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Science et technologie: libérons la science de son carcan autocrate et réducteur

Posted in actualité, écologie & climat, néo-libéralisme et paupérisation, politique et lobbyisme, science et nouvel ordre mondial, sciences, sciences et technologie, sciences et technologies with tags , , , , , on 7 janvier 2012 by Résistance 71

La résolution du problème énergétique est plus un problème politique que scientifique. En effet, il semblerait que depuis bien longtemps déjà nous ayons le savoir faire quant à la production d’une énergie sûre, illimitée, durable et bon marché… Des mots qui ne font absolument pas bon ménage avec capitalisme, profit, domination, hégémonie et monopole n’est-il pas ?

Résolvons le problème politique et nous résoudrons le problème scientifique et de l’énergie et non pas l’inverse comme ces guignols de politicards et de lobbyistes du gros business nous le bassinent depuis des lustres…

Sortons de la spirale politico-sociale mortifère et oligarchique… et tout coulera de source. Pour ce faire il faut prendre le problème par le bon bout, celui de la politique!

— Résistance 71 —

 

La fusion nucléaire à froid: source d’énergie sans danger, bon marché et illimitée

 

Le 6 Janvier 2012.

 

url de l’article original (merci à Doctorix pour le lien):

http://fusion-froide.com/la-fusion-nucleaire-a-froid-source-denergie-sans-danger-sans-limite-et-bon-marche

 

« Le procédé de fusion nucléaire – procédé à froid, sans danger, sans rejet, utilisant un simple isotope de l’eau – résoudra tous les besoins énergétiques de l’humanité. Cette technique sera mise à notre disposition avec l’instauration du partage… » (Benjamin Creme, Share International, déc. 1988)

Suite aux tentatives d’une équipe de chercheurs scientifiques du Jet Project (Oxford), réalisées en 1997 d’augmenter l’excédent d’énergie produite par le processus de la fusion nucléaire à froid, suite aux expérimentations d’une équipe de scientifiques japonais au laboratoire Rutherford Appleton de Didcot (Angleterre) sur le point de découvrir la fusion nucléaire à froid permettant d’ouvrir la porte à une source d’énergie sans danger, sans limite et bon marché, à base d’hydrogène, la substance la plus abondante dans l’univers, ce n’est qu’à l’occasion de la conférence de Hokkaïdo et pour la toute première fois, que plusieurs laboratoires apportèrent une preuve quantifiée de production d’hélium, sous-produit de la fusion à froid. Ces résultats eurent une portée historique. Ils outrepassèrent toutes les lois ” normales ” de la physique et de la chimie et fournirent à l’époque la meilleure preuve de la fusion nucléaire à froid.

En 1994, l’équipe de l’Université d’Osaka (Japon) fut la première à reproduire sans équivoque un excès de chaleur. Ils détectèrent également une émission d’hélium. En 1996, une équipe de l’Université de Rome est également parvenue à créer de l’hélium accompagné d’un excès de chaleur, avec une reproductibilité fiable. C’est cette équipe qui a démontré pour la première fois la corrélation réciproque, quantifiable, entre l’accroissement de la production d’hélium et l’augmentation de chaleur. Le Centre américain de la sécurité navale, basé à China Lake (Californie) est également parvenu à ce résultat.

A la conférence d’Hokkaïdo, quatre équipes ont annoncé être parvenues à produire des excès de chaleur, lors d’expériences reproductibles à cent pour cent: l’Université d’Illinois (Etats-Unis); l’INFN de Frascati (Italie); l’Université d’Osaka (Japon) et la société Clean Energie Technology, de Dallas (Texas). Au cours de cette conférence, au moins vingt autres rapports, faisant état de production d’excès de chaleur produite dans des expériences de fusion nucléaire à froid, ont été présentés par des équipes du monde entier.

Des scientifiques du Trenergy Laboratory de Salt Lake City (Etats-Unis) affirmèrent avoir découvert une méthode pour neutraliser les déchets nucléaires. Cette découverte fut confirmée par le Cise, situé près de Milan (Italie), l’un des plus grands laboratoires nucléaires européens. Les scientifiques italiens ont déclaré que les résultats étaient tellement remarquables qu’ils ne pouvaient s’être produits par erreur ou suite à une contamination. Ils ont confirmé que ce procédé permettait de transmuter des éléments radioactifs dangereux comme le thorium, le césium ou l’uranium en éléments non radioactifs tels que le titane ou le cuivre. Selon les estimations des scientifiques, le thorium met des milliards d’années pour se neutraliser naturellement. Le Département américain de l’énergie s’intéressa à ce projet et offrit son soutien

« On utilisera les énergies naturelles contenues dans les atomes de l’eau. » [B. Creme, la Réapparition du Christ et des Maîtres]

En juin 2001 s’est tenue à Weinfeld (Suisse) une conférence internationale sur les nouvelles énergies, qui a réuni 200 scientifiques de tous horizons. L’un des principaux intervenants, le professeur Jean-Pierre Vigier, y a exposé les travaux sur la fusion à froid, menés par le professeur Zvonko Maric, chef du département de physique de l’Université de Belgrade.

La fusion nucléaire, qui est au cœur du fonctionnement des étoiles, consiste à faire fusionner deux atomes et à récupérer l’énergie dégagée par cette réaction. On croit généralement que cette fusion ne peut se produire qu’à très haute température et sous des pressions très élevées. Mais le professeur Maric a développé avec succès un procédé simple de fusion à froid. Selon J.-P. Vigier, les expériences du professeur Maric ont été reproduites avec succès dans plusieurs pays.

Rappelons que si la fission nucléaire produit de grandes quantités d’isotopes radioactifs dangereux, la fusion nucléaire est généralement sans danger écologique, plus économique et produit une énergie propre et illimitée…

Energie et détournement de la science: il est temps de faire sauter les verrous

Posted in actualité, politique et lobbyisme, sciences, sciences et technologies with tags , , on 25 décembre 2011 by Résistance 71

E-Cat : une énergie presque gratuite, presque infinie, sans pollution

 

Par Doctorix

 

Le 22 Décembre 2011

url de l’article original:

http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/e-cat-une-energie-presque-gratuite-106673#commentaires

 

Le procédé que je vais vous faire découvrir s’appelle E-Cat. Il s’apparente aux transmutations à basse température. Il faut obtenir au départ une température de 150 à 500°C : mais, croyez-le ou non, c’est encore une très basse température, surtout s’il s’agit de phénomène nucléaire.

(A Cadarache, dans un projet insensé, on tente de faire une fusion avec 100 millions de degrés au départ : coûteuse utopie, qui ne fonctionnera jamais).

Ici, par contre, nous sommes dans la vraie vie :

Il s’agit de mettre en présence 50 grammes de poudre de nickel chauffée à 300°C (par l’électricité du secteur pour démarrer la réaction, mais l’appareil tournera ensuite en auto-suffisance) et de l’hydrogène, sous une pression de 2 à 20 bars, qui provient d’un réservoir incorporé au E-cat, en présence d’un catalyseur secret.

Cette réaction produit une énorme quantité de chaleur, avec un COP de 40 ou plus (coefficient de performance, rapport entre l’énergie récupérée et l’énergie injectée ).

Vous donnez 1 kilowatt à l’entrée, vous récupérez 40 kw à la sortie.

Les appareils commercialisés produiront de 10 à 30 kw/h, largement suffisants pour alimenter une habitation ou une petite voiture. On peut les accoupler pour faire des centrales, ce qui pourrait donner un recyclage à nos centrales nucléaires, qui ne sont jamais que des machines à vapeur sales. Mais là, c’est propre, sans résidu radio-actif, et sûr : ça s’arrête en quelques minutes.

La réaction produit des rayons alpha et gamma (gamma d’énergie inférieure à 300 keV).

Ce qui prouve qu’une réaction nucléaire est à l’œuvre.

Mais un blindage de plomb de 50 kg sur 2 cm d’épaisseur (soit un volume de 4 litres environ) les arrêterait et l’appareil en fonctionnement n’émettrait ni neutrons ni protons.

Quelques heures après l’arrêt, il n’y aurait plus de rayonnement ni de déchets radioactifs, même au centre du réacteur. Le « combustible » et les déchets ne seraient pas radioactifs. La radioactivité de l’eau chauffée ne serait pas modifiée.

En cas d’emballement du réacteur, un excès de production de chaleur réduirait l’efficacité de la réaction et tendrait à limiter cet excès. De plus, dans ce cas, le système de sécurité activerait le préchauffage auxiliaire pour renforcer cette limitation.

Lors de la maintenance, tous les 6 mois, le nickel serait recyclé et le petit réservoir d’hydrogène à 160 bars (quelques litres) remplacé. Au bout de 2,5 mois d’utilisation, le nickel contient environ 10 % de cuivre (isotopes 63 et 65) et 11 % de fer.

Vous devez y voir la preuve d’une transmutation du nickel en fer et en cuivre, et donc la preuve que la transmutation à basse température est possible.

Le nickel est abondant sur Terre et n’est pas cher.

« Si toute l’énergie consommée par les humains était produite ainsi, un pourcentage infime [10%] de l’extraction annuelle de nickel y suffirait »

Le E-cat est entièrement recyclable après une durée de vie de 15 à 20 ans, le nickel l’est à 80% environ.

Vous pouvez vous offrir 50 grammes de Nickel (20 Euros le kilo : une dose coûte donc un euro) et quelques litres d’hydrogène tous les six mois ? Alors vous aurez bientôt accès à cette énergie quasi illimitée, qui ne produit pas de CO2, pas de particules radioactives, et dont les rares rayonnements sont facilement arrêtables avec quelques kilos de plomb.

J’ai résumé pour vous cet article trouvé sur Wikipédia. Vous y aurez de plus amples détails, et en sortirez convaincus.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Catalyseur_d%27%C3%A9nergie_de_Rossi_et_Focardi

Notez que les expériences sont tout à fait actuelles, et suivez l’actualité de cette révolution technologique jour après jour. La commercialisation semble en cours.

Alors, cessez de vous tourmenter avec le nucléaire et ces pseudos trouvailles que sont le photovoltaïque et l’éolien : c’est du passé, c’est périmé. La question du CO2 ne se pose plus, et les écolos vont devoir trouver un autre dada. Charbon, pétrole, nucléaire, au musée : à terme, zéro pollution.

Nous allons vivre une ère nouvelle, et on va cesser de nous casser les oreilles avec l’énergie rare, la pollution, et tous ces concepts d’un autre âge.

Cela pose de gros problèmes : les sociétés pétrolieres, les pays de l’OPEP, peuvent passer de l’opulence à la misère. L’Etat doit se trouver d’autres taxes. La production automobile doit se convertir à l’electricité. Les transports maritimes verront le retour des machines à vapeur ! Les trains auront le choix : électricité ou vapeur directement. Attendons-nous à quelques freins, donc.

Mais avec cette énergie quasi gratuite, quasi illimitée, on peut tout envisager : dessaler l’eau de mer et voir fleurir les déserts, faire disparaitre toute misère sur terre.

Un autre point important : tant que les intérêts pétroliers et nucléaires dominent (dominaient ?) la planète, de nombreux brevets du même ordre ont été confisqués ; il y a en effet de nombreux moyens de produire proprement de l’énergie gratuite. On peut s’attendre à les voir resurgir, dès lors qu’il sera plus rentable de les commercialiser que de les tenir secrets.