Archive pour OMS dictature sanitaire

Alerte maximale : J-57 pour la « certification conforme » du traité dictatorial de l’OMS sur les pandémies… La porte ouverte à la dictature technotronique sous couvert de terreur (nano)biologique (Résistance 71 avec la Dr Merryl Nass et James Corbett)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 1 avril 2024 by Résistance 71

nanoparticules

Traduction et analyse de captures d’écran de l’entretien du Dr Meryl Nass avec James Corbett sur le “Traité pandémies” de l’OMS

CHD TV

Source :

https://live.childrenshealthdefense.org/chd-tv/shows/good-morning-chd/globalism-and-disease-x/

30 mars 2024

Résistance 71

Le 27 mai 2024, l’Organisation Mortelle de la Santé (OMS) va se réunir à Genève pour “voter” ou plutôt pour estampiller ‘certifié conforme”, leur soi-disant “Traité sur les pandémies”, qui a changé x fois de nom, qui a été sujet à de multiples révisions utilisant un vocabulaire des plus déceptifs et qui n’est rien d’autres que l’établissement tout à fait illégal d’un gouvernement mondial sous le couvert bidon de la “prévention de pandémies” potentiellement fatale pour l’humanité, qui passera outre toutes les souverainetés nationales et populaires.
Ce texte prévoit la soumission de tous les états membres de l’OMS / ONU aux diktats d’un groupe d’oligarques totalement inféodés à Big Pharma et féru d’eugénisme et de contrôle des populations. Nous sommes de plein pied dans la soumission des peuples par leurs dirigeants complices et corrompus à une faction totalitaire avide de verrouiller tout esprit critique et dissidence à “l’ordre établi” (toujours par la force), comme nous l’avons vu dans cette répétition générale que fut la “crise pandémique COVID-19”, fabriquée à 100% au moyen d’une fabrication génétique de laboratoire en recherche de “gain de fonction” (c’est à dire de rendre un pathogène plus pathogène, de le manipuler pour en faire une arme biologique, en l’occurence nano-biotechnologique) d’abord à Yankland entre 2006 et 2015 à l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill, puis en coopération avec le laboratoire chinois P4 de Wuhan, financé par le NIH, NIAID américains et l’UE ; ainsi que d’une réponse toute prête avec le déploiement de faux “vaccins”, mais véritables armes nano-biotechnologiques sous la forme d’injections à ARNm et de toute la panoplie mortifère nanotechnologique (PEG, nanoparticules lipidiques, quantum dots etc..). Tout ceci fut analysé par Karen Kingston depuis 2020 dans son étude approfondie des brevets.
Aucune loi au monde ne protège quiconque, individu, entité privée ou entité gouvernementale, déployant une arme biologique. Personne n’a d’immunité légale contre ce crime contre l’humanité. Les gouvernements complices de Big Pharma, de la cohorte emmenée par Pfizer, Moderna, Johnson & Johnson, se sont tous rendus coupables de trahison envers leurs peuples et de complicité de génocide lors de la crise COVID toujours pas achevée.
Le “traité” à venir sur les pandémies va servir aussi à laver plus blanc les responsabilités des ordures aux commandes de cette ignominie.
Si nous ne nous y opposons pas physiquement, ce texte sera estampillé et entrera en vigueur après une courte période pour que les nations “l’adoptent” via leurs dirigeants criminels corrompus, sans bien évidement passer par un referendum populaire, comme le demanderait une telle mesure qui va changer du tout au tout la vie des populations du monde entier.
Meryl Nass (docteur en médecine) s’est entretenue avec James Corbett le 30 mars dernier sur la chaîne de télévision de l’association Children Health Defence (CHD), de Robert F. Kennedy Jr au sujet de ce traité.
Nous avons fait quelques captures d’écran du texte de l’OMS présenté lors de cet entretien et les avons traduits ci-dessous. Il est de la plus extrême importance que les peuples s’intéressent de très près à cette vaste foutaise supplémentaire, qui, si mise en place, va poser les bases fondamentales d’un gouvernement mondial dictatorial sur fond de terreur “biologique” et de menace sur l’humanité par de méchants pathogènes, nouveaux croquemitaines dans le sillage du SRAS-CoV-2 / COVID-19, qui pour la plupart n’existeront pas, ou auront été créés à cette fin utile de domination et de répression des peuples, dans des laboratoires de gain de fonction, en en faisant de facto, eux et leurs “remèdes” injectables, des armes nano-biotechnologiques diffusées sur les populations civiles.
Nous n’avons plus que moins de deux mois pour nous intéresser et lutter localement, demander des comptes et empêcher la mise en place de cette dictature “sanitaire” qui aura des conséquences dramatiques sur les populations mondiales. L’oligarchie tient là son prétexte à un gouvernement mondial sur fond de terreur biologique, quelque chose qui peut être réel ou fabriqué et totalement invisible… fait donc pour efficacement terroriser les gens et leur faire accepter toute mesure dictatoriale pour le “bien de la santé publique”.

Ceci n’est qu’une farce qui n’a qu’un seul but : LE CONTROLE DES POPULATIONS.

Il suffit de dire NON ! Ensemble, et tout ce merdier mortifère s’arrêtera selon NOTRE BON VOULOIR.

Traductions et analyse des captures d’écran d’extraits du texte du “traité sur les pandémies” de l’OMS :

#1 

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3. Quand une partie a accès à un pathogène ayant un potentiel pandémique, elle devra, en utilisant la bio-sécurité appropriée et standards de protection des données :

A) partager avec l’OMS toute information de séquence de pathogène dès que cela est disponible pour la partie,

B) dès que les matériaux biologiques sont disponibles à la partie, fournir les matériaux à un ou plusieurs laboratoires et/ou facilités biologiques participant aux réseaux de laboratoires coordonnés (RLC) de l’OMS, qui satisfont les liens légaux en matière de termes de référence, comme référencé ci-après, avec une étiquette électronique “PABS Biological material” qui suivra jusqu’en fin de chaînes de production et/ou de publication et devra notifier les utilisateurs des matériaux biologiques des provisions de partage des bénéfices sous le système PABS, reconnaissant que chaque partie puisse aussi partager de tels matériaux biologiques avec des entités en dehors du réseau RLC. Tous les utilisateurs de matériaux biologiques auront des obligations légales sous PABS en regard du partage des bénéfices…

#2

WHO_treaty2

4. Les parties consentent au transfert et à l’utilisation des matériaux biologiques et GSD fournis aux RLC et SDB ayant un étiquetage de “matériel biologique PABS” ou “PABS GSD”, en accord avec les provisions de cet article incluant le partage des bénéfices, ainsi que la biosécurité et standards de protections de données applicables. Les parties sont d’accord que les droits de propriété intellectuelle ne seront pas recherchées sur de tels matériaux et GSD.

#3

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Article 24. Comité de Conseil Scientifique : Au lieu de mettre un terme à la recherche de “gain de fonction”*, les experts de l’OMS vont la superviser ! (Brouillon du traité en date du 14 février 2024)

(*) gain de fonction : recherche pour rendre un pathogène plus pathogène ou pour faire passer un pathogène animal à l’humain

#4

WHO_treaty4

2. Le Comité de Conseil Scientifique consistera en experts indépendants de plusieurs domaines/disciplines en regard à la prévention, préparation, réponse et récupération d’une pandémie. Les experts seront nommées par les parties et appointés par le Directeur Général [de l’OMS].

#5

WHO_treaty5

3. Le Comité de Conseil Scientifique aura les fonctions suivantes :

(I) Superviser la recherche impliquant des pathogènes de pandémies potentielles, incluant la manipulation génétique et la recherche sur le “gain de fonction” avec pour objectif d’éviter les préoccupations de bio-sécurité, incluant les fuites accidentelles de laboratoire d’agents infectieux et à cet effet, de développer des lignes directrices et les soumettre au corps gouvernant ; et…

= = =

Qu’est-ce que tout cela veut dire ?

Si nous prenons le cas très récent de la COVID-19 (maladie) et du soi-disant pathogène l’ayant occasionnée le SRAS-CoV-2. Le pathogène est le résultat d’une recherche de gain de fonction sur un coronavirus de chauve-souris ayant eu lieu dans un laboratoire universitaire américain (UNC-Chapel Hill) et le laboratoire P4 de Wuhan en Chine, financé par les Etats-Unis, la Chine et l’UE avec le résultat que l’on sait et en réponse le déploiement d’une arme biologique bien plus meurtrière que la pathogène créé : les pseudo-vaccins, injections à ARNm nano-biotechnologiques, qui ont fait à ce jour plus de 20 millions de morts dans le monde entre décembre 2020 et aujourd’hui… Ainsi le véritable fléau ne fut pas le pathogène, mais son “remède nanotechnologique” inoculé de force aux populations.
Avec le traité bidon, vraie dictature de l’OMS sur les pandémies, la recherche en gain de fonction sera totalement chapeautée par l’OMS et non seulement cela, mais encouragée pour les pays qui devront divulguer leurs résultats et seront payés pour ce faire. Ceci va créer une banque de données transnationales de pathogènes tous plus virulents les uns que les autres, encouragés à être créés par l’appât du gain et dont l’OMS aura un accès direct sans que personne n’ait aucun droit de propriété intellectuelle ou quelque contrôle que ce soit. Elle pourra en faire ce que bon lui semble. Ceci va créer un “marché” du pathogène, qui va se propager dans des pays n’ayant absolument aucune compétence ni développement technique adéquat pour ce faire… On se demande bien ce qui va bien pouvoir foirer une fois de plus ?… Il est aussi stipulé que les séquences génomiques des matériaux biologiques “découverts” ou plutôt créés par “gain de fonction”, pourront être diffusés en dehors des réseaux, c’est à dire que tout ceci va devenir “open bar” pour qui en veut. Là encore, qu’est-ce qui va encore pouvoir bien foirer on se le demande ?…
Le “comité scientifique” de cette grande-guignolerie mortifère sera composés “d’experts” appointés par le big boss du moment de l’OMS, dont on sait aujourd’hui qu’elle n’est qu’une subside de Big Pharma et de l’oligarchie privée, le donateur #1 étant Bill Gates et sa Fondation, le falsificateur informatique devenu expert en santé mondiale et de la vaccination par l’opération d’un esprit plus vraiment très … sain(t). On se demande bien quels seront les critères de “nomination” à ces postes clefs de contrôle ?..
Si vous n’avez pas encore flairé l’arnaque majeure dans cette histoire, on ne peut plus grand chose pour vous…

Une fois de plus, redisons-le haut et fort :

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

Coronavirus or sars-cov-2 virus cell with messenger RNA or mRNA and syringe on blue background 3D rendering illustration with copy space. Vaccination or vaccine, science, medical technology concept.

BioNanotechnologie : fléau #1 de l’humanité

Traité de l’OMS sur les pandémies : la marche forcée vers le goulag numérique (Le Défenseur)

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OMS_goulagnumerique
ONU + OMS = GN
Organisation Népotique Universelle + Organisation Mortelle de la Santé = Goulag Numérique

Il n’y a plus 36 solutions… BOYCOTT ! Refus d’obtempérer aux injonctions criminelles d’une entité économico^politique en conflit d’intérêt permanent. Reprise du pouvoir par et pour les peuples, sans intermédiaires.

RETIRONS NOTRE CONSENTEMENT et le bouzin s’arrête !

Aucun réformisme possible de toute cette merdasse au-delà de toute rédemption possible. Il n’y a pas de solution au sein du système et ne saurait y en avoir.
A bas l’État ! A bas la marchandise ! A bas l’argent et A bas le salariat ! Tout le reste n’est que pisser dans un violon. Création de tribunaux populaires pour juger tous les criminels ayant participé au crime génocidaire contre l’humanité à l’arme biologique SRAS-CoV-2 / injections ARNm, de la création du SRAS-CoV-2 / COVID au laboratoire de l’université de Caroline du Nord, Chapel Hill entre 2006 et 2015, à la diffusion massive mondiale des armes biologiques de destruction massive que sont les injections à ARNm par les géants de Big Pharma, Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Bill Gates, l’OMS, l’ONU, tous les gouvernements impliqués dans les mesures sanitaires dictatoriales, leurs politiciens et autres “experts scientifiques” sous contrôle du gros pognon des transnationales pharmaceutiques ainsi que leurs marionnettes des médias à la botte diffusant une propagande non-stop de soumission et autres… Toute conséquence extrême devant être envisagée… selon la volonté des peuples décidant par et pour eux-mêmes, sans intermédiaires corrompus criminels.
Nous mettons cette réflexion en exergue parce que les agences telles que “The Defender” dont nous publions l’article ci-dessous, sont des réformistes, qui ne feront jamais rien contre le système, se contentant de signer des pétitions et d’inciter à “voter pour le changement et la justice”, comme soutenir une candidature illusoire d’un RFK Jr et maintenir des forces vives résistantes dans le giron politique établi ne faisant ainsi que les museler plus avant. Tout cela est  poudre aux yeux et perte de temps précieux.

~ Résistance 71 ~

peur
Résignez-vous au goulag OMS !!

Le président de l’AG de l’ONU approuve la déclaration de pandémie : les experts en protection de la vie privée mettent en garde contre le goulag numérique

The Defender

20 septembre 2023

Url de l’article en français :

https://childrenshealthdefense.org/defender/le-president-des-nations-unies-approuve-la-declaration-de-pandemie-les-experts-en-protection-de-la-vie-privee-mettent-en-garde-contre-le-goulag-numerique/?lang=fr

Malgré les objections de 11 pays, le président de l’Assemblée générale des Nations unies a approuvé aujourd’hui une déclaration sur la prévention des pandémies qui vise à créer une autorité mondiale de lutte contre les pandémies. Les critiques ont déclaré que la déclaration soutient des restrictions de type Covid-19, y compris « fermer des d’écoles et pousser disproportionnellement les femmes du marché du travail et dans la pauvreté ».

Le président de l’Assemblée générale des Nations unies (AGNU) a approuvé aujourd’hui la déclaration non contraignante des Nations unies sur la prévention, la préparation et l’intervention en cas de pandémie (PPPR), sans vote de l’ensemble de l’assemblée et en dépit des objections de 11 pays.

Les critiques ont qualifié d’”hypocrisie” et de “déséquilibre” cette déclaration, qui vise à créer une autorité mondiale de lutte contre les pandémies ayant le pouvoir d’imposer le confinement, la vaccination universelle et la censure des “fausses informations”.

L’approbation est intervenue dans le cadre d’une réunion de haut niveau sur le PPPR. Mais que signifie la déclaration dans la pratique ?

Pour les partisans de cette déclaration, il s’agit d’une étape clé vers une coordination mondiale en matière de prévention des pandémies et de santé publique.

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), elle “offre l’occasion … de prévenir les pandémies et leurs conséquences et de s’y préparer, en utilisant une approche qui implique tous les secteurs gouvernementaux”.

L’OMS a également déclaré que le PPPR vise à “appliquer les leçons tirées de la pandémie de Covid-19 ” et “intervient alors que le monde est confronté à de multiples crises humanitaires et climatiques qui menacent des vies et des moyens de subsistance dans le monde entier”.

Dans une déclaration, le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, a déclaré : “Si le Covid-19 nous a appris une chose, c’est que lorsque la santé est en danger, tout est en danger”. Il a établi un lien entre le PPPR et les objectifs de développement durable (ODD) des Nations unies, affirmant que les dirigeants mondiaux devraient “montrer qu’ils ont tiré les leçons douloureuses de la pandémie”.

Avocat Lawrence Gostin, directeur du Centre de collaboration de l’OMS de l’Université de Georgetown – un personnage clé “jouant un rôle clé en coulisses dans les négociations” pour le projet de “traité sur la pandémie” et modifications du Règlement sanitaire international (2005 ) (RSI) – a déclaré que la réunion de haut niveau “est notre meilleure chance d’obtenir le soutien et l’engagement profond des chefs d’État et de gouvernement”.

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Un accord “sans précédent” au détriment de la souveraineté nationale

D’autres experts ont adopté un point de vue différent. L’auteur et podcasteur Frank Gaffney, fondateur et président de l’association Centre for Security Policy (Centre pour la politique de sécurité), a déclaré au Defender qu’il est “très inquiétant” que l’ONU et l’OMS “encouragent davantage, voire autorisent, le type de capacité ou d’autorité permanente de leur part à dicter essentiellement ce qui constitue des situations d’urgence”.

“Il ne faut pas oublier que cela se fera au détriment de la souveraineté des différentes nations qui seront ensuite informées de l’existence d’une situation d’urgence et de ce qu’elles doivent faire pour y remédier”, a-t-il ajouté. “C’est sans précédent”.

M. Gostin a déclaré que “les négociateurs ne savent pas comment équilibrer la responsabilité et la souveraineté lors de la mise en œuvre d’instruments tels que le PPPR, le RSI ou le “traité sur les pandémies”.

David Bell, médecin spécialiste de la santé publique, consultant en biotechnologie et ancien directeur des technologies de santé mondiale chez Intellectual Ventures Global Good Fund, a déclaré que “l’objectif principal” du PPPR “est de soutenir” le “traité sur les pandémies” et les amendements au RSI actuellement en cours de négociation par les États membres de l’OMS.

M. Bell a indiqué qu’une “procédure de silence” était en place, “ce qui signifie que les États qui ne répondront pas seront considérés comme des partisans du texte”. Selon lui, le texte est “clairement contradictoire, parfois fallacieux, et souvent tout à fait dénué de sens” et vise à centraliser le pouvoir de l’OMS.

La déclaration n’a pas été rédigée avec une intention sérieuse, mais est essentiellement une rhétorique vide qui promeut une centralisation continue du contrôle que l’ONU et l’OMS recherchent ouvertement, au détriment de la démocratie, des droits de l’homme et de l’égalité”, a déclaré M. Bell au Defender.

Francis Boyle, J.D., Ph.D., expert en armes biologiques et professeur de droit international à l’université de l’Illinois, qui a rédigé le Biological Weapons Anti-Terrorism Act (loi antiterroriste sur les armes biologiques) de 1989, partage cet avis. “Les mêmes personnes qui ont rédigé le traité sur la pandémie et les amendements au RSI ont rédigé le document sur le PPPR”, a déclaré M. Bell au Défender.

“Il s’agit d’une pression totale pour que l’ensemble de l’Organisation des Nations unies, ses agences spécialisées et ses organisations affiliées, soutiennent et appuient leur projet d’État policier médical et scientifique totalitaire mondial de l’OMS”, a-t-il déclaré.

La réunion de haut niveau d’aujourd’hui comprend les discours prévus de 158 représentants nationaux, dont les présidents ou les premiers ministres de 34 pays et, représentant les États-Unis, le secrétaire d’État Anthony Blinken.

Les panélistes incluent Karl Lauterbach, ministre allemand de la santé, et des représentants de l’Organisation pour l’innovation en biotechnologie.

Que signifie la déclaration pour vous ?

Le texte final de la déclaration politique du PPPR, daté du 1er septembre, comprend des déclarations et des propositions couvrant une série de questions, allant de la vaccination à la “désinformation”.

Selon la déclaration, “les pandémies exigent un leadership opportun, urgent et continu, une solidarité mondiale, une coopération internationale accrue et un engagement multilatéral … pour mettre en œuvre des actions nationales, régionales et mondiales cohérentes et solides, fondées sur la science … pour renforcer la prévention, la préparation et l’intervention en cas de pandémie”.

Affirmant que “la santé est une condition préalable pour tous” et un indicateur du “développement durable”, la déclaration appelle à:

  • La Vaccination universelle : La déclaration se dit “profondément préoccupée” par la baisse des taux de vaccination dans le monde et s’engage à soutenir “la recherche et le développement de vaccins et de médicaments, ainsi que de mesures préventives et de traitements pour les maladies transmissibles et non transmissibles”.

“La vaccination systématique est l’une des interventions de santé publique les plus efficaces et les plus rentables, dont la portée est la plus grande et les résultats sanitaires les plus probants”, affirme la déclaration, tout en soulignant le “rôle important du secteur privé dans la recherche et le développement de médicaments innovateurs”, y compris les vaccins.

Elle appelle à l’amélioration des “capacités d’immunisation systématique, de vaccination et de sensibilisation, notamment en fournissant des informations factuelles sur la promotion de la confiance, de l’assimilation et de la demande” et à “étendre la couverture vaccinale sur le site[ing] pour prévenir les épidémies ainsi que la propagation et la réémergence des maladies transmissibles”.

  • Rend permanents les pouvoirs “temporaires” de COVID-19 : La déclaration se dit “préoccupée par l’émergence et la réémergence continues de maladies à tendance épidémique” et affirme “la nécessité … de s’appuyer sur les enseignements tirés et les meilleures pratiques de la pandémie de COVID-19”, notamment “en transformant, le cas échéant, les capacités temporairement renforcées” développées pendant la pandémie “en capacités permanentes d’une manière durable”.
  • Elle appelle à une surveillance accrue et à la mise en place de documents de santé numériques, tels que les passeports vaccinaux : La déclaration “reconnaît […] le potentiel des technologies de santé numériques” pour “mettre en œuvre et soutenir les mesures de santé et renforcer les efforts de réponse nationaux” aux pandémies et aux urgences sanitaires.

Les technologies numériques telles que les passeports vaccinaux sont un élément clé des amendements au RSI en cours de négociation. La déclaration souligne également la nécessité de mettre en place des “systèmes d’alerte précoce” et une “approche intégrée de l’initiative “Une seule santé “”, afin de “réagir le plus rapidement et le plus adéquatement possible” aux pandémies et aux situations d’urgence sanitaire.

  • La censure potentielle des médias sociaux : La déclaration se dit “préoccupée par le fait que la désinformation liée à la santé a eu un impact négatif sur les services de vaccination de routine dans le monde”.

En conséquence, la déclaration appelle à “des mesures pour contrer et traiter les impacts négatifs de la désinformation liée à la santé, de la désinformation, des discours de haine et de la stigmatisation, en particulier sur les plateformes de médias sociaux … y compris pour contrer l’hésitation vaccinale … et pour favoriser la confiance dans les systèmes et les autorités de santé publique”.

  • Appel à la finalisation du “traité sur la pandémie” et des amendements au RSI : La déclaration “encourage” la conclusion des négociations sur les amendements au RSI et le “traité sur la pandémie”, suggérant que cela garantira “l’accès durable, abordable, juste, équitable, efficace, efficient et opportun aux contre-mesures médicales”, y compris les vaccins.
  • Vous paierez pour cela : La déclaration “salue le lancement du Fonds de lutte contre la pandémie” destiné à “financer des investissements essentiels” pour la préparation et la réponse aux pandémies, pour un coût de 30 milliards de dollars par an. Ce prix comprend un “déficit estimé à 10 milliards de dollars de nouveaux financements externes par an en dehors des niveaux actuels de l’aide publique au développement” – à savoir les cotisations payées par les États membres de l’OMS.

Selon M. Bell, “l’OMS a noté en 2019 que les pandémies sont rares et insignifiantes en termes de mortalité globale au cours du siècle dernier”, mais “l’OMS et l’ensemble du système des Nations unies considèrent désormais les pandémies comme une menace existentielle et imminente”.

Il a déclaré que cela était important, car “ils demandent beaucoup plus d’argent que ce qui est dépensé pour tout autre programme international de santé”, ce qui “apportera une grande richesse à certaines personnes” et de grands pouvoirs aux gouvernements, qui peuvent être utilisés pour “réimposer les réponses mêmes qui viennent de causer la pire croissance de la pauvreté et de la maladie de toute notre vie”.

“Logiquement, les pandémies ne deviendront plus fréquentes que si quelqu’un a l’intention de les rendre telles (nous devrions donc nous demander ce qui se passe)”, écrit Bell.

M. Bell a déclaré que, bien que la déclaration fasse l’éloge de questions telles que les droits des femmes et l’éducation, elle se contredit elle-même en soutenant des restrictions de type Covid-19, y compris “fermer des d’écoles et pousser disproportionnellement les femmes du marché du travail et dans la pauvreté”.

Le journaliste indépendant James Roguski a déclaré à The Defender : “Les vastes préjudices causés par des produits thérapeutiques et des injections approuvés rendent l’hypocrisie” des appels de la déclaration en faveur d’un “meilleur accès” aux vaccins “absolument stupéfiante”.

“Si l’OMS avait encore pour objectif d’améliorer la santé générale, elle ne serait évidemment pas impliquée dans cette affaire, car cela va à l’encontre d’une bonne politique de santé publique”, a déclaré M. Bell.

M. Gostin a déclaré que la désinformation “constitue une grave menace pour la santé, notamment en ce qui concerne la distribution des vaccins”, ajoutant que “l’équilibre entre la liberté d’expression et la lutte contre la désinformation est difficile à trouver” et que “l’OMS peut diriger des partenariats entre les experts scientifiques et les diffuseurs d’informations afin de garantir que des informations crédibles parviennent au public”.

M. Bell n’est cependant pas d’accord avec ce point de vue, écrivant que “l’OMS a récemment qualifié publiquement les personnes qui discutent des effets indésirables des vaccins Covid et remettent en question les politiques de l’OMS d’”extrême droite”, d’”agresseurs anti-scientifiques” et de “force meurtrière””, ajoutant que “c’est de l’acharnement. C’est le dénigrement et le discours de haine qu’utilisent les régimes fascistes”.

Cependant, pour Gostin, la déclaration du PPPR n’est pas suffisante. “Elle est tout à fait insuffisante en ce qui concerne les actions concrètes, telles que les promesses de financement des systèmes de santé”, a-t-il déclaré, ajoutant que “la coopération entre l’ONU et l’OMS a été trop faible”.

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11 pays se sont opposés à la déclaration

Le consensus sur le PPPR n’est pas universel. Dans une lettre adressée le 17 septembre à Denis Francis, président de l’Assemblée générale des Nations unies, et cosignée par les représentants de 11 pays, les “préoccupations légitimes” d’un grand nombre de pays en développement ont été ignorées.

Ces 11 pays sont le Bélarus, la Bolivie, Cuba, la République populaire démocratique de Corée, l’Érythrée, la République islamique d’Iran, le Nicaragua, la Fédération de Russie, la République arabe syrienne, le Venezuela et le Zimbabwe.

Leur lettre rompt la “procédure du silence” en déclarant : “Nos délégations sont convaincues que ce n’est pas une façon de traiter des négociations multilatérales et intergouvernementales sur des questions de grande importance pour la communauté internationale, en particulier pour les pays en développement”.

La lettre ajoute qu’”aucun consensus n’a été atteint sur l’un ou l’autre de ces processus”. Toutefois, la lettre ne contient pas d’objections spécifiques au contenu de la déclaration PPPR.

Selon M. Boyle, les objections des 11 nations devraient “empêcher que cette déclaration soit adoptée par consensus et qu’elle devienne ainsi partie intégrante du droit international coutumier, ce qui est l’intention de ceux qui sont à l’origine de cette déclaration”.

“Ils n’ont pas pu la faire passer par l’Assemblée générale des Nations unies en tant que résolution de consensus en raison des 11 États qui s’y opposaient”, a déclaré M. Boyle. “Ils essaient de la déformer la représenter faussement en la faisant approuver par le président de l’AGNU, et non par l’AGNU.

Think_eugenisme
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Une organisation soutenue par Gates a poussé à la déclaration de la PPPR

Outre les représentants nationaux, des organisations telles que Gavi, l’Alliance du vaccin – reconnue comme partie prenante et “observateur” par l’OMS – ont également participé à la réunion d’aujourd’hui.

Gavi proclame sa mission de “sauver des vies et protéger la santé des populations” et déclare qu’il “aide à vacciner près de la moitié des enfants du monde contre des maladies infectieuses mortelles et débilitantes”.

La Fondation Bill & Melinda Gates est un partenaire de Gavi et occupe un siège permanent à son conseil d’administration, tout comme l’OMS, l’UNICEF et la Banque mondiale.

Gavi a décrit l’ l’assemblée générale des Nations unies de cette année comme “une étape importante” sur la voie de la réalisation de la date butoir de 2030 pour les objectifs de développement durables, et a déclaré que la réunion de haut niveau est “une occasion unique et historique pour les dirigeants d’adopter une approche globale de l’ensemble du gouvernement et de la société pour faire face aux menaces de pandémie”.

“En tirant les leçons de la phase aiguë de la pandémie, le moment est venu de façonner un système plus réactif et plus résilient”, a déclaré Gavi, ajoutant qu’”une action urgente est nécessaire pour atteindre les cibles de l’ODD 3 [health and well-being] et atteindre tous les enfants avec des vaccins qui sauvent la vie.”

Gavi s’est également attribué un rôle dans ce processus, en déclarant : “Les agences spécialisées telles que Gavi devraient également jouer un rôle de premier plan, en s’appuyant sur l’expertise technique et les leçons tirées de la réponse à la pandémie de Covid-19 pour parvenir à l’équité en matière de santé”.

Selon M. Bell, Gavi est un exemple d’organisation qui n’a pas été “affectée négativement” par la catastrophe du Covid-19. “Les personnes et entreprises qui financent une grande partie des travaux de l’OMS en matière d’urgences sanitaires, ainsi que ceux de ses organisations sœurs telles que la CEPI (Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies),, Gaviet Unitaid,s’en sont fort bien tirées grâce aux politiques qu’elles ont défendues avec tant d’ardeur”, a-t-il écrit.

Le PPPR envisage un “goulag numérique”, négocié dans le “secret”

Gaffney, qui organise un séminaire en ligne aujourd’hui concernant les propositions visant à étendre les passeports vaccinaux et à accorder plus de pouvoir à l’OMS, a déclaré que le PPPR s’inscrivait dans le cadre d’une prise de pouvoir plus large de l’OMS et de l’ONU, y compris des propositions qui devaient être discutées à l’ONU en septembre 2024, pour accorder au secrétaire général des Nations unies des pouvoirs d’urgence d’une durée indéterminée.

“L’ONU et l’OMS envisagent toutes deux ce genre de goulag numérique comme un mécanisme permettant d’exercer ce type d’autorité, et en particulier la capacité de ces entités à dicter ce qui doit être fait en réponse à ce qu’elles décident comme étant une crise, liée à la santé ou autre”, a déclaré M. Gaffney. “C’est ce qui m’inquiète le plus”.

Le Dr Michel Kazatchkine, médecin et diplomate français, membre de l’équipe qui a rédigé la déclaration du PPPR, a déclaré que la déclaration et la proposition d’accorder des pouvoirs d’urgence au secrétaire général de l’ONU sont liées.

Selon M. Roguski,la déclaration de la PPPR est l’une des “quatre pistes auxquelles il est important de prêter attention en ce moment”, avec les Amendements au RSI adoptés en mai 2022qui, selon lui, “doivent être rejetés d’ici la fin du mois de novembre”, les nouveaux amendements au RSI et le “traité sur les pandémies” (officiellement appelé WHO CA+ Framework Convention (convention-cadre CA+ de l’OMS).

M. Roguski a déclaré au Defender que la date butoir de mai 2024 pour l’adoption des amendements au RSI et du “traité sur les pandémies” à l’Assemblée mondiale de la santé de l’OMS est compromise en raison des nations qui s’y opposent – un point de vue partagé par M. Gostin, qui a déclaré que la date butoir de mai 2024 serait “difficile à atteindre”, mais a fait remarquer que “la raison de la rapidité est impérieuse”.

M. Roguski a déclaré que les négociations sur le PPPR avaient été menées dans le “secret” et a noté que la déclaration du PPPR “ne dit rien” des efforts visant à développer un réseau mondial de certification numérique en matière de santé, qui établirait un cadre mondial pour la mise en œuvre de “passeports vaccinaux” et d’autres types de certificats de santé.

M. Roguski a déclaré qu’au lieu de demander l’arrêt de la recherche sur le gain de fonction, le PPPR soutient le financement des efforts de l’OMS “pour mettre en œuvre un système d’accès aux agents pathogènes et de partage des avantages“. Selon lui, cela “augmente le risque de propagation d’agents pathogènes mortels, et ce de manière délibérée”.

Selon la déclaration du PPPR, une réunion de haut niveau examinant les progrès réalisés dans la mise en œuvre du PPPR se tiendra à New York en 2026. D’autres réunions de haut niveau sur la santé organisées cette semaine par l’Assemblée générale des Nations unies sont consacrées à la couverture sanitaire universelle et à la tuberculose.

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