Escroquerie COVID : les injections ARNm expérimentales produisent une protéine « spike » persistante à l’origine de caillots sanguins, d’inflammations cardiaques et de cancers (Dr Ryan Cole)

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Mort et destruction programmées

Note de R71 : concernant l’injection de Johnson & Johnson mentionnée dans l’article, certaines précisions importantes sont apportées en commentaires sous l’article, veuillez vous y référer pour une information critique plus complète…

Les injections à ARNm produisent une protéine spike persistante probablement à l’origine de caillots sanguins, d’inflammations cardiaques et de cancers

Dr Ryan Cole sur l’Epoch Time

22 avril 2022

Source de l’article en français:
https://www.mondialisation.ca/les-vaccins-a-arnm-produisent-une-proteine-spike-persistante-probablement-a-lorigine-de-caillots-dinflammations-cardiaques-et-de-cancers/5667561

Selon le Dr Ryan Cole, les vaccins à ARN messager produisent une protéine spike persistante qui peut gravement endommager la santé du receveur, entraîner des coagulations inhabituelles, des inflammations cardiaques ou des cancers.

Les vaccins Covid‑19 de Pfizer et Moderna sont les seuls vaccins à ARNm approuvés ou autorisés pour une utilisation de rappel aux États‑Unis. Les vaccins Covid‑19 de Johnson & Johnson utilisent un vecteur viral, soit la version modifiée d’un virus, pour ordonner aux cellules de fabriquer des anticorps.

Le Dr Cole est un pathologiste qui dirige un laboratoire depuis 18 ans. Il a examiné, sans les rencontrer mais en étudiant leurs échantillons au microscope, près de 500 000 patients au cours de sa carrière.

« [Avec] un ARNm normal, les cellules produisent des messages tout au long de la journée (…) l’ARNm se décompose généralement en quelques minutes, voire en une heure ou deux. L’ARNm ne devrait pas persister », explique le Dr Cole dans l’émission Facts Matter d’EpochTV (en parallèle du sommet mondial sur le Covid à Houston, au Texas, le 8 avril).

L’ARNm, explique le Dr Cole, est un messager envoyé par l’ADN qui ordonne à la cellule de fabriquer une certaine protéine pour engendrer différents types de réactions physiques.

« Mais quand vous introduisez cette pseudouridine synthétique [dans votre corps], le corps ne sait pas quoi en faire. Il la regarde et dit : ‘Hmm, je ne sais pas quoi faire. Donc, je ne vais pas la décomposer.’ Elle échappe à ce processus de destruction, elle échappe aussi à une réponse immunitaire. Elle affaiblit également notre système immunitaire, ce qui n’est pas bon car d’autres choses ‑ cancers, virus ‑ peuvent se réveiller. »

Le Dr Ryan Cole dans une interview accordée à Epoch Times lors du sommet mondial Covid-19 à Houston, au Texas, le 8 avril 2022. (York Du/Epoch Times)

Dans une interview accordée au mois de février pour EpochTV, le Dr Cole a affirmé avoir constaté une augmentation du nombre de cancers qui n’avaient pas lieu d’être. Il a également remarqué une augmentation et une persistance des facteurs de coagulation après la vaccination. Cependant, lorsqu’il a fait part de ses inquiétudes, aucune agence gouvernementale n’a voulu se pencher sur cette observation.

Actuellement, le Dr Cole effectue près de 40 000 biopsies par an.

Le point de vue du Dr Cole rejoint celui du Dr Robert Malone, souvent présenté comme l’inventeur de la technologie des vaccins à ARNm. Dans un article publié par Epoch Times le 11 avril, le Dr Malone affirme que l’ « ARNm » des vaccins Pfizer et Moderna n’est pas vraiment de l’ARNm. « Ces molécules possèdent des éléments génétiques similaires à ceux de l’ARNm naturel, mais sont clairement beaucoup plus résistantes aux enzymes qui dégradent normalement l’ARNm naturel. Elles sont capables de produire des niveaux élevés de protéines pendant des périodes prolongées et semblent échapper aux mécanismes immunologiques normaux d’élimination des cellules. Elles produisent des protéines étrangères que nous n’observons pas dans le corps habituellement. »

Selon le Dr Joseph Mercola, médecin ostéopathe, la protéine spike des vaccins Covid‑19 est à l’origine de graves lésions organiques.

« La science a démontré que ce n’était pas le virus qui causait des lésions endothéliales à l’origine de lésion organiques, telles que constatées dans le cœur, le foie et les reins des patients atteints du Covid‑19. En fait, c’était la protéine spike, qui était aussi injectée dans le cadre d’un programme de thérapie génique », a écrit le Dr Mercola dans un article récent.

Certaines études ont montré que la protéine spike induite par le vaccin persiste dans le corps humain, explique le Dr Cole, mais « nous n’avons aucune idée de combien de temps persiste cette séquence synthétique ».

Une étude réalisée à Stanford par Katharina Röltgen et d’autres a montré que la séquence synthétique persiste pendant au moins 60 jours. Une étude menée à Harvard par Alana Ogata et d’autres a montré que la protéine spike pouvait circuler pendant des semaines.

Le Dr Cole évoque un professeur allemand, le Dr Arne Burkhardt, ayant montré dans une étude portant sur des autopsies que la protéine spike pouvait persister dans le corps humain pendant 128 jours.

« Et la [protéine] spike que les [vaccins à ARNm] produisent induit des changements pathologiques dans le corps. Elle peut provoquer la formation de caillots », poursuit le Dr Cole. « Nous voyons ces jeunes gens mourir de caillots, de micro‑caillots, pas des caillots normaux. Il s’agit d’un type unique de caillot qui persiste, prive le corps d’oxygène, étouffe des parties du corps, enflamme le cœur, provoque des crises cardiaques, des accidents vasculaires cérébraux, des cancers chez les jeunes… Des choses inhabituelles qui ne devraient pas se produire et qui sont probablement liées à une séquence synthétique, génétiquement modifiée, que nous avons introduit dans les corps de milliards de personnes. »

Selon le Dr Cole, nos cellules disposent de mécanismes de réparation de l’ADN, mais l’ADN ne peut pas se réparer lorsque la protéine spike pénètre dans le noyau des lymphocytes T, un des principaux globules blancs jouant un rôle central dans le système immunitaire.

« Une étude réalisée en Suède le montre », continue‑t‑il, faisant référence à une étude récente montrant que l’ARNm du vaccin Covid‑19 de Pfizer peut pénétrer dans les cellules du foie humain et être converti en ADN à l’intérieur du noyau. « Désormais dans la cellule, l’ADN ne peut plus être réparé. La cellule va donc faire une des deux choses suivantes : soit elle va s’autodétruire, c’est ce qu’on appelle l’apoptose, soit elle va muter. Elle se transforme en une cellule maligne atypique. »

« Donc, concernant cette question également, la suppression immunitaire due à la [protéine] spike (à cause de la pseudouridine) modifie le type de récepteurs sur les cellules », explique le Dr Cole, ajoutant que ces récepteurs pouvaient permettre aux lymphocytes T de lutter contre toutes sortes de virus.

« À présent, vous n’avez plus de système de défense. Cette cellule cancéreuse peut envahir la paroi. Cet agent pathogène peut envahir la paroi parce que votre système immunitaire a été détruit à un degré qui rend cela est possible. Quand cela va‑t‑il s’arrêter ? On ne le sait pas. Comment l’inverser ? On l’ignore. Est‑ce que ça arrive à tout le monde ? Non, Dieu merci. Est‑ce que ça arrive à un degré qui peut être alarmant ? Bien sûr. »

Une étude publiée le 15 avril a également révélé que les vaccins à ARNm « favorisent la synthèse soutenue de la protéine spike du SRAS‑CoV‑2 » et que « la protéine spike est neurotoxique et entrave les mécanismes de réparation de l’ADN ».

Ni Pfizer ni Moderna n’ont répondu à une demande de commentaires.

Sur leur site Internet, les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC) affirment que les vaccins à ARNm Covid‑19 n’affectent pas l’ADN et n’interagissent pas avec lui, et que l’ARNm et la protéine spike ne subsistent pas longtemps dans l’organisme.

« L’ARNm ne pénètre jamais dans le noyau de la cellule où se trouve notre ADN (matériel génétique), il ne peut donc pas modifier ou influencer nos gènes », indiquent les CDC. « Nos cellules décomposent l’ARNm et s’en débarrassent quelques jours après la vaccination. Les scientifiques estiment que la protéine spike, comme d’autres protéines créées par notre corps, peut rester dans l’organisme pendant quelques semaines. »

Les intérêts communs des gouvernements et de l’industrie pharmaceutique

Selon le Dr Cole, les fabricants de vaccins et les organismes publics de la santé savent depuis le début que les vaccins à ARNm sont problématiques. Ils l’ont dissimulé pour préserver leurs intérêts communs.

« Nous connaissons les problèmes de modulation immunitaire de ce produit depuis 2006, ou du moins depuis la publication de quelques articles », explique le Dr Cole. « Moderna n’avait jamais mis sur le marché de produit à base d’ARNm pour une raison précise. Des essais ont été réalisés sur les troubles génétiques. Ils comptaient utiliser ce moyen pour modifier les gènes. Ça n’a jamais été commercialisé compte tenu des effets secondaires trop nombreux observés sur les animaux. Ils étaient tous au courant. Pfizer était‑il au courant ? Oui. »

« [La Food and Drug Administration (FDA)] est totalement contrôlée par des grandes corporations. Près de la moitié des revenus de la FDA proviennent de l’industrie pharmaceutique », poursuit le Dr Cole. « Les CDC possèdent 57, 58 brevets sur des vaccins… Pensez‑vous qu’ils ont un quelconque intérêt à dire du mal d’un vaccin ? Bien sûr que non. »

« Les [National Institutes of Health (NIH)] détiennent le brevet de la protéine spike et de son séquençage, ils l’ont partagé avec Moderna. Chaque milliard qui rejoint les coffres de Moderna, rejoint également les coffres des NIH. Les intérêts du gouvernement et ceux des corporations se rejoignent‑ils ? Évidemment. »

Epoch Times a contacté la FDA, les CDC et les NIH pour une demande de commentaires.

Selon la fiche d’information de la FDA, pour l’année fiscale 2019, 54 % de son budget a reçu une approbation fédérale. Les 46 % restants, soit 2,8 milliards de dollars, ont été payés par les taxes des industries productrices de médicaments.

Les CDC répertorient sur leur site Web plus de 60 technologies de « vaccins et produits thérapeutiques candidats » pour l’octroi de licences et l’établissement de collaborations. La FDA dispose également de son propre programme de transfert de technologie.

Selon le site Web des NIH : « Chaque année, des centaines de nouvelles inventions sont réalisées dans les laboratoires des NIH et des CDC. Neuf instituts ou centres (IC) des NIH transfèrent les inventions des NIH et des CDC, au moyen de licences, au secteur privé pour qu’il poursuive des activités de recherche et de développement et les commercialise éventuellement. »

Les modèles d’accords de licence montrent que ces agences de santé réclament des redevances pour transférer leurs technologies.

Selon le site d’informations Axios, en mai 2020, Francis Collins, alors directeur des NIH, a déclaré : « Nous avons un intérêt particulier dans la propriété intellectuelle » du vaccin contre le coronavirus de Moderna.

« En discutant avec les entreprises, je n’ai entendu aucune d’entre elles dire qu’elles pensaient que ce [vaccin] permettrait de gagner de l’argent », poursuivait le Dr Collins. « Personne ne voit cela comme un moyen de gagner des milliards de dollars ».

 Donc, personne ne va faire des choix qui le priveraient d’un emploi dans ces agences », poursuit le Dr Cole. « En refusant leur utilisation, les taxes qui découlent de leur utilisation ou [les bénéfices qui découlent] de la vérification des médicaments de toutes ces grandes corporations, ils n’auront pas assez de revenus pour faire fonctionner leur agence non plus. C’est vraiment une situation paradoxale perdant‑perdant. »

« Vérité plus transparence égale confiance », poursuit le Dr Cole. Or, les agences gouvernementales sont en train de « détruire la confiance » du public à leur égard.

Même le New York Times, qui penche à gauche, a récemment rapporté que les CDC dissimulent des données essentielles sur le Covid‑19 concernant les rappels, les hospitalisations et autres analyses.

S’il avait été aux commandes, le Dr Cole aurait géré la crise du Covid conformément à la déclaration de Great Barrington.

« Nous protégeons les personnes vulnérables. Nous savions dès le début qui allait être affecté. Nous gardons les écoles grandes ouvertes. Nous n’enfermons personne. Nous nous concentrons sur les traitements précoces. Nous savions depuis le SRAS Covid‑1 que les chloroquines fonctionnent contre cette famille de virus. Nous nous tournons vers les anciens médicaments réadaptés comme nous le faisons toujours pour toute nouvelle maladie émergente. Nous traitons rapidement. Nous reconnaissons ceux qui sont guéris du Covid grâce à leur immunité naturelle. Et nous ne faisons pas ce que nous avons fait. Il ne faut jamais laisser un remède devenir plus dangereux que la maladie elle‑même. »

La source originale de cet article est The Epoch Times

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Lire notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité »

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11 Réponses to “Escroquerie COVID : les injections ARNm expérimentales produisent une protéine « spike » persistante à l’origine de caillots sanguins, d’inflammations cardiaques et de cancers (Dr Ryan Cole)”

  1. L’article a faux sur les adénovirus

    les adénovirus transforment avant tout les cellules en usines à protéines spike toxiques

    preuve citation:
    Johnson Johnson du labo Janssen citation: « The Johnson & Johnson vaccine is based on the virus’s genetic instructions for building the spike protein »

    https://cvvr.hms.harvard.edu/how-the-johnson-johnson-vaccine-works/

    et ensuite le corps émet des anticorps contre les cellules créant des maladies auto immunitaires, et aussi l’ADE( Antibody-Dependant Enhancement) ou facilitation de l’infection par des anticorps , quand les anticorps facilitent l’entrée des méchants à l’intérieur des cellules.

    il est possible qu’il rajoute des anticorps artificielles à la soupe génique

    mais la fonction des adénovirus c’est de transformer les cellules en usines à protéine spike

    cet article est un double agent du NWO qui cherche à faire de la publicité sur les adénovirus alors que ce sont des OGM aussi nocif que les ARNm transformant les cellules en usines à protéines spike toxiques

    • on ne comprend pas ta critique… Où parle t’il d’adénovirus ? En quoi l’article à tort ? Faire de la « pub pour les adenovirus » ?… Agent du NWO ? aucune idée de ce que tu avances… précisions ?…

      • l’article dit que le vaccin johnson johnson produit uniquement des anticorps et ne transforme pas les cellules en usines à protéines spike

        et cela est faux

        ils parlent de virus modifié mais ne précisent pas qu’il s’agit en d’adénovirus, et que le virus modifié adénovirus transforme les cellules en usines à protéines spike

      • c’est ce passage là qui est faux:
         » Les vaccins Covid‑19 de Johnson & Johnson utilisent un vecteur viral, soit la version modifiée d’un virus, pour ordonner aux cellules de fabriquer des anticorps. »

        le vecteur viral adénovirus du vaccin Johnson johnson transforme les cellules en protéines spikes tueurs

        preuve ici
        preuve citation:
        Johnson Johnson du labo Janssen citation: « The Johnson & Johnson vaccine is based on the virus’s genetic instructions for building the spike protein »

        https://cvvr.hms.harvard.edu/how-the-johnson-johnson-vaccine-works/

        Il nous dénonce les dangers de l’ARNm pour en échange faire la pub des vaccins Johnson en omettant de dire qu’il s’agit d’adénovirus pouvant transformer les cellules en protéines spike toxiques

        c’est ce que l’on appelle le travail d’un agent double du NWO

        • On pense qu’il veut simplement dire qu’il fonctionne différemment, il n’en fait pas la promotion… Faudrait aussi voir le texte original en anglais.
          Le Dr Cole a été viré du service hospitalier où il travaillait dans l’Idaho pour ses vues divergentes sur le COVID et aussi pour avoir prescrit de l’ivermectine à des malades. Il a été viré début décembre 2021. Pas vraiment le profil d’un faux-nez du N.O.M… 😉

          • Il ne fonctionne pas différemment vu que les vaccins adénovirus transforment les cellules en usines à protéines spike
            c’est écrit noir sur blanc ici
            « The Johnson & Johnson vaccine is based on the virus’s genetic instructions for building the spike protein »

            https://cvvr.hms.harvard.edu/how-the-johnson-johnson-vaccine-works/

            même s’il a été viré, il est toujours en vie
            pas comme d’autres qui ont été tués…
            Et il n’a pas perdu son diplome et peut toujours exercer.

            Il fait croire que ce vaccin fait produire des anticorps, alors qu’en réalité, cela produit des protéines toxiques

            c’est de la fausse information

            fausse information = double agent du NWO

            et il devrait s’y connaitre vu que les vecteurs viraux comme il dit, et qu’il cherche outrageusement à faire passer pour des vaccins traditionnels, sont utilisés en thérapies géniques

            d’ailleurs il évite soigneusement de parler d’adénovirus, car tout le monde sait que le vecteur viral adénovirus est utilisé en thérapie génique OGM

            or l’adénovirus est utilisé dans le vaccin Johnson Johnson c’est marqué noir sur blanc ici
            https://www.nbcnews.com/health/health-news/key-component-j-j-vaccine-could-explain-risk-extremely-rare-n1263939

  2. C’est précisément à cause de ces agents doubles qui font passer faussement les vaccins adénovirus johnson, et cie comme des vaccins traditionnels faisant uniquement des anticorps, et omettant soigneusement de dire que ce sont des thérapies géniques transformant vos cellules en usines à protéines spike, que des gens naifs croyant les agents doubles prennent le vaccin johnson et se font tuer.

    Des américains et anglophones sont morts en prenant le vaccin johnson parce qu’ils ont cru à cet article que le vaccin johnson serait un vaccin traditionnel produisant uniquement des anticorps

    et en le traduisant en français, on prend la responsabilité que des français prennent le vaccin johnson en croyant naivement aussi qu’il s’agit d’un vaccin inoffensif faisant produire uniquement des anticorps, alors que le vaccin johnson n’est pas plus un vaccin que l’ARNm de Pfizer ou Moderna, c’est une thérapie génique transformant vos cellules en usines à protéines spike qui vous tuent.

    Donc son licenciement, il ne l’a pas volé. D’ailleurs je doute que son licenciement lui soit défavorable.
    Vu sa publicité du vaccin johnson ( ne pas dire que Johnson est une arme biologique à protéine spike et dire en plus qu’il ne produit que des anticorps revient à en faire de la publicité car c’est faire passer le Johnson pour un vaccin normal ce qu’il ne l’est pas, donc une fausse information= publicité) il a secrètement investi dans les vaccins adénovirus, donc même s’il est licencié il continue à gagner du pognon grâce à ses actions dans Johnson, grâce aux naifs qui ont cru à son article et se sont lancé dans l’achat de Johnson.

    S’il a mis 10 000 euros de côté, il peut acheter un stock d’actions de Johnson, et gagner 0.1% de 10 000 euros, et donc gagner 10 euros à chaque fois qu’un type croit à son article et va se piqouzer Johnson

    donc il peut devenir millionaire et rien foutre grâce à son article si des millions d’anglophones et maintenant francophones se lancent là dedans

    https://brokerchooser.com/education/stocks/how-to-buy-johnson-johnson-shares

    voilà pourquoi toujours critiquer adénovirus et ARNm en même temps

    ou parler uniquement de l’un ou de l’autre

    mais pas parler d’ARNm et dire que les adénovirus ou vecteurs viraux ne font que des anticorps, les faire passer ainsi pour des vaccins normaux, et pousser les gens à se faire tuer

    morts causés par les faux vaccins Johnson armes biologiques
    https://www.nbcnews.com/health/health-news/complications-johnson-johnson-covid-vaccine-caused-oregon-womans-death-rcna18200
    https://edition.cnn.com/2021/10/05/health/washington-blood-clot-vaccine-death/index.html

  3. pour plus de sécurité vous pouvez ajouter cette info

    le vaccin Johnson n’est pas un vaccin qui fait produire des anticorps c’est un adénovirus qui transforme vos cellules en usines à protéines spike toxiques tueurs

    Thérapies géniques : la « spike » protéine du SRAS-CoV-2 répliquée par l’ARNm ou des vecteurs viraux des pseudo-vaccins est mortifère

    COVID et mensonge… Faux vaccins et vraies thérapies géniques de modification du génome ?

    et des gens en sont déjà morts ou en salle d’urgence à cause de ce faux vaccin
    https://www.midilibre.fr/2021/09/14/covid-19-et-vaccin-janssen-un-nombre-important-dechecs-pointes-du-doigt-par-lansm-9788935.php

    et même nos nazis ont reconnu que Johnson cause des thromboses donc myocardites même veulent continuer sachant les risques

    https://sante.journaldesfemmes.fr/fiches-maladies/2717513-thrombose-covid-19-cas-france-statistique-veineuse-vaccin-astrazeneca-johnson-pfizer-symptomes/

    • merci de toutes ces précisions, nous avons mis une note en tout début d’article pour que les lecteurs se réfèrent à la section commentaire par plus d’info critique concernant l’injection J&J
      Fraternellement

  4. enfin le gouverneur de floride Ron de santis qui fait aussi la pub de Johnson tout en critiquant Pfizer et Moderna et recueillant les témoignages de victimes de Pfizer et Moderna est toujours en poste de gouverneur de Floride
    https://wusfnews.wusf.usf.edu/health-news-florida/2021-03-18/desantis-johnson-johnson-vaccine-shipments-on-hold

    il doit aussi gagner du fric en étant actionnaire de Johnson et faisant faussement croire aux gens qu’il est piqouzé Johnson

    tout comme la fille de Bill Gates fait faussement croire à tout le monde qu’elle est piqouzé Pfizer

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