En 2005, le CRIIGEN avertissait déjà contre les vaccins génétiquement modifiés (vaccin OGM)… 15 ans plus tard la menace s’affirme…

Les vaccins issus d’organismes génétiquement modifiés (OGM), 2005

CRIIGEN (Comité de Recherche et d’Informations Indépendantes sur le Génie Génétique)

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https://criigen.org/les-vaccins-issus-dorganismes-genetiquement-modifies-2005/

Les techniques de l’ADN recombinant utilisées pour créer des organismes génétiquement modifiés, végétaux ou animaux, servent également pour fabriquer des vaccins à partir de recombinaisons effectuées chez les micro-organismes (MGM). Analyse par Michel Georget, membre du Conseil Scientifique du CRIIGEN

Analyse par Michel Georget, membre du Conseil Scientifique du CRIIGEN

Les techniques de l’ADN recombinant utilisées pour créer des organismes génétiquement modifiés, végétaux ou animaux, servent également pour fabriquer des vaccins à partir de recombinaisons effectuées chez les micro-organismes (MGM). Les antigènes microbiens (et par voie de conséquence les antigènes vaccinaux) étant dans leur très grande majorité de nature protéique, on a recherché le moyen d’obtenir les molécules protéiques reconnues par le système immunitaire en les faisant exprimer par des organismes microbiens déjà connus ou, mieux encore, en les faisant exprimer dans un milieu de culture par un système cellulaire pour ne plus avoir recours aux organismes microbiens entiers afin d’obtenir ainsi des vaccins plus purs. La synthèse de ces antigènes protéiques par voie chimique est très délicate car chaque protéine comporte le plus souvent des centaines d’acides aminés et leur enchaînement ne suffit pas, la molécule doit aussi acquérir une structure spatiale particulière, difficile à obtenir. Le génie génétique est donc arrivé à point nommé. Il suffit en théorie de déterminer le gène détenant l’information correspondant à la protéine recherchée et de le faire exprimer. Deux stratégies sont donc utilisées : construction d’organismes microbiens au patrimoine génétique chimérique ou obtention de protéines antigéniques.

Les organismes chimères

Des vaccins sont ainsi fabriqués pour les animaux, par exemple contre la maladie de Newcastle des volailles, la peste bovine, la leucose bovine et la rage. Dans ce dernier cas, des essais ont été réalisés avec des virus recombinés, inclus dans des appâts et dispersés par hélicoptère. De tels essais ont été conduits par les Etats-Unis…dans la pampa d’Argentine (à l’insu des habitants), la loi leur interdisant de les mener sur leur propre territoire. Un vaccin antirabique a également été mis au point par la société Transgène de Strasbourg et l’Institut Mérieux. Il est fabriqué à partir du virus de la vaccine (c’est-à-dire l’ancien vaccin antivariolique) dans lequel a été introduit le gène codant pour une protéine d’enveloppe du virus de la rage. Si ce vaccin élimine le risque de contamination directe par le virus de la rage, il n’exclut pas pour autant le risque de recombinaison de ce virus-vaccin avec des virus sauvages sans qu’on puisse en prévoir les résultats. Certains scientifiques spécialistes en bioingéniérie s’inquiètent du risque de se retrouver sur le terrain avec autre chose que ce qui a été disséminé au départ. L’opinion publique allemande, alertée par les Verts, s’est d’ailleurs montrée hostile à cette dissémination d’OGM.

De tels vaccins porteurs d’organismes chimériques ont également été conçus pour l’homme. Un vaccin contre les rotavirus, responsables de nombreuses diarrhées à travers le monde, a été obtenu en associant des gènes humains à une souche simienne de rotavirus. Mis sur le marché aux Etats-Unis, et sur le point de l’être sur le marché européen, il a été retiré en catastrophe en juillet 1999, quelques mois seulement après son autorisation, parce que des nourrissons vaccinés étaient atteints de diverticulose.

On retrouve pour ces vaccins à base d’organismes chimériques les mêmes problèmes que pour les végétaux : dissémination de gènes dans une population animale ou humaine avec le risque de recombinaisons incontrôlables.

 Obtention de protéines antigéniques

L’exemple le plus connu des vaccins recombinants est celui des vaccins anti-hépatite B (GenHevac B®, Engerix B®, HBVax DNA® ou Recombivax®). Dans ce cas là, on n’utilise pas directement le micro-organisme génétiquement modifié mais le produit qu’il génère. La technique consiste à faire exprimer par un système cellulaire la protéine de surface du virus de l’hépatite B (HBs) grâce à un plasmide recombinant introduit dans ces cellules.

Dans le cas du GenHevac B®, les opérations successives sont les suivantes :

– Création de deux plasmides recombinants à partir de plasmides d’Escherichia coli (le colibacille) comportant un gène de résistance à l’ampicilline et dans lesquels on insère pour l’un le gène S du virus de l’hépatite B, pour l’autre un gène de résistance (dhfr) au méthotrexate. Chacun de ces gènes est placé sous le contrôle d’un promoteur viral provenant du virus simien SV40 pour le gène S et du virus MMTV (virus de la tumeur mammaire de la souris) pour le gène de résistance dhfr. Des séquences régulatrices issues du SV40 complètent ces assemblages. – La fusion de ces deux plasmides donne le plasmide recombinant « pSVS dhfr » qui est cloné dans des bactéries, le gène de résistance à l’ampicilline permettant de trier les bactéries ayant incorporé les plasmides

– Les plasmides sont ensuite transfectés dans des cellules de lignée continue CHO (issues de cellules d’ovaire de hamster de Chine et déficientes en dhfr). Après transfection, les cultures cellulaires sont traitées par le méthotrexate : celles qui ont incorporé des plasmides pSVS dhfr résistent à ce poison et peuvent traduire le gène S en protéine HBs.

Les autres vaccins anti-hépatite B sont obtenus sur le même principe mais avec quelques différences, la principale étant le système cellulaire d’expression du gène S qui est constitué par des levures.

Quels risques ces vaccins font-ils courir ?

Dans un dossier du Centre national d’information sur le médicament hospitalier (CNIMH) consacré aux vaccins contre l’hépatite B, il apparaît que ces vaccins contiennent entre 1 et 30 picogrammes d’ADN résiduel. Cet ADN provient aussi bien des cultures cellulaires (dont certaines, comme les cellules CHO, ont les caractères de cellules cancéreuses) que des manipulations nécessaires à la fabrication des plasmides recombinants. Ces impuretés d’ADN représentent des quantités non négligeables puisqu’un seul picogramme d’ADN représente un milliard de paires de bases. Le risque principal est de voir cet ADN s’incorporer au patrimoine génétique des receveurs et provoquer des mutations par insertion pouvant participer à l’apparition de cancers. Ce risque a d’ailleurs été évoqué dès 1987 par l’OMS dans un rapport d’experts sur « l’acceptabilité des cultures cellulaires pour la production de substances biologiques », rapport dans lequel on peut lire :

 » Un des grands problèmes est le risque de malignité que pourrait présenter à long terme un ADN contaminant hétérogène, en particulier s’il s’avère qu’il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière.  » […]

 » Il faut tenir compte de plusieurs points lorsqu’on fait ces estimations du risque.

Premièrement, tous les calculs sont fondés sur le postulat selon lequel le facteur de risque d’induction tumorale décroît linéairement avec la concentration d’ADN. Ce postulat n’est pas forcément exact, puisqu’une quantité d’ADN qui n’a aucun effet biologique mesurable lors d’un essai normalisé parce qu’elle est présente à une trop faible concentration, peut quand même avoir un effet dans certaines conditions ou sur certains organes ou tissus.

Deuxièmement, on ignore encore si le risque associé à des expositions répétées à de l’ADN agira de façon cumulative ou non.

Troisièmement, il faut envisager la possibilité que les préparations d’ADN qui n’induisent pas de tumeurs dans les systèmes expérimentaux puissent provoquer chez l’homme des modifications susceptibles d’accroître l’incidence de l’apparition de tumeurs après de longues périodes de latence. Quatrièmement, les expériences conduites sur des animaux à courte durée de vie ne permettent pas d’évaluer les effets à long terme des séquences d’ADN acquises. »

Voulait-on, avec ces vaccins anti-hépatite B, juguler une maladie très répandue ? Il n’en est rien si l’on en croit cet extrait d’un ouvrage d’hépatologie clinique : Dans les pays de faible endémie (dont la France),  » l’hépatite B est essentiellement une maladie d’adultes, survenant typiquement dans des groupes particuliers à haut risque. Dans ces pays, la prévalence des porteurs chroniques est faible, la cirrhose et le carcinome hépatocellulaire associés au virus de l’hépatite B sont rares et la transmission mère-enfant peu habituelle. «

Les autorités sanitaires françaises se sont laissé séduire par l’industrie pharmaceutique, ce qui n’a pas été le cas de la Grande Bretagne qui a la même prévalence de l’hépatite B que la France mais qui ne considère pas pour autant cette maladie comme un grave problème de santé publique.

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Additif: vidéo Dr Didier Raoult : « Si on rend ce vaccin obligatoire on a une révolution ! » et « Tout ce que j’ai vu jusqu’ici ce n’est que de la publicité… »

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En application actuelle, lire notre page : « Coronavirus, guerre biologique contre l’humanité »


Le cauchemar génétique va t’il commencer ?

5 Réponses to “En 2005, le CRIIGEN avertissait déjà contre les vaccins génétiquement modifiés (vaccin OGM)… 15 ans plus tard la menace s’affirme…”

  1. Très important – La raison choquante pour laquelle le vaccin contre le coronavirus de Pfizer nécessite un stockage à -70 ° C… parce qu’il contient des composants nanotechnologiques (puces invisibles à l’oeil nu) expérimentaux qui n’ont JAMAIS été utilisés dans les vaccins auparavant… Les nanoparticules lipidiques provoquent des réponses hyperinflammatoires dans le corps, entraînant des réactions graves, une hospitalisation et potentiellement la MORT et la stérilité pour les femmes… voir plus ici https://magazinelavoixdedieu.wordpress.com/2020/12/06/tres-important-la-raison-choquante-pour-laquelle-le-vaccin-contre-le-coronavirus-de-pfizer-necessite-un-stockage-a-70-c-parce-quil-contient-des-composants-nanotechnologiques-exper/

  2. « Ce risque de génotoxicité pour les cellules humaines cibles de la vaccination (dont le génome est bien sûr de l’ADN) ne concerne donc que les vaccins délivrant de l’ADN viral, que le vecteur soit un plasmide ou un virus génétiquement modifié (commentaire: dans le cas des vaccins adénovirus, le vecteur est le virus ADN OGM adénovirus transportant l’ADN viral). Toutefois, ce risque peut également concerner les vaccins délivrant de l’ARN par le biais d’un vecteur viral génétiquement modifié à ARN du type du virus du sida (VIH, très utilisé comme vecteur) si celui-ci n’a pas été correctement dépourvu de sa transcriptase inverse et du gène la codant. En effet, la transcriptase inverse virale peut alors convertir l’ARN délivré en ADN, lequel ira s’intégrer dans le génome des cellules cibles. » (commentaire: Montaigner a dit que le covid a le gène du VIHhttps://www.leparisien.fr/societe/coronavirus-et-vih-pourquoi-la-theorie-du-pr-luc-montagnier-est-invraisemblable-17-04-2020-8301387.php donc cela veut dire qu’ils n’ont pas besoin de rajouter du VIH, il est déjà là dans le covid, donc l’ARN du covid peut coder de l’ARN à l’ADN via le vaccin, le vaccin australien ils ont aussi rajouté le VIHhttps://www.lefigaro.fr/sciences/australie-un-vaccin-anti-covid-stoppe-suite-a-un-faux-depistage-de-vih-20201211)page 9 https://jbl1960blog.files.wordpress.com/2020/11/2020-09_note-dexpertise-vaccins-gm_c.velot-02_traite-02.pdf

    aussi depuis fin févriter 2021, dans un labo français, ils préparent un vaccin ARN contre le VIH donc qui contiendra le VIH donc changera le génome également
    https://www.ouest-france.fr/sante/sida/un-vaccin-francais-preventif-contre-le-vih-est-a-l-essai-7168735

    donc même si le vaccin à ARN contre le covid ne change pas pour l’instant le génome, quand ils rendront le vaccin ARN contre le VIH obligatoire, ils le changeront obligatoirrement l’ADN des humains, via la transcriptase inverse (l’enzyme du VIH permet à l’ARN du vaccin de modifier l’ADN, ce qu’ils appellent coder de l’ARN en ADN)

    mais ils sont tellement pressés de changer le génome, qu’ils mettent déjà du VIH dans le vaccin, et auraient déjà mis le gène VIH dans le covid
    https://www.forbes.com/sites/roberthart/2020/10/20/researchers-warn-some-covid-19-vaccines-could-increase-risk-of-hiv-infection/

    selon Karry Mullis, avoir le VIH ne signifie pas être malade

    et ils avouent qu’ils veulent faire un vaccin contre le VIHhttps://www.ouest-france.fr/sante/sida/un-vaccin-francais-preventif-contre-le-vih-est-a-l-essai-7168735, c’est la preuve donc que le VIH peut être combattu et détruit par le système immunitaire

    ou détruit par la microbiote (microbiote= bactéries vivant dans le corps humain et nécessaire à son fonctionnement, et peut être renforcé via les probiotiques suppléments santé) de l’être humain:
    les bactéries possèdent également une enzyme de restricton qui leur permettent de couper en 2 le virus qui les envahit, et l’empêcher ainsi d’entrer dans leur noyau et de se multiplier et par conséquent de le détruire
    https://fr.wikipedia.org/wiki/Enzyme_de_restriction

    et n’oublions pas que l’être humain a une microbiote (bactéries)
    https://www.lemonde.fr/blog/realitesbiomedicales/2016/01/11/combien-le-corps-humain-renferme-t-il-de-bacteries/
    https://www.science-et-vie.com/archives/elles-jouent-un-role-cle-dans-notre-sante-20497

    ils peuvent modifier l’ADN des bactéries

    Des chercheurs israéliens parviennent à modifier l’ADN de bactéries nuisibles

    génome humain synthétique pour 2026 c’est que visent les transhumanistes
    https://iatranshumanisme.com/2017/12/28/scientifiques-travaillent-creer-de-ladn-humain-synthetique/ (voilà donc à quoi sert la collecte d’ADN des asymptomatiques via les tests PCR bidons à fabriquer votre clone synthétique ou clone mixé avec le génome d’autres)

    • D’après le Pr. Montagnier, il y a une séquence VIH qui a été insérée dans le SRAS-Cov-2. Ce virus est une fabrication de labo et il est renforcé par les injections OGM. Le danger ne semble pas être le virus per se, mais ce qu’il va devenir au travers des mutations via les OGM injectés (ARNm et transformations subséquentes…)
      On n’est pas au bout de nos surprises et ce n’est à notre avis, que le début d’une sacrée merde à venir.

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