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Résistance au colonialisme: Le gouvernement canadien a donné l’ordre de détruire les preuves du génocide des nations premières…

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A lire et diffuser sans aucune modération. Le crime d’état est en train d’atteindre des proportions rarement atteintes. Prétendre que cela ne nous regarde pas serait une grave erreur, car comme l’avait si bien dit une ancienne Mohawk de Kahnawake lors de la crise d’Oka en 1990 à une foule de colons blancs alentours: « Vous devriez vous soucier de tout ceci, car quand ils en auront fini avec nous, ce sera votre tour ! » Nous sommes tous des colonisés !

De l’origine du génocide des Indiens de ce qui est aujourd’hui le Canada

— Résistance 71 —

 

Le Canada protège des criminels de l’intérieur avec une directive secrète du cabinet ministériel

ITCCS

14 Avril 2016

url de l’article original:

http://itccs.org/2016/04/14/canada-shields-in-house-criminals-with-secret-cabinet-directive-breaking-news-advisory/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Publié par l’International Tribunal of Crimes of Church and State (ITCCS), Bruxelles

Le Canada masque et protège des criminels au sein de ses institutions au moyen d’une directive secrète de cabinet ministériel: toutes les preuves concernant les assassinats et disparitions d’enfants aborigènes doivent être détruites en réponse à l’exposition des crimes par l’ITCCS et sa pétition aux Nations-Unies.

Ottawa:

Une source très haute placée a révélé qu’il existe une directive secrète datée du 30 Mars 2016, du cabinet du gouvernement canadien qui ordonne la destruction de toutes les preuves en relation avec le trafic et les assassinants des femmes et des enfants aborigènes au Canada.

D’après cette source, l’ordre du Privy Council (NdT: conseil privé de la couronne britannique représentant le monarque britannique dans tous les pays du Commonwealth) a été issu en réponse à la publication le 19 mars 2016 par l’ITCCS du rapport intitulé “Murder by Decree: the Crime of Genocide in Canada – A Counter Report to the Truth ans Reconciliation Commission (TRC)”. Ce rapport a publié les preuves censurées par la TRC qui implique la GRC/RCMP (NdT: Gendarmerie Royale du Canada), les églises et des entreprises privées sur les crimes perpétrés encore de nos jours contre les peuples autochtones.

L’ordre du Privy Council fut aussi donné en anticipation d’une pétition qui fut menée devant les Nations-Unies par l’ITCCS le jour suivant, le 31 mars, lettre qui appelait le secrétaire général de l’ONU Ban-Ki Moon de commencer une procédure d’expulsion de l’ONU contre le Canada, la Grande-Bretagne et le Vatican en tant qu’états légalement condamnés pour génocide sur des enfants aborigènes.

(Voir www.itccs.org, April 1, 2016,https://www.youtube.com/watch?v=O3_hp3Dg260&feature=youtu.be )

L’ordre du Privy Council par le gouvernement canadien prévoit que toutes les preuves détenues par la TRC ou les tribunaux canadiens en relation avec la mort et le trafic des femmes et enfants autochtones doivent être détruites dans les 60 jours.

Le 4 Avril, la Cour / tribunal de la province de l’Ontario a agit sur cette directive en autorisant la destruction légale de tous les témoignanges détenues par la TRC en relation avec les crimes des pensionnats pour Indiens.

(Evidence on abuse at residential schools can be destroyed, court rule”, Hamilton Spectator, April 4, 2016,http://www.thespec.com/news-story/6439126-evidence-on-abuse-at-residential-schools-can-be-destroyed-court-rules/)

D’après la source hautement confidentielle, la destruction des preuves liant les crimes de l’ère des pensionnats pour Indiens et le trafic et la disparition des familles autochtones toujours en vigueur depuis, a été fonctionnelle depuis l’élection du nouveau gouvernement libéral de Justin Trudeau en novembre dernier. La nomination d’une femme autochtone, Jody Wilson-Raybould, comme ministre fédéral de la justice et son annonce d’une “enquête officielle” sur la dispartion des femmes indigènes, fait partie intégrante de la mise sous éteignoir de l’affaire des assassinats racialement ciblés des natifs qui occupent des terres très riches en ressources naturelles en Colombie Britannique.

Commentant ceci aujourd’hui depuis la ville de New York, le sécrétaire exécutif de l’ITCCS Kevin Annett a dit:

“Notre publication des preuves liant ces crimes combinée avec notre récente pétition au SG de l’ONU a sans aucun doute forcé la main du gouvernement canadien. Cette récente exposition est la preuve supplémentaire que l’assassinat ciblé des enfants des pensionnats pour Indiens est lié à la continuelle destruction et élimination des familles autochtones traditionnelles sur des terres convoitées par les entreprises transnationales américaines et chinoises. Ceci est le chapitre le plus récent dans l’histoire du génocide canadien et l’ordre de destruction des preuves d’Ottawa est la seconde partie de la manipulation et du maquillage qu’est la TRC.

La pétition de l’ITCCS aux Nations-Unies donne au SG Ban-Ki Moon jusqu’au 30 Avril pour commencer la procédure d’expulsion contre le Canada, la Grande-Bretagne et le Vatican, après quoi, une motion de censure publique de Ban-Ki Moon comme un accessoire nécessaire au génocide sera introduite par des délégués s’il n’agit pas en conséquence.