen used as guinea pigs in terrifying Cold War experiment, RT, 7 février 2014)

Pendant la guerre du Golfe (1990-1991), on a également donné des vaccins expérimentaux aux soldats et plusieurs études ont conclu que le syndrome de la guerre du Golfe est lié à la vaccination :

Le syndrome de la guerre du Golfe (SGG) se réfère à un ensemble de symptômes chez les soldats en service durant la guerre du Golfe (1990-1991), ou première guerre du Golfe. Ces symptômes comprennent des éruptions cutanées, de la fatigue, des douleurs musculaires et articulaires, des maux de tête, de l’irritabilité, la dépression, un sommeil non réparateur, des troubles respiratoires et gastro-intestinaux, ainsi que des troubles cognitifs et neurologiques.

En plus d’avoir été exposés à un large éventail de dangers environnementaux et à des produits chimiques toxiques, les vétérans étasuniens et britanniques de la première guerre du Golfe (VGG1) ont également reçu un grand nombre de vaccins. En tout, les VGG1 étasuniens ont reçu au moins 17 vaccins différents [1], y compris des vaccins vivants (polio et fièvre jaune), ainsi que des vaccins expérimentaux qui n’avaient pas été homologués (maladie du charbon (anthrax en anglais), antitoxine botulinique) et dont l’efficacité était douteuse [2]. Au Royaume-Uni, le ministère de la Défense (MD) a déclaré que seulement 10 vaccins avaient été administrés, mais des dossiers existant démontrent que certaines troupes en ont reçu davantage [3]. Parmi ces vaccins, injectés uniquement aux troupes britanniques, se trouvaient deux vaccins expérimentaux : un contre la maladie charbon, avec la coqueluche comme adjuvant (qui provoque un grave déconditionnement chez la souris, tel que démontré en 1990) [4], et l’autre contre la peste [1]. Les fabricants de l’adjuvant n’ont pas été informés de l’utilisation non autorisée sur les VGG1 [1,4].

La surdose de vaccin a été identifiée comme un facteur important dans le SGG […]

Ces résultats concordent avec ceux d’autres études. Un lien entre les vaccinations et la maladie a été observée chez des VGG1 au Royaume-Uni et au Canada [6]. (Dr. Mae-Wan Ho et Professeur Malcolm Hooper  Vaccines, Gulf-War Syndrome & Bio-defence)

Le but affiché de la mission des soldats étasuniens au Liberia annoncée par Obama est de construire des centres médicaux et de former des travailleurs de la santé pour les gérer.

Le National Institutes of Health, une agence du département étasunien de la Santé et des Services sociaux, a déjà mis au point un vaccin contre le virus Ebola. Au début septembre, GlaxoSmithKline a déclaré son intention de commencer à en fabriquer jusqu’à 10 000 doses, même si les scientifiques n’ont pas encore décidé si « le premier vaccin est assez prometteur » et que des « études d’innocuité ne peuvent pas garantir que les vaccins expérimentaux fonctionnent vraiment dans une flambée épidémique ». (Associated Press, Ebola vaccine research moving fast, CBSNews, 8 septembre 2014)

Il est intéressant de noter à cet égard que plusieurs effets nocifs pour la santé ont été causés par le vaccin H1N1 de GlaxoSmithKline, qui a récemment plaidé coupable et payé « 3 milliards de dollars afin de régler des allégations de fraude et de non-déclaration des données toxicologiques ». (GlaxoSmithKline to Plead Guilty and Pay $3 Billion to Resolve Fraud Allegations and Failure to Report Safety Data département de la Justice 2 juillet 2014)

Ebola eugénisme et Nouvel Ordre Mondial: La guerre bactériologique commencée contre les Amérindiens revient au pays du goulag levant.. (Mohawk Nation News)

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« Vous ferez bien d’inoculer (de la variole) les Indiens au moyen de couvertures et de tout autre méthode qui pourrait servir à éradiquer cette race exécrable. »
~ Sir Jeffrey Amherst, commandant des forces britanniques d’Amérique du Nord, correspondance du 7 Juillet 1763 ~

Il est à noter que cet ignoble individu a laissé son nom à un nombre effarant de rues, de places et même de ville aux USA et au Canada… Nous l’avons dit et le répèterons sans cesse, la création des deux entités commerciales d’Amérique du Nord que sont le pays du goulag levant (ex-USA) et son satellite Canada, est fondée depuis le XVIème siècle sur le racisme, le génocide, le vol, la trahison, la tromperie et le crime contre l’humanité. L’empire n’a pas de territoire légitime et doit-être destitué des terres usurpées. Nous devons moralement aider les peuples et nations indigènes à récupérer leurs terres ancestrales et ainsi priver légalement l’empire de son socle fictif.

— Résistance 71 —

 

Quelqu’un veut-il des couvertures à l’Ébola ?

 

Mohawk Nation News

 

3 Octobre 2014

 

url de l’article original:

http://mohawknationnews.com/blog/2014/10/03/ebola-blankets-anyone/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

La première et la plus grande guerre bactériologique de l’histoire de l’humanité a été menée sur le continent d’Amérique (du Nord). On nous a innoculé la variole au moyen de couvertures infectées et autres mesures afin de tuer dans le temps plus de 150 millions d’indigènes du continent. La variole venait d’Europe. Le gouvernement, l’armée et les gens ont tous pris part dans l’holocauste des Indiens d’Amérique du Nord. Les prêtres, les agents des gouvernements, les commerçants, les personnels militaires et médicaux ont offert des couvertures infectées sciemment de la variole. Des femmes blanches porteuses de la syphillis vivaient à proximité des communautés autochtones et incitaient les hommes à faire l’amour avec elles afin de propager la maladie dans les communautés. Les soldats des forts porteurs de gonorrhée violaient ou avaient des rapports consentants des femmes autochtones pour répandre la maladie dans les villages. Dans les pensionnats pour Indiens, des enfants sains étaient forcés de dormir dans le même lit que des enfants atteints de tuberculose ou autres maladies infectieuses pour les tuer.

Le livre de Charles Darwin “De l’origine des espèces” fut la base du mouvement eugéniste. C’était un programme de réduction des masses et de promotion du racisme et de la hiérarchie.

En essayant d’amener Ébola ici (en Amérique du Nord), de supposées injections préventives anti-grippe mènent à la maladie et à la mort. Voir la note plus-bas*. L’Ébola fut inventé par l’armée américaine et il est utilisé pour parvenir à établir la loi martiale. Les épidémies, les chemtrails, les camps d’internement de la FEMA, la guerre, la famine et les maladies diverses vont réduire la population. Le VIH/SIDA fut inventé dans leurs labos ici et fut testé sur les Africains. La liste de la guerre bactériologique est extensive.

Les gens vivant maintenant aux Etats-Unis vont peut-être souffrir du même programme génocidaire qui fut employé contre nous. L’entreprise commerciale USA Inc. et ses actionnaires sont les véritables Frankenstein qui inventent des maladies mortelles et font des anti-dotes/vaccins pour eux-mêmes. Ils inventent guerre sur guerre. Leur dernier ennemi est quiconque ils décident. Leurs guerres continueront jusqu’à ce que les gens disent: “Assez de guerres !” Nous planterons le dernier clou dans leur cercueil. Le Gendramerie Royale du Canada (GRC) et la police américaine s’entraînent pour combattre l’apocalypse zombie créée par l’État.

Un élément important du Nouvel Ordre Mondial est l’OMS et ses plans de contrôle de la santé et de la médecine dans le monde entier. Les médecines naturelles pour soigner le cancer sont mises hors-la-loi de façon à ce que seules les grands labos puissent vendent leur camelote. L’agenda 21 de l’ONU rend les médecines naturelles douces comme l’herbe fine et le cèdre illégales ; une ordonnance d’un médecin devenant obligatoire.

Ils viennent d’une histoire sombre de faux dieux, de prostitution, de flambées aux jeux etc… Une partie de la stratégie est de détruire l’image que nous avons de nous-mêmes et de rendre tout à chacun vulnérable par la nourriture et les médicaments. Des distractions programmées démolissent les gens au travers de la télévision, des jeux vidéos, des films, des prisons religieuses et autres choses altérant la pensée. Le prosélytisme de la bringue, des drogues, de l’alcoolisme et de vivre de manière festive en toute insouciance jusqu’au dernier moment, est de tous les instants. La Grande Paix nous enseigne que chacun a la capacité de raisonner et de savoir distinguer le bien du mal.

Nous, peuples indigènes, sommes déjà passés par là. Nous voyons que cela se reproduit une fois de plus. Connaissez votre histoire ou vous serez voués à la répéter.

Comme le chante CCR: “Whoa. Thought it was a nightmare. Lord it was so true. They told me don’t go walking slow. The devil’s on the loose. You better run through the jungle. You better run through the jungle. You better run through the jungle. Don’t look back!” Credence Clearwater Revival.

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*Note: “EboBun”L’apocalypse zombie “Center for Disease Control” ou CDC possède la patente descriptive du virus EboBun. Le gouvernement des Etats-Unis extrait les virus ebola des patients et affirment avoir “inventer” le virus. Le 2 Août 2014, une protection de monopole de patente fut déposée: une patente No. CA2741523A1, fut accordée en 2010 au gouvernement des Etats-Unis en représentation du Secretary, Department Of Health & Human Services, Center For Disease Control: “L’invention fournit les virus humains ebola isolés (hEbola) dénotés comme étant Bundibugyo (EboBun), déposé au CDC (“CDC”; Atlanta, Georgia, United States of America) on November 26, 2007 auquel fut aloué une accession sous le numéro 200706291.”

Read: Horowitz Aids and ebola.

Read: Charles C. Mann. “1491″.

Read: Military to fight zombies after virus attack.

Média et propagande: La « gonflette » pandémique Ébola comme parfait évènement fausse-bannière ?…

Posted in actualité, désinformation, ingérence et etats-unis, média et propagande, N.O.M, presse et média, résistance politique, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, terrorisme d'état with tags , , , , , , on 14 août 2014 by Résistance 71

Excellente analyse de Kevin Barrett à laquelle nous adhérons. Nous l’avions dit en Juillet: Cette affaire d’ébola est loin d’être claire…

— Résistance 71 —

 

La menace Ébola: réelle ou fausse-bannière ?

 

Kevin Barrett

 

13 Août 2014

 

url de l’article original:

http://www.veteranstoday.com/2014/08/13/ebola/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Les médias de masse sont en train de gonfler la “plus grosse” contagion d’Ébola jamais enregistrée.

On nous dit que la terrible maladie qui produit des symptomes tout droit sortis d’un film d’horreur, se propage aux Etats-Unis. Des Américains annulent leurs vacances et refusent de prendre l’avion, croyant qu’ils pourraient y attraper l’Ébola.

Les gens sont terrorisés (à dessein) par d’horribles images, par la peur de finir rapidement dans d’horribles souffrances et par la peur de prendre l’avion. Les peurs sont menées hors de proportion avec la réalité de la menace. Où avons-nous déjà vu cela ?

Le 11 septembre 2001, le public américain fut soumis à un contrôle de l’esprit par le traumatisme, une forme extensive de technique de lavvage de cerveau appelée coercition, décrite dans un livre du même ttre de Douglas Rushkoff. Le contrôle de l’esprit par le traumatisme utilise des peurs extrêmes ou l’horreur pour façonner le subconscient des victimes. C’est une technique très efficace pour faire soumettre les gens à l’autorité sans qu’ils réalisent qu’ils le fassent ni même pourquoi.

A l’automne 2001, nous fûmes conditionnés pour croire que des musulmans radicaux, utilisant des avions détournés, de l’anthrax et on ne sait quoi d’autre, avaient la volonté de tuer un grand nombre d’Américains. Ceci eut pour résultat que les Etats-Unis prirent le sentier de la guerre contre les Musulmans, les nations musulmanes, les persécutant dans le monde entier, déchirant en mille morceaux la constitution, gaspillant des milliers de milliards de dollars, risquant la banqueroute tant morale que financière.

Depuis lors, la preuve que la peur du 11 septembre/anthrax était une escroquerie a été faite et a laissé beaucoup d’Américians plus tristes mais plus éveillés. Aujourd’hui, dès que le gouvernement et les médias commencent à faire peur aux gens avec une menace gonflée, les observateurs avertis se demandent directement: Est-ce une menace réelle ? Ou est-ce juste encore un faux-drapeau ?

Dans un entretien exclusif avec le programme radio Truth Jihad (Djihad pour la vérité), le Dr. Garth Nicolson, un expert de renommée sur les maladies émergentes et la guerre biologique, a suggéré que la menace d’Ébola a été exagérée à cause de la nature très spectaculaire de ses symptomes. En fait, le Dr Nicolson a aussi suggéré que c’est précisément à cause de ces symptomes spectaculaires, qui se voient très rapidement, que la maladie est en fait plus facile à contenir.

Si vous avez une maladie grave, à haute mortalité comme Ébola, cela va gagner beaucoup d’attention. Mais vous pouvez isoler ces patients immédiatement et cela va contenir l’ensemble du processus.

Une maladie spectaculaire, capable de gagner l’attention, mais qui n’est pas capable de tuer un grand nombre de gens, est idéale pour une manipulation psychologique fausse-bannière de l’opinion publique. Un des facteurs dominant d’une psyop fausse-bannière, est la disproportion entre l’impact massif sur l’opinion publique de l’évènement et la faible réalité de la menace supposée (NdT: Jusqu’ici, Ébola dans sa forme “classique” de contamination n’a fait que quelques 1000 morts dans 3 ou 4 pays différents en 6 mois de temps, alors que la grippe commune fait de l’ordre de 300 000 morts par an dans le monde… Aucune commune mesure, par contre si le virus était manipulé pour être transmissible par voie aérienne… Là… Nous pouvons être à peu près certains que l’armée yankee y travaille ou a déjà mis au point ce type de virus génétiquement manipulé afin de potentiellement pouvoir produire un scenario “12 Singes”…)

Ce schéma existe depuis des siècles.

Dans l’Angleterre du XVIIème siècle, le clan de va t’en guerre de Robert Cecil voulait lancé un assaut sur les empires espagnol et portugais, mais il fut contraint par la politique pacifique du roi James et de quelques uns de ses conseillers et aussi par la récalcitrance de l’opinion publique pacifiste. Comme l’Espagne et le Portugal étaient des pays catholiques, Cecil avait besoin de convaincre ses concitoyens qu’ils devaient tous faire face à une “menace catholique” ; il trouva donc un agitateur catholique radical du nom de Guy Fawkes, le mit lui et quelques barrils de poudre à canon mouillée dans un tunnel sous le parlement anglais et le fit arrieter en accord avec un plan préétabli.

Le complot de Cecil marcha à la perfection. De toutes les chaires anglicanes du pays, les prêcheurs dénoncèrent les diaboliques catholiques extrémistes qui avaient presque réussi à faire sauter le parlement britannique L’opinion publique anglaise entra dans une transe anti-catholique similaire à celle que nous avons vécu contre les musulmans après le 11 septembre 2001 et Cecil obtint sa guerre.

En fait, les catholiques britanniques ne posèrent que peu ou pas de menace à quiconque. Mais à cause de l’énorme impact de relation publique du plan de Cecil avec ses barils de poudre sous le parlement, le public fut convaincu qu’une vague de chaos catholique arrivait sur ses côtes.

Le gouvernement américain tout comme le gouvernement britannique a convaincu de manière répétée ses citoyens d’une menace imminente exagérée ou simplement non-existante. En 1847, Washington fabriqua de toute pièce une “invasion mexicaine”. En fait le Mexique était bien plus faible que les USA et ne posait en rien une menace à la nation, mais des manchettes de journaux belliqueuses martelèrent les Américains pour faire la guerre au Mexique et de la sorte, Washington vola presque la moitié du territoire mexicain. En 1898, une fausse “menace espagnole” fut fabriquée par l’envoi par le fond fausse-bannière du navire USS Maine qui mouillait dans le port de la Havanne à Cuba. En réalité, l’Espagne ne posait aucune menace aux Etats-Unis, étant le plus faible des deux camps, elle ne pensait qu’à éviter la guerre, mais une fois de plus les citoyens américains furent lobotomisés pour croire à une menace non-existante renforcée par une attaque fausse-bannière. Les Etats-Unis s’emparèrent une nouvelle fois de larges territoires pour leurs banquiers et leurs capitalistes.

Avant la première guerre mondiale, une menace allemande non-existante pour les Etats-Unis fut fabriquée de toute pièce au moyen de deux manips de relation publique (propagande): La forgerie du télégramme Zimmerman qui a convaincu l’Amérique que les Allemands conspiraient avec le Mexique pour envahir les Etats-Unis et l’envoi par le fond orchestré du navire Lusithania, qui était bourré de passagers… et d’armes et de munitions à destination de l’Europe. Les Américains se levèrent en masse par peur hystérique des Allemands et s’en allèrent guerroyer en Europe pour leurs banquiers sionistes et les britanniques.

Washington et Londres ont aussi dragué les Etats-Unis dans la seconde guerre mondiale au travers d’une menace fabriquée. Ils utilisèrent le plan en huit points, incluant de couper le Japon de ses vivres afin de forcer le Japon à attaquer les USA à Pearl Harbor. Le filmage de l’attaque, choqua les citoyens et les convainquit que les Etats-Unis faisaient face à une véritable menace avec la Japon et ses alliés Allemands. En fait, si les Etats-Unis étaient restés neutres (comme la population le voulait au départ), une telle menace ne se serait jamais matérialisée.

Dans les années 1960, une autre menace non-existante émergea cette fois-ci du Vietnam. Elle fut fabriquée pour amener les US dans une guerre totale avec le pays. Une fausse attaque sur un navire américian dans le Golfe du Tonkin, appelé “l’incident du Golfe du Tonkin”, fut arrangé.

Ce ne sont là que quelques exemples montrant qu’une hystérie gonflée par les médias est toujours au service d’un agenda caché.

Qu’est-ce qui se cache derrière la peur d’Ébola ?

La scientifique Ann Sullivan argumente qu’une contagion orchestrée par virus Ébola en Amérique pourrait être utilisée pour créer “une urgence pandémique de niveau 6, qui demanderait une vaccination obligatoire, vaccins qui contiendraient leur virus patenté de guerre biologique ébola”. Cette vision d’un scenario du pire cauchemardesque prend en considération la vision de la faction la plus eugéniste de l’élite mondialiste utilisant une fausse menace à l’Ébola pour en créer une bien réelle (NdT: en disant que le “virus a muté rapidement et que les services de santé sont pris de cours”…)

Avec ou sans menace réelle, le gouvernement américain pourrait utiliser le spectre d’une urgence pandémique pour boucler les Américains et retirer les derniers vestiges de leurs droits constitutionnels. Le président Obama vient de signer un amendement au décret 13295 de George W. Bush, qui autorise “l’appréhension, la détention ou la relâche conditionnelle d’individus pour prévenir l’introduction, la transmission ou la dissémination de maladies contagieuses suspectées.” L’amendement d’Obama élargit l’ordre de permission de mise en détention d’un nombre illimité d’Américains sur la simple suspicion qu’ils peuvent être porteurs d’une maladie dangereuse et contagieuse (Ndt: Entrent alors en lice les fameux camps de la FEMA…)

Pourquoi le gouvernement américain voudrait-il manufacturer une menace à la contagion, réelle ou inventée, comme excuse à la loi martiale et à la détention de masse ? Il pourrait le faire en mesure préventive à des troubles sociaux de masse lorsque le dollar va s’effondrer et que l’économie américaine va imploser. En ce moment, les nations des BRICS, emmenées par la Russie et la Chine, sont en train de retirer le bouchon de l’évier sur le dollar, qui commence à tournoyer grandement dans sa préparation à disparaître dans le tout-à-l’égoût. Lorsque le dollar fera son dernier plongeon, les Américains feront face aux pleines conséquences du gaspillage imbécile par leurs gouvernements successifs, de milliers de milliards de dollars depuis le début de la “guerre” après les attentats du 11 septembre 2001. Le résultat plus que probable: Une seconde révolution américaine.

Si le gouvernement américain peut terroriser les Américains avec Ébola, militariser la société et mettre sous les verrous des centaines de milliers, des millions de personnes dans des camps de concentration, alors il pourra peut-être enrayer la révolution avant qu’elle ne commence. C’est ce qui pourrait être leur plan pour le moins.

Mais le virus Ébola dans sa forme naturelle, classique, ne pourra pas créer de situation de pandémie aux Etats-unis, car il n’est pas facilement transmissible, il n’a pas de longue période d’incubation et il ne peut pas survivre en dehors du corps sauf sous un climat très chaud et humide. Alors soyez prévenus: Si les merdias pressetitués rapportent une pandémie Ébola aux Etats-Unis, il ne pourra y avoir que deux possibilités:

  • Soit ils mentent
  • Soit ils auront créé une version militaire synthétique du virus et si cela se produit… Nous avons tout intérêt à commencer la révolution… avant qu’ils ne nous bouclent…

… Ou nous tuent.