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Banques, Showbiz, Cocaïne, OTAN, Russie, Ukraine et 3ème guerre mondiale (Résistance 71)

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, économie, colonialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerre ukraine, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, presse et média, résistance politique, santé et vaccins, société des sociétés, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , , , , , on 30 janvier 2023 by Résistance 71

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Résistance 71

30 janvier 2023

Suite à l’excellente analyse historique d’Annie Lacroix-Riz sur le recyclage des nazis ukrainiens par les Etats-Unis, que nous avons relayée hier, nous désirerions résumer la situation ukrainienne comme suit :

Après un coup d’état (Maïdan 2014) éjectant un gouvernement ukrainien trop « pro-russe » au goût de l’empire marchand anglo-americano-sioniste, les nazillons locaux réhabilités ont mené une guerre ethnique contre les populations russophones de l’Est de leur pays, menant à la sécession des provinces du Donbass. Celle-ci sont bombardés depuis maintenant près de 10 ans par les forces nazies ukrainiennes (appelons un chat un chat…).

La répression contre le Donbass fut grandissante et calibrée pour provoquer l’intervention russe de février 2022. Ceci ne put se produire que par l’entremise de l’élection en 2019 d’un pitre du showbiz ukrainien (voir ci-dessous) comme président du pays. Manipulable à souhait, cocaïnomane avéré, et egomaniaque pathétique, l’occident est abreuvé depuis l’an dernier de ses gesticulations guerrières et de ses plaidoiries pleurnichardes, mendiant aides financière et militaire, ne faisant que remplir ses comptes offshores et ceux de sa clique au pouvoir.

En ce début d’année 2023, l’escalade, via une Allemagne redevenue des plus belliqueuses, alors que les Yankees ont saboté leur source majeure d’importation de gaz (les gazoducs Nordstream I et II), nous mène une nouvelle fois au bord de a guerre mondiale, cette fois-ci nucléaire. Tout ça, une fois de plus pour engrosser les rats de la haute finance et du gros business et ruiner une Europe seule concurrente immédiate de l’empire anglo-américain dirigé depuis la City de Londres er sa succursale de Wall Street.

Toutes les guerres sont des guerres de commerce, qui engraissent la même pourriture du monde marchand et financier au détriment des peuples, ce depuis des siècles. Aujourd’hui, les banquiers ont décidé de la troisième guerre mondiale pour redonner un souffle vain et futile au système étatico-marchand moribond, en se servant d’une petite pute du showbiz servile et déconnectée. Ukrainiens et Russes se battent pour des intérêts une fois de plus de pouvoir marchand et de contrôle d’influence. Halte à la connerie !

Quand comprendrons-nous ? Le problème c’est le système étatico-marchand que nous devons éradiquer au plus tôt… Il en va simplement maintenant de la survie de l’humanité. Si nous laissons faire ces dégénérés, c’en est fini de nous.
A bas l’État ! A bas la marchandise ! A bas l’argent ! A bas le salariat !
Mais on nous propose de tous crever pour ça :

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VRAIMENT…

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C’EST ÇA QUE VOUS VOULEZ ??…

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ON VA BRONZER ALORS…

Il n’y a pas de solution au sein du système, n’y en a jamais eu et ne saurait y en avoir ! (Résistance 71)

Comprendre et transformer sa réalité, le texte:

Paulo Freire, « La pédagogie des opprimés »

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5 textes modernes complémentaires pour mieux comprendre et agir:

Guerre_de_Classe_Contre-les-guerres-de-l’avoir-la-guerre-de-l’être

Francis_Cousin_Bref_Maniffeste_pour _un_Futur_Proche

Manifeste pour la Société des Sociétés

Pierre_Clastres_Anthropologie_Politique_et_Resolution_Aporie

Société des sociétés organique avec Gustav Landauer

FTBs

Ukraine, Zelensky : de saltimbanque à maquereau du néo-nazisme de son pays… le dangereux parcours d’une pathétique marionnette (Réseau Voltaire)

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Dr Volodymyr et Mr Zelensky, la face cachée du président ukrainien

Guy Mettan

22 juin 2022

Url de l’article original : https://www.voltairenet.org/article217398.html

Le député suisse et ancien rédacteur-en-chef de la Tribune de Genève, Guy Mettan, dresse le portrait du saltimbanque qui joue le rôle de président de l’Ukraine. Il montre comment cet amuseur public s’est transformé en allié des bandéristes et installe pour eux une dictature.

“Héros de la liberté », « Hero of Our Time », « Der Unbeugsame », « The Unlikely Ukrainian Hero Who Defied Putin and United the World », « Zelensky, l’Ukraine dans le sang » : les médias et les dirigeants occidentaux ne savent plus quels superlatifs utiliser pour chanter les louanges du président ukrainien, tant ils sont fascinés par la « stupéfiante résilience » du comédien miraculeusement transformé en « chef de guerre » et en « sauveur de la démocratie. »

Depuis trois mois, le chef d’État ukrainien fait la « une » des magazines, ouvre les téléjournaux, inaugure le Festival de Cannes, harangue les parlements, félicite et admoneste ses collègues à la tête d’États dix fois plus puissants que lui avec un bonheur et un sens tactique qu’aucun acteur de cinéma ni aucun dirigeant politique avant lui n’avait connus.

Comment ne pas tomber sous le charme de cet improbable Mr. Bean qui, après avoir conquis le public avec ses grimaces et ses extravagances (se promener nu dans un magasin et mimer un pianiste jouant avec son sexe par exemple), a su en une nuit troquer ses pitreries et ses jeux de mots graveleux contre un T-shirt gris-vert, une barbe d’une semaine et des mots pleins de gravité pour galvaniser ses troupes assaillies par le méchant ours russe ?

Depuis le 24 février, Volodymyr Zelensky a, sans conteste, administré la preuve qu’il était un artiste de la politique internationale aux talents exceptionnels. Ceux qui avaient suivi sa carrière de comique n’ont pas été surpris car ils connaissaient son sens inné de l’improvisation, ses facultés mimétiques, son audace de jeu. La façon dont il a mené campagne et terrassé en quelques semaines, entre le 31 décembre 2018 et le 21 avril 2019, des adversaires pourtant coriaces comme l’ancien président Porochenko, en mobilisant son équipe de production et ses généreux donateurs oligarques, avait déjà prouvé l’ampleur de ses talents. Mais il restait à transformer l’essai. Ce qui est désormais fait.

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TALENT POUR LE DOUBLE JEU

Cependant, comme c’est souvent le cas, la façade ressemble rarement aux coulisses. La lumière des projecteurs cache plus qu’elle ne montre. Et là, force est de constater que le tableau est moins reluisant : tant ses réalisations de chef d’État que ses performances de défenseur de la démocratie laissent sérieusement à désirer.

Ce talent pour le double jeu, Zelensky va le montrer dès son élection. On rappelle qu’il a été élu avec le score canon de 73,2 % des voix en promettant de mettre fin à la corruption, de mener l’Ukraine sur le chemin du progrès et de la civilisation, et surtout de faire la paix avec les russophones du Donbass. Aussitôt élu, il va trahir toutes ses promesses avec un zèle si intempestif que sa cote de popularité tombera à 23 % en janvier 2022, au point de se faire distancer par ses deux principaux adversaires.

Dès mai 2019, pour satisfaire ses sponsors oligarques, le nouvel élu lance un programme massif de privatisation du sol portant sur 40 millions d’hectares de bonnes terres agricoles sous prétexte que le moratoire sur la vente des terres aurait fait perdre des milliards de dollars au PIB du pays. Dans la foulée des programmes de « décommunisation » et de « dérussification » entamés depuis le coup d’État pro-états-unien de février 2014, il lance une vaste opération de privatisation des biens d’État, d’austérité budgétaire, de dérégulation des lois sur le travail et de démantèlement des syndicats, ce qui fâche une majorité d’Ukrainiens qui n’avaient pas compris ce que leur candidat entendait par « progrès », « occidentalisation » et « normalisation » de l’économie ukrainienne. Dans un pays qui, en 2020, affichait un revenu par habitant de 3 726 dollars contre 10 126 dollars pour l’adversaire russe, alors qu’en 1991 le revenu moyen de l’Ukraine dépassait celui de la Russie, la comparaison n’est pas flatteuse. Et on comprend que les Ukrainiens n’aient pas applaudi cette énième réforme néolibérale.

Quant à la marche vers la civilisation, elle prendra la forme d’un autre décret qui, le 19 mai 2021, assure la domination de la langue ukrainienne et bannit le russe dans toutes les sphères de la vie publique, administrations, écoles et commerces, à la grande satisfaction des nationalistes et à la stupéfaction des russophones du sud-est du pays.

UN SPONSOR EN FUITE

En matière de corruption, le bilan n’est pas meilleur. En 2015, le Guardian estimait que l’Ukraine était le pays le plus corrompu d’Europe. En 2021, Transparency International, une ONG occidentale basée à Berlin, classait l’Ukraine au 122e rang mondial de la corruption, tout près de la Russie honnie (136e). Pas brillant pour un pays qui passe pour un parangon de vertu face aux barbares russes. La corruption est partout, dans les ministères, les administrations, les entreprises publiques, le parlement, la police, et même dans la Haute Cour de Justice Anti-Corruption selon le Kyiv Post ! Il n’est pas rare de voir des juges rouler en Porsche, observent les journaux.

Le principal sponsor de Zelensky, Ihor Kolomoïsky, résident à Genève où il possède des bureaux luxueux avec vue sur la rade, n’est pas le moindre de ces oligarques qui profitent de la corruption ambiante : le 5 mars 2021, Anthony Blinken, qui ne pouvait sans doute pas faire autrement, annonçait que le département d’État avait bloqué ses avoirs et l’avait banni des États-Unis en raison « d’une implication pour fait significatif de corruption ». Il est vrai qu’on accusait Kolomoïsky d’avoir détourné 5,5 milliards de dollars de la banque publique Privatbank. Simple coïncidence, le bon Ihor était aussi le principal actionnaire du holding pétrolier Burisma qui employait le fils de Joe Biden, Hunter, pour un modeste dédommagement de 50 000 dollars par mois, et qui fait aujourd’hui l’objet d’une enquête du procureur du Delaware. Sage précaution : Kolomoisky, devenu persona non grata en Israël et réfugié en Géorgie selon certains témoins, ne risque ainsi pas de venir témoigner à la barre.

C’est ce même Kolomoïsky, décidément incontournable dans cette Ukraine en route vers le progrès, qui a fait toute la carrière d’acteur de Zelensky et qu’on retrouve impliqué dans l’affaire des Pandora Papers révélée par la presse en octobre 2021. Ces papiers ont révélé que depuis 2012, la chaine de TV 1+1 appartenant au sulfureux oligarque avait versé pas moins de 40 millions de dollars à sa vedette Zelensky depuis 2012 et que ce dernier, peu avant d’être élu président et avec l’aide de sa garde rapprochée de Kryvyi Rih – les deux frères Shefir, dont l’un est l’auteur des scénarios de Zelenski et l’autre le chef du Service de sécurité d’État (SBU), et le producteur et propriétaire de leur société de production commune Kvartal 95 – avait prudemment transféré des sommes considérables sur des comptes offshore ouverts au nom de sa femme, tout en acquérant trois appartements non déclarés à Londres pour la somme de 7,5 millions de dollars.

Ce goût du « serviteur du peuple » (c’est le nom de sa série télévisée et de son parti politique) pour le confort non-prolétarien est confirmé par une photo brièvement apparue sur les réseaux sociaux et aussitôt effacée par les fact-checkers anti-complotistes, qui le montrait prenant ses aises dans un palace tropical à quelques dizaines de milliers de dollars la nuit alors qu’il était censé passer ses vacances d’hiver dans une modeste station de ski des Carpates.

Cet art de l’optimisation fiscale et cette fréquentation assidue d’oligarques pour le moins controversés ne plaident donc pas en faveur d’un engagement présidentiel inconditionnel contre la corruption. Pas plus que le fait d’avoir essayé de dégommer le président de la Cour constitutionnelle Oleksandr Tupytskyi, qui le gênait, et nommé Premier ministre, après le départ de son prédécesseur Oleksyi Hontcharouk pour cause de scandale, un inconnu du nom de Denys Chmynal mais qui avait le mérite de diriger l’une des usines de l’homme le plus riche du pays, Rinat Akhmetov, propriétaire de la fameuse usine Azovstal, ultime refuge des héroïques combattants de la liberté du bataillon Azov. Combattants qui arborent sur leur bras, dans leur cou, dans leur dos ou sur leur poitrine des tatouages glorifiant le Wolfsangel de la division SS Das Reich, des phrases d’Adolf Hitler ou des croix gammées, comme on a pu le voir sur les innombrables vidéos diffusées par les Russes après leur reddition.

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OTAGE DES BATAILLONS AZOV

Car le rapprochement du flamboyant Volodymyr avec les représentants les plus extrêmes de la droite nationaliste ukrainienne n’est pas la moindre des étrangetés du Dr. Zelensky. Cette complicité a aussitôt été niée avec la plus grande virulence par la presse occidentale, qui l’a jugée scandaleuse en raison des origines juives du président, subitement redécouvertes. Comment un président juif pourrait-il sympathiser avec des néo-nazis, par ailleurs présentés comme une infime minorité de marginaux ? Il ne faudrait tout de même pas donner du crédit à l’opération de « dénazification » menée par Vladimir Poutine…

Et pourtant les faits sont têtus et loin d’être anodins.

Il est certain qu’à titre personnel Zelensky n’a jamais été proche de l’idéologie néo-nazie ni même de l’extrême-droite nationaliste ukrainienne. Son ascendance juive, même si elle est relativement lointaine et n’a jamais été revendiquée avant février 2022, exclut bien évidemment tout antisémitisme de sa part. Ce rapprochement ne trahit donc pas une affinité mais relève de la banale raison d’État et d’un mélange bien compris de pragmatisme et d’instinct de survie physique et politique.

Il faut remonter à octobre 2019 pour comprendre la nature des relations entre Zelensky et l’extrême-droite. Et il faut comprendre que ces formations d’extrême-droite, même si elles ne pèsent que 2 % de l’électorat, représentent tout de même près d’un million de personnes très motivées et bien organisées et qui se répartissent dans de nombreux groupements et mouvements, dont le régiment Azov (cofondé et financé dès 2014 par Kolomoïsky, toujours lui !) n’est que le plus connu. Il faut lui ajouter les organisations Aïdar, Dnipro, Safari, Svoboda, Pravy Sektor, C14 et Corps national pour être complet.

C14, baptisé ainsi en raison du nombre de mots de la phrase du néonazi américain David Lane (« We must secure the existence of our people and a future for white children »), est l’un des moins connus à l’étranger mais les plus redoutés pour sa violence raciste en Ukraine. Tous ces groupements ont été plus ou moins fondus dans l’armée et la garde nationale ukrainiennes à l’initiative de leur animateur, l’ancien ministre de l’Intérieur Arsen Avakov, qui a régné sans partage sur l’appareil de sécurité ukrainien de 2014 à 2021. Ce sont eux que Zelensky appelle des « vétérans depuis l’automne 2019.

Quelques mois après son élection, le jeune président se rend en effet dans le Donbass pour tenter de réaliser sa promesse électorale et faire appliquer les accords de Minsk signés par son prédécesseur. Les forces d’extrême-droite, qui pilonnent les villes des Donetsk et Lougansk depuis 2014 au prix de dix mille morts, l’accueillent avec la plus grande circonspection car ils se méfient de ce président « pacifiste ». Ils mènent une campagne sans pitié contre la paix sous le slogan « Pas de capitulation ». Sur une vidéo, on voit un Zelensky blême les implorer : « Je suis le président de ce pays. J’ai 41 ans. Je ne suis pas un loser. Je viens vers vous et vous dis : retirez les armes. » La vidéo est lâchée sur les réseaux sociaux et Zelensky devient aussitôt la cible d’une campagne haineuse. C’en sera fait de ses velléités de paix et d’application des accords de Minsk.

Peu après cet incident, un retrait mineur des forces extrémistes a lieu, puis les bombardements reprennent de plus belle.

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CROISADE NATIONALISTE

Le problème est que non seulement Zelensky a cédé à leur chantage mais qu’il les rejoint dans leur croisade nationaliste. Après son expédition ratée, en novembre 2019, il reçoit plusieurs leaders de l’extrême-droite, dont Yehven Taras, le chef du C14, tandis que son Premier ministre s’affiche aux côtés d’Andryi Medvedko, une figure néo-nazie soupçonnée de meurtre. Il soutient aussi le footballeur Zolzulya contre les fans espagnols qui l’accusent d’être un nazi à cause de son soutien proclamé à Stepan Bandera, le leader nationaliste qui a collaboré avec l’Allemagne nazie pendant la guerre (et avec la CIA après la guerre) et participé à l’Holocauste des Juifs.

La collaboration avec les radicaux nationalistes est bien installée. En novembre de l’an dernier, Zelensky nomme l’ultra-nationaliste de Pravy Sektor Dmytro Yarosh conseiller spécial du commandant en chef de l’armée ukrainienne et, depuis février 2022, chef de l’Armée des volontaires qui fait régner la terreur à l’arrière. Au même moment, il nomme Oleksander Poklad, surnommé « l’étrangleur » en raison de son goût pour la torture, chef du contre-espionnage du SBU. En décembre, deux mois avant la guerre, c’est au tour d’un autre chef de Pravy Sektor, le commandant Dmytro Kotsuybaylo, d’être récompensé par le titre de « Héros de l’Ukraine » tandis que, une semaine après le début des hostilités, Zelensky fait remplacer le gouverneur régional d’Odessa par Maksym Marchenko, commandant du bataillon ultranationaliste Aïdar, celui-là même auprès duquel Bernard-Henri Lévy se fera une gloire de défiler.

Désir d’amadouer l’extrême-droite en lui confiant des postes ? Ultra-patriotisme partagé ? Ou simple convergence d’intérêt entre une droite néolibérale atlantiste et pro-occidentale et une extrême droite nationaliste qui rêve de casser du Russe et de « mener les races blanches du monde dans une croisade finale contre les Untermenschen guidés par les Sémites », selon les mots de l’ancien député Andryi Biletsky, chef du Corps national ? On ne sait trop, aucun journaliste ne s’étant hasardé à poser la question à Zelensky.

Ce qui ne fait aucun doute en revanche, c’est la dérive de plus en plus autoritaire, voire criminelle, du régime ukrainien. À tel point que ses zélotes devraient y réfléchir à deux fois avant de proposer leur idole au prix Nobel de la Paix. Car, pendant que les médias regardent ailleurs, c’est une vraie campagne d’intimidation, de kidnappings et d’exécutions que subissent les élus locaux et nationaux soupçonnés d’être des agents russes ou de connivence avec l’ennemi parce qu’ils veulent éviter une escalade du conflit.

« Un traitre de moins en Ukraine ! On l’a retrouvé tué et il a été jugé par le tribunal du peuple ! » C’est ainsi que le conseiller du ministre de l’Intérieur, Anton Gerashenko, a annoncé sur son compte Telegram le meurtre de Volodymyr Strok, maire et ancien député de la petite ville de Kremnina. Soupçonné d’avoir collaboré avec les Russes, il a été enlevé puis torturé avant d’être exécuté. Le 7 mars, c’est au tour du maire de Gostomel d’être tué parce qu’il avait voulu négocier un corridor humanitaire avec les militaires russes. Le 24 mars, c’est le maire de Kupyansk qui demande à Zelensky de relâcher sa fille enlevée par les séides du SBU. Au même moment, un des négociateurs ukrainiens est retrouvé mort après avoir été accusé de trahison par les médias nationalistes. Pas moins de onze maires sont portés disparus à ce jour, y compris dans des régions jamais occupées par les Russes…

PARTIS D’OPPOSITION INTERDITS

Mais la répression ne s’arrête pas là. Elle frappe les médias critiques, qui ont tous été fermés, et les partis d’opposition, qui ont tous été dissous.

En février 2021, Zelensky fait fermer trois chaînes d’opposition jugées pro-russes et censées appartenir à l’oligarque Viktor Medvedchuk, NewsOne, Zik et 112 Ukraine. Le département d’État salue cet attentat contre la liberté de la presse en déclarant que les États-Unis soutiennent les efforts ukrainiens pour contrer l’influence maligne de la Russie… En janvier 2022, un mois avant la guerre, c’est au tour de la chaine Nash d’être fermée. Après le début de la guerre, le régime fait la chasse aux journalistes, blogueurs et commentateurs de gauche. Début avril, deux chaînes de droite sont également touchées. Channel 5 et Pryamiy. Un décret présidentiel oblige toutes les chaines à diffuser un seul et unique son de cloche, pro-gouvernemental bien sûr. Récemment la chasse aux sorcières s’est même étendue au blogueur critique le plus populaire du pays, le Navalny ukrainien, Anatoliy Shariy, qui été arrêté le 4 mai dernier par les autorités espagnoles à la demande de la police politique ukrainienne. Des attaques contre la presse au moins équivalentes à celles de l’autocrate Poutine, mais dont on n’a jamais entendu parler dans les médias occidentaux…

La purge a été encore plus sévère pour les partis politiques. Elle a décimé les principaux opposants de Zelensky. Au printemps 2021, le domicile du principal d’entre eux, Medvedchuk, réputé proche de Poutine, est saccagé et son propriétaire placé en résidence surveillée. Le 12 avril dernier, le député oligarque a été interné de force dans un lieu tenu secret, visiblement drogué, privé de visites avant d’être exhibé à la TV et proposé en échange de la libération des défenseurs d’Azovstal, au mépris de toutes les conventions de Genève. Ses avocats, menacés, ont dû renoncer à le défendre au profit d’un proche des services.

En décembre dernier, c’est Petro Porochenko, qui remontait dans les sondages, qui a été accusé de trahison. Le 20 décembre 2021 à 15 h 07, on pouvait lire sur le site officiel du SBU qu’il était suspect d’avoir commis des crimes de trahison et de soutien à des activités terroristes. L’ancien président, qui était pourtant un antirusse forcené, se voyait reprocher « d’avoir rendu l’Ukraine énergétiquement dépendante de la Russie et des leaders des pseudo-Républiques sous contrôle russe. »

Le 3 mars dernier, ce sont les activistes de la Gauche Lizvizia qui subissent un raid du SBU et sont emprisonnés par douzaines. Puis le 19 mars, la répression frappe l’ensemble de la gauche ukrainienne. Par décret, onze partis de gauche sont interdits, soit le Parti pour la vie, l’Opposition de gauche, le Parti socialiste progressiste d’Ukraine, le Parti socialiste d’Ukraine, l’Union des forces de gauche, les Socialistes, le Parti Sharyi, Les Nôtres, le Bloc d’opposition, le Bloc Volodymyr Saldo.

D’autres activistes, blogueurs et défenseurs des droits de l’Homme sont arrêtés et torturés, le journaliste Yan Taksyur, l’activiste Elena Brezhnaya, le boxeur de MMA Maxim Ryndovskiy ou encore l’avocate Elena Viacheslavova, dont le père était mort carbonisé dans le pogrom du 2 mai 2014 à la Maison des syndicats d’Odessa.

Pour compléter cette liste, on mentionnera encore ces hommes et ces femmes déshabillés et fouettés en public par les nationalistes dans les rues de Kiev, ces prisonniers russes battus et dont on tirait dans les jambes avant de les exécuter, ce soldat à qui on avait percé un œil avant de le tuer, ces membres de la Légion géorgienne qui ont exécuté des prisonniers russes dans un village près de Kiev tandis que leur chef se vantait de ne jamais faire de prisonnier. Sur la chaine Ukraine 24, c’est le chef du service médical de l’armée qui indique avoir donné l’ordre « de castrer tous les hommes russes parce qu’ils sont des sous-hommes pires que des cafards. » Enfin, l’Ukraine recourt massivement à la technologie de reconnaissance faciale de la société Clearview afin d’identifier les morts russes et de diffuser leurs photos sur les réseaux sociaux russes en les tournant en ridicule…

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UN ACTEUR À OSCARISER

On pourrait multiplier les exemples, tant sont nombreuses les citations et les vidéos d’atrocités commises par les troupes du défenseur de la démocratie et des droits humains qui préside aux destinées de l’Ukraine. Mais ce serait fastidieux et contre-productif auprès d’une opinion publique convaincue que ces comportements barbares sont uniquement dus aux Russes.

C’est pourquoi aucune ONG ne s’en alarme, le Conseil de l’Europe reste coi, le Tribunal pénal international n’enquête pas, les organisations de défense de la liberté de la presse restent muettes. Ils n’ont pas bien écouté ce que le gentil Volodymyr leur avait déclaré lors d’une visite à Butcha début avril : « Si nous ne trouvons pas une porte de sortie civilisée, vous connaissez nos gens, ils trouveront une issue non-civilisée. »

Le problème de l’Ukraine est que son président, bon gré ou mal gré, a cédé son pouvoir aux extrémistes sur le plan intérieur et aux militaires de l’Otan sur le plan extérieur pour s’adonner au plaisir d’être adulé par les foules du monde entier. N’est-ce pas lui qui déclarait à un journaliste français, le 5 mars dernier, dix jours après l’invasion russe : «  Aujourd’hui, ma vie est belle. Je crois que je suis désiré. Je sens que c’est le sens le plus important de ma vie : être désiré. Sentir que vous n’êtes pas banalement en train de respirer, marcher et manger quelque chose. Vous vivez ! ».

On vous l’a dit : Zelenski est un grand acteur. Comme son prédécesseur qui avait incarné le Dr. Jekill & Mr. Hide en 1932, il mérite de gagner l’Oscar du meilleur rôle masculin de la décennie. Mais quand il devra s’atteler à la tâche de reconstruire son pays dévasté par une guerre qu’il aurait pu éviter en 2019, le retour à la réalité risque d’être difficile.

= = =

Deux communiqués sur la guerre en Ukraine à diffuser sans modération :

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la bête immonde…

Surréaliste ?… Le néo-nazisme ukrainien et le président sous la houlette sioniste. On vit vraiment une époque formidable !… (avec Veterans Today)

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NdR71 sur la photo ci-dessus : Cette photo a été prise au parlement ukrainien le 1er décembre 2021. Le président / marionnette Zelensky, de confession judaïque, donc président juif de l’Ukraine, dont le sponsor financier est l’oligarque juif Kolomoïsky, décore de l’ordre de « Héros de l’Ukraine » le commandant néo-nazi du Secteur Droit, Dmytro Kotsyubaylo. Au passage, Komoloïsky est aussi le généreux sponsor du bataillon néo-nazi ukrainien Azov, intégré à la Garde Nationale du pays et ayant commis de nombreux crimes contre les civils du Donbass depuis 2014. Quels mots pour qualifier une telle chose ? Ceci devrait faire réfléchir plus profondément sur le sionisme, la création de l’état juif d’Israël sur les terres volées de Palestine et l’origine d’un état fondé sur un double génocide… Bien des questions dont une partie des réponses se trouvent illustrées dans cette photo de ces deux guignols ci-dessus… Nous aurait-on menti ?…
~ Résistance 71 ~

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Zelensky… du nazi aux rabbins… Tout va pour le mieux dans
le meilleur des mondes sionistes !

Le (neo)nazisme ukrainien sous la coupe de son bizarrement oligarque juif

Ian Greenhalgh

18 mars 2022

url de l’article original :
https://www.veteranstoday.com/2022/03/18/ian-greenhalgh-ukrainian-naziism-under-its-curiously-jewish-oligarch/

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

Afin de mieux comprendre la situation actuelle en Ukraine, la chose à faire est d’étudier les leaders oligarques ukrainiens, à commencer avec Ihor Kolomoïsky, ainsi que quelques oligarques russes comme Michael Fridman.

Ils sont tous juifs, tous ont la nationalité israélienne ainsi que la nationalité ukrainienne ou russe.

C’est assez simple, c’est une question de pognon. L’Ukraine était de loin la république la plus riche et la plus développée de l’Union, elle avait des industries de classe mondiale comme les usines de chemins de fer de Kharkov, l’usine d’aviation Antonov dans la banlieue de Kiev, le minerai de fer et les fonderies d’aluminium du Donbas, l’agriculture de la ceinture méridionale (NdT: l’Ukraine était surnommé “le grenier à blé de l’URSS”), juste pour ne citer que quelques unes de ces qualités.

Maintenant, l’Ukraine est le second plus grand pays d’Europe (après la Russie, qui est aussi le plus grand pays du monde par la superficie), mais second dans la pauvreté de la Moldavie. Toutes les industries ont disparu, les biens ont été pillés et mis en banqueroute par les oligarques, l’Ukraine a un PIB stagnant depuis deux décennies, le chômage est endémique, des millions d’Ukrainiens ont émigrés pour travailler, peu a été construit ou maintenu depuis la fin de l’URSS, c’est un pays qui régresse en bien des aspects, volé et pillé par toute une clique d’oligarques juifs.

Quant à cette affaire de nazis dont parle Poutine mais que l’occident minimise ou rejette catégoriquement, et bien ces (neo)nazis sont aussi une création de la finance juive, mais ceci est une autre bien longue histoire. En bref, ces groupes ultra-nationalistes d’extrême-droite, qu’ils soient allemand, ukrainiens ou américains, sont toujours créés afin de mettre en place un tumulte interne à une nation et pour permettre à l’élite friquée de pouvoir concentrer la richesse entre ses mains.

N’oubliez pas que Mussolini avait défini le fascisme comme la dictature des entreprises et c’est exactement ce qu’il s’est produit en Ukraine et aux Etats-Unis, l’élite friquée qui possède les entreprises (transnationales) dirigent le pays et les politiciens ne sont que des membres d’une caste d’acteurs/comédiens tournant dans l’illusion politique créée afin de maintenir le public dans une transe et ainsi pouvoir faire diversion. Trump en est un excellent exemple, mais comparé à Hitler ou Mussolini, c’est un très mauvais acteur de séries B, navets et un pathétique orateur public, le fait même qu’il soit parvenu à la présidence des Etats-Unis en dit long sur le manque total de discernement de la populace américaine qui l’a soutenu.

Les nazis en Allemagne, ceux de l’époque moderne en Ukraine et aux Etats-Unis et partout ailleurs étaient et sont toujours, la création de l’élite juive friquée. Même les dictateurs Stroessner au Paraguay, Peron en Argentine et Pinochet au Chili, de pâles copies d’Hitler, étaient leur création. (NdT: rappelons-nous simplement des conditions de mise au pouvoir de Pinochet en 1973 : coup d’état organisé par la CIA et début de “l’opération Condor” en Amérique latine, après la visite au Chili des “Chicago Boys” de l’économiste universitaire ultra-libéral Milton Friedman, qui lancèrent les grandes manœuvres de privatisation et de pillage privé, après avoir éliminé le socialiste Allende, la même recette partout…)

La montée d’Hitler et des nazis par exemple, il y avait des douzaines de partis politiques en Allemagne dans les années 1920, la plupart d’entre eux étaient régionaux, le parti nazi (NdT : abréviation de la prononciation de l’acronyme allemand du parti NSDAP ou National Sozialist Deutsche Arbeiter Partei ou Parti National Socialiste des Travailleurs Allemands) était un des plus petits, confiné dans la seule région du sud de la Bavière.

Puis, presque du jour au lendemain, les nazis sont devenus un grand mouvement politique national, les financiers juifs y injectèrent un gros volume d’argent afin que cela se produise. L’argent provint de Wall Street, via la banque Kuhn Loeb & Co et leur branche de Berlin et aussi d’une poignée de gros industriels comme Fritz Thyssen.

NdR71 : pour en savoir plus, lire le remarquable ouvrage de recherche profonde de l’historien Antony C. Sutton “Wall Street et la montée de Hitler” (PDF de notre traduction de larges extraits du livre), à lire en parallèle du premier volet de la trilogie “Wall Street et la révolution bolchévique”… Édifiant !

Hitler n’était pas un bon orateur public ni une personne charismatique jusqu’à juste après sa remise en liberté de la prison de Landsberg. C’est alors qu’il prit des leçons d’art dramatique et lui fut enseigné l’art de délivrer un discours devant une foule d’une façon formulée, qui fouetterait la masse et la mettrait en une sorte de transe : commencer doucement, gentiment, parler de manière conversationnelle, commune, en basse intensité, puis lentement, faire monter le tempo de la diction et du contenu jusqu’aux moments du climax où vous faites rouler vos yeux à l’intérieur de votre crâne tout en serrant les poings et en gesticulant, hurlant alors au plus haut de votre voix, postillonnant dans toutes les directions.

Cela marcha de manière extraordinaire, mais ceci était une personnalité, un personnage, 100% fabriqués, qu’Hitler s’entraînait à mettre en scène. Il passait de longues heures devant un miroir à répéter ses routines, à perfectionner ses positions et ses gestes d’agitation des poings ; il répétait ses discours sans arrêt, discours qui étaient écrits pour lui par une équipe des meilleurs écrivains du genre en Allemagne.

La même chose s’est produite en Ukraine ces récentes décennies, l’argent afflue des plus hautes instances de la finance juive et est dirigé en Ukraine vers les politiciens de l’extrême-droite via une poignée d’oligarques majeurs tels qu’Ihor Kolomoïsky.

Après cette expérience éducative que fut la période Hitler pour le monde, vous ne pouviez plus mettre de sociopathe enragé dans une position de pouvoir public, vous deviez le cacher derrière des visages plus respectables, c’est ce qu’est Zelensky et ce que fut Porochenko avant lui. (NdT: de la même manière qu’avant la seconde guerre mondiale fleurissaient en GB et aux Etats-Unis les “Eugenist Societies”, après l’horreur nazie, le mot “eugénisme” devait être remplacé par quelque chose de plus bénin, plus “scientifique”, entra alors en scène le mot “génétique”. La génétique, n’est que la forme moderne d’application de la doctrine eugéniste de la fin XIXème jusqu’à 1945, c’est sa continuité post-nazisme…)

Zelensky, l’acteur/comédien, fut choisi par Kolomoïsky pour être président, une totale marionnette, il joue un rôle et le fait bien grâce à ses talents d’acteurs dans ce contexte.

Chaque président et premier ministre ukrainiens depuis 2004, lorsqu’ils eurent leur première révolution colorée, et mise à part le pro-Moscou Yanoukovich, ont été sélectionné(e)s par les oligarques.

Zelensky possédait des talents d’acteurs, puisque c’était son métier, donc tout ce qu’ils avaient à faire était de lui donner un script et quelques directions d’acteur. Sa manière de jouer est plus sobre, moins dramatique que celle des Hitler and Co, mais elle n’en est pas moins une performance d’acteur ; elle trompe les gens à travers l’occident qui l’acclament comme un héros pour s’être dressé devant le grand méchant ours russe. Cela me fait gerber…

Kolomoïsky et une poignée d’autres oligarques sont responsable d’avoir créé et financé les gangs (neo)nazis qui sont soi-disants volontaires dans la défense de l’Ukraine devant les hordes barbares russes les envahissant depuis l’invasion mythique, inventée, de 2014 (NdT : l’affaire de la Crimée), mais ces groupes ont été responsables de l’assassinat d’au moins 14 000 civils ukrainiens au Donbass, de massacres comme la barbare attaque des manifestants pro-Yakounovich à Odessa en 2014, qui vit une femme enceinte être violée et assassinée alors que 48 personnes étaient brûlées vives dans un bâtiment.

Ces groupes néo-nazis ont constamment bombardé le peuple du Donbass pendant 8 ans alors que les médias du monde occidental prétendent qu’ils n’existent pas ou, s’ils ont reconnu leur existence, les dépeignent en croisées héroïques faisant rempart contre le malfaisant impérialisme russe. Cela me faire encore plus gerber…

Ils ont des noms comme les bataillons Azov, Aïdar, ou Dniepro et hébergent les pires criminels, voyous, sociopathes, psychopathes, violeurs et assassins que l’on puisse se payer, la merdasse non seulement de l’Europe, mais aussi des Amériques, du Moyen-Orient, de l’Afrique et de l’Asie. Ils viennent de partout dans le monde pour supposément combattre une croisade contre le mal russe mais en réalité, ils ne sont rien d’autres que le bras armé des oligarques et l’instrument de la violence et de la mort qu’ils utilisent pour réaliser leur sinistre et criminel agenda.

Allez voir les tristement célèbres brigades Kaminski et Dirlewanger de la seconde guerre mondiale, vous y verrez un bon parallèle avec les unités mercenaires oligarchiques comme les bataillons Azov et Dniepro

https://en.wikipedia.org/wiki/Kaminski_Brigade

https://en.wikipedia.org/wiki/Dirlewanger_Brigade

Ces gens ne sont pas des guerriers idéologiques, ce sont juste des criminels, des psycho et sociopathes qui se planquent derrière une idéologie de l’ordre pour commettre les pires crimes comme l’assassinat, le viol et autres méfaits (NdT: ainsi que la détention arbitraire et la torture comme l’indique ce rapport de l’OFPRA de novembre 2018… ce ne sont que des escadrons de la mort tels qu’ils furent aussi créés par la CIA et Wall Street en Amérique centrale et du sud dans les années 70-80-90, voir ou revoir à ce sujet l’excellent film d’Oliver Stone, “Salvador”, 1986)

En fait, peu importe qu’ils soient nazis ou pas, l’idéologie n’est juste qu’une illusion de plus. En réalité, ils sont le bras armé des patrons du crime en bande organisée, qui ont pillé l’Ukraine de tous ses biens et qui ont pour plan de faire de même en Russie (NdT: c’était en cours dès la chute de l’URSS en 1991, le traître Eltsine vendait alors la Russie par morceaux aux plus offrants, des milliardaires oligarques se sont créés en une nuit, jusqu’à ce qu’un homme y mette un grand coup d’arrêt: Vladimir Poutine… De Gaulle avait foutu les Yankees et leurs bases militaires hors de France après 1945, Poutine a mis un terme au démantèlement ultra-libéral de la Russie à la fin des années 90, début des années 2000, à ce titre il est le héros de millions de Russes, qui le voient comme le sauveur de la Grande Patrie, elle-même grande vainqueur du nazisme dans une Grande Guerre Patriotique qui coûta à l’Union 27 millions de morts, essentiellement civils…), si ce n’était pour cet empêcheur de piller en rond, Vladimir Poutine.

ukraine_neonazi
Dénazifier l’Ukraine…

Ukraine_neo-nazis
Puisque l’OTAN vous dit…
qu’il n’y a pas de nazis en Ukraine, merde quoi !…