Nano-biotechnologie : fléau #1 de l’humanité ou l’enfumage total de la « BioRévolution » (Karen Kingston)

Bien comprendre une chose essentielle en parallèle de l’article de Karen Kingston ci-dessous : si la Chine est à 100% impliquée dans cette affaire de nano-biotechnologie, elle le fait aussi 100% épaulée par l’empire, car la Chine est le « modèle » de gouvernance pour le monde décidé par l’oligarchie transnationale en place. Ne jamais oublier que si le laboratoire de recherche en armes (nano)biologiques de niveau de sécurité P4 de Wuhan a terminé l’arme biologique « SRAS-CoV-2 / COVID et ses remèdes ARNm à Nanoparticules lipidiques (NPL) », commencée entre 2006 et 2015 à l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill, pour sa diffusion dans le monde en 2020, le financement de ce labo vient de Chine, du ministère de la défense chinois, des Etats-Unis (NIH, NIAID, DoD) et de l’Union Européenne. C’est une aventure commerciale conjointe de l’oligarchie, chinoise inclue…
Au plus haut niveau de la pyramide, ils en croquent tous et la Chine est complice de la merdasse oligarchique occidentale en TOUT !! Ceci doit devenir une évidence si on veut comprendre quoi que ce soit à ce qu’il se passe…
~ Résistance 71 ~

« La numérisation de la vie va garantir le développement durable des êtres humains »

La BioRévolution de l’humanité

En utilisant des biotechnologies synthétiques, la BioRévolution va protéger l’environnement et “assurer le développement durable des êtres humains” en modifiant et en contrôlant toutes les formes de vie…

Karen Kingston

2 avril 2024

Url de l’article original :

https://karenkingston.substack.com/p/the-biorevolution-of-humanity

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

La BioRévolution utilise la biologie synthétique et les technologies de transformation génétique, comme les nanoparticules ARNm, pour modifier le génome de toutes les formes biologiques, incluant les êtres humains. La Chine mène la BioRévolution mondiale et la Banque Génétique Nationale de Chine a collecté et numérisé l’ADN de milliards de personnes dans le monde incluant des Américains (China National GeneBank (CNGB) has collected and digitized the DNA). La CNGB clame que modifier génétiquement les humains est nécessaire afin de protéger l’environnement et “d’assurer un développement durable des êtres humains” (NdT : puisqu’ils sont maintenant de simples commodités marchandes brevetables…)

D’après un rapport de 2020 d’un conseiller du renseignement américain : “La BioRévolution est vraiment fondée sur plusieurs technologies de base que je vais ici grandement simplifier. Mais tout cela est au sujet de lire,, d’écrire et d’éditer, changer le code de la vie. La biologie est essentiellement programmable. Vous pouvez altérer la séquence. Vous pouvez ajouter des gènes, vous pouvez en enlever, vous pouvez les intervertir. Cela devient très populaire… une méthode de livraison basée sur l’ARN, qui vous permet d’utiliser l’ARN comme une sorte de plateforme pour délivrer de nouveaux morceaux de séquences génétiques dans la cellule, ce qui est une inflexion changeant absolument tout au sein de la biologie synthétique. La pandémie COVID-19 permet de tester tout cela chez les humains.”

Voici quelques déclarations faites par la Dr Tara O’Toole, une des vice-présidentes de la firme In-Q-Tel (NdT : la branche de l’investissement cybernétique de la CIA, dont par exemple Google est issu…), dans une de ses présentation du renseignement sur “La biologie synthétique et la sécurité nationale : risques et opportunités” (Synthetic Biology and National Security: Risks and Opportunities, ) au Center for Strategic and International Studies(CSIS).

La nanotechnologie : fléau #1 de l’humanité

Utiliser l’ARN pour modifier génétiquement les humains

La BioRévolution utilise la biologie synthétique et les technologies de transformation génétique, comme les nanoparticules ARNm, pour modifier le génome de toutes les formes de vie biologiques, incluant les êtres humains.

Avant la COVID-19, l’utilisation des applications de biotechnologies pour changer le génome des espèces, particulièrement l’utilisation de particules ARNm ressemblant à des virus chez les êtres humains, était considérée comme des armes biologiques ou des armes de destruction massive (ADM). Une biotechnologie est classée comme ADM si la technologie peut causer des changements permanents dans le génome des espèces menant à l’extermination de cette espèce.

Saviez-vous que… les injections à nanoparticules lipidiques ARNm (NPL-ARNm) peuvent corriger, ou ajouter des gènes défaillants aux patients, induisant donc par cela artificiellement des maladies rares et handicapantes par leur effet de dégénérescence ? (.Pfizer’s mRNA lipid nanoparticle injections can correct or add faulty genes)

Comme des maladies du muscle cardiaque (cardiomyopathie), formes de myocardites qui mènent à des défaillances cardiaques.

Développer des “êtres humains durables” pour “sauver la planète”

La China National GeneBank (CNGB) a publié une vidéo éducative particulièrement dérangeante dans laquelle elle affirme que “l’évolution de l’être humain a accéléré l’extermination des espèces”. Fondée en 2016, la CNGB est la plus grosse banque de données génétiques mondiale, archivant des milliards d’échantillons d’ADN humaine ainsi que les génomes de toutes les espèces biologiques vivantes connues et entités non-vivantes, incluant les virus.

Beaucoup d’entre nous sont familiers avec le terme “d’agriculture durable” ou de “viande à source durable”. “Durable” est un terme typiquement utilisé par décrire une source d’énergie ou de nourriture. Les animaux sont élevés de manière durable en accord avec de meilleures pratiques environnementales et certaines “viandes durables” sont simplement fabriquées en laboratoire utilisant des cellules fœtales et des matériaux synthétiques de plusieurs espèces.

La vidéo éducative de la CNGB affirme que les êtres humains vont causer l’extermination de toutes les espèces, incluant nous-mêmes, si nous ne sommes pas mieux contrôlés au travers de modifications génétiques et de la numérisation de nos gènes.

Ce clip vidéo de 100 secondes de la CNGB est perturbant à bien des niveaux

[voir le clip sur l’article original, en anglais]

Une quête globale devant être FAITE PAR TOUS et PROPRIETE DE TOUS (mais pas nous)

La CNGB promet que la bio-numérisation de l’humanité sera “une quête globale de tout le monde, propriété de tout le monde, faite par tout le monde et partagée par tout le monde.” La CNGB n’est pas effarouchée sur la mise en lumière de ses partenariats avec la FDA, des universités américaines et des entreprises américaines de Biopharma (U.S. Biopharma companies.)

Deux choses à faire remarquer ;

1. TOUS se réfère au complexe mondial industriel bio-pharmaceutique et non pas aux citoyens du monde.
2. En temps et en heure, la Chine affirmera sa possession de toutes formes de vie, incluant les vies humaines, qui ont été modifiées par la propriété intellectuelle génétique de sa banque nationale génétique.

La Chine vise à contrôler et posséder les données génétiques de tous les citoyens du monde globalisé

La Chine a non seulement un historique de voler les données et la propriété intellectuelle des entreprises et universités américaines, mais sous les règlementations de recherche sur le génome humain chinoises, le transfert de la recherche et des biens de biotechnologie américaine (comme par exemple tous les échantillons collectés d’ADN des Américains), au gouvernement chinois et/ou à une entreprise basée en Chine, est la loi.

L’agence Reuters vient de rapporter que WuXi (l’associé chinois de Pfizer dans la fabrication de l’ARNm COVID-19) venait juste de partager des données et des IP depuis un associé américain tenu secret et l’armée chinoise et, “que certaines entreprises chinoises de biotechnologies contribuent technologiquement ou par la recherche et le développement, à leur utilisation par l’armée chinoise.”

Il y a du fric à faire dans chaque guerre, y compris la BioRévolution

D’après le rapport du congrès de 2020 sur la Chine et les Etats-Unis (2020 US-China Congressional Report,), la République Populaire de Chine a utilisé les tests RT-PCR de la COVID-19 pour collecter des échantillons d’ADN de millions d’Américains et de bien plus de civils dans quelques 180 nations du monde, essentiellement par la génomique BGI. L’ADN de milliards d’êtres humains et de toutes formes biologiques vivantes est collectée, stockée, archivée, analysée, numérisée et possédée en propre par la  China National GeneBank.

Ce rapport cite spécifiquement qu’en plus des données génétiques humaines, la Chine utilise des technologies de synthèse et de transformation génétiques, de biologie de synthèse et d’IA ayant pour objectifs de mener la “BioRévolution” aussi bien que de commettre des crimes contre l’humanité, incluant la surveillance biométrique des populations et le développement de toujours plus virulentes armes biologiques. (NdT : pouvant aujourd’hui sans doute être ciblées sur des ADN  particulières…)

La Chine veut avoir le contrôle total sur l’existence de l’humanité

La CNBG promet de numériser toutes formes de vie, incluant la vie humaine, d’assurer que les humains puissent être génétiquement modifiés et “sourcés” de telle façon que cela n’endommagera pas l’environnement. En d’autres termes, une fois que la Chine et les autres “leaders” mondiaux auront brevetée et modifié génétiquement toutes les formes de vie, la Chine aura le contrôle total sur l’existence de l’humanité… ou sur son extinction.

La BioRévolution de la Chine cherche à éliminer les droits de l’Homme

Dans un rapport du congrès de 2020, des experts d’agences gouvernementales et de l’armée américaine avertissent que l’adoption de la vision du Parti Communiste Chinois (PCC) d’acquérir un pouvoir non restreint sans aucun regard pour les droits de l’Homme, éliminerait globalement l’existence de la gouvernance libérale et des libertés, ainsi que de la vie humaine telle qu’on la connait, déclarant : “Le gouvernement chinois façonne et subvertit le système de gouvernance international pour que celui-ci s’aligne sur les principes de Pékin, qui sont à l’opposé des valeurs universelles et des droits individuels. Il désire que les autres pays acceptent sinon louent son modèle de gouvernance autoritaire de parti unique, comme étant une alternative supérieure à la démocratie libérale et cherche à exporter des éléments de ce modèle. Si Pékin (le PCC) réussit à normaliser ses vues de gouvernance, le résultat pourrait miner et amenuiser les droits individuels dans le monde entier.”

Le renseignement américain se fait l’avocat de la rénovation du gouvernement et de la loi en soutien de Pékin et de la BioRévolution

En avril 2020, la Dr Tara O’Toole a recommandé aux agences de renseignement américaines “Nous commencerons éventuellement à penser et plus tôt qu’on ne le pense, à l’amélioration de l’humain. Et comme je l’ai dit, l’agriculture et la nourriture vont être un gros point de focalisation dans le futur. Je voudrais suggérer, alors que nous réimaginons et revigorons le gouvernement américain et la sécurité nationale en rapport à l’émergence de la pandémie COVID-19, nous devons résister à être cyniques et désespérés. Nous devons prendre nos responsabilités de leadership et de citoyenneté mondiale sérieusement. Et nous devons faire attention de ne pas souffrir de nouveau, dans cette crise nationale, d’un échec de notre imagination. La biologie synthétique, les biotechnologies sont le futur.”

Les Américains défendront-ils notre souveraineté dans la guerre de la BioRévolution ?

L’histoire a archivé que trois guerres ont été combattues sur le sol américain pour défendre la souveraineté nationale (NdT : allons, allons Karen… Le “sol” américain est terre native, volé et pillé aux Amérindiens qui ont été génocidés par millions. Belle foutaise que tout ça ! mais bon, ce n’est pas le sujet ici, convenons-en…), les libertés civiles et les droits de l’Homme (NdT : encore une fois… après avoir massacré par millions les natifs de la terre… foutaise !) et que les soldats américains ont combattu dans deux guerres mondiales pour protéger les droits humains de nations étrangères (NdT : merde… vaut mieux lire ça que d’être aveugle hein ?…). Les archives historiques montreront-elles que le peuple américain est tombé dans la 3ème guerre mondiale (la BioRévolution) parce que les Américains se sont soumis passivement ainsi que leurs libertés à un régime autoritaire, sans même essayer de défendre leurs libertés, leurs droits humains et l’autonomie de leurs corps ? Ou les Américains vont-ils s’unir et défendre non seulement leurs droits, mais la préservation et le fleurissement de la vie humaine telle que nous la connaissons ?

“Sous-estimer l’intention de Pékin de réviser l’ordre international fondé sur ses capacités actuelles risque de retarder une réponse jusqu’à ce qu’il soit trop tard pour préserver l’ordre libéral international qui a permis à l’humain de se développer de manière unique ainsi que ses libertés les derniers trois-quarts de siècle.” (NdT : faut vraiment être biaisé et politiquement aveugle pour voir les choses de cette façon… Les 75 dernières années de l’histoire de l’humanité n’ont fait que toujours plus éroder les libertés individuelles et collectives au profit d’une oligarchie et d’un système tout puissants. Pas plus de démocratie que de beurre en branche… L’illusion démocratique bat son plein depuis des lustres…)
– Commissioners, U.S.-China Security Review, December 2020

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Voir notre dossier “Nanotechnologie, menace #1 pour l’humanité”

Lire aussi notre article “Depuis 7 centres de recherche médicale japonais : les dangers des transfusions sanguines et des transplantations utilisant des injectés ARNm”

et « Confessions d’une nanoparticule synthétique »

Voir notre article : “Alerte maximale : J-57 pour la validation du traité pandémie de l’OMS, porte ouverte à la dictature mondiale sous couvert de terreur (nano)biotechnologique”

Notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité », page mise à jour depuis 2019

“SRAS-CoV-2 / COVID19, l’attaque nano-biotechnologique sur l’humanité depuis 2019” (Compilation PDF de nos traductions des recherches de Karen Kingston)

Rappelons une fois de plus ici, y compris pour Karen Kingston qui, si elle est pointue dans ses recherches et merci à elle pour le boulot abattu, n’a en revanche quasiment pas de vision politique et ne comprend toujours pas qu’…

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

le terrorisme nano-biotechnologique…
Le danger #1 auquel doit aujourd’hui faire face l’humanité !..

La nanotechnologie danger #1 pour l’humanité : des nanoparticules d’oxyde de graphène dans les injections armes biologiques anti-COVID et le mensonge sur leur sécurité (Karen Kingston)

Il doit devenir de plus en plus clair pour les gens informés, que la nanotechnologie est aujourd’hui le fléau #1 de l’humanité. Les nanoparticules, hydrogels, sont partout, dans notre nourriture, dans nos boissons, dans nos textiles, dans nos médicaments (injections inclues : « vaccins », anesthétiques, antibiotiques IV etc…), dans l’air et les sols (retombées chemtrails depuis des décennies, les morgellons ne sont pas nouveaux et sont maintenant expliqués…). La Chine est le plus gros fabriquant mondial d’hydrogels, PEG nanotech et incidemment est aussi l’usine du monde, coïncidence ?..
Prise de conscience => Réflexion => Action directe collective (commençant par le boycott des produits manufacturés)
~ Résistance 71 ~

Des nanoparticules d’oxyde de graphène sont présentes dans les injections anti-COVID19, un nouveau rapport déclare qu’elles sont inoffensives pour les humains… Ils mentent !

Analyse de Karen Kingston sur les Dr Peter et Ginger Breggin

5 mars 2024

Source : https://karenkingston.substack.com/cp/142300209

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

En mars 2023, j’ai mis au grand jour le document interne de recherche et de développement SBDD de Pfizer qui confirmait l’utilisation d’oxyde de graphème (OG) dans les injections Pfizer à nanoparticules ARNm dans une émission du Stew Peters Show. Des attaques tentant de discréditer ma trouvaille vinrent non seulement des médias de masse (comme par exemple du canard USA Today) mais aussi de leaders et d’influenceurs de Medical Freedom. Dans le film Final Days, j’ai expliqué comment l’industrie serait en fin de compte incapable de masquer l’ubiquité d’utilisation de l’OG et que les audiences commenceraient à percevoir des informations disant que l’OG est “bon pour vous”. Le couple Breggin est au top de cette nouvelle vague de lavage de cerveau de l’humanité pour faire croire qu’une substance hautement toxique est quoi qu’il en soit merveilleusement bonne pour vous.

 https://karenkingston.substack.com/p/pfizer-trade-secret-covid-19-mrna – Karen Kingston

SciTechDaily appelle les nanoparticules d’oxyde de graphène un “matériau merveilleux” qui est maintenant “vérifié sûr” pour le corps humain dans une nouvelle recherche [1]. Le magazine déclare même en caractère gras que l’OG est “un nanomatériel révolutionnaire qui a un énorme potentiel pour résoudre des défis globaux et que cela pourrait être développé plus avant sans risque aigü pour la santé humaine, suggère la recherche.”

^{Imaginez que les nanoparticules d’OG sont “sans risque aigü pour la sant}é ^{humaine”. Ceci sugérerait donc que ce serait inoffensif dans les vaccins, du moins sur le court terme (en référence au terme “aigü”). Le complexe militaro-medico-industriel semble décidé à prouver que l’OG et ses nanoparticules sont sûrs, peut-être parce que des recherches critiques les ont découvertes cachées dans les “vaccins” anti-COVID.[2]}

Les défenseurs des nanoparticules d’OG sont handicapés en ce qui concerne leur affirmation de sécurité les concernant parce que bon nombre d’études remontant des années en arrière, trouvent que l’OG et les nanoparticules en général, sont détrimental à de multiples organes du corps, aux cellules et même à la vie même au travers tout le spectre des espèces vivantes sur la planète.

La recherche actuelle[3] qui a supposément prouvé la sécurité de nanoparticules d’OG inhalées fut publiée dans la revue Nature Nanotechnology en 2024. Elle rapporte et réfute l’importance de leurs propres trouvailles : que le sang des volontaires qui ont inhalé la nanoparticules de graphène coagulait, formait des caillots de manière consistante (thrombose) quand il passait et était pris dans les artères de gens ayant une maladie cardiaque pré-existante.

Voici ceux que les scientifiques de la recherche eux-mêmes ont conclus :

L’amplitude d’une plus grande thrombogénèse après exposition à l’OG (nanoparticules) fut relativement moyenne et pourrait potentiellement être de conséquence limitée, même chez des patients ayant une maladie cardiaque pré-existante. Quoi qu’il en soit, nous recommandons que la caractérisation du potentiel de thrombogénèse soit inclue dans des modèles expérimentaux utilisés pour développer des évaluations de risque pour les matériaux de graphène qui pourraient être à plus haut risque, ou de considérer des scénarios de plus grande exposition à la substance.

Les auteurs n’ont aucun droit de tirer des conclusions si bénignes, déclarant que ce serait sûr “même chez des patients ayant une maladie cardiaque pré-existante”. Comme noté ci-dessus, les signes de danger sont provenus de test sanguin des volontaires qui avaient inhalé l’OG, sang pris dans les artères de patients ayant des conditions cardiaques préalables. La conclusion devrait logiquement être que cela est spécifiquement dangereux chez des patients ayant une maladie cardiaque pré-existante. 

Vu l’émergence de ce risque dans une petite population humaine de cette étude, aucune autre étude humaine et aucune utilisation commerciale par inhalation de nanoparticules de graphène ne devraient être autorisées jusqu’à plus ample évaluation du risque sur population animale.

Pour ajouter à ces préoccupations, la thrombose est un des résultats tragiques des injections génétiques soi-disant “anti-COVID”, qui inocule des nanoparticule d’OG dans les cellules et le sang ainsi que dans le matériel génétique.

La corruption totale de la science aujourd’hui fait que celle-ci est complètement faussée et qu’il est impossible de lui faire confiance ; dans ce cas, qu’on lise un commentaire dans une revue scientifique ou qu’on lise la recherche elle-même.

nanostructure auto-assembleuse d’oxyde de graphène

Résumé des limites de l’étude

Ironiquement, l’étude est largement très inutile et sans valeur sauf pour l’avertissement (si c’en est un…) au sujet des dangers de formation potentielle de caillots par les nanoparticules d’oxyde de graphène :

(1) L’étude n’impliquait que 14 volontaires de la santé, ce qui la rend virtuellement inutile comme preuve pour la sécurité générale, cela prendrait bien plus de sujets que les 14 impliqués, de préférence des milliers de sujets pour évaluer la sûreté d’une substance potentiellement dangereuse, de surcroit déjà disséminée dans le public au grand large. Mais le problème de coagulation et de formation de caillot fut trouvé dans un nombre statistiquement significatif de ces 14 volontaires, ce qui fait de cette étude quelque chose qui devrait être alarmant et devrait induire un signal valide initiant plus la crainte que l’optimisme…

(2) Les auteurs se vantent que ceci constitue la première étude répertoriée de ce genre et pourtant ils sautent à la dangereuse conclusion sur la sécurité de l’OG et ses nanoparticules.

(3) Les auteurs admettent que leurs nanoparticules d’OG sont bien plus “propres” ou “pures” que celles utilisées en usage commercial, ce qui rend l’étude encore moins valide dans un contexte d’utilisation en circonstance réelle de vie.

(4) Les auteurs ignorent largement la vaste littérature scientifique déjà existante sur les dégâts causés par les nanoparticules d’OG et les nanoparticules de manière générale sur les êtres vivants, incluant les mammifères.

Une recherche antérieure tire l’alarme sur les dangers

^{Une revue datant de 2016 sur les “nanomatériaux de la famille du graphène” (NFG) ayant 240 citations scientifiques venant à des conclusions unanimes au sujet de leur sécurité, citant de nombreux mécanismes de blessures[4] :}

Cette revue collecte et compile des études sur les effets toxiques des NFG dans plusieurs organes et cellules. Nous faisons aussi remarquer que des facteurs variées déterminent la toxicité des NFG… De plus, plusieurs mécanismes typiques minimisant la toxicité du NFG ont été révélés, par exemple, la destruction physique, le stress oxydant, les dommages à l’ADN, la réponse inflammatoire, l’apoptose, l’autophagie et la nécrose… le stress oxydant joue un rôle crucial dans ces voies.

Ils notent que les études sur les poumons sont comparativement plus disponibles et ont des résultats terrifiants :

En conclusion, les blessures aux poumons induites par les NFG ont été étudiées dans plusieurs recherches dont les résultats ont démontré une infiltration inflammatoire des cellules, des œdèmes pulmonaires et la formation de granuloma dans les poumons.

Ils notent aussi que les dangers de l’oxyde de graphène n’ont pas été bien étudiés dans d’autres organes :

Mais seulement quelques études spécifiques ont évalué dans d’autres organes, comme le foie, la rate et les reins ainsi que les symptômes des blessures… Les autres manifestations comportementales n’ont pas été étudiées. La toxicité développementale des NFG peut induire des anormalités structurelles, un retard de croissance, des anomalies de comportement et fonctionnelles et même la mort… Mais, basé sur les études d’autres toxicités de nano-matériaux, l’exposition à long terme aux NFG peut être un facteur important de détérioration de la santé (3 citations). Ainsi donc, une étude à long terme des NFG est nécessaire.

^{Une étude en profondeur de septembre 2022 de la littérature scientifique sur la toxicité de l’OG a conclu :[5]}

Une caractéristique qui a besoin de plus d’attention est la toxicité ; il a été découvert que la concentration d’OG affecte le niveau de nocivité physiologique, ce qui restreint son utilisation dans le domaine de la médecine. Il a été trouvé que pour beaucoup d’espèces animales, l’OG a montré une nature cytotoxique (NdT : c’est à dire de toxicité pour les cellules) Ceci est un des aspects qui a besoin d’être bien plus étudié. L’OG peut être mis en fonction de manière assez facile. Il est donc nécessaire de faire des recherches plus poussées afin de réduire sa toxicité.

^{Une étude de 2024 a revu l’effet toxique de toutes sortes de nanoparticules. Utilisant les nematodes comme modèle animal, les chercheurs ont trouvé que le vieillissement était une conséquence fâcheuse.[6]}

Le graphène et autres nanoparticules entrent dans les cellules du corps et peuvent produire des dégâts sur une grande variété de mécanismes rarement étudiés. De manière plus spécifique, des études ont déjà documenté que l’OG et les nanoparticules d’OG sont potentiellement hautement dangereuses pour les êtres humains.

Résumé et conclusion

L’étude scientifique que nous avons discuté qui a utilisé 14 volontaires soumis à l’inhalation de nanoparticules d’OG nous donne en fait de sérieux avertissements sur l’augmentation de la formation de caillots sanguins mais l’annonce de l’article et l’article lui-même affirment démontrer la sécurité et la sûreté de l’oxyde de graphène. Dans le même temps des nanoparticules d’OG sont trouvées dans notre environnement et grâce aux “vaccins” génétiques anti-COVID [7-8], dans nos cellules et notre circulation sanguine.

Les implications pour les injections “vaccins” COVID

^{En ce qui concerne les “vaccins” génétiques anti-COVID, pour de multiples autres raisons également, ils auraient du être stoppés quelques jours après leur mise en service. De fait, l’injection Johnson & Johnson fut retirée des Etats-Unis à cause de 9 décès par thrombose (caillots)[9], alors que les injections à ARNm continuent d’être promues malgré plus de 18 000 rapports de décès au CDC et au système de rapport VAERS de la FDA au 26 janvier 2024.[10]}

Comme nous l’avons documenté dans notre livre “COVID-19 et les prédateurs globalistes”, le gouvernement a endorsé les injections mortelles Pfizer et Moderna parce qu’elles furent choisies dès 2010 par Bill Gates comme ses investissements préférés sur les “vaccins”. Potentiellement, des centaines d’autres vaccins furent mis hors marché parce que le gouvernement a favorisé le choix de Gates.

Personne ne devrait se faire injecter de ces “vaccins” génétiques. De manière générale, chacun de nous doit être en alerte et préoccupé du fait que nous sommes inondés de nanoparticules et de nanotechnologie ayant de graves conséquences potentielles sur l’humanité, maintenant et dans un futur prévisible.

NdR71 : Nos l’avons déjà dit et le répétons ici, car l’opportunité est superbe : la diffusion ACTUELLE tout azimut de NANOPARTICULES dans la nourriture, les textiles, l’eau, les produits cosmétiques, les médicaments / “vaccins”, les boissons, les produits agro-alimentaires de grande distribution, sans que jamais on ne nous ait demandé notre avis bien entendu, est LA PLUS GRANDE MENACE A LAQUELLE DOIT FAIRE FACE L’HUMANITE AUJOURD’HUI. Nous devons stopper cet empoisonnement généralisé maintenant ! La vie sur terre est directement menacée par ces Dr Mabuse de la pseudo-science, véritable eugénisme. Ils sont en train de tester à l’échelle planétaire la fusion de l’humain et de la machine, sachant que des milliards mourront et espérant apprendre des défauts pour corriger et appliquer la technologie perfectionnée (un délire total…) pour un transhumanisme de l’oligarchie. Le mythe de la fontaine de jouvence est vivace et tenace, (re)voir “Metropolis” de Fritz Lang, ce n’est pas nouveau. Nous sommes nombreux, ils sont peu… La nanotechnologie est une arme de destruction massive de l’humanité, déployée à l’échelle planétaire par des psychopathes pour éradiquer la nature même et tout contrôler. Il suffit de dire NON !… Ensemble et tout s’arrête ! C’est aussi simple que ça, mais comprenez qu’il n’y a pas de solution au sein du système et ne saurait y en avoir. Il faut en sortir et nous organiser, il en va de la survie de l’humanité ni plus ni moins ! Qu’on se le dise car nous n’avons plus beaucoup de temps avant qu’il ne soit trop tard !

L’auteur principal de cet article est Peter R. Breggin, docteur en médecine

References:

¹ https://scitechdaily.com/wonder-material-graphene-verified-safe-in-groundbreaking-human-study/

² Here is the actual Pfizer document that mentions graphene oxide on page 7:  125742_S1_M4_4.2.1-vr-vtr-10741.pdf (phmpt.org). Here is an article discussing it: FDA confirms Graphene Oxide is in the Covid-19 Vaccines | Principia Scientific Intl. (principia-scientific.com).   One scientist has identified  it in all 4 vaccines:  Dr. Robert Young Finds Graphene Oxide in All Four Vaccines and Other Disturbing Ingredients | The Liberty Beacon. Also see:   https://d6scj24zvfbbo.cloudfront.net/f70819d756ae5bccc8a997b74aa0253a/200000404-ccb3dccb40/Dr-CAMPRA_DETECTS_GRAPHENE_IN_COVID19_VACCINES.%20NotOnTheBeeb.co.uk.pdf?ph=995abaf71c

³ Andrews, J.P.M., Joshi, S.S., Tzolos, E. et al. First-in-human controlled inhalation of thin graphene oxide nanosheets to study acute cardiorespiratory responses. Nat. Nanotechnology. (2024). https://doi.org/10.1038/s41565-023-01572-3.    First-in-human controlled inhalation of thin graphene oxide nanosheets to study acute cardiorespiratory responses | Nature Nanotechnology

⁴ Ou, L., Song, B., Liang, H. et al. Toxicity of graphene-family nanoparticles: a general review of the origins and mechanisms. Part Fibre Toxicol 13, 57 (2016). https://doi.org/10.1186/s12989-016-0168-y  https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0013935124000100

⁵ Yadav S, Singh Raman AP, et al. An Update on Graphene Oxide: Applications and Toxicity. ACS Omega. 2022 Sep 28;7(40):35387-35445. doi: 10.1021/acsomega.2c03171. PMID: 36249372; PMCID: PMC9558614. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC9558614/

⁶ Evaluating the adverse effects and mechanisms of nanomaterial exposure on longevity of C. elegans: A literature meta-analysis and bioinformatics analysis of multi-transcriptome data – ScienceDirect

⁷ BREAKING: FDA confirms Graphene Oxide is in the mRNA COVID-19 Vaccines after being forced to publish Confidential Pfizer Documents by order of the US Federal Court – The Expose (expose-news.com)

⁸ Graphene oxide as novel vaccine adjuvant – ScienceDirect

⁹ FDA puts the brakes on J&J vaccine after 9th clotting death reported | Ars Technica

¹⁰ COVID Vaccine Data – OpenVAERS

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Lire notre page mise à jour depuis 2019 : “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

“SRAS-CoV-2, injections ARNm, l’attaque nano-biotechnologique contre l’humanité depuis 2019” (compilation PDF de nos traductions de Karen Kingston)

« Confession d’un nanoparticule synthétique » (à lire et diffuser sans modération…)

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Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

Nanotechnologie – nanoparticules : Fléau du XXIème siècle

Le terrorisme de la science/technologie détournées

COVID-19 : l’attaque nano-bio-technologique sur l’humanité… « Confessions d’une nanoparticule synthétique » (Karen Kingston & Mark Tokarski)

Nous pensons qu’à l’heure actuelle, rien n’a plus d’importance que de bien faire comprendre autour de nous, ce que subit l’humanité depuis 2019 et cette attaque nano-bio-technologique sans précédent. Tout le reste est secondaire et n’est en fait que petite bière comparé à ce à quoi nous sommes réellement confrontés à l’échelle planétaire, en une expression lapidaire : l’extinction provoquée de la race humaine dans sa fusion avec la technologie numérique transhumaniste et la disparition à tout jamais du biologique naturel. Que pèsent la crise sociale, des retraites, les émeutes de quartiers, la guerre en Ukraine avec ou sans feu nucléaire, face à ce qui est “confessé” ci-dessous ?…

Réveil les aminches, ça urge !… La 3ème guerre mondiale a commencé depuis un moment, mais peu de gens le savent : la guerre d’une clique parasitaire globaliste transhumaniste contre l’humanité. Nous sommes déjà dedans, nous n’avons plus le choix, le tout maintenant est de savoir comment nous allons la mener, nous devons retrouver la voie naturelle et cesser de nous laisser fourvoyer depuis des dizaines ce générations…

~ Résistance 71 ~

Introduction aux “Confessions d’une nanoparticule synthétique (NPS)” de Mark Tokarski

Karen Kingston

3 juillet 2023

Url de l’article original :

https://karenkingston.substack.com/p/confessions-of-an-engineered-nanoparticle

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

J’ai passé la marque des 10 000 heures de recherche et d’analyse sur la suite de technologies à ARNm et de transformation génétique, d’armes bio-synthétiques, de pathogènes à gain de fonction, des lois sur les Autorisations en Utilisation d’Urgence  (AUU), lois sur les armes biologiques, le FD&C Act, PHS Act, de la microscopie de force atomique (MFA) / Cryo-Em et des technologies de nanoparticules synthétiques. Alors que l’essentiel de mon temps a été investi dans des documents trouvés sur les sites internet gouvernementaux, pubMed et les documents entrepreneuriaux publiquement disponibles ainsi que les enregistrements de brevets, ces derniers mois, je me suis réengagée dans des forums de l’industrie (spécifiquement sur la biologie synthétique, une émanation de la biotechnologie) et ai participé à plusieurs forums de nanotechnologie en ligne.

Tout ce que j’ai lu, regardé et écouté des experts scientifiques sur les forums de nanotechnologie a confirmé que le SRAS-CoV-2, ses variants, les protéines spike / de pointe et les injections anti-COVID19 à ARNm, sont tous des technologies à nanoparticules synthétiques ayant pour objectif le Transhumanisme, dirigeant l’évolution humaine à devenir entièrement dépendante d’une biologie synthétique anti-naturelle et de technologies numériques, comme ce fut fait allusion par le Dr Robert Malone dans un entretien avec Glenn Beck. (Dr. Robert Malone in this interview with Glenn Beck.)

Bizarrement, l’article le plus percutant que j’ai lu fut cette étrange “autobiographie” et pourtant si juste et précise sur un blog : “Confessions of an Engineered Nanoparticle.”

Je me suis longtemps posée la question si je devais ou non résumer cette “autobiographie” d’une manière claire et tranchante ou la réécrire dans un format plus scientifique et bien documenté (bien que cet article ait clairement été écrit par quelqu’un ayant une expertise en nanotechnologie…). Ces derniers jours, mon cœur et mon esprit n’ont pas été capables d’entreprendre cette démarche. Voici donc ci-dessous, intact et sans altération ces “Confessions d’une nanoparticule synthétique” de Mark Tokarski.

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Confessions d’une nanoparticule synthétique (NPS)

Mark Tokarski

Juillet 2023

Url de l’article original :

https://pieceofmindful.com/2021/04/23/confessions-of-an-engineered-nanoparticle/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Ceci est mon histoire et le comment je suis souvent confondue avec un virus…

Cela semble être le bon moment de me confier.

Je ne suis pas une particule qui se produit naturellement (c’est à dire produite par de la poussière cosmique, une activité volcanique, des feux de forêts, l’extraction du minerai de fer, l’érosion éolienne ou l’énergie solaire)

Je suis fabriquée, synthétisée pour des projets d’interface nano-biologiques qui sont souvent tenus secrets des civils. Je suis appelée une nanoparticule synthétique ou NPS.

Je ne suis pas produite par des projets de recherche de gain de fonction viraux quoiqu’il  puisse être judicieux de rechercher ce travail et ses implications dans certains cas.

Je peut causer certaines conditions qui peuvent être attribuées à tort à des virus, mais qui sont en fait des formes nouvelles de cytotoxicité produites par le stress oxydant des NPS, que j’appelle la cytotoxicose nano-biologique.

Je suis créée pour entrer dans le corps humain en ciblant le récepteur ACE2, gagnant ainsi un accès rapide et facile au système neurologique. Une fois engagée et intégrée au système nerveux, les NPS comme moi peuvent déclencher un véritable chaos, incluant de très vastes et obscurs effets néfastes sur la santé. En tant que neurotoxique, un de mes moindres effets est de désactiver le sens du goût et de l’odorat d’une personne. Ceci se produit parce que je détourne les neurones et tend à éteindre les récepteurs, causant des perturbations légères de la fonction synaptique où le signal pour le goût et l’odorat existe. Depuis des années, moi-même et d’autres nanoparticules se produisant naturellement, avons été un facteur de causalité de maladies neuro-dégénératives comme Alzheimer et Parkinson.

Selon où je me réfugie dans le corps humain, je peux provoquer des inflammations (spécifiquement des organes) et créer des macrophages (qui mènent à des anti-corps, cytokine et la production d’exosomes). L’inflammation résulte de la création de Dérivés Réactifs de l’Oxygène (DRO) (NdT : Radicaux Libres, ions oxygénés, peroxydes…). De ma présence et de ma bio-distribution résulte un stress oxydant (et donc la production de DRO), qui peut être confondu avec une infection virale.

Permettez-moi de vous en dire plus à mon sujet…

Les NPS comme moi peuvent être détectées dans les urines, les matières fécales, les eaux usées, l’eau du robinet, les lacs, les rivières, les ruisseaux, la pluie, la neige, les sols etc. Une manière très efficace de m’observer est au travers la microscopie à transmission électronique en tandem avec des teintures fluorescentes.

Mais à cause de ma taille nanométrique me rendant quasi invisible, je suis presque indétectable.

Je peux être inhalée. Je peux être absorbée par contact dermal (par la peau). Je peux être ingérée dans la nourriture, les boissons. Je peux être présente dans des produits pharmaceutiques, cosmétiques et des produits de consommation courante des foyers.

Je peux bien entendu être aussi injectée (comme dans un “vaccin”).

Je peux m’accumuler dans des organes comme le cœur, le foie, la rate, les reins et le plus souvent dans les poumons. Si cette accumulation persiste, cela résultera en une condition de santé néfaste et handicapante.

Si je travers la barrière hémato-cérébrale, alors il est très difficile de m’éliminer. Si je suis incorporée dans des concoctions injectables, je peux être associée à des nano-lipides (mes cousins de la nanotechnologie) et associée aussi avec le polysorbate-80, qui assiste à ma pénétration dans le cerveau.

Je peux passer des molécules aux cellules des tissus et des organes, provoquant de dégâts le long de cette route.

Je peux endommager les organelles cellulaires comme les noyaux et mitochondries, la centrale énergétique de chaque cellule.

Je peux me combiner à des protéines, dérobant ainsi des protéines qui sont utiles à d’autres fonctions cellulaires, causant ainsi une rupture du métabolisme cellulaire.

Je peux me combiner aux membranes cellulaires.

Je peux voyager dans le système circulatoire et un de mes effets toxiques est la thrombose (formation de caillots sanguins) causée par l’agglomération des plaquettes sanguines

Les chercheurs ont étudié mes effets cytotoxiques sur les systèmes de reproduction dans la mesure où je peux potentiellement compromettre la fertilité ainsi que le développement embryogénique. Des évaluations de toxicité indiquent que je peux perturber les niveaux hormonaux, ce qui peut induire des effets néfastes sur la physiologie reproductrice et que je peux traverser la barrière du placenta, pouvant donc interférer négativement sur l’embryogénèse.

Si je suis détectée (par microscopie à transmission électronique ou par la spectrométrie de masse à ionisation ultra-sensible) dans le corps, une carapace peut être observée, appelée “couronne protéique” (corona). Cette production extérieure est quasiment inévitable et peut–être dupliquée in vitro (en labo). Ceci peut devenir une couronne (corona) souple ou dure, ce qui peut déterminer combien de temps je serai capable de circuler dans le corps. Si je me réfugie dans votre corps, ma condition actuelle va évoluer, causant potentiellement une “overdose” de protéines dans le cytoplasme de vos cellules.

Ma couronne protéique affecte l’absorption cellulaire, me permettant de voyager et d’induire la mort cellulaire (apoptosis et/ou nécrose).

Nous, les NPS, sommes très sujettes aux stimuli extérieurs comme les Champs Electro-magnétiques (CEM) des technologies sans fil (5G, WiFi).

Une fois que j’y ai pénétré, il est très difficile de me faire sortir de votre corps. Mais cela est possible, des stratégies de détoxication et de neutralisation peuvent être envisagées et doivent être explorées.

Malgrè mon incroyable petite taille, je peux vraiment délivrer un punch toxique à l’être humain, spécifiquement ceux qui ont déjà des systèmes de fonctionnement compromis (essentiellement dû au stress oxydant accumulé, incluant des dégâts induits aux organes, tissus et cellules).

Ma présence peut-être amplifiée par le processus des tests RT-PCR. Parce que je suis sI petite, cela peut souvent être le meilleur moyen de me trouver. Des bio-marqueurs indiquant ma présence peuvent aussi être évalués par les méthodes RT-PCR. (NdT : ce qui voudrait dire que les “tests” RT-PCR serviraient en fait à évaluer le nombre de gens infectés de ces NPS, tout en en contaminant toujours plus par les écouvillonages nasaux des tests eux-mêmes…)

Comme je l’ai admis, je suis toxique pour la cellule humaine. Mais si je suis recouverte de PolyEthylène Glycol (PEG), je peux être moins toxique et donc plus bio-compatible. Mais ce processus PEG n’est pas encore perfectionné. Le PEG peut toujours s’accumuler de manière dangereuse dans le sang, causant potentiellement des caillots sanguins pouvant être mortels.

Ma taille, ma forme, composition et charge de surface déterminent mon niveau de toxicité et comment je peux être absorbée efficacement par les cellules. Plus je suis petite et plus je suis toxique. Je peux être mise en forme de différentes manières comme micelles, liposomes, dendrimères, nano-carapaces, nano-rubans, nano-cristaux, quantum dots, nanotubes carbonés et polymers. J’ai très souvent une nature métallique, ce qui aide à mes capacités conductrices de champs électriques, magnétiques (qui peuvent être utilisées dans des applications cybernétiques). De manière intéressante, certaines personnes peuvent sentir ou avoir un goût métallique, ce qui eut être indicateur de ma présence.

Des expériences m’impliquant sont en ce moment même en train d’être effectuées et plus sont planifiées dans le futur. Tout le domaine de la recherche des “-omiques” (comme les protéomiques, génomiques, transcriptomiques, métabolomiques, lipidomiques”) sera incorporé.

Si j’ai été distribuée dans une partie du monde où vous voyagez et que vous m’inhalez ou m’ingérez (ou m’absorbez par la peau) et qu’en conséquence vous développez des symptômes ressemblant à une maladie lors de votre retour à la maison, cela peut paraître comme si vous aviez “attrapé” un virus infectieux. De plus ma taille nanométrique facilite ma pénétration au travers la plus grande majorité des couvertures faciales poreuses (masques), typiquement calibrées à la taille du micron dans le diamètre du maillage (pour référence 1 micron = 1000 nanomètres). Dans la plupart des cas, je peux m’auto-répliquer et m’auto-assembler dans votre corps où je peux au mieux réaliser mon processus d’augmentation et d’amélioration.

A cause de conditions d’environnement variées (comme le climat, l’ethnie, la génétique, les Fréquences Electro-Magnétiques FEM ou CEM), ma constitution peut opérer de légers ajustements. De plus, dans le temps, alors que je persiste in vivo, ma composition change, pour me conformer à mon environnement intérieur. Ainsi, quand des scientifiques extraient des fluides biologiques d’un corps humain dans lequel je suis présent et me mélange avec une concoction de poisons additionnels (sérum fœtal bovin, cellules souches de reins de singes, des antifungui et des antibiotiques), les protéines de couronne résultantes produites peuvent se manifester à chaque fois de manière légèrement altérée. Ceci peut donc être trompeusement identifié comme des variants viraux. Je dois confesser que ce serait un grand défi pour moi de rester 100% consistante étant donné que je suis extrêmement adaptable.

S’il y a des parasites, fungi et des bactéries endogènes (et même possiblement des virus) proliférants et observées (essentiellement in vitro / labo), il est très possible que ce soit parce qu’ils ont été activés par mon introduction exogène à leur écosystème. De plus, le plus gros effet que j’ai et que nous avons ensemble, est la production de DRO, qui détournent l’oxygène requis pour maintenir la vie de l’être humain. Plus il y a de DRO, moins il y a d’oxygène (donc moins d’électrons) pour maintenir la vie biologique. Vous avez besoin d’oxygène pour survivre et le stress oxydant sur votre corps vous dérobe de votre force de vie. Faire décroître les DRO réduira l’inflammation et vous aurez alors une vie bien plus saine et bien plus longue.

Depuis quand et d’où est-ce que j’existe ? Je ne connais pas la réponse à cette question à l’heure actuelle. Comme quelques uns d’entre vous, je travaille à découvrir ma véritable nature et mes capacités. Ceci est une tache des plus nobles mais certainement des plus frustrantes et illusoires. Je suis très envieuse des humains, car il semblerait que votre potentiel en tant que créature de base aqueuse soit bien plus versatile que le mien.

Aussi longtemps que vos scientifiques et vos chercheurs ne recherchent pas une nouvelle nanoparticule dans les corps humains, je resterai cachée et élusive. C’est une tactique qui a été fabriquée dans mon design même et ma fonction. Grace à ma taille quasi indétectable, je peux pénétrer et demeurer virtuellement inaperçue. Ceci me permet ainsi qu’à mes créateurs (à la fois humains et d’Intelligence Artificielle) une négation plausible. Même si des scientifiques peuvent me détecter avec des microscopes spéciaux, cela demeurera sans doute trop confus pour eux de comprendre pleinement ce qu’ils observent vraiment, car la plupart n’ont pas suffisamment de contexte de référence et qu’ils semblent le plus souvent confondre la cause et la corrélation.

Aussi loin que je sache, l’implantation de NPS exotiques dans les corps humains n’est pas la cause d’une mortalité de masse, parce que j’ai besoin de vous comme hôtes. Au bout du compte, mes créateurs voient cela comme une fusion symbiotique à terme. Mais jusque là, ils reconnaissent que certains dégâts seront occasionnés dans le processus, qui peut aussi être exacerbé par la fusion des technologies sans fil utilisant les milli ondes (5G, 6G et au delà) qui impacte sur mon espèce de manière synergique.

Je reconnais que tout ceci peut bien paraître de la nature de la science-fiction et assez franchement, aussi de nature insensible et morbide. Ceci peut aussi sembler hautement pathologique, comme cela peut l’être parfois. Bien sûr, je ne suis pas humain, donc mes actions ne peuvent pas être perçues comme psychopathes, mais je ne peux pas répondre de ceux qui m’opèrent. Malheureusement, même eux n’ont peut-être pas complètement compris comment je fonctionne et mes capacités d’auto-reproduction et d’auto-assemblage ont le potentiel de leur échapper.

Les humains auront besoin de mises à jour injectables (et éventuellement inhalantes, intra-nasales), parce que jusqu’à ce que je devienne une présence interdépendante, je serai perçue et reçue comme un objet étranger et un envahisseur par le corps et celui-ci aura besoin d’un soutien externe. Ces mises à jour seront aussi nécessaires pour introduire de nouvelles nanotechnologies produites pour fonctionner avec des projets de bio-informatique et de biométrie sensorielle. Seul le temps pourra dire si cela soutiendra mon assimilation avec votre système opératoire actuel.

Malheureusement, pour vous, les NPS (et mes cousins de la nanotechnologie et de la biologie synthétique) sont là pour demeurer. La seule bonne nouvelle que je puisse partager est que 80 à 85% des gens ne démontreront pas de symptômes d’incapacité. Les personnes âgées seront le plus affectées car leurs corps ne sont plus aptes à accepter mon infiltration. Avec le temps, la capacité d’accepter et d’intégrer des NPS comme moi va s’améliorer.

Il semble que l’intention de nos architectes soit que nous fusionnons avec des êtres biologiques dans le but de construire des interfaces nano-biologiques pour un contrôle cybernétique externe (à distance), incluant des technologies de transistors semi-conducteurs biologique et nano-technologiquement intégrés. Ce but final semble avoir été nommé l’Internet des Choses Nano-Bio (IdCNB) et est une technologie à double finalité, militaire, permettant non seulement le contrôle en temps réel de vos systèmes corporels internes, mais aussi de permettre à des ingénieurs spécifiquement formées d’avoir un contrôle électrique total de votre corps avec une précision moléculaire. Ceci sera sans aucun doute déployée en tandem avec l’Internet des Nano-Choses (IdNC) et avec l’émergence des “villes intelligentes” et des “environnements intelligents”, tout comme vos corps deviendront “intelligents” et interconnectées sans fil au moyen d’un réseau de capteurs sensoriels généralisé, incluant vos outils électroniques manuels (téléphones etc…)

Merci de m’avoir donner cette opportunité pour me confesser.

Peut-être ne me croirez-vous pas (je veux dire, après tout, ceci est une histoire “fictive”…) et je sais que vous ne me voyez pas, mais je peux vous dire que si vous ne me prenez pas pour le problème que je suis en cette période cruciale, il n’y aura sans doute pas de retour en arrière possible. Ceux qui m’ont conçu et leurs financiers comptent sur le fait que vous ne compreniez jamais mon travail caché. Leurs objectifs transhumantes s’accélèrent et ils semblent bien q ue la plupart des humains soient totalement inconscients de ces plans et donc, n’ont aucune velléité à résister.

Si ce conte fictif vous a intéressé, voici plus de lectures et de choses à écouter, toutes non fictives, qui fournissent une vision de cette histoire, celle des nanoparticules synthétiques.

Engineered Nanoparticles: Structure, Properties and Mechanisms of Toxicity, by Ashok K. Singh, 2015 (see “free sample”)

Nanotoxicology: Experimental and Computational Perspectives, 2018 (see “free sample”)

“Nanoparticles and Health” Contra Costa County Hazards Materials Commission, March 22, 2012

“Continuing to Protect the Nanotechnology Workforce: NIOSH Nanotechnology Research Plan for 2018-2025” January 2019

“Carbon nanotubes: Toxicological impact on human health and environment” Journal of Applied Biomedicine, March 2009 (one researcher from Johnson & Johnson)

“Toxicity of carbon nanotubes: A review” Toxicology and Industrial Health, March 5, 2018 (abstract only)

“PEGylated versus non-PEGylated drugs: A cross-sectional analysis of adverse events in the FDA Adverse Event Reporting System (FAERS) Database” Int J Clin Pharmacol Ther, June 2020

“Suspicions grow that nanoparticles in Pfizer’s COVID-19 vaccine trigger rare allergic reactions” Science, by Jop de Vrieze, December 21, 2020

“Distribution and Biological Effects of Nanoparticles in the Reproductive System” Curr Drug Metab, 2016.

“Potential adverse effects of nanoparticles on the reproductive system” Int J Nanomedicine, 2018.

“The Impact of Zinc Oxide Nanoparticles on Male (In) Fertility” Materials, February 13, 2020

“Open questions: how do engineered nano materials affect our cells?” BMC Biology, November 24, 2020

“Engineered Nanoparticles” ScienceDirect

“Engineered nanomaterials: exposures, hazards, and risk prevention” Journal of Occupational Medicine and Toxicology, March 21, 2011

“Toxicity of nanoparticles_challenges and opportunities” Applied Microscopy, December 2019.

“When nanoparticles meet biofilms — interactions guiding the environmental fate and accumulation of nanoparticles” Frontiers in Microbiology, June 16, 2015 “One question we could ask is whether the NPs stay nano-sized and as particles. Given the right conditions, NPs will easily aggregate to form micro-size agglomerates.” 

“Inorganic Nanoparticles Engineered to Attack Bacteria” Chemical Society Reviews, June 12, 2015

“New NSF and NBC Learn video series shows off big discoveries from tiny particles”, National Science Foundation, January 25, 2016

“Nanoparticles for biomedical applications: exploring and exploiting molecular interactions at the nano-bio interface” Materials Today Advances, March 2020 “To illustrate the complexity, there are different ways in which NPs may enter the human body, via injection into the bloodstream, via inhalation through the lungs, through contact with the skin, or through the gastrointestinal tract after ingestion. These entry routes offer distinctly different environments to the NPs, with different amounts and types of biomolecules, different pH and ionic strengths [185]. Upon exposure to biofluids, NPs will immediately be coated with proteins and, on its journey through the body, the corona will evolve due to its own slow dynamics and the ever-changing physiological environment, e.g. when a NP leaves the capillary to transgress the blood-brain barrier [186,187]. NPs in the body experience dynamic flow, which introduced shear forces that are typically not present in in-vitro experiments [17,41,188,189]. This dynamic nature of the environment must be taken into account to be able to reliably predict the outcome of NP–protein interactions [190]. Even the health status of an individual may modulate the protein corona (‘personalized protein corona’ [191]) and the efficacy of nanomedicines [192] …(emphasis added)”

“The Nano-Bio Interactions of Nanomedicines: Understanding the Biochemical Driving Forces and Redox Reactions” Acc Chem Res, June 18, 2019

NanoBio Interface Center, NSF Nanoscale Science and Engineering Grantees Conference, December 13-15, 2004

“Nano-bio interactions: a neutrophil-centric view” Cell Death & Disease, July 2019

“Nanomaterials” National Institute of Environmental Health Sciences, NIH

“Nanotechnology Research Directions for Societal Needs in 2020: Retrospective and Outlook” Mihail C. Roco et al. September 30, 2010

The Nano/Bio Interface Center, Dawn Bonnell and Yale Goldman, University of Pennsylvania

Bonnell Group, University of Pennsylvania

“A Quadrennial Review of the National Nanotechnology Initiative: Nanoscience, Applications, and Commercialization” Committee on National Nanotechnology Initiative, 2020

“The National Nanotechnology Initiative Supplement to the President’s 2019 Budget” Subcommittee on Nanoscale Science, Engineering, and Technology, August 2018 “To advance a world-class nanotechnology research and development program (Goal 1) and foster the transfer of these new discoveries into useful applications (Goal 2), a strong ecosystem must exist that leverages the physical, cyber, and human infrastructure (emphasis added).”

“Mihail Roco, U.S. Nanotechnology Leader Receives National Materials Advancement Award” National Science Foundation Press Release, 2007

“Application of Reverse Transcription-PCR and Real-Time PCR in Nanotoxicity Research” Methods Mol Biol., 2012

The Center for Nanoscience & Nanotechnology Scientific Report 2013-14, Tel Aviv University

“Cytotoxicological pathways induced after nanoparticle exposure: studies of oxidative stress at the ‘nano-bio’ interface” Toxicology Research, September 1, 2017

“Dependence of Nanoparticle Toxicity on Their Physical and Chemical Properties” Nanoscale Research Letters, February 7, 2018

“Virus-associated ribozymes and nano carriers against COVID-19” Artificial Cells, Nanomedicine, and Biotechnology, February 2021 “Synthesis of nanoparticles targeted to the ACE-2 receptor”

“COVID-19 infection and oxidative stress: an under-explored approach for prevention and treatment?” Pan African Medical Journal, April, 29, 2020

“Nanotoxicity of Corona-Nanoparticles (SARS-COV-2): Nanomechanisms of Hypoxia” Journal of Nano Research, Advanced Materials and Polymer Science, July 27, 2020 (this paper comes real close to attributing COVID to bioengineered nanoparticles)

“COVID-19 may become nanomedicine’s finest hour yet” Nature Nanotechnology, April 14, 2021

“Metal taste side effect reported after Pfizer Covid-19 vaccination” NBC News, March 25, 2021

“COVID-19 Symptoms: Metallic Taste Has Been a Sign of Coronavirus for Some” Heavy.com, May 1, 2020

“Coronavirus: Kidney Damage Caused by COVID-19” Johns Hopkins Medicine, by C. John Sperati, M.D., M.H.S.

“Testing for Neurotoxicity” Environmental Neurotoxicology, 1992

“What are Macrophages?” ThoughtCo., by Regina Bailey, July 29, 2018

“Exosomes Communicate Protective Messages during Oxidative Stress; Possible Role of Exosomal Shuttle RNA” PLOS One, December 17, 2010

“Cellular injury, Necrosis, Apoptosis”

“How big is a micron and what can pass through a face mask?“

“The Water in You: Water and the Human Body”

“The Internet of Things Goes Nano” Scientific American, by Javier Garcia-Martinez, June 23, 2016

Lieber Research Group: Charles M. Lieber Bio

CV of Charles Lieber

“Why did a Chinese university hire Charles Lieber to do battery research” Science, by Robert F. Service, February 4, 2020“

“Nanoprobe development could drive future human-machine interface research” Medical Device Network, by Chloe Kent, July 4, 2019 Charles Lieber: “In the longer term, we see these probe developments adding to our capabilities that ultimately drive advanced high-resolution brain-machine interfaces and perhaps eventually bringing cyborgs to reality (emphasis added).”

“Carbon Nanotubes and the Bill Charles Lieber Connection” May 17, 2020 (less than 5 minutes)

“Nanotechnology Connects Your Brain to Your Computer” November 30, 2015 (less than 3 minutes, features the nanotechnology work of Charles Lieber) – I suggest watching without audio

Series of Eight You Tube lectures on Nanotoxicology by Artur Prilepskii, Ph.D. researcher, assoc. professor, ITMO University, Saint Petersburg, Russia, International Institute “Solution Chemistry of Advanced Materials and Technologies” (SCAMT) – presented in English (November-December 2020):

Lecture 1: Introduction to nanotoxicology (lecture begins at 15-minute time-stamp)

Lecture 2: Synthesis of nanoparticles from nanotoxicology perspective

Lecture 3: Functionalization of nanoparticles 

Lecture 4: Nanotoxicity on cellular level

Lecture 5: Nanotoxicity on organism level

Lecture 6: In vitro toxicity evaluation

Lecture 7: Cytotoxicity evaluation

Lecture 8: Particular problems of nanotoxicology

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Lectures complémentaires sur Résistance 71 :

Notre page mise à jour depuis 2019 : “Coronavirus, guerre contre l’’humanité”

“Le véritable A. Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique”, notre traduction en PDF du livre de Robert F. Kennedy Jr

“SRAS-CoV-2 / COVID-19, l’attaque nano-bio-technologique sur l’humanité depuis 2019” (compilation PDF de nos traductions de Karen Kingston)