Le fléau de la nano-biotechnologie : COVID-19, nanoparticules lipidiques ARNm ou repenser les armes biologiques (Karen Kingston)

Pour ceux qui pensent toujours que tout cela arrive par hasard, que ce n’est qu’incident fortuit, une bavure scientifique… Les armes nano-biologiques de destruction massives sont parmi nous, au quotidien et le « traité pandémies » de l’OMS, s’il passe, ne fera qu’empirer dramatiquement les choses…
~ Résistance 71 ~

Les armes biologiques sont souvent mal comprises

“ Il est important de se rappeler que vous ne devez pas seulement rechercher des maladies infectieuses comme armes biologiques. Vous pouvez tout aussi bien cibler des parties du fonctionnement du corps humain.”
– Dr. Tara O’Toole, EVP, In-Q-Tel* 

Karen Kingston

17 avril 2024

Url article original :

https://karenkingston.substack.com/p/bioweapons-are-often-misunderstood

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

(*) EVP = Executive Vice-President — In-Q-Tel = l’entreprise d’investissement tech et cybernétique de la CIA et du renseignement yankee (NSA, DHS, FBI et autres, mais très forte connexion avec la CIA). Par exemple, Google fut financé dès le départ par In-Q-Tel et la CIA. Tara O’Toole a aussi été Directrice du département de haute technologie du DHS, Department of Homeland Security, la Stasi yankee…

D’après un rapport du congrès des Etats-Unis en 2020 (2020 Congressional Report,) la Dr Tara O’Toole a déclaré que “les armes biologiques sont souvent mal comprises”. Elle se référait à “l’application pratique” des nanoparticules ARNm et autres technologies de manipulation génétique pour induire blessures et handicaps sans causer une pandémie de maladie infectieuse de niveau d’extinction de l’espèce. D’après O’Toole, les technologies de manipulation génétique à ARNm ne sont pas exclusivement utilisées pour créer des pathogènes infectieux (contagieux) bio-synthétiques, mais l’ARNm est aussi utilisé pour créer des armes biologiques qui impactent directement la fonction et la capacité individuelle.

La communauté du renseignement est particulièrement excitée à l’idée de transformer votre ADN avec la technologie ARNm

La Dr Tara O’Toole est la vice-présidente exécutrice de l’entreprise (CIA) In-Q-Tel et ex-sous-secrétaire du DHS. In-Q-Tel est l’entreprise d’investissement de la communauté du renseignement américain (NdT : CIA, NSA, DHS, FBI etc,,,). Elle a déclaré dans une conférence en 2020 ( in her 2020 lecture, ) “La BioRevolution est vraiment fondée sur plusieurs technologies importantes que je vais ici grandement simplifier. Mais tout est une question d’être capable de lire, d’écrire et de changer le code de la vie. La biologie est essentiellement programmable”.

Elle proclama de manière excitée : “Vous pouvez ajouter des gènes, en enlever, vous pouvez les chambouler. Cela devient très populaire. C’est beaucoup utilisé, particulièrement en Chine.”

La pandémie COVID-19 “nous” a donné l’opportunité de tester tout cela

… une méthode de livraison basée sur l’ARN (technologie ARNm) qui vous permette d’utiliser l’ARN (sous forme ARNm) comme plateforme de livraison de nouveaux morceaux génétiques, serait un point d’inflexion crucial dans la biologie synthétique. Et c’est un vaccin basé sur un ARN messager.”

D’abord, j’aimerais bien savoir de qui on parle avec ce “nous”…

Deuxièmement, l’utilisation de technologies de transformation génétique sur des adultes et enfants humains sans qu’ils en aient connaissance encore moins qu’ils y consentent, est considéré comme immoral et non-éthique par la vaste majorité des humains.

De plus, sous la constitution des Etats-Unis et de bon nombre de lois des états, l’utilisation de la technologie à ARNm sur les Américains ces dernière 4 années, peut être catégorisée comme un acte criminel aux Etats-Unis, tombant sous le coup des lois contre la fraude, la contamination et les armes biologiques.

Dernièrement, avant la COVID-19, les tests cliniques d’une méthode de transformation génétique à “double utilisation” par nanoparticules ARNm pouvant causer des maladies, des handicaps et la mort chez les êtres humains, était considéré comme crimes contre l’humanité dans la plupart des nations du monde (sauf en Chine, comme le fit remarquer la Dr O’Toole). Qu’est-ce qui a changé ?

“Les armes biologiques sont souvent mal comprises”

Oh, vraiment désolée ! Je ne savais pas que j’avais une perspective ignorante et obsolète sur l’intention d’utiliser des armes biologiques à nanoparticules ARNm (intentionally using mRNA nanoparticle bioweapons ) faussement référé comme “vaccins anti-COVID-19” afin de transformer le génome humain et induire des maladies, des handicaps, la stérilité et la mort chez ces êtres humains.

Penser tuer en masse des humains par armes biologiques créant une pandémie est si “années 60”…

La Dr Tara O’Toole fournit une juste vision de mon ignorance et de ma mauvaise compréhension autour des armes biologiques et de l’ARNm en disant que :

“Les armes biologiques sont souvent mal comprises. Lorsque nous avions un programme d’armement offensif dans les années 60, nous avons prouvé que dans toutes situations hormis la guerre, que les armes biologiques sont essentiellement l’équivalent des armes nucléaires en termes de leur capacité de tuer des gens… et entre alors et aujourd’hui, nous avons eu une révolution dans la biologie et dans la biotechnologie… La fabrication d’armes est certainement possible et il est important de se rappeler que vous ne devez pas juste rechercher les maladies infectieuses comme armes biologiques. Vous pouvez aussi cibler les différentes parties du fonctionnement du corps humain, incluant (inaudible), aux Etats-Unis on a aussi (hors micro), l’arme à double utilisation. Ces matériaux sont très (hors micro), ces méthodes sont automatisées.”

“Vous n’avez pas à rechercher de maladie infectieuse comme arme biologique”

Autant pour moi Tara. Comme vous me le rappelez de manière si poignante “On n’est plus dans les années 60” Les armes biologiques de transformation génétique à ARNm ne sont pas juste capables de créer des pathogènes hautement contagieux et mortels afin de “tuer des gens en masse”, mais aussi vous pouvez utiliser l’ARNm et les nanoparticules de transformation génétique pour cibler et endommager différentes parties du fonctionnement du corps humain.

Petite question au passage : Est-ce que le “ciblage de différentes parties du fonctionnement du corps humain avec des nanoparticules ARNm” inclut aussi causer des millions de cas de maladies et de dégâts neurologiques, auto-immunes, reproducteurs, respiratoires, rénaux et cardio-vasculaires ?

Basé sur le “succès” de la sortie des injections ARNm anti-COVID-19 de Pfizer, je pense que la réponse est “Oui”…

Hé Tara, saviez-vous que… ?

Saviez-vous donc… que les injections à nanoparticules lipidiques (NPL) ARNm peuvent corriger ou ajouter des mauvais gènes aux patients, ainsi donc induire de manière artificielle des maladies rares et débilitantes, comme les myocardites  et arrêtes cardiaques ?

L’ATTR-CM est une forme de myocardite à protéine amyloïde génétiquement induite qui mène à l’arrêt cardiaque. Et devinez qui possède le seul traitement connu de ces ATTR-CM coûtant 225 000 US$/an ?

[Réponse en photo dans l’article original : Pfizer avec son VYNDAMAX (tafimidis)]

Faire la promotion et vendre des armes biologiques à ARNm comme “vaccins” est-il illégal ?

“Pas exactement..” d’après un conseiller militaire et du renseignement américain, le professeur James Giordano. Dans un article datant de 2017 (In a 2017 article ) sur l’utilisation d’armes biologique neurologiques sur des communautés civiles, Giordano acquiesça :

“…la recherche et le développement d’armes biologiques n’ont pas besoin d’être illicites, illégales : des exemptions pour utilisation expérimentale de santé et de routine peuvent provoquer une zone grise au sein de laquelle des recherches sur la viabilité et l’emploi en tant qu’armes peuvent être entreprises. Sous un tel couvert, des agendas de double emploi peuvent être créés et développés.

“Une préoccupation supplémentaire est que des armes neuro-biologiques et des neuro-technologies peuvent être obtenues et/ou développées avec facilité par des entreprises/acteurs individuels non impliqués avec les états (comme Pfizer et Moderna) pouvant elles aussi être soutenues par des entreprises de financements en relation avec l’état (comme In-Q-Tel) et qui peuvent fonctionner sans se préoccuper des réglementations définies par l’actuel traité sur les armes biologiques, créant ainsi de plus grandes fenêtres d’opportunité et d’influence.”

Un mois avant que Giordano ne publie son article en 2017 sur le double-emploi des armes biologiques, le National Health Institute (NIH) avec des hôpitaux américains et des universités dans le monde, avaient déposé un brevet pour une Nanotechnologie vaccinale à particules nano-lipidiques (PNL) ARNm pour utilisation comme “un agent de guerre biologique”.

Le gouvernement américain (le NIH) a été payé par BigPharma pour les brevets ARNm

En février 2023, Moderna a payé le gouvernement américain via le NIH 400 millions de dollars (Moderna paid the US government (NIH) $400 million) en royalties (droits d’auteur) pour les injections ARNm anti-COVID-19.

L’industrie de biologie synthétique est en train de faire passer son centre de gravité de pouvoir et politique des Etats-Unis vers la Chine

Dans son article de 2017, Giordano a déclaré que “L’importance grandissante des nations non-occidentales (comme la Chine) dans la recherche et la production en neurobiologie synthétique (armes biologiques) peut permettre un plus grand levier pour affecter la latence stratégique, le potentiel pour évoquer des glissements significatifs dans la balance du pouvoir, en manipulant les marchés des ventes en biotechnologie et en santé afin d’affecter les relations internationales et socio-économiques.”

Voilà pourquoi le CEO de Pfizer Albert Bourla et autres CEOs de Big Pharma se sont envolés pour la Chine en mars dernier pour investir plus de ressources et d’alliance avec la Chine, malgré la demande des Etats-Unis de réfréner et de potentiellement couper les liens avec quelques entreprises de biotechnologie chinoises, comme par exemple l’associé en ARNm de Pfizer, WuXi Biologics.

La BioRévolution nécessite la violation des Droits de l’Homme

D’après un rapport du congrès des Etats-Unis de 2020, les leaders de gouvernement et experts de l’industrie disent que la “BioRévolution va jouer un rôle pivot dans l’économie du XXIème siècle”, tout en reconnaissant que la Chine est le leader mondial de cette BioRévolution.

La Chine mène la mise en place de la fabrique et de la commercialisation des armes biologiques de transformation génétique à ARNm pour des associés de l’industrie globale, incluant Pfizer, ThermaFisher Scientific et al.

Le rapport du congrès déclare de plus que :

“Le Parti communiste Chinois (PCC) cherche à dominer le développement des technologies émergentes comme les nanoparticules ARNm et autres biotechnologies synthétiques et assurer les normes et valeurs du comment ces technologies sont déployées pousse les buts géopolitiques de la Chine.”

“Le gouvernement chinois façonne et subvertit le système de gouvernance international pour que celui-ci s’aligne sur les principes de Pékin, qui sont directement à l’opposé des valeurs universelles et des droits individuels. Il désire que les autres pays acceptent sinon ne louent son modèle de gouvernance uni-parti autoritaire. Si Pékin réussit à normaliser ses vues de gouvernance, le résultat pourrait bien mettre en danger les droits individuels dans le monde…”

Ceci veut dire qu’afin que les nations survivent économiquement dans la nouvelle ère de l’IA et de la biologie synthétique, leurs gouvernements et leurs populations devront accepter et même louer la gouvernance autoritaire qui s’oppose aux droits de l’Homme, ce que beaucoup d’Américains ont fait durant la crise COVID-19. Vous vous rappelez de la figure d’Arnold “Terminator” et de son discours ““Screw Your Freedom” “ (On emmerde votre liberté) ?

Pouvez-vous imaginer des Etats-Unis sans aucun regard pour les Droits de l’Homme ?

[réponse de R71 : oui sans aucun problème…]

Dr Tara O’Toole le peut. (NdT : elle n’est pas la seule loin de là, les “droits de l’Homme” ont toujours été quelque chose de “négociable” pour les Etats-Unis, demandez un peu aux Amérindiens ce qu’ils pensent de la notion yankee des “droits de l’homme” ou aux esclaves et leurs descendants…) D’après elle, pour que les Etats-Unis demeurent importants dans l’industrie de la biologie synthétique et au XXIème siècle, nous devons réimaginer un nouveau gouvernement américain.

“Je suggèrerais, alors que nous réimaginions et revigorions le gouvernement américain et la sécurité nationale à l’aune de la pandémie COVID-19… et nous devons faire attention que nous ne souffrions pas encore… d’un échec de notre imagination. La biologie synthétique et les biotechnologies sont le futur.”
– Dr. Tara O’Toole,

Est-ce que les Américains vont défendre notre souveraineté dans la guerre de la BioRévolution ?

[…] L’histoire va t’elle enregistrer que l’Amérique est tombée lors de la troisième guerre mondiale (la BioRévolution) parce que les Américains ont passivement soumis leurs libertés à un régime autoritaire sans même défendre leurs propres libertés civiles, droits humains et autonomie corporelle ? Ou les Américains vont-il s’unir pour défendre non seulement leurs droits, mais la préservation et l’épanouissement de la vie humaine telle qu’on la connait ? (NdT : ceci est et doit demeurer une bannière de ralliement défiant toutes divisions politiques, sociales, ethniques, raciales, culturelles, religieuses ou autres… Nous jouons ici la survie de l’humanité…)

“Sous-estimer l’intention de Pékin de réviser l’ordre international basé sur ses capacités courantes risque de retarder une réponse jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour préserver l’ordre international libéral qui a permis un épanouissement sans précédent de la vie humaine et des libertés pour les derniers trois-quarts de siècle.” (NdT : faut le dire vite quand même… Un paquet de gens dans le monde n’ont rien profité du tout de “l’épanouissement” étatico-marchand tant vanté, tout est relatif aux intérêts occidentaux et le demeurera jusqu’à la fin programmée de l’état marchand…)
– Commissioners, U.S.-China Security Review, December 2020

= = =

Article connexe : « Le traité dictatorial de l’OMS dur les pandémies, la porte ouverte à la dictature nano-biotechnologique » 

A lire et diffuser : « Urgence absolue : Stopper le traité pandémie de l’OMS et la mise en place de la dictature nano-biotechnologique » (Résistance 71 )

Lire notre page : “Coronavirus, guerre contre l’humanité”, page continuellement mise à jour depuis 2019

Lire notre dossier “Nano-biotechnologie, fléau #1 contre l’humanité”

Nos traductions des recherches de Karen Kingston sur la nano-technologie arme biologique

Surveillance totale… Contrôle total
Bienvenue dans le Nouvel Ordre Mondial !

La priorité : alerter sur la nano-biotechnologie à ARNm omniprésente et fléau #1 pour l’humanité… Il en va simplement de notre survie (Karen Kingston)

Ceci constitue sans doute ce que lirez DE PLUS IMPORTANT de nos jours ! Nous demandons expressément à nos lecteurs de diffuser cette traduction d’article et tous ceux qui ont précédé de notre dossier “Nanotechnologie, fléau #1 pour l’humanité”… Un PDF compilant tout cela sera bientôt réalisé par Jo et publié afin que toute cette info puisse être accessible sur un seul document sans avoir à chercher… Il n’y a aujourd’hui plus rien qui soit plus important que de mettre cet agenda au grand jour. La seule solution pour l’humanité passe par la (r)évolution sociale, celle de la Commune Universelle des associations libres, de l’union et de l’entraide.
L’humanité est en train de subir le PLUS GRAND ASSAUT sur son existence génétique de toute son HISTOIRE, un crime sans aucun précédent est en train d’être commis, en masse, depuis 2019. L’enjeu est simple : mettre à bas cette saloperie ou c’en est fait de nous tous, des 8 milliards d’êtres humains, poussière d’étoile évoluée de cette planète… Merci de diffuser, ça urge avec cette saloperie de “traité pandémie de l’Organisation Mortelle de la Santé” qui arrive fin mai 2024. Notre arrêt de mort certifié conforme, que personne n’aura lu, même ceux supposés l’analyser pour l’entériner. Rien ne va plus…
~ Résistance 71 ~

Lancer l’alerte sur la biologie synthétique et l’ARNm peut-il sauver des vies ?

Karen Kingston

4 avril 2024

Url de l’article original :

https://karenkingston.substack.com/p/can-raising-awareness-about-synthetic

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

J’ai originellement publié cet article sur la BioRevolution en juin de l’an dernier. Je pense toujours que des milliards de vie peuvent être sauvées de maladies, de handicaps, de stérilité et de mort qui sont causées par l’utilisation non régulé de biotechnologies synthétiques, si toutefois les médias de masse et alternatifs admettent l’existence de l’industrie mondiale de la biologie synthétique et que les injections de technologies à nanoparticules de transformation génétique ARNm chez des milliards d’adultes et d’enfants dans le monde sous le masque de “vaccins anti-COVID-19 sûrs et efficaces” furent une totale violation des droits humains et contre les lois de la plupart des nations occidentales.

Des histoires critiques que tous les médias peuvent couvrir pour attirer l’attention sur la biologie synthétique à ARNm

Le 3 janvier 2024, le ministre de la santé de l’état de Floride, Joseph Ladapo a appelé à arrêter d’utiliser les injections à ARNm anti-COVID-19 parce qu’elles étaient des technologies de manipulation génétique qui peuvent occasionner des changements permanents dans le génome humain.

Le 11 janvier 2024, des médecins et scientifiques renommés du Japon ont publié une revue systémique de milliers de publications scientifiques peer reviewed ainsi que des données gouvernementales concluant que l’utilisation de nanoparticules basées sur l’ARN est non seulement la plus grande menace à l’existence de l’être humain, mais aussi de toutes formes biologiques.

L’état de Texas traîne en justice Pfizer pour avoir menti aux Texan et aux citoyens du monde, clamant que leurs injections à ARNm étaient sûres et efficaces.

Un tribunal de Floride évalue en ce moment même une pétition d’urgence pour prohiber les injectiosnà nanoparticules ARNm en Floride.

La China National GeneBank fait la promotion dans son clip vidéo de 4 minutes, du fait que la Chine a collecté les données génétiques de milliards d’êtres humains et de milliards d’autres formes de vie biologique ayant pour but de “numériser la vie” et de “développer des êtres humains durables”.

Attirer l’attention sur la biologie synthétique et les applications des nanoparticules ARNm peut-il sauver des vies ?

23 juin 2023 : La nanotechnologie est peut-être invisible à l’œil humain, mais elle est bien réelle. La seule raison du pourquoi la nanotechnologie est devenue une industrie planétaire engrangeant des milliers de milliards de dollars et qui est en train de stériliser petit à petit l’humanité est parce qu’elle a été tenue dans le secret pour les citoyens du monde.

Les nanoparticules synthétiques fabriquées sont utilisés comme armes pour nous blesser, nous estropier, nous et nos enfants au travers de l’adultération de nos médicaments, de nos suppléments, de notre nourriture, de notre eau, tout aussi bien que par le moyen le plus efficace de livraison de son cargo mortifère : les injections, essentiellement les “vaccins”.

“Implants numériques chez les humains pour raisons médicales”

En novembre 2020, des experts en biologie synthétique se sont rencontrés au travers d’une série organisée par Horizons Canada et la BioDigital Convergence webinar series pour discuter de “l’intégration complète des entités biologiques et numériques par laquelle de nouvelles formes de vie hybrides sont créées par l’intégration de technologies numériques et des systèmes organiques vivants.”

En regard de la fusion des êtres humains avec le monde numérique, les experts en biologie synthétique discutent d’une info plus profonde sous la forme “d’implants numériques chez les humains pour raisons médicales afin d’illustrer cette catégorie de convergence bionumérique”. De manière plus spécifique, les experts font part de l’utilisation de technologies bionumériques, incluant les vaccins ARNm anti-COVID-19 pour fusionner les êtres humains avec les technologies numériques.

“Les “implants numériques chez les humains pour raisons médicales” sont les nanoparticules électromagnétiques trouvées dans les injections COVID-19

Un article du 18 novembre 2022 (November 18, 2022, article) publié dans le journal de l’American Chemical Society insiste sur le fait que les nanoparticules ARNm utilisées dans les injections anti-COVID-19 Pfizer et Moderna (NdT : ARNm en anglais est mRNA…)sont des nanotechnologies qui pénètrent directement les cellules humaines pour révolutionner l’ARN (c’est à dire transformer l’ADN humaine)

Les nanoparticules ARNm comprennent de l’or et du graphène

Il est bien connu de l’industrie que les nanoparticules ARNm COVID-19 comportent des métaux comme l’argent, l’or, le titanium et le graphène. Ceci n’est en rien une théorie conspirationniste. Le fait que les injections COVID-19 contiennent des nanoparticules électromagnétiques est un fait très bien connu au sein de l’industrie de la biologie synthétique.

Les nanoparticules de protéines spike fabriquées par Pfizer sont investies avec des molécules d’oxyde de graphène et d’or (https://karenkingston.substack.com/p/pfizer-trade-secret-covid-19-mrna), c’est pourquoi lorsqu’elles sont injectés dans un corps humain, elles répondent à des champs électromagnétiques externes.

Similaires à d’autres nanoparticules fabriquées de “protéine spike du coronavirus”, les nanoparticules “spike” de Pfizer sont des formes de vie bio-synthétiques qui peuvent imiter les virus.

Les nanoparticules ARNm endommagent la fabrique génétiquement des cellules

Les “protéines spike” ARNm fabriquées sont des nanotechnologies qui entrent au sein des cellules humaines et causent des dégâts aux cellules au niveau génétique ; ce au travers des systèmes cardio-vasculaire, respiratoire, rénal, hépatique (foie), reproducteur et du système nerveux central (cerveau).

Les injections à nanoparticules ARNm de transformation génétique utilisées comme arme biologique ne “SONT PAS DES VACCINS” comme les gouvernements globalistes l’affirment…

Alors qu’il y a des milliers de publications peer-reviewed discutant de la toxicité des nanoparticules synthétiques menant à des maladies, des incapacités et la mort, le Professor James Giordano a ouvertement déclaré que les nanoparticules synthétiques sont des armes neurologiques et des armes de destruction massive, mais qu’elles peuvent être employées sur des populations civiles “pour raisons médicales” et que la transparence d’un tel acte (pour avoir un consentement informé) pourrait ne pas être nécessaire afin de protéger les droits de propriété intellectuelle du secteur médical privé.

La biologie de synthèse et la BioSurveillance sont-elles le futur ?

En avril 2020, la Dr Tara O’Toole, vice-présidente exécutive de l’entreprise In-Q-tel  [NdT : cyberventure d’investissement de la CIA] a présenté Synthetic Biology and National Security: Risks and Opportunities, au Center for Strategic and International Studies, où elle déclarait : “La BioRévolution est véritablement fondée sur plusieurs technologies fondamentales que je vais ici grandement simplifiées. Mais c’est au sujet d’être capable de lire, d’écrire et de changer le code de la vie. La biologie est essentiellement programmable. Vous pouvez changer une séquence génétique. Vous pouvez ajouter, enlever, échanger, intervertir des gènes. Ceci devient très populaire… une méthode de livraison basée sur l’ARN qui vous permette d’utiliser l’ARN comme une sorte de plateforme pour livrer des pièces détachées (de séquences génétiques) dans la cellule serait quelque chose qui changerait la donne du tout  au tout du point de vue de la biologie synthétique. Et la pandémie COVID-19 nous donne cette chance de tester tout cela chez l’humain. La biologie synthétique, les biotechnologies sont le futur.”

Le gouvernement canadien discute ouvertement de l’utilisation de technologies à nanoparticules ARNm pour les buts de fusionner la vie biologique (incluant les humains) avec les technologies numériques, incluant les capacités de systèmes de biosurveillance pour tracer les “virus” (alias les humains) en temps réel.

L’utilisation de technologies de traçage Bluetooth dans les injections à ARNm COVID-19 a bien été documentée dans cet article : this article.

La branche exécutive du gouvernement des Etats-Unis utilise aussi une “approche pleinement gouvernementale” pour forcer la fusion des êtres humains et toutes les formes biologiques de vie avec les technologies numériques comme édicté par le décret du président Joe Biden du 12 septembre 2022 Executive Order on Advancing Biotechnology and Biomanufacturing Innovation, qui déclare :

“Développer des technologies de transformation génétique et des techniques pour être capables d’écrire les circuits des cellules et de programmer la biologie de manière prévisible de la même manière qu’on écrit un logiciel et des programmes d’ordinateurs ; déverrouiller le pouvoir des données biologiques, y compris au travers d’outils informatiques et d’intelligence artificielle…”

Nous savons maintenant pourquoi Joe le dormeur était si favorable à l’obligation vaccinale, afin de pousser de manière agressive cet agenda mondial transhumaniste et la mise en esclavage bio-numérique de tous les êtres humains.

L’utilisation des injections à ARNm COVID-19 pour forcer la fusion entre le corps humain et l’esprit et les technologies numériques est confirmé par le Dr Robert Malone dans cet entretien avec le journaliste Glenn Beck (this interview with Glenn Beck.)

Is Dr. Malone Invested in Humanity or Transhumanism? (Le Dr Malone est-il intéressé dans l’humanité ou dans le transhumanisme ?..)

Alors que le corps des preuves montre clairement que les injections ARNm COVID-19 ne sont pas des vaccins, mais de dangereuses (parfois mortelles) nanoparticules synthétiques, Big Pharma et BioTech se cachent derrière une immunité légale imaginaire parce que les gouvernements mondialistes et les citoyens continent d’appeler ces injections armes biologiques… des “vaccins”.

[NdR71 : nous sommes à 1000% d’accord avec Karen Kingston là-dessus !!… Il fut maintenant appeler un chat un chat ! La preuve est faite que ce sont des ARMES NANO-BIOTECHNOLOGIQUES DE DESTRUCTION MASSIVE, qui ne souffre d’aucune protection légale, nulle part, pour qui que ce soit les ayant déployées sur les populations, point barre !…]

Nous devons nous unir !

La nanotechnologie est LE sujet qui doit rester secret afin de pouvoir forcer une dystopie bionumérique sur l’humanité.

Si les scientifiques, les médecins et les avocats continuent de rechercher des origines biologiques de laboratoire pour expliquer un assaut biotechnologique sur l’espèce humaine, l’humanité mordra la poussière.

Les soi-disants “vaccins” à ARNm et les “coronavirus” sont des nanoparticules technologiquement avancées. (mRNA ‘vaccines’ and ‘coronaviruses’ are advanced engineered nanoparticles. ) Elles sont des technologies d’auto-assemblage qui se développent depuis une taille de l’ordre du nanomètre jusqu’à des tailles microscopiques et jusqu’à un stade macro de structures synthétiques visibles à l’œil nu à l’intérieur du corps humain, ces corps sont aussi appelés “des caillots fibreux blancs qui ne se dissolvent pas”. Voir à ce sujet le remarquable documentaire “Died Suddenly” ( #diedsuddenly) et suivez la Dr Ana Milhacea sur Humanity United Now.

Nous devons nous unir maintenant au nom de la vérité. Souhaiter que les leaders arrêtent de cautionner ce faux narratif du “il n’y a pas une telle chose que la nanotechnologie” par peur d’être ostracisés et expulsés des “leaders du mouvement pour la liberté” ou simplement parce qu’ils sont trop fiers pour admettre qu’ils ont cru et soutenu quelque chose de faux.

= = =

Lire notre page mise à jour depuis 2019 : “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

“SRAS-CoV-2 / COVID19, l’attaque nano-biotechnologique sur l’humanité depuis 2019” (Compilation PDF de nos traductions des recherches de Karen Kingston)

Notre dossier “Nanotechnologie, fléau #1 pour l’humanité”

La menace de la biologie synthétique (nanotechnologie ARNm et autre), fléau #1 pour l’humanité (Karen Kingston)

Ceci constitue une menace réelle et effective, de fait, nous pensons que rien n’est plus important que cela pour l’humanité de nos jours… Tout le reste n’est que poudre aux yeux. Nous devons lever le niveau de conscience général sur ce qui est entrepris, qui n’est ni plus ni moins que l’extermination totale de l’humanité par manipulation et transformation génétique. Être conscient de notre réalité, à savoir que la nanotechnologie est le fléau #1 contre l’humanité et agir en conséquence avec cette certitude : la pourriture oligarchique marchande ne s’arrêtera que quand NOUS les arrêterons et ceci ne passera pas par cette vaste fumisterie pseudo-démocratique qu’est le « vote ». Ce qui est appelle la BioRévolution, pilotée depuis la Chine, modèle totalitaire de gouvernance mondiale, est la fin de l’humanité telle que nous la connaissons et l’entrée de plein pied dans l’ère de la dictature technotronique où l’humain est une commodité qui doit devenir « durable » par manipulation de son génome ainsi que de not le vivant. Qu’allons-nous faire ? La balle est maintenant définitivement dans notre camp…
Être Boycott Union Réflexion Négation Évolution… contre cette saloperie galopante et maintenant omniprésente.
~ Résistance 71 ~

Nanotechnologie : fléau # 1

Se préoccuper de la menace de la biologie synthétique (nanotechnologie) sur le cerveau humain

Karen Kingston

22 mars 2024

Url de l’article original :

https://karenkingston.substack.com/p/addressing-the-threat-of-synthetic

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

NdT : voir l’article original pour la profusion d’hyperliens remontant aux sources des infos présentées

Depuis le début de 2024 et la déclaration du ministère de la santé de l’état de Floride déclarant que les injections à nanoparticules de transformation génétique anti-COVID19 ne devraient as être utilisées sur des êtres humains parce q’elles peuvent causer des maladies graves et dégénératives ainsi qu’un changement permanent du génome humain, il y a eu une renverse de marée concernant le faux narratif disant que l’industrie de la nanotechnologie n’existe pas et le mensonge éhonté que les technologies à nanoparticules ne sont pas dans les injections COVID19 et aussi le fait que les technologies à nanoparticules sont utilisées de manières invasives dans bon nombre d’aspects de nos vies quotidiennes, ce SANS NOTRE CONSENTEMENT et que ceci doit être divulgué, hautement régulé et même dans certaines situations : complètement interdit.

La Dr Ana Mihalcea et moi-même sommes sur la ligne de front de cette bataille, défendant la préservation de l’humanité et des créations naturelles dans nos efforts consistants de faite le plus de lumière possible sur cette industrie de la biologie synthétique, spécifiquement la vase utilisation cachée des technologies à nanoparticules dans des applications de biologie synthétique, incluant des applications dans le domaine neurologique. J’ai eu le récent honneur d’avoir une discussion en profondeur avec ma chère amie et collègue Dr Ana Mihalcea. Dans cet entretien (In this interview,) la Dr Mihalcea et moi-même attirons l’attention sur les décennies de recherche et de développement derrière les technologies à nanoparticules et leurs applications en tant que neuro-technologies.

Nous touchons à des menaces imminentes et bien réelles que personne n’ose toucher

Dr Mihalcea et moi-même discutons de la campagne médiatique d’Elon Musk en 2016 (Elon Musk’s 2016 media campaign), faisant la promotion de sa technologie Neuralace en tant que “Ordinateur cardinal à IA” qui peut être injecté dans la circulation sanguine et voyager vers le cerveau pour fusionner le cerveau humain avec l’IA.

Le professeur de Harvard Charles Lieber a travaillé avec la République Populaire de Chine pour développer une “bio-électronique injectable” qui peut s’intégrer sans effort aux tissus nerveux et aux cellules cérébrales.

D’après un article d cela revue “Science” du 8 décembre 2017, le filet bio-électronique neural du professeur Lieber peut mener des opérations à la fois d’implantation que d’extraction, permettant un contrôle physique de l’animal ou de l’humain injecté, tot autant que rendant possible un “effacement mémoriel” et même une “formation mémorielle” (implant)

La prescription électrique du DARPA pour les nanoparticules de la neurotechnologie délivrée par “vaccins”

NdT : DARPA : Defense Advanced Research Projects Agency ou Agence pour la recherche en projets avancés de la défense, l’agence tech de pointe du Pentagone

En 2016, la Brain Initiative du DARPA a reçu 1,5 milliards de dollars supplémentaires sur la base de la loi du CURES Act afin de développer plus avant les technologies d’interfaces d’ordinateur cérébral, incluant l’Electrical Prescription (ElectRx). Ceci délivre des outils de neuro-technologie par le moyen d’injections (comme les vaccins).

Le DARPA a aussi investi des milliards de dollars dans le développement de quantum-dot à l’oxyde de graphène d’interface neurale pour parvenir au transfert de données entre le cerveau humain et le monde numérique. Les “vaccins” / injections à ARNm contiennent aussi des quantum-dots d’oxyde de graphène en système de livraison à nanoparticule pour permettre la pénétration à travers la membrane cellulaire et dans le noyau même de a cellule.

En 2019, l’utilisation d’oxyde de graphène dans les soi-disants “vaccins” anti-COVID fut brevetée par l’entreprise Shanghaï NanoTech, qui coopère avec les entreprises américaines de biopharma incluant Moderna.

Le 22 octobre 2020, La FDA américain a révélé qu’un tiers des effets débilitants et des maladies causés par les “vaccins” injections ARNm anti-COVID19, sont  de nature neurologique.

Les effets neurologiques dangereux des injections à nanoparticules anti-COVID19 furent confirmés plus avant par le rapport interne de Pfizer, documentant près de 700 000 effets neurologiques sur quelques 1,5 millions de victimes (700,00 neurological side effects from 1.5 million victims ), qui rapportèrent leurs blessures directement à Pfizer.

Pendant l’entretien, la Dr Ana Mihalcea et moi-même avons pris un moment pour parler personnellement des attaques biologiques et arme neurologique que nous avons endurées, les symptômes que nous avons subis et les traitement utilisés pour nous guérir, incluant la chelation EDTA en IV.

La vérité est inconfortable et parfois menaçante

Un clip vidéo intéressant montrant Jeff Bezos (NdT : le patron CEO fondateur d’Amazon) expliquant à Lex Fridman pourquoi les diseurs de vérité ont plus de chance d’être mis à l’écart et malmené que d’être acceptés et félicités par la société. La raison de base du pourquoi les diseurs de vérité sont souvent haïs est parce que la survie humaine est fondée sur notre “mentalité de troupeau” inhérente et sur la capacité d’un individu de s’accommoder afin de s’intégrer dans le groupe.

[NdT : voir l’entretien, en anglais, sur l’article original]

La Dr Ana Mihalcea et moi-même somme sur la ligne de front de cette bataille, défendant la préservation de l’humanité et des créations naturelles dans nos efforts consistants de faite le plus de lumière possible sur cette industrie de la biologie synthétique, spécifiquement la vase utilisation cachée des technologies à nanoparticules dans des applications de biologie synthétique, incluant des applications dans le domaine neurologique et comme armes neurologiques.

SVP regardez et partagez cette entretien vidéo éclairant en bien des points : enlightening interview.

= = =

Notre page “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

“SRAS-CoV-2 / COVID-19, injections ARNM, l’attaque nano-biotechnologique sur l’humanité depuis 2019” (compilation PDF de nos traductions des recherches de Karen Kingston)

Notre dossier “Nanotechnologie fléau #1 pour l’humanité!”

Lire cet étonnant article : « Confessions d’une nanoparticule synthétique »

Et ne jamais oublier qu’…

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

De la FDA yankee en 2020 : liste des effets secondaires possibles des injections à nanoparticules lipidiques ARNm COVID-19 : ILS SAVAIENT DEPUIS LE DEPART !!

Nano-biotechnologie : fléau #1 de l’humanité ou l’enfumage total de la « BioRévolution » (Karen Kingston)

Bien comprendre une chose essentielle en parallèle de l’article de Karen Kingston ci-dessous : si la Chine est à 100% impliquée dans cette affaire de nano-biotechnologie, elle le fait aussi 100% épaulée par l’empire, car la Chine est le « modèle » de gouvernance pour le monde décidé par l’oligarchie transnationale en place. Ne jamais oublier que si le laboratoire de recherche en armes (nano)biologiques de niveau de sécurité P4 de Wuhan a terminé l’arme biologique « SRAS-CoV-2 / COVID et ses remèdes ARNm à Nanoparticules lipidiques (NPL) », commencée entre 2006 et 2015 à l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill, pour sa diffusion dans le monde en 2020, le financement de ce labo vient de Chine, du ministère de la défense chinois, des Etats-Unis (NIH, NIAID, DoD) et de l’Union Européenne. C’est une aventure commerciale conjointe de l’oligarchie, chinoise inclue…
Au plus haut niveau de la pyramide, ils en croquent tous et la Chine est complice de la merdasse oligarchique occidentale en TOUT !! Ceci doit devenir une évidence si on veut comprendre quoi que ce soit à ce qu’il se passe…
~ Résistance 71 ~

« La numérisation de la vie va garantir le développement durable des êtres humains »

La BioRévolution de l’humanité

En utilisant des biotechnologies synthétiques, la BioRévolution va protéger l’environnement et “assurer le développement durable des êtres humains” en modifiant et en contrôlant toutes les formes de vie…

Karen Kingston

2 avril 2024

Url de l’article original :

https://karenkingston.substack.com/p/the-biorevolution-of-humanity

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

La BioRévolution utilise la biologie synthétique et les technologies de transformation génétique, comme les nanoparticules ARNm, pour modifier le génome de toutes les formes biologiques, incluant les êtres humains. La Chine mène la BioRévolution mondiale et la Banque Génétique Nationale de Chine a collecté et numérisé l’ADN de milliards de personnes dans le monde incluant des Américains (China National GeneBank (CNGB) has collected and digitized the DNA). La CNGB clame que modifier génétiquement les humains est nécessaire afin de protéger l’environnement et “d’assurer un développement durable des êtres humains” (NdT : puisqu’ils sont maintenant de simples commodités marchandes brevetables…)

D’après un rapport de 2020 d’un conseiller du renseignement américain : “La BioRévolution est vraiment fondée sur plusieurs technologies de base que je vais ici grandement simplifier. Mais tout cela est au sujet de lire,, d’écrire et d’éditer, changer le code de la vie. La biologie est essentiellement programmable. Vous pouvez altérer la séquence. Vous pouvez ajouter des gènes, vous pouvez en enlever, vous pouvez les intervertir. Cela devient très populaire… une méthode de livraison basée sur l’ARN, qui vous permet d’utiliser l’ARN comme une sorte de plateforme pour délivrer de nouveaux morceaux de séquences génétiques dans la cellule, ce qui est une inflexion changeant absolument tout au sein de la biologie synthétique. La pandémie COVID-19 permet de tester tout cela chez les humains.”

Voici quelques déclarations faites par la Dr Tara O’Toole, une des vice-présidentes de la firme In-Q-Tel (NdT : la branche de l’investissement cybernétique de la CIA, dont par exemple Google est issu…), dans une de ses présentation du renseignement sur “La biologie synthétique et la sécurité nationale : risques et opportunités” (Synthetic Biology and National Security: Risks and Opportunities, ) au Center for Strategic and International Studies(CSIS).

La nanotechnologie : fléau #1 de l’humanité

Utiliser l’ARN pour modifier génétiquement les humains

La BioRévolution utilise la biologie synthétique et les technologies de transformation génétique, comme les nanoparticules ARNm, pour modifier le génome de toutes les formes de vie biologiques, incluant les êtres humains.

Avant la COVID-19, l’utilisation des applications de biotechnologies pour changer le génome des espèces, particulièrement l’utilisation de particules ARNm ressemblant à des virus chez les êtres humains, était considérée comme des armes biologiques ou des armes de destruction massive (ADM). Une biotechnologie est classée comme ADM si la technologie peut causer des changements permanents dans le génome des espèces menant à l’extermination de cette espèce.

Saviez-vous que… les injections à nanoparticules lipidiques ARNm (NPL-ARNm) peuvent corriger, ou ajouter des gènes défaillants aux patients, induisant donc par cela artificiellement des maladies rares et handicapantes par leur effet de dégénérescence ? (.Pfizer’s mRNA lipid nanoparticle injections can correct or add faulty genes)

Comme des maladies du muscle cardiaque (cardiomyopathie), formes de myocardites qui mènent à des défaillances cardiaques.

Développer des “êtres humains durables” pour “sauver la planète”

La China National GeneBank (CNGB) a publié une vidéo éducative particulièrement dérangeante dans laquelle elle affirme que “l’évolution de l’être humain a accéléré l’extermination des espèces”. Fondée en 2016, la CNGB est la plus grosse banque de données génétiques mondiale, archivant des milliards d’échantillons d’ADN humaine ainsi que les génomes de toutes les espèces biologiques vivantes connues et entités non-vivantes, incluant les virus.

Beaucoup d’entre nous sont familiers avec le terme “d’agriculture durable” ou de “viande à source durable”. “Durable” est un terme typiquement utilisé par décrire une source d’énergie ou de nourriture. Les animaux sont élevés de manière durable en accord avec de meilleures pratiques environnementales et certaines “viandes durables” sont simplement fabriquées en laboratoire utilisant des cellules fœtales et des matériaux synthétiques de plusieurs espèces.

La vidéo éducative de la CNGB affirme que les êtres humains vont causer l’extermination de toutes les espèces, incluant nous-mêmes, si nous ne sommes pas mieux contrôlés au travers de modifications génétiques et de la numérisation de nos gènes.

Ce clip vidéo de 100 secondes de la CNGB est perturbant à bien des niveaux

[voir le clip sur l’article original, en anglais]

Une quête globale devant être FAITE PAR TOUS et PROPRIETE DE TOUS (mais pas nous)

La CNGB promet que la bio-numérisation de l’humanité sera “une quête globale de tout le monde, propriété de tout le monde, faite par tout le monde et partagée par tout le monde.” La CNGB n’est pas effarouchée sur la mise en lumière de ses partenariats avec la FDA, des universités américaines et des entreprises américaines de Biopharma (U.S. Biopharma companies.)

Deux choses à faire remarquer ;

1. TOUS se réfère au complexe mondial industriel bio-pharmaceutique et non pas aux citoyens du monde.
2. En temps et en heure, la Chine affirmera sa possession de toutes formes de vie, incluant les vies humaines, qui ont été modifiées par la propriété intellectuelle génétique de sa banque nationale génétique.

La Chine vise à contrôler et posséder les données génétiques de tous les citoyens du monde globalisé

La Chine a non seulement un historique de voler les données et la propriété intellectuelle des entreprises et universités américaines, mais sous les règlementations de recherche sur le génome humain chinoises, le transfert de la recherche et des biens de biotechnologie américaine (comme par exemple tous les échantillons collectés d’ADN des Américains), au gouvernement chinois et/ou à une entreprise basée en Chine, est la loi.

L’agence Reuters vient de rapporter que WuXi (l’associé chinois de Pfizer dans la fabrication de l’ARNm COVID-19) venait juste de partager des données et des IP depuis un associé américain tenu secret et l’armée chinoise et, “que certaines entreprises chinoises de biotechnologies contribuent technologiquement ou par la recherche et le développement, à leur utilisation par l’armée chinoise.”

Il y a du fric à faire dans chaque guerre, y compris la BioRévolution

D’après le rapport du congrès de 2020 sur la Chine et les Etats-Unis (2020 US-China Congressional Report,), la République Populaire de Chine a utilisé les tests RT-PCR de la COVID-19 pour collecter des échantillons d’ADN de millions d’Américains et de bien plus de civils dans quelques 180 nations du monde, essentiellement par la génomique BGI. L’ADN de milliards d’êtres humains et de toutes formes biologiques vivantes est collectée, stockée, archivée, analysée, numérisée et possédée en propre par la  China National GeneBank.

Ce rapport cite spécifiquement qu’en plus des données génétiques humaines, la Chine utilise des technologies de synthèse et de transformation génétiques, de biologie de synthèse et d’IA ayant pour objectifs de mener la “BioRévolution” aussi bien que de commettre des crimes contre l’humanité, incluant la surveillance biométrique des populations et le développement de toujours plus virulentes armes biologiques. (NdT : pouvant aujourd’hui sans doute être ciblées sur des ADN  particulières…)

La Chine veut avoir le contrôle total sur l’existence de l’humanité

La CNBG promet de numériser toutes formes de vie, incluant la vie humaine, d’assurer que les humains puissent être génétiquement modifiés et “sourcés” de telle façon que cela n’endommagera pas l’environnement. En d’autres termes, une fois que la Chine et les autres “leaders” mondiaux auront brevetée et modifié génétiquement toutes les formes de vie, la Chine aura le contrôle total sur l’existence de l’humanité… ou sur son extinction.

La BioRévolution de la Chine cherche à éliminer les droits de l’Homme

Dans un rapport du congrès de 2020, des experts d’agences gouvernementales et de l’armée américaine avertissent que l’adoption de la vision du Parti Communiste Chinois (PCC) d’acquérir un pouvoir non restreint sans aucun regard pour les droits de l’Homme, éliminerait globalement l’existence de la gouvernance libérale et des libertés, ainsi que de la vie humaine telle qu’on la connait, déclarant : “Le gouvernement chinois façonne et subvertit le système de gouvernance international pour que celui-ci s’aligne sur les principes de Pékin, qui sont à l’opposé des valeurs universelles et des droits individuels. Il désire que les autres pays acceptent sinon louent son modèle de gouvernance autoritaire de parti unique, comme étant une alternative supérieure à la démocratie libérale et cherche à exporter des éléments de ce modèle. Si Pékin (le PCC) réussit à normaliser ses vues de gouvernance, le résultat pourrait miner et amenuiser les droits individuels dans le monde entier.”

Le renseignement américain se fait l’avocat de la rénovation du gouvernement et de la loi en soutien de Pékin et de la BioRévolution

En avril 2020, la Dr Tara O’Toole a recommandé aux agences de renseignement américaines “Nous commencerons éventuellement à penser et plus tôt qu’on ne le pense, à l’amélioration de l’humain. Et comme je l’ai dit, l’agriculture et la nourriture vont être un gros point de focalisation dans le futur. Je voudrais suggérer, alors que nous réimaginons et revigorons le gouvernement américain et la sécurité nationale en rapport à l’émergence de la pandémie COVID-19, nous devons résister à être cyniques et désespérés. Nous devons prendre nos responsabilités de leadership et de citoyenneté mondiale sérieusement. Et nous devons faire attention de ne pas souffrir de nouveau, dans cette crise nationale, d’un échec de notre imagination. La biologie synthétique, les biotechnologies sont le futur.”

Les Américains défendront-ils notre souveraineté dans la guerre de la BioRévolution ?

L’histoire a archivé que trois guerres ont été combattues sur le sol américain pour défendre la souveraineté nationale (NdT : allons, allons Karen… Le “sol” américain est terre native, volé et pillé aux Amérindiens qui ont été génocidés par millions. Belle foutaise que tout ça ! mais bon, ce n’est pas le sujet ici, convenons-en…), les libertés civiles et les droits de l’Homme (NdT : encore une fois… après avoir massacré par millions les natifs de la terre… foutaise !) et que les soldats américains ont combattu dans deux guerres mondiales pour protéger les droits humains de nations étrangères (NdT : merde… vaut mieux lire ça que d’être aveugle hein ?…). Les archives historiques montreront-elles que le peuple américain est tombé dans la 3ème guerre mondiale (la BioRévolution) parce que les Américains se sont soumis passivement ainsi que leurs libertés à un régime autoritaire, sans même essayer de défendre leurs libertés, leurs droits humains et l’autonomie de leurs corps ? Ou les Américains vont-ils s’unir et défendre non seulement leurs droits, mais la préservation et le fleurissement de la vie humaine telle que nous la connaissons ?

“Sous-estimer l’intention de Pékin de réviser l’ordre international fondé sur ses capacités actuelles risque de retarder une réponse jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour préserver l’ordre libéral international qui a permis à l’humain de se développer de manière unique ainsi que ses libertés les derniers trois-quarts de siècle.” (NdT : faut vraiment être biaisé et politiquement aveugle pour voir les choses de cette façon… Les 75 dernières années de l’histoire de l’humanité n’ont fait que toujours plus éroder les libertés individuelles et collectives au profit d’une oligarchie et d’un système tout puissants. Pas plus de démocratie que de beurre en branche… L’illusion démocratique bat son plein depuis des lustres…)
– Commissioners, U.S.-China Security Review, December 2020

= = =

Voir notre dossier “Nanotechnologie, menace #1 pour l’humanité”

Lire aussi notre article “Depuis 7 centres de recherche médicale japonais : les dangers des transfusions sanguines et des transplantations utilisant des injectés ARNm”

et « Confessions d’une nanoparticule synthétique »

Voir notre article : “Alerte maximale : J-57 pour la validation du traité pandémie de l’OMS, porte ouverte à la dictature mondiale sous couvert de terreur (nano)biotechnologique”

Notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité », page mise à jour depuis 2019

“SRAS-CoV-2 / COVID19, l’attaque nano-biotechnologique sur l’humanité depuis 2019” (Compilation PDF de nos traductions des recherches de Karen Kingston)

Rappelons une fois de plus ici, y compris pour Karen Kingston qui, si elle est pointue dans ses recherches et merci à elle pour le boulot abattu, n’a en revanche quasiment pas de vision politique et ne comprend toujours pas qu’…

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

le terrorisme nano-biotechnologique…
Le danger #1 auquel doit aujourd’hui faire face l’humanité !..

La nanotechnologie danger #1 pour l’humanité : des nanoparticules d’oxyde de graphène dans les injections armes biologiques anti-COVID et le mensonge sur leur sécurité (Karen Kingston)

Il doit devenir de plus en plus clair pour les gens informés, que la nanotechnologie est aujourd’hui le fléau #1 de l’humanité. Les nanoparticules, hydrogels, sont partout, dans notre nourriture, dans nos boissons, dans nos textiles, dans nos médicaments (injections inclues : « vaccins », anesthétiques, antibiotiques IV etc…), dans l’air et les sols (retombées chemtrails depuis des décennies, les morgellons ne sont pas nouveaux et sont maintenant expliqués…). La Chine est le plus gros fabriquant mondial d’hydrogels, PEG nanotech et incidemment est aussi l’usine du monde, coïncidence ?..
Prise de conscience => Réflexion => Action directe collective (commençant par le boycott des produits manufacturés)
~ Résistance 71 ~

Des nanoparticules d’oxyde de graphène sont présentes dans les injections anti-COVID19, un nouveau rapport déclare qu’elles sont inoffensives pour les humains… Ils mentent !

Analyse de Karen Kingston sur les Dr Peter et Ginger Breggin

5 mars 2024

Source : https://karenkingston.substack.com/cp/142300209

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

En mars 2023, j’ai mis au grand jour le document interne de recherche et de développement SBDD de Pfizer qui confirmait l’utilisation d’oxyde de graphème (OG) dans les injections Pfizer à nanoparticules ARNm dans une émission du Stew Peters Show. Des attaques tentant de discréditer ma trouvaille vinrent non seulement des médias de masse (comme par exemple du canard USA Today) mais aussi de leaders et d’influenceurs de Medical Freedom. Dans le film Final Days, j’ai expliqué comment l’industrie serait en fin de compte incapable de masquer l’ubiquité d’utilisation de l’OG et que les audiences commenceraient à percevoir des informations disant que l’OG est “bon pour vous”. Le couple Breggin est au top de cette nouvelle vague de lavage de cerveau de l’humanité pour faire croire qu’une substance hautement toxique est quoi qu’il en soit merveilleusement bonne pour vous.

 https://karenkingston.substack.com/p/pfizer-trade-secret-covid-19-mrna – Karen Kingston

SciTechDaily appelle les nanoparticules d’oxyde de graphène un “matériau merveilleux” qui est maintenant “vérifié sûr” pour le corps humain dans une nouvelle recherche [1]. Le magazine déclare même en caractère gras que l’OG est “un nanomatériel révolutionnaire qui a un énorme potentiel pour résoudre des défis globaux et que cela pourrait être développé plus avant sans risque aigü pour la santé humaine, suggère la recherche.”

^{Imaginez que les nanoparticules d’OG sont “sans risque aigü pour la sant}é ^{humaine”. Ceci sugérerait donc que ce serait inoffensif dans les vaccins, du moins sur le court terme (en référence au terme “aigü”). Le complexe militaro-medico-industriel semble décidé à prouver que l’OG et ses nanoparticules sont sûrs, peut-être parce que des recherches critiques les ont découvertes cachées dans les “vaccins” anti-COVID.[2]}

Les défenseurs des nanoparticules d’OG sont handicapés en ce qui concerne leur affirmation de sécurité les concernant parce que bon nombre d’études remontant des années en arrière, trouvent que l’OG et les nanoparticules en général, sont détrimental à de multiples organes du corps, aux cellules et même à la vie même au travers tout le spectre des espèces vivantes sur la planète.

La recherche actuelle[3] qui a supposément prouvé la sécurité de nanoparticules d’OG inhalées fut publiée dans la revue Nature Nanotechnology en 2024. Elle rapporte et réfute l’importance de leurs propres trouvailles : que le sang des volontaires qui ont inhalé la nanoparticules de graphène coagulait, formait des caillots de manière consistante (thrombose) quand il passait et était pris dans les artères de gens ayant une maladie cardiaque pré-existante.

Voici ceux que les scientifiques de la recherche eux-mêmes ont conclus :

L’amplitude d’une plus grande thrombogénèse après exposition à l’OG (nanoparticules) fut relativement moyenne et pourrait potentiellement être de conséquence limitée, même chez des patients ayant une maladie cardiaque pré-existante. Quoi qu’il en soit, nous recommandons que la caractérisation du potentiel de thrombogénèse soit inclue dans des modèles expérimentaux utilisés pour développer des évaluations de risque pour les matériaux de graphène qui pourraient être à plus haut risque, ou de considérer des scénarios de plus grande exposition à la substance.

Les auteurs n’ont aucun droit de tirer des conclusions si bénignes, déclarant que ce serait sûr “même chez des patients ayant une maladie cardiaque pré-existante”. Comme noté ci-dessus, les signes de danger sont provenus de test sanguin des volontaires qui avaient inhalé l’OG, sang pris dans les artères de patients ayant des conditions cardiaques préalables. La conclusion devrait logiquement être que cela est spécifiquement dangereux chez des patients ayant une maladie cardiaque pré-existante. 

Vu l’émergence de ce risque dans une petite population humaine de cette étude, aucune autre étude humaine et aucune utilisation commerciale par inhalation de nanoparticules de graphène ne devraient être autorisées jusqu’à plus ample évaluation du risque sur population animale.

Pour ajouter à ces préoccupations, la thrombose est un des résultats tragiques des injections génétiques soi-disant “anti-COVID”, qui inocule des nanoparticule d’OG dans les cellules et le sang ainsi que dans le matériel génétique.

La corruption totale de la science aujourd’hui fait que celle-ci est complètement faussée et qu’il est impossible de lui faire confiance ; dans ce cas, qu’on lise un commentaire dans une revue scientifique ou qu’on lise la recherche elle-même.

nanostructure auto-assembleuse d’oxyde de graphène

Résumé des limites de l’étude

Ironiquement, l’étude est largement très inutile et sans valeur sauf pour l’avertissement (si c’en est un…) au sujet des dangers de formation potentielle de caillots par les nanoparticules d’oxyde de graphène :

(1) L’étude n’impliquait que 14 volontaires de la santé, ce qui la rend virtuellement inutile comme preuve pour la sécurité générale, cela prendrait bien plus de sujets que les 14 impliqués, de préférence des milliers de sujets pour évaluer la sûreté d’une substance potentiellement dangereuse, de surcroit déjà disséminée dans le public au grand large. Mais le problème de coagulation et de formation de caillot fut trouvé dans un nombre statistiquement significatif de ces 14 volontaires, ce qui fait de cette étude quelque chose qui devrait être alarmant et devrait induire un signal valide initiant plus la crainte que l’optimisme…

(2) Les auteurs se vantent que ceci constitue la première étude répertoriée de ce genre et pourtant ils sautent à la dangereuse conclusion sur la sécurité de l’OG et ses nanoparticules.

(3) Les auteurs admettent que leurs nanoparticules d’OG sont bien plus “propres” ou “pures” que celles utilisées en usage commercial, ce qui rend l’étude encore moins valide dans un contexte d’utilisation en circonstance réelle de vie.

(4) Les auteurs ignorent largement la vaste littérature scientifique déjà existante sur les dégâts causés par les nanoparticules d’OG et les nanoparticules de manière générale sur les êtres vivants, incluant les mammifères.

Une recherche antérieure tire l’alarme sur les dangers

^{Une revue datant de 2016 sur les “nanomatériaux de la famille du graphène” (NFG) ayant 240 citations scientifiques venant à des conclusions unanimes au sujet de leur sécurité, citant de nombreux mécanismes de blessures[4] :}

Cette revue collecte et compile des études sur les effets toxiques des NFG dans plusieurs organes et cellules. Nous faisons aussi remarquer que des facteurs variées déterminent la toxicité des NFG… De plus, plusieurs mécanismes typiques minimisant la toxicité du NFG ont été révélés, par exemple, la destruction physique, le stress oxydant, les dommages à l’ADN, la réponse inflammatoire, l’apoptose, l’autophagie et la nécrose… le stress oxydant joue un rôle crucial dans ces voies.

Ils notent que les études sur les poumons sont comparativement plus disponibles et ont des résultats terrifiants :

En conclusion, les blessures aux poumons induites par les NFG ont été étudiées dans plusieurs recherches dont les résultats ont démontré une infiltration inflammatoire des cellules, des œdèmes pulmonaires et la formation de granuloma dans les poumons.

Ils notent aussi que les dangers de l’oxyde de graphène n’ont pas été bien étudiés dans d’autres organes :

Mais seulement quelques études spécifiques ont évalué dans d’autres organes, comme le foie, la rate et les reins ainsi que les symptômes des blessures… Les autres manifestations comportementales n’ont pas été étudiées. La toxicité développementale des NFG peut induire des anormalités structurelles, un retard de croissance, des anomalies de comportement et fonctionnelles et même la mort… Mais, basé sur les études d’autres toxicités de nano-matériaux, l’exposition à long terme aux NFG peut être un facteur important de détérioration de la santé (3 citations). Ainsi donc, une étude à long terme des NFG est nécessaire.

^{Une étude en profondeur de septembre 2022 de la littérature scientifique sur la toxicité de l’OG a conclu :[5]}

Une caractéristique qui a besoin de plus d’attention est la toxicité ; il a été découvert que la concentration d’OG affecte le niveau de nocivité physiologique, ce qui restreint son utilisation dans le domaine de la médecine. Il a été trouvé que pour beaucoup d’espèces animales, l’OG a montré une nature cytotoxique (NdT : c’est à dire de toxicité pour les cellules) Ceci est un des aspects qui a besoin d’être bien plus étudié. L’OG peut être mis en fonction de manière assez facile. Il est donc nécessaire de faire des recherches plus poussées afin de réduire sa toxicité.

^{Une étude de 2024 a revu l’effet toxique de toutes sortes de nanoparticules. Utilisant les nematodes comme modèle animal, les chercheurs ont trouvé que le vieillissement était une conséquence fâcheuse.[6]}

Le graphène et autres nanoparticules entrent dans les cellules du corps et peuvent produire des dégâts sur une grande variété de mécanismes rarement étudiés. De manière plus spécifique, des études ont déjà documenté que l’OG et les nanoparticules d’OG sont potentiellement hautement dangereuses pour les êtres humains.

Résumé et conclusion

L’étude scientifique que nous avons discuté qui a utilisé 14 volontaires soumis à l’inhalation de nanoparticules d’OG nous donne en fait de sérieux avertissements sur l’augmentation de la formation de caillots sanguins mais l’annonce de l’article et l’article lui-même affirment démontrer la sécurité et la sûreté de l’oxyde de graphène. Dans le même temps des nanoparticules d’OG sont trouvées dans notre environnement et grâce aux “vaccins” génétiques anti-COVID [7-8], dans nos cellules et notre circulation sanguine.

Les implications pour les injections “vaccins” COVID

^{En ce qui concerne les “vaccins” génétiques anti-COVID, pour de multiples autres raisons également, ils auraient du être stoppés quelques jours après leur mise en service. De fait, l’injection Johnson & Johnson fut retirée des Etats-Unis à cause de 9 décès par thrombose (caillots)[9], alors que les injections à ARNm continuent d’être promues malgré plus de 18 000 rapports de décès au CDC et au système de rapport VAERS de la FDA au 26 janvier 2024.[10]}

Comme nous l’avons documenté dans notre livre “COVID-19 et les prédateurs globalistes”, le gouvernement a endorsé les injections mortelles Pfizer et Moderna parce qu’elles furent choisies dès 2010 par Bill Gates comme ses investissements préférés sur les “vaccins”. Potentiellement, des centaines d’autres vaccins furent mis hors marché parce que le gouvernement a favorisé le choix de Gates.

Personne ne devrait se faire injecter de ces “vaccins” génétiques. De manière générale, chacun de nous doit être en alerte et préoccupé du fait que nous sommes inondés de nanoparticules et de nanotechnologie ayant de graves conséquences potentielles sur l’humanité, maintenant et dans un futur prévisible.

NdR71 : Nos l’avons déjà dit et le répétons ici, car l’opportunité est superbe : la diffusion ACTUELLE tout azimut de NANOPARTICULES dans la nourriture, les textiles, l’eau, les produits cosmétiques, les médicaments / “vaccins”, les boissons, les produits agro-alimentaires de grande distribution, sans que jamais on ne nous ait demandé notre avis bien entendu, est LA PLUS GRANDE MENACE A LAQUELLE DOIT FAIRE FACE L’HUMANITE AUJOURD’HUI. Nous devons stopper cet empoisonnement généralisé maintenant ! La vie sur terre est directement menacée par ces Dr Mabuse de la pseudo-science, véritable eugénisme. Ils sont en train de tester à l’échelle planétaire la fusion de l’humain et de la machine, sachant que des milliards mourront et espérant apprendre des défauts pour corriger et appliquer la technologie perfectionnée (un délire total…) pour un transhumanisme de l’oligarchie. Le mythe de la fontaine de jouvence est vivace et tenace, (re)voir “Metropolis” de Fritz Lang, ce n’est pas nouveau. Nous sommes nombreux, ils sont peu… La nanotechnologie est une arme de destruction massive de l’humanité, déployée à l’échelle planétaire par des psychopathes pour éradiquer la nature même et tout contrôler. Il suffit de dire NON !… Ensemble et tout s’arrête ! C’est aussi simple que ça, mais comprenez qu’il n’y a pas de solution au sein du système et ne saurait y en avoir. Il faut en sortir et nous organiser, il en va de la survie de l’humanité ni plus ni moins ! Qu’on se le dise car nous n’avons plus beaucoup de temps avant qu’il ne soit trop tard !

L’auteur principal de cet article est Peter R. Breggin, docteur en médecine

References:

¹ https://scitechdaily.com/wonder-material-graphene-verified-safe-in-groundbreaking-human-study/

² Here is the actual Pfizer document that mentions graphene oxide on page 7:  125742_S1_M4_4.2.1-vr-vtr-10741.pdf (phmpt.org). Here is an article discussing it: FDA confirms Graphene Oxide is in the Covid-19 Vaccines | Principia Scientific Intl. (principia-scientific.com).   One scientist has identified  it in all 4 vaccines:  Dr. Robert Young Finds Graphene Oxide in All Four Vaccines and Other Disturbing Ingredients | The Liberty Beacon. Also see:   https://d6scj24zvfbbo.cloudfront.net/f70819d756ae5bccc8a997b74aa0253a/200000404-ccb3dccb40/Dr-CAMPRA_DETECTS_GRAPHENE_IN_COVID19_VACCINES.%20NotOnTheBeeb.co.uk.pdf?ph=995abaf71c

³ Andrews, J.P.M., Joshi, S.S., Tzolos, E. et al. First-in-human controlled inhalation of thin graphene oxide nanosheets to study acute cardiorespiratory responses. Nat. Nanotechnology. (2024). https://doi.org/10.1038/s41565-023-01572-3.    First-in-human controlled inhalation of thin graphene oxide nanosheets to study acute cardiorespiratory responses | Nature Nanotechnology

⁴ Ou, L., Song, B., Liang, H. et al. Toxicity of graphene-family nanoparticles: a general review of the origins and mechanisms. Part Fibre Toxicol 13, 57 (2016). https://doi.org/10.1186/s12989-016-0168-y  https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0013935124000100

⁵ Yadav S, Singh Raman AP, et al. An Update on Graphene Oxide: Applications and Toxicity. ACS Omega. 2022 Sep 28;7(40):35387-35445. doi: 10.1021/acsomega.2c03171. PMID: 36249372; PMCID: PMC9558614. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9558614/

⁶ Evaluating the adverse effects and mechanisms of nanomaterial exposure on longevity of C. elegans: A literature meta-analysis and bioinformatics analysis of multi-transcriptome data – ScienceDirect

⁷ BREAKING: FDA confirms Graphene Oxide is in the mRNA COVID-19 Vaccines after being forced to publish Confidential Pfizer Documents by order of the US Federal Court – The Expose (expose-news.com)

⁸ Graphene oxide as novel vaccine adjuvant – ScienceDirect

⁹ FDA puts the brakes on J&J vaccine after 9th clotting death reported | Ars Technica

¹⁰ COVID Vaccine Data – OpenVAERS

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Lire notre page mise à jour depuis 2019 : “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

“SRAS-CoV-2, injections ARNm, l’attaque nano-biotechnologique contre l’humanité depuis 2019” (compilation PDF de nos traductions de Karen Kingston)

« Confession d’un nanoparticule synthétique » (à lire et diffuser sans modération…)

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Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

Nanotechnologie – nanoparticules : Fléau du XXIème siècle

Le terrorisme de la science/technologie détournées

Le danger #1 actuel pour l’humanité : la nanotechnologie ! Des nanopolymères auto-assembleurs trouvés dans les placentas… Contamination accrue depuis le déploiement des armes biologiques COVID-19 (Dr Ana Milhacea & Karen Kingston)

Ceci était suspecté depuis longtemps et affirmé par certains experts résistants, mais nous avons maintenant la preuve conclusive de l’attaque nano-techno-biologique menée contre l’humanité depuis en fait bien avant 2019. La date phare de 2019 et du déploiement de la nanotechnologie de guerre contre l’humanité connue sous le nom de « COVID-19 » n’est en fait que la phase 2 d’une opération débutée il y a des décennies avec la géoingénierie et la diffusion aérosol de toxines, métaux et nanotechnologie en tout genre.
Il n’y a pas et ne saurait y avoir de solutions au sein du système, tout doit être démonté et reconstruit pour servir l’humanité et non pas une « élite » eugéniste auto-proclamée en mission d’établissement d’un fascisme planétaire supranational.  La 3ème guerre mondiale a commencé il y a bien longtemps, elle n’implique ni les Russes, ni les Chinois, mais l’oligarchie marchande transnationale contre les peuples du monde. Aujourd’hui, les preuves sont là ! Suffit de VOULOIR savoir pour pouvoir ensuite agir en conséquence, ensemble, car c’est UNIS que nous en sortirons.
~ Résistance 71~

Une nouvelle étude clinique trouve des nanoparticules de polymères plastiques auto-assembleur dans le placenta de femmes enceintes

Dr Anna Maria Milhacea, docteur en médecine

2 mars 2024

Source : https://karenkingston.substack.com/cp/142248795

Original : https://anamihalceamdphd.substack.com/p/damning-new-research-study-finds

~ Traduit d l’anglais par Résistance 71 ~

“Tandis que la majorité des ‘leaders” mondiaux prétendent que la nanotechnologie n’existe pas, l’industrie da la nanotechnologie de biologie synthétique est en train d’intégrer subrepticement toutes les formes biologiques de la planète avec des matériaux inorganiques, ceci incluant nous les humains. La Dr Ana Mihalcea partage une information récente en ce qui concerne l’ubiquité croissante de la technologie à nanoparticules que l’on trouve dans le corps humain. Une nouvelle étude a trouvé des nanoparticules plastiques dans tous les placentas qui ont été testés… […]”- Karen Kingston

L’article commence par décrire ce qui a été une véritable explosion des trouvailles de nanoparticules de polymères auto-assembleurs dans les placentas de femmes enceintes. La surprise est que ce fut il y a trois ans… que s’est-il passé à cette époque où ces polymères auto-assembleurs furent déployés ?

Cela fait plus de trois ans que des scientifiques trouvèrent en premier lieu des microplastiques nageant dans quatre différents placentas humains et il s’avère que cela ne fut en fait que la partie émergée de l’iceberg.

Quelques années plus tard, au début de 2023, des chercheurs ont annoncé qu’ils avaient trouvé des particules microscopiques de déchet plastique dans pas moins de 17 placentas. A la fin 2023, une étude locale de Hawaï analysa 30 placentas qui furent donnés entre 2006 et 2021 et l’étude trouva que la contamination par plastique a considérablement augmenté dans le temps.

Ceci pourrait-il avoir un rapport avec les quelques 40 millions de tonnes de produits chimiques et métaux toxiques vaporisés par an dans des opérations de géoingénierie militarisées sous couvert de lutte climatique ? Et qu’en est-il de l’augmentation de la quantité trouvée après le déploiement de l’arme biologique des injections “anti-COVID-19”, à la fois de l’hydrogel Quantum Dot synthétique mimiquant un virus, nanoparticule appelée “virus COVID” et les injections arme biologique soi-disant anti-COVID-19 ? Rappelez-vous mes publications demandant que des analysees à chromatographie à gaz liquide soient faites sur les flacons contenant l’arme biologique COVID-19 et qu’ils y trouveraient des microplastiques alias polymères nanotechnologiques à auto-assemblage, comme l’a depuis montré l’étude qui m’a été donnée par Todd Callender ?

Une analyse des vax C19 montre des douzaines de phtalates toxiques, qui ont été associés avec des perturbations endocriniennes et des décès par maladies cardiaques :

C19 Vax Analysis Shows Dozens Of Toxic Phthalates That Have Been Associated With Endocrine Disruption And Death From Heart Disease

Les chercheurs continuent de décrire ce qu’ils ont trouvé dans le placenta :

Utilisant une nouvelle technique, les chercheurs ont maintenant identifié de toutes petites particules et des fibres de plastique bien plus petites qu’un micron, dans le plus gros échantillon de placenta. Dans tous les 62 tissus de l’échantillon étudiés, l’équipe de chercheurs a trouvé des microplastiques en concentrations variées, ce dans chacun d’entre eux. Ces concentrations variaient de l’ordre de 6,5 à 685 mcg par gramme de tissus, ce qui est bien plus élevé que les niveaux trouvés dans la circulation sanguine humaine.

Laissons cela décanter pour un moment. Pour un gramme de tissus de placenta, il y avait 685mcg de plastique polymère. Et ceci a augmentée après le déploiement des injections arme biologique anti-COVID à partir de 2020. Imaginez un moment, la concentration qui s’appliquerait dans un corps adulte de 70kg…

Notez que la nanotechnologie aérosol appelée “virus COVID-19” est très similaire à la nanotechnologie d’hydrogel auto-assembleuse comme les injections “anti-COVID19”. J’ai démontré cela depuis 2022 dans des analyses de sang vivant.

Il y a un espoir : l’EDTA chelation marche pour désintoxiquer et qu’est-ce que la COVID véritablement ? (Article annexe en anglais) : THERE IS HOPE – EDTA CHELATION WORKS and What Really IS COVID???

Et quels polymères (plastiques) ont-ils trouvé dans les placentas ? Et bien les mêmes trouvés par le chercheur Clifford Carnicom et par moi-même. Polyéthylène (qui est une des formes prises par le polymère de nanoparticule lipidique NPL du COVID19 en polymère polyéthylène glycol), alcool polyvinyl qui est du plastique, du nylon (qui est une protéine polyamide).

Rappelez-vous que le chercheur Clifford Carnicom et moi-même avions trouvé ces mêmes polymères dans le sang de personnes injectées et non-injectées anti-COVID ainsi que dans les CAILLOTS D’APPARENCE CAOUTCHOUTEUSE des décédés après injections anti-COVID19…

Nous avons aussi trouvé du silicone, qui est partie d’une nanotechnologie de capteur biologique.

Polyamide = Nylon, Polyene = Polyethylene, Vinyl = Polyvinyl Alcohol

« Dans certaines applications, la petite molécule est une toxine ; dans d’autres, la toxine provient d’une arme chimique, un agent de guerre biologique ou un agent environnemental dangereux. » (extrait du brevet pour la nanotechnologie vaccinale, traduction R71)

Est-ce une coïncidence de plus que l’analyse microscopique de ces filaments trouvés dans les placentas sont exactement ce que nous voyons maintenant dans le sang de tout le monde ? Notez qu’ils ont aussi trouvé du silicone et des métaux, ce dont j’ai abondamment discuté récemment. Visionnez mon entretien sur SGT pour les détails de l’affaire :

Vidéo :

THE MOST DEADLY PRODUCT IN THE HISTORY OF MANKIND – My Interview On SGT Report

Voici le détail des trouvailles des placentas et des polymères ainsi que du silicone trouvés :

Quantitation and identification of microplastics accumulation in human placental specimens using pyrolysis gas chromatography mass spectrometry

Se pourrait-il que cette nanotechnologie auto-assembleuse qui a été en premier lieu déployée avec les tristement célèbres morgellons via les épandages de géoingénierie (NdT : les chemtrails ou traînées chimiques qui ne sont pas les traînées de condensation des avions ou “contrails”) et l’analyse chimique faite par Harald Kautz montrant les filaments de polyéthylène, ait quelque chose à voir avec ces “microplastiques” qu’on trouve dans les placentas congelés contenant certains polymères depuis 2006 ?

Le Dr Hildy Staninger, toxicologue, a trouvé des protéines polyamides, qui sont des nylons, dans son analyse de puces électroniques cérébrales et filaments de nanotechnologie auto-assembleuse parmi les malades de la maladie de morgellons et les individus ciblés pour implants cérébraux depuis 2011.

GLOBAL BRAIN CHIP AND MESOGENS Nano Machines for Ultimate Control of False Memories – Computer System For Collective Mind Control

Se pourrait-il que l’augmentation extrême de la quantité de polymères auto-assembleurs trouvés dans les placentas ait quelque chose à voir avec le déploiement de l’arme biologique COVID19 et injections affiliées ? Qu’a dit Bill Gates ? Écoutez ce petit clip de Maria Zee, extrait de notre dernier entretien :

[voir dans l’article original]

Ceci est le brevet que Bill Gates explique et que Karen Kingston discute, il se trouve qu’il y a dans ce brevet technologique un agent de guerre biologique, une toxine chimique ou un agent dangereux pour l’environnement (les morgellons ?) :

[voir dans l’article original]

Notez bien le terephtalate polyéthylène. Les phtalates sont des assouplissants plastiques utilisés dans les plastiques polyvinyle et peuvent être des produits de décomposition d’autres polymères. Tous ces polymères ci-dessus sont listés en tant que nanoparticules invisibles dans le brevet de Moderna :

[voir dans l’article original]

Ici on voit les phtalates qui sont des produits résultant des polymères sus-mentionnés et trouvés dans les fioles d’injections “anti-COVID19” de Pfizer, info qui m’a été fournie par Todd Callender :

[voir dans l’article original]

Ici, l’analyse de Harvard sur des filaments morgellons montrant des polymères terephtalates :

Ici, le polymère auto-assembleur trouvé dans des tissus de placenta avec en plus grande quantité de polyéthylène, de polyvinyle et de nylon, ce que Clifford Carnicom et moi-même avons préalablement mentionné :

[voir dans l’article original]

Les mêmes polymères ont aussi été trouvés dans le myocarde et pericardium depuis le déploiement des injections arme biologique anti-COVID, ceci intégrant littéralement le muscle cardiaque. Il est évident que cela soit corréler avec les incidences de myocardite en excès depuis les injections “anti-COVID”.

Humans Turning Into Cyborgs: Scientific Article On « Detection of Various Microplastics in Patients Undergoing Cardiac Surgery »

Et rappelez-vous que Karen Kingston a expliqué depuis 2021 que la protéine spike dont parle les médecins est une technologie qui n’est pas produite par une transcription inversée par ARNm, ce qui explique pourquoi en fait nous n’avons pas trouvé d’ARNm dans les fioles de “vaccins” COVID19. La protéine spike est un engin fabriqué qui change de configuration avec des champs électriques extérieurs.

Comme la protéine spike est transportée par un hydrogène polymère Quantum Dot, comme l’a expliqué le directeur du NIH, le Dr Francis Collins :

NIH Directors Blog: Speeding COVID-19 Drug Discovery with Quantum Dots

Ceci une fois de plus corrobore ce que Clifford Carnicom et moi-même avions trouvé , induisant l’auto-assemblage de ces armes biologiques technologiques via des champs électriques modérés :

Unvaccinated Blood Unrecognizable After Application Of Low Level Electrical Current And Structures Rapidly Grow – Clifford Carnicom’s Findings Confirmed

Ce que les scientifiques dans la littérature insistent à appeler des microplastiques, supposément parce qu’on utilise trop de plastique et pollue l’environnement, est en fait une nanotechnologie d’auto-assemblage qui a été déployée dans des opérations de guerre de géoingénierie d’abord pour la transformation de la biosphère terrestre et ensuite cette technologie fut perfectionnée en une poussière intelligente de technologie de surveillance avec maintenant l’arme biologique diffusée par le COVID19 d’une interface neuro-informatique et la fusion de l’être humain avec une biologie synthétique.

Le taux de survie à long terme d’un être humain composé de polymères plastiques se répliquant indéfiniment n’est pas bien haut à mon avis, car ces toxines causent un dysfonctionnement endocrinien et un stress oxydant très important voire extrême, ainsi donc voyons-nous un processus de vieillissement accéléré, des turbo-cancers et autres. Et oui, les gens se transforment aussi en cyborg à une vitesse alarmante.

J’ai écrit de manière extensive sur le pourquoi nous devrions utiliser les antidotes documentés dans les brevets afin d’empêcher l’auto-assemblage et empêcher de fonctionner les blocs de construction technologique internes.

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Lire notre page mise à jour depuis 2019 : “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

« SRAS-CoV-2 / COVID et injections ARNm, l’attaque biologique contre l’humanité depuis 2029 » (compilations de traductions de recherches de Karen Kingston)

C’EST L’ÉTAT ASSOCIÉ A LA MARCHANDISE TRANSNATIONALE ORGANISÉE…