Tyrannie en marche : du 11 septembre au COVID et au delà… Le pouvoir de dire NON ! (Résistance 71)

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A tous nos fidèles lecteurs : a lire et diffuser sans modération ! Merci… On laisse tout ça en tête de gondole pendant un moment, que ça imprègne et infuse les esprits comme il se doit… (Résistance 71)

Tyrannie postmoderne, Nouvel Ordre Mondial : du 11 septembre au COVID et au-delà

Résistance 71

23 septembre 2023

Dans cette analyse, nous allons le plus brièvement possible présenter l’erreur induite par un système politico-économique de l’assimilation entre ce qui est appelé “état”, “nation”, “patrie” et la “société” (que nous avons détaillée par ailleurs historiquement, philosophiquement et politiquement dans notre “Manifeste pour la société des sociétés”, 2017), voir comment l’État et son avatar moderne est tyrannique par essence et ne peut échapper à cet effet par sa construction même et comment la nouvelle forme de tyrannie, dérivée de l’ancien despotisme, est une construction technocratique en aboutissement d’une idéologie relevant d’un “scientisme” pseudo-scientifique, nouvelle religion obscurantiste d’une pseudo-science des “modèles informatiques” ayant pris le pas sur la science empirique et aidant les desseins de perpétuation du système au-delà de ses limites capitalistes établies ; ceci ayant mené à la fabrication du 11 septembre 2001 sans lequel celle de la plandémie COVID de 2019 aurait été impossible.

On nous gave historiquement de ce soi-disant avènement de “l’état-nation” au XVIème siècle, consolidé au XVIIème siècle, en France sous Louis XIV, qu’en est-il exactement ?

Pour faire bref, Tous ces termes ne sont en rien synonymes comme le système veut le faire croire. Une définition du mot “nation” sur Wikipedia, l’encyclopédie propagandiste en ligne du système étatico-marchand, implique que des êtres humains vivant sur un territoire donné, soient sous les “lois d’un même état”. Propagande quand tu nous tiens. Larousse est plus mitigé et nous donne comme définition de sens commun “un ensemble d’êtres humains vivant sur un même territoire, ayant une communauté d’origine, d’histoire, de culture, de traditions et potentiellement de langue, identique ou similaire.” Il est évident que nation et État sont totalement différents. Bien des nations ont existé et existent sans jamais avoir été membres d’un quelconque état : la grande nation Sioux, Oceti Sakowin regroupant des nations multiples (Lakota, Dakota, Oglala, Brûlés…) sous une forme de fédération à chefferies sans pouvoir qui comprenaient des centaines de milliers d’individus, même système pour la Confédération Haudenosaunee (iroquoise) des 5 puis 6 nations (Seneca, Oneida, Onondaga, Cayuga, Mohawk puis Tuscaroa depuis 1725) ; idem pour les grandes nations Apache, Hopi, des Indiens d’Amérique du Sud, des Maoris de Nouvelle-Zélande, des Aborigènes d’Australie et des peuples mélanésiens. Il en va également de même en Afrique où des nations existaient et existent toujours indépendamment de la fabrication récentes des états au modèle de gestion eurocentrique. Ces sociétés ne sont en rien des sociétés “sauvages” en attente de “civilisation”, elles sont des sociétés totalement formées, matures, dont les mécanismes internes préviennent de la séparation du pouvoir du corps social et comme l’a si bien démontré l’anthropologue Pierre Clastres, ce ne sont pas des sociétés “sans État” survivant dans l’attente de son avènement, mais des sociétés organiques contre l’État, anticipant la tyrannie du pouvoir concentré et centralisé, ainsi que ses mécanismes de contrôle anti-naturels, pire… contre-natures.

La patrie implique une notion d’appartenance de naissance, de citoyenneté et donc d’appartenance à un espace géographique et culturel établi et délimité, impliquant à termes, la “défense” de cet espace, de ses frontières essentiellement fictives, ce par fierté idéologique induite.

L’État est un outil de verrouillage administratif et bureaucratique permettant de contrôler les populations et de les gouverner de manière coercitive au profit d’une caste s’étant arrogée le pouvoir politique de départ puis par alliance, économique et religieux, caste qui en échange, perpétue le système. L’État est une relation d’alliance entre le chef de guerre, le chaman (religieux) / prêtre, le juge, puis plus tard le marchand dont le résultat est la création d’une entité administrative travaillant exclusivement à la préservation de la séparation du pouvoir du corps social lui-même assujetti et opprimé. L’État n’est jamais un choix, toujours une imposition, politique avant que d’être économique. Personne n’est jamais entré sous contrôle d’un état de son plein gré, beaucoup en revanche l’ont fuit (cf. Zomia et notre page « Anthropologie politique »). Le fameux “contrat social” vanté par Rousseau ne peut s’appliquer à l’État qui n’est que la résultante d’une relation de rapport de force imposée à la population par une caste de privilégiés utilisant des rouages administratifs coercitifs pour se maintenir en haut de la pyramide ainsi créée.

Ainsi donc, l’État, contrairement à la nation, est coercitif et tyrannique par nature. Il est en cela anti-naturel, contre-nature, il ne peut en être autrement. Son fondement même, en tant qu’entité de contrôle et de gouvernance est toxique et oppresseur. Il a été façonné et perfectionné dans le temps pour ne servir qu’une seule cause : l’intérêt particulier du plus petit nombre au détriment de l’intérêt général, ceci a empiré sous l’emprise et la phagocytose opérées par le capital et la haute finance depuis un siècle. Il en est le bras armé possédant à terme, le monopole de la violence “légitime” nécessaire à sa survie et sa fonction de contrôle des êtres sous sa coupe. Il est, comme le disait un certain grand philosophe dynamiteur : “le plus froid des monstres froids..

Le rapport de l’État à la population ne peut être qu’abusif. Il l’est parfois plus, parfois moins selon les nécessités conjoncturelles, mais ce n’est jamais qu’une question de degré et le thermostat de réglage se trouve dans les burlingues feutrés de la grande oligarchie politico-financière qui tend maintenant à se confondre. Pour pouvoir se perpétuer ainsi depuis quelques 5000 ans, des stratégies ont été mises au point afin de maintenir la division politique et sociale d’en bas par la propagande, la manipulation, le mensonge et la falsification, tout en prônant l’union fictive par la force et la menace sous la forme de ce qui a été appelé “l’état-nation” et son “intérêt commun”, vaste supercherie d’un système qui contient en lui-même sa propre finitude. L’État et ses représentants mentent en quasi permanence, c’est leur seul façon de perdurer : par la tromperie et l’entretien de l’espoir de jours meilleurs par la falsification et la transformation non pas de la réalité, mais de sa perception au travers un filtre de communication qui s’est perfectionné dans le temps pour devenir ce réseau tentaculaire médiatique de propagande dont le seul but est de manipuler et orienter l’opinion publique. Contrôler l’information, c’est contrôler les esprits. Il y a une guerre de l’information parce qu’il y a une guerre contre nos esprits.

Lenine_Etat_Liberte

Pensez-y : L’État… Une tellement bonne idée qu’elle doit être imposée et maintenue par la force sinon personne n’y adhérerait !

Ainsi donc, l’État consolidé au fil du temps, devenu depuis la première guerre mondiale, assujetti au capitalisme financier avec lequel (et dont les “élites” réciproques) il marche la main dans la main est entré en phase d’une énième transformation, car penser que capitalisme et étatisme vont s’arrêter parce qu’ils sont au bout de leur “trajectoire historique” est faire preuve d’une bien belle naïveté, Comme il l’a fait depuis des siècles et des siècles, l’État et son comparse économico-financier sont entrés en phase métamorphique dont le catalyseur fut les attentats faux-drapeau du 11 septembre 2001.

Explication :

Depuis son origine l’État mute et suit une évolution linéaire imbriquée avec celle du mode de production, même si la division du corps social est politique avant d’être économique, les deux ont fini par se rejoindre et dépendre l’un de l’autre. Une fois ce système mis en place, il suit une logique interne implacable menant à sa destruction par stagnation et incapacité de reproduction de son propre modèle, en cela Marx avait raison, simplement, comme cela est une création humaine, on peut toujours défaire ce qu’on a fait, il suffit de comprendre et de le vouloir en apportant la solution idoine : celle d’une société des sociétés des associations volontaires non coercitive au pouvoir réintégré dans le corps social, là où il est particulièrement soluble… 

Ceci dit, il est évident que dès lors, les privilégiés de la caste dominante perdront tout tandis que les peuples gagneront autonomie, liberté et réalisation finale de la société humaine organique des associations libres conférées. Ceci leur est bien entendu inacceptable et sachant que le système étatico-marchand arrive à la fin de sa trajectoire historique, il ne peut pas s’arrêter de fonctionner, il doit muer en un nouveau système toujours dominant, en l’occurence de dictature technotronique, comme il l’a toujours fait depuis son origine néolithique. Les dérives du nouveau système en gestation sont multiples et mortifères, car la technologie faisant défaut jusqu’ici devient de plus en plus disponible pour réaliser le projet (logiciels, interfaces électroniques, grande capacité de stockage, de vitesse de transmission, quantum IT, nanotechnologie, réseaux de communication de 5ème et 6ème générations, 5 et 6G, nano-biotechnologie, cybernétique, robotique, IA,, etc, etc) pour accélérer les processus de contrôle et d’assujettissement finaux des populations ceci passant également par un génocide de masse répondant à l’idéologie néo-malthusienne dominante dans la caste privilégiée, sous couvert de “bio-sécurité” et de lutte contre le “réchauffement climatique anthropique”, deux supercheries de haut vol, validée par la vraie fausse science des “algorithmes de modèles informatiques” et imposées au monde malgré les preuves factuelles de leur fausseté et toxicité.

Régner et développer le nouveau système par un chaos (Ordo ab Chao telle est la devise avouée) provoqué et contrôlé ; comme les tours du WTC en 2001, une démolition programmée et contrôlée de ce qui existe pour le remplacer par un monde dystopique présenté comme inéluctable et justifié par une guerre permanente de nos sociétés du  “monde libre” contre des éternels croquemitaines qu’ils soient musulmans extrémistes terroristes (créés de toute pièce par les services : Oussama Bin Laden, Al Zharkaoui, Al Bagdhadi, Al Qaïda, Daesh etc…), qu’ils soient des tyrans fabriqués (Saddam Hussein, Bachar al Assad) ou inventés (Poutine), ou des héros de la résistance aux horreurs du système (le Hamas, le Hezbollah, l’EZLN, Kadhafi, les résistances indigènes partout…) ou que ce soit maintenant le pire de tout : un ennemi invisible sous la forme d’un “coronavirus mortel”, si mortel que seuls 0,03% des personnes infectées décédèrent essentiellement de facteurs de co-mortalité, mais qui nécessita la séquestration de la population mondiale, le forçage du port d’une muselière aussi inefficace que grotesque et l’imposition de l’injection de quelques milliards d’individus par de multidoses d’une arme biologique à ARNm souvent incapacitante et parfois mortelle, spécifiquement créée et présentée comme un « vaccin » pour détruire les systèmes immunitaires et provoquer de graves effets secondaires et la mort de millions de personnes. (voir notre page “Coronavirus, guerre contre l’humanité”, mise à jour depuis 2019 sur le sujet)

Comprenons bien que l’attaque nano-biotechnologique contre l’humanité, qui a lieu depuis 2019 à l’aide d’un virus fabriqué en laboratoire et lâché dans la nature, puis par injections nanotechnologiques (hydrogels) à ARNm, qui sont tout ce qu’on veut sauf des “vaccins”, n’aurait jamais pu se produire sans les attentats faux-drapeau du 11 septembre 2001 et le renforcement des états policiers sous couvert de “sécurité”… Retour succinct en arrière en comprenant que l’ennemi n’est pas et n’a jamais été un élusif barbu au fond d’une grotte et ses sbires disséminés au bon vouloir des services occidentaux ou un virus invisible et jamais isolé, mais NOUS les peuples du monde :

La version officielle des évènements s’étant déroulés en ce 11 septembre 2001 continue à vouloir faire croire qu’une bande de 19 pirates de l’air, à majorité saoudienne, suivant un plan très complexe ourdi dans un réseau de grottes au fin fond de l’Afghanistan, par une organisation menée par le terroriste et agent notoire et répertorié de la CIA, Oussama bin Laden (OBL), ont détourné et piloté 4 avions de lignes sur le sol américains, deux avions percutant les deux grandes tours du World Trade Center de New York, faisant s’effondrer en chute libre, non pas deux mais trois bâtiments solidement construits de ce complexe, ce, défiant toutes les lois existantes de la physique et de la mécanique, un troisième appareil allant soi-disant percuter le Pentagone (aucune preuve n’a jamais été fournie de cet évènement), tandis que le quatrième s’écrasait piteusement en rase campagne, ce qui reste aussi toujours à prouver, les lieux du sinistre ne ressemblant en rien à une zone de crash au sol d’un avion de ligne.

Dans les minutes qui suivirent ces attaques, le nom d’Oussama bin Laden était sur toutes les lèvres des “experts” des télévisions yankee et du monde occidental et ainsi commença le lavage de cerveau en mondovision avec pom-pom girls kakis pour mettre en place la plus gigantesque prise de contrôle et restriction des libertés individuelles jamais entreprise à l’échelle planétaire : la pseudo “guerre contre la terreur”. Cet évènement, “nouveau Pearl Harbor”, comme stipulé dans l’étude préalable aux attentats du Think tank “Project for a New American Century” ou PNAC, fut le catalyseur d’une énorme campagne militaire et sécuritaire, déclenchant guerres sans fin (Afghanistan, Irak, Libye, Syrie, Liban, Soudan, Yémen…) depuis lors et renforcement de la “sécurité” des états-nations par toute une armada de mesures toutes plus liberticides les unes que les autres, culminant avec le Patriot Act, déjà écrit et mis en application à Yankland dans les semaines qui suivirent les attentats, ses équivalents partout ailleurs et la sous-traitance des questions de sécurité par des entreprises privées assoiffées des contrats juteux balancés par les états (aujourd’hui, la vaste majorité des plus grands aéroports du monde ont leur “sécurité” assurée par des entreprises privées israéliennes…). Mais cela n’était pas suffisant, l’agenda sécuritaire devait aussi impliquer un renforcement de la sécurité en cas d’attaque biologique, mettre en place un système de renforcement de la bio-sécurité à des fins futures. Pour ce faire, dans les mois qui suivirent les attentats du 11 septembre, de bizarres attaques à la lettre piégée à l’Anthrax (spores souvent mortels de la maladie du charbon et cultivés dans les programmes de guerre biologique) furent perpétrées à Yankland, visant des sénateurs et membres du congrès, occasionnant quelques décès et de graves intoxications. Très rapidement, la machine propagandiste se mit en branle pour pointer du doigt la seule personne soi-disant capable de perpétrer ces attaques : Saddam Hussein, faisant aussi circuler la rumeur de son implication dans les attentats avec la fine équipe du 11 d’OBL. L’affaire culminant avec le chef d’état major de Bush, Colin Powell, secouant sa fameuse “fiole d’Anthrax” devant l’AG de l’ONU en 2003, persuadant le monde de la malfaisance de leur agent Saddam. Il fut plus tard analysé et prouvé que l’Anthrax des lettres provenait du labo militaire de guerre biologique de Fort Detrick dans le Maryland. Mais ça, l’histoire officielle n’en fait aucunement mention bien entendu. Place à l’invasion de l’Irak… l’élimination d’un agent devenu dangereux (Saddam) car sachant trop et à la saisie des champs pétroliers.

V_tyrannie

A partir de ce moment, des milliards de dollars furent investis dans la “bio-sécurité”, notamment dans les labos de recherche militaire yankee qui furent disséminés à travers le monde, surtout dans l’ex-zone du pacte de Varsovie, près des frontières russes. L’Ukraine héberge une bonne douzaine de ces labos, ainsi que des pays comme la Georgie, la Roumanie et les pays Baltes.

Les bases de ce qui, à terme, a donné la plandémie COVID depuis 2019 étaient posées.

Il est aussi important de bien comprendre que la “solution” apportée à la crise COVID par les gouvernements et Big Pharma, l’OMS, épaulés par quelques milliardaires n’a fait qu’adapter à une “menace biologique” le dispositif de sécurité et de contrôle des populations mis en place grâce aux attentats du 11 septembre. Du reste bien souvent, on retrouve les mêmes personnes aux postes clef de ces crises fabriquées, comme Robert Cadlec et autres sbires du système, qui traversent toutes les administrations quelque soit la couleur politique… Nous vous invitons à suivre les liens mis sur cet article pour plus de détails en ces domaines, car tout ceci est matière à écrire un bouquin de 1000 pages.

Aujourd’hui, nous en sommes arrivés au stade où la tyrannie sécuritaire s’est étendue au point de bientôt donner à un organisme soi-disant onusien, mais totalement contrôlé par le secteur privé de l’industrie pharmaceutique et quelques milliardaires affiliés, ayant lourdement investis dans les multiples brevets biotechnologiques (Bill Gates and Co) , l’OMS, le pouvoir de dicter la politique de tout pays dans le monde en cas de “nouvelle pandémie”. L’OMS aura le pouvoir d’imposer les confinements, les mises en camp de quarantaine et les injections de force des populations. La tyrannie réalisée à l’échelle planétaire sous couvert de “bio-sécurité” et de terreur organisée se met en place.

Toute la structure sécuritaire fournie par les attentats faux-drapeau du 11 septembre 2001 est mise au service de la poussée “bio-sécuritaire” depuis les fausses pandémies SRAS, MERS, H1N1, H5N1 et maintenant SRAS-CoV-2 / COVID19 et celles à venir COVID 2.0 ou autre “fuite bactériologique / virale”, le tout maintenant renforcé par une technologie de pointe permettant la mise en place d’une grille de surveillance mondiale (IA, 5G, numérisation et centralisation à outrance des informations personnelles, pass nazitaire etc…).

Ajoutée à cela, la nouvelle crise sécuritaire induite par le conflit en Ukraine, lui-même résultat d’un coup d’état de l’OTAN / UE/ Yankee en 2014, mettant des nazis, descendants politiques de la clique Stepan Bandera en Ukraine et collabos des nazis, au pouvoir, opprimant les populations russophones de l’Est du pays, forçant la Russie à intervenir, situation menaçant depuis de déclencher une guerre que l’oligarchie voudrait mondiale mais non thermonucléaire. L’oligarchie eugéniste avance deux pions dans le même temps avec le même objectif : la menace bio-sécuritaire bidon, mais faisant de vraies victimes dans la vie réelle et la guerre mondiale contre la Russie, complètement fabriquée comme le furent les deux guerres mondiales précédentes, grandes boucheries étatico-marchandes contre les peuples et leur union par associations volontaires, ce cauchemar de tous les oligarques.

Noirs desseins pour un noir futur de l’humanité diriez-vous, mais ayant une solution assez facile dans l’absolu : dire NON ! Refuser de jouer le jeu à tous les niveaux, retirer notre consentement (forcé ne l’oublions jamais…) au système et agir individuellement et collectivement en conséquence. Tout part de l’individu, de sa compréhension de la réalité politique qui lui est imposée, d’en accepter la conséquence inéluctable : le système étatico-marchand et la caste qui le pilote sont et ont toujours été toxiques, contre-nature et tyranniques n’ayant JAMAIS eu l’intérêt commun comme objectif ; qu’en résultat, il n’y a pas et ne peut y avoir de quelconque solution en son sein et que nous devons nous en départir sans plus attendre. D’où le pouvoir du NON ! Le refus d’obéir en quoi que ce soit et la recherche d’une association de semblables librement acceptée hors de tout système coercitif.

Nous avons parlé de longue date de la “croisée des chemins” pour l’humanité. Celle qui déterminera notre futur, celui d’un système en phase métamorphique qui accouchera d’une ignominie tyrannique dystopique et génocidaire (réduction de 90% de la population mondiale), d’une dictature technotronique planétaire dont il sera très difficile de se débarrasser une fois les rouages et mécanismes de la grille de contrôle mis en place ; ou celui d’une nouvelle société qui rejettera toute forme de coercition et mettra en application les principes de l’association volontaire, de l’entraide et de l’ouvrage individuel et collectif pour le seul bien commun de nous tous, sans discrimination aucune.

Au bout du chemin, une fois sur cette croisée, c’est notre choix et notre choix seul. Personne ne nous aidera à comprendre et choisir, pas de Deus ex machina, pas de “messie”, pas de politicien “providentiel”, pas de “sauveur”. Nous sommes face a notre futur. De plus en plus de gens, partout, le comprennent, certains discours récents au parlement européen ont vu des députés fustiger le système et haranguer leurs collègues pour un retour à la préservation du bien commun. Le temps ne joue plus pour la pourriture oligarchique, elle avance en terrain découvert, ils sont peu, nous sommes nombreux. La seule certitude que nous devons avoir est celle-ci : il est tout à fait possible de sortir de ce piège pour la simple et bonne raison qu’il ne peut en rien être inéluctable ; il est une création humaine, tout comme le système qui le génère et le gère. Il suffit de tracer la ligne du NON ! dans le sable et nous y tenir, ensemble, indéfectibles et incorruptibles, unis et solidaires.

Arrêtons d’avoir peur des fabrications de la pourriture étatico-marchande en totale dérive ! L’humanité prévaudra et les responsables politiques, économiques, scientifiques, médiatiques, militaires etc, des crimes commis répondront de leurs actes devant les peuples avec extrême responsabilité et sévérité.

Tout commence avec le POUVOIR DE DIRE NON !..

Union ! Solidarité ! Réflexion ! Action !

Vive la Commune Universelle de notre humanité enfin réalisée !

= = =

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

pandemies_fabriquees

Dictature OMS + dictature OTAN / BRICS

UKRAIN-NAZIS-GR.jpg

= dictature technotronique planétaire
<=> N.O.M / Grande Réinitialisation

Solution : Penser et agir hors de la boîte

A_tyrannie

 

3 Réponses to “Tyrannie en marche : du 11 septembre au COVID et au delà… Le pouvoir de dire NON ! (Résistance 71)”

    • très intéressant, scénario fait pour gérer le scepticisme envers « vaccins » et contre-mesures médicales d’urgence qui ne sont que pousser des poisons sur les populations paniquées, dans ce scenario, la résistance est importante due au passé connu…

  1. voilà ce qu’ils ont trouvé pour accélérer le déploiement de la 6G qui nécessite l’abattage des arbres.
    Envoyer des insectes de Chine qui colonisent les arbres et donc justifie l’abattage des arbres.

    et aussi pour détruire l’agriculture.

    En effet, ils fliquent les jardiniers sur l’arrosage de leurs potagers, mais comment empêcher les arbres qui n’ont pas besoin d’arrosage de jardiniers et portent leurs fruits tout seuls?

    Faire venir un insecte de Chine, parbleu. Et qui ne s’attaque qu’aux arbres fruitiers.

    On se demande pourquoi l’insecte chinois a attendu l’année 2023 pour venir en France alors que le commerce avec la Chine a commencé depuis la seconde guerre mondiale… M’est avis qu’il s’agit d’un insecte OGM créé dans un labo chinois.
    Après tout, ils ont des usines pour fabriquer des insectes là bas, et la France a fait une loi pour qu’on bouffe aussi des insectes dans nos assiettes.
    https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/gironde/bordeaux/le-longicorne-tigre-un-insecte-asiatique-ravage-les-arbres-de-gironde-2843087.html

    ils pourraient à la place mettre de la glue naturel sur les arbres pour les insectes se retrouvent emprisonnés. Mais non l’abattage c’est la seule solution pour eux.

    Ils font semblant de s’inquiéter sur les invasions d’insectes nuisibles sur les arbres fruitiers au sud de la France, alors qu’ils veulent déjà servir des insectes dans les cantines et en mettre à notre insu dans tous les plats préparés, pains et boissons via la législation https://www.epochtimes.fr/des-insectes-dans-le-pain-les-biscuits-les-sauces-approuves-par-lu-e-2212470.html

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