COVID-19 et injections ARNm crime contre l’humanité : l’effort de vérité des scientifiques japonais est décisif (Karen Kingston sur la vidéo de conférence de presse des professeurs Fukushima et Murakami)

MERCI DE DIFFUSER LE PLUS POSSIBLE CETTE INFO DES PLUS IMPORTANTES !!

Des scientifiques nippons, concernés par la poussée des nanoparticules non seulement dans la pharmacologie, mais aussi dans tout l’agro-alimentaire, sont en train de faire péter les verrous de la chape de plomb de la censure sur ce sujet. L’information est relayée en anglais, nous faisons une partie du boulot en français, il y a tant à faire… Lecteurs ! Relayez cette information partout où vous le pouvez, il est essentiel de faire comprendre que l’humanité est sous attaque nano-technologique tout azimut. Nous devons en sortir tant qu’il est encore temps !
Cet article, s’il se focalise sur les injections ARNm anti-COVID-19, met aussi en évidence sur la fin le grand problème des nanoparticules de l’alimentaire, des cosmétiques des vêtements etc, etc…
~ Résistance 71 ~

Professeur Fukushima, université de Kyoto

Les nanoparticules sont le problème #1 dans le monde aujourd’hui d’après une revue systémique de la littérature scientifique globale

Karen Kingston

17 janvier 2024

Url de l’article original :

https://karenkingston.substack.com/p/nanoparticles-are-the-worlds-1-problem

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

“Les gens qui ne connaissent rien au sujet de la médecine et de la biologie n’y pensent pas (aux nanoparticules), c’est pourquoi ils appellent cela un vaccins ARNm, heureux les ignorants… Ils tombent dans un puit infernal sans fond.” (Professeur Fukushima, Kyoto U)

modRNA, ‘lipid’ nanoparticles, et autres technologies de modification génétique ont échoué de manière épique à fournir un quelconque bénéfice pour l’humain et ce depuis des décennies. Depuis le lâcher mondial des injections à ARNm anti-COVID19 sur les populations civiles, ces technologies à nanoparticules ont causé une augmentation massive de maladies, de handicaps, de stérilité et de décès chez les hommes, femmes et enfants ces trois dernières années.

Les affirmations ci-dessus furent récemment confirmées le 11 janvier 2024 ( January 11, 2024, vidéo en japonais avec sous-titrage anglais) par le groupe de recherche japonais sur les problèmes liés à la vaccination de la Japanese General Incorporated Association. Ces scientifiques et médecins prestigieux ont tenu une conférence de presse pour rapporter les résultats de leur revue systémique sur des milliers de publications de la littérature scientifique allant du NIH à la base de données PubMed et autre bases de données mondiales sur les virus synthétiques, les technologies de transformation génétique ARNm et les nanoparticules lipidiques (NPL).

Durant cette conférence de presse, le professeur émérite Masanori Fukushima de l’université de Kyoto a déclaré : “des milliers d’articles ont rapporté des effets secondaires après la vaccination (ARNm anti-COVID) infectant tous les organes sans exception.”

Le professeur Masayasu Inoue a quant à lui déclaré : “Vous trouverez des maladies cardiaques, dans les reins, le foie, la thyroïde, la peau, les yeux, le sang, les nerfs, des maladies de systèmes organiques, diabète, dans le cerveau, les poumons… des maladies à travers tout le spectre médical ont été rapportées. Comme l’a dit le Pr. Fukushima, les caractéristiques de ce vaccin sont qu’elles se produisent simultanément au sein de familles entières.”

La protéine spike est toxique

Le professeur Yasufami Murakami de l’université des sciences de Tokyo a déclaré : “Je pense que ces injections à ARNm anti-COVID doivent être arrêtées immédiatement. La protéine spike est toxique. Il est très clair ce qu’il se passe lorsque vous injectez une toxine génétique à un humain. Un autre point est que les nanoparticules lipidiques sont aussi toxiques.”

Les nanoparticules sont le problème #1 du monde

Le professeur Fukushima a expliqué que :

“Si le problème du “hors-ciblage” est résolu, il y a toujours un grand nombre de problèmes parce que ces nanoparticules, qui sont inflammatoires et causent des dégâts environnementaux, spécifiquement les nanoparticules plastiques. Ces nanoparticules sont le problème #1 du monde.” – Professor Emeritus Fukushima, Kyoto University –

Cela pourrait bien vous surprendre que d’apprendre que les technologies de nanoparticules de transformation génétique étaient considérées comme des armes de destruction massive jusqu’à environ 2019. ( weapons of mass destruction )

J’ai retranscrit le résumé de cette conférence de presse das cet article et fournit des références sélectionnées pour prouver les affirmations faites par ce panel de scientifiques.

Le nom du modérateur de a conférence de presse est Mr Takeguchi

Takeguchi, Moderator

“Tout d’abord, je voudrais saisir cette opportunité pour exprimer toutes mes condoléances pour toux ceux qui sont décédés suite à des problèmes de santé après avoir reçu les vaccins anti-COVID-19. Plus avant, tous mes vœux accompagnent ceux qui ont souffert de problèmes de santé et qui en ce moment même continuent de lutter contre ces maladies induites.”

Professeur Emiritus Masanori Fukushima, Kyoto University

“Une revue systématique de la littérature (scientifique) a révélé quelques faits surprenants. Des milliers d’articles ont rapporté des effets secondaires après vaccination (ARNm), qui affectent tous les organes du corps sans exception, de l’ophtalmologie (yeux) à la médecine générale en passant par la psychiatrie.”

“Nous avons compilé ces informations dans un article que nous avons publié hier. Ces documents ont été préalablement étudiées par un groupe de médecins bénévoles . Ils ont regardé le nombre de cas qui ont été rapportés par les sociétés académiques japonaises. Ce genre de rapport sur les effets secondaires médicamenteux ou affiliée est sans précédent.”

“Comme ma spécialité est le cancer, nous savons que la chimiothérapie est pleine d’effets secondaires, mais ils sont connus et prédéterminés. Les effets secondaires de ces vaccins ne sont pas déterminés. Ils peuvent se produire dans tout le corps.”

Note de Karen Kingston: Bon nombre de ces effets secondaires néfastes induits par les injections à ARNm anti-COVID-19 furent préalablement déterminés…

Le 20 octobre 2020 (On October 20, 2020, the FDA ) la FDA a eu une réunion avec l’industrie pharmaceutique pour revoir une “liste compréhensive” des effets cliniques connus des injections à nanoparticules lipidiques (NPL) ARNm. De ce fait, je pense que la plupart des effets secondaires néfastes de ces injections à ARNm étaient connus et “prédéterminés”.

Des maladies multiples peuvent se produire simultanément

“Des maladies multiples peuvent se produire simultanément. Les médecins n’ont jamais vu une telle chose, ceci est une candide opinion de la profession médicale.”

Note de Karen Kingston : Des archives internes de Pfizer montrent que Pfizer a documenté des résultats néfastes multiples au travers des différents systèmes d’organes chez des patients et n’a pas averti le public.

En 2022, Pfizer a enregistré 5 millions d’effets secondaires néfastes chez 1,5 millions de sujets injectés avec l’ARNm des “vaccins”. En moyenne, chaque sujet présentait 3 ou 4 effets néfastes dans des systèmes d’organes différents.

Il y a des interférences, il y a une censure

“Les médecins japonais essaient vraiment mais ils font face à des obstructions variées. Il y a ce sentiment du ‘pourquoi rapporter quelque chose comme des effets secondaires et dégâts dus aux vaccins ?’ Il y a des interférences. De telles actions en elles-mêmes freinent la liberté académique. Dans certains départements académiques, il y a une censure. Comme dans les présentations de conférences et les publications d’articles.”

Ceci se produit à l’échelle mondiale

“Certains journaux pratiquent une censure effective. Nous travaillons sur un article qui devrait être bientôt publié. Une fois publié, nous pourrons en parler plus en détail. Par exemple, le ratio de mortalité ajusté par âge de la leucémie a augmenté. Il y a des trouvailles très significatives également concernant les cancers du sein et des ovaires etc… Nous partagerons les informations importantes avec tout le monde alors que nous conseillerons le gouvernement sur le comment procéder.”

“Les injections à NPL ARNm devraient être immédiatement arrêtées…”

Professeur Yasufami Murakami, Tokyo University of Science

“Une chose que je veux dire initialement est qu’il est parfaitement clair maintenant comment les effets secondaires se produisent, ce qui handicapent et affectent beaucoup de victimes aujourd’hui. Je pense que les injections à ARNm anti-COVID-19 devraient être immédiatement arrêtées.”

Les protéines spike et les nanoparticules lipidiques (NPL) sont toxiques

“Le mécanisme par lequel les effets secondaires néfastes se produisent est bien compris. La protéine spike est toxique. Il est très clair ce qui se produit lorsque vous administrez un gène toxique à un humain. Un autre point très important est que les nanoparticules lipidiques (NPL) sont aussi toxiques.

Le problème majeur est que nous injectons des substances toxiques aux gens, l’une d’entre elles faisant que les cellules du corps humain produisent les protéines spike (ARNmod / modRNA). Comme le système immunitaire va l’attaquer, cela cause de violentes réactions. Il y a des cas qui se produisent une ou deux semaines après injection, mais nous avons aussi bien des cas qui se manifestent après un ou deux ans…” (NdT : ceci est important parce que bon nombre de médecins, y compris des sommités dans la compréhension de la toxicité des injections, comme le Dr Peter McCullough par exemple, pensent que les effets se produisent au plus tard 2 semaines après injection, ce qui s’avère être non pas faux mais incomplet. Les Japonais viennent de prouver que les effets peuvent être décalée de 1 à 2 ans, ce qui permet d’associer des maladies aux injections passées de longues dates… ceci aura une importance légale plus tard bien entendu)

Note de Karen Kingston: En 2014/15 la FDA a averti par documents interposés sur les effets toxiques de “thérapies protéiniques” génétiquement induite et qu’ils pourraient avoir des conséquences létales.

A l’automne 2014, la FDA a étudié les maladies auto-immunes ( fall of 2014, the FDA reviewed ) et les maladies artificiellement induites génétiquement que peuvent induire par des thérapies géniques protéiniques (ARNm), dont beaucoup ont des conséquences létales.

Les injections à ARNm programment le système immunitaire à provoquer des maladies et la mort

“De plus, il existe de bons et mauvais anticorps chez les humains et un anticorps appelé IgG4 en fait supprime l’immunité. D’habitude avec les vaccins, si un anticorps IgG4 est induit, le vaccin est considéré comme défectueux et c’est un échec.

Mais avec ce type d’injections à ARNm, une quantité signifiante d’anticorps IgG4 est induite. Quand ceci se produit, cela joue des tours variés sur bien des fonctions immunitaires. Ainsi donc, nous voulons étudier précisément quel est le ratio de Japonais qui ont eu cette réponse néfaste induite aux injections.”

Note de Karen Kingston: A la conférence JP Morgan de 2021 (2021 JP Morgan Conference, ) l’associé de Pfizer dans l’ARNm, BioNTech, a publié leur déclaration de mission qui est de “harness the immune system’s full potential to fight human disease.” / “Produire et contrôler le plein potentiel du système immunitaire pour combattre la maladie humaine.” C’est à dire “la maladie de l’humain en tant qu’espèce”, l’humain vu comme une maladie à éradiquer…

« combattre la maladie humaine », c.a.d la maladie qu’est l’humain

Arrêtez les vaccins anti-COVID-19 à ARNm immédiatement !

“Nous avons pour but d’examiner avec grande attention quelniveau d’IgG4 qui réagit avec la protéine spike est présent dans chaque patient. Bien sur, le problème est que nous comprenons déjà ces facteurs. Des vaccins qui ont échoué sont toujours administrés et le ministère de la santé, du travail et des affaires sociales reconnaît que ces vaccins ont échoué. Donc, je voudrais que tout ceci soit immédiatement arrêté. Alors même que je parle dans différents endroits, ils n’arrêtent rien du tout. Alors nous allons clairement présenter des preuves et publier des articles l’un après l’autre…”

Professor Emeritus Masayasu Inoue, Osaka City University

“Nous travaillons ensemble avec le Professeur Fukushima pour créer cette base de données. Jusqu’ici, 201 types de maladies et 3 071 articles sur les effets secondaires ont été répertoriés. Ceci est sans précédent dans l’histoire humaine pour un simple vaccin d’avoir autant de littérature scientifique négative le concernant.

Avec ceci, nous prévoyons de présenter à la nation et au gouvernement japonais cette affaire sous la forme d’une étude scientifique solide irréfutable. Vous trouverez des maladies dans le cœur, les reins, la thyroïde, le foie, les yeux, la peau, le sang, le système nerveux, le cerveau, les poumons, les systèmes de fonction organiques… des maladies à travers tout le spectre médical ont été rapportées. Comme l’a si bien dit le Pr. Fukushima, les caractéristiques de ce vaccin sont que les effets secondaires se produisent simultanément dans des familles entières.

En ce qui concerne les données, lorsque des maladies comme celles affectant le cœur, les reins, le système endocrinien (hormonal) et le foie se produisent de manière simultanée et à l’échelle où elles se produisent, il se trouve qu’un très grand nombre d’articles ont rapporter ces choses sur bien des pages.”

Professeur Emiritus Masanori Fukushima, Kyoto University

“Désordres mentaux, symptômes psychiatriques, dépression, manies, angoisse, ont surgi en abondance, mais c’est sans fin. Il faut comprendre ce qu’il se passe. C’est pourquoi des recherches donnent plus de résultats avec un plus grand nombre de mots clef par exemple, pour trouver des informations, ne tapez pas uniquement “vaccins COVID-19”, mais aussi incluez des termes comme “SRAS-CoV-2”, “vaccins ARNm” ou “vaccins à messager ARN” etc, quand vous séparez la recherche en mots-clef plus variés, vous obtenez bien plus de résultats sur ce qui a été publié. Ce n’est qu’un aspect de l’affaire.

Même avec ce que le Pr. Inoue a introduit plus tôt, ce n’est juste qu’une partie de ce qui a été fait avec la base de données de PubMed. Il y a des choses qui ne seront pas détectés par PubMed.”

Maladie de Creutfeldt-Jakob (MCJ)

“Ainsi la MCJ n’est pas détectée par PubMed. Mais il y a des articles peer-reviewed en provenance du Pr. Luc Montagnier par exemple, prix Nobel de médecine pour ses découvertes sur le VIH. Son article est particulièrement persuasif.

“Donc la séquence génétique de la protéine spike, vous savez, le Pr Montagnier avait prévenu que s’il y a une séquence comme celle d’un prion, cela pourrait être très dangereux. Bien des scientifiques ont averti. J’ai aussi dit que cela pourrait être dangereux à cause de la possibilité de prions. J’en ai discuté avec des experts sur les prions.”

Des maladies “hors-ciblage” indésirables dans tout le corps

Ainsi, si vous injectez de la nanotechnologie lipidique ARNm dans un muscle, les NPL seront prises par les cellules environnantes. Les gens qui ne connaissent rien au sujet de la médecine et de la biologie ne pense pas à ce genre de choses bien spécifiques, et c’est pourquoi ils appellent cela un “vaccin” à ARNm.

Mais si vous connaissez la médecine et la biologie, de telles choses ne se produisent pas. Ces choses spécifiques (indésirables) est ce qu’ils appellent des effets “hors-ciblage”. Hors de contrôle en dehors de la cible. Cele ne sait pas où ca va. Si ca part dans la circulation sanguine, ça finira dans le cerveau, le cœur, le foie, les reins etc…

Note de Karen: Pfizer publie sur son site internet ( their website ) que les protéines spike ARNm sont des protéines de transformation génétique ayant l’intention de modifier le génome humain avec l’espoir de ne pas induire des effets “hors-cible” (maladies auto-immunes, cancers et maladies artificiellement, génétiquement induites)

“Et si la protéine spike se trouve partout ? Voilà quelque chose à laquelle les gens ne pensent pas. C’est une très vague histoire  que celle du “hors—ciblage” . Ce problème n’a en rien été résolu.” ~ Professor Emiritus Masanori Fukushima, Kyoto University ~

Les nanoparticules sont le problème #1 dans le monde aujourd’hui

“Si le problème du ‘hors-ciblage’ est résolu, il y a toujours beaucoup d’autres problèmes parce que ces nanoparticules, qui sont inflammatoires et environnementales (cause environmental harm), spécifiquement les nanoparticules de plastique. Les nanoparticules sont le problème #1 du monde aujourd’hui.”

Les “experts” médicaux ne comprennent les principes de base de la vie

“Ces nanoparticules entrent dans le cerveau. Mais ceux qui n’y connaissent rien disent ‘c’est du plastique, il ne sera pas digéré, donc c’est OK si on le mange”. Ils prétendent savoir, mais ne savent rien. Les nanoparticules PEG ne sont pas digérées. La personne n’a aucune idée de la toxicité des substances inorganiques attachées aux surfaces de ces nanoparticules plastiques.

NdR71 : Le professeur mentionne cela parce qu’il sait, cela a été publié dans la presse nipponne, que les grandes entreprises de l’alimentaire et des boissons comme Asahi, Kirin, Sapporo etc, utilisent des nanoparticules dans leurs produits… Il semble que la dissémination de NPL soit partout dans le monde aujourd’hui et qu’il est devenu bien difficile d’y échapper. Hasard ?… Nous sommes sous attaques nano-biotechnologiques depuis un moment cela ne fait plus l’ombre d’un doute et l’agenda se cachant derrière est celui de la DÉPOPULATION MONDIALE !

Ainsi, avec que des fragments de cette connaissance, ils exagèrent les choses et pensent s’en sortir en disant ‘je comprends ! Cette technologie est bonne !” C’est ce genre de message. Donc, honnêtement,  ils ont vraiment besoin de retourner et de repasser leurs examens de biologie de bahut et d’université.”

NdR71 : a moins que l’ignorance soit feinte, qu’ils savent très bien ce qu’ils font, mais laissent la porte ouverte pour un “nous ne savions pas” défensif, tardif. La documentation, les brevets des Etats-Unis, de Pfizer, du NIH, du CDC, du NIAID, montrent que tout cela est connu. L’ARNm est classée comme arme biologique. Ils ne peuvent pas dire qu’ils “ne savaient pas”, ils joueront cette carte le moment venu néanmoins soyons-en certains… Pourtant le vieil adage nous dit toujours : “si tu ne sais pas abstiens-toi”, sagesse immuable… Tous ces “scientifiques” à la solde du système étatico-marchand et leurs larbins du politique corrompu qui passent les lois, mandats et autre règlementations, devront être tenus pour responsables devant des tribunaux populaires et faire face à la plus extrême des punitions pour les crimes commis contre l’humanité. Nous l’avons dit depuis plus de deux ans : pendez-les haut et court !

Comme je l’ai mentionné plus tôt, la médecine est toujours bien immature. En fait, nous ne comprenons pas grand chose au sujet des principes de la vie. Maintenant que cette chose s’est produite, “tournons l’adversité et bonne fortune”.

Nous devrions apprendre de ce qu’il s’est passé en cette circonstance. Au lieu de dire “Allons-y ! Allons-Y !’ Avec les vaccins… et bien c’est comme si l’ignorance était bénite, comme le monde d’aujourd’hui. Ainsi, la déclaration des médecins et professionnels de la santé disant que les injections à ARNm étaient sûres et efficaces, est devenue aujourd’hui une sorte de foi, de religion. Les centres de vaccination sont devenus comme une sorte de culte. Ces “experts” médicaux et de la santé sont tombés dans le puis infernal sans fond. Penser que les choses puissent être comprises avec des fragments de connaissance est une grave erreur.” ~ Professeur Fukushima ~

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Lire notre page mise à jour depuis 2019 : “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

“SARS-CoV-2 / COVID-19 et injections ARNm, l’attaque nano-biotechnologique sur l’humanité depuis 2019” (compilation PDF de nos traductions des recherches de Karan Kingston)

Texas vs Pfizer

Mortalité à long terme post-injections ARNm
confirmée par les scientifiques japonais…

COVID-19 et injections ARNm attaque biologique contre l’humanité : l’affaire des plasmides ADN dans les fioles Pfizer / BioNTech est connue depuis 2021 (Karen Kingston)

Transcription du rapport du 20 octobre 2021 de Karen Kingston concernant les plasmides ADN des “vaccins” à ARNm de Pfizer

Karen Kingston

Octobre 2023

Source : cette traduction fait partie d’une plus long récent article de Karen :

https://karenkingston.substack.com/p/breaking-news-pfizer-is-liable-for

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

NdR71 : une définition des plasmides ADN tirée du site “Réseau GÉNET” de l’université de Tours :

“Les plasmides (1/2)

Les plasmides sont des petits fragments d’ADN circulaire présents dans la cellule bactérienne et indépendants du génome bactérien. 

Propriétés générales des plasmides 

Les plasmides présentent les caractéristiques suivantes :

• Leur ADN est bicaténaire, circulaire avec un nombre de nucléotides inférieur à 10 kb (1 kilobase = kb = 1000 nucléotides).
• Le nombre de plasmides dans une cellule bactérienne peut être considérable (plusieurs centaines).
• Les plasmides portent normalement des gènes qui leur confèrent un avantage sélectif, par exemple une résistance à un antibiotique.
• Leur réplication est indépendante de celle du génome bactérien.”

Source : https://genet.univ-tours.fr/gen001300_fichiers/CHAP5D/GEN05D1EC35.HTM

“On ne nous a jamais dit ce qu’il y avait dans ces flacons et ceci est criminel. Et je veux être clair sur ce point : ceci change votre ADN.”

J’ai d’abord rapporté sur la présence de plasmides ADN dans les flacons d’injections COVID ARNm de Pfizer le 20 octobre 2021 dans une émission de Brannon Howse (October 20, 2021 ). Je commence my presentation on pDNA at around 32:25.

Ceci est un communiqué de presse diffusé le June 7, 2021. AGC Biologics est un des plus grands fabricants d’agents biologiques et de thérapies géniques etc de l’industrie pharmaceutique.

Ceci est une citation d’une déclaration de leur ancien Chief Business Officer (CBO). Depuis, Mark est parti dans une autre organisation. Je vais juste vous lire le communiqué de presse.

“Nous sommes honorés que BioNTech [NdT : l’associé privé allemand dans le crime de Pfizer pour les injections ARNm )et de devenir partie de leur réseau global de distribution dans un effort de rendre le vaccin disponible pour le plus de personnes possible dans le monde”, dit le CBO d’AGC Biologics Mark Womack. “Nous sommes très fiers de nos efforts de fournir à nos clients dans le monde les matériaux essentiels dont ils ont besoin pour fournir les vaccins dans la lutte contre la pandémie COVID-19”.

AGB Biologics va fabriquer et fournir BioNTech avec les matériaux de départ de plasmides ADN, un composant essentiel du processus de fabrication des vaccins à base d’ARNm de BioNTech.

“On ne nous a jamais dit ce qu’i y avait dans ces fioles de ‘vaccins” et c’est criminel. Et je veux ici être très claire et dire que tout ceci change votre ADN. Pourquoi est-ce alarmant ? Parce qu’on a dit à personne que nous étions injectés avec des plasmides ADN.”- Karen Kingston, October 20, 2021

Qu’est-ce qu’un plasmide ADN (pADN) ?

Un plasmide ADN est utilisé dans de nombreuse applications incluant la transfection, qui est une insertion de matériaux génétiques dans nos cellules. La séquence, les clones, on sait ce que c’est qu’un clone, ce sont des clones. Digestion restrictive, quand on copie et on colle de l’ADN dans différentes parties d’une séquence génétique. Et le PCR est la réaction en chaîne de polymérase, ainsi que la cartographie d’un code ADN complet pour ensuite prendre ce qu’on appelle un codon et faire du copier/coller, copier/coller…

Le point principal des plasmides ADN est d’aider à l’intégration d’un nouveau matériau génétique dans un organisme, être (humain). C’est juste… voilà ce que c’est.

Brannon: Redites cette phrase encore une fois.

Donc le but du plasmide ADN est d’aider à l’intégration de matériau génétique dans un être (humain).

Brannon: Et la question pourrait donc être : quel matériau génétique n’est-ce pas ?

Oui. Les pADN peuvent intégrer du matériel génétique viral. Il peut intégrer du matériel génétique d’autres espèces. Il peut intégrer du matériel génétique bactériologique.

En fait, personne n’a jamais été prévenu de tout ça et vous allez me dire que “ceci ne prouve pas que (les fioles de vaccin) contiennent des plasmides ADN,” alors écrivez au comité directeur d’AGC Biologics et dites leur qu’ils mentent à Reuters.

Brannon: Est-ce la première fois que vous présentez cette information ?

Oui. Vous m’avez appelez pour parler de la luciferase, alors je vous ai préparé cette présentation.

Donc je vous ai dit ce que voulait dire transfection, Thermo Fisher, voici leur définition : “C’est le processus d’introduire artificiellement de l’ADN ou de l’ARN dans les cellules. Cela peut résulter en le changement des propriétés de la cellule.”

Le cirque de la mort !

C’est un changement génétique apporté à votre fabrication génétique naturelle.

“Et Reuters ! Allez jouer aux billes ! Si vous dites que ce que je dis est faux, envoyez une lettre à Thermo Fisher Scientific et dites leur de retirer leur définition.”

Brannon: Peut résulter en le changement des propriétés de la cellule. Alors maintenant ces types injectent des trucs dans les personnes pour changer la constitution ADN naturelle de leurs cellules et de leur ADN ?

Oui. Ainsi, un des changements peut être que vous pouvez avoir des cellules parfaitement saines qui vont maintenant ne plus fonctionner naturellement et allez avoir HeLa injecté dans ces cellules, et vous avez maintenant des cellules cancéreuses agressives qui forment des tumeurs dans votre corps (NdT : ce qui est appelé depuis la vague de “turbo-cancers). Ceci est un changement.

Il peut aussi y avoir des échanges inter-espèces, mais nous n’avons pas le temps ici d’en parler aujourd’hui. (Fin de la transcription)

Est-ce que Pfizer est légalement responsable des dégâts et des changements génétiques causés par les plasmides ADN qui sont dans leurs fioles d’injections à ARNm ?

Oui. Parce qu’à cause du contrat de Pfizer avec l’armée américaine (contract with the US Army,), Pfizer est tenu légalement par les lois des Etats-Unis régulant les bonnes pratiques de fabrication (GMP / BPF) pour leurs “vaccins” à ARNm approuvé par la FDA et de bonnes pratiques de laboratoires (BPL) pour les essais cliniques humains et les “vaccins” a ARNm autorisés en utilisation d’urgence. Cela veut dire que toutes les substances contenues dans les fioles de vaccins à ARNm de Pfizer doivent avoir été prouvées sûres pour utilisation sur des êtres humains.. Si un des ingrédients n’est pas sûr, Pfizer est légalement responsable de toutes blessures et mort causées par tout produit chimique, toxine ou autres substances dangereuses contenues dans les flacons des injections à ARNm.

Sous le Plan de Développement de Fabrication du contrat de Pfizer (Pfizer’s contract,), il est spécifiquement stipulé : “… le processus de fabrication du produit vaccinal doit assurer la conformité avec la réglementation 501(a)(2)(B) de la Food, Drug and Cosmetics Act (FD&C Act, Title 21 United States Code (USC)  en regard des BPF.”

De par la section 501(a)(2)(B) de la loi FD&C Act, un médicament (ou produit biologique) doit s’assurer qu’il suit les BPF, ici pour assurer que les injections à ARNm remplissent bien les requis de sécurité de tout produit approuvé ou autorisé par la FDA, pour utilisation sur des êtres humains.

Ceci veut dire explicitement que toutes les substances contenues dans les fioles vaccinales doivent être sûres pour utilisation sur les êtres humains. Le contrat stipule que, “Pfizer dit évaluer à la hausse ses capacités pour la production, l’analyse et la diffusion de matériaux sous BPF (ARNm).”

Analyse veut dire que Pfizer s’assurera du contrôle de la qualité par les tests pour la pureté finale du produit et qu’il y ait consistance de production au sein des différentes unités de production.

Plusieurs experts ont prouvé qu’il y a de fait des niveaux toxiques de plasmides ADN, de l’oxyde de graphème (graphene oxide,) et d’autres substances dangereuses pour les humains trouvés dans les fioles d’injections ARNm, tout comme aussi n’ayant pas d’ARNm du tout dans certaines fioles. Ces trouvailles sont de très claires violations du contrat de Pfizer avec le ministère de la défense des Etats-Unis et des lois qui gouvernent et régulent les produits approuvés par l’EUA et la FDA.

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Lire notre page constamment mise à jour depuis 2019 : “Coronavirus, guerre contre l’humanité”

“SRAS-CoV-2 / COVID19 et injections ARNm, l’attaque nano-biotechnologique contre l’humanité depuis 2019” (Compilation PDF de nos traductions des recherches de Karen Kingston)

Étudiante : Excusez-moi, pourquoi avez-vous exclus des milliers de cas
de COVID-19, de maladies graves et la plupart des décès de votre Phase 3 d’essai
et de votre analyse de données de sécurité et d’efficacité ?
Pfizer : Très bonne question ! Voyez-vous le but de la phase 3 des essais cliniques est de prouver que les vaccins sont sûrs et efficaces pour beaucoup de gens. Les participants à l’essai ARNm des vaccins Pfizer qui sont tombés malades ou qui sont morts ne remplissaient pas cet objectif alors nous avons dit à la FDA que nous ne les compterions pas dans notre étude; et la FDA fut très cool avec ça. Voilà comment vous persuadez les gens de prendre un vaccin sûr et efficace. Elle est pas belle la science ?

Injections ARNm COVID armes biologiques et outil transhumaniste de contrôle et d’expérimentation (Jean-Yves Jézéquel)

Article ci-dessous à connecter avec notre traduction récente et la vidéo  de Karen Kingston démontrant par analyse des brevets déposés que les injections ARNm mortifères sont en fait des armes biologiques inoculant un parasite nanobiologique à Intelligence Artificielle (IA) das le corps des populations.
~ Résistance 71 ~

Nanotechnologie et “vaccins” : ou bien nous sommes informés ou bien nous ne voulons pas être informés

Jean-Yves Jézéquel

31 octobre 2022

Url de l’article original :

https://www.mondialisation.ca/nanotechnologie-et-vaccins-ou-bien-nous-sommes-informes-ou-bien-nous-ne-voulons-pas-etre-informes/5672373

Adresse MAC

Nous avons examiné, dans un article précédent, ce que voulait dire l’adresse MAC. MAC = Media Access Control. C’est un code de 48 bits, permettant d’identifier un appareil qui se connecte à un réseau IG local ou à Internet. Ce code est divisé en 6 blocs de 2 caractères décimaux d’accès. Les trois premiers sont connus sous le nom de O.U.I. (Organisation Unique Identifiée)

Les trois suivants sont appelés NICS (Network Interface Controller Specific). Tout cela constitue le numéro de série ou l’identifiant de l’appareil lui-même. Dans le contexte des « vaccins anti Covid », le code MAC signifie le code qui valide des adresses MAC sur un réseau sans fil Bluetooth.

Ces adresses MAC, contrairement à celles d’un appareil normal, se caractérisent par l’absence d’identifiant connu du fabriquant. En d’autres termes, ils sont inconnus. Cela peut être vérifié en consultant toutes les bases de données des fabricants d’appareils électroniques. Ces adresses MAC n’existent donc chez aucun des fabricants.

En activant la fonction Bluetooth de votre téléphone portable, vous pouvez constater qu’apparaissent des codes MAC des appareils qui se trouvent dans votre environnement, des appareils connus et aussi des inconnus… On retrouve donc éventuellement son imprimante, son casque, une enceinte acoustique, d’autres téléphones… Quant aux adresses MAC inconnues, elles sont dynamiques ou variables. Leur période de diffusion est également variable. Des spécialistes de ces questions, comme Germàn Sarlangue, Julien Devilleger et d’autres, ont observé que ces codes étaient à mettre en lien avec les injections d’ARNm de Pfizer et Cie… Ils ont également remarqué que ce phénomène MAC n’existait pas lorsqu’il était recherché sur les personnes non « vaccinées ».

Il est à remarquer que les dernières mises à jour d’Androïde, désactivent dans certains cas, cette fonction sur le téléphone. Pour inverser ce phénomène, vous devez désactiver les options de développement du téléphone et vérifier en revanche que les options liées à Bluetooth ne sont pas désactivées, en particulier l’option d’affichage MAC sans nom. Sur les téléphones Apple, vous pouvez également vérifier si les applications du scanner BLI sont installées.

Maintenant, faites cette expérience : recherchez un tronçon de route à faible trafic et à faible vitesse et où il n’y a pas de circulation piétonne dans la zone.
Activez la fonction Bluetooth de votre téléphone en bordure de cette route. Vous allez découvrir qu’une adresse MAC va apparaître sur l’écran de votre téléphone, lorsque la personne présente dans son véhicule a été « vaccinée » ; puis, cette adresse va progressivement disparaître avec l’éloignement de son véhicule. Si, dans certains cas, l’adresse MAC n’apparaît pas, c’est que la personne présente dans son véhicule n’a pas été « vaccinée » ou que la dose d’oxyde de graphène n’a pas encore été suffisante pour déclencher l’auto-fabrication du système intra corporel de nano-communication…

En 2021, un ami était convié aux obsèques d’une personne que l’on enterrait suite à une mort brutale par AVC. Arrivé au cimetière où avait lieu la cérémonie, il recevait une alerte sur son téléphone portable lui indiquant la détection d’adresses MAC : il y en avait cinq ! Il conservait une sauvegarde de cette preuve pour un article qu’il devait publier lui aussi sur un média indépendant. Vaccinés, même si vous êtes morts et enterrés, le code MAC continue d’émettre ses chiffres jusqu’au moment où le graphène sera dégradé par le temps, les substances environnementales, ou le feu d’une crémation future !

Comme la plupart des lecteurs, je me suis interrogé sur la réelle capacité des nanotechnologies à pouvoir constituer un véritable réseau fonctionnel et suffisamment indépendant en énergie pour fonctionner. Les découvertes dans le domaine de l’infiniment petit et l’alimentation électromagnétique à partir d’ions et non plus d’électrons – comme pour notre cerveau qui consomme très peu d’énergie – nous font entrer dans un monde que peu de personnes soupçonnent. L’ignorance est la première force de ceux qui ont fomenté ce plan machiavélique. 

Outre l’oxyde de graphène qui a été observé dans les 4 vaccins mentionnés, le Dr Campra a identifié, dans ces produits expérimentaux à ARNm, environ 110 éléments différents par l’observation microscopique et la spectrométrie des sérums.  

Des nanorouteurs ou nanosenseurs 

Définition : Le routeur est un appareil permettant la communication entre un objet connecté et Internet. Dans ce cas qui nous intéresse ici, l’objet connecté n’est autre que la personne inoculée puisque le routeur a été introduit dans son corps par la « vaccination ». On dit « Nano », parce qu’il s’agit d’un objet miniaturisé capable de passer par l’aiguille d’une seringue.

Les routeurs observés dans les sérums fonctionnent sans fil et peuvent être connectés à des appareils compatibles. Les routeurs sans fil font office d’interrupteurs réseau permettant aux appareils de communiquer entre eux et d’échanger des informations. 

Ils émettent des adresses MAC qui peuvent être enregistrées via des technologies sans fil Bluetooth sur des téléphones portables et à l’aide d’une application, comme on l’a vu. L’adresse MAC permet d’identifier l’objet – ici la personne – qui est porteuse du nanorouteur. A partir d’expertises contrôlées, Maître Brusa confirme que les personnes vaccinées sont porteuses d’une adresse MAC évolutive. Le lecteur pourra également visionner le film produit par Pierre Barnérias, Hold On, qui met en exergue une expérience montrant la présence de nanorouteurs chez les personnes vaccinées. 

Le Dr Campra nous a donné une collection d’images de nanorouteurs/nano senseurs capturés à partir de son travail sur les vaccins Pfizer et Cie… et datées de novembre 2021. 

Pourquoi les personnes non injectées mais testées ont-elles fait également l’objet de cette étude ? Parce que la suspicion de présence de nanotechnologies dans les écouvillons destinés au prélèvement nasal pour effectuer un test PCR Covid était importante. Les tests réalisés sur certaines personnes non vaccinées mais prélevées pour un test PCR ont émis également un code MAC, mais il faut noter que tout dépend de la façon dont ont été réalisés ces tests. Dans tous les cas, les signaux alphanumériques ne se sont pas révélés comme constants dans le temps et leur apparition s’est avérée brève. 

Comme à chaque fois, les médias subventionnés dénigrent ces informations, sans enquêter, sans aucune expérimentation, mais seulement sur la base de ce qui est officiellement déclaré par les laboratoires, fabricants, commerçants et indirectement décisionnaires publics sur les AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) à travers les ex-employés qui sont disponibles dans les agences de régulation sanitaire partout dans le monde (pantouflage). 

Des nano antennes et des nano antennes plasmoniques 

Définition: Les nano-antennes permettent notamment de détecter des biomolécules avec une sensibilité exaltée, de contrôler les processus d’émission moléculaire, d’induire des élévations locales de température ou de piéger des micro-organismes vivants. 

Les points quantiques, utilisés dans l’industrie pharmaceutique « aussi appelés boîtes quantiques », sont des nanocristaux semiconducteurs, faisant généralement de 2 à 10 nanomètres de diamètre (10-50 atomes), qui sont capables de convertir un spectre de lumière entrant en une fréquence d’énergie différente. 

« Ces cristaux artificiels sont fabriqués à une échelle suffisamment petite pour faire émerger des effets de mécanique quantique. Les points quantiques ont des propriétés électroniques et optoélectroniques uniques qui permettent d’ajuster leurs niveaux d’énergie avec leur longueur d’onde ou leur couleur ». 

Les antennes plasmoniques/optiques permettent une localisation de l’énergie électromagnétique à l’échelle du nanomètre, bien en-dessous de la limite de diffraction. Cette propriété ouvre de nouvelles voies pour la manipulation de la lumière aux échelles nanométriques, et porte de nombreuses promesses pour exalter les efficacités d’émission optique et de photodétection, notamment pour les applications de l’optique vers la biologie : la biophotonique. 

Les nano-antennes servent à la fois de capteur et sont aussi destinées à amplifier les signaux de communication pour transmission de données à un serveur extérieur, celui qui est précisément contrôlé par ceux qui ont introduit ces biotechnologies dans les sérums. 

« Les nano-antennes de large bande jouent un rôle potentiel dans le champ nano-photonique. Récemment, les nano-antennes optiques plasmodiques fabriquées à l’aide de nouvelles nano-particules métalliques, ont engendré un grand intérêt, pour la recherche, eu égard à leur capacité de positionner et d’améliorer, drastiquement, les champs électromagnétiques à leur surface ». On peut en déduire que ce sont des antennes conçues spécifiquement pour le contexte des réseaux de nano-communications intracorporelles et qui corroborent parfaitement les découvertes antérieures portant sur les nano-routeurs et le domaine des bio-senseurs (Cf. : Haes, AJ, Van Duyne RP, 2002). 

Les vaccins permettraient donc d’injecter un nano-puzzle de nanotechnologies pouvant servir d’interface pour un réseau de nano-communications introduit dans le corps humain. 

Il est techniquement possible aujourd’hui d’absorber et d’utiliser des ondes électromagnétiques produites par le corps humain.

Ces antennes peuvent également agir comme ponts rectificateurs du courant alternatif/continu et impliqueraient un auto-assemblage pour interagir avec d’autres nanotechnologies présentes dans les sérums vaccinaux. 

Il est également possible de fabriquer un hydrogel pour nanotechnologies, à savoir une solution aqueuse qui permet de protéger les nanotechnologies contre une dégradation trop rapide par le système immunitaire. Il offre potentiellement un second avantage, celui de créer un environnement favorable pour faciliter la communication entre les différents éléments (nanotechnologies) contenus dans les « vaccins ».

Dans une personne décédée : auto-assemblage

Les codecs – codeurs-décodeurs et les portes logiques

Dans le cas d’un nanoréseau intracorporel, les nano codecs ont pour fonction de communiquer avec le nano réseau de l’extérieur, c’est-à-dire au travers d’une plateforme où sont transmises les informations dans un réseau sans fil. 

Les (nano) portes logiques sont généralement des composants élémentaires d’un circuit numérique. Il existe usuellement sept portes logiques de base (AND, OR, XOR, NOT, NAND, NOR et XNOR) qui fonctionnent sur une base binaire (0 ou 1) et qui peuvent permettre, dans le cas qui nous intéresse, de crypter les nanocommunications entre les nanotechnologies inoculées aux personnes et un serveur à distance. Elles fonctionnent donc en réseau avec les codecs.

Oxyde de graphène 

L’oxyde de graphène supplante le silicium utilisé dans les semi-conducteurs car sa capacité de conduire le courant électrique et sa capacité à capter ou à émettre un rayonnement électromagnétique focalisent les recherches et placent le graphène au cœur de la 4ème révolution industrielle. Il représente le matériau idéal pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme humain, vont permettre de mesurer des critères biologiques préprogrammés et transmettre le résultat sans connexion filaire. 

Comme le rappelle le docteur en physique Gabriel Baumgartner, voici quelques caractéristiques des nanoparticules de graphène : 

Très grande résistance mécanique et grande capacité à conduire le courant (100 fois plus conducteur que le cuivre) et l’énergie thermique.

La nanoparticule de graphène monocouche peut franchir n’importe quelle barrière (hématoencéphalique, placentaire…) du fait de son épaisseur infinitésimale et s’intercaler dans n’importe quel tissu biologique.

Ses particules ont la capacité de capter ou d’émettre un rayonnement électromagnétique. Cette propriété permet de comprendre pourquoi le graphène constitue le matériau idéal pour fabriquer des biosenseurs qui, placés à l’intérieur de l’organisme, vont mesurer des paramètres biologiques et transmettre le résultat sans connexion filaire.

La matière première pour élaborer ces complexes micro-structurés que l’on retrouve dans les vaccins contre Covid est l’oxyde de graphène dont la présence est essentielle pour l’auto-assemblage de ces complexes, mais également pour la communication sans fil avec un serveur externe. 

Les corps flagellaires

A l’occasion de ces travaux de recherche pour comprendre la présence de ces substances non déclarées dans les « vaccins » anti Covid, on a également observé des corps flagellaires composés de perles, des petites sphères de taille similaire, surmontées d’une sphère plus grande. La forme de ces corps flagellaires rappelle celle d’une bactérie de type « Streptococcus », cependant, après avoir comparé toutes les espèces du genre, aucune ressemblance concluante n’a été trouvée. C’est en réalité des nano-robots autonomes autopropulsés, plus précisément il s’agit de « nageurs de rotors colloïdaux anisotropes » liés à l’ADN, composés de particules colloïdales paramagnétiques de taille différente ou similaire, comme indiqué dès 2008 par Tierno, P et al. dans leur publication Magneticly Actuated Colloidal Microswimmers ou encore en 2010 dans Controlled Swimming in Confined Fluids of Magnetically Actuated Colloidal Rotors. La littérature scientifique abondante ne manque pas sur ces sujets qui sont pourtant globalement ignorés du grand public. 

Caiilots ?… vraiment ?…

Les nanopoulpes de graphène ou hydres 

Les Docteurs Franc Zalewski en Pologne et Dr Carrie Madej aux Etats-Unis ont tous deux observé dans les vaccins à ARNm un organisme qui s’apparente à un parasite, surnommé respectivement « La chose » et « Hydra Vulgaris ».

Dr Franc Zalewski en Pologne et Dr Carrie Madej aux USA ont …

https://rumble.com/vp0ue9-la-dr.madej-dvoile-la-dcouverte-dtranges-cratures-contenues-dans-les-fioles.html

Ces chercheurs ont finalement compris qu’il s’agissait d’un auto-assemblage de nanotubes de carbones via un phénomène appelé la teslaphorèse, à savoir un assemblage réalisé à partir d’ondes électromagnétiques (comme par exemple celles de la téléphonie mobile). 

Ces formes de vie artificielle ne sont pas uniquement composées de graphène (carbone) mais s’apparentent à une forme de vie hybride qui fait intervenir une structure ADN. 

En 2013, Dasgupta, K. et al. expliquaient qu’au cours de leurs travaux cherchant à mettre au point une méthode économique de production de nanotubes de carbone (NTC) à partir de carbone, ils avaient observé que dans leur synthèse en « lit fluidisé », le graphène se « transformait en structures de type pieuvre de carbone »…

Il est donc probable que l’utilité de ces nanopoulpes dans les vaccins consiste à fournir des relais électromagnétiques de communication. Il est également possible qu’ils aient d’autres fonctions qui restent à découvrir, notamment si leur composition est hybride à base de carbone et d’ADN. 

Les particularités de la bio-informatique, qui nous intéressent pour ce dossier, relèvent de la capacité à programmer des cellules pour une fonction particulière. L’utilisation d’une puce à ADN ou biopuce est en plein développement comme le disait Baptiste Waldner dans son ouvrage « Nano-informatique et Intelligence Ambiante : Inventer l’Ordinateur du XXIe Siècle ». Le principe d’une telle puce repose sur la particularité de reformer spontanément la double hélice de l’acide désoxyribonucléique (ADN) face au brin complémentaire. Les quatre molécules de base de l’ADN ont en effet la particularité de s’unir deux à deux. Si un patient est porteur d’une maladie, les brins extraits de l’ADN d’un patient, vont hybrider avec les brins d’ADN synthétiques représentatifs de la maladie. 

Mais, il faut le souligner ici, cette biotechnologie utilisée pour le traitement de pathologies graves, peut également être détournée pour pirater le programme de la vie. Et c’est bien de cela dont il est question avec la « vaccination » de masse. 

Le média Technocracy News publiait il y a un an une information retrouvée dans un Talk Show (Ted Talk) daté de 2017 où le Dr Zaks – médecin chef de Moderna – expliquait la nécessité de « pirater le logiciel de la vie » en modifiant le code génétique des êtres humains. Cette logique transhumaniste qui paraît si claire à ceux qui, unilatéralement, ont décidé de la promouvoir et de l’imposer aux autres, choque les esprits conscients et responsables. 

Un serveur relié à un superordinateur quantique du type D-Wave, récemment acquis par la Commission Européenne ou encore par Google, est en mesure de suivre 7 milliards d’individus injectés et ayant embarqué des nanotechnologies via la « vaccination » pour créer un WBAN. 

Les nanobatteries injectées dans le corps évoluent dans les fluides corporels et utilisent les ions disponibles dans le corps humain. 

Mais les nanobatteries au graphène peuvent fonctionner de manière différente notamment grâce aux ondes électromagnétiques que l’on retrouve partout dans notre environnement, particulièrement celles produites par les réseaux téléphoniques sans fil. Un corps biologique situé dans un environnement électromagnétique va voir apparaître en son sein des courants induits correspondants aux fréquences de cet environnement. Certaines personnes y sont par ailleurs très sensibles, nous le savons. 

Si l’oxyde de graphène offre une bonne capacité d’absorption des ondes 5G, comme l’a prouvé Mik Andersen, il s’appuie sur les travaux de Ameer et Gul (2016) intitulés « Influence of Reduced Graphene Oxide on Effective Absorption Bandwidth Shift of Hybrid Absorbers », pour conclure également d’une bonne absorption des ondes 2G, 3G et 4G. 

Il existe une abondante littérature scientifique qui démontre l’implication directe de l’ADN auto-assemblé pour créer des systèmes informatiques et nanotechnologiques, également à travers des cristaux d’ADN. Jackson T et al. expliquent qu’il est permis de construire de nouvelles nanoparticules qui jouent des rôles intermédiaires entre les ordinateurs électroniques et les systèmes biologiques. 

Des dispositifs nanoélectroniques basés sur l’ADN synthétique sont bien embarqués dans les vaccins Pfizer et Cie… Bien que non mentionnés dans la composition du vaccin, en raison d’un vide juridique probablement entretenu (La législation n’a pas évolué depuis 20 ans), ces dispositifs sont inoculés à l’insu des personnes « vaccinées ». 

À suivre…

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