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Ingérence de l’empire: Le milliardaire Soros reconnaît la participation de sa fondation dans le coup d’état de Kiev…

Posted in actualité, colonialisme, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , on 5 août 2014 by Résistance 71

Révélations de George Soros: Du symptôme au diagnostic

 

LVDR

 

5 Août 2014

 

url de l’article (avec audio):

http://french.ruvr.ru/radio_broadcast/217362642/275499290/

 

Il y a à peine quelques jours, M. Georges Soros que la majeure partie des sources encyclopédiques présentent comme un financier milliardaire, investisseur, sociologue et surtout … philanthrope, a fait un certain nombre de révélations tout à fait intéressantes. Loin de surprendre, elles confirment toutes les analyses prétendument conspirologiques de ces derniers mois.

M. Soros a fait preuve d’une franchise sans précédent lors d’une interview accordée à Fareed Zakaria (émission diffusée par la chaîne CNN) où il annonce avoir crée, sur le territoire ukrainien, une fondation dont le but était de préparer le coup d’état de février et de contribuer, ultérieurement à celui-ci, à la formation d’une armée satisfaisant les critères psychologiques (lire idéologiques) fixés par le Département d’Etat des USA. C’est donc sans équivoque que le milliardaire américain reconnait avoir financé l’EuroMaïdan qui a conduit à des effusions de sang faussement attribuées au Berkout. Voici un extrait de l’interview en question.

Fareed Zakaria. « Commençons par l’Ukraine. Il est bien connu que vous aviez financé, durant la période des révolutions de 1989, des activités dissidentes et de groupes civiles en Europe de l’Est, en Pologne et en Tchéquie. Peut-on affirmer que vous êtes en train de faire la même chose en Ukraine ?

Georges Soros. J’ai crée une fondation en Ukraine avant que cette dernière ne devienne indépendante de la Russie. Cette fondation n’a pas suspendu son activité depuis lors et a joué un rôle important dans les évènements auxquels nous avons récemment assisté ».

Toute considération éthique mise à l’écart, notons au passage que M. Soros sert les intérêts de Washington et que c’est son droit. Notons également ce petit secret de Polichinelle qui est qu’il y a un lien direct entre les activités de ce monsieur et celles de la Fondation nationale pour la démocratie, supplétif de la CIA, de l’International Republican Institute ou de la Freedom House. Affublées des plus nobles motifs qui se résument toutes au nouvel épouvantail du XXIème siècle, « la démocratie » genre « pax americana », ces organisations ont promu et sponsorisé les révolutions de couleur qui ont secoué les anciennes républiques soviétiques. Il aurait dû en être pareil de la Russie, par exemple après les manifs de 2011 (premier grand meeting place Sakharov) si, de un, la situation économique du pays avait été moins stable qu’elle ne l’est, de deux, si le renseignement avait travaillé moins efficacement qu’il ne l’avait fait et en 2011, et en avril de l’année en cours, lors de la « Marche pour la Vérité » dont les participants, pour la plupart solidaires d’une Ukraine qu’ils ne connaissent pas, ont pensé que Poutine démissionnerait sur le champ et que l’ensemble de la population adhérerait à LEUR « vérité » à eux.

Le problème, c’est que la vérité des Nosik, des Benediktov et des Zygar est assez peu compatible avec la réalité des jours noirs qu’a vécu le Maïdan une fois l’euphorie des premières heures passée, assez peu compatible avec les épurations ethniques que vivent, en ce moment même, Donetsk et Lougansk, enfin, assez peu compatibles avec les énormités de la propagande occidentale qui en fait nourrit bien davantage les jérémiades de l’opposition russe qu’elle ne s’en inspire.

Et en effet, que voyons-nous aujourd’hui ? Soros admet des faits impensables de l’autre côté du miroir si, imaginons-le, un milliardaire russe avait sponsorisé un coup d’Etat en France pour ensuite en faire publiquement l’aveu. Mais restons terre-à-terre. Il est vrai que les Ukrainiens ne portaient pas dans leur cœur Ianoukovitch, personne ne dit le contraire ! Mais alors qu’est-ce que M. Soros, fut-il mille fois philanthrope, vient faire dans toute cette histoire ? N’aurait-il pas été plus simple de laisser Ianoukovitch terminer son mandat qui de toute façon expirait en 2015 et de voter ensuite Porochenko ?

Bien que fatal à l’unité de l’Ukraine, le Maïdan a cela de bon pour la Russie que ses conséquences ont intimidé jusqu’aux plus résolus. Des anciens collègues de la fac de philo qui pendant très longtemps ont cru qu’il était aussi « chic » de clamer des slogans pseudo-politiques que de citer les prolégomènes kantiens ont tout à coup arrêté de fréquenter les meetings anti-Poutine qu’ils se targuaient de fréquenter auparavant. Leurs publications sur facebook sont tout sauf politiques. La toute récente condamnation de Navalny a certes rassemblé un modeste groupe d’oppositionnaires, sans plus. Sakharov s’est essoufflé en même temps que le Maïdan. La mode anti-Poutine est passée comme par magie. Se trouvera-t-il un nouveau noyau dur qui arrivera à galvaniser une certaine partie de l’« intelligentsia » en jouant la carte des sanctions et de l’isolement ? Il est difficile d’y répondre pour l’heure. Même si ce n’est pas exclu, ce n’est pour le moment pas le cas.

Entre temps, la presse occidentale multiplie ses spéculations en fondant la plupart de ses analyses soit sur des erreurs factuelles, soit sur de fausses interprétations. En voici quelques exemples assez typique : le Boeing 777 a été abattu par les Insurgés, les Insurgés sont des terroristes que la majeure partie des habitants du Sud-Est ne soutient pas, la Russie arme systématiquement les forces insurrectionnelles, Poutine mène la même politique qu’Hitler, etc. On ne demande pas de preuves. Puisque Washington le dit, puisque le Parlement européen le répète, c’est ainsi. Et si vous dites le contraire, vous êtes à la solde du FSB (encore merci quand on ne dit pas KGB mes collègues français étant parfois sujets à des accès d’anachronisme). Il suffit de voir le très récent débat qui a opposé Xavier Moreau (cf. Realpolitik) à Mme Pascale Joannin, directeur général de la Fondation Robert Schuman, un chef-d’œuvre.

La Russie continue sa politique que je dirais stabilisatrice en déjouant avec brio les pièges de la Maison-Blanche. D’un côté, aux yeux de certains patriotes plus enclins aux décisions émotionnelles, Poutine commet une lourde erreur en se distanciant de la guerre civile dans le sud-est ukrainien. D’un autre côté, le calme olympien du Kremlin face aux sanctions kafkaïennes de l’UE qui ne font que renforcer les liens de la Russie avec les autres membres du groupe des BRICS contribue à miner l’autorité des USA.

En pratique, le résultat ne s’est pas fait attendre. L’ONU a exprimé ses doutes quant à l’implication de la Russie dans le conflit ukrainien. Inquiète des sanctions infligées à cette dernière par ses collègues européens, Angela Merkel a subitement abandonné leur rhétorique lapidaire. Certains experts occidentaux ont même tendance à croire que cette distanciation allemande de la politique américaine vis-à-vis des USA a commencé un peu avant le début des évènements en Ukraine, ce qui expliquerait, selon eux, l’histoire des écoutes de la chancelière par la NSA. Quoi qu’il en soit, le suivisme suicidaire des pays européens dans l’affaire ukrainienne n’a fait que renforcer ce degré de distanciation. S’y ajoutent les révélations de M. Soros qui illustrent on ne peut mieux les allers et venues de l’establishment américain place Maïdan. Tout comme l’OTAN, le mainstream médiatique n’a donc plus le casus belli qu’il lui faut tant pour boucler la boucle aux frontières de la Russie. En somme, si M. Soros a parlé, c’est que les masques sont définitivement tombés et que Kiev est sur le point d’être abandonné par Washington.

Droits de l’Homme et hypocrisie: Amnesty International comme agence de propagande du ministère des affaires étrangères américain…

Posted in actualité, désinformation, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, média et propagande, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, presse et média, résistance politique with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 31 août 2012 by Résistance 71

A lire en parallèle l’article de Paul Craig Roberts sur la diabolisation de Poutine et la corruption des organisations de défense des droits de l’Homme comme Amnesty International. L’éveil et la poussée de démystification salvatrice semblent opérer de concert…

— Résistance 71 —

Amnesty International est une agence de propagande du ministère des affaires étrangères états-unien

Amnesty est dirigée par des représentants du ministère des affaires étrangères états-unien, financeé par des criminels financiers condamnés et menace la véritable défense des droits de l’Homme mondialement.

 

par Tony Cartalucci

 

 

le 21 Août 2012,

 

 

url de l’article original:

http://landdestroyer.blogspot.ca/2012/08/amnesty-international-is-us-state.html

 

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

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Souvent considérée à tort par beaucoup comme étant la quintessence sur la question des droits de l’Homme dans le monde, cela pourra choquer certains d’apprendre qu’Amnesty International n’est en fait qu’un des plus grands obstacles à la véritable cause et défense des droits de l’Homme sur cette planète. Dans un de ses plus récents rapport en 2012 (2012 annual report (page 4, .pdf), Amnesty répète un de ses plus grands mensonges, qu’elle a l’habitude de marteler:

“Amnesty International est financée essentiellement par ses membres et dons publics. Aucun financement n’est recherché ou accepté de la part de gouvernements pour enquêter et faire campagne contre les abus des droits de l’Homme. Amnesty International est indépendante de tout gouvernement, idéologie politique, intérêt économique ou religieux.”

Ceci est catégoriquement faux.

Amnesty International est en fait non seulement financée et gérée par des gouvernements, mais aussi par de très gros intérêts corporatifs, elle n’est pas seulement impliquée dans des intérêts politiques et économiques, mais elle est en fait un outil essentiel utilisé pour perpétuer et satisfaire ces intérêts particuliers.

Le financement d’Amnesty International

Trouver les informations à propos du financement d’Amnesty International sur leur site internet est rendu volontairement difficile; de manière spécifique et pour protéger le mythe que cette organisation est “indépendante”. Comme toute opération criminelle organisée, Amnesty sépare les liens financiers compromettant au travers toute une série de manœuvres et d’organisations boucliers. Le site d’Amnesty stipule: “Le travail du secrétariat d’Amnesty International est organisé en deux entités légales en accord avec la loi britannique. Celles-ci sont Amnesty International Limited (AIL) et Amnesty International Charity Limited (AICL). Amnesty International Limited s’occupe d’activités charitables pour Amnesty International Charity Limited, une association enregistrée comme charitable.”

C’est ici, à Amnesty International Limited, que sont mis les liens avec les gouvernements et les intérêts industrio-financiers. A la page 11 du rapport et déclaration financière pour 2011 d’Amnesty International Limited (2011 Report and Financial Statement (.pdf) ), il est dit: “Les directeurs sont heureux de faire savoir le soutien accordé par la John D. and Catherine T. MacArthur Foundation, la Oak Foundation, l’Open Society Georgia Foundation, the Vanguard Charitable Endowment Programme, Mauro Tunes and American Jewish World Service. Le département britannique pour le développement international (Governance and Transparency Fund) a continué de financer un projet éducatif sur les droits de l’Homme de quatre ans en Afrique. La commission Européenne (EuropeAid) nous a généreusement récompensé d’un fond sur plusieurs années pour un travail éducatif sur les droits de l’Homme en Europe pour Amnesty International.”

De manière évidente donc, Amnesty prend de l’argent à la fois des gouvernements et d’intérêts industrio-financiers, dont un des plus connu, l’Open Society, est dirigée par le criminel de la finance, repris de justice George Soros. En Mars 2012, il fut rapporté par Bloomberg TV que: “Soros avait perdu son procès où il était accusé de délit d’initié en France”, indiquant également qu’un appel basé sur une “violation des droits de l’Homme” contre le spéculateur de Wall Street George Soros avait été rejeté par la Cour Européenne des Droits de l’Homme.

Soros, dont l’Open Society finance également Human Rights Watch et une myriade d’autres associations pour les “droits de l’Homme”, a littéralement essayé d’utiliser le racket occidental sur les droits de l’Homme pour se défendre lui-même contre des accusations de fraude financière et ceci est peut-être la plus belle et transparente représentation de la façon dont ce racket opère.

Soros, qui fut condamné et dût payer une amende pour délit d’initié en 2002 dans le cas d’actions de la banque française Société Générale qu’il avait achetées en 1988, a bâti un empire de ses activités criminelles mondiales sous couvert de la cause des “droits de l’Homme”. Son soutien d’Amnesty International, ainsi que celui du gouvernement britannique et des gouvernements européens, ne vise en fait qu’à étendre sa nébuleuse influence.

Le leadership d’Amnesty International

Le leadership d’Amnesty nous donne également des indications sur son véritable agenda. Suzanne Nossel, Directrice Exécutrice pour Amnesty International USA, par exemple, provient directement du ministère des affaires étrangères américain, toujours en total contradiction avec la prétention d’Amnesty d’être “indépendant” des intérêts corporatifs et gouvernementaux. Nossel a continué à promouvoir la politique étrangère des Etats-Unis, mais simplement de derrière un pupitre arborant un nouveau logo. Le site internet d’Amnesty International mentionne de manière spécifique le rôle de Nossel derrière les résolutions de l’ONU contre l’Iran, La Syrie, la Libye et la côte d’Ivoire, toutes soutenues par le ministère des affaires étrangères américain.

Image (à voir sur l’article original): Mêmes mensonges, différent pupitre. Suzanne Nossel, anciennement du ministère des affaires étrangères US est maintenant directrice exécutif d’Amnesty International USA. Sa fonction principale de déguiser les aspirations hégémoniques des intérêts industrio-financiers mondialistes comme une “défense des droits de l’Homme” n’a pas changé.

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Il a été grandement documenté comment tout ceci tourne autour d’un plan échelonné sur plusieurs décennies, établi par les intérêts industrio-financiers, pour diviser, détruire et ruiner ces nations qui ont été un obstacle au développement de l’hégémonie globale américaine. Dans le cas spécifique de la Syrie, il a été révélé que la catastrophe “humanitaire” courante remonte à une vicieuse conspiration de 2007 documentée dans le magazine “New Yorker” par le journaliste Seymour Hersh; complot ourdit entre Israël, les Etats-Unis et l’Arabie Saoudite, qui cherchèrent à financer, armer et déployer des extrémistes sectaires en Syrie pour miner et renverser le gouvernement syrien, tout en sachant pertinemment la tragédie humaine que cela inmpliquerait.

Les “contributions” de Nossel ne sont en fait que de simples déguisements pour une agression militaire ouverte et la poursuite de l’hégémonie globale des intérêts industrio-financiers et ce sous couvert de “défense des droits de l’Homme”.

Un simple coup d’œil au site internet AmnestyUSA.org nous révèle que chaque front développé par le ministère des affaires étrangères américain est aussi prioritaire pour Amnesty International, de manière bien sûr purement coïncidentelle. Ceci inclut les rassemblements et les campagnes de soutien aux groupes d’opposition russes financés par le ministère (couramment fixé sur l’affaire “Pussy Riot”), la déstabilisation du gouvernement syrien, le renversement du gouvernement biélorusse et le soutien de l’icône créé par Wall Street et la City de Londres Aung San Suu Kyi du Myanmar (toujours appelé par la nomenclature impérialiste britannique et par Suu Kyi elle-même: la “Birmanie”…)

Amnesty International trahit la véritable défense des droits de l’Homme

Amnesty couvre certainement des problèmes qui sont critiques pour la politique étrangère des Etats-Unis, vers la fin de leur site internet et au dos de ses rapports. De la même manière, les médias corporatistes ne rendent compte que de manière sélective dans leurs rapports que de problèmes qui coïncident avec leurs intérêts, alors que d’autres problèmes sont complètement étouffés voire complètement ignorés. C’est précisément parce qu’Amnesty couvre tous les problèmes, mais sélectionne l’amplification à donner aux problèmes qui sont importants pour les intérêts de grosses corporations ou du cartel de la finance, que cela rend Amnesty un des plus grand frein à une véritable défense des droits de l’Homme sur Terre.

Images (à voir sur l’article original):. Fabrication de la dissidence. “Free Pussy Riot”, de manière ironique, la FIDH est directerment financée par le ministère des affaires étrangères US, par la très néoconservatrice US National Endowment for Democracy (NED) ainsi que l’Open Society de George Soros. “Russia, stop arms transfer to Syria”. Si le ministère des affaires étrangères US le veut, soyez certains qu’Amnesty International, gérée par ce même ministère, poussera pour des manifestations et indépendemment de la taille ou de la légitimité des revendications, attendez-vous à ce que les médias corporatistes prennent fait et cause pour elles.

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On donne aux gens la fausse impression que “quelqu’un observe attentivement les abus concernant les droits de l’Homme”, alors qu’en réalité ce que font Amnesty et autres organisations du même style, n’est que la gestion de la perception publique de manière sélective sur les problèmes d’abus des droits de l’Homme, fabriquant ou manipulant nombre de cas spécifiquement afin que ceux-ci cadrent dans l’agenda des intérêts industrio-financiers idoines. Ceci peut-être apprécié lorsque des rapports entiers émanant d’Amnesty International et de Human Rights Watch ne consistent qu’en des “témoignages” compilés depuis les dires de membres de groupes d’opposition soutenus par les Etats-Unis.

Dans le cas très rare où un rapport inclut des références à des photos, des vidéos ou des preuves dûment documentées, tels le rapport de Human Rights Watch de 2011 intitulé “Descente dans le chaos” ( 2011 « Descent into Chaos » (.pdf) ), un langage trompeur est volontairement intégré, couplé avec des passages inutiles afin de favoriser un journalisme sélectif et de pouvoir faire pirouetter l’information par non seulement les médias occidentaux, mais aussi par une myriade de fausses organisations ONG, financées et gérées par les sponsors et affiliés d’Amnesty International et Human Rights Watch. La “Descente dans le chaos” était un rapport concernant la Thaïlande, qui fut rapidement et amplement retourné, pirouetté par les fausses ONG du ministère des affaires étrangères US et le “défenseur des droits de l’Homme” Prachatai.

Lorsque le public croit de manière éronnée que des organisations crédibles s’occupent de la “défense des droits de l’Homme”, il ne devient pas seulement complacent, mais il devient également négligent de ses propres responsabilités à examiner objectivement les abus potentiels et de s’exprimer contre. Les intérêts industrio-financiers particuliers de Wall Street et de la City de Londres ont en fait rempli un vide existant, qui aurait dû être occupé par leurs plus féroces opposants, au lieu de cela, ce vide est empli d’un racket soi-disant défenseur des droits de l’Homme de leur propre création. Ils ont non seulement obtenu une opportunité facile pour abuser les droits de l’Homme à l’échelle mondiale, mais ils ont en plus utilisé leur opposition contrôlée à cet effet pour attaquer leurs opposants (géopolitiques).

Il est très clair qu’Amnesty International n’est en aucun cas un “défenseur des droits de l’Homme”, mais plutôt une insulte à la défense des droits de l’Homme. Il va sans dire que cette organisation devrait être boycotté jusqu’à extinction et au moins identifiée comme étant illégitime et frauduleuse de par son financement occulte et son leadership compromis et corrompu.

De plus, nous, les peuples devons adresser le vrai problème des violations de nos droits à la base de la société, parce que c’est faire preuve de folie absolue que de croire que les organisations d’obédience mondiale, financées par des intérêts industrio-financiers privés, faisant écho à l’agenda des gouvernements motivés par des intérêts très spéciaux, ont notre intérêt commun et nos droits en tête lorsqu’elles agissent.