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Crise Ébola: Couverture d’AFRICOM pour plus d’implantation militaire en Afrique ?…

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Les Etats-Unis utilisent Ébola comme prétexte à augmenter leur intervention en Afrique

 

Press TV

 

28 Octobre 2014

 

url de l’article original:

http://www.presstv.ir/detail/2014/10/28/383971/us-uses-ebola-guise-to-penetrate-africa/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Les Etats-Unis utilisent la contagion par le virus Ébola comme couverture de leur expansion interventionniste en Afrique, dit un journaliste activiste de Detroit.

Abayomi Azikiwe, éditeur du Pan-African News Wire a fait ces remarques dans une interview par téléphone avec la chaîne Press TV mardi en commentant sur la décision de Pentagone de mettre en isolation et en quarantaine les militaires américains revenant d’Afrique de l’Ouest.

Deux états, le New Jersey et New York, ont déjà ordonné une quaranaine obligatoire de 21 jours pour les personnels médicaux qui ont traité les patients atteints d’Ébola en Afrique de l’Ouest où l’épidémie a déjà fait près de 5000 morts (NdT: Dans 3 pays depuis 8 mois…).

“Je pense vraiment que les Etats-Unis devraient fournir plus d’assistance dans les trois pays qui ont été touchés par la contagion de ce virus ébola” a dit Azikiwe.

“Mais je pense qu’il y a eu une sur-réaction de la part des Etats-Unis, largement alimentée par des forces politiques de droite (extrême) pour ostraciser et mettre en quarantaine tous ceux qui ont assisté dans les mécanismes sanitaires de ceux qui ont été touchés par le virus ébola en Sierra Leone, en Guinée et au Libéria”, a t’il ajouté.

Azikiwe a déclaré que le commandement de l’armée américaine pour l’Afrique ou AFRICOM est “fait pour étendre l’intervention militaire américaine sur le continent africain.”

“Ils utilisent AFRICOM pour pénétrer plus avant en Afrique sous le couvert d’une réponse sanitaire à la crise du virus ébola”, a t’il insisté.

Le président Obama (NdT: ou “Obola” comme il est déjà nommé au pays du goulag levant…) a autorisé le Pentagone à déployer des troupes en Afrique de l’Ouest pour lutter contre la maladie mortelle. Aux ordres du président, quelques 3600 soldats pouraient être envoyés en Afrique de l’Ouest. Quelques centaines de militaires américians sont déjà sur place au Libéria.

Azikiwe a dit que “Il est très important que ces militaires déployés au Libéria soient bien protégés.”

“Le gouvernement des Etats-Unis n’a pas d’historique de protéger ses propres soldats. Nous savons qu’ils ont été amplement exposés à l’uranium appauvri en Irak, nous savons aussi que des armes chimiques américaines qui furent utilisées par le gouvernemnt irakien dans les années 1980 dans sa guerre contre l’Iran, étaient en Irak. Elles ont été découvertes et cette découverte d’armes chimiques américaines a été cachée au public par le gouvermement américain et ses médias complices,” a continué le journaliste expérimenté.

“Ainsi nous sommes préoccupés pour ceux qui se trouvent maintenant en Afrique de l’Ouest, en particulier au Libéria, qu’ils soient protégés et que leur santé et leur vie reçoivent une priorité maximum.” A t’il insisté.

Il n’y a pas de guérison connue pour ébola qui est une forme de fièvre hémorragique impliquant des diarrhées, des vomissements et d’abondants saignements comme symptomes.

Le virus se répand par contagion au travers d’un contact direct avec du sang, des excréments, de la sueur ou des vomissures contaminés. Il peut aussi se propager au travers de contacts sexuels ou la manipulation non-protégée des corps des victimes décédées.

Récemment, plus d’experts ont dit que le virus ébola est un organisme génétiquement modifié et qu’il a été développé dans des laboratoires de guerre biologique de l’armée américaine en Afrique de l’Ouest.

Dans un entretien récent, le Dr. Francis Boyle de l’université de l’Illinois a dit: “Mon avis est que l’origine de la pandémie actuelle du virus ébola provient de labos militaires spécialisés dans la guerre biologique, établis en Afrique de l’Ouest.

Il a ajouté que les Etats-Unis ont “utilisé l’Afrique de l’Ouest comme une station offshore pour contourner la Convention sur les Armes Biologiques et pouvoir effectuer un travail de guerre biologique.

 

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Ébola… Tout pour le vaccin ?…

Posted in actualité, N.O.M, politique et social, presse et média, santé, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , on 15 octobre 2014 by Résistance 71

Nous publions cette information étonnante, qui ne nie pas la réalité de la maladie, mais qui met en garde contre la mise en scène de la « crise ébola ». Dans cet article se trouve le lien d’une vidéo qui analyse deux extraits de reportages qui ont été diffusés pour retirer par CNN et par la branche audio-visuelle du New York Times. Ces deux vidéos montrent clairement la manipulation pour les besoins du reportage et où des « acteurs » amateurs payés sur place, jouent les « malades » dans un but non défini par les vidéos. Nous postons la vidéo en question en section commentaire sous l’article. Vraiment de quoi se poser des questions.

Si l’on se réfère à la « grippe espagnole » qui n’a d’espagnole que le nom puisqu’elle provenait des Etats-Unis et est arrivée avec les militaires américains en Europe en 1917, qui a fait environ 20 millions de morts entre 1918 et 1919 dans le monde. Des études ont montré que bien des victimes étaient les vaccinés (quelques références en bas de l’article) et puis le vaccin anti-ébola (virus patenté par le CDC américain en 2007 et en 2010) s’annonce une affaire bien juteuse pour les monopolistes habituels… a condition que la peur sit tellement forte que tout le monde se rue pour se faire inoculer ou… que des lois d’exception force l’inoculation obligatoire. Dans un cas comme dans l’autre, des milliards de dollars de profit pour des résultats plus que douteux seront garantis. Ici on nous annonce que l’Institut National de la Santé américain (NIH, détenteur avec le CDC des patentes du virus…) veut faire vacciner des pays entiers avec son vaccin… La préparation psychologique est en marche… La peur viscérale fera le reste. Le Pentagone y a ses intérêts. Obama a envoyé 3000 bidasses sécuriser un labo biologique au Libéria, la première mesure des trouffions sur place pour « aider » le peuple ? La pose de barbelés ! La routine quoi !

Une question aussi à poser: dans cet article il est dit que la médecin en chef de la chaîne MSNBC, responsable des programmes médicaux, la Dr. Nancy Snydermann a violé un ordre de mise en quarantaine de 21 jours après son retour du Libéria. Pourquoi violer un el ordre pour la sécurité publique en tant que MEDECIN… si on sait peut-être… qu’il n’y a rien pu vraiment pas grand chose à craindre ?…

Bref, cette affaire ébola est plus que louche à tous les niveaux. Voyez les articles sur les vaccins sous l’article et la vidéo que nous repostons en commentaires…

— Résistance 71 —

 

Article connexe: Le complot ébola ?

 

La mise en scène de la crise ébola

 

Mohawk Nation News

13 Octobre 2014

 

url de l’article original:

http://mohawknationnews.com/blog/2014/10/13/ebola-crisis-set-up/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Des “acteurs de crise” sont employés par les agences gouvernementales et les médias de masse pour faire le portrait du traumatisme et de la souffrance. Ils jouent les victimes ou les témoins dans des évènements fausse-bannières planifiés, comme des fusillades d’école ou des attaques terroristes bidon le tout pour promouvoir le totalitarisme.

Regardez la vidéo qui suit qui reprend des diffusions passées sur CNN et l’organe audio-visuel du New York Times travaillant en collaboration sur l’établissement d’une fausse urgence ébola en Afrique: NYT and CNN busted on ebola crisis. Regardez la vidéo en entier. A la minute 02:50, vous verrez un homme vêtu d’une chemise verte atablé avec un autre homme portant une blouse blanche.

Puis regardez cette photo ci-dessous (voir l’article original) de Thomas Eric Duncan, la première victime d’ébola aux Etats-Unis.

Thomas Eric Duncan in NYT & CNN hoax video.Is Thomas Eric Duncan, a crisis actor?

Nathan Bowles, le fondateur du site internet CrisisActors.org a dit que le gouvernement emploie des acteurs de crise pour des exercices de routine. Apparemment, des publicités furent publiées avant la fusiilade de l’école Sandy Hook, du marathon de Boston et des meurtres de masse de Fort Hood.

CrisisActors.org.

Des acteurs ont même simulés une crise ébola dans un hôpital: Fake ebola crisis at hospital.  Nous allons maintenant être convaincus que la seule voie de salut est d’accepter leur vaccin, lequel va nous donner ébola !

Nous vous rassurons ! Vous pouvez toujours croire en Mohawk Nation News. Nous sommes incorruptibles, Nous ne pouvons pas être achetés !

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Des vaccins causant les maladies:

http://www.rense.com/general45/USvaccinescaused.htm

http://www.whale.to/vaccine/sf1.html

http://ameliorermasante.com/2009/07/20/vaccination-et-grippe-espagnole-par-un-temoinle-dr-eleanor-mac-bean/

http://www.wikistrike.com/article-la-grippe-espagnole-de-1918-est-due-aux-vaccins-89664859.html

http://expovaccins.over-blog.com/article-30869107.html

Médecin américain violant une injonction de quarantaine de 21 jours:

http://www.infowars.com/just-get-your-damn-vaccine-doctor-violates-ebola-quarantine/

 

Ébola sous contrôle du Pentagone ?…

Posted in actualité, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, résistance politique, santé, santé et vaccins, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , on 8 octobre 2014 by Résistance 71

Le Pentagone développe-t-il un vaccin contre le virus Ebola afin d’« améliorer les capacités guerrières » de ses militaires?

Une entreprise pharmaceutique québécoise partenaire du Pentagone dans le développement de vaccins

 

Julie Lévesque

 

6 Octobre 2014

 

url de l’article en français:

http://www.mondialisation.ca/le-pentagone-developpe-t-il-un-vaccin-contre-le-virus-ebola-afin-d-ameliorer-les-capacites-guerrieres-de-ses-militaires/5405941

 

Au début août 2014, Bloomberg a publié un article sur les « espoirs prometteurs » qu’offrent les plants de tabac « pour développer un traitement efficace contre le virus mortel Ebola »:

Les médicaments dérivés de plants de tabac, développés également par une société qui compte Philip Morris International Inc. parmi ses investisseurs, font partie d’un petit groupe de traitements innovateurs à base de plantes comme la laitue, les carottes, même les lentilles d’eau, et mis au point pour traiter diverses maladie, de la pandémie de grippe à la rage.

Propriété de Mitsubishi Tanabe Pharma Corporation et Philip Morris, Medicago Inc., située à Québec, est une autre société soutenue par un géant du tabac et œuvrant au développement de médicaments biotechnologiques cultivés dans des plants de tabac.

Medicago effectue des tests sur un vaccin contre la grippe pandémique et possède une serre de production en Caroline du Nord, a déclaré Jean-Luc Martre, directeur des affaires gouvernementales à Medicago. Medicago prévoit une phase finale d’essai du vaccin contre la grippe pandémique pour l’an prochain, a-t-il dit dans un entretien téléphonique […]

Medicago « travaille actuellement en étroite collaboration avec des partenaires pour la production d’un anticorps contre l’Ebola, ainsi que d’autres anticorps présentant des intérêts pour la bio-défense », a-t-il déclaré dans un courriel. Il n’a pas voulu divulguer l’identité des partenaires. (Ebola Tobacco Drug Joins Duckweed in Plant War on Disease, Bloomberg 6 août 2014)

L’un de ces partenaires serait-il le Pentagone?

En 2009, la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA), un organe du Département étasunien de la Défense, a lancé un programme appelé Blue Angel, décrit par certains comme « le défi de la DARPA dans le développement des vaccins ».

La DARPA a publié un communiqué de presse à la fin juillet 2012 annonçant qu’ils avaient « produit 10 millions de doses d’un vaccin contre la grippe en seulement un mois »:

Dans un communiqué de presse publié par l’agence cette semaine, des scientifiques travaillant avec la DARPA disent avoir franchi une étape importante dans la lutte contre une pandémie de grippe qui pourrait un jour décimer la population de la Terre. En collaboration avec la société de vaccins Medicago Inc., les chercheurs du laboratoire de recherche du Pentagone à la fine pointe de la technologie disent avoir utilisé une importante récolte de plants de tabac qui serviront à produire une pléthore de vaccins contre la grippe.

Les tests ont confirmé qu’une seule dose du vaccin expérimental contre la grippe H1N1 VLP induit des taux protecteurs d’anticorps contre l’hémagglutinine dans un modèle animal lorsqu’il est combiné avec un adjuvant aluminique traditionnel, écrit l’agence. Elle note cependant que « la dose équivalente nécessaire pour protéger les humains de la maladie naturelle ne pourra être déterminée que par de futurs essais cliniques ».

« Il est essentiel de vacciner les populations sensibles au cours de la phase initiale d’une pandémie afin de la contenir », a expliqué le Dr. Alan Magill, directeur du programme de la DARPA, dans un communiqué. « Nous considérons la formule à base de plantes comme une alternative plus rapide et plus efficace dans la production de vaccins que les technologies standards à base d’œufs, et la recherche est très prometteuse. » (DARPA’s Blue Angel – Pentagon Prepares Millions of Vaccines Against Future Global Flu, RT, 28 juillet 2012)

Ce lien entre l’armée étasunienne et les compagnies pharmaceutiques dans la production de vaccins contre la grippe soulève de sérieuses questions, d’autant plus que la pandémie de grippe H1N1 s’est révélée être une fraude de plusieurs milliards de dollars orchestrée par les grandes sociétés pharmaceutiques et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Un nouveau reportage stupéfiant révèle que des scientifiques de haut niveau, ayant convaincu l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) de déclarer une pandémie mondiale de H1N1, entretenaient des liens financiers étroits avec les compagnies pharmaceutiques qui ont profité de la vente de ces vaccins. Ce reportage, publié dans le British Medical Journal, expose les liens cachés qui ont conduit l’OMS à déclarer une pandémie, laquelle a entraîné des milliards de dollars de profits pour les fabricants de vaccins. (Mike Adams: WHO Scandal Exposed: Advisors Received Kickbacks From H1N1 Vaccine Manufacturers, , Natural News, le 7 juin 2010)

En 2012, on rapportait que Medicago « a été financée par une entente d’investissement technologique de 21 millions de dollars avec la DARPA ». (RT, op. cit.)

Après avoir investi dans la recherche médicale pour fabriquer des vaccins, le département étasunien de la Défense envoie maintenant des troupes pour faire face à une épidémie en Afrique. L’armée est-elle en train de remplacer peu à peu les autorités de la santé? Si c’est le cas, nous pouvons nous demander pourquoi. Quel est le but réel de cette « intervention humanitaire »? La réponse se trouve peut-être dans l’objectif du programme Blue Angel de la DARPA.

Dans une entrevue donnée en février dernier, le directeur du programme Blue Angel, le Dr. John Julias a affirmé :

Le programme Blue Angel a été lancé par la Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) en 2009 en réponse à la pandémie de grippe porcine. L’objectif du projet est d’améliorer la réponse des États-Unis à la grippe pandémique par la production accélérée de vaccins […]

Le programme Blue Angel a été construit autour de la notion que le département de la Défense a besoin de répondre rapidement à toute menace pandémique ou biologique compromettant la performance des combattants. (Chris Lo, Blue Angel: DARPA’s vaccine manufacturing challenge, pharmaceutique-technology.com, 10 février 2014)

L’objectif est donc « d’améliorer la réponse des États-Unis à la grippe pandémique », mais il est construit sur un concept qui vise à protéger « les combattants [de] toute pandémie ou de menace biologique », pas la population en général.

Ce concept est-il lié au fait que l’on envoie maintenant des « combattants » plutôt que des « travailleurs de la santé » dans les zones touchées par l’épidémie d’Ebola? Est-ce pour faire l’essai d’un vaccin contre une « menace biologique compromettant la performance des combattants »? Ces 3000 soldats envoyés par Obama au Libéria seront-ils utilisés comme cobayes? Il existe un précédent à cet égard. Ce ne serait pas la première fois.

En février dernier RT rapportait:

Un juge fédéral a statué que l’Armée des États-Unis doit informer rapidement les anciens combattants de tout effet potentiellement nocifs pour la santé découlant des expériences médicales et pharmaceutiques secrètes menées sur eux pendant la guerre froide.

Selon un reportage de l’agence Courthouse News, la décision donne raison aux 7800 soldats qui affirment avoir été impliqués dans ces expériences. Après avoir recruté des scientifiques nazis à travers un programme appelé « Projet Paperclip » pour les appuyer, « l’armée et la CIA ont administré entre 250 et 400 sortes de médicaments aux soldats pour tenter d’améliorer la capacité des États-Unis à faire la guerre. (Judge sides with US servicemen used as guinea pigs in terrifying Cold War experiment, RT, 7 février 2014)

Pendant la guerre du Golfe (1990-1991), on a également donné des vaccins expérimentaux aux soldats et plusieurs études ont conclu que le syndrome de la guerre du Golfe est lié à la vaccination :

Le syndrome de la guerre du Golfe (SGG) se réfère à un ensemble de symptômes chez les soldats en service durant la guerre du Golfe (1990-1991), ou première guerre du Golfe. Ces symptômes comprennent des éruptions cutanées, de la fatigue, des douleurs musculaires et articulaires, des maux de tête, de l’irritabilité, la dépression, un sommeil non réparateur, des troubles respiratoires et gastro-intestinaux, ainsi que des troubles cognitifs et neurologiques.

En plus d’avoir été exposés à un large éventail de dangers environnementaux et à des produits chimiques toxiques, les vétérans étasuniens et britanniques de la première guerre du Golfe (VGG1) ont également reçu un grand nombre de vaccins. En tout, les VGG1 étasuniens ont reçu au moins 17 vaccins différents [1], y compris des vaccins vivants (polio et fièvre jaune), ainsi que des vaccins expérimentaux qui n’avaient pas été homologués (maladie du charbon (anthrax en anglais), antitoxine botulinique) et dont l’efficacité était douteuse [2]. Au Royaume-Uni, le ministère de la Défense (MD) a déclaré que seulement 10 vaccins avaient été administrés, mais des dossiers existant démontrent que certaines troupes en ont reçu davantage [3]. Parmi ces vaccins, injectés uniquement aux troupes britanniques, se trouvaient deux vaccins expérimentaux : un contre la maladie charbon, avec la coqueluche comme adjuvant (qui provoque un grave déconditionnement chez la souris, tel que démontré en 1990) [4], et l’autre contre la peste [1]. Les fabricants de l’adjuvant n’ont pas été informés de l’utilisation non autorisée sur les VGG1 [1,4].

La surdose de vaccin a été identifiée comme un facteur important dans le SGG […]

Ces résultats concordent avec ceux d’autres études. Un lien entre les vaccinations et la maladie a été observée chez des VGG1 au Royaume-Uni et au Canada [6]. (Dr. Mae-Wan Ho et Professeur Malcolm Hooper  Vaccines, Gulf-War Syndrome & Bio-defence)

Le but affiché de la mission des soldats étasuniens au Liberia annoncée par Obama est de construire des centres médicaux et de former des travailleurs de la santé pour les gérer.

Le National Institutes of Health, une agence du département étasunien de la Santé et des Services sociaux, a déjà mis au point un vaccin contre le virus Ebola. Au début septembre, GlaxoSmithKline a déclaré son intention de commencer à en fabriquer jusqu’à 10 000 doses, même si les scientifiques n’ont pas encore décidé si « le premier vaccin est assez prometteur » et que des « études d’innocuité ne peuvent pas garantir que les vaccins expérimentaux fonctionnent vraiment dans une flambée épidémique ». (Associated Press, Ebola vaccine research moving fast, CBSNews, 8 septembre 2014)

Il est intéressant de noter à cet égard que plusieurs effets nocifs pour la santé ont été causés par le vaccin H1N1 de GlaxoSmithKline, qui a récemment plaidé coupable et payé « 3 milliards de dollars afin de régler des allégations de fraude et de non-déclaration des données toxicologiques ». (GlaxoSmithKline to Plead Guilty and Pay $3 Billion to Resolve Fraud Allegations and Failure to Report Safety Data département de la Justice 2 juillet 2014)