Archive pour mohawk détail indien l-81

Résistance au colonialisme: Les 15 d’Onondaga contre la farce judiciaire colonialiste…

Posted in actualité, altermondialisme, canada USA états coloniaux, colonialisme, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, police politique et totalitarisme, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 20 octobre 2016 by Résistance 71

Lors du siège d’Oka en 1990, une ancienne de la nation Mohawk s’adressa en ces termes aux colons (québecois) venus aux nouvelles:

“Regardez bien ce qu’il se passe ici et comprenez que lorsqu’ils en auront fini avec nous, ce sera votre tour…”

Cette ancienne avait déjà parfaitement raison.

Parce que nous sommes tous des colonisés, la solution réside, comme mentionné dans le premier paragraphe du texte ci-dessous, dans l’union des peuples colonisés par l’occident hégémonique et des peuples occidentaux émancipés de l’idéologie colonialiste (donc étatiste) et se tenant debout, main dans la main avec ses frères des nations indigènes, partout, créant ainsi les fondations de la société des sociétés, seule alternative viable au marasme étatico-capitaliste, cancer de la société humaine en phase terminale.

~ Résistance 71 ~

 

Pas de reddition

 

Mohawk Nation News

 

18 octobre 2016

 

url de l’article original:

http://mohawknationnews.com/blog/2016/10/18/no-surrender/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Le génocide américain de notre peuple n’est pas terminé tant que Kaia’nere:kowa (La Grande Loi de la Paix) n’a pas gagné ! Nous ne battrons pas en retraite, nous ne nous rendrons pas. Les colons qui ne se tiennent pas à nos côtés sont complices. Les règles entrepreneuriales sont créées pour les rendre non responsables de leur tentative de nous annihiler. Les soldats du “détail indien” l-81 sont passés en jugement et ont été trouvés non coupables d’une attaque à mains armées de style militaire sur des onkwe’hon:weh (autochtones) désarmés se réunissant sur une terre privée durant une cérémonie. Ils portaient des casques et de l’équiment de guerre. Nous, rotino’shonni (iroquois), allons les tenir pour responsables. Nous continuerons nos efforts jusqu’à ce qu’ils soient accusés de génocide devant le tribunal international.

Tout comme à Oka en 1990, ce fut une attaque surprise en ce 18 mai 1997, prenant pour cible des hommes, des femmes, des enfants et des anciens désarmés ; attaque perpétrée vicieusement par les sbires du détail Indien, armés de matraques à bout métallique, de bottes, d’armes, de gaz lacrymogène et de tout autre équipement de guerre en leur possession. Nos gens firent face et furent tabassés, des jambes et des côtes furent brisées, des têtes ensanglantées et bien des personnes arrêtées. L’armée n’a pas ouvert le feu à la mitrailleuse, bien qu’elle devait les avoir pas bien loin, prêtes à l’emploi.

Les femmes, les enfants et les anciens constituaient 75% des gens sur place. Les “faibles” furent la cible afin de décimer notre communauté et nos familles.

Les chefs tribaux onondaga ne font pas leur devoir de combat. Ils veulent que tout le monde se soumette à leur règle corporatiste de connivence. Oren Lyons et Ollie Gibson ont aidé à envoyer le détail Indien de l’état de New York pour nous faire taper dessus et effrayer leur propre peuple. Ils ont établi la “liste des personnes” à cibler.

Ceux qui prient envers une entité extértieure pour les sauver donnent leur pouvoir à l’ennemi. Parlez à nos ancêtres. Autrement, l’ennemi gagne.

Les membres de la police de l’état de New York George Beach, Dennis Blythe, James Parmley, Robert Haumann et James D. Moynihan ont planifié, supervisé et mis en action cette attaque non provoquée. George Beach a ordonné aux soldats d’enlever leur badge leur disant qu’il n’y aurait “aucune négociation, virez-les c’est tout.” Les gens présents furent encerclés et attaqués. Personne n’était supposé pouvoir s’échapper. Les vidéos montrent clairement qu’il n’y avait personne sur la route. La décision du juge de la cour suprême Sotomayor en 2006 a confirmé que l’attaque était illégale et que l’INDIAN detail n’avait pas de défense et ne pouvait pas plaider l’immunité qualifiée.

Le protocole a donc maintenant été étabi de laisser l’armée attaquer quiconque en toute impunité. Nous n’avons pas pu identifier la force déguisée. Ils auraient très bien pu aussi être une unité mercenaire appelée pour nous sortir.

La presse était à la plus grande réunion cérémoniale de la confédération iroquoise. Elle a inventé l’histoire que la réunion était une “manifestation”.

Cette attaque fut un false-flag. L’état de New York a inventé les accusations que nous empiétions sur notre propre propriété, que nous étions sur l’autoroute, que nous avions peut-être des armes etc. L’armée et le “cercle indien” étaient en charge de cette opération.

Si cette affaire demeure en l’état, alors ils permettront, récompenseront et endorseront des attaques illégales par l’armée. Les 15 d’Onondaga vont faire appel.

Résistance au colonialisme génocidaire: Les Mohawks cherchent justice devant le système judiciaire colonial sur une affaire de 20 ans…

Posted in actualité, altermondialisme, canada USA états coloniaux, colonialisme, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, militantisme alternatif, police politique et totalitarisme, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , on 21 août 2016 by Résistance 71

Rappel des fait en 2006 sur cette affaire de 1997

et aussi ici

 

Le tribunal véreux de l’état de New York

 

Mohawk Nation News

 

19 août 2016

 

url de l’article original:

http://mohawknationnews.com/blog/2016/08/19/nys-kangeroo-court/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Le juge Frederick J. Scullin de Syracuse dans l’état de New York, juge fédéral nommé à vie par le président des Etats-Unis, entre comme un briseur de gang. Il claque des talons et s’assoit à l’avant de ce navire pirate appelé “Tribunal Fédéral de District”, avec 10 minutes de retard.

“Ceci est mon tribunal et tout le monde doit obéir à mes règles !” Cinq pro se plaignants/victimes de l’assaut par l’escadron de la mort de la police de l’état de New York en date du 18 Mai 1997, appelé le “l-81 DETAIL INDIEN”, avaient quelques minutes de retard. Après avoir retardé le processus judiciaire pendant près de 20 ans, Scullin les jeta promptement hors de l’affaire. La sécurité les retenait en bas ; après bien des objections verbales, ils furent réinstaurés.

Scullin, votre tribunal de pacotille n’a aucune juridiction sur les affaires internationales qui doivent toujours être résolues. Votre tribunal a induit nos avocats Terrance Hoffman, Robert Anello et Jodi Peikin (et quelques autres), à nous abandonner.

Juge Scullin, vous êtes partial, irrespectueux et en aucun cas neutre dans cette affaire qui devrait vous être retirée. Le transcript et l’enregistrement de la session le démontrera parfaitement. Nous ne pouvons pas obtenir un procès juste et équilibré dans un tribunal de l’amirauté parce que ces tribunaux n’ont cours que pour les banques et les entreprises et ne sont toujours qu’au sujet de l’argent.

Nous n’avons pas provoqué, ni causé l’attaque de mai 1997, ni le retard judiciaire. Scullin a demandé si nous voulions toujours un procès par jury ou un jugement de cour devant sa personne. L’assistant avocat général pour l’état de NY, Tim Mulvey, a rapidement sauté sur l’occasion et hurla “oui, oui, oui”. Nous avons dit: “Non ! Nous voulons une audition juste et impartiale devant un jury”, ainsi le jury pourra juger sur preuves.

Mulvey a une motion pour faire retirer 35 flics de l’affaire. Ils faisaient tous partie de l‘escadron de la mort qui a mené la bastonnade qui aurait pu mener à des morts d’hommes, de femmes, d’enfants et de personnes âgées, qui s’étaient paisiblement réunis sur une propriété privée. Nous voulons une audition des évidences et des faits devant un jury dans cette affaire. Chaque flic ayant participé doit passer en jugement et ne peut pas utiliser la sempiternelle phrase du “j’exécutais les ordres” comme défense, puis que cette méthode fut invalidée par le tribunal de Nüremberg en 1946.

Beaucoup des 76 victimes recevant des compensations n’étaiernt pas là. Quelques unes d’entre elles soutiennent le retrait de 35 policiers et de les exempter de toute malversation parce qu’elles ne les ont pas vu faire quelque chose utilisant la force. Quoi ? On nous réduisait en bouillie ! Ils veulent aussi que nous identifions ces flics qui avaient retiré leurs badges et s’étaient déguisés. Ils faisaeint tous partie de la maudite détresse émotionnelle que nous avons tous ressentie ce jour là.

Nous avons refusé d’accepter les compensations achetant notre silence. Après que Scullin eut quitté le tribunal, Mulvey a dit que nous pouvions expliquer notre histoire à un juge et il nous offrit une petite somme compensatoire. Nous avons refusé. Nous voulons que le monde sache que nous luttons pour obtenir justice depuis près de 20 ans maintenant dans ce système de tribunal de l’amirauté (colonial) fait pour les entreprises (coloniales).

Puis Mulvey a remis ses mains dans ses poches et nous a dit qu’il allait faire objection à tout ce que nous allons présenter, spécifiquement les vidéos de police montrant l’attaque. Tout le monde peut voir ces vidéos, elles sont partout sur internet depuis longtemps.

Les flics de l’état de NY James Parmley et George Beach ont plannifié et exécuté cette mission l-81 du détail indien de 1997, qui fut ordonnée depuis le bureau du président Clinton. Parmley a pris sa retraite. Le gouverneur de l’état de NY Cuomo a promu le Lt. Colonel George Beach comme le superintendant de la police de l’état de New York.

Scullin a démontré un irrespect absolu ; il est venu pour intimider. Nous allons rechercher une aide de la communauté internationale afin de mener cette affaire devant un tribunal de résolution ne dépendant de l’amirauté (coloniale) et où nous pourrons obtenir un procès juste. Il n’y avait aucun journaliste durant l’audition à ce tribunal. Eux et les médias sont tous contrôlés par le “Cercle Indien”.

Demandez de quoi il retourne à ces officiels:

Angela C. Winfieldawinfield@barclaydamon.com; Brittany E. Aungier baungier@barclaydamon.com; Carol L. Rhinehart crhinehart@ongov.netdkarle@ongov.net; Devin M. Caindcain@maglaw.com; Elkan AbramowitzEAbramowitz@maglaw.com; Gabriel M. Nugent gnugent@barclaydamon.com Fax 1-315-425-2836; Joanna Gozzi Joannagozzi@ongov.net, denisekarle@ongov.net; Jodi M. Peikin JPeikin@Maglaw.com, CSeel@Maglaw.com, RAnello@Maglaw.com; Robert J. Anello ranello@magislaw.com; Terrance J. Hoffman tjhoffman@cnymail.com; Timothy P. Mulvey timothy.mulvey@ag.ny.gov Fax 1-315-448-4800; Judge Scullin’s assistant Nicole Eallonardo Nicole_eallonardo@nynd.uscourts.gov Fax 1-315-234-8501. Please let us know what you find out.