Brexit… manœuvre de la City de Londres, la véritable « couronne » ??…

Une chose que nous rajouterons ici: Rien ne peut se faire sans l’aval de la City de Londres et sa banque d’Angleterre/Vatican, la fameuse « couronne » de sinistre histoire… Wall Street est une succursale de la City, les décisions de l’empire se prennent à la City. Ce que dit Meyssan dans son analyse est plus que probablement juste, mais la dimension que nous venons de mentionner fait qu’il est aussi plus que probable que l’oligarchie des familles banquières transnationales soit en train de planifier l’implosion de l’empire, la mise au rencard des Etats-Unis qui rétrogradera de position au profit d’une alliance supra-capitaliste entre la City et la Chine, qui est déjà en place depuis les guerres de l’opium au XIXème siècle et se consolide. La question que nous avons déjà posée ici même demuere: quid de la Russie ?… La cabale des banksters prépare un holocauste financier pour mettre le monde à genoux et terminer son verrouillage dictatorial en passant par l’Asie. Il est quand même plus que grand temps pour nous, les peuples, de mettre ces ordures hors d’état de nuire…
~ Résistance 71 ~

 

La nouvelle politique étrangère britannique

 

Thierry Meyssan

 

4 juillet 2016

 

url de l’article original:

http://www.voltairenet.org/article192655.html

 

La presse occidentale ne cesse de le répéter : en quittant l’Union européenne, les Britanniques se sont isolés du reste du monde et devront affronter de terribles conséquences économiques. Pourtant, la baisse du cours de la Livre pourrait être un avantage au sein du Commonwealth, une famille plus vaste que l’Union et présente sur les six continents. Pragmatique, la City pourrait rapidement devenir le centre mondial du yuan et implanter la monnaie chinoise au sein même de l’Union.

Les États-Unis restent inquiets sur leur capacité à convaincre l’Union européenne de participer activement à l’Otan et sur la volonté du Royaume-Uni de poursuivre l’alliance militaire qu’ils ont construit depuis 1941 pour dominer le monde. Car, contrairement aux allégations des dirigeants européens, le Brexit n’isole pas le Royaume-Uni mais lui permet de se retourner vers le Commonwealth et de nouer des contacts avec la Chine et la Russie.

L’embrigadement des Européens dans l’Otan
Les États-Unis et le Royaume-Uni avaient prévu de pousser les membres de l’Union à annoncer l’augmentation de leur budget militaire à 2 % de leur PIB lors du sommet de l’Alliance à Varsovie (8 et 9 juillet). En outre, un plan de déploiement de forces à la frontière russe devait être adopté incluant la création d’une unité logistique jointe de l’Otan et de l’UE, permettant de mettre en commun des hélicoptères, des navires, des drones et des satellites.

Le Royaume-Uni était jusqu’à présent le plus important contributeur de l’Union en matière de Défense avec près de 15 % du budget Défense de celle-ci. En outre, il commandait l’opération Atalante de sécurisation des transports maritimes au large de la corne de l’Afrique et avait mis à disposition des navires en Méditerranée. Enfin, il était prévu qu’il fournirait des troupes pour la constitution du groupe de combat de l’UE. Avec le Brexit, tous ces engagements deviennent caducs.

Pour Washington, la question est de savoir si Londres acceptera ou non d’augmenter son investissement direct dans l’Otan —dont il est déjà le second contributeur— pour compenser ce qu’il faisait au sein de l’UE, mais sans en tirer de profit particulier. Bien que Michael Fallon, le ministre de la Défense britannique actuel ait promis de ne pas saper les efforts communs de l’Otan et de l’UE, personne ne voit pourquoi Londres accepterait de placer de nouvelles troupes sous un commandement étranger.

Par conséquent et surtout, Washington s’interroge sur la volonté de Londres de poursuivre l’alliance militaire qu’il a construite avec la Couronne depuis 1941. Bien sûr, il ne faut pas exclure que le Brexit soit une mise en scène des Britanniques pour renégocier à leur avantage leur « relation spéciale » avec les « Américains ». Cependant, il est beaucoup plus probable que Londres espère étendre ses relations à Pékin et à Moscou sans pour autant lâcher les avantages de son entente avec Washington.

Les agences secrètes anglo-saxonnes

Durant la Seconde Guerre mondiale et avant même leur entrée en guerre, les États-Unis ont conclu un pacte avec le Royaume-Uni explicité par la Charte de l’Atlantique [1]. Il s’agissait pour les deux pays de s’unir afin de garantir la libre circulation maritime et d’étendre le libre-échange.

Cette alliance s’est concrétisée avec l’accord des « Cinq yeux » qui sert actuellement de base à la coopération entre 17 agences de Renseignement de 5 États différents (les États-Unis et le Royaume-Uni, ainsi que trois autres membres du Commonwealth : l’Australie, le Canada et la Nouvelle-Zélande).

Les documents révélés par Edward Snowden attestent que le réseau Echelon dans sa forme actuelle constitue « une agence de renseignement supranationale qui ne répond pas aux lois de ses propres États membres ». Ainsi, les « Cinq yeux » ont-ils pu à la fois espionner des personnalités, comme le secrétaire général de l’Onu ou la chancelière allemande, et conduire une surveillance de masse sur leurs propres ressortissants.

Identiquement, en 1948, les États-Unis et le Royaume-Uni fondèrent une seconde agence supranationale, le Bureau des projets spéciaux (Office of Special Projects) qui commande les réseaux stay-behind de l’Otan connus sous le nom de Gladio.

Le professeur Daniele Ganser a montré que ce Bureau avait organisé quantité de coups d’État et d’opérations terroristes en Europe [2]. Si dans un premier temps, on a relevé que la « stratégie de la tension » visait à prévenir l’arrivée au pouvoir par la voie démocratique de gouvernements communistes en Europe, il est apparu qu’elle visait surtout à alimenter la phobie du communisme et à justifier la protection militaire anglo-saxonne. De nouveaux documents déclassifiés ont montré que ce dispositif existe en dehors de l’Europe pour le monde arabe [3].

Enfin, en 1982, les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Australie créèrent une troisième agence supranationale dont de pseudos-ONG —la NED et ses quatre filiales : l’ACILS, le CIPE, le NDI et l’IRI— forment la partie visible [4]. Elle s’est spécialisée dans l’organisation de coups d’État camouflés en « révolutions ».

Bien qu’il existe une impressionnante littérature sur ces trois programmes, on ignore tout des agences supranationales qui les chapeautent.

La « relation spéciale »

Les États-Unis qui se sont proclamés indépendants en se séparant de la Couronne ne se sont réconciliés avec le Royaume-Uni qu’à la fin du XIXe siècle (le « Grand rapprochement »). Les deux États s’allièrent lors de la guerre contre les Espagnols à Cuba, puis pour l’exploitation de leurs comptoirs coloniaux en Chine. C’est-à-dire au moment où Washington se découvrit une vocation impérialiste. En 1902, un club transatlantique fut constitué pour sceller l’amitié retrouvée, La Société des Pèlerins (The Pilgrims Society). Il est traditionnellement présidé par le monarque anglais.

La réconciliation fut scellée en 1917 avec le projet commun de création d’un État juif en Palestine [5]. Et les États-Unis entrèrent en guerre aux côtés du Royaume-Uni. Depuis lors, les deux États partagent divers moyens militaires, y compris par la suite, la bombe atomique. Cependant, lors de la création du Commonwealth, Washington refusa d’en faire partie se considérant comme l’égal de Londres.

Malgré quelques accrochages lors des attaques britanniques contre l’Égypte (canal de Suez) ou contre l’Argentine (guerre des « Falklands »), ou encore lors de l’attaque états-unienne contre la Grenade, les deux puissances se sont toujours étroitement soutenues.

La Couronne assura le financement du début de la campagne électorale de Barack Obama, en 2008, faisant verser de généreuses contributions via le marchand d’armes irako-britannique Nadhmi Auchi. Lors de son premier mandat, un grand nombre de collaborateurs directs du nouveau président étaient secrètement membres de la Société des Pèlerins, dont la section états-unienne était alors présidée par Timothy Geithner. Mais le président Obama s’en sépara progressivement donnant l’impression à la Couronne qu’elle n’était pas payée en retour. Les choses empirèrent avec ses propos acerbes contre David Cameron à The Atlantic [6] et la visite des époux Obama à la reine Elizabeth II pour son anniversaire n’a pas recollé les morceaux.

Le Commonwealth

En se désengageant de l’Union et en s’éloignant des États-Unis, le Royaume-Uni ne se trouve pas isolé du tout, mais peut à nouveau faire jouer sa carte maîtresse : le Commonwealth.

On a complétement oublié qu’en 1936 Winston Churchill lança l’idée d’incorporer les États actuels de l’Union européenne au sein du Commonwealth. Sa proposition se heurta à la montée des périls et à la Guerre mondiale. Ce n’est qu’après la Victoire que le même Churchill lança l’idée des « États-Unis d’Europe » [7] et convoqua la Conférence du Mouvement européen à La Haye [8].

Le Commonwealth est une organisation de 53 États membres qui n’a de politique qu’en matière de valeurs anglaises de base : égalité raciale, état de droit, droits de l’homme face à la « Raison d’État ». Cependant, elle propose à ses membres de développer les affaires et le sport. En outre, elle met en commun des experts dans tous les domaines.

La reine Elizabeth II, qui est la souveraine de 16 États membres, est le chef du Commonwealth (titre électif non héréditaire).

Que veulent les Britanniques ?

Vu de Londres, ce sont les États-Unis qui ont rompu la « relation spéciale » en cédant à la démesure (hubris) du monde unipolaire et en conduisant seuls leur politique étrangère et financière. Et ceci au moment où ils ont cessé d’être la première puissance économique du monde et la première puissance militaire conventionnelle.

Dès lors l’intérêt du Royaume-Uni est de ne plus placer « tous les œufs dans le même panier » ; de conserver les instruments communs qu’il possède avec Washington tout en s’appuyant sur le Commonwealth et en liant de nouvelles relations avec Beijing et Moscou, soit directement, soit via l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS).

Précisément, le jour du Brexit, l’OCS acceptait en son sein deux membres du Commonwealth, l’Inde et le Pakistan, elle qui n’en comprenait aucun jusque-là [9].

Si l’on ignore tout des contacts que le Royaume-Uni a dû déjà prendre avec la Russie, on peut observer son rapprochement avec la Chine.

En mars dernier, le London Stock Exchange, qui gère les bourses de la City et de Milan, révéla son projet de fusion avec Deutsche Börse, qui gère la Bourse de Francfort, la chambre de compensation Clearstream et l’Eurex. Il était prévu que les deux sociétés décident de l’opération juste après le référendum sur le Brexit. Cette annonce était d’autant plus surprenante que les règlements européens interdisent formellement cette opération qui équivaudrait à créer une « position dominante ». Elle supposait donc que les deux sociétés anticipent la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne.

En outre, le London Stock Exchange annonçait un accord avec le China Foreign Exchange Trade System (CFETS) et devenait en juin la première bourse au monde à coter des bons du trésor chinois. Tous les éléments étaient posés pour faire de la City le cheval de Troie chinois dans l’Union européenne au détriment de la suprématie états-unienne.

 

[1] « Charte de l’Atlantique », par Franklin Delano Roosevelt, Winston Churchill, Réseau Voltaire, 14 août 1941.

[2] Les Armées Secrètes de l’OTAN, Daniele Ganser, Demi-Lune, 2006.

[3] America’s Great Game : The CIA’s Secret Arabists and the Shaping of the Modern Middle East, Hugh Wilford, Basic Books, 2013.

[4] « La NED, nébuleuse de l’ingérence « démocratique » », et « La NED, vitrine légale de la CIA », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 22 janvier 2004 et 6 octobre 2010.

[5] « Qui est l’ennemi ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 4 août 2014.

[6] « La Doctrine Obama », par Jeffrey Goldberg, The Atlantic (États-Unis), Réseau Voltaire, 10 mars 2016.

[7] « Discours de Winston Churchill sur les États-Unis d’Europe », par Winston Churchill, Réseau Voltaire, 19 septembre 1946.

[8] « Histoire secrète de l’Union européenne », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 juin 2004.

[9] « L’Inde et le Pakistan entrent dans le Groupe de Shanghai le jour du Brexit », par Alfredo Jalife-Rahme, Traduction Maria Poumier, La Jornada (Mexique), Réseau Voltaire, 1er juillet 2016.

23 Réponses to “Brexit… manœuvre de la City de Londres, la véritable « couronne » ??…”

  1. J’ai eu le même sentiment en lisant cet article de Meyssan, son analyse est correcte, mais il se place sur un plan que je trouve très curieux. D’abord, personne n’a oublié que le WC voulait renforcer le Commonwealth, et qu’il l’a fait via la création de l’Europe.
    Je trouve en fait, que son analyse rend « crédible » et presque légitime cette haute autorité qu’est la couronne (reste à savoir laquelle).
    J’avoue que je suis perplexe et que je n’arrive pas à démêler tout ça pour le moment…
    Et effectivement, quid de Vlad ?

    • on le saura au moment où le parlement britannique endorsera ou non ce Brexit… s’ils entrent en procédure officielle de sortie de l’UE alrs cela voudra dire que c’est un plan 100% concocté par les banquiers de la City. Il ne faut pas non plus oublier que récemment la City a adoubé la Chine, tout ceci serait un plan de facilitation de fuite et d’intégration de capitaux vers et avec la Chine en partenariat. Les banquiers/banksters sont apatrides, ils se foutent royalement des états-nations, s’ils ont décidé de débrancher Yankland et de réduire l’empire de sa partie « américaine » pour la remplacer par une partie « chinoise », l’affaire est en cours… du reste, ce que découvre l’enquête indépendante sur la disparition des femmes et familles indigènes de la côte ouest du Canada est plus que signifiant: de vastes intérêts d’une néo-colonisation chinoise sont en partie derrière toute cette affaire. La « couronne »/city est en train de revendre les « droits d’exploitation » de la terre native ancestrale à une nouvelle vague coloniale, partie du nouvel empire en construction, celui de la « couronne »/City de Londres et de la Chine.
      Les pièces du puzzle semblent se mettre en place…
      Nous avons soutenu depuis un moment la thèse de la Chine comme partie prenante du N.O.M, cela semble se vérifier de semaine en semaine.Avec cette nouvelle mascarade se déplace un nouvel écran de fumée: le fameux « pivot vers l’Asie » amorcé par le gouvernement Obama. Créer un narratif fictionnel de « conflit »/tension avec la Chine, en faire le « nouvel ennemi » tout en gérant derrière le rideau la fusion des capitaux. La Chine a un énorme pouvoir politique et une capacité répressive hors du commun. Les oligarques le savent très bien, ce sont eux qui l’ont créé !! Mao fut financé par la City et Wall Street après que les banquiers eurent jugé que Chang Kaï Chek ne leur assurait pas un avenir sur le long terme. Ils l’ont donc largué en rase campagne. lui ont laissé un certain contrôle du trafic de la came nécessaire au fric et au blanchiment et ont installé Mao au pouvoir en Chine comme ils l’avaient fait pour la Russie avec Lénine et Trotski tous deux agents respectifs de la City et de Wall Street (succursale de la City…)
      En fait tout cela est d’une logique dévastatrice … (un frisson parcourt l’échine… 😉 )

      • Et comme d’habitude l’Afrique fut aussi la répétition générale de ce Barnum puisque la Chine y rafle la mise depuis plus de 10 ans au moins ? D’ailleurs, je comprends mieux pourquoi les articles de Pepe Escobar semblent moins mordants sur le sujet ! Et pourquoi en France le Macron de Rothschild vend à tour de bras tout ce qu’il peut à la Chine…

        • et la conclusion de « Meurtre par décret » expliquant que les disparitions des femmes et familles autochtones dans l’ouest canadien sont directement liées aux familles de mères de clans, gardiennes de la terre ancestrale et que des multinationales chinoises et la GRC (police montée du Canada) sont impliqués dans ces « disparitions ».. tout se tient… c’est une chaîne d’évènements en apparence sans connexion, mais quand on fouille un peu… Brrrr !

          • Oui, c’est l’opportunisme dans l’horreur et les mauvais coup (ce que j’appelle leur capacité à s’adapter en milieu hostile) qui fait qu’ils sont dangereux ad vitam aeternam si nous ne nous coordonnons pas fissa pour les stopper.

        • concernant Pepe Escobar: il bossait pour le très chinois Asia Times online, d’une manière ou d’une autre, il a été forcé de partir à notre avis, soit parce qu’il savait des choses, commençait à en parler et cela ne convenait pas à la ligne éditoriale, soit il savait que ce qu’il voulait dire ne passerait pas, kif-kif… Il est parti, c’est tout à son honneur. Il est sans doute tenu à la confidentialité sur certaines choses…

    • si un état fait sécession en tout premier lieu ce sera la Texas, ils en ont la mentalité, la Californie pourrait le faire aussi mais les Californiens sont sans doute moins indépendants.
      Mais au fait… Californie et Texas sont des terres mexicaines, ah non ! des terres indiennes pardon… il ne peut pas y avoir « indépendance » sans résoudre ce problème originel, comme partout sur ce continent au nord et au sud !

      • Bah c’est ça qui me choque direct, le corps de l’article explique que les texas, les californiens en ont marre de payer des impôts… Certes je suis au fait des choses, tout comme vous, mais ça n’a l’air de gêner personne… Perso, j’ai imprimé MPD, il est là à porté de mains et pour tout article sur le sujet ; Je le consulte et bien je peux vous affirmer qu’il y a un avant, et un après lecture… Et que cela évolue de jour en jour…

        • tout à fait d’accord… On avait traduit avant (en 2013) « Hidden no longer » mais MPD a une autre dimension, et surtout il amène des faits nouveaux comme l’implication de la Chine dans un néo-colonialisme des terres ancestrales autochtones au « Canada » colonie de la « couronne »/City de Londres. Kahentineta avait dit il y a 2 ou 3 ans qu’elle connaissait un banquier canadien de haut niveau qui vendait tout et se cassait et que le Canada était en train d’être vendu à une nouvelle vague de « migrants » qui devront finir le boulot génocidaire entamé par les Européens chrétiens..
          Tout se tient une fois de plus…

          • Oui, mais ce qui me navre c’est l’inertie des Natifs ou leur manque de coordination (volontaire ça on ne peut préjuger) à se saisir de ce CR car pour moi, vu d’ici bien sûr, il y a là une véritable occasion de faire tomber l’Empire dans sa globalité. Car nous pourrions épauler les peuples oppressés Natifs et descendant des Peuples premiers du Monde… Franchement, là je ne comprend pas car aussi bien Kahentinetha que Thahoketoteh ne démontre aucune volonté de se saisir du truc, et ça me navre autant que ça me gave. J’ai vraiment l’impression d’être une vache au fond de son pré qui regarde passer les trains ; Indéfiniment…

        • On va publier un billet sur cette affaire de Brexit/City/Chine… à suivre…

  2. […] A lire sur ce sujet: “La nouvelle politique étrangère britannique” […]

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