Démonter le colonialisme ensemble, pierre par pierre…

Une analyse d’Andrew Gavin Marshall à laquelle nous adhérons à 100%. Prendre conscience de notre histoire coloniale, du mal que nous avons causé au monde et prendre la main tendue par les populations natives que nous avons opprimées et que nous continuons à opprimer par notre impérialisme de tous les instants, pour lutter ensemble, solidairement contre l’oligarchie, qui nous l’avons dit ici même à maintes reprises (1 et 2), nous opprime de la même manière, mais pas (encore) avec la même intensité que les nations occupées (Amériques) ou toujours sous influence (Afrique, Asie).

Union, compassion, solidarité, égalité pour une liberté universelle ! C’est la seule voie pour un futur progressiste !

— Résistance 71 —

 

Un bref message aux Canadiens: Faites-vous une raison !

 

Andrew Gavin Marshall

 

1er Août 2013

 

url de l’article original:

 

http://andrewgavinmarshall.com/2013/08/01/a-brief-message-for-canadians-get-over-it/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 –

 

Canadiens ! Ayez honte de cet article paru dans un quotidien qui produit sa diarrhée pour “le débat public” de ce pays: une diatribe haineuse, ignorante, arrogante, idiote et raciste, qui demande aux peuples indigènes “de se faire une raison”, se référant au racisme d’état, au génocide et à l’impérialisme, qui ont toujours lieu aujourd’hui.

Naomi Lakritz a écrit un papier dans le quotidien du Calgary Herald le 31 Juillet, disant que les peuples des nations premières “doivent arrêter de blâmer le passé” pour les circonstances dans lesquelles ils vivent aujourd’hui, parce qu’ils “n’ont personne d’autre à blâmer qu’eux-mêmes”. Les nations autochtones, suggère Lakritz, doivent arrêter de porter le “manteau de la victimisation” et au lieu de cela “commencer à entrevoir le concept de la responsabilité individuelle”. En d’autres termes: “Faites-vous une raison !”

Non, au lieu que les Canadiens reconnaissent leur histoire en tant que nation, la destruction violente, l’exploitation, la domination, le meurtre et la discrimination, exercés contre les peuples indigènes de la terre que nous avons envahie et occupée, cette “journaliste” pense donc que les peuples autochtones devraient “arrêter de blâmer leur histoire”.

Ils ne blâment pas leur histoire: ils ne font que pointer vers leur histoire afin que nous puissions mieux apprendre la notre. Nous avons une histoire “commune” et elle nous a mené au présent. Si nous, Canadiens, avions de fait regardé notre histoire et tracé son évolution jusqu’au moment présent, nous aurions compris que notre histoire “coloniale” s’est maintenant transformée dans le présent de l’état-capitaliste moderne et impérialiste. Nos injustices historiques, imposées aux peuples indigènes, ont une incarnation moderne: le système de domination, d’exploitation, de ségrégation, de discrimination et oui… de génocide, continue aujourd’hui. (mettre ici le lien de la traduc de son dernier article)

Si nous apprenions tout cela, nous voudrins sans doute changer les choses. Nous pourrions développer cette choses appelée “compassion”, qui peut mener à quelque chose appelée “solidarité”. Ce sont des caractéristiques très humaines, et je comprends qu’elles puissent être un défi au sein d’une société grandement déshumanisée ; mais rappelez-vous, nous avons une histoire commune et nous partageons le présent. Nos histoires sont étroitement imbriquées et inter-dépendantes, ainsi le sont nos futurs respectifs.

Nous pourrions faire attention au fait que les peuples autochtones, non seulement au Canada, mais dans le monde entier, se révoltent contre la destruction rampante et accélérée de leur environnement, qui mènera l’espèce humaine à l’extinction. Les peuples natifs sont au front de la lutte mondiale contre l’extinction de l’espèce humaine et de la conservation de l’environnement sur la terre où nous vivons. Si nous regardons tout cela, nous pourrions en fait les rejoindre en ce combat.

Au lieu de cela, nous lisons des articles de presse comme ce tout-à l’égoût sus-mentionné, un avortement intellectuel, publié dans le Calgary Herald, the Province, le Victoria Times-Colonsit et le Edmonton Journal. Intéressant au passage de noter que les deux provinces de Colombie Britannique et d’Alberta où les peuples autochtones sont fermement engagés contre la destruction de l’environnement, sont les mêmes provinces où cet “article” a été publié dans la presse écrite de masse, diffusée dans les quatre plus grands centres par leur population (NdT: Vancouver et Victoria pour la Colombie Britannique, Calgary et Edmonton pour Alberta, Alberta qui est LA province de l’exploitation des sables bitumeux et où les compagnies pétrolières font leurs choux gras…)… juste au cas où vous voudriez avoir une “bonne” idée.

Les médias propriétés des entreprises du Canada ne voudraient pas cela n’est-ce pas ? Pas lorsque les entreprises qui possèdent toutes ces agences médiatiques, journaux et autres, comme la plus grande entreprise de journaux du Canada, Postmedia Network, a un comité directeur qui se gorge des bénéfices et du pouvoir rapportés par la destruction même de l’environnement, siégeant dans de multiples comités directeurs de banques et d’entreprises d’énergie et pétrolières.

Prenons par exemple Jane Peverett, qui siège au comité directeur de Postmedia Network, Jane siège également aux comités directeurs de la banque CIBC, de l’entreprise Northwest Natural Gas et Encana, une entreprise majeure de distribution d’énergie. Aussi récemment qu’en Novembre dernier, un groupe autochtone de Colombie Britannique agissait contre la construction d’un pipeline important, pipeline en partie propriété d’Encana.

Je ne reporte pas le blâme sur Jane pour cet article, je pense que l’auteur est à blâmer. Mais Jane et ses compatriotes qui s’assoient dans les comités directeurs du système médiatique le plus hautement concentré du canada, maintiennent et utiisent une influence suffisante sur l’institution médiatique qui fait la promotion d’articles comme celui-ci et qui contribue à forger “l’opinion publique”, alors que tout ce qu’il fait n’est que la promotion de l’ignorance, de la propagande, de la passivité et qu’il protège les intérêts des puissants qui en sont les propriétaires. C’est une fonction institutionnelle. Jane n’est qu’un rouage d’un système plus complexe, tandis que Naomi Lakritz n’a que peu de connaissance.

C’est de la propagande institutionnelle. Tout comme la discrimination, l’exploitation, la domination et la destruction des peuples autochtones sont institutionnelles à notre société. Pour une population qui lutte couramment contre les ravages infligés à l’environnement par les prédateurs économiques, sans parler de leur survie, leur dire de “se faire une raison”, est une autre manière de leur dire: “”mourrez” et parce que la lutte est contre l’extinction de notre espèce si nous continuons sur ce chemin, dire “faites vous une raison” c’est aussi dire: “nous allons tous mourir, mais je ne veux rien faire contre… et vous ne devriez pas non plus.”

Alors à tous ces Canadiens qui pensent que l’article a présenté un “argument raisonnable” (et je sais que vous existez), et à tous ces Canadiens qui pensent que les autochtones devraient “arrêter de blâmer l’histoire”, prenez de la graine de votre propre conseil: faites-vous une raison. Apprenez votre histoire, connaissez le monde dans lequel vous vivez, trouvez vos frères et vos sœurs et rejoignez-les dans la lutte pour sauvegarder notre espèce et la planète sur laquelle nous vivons.

Quand nous en arrivons à avoir des gens comme cette Naomi Lakritz du Calgary Herald qui rabaisse le débat public, ou plutôt maintient ce débat dans les profondeurs abyssales, il devient vraiment temps que nous nous projetions au delà de tout cela. Naomi Lakritz pense également que le joint est “une drogue dangereuse” et que sa légalisation est une “très mauvaise idée” (parce qu’une fois de plus, faites-vous une raison sur l’histoire, n’apprenez rien, restez ignare! ) et qui (surprise, surprise…) a des problèmes avec les immigrants et, cerise sur la gâteau: veut que ceux-ci “laissent leur histoire à la maison” quand ils viennent au Canada… la nation sans histoire apparemment…

Les tentatives détraquées de Lakritz afin de soutenir le statu quo sur les sujets d’injustices ne peuvent pas être laissées à ce niveau de débat dans un pays qui porte le titre de “pays le mieux éduqué au monde”. Il serait grand temps de commencer à le faire sentir. Il est temps alors d’arrêter d’écouter les Lakritz et consorts, autres “rebelles contre la rationalité” et de COMMENCER à sérieusement écouter les nations indigènes, qui ont beaucoup de choses qu’ils essaient de nous enseigner au sujet de notre pays et qui nous montrent certaines façons qui aideront à le changer pour le mieux.

Ceci n’est que notre destin en tant que peuple, espèce et la planète sur laquelle nous vivons… Tout ceci est en grand danger… Faites-vous une raison !

 

13 Réponses to “Démonter le colonialisme ensemble, pierre par pierre…”

  1. Démonter le capitalisme pas à pas, car le colonialisme ne semble faire référence qu’à une époque, alors que le capitalisme englobe toutes les formes de soumission.

    Le capitalisme démolit les sociétés dans toutes ses dimensions et rien en lui échappe desormais, car la complicité dont il bénéficie dans toutes les sphères de la société , de toute la galaxie politique, de toute la médiasphère cette dernière confisquant même la pensée, car entend on ce qui se dit aux USA dans les réseaux sociaux ou en Angleterre ! non il y a la voix Obama et rien d’autre !

    Et de la passivité des masses !

    je disais récemment malgré les forces d’opposition aux OGM que Monsanto continuerait à oeuvrer contre l’Europe, puisqu’il couvre toute la planète, avec les relais qu’il a en Sygenta, Bayer et c’est aussi le cas pour le gaz de schiste.

    les gouvernements n’ont plus le moindre pouvoir contre ces prédateurs !

  2. La colonisation économique est la plus grave : la dépendance alimentaire est le dernier créneau à conquérir pour les multinationales.

    Or la reconquête de notre autonomie passe par la reconquête de nos territoires et de notre alimentation.

    j’ai lu récemment que des petits producteurs locaux de cultures maraichères avaient mis en pratique ce type de solution 1 à plusieurs ha convertis en cultures maraichères et en plus de vendre leurs légumes et fruits, ils échangeaient leurs productions avec le fromager, le boulanger et le boucher et c’est comme cela que nous partirons à la reconquête de ces villages qui recréeront de l’acitivté, une activité en récréant d’autres et la pratique de l’échange entre producteurs, lors des récoltes d’entr’aide pour les diverses cultures fraises, tomates, haricots verts et pas besoin d’aller chercher une main d’oeuvre immigrée qu’on maltraite ou alors à doses homéopathiques, entr’aide également pour toutes les petites infrastructures qu’il ya à ajpouter lorsque ‘on commence à commercialiser ses produits y compris dans la construction ou la réhabilitation de locaux, granges etc.

    En plus des jardins familiaux, jardins collectifs il y a cette possibilité, en redonnant de l’activité à chacun et non en maintenant des systémes de redistribution de nourriture et d’allocations, ou alors de manière marginale.

    • La colonisation politico-économique ne peut pas s’effectuer sans la colonisation des esprits… A la fois ceux des peuples colonisés et ceux des peuples « colonisateurs » (entre guillements car en fait la colonisation n’est le fait que de la volonté d’une « élíte » auto-proclamée et non pas celle des peuples…).
      C’est pourquoi nous disons que nous sommes tous colonisés par le 0,0001% des oligarques et leurs sbires idiots utiles…

  3. « En refusant d’abord d’avaliser des propositions sur la transition énergétique, puis en combattant un projet de loi sur les coopératives et un autre sur la cession des sites par les grands groupes industriels, il s’oppose, décomplexé.

    La gauche sait désormais qu’elle doit affronter un monde patronal qui ne veut plus céder en rien, ni sur rien. Pas question d’accepter une politique écologiste ambitieuse. Ni de tolérer la concurrence d’un autre modèle de propriété des entreprises. Ni de céder sur le droit de l’actionnaire de fermer les usines, même quand cela provoque des drames sociaux.  »

    Voilà le programme du nouveau patron du Medef : Gattaz, ce qui veut dire que les ennemis des peuples sont clairement identifiés et à côté de lui, la FNSEA, qui après avoir coulé l’agriculture et l’avoir mis entre les mains de l’agro industrie, milite pour l’introduction des OGM vent debout et l’exploitation du gaz de schiste, alors que 80% de la population y sont opposés.

    • Tous les « syndicats » ou forces de représentation sont des traitres à la nation et devront être tenus comme tels… Toute institution, rouage du système est fait pour contrôler et torpiller la liberté du peuple et l’asservir à l’oligarchie… En cela nous ne le dirons jamais assez:
      IL N’Y A PAS DE SOLUTION AU SEIN DU SYTEME…
      Il n’y en a jamais eu et il n’y en aura jamais.
      Rien ne changera tant que ceci ne sera pas profondément ancré dans les esprits de suffisamment de personnes pour faire basculer une fois pour toute la tendance vers le véritable progressisme.
      Il n’y a rien à attendre des institutions et de ceux qui les pilotent, elles n’ont jamais fait partie de la solution, mais bien au contraire, ont toujours fait partie du problème.
      Nous payons aujourd’hui pour avoir ignoré cela pendant des décennies.

      Il n’est pas trop tard, rien n’est inéluctable ! (sauf la mort… pour l’heure…)

  4. Le changement tout le monde y participe et chacun à sa manière et on sait bien maintenant que les pouvoirs ne changeront rien, tellement ceux qui dominent ont vérouillé. On le voit bien avec les OGM et le gaz de schiste et ils reviennent toujours à la charge et si on note la marginalisation des lanceurs d’alerte, il y a beaucoup moins d’experts pour les défendre, ce qui prouve bien que par intérêt, en voulant se construire une notoriété, ils ne peuvent se mettre à dos l’ensemble de la société, car c’est le contraire qu’ils obtiendront en étant stigmatisé et montré du doigt dans les réseaux sociaux.

    par contre le sphère médiatique, elle ne bouge pas, prise en mains par les industriels.

    Alors si le soutien aux industriels diminue, il faut bien en créditer, ceux qui en sont les auteurs.

    Quand aux partisans de l’auto gestion, ils sont extrêmement peu nombreux, aussi divisés que l’est l’ensemble de la société, se recrutant parmi les intellectuels en chambre et fort peu sur le terrain à expérimenter leurs propositions, souvent fonctionnaires et je ne vois pas aujourd’hui en quoi ils pesent sur la société et feront avancer leur projet, dans l’environnement qui est le notre, rien à voir avec les années 50 ou le début du siècle où beaucoup d’expériences étaient possibles et les liens entre les gens tous autres.

    • oui, juste en bien des points… Nous pensons que l’autogestion s’expérimentera d’elle-même le moment venu, c’est à dire quand plus rien ne fonctionnera… Elle n’est pas une élucubration d’intellectuels, elle est… c’est tout… elle a fonctionné et fonctionnera avec l’adaptation qu’elle demande dans les différentes communautés.
      C’est par l’expérience et l’exemple qu’elle se propagera, et ceux qui sont le plus à même de nous montrer et de nous faire expérimenter cette voie aujourd’hui sont les sociétés traditionnelles qui ont survécues à la colonisation et aux tentatives incessantes de destruction.
      Il viendra un moment où pas mal de choses vont singulièrement se clarifier…

  5. les sociétés traditionnelles, on nous apprend à les mépriser ainsi que les pauvres à qui on alloue des allocations pour les écarter du marché du travail, marché que se partage 2 oligarchies, alors que ces pauvres pourraient bénéficier de quelques journées pour les maintenir dans le marché de l’emploi.

    On précarise les artisans en leur imposant des contrats draconiens qui les pousse à embaucher des gens au noir. la réalité, c’est celle là !

    Alors croire que tout cela va se transformer par magie, je n’y crois guère : je crois à une anarchie et à une précarisation croissante !

    • pas une « anarchie »… un chaos… soyons précis. l’anarchie est le contraire du désordre et du chaos, attention de ne pas tomber dans la terminologie oligarchique, ils ont bien travaillé à brouiller les cartes et à falsifier la terminologie pour la simple et bonne raison que les oligarques ont PEUR du simple concept de la société anarchiste, ils savent que c’est la fin immédiate de leur paradigme et de leurs privilèges parasitaires.
      Rien n’arrivera « par magie », c’est évident: éducation, action solidaire, boycott, contre-pouvoir autogestionnaire, solidarité, pratique, c’est un tout qui s’est déjà pratiqué, à grande échelle, et se pratiquera encore à plus grande échelle.
      L’Idée anarchiste, passe par les 3 stades de la vérité selon Schopenhauer.
      La peur cantonne les oligarques en phase 2 (la lutte) il en va de la survie de leur paradigme, les peuples eux, pour la plupart, passeront de la phase 1 (moquerie) à la phase 3 (évidence) sans beaucoup de réticence lorsque la fenêtre d’opportunité s’ouvrira…

    • Caligula Says:

      Les choses changent, petits à petit. Je suis d’Auvergne, et je pourrais vous citer les noms d’agriculteurs qui vendent leur production – fromages, légumes… – en direct, que ce soit sur les marchés, ou à la ferme. J’ai discuté avec des habitants de Clermont-Ferrand, et je peux vous dire que beaucoup sont intéressés par les commerces agroalimentaires de proximité. Alors certes, ce n’est pas tout à fait de l’autogestion, mais l’idée a commencé à prendre, même si pour le moment c’est en relation avec la crise et les problèmes de malbouffe…L’alimentation est la base de tout, elle aidera à faire bouger les choses, si ce n’est pas elle qui déclenchera le processus.

      En ce qui concerne les grandes entreprises, les politiques et autres collusions/collisions, voici une info sur l’avenir économique de la France:

      http://www.romandie.com/news/n/_Total_veut_transferer_a_Londres_sa_tresorerie_et_sa_communication_financiere16050820131841.asp

  6. C’est ce commerce là qui va changer la donne et recréer de l’emploi local,

    Mais l’emprise des grosses sociétés est toujours en cours : regroupement des laboratoires, regroupement des ambulanciers dans les petites communes par rachat de ces activités et rattachement de ces activités sur plusieurs communes, par un groupe central sont encore des exemples.

  7. @ Emma & Caligula

    A un moment donné, la désobéissance civile sera de mise, car il faudra que les agriculteurs et les artisans/ouvriers, et les PME ou équivalent se démarquent totalement des institutions et refusent le système pour tourner en parallèle… L’autogestion se généralisera localement, puis dans les centres industriels (ou ce qu’il en reste), la saisie des usines par les ouvriers et leur fonctionnement autogestionnaire deviendra une évidence.
    Boycott et désobéissance civile seront les outils de base pour établir l’autogestion, car celle-ci ne pourra pas s’établir efficacement au sein du système, celui-ci n’étant que contrôle et oppression oligarchique… Cela devient de plus en plus évident pour de plus en plus de personnes. Le nouveau paradigme ne s’appellera pas « anarchisme », mais qu’importe ! Les concepts seront identiques, peu importe le nom qu’on lui donne…

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