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Science et oligarchie ou la science corrompue…

Posted in actualité, N.O.M, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , on 28 décembre 2015 by Résistance 71

Il y a un bon moment que nous disons que le processus scientifique est totalement dévié, déviant et corrompu. Les méga-multinationales sont les payeuses, celles qui financent la recherche, qui fournissent les fonds. Elles paient donc aussi pour ce qui doit être publié. La science comme la politique et les sciences humaines et sociales ne font que débiter ce que l’oligarchie dit qu’il faut dire dans les grandes largeurs. Nous avions pris cet exemple il y a plusieurs années pur expliquer l’affaire: toujours Ô combien valide aujourd’hui: Imaginons que nous soyons un groupe de scientifiques et que nous nous proposions de faire une « Étude sur le rapport de la calvitie des boules de billard sur la dysenterie des chats sauvages. » Quelles sont nos chances de recevoir des fonds de recherche ? Nulles.
Par contre si nous intitulons notre recherche: « Étude sur le rapport entre la calvitie des boules de billard et la dysenterie des chats sauvages dans le contexte du changement climatique anthropique », quelles sont nos chances ? Très élevées, en fait il est très probable que nous ayons à choisir parmi bien des subventions…
On exagère à peine !… La science, la recherche scientifique aujourd’hui ont été kidnappées par le fric roi. En conséquence, ne plus rien croire des publications scientifiques jusqu’à preuve du contraire est une mesure de salubrité publique. Nous sommes entrés de plein-pied dans le domaine de la science vaudou et dans la science sponsorisée par les corporations. Autre exemple probant: entre 1910 et 1916, au Pays du Goulag Levant (ex-USA), les facs de médecine sont passées sous le contrôle de la Fondation Rockefeller, qui recycle le fric de son industrie du pétrole et de la chimie. Bien des labos pharmaceutiques ont été financés et sont contrôlés par les intérêts Rockefeller. Toutes les facs de médecine qui ont refusé la donne Rockefeller ont dû fermer leurs portes à très court terme (n’oublions pas que l’enseignement universitaire aux USA est essentiellement privé…), ainsi les Rockefeller ont sous contrôle les facs de médecine (Medical Schools aux USA) et ont forcé les curriculum de médecine générale à 100% vers la vente et consommation de molécules synthétiques créées et vendus par les labos. Que penser des articles publiés dans le « Journal of the American Medical Association » (JAMA) vu sous cet angle ?…

Et tout est à l’avenant !…

— Résistance 71 —

 

Corruption de la science: le voile se lève sur les revues scientifiques

 

Pierre Barthélémy

 

27 décembre 2015

 

url de l’article:

http://fr.sott.net/article/27232-Corruption-de-la-science-le-voile-se-leve-sur-les-revues-scientifiques

 

Il y a quelque chose de pourri au royaume de la science. Coup sur coup, trois noms de l’édition scientifique ont été contraints de retirer plusieurs études qu’ils avaient publiées. Dans les trois cas, la fraude était intervenue au cours du processus de relecture et de validation des articles par les pairs (le peer review, selon la terminologie anglaise), c’est-à-dire au cœur-même de la machinerie scientifique. Pour ceux qui ne seraient pas familiers avec cette procédure, voici la marche à suivre quand des chercheurs veulent publier le résultat de leurs travaux. Ils rédigent tout d’abord leur étude puis l’envoient à une revue. L’éditeur de celle-ci adresse ensuite le texte à un ou plusieurs spécialistes, les relecteurs, qui, par leur expertise, sont à mêmes de saisir la portée de l’article et censés en effectuer une analyse critique. Souvent anonymes, ils peuvent décider de rejeter ce dernier s’ils ne le jugent pas assez intéressant ou pas au niveau de la revue ; ils peuvent aussi, avant de se prononcer, demander un certain nombre d’éclaircissements voire de nouvelles expériences ; ils peuvent enfin accepter l’étude, en général au prix de corrections et de précisions. Si les experts donnent le feu vert, le texte est publié.

Entre l’envoi initial et la parution de l’article, le processus peut prendre plusieurs semaines, voire plusieurs mois, et cette validation par les pairs est censée garantir la qualité et le sérieux de la revue. Mais quand le peer review est piraté, comme cela vient de se produire à plusieurs reprises, c’est tout l’édifice scientifique qui est ébranlé. Les trois affaires ont été révélées au grand jour par l’excellent site « Retraction Watch ». La première date du 16 décembre. L’éditeur Hindawi a été contraint de retirer d’un coup dix articles dont un des co-auteurs, le Sud-Coréen Jason Jung, avait frauduleusement soumis lui-même les rapports de relecture. Il est évidemment plus facile de voir son travail accepté par une revue quand on procède soi-même à son évaluation…

La deuxième affaire touche un grand nom de l’édition scientifique, le Nature Publishing Group (NPG), qui, comme son nom l’indique, publie notamment la prestigieuse revue Nature. Dans un communiqué laconique rendu public le 18 décembre, le NPG annonce que trois articles, tous rédigés par des équipes chinoises et parus dans les journaux Cancer Gene Therapy et Spinal Cord, ont été retirés, c’est-à-dire désavoués. On n’a pas beaucoup d’explications mais, là encore, est en cause une fraude au niveau du peer review. Enfin, « Retraction Watch » a annoncé le 24 décembre que le groupe d’édition SAGE, après avoir mené une enquête sur des études suspectes soumises à une de ses revues, le Journal of the Renin-Angiotensin Aldosterone System (JRAAS), avait retiré 21 articles. Huit d’entre eux avaient déjà été publiés, tous issus d’équipes chinoises…

Au total, en moins de dix jours, 34 études sont donc parties dans les oubliettes de la science. Cette rafale de rétractations n’est en réalité pas surprenante, car elle s’inscrit dans une sorte d' »opération mains propres » à laquelle les grands éditeurs du monde scientifique ont été contraints de se livrer depuis un an. En décembre 2014 en effet, le Comité sur l’éthique des publications (COPE, selon son acronyme anglais), organisation à but non lucratif regroupant plus de 10 000 éditeurs scientifiques dans le monde, lançait un signal d’alarme. Dans un communiqué, le COPE constatait « des tentatives systématiques et inconvenantes pour manipuler le processus de revue par les pairs de plusieurs journaux appartenant à différents éditeurs. Il apparaît que ces manipulations ont été orchestrées par un certain nombre d’agences tierces offrant leurs services à des auteurs. »

Pour comprendre ce qui peut sembler un tantinet obscur dans cet extrait, il faut entrer quelques minutes dans l’arrière-cuisine de la science, là où se mitonne la tambouille de la recherche. Très populaires en Asie – et notamment en Chine, comme j’ai déjà eu l’occasion de le signaler – , les « agences » auxquelles se réfère le communiqué du COPE sont des officines qui, moyennant finances, proposent aux chercheurs en mal de reconnaissance et soumis à la pression du « Publie ou péris » des articles clés en mains ou, plus simplement, une « aide » à la publication. Et, parfois, l’aide fait un détour par la tricherie. Comment cela ? Trois cas principaux se présentent. Dans les deux premiers, les fraudeurs profitent du laxisme de revues fainéantes, lesquelles demandent aux auteurs de fournir avec leurs articles une liste de spécialistes de leur domaine qui pourraient servir de relecteurs. Première possibilité : les chercheurs pressentis sont de mèche avec les auteurs (ou rémunérés par les agences pour leur mansuétude…) et, en attente d’un retour d’ascenseur, ils jouent au « passe-moi la salade, je t’envoie la rhubarbe » cher à un homme politique français qui ne connaît pas ses classiques.

Seconde possibilité, nettement plus tordue, mais visiblement très en vogue : les auteurs ou, bien souvent, les agences qui agissent à leur place fournissent le nom de chercheurs mais avec de fausses adresses de courrier électronique. Du coup, sans se douter de l’entourloupe, les revues leur renvoient leurs études en leur demandant de les évaluer ! Il suffit de donner une réponse bienveillante mais assortie de quelques remarques judicieuses, histoire de ne pas éveiller la méfiance des éditeurs, et le tour est joué : un « pair » a validé le travail, on peut le publier. Dans le dernier cas de figure, on a affaire à un piratage classique : quelqu’un pénètre dans le système informatique gérant les études à relire et adresse celles qu’il veut valider à un reviewer fictif ou complice. C’est ce qui s’est produit pour le journal Optics & Laser Technology, du groupe Elsevier, qui a dû retirer en 2012 une dizaine d’articles frauduleusement acceptés.

Depuis qu’a éclaté le scandale de ces manipulations du peer review, on a, selon « Retraction Watch », comptabilisé près de 300 rétractations, la plupart concernant des études venues d’Asie – chinoises, taïwanaises, sud-coréennes – et impliquant souvent les fameuses « agences » du marché noir de la science, que j’évoquais plus haut. Il y a un mois, Pékin, soucieuse de restaurer une crédibilité scientifique bien ébranlée, a réagi en interdisant aux chercheurs chinois de travailler avec ces agences. Quant aux éditeurs, ils ont lancé de nombreuses enquêtes internes dont les retombées n’ont sans doute pas fini de se faire sentir. Nombreuses sont également les revues qui ont promis de ne plus demander aux auteurs de leur fournir une liste de relecteurs potentiels. Histoire que la si essentielle validation se fasse bien par des pairs et non par des fantômes.

* * *

Le problème de ce système est également de favoriser le fonctionnement en vase clos et la validation préférentielle de sujets qui sont porteurs car les crédits en dépendent et d’exclure les autres.

 

Science et technologie: libérons la science de son carcan autocrate et réducteur

Posted in actualité, écologie & climat, néo-libéralisme et paupérisation, politique et lobbyisme, science et nouvel ordre mondial, sciences, sciences et technologie, sciences et technologies with tags , , , , , on 7 janvier 2012 by Résistance 71

La résolution du problème énergétique est plus un problème politique que scientifique. En effet, il semblerait que depuis bien longtemps déjà nous ayons le savoir faire quant à la production d’une énergie sûre, illimitée, durable et bon marché… Des mots qui ne font absolument pas bon ménage avec capitalisme, profit, domination, hégémonie et monopole n’est-il pas ?

Résolvons le problème politique et nous résoudrons le problème scientifique et de l’énergie et non pas l’inverse comme ces guignols de politicards et de lobbyistes du gros business nous le bassinent depuis des lustres…

Sortons de la spirale politico-sociale mortifère et oligarchique… et tout coulera de source. Pour ce faire il faut prendre le problème par le bon bout, celui de la politique!

— Résistance 71 —

 

La fusion nucléaire à froid: source d’énergie sans danger, bon marché et illimitée

 

Le 6 Janvier 2012.

 

url de l’article original (merci à Doctorix pour le lien):

http://fusion-froide.com/la-fusion-nucleaire-a-froid-source-denergie-sans-danger-sans-limite-et-bon-marche

 

« Le procédé de fusion nucléaire – procédé à froid, sans danger, sans rejet, utilisant un simple isotope de l’eau – résoudra tous les besoins énergétiques de l’humanité. Cette technique sera mise à notre disposition avec l’instauration du partage… » (Benjamin Creme, Share International, déc. 1988)

Suite aux tentatives d’une équipe de chercheurs scientifiques du Jet Project (Oxford), réalisées en 1997 d’augmenter l’excédent d’énergie produite par le processus de la fusion nucléaire à froid, suite aux expérimentations d’une équipe de scientifiques japonais au laboratoire Rutherford Appleton de Didcot (Angleterre) sur le point de découvrir la fusion nucléaire à froid permettant d’ouvrir la porte à une source d’énergie sans danger, sans limite et bon marché, à base d’hydrogène, la substance la plus abondante dans l’univers, ce n’est qu’à l’occasion de la conférence de Hokkaïdo et pour la toute première fois, que plusieurs laboratoires apportèrent une preuve quantifiée de production d’hélium, sous-produit de la fusion à froid. Ces résultats eurent une portée historique. Ils outrepassèrent toutes les lois ” normales ” de la physique et de la chimie et fournirent à l’époque la meilleure preuve de la fusion nucléaire à froid.

En 1994, l’équipe de l’Université d’Osaka (Japon) fut la première à reproduire sans équivoque un excès de chaleur. Ils détectèrent également une émission d’hélium. En 1996, une équipe de l’Université de Rome est également parvenue à créer de l’hélium accompagné d’un excès de chaleur, avec une reproductibilité fiable. C’est cette équipe qui a démontré pour la première fois la corrélation réciproque, quantifiable, entre l’accroissement de la production d’hélium et l’augmentation de chaleur. Le Centre américain de la sécurité navale, basé à China Lake (Californie) est également parvenu à ce résultat.

A la conférence d’Hokkaïdo, quatre équipes ont annoncé être parvenues à produire des excès de chaleur, lors d’expériences reproductibles à cent pour cent: l’Université d’Illinois (Etats-Unis); l’INFN de Frascati (Italie); l’Université d’Osaka (Japon) et la société Clean Energie Technology, de Dallas (Texas). Au cours de cette conférence, au moins vingt autres rapports, faisant état de production d’excès de chaleur produite dans des expériences de fusion nucléaire à froid, ont été présentés par des équipes du monde entier.

Des scientifiques du Trenergy Laboratory de Salt Lake City (Etats-Unis) affirmèrent avoir découvert une méthode pour neutraliser les déchets nucléaires. Cette découverte fut confirmée par le Cise, situé près de Milan (Italie), l’un des plus grands laboratoires nucléaires européens. Les scientifiques italiens ont déclaré que les résultats étaient tellement remarquables qu’ils ne pouvaient s’être produits par erreur ou suite à une contamination. Ils ont confirmé que ce procédé permettait de transmuter des éléments radioactifs dangereux comme le thorium, le césium ou l’uranium en éléments non radioactifs tels que le titane ou le cuivre. Selon les estimations des scientifiques, le thorium met des milliards d’années pour se neutraliser naturellement. Le Département américain de l’énergie s’intéressa à ce projet et offrit son soutien

« On utilisera les énergies naturelles contenues dans les atomes de l’eau. » [B. Creme, la Réapparition du Christ et des Maîtres]

En juin 2001 s’est tenue à Weinfeld (Suisse) une conférence internationale sur les nouvelles énergies, qui a réuni 200 scientifiques de tous horizons. L’un des principaux intervenants, le professeur Jean-Pierre Vigier, y a exposé les travaux sur la fusion à froid, menés par le professeur Zvonko Maric, chef du département de physique de l’Université de Belgrade.

La fusion nucléaire, qui est au cœur du fonctionnement des étoiles, consiste à faire fusionner deux atomes et à récupérer l’énergie dégagée par cette réaction. On croit généralement que cette fusion ne peut se produire qu’à très haute température et sous des pressions très élevées. Mais le professeur Maric a développé avec succès un procédé simple de fusion à froid. Selon J.-P. Vigier, les expériences du professeur Maric ont été reproduites avec succès dans plusieurs pays.

Rappelons que si la fission nucléaire produit de grandes quantités d’isotopes radioactifs dangereux, la fusion nucléaire est généralement sans danger écologique, plus économique et produit une énergie propre et illimitée…

Energie et détournement de la science: il est temps de faire sauter les verrous

Posted in actualité, politique et lobbyisme, sciences, sciences et technologies with tags , , on 25 décembre 2011 by Résistance 71

E-Cat : une énergie presque gratuite, presque infinie, sans pollution

 

Par Doctorix

 

Le 22 Décembre 2011

url de l’article original:

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/e-cat-une-energie-presque-gratuite-106673#commentaires

 

Le procédé que je vais vous faire découvrir s’appelle E-Cat. Il s’apparente aux transmutations à basse température. Il faut obtenir au départ une température de 150 à 500°C : mais, croyez-le ou non, c’est encore une très basse température, surtout s’il s’agit de phénomène nucléaire.

(A Cadarache, dans un projet insensé, on tente de faire une fusion avec 100 millions de degrés au départ : coûteuse utopie, qui ne fonctionnera jamais).

Ici, par contre, nous sommes dans la vraie vie :

Il s’agit de mettre en présence 50 grammes de poudre de nickel chauffée à 300°C (par l’électricité du secteur pour démarrer la réaction, mais l’appareil tournera ensuite en auto-suffisance) et de l’hydrogène, sous une pression de 2 à 20 bars, qui provient d’un réservoir incorporé au E-cat, en présence d’un catalyseur secret.

Cette réaction produit une énorme quantité de chaleur, avec un COP de 40 ou plus (coefficient de performance, rapport entre l’énergie récupérée et l’énergie injectée ).

Vous donnez 1 kilowatt à l’entrée, vous récupérez 40 kw à la sortie.

Les appareils commercialisés produiront de 10 à 30 kw/h, largement suffisants pour alimenter une habitation ou une petite voiture. On peut les accoupler pour faire des centrales, ce qui pourrait donner un recyclage à nos centrales nucléaires, qui ne sont jamais que des machines à vapeur sales. Mais là, c’est propre, sans résidu radio-actif, et sûr : ça s’arrête en quelques minutes.

La réaction produit des rayons alpha et gamma (gamma d’énergie inférieure à 300 keV).

Ce qui prouve qu’une réaction nucléaire est à l’œuvre.

Mais un blindage de plomb de 50 kg sur 2 cm d’épaisseur (soit un volume de 4 litres environ) les arrêterait et l’appareil en fonctionnement n’émettrait ni neutrons ni protons.

Quelques heures après l’arrêt, il n’y aurait plus de rayonnement ni de déchets radioactifs, même au centre du réacteur. Le « combustible » et les déchets ne seraient pas radioactifs. La radioactivité de l’eau chauffée ne serait pas modifiée.

En cas d’emballement du réacteur, un excès de production de chaleur réduirait l’efficacité de la réaction et tendrait à limiter cet excès. De plus, dans ce cas, le système de sécurité activerait le préchauffage auxiliaire pour renforcer cette limitation.

Lors de la maintenance, tous les 6 mois, le nickel serait recyclé et le petit réservoir d’hydrogène à 160 bars (quelques litres) remplacé. Au bout de 2,5 mois d’utilisation, le nickel contient environ 10 % de cuivre (isotopes 63 et 65) et 11 % de fer.

Vous devez y voir la preuve d’une transmutation du nickel en fer et en cuivre, et donc la preuve que la transmutation à basse température est possible.

Le nickel est abondant sur Terre et n’est pas cher.

« Si toute l’énergie consommée par les humains était produite ainsi, un pourcentage infime [10%] de l’extraction annuelle de nickel y suffirait »

Le E-cat est entièrement recyclable après une durée de vie de 15 à 20 ans, le nickel l’est à 80% environ.

Vous pouvez vous offrir 50 grammes de Nickel (20 Euros le kilo : une dose coûte donc un euro) et quelques litres d’hydrogène tous les six mois ? Alors vous aurez bientôt accès à cette énergie quasi illimitée, qui ne produit pas de CO2, pas de particules radioactives, et dont les rares rayonnements sont facilement arrêtables avec quelques kilos de plomb.

J’ai résumé pour vous cet article trouvé sur Wikipédia. Vous y aurez de plus amples détails, et en sortirez convaincus.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Catalyseur_d%27%C3%A9nergie_de_Rossi_et_Focardi

Notez que les expériences sont tout à fait actuelles, et suivez l’actualité de cette révolution technologique jour après jour. La commercialisation semble en cours.

Alors, cessez de vous tourmenter avec le nucléaire et ces pseudos trouvailles que sont le photovoltaïque et l’éolien : c’est du passé, c’est périmé. La question du CO2 ne se pose plus, et les écolos vont devoir trouver un autre dada. Charbon, pétrole, nucléaire, au musée : à terme, zéro pollution.

Nous allons vivre une ère nouvelle, et on va cesser de nous casser les oreilles avec l’énergie rare, la pollution, et tous ces concepts d’un autre âge.

Cela pose de gros problèmes : les sociétés pétrolieres, les pays de l’OPEP, peuvent passer de l’opulence à la misère. L’Etat doit se trouver d’autres taxes. La production automobile doit se convertir à l’electricité. Les transports maritimes verront le retour des machines à vapeur ! Les trains auront le choix : électricité ou vapeur directement. Attendons-nous à quelques freins, donc.

Mais avec cette énergie quasi gratuite, quasi illimitée, on peut tout envisager : dessaler l’eau de mer et voir fleurir les déserts, faire disparaitre toute misère sur terre.

Un autre point important : tant que les intérêts pétroliers et nucléaires dominent (dominaient ?) la planète, de nombreux brevets du même ordre ont été confisqués ; il y a en effet de nombreux moyens de produire proprement de l’énergie gratuite. On peut s’attendre à les voir resurgir, dès lors qu’il sera plus rentable de les commercialiser que de les tenir secrets.