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Le géant de l’investissement BlackRock et la crise énergétique en cours (F. William Engdahl)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, écologie & climat, économie, crise mondiale, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et social, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , on 14 février 2023 by Résistance 71

blackrock1

Comment le fond d’investissement Black Rock a déclenché la crise énergétique globale

F. William Engdahl

3 février 2023

Source :

https://www.globalresearch.ca/how-blackrock-larry-fink-created-global-energy-crisis/5799286

~Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

La plupart des gens sont perplexes quant à la crise énergétique mondiale avec les prix du pétrole du gaz et du charbon qui augmentent dramatiquement simultanément, forçant même la fermeture de grosses usines dans les domaines de la production d’acier, d’aluminium et de produits chimiques (pétrochimie). Le gouvernement Biden et l’UE ont insisté que tout cela est à cause de Poutine et de l’action militaire russe en Ukraine. Ceci n’est pas le cas. La crise énergétique est une crise planifiée comme stratégie de longue date du milieu entrepreneurial occidental et des cercles politiques afin de démanteler les économies industrielles au nom d’un agenda “vert” des plus dystopiques. Tout ceci prend racine dans des années bien antérieures à février 2022 lorsque la Russie a déclenché son opération spéciale militaire en Ukraine.

BlackRock pousse pour la Gouvernance Sociale et Environnementale (GSE)

En janvier 2020, à la veille des confinements COVID dévastateurs économiquement et socialement, Le CEO du plus grand fond d’investissement au monde, Larry Fink de BlackRock, a écrit une lettre à ses collègues de Wall Street et autres CEOs d’entreprises sur les flots futurs d’investissement. Dans ce document, modestement intitulé “Une refonte fondamentale de la finance”, Fink, qui gère le plus grand fond d’investissement au monde avec un portefeuille de quelques 7000 milliards de dollars, alors sous gérance, a annoncé une bifurcation radicale de l’investissement entrepreneurial. L’argent partirait “dans le vert”. Dans sa lettre très suivie de 2020, Fink déclara : 

“Dans un futur très proche et plus tôt que bien des gens ne l’anticipent, il va y avoir une réallocation significative du capital… Le risque climatique est un risque d’investissement.” Il dit plus loi “Chaque gouvernement, entreprise et actionnaire se doit de confronter le changement climatique.”[I]

Dans une lettre séparée aux clients investisseurs de Blackrock, Fink leur a délivré le nouvel agenda d’investissement de capital. Il a déclaré que BlackRock allait sortir de certains investissements hautement carbonés comme le charbon, qui est la plus grosse source de production d’électricité aux Etats-Unis et dans bien d’autres pays. Il a ajouté que Blackrock filtrerait tout nouvel investissement dans le pétrole, le gaz naturel et le charbon pour déterminer leur adhérence à l’agenda 2030 de l’ONU en ce qui concerne la “durabilité.”

Fink a été clair sur le fait que le plus grand fond d’investissement au monde devrait commencer à désinvestir dans les domaines des hydrocarbures et du charbon. “Dans le temps, les entreprises et les gouvernements qui ne répondront pas à leurs actionnaires en adressant les risques de durabilité rencontreront un scepticisme croissant sur les marchés et paieront un prix plus élevé pour leur capital.” Il a ajouté : “Le changement climatique est devenu un facteur qui définit les entreprises et leurs potentiels sur le long terme… Nous sommes au bord d’une refonte fondamentale de la finance.” [ii]

Du point de vue des investisseurs GSE, pénaliser des entreprises émettrices de CO2 comme ExxonMobil est devenu à la mode parmi les hedge funds et les banques de Wall Street et fonds d’investissement incluant State Street (NdT : 4% d’actions de Blackrock et 3ème investisseur) et le groupe Vanguard (NdT : 8% d’actions de BlacRock et 1er investisseur, mais BlackRock possède 15% des actions de Vanguard…). Tel est le véritable pouvoir de Blackrock, Fink a aussi réussi à avoir quatre membres du comité directeur d’ExxonMobil (NdT : ex-Standard Oil et intérêt Rockefeller) être d’accords pour mettre fin aux affaires de l’entreprise dans le pétrole et le gaz naturel.

La lettre de janvier 2020 de Fink fut une déclaration de guerre de la haute finance contre l’industrie énergétique conventionnelle. BlackRock fut un membre fondateur de la force spéciale sur la transparence financière de ce qui est lié au climat et est signataire des Principes d’Investissement Responsable (PIR) de l’ONU, réseau d’investisseurs soutenus par l’ONU poussant pour des investissements à zéro carbone utilisant le très corrompu critère des facteurs GSE pour les décisions d’investissement. Il n’y a pas de contrôle objectif sur les fausses données pour une entreprise GSE. Blackrock a aussi signé la déclaration du Vatican de 2019 se faisant l’avocate de régimes pénalisant le carbone. En 2020, Blackrock a aussi rejoint l’association Climate Action 100, une coalition de près de 400 gestionnaires d’investissement gérant un portefeuille de quelques 40 000 milliards de dollars.

Avec cette lettre de janvier 2020, le CEO Larry Fink a mis en branle un colossal désinvestissement dans le secteur pesant des milliers de milliards de dollars que constituent le pétrole et le gaz naturel. Notoirement, cette même année, Fink fut nommé au comité fiduciaire du FEM/Davos de Klaus Schwab, le centre politique et entrepreneurial de l’agenda 2030 zéro carbone de l’ONU. En juin 2019, le FEM et l’ONU ont signé un partenariat stratégique pour accélérer la mise en place de l’agenda 2030. Le FEM a une plateforme stratégique qui inclut les 17 objectifs de développement durable de l’agenda 2030.

Dans sa lettre du CEO de 2021, Fink a réitéré sur l’attaque contre le pétrole, le gaz et le charbon. “Sachant à quel point sera centrale la transition énergétique pour toutes projections de croissance industrielle, nous demandons aux entreprises de faire connaître un plan montrant comment leur modèle commercial sera compatible avec une économie net zéro carbone.” Un autre officiel de BlackRock a dit lors d’une récente conférence sur l’énergie : “Là où va BlackRock, les autres suivront…” [iii]

En juste deux ans, en 2022, on estime à 1000 milliards de dollars qui ont quitté les investissements sur l’exploration pétrolière et gazière. L’extraction pétrolière est une industrie onéreuse et les coupes d’investissements par Blackrock et autres investisseurs de Wall Street veulent dire simplement la mort lente de l’industrie.

Biden—un président Blackrock ?

Dans sa campagne jusqu’alors bien terne, Biden a eu un entretien à huis-clos avec Fink à la fin 2019, qui a dit alors au candidat “Je suis ici pour vous aider”. Après cette réunion avec Fink, le candidat Biden annonça “Nous allons nous débarrasser des sources d’énergie fossiles…” En décembre 2020, avant même que Biden soit intronisé comme président en janvier 2021, il nomma le patron des Investissements Durables de BlackRock, Brian Deese, comme assistant au président et directeur du Conseil Economique National. De là, Deese, qui joua un rôle clef dans l’écriture par Obama de l’accord de Paris sur le climat de 2015, a tranquillement façonné la guerre énergétique de Biden.

Ceci fut catastrophique pour l’industrie du pétrole et de gaz. Deese, l’homme de Fink, fut très actif pour donner au nouveau président Biden, une liste de mesures anti-pétrole à signer par décrets à compter du premier jour de sa présidence en janvier 2021. Ceci incluait la fermeture de l’énorme oléoduc Keystone XL, qui amènerait 830 000 barils de pétrole brut par jour du Canada aussi loin que dans les raffineries texanes, et le coup d’arrêt à tout accord de leasing dans le refuge national naturel arctique (ANWR). Biden a aussi rejoint l’accord climatique de Paris négocié par Obama en 2015 et dont Trump était sorti.

Le même jour, Biden a mis en branle un changement du “coût social du carbone” qui impose une punition de 51 US$ la tonne de CO2 sur l’industrie du pétrole et du gaz. Ceci, mis en place par un coup de baguette magique de l’exécutif sans aucun débat ni accord du congrès des Etats-Unis, coûte très très cher aux investissements dans cette industrie aux Etats-Unis, pays qui deux ans encore auparavant était un des plus gros producteurs de pétrole au monde, [iv]

Tuer la capacité de raffinage

Pire même, les règles environnementales agressives de Biden et les obligations d’investissement GSE de Blackrock tuent la capacité de raffinement américaine du pétrole.  Sans raffinement, la quantité de baril de la réserve stratégique importe peu. Dans ses deux premières années de présidence, Biden a supprimée quelques 1 millions de barils / jour pour le raffinement en essence et en gasoil, une partie due à la baisse de la demande durant la crise COVID, ceci correspond au déclin le plus abrupte de l’histoire des Etats-Unis. Les fermetures de raffineries sont permanentes. En 2023, il est prévu de supprimer quelques 1,7 millions de barils/jour supplémentaires des raffineries à cause des mesures de désinvestissement et les régulations de l7administration Biden.[v]

Faisant référence au désinvestissement de Wall Street dans le pétrole et la politique de Biden, le PDG de Chevron-Texaco a dédaré en juin 2022 qu’il ne pensait pas que les Etats-Unis allaient jamais construire une nouvelle raffinerie. [vi]

Larry Fink, membre du comité directeur du FEM/Davos de Schwab est rejoint par l’UE dont la présidente de la commission européenne, la particulièrement et notoirement corrompue Ursula von der Layen, qui a quitté le comité directeur du FEM pour rejoindre la présidence de la commission européenne. Sa toute première action principale à Bruxelles fut de pousser l’agenda de l’UE Zéro Carbon Fit pour 55. Ceci a imposé de grosses taxes carbone et autres contraintes sur le pétrole, le gaz et le charbon dans l’UE avant février 2022 et  le début de l’action militaire russe en Ukraine. L’impact combiné de l’agenda frauduleux de Fink dans l’administration Biden et la folie totale de ce Zéro Carbon de l’UE est en train de créer la pire des crises énergétiques et d’inflation de l’histoire de cette planète. 

F. William Engdahl un consultant en risque stratégique et conférencier, il est diplômé en science politique de l’université de Princeton et est un auteur de renom en matières de géopolitiques et de stratégies énergétiques pétrolières. 

He is a Research Associate of the Centre for Research on Globalization.

Notes

[i] Larry Fink, A Fundamental Reshaping of Finance, Letter to CEOs, January, 2020, https://www.blackrock.com/corporate/investor-relations/2020-blackrock-client-letter

[ii] Ibid.

[iii] Tsvetana Paraskova,  Why Are Investors Turning Their Backs On Fossil Fuel Projects?, OilPrice.com,

March 11, 2021, https://oilprice.com/Energy/Energy-General/Why-Are-Investors-Turning-Their-Backs-On-Fossil-Fuel-Projects.html

[iv] Joseph Toomey, Energy Inflation Was by Design, September, 2022, https://assets.realclear.com/files/2022/10/2058_energyinflationwasbydesign.pdf

[v] Ibid.

[vi] Fox Business, Chevron CEO says there may never be another oil refinery built in the US, June 3. 2022, https://www.foxbusiness.com/markets/chevron-ceo-oil-refinery-built-u-s

= = =

Note de Résistance 71 : BlackRock et Vanguard sont aussi champions de l’opacité, il est très difficile de savoir précisément qui est derrière ces deux géants de l’investissement et de pointer vers les suspects habituels telles la banque Rothschild, la fondation Rockefeller et son empire pétro-banquier, les banques JP Morgan, Goldman Sachs Kuhn-Loeb etc… Celles-ci ont compris que leur mauvaise réputation est tracée dans toute transaction du vieil adage “suivez le fric…” Ce n’est pas un hasard si on ne parle quasiment plus de ces grosses banques et fondations, elles se font oublier derrière un paravent BlackRock / Vanguard / State Street Corp… qui absorbent toute la pression et leur permet de travailler dans l’ombre.
Ces fonds d’investissement géants se cachent derrière leur soi-disante “propriété des actionnaires”. Néanmoins, on peut savoir que les investisseurs principaux de BlackRock sont :

1- Le groupe Vanguard qui possède 8% de BlackRock… mais dont BlackRock possède 15% des actions… En d’autres termes, l’actionnaire majeur de BlackRock est… BlackRock via une filiale dont elle est l’actionnaire principal.

2- Capital Research Management avec 5,3% de parts, Los Angeles, USA

3- State and Street Corp. avec 4%, Boston, USA, 15ème plus grosse banque américaine, successeur de l’Union Bank créée en 1792

4- Temasek Holdings avec 3,5% des parts entreprise de l’état de Singapour, la Suisse de l’Asie

5- China Investment Corp. Avec 2% en fonds souverains investis, l’état chinois principal actionnaire, créée en 2007, QG à Pékin

A savoir aussi : le monde de l’investissement financier global est contrôlé par 3 géants dans le monde : BlackRock, Vanguard et State and Street Corp. Ces trois firmes ne sont en rien concurrentes mais totalement liées et interdépendantes. Le capitalisme monopoliste dans toute sa splendeur ! Aussi ces trois fonds d’investissements contrôlent les grosses boîtes comme Microsoft, Monsanto, Apple et tout l’appareil Big Pharma et militaro-industriel si imbriqués les uns avec les autres…

Ce qu’on peut savoir aussi est que BlackRock et Vanguard sont les entités qui interagissent directement avec le système de la réserve fédérale américaine, qui est un cartel banquier privé depuis 1913. Sous cette strate directrice se trouve les sous-fifres qui alimentent cette gigantesque escroquerie : quelques fonds d’investissements importants mais mineurs comparés aux deux géants: par exemple Berkshire Hathaway et State & Street… Puis viennent le flot habituel maintenant sous contrôle monopoliste des banques  » classiques », les JP Morgan / Chase / Manhattan (intérêts Rockefeller / Morgan), la Morgan Stanley, Bank of America, KKR, Goldman Sachs, Capital Group, Barclays (la championne du blanchiment du fric de la drogue…), 3G capital et autres…

Quoi qu’il en soit :

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

Cobra_peuple
A bas l’État ! A bas la marchandise ! A bas l’argent ! A bas le salariat !

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Escroquerie climatique et capitalisme vert: les turbines d’Éole partent en sucette (JoAnn Nova)

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Quand réchauffement il y a (nous sommes en « pause » depuis près de 20 ans…), les causes ne sont pas anthropiques, humaines, mais suivent une causalité naturelle aux très nombreux facteurs. Il n’y a pas plus de réchauffement climatique anthropique que de beurre en branche. Le GIEC n’est en rien un organisme « scientifique », mais politique qui emploie quelques blouses blanches sous contrôle pour faire valider des modèles climatiques informatiques bidouillées aux prédictions erronées depuis des lustres pour que l’agenda de cette escroquerie et du « capitalisme vert » passe mieux dans les opinions publiques. L’agenda de « durabilité verte » et des « énergies renouvelables » est fondée sur une vaste escroquerie et une science des miodèles informatiques bidouillées à souhait. Tout est lié, RCA, COVID, fausses pandémies antérieures (et à venir), guerres qui sont faites pour durer et semer le plus de chaos et de misère possible, la nouvelle « révolution technologique » à grand coup d’IA, les projets 5 puis 6G, les « smart cities », sont des outils pour mettre en place et renforcer une grille de contrôle planétaire pour une dictature technotronique globale.
Qui de nos jours peut encore gober tous ces bobards diffusés en veux-tu en voilà sur le climat et autres fumisteries ?…
L’heure de foutre tout ça par dessus bord est venue et par la même occasion de reprendre la barre du bateau ivre…
Dans l’esprit de Cheval Fou, vive la Commune Universelle de notre humanité enfin réalisée !
~ Résistance 71 ~

Lire notre page : « L’escroquerie du réchauffement climatique anthropique RCA »

Qui savait que les turbines des éoliennes écossaises étaient réchauffées au gasoil ?

JoAnn Nova

7 février 2023

Url de l’article original :

https://joannenova.com.au/2023/02/who-knew-scottish-wind-turbines-are-kept-warm-with-diesel-power/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Alors que les Britanniques n’ont plus d’argent pour chauffer leurs maisons en hiver, quelques turbines d’éoliennes écossaises tournent et sont dégelées à la chaleur de groupes électrogènes au gasoil ; elles ont aussi fuité quelques 4000 litres d’huile hydraulique dans l’environnment. Comme ceci était du à un défaut de câblage , il est présumé que les autres turbines frileuses sont réchauffées avec l’énergie principale ?

Si les pales géantes de ces turbines sont trop longtemps à l’arrêt, il peut se produire un effet de Brinell permanent dans les roulements à bille. Des micro-oscillations ou des vibrations peuvent causer un effet dit de “false-brinelling”. De petits fragments de métal peuvent broyer plus de métal autour d’eux, réduire l’efficacité et augmenter les frictions, donc la chaleur et les risques d’incendie. Ce sont quelques coûts cachés de la maintenance d’un vaste réseau d’infrastructure pour une énergie à faible densité. Les turbines à charbon doivent aussi être utilisées en rotation pour éviter que les vilebrequins ne se tordent, mais les turbines à charbon tournent durant des mois sans arrêt. Une turbine à charbon peut peser quelques 600 tonnes, les nacelles contenant les turbines d’éoliennes pèsent environ entre 100 et 300 tonnes selon leur taille, mais peuvent peser jusqu’à 700 tonnes. Les plus grosses pales de turbines d’éoliennes peuvent peser 35 tonnes chacune. Le ratio énergie-entretien des éoliennes est totalement absurde.

L’industrie des turbines à éoliennes aujourd’hui est comme l’industrie des moteurs à réaction des années 1950. Cela va prendre des décennies de travail pour l’ajuster et vraiment se figurer les véritables coûts de l’entretien. La grande différence entre l’industrie des moteurs à réaction et celle des turbines à éoliennes est qu’en 1950, nous savions que nous avions besoin de ces moteurs, mais les turbines à éoliennes ne sont utiles que dans le pays fantasmagorique des modèles informatiques climatiques bidons.

S’il ne devait y a voir qu’une preuve que l’énergie éolienne est un problème de sécurité nationale, une escroquerie et un risque, lisez ce qui suit…

Des douzaines d’éoliennes écossaises alimentées par des groupes électrogènes au gasoil déversent de l’huile hydraulique dans les campagnes.

Dozens of Scottish Wind Turbines Powered by Diesel Generators, Pour Hydraulic Oil Into Countryside

Jack Montgomery, Breitbart

L’entreprise Scottish Power, dirigée par un Espagnol, Ignacio Galan, succursale de la firme espagnole Iberdrola, a admis que quelques 71 éoliennes ont du être rattachées à des groupes électrogènes au gasoil pour les maintenir au chaud au mois de décembre, d’après le Sunday Mail, un lanceur d’alerte expliquant au journal de gauche que les problèmes avec les éoliennes sont très profonds.

Pendant le mois de décembre, 60 éoliennes à Arecleoch et 11 à Glenn App ont  été coupées du réseau à cause d’un défaut et d’une panne de câblage… Afin de pouvoir les remettre en service, des groupes électrogènes au gasoil ont été utilisés jusqu’à 6 heures par jour”, ont-ils révélé.

Les éoliennes sont souvent hors circuit à cause de défaut occasionnant qu’elles prennent plus d’énergie de la grille qu’elles n’en produisent, elle sont aussi mises à moitié de puissance durant de longues périodes à cause de pièces qui doivent être changées.

… Le journal du “Daily Record” a confirmé que quelques 4000 litres d’huile hydraulique ont fuité et ont été vaporisés dans les campagnes environnantes par les turbines. L’entretien est un véritable cauchemar d’après le lanceur d’alerte de l’industrie éolienne qui a parlé au journal “Daily Record” :

Il a aussi affirmé qu’il y a bien d’autres problèmes techniques et environnementaux qui ont été découverts, incluant :

      • Les éoliennes opérant à 50% de puissance pour de longues périodes à cause de défaut de modules de conversion.
      • D’autres sont en mode “test” et pompent plus d’énergie qu’elles n’en produisent pour la grille.
      • Plus de 4000 litres d’huile hydraulique qui ont fuité des turbines et se sont disséminés dans les campagnes.
      • Grosses préoccupations au sujet des standards de sécurité et de la transparence.

Le lanceur d’alerte a dit : “Les éoliennes sont régulièrement mises hors circuit à cause de défauts qui les voient utiliser plus d’énergie de la grille qu’elles n’en produisent. Elles doivent aussi souvent n’être opérées qu’à 50% de leur capacité à cause des entretiens et des changements de pièces.

Le CEO de l’entreprise espagnole Scottish Power a gagné 11 millions de GBP en 2021.

Richard Tice, le leader du Reform Party a fait remarquer que quelques 83% des éoliennes offshore sont propriété étrangères. (Le Reform Party est l’ex-Brexit Party)

= = =

A lire : « Le mythe du réchauffement climatique anthropique »

Pour en finir avec l’escroquerie spéculative sur les hydrocarbures : « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le pétrole sans jamais oser le demandé, l’origine abiotique profonde des hydrocarbures plus lourds que le méthane »

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Gros potentiel industriel, cherche escroquerie pour capital vert…

narrative

Écologie sociale et société des sociétés, au delà de Murray Bookchin et vers le post-structuralisme (Reimaging)

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Vers une écologie sociale post-structuraliste

Reimaging

Décembre 2022

Traduit de l’anglais par Résistance 71

Février 2023

Dans les récentes années, le domaine de l’écologie sociale a fait l’expérience d’une réémergence à la fois dans les milieux environnementalistes et anarchistes comme un puissant outil de compréhension de la relation dynamique et complexe entre l’humain et la nature. Développée par Murray Bookchin, l’écologie sociale insiste sur l’importance du comment des problèmes sociaux et écologiques surgissent de la relation de domination et comme cela se perpétue au travers l’organisation hiérarchique et centralisée de la société. Elle suggère que des formes non hiérarchiques et décentralisées d’organisation sociale, tenant compte des principes écologiques, sont la voie vers un futur qui estompe la dichotomie entre “humanité et nature” et résolve les divisions sociales et environnementales toxiques que cette séparation a facilité.

Tandis que l’écologie sociale a fourni de bonnes visions sur la racine des causes des problèmes sociaux et environnementaux, il est crucial de bien considérer comment cela peut être étendu ou modifié plus efficacement pour adresser les défis complexes et rapidement changeant du XXIème siècle. Une façon de le faire est d’embrasser une approche post-structuraliste de l’écologie sociale.

L’approche particulière suggérée ici est fondée sur un ethos d’autonomie épistémologique qui encouragerait une perspective fluide et décentralisée de la connaissance. Déboulonnons de leur piédestal les “grands théoriciens” d’avant et regardons leur travail comme des contributions à des théories vivantes devant être développées plus avant, en promouvant des idées de divers contributeurs. Cela aidera à réaffirmer l’écologie sociale dans sa tradition radicale d’anarchisme écologique de laquelle elle a émergé. Peu importe la relation chaotique de Murray Bookchin et de l’anarchisme dans ses dernières années, l’écologie sociale demeure une marque importante de la pensée anarcho-écologiste. Beaucoup de ses idées fondatrices sont basées sur le travail d’anarchistes historiques comme Élisée Reclus et Pierre Kropotkine. En regardant l’écologie sociale comme distincte de Murray Bookchin et en la voyant au contraire comme étant dans la lignée théorique dans laquelle elle se situe contextuellement, nous pouvons créer des espaces de contributions en provenance de divers groupes de penseurs contemporains et développer plus avant cette philosophie si distinctive de l’écologie sociale.

Pour en faire une brève revue, l’analyse post-structuraliste est une approche qui a émergé vers le milieu du XXème siècle en réponse aux limites des cadres modernistes. Ceux-ci, dominants à cette époque, focalisaient souvent sur des vérités universelles et par leur eurocentrisme, tendaient à donner la priorité à des expériences et perspectives de certains groupes par rapport à d’autres. L’analyse post-structuraliste d’un autre côté, insiste sur les contextes sociaux et culturels qui façonnent notre compréhension du monde. Elle argumente que la connaissance est façonnée par les dynamiques du pouvoir et des structures sociales qui forment notre société. Elle critique l’idée que les individus puissent être réduits à de simples identités ou catégories et met en valeur la nature fluide et complexe de l’expérience humaine. En encourageant une approche plus ouverte et inclusive de l’analyse du monde, elle cherche à déloger les narratifs dominants ainsi que les structures du pouvoir.

Par exemple Gilles Deleuze, philosophe français post-structuraliste, insista sur les relations complexes et dynamiques entre différentes forces et processus. Plutôt que de voir ces relations comme fondamentalement opposées les unes aux autres dans une approche dialectique hégélienne, Deleuze insista sur l’importance de comprendre la myriade de façons par lesquelles elles s’influences et de façonnent l’une l’autre. (NdT : ce qui rejoint notre vision du “rien ne s’oppose, tout se compose”, dans la complémentarité d’un grand Tout. Voir les choses de manière antagoniste entretient division et sclérose, la complémentarité est source de fiuidité et de souffle positif…)

Il s’ensuit que dans une écologie sociale post-structuraliste, la relation entre les humains et la nature serait vue comme étant fluide et dynamique, l’une influençant et façonnant l’autre de façons changeantes constantes et complexes. Cette approche offrirait une compréhension plus fine et plus nuancée sur le comment les problèmes sociaux et écologiques émergent et interagissent et pourrait informer sur de plus efficaces stratégies concernant ces affaires.

Une écologie sociale post-structuraliste reconnaîtrait les façons par lesquelles la dégradation écocide de la nature est interconnectée avec des instances spécifiques de domination. Cette approche informerait sur des approches plus holistiques (mixtes) des problèmes sociaux et écologiques en considérant des systèmes de pouvoir et d’oppression multiples et s’entrecoupant qui façonnent nos relations avec le monde naturel. Elle reconnaîtrait aussi les façons particulières dont ces systèmes ont été employés pour exploiter les humains et la nature. L’inclusion des perspectives des opprimés par ces systèmes ferait avancer la réalité du travail vers la création de sociétés facilitant l’autonomie de tous les peuples et des écologies. En prenant une approche intersectionnelle et holistique, une écologie sociale post-structuraliste peut plus efficacement s’occuper les causes profondes spécifiques des problèmes sociaux et écologiques, par opposition à demeurer théoriquement dépendant d’une conception macroscopique, parfois amorphique, de la hiérarchie et ainsi donc à travailler vers la création d’une transformation de notre réalité de manière véritable et durable.

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La nouvelle formulation de l’écologie sociale reconnaitrait aussi l’importance de formes diverses et décentralisées d’organisation sociale. Plutôt que de se faire l’avocat d’un modèle spécifique, comme le municipalisme libertaire de Bookchin, elle adhérerait à des approches multiples et complexes pour créer une société plus juste et équitable. Ceci pourrait impliquer d’expérimenter des formes variées d’organisation sociale et de tactique and d’être ouvert ÷a l’apprentissage de diverses perspectives et expériences. L’importance de la créativité et de l’expérimentation dans les problèmes sociaux et écologiques deviendrait en théorie intégrale Plutôt que la stricte adhérence à des modèles ou solutions prédéterminés, cela encouragerait nécessairement l’exploration de nouvelles approches innovatrices afin de créer le changement. Ceci pourrait impliquer la réimagination d’institutions et de systèmes ayant existé auparavant, tout en continuellement poussant à en créer de nouveaux, afin de s’occuper de manière plus fluide des défis socio-écologiques variés du XXIème siècle.

Peut-être plus important, un revampage post-structuraliste de l’écologie sociale pourrait déconstruire et faire la lumière sur les biais modernistes, eurocentriques et unilinéaires de l’écologie sociale originale de Murray Bookchin en mettant au défi la notion de processus singulier et linéaire du changement historique et social. (NdT : ceci vient de son passé profondément marxiste duquel il ne s’était jamais vraiment tout à fait départi…) L’approche de Bookchin est basée en grande partie sur un cadre de réflexion philosophique hégélien, qui voit le processus historique humain comme un conflit et sa résolution entre des forces opposées, avec chaque résolution donnant le jour à de nouveaux conflits et résolutions. Alors que cette approche a fourni des visions de valeur sur le comment surviennent des problèmes sociaux et écologiques résultant de la domination, cela peut aussi renforcer les notions modernistes et eurocentriques de progrès et de la supériorité de la pensée occidentale.

D’un autre côté, une approche post-structuraliste rejetterait l’idée d’un processus singulier et linéaire de changement et insisterait au contraire sur la complexité et la mulltiplicité des relations sociales et écologiques. Cela reconnaîtrait l’importance de formes diverses et décentralisée d’organisation sociale et du besoin d’être ouvert à l’apprentissage d’une variété de perspectives et d’expériences. Cela impliquerait de défier les cadre de pensée moderniste et les notions eurocentriques de progrès et de supériorité. Ainsi les voix des subalternes prendraient plus de signification et de pluralité a lieu de se fier aux voix toujours identiques de la pensée centralisée en provenance essentiellement d’un individu ou d’un petit groupe dominants.

Finalement, l’incorporation d’aspects post-structuralistes dans l’écologie sociale est une aventure qui en vaut la peine pour mettre à jour et étendre le champ de ce domaine. Il est important d’incorporer des visions multiples et une perspective décolonialiste mettant au défi et démantelant les systèmes spécifiques de domination. L’écologie sociale peut continuer à être une voie des plus intéressantes de la philosophie écologiste anarchiste et un outil analytique efficace pour créer un monde juste qui amènera la liberté et l’autonomie interconnectées de tous les peuples et de toutes les écologies.

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Notre page « Murray Bookchin et le municipalise libertaire »

« Qu’est-ce que l’écologie sociale ? », Murray Bookchin, 1982 (format PDF)

N’oublions jamais…

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

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Escroquerie climatique et religion écologique ou le passage du vert au brun…

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, écologie & climat, économie, colonialisme, crise mondiale, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, police politique et totalitarisme, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , on 27 septembre 2022 by Résistance 71

Suffit de regarder la nature… A l’automne, l’essentiel du vert devient brun, c’est la logique des choses… Quand l’écologie marchande devient croyance, dogme et religion, elle se fascise. Le vert brunit, autre logique.
Pas plus d’anthropisme climatique que de beurre en branche. Tout cela n’est qu’une vaste escroquerie forcée pour mettre en place un agenda eugéniste connu et bien analysé succinctement ci-dessous par Peter Kœnig.
~ Résistance 71 ~

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Quand le vert devient brun et que personne ne le remarque

Peter Kœnig

26 septembre 2022

Source :
https://www.mondialisation.ca/quand-le-vert-devient-brun-et-que-personne-ne-le-remarque/5671513

Figurez-vous qu’il existe un mouvement vert, censé être respectueux de l’environnement et des personnes. Il a une histoire relativement courte, de 20 à 30 ans, peut-être ?

Qui n’aimerait pas ça ? Le Vert est beau. Il prétend protéger la Terre Mère et l’humanité. Au fil des ans, il devient de plus en plus populaire et se transforme en un parti politique. « Les Verts ». De plus en plus fort dans le monde occidental.

Ils parlent et prédisent contre le style de vie gaspilleur des hommes. Ils font la promotion de l’alimentation biologique et luttent contre les aliments génétiquement modifiés ou OGM.

Ils font des incursions dans les parlements des pays occidentaux et deviennent des décideurs importants.

Ils transforment le « réchauffement de la planète », vieux de deux décennies, en « changement climatique » dans leur programme.

Le changement climatique devient bientôt la force motrice des Verts. Le changement climatique d’origine humaine – c’est-à-dire les niveaux de dioxyde de carbone (CO2) causés par les combustibles fossiles – culminera en 2022 à près de 420 parties par million (PPM). C’est ce qu’indique la station météorologique de la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) située à Mauna Loa, sur l’île d’Hawaï. Le budget de la NOAA pour 2022 est estimé à 6,9 milliards de dollars.

S’agit-il d’un niveau dangereux ? On nous fait croire qu’il l’est.

L’agence NOAA alimente en informations importantes l’agenda des Verts – dans le monde entier.

Peu importe que les océans à l’échelle mondiale absorbent quelque 67 milliards de tonnes de dioxyde de carbone depuis la création de la NOAA en 27 ans, de 1992 à 2018. Mais un système complexe de « flux positifs et négatifs » créant un équilibre, les océans émettent également du dioxyde de carbone dans l’air, à savoir lorsque la concentration de CO2 dans l’eau est plus élevée que dans l’air. Le CO2 des océans aide à nourrir les plantes sur terre, lorsqu’elles ne trouvent pas assez de CO2 dans l’air. Les plantes vivent du dioxyde de carbone et rejettent de l’oxygène dans l’atmosphère. Sans CO2, pas de plantes. Pas d’oxygène. Pas de vie.

Voir ceci.

Ce petit détail est ignorée comme par hasard par les obsédés du climat, par les Verts. Il ne correspond pas à leur programme.

Que l’explication ci-dessus des flux positifs et négatifs ne soit qu’une illustration inspirant une réflexion sur la réalité qui est totalement ignorée par les obsédés du climat et surtout par les Verts. Ils se sont emparés d’un mouvement politique lucratif, financé par des philanthropes comme Soros et Bill Gates. Ils font également pression sur les mangeurs de viande, dans l’espoir de les convertir en mangeurs d’insectes.

L’agenda vert est en train de restreindre les libertés des gens par une manipulation mentale et absurde. En d’autres termes, on fait croire à l’humanité pour vrai ce qui est faux.

On peut se demander à qui appartient ce programme ?

Et pourquoi les Verts de tous les pays du Nord sont-ils si désireux de contribuer à sa promotion ?

Peut-être parce que cela fait partie d’un programme plus vaste d’oppression, de contrôle total et de transfert des biens du bas et du milieu vers le haut.

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Les Verts savent exactement ce qu’ils font. Il suffit de regarder ce qu’ils font à l’Allemagne. Ils contribuent à ruiner l’économie allemande, et par association l’économie de l’UE. C’est un processus bien engagé. Les Verts occupent cinq ministères en Allemagne, dont les deux plus puissants, la ministre des affaires étrangères Annalena Baerbock et le ministre de l’économie Robert Habeck.

Ils sont chargés de promouvoir sans relâche le programme de sanctions contre la Russie – manifestement dicté par les États-Unis – plongeant l’Allemagne et par association l’Europe, potentiellement dans la pire récession que l’Europe ait jamais connue, coupant l’approvisionnement en gaz de la Russie dont l’économie de l’Allemagne dépend à 50% et le reste de l’Europe dans une proportion légèrement moindre.

Mme Baerbock et M. Habeck, ainsi que leur chancelier, M. Scholz, sont au moins coresponsables de l’acceptation du programme de sanctions russes dicté par Washington, qui a conduit au suicide de l’Europe. D’autres, comme le Français Macron, le Néerlandais Mark Rutte et d’autres soi-disant dirigeants européens, rejoignent allègrement le club. C’est un suicide insensé, car ils savent tous ce qu’ils font et pourquoi ils le font.

Ils ne travaillent pas pour le bénéfice du peuple européen, de leurs compatriotes, mais pour le bénéfice de l’empire défaillant et de ceux qui tirent les ficelles même à Washington, comme les géants financiers, BlackRock, Vanguard, StateStreet et Cie. Ces soi-disant dirigeants du monde trahissent leur peuple avec des mensonges misérables et une machine médiatique d’endoctrinement 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, pour leur propre bénéfice et celui des géants financiers qui sont prêts à prendre le contrôle du monde.

Donc, ce que nous vivons n’est pas vraiment le diktat de Washington.

Il y a peut-être quelque chose de bien plus grand derrière les Verts et leur programme ?

Peut-être le Forum économique mondial (FEM) – qui est à son tour l’instrument visible du secteur financier dominant, dirigé par BlackRock and Co. et quelques autres « poissons » plus petits mais suffisamment gros, comme City Bank, Chase et d’autres. Tous ceux qui sont élégamment étiquetés « trop gros pour échouer et trop gros pour être emprisonnés ».

Les PDG et les directeurs de ces géants financiers ont peut-être reçu une sorte de « compensation » pour jouer le jeu. Il est certain qu’ils savent ce qu’ils font – ruiner la vie de la population et de l’économie de leur pays. Cela vaut certainement une récompense importante, peut-être une récompense « salvatrice ».

Dans de nombreuses régions du monde, en particulier en Europe, les Verts sont encore présentés comme les sauveurs de l’environnement et de l’humanité, personne ou presque n’a remarqué la métamorphose des Verts aux Bruns, de leur programme environnemental et social en fascisme pur et simple. Et oui, ils sont généreusement financés par des « philanthropes » tels que la Fondation Gates, le Fonds Soros, les Rockefeller et les Rothschild.

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Établir des liens

Quelqu’un de très crédible pourrait faire le lien entre la crise climatique, la destruction des récoltes (géo-ingénierie) (famine et mort), la pénurie d’énergie pendant les hivers froids de l’Ouest, l’absence de chauffage, la poussée des personnes avec une faible immunité vers des maladies de type grippal, pour lesquelles les remèdes efficaces sont refusés, de sorte qu’elles tombent malades et que beaucoup peuvent ainsi mourir.

Les hivers froids seront l’occasion d’administrer aux population des « vaccins » contre la grippe (même substances que les vaccins Covid), tuant des millions de personnes, car les gens font encore confiance aux vaccins contre la grippe et les reçoivent par centaines de milliers. Comme leur système immunitaire est déjà compromis par les divers vaccins Covid et ses diverses doses de rappel, de nombreuses personnes, peut-être des centaines de milliers, peuvent mourir. En effet, cela sous l’effet des vaccins contre la grippe. Cause officielle de la mort : Covid.

C’est un bon prétexte de donner plus de vaccins Covid, alors la série de dommages à la santé continue. Les gens vont-ils se réveiller, avant qu’il ne soit trop tard ?

Ensuite, il y a la destruction massive des infrastructures – le Pakistan en est un bon exemple – par la géo-ingénierie météorologique (voir ceci), conduisant les pays « en banqueroute » à se plier aux mesures d’austérité du FMI et de la Banque mondiale.

La destruction des infrastructures causée par le changement climatique contribue à réduire davantage la consommation d’énergie, la réduction du chauffage, la production d’engrais à base de pétrole fossile, ce qui entraîne des pénuries alimentaires et une mortalité causée par la famine ou par des maladies liées à la famine.

*

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Schwab père et fils, pour le bien de l’humanité
Sieg !…

Le plan [agenda] est parfait. Tout s’inscrit dans les scénarios de réduction de la population de l’Agenda 2030 du Great Reset (Grande réinitialisation) de l’ONU, laissant à la fin de la décennie du « vaccin Covid », comme l’OMS l’appelle les années 2020, beaucoup moins de personnes sur la planète. L’élite – les hégémonies financières – s’attend à profiter allègrement de la faillite des petites et moyennes entreprises dont les actifs ont été absorbés par le sommet du paradis des milliardaires.

Les criminels de toujours, les géants de la finance, mènent le bal contre les survivants les plus ordinaires – peut-être vous et moi – ou de la prochaine génération.

Si nous ne nous levons pas, si nous ne nous élevons pas au niveau supérieur de l’humanité, en devenant, à partir d’êtres purement matériels, des entités spirituelles, vibrant sur une corde supérieure, nous pourrions être pucés. L’idée d’être manipulable électroniquement, par des algorithmes ou des robots, pour leur bénéfice de l’élite, bien sûr, bien sûr, peut être acceptée volontairement, parce que c’est tellement « cool » d’être un transhumain pucé, 5G-heureux, tout en ne possédant rien.

Ce serait l’étape finale. Largement facilitée par les légendaires Verts devenus Bruns.

Cela n’arrivera pas. Nous sommes nombreux, ils sont peu nombreux, et nous résisterons pacifiquement, avec un tout nouveau mode de vie non matériel qui va évoluer dynamiquement.

Peter Koenig est un analyste géopolitique et un ancien économiste principal à la Banque mondiale et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS), où il a travaillé pendant plus de 30 ans sur l’eau et l’environnement dans le monde. Il donne des conférences dans des universités aux États-Unis, en Europe et en Amérique du Sud. Il écrit régulièrement pour des revues en ligne et est l’auteur de Implosion – An Economic Thriller about War, Environmental Destruction and Corporate Greed ; et co-auteur du livre de Cynthia McKinney « When China Sneezes : From the Coronavirus Lockdown to the Global Politico-Economic Crisis » (Clarity Press – 1er novembre 2020).

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Lire notre page “Escroquerie réchauffement climatique anthropique”

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Il n’y a pas de solution au sein du système ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

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… il n’y a pas si longtemps encore appelé « Nouvel Ordre Mondial »
Via la religion écolo-climatologique…

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Reprise du lâcher-prise : Bilan de la connerie ambiante à l’été 2022 (Résistance 71)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, militantisme alternatif, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et social, politique française, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, santé et vaccins, science et nouvel ordre mondial, société des sociétés, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , on 6 septembre 2022 by Résistance 71

“En ce qui concerne les affaires humaines, ne pas en rire, ne pas en pleurer, ne pas s’indigner, mais seulement comprendre.”
~ Spinoza~

“Tout ce qui est fait par amour est au delà du bien et du mal.”
~ Nietzsche ~

“La révolution anarchiste est aujourd’hui la révolution naturelle, celle qui ne peut pas se laisser dériver ou confisquer par des groupes, factions ou partis, classes ou autorités.”
~ López Arangó ~

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Fin d’été 2022 : bilan de la connerie ambiante

Résistance 71

6 septembre 2022

Prenons l’opportunité de ce retour pour faire un bilan de la connerie étatico-marchande ambiante, dont le seul but, à terme, rappelons-le, est la destruction planifiée de l’humanité, nécessité de la tyrannie marchande aussi paradoxal que cela puisse paraître, dans une transmutation ultime du contrôle politique et de la valeur marchande.

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Sur le front de la plandémie COVID19 :

Tout est en train de leur péter à la tronche. Les chiffres “officiels” publiés de partout sur les 5 continents démontrent une explosion de la mortalité et des maladies suite aux injections OGM ARNm des criminels de Big Pharma et de leurs marionnettes corrompues politiciennes. Les chiffres du Vaccine Adverse Effects Registration System (VAERS) yankee, qui, dû à la lourdeur de l’enregistrement, ne représentent qu’environ 10 à 15% des cas avérés d’effets secondaires allant jusqu’au décès, des injectés, ont explosé suite aux injections ARNm anti-COVID depuis 2020. Un VAERS qui enregistre maintenant des dizaines et dizaines de milliers de morts suite aux injections ARNm aux Etats-Unis.

Plus de 80% des hospitalisations aujourd’hui dans le monde liées au COVID / SRAS-CoV-2 sont des triples et quadruples injectés ARNm.  Plus on se fait injecter, plus on a de chances de mourir d’effets secondaires ou d’être gravement touché. Les systèmes immunitaires sont anéantis par les injections ARNm répétées. Ces injections agissent comme un “effet SIDA” immuno-dépresseur sur les récipiendaires. Le professeur Luc Montagnier avait dit avant son décés en début d’année : “Les injectés COVID devraient aller faire un test VIH, ils seront surpris du résultat…” Le professeur avait déjà dit en 2020 qu’une séquence du VIH était présente dans le SRAS-CoV-2 et que cela ne pouvait en aucun cas être naturel.

Des médecins lanceurs d’alerte publient bouquin sur bouquin. Aux Etats-Unis, les Dr Robert Malone (inventeur de la technique ARNm) et Peter McCullough, cardiologue de réputation mondiale, ont publié leurs recherches sur le crime en bande organisée que représente cette affaire COVID depuis 2019 et auparavant. En Octobre prochain, Robert F. Kennedy Jr va publier un second livre sur la connexion entre le labo P4 de Wuhan, le Pentagone, le gouvernement des Etats-Unis, le Parti Communiste Chinois, certains gouvernements européens, dont la France et leurs liens avec la supercherie COVID, véritable guerre biologique contre l’humanité . Plus on apprend et plus on comprend que tout cela fut planifié ll y a bien longtemps, que Moderna et Pfizer avaient déjà leurs injections toutes prêtes et que si le SRAS-CoV-2 fut fabriqué en laboratoire, il ne serait pas tant l’arme biologique que les soi-disants “vaccins” / injections à ARNm de la pourriture eugéniste Big Pharma qui n’a en aucun cas la santé publique pour objectif, mais sa destruction et le profit pour toujours plus de contrôle. Ces injections ARNm ont été conçues comme des armes biologiques et agissent comme telles. Partout, de plus en plus de gens commencent à voir dans leur entourage des personnes dont la santé a été directement affectée par ces injections mortifères. Des centaines de milliers de jeunes, de sportifs, d’adolescents et maintenant d’enfants, souffrent d’effets secondaires irréversibles, comme les myocardites et troubles neurologiques.

Nous sommes confrontés à un crime contre l’humanité, planifié de longue date et en bande organisée avec la même clique de la pourriture élitiste aux manettes de cette ignominie planétaire.

Question : qui fera payer les ordures responsables de tout cela ? Le système et sa fange judiciaire vérolée jusqu’à la moëlle ?… Allons, allons.

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Sur le front de l’Ukraine :

Plus le temps passe et plus il est évident que, comme nous l’avions dit quelques jours après le déclenchement de l’opération russe le 24 février dernier, que l’origine de tout cela est une fois de plus planifiée de longue date par la même clique de la pourriture impérialiste mondialiste, depuis au moins 2014 et le coup d’état de l’OTAN perpétré au Maïdan et les 8 ans de guerre de l’Ukraine nazie contre le Donbass séparatiste russophone. L’OTAN, c’est à dire le bras armé de l’empire anglo-américano-sioniste, gère cette guerre depuis lors et soutient les bandéristes nazis de l’Ukraine occidentale contre les populations russophones orientales, avec pour but sur le long terme d’épuiser la Russie sur des théâtres d’opérations militaires sans fin. L’OTAN ne s’arrêtera pas à l’Ukraine et on peut s’attendre à d’autres “incendies” conflictuels comme par exemple au Kosovo dans les mois à venir. L’empire doit s’assurer qu’une alliance logique  Europe-Russie ne puisse en aucun cas se réaliser.

Qui paie la facture pour l’heure ? Les peuples européens qui commencent à manquer de tout, de l’énergie à la bouffe en passant par le courage de foutre toute cette merdasse politico-économique par dessus bord ! Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, le seul véritable concurrent de l’empire anglo-américain sur un plan économico-technologico-politique n’est ni la Russie, ni la Chine, mais… l’Europe, ce qui avait fait dire à un général yankee à ses collègues européens de l’OTAN dans les années 50 : “Vous l’Europe, êtes notre seul concurrent et un jour nous devrons vous détruire…

La guerre en Ukraine, comme toutes les autres guerres modernes déclenchées par l’empire (Afghanistan, Irak, Soudan, Syrie, Libye, Yémen) n’est pas faite pour être “gagnée” mais pour durer et semer le chaos, la destruction sur la durée et à terme détruire les seules sociétés au monde ayant encore quelque part enfouie en elles, cette velléité de révolte : les sociétés européennes et en leur cœur même, celle des vieux Gaulois réfractaires, de ces Gilets Jaunes que l’empire redoutent tant pour ce potentiel à pouvoir réaliser une union des luttes à travers les frontières, ce qui se produira à terme, soyons-en convaincus, car il n’y a pas et n’y a jamais eu d’échappatoire réformiste vain et futile à ce marasme orchestré.

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Sur le front du Réchauffement Climatique Anthropique (RCA) :

Il est clair qu’ils remettent le couvert. Le RCA est une vaste supercherie qui dure depuis des décennies. Pas plus de RC anthropique que de beurre en branche. Quand ça se réchauffe, ce n’est en rien dû à l’humain et ses activités, mais à tout un concert de facteurs naturels terrestres et solaires. Le climat de la planète change depuis 4 milliards d’années. Entre – 450 et – 400 millions d’années environ, soit pendant quelques… 50 millions d’années, pas un week-end ou 3 semaines de vacances… la planète a traversé son plus gros âge glaciaire avec un taux de gaz carbonique (ce méchant CO2) atmosphérique qui était 17 fois supérieur à ce qu’il est aujourd’hui (Cf. Chumakov et al), pourtant selon la théorie des baltringues du GIEC, avec ce taux de CO2 tout aurait dû cuire et non pas geler. Qui donc nous raconte sans cesse des histoires à dormir debout au moyen de “modèles informatiques” éhontement falsifiés ?.. Le RCA n’a jamais été de la science, mais de la politique. Le GIEC est un organe politique ayant quelques conseillers “scientifiques” (chiens de garde du système) pour donner un semblant de change scientifique à l’affaire.

La doxa de la fausse science nous vend “l’énergie verte et durable” de ces machines à pognon que sont les éoliennes, les panneaux photovoltaïques et autres piles / batteries au lithium, si pauvres en production d’électricité et si destructeurs par eux-mêmes de l’environnement (il faut l’équivalent de 4 terrains de football de béton au sol pour faire tenir debout une de ces merdes d’éoliennes et le recyclage des panneaux solaires est particulièrement toxique tout comme celui des batteries au lithium si celles-ci ne foutent pas le feu partout avant leur recyclage aussi dangereux qu’aléatoire), les restrictions et la chute du confort de vie, pendant que les “élites” se baladent plus que jamais en jets privés, limousines et en yachts aux “empreintes carbones” démesurées, mais hé, faut bien que ces gugusses se déplacent pour se réunir et décider ce que nous, les sans-dents, devrons faire impérativement pour qu’eux, puissent continuer à se foutre de nos gueules à Mach 12 en parcourant le monde au sein de leur bulle transnationale tout en organisant notre extermination. Quant aux canicules des pays occidentaux, questionnez le pourquoi elles ne se cantonnent quasiment que dans ces pays si friands de géoingénierie depuis des années, dont les cieux sont quadrillés en quasi-permanence de longues séries de traînées chimiques jour après après jour, semaine après semaine, mois après mois, année après année ?… Quelqu’un y voit-il un rapport ? (à ce titre, un de nos correspondants habitant dans un endroit reculé sans chemtrails nous a confirmé que l’été 2022 en ses contrées, a été le plus frais depuis des années…). Des records de chaleur ne sont pas battus partout sur la planète, de plus l’hiver sibérien enregistre des records de froid depuis quelques années, chose que les médias se gardent bien de mentionner. Les glaces australes ne se sont jamais étendues si loin que ces dernières années, les navires devant se dérouter régulièrement. Alors météo extrême ? Sans aucun doute. Dûe à l’activité humaine ? Arrêtez de prendre les gens pour des cons ! La pollution chimique est un problème oui… pas le CO2, source de vie.

Voir notre dossier “Escroquerie du réchauffement climatique anthropique”

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Sur le front de la destruction de nos sociétés :

Le but de l’oligarchie est le contrôle total de nos vies, du moins des vies de ceux qui survivront à l’hécatombe planifiée de l’éradication de 90 à 95% de la population humaine, soit par action directe d’assassinat planifié (attaques biologiques, injections ARNm, OGM, bain d’ondes mortelles à terme 5G, euthanasie généralisée etc…), soit par défaut démographique résultant du lavage de cerveau LGBTQ déstructurant les repères biologiques d’une jeunesse manipulée et technologiquement manipulable. L’ensemble du système technocratique  est à l’unisson pour mettre en place le “Nouvel Ordre Mondial” planifié de très longue date mais n’ayant pu voir le jour faute de la technologie appropriée. Aujourd’hui, tout progresse en ce sens de plus en plus vite et la mise en place de la dictature technotronique, que Schwab et ses mignons de Davos appellent le “Great Reset” ou la “Grande Réinitialisation”. Ceci ne cesse de s’accélérer de jour en jour, de semaine en semaine. Toute cette tyrannie technico-marchande est mise en place sur toile de fond sanitaire et climatique (voir plus haut), mâtinée de haute technologie dystopique (IA, 5G, OGM, cybernétique et autre développement génétique et robotique de cette putréfaction moderniste et tyrannique…) et de la fracture sociétale selon la ligne de division fabriquée de toute pièce du LGBTisme et du transgenrisme, armes eugénistes de dépopulation douce.

La technologie, qui est en elle-même amorale, est pas à pas transformée en outil de contrôle et de domination perpétuels d’une infime minorité sur la vaste majorité. La technologie moderne qui devrait ne servir qu’à améliorer le bien-être des humains, ne fait que renforcer la disparité de castes et de classe et le rapport dominant/dominé, exploiteur/exploité, maître/esclave, car sous influence oligarchique totale et permanente.

Si toutes ces conneries de “passe-sanitaire” et autres futilités électroniques telle la 5G semblent avoir pour l’heure du plomb dans l’aile, ces technologies seront de nouveau amenées dans le public pour que la servitude volontaire moderne se fasse le plus gentiment possible.

Entre les menaces de guerre nucléaire globale, de famine via la pénurie de nourriture spéculativement fabriquée et les restrictions “écologiques” et d’ “économie de guerre” sur l’énergie et la consommation, sur fond de psychose pandémique, tout est fait pour maintenir le public occidental dans la peur et la paranoïa permanentes. Il est psychologiquement bien connu que qui a peur ne réfléchit plus et se laisse diriger par ceux pensés être des “leaders” et des “sauveurs” et présentés comme tels par une propagande idoine. Nous vivons depuis fin 2019 dans une gigantesque PsyOp ou opération psychologique de masse à l’échelle planétaire, des centaines de milliers de personnes y ont déjà laisse leur vie, des millions sont physiquement et psychologiquement traumatisés et se sont soumis aux diktats oligarchiques. Quand assez est-il assez ?

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Que faire ?

Nous l’avons déjà dit et le répèterons sans cesse : il n’y a pas de solution au sein du système et ne saurait y en avoir !

Toute velléité de réformisme, de rendre le système “plus vertueux”, le “changer de l’intérieur en élisant des gens plus compétents, plus concernés du sort des autres” est non seulement vouée à l’échec, mais est devenue aujourd’hui une complicité de crimes contre l’humanité.

L’heure n’est plus à tergiverser et à se questionner sur le sexe des anges et autres futilités, mais à agir sur une base de pensée critique menant au chemin de l’émancipation finale. Il suffit de dire non pour que toute cette fumisterie mise en place par quelques guignols aux énormes moyens certes, s’arrête une fois pour toute. Tout ceci ne peut exister que parce que la masse consent. Retirons notre consentement et tout s’écroule dans un chaos salvateur de lâcher-prise individuel et collectif, menant l’humanité à sa pleine réalisation historique hors État, hors marchandise, hors argent et hors salariat.

Tout part de l’individu, de l’individu révolté, pensant et conscient, dont le refus d’acquiescer se joint à celui de ses semblables et fait boule de neige pour gagner à la cause une proportion suffisante de réfractaires décidés, incorruptibles et agissants pour le seul bien commun, pour le simple amour de l’humanité et de son bien-être, formant ainsi une communauté d’amour véritable organisant la société des sociétés, celle se posant et résolvant la question essentielle de “qu’est-ce que le pouvoir politique ?”. Nous parlerons alors de Fin de Partie pour l’oligarchie en place et son système de contrôle et de décrépitude obsolète et désuet, qui n’est qu’une réalité pauvre dénuée de raison et d’esprit. Nous devons y substituer la puissance de notre créativité et l’esprit qui résulte de l’élan émancipateur dans la construction individuelle et collective de notre nouvelle réalité. Personne ne peut le faire à notre place. Il n’y a pas et ne saurait y avoir de “leaders”, “d’avant-garde”, de “parti”, de “sauveur”, de “messie”. Tout cela n’est que fadaise et poudre aux yeux pour mieux garder le système intact, changer superficiellement les choses pour que finalement rien ne change vraiment et que les mêmes continuent de diriger et de se barrer avec la caisse. La solution est en chacun de nous et dans une alliance de raison collective.

Répétons-le à nos entourages : il n’y a pas de solution au sein du système, nous devons nous en départir et récréer une réalité d’entraide, d’amour, de compassion et de désir profond d’œuvrer pour le bien-être de cette humanité et des générations futures.

A bas l’État ! A bas la marchandise ! A bas l’argent et à bas le salariat !

Pour que vienne et demeure la Commune Universelle de notre humanité enfin réalisée ! 

N’oublions pas non plus ce que nous disait Simone Weil en 1934 pour échapper à la tendance de la dictature collective :

Seuls des fanatiques sont capables de ne pas donner de valeur à leur propre existence à moins qu’elle ne serve la cause collective ; réagir contre la subordination de l’individu au collectif implique qu’on commence par refuser de subordonner sa propre destinée au cours de l’histoire. Afin de se résoudre à faire un tel effort d’analyse critique, tout ce dont on a besoin est de réaliser que ce qui permet d’échapper à la contagion de la folie et de l’excitation collectives est de réaffirmer de soi-même, par dessus la tête de l’idole sociale, le pacte originel entre l’esprit et l’univers.” Sagesse quand tu nous tiens!

Verite

Quelques lectures complémentaires :

Petit précis sur la société et l’État (Résistance 71)

Que faire ? (Résistance 71)

Appel au socialisme (Gustav Landauer)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

+

4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

L’État existe afin de créer l’ordre et la possibilité de continuer à vivre au sein de tout ce non-sens dénué d’esprit (Geist), de la confusion, de l’austérité et de la dégénérescence. L’État avec ses écoles, ses églises, ses tribunaux, ses prisons, ses bagnes, l’État avec son armée et sa police, ses soldats, ses hauts-fonctionnaires et ses prostituées ; là où il n’y a aucun esprit et aucune compulsion interne, il y a forcément une force externe, une régimentation, un État. Là où il y a un esprit, il y a société. La forme dénuée d’esprit engendre l’État, L’État est le remplaçant de l’esprit.
~ Gustav Landauer ~

“La relation politique de pouvoir précède et fonde la relation économique d’exploitation. Avant d’être économique, l’aliénation est politique, le pouvoir est avant le travail, l’économique est une dérive du politique, l’émergence de l’État détermine l’apparition des classes.”
~ Pierre Clastres, directeur de recherche en anthropologie politique au CNRS, 1974 ~

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Le monstre en devenir…

Faire tomber les mythes historico-anthropologiques sur l’État pour finir par… « N’être plus gouvernés »…

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, autogestion, écologie & climat, économie, crise mondiale, démocratie participative, gilets jaunes, guerres hégémoniques, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, philosophie, politique et social, politique française, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, société des sociétés, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 26 juillet 2022 by Résistance 71

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Pour un ¡Ya Basta! mondial…

N’être pas gouvernés

Roméo Bondon

Mai 2018

Source: https://www.revue-ballast.fr/netre-pas-gouvernes/

L’attention des anthropologues s’est bien souvent restreinte au « sauvage », à l’ailleurs, cette altérité en apparence si franche qu’elle semble parfaitement objectivable. La géographie, elle, bien qu’elle ait des racines libertaires certaines1, s’est aussi largement constituée comme science coloniale et étatique2. Peu nombreuses sont les recherches portant sur les « autres » d’ici, souvent présentés, du reste, comme d’archaïques ruraux déjà dépassés par l’avancée de l’Histoire3. Peu nombreuses aussi sont les études géographiques s’arrachant du cadre des États-nations4. Et si l’étrange, dont la différence fait aussi l’intérêt, n’était pas nécessairement lointain dans le temps et l’espace, ni aussi marginal qu’on pourrait le penser ? Et si l’Histoire s’était faite en majeure partie à l’écart de l’État, ou en tout cas contre ses premières formes (États rizicoles en Asie, proto-États dans l’Europe médiévale, jusqu’à leur consolidation progressive à l’époque moderne5) ? L’expérience en cours dans le bocage nantais, à « la ZAD », peut s’inscrire dans ce que le politologue James C. Scott a défini comme des « Zomia Studies », domaine de recherche ouvert avec son ouvrage Zomia, au sous-titre éloquent en ce contexte de lutte(s) : « ou l’art de ne pas être gouverné ».

« La Zomia est la dernière région du monde dont les peuples n’ont pas été intégrés à des États-nations6 ». Zone de deux millions et demi de kilomètres carrés en Asie du Sud-Est, la Zomia est avant tout une construction géographique dont les caractéristiques politiques et culturelles s’opposent fondamentalement à tout type d’État — en l’occurrence celui fondé sur la riziculture sédentaire autour des collines et montagnes de cette partie de l’Asie. « Zone refuge » formée de multiples « zones de morcellement7 », la Zomia n’obéit pas à des frontières fixes ; plus précisément, elle s’inscrit contre ces dernières, les fuyant à mesure qu’elles se sont étendues. Bien que la ZAD (Zone à défendre) de Notre-Dame-des-Landes se soit inscrite dans la délimitation stricte d’une ZAD (Zone d’aménagement différé) créée dans les années 1970, c’est sa pluralité d’identités, fédérées contre un projet et le monde qui le porte, qui la caractérise. Si l’on remplace dans le texte de James C. Scott le terme de « colline », propre à son terrain d’étude, par celui de « bocage », la ZAD apparaît comme un lieu exemplaire illustrant ce qu’est une Zomia. « Les collines ne sont pas seulement un espace de résistance politique : elles sont une zone de refus culturel8 ». C’est justement cet ajout que ne veulent pas voir les pourfendeurs de la ZAD, et qui les empêche d’en comprendre la portée.

Certes, le combat politique le plus visible a été gagné avec l’abandon du projet d’aéroport. Mais la lutte s’est toujours inscrite aussi contre une normalisation des comportements, dans la revendication d’une altérité qui se décline politiquement — des naturalistes en lutte aux autonomes, en passant par des paysans reconvertis — aussi bien que dans les pratiques — une agriculture à la marge des impératifs productivistes imposés par les subventions, des projets s’ancrant sur un territoire réduit mais en interdépendance avec celui-ci (là où la mondialisation implique une déterritorialisation des produits). Dans la région d’Asie qui occupe l’auteur, « “Habitants des forêts” ou “personnes des collines” est synonyme de non-civilisé9 » : n’est-ce pas comme tel que sont traités les opposants, traqués par une troupe de CRS détruisant toute habitation considérée comme précaire sur son passage ? Pour James C. Scott, « plus vous laissez de traces, plus grande est votre place dans l’histoire10 » : les archives sont matérielles ; l’Histoire qui en résulte est nécessairement partielle. De même qu’il ne reste plus rien du centre universitaire de Vincennes aujourd’hui, si ce n’est une clairière11, les autorités souhaitent que la lutte, victorieuse une fois, ne le soit pas de manière pérenne à travers une installation permanente. Les constructions collectives sont détruites pour cette même raison : elles symbolisent ce dont l’État ne veut pas, à savoir la mutualisation, la mise en commun, à rebours d’une jeune tradition propriétaire qui se veut originelle12. Le refus par l’État de tout projet collectif va dans ce sens ; la destruction d’un lieu au nom aussi symbolique que « La Ferme des Cent Noms » également. Car « même les structures sociales et les types d’habitats dans les collines pourraient être utilement envisagées comme des choix politiques13 ». L’utilisation de matériaux de récupération et légers sur la ZAD, comme dans les arbres à Bure ou à l’Amassada à deux pas des Causses, est une décision dictée par la nécessité de construire vite, mais est surtout la traduction d’une volonté de montrer qu’autre chose est possible : des chantiers collectifs pour des cabanes, des hangars, un phare, des habitations aussi diverses qu’il y a d’habitants, comme autant de pieds de nez à l’imposition de chantier décrétés « d’utilité publique ».

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Se fédérer contre, se diviser pour

Sur la ZAD peut-être plus que sur les autres sites en lutte, la diversité dans les profils d’habitants est la règle. Cette multiplicité s’est unie contre un projet, alors même que les installations sont diverses et les raisons de continuer la lutte aussi. Là où le cauteleux Nicolas Hulot a appelé à « ne pas confondre écologie et anarchie », les habitants de la ZAD prouvent que les deux sont indissociables dans leur combat. Une fois de plus, l’anarchie souffre de son image défigurée par ceux qui ont le pouvoir de le faire depuis plus d’un siècle. Qui mieux que le géographe libertaire Élisée Reclus pour rappeler que l’attention au milieu comme à la terre et l’anarchie s’associent bien plus qu’ils ne s’opposent ? Lui qui déplore les conséquences de l’industrialisation de son époque sur les montagnes et cours d’eau14 a également œuvré toute sa vie pour la réalisation de ses principes : « Notre destinée, c’est d’arriver à cet état de perfection idéale où les nations n’auront plus besoin d’être sous la tutelle ou d’un gouvernement ou d’une autre nation ; c’est l’absence de gouvernement, c’est l’anarchie, la plus haute expression de l’ordre15. » Les occupants de la ZAD l’avaient depuis le début annoncé : ils luttaient « contre l’aéroport et son monde » — Hulot n’a retenu que le premier de ces combats. L’aéroport étant abandonné, place au monde qui l’a porté : « Nous savons tous que ce que nous aurons à arracher demain sera le maintien de l’usage commun d’un territoire insoumis et ouvert, qui en inspire d’autres. Et que pour ce faire, nous devons construire des formes inédites16. »

Même si ce sont les barricades qui sont les plus visibles, la lutte est avant tout idéologique ; elle dessine un nouveau front entre les tenants de la propriété, l’État, et ceux qui souhaitent bâtir une vie hors d’un cadre uniformisé, dans un ensemble de projets collectifs. James C. Scott oppose une « agriculture d’évasion », qu’il perçoit comme faisant partie de « formes de culture destinées à se soustraire à l’appropriation étatique17 », à une agriculture sédentaire, pratiquée dans les plaines asiatiques et promue par les États pour fixer les populations. Les propositions d’installation sur la ZAD se veulent à la marge des cadres réglementaires habituellement mobilisés mais n’excluent pas d’être intégrées à un territoire dépassant la zone. Le grand écart avec l’État se situe dans la manière dont ces installations souhaitent durer. La « Ferme des Cent Noms » en est l’exemple le plus frappant : ce sont des projets collectifs qui étaient jusqu’à peu proposés, sans titre de propriété individuel. Le collectif des Cent Noms regroupait une vingtaine de personnes travaillant aux alentours de la ferme éponyme ; les chantiers collectifs, comme ceux menés au Très Petit Jardin en dépit des nuages de lacrymo, participent à la réalisation par tous d’un projet qui ne s’arrête pas à une personne. Étendre cette communalisation serait rendre les occupants invisibles pour les instances de régularisation agricoles (MSA et chambres d’agriculture) ; c’est cela même qui gêne tant l’État. « Les dirigeants étatiques considèrent comme presque impossible d’instaurer une souveraineté effective sur une population constamment en mouvement, qui n’a pas de forme permanente d’organisation, qui ne se sédentarise pas, dont le gouvernement est éphémère, dont les formes de subsistance sont flexibles et peuvent changer18».

L’impossible souveraineté, et dès lors l’improbable autorité étatique sur ces projets, implique un emploi de la force pour les détruire. La seule alternative proposée passe par la propriété individuelle. À cela, les habitants de la ZAD pourraient opposer l’histoire coloniale de l’État français et ceux qui lui ont résisté. C’est cette même altérité qui a été combattue dans une Algérie colonisée par la loi Warnier (1873), interdisant toute indivision des terres et permettant l’accaparement de plus de terres encore par les colons. S’appuyant sur d’autres exemples historiques, situés pour leur part en forêt, Jean-Baptiste Vidalou a rappelé la connivence entre la colonisation et l’aménagement du territoire, la colonisation et l’action violente de l’État, là où ce dernier peine à se faire « respecter »19. La propriété en indivision décrétée par les opposants au transformateur électrique de Saint-Victor-et-Melvieu, village où s’est bâti l’Amassada, est une manière de lutter contre une confrontation par trop déséquilibrée entre un propriétaire et l’État. Celui-ci trouve face à lui une pluralité d’habitants, qu’il ne sait dès lors comment traiter autrement que par la force.

rité qui a été combattue dans une Algérie colonisée par la loi Warnier (1873), interdisant toute indivision des terres et permettant l’accaparement de plus de terres encore par les colons. S’appuyant sur d’autres exemples historiques, situés pour leur part en forêt, Jean-Baptiste Vidalou a rappelé la connivence entre la colonisation et l’aménagement du territoire, la colonisation et l’action violente de l’État, là où ce dernier peine à se faire « respecter »19. La propriété en indivision décrétée par les opposants au transformateur électrique de Saint-Victor-et-Melvieu, village où s’est bâti l’Amassada, est une manière de lutter contre une confrontation par trop déséquilibrée entre un propriétaire et l’État. Celui-ci trouve face à lui une pluralité d’habitants, qu’il ne sait dès lors comment traiter autrement que par la force.

Palresistance

Se diviser contre, se fédérer pour

On pourrait appliquer à chaque territoire en lutte ce que l’anthropologue Pierre Clastres relevait de ses observations chez les Guarani et dans ses lectures ethnographiques : une Zomia, la ZAD ou le Chiapas, ces espaces se définissent comme un « tout fini » parce qu’ils sont « un Nous indivisé ». Pour Clastres, « la communauté primitive peut se poser comme totalité parce qu’elle s’institue comme unité20 ». En dépit d’un essentialisme problématique chez l’auteur, on peut néanmoins souligner que ce même processus est visible à Notre-Dame-des-Landes et sur nombre de territoires en lutte : un combat fédère et englobe dès lors, sous un seul nom, une multitude de choix. Ce « Nous indivisé » que forment les « zadistes » peut également s’atomiser pour contraindre au mieux l’avancée des forces de l’ordre, en utilisant leur terrain. Cette connaissance de l’espace, les habitants de la ZAD la partagent avec les Ariégeois lors de la guerre des Demoiselles au XIXe siècle ou les Cévenols au XVIIe lors de la guerre des Camisards, chacun des deux territoires s’étant opposé à l’avancée de la puissance étatique. Comme le rappelle Jean-Baptiste Vidalou, la pratique quotidienne de la forêt était un atout dans la dispersion des habitants ou le regroupement opportun. Au sein de la ZAD, s’il y a division, c’est avec bienveillance — du moins, tant que faire se peut —, entre les différents choix de vie expérimentés : « Il y avait dans l’air comme un esprit joyeux de jacquerie et de partage : “On se côtoyait aussi bien autour d’un repas que derrière une barricade”. Gilles s’anime : “Au cours de ces moments intenses, les étiquettes disparaissent”, les identités deviennent poreuses, “de l’anarcho-communiste au paysan, du punk au naturaliste, on ne sait plus qui est qui”21. »

S’il y a division, c’est aussi sous la contrainte, comme outil stratégique pour éviter de s’enfoncer dans un conflit sans fin — c’est la « stratégie d’autodéfense administrative », soit l’acceptation, par une délégation, de proposer des projets d’installation individuels va dans ce sens. Mais il ne fait aucun doute que ces derniers n’auront d’individuel que le nom : le nom de celui ou celle qui subira les obligations imposées par l’UE et l’État à toute exploitation agricole. La multifonctionnalité des paysans, réclamée par l’OCDE dès les années 1990 et décrétée dans les années 2000 avec la réforme de la PAC, est pourtant au principe de ce qu’est la paysannerie. L’impératif « post-productif » lancé aux campagnes aujourd’hui croit être novateur en mêlant travail sur la terre et préservation du paysage : c’était pourtant un processus à l’œuvre bien avant que l’agriculture industrielle ne s’immisce au cœur des pratiques paysannes. Seulement, alors que l’accroissement normatif est avant tout dirigé vers les monocultures céréalières, chacun y est sujet comme s’il était aussi néfaste sur le plan environnemental — et les projets portés à Notre-Dame-des-Landes n’y feront peut-être pas exception. Bien que l’étude soit datée, les affirmations du sociologue rural Henri Mendras prophétisant La Fin des paysans (1967) peuvent encore être lues avec profit : « c’est le passage de la logique paysanne à la rationalité économique dans la gestion des exploitations qui résume et symbolise le conflit de civilisation et la transformation du paysan en producteur agricole22 ». C’est aujourd’hui le mouvement inverse qui effraie l’État et déclenche sa logique répressive.

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L’indivision est un principe fondamental de ces luttes, laissant à la diversité des projets la possibilité de s’étendre sans entrave. Mais la fédération de chacun autour d’un combat ne s’opère pas seulement contre un monde ou une agression ; elle se construit également pour un avenir commun. Des expérimentations similaires se retrouvent sur chacun des territoires en lutte ou en passe de l’être : des projets agricoles ayant à cœur de revenir à l’autonomie paysanne, des lieux de vie communs où échanger et partager comme à l’Amassada de Saint-Victor-et-Melvieu, des bibliothèques comme celle du Taslu à la ZAD, communes elles-aussi… L’importance des moyens mis en œuvre pour déloger les habitants de la ZAD indique la crainte de l’État de voir son autorité remise en cause. Mais, peut-être plus encore, c’est de voir émerger un contre-pouvoir qui, au lieu de combattre frontalement, ne souhaite que rester à l’écart et prouver que ce qu’il fait est possible, qui effraie. Ce qui se joue à Notre-Dame-des-Landes prouve que se poser à la marge n’est pas une attitude si absurde que ça ; que c’est plutôt encourager l’inacceptable — de l’agriculture industrielle à la financiarisation de la culture, de la précarisation des travailleurs au délaissement des plus démunis — qui est inimaginable.

Notes :

Élisée Reclus et Pierre Kropotkine ont tous deux appliqué leur raisonnement géographique à leur anarchisme, et inversement. Le premier a écrit une Nouvelle Géographie Universelle (1876–1894) aussi bien que L’Évolution, la révolution et l’idéal anarchique (1902) ; le second appuie sa théorisation de l’entraide sur les observations qu’il a pu mener en Sibérie. Sur leurs travaux et parcours respectifs, voir Philippe Pelletier, Géographie et anarchie : Reclus, Kropotkine, Metchnikoff, Éditions du Monde libertaire, 2013.↑

L’Institut Géographique National (IGN) est issu du Service Géographique de l’Armée (SGA) ; les colonies françaises ont servi de terrain à de nombreux géographes, constituant un courant à part entière — la géographie coloniale — dont la géographie tropicale puis du développement sont issues.↑

Pour des approches hétérodoxes, voir Jeanne Favret-Saada, Les Mots, la Mort, les Sorts, Gallimard, 1977 et Yvonne Verdier, Façons de dire, façons de faire, Gallimard, 1979.↑

Le géographe libertaire canadien Simon Springer revient sur cette connivence dans son ouvrage Pour une géographie anarchiste (2018) : les géographes ont d’abord été mobilisés dans des contextes belliqueux — Emmanuel De Martone a par exemple été convoqué pour la modification des frontières européennes suite à la Première Guerre mondiale — puis pour l’aménagement du territoire. Par ailleurs, si le marxisme, à la suite de David Harvey, est bien représenté dans la discipline, l’anarchisme était jusqu’à peu quasiment inexistant.↑

Voir Philippe Contamine (dir.), Guerre et concurrence entre les États européens du XIVe au XVIIIe siècle, PUF, 1998.↑

James C. Scott, Zomia ou l’art de ne pas être gouverné, Seuil, 2013, p. 9.↑

Ibid., p. 29.↑

Ibid., p. 44.↑

Ibid., p. 54.↑

Ibid., p. 61.↑

Voir Virginie Linhart, Vincenne, l’université perdue, coproduction Arte France, Agat films & Cie, 2016.↑

Le droit de propriété est défini comme droit naturel et imprescriptible dans l’article deux de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen ; la Loi du partage du 5 juin 1793 réduit la possibilité d’user de biens communaux. Tout comme le mouvement des enclosures en Angleterre, l’avènement de la propriété privée comme droit est historique, datable donc, et non naturel.↑

James C. Scott, op. cit., p. 59.↑

« Du sentiment de la nature dans les sociétés modernes », Revue des Deux Mondes, 1864, réédité aux éditions Barthillat, 2019.↑

Élisée Reclus, « Développement de la liberté dans le monde » (1851), dans Écrits sociaux, Héros-Limite, 2012.↑

Collectif Mauvaise Troupe, Saisons – nouvelles de la zad, éditions de l’Éclat, 2017.↑

James C. Scott, op.cit., p. 47.↑

Ibid., p. 67.↑

Voir Jean-Baptiste Vidalou, Être forêts, habiter des territoires en lutte, La Découverte, 2017.↑

Pierre Clastres, Archéologie de la violence, la guerre dans les sociétés primitives, éditions de l’Aube, 2013, p. 43.↑

Gaspard d’Allens et Lucile Leclair, Les Néo-paysans, Seuil / Reporterre, 2016, p. 62.↑

Henri Mendras, La Fin des paysans, Acte Sud, 1992, p. 24.↑

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Lectures anthropologiques complémentaires sur Résistance 71 :

Notre page “Anthropologie politique”

Notre page “Pierre Clastres”

Zomia et le travail de James C Scott, nos traductions :

“L’art de ne pas être gouvernés” et “Contre le grain, une histoire profonde des premiers états”

pirate

revolutionsociale

Lire, analyser, comprendre pour un changement faste de notre société, 3ème partie : la science sous emprise (Résistance 71)

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lecture1

Résistance 71

10 juillet 2022

1ère partie : introduction
2ème partie : Histoire, anthropologie et archéologie
3ème partie : Science
4ème partie : religion et philosophie
5ème partie : spirituel et arts
6ème partie : analyse politique
7ème partie : colonialisme
8ème partie : anarchie et société des sociétés

Pour maintenir en place l’illusion du système étatico-marchand et sa chaîne de domination et de soumission, il est nécessaire pour ses pilotes de constamment arranger la réalité en leur faveur. A ce titre, et depuis bien longtemps, nous sommes entrés dans une ère de falsification de la science à tous les niveaux, ce qui est rendu d’autant plus facile pour l’oligarchie en place, que comme le dit le vieil adage, c’est le payeur qui choisit la musique de l’orchestre, à savoir que le fric dirige tout, achète tout, étouffe tout. Le dernier exemple en date ayant été cette vaste escroquerie criminelle et attaque biologique directe contre l’humanité de la pandémie fabriquée de la COVID19  et de sa solution (finale ?) des injections ARNm / OGM mortifères.
Depuis des lustres, il nous faut tout remettre en cause, car tout, en tout domaine scientifique, est potentiellement falsifié à des fins de contrôle et de profits. Au fil des ans, nous avons mis les projecteurs sur différentes falsifications dans différents domaines scientifiques et technologiques, ci-dessous quelques pages de notre blog à consulter et quelques PDF sélectionnés de notre bibliothèque à (re)lire et diffuser sans modération.
Ajoutons que la tache est rendue plus facile aux faussaires de la science pour deux raisons essentielles, la première étant nous l’avons dit, la puissance financière des investisseurs ne finançant que ce qui les arrange et la seconde étant la nouvelle phase pseudo-scientifique dans laquelle la science est entrée : la science des « modèles informatiques »… De nos jours, l’empirisme, l’observation et la preuve par les faits n’est plus de mise et pour cause, bien des théories seraient immédiatement mises à mal et infirmées du jour au lendemain si une trop grande scrutinité était donnée aux faits et à leur observation réelle, du COVID au cancer en passant par le réchauffement climatique anthropique, la technologie de pointe et l’origine naturelle des ressources en hydrocarbures. La « science » aujourd’hui se fait par « modèle informatique », par projections algorithmiques dans le futur pour extrapoler et prédire les températures du globe dans un siècle ou la quantité de pétrole et de gaz exploitable sur les prochaines décennies. Les payeurs font entrer les données utiles à leur idéologie dans les logiciels qui leur pondent des résultats idéologiquement satisfaisants tout en veillant à museler toute contestation en provenance de l’observation empirique dont les adeptes sont dès lors qualifiés de « charlatans » et d’hérétiques à la nouvelle religion des « modèles » et de la science tronquée. L’obscurantisme est monté en grade, il est passé au niveau de la falsification algorithmique de logiciels sous contrôle. Observer la nature et analyser les résultats d’expériences et de mesures de terrain est devenu « zone interdite », hérésie au dogme prévalent, attitude à diaboliser et éradiquer. Il est aussi à noter que la falsification scientifique à tous les étages possède cet élément oligarchique constant : la volonté de nuire à autrui, la volonté de nuire à l’humanité. Ainsi les commanditaires de la falsification et leurs complices de la « science » sont des ennemis déclarés de l’humanité et doivent être traités comme tels, sans complaisance aucune.
Ouvrons donc le rideau sur les coulisses de certains domaines de la falsification scientifique institutionnalisée :

Creutzfeldt-Jakob-Disease-covid-vaccine

Pages de Résistance 71 sur la falsification de la science :

Lectures importantes sur la falsification de la science (PDF) :

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Notre bibliothèque PDF (~300 publications)

 

L’imposture de la « transition énergétique »

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, écologie & climat, économie, crise mondiale, guerres hégémoniques, média et propagande, militantisme alternatif, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , on 5 juin 2022 by Résistance 71

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Pas convaincus comme l’auteur que les avions qui épandent les chemtrails tournent à « l’énergie libre », mais les sujets abordés ont le mérite de faire partie des questions et préoccupations que tout le monde devrait se poser avant même de considérer se déplacer pour aller (re)mettre un papelard dans la boîte à suggestions des esclaves (urne). Si nous voulons sortir de ce cauchemar technotronique et dystopique qui s’amplifie à vue d’œil, il est plus que grand temps de se poser les bonnes questions et surtout, surtout… d’agir, ensemble, en conséquence. Une fois compris qu’on se fout de vous à Mach 12… Que comptez-vous faire ? Tout est là.
~ Résistance 71 ~

Panneau solaire et éolienne, les 2 arnaques du NOM qui causent des incendies et autres, pendant que le NMO a des brevets d’énergie libre!

Anonyme

4 juin 2022

les panneaux solaires peuvent causer des incendies car leurs composants sont inflammables

et en plus ils sont installés en même temps que le compteur linky, qui peut causer des incendies aussi

https://www.ouest-france.fr/europe/france/panneaux-solaires-attention-aux-risques-dincendie-362591

ainsi que les éoliennes qui possèdent dans leur construction , un espace fermé de fluide inflammable pour l’électronique à côté de l’électronique

https://www.forema.fr/protection-oliennes

https://www.lardennais.fr/id363279/article/2022-04-20/une-eolienne-en-feu-saint-germainmont

et surtout les éoliennes émettent des infrasons qui peuvent causer des acouphènes, tachycardies sur plusieurs kilomètres ainsi que des bruits audibles qui causent des insomnies, stress, maux de tête, donc fièvre car le stress cause la fièvre

Il est ironique de voir le gouvernement implanter des radars anti bruits 74dB (coupés avec des caméras de reconnaissance faciale pour en faire des radars méduses) dans les villes soit disant pour lutter contre le bruit urbain pour motif sanitaire et infliger des amendes aux voitures bruyantes, alors que les éoliennes qu’ils veulent mettre partout dans les villes,  dépassent largement le seuil des radars anti bruits avec leur 120dB émise sur 300 kilomètres !

https://gkpressbook.wordpress.com/2011/08/03/tachycardie-nausee-le-bruit-des-eoliennes-nocif-pour-la-sante/

avec les éoliennes, on deviendra sourd, pas de possibilité de communiquer donc

ils semblent que nos 5 sens soient un danger pour le NWO puisque en plus des vaccins qui rendent aveugles, sourds, muets, ils nous implantent des éoliennes qui rendent sourds et cardiaques et provoquent des saignements de nez, affectant l’odorat et autres trucs!

https://www.uneoreilleavertie.com/quoi-de-neuf/eolienne-acouphenes-et-troubles-auditifs

voir plus en détail sur l’affaire belge où ils ont mené une attaque judiciaire sur 6 ans sur une éolienne planté à 700 mètres de chez eux qui a détruit leur santé.

On rappelle qu’en France, ils implantent des éoliennes à 500 mètres de distance uniquement !

Et ils sont allumés avec des signaux lumineux jour et nuit,  ce qui veut dire qu’ils sont aussi une pollution visuelle

ATE

https://www.francebleu.fr/infos/environnement/les-eoliennes-peuvent-etre-nocives-pour-la-sante-un-exploitant-condamne-dans-le-tarn-1636103746

le but de leurs radars anti bruits qu’ils plantent partout cette année, c’est d’avoir une excuse pour à la fois filmer les gens, les voitures, faire de la reconnaissance faciale partout, tout en enregistrant leurs voix biométriques et faire du fichage biométrique pour le blockchain

https://resistance71.wordpress.com/2022/04/15/dictature-technotronique-la-blockchain-comme-outil-de-la-tyrannie-a-venir/

rien ne vaut l’énergie libre qui existe puisqu’elle a été brevetée en secret par plusieurs gouvernements

tapez WO patent free energy (pour les brevets internationaux)

ex : https://patents.google.com/patent/WO2012017261A1/en

ou tapez US patent free energy

Ex 1 générateur d’énergie libre américain ici en 2 liens :https://appft.uspto.gov/netacgi/nph-Parser?Sect1=PTO1&Sect2=HITOFF&p=1&u=/netahtml/PTO/srchnum.html&r=1&f=G&l=50&d=PG01&s1=20110108362.PGNR.

https://pdfaiw.uspto.gov/.aiw?Docid=20110108362&homeurl=http%3A%2F%2Fappft.uspto.gov%2Fnetacgi%2Fnph-Parser%3FSect1%3DPTO1%2526Sect2%3DHITOFF%2526p%3D1%2526u%3D%2Fnetahtml%2FPTO%2Fsrchnum.html%2526r%3D1%2526f%3DG%2526l%3D50%2526d%3DPG01%2526s1%3D20110108362.PGNR.%2526OS%3D%2526RS%3D&PageNum=&Rtype=&SectionNum=&idkey=020873B2A413

Ex autres générateurs d’énergie libre : https://www.apparentlyapparel.com/news/us-patent-office-has-two-free-energy-devices-on-file-decades-of-suppression

Ou tapez CN patent free energy

Ex 1 générateur d’énergie libre chinois en 2 liens : https://worldwide.espacenet.com/patent/search/family/050252653/publication/CN103647476A?q=pn%3DCN103647476A 

https://globaldossier.uspto.gov/#/result/publication/CN/103647476/

Comme vous pouvez le voir, les USA, la Chine (et les autres gouvernements bien sûr) ont tous en secret des brevets d’énergie libre, alors qu’ils imposent des crises énergétiques ou de fausses alternatives énergétiques comme l’éolienne et les panneaux solaires peu rentables et dangereux 

S’il y a des  bricoleurs qui me lisent, vous pouvez cliquez sur ces liens de patents, allez sur les PDF et les plans et voir si vous pouvez les fabriquer en masse pour l’humanité pour faire bénéficier l’énergie libre en masse pour l’humanité

maintenant vous comprenez pourquoi malgré « la crise énergétique « , vous continuerez à voir des avions  dans chaque ville du monde déverser leurs chemtrails, (pour ma part, je ne peux jamais me lever le matin sans voir chaque jour une bonne dizaine d’avions faire des tracés dans le ciel dès 6 heures du matin et je sais que cela ne finira jamais même avec leur « crise énergétique »…)

https://www.7sky.life/fr/le-giec-avertit-de-ne-pas-arreter-les-chemtrails-autrement-dit-la-gestion-du-rayonnement-solaire/

un des avantages de la crise énergétique, c’est qu’elle prouve l’existence de l’énergie libre avec la présence des avions de chemtrails qu’il suffit de voir en levant la tête dans le ciel tous les jours, d’où le fait qu’ils veulent imposer le confinement, pour empêcher les gens de regarder le ciel et voir l’arnaque qu’ils nous imposent!

parce que les avions de chemtrails pour la géoingénierie volant  tous les jours en groupes de dizaines dans chaque ville du monde pendant notre monde de « crise énergétique » fonctionnent  avec l’énergie libre qu’ils cachent au public!

Lire notre page « Escroquerie du réchauffement climatique anthropique » (avec les deux tomes du « Manuel du climatologies-sceptique » en PDF)

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Arnaque de la « révolution verte »…

L’imposture de la science des modèles informatiques : retour à l’escroquerie climatique après le bidouillage des prédictions COVID ou, quand l’oscillation pacifique de La Niña fait péter les plombs des modèles climatiques !

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, écologie & climat, crise mondiale, documentaire, média et propagande, militantisme alternatif, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , on 4 juin 2022 by Résistance 71

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La couche de la surface océanique est une toute fine loupe d’eau
chaude superposée au glacial abysse…

Pas plus de réchauffement climatique anthropique que de beurre en branche…
~ Résistance 71 ~

« La réalité est inscrite dans les pierres et non pas dans des modèles basés sur des informations incomplètes… »

« La preuve que le CO2 ne pilote pas le climat est démontrée par les périodes glaciaires précédentes Les glaciations de l’ordovicien-Silurien (450-420 millions d’années) et du Jurassic-crétacé (151-132 millions d’années) se sont produites alors que le taux de CO2 atmosphérique était de respectivement de 4000ppm et environ 2000ppm […] La glaciation du carbonifère-permien il y a 360-260 millions d’années avait un contenu atmosphérique de CO2 de l’ordre de 400ppm soit quelques 15ppm de plus qu’aujourd’hui. […] clairement, un haut taux de CO2 dans l’atmosphère ne pilote en rien un réchauffement climatique et il n’y a aucune corélation entre la température globale et le taux de CO2 atmosphérique. Ceci n’a jamais été expliqué par ceux qui argumentent que les additions humaines de CO2 dans l’atmosphère produisent un réchauffement climatique. »
~ Ian Plimer, Ph.D en géologie, professeur université d’Adélaïde, 2009 ~

Le livre de Ian Plimer « Heaven ad Earth » (2009) a été traduit en français sous le titre « Ciel et Terre », à lire, c’est une mine d’or d’information scientifique sourcée

=*=*=*

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Encore La Niña ? Les modèles climatiques viennent juste de péter les plombs… Ceci n’est pas supposé être !

JoAnne Nova

31 mai 2022

Url de l’article original :
https://joannenova.com.au/2022/05/another-la-nina-climate-models-just-flummoxed-this-is-not-supposed-to-happen/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

L’angoisse et la confusion sont palpables — Une autre “méchante La Niña” ? “Il se passe quelque chose de bizarre”, “Ces Niñas ne savent pas quand elles doivent cesser”. Oh non !

Ceci ne sont pas les mots qu’on s’attendrait entendre de la bouche d’experts qui peuvent prédire à 97% le climat dans un siècle d’ici. La mauvaise nouvelle pour tous ces adeptes des modèles (science des modèles) est que le climat sur Terre semble être bien plus contrôlé par les oscillations pacifiques que par quoi que ce soit d’autre et qu’ils n’ont absolument aucune idée de ce qui dirige ce système et ses phases ; ils ne peuvent donc rien prédire à plus de quelques mois de distance et souvent ce n’est même pas le cas. Les plus chaudes des années chaudes sont celles du El Niño et les plus froides des années celles de La Niña et les plus grands modélistes que le-monde-ait-connu (NdT : turlututu chapeau pointu…) continuent d’avoir tout faux dans la panification de leurs barbecues estivaux. Les sécheresses, les inondations et les feux de forêts suivent le mouvement de la surface des eaux du plus grand des océans de la planète. A chaque fois que ces évènements se produisent, les modèles informatiques disent “changement climatique”, mais les modèles ne nous disent jamais ce qui va nous arriver à la même époque l’année prochaine.

Et donc nous voilà avec plein d’indices nous disant qu’il va y avoir une autre La Niña, une troisième de suite et Oh ! quelle grande déception ! Les afficionados des modèles pensaient qu’il y aurait plus d’El Niños, Ô grande reine du réchauffement global. Au lieu de cela, ces 40 dernières années, les phénomènes La Niña semblent avoir été bien plus communs. Les modèles ont eu tout faux !

Et cet échec est le Grand Mal.

Merde, le Pacifique est important !

Comme l’a si bien fait remarquer William Kinninmonth, les océans sont profonds de 4 km et la vaste majorité de l’eau est juste quelques degrés au dessus du point de congélation, ce même sous les eaux tropicales du Pacifique. Il y a tout un vaste et froid monde là dessous, et la fine pellicule d’eau chaude du dessus n’est juste qu’une très fine peau. Si cette fine couche chaude demeure, l’air du dessus peu se réchauffer, mais tout ce qu’il faut pour tout chambarder est un changement dans les courants marins dominants ou dans les vents dominants, ou qu’un nouveau magma sous-marin profond fasse éruption pour perturber la couche fine supérieure. Le gargantuesque grand bleu profond de 3 km d’eau salée froide et épaisse remonte rapidement et pompe la chaleur des cieux.

La faible et insipide vapeur d’eau du dessus ne fait pas le poids face à la vaste énergie des profondeurs.

Sur CBS NEWS:  Weather’s unwanted guest: Nasty La Nina keeps popping up

Il y a quelque chose de bizarre avec La Niña, cet évènement naturel puissant lié à l’augmentation des sécheresses et des feux de nature dans l’ouest des Etats-Unis et à plus d’ouragans dans l’Atlantique. Elle devient l’invitée indésirable de la météo de la nation et les météorologistes ont dit que la super sécheresse de l’ouest ne s’arrêtera pas tant que la Niña ne s’arrêtera pas.

Le redoublement de La Niña a établi un record de force le mois dernier et est prédite de rester pour un rare mais pas sans précédent troisième hiver de suite. Et ce n’est pas juste celle-là. Des scientifiques ont remarqué que ces 25 dernières années, le monde semble être sous l’influence de plus de La Niña qu’auparavant et ceci est juste à l’opposé de ce que leurs meilleurs ordinateurs et leurs modèles de simulations disent qu’il devrait se produire avec un changement climatique causé par l’humain.

“Elles (les Niñas) ne savent pas quand elles doivent partir.”, a dit Michelle L’Heureux, patronne du bureau de prévision de la NOAA pour la Niña et son plus fameux opposé : El Niño.

Ce son que vous entendez là, c’est le son des prévisions à long terme qui craquent l’élastique de leur slip:

Une analyse statistique d’Associated Press des Niñas d’hiver montrent qu’elles avaient pour habitude de se manifester environ 28% du temp de 1950 à 1999, mais ces 25 derniers hivers, elles se sont manifestées près de 50% du temps. Il y a une toute petite chance que ceci soit par hasard, mais si La Niña est toujours là cet hiver qui vient, comme prévu, ceci poussera les chiffres au delà de la ligne de marge signifiante, qui est clef en science, dit L’Heureux. Sa propre analyse montre que les conditions de La Niña se produisent beaucoup plus souvent ces 40 dernières années. D’autres nouvelles études montrent des schémas concordants.

Le véritable problème est que ceci n’est qu’une de bien des choses que les modèles informatiques prédisent faussement et à l’encontre d’autres petites choses, ceci ne peut pas être ajusté pour “cadrer dans le moule désiré”.

Ce qui inquiète un bon nombre de scientifiques est que leurs modèles de simulation climatique de référence qui tendent à prédire des conditions au dessus du reste du monde, prédisent plus d’El Niños et non pas plus de Niñas et ceci cause une cassure dans la communauté climatique sur ce qu’il faut croire, d’après le scientifique du climat de Columbia University Richard Seager et le spécialiste des ouragans du MIT Kerry Emanuel.

Une troisième année sèche pour l’Amérique orientale serait mauvaise en bien des points. Imaginez simplement comme il aurait été utile pour tout le monde si les modèles climatiques avaient fonctionné et auraient pu dire aux managers de barrages, aux agriculteurs et aux responsables des eaux et forêts, en 2019 que les trois prochaines années seraient sèches ? Ceci aurait eu une valeur de milliards de dollars, mais au lieu ce ça, la “science” du climat est une secte politiquement sous influence et prisonnière, qui rejette toutes idées alternatives, exile les hérétiques et ignore les influences du soleil, de la lune et des évènements spatiaux d’influence, la boule de magma sur laquelle nous nous tenons et ces gugusses prétendent que la seule chose importante et d’influence est un certain gaz émis, entre autre, par votre voiture.

Et ils savent tout cela. Ils sont en train d’effacer ce qu’ils savaient: NASA hides page saying the Sun was the primary climate driver, and clouds and particles are more important than greenhouse gases

NdT : traduction du titre de l’article ci-dessus : “La NASA cache une page disant que le soleil est le principal moteur du climat et que les nuages et particules sont plus importants que les gaz à effet de serre”

Quelques liens de l’article (en anglais…) :

Space-weather  La “météo spatiale” peut changer le climat de la planète

Lire notre page « Escroquerie Réchauffement Climatique Anthropique »

Le grand climatologue français Marcel Leroux : à lire et diffuser sans modération…
« Le réchauffement climatique anthropique est un mythe »

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OTAN : de la crise programmée au suicide énergétique (F. William Engdahl)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, écologie & climat, économie, colonialisme, crise mondiale, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , on 29 janvier 2022 by Résistance 71

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Pourquoi les Etats de l’OTAN commettent-ils un suicide énergétique ?

F. William Engdahl

18 janvier 2022

Source :
https://www.mondialisation.ca/pourquoi-les-etats-de-lotan-commettent-ils-un-suicide-energetique/5664260 

Il y a un grand paradoxe dans la position militaire de plus en plus agressive des États-Unis et de l’OTAN à l’égard de la Russie et de la Chine, lorsqu’on la compare aux politiques économiques nationales clairement suicidaires de l’Agenda vert des États-Unis et des États de l’UE et de l’OTAN. Une transformation étonnante des économies des pays industriels les plus avancés du monde est en cours et prend de l’ampleur. Le cœur de cette transformation est l’énergie, et l’exigence absurde d’une énergie « zéro carbone » d’ici 2050 ou avant. Éliminer le carbone de l’industrie énergétique n’est pas possible à l’heure actuelle, ni peut-être jamais. Mais si l’on cherche à l’atteindre, cela signifie que les économies les plus productives du monde seront mises en pièces. Sans une base énergétique industrielle viable, les pays de l’OTAN deviennent une plaisanterie militaire. Nous ne pouvons pas parler d’énergie « renouvelable » pour le solaire, l’éolien et le stockage sur batterie. Nous devons parler d’énergie non fiable. C’est l’un des délires scientifiques les plus colossaux de l’histoire.

Le 31 décembre, le nouveau gouvernement de coalition allemand a fermé définitivement trois des six centrales nucléaires restantes. Ils l’ont fait à un moment où les réserves de gaz naturel étaient extrêmement basses à l’aube d’un hiver difficile, et où tout front froid sévère pouvait entraîner des pannes d’électricité. En raison du refus allemand d’autoriser l’importation d’un deuxième gazoduc russe, Nord Stream 2, l’Allemagne est confrontée à une augmentation de 500% du prix au comptant de l’électricité par rapport à janvier 2021.

La crise énergétique de l’UE était prévue

En 2011, lorsque la chancelière Merkel a déclaré la fin anticipée de l’énergie nucléaire, sa tristement célèbre Energiewende, pour sortir du nucléaire et passer aux sources renouvelables, 17 centrales nucléaires ont fourni de manière fiable 25% de toute l’énergie électrique du pays. Les trois centrales restantes doivent maintenant fermer d’ici fin 2022. Dans le même temps, le programme d’énergie verte du gouvernement depuis 2016 a entraîné l’arrêt de la production de 15,8 GigaWatts par des centrales à charbon à partir de janvier 2022. Pour compenser le fait que le solaire et l’éolien, malgré une propagande élogieuse, ne comblent pas le vide, le réseau électrique allemand doit importer une quantité importante d’électricité des voisins de l’UE, la France et la République tchèque, ironiquement en grande partie de leurs centrales nucléaires. L’Allemagne a aujourd’hui le coût de l’électricité le plus élevé de tous les pays industrialisés en raison de l’Energiewende.

L’approvisionnement en électricité nucléaire en provenance de France pose désormais un problème. En décembre, EDF, l’agence nucléaire française, a annoncé la fermeture de quatre réacteurs pour inspection et réparation, suite à la découverte de dommages dus à la corrosion. Le président Macron, confronté aux élections d’avril, tente de jouer les champions du nucléaire dans l’UE en s’opposant à la forte position antinucléaire de l’Allemagne. Mais le pont nucléaire est vulnérable et il est peu probable que la France fasse de nouveaux investissements majeurs dans le nucléaire, malgré les déclarations récentes, avec des plans pour fermer douze réacteurs dans les prochaines années, ainsi que le charbon, laissant la France et l’Allemagne vulnérables aux futures pénuries d’énergie. Le programme France 2030 de Macron prévoit d’investir la bagatelle de 1,2 milliard de dollars dans la technologie nucléaire des petites centrales.

Mais la question du nucléaire n’est pas la seule mouche dans la soupe énergétique de l’UE. Chaque aspect du plan énergétique actuel de l’UE est conçu pour anéantir une économie industrielle moderne, et les architectes qui financent généreusement les groupes de réflexion verts comme l’Institut de Potsdam en Allemagne le savent. Amener l’éolien et le solaire, les deux seules options sérieuses mises en œuvre, à remplacer le charbon, le gaz et le nucléaire, est tout simplement dit, impossible.

Moulins à vent et folie des foules

Pour l’Allemagne, un pays dont l’ensoleillement n’est pas optimal, l’éolien est la principale alternative. Le problème de l’éolien, comme l’a montré l’hiver 2021, est qu’il ne souffle pas toujours, et de manière imprévisible. Cela signifie des pannes d’électricité ou un système de secours fiable, ce qui signifie du charbon ou du gaz naturel, car le nucléaire est évincé. Les éoliennes sont évaluées de manière trompeuse en termes de capacité théorique brute lorsque des États comme l’Allemagne veulent se vanter des progrès réalisés dans le domaine des énergies renouvelables.

En réalité, ce qui compte, c’est l’électricité effectivement produite au fil du temps ou ce que l’on appelle le facteur de capacité ou le facteur de charge. Pour le solaire, le facteur de capacité n’est généralement que de 25% environ. Dans le nord de l’Europe ou en Amérique du Nord, le soleil ne brille pas 24 heures sur 24. Le ciel n’est pas non plus toujours sans nuages. De même, le vent ne souffle pas toujours et n’est guère fiable. L’Allemagne se targue de produire 45% d’énergie renouvelable brute, mais cela cache la réalité. Dans une étude réalisée en 2021, l’Institut Frauenhofer estime que l’Allemagne doit installer au moins six à huit fois plus d’énergie solaire qu’aujourd’hui pour atteindre l’objectif de zéro émission de carbone en 2045, ce pour quoi le gouvernement refuse d’estimer les coûts, mais les estimations privées se chiffrent en billions. Le rapport indique que la capacité solaire brute actuelle de 54 GW doit atteindre 544 GW d’ici 2045. Cela signifierait un espace terrestre de 1,4 million d’hectares, soit plus de 16 000 kilomètres carrés de panneaux solaires solides à travers le pays. Ajoutez à cela de grandes stations éoliennes. C’est une recette suicidaire.

La fraude de l’éolien et du solaire en tant qu’option raisonnable sans carbone commence à être réalisée. Le 5 janvier dernier, dans l’Alberta (Canada), où le gouvernement construit furieusement des sites éoliens et solaires, par une journée de grand froid avec des températures proches de -40°, les 13 installations solaires de l’Alberta connectées au réseau, d’une capacité nominale de 736 mégawatts, fournissaient 58 mégawatts au réseau. Les 26 parcs éoliens, d’une capacité nominale combinée de 2269 mégawatts, ont fourni 18 mégawatts au réseau. Le total des énergies renouvelables n’était que de 76 mégawatts sur un total théorique de 3005 mégawatts d’énergie supposée verte et renouvelable. Le Texas, lors des fortes chutes de neige de février 2021, a connu les mêmes problèmes avec l’énergie solaire et éolienne que l’Allemagne. De plus, lorsqu’il neige, les fermes solaires ne valent rien.

De même, pour atteindre le niveau zéro carbone à partir de sources renouvelables, d’énormes surfaces de terre doivent être recouvertes de réflecteurs solaires ou consacrées à des parcs éoliens. Selon une estimation, la superficie nécessaire pour accueillir les 46 480 centrales photovoltaïques envisagées aux États-Unis est de 650 720 miles carrés, soit près de 20% des 48 premiers territoires américains. Cela correspond à la superficie du Texas, de la Californie, de l’Arizona et du Nevada réunis. Rien qu’aux États-Unis, dans l’État de Virginie, une nouvelle loi verte, la Virginia Clean Economy Act (VCEA), a entraîné une augmentation considérable des demandes de projets solaires, qui représentent à ce jour 780 miles carrés de panneaux solaires. Comme le souligne David Wojick, cela représente environ 500 000 acres de campagne, de terres agricoles ou de forêts détruites et pavées, avec quelque 500 projets distincts couvrant une grande partie de la Virginie rurale, qui nécessiteront un nombre stupéfiant de 160 millions de panneaux solaires, provenant pour la plupart de Chine et tous destinés à devenir des centaines de tonnes de déchets toxiques.

Des millions d’emplois ?

L’administration Biden et le tsar des énergies renouvelables John Kerry ont faussement prétendu que leur programme vert ou « Build Back Better » se traduirait par des millions de nouveaux emplois. Ils omettent de dire que ces emplois seront créés en Chine, qui produit la plupart des panneaux solaires, un quasi-monopole après avoir détruit la concurrence américaine et européenne il y a dix ans avec des panneaux bon marché subventionnés fabriqués en Chine. De même, la majeure partie de l’énergie éolienne est produite en Chine par des entreprises chinoises. Pendant ce temps, la Chine utilise des volumes records de charbon et reporte à 2060 sa promesse d’atteindre l’objectif « zéro carbone » dix ans après l’UE et les États-Unis. Elle ne veut pas mettre en péril sa domination industrielle au profit d’une théorie climatique fondée sur des données fausses et des mensonges selon lesquels le CO2 est sur le point de détruire la planète. La fédération syndicale allemande DGB a récemment estimé que depuis 2011, ce pays avait perdu quelque 150 000 emplois dans le seul secteur des énergies renouvelables, principalement parce que les panneaux solaires fabriqués en Chine ont détruit les principales entreprises solaires allemandes. Et l’Allemagne est le pays de l’UE le plus écolo. Parce que, par définition, les énergies renouvelables moins denses en énergie que sont l’éolien et le solaire font grimper les coûts de base de l’électricité, elles suppriment plus d’emplois dans l’économie globale qu’elles n’en créent.

L’effondrement industriel de l’OTAN

Parce que l’énergie solaire et l’énergie éolienne sont en réalité beaucoup plus coûteuses que les hydrocarbures conventionnels ou l’électricité nucléaire, elles font augmenter le coût global de l’énergie électrique pour l’industrie, ce qui oblige de nombreuses entreprises à fermer ou à déménager. Seule la fraude statistique officielle masque ce phénomène. L’Europe et les États-Unis auront besoin d’énormes volumes d’acier et de béton pour construire les millions de panneaux solaires ou de parcs éoliens attendus. Cela nécessite d’énormes quantités de charbon conventionnel ou d’énergie nucléaire. Combien de stations de recharge de voitures électriques seront nécessaires pour recharger à domicile 47 millions de voitures électriques allemandes ? Quelle demande d’électricité supplémentaire ?

Un important groupe de réflexion sur l’énergie verte aux États-Unis, RethinkX, a publié une étude de propagande pour les énergies renouvelables en 2021 intitulée « Repenser l’énergie 2020-2030 : 100% de solaire, d’éolien et de batteries, ce n’est que le début ». Leur réponse aux problèmes de faible capacité pour l’éolien et le solaire est de construire 500% ou même 1000% de plus que prévu pour compenser le faible facteur de capacité de 25%. Ils affirment de manière absurde, sans aucune preuve concrète, que « Notre analyse montre que l’électricité 100% propre issue de la combinaison du solaire, de l’éolien et des batteries (SWB) est à la fois physiquement possible et économiquement abordable sur l’ensemble du territoire continental des États-Unis ainsi que dans l’écrasante majorité des autres régions peuplées du monde d’ici 2030… cette surabondance de production d’énergie propre – que nous appelons super puissance – sera disponible à un coût marginal proche de zéro pendant la majeure partie de l’année… ». Cette déclaration est présentée sans un iota de données ou d’analyse de faisabilité scientifique concrète, simplement une affirmation dogmatique.

L’architecte canadien défunt de l’Agenda 21 des Nations unies, Maurice Strong, un ami pétrolier milliardaire de David Rockefeller, était sous-secrétaire des Nations unies et secrétaire général de la conférence du Jour de la Terre organisée à Stockholm en juin 1972. Il était également membre du conseil d’administration de la Fondation Rockefeller. Plus que quiconque, il est responsable de l’agenda de désindustrialisation de « l’économie durable » sans carbone. Lors du Sommet de la Terre de l’ONU à Rio en 1992, il a ouvertement énoncé le programme brutal des partisans de l’eugénisme radical tels que Gates et Schwab : « Le seul espoir pour la planète n’est-il pas que les civilisations industrialisées s’effondrent ? N’est-il pas de notre responsabilité de le provoquer ? » Ce programme est en grande partie la grande réinitialisation d’aujourd’hui.

La guerre maintenant ?

Si les économies autrefois avancées et à forte intensité énergétique des pays membres de l’OTAN en Europe et aux États-Unis continuent sur cette voie suicidaire, leur capacité à organiser une défense ou une attaque militaire convaincante deviendra un mirage. Récemment, la présidente corrompue de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré que l’industrie de la défense allemande de haute technologie et ses fournisseurs ne devraient pas recevoir de crédit bancaire parce qu’ils ne sont pas assez « verts » ou « durables ». Il semblerait que les banques aient déjà compris le message. Avec le pétrole et le gaz, la production de défense est désormais visée. Von der Leyen, en tant que ministre allemande de la Défense, avait été largement blâmée pour avoir laissé la défense allemande s’effondrer jusqu’à un état catastrophique.

Dans leur poursuite unilatérale de l’Agenda 2030 et du programme « zéro carbone », l’administration Biden et l’UE mettent leur industrie sur la voie de la destruction bien avant la fin de cette décennie. Est-ce que cela conduit à son tour l’agenda actuel de l’OTAN vers la Russie en Ukraine, en Biélorussie, en Arménie et maintenant au Kazakhstan ? Si les puissances de l’OTAN savent qu’elles ne disposeront pas de l’infrastructure industrielle militaire de base dans un avenir proche, pensent-elles qu’il est préférable de provoquer une éventuelle guerre avec la Russie maintenant, afin d’éliminer une résistance potentielle à leur programme de désindustrialisation ? Outre la Chine, la Russie est le seul pays capable de porter un coup dévastateur à l’OTAN en cas de provocation.

Psychose de la formation des masses ou folie des foules

En 1852, l’historien anglais Charles Mackay a écrit un classique intitulé « Mémoires sur les délires populaires extraordinaires et la folie des foules », qui donne un aperçu peu connu de l’hystérie de masse à l’origine des grandes croisades religieuses du XIIe siècle, de la chasse aux sorcières ou de la folie des tulipes hollandaise et de nombreux autres délires populaires. Il est pertinent de comprendre la ruée irrationnelle mondiale vers le suicide économique et politique.

Les mêmes acteurs clés qui sont à l’origine des mandats de vaccination de masse anti-covid pour un vaccin expérimental modifiant la génétique et des verrouillages qui s’ensuivent dans le monde entier, notamment Bill Gates et le pape François, sont à l’origine de la grande réinitialisation du Forum économique mondial de Klaus Schwab et de sa folie verte zéro carbone de l’Agenda 2030 des Nations unies, afin de faire accepter au monde des mesures économiques draconiennes sans précédent.

Pour ce faire, il faudra que la population soit docile et physiquement faible, ce que le professeur de psychologie belge Mattias Desmet et le Dr Robert Malone appellent la psychose de formation de masse, une psychose de foule, une sorte d’hypnose de masse qui ignore la raison. Il est clair que le mythe du réchauffement climatique et l’agenda de la pandémie de coronavirus nécessitent tous deux une telle hypnose de masse – un « délire populaire extraordinaire ». Sans l’hystérie de peur du Covid, nous n’aurions jamais permis à l’agenda vert d’aller si loin que nos réseaux électriques sont au bord du black-out et nos économies au bord de l’effondrement. Le but ultime de la pandémie de Covid de l’OMS et de l’Agenda vert est une marche vers la Grande Réinitialisation dystopique de Schwab de l’ensemble de l’économie mondiale au profit d’une dictature d’une poignée de sociétés mondiales comme BlackRock ou Google-Alphabet.

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Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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4 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

NOFX_IATO

otan-terroriste