Héroïsme sportif… La gifle du non-injecté ARNm Djokovic aux covidistes et l’establishment totalitaire (Children’s Health Defense)

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La gifle australienne de Djoko à Bill « la piqouze »…

« Les principes de la prise de décision sur ce qui est bon ou pas pour mon corps sont plus importants que n’importe quel titre sportif.” (Novak Djokovic, 2022) ou quand un grand sportif prouve, s’il le devait encore, qu’il a quelque chose entre les oreilles.
~ Résistance 71 ~

Un an après avoir été déporté, et sous les yeux de Bill Gates, Novak Djokovic remporte le titre à l’Australian Open

Children’s Health Defense

30 janvier 2023

Url d el’article original :

https://childrenshealthdefense.org/defender/novak-djokovic-australian-open-bill-gates/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Un an après avoir été déporté d’Australie pour refuser l’injection COVID-19, l’empêchant de jouer l’Open d’Australie en 2022, la star mondiale du tennis Novak Djokovic est entré dans l’histoire dimanche alors qu’il retournait en Australie et remportait pour la 10ème fois ce tournoi et par la même occasion son 22ème titre du grand chelem.

Devant Bill Gates, Djokovic a battu le grec Stefanos Tsisipas, devenant ainsi le second joueur de l’histoire du tennis à remporter 10 fois ou plus un tournoi du grand chelem (NdT: derrière Nadal à Roland Garros…) Il a aussi égalisé le record de Rafael Nadal de victoires en tournois du grand chelem (22)

Après sa victoire, Djokovic a fondu en larmes, cachant son visage dans une serviette en attendant la cérémonie de la remise du trophée. Il a dit aux journalistes plus tard :

Bien sûr quand je me suis rassis sur ma chaise, je me suis effondré émotionnellement et j’ai pleuré, spécialement aussi quand j’ai grimpé dans les gradins pour serrer dans mes bras ma mère et mon frère, parce que jusqu’à ce moment précis, je ne me l’étais pas permis, je n’ai pas permis d’être distrait par des choses hors du court ou de quoi que ce soit se passant dans le processus de guérison de ma blessure, de choses qui se passent en dehors du court, tout cela pouvant devenir de grandes perturbations dans ma concentration et donc dans mon jeu. Cela demande une énorme quantité d’énergie de demeurer présent à 100%, de rester focalisé, de prendre les choses pas à pas, jour après jour et de voir jusqu’où je peux aller.

Djokovic a du surmonter une blessure aux ischion-jambiers demandant quelques “77 thérapies par jour” d’après son entraineur Goran Ivanisevic.

Il a aussi du faire face à une tourmente médiatique impliquant son père, qui plus tôt dans le tournoi fut photographié avec un groupe de fans tenant le drapeau russe et le symbole “Z”, qui fut interprété comme un signe de soutien de la Russie dans le conflit avec l’Ukraine. Le père de Djokovic n’a pas assisté à la finale de dimanche.

Mais Bill Gates, un des plus grands propagandistes des injections anti-COVID, était dans la foule pour la finale, tout comme il l’était pour les demies-finales du tournoi hommes.

Gates était en Australie pour parler lors d’une conférence du Lowy Institute australien où il fit quelques remarques qui firent se soulever quelques sourcils, lorsqu’ils parut être critique de ces mêmes injections à ARNm anti-COVID dont il fit si enthousiastiquement la promotion et dans lesquelles il a lourdement investi. (NdT : après avoir vendu de nombreuses parts de ses actions de BioNTech et engrangé un sacré paquet de pognon, Bill “la piquouze” Gates a déclaré durant cette conférence que les injections ARNm n’étaient pas efficaces, n’empêchaient ni l’infection, n la transmission…)

Djokovic, supporteur déclaré de l’autonomie corporelle, avait pris le risque de mettre un terme à sa carrière pour demeurer non injecté 

Djokovic, connu pour ses grands succès sur les courts de tennis, a gagné une encore plus grande popularité par sa position ouverte et déclarée contre l’obligation “vaccinale” anti-COVID19 et son soutien inconditionnel à l’autonomie corporelle.

Dans un entretien avec un journaliste de la BBC en février 2022, celui-ci demanda à Djokovic “s’il était prêt à abandonner la chance de devenir le plus grand joueur de l’histoire du tennis, statistiquement, à cause de son fort ressentiment envers l’injection COVID ?”

“Oui, je suis prêt !”, a répondu Djokovic. Lorsque demandé pourquoi il pensait de la sorte, Djokovic a déclaré : “parce que les principes de la prise de décision sur ce qui est bon ou pas pour mon corps sont plus importants que n’importe quel titre sportif.”

En 2022, Djokovic a dit qu’il était prêt à ne pas participer aux tournois du grand chelem comme Wimbledon et Roland Garros, plutôt que de se faire injecter contre la COVID19.

Cette affaire a refait surface suite à la victoire de Djokovic dimanche, quand la légende du tennis John McEnroe et le journaliste sportif Chris Fowler s’engagèrent dans une dispute en direct sur ESPN au sujet du statu “vaccinal” de Djokovic et des tournois qu’il a loupé suite à sa décision.

Fowler a dit que Djokovic a loupé les tournois comme l’Open d’Australie et Wimbledon en 2022 suite “à des choix de sa part”, ajoutant “Il a fait des choix qui ont mené à certaines de ces choses.”

McEnroe a dit en réponse : “Je pense qu’il aurait du avoir la permission de jouer.”

D’après Fox News, McEnroe s’était auparavant déclaré en soutien de Djokovic décrivant l’obligation vaccinale de l’administration Biden qui a maintenu Djokovic hors de l’US Open comme étant “une connerie totale”.

En août 2022, juste avant l’US Open, Children’s Health Defense organisa une manifestation “Stop toutes les restrictions de voyage” en soutien de Djokovic, campagne qui attira une bonne couverture médiatique.

Djokovic, qui avait gagné l’Open d’Australie en 2021, avait reçu un visa australien pour participer à a compétition en 2022. Mais les autorités australiennes avaient annulé le visa, puis l’avaient restauré pour finalement l’annuler de nouveau, menant à son expulsion du territoire (NdT : après une assignation à “quarantaine” des plus austères, manifestement faite pour l’affecter psychologiquement quoi qu’il arrive)

A cette époque, le ministre de l’immigration australien Alex Hawke révoqua le visa de Djokovic sur des bases de”santé et de bon ordre public” et que cela était dans l’intérêt du public. Djokovic de son côté argumentait qu’il avait une exemption médicale lui permettant d’entrer dans le pays.

Par la suite, Djokovic manqua aussi l’US Open, autre tournoi du grand chelem en septembre 2022, parce que le gouvernement Biden ne voulait pas lever les obligations “vaccinales” d’entrée dans le pays pour les étrangers, alors même que des spectateurs américains non injectés pouvaient assister aux matches. 

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« Le véritable Anthony Fauci, Bill Gates, Big Pharma et la guerre globale contre la démocratie et la santé publique », RFK Jr

« SRAS-CoV-2 / COVID-19, l’attaque nano-bio-echnologique contre l’humanité », Karen Kingston

Notre page « Coronavirus, guerre contre l’humanité », constamment mise à jour depuis 2019

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15 Réponses vers “Héroïsme sportif… La gifle du non-injecté ARNm Djokovic aux covidistes et l’establishment totalitaire (Children’s Health Defense)”

  1. l’institut hopkins a déjà mis des nanoparticules de vaccins sur les écouvillons

    à moindre dose certes, mais n’empêche que les écouvillons sont dangereux (en plus de causer des hémorragies irréversibles si le mec penche la tête vers le haut, et que le mec fonce à fond la caisse)

    et le champion de tennis n’est pas contre le pass sanitaire vu qu’il a fait les écouvillons,

    donc autonomie corporelle, c’est uniquement quand on fait le combat des deux en même temps, écouvillons dangereux et injections

  2. Tenez, grâce à Verity France, je viens de découvrir cette vidéo faite par le Dr. Alain Colignon de 34MN31 et c’est à voir, absolument, à mon sens…

    À tous ceux qui sont morts seuls….

    L’aphorisme par lequel Richard Horton, éditeur du Lancet, évoque le « virage vers les ténèbres » de la Science contemporaine est le mobile central du court-métrage que j’ai réalisé.
    Ce court-métrage s’articule sur 2 sujets principaux relatifs à la corruption des scientifiques :​
    Le premier traite de la véritable criminalité scientifique avec l’exemple du Professeur Mandeep Mehra de la Medical School de Harvard.
    Le second traite de la corruption « politiquement correcte », avec le docteur Nicolas Dauby, du CHU Saint-Pierre, archétype du mensonge scientifique « sincère » ou « naïf », banalisé et admis aujourd’hui par une paradoxale « néo-coutume » médicale.
    Cette corruption plus insidieuse et difficilement détectable, résulte davantage de la façon dont on sélectionne les experts que de leur manque de loyauté ou de sincérité…
    Un labo pharmaceutique n’est plus confronté aujourd’hui, à la nécessité d’acheter un médecin pour qu’il mente, pour qu’il trahisse sa pensée ou pour qu’il en nuance les conclusions.
    Il suffit que ce labo soutienne les scientifiques dont l’avis va dans le sens de ses intérêts et qu’il ostracise ceux qui émettent des opinions dangereuses pour ses cibles commerciales.
    En raison de ce « Cherry Picking » opportuniste, un médecin dont les travaux ne sont pas favorables à l’utilisation d’un produit ou d’un dispositif médical, n’a aucune chance d’être invité à un congrès, d’être lu par des reviewers, d’être soutenu dans ses recherches, d’être engagé dans une institution financée par le secteur privé ou d’être interrogé par les grands Médias.
    Il est et reste « invisible »…
    ​On retrouvera dans les congrès et dans les institutions de recherche, des médecins sincèrement favorables aux objectifs de ses sponsors, et c’est sans arrière-pensée qu’ils les serviront, parfois au mépris volontaire ou involontaire de la vérité.
    Les truands qui traînent des valises de billets ne sont plus vraiment utiles à un secteur qui a fait main basse sur les Universités, sur les instituts de recherche et sur les organes officiels comme Sciensano et l’OMS.
    Le Président de l’Ordre de Bruxelles et du Brabant Wallon a courageusement pris l’initiative d’un débat déontologique le 4 février au Château du Lac à Genval. Il serait raisonnable d’y aborder l’important sujet des conflits d’intérêts, souterrains, lointains, apparemment inoffensifs et pourtant si délétères pour la santé publique avec sagesse, avec raison, avec sérénité.
    Mettra-t-il à l’ordre du jour, l’analyse méticuleuse de cette corruption larvée qui laisse grandir son invisible mycélium sous nos vérités les plus sacrées? Empêchera-t-il ce symposium de se transformer en messe basse servie sur l’autel de la bienséance ?
    Si le docteur Melot a le courage, en vertu d’une charge ordinale qui fait de lui le maître supérieur de nos consciences, d’engager une lutte décisive contre la tyrannie de l’argent, il laissera assurément une trace dans l’histoire de notre admirable métier, qui doit se mettre inconditionnellement et sans la moindre ambiguïté, à l’entier et unique service du patient.

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