Archive pour rockefeller et nouvel ordre mondial

Nécrologie nécessaire: Une ordure de plus en moins…

Posted in actualité, N.O.M, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme with tags , , , , , , , , , , , , on 21 mars 2017 by Résistance 71

Résistance 71

21 mars 2017

A lire « Le dossier Rockefeller »

Nous apprenons avec une joie non dissimulée la mort le 20 mars 2017,  d’une des plus grandes ordures que la terre ait portée: le milliardaire David Rockefeller, que son fric a réussi à maintenir honteusement en vie jusqu’à l’âge de 101 ans.

Ce sinistre personnage, héritier d’une famille de criminels ayant trempé dans tous les coups les plus foireux aux Etats-Unis et ailleurs et qui a contribué à financer les plus sinistres dictateurs du XXème siècle et à créer le groupe Bilderberg et la commission trilatérale, outils de contrôle et de soumission du monde au Nouvel Ordre Mondial oligarchique, sera sans nul doute pleuré par ses marionnettes telles le criminel Kissinger et son acolyte Brzezinski. On verra sûrement dans les jours qui viennent tous les larbins venir pleurnicher la mort de leur maître sur toutes les antennes du monde. Ce Rockefeller là, ayant le sang de millions de personnes sur les mains, l’a passé la main depuis longtemps, de fait tous ces gens ne sont que simples pions d’une entité tentaculaire qu’ils ont mis en place et dont ils essaient toujours tant bien que mal d’en contrôler les rouages ; entité dont la fonction est de dominer, de réprimer, d’exploiter le monde pour le profit du plus petit nombre.

Alors oui, on reprendra deux fois des macaroni pour l’occasion, mais ne nous leurrons pas: c’est le système qu’il faut abattre, ses hommes aux manettes en sont devenus les outils et aussi les esclaves. Se débarrasser des Rockefeller et consorts ne changera rien, car le système auto-génère ses pilotes et mécaniciens. C’est la machinerie qu’il faut démonter en changeant notre attitude à son égard, en cessant d’accepter ses diktats et en lui substituant la société des sociétés égalitaire, seule solution viable et durable pour l’humanité.

Donc, à bas l’Etat ! A bas, l’économie de marché ! A bas les institutions ! Boycott du vote ! Boycott du système construit pour la pérennité oligarchique ! Remplaçons la pseudo-démocratie qui nous est imposée, par la seule qui puisse être, celle de notre gouvernance dans une société égalitaire, non-pyramidale, non-hiérarchique et non-coercitive.

Les Rockefeller et les Rothschild dont ils émanent sont remplaçables, interchangeables en haut de la pyramide. Mais s’il n’y a plus de pyramide ?…

Dommage que l’enfer (tout comme le paradis) n’existe pas Rockefeller, tu y serais à ta place, mais consolons-nous: au bout du compte, tu n’emportes pas tes milliards dans ton trou, tu vas pourrir comme nous tous, à moins que tu t’offres le dernier des luxes: te faire congeler dans l’espoir d’être technologiquement ressuscité dans le futur ?… Quoi qu’il en soit, ordure, tu as fait l’expérience de la seule égalité demeurant sur cette planète: la mort.

çà nous ferait quand même chier que tu reposes en paix…

Au cœur de l’hydre pétrolière… La métamorphose du cloporte Standard Oil Rockefeller…

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, économie, colonialisme, crise mondiale, guerre iran, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, militantisme alternatif, N.O.M, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , on 10 juillet 2016 by Résistance 71

N’oublions pas que la guerre en Syrie est une guerre (du gaz) par procuration menée par Exxon-Mobel/Rockefeller et Royal Dutch Shell/Rothschild contre Gazprom et la compagnie iranienne du pétrole et du gaz…

— Résistance 71–

 

Le trust financier de la Standard Oil des Rockefeller

 

Dean Henderson

 

6 juillet 2016

 

url de l’article original:

https://hendersonlefthook.wordpress.com/2016/07/06/the-standard-oil-trust/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

En 1952, la Commission Fédérale du Commerce (CFC) des Etats-Unis a publié un rapport détaillant la collusion et la fixation des prix de la part des quatre cavaliers du pétrole:Exxon-Mobil, Chevron-Texaco, BP Amoco et la Royal Dutch Shell.

Intitulé “Le cartel international pétrolier”, la rapport détaillait les quotas secrets de production, les associations, les accords marketing et autres preuves du trucage du marché pétrolier. La BP et la Royal Dutch Shell avaient des engagements exclusifs de marketing avec Exxom et Mobil, qui avait déjà des relations privilégiées avant leur fusion de l’an 2000.

Pendant la seconde guerre mondiale, la famille Rockefeller contrôlait 20,2% d’Exxon ; 16,34% de Mobil et 11,36% d’Amoco. Ces entreprises émergèrent toutes de la dissolution “supposée” du Standard Oil Trust, un processus qui fut commencé en 1892, lorsque la cour suprême de l’état de l’Ohio ordonna la dissolution de la Standard Oil de l’Ohio, la tête du serpent de la Standard Oil des Rockefeller.

John D. Rockefeller transporta son QG à New York pour contourner la décision de la cour suprême, mais les Américains, menés par l’écrivain populiste Ida Tarbell, devinrent de plus en plus hostiles au monople de la Standard Oil. En 1906, l’état fédéral accusa la Standard Oil de violer la loi anti-trust Sherman. Le 15 mai 1911, la cour suprème des Etats-Unis déclara que “Sept hommes et une machine entrepreneuriqle ont conspiré contre leurs concitoyens. Pour la sécurité de la république nous décrétons maintenant que cette dangereuse conspiration doit prendre fin avant le 15 novembre de cette année.

Mais le démantèlement de la Standard Oil augmenta la fortune des Rockefeller, qui prirent 25% de parts dans les nouvelles entreprises ainsi créées. La Standard Oil de New York fusionna avec Vacuum Oil pour former Socony-Vacuum, qui devint Mobil en 1966. La Standard Oil de l’Indiana rejoignit la Standard Oil du Nebraska et la Standard Oil du Kansas en 1985 et devinrent Amoco.

En 1972, la Standard Oil du New Jersey devint Exxon. En 1984, la Standard Oil de Californie fusionna avec ses bébés fiduciaires de Pennzoil et de la Standard Oil du Kentucky, puis elle avala tout cru la Gulf Oil pour devenir Chevron. La Standard Oil de l’Ohio garda le nom de l’entreprise jusqu’à ce qu’elle fut achetée, tout comme Amoco et un des bébés de la Standard ARCO, par BP devenant ainsi BP Amoco.

Le ministère de la justice américain répondit au rapport de la CFC de 1952 en amenant une affaire anti-trust en justice contre la faction américaine de big oil. Exxon, Mobil, Chevron, Texaco et Gulf s’allouèrent les services de la grosse firme légale Sullivan & Cromwell, mais les caïds de la défense du “droit” ne furent jamais mis à contribution.

Dix jours avant le coup d’état contre le président iranien démocratique élu Mohamed Mossadeq (en 1959), le président Eisenhower annula l’affaire amenée par la CFC sur la base de la sécurité nationale. Ike (surnom d’Eisenhower) accorda l’immunité aux cavaliers du pétrole contre toute mise en accusation, alors que son envoyé l’ancien président Herbert Hoover, se rendit à Téhéran pour aider Big Oil et leur marionnette le Shah (NdT: roitelet de la dynastie Palawi, mis en place par la CIA) à établir le consortium iranien du pétrole, qui consistait en ces quatre cavaliers du pétrole et la française géante du pétrole la Compagnie Française du Pétrole (aujourd’hui Total-Elf-Fina). BP acquît alors 40% des parts.

Le cartel établît des quotas de production qui s’appliquèrent non seulement à l’Iran, mais aussi aux autres nations productrices de pétrole. Ces quotas leur permirent d’éviter la concurrence et de contrôler les prix du pétrole (NdT: à des fins spéculatives bien entendu…). L’universitaire du pétrole John Blair, qui fut instrumental dans le titillage de la CFC pour qu’elle déclenche une enquête, nota que de 1950 à 1972, la production dans 11 des pays de l’OPEP avait augemnté dans exactement les mêmes proportions.

Lorsque Eisenhower quitta la Maison Blanche, il s’établît dans une ferme de 240Ha près de Gettysburg en Pennsylvannie. Il n’acheta pas la propriété, il ne paya pas non plus pour la construction de tous les bâtiments, ni pour le cheptel qui le peupla bientôt, il ne paya même pas pour les ouvriers employés pour mettre tout cela en place…

La retraite de rêve d’Ike fut totalement payée par Sid Richardson et Clint Murchison, deux milliardaires texans du pétrole qui partageaient de gros intérêts avec les Rockefeller dans les champs pétroliers du Texas et de Louisiane. Leur bonne volonté envers Eisenhower s’étendit même à son ministre du budget et des finances Robert Anderson, qui mit en œuvre un système de quota limitant les importations de pétrole ce qui aida grandement Big Oil à mettre KO leurs plus petits concurrents du marché américain.

Anderson est devenu un exécutif chez ARCO et a reçu une propriété dans l’ouest du Texas d’une valeur de 900,000 US$ et remplit de pétrole de la part des hommes de paille des Rockefeller.

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Lire: “Le dossier Rockefeller” (traduction Résistance 71)

Notre dossier sur le pétrole abiotique

Nouvel Ordre Mondial, haute finance et maison Rockefeller

Posted in actualité, économie, documentaire, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, militantisme alternatif, N.O.M, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, police politique et totalitarisme, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique with tags , , , , , , , , , , on 27 janvier 2014 by Résistance 71

A lire aussi sur le sujet sur ce blog:

Notre « Dossier Rockefeller » (traduction du livre de Gary Allen mentionné dans l’article ci-dessous) et « Le cartel de la réserve fédérale: les huit familles »

— Résistance 71 —

 

Banquiers suisses Banque des Règlements Internationaux et la Maison Rockefeller

 

Dean Henderson

 

23 janvier 2014

 

url de l’article original:

http://deanhenderson.wordpress.com/2014/01/23/swiss-bankers-bis-the-house-of-rockefeller/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

 

Il y a trois ans, Rudolf M. Elmer, chef du secteur des Iles Caymans de la grosse banque suisse Julius Baer, annonça qu’il avait donné à Wikileaks des informations concernant 2000 personnes et entreprises  influentes qu’il dit engagées dans la fraude fiscale et autres activités criminelles. Elmer décrivit ceux qu’il a exposa comme des “piliers de la société”.

(Extrait du Chaptitre 18: The International Bankers: Big Oil & Their Bankers…)

L’utilisation  de compte bancaires Eurodollar offshore par les super-riches coûtent des milliers de milliards de dollars en revenus annuels aux gouverments ne pouvant joindre les deux bouts dans le monde. En 1963 le marché Eurodollar valait environ 148 millions de dollars, dès 1982 il valait 2 000 milliards de dollars, tandis que la capacité d’argent américain M-1 se tenait à 442 milliards de dollars (NdT: la base M1 d’argent est la quantité physique disponible en cash et sur les comptes bancaires courants).

En 1950, les entreprises américaines avaient une part de 26% des revenus fiscaux des Etats-Unis. En 1990, elles ne couvraient plus que 9% de la masse fiscale, contribuant au déficit budgétaire massif et à la dette courante des Etats-Unis se chiffrant à 14 000 milliards de dollars. En 2009, des géants entrepreneuriaux comme Bank of America, General Electrics, Exxon Mobil ne payaient pas d’impôts fédéraux. Le bénéfice net d’Exxon Mobil pour cette année là fut de 45 milliards de dollars. Ces entreprises utilisent des subsidiaires dans les îles contrôlées par la Couronne britannique (NdT: maintenant nos lecteurs savent ce que veut dire “couronne britannique” lorsque le terme est employé. Il ne s’agit pas de la famille royale, mais de la City de Londres et de la Banque d’Angleterre contrôlée par la famille Rothschild) comme les Bahamas, les Bermudes ou les Île Caymans, afin de gruger l’IRS (le fisc).

Ces marchés opaques d’Eurodollar dans des paradis fiscaux servent aussi à laver plus blanc les pétrodollars, l’argent de la drogue de la CIA et les bénéfices des ventes d’armes illégales du Mossad. Des fonds illicites en sortent blanchis sur les comptes des mega-banques mondiales. Des banques suisses secrètes jouent un grand rôle dans le manège. La plus puissante d’entre elles étant la Banque pour les Règlements Internationaux (NdT: la BRI qui est la banque centrale des banques centrales, toutes tout ce qu’il y a de plus privé !..)

La BRI fut établie à Bâle en Suisse en 1930. C’est la banque la plus puissante au monde, une banque centrale mondiale contrôlée par huit familles qui contrôlent le cercle des banques centrales de presque toutes les nations. Le tout premier président de la BRI fut la banquier des Rockefeller Gates McGarrah, un officiel de la Chase Manhattan Bank et de la Réserve Fédérale. McGarrah est le grand-père de l‘ancien directeur de la CIA Richard Helms (NdT: Un très grand nombre des directeurs de la CIA furent liés de près à la haute finance et à Wall Street, la liste vaudrait un article à lui seul. Il suffit d’en tirer les conclusions qui s’imposent…). Les Rockefeller et les Morgan ont des liens três étroits avec la City de Londres et la famille Rothschild.

La BRI est propriété de la Réserve Fédérale, de la Banque d’Angleterre, de la Banque d’Italie, de la Banque du Canada, de la Swiss National Bank, Nerderlandsche Bank, la Bundesbank et la Banque de France. L’historien Carroll Quiggley dit que la BRI faisait partie d’un plan, “celui de créer un système mondial de contrôle financier qui serait dans des mains privées et  capable de contrôler et de dominer le système politique de chaque pays et l’économie totale du monde, d’être contrôlé de manière féodale par les banques centrales du monde agissant de concert par accords secrets.”

Le gouvernement américain a eu un manque de confiance dans la BRI, faisant pression pour sa disparition sans succès à la conférence de Bretton Woods en 1944. Aub lieu de cela le pouvoir des huit familles en contrôle fut renforcé avec la création lors de cette conférence du FMI et de la Banque Mondiale. La Banque de la Réserve Fédérale ne prit des parts de la BRI qu’en 1994. La BRI tient au moins 10% des réserves monétaires d’au moins 80 des banques centrales du monde, du FMI et autres institutions multilatérales. Elle sert d’agent financier pour les accords internationaux, collecte des informations sur l’économie mondiale et sert de prêteur de dernier recours pour prévenir un effondrement financier global.

La BRI fait la promotion d’un agenda de monopole capitaliste fasciste. Elle a donné un pont d’emprunt à la Hongrie dams les années 90 pour assurer la privatisation de l’économie de ce pays. Elle a servi d’intermédiaire pour le financement Illuminati d’Adolf Hitler, mené par les Warburg J. Henry Schroeder et la banque Mendelshon d’Amsterdam. Bon nombre de chercheurs affirment que la BRI est le cœur et centre nerveux du blanchiment mondial de l’argent de la drogue.

Ce n’est pas une coïncidence si la BRI a son QG en Suisse, l’endroit favori pour cacher les richesses de l’aristocratie mondiale et QG d’à la fois la loge maçonique P2 Alpine et Nazi International.

Bretton Woods fut une manne pour les huit familles. Le FMI et la Banque Mondiale étaient des entités centrales à ce “nouvel ordre mondial”. En 1944, les premiers bons de la Banque Mondiale furent absorbés par Morgan Stanley et First Boston. La famille banquière française Lazard devint plus impliquée dans les intérêts de la famille Morgan. Lazard-Frères, la plus grosse banque d’investissement française est propriété des Lazard et des familles David-Weill, de vieux briscards de la finance de Gêne représentés par Michele Davive. Un PDG récent de Citigroup fut Sanford Weill.

En 1968, Morgan Guaranty lança Euro-Clear, une banque basée à Bruxelles gérante de systèmes pour les securities en Eurodollar. Ce fut la première opération automatique de la sorte. Certains la nommèrent “La Bête”. Bruxelles sert aussi de QG pour la nouvelle BCE (Banque Centrale Européenne) et pour l’OTAN. En 1973, les officiels de la Morgan se rencontrèrent secrètement aux Bermudes pour raviver de manière illégale la vieille maison Morgan, 20 ans avant l’arrêt de la loi Glass Steagal. Morgan et les Rockefeller donnèrent leur soutien financier à la banque Merrill Lynch, la propulsant dans les 5 plus grosses banques d’investissement américaines. Merrill est maintenant partie de Bank of America.

John D. Rockefeller employa sa fortune amassée dans le pétrole pour acheter Equitable Trust, qui a phagocyté plusieurs grandes banques et corporations dans les années 1920. La grande dépression aida grandement à consolider le pouvoir des Rockefeller. Sa banque Chase fusionna avec Kuhn Loeb et sa Manahttan Bank pour former la Chase Manhattan Bank, cimantant ainsi la relation de longue durée des deux familles.

Les Kuhn Loebs et les Rothschilds fnancèrent la quête des Rockefeller pour devenir les rois du pétrole américains. La Natonal City Bank de Cleveland assura à John D. les fonds dont il avait besoin pour s’embarquer dans le monopole de l’industrie du pétrole américaine. La banque fut identifiée dans un audit du congrès américain comme étant une des trois banques propriété des Rothschild aux états-Unis durant les années 1870, lorsque Rockefeller incorpora, créa la Standard Oil de l’Ohio.

Un associé de la Standard Oil des Rockefeller était Edward Harkness, dont la famille en vint à contrôler Chemical Bank. Un autre fut James Stillman, dont la famille contrôlera par la suite Manufactorers Hanover Trust. Ces deux banques font maintenant partie de JP Morgan Chase. Deux des filles de James Stillman marièrent deux des fils de William Rockefeller. Ces deux familles contrôlent Citigroup.

Dans le monde des assurances, les Rockefeller contrôlent Metropolitan Life, Equitable Life, Prudential and New Yok Life. Les banques Rockefeller contrôlent 25% de tous les biens des 50 plus grandes banques commerciales des Etats-Unis et 30% de tous les biens des 50 plus grandes compagnies d’assurance US. Les compagnies d’assurance, la toute première fut lancée aux Etats-Unis par les franc-maçons au travers de leur entité Woodman’s of America, jouent un tout premier rôle dans le blanchiment de l’argent de la drogue aux Bermudes.

Alors que leur richesse pétrolière gonflait, la famille bougea vers des investissements en aval de la production, achetant des entreprises qui fabriquaient des produits à base de pétrole. Par exemple, d’après le magazine Nexus New Time, les Rockefeller contrôlent 40% de l’industrie pharmaceutique américaine.

D’autres entreprises sous contrôle Rockefeller incluent Exxon Mobil, Chevron Texaco, BP Amoco, Marathon Oil, Freeport McMoRan, Quaker Oats, ASARCO, United, Delta, Northwest, ITT, International Harvester, Xerox, Boeing, Westinghouse, Hewlett-Packard, Honeywell, International Paper, Pfizer, Motorola, Monsanto, Union Carbide and General Foods.

La Fondation Rockefeler a des liens financiers très étroits avec à la fois les Fondations Ford et Carnegie. D’autres aventures philanthropiques incluent le Fond des Frères Rockefeller, le Rockefeller Institute for Medical Research, General Education Board, Rockefeller University and the University of Chicago, qui vomit un flot d’économistes d’extrême-droite comme Milton Friedman, qui servent de vitrine et de propagandistes pour le capital international.

La famille possède 30 Rockefeller Plaza, où un sapin de noël national est illuminé chaque année et un Centre Rockefeller. David Rockefeller fut instrumental dans la construction des tours du World Trade Center. La résidence principale des Rockefeller est un grand complexe dans le haut de l’état de New York appelé Pocantico Hill. Ils possèdent également un 32 pièces duplex sur la 5ème avenue de Manhattan, un manoir à Washington DC, le Monte Sacro Ranch au Venezuela, des plantations de café en Equateur, plusieurs fermes au Brésil, une propriété à Seal Harbor dans le Maine et des stations balnéaires dans les Caraïbes, Hawaii et Porto-Rico.

Les familles Dulles et Rockefeller sont cousines. Allen Dulles créa la CIA, assista les nazis, couvra l’assassinat de Kennedy avec sa commission Warren et fit un pacte avec la Confrérie des Frères Musulmans pour créer des assassins sous contrôle psychologique. Son frère John Foster Dulles présida les fonds de trusts bidons de la Goldman Sachs avent l’effondrement boursier de 1929 et il aida son frère à renverser les gouvernements de gauche progressistes au Guatemala et en Iran dans les années 1950. Tous deux étaient membres de Skull & Bones, du CFR et franc-maçons au 33ème degré.

Les Rockefeller furent instrumentaux à la formation du Club De Rome dévoué à la dépopulation mondiale, qu’ils créèrent dans leur propriété de Bellagio en Italie. Le propriété de Pocantico Hill donna naissance à la Commission Trilatérale. La famille est un financier majeur du mouvement eugéniste qui pondit Hitler, du clonage humain et de l’actuelle obsession avec la génétique et l’ADN dans les cercles scientifiques américains. John Rockefeller Junior était à la tête du Conseil sur la Population jusqu’à sa mort.

Son fils qui porte le même prénom est un sénateur de l’état de Virginie de l’Ouest. Son frère Winthrop Rockefeller fut Lieutenant Gouverneur de l’Arkansas et est l’homme le plus puissant de l’état. Dans un article avec la magazine Playboy en 1975, le vice-président des Etats-Unis Nelson Rockefeller, qui était aussi gouverneur de l’état de New York, articula la vision de sa famille comme suit: “Je suis un grand croyant en une planification totale et mondiale de l’économie, du social, de la politique et de l’armée.”

Mais de tous les frères Rockefeller, c’est le fondateur de la Commission Trilatérale (CT) et président de la Chase Manhattan Bank, David, qui a propulsé l’agenda fasciste de la famille à l’échelle mondiale. Il a défendu le Shah d’Iran, le régime d’apartheid sud-africain et la junte militaire de Pinochet au Chili. Il est le plus grand financier du CFR, de la CT et (pendant la guerre du Vietnam) du Comittee for Effective and Durable Peace in Asia, une aventure contractuelle fastueuse pour les profiteurs de guerre.

Nixon lui demande d’êrtre son ministre des finances, mais David Rockefeller refusa, sachant que son pouvoir était bien plus grand en tant que grand patron de la Chase Manhattan Bank. D’après l’écrivain Gary Allen (NdT: Dont nous avons traduit ici son remarquable “Dossier Rockefeller”), en 1973: “David Rockefeller rencontra 27 chefs d’état, incluant les dirigeants de la Chine et de l’URSS.” Suite au Nugan Hand/CIA coup d’état en 1975 contre le premier ministre australien nationaliste Gough Whitlam, son successeur nommé par la couronne britannique se dépêcha de se rendre aux Etats-Unis, où il ne rencontra le président Gerald Ford qu’après avoir consulté David Rockefeller.

Les documents que Mr Elmer a communiqué à Wikileaks vont sans aucun doute faire la lumière sur certains “piliers de la société” ; mais ne soyons aucunement surpris de voir les gros poissons se barrer avec l’appât, le ligne et le bouchon…

Au cœur du Nouvel Ordre Mondial… Le dossier Rockefeller 2eme partie…

Posted in actualité, économie, crise mondiale, documentaire, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, N.O.M, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social with tags , , , , , , , on 5 octobre 2011 by Résistance 71

= = Suite de notre traduction en trois parties de larges extraits du livre de Gary Allen « The Rockefeller File » = =

Dossier Rockefeller 1ere partie

 

Dossier Rockefeller 3eme partie

 

Chapitre 5

[…] Les Rockefeller ont maîtrisé à un point terrifiant l’art d’utiliser la puissance économique afin de bâtir une puissance politique qui va renforcer encore plus avant leur pouvoir économique et ainsi de suite, ad infinitum[…]

[…] La pierre angulaire de l’establishment Rockefeller est le Council on Foreign Relation (CFR). Le leadership du CFR est l’équivalent du cerveau de la pieuvre. David Rockefeller est le président du comité directeur (NdT: en 1975-1976, il est président honoraire aujourd’hui)…

Le CFR est basé à New York et est composé d’environ 1600 “initiés” au faîte des affaires de la nation dans les domaines de la haute finance, de la politique, de l’éducation supérieure, du commerce, des fondations et des médias audio-visuels et écrits… Pendant ses cinquante premières années d’existence, le CFR ne fut pratiquement jamais mentionné par les grands de la presse nationale. Mais quand vous réalisez que le CFR a pour membres les top exécutifs du New York Times, du Washington Post, du Los Angeles Times, de Time, Life, Fortune, Business Week, et des chaînes NBC, CBS (NdT: CNN, Fox News, MSNBC etc n’existaient pas dans les années 70… Ils ont rejoint le club depuis…) et bien d’autres, vous pouvez être certain qu’une telle anonymité n’est pas une coïncidence et qu’elle est parfaitement délibérée… Anticipant de manière évidente une attention publique grandissante au sujet du CFR, le New York Times et le New York magazine se fendirent de deux articles. La stratégie était d’admettre que le CFR avait de longue date agit en super-gouvernement non élu des Etats-Unis, mais de maintenir la ligne que cela avait été fait de manière altruiste, idéaliste et par dévotion abnégatoire envers le bien public. (NdT: ceci se passa de la même façon pour le groupe Bilderberg, dont l’existence même était niée il y a encore une dizaine d’année et le fait de le mentionner n’amenait que le déni et l’accusation d’élucubrations conspirationnistes. Aujourd’hui, la presse de masse est obligée d’en parler car le groupe ne peut plus avancer caché)[…]

[…] De fait, le CFR a servi d’agence pour l’emploi virtuelle pour le gouvernement fédéral, à la fois républicain ou démocrate. Dans son article du New York Times, Anthony Lukas observa: “Tout le monde sait comment fonctionne la fraternité de groupe pour gravir les échelons de la vie. Si vous voulez être dans la politique étrangère, il n’y a pas de meilleure fraternité que le Council on Foreign Relation et il faut en faire partie…” […]

[…] Qu’essaient de faire les Rockefeller avec leur CFR ?

Pour la première fois dans l’histoire, nous avons un membre du CFR qui est prêt à parler contre l’organisation.

Il s’appelle Chester Ward et est un Amiral en retraite de la marine américaine, qui est devenu l’avocat général du tribunal militaire de la marine. Alors qu’il gravissait les échelons du succès au sein de la marine, il fut invité à rejoindre le “prestigieux” CFR. L’establishment anticipa le fait que comme beaucoup d’autres avant lui, l’Amiral Ward succomberait à la flatterie d’être invité dans le sein des saints du sanctuaire de l’establishment et qu’en faisant appel subtilement à son ambition personnelle, il resterait gentillement dans la ligne de conduite. Les “initiés” sous-estimèrent grandement la dureté de caractère de l’amiral Ward. Il devint très vite un opposant très vocal de l’organisation. L’amiral déclara:

“L’objectif de la majorité influente des membres du CFR n’a pas changé depuis depuis sa création en 1922 il y a donc plus de 50 ans. Dans le numéro du cinquantenaire de Foreign Affairs (la publication officielle du CFR), le premier article directeur était écrit par le membre du CFR Kingman Brewster Jr et intitulé “Réflexions sur notre but national”. Il ne se découragea pas et le nomma expressément comme suit: notre but national devrait être l’abolition de notre nationalité. Il déballa tous les arguments pour un gouvernement global…”

Si le CFR de la famille Rockefeller a “pour passion de renier la souveraineté” des Etats-Unis, a qui donc sommes-nous supposés la rendre ?

L’amiral Ward répond que le but est de “submerger la souveraineté et l’indépendance nationales dans un tout-puissant gouvernement mondial; et en accord avec l’amiral, environ 95% des 1600  membres du CFR sont au courant que cela est le véritable but du conseil, et ils soutiennent tous ce but ! […]

[…] un des plus grands dangers pour les internationalistes du CFR est la peur que sufisamment de citoyens américains comprennent finalement ce qu’ils sont en train de faire et que dans la bonne vieille tradition d’un électorat en colère, ils “balancent les rats hors du navire”. Face a la possibilité qu’une centaine de mini-nations au sein du pays ne vous boudent, ou pire, que les citoyens du pays ne deviennent clairvoyants et sages concernant le plan de jeu que vous leur avez préparé, que feriez-vous ?

La réponse fut évidente pour les Rockefellers depuis plus de cinquante ans: vous créez un gouvernement mondial que vous contrôlez et vous avez ce gouvernement à la tète de tous les autres.

Ceci a été le plan établi depuis au moins les 54 dernières années (NdT: 1922, année de la création du CFR…) et depuis que papy pétrodollars lui-même donna de l’argent pour construire la Ligue des Nations à Genève[…]

[…] Un tel “Nouvel Ordre Mondial” de manière emphatique, ne veut pas dire une société rendue impotente débattant de sujets avec le CFR. Non, cela veut dire un régime international qui contrôle les armées du monde, les armes, les cours de justice, les collecteurs d’impôts (NdT: dont par exemple la fameuse inepte taxe carbone fait partie intégrante. Le but est de la payer directement au cartel banquier qui sera en contrôle du gouvernement mondial), les écoles, les gouvernements locaux et tout le reste[…]

[…] Le “Nouvel Ordre Mondial” planifié par les Rockefeller sera une dictature globale. Les conservateurs l’appelleront socialisme ou communisme; les gens de gauche l’appelleront fascisme. L’étiquette ne fait absolument aucune différence. Ce sera l’archipel du Goulag à l’échelle planétaire.

Bien sûr les promoteurs d’un tel gouvernement mondial déguisent leurs intentions derrière toute une série de propos à double sens. A titre d’exemple voici comment le sénateur Alan Cranston de Californie (qui fut pendant de nombreuses années le président de la dépendance des Rockefeller: United World Federalists), défendît la proposition d’un super-état:

“La proposition 64 de gouvernement mondial ne dit pas que nous devrons abandonner notre souveraineté. Elle propose simplement des moyens par lesquels nous pourrons exercer au mieux notre souveraineté impotente sur des choses vitales comme par exemple la prévention de la guerre. Elle propose que nous créions un gouvernement mondial limité et que nous y déposions notre souveraineté…” En clair, nous n’abandonnons rien, mais nous “déposons”, Orwell appelait cela la novlangue[…]

[…] Même Nelson Rockefeller (NdT: vice président du président Gérald Ford, qui était en fonction au moment de la publication de ce livre, juste avant l’élection de Jimmy Carter, qui lui aussi s’entourera de membres du CFR et de la commission trilatérale également créée par Rockefeller…) sait que la révolution américaine fut une protestion contre exactement la sorte de pouvoir centralisé dont il se fait l’avocat. L’empire britannique était le gouvernement mondial de l’époque. Nos pères fondateurs ne voulaient pas être inter-dépendants, ils voulaient être indépendants. Ils étaient d’accord de payer le prix pour cette indépendance, dans la même monnaie que tout homme libre doit toujours payer: en sang et en or.

Chapitre 6

[…] “De manière toute aussi important est l’influence du CFR sur les médias… Le CFR contrôle ou possède les journaux principaux, les magazines ainsi que les réseaux de radio et de télévision…” Amiral Chester Ward (CFR et amiral en retraite)

Les Rockefellers comme nous l’avons vu ne sont pas de ceux qui laissent l’opinion publique se forger par chance. C’est pourquoi ils ont aussi investi leur argent charitable si judicieusement dans les filières de l’éducation et de la religion. Il serait d’une grande naïveté d’assumer que la famille ne puisse pas exercer toute influence subtile ou moins subtile sur les médias de masse de la nation[…]

[…] Les Rockefellers se sont assurés que les faiseurs d’opinion et les preneurs de décision du domaine des médias et de la presse ont été proprement introduits et initiés dans leur loge du CFR[…]

[…] Feu Arthur Hays Sulzberger, chairman du comité directeur du New York Times (NdT: à cette période), était membre du CFR et aujourd’hui (NdT: en 1975-76, c’est pire aujourd’hui !), il y a au moins 11 personnes ayant de hautes fonctions au sein du New York Times qui sont membres du CFR[…]

[…] L’implication des Rockefeller dans les médias est multiple. Principalement, les plans du gang Rockefeller pour créer un gouvernement mondial monopoliste ne sont jamais, au grand jamais, discutés au sein de la grande machine de désinformation. Les médias décident ce dont on parlera dans le pays. Nous avons dans ce pays ce que le journaliste Kevin Phillips a appelé une “médiacratie”.

Une médiacratie peut s’occuper de quelqu’un comme Ralph Nader et en faire un héro populaire instantané; ou ils peuvent prendre un ennemi des Rockefeller et en créer une image telle qu’il apparaît comme un crétin, un bouffon, un bigot ou un paranoïaque dangereux[…]

[…] Les faiseurs d’opinion de Madison avenue, le think tank de la Rand Corporation ou de l’Institut Hudson, peuvent manipuler et de fait manipulent l’opinion publique. Les élitistes de l’establishment appellent cela “le façonage du consentement”, ce qui veut dire que nous sommes manipuler à croire les mottos que nous ajustons sur les bracelets de nos poignets. Les techniques développées par le Thought Trust des Rockefellers viennent juste d’être adoptées et plus brutalement mises en œuvre par les communistes. Avec l’argent, les Rockefeller ont acquis les médias et leur contrôle; avec les médias, la famille a conquis l’opinion publique. Avec le contrôle de l’opinion publique, elle a gagné la politique et avec le contrôle du paradigme politique, elle a pris le contrôle de la nation[…]

Chapitre 7

“Nous aurons un gouvernement mondial que vous le vouliez ou non, le tout est de savoir si ce sera par conquête ou par consentement.”

(James Warburg, membre du CFR, déclaration faite à l’occasion d’un témoignage devant le comité sénatorial des relations étrangères le 17 Février 1950)

[…] Une liste complète de toutes les organisations, mouvements, publications et programmes soutenant l’idée d’un gouvernement mondial, qui a leur tour sont gérés par l’axe Rockefeller-CFR de derrière le rideau, serait du volume d’un livre aussi volumineux que l’annuaire de téléphone de Los Angelès. De manière évidente nous ne pouvons mentionner ici qu’un petit nombre des éléments de la piste Rockefeller vers le gouvernement mondial.

Certainement le chemin le plus visible vers le gouvernement mondial est celui qui passe par l’organisation créée en 1945 par les rockefeller avec justement ce but: L’Organisation des Nations Unies; à cet égard, les médias sous contrôle ont créé l’illusion, le mythe que l’ONU est un organisme de débat sans fondement réel[…]

[…] Si les contrôleurs de la pensée travaillant pour les Rockefeller peuvent persuader suffisamment d’Américains d’accepter de soumettre volontairement la souverainté des Etats-Unis aux mains de l’ONU, la longue campagne pour le gouvernment mondial sera terminée. Le Nouvel Ordre Mondial sera en vigueur. Les Rockefeller désireraient payer beaucoup d’argent pour un tel coup d’état pacifique et sans effusion de sang.

De fait ils financent toutes les possibilités. Voici juste quelques organisations aux Etats-Unis qui sont financées et / ou dirigées par le consortium dirigé par les Rockefeller et leur CFR et qui font la promotion directe de l’abandon de la souveraineté américaine: (NdT: nous ne citerons ici que celles éventuellement les plus connues en France, la liste est bien plus longue dans le livre !…)

  •    American Associations for the United Nations
  •    Atlantic Union
  •    Chatham House
  •    CFR
  •    Federation of World Governments
  •    Institute of International Education
  •    Trilateral Commission
  •    United World Federalists

[…] Peu de temps après la création de la Commission Trilatérale, Zbigniew Brzezinski en fut nommé directeur. Celui-ci écrivit un article pour le journal du CFR (dont il est aussi membre) “Foreign Affairs”, dans lequel il déclara:

“Il y a tres peu de chance que le monde s’unisse volontairement derrière une idéologie commune d’un super-gouvernement. Le seul espoir pratique est que celui-ci réponde à une préoccupation sur sa propre survie…”

En clair, Brzezinski dit qu’il est temps d’oublier l’approche ouverte et bonne enfant sur le gouvernement mondial proposée par exemple par L’Union Atlantique. L’union volontaire ne sera pas effectuée à temps, mieux vaut essayer une approche nouvelle. Quelle est cette nouvelle approche ? De manière simple,  il s’agit d’imposer les mêmes contrôles sur les nations qu’un gouvernement mondial ne le proposerait, mais cette fois-ci sous le déguisement de résoudre des problèmes économiques, écologiques ou énergétiques[…]

[…] La Commission Trilatérale a été créée par David Rockefeller afin du guider ses pairs internationalistes dans l’utilisation de leur influence privée pour garantir que leur gouvernement reste dans la droite ligne, celle de la grande poussée vers la grande fusion globale. Le pays qui ignore ces avertissements et donne trop d’importance à ses problèmes domestiques, pourrait bien se retrouver confronté à des problèmes alimentaires, d’approvisionnement en carburant ou de crise financière, qui fera passer la grande dépression pour une randonnée champêtre à travers la terre promise.

Chapitres 8 & 9

“Il y a toujours eu une alliance continuelle, bien que cachée, entre les capitalistes, la politique internationale et les socialistes révolutionnaires internationaux et ce pour leur bénéfice mutuel.”

(Antony Sutton, historien, université de Stanford, Californie, dans son livre “Wall Street et la révolution bolchévique”)

Si beaucoup de biographes ont parlé de la fortune et de la puissance politique et économique quasi illimitée dont dispose la famille Rockefeller, très peu se sont frottés avec l’aspect le plus remarquable de cette famille: sa relation proche, voire intime, au travers de plusieurs générations, avec ce qui est supposé être leur ennemi juré: le communisme… Dire que tout n’est pas toujours ce qu’il paraît être relève du cliché, mais il n’y a pas de mystère plus grand que l’identité de l’ultime soutien au mouvement communiste international[…]

[…] Aujourd’hui, beaucoup de gens pensent que les communistes furent capables de s’imposer en Russie parce qu’ils furent capables de gagner le soutien des paysans qui en avaient assez de la tyrannie des Tsars. Ceci n’est pas ce qui se passa… Au moment où le tsar Nicolas II abdiqua, et pour les mois qui s’en suivirent, les leaders de la révolution bolchévique, Lénine et Trotsky, n’étaient même pas sur le sol russe. Lénine était en Suisse où il vivait en exil depuis 1905. Trotsky était lui aussi en exil, travaillant comme journaliste pour un journal communiste à New York.

Trotsky fut autorisé à retourner en Russie avec un passeport américain et Lénine fut introduit en Russie par l’intermédiaire du fameux train scellé[…]

[…] Les bolchéviques purent parvenir au pouvoir non pas parce que les masses populaires de Russie les ont rappelé pour mener la révolution; mais parce que des hommes puissants en Europe et aux Etats-Unis, incluant les membres de la famille Rockefeller, les envoyèrent en Russie. Mais alors que ces faits ont été en partie supprimés dans le narratif, le plus grand secret de toute cette période réside sans aucun doute avec le fait que le financement pour cette révolution provint en fait des super capitalistes occidentaux et principalement des Etats-Unis.

Un ouvrage à la documentation méticuleuse fut écrit par l’historien Antony C. Sutton sur le sujet: “Wall Street and the Bolshevik Revolution”

[…] Le chercheur du Hoover Institute de l’université de Stanford pose la question la plus évidente: quelle serait la motivation derrière une coalition entre les capitalistes et les bolchéviques ? Les avantages sont très clairs pour les communistes; mais quels seraient les bénéfices potentiels d’une telle union pour les super-capitalistes occidentaux?

Sutton suggère que la Russie était et est toujours aujourd’hui (NdT: rappel de la date: 1976), le plus gros marché non exploité au monde. De plus, la Russie d’hier et d’aujourd’hui représente le plus gros risque de compétition sur le marché pour l’Amérique et sa suprématie industrielle et financière.

“Wall Street”, dit Sutton, “doit avoir des sueurs froides en se représentant la Russie comme un second géant industriel à l’instar de l’Amérique”. En mettant en selle la Russie, avec un système économique improductif dépendant de l’Ouest pour des injections constantes de liquidité et de technologie afin de survivre, celle-ci pourrait être à la fois contrôlée et exploitée[…]

[…] Avec la révolution bolchévique, nous avons quelques uns des hommes les plus riches du monde qui financent un mouvement qui clâme que sa raison même d’exister est d’accaparer la richesse des cartels super-riches, des banquiers capitalistes comme les Rockefellers.

De manière évidente ces hommes n’ont aucune peur du communisme international. Il est donc très logique d’assumer que s’ils l’ont financé et sont enclins, avides même de coopérer avec celui-ci, ce doit être parce qu’ils le contrôlent. Peut-il y a voir une autre explication qui ait un sens ? N’oublions pas que pendant plus de 100 ans, ce fut une routine procédurière standard pour les Rockefeller et leurs alliés de contrôler les deux côtés de chaque conflit.

Ayant créé leur colonie en Russie, les Rockefellers et leurs alliés ont puissamment lutté depuis lors pour la maintenir en vie. Depuis 1918 cette clique s’est engagée à transférer argent et probablement plus important, de l’information technique et technologique vers l’URSS. Ceci est étudié dane le détail dans le triptique historique grandiose d’Antony Sutton “La technologie occidentale dans le développement économique soviétique”. Utilisant dans la plupart des cas des documents du département d’état américain, Sutton prouve sans doute possible que virtuellement tout ce que possède l’URSS a été acquis en occident, principalement aux Etats-Unis. Ce n’est pas une exagération que de dire que l’URSS est en fait made in the USA. Personne n’a même tenté de réfuter le travail de recherche de Sutton. C’est impossible. Mais la machine de la désinformation que compose notre médiacratie peut ignorer Sutton. C’est ce qu’elle fait. Totalement[…]

[…] Dans ses trois volumes historiques sur le développment technologique de l’URSS, le professeur Sutton prouve de manière conclusive qu’il n’y a pas un segment de l’économie soviétique qui n’est pas le résultat du transfert de technologie occidentale, surtout états-unienne.

Ceci ne peut pas être une simple coïncidence; depuis plus de cinquante ans les membres initiés de la clique réserve fédérale-CFR-Rockefeller ont soutenu et implémenté des politiques qui visaient à accroître la puissance de leur satellite: l’Union Soviétique. Ainsi, les Etats-Unis dépensent 90 milliards de dollars annuels dans un budget de défense (NdT: en 1975-76, il est bien plus considérable aujourd’hui, l’URSS ayant été remplacée par une autre “menace” également créée de toute pièce: la guerre contre le terrorisme et Al Qaïda..) dont le but est de se protéger contre un ennemi que les “initiés” bâtissent au fur et à mesure[…]

[…] En 1964 David Rockefeller et Nikita Kroutchvev ont eu un meeting à huis clos de deux heures et demie. Le Chicago Tribune du 12 Octobre 1964 rapporta:

“David Rockefeller a eu un briefing avec le président Johnson aujourd’hui en rapport avec sa récente réunion avec le premier Nikita Kroutchev de Russie… Le leader rouge a indiqué que les Etats-Unis et l’URSS devaient ‘faire plus de commerce’. Kroutchev, d’après Rockefeller, a dit qu’il désirerait voir les Etats-Unis étendre ses crédits à longs termes à l’Union Soviétique.”

En fait ce meeting entre Rockefeller et Kroutchvev eut lieu deux mois plus tôt en Juillet. Quelques soient les problèmes qui émergèrent de cette réunion, ils ne furent pas résolus avant que le président des Etats-Unis ait eu un briefing en Septembre avec Rockefeller. Un mois plus tard, Kroutchev fut déposé. David Rockefeller rencontra peu aprés son remplaçant sur les bords de la Mer Noire et en Octobre 1966, Lyndon Johnson annonça sa nouvelle politique de “réconciliation” avec l’Europe de l’Est. Ceci fut fait dans une période où le bloc communiste escaladait son aide au Vietnam, dont virtuellement tout le matériel militaire venait des usines de munitions et d’armement d’Europe de l’Est[…]

[…] Le Viet Cong et l’armée nord-vietnamienne recevaient 85% de leur armement et matériel de guerre des nations du pacte de Varsovie… Les USA ont équippé et financé les deux côtés de cette terrible guerre du Vietnam qui a tuée près de 55 000 soldats américains par proxy (NdT: et plus d’un million de Vietnamiens bien sûr…). Une fois de plus, les médias de masse ont laissé le public américain dans l’ignorance de cette vérité choquante et scandaleuse[…]

[…] Ainsi, par la possibilité d’achat de patentes pour les communistes, les Rockefeller sont virtuellement en charge de la recherche et du développement de la machine militaire soviétique. Leur but est de permettre aux soviétiques de produire en masse de la technologie made in USA. Insistons ici sur le fait que le transfert d’une telle connaissance technologique est bien plus important que la vente d’armes[…]

[…] Parce que les Rockefeller ont maintenant le contrat exclusif de suppléer des patentes américaines aux Soviétiques, ils sont, par définition, les agents de la grande machine rouge. Il va sans dire qu’ils sont les plus gros agents des communistes de l’histoire. Ou peut-être serait-il plus à propos de décrire les communistes comme les agents des Rockefeller ?

Un outil de plus en plus important pour le pillage des Etats-Unis par les Rockefeller et leurs cohortes est la banque Export-Import, connue sous le nom de Eximbank (NdT: qui existe toujours de nos jours et est très proche de l’administration Obama). Cette banque fut établie en 1934 afin de financer et de promouvoir le commerce avec l’URSS. Mais ce ne fut pas avant que Richard Nixon eut signé la “détermination présidentielle” le 18 Octobre 1972, que l’Eximbank commença à financer le commerce avec les Soviétiques[…]

[…] Comme faisant part de l’effort phénoménal de bâtir l’économie soviétique en pillant les Etats-Unis, par le crédit (NdT: çà ne date pas d’hier ces histoires de crédits…), Richard Nixon nomma William Casey comme directeur de la banque Export-Import (NdT: ce même William Casey deviendra directeur de la CIA sous George Bush père, de fait, depuis la création de la CIA après la seconde guerre mondiale, une très vaste majorité de ses directeurs ont été liés de près à Wall Street, de là à dire que la CIA est une ramification, création de Wall Street, il n’y a qu’un pas facilement franchissable…). Casey, membre du CFR contrôlé par les Rockefeller est l’homme parfait pour le travail que Nixon et Kissinger ont en tête[…]

[…] Mais David Rockefeller est sûr du repaiement de la dette. Les prêts de la Chase sont garantis par les contribuables américains à travers d’autres agences gouvernementales comme l’Overseas Private Investment Corporation (OPIC) et la Foreign Credit Insurance Association (FCIA). Gràce à cela, le contribuable américain est pris à l’hameçon jusqu’au dernier centime. De la même manière qu’avec les prêts de l’Eximbank, l’OPIC et la FCIA garantissent aux “hommes d’affaires” un profit quelque soit la manière dont l’affaire se termine. Ce qui se passe en fait, est que nous donnons aux soviétiques une usine de camions valant 2 milliards de dollars tout en assurant les Rockefeller de leur commission sur le contrat[…]

[…] “L’URSS est le plus grand marché non développé pour les Etats-Unis (NdT: dans les années 70)”, dit Alfred R. Wentworth, senior vice président de la Chase Manhattan Bank et directeur de l’agence moscovite récemment ouverte. “Ce marché s’ouvre maintenant et nos banques désirent participer à la multitude d’opportunités ainsi créées.” … Comme le magazine Newsweek titra: “Le Kremlin a maintenant un camarade à la Chase”[…]

[…] Le professeur Sutton a assemblé un puit d’abondance concernant les preuves, que personne n’a jamais essayé de réfuter. Dans un premier temps, il prouva que le système communiste d’état est un système stagnant incapable d’inovation et de productivité. Sa survie même au niveau basique a requis des transfusions régulières de fonds et de technologie. Sans aide de l’Ouest, l’URSS se serait effondrée depuis longtemps; mais sans elle, les Rockefeller et les autres super-riches n’auraient pas eu “l’ennemi” à disposition pour justifier leur plans de gouvernment mondial monopoliste. L’URSS fut d’abord sauvée par Herbert Hoover avec de la nourriture; puis est venu la NEP de Lénine, sa nouvelle politique économique, qui a rouvert les portes de la Russie aux super-capitalistes… La seconde guerre mondiale a vu des prêts de 11 milliards de dollars… Pendant la présidence de Kennedy, nous leur avons donné du blé pour nourrir les ouvriers d’usine. Pendant la guerre du Vietnam, les Etats-Unis ont envoyé de la logistique déterminante aux pays du bloc de l’Est, qui produisit au Nord-Vietnam son équipement de guerre pour tuer notre propre soldats. Aujourd’hui nous leur fournissons la plus grande usine de camion au monde, des ordinateurs très sophistiqués et de a technologie de production. Cerise sur la gâteau, le Wall Street Journal du 25 Avril 1975 titre: “Les Etats-Unis envoient en catimini de l’uranium à l’URSS afin de fabriquer du combustible nucléaire.”

Comme l’observa justement l’ex-secrétaire d’état à la marine James Forrestal: “La consistence n’a jamais étee une marque de stupidité. Si les diplomates qui ont mal géré notre relation avec l’URSS étaient simplement stupides, ils feraient de temps en temps une erreur en notre faveur.” En bref, ce qui se passe n’est pas simplement le pillage de notre économie, mais de la trahison pure et simple[…]

A suivre…

Au cœur du Nouvel Ordre Mondial: le Dossier Rockefeller… 1ere partie

Posted in actualité, économie, crise mondiale, documentaire, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, ingérence et etats-unis, N.O.M, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, presse et média, résistance politique with tags , , , , , , , , , on 28 septembre 2011 by Résistance 71

Nous avons traduit de larges extrait d’un livre de Gary Allen publie en 1976 « The Rockefeller File » ou « Le dossier Rockefeller »et qui n’a jamais ete traduit en français a notre connaissance (merci de nous dire si vous en trouvez trace).

Cet ouvrage est d’une importance capitale a notre sens, tout comme le sont ceux de l’historien de Stanford University Antony C. Sutton, pour la comprehension de ce qui est la dynamique implacable et destructrice du Nouvel Ordre Mondial. 

L’ouvrage se compose de 196 pages et serait trop long a traduire dans sa totalite, nous en avons donc selectionne ce que nous pensons en etre la « substantifique moelle » pour la traduction et la diffusion a notre lectorat (ceci etant subjectif bien entendu et nous encourageons tous ceux qui peuvent lire l’anglais de lire le livre en VO, il est disponible gratuitement sur la toile, une possibilite ici). La traduction etant consequente malgre tout, nous la publierons donc en trois episodes a raison de un par semaine.

Voici donc la 1ere partie du « Dossier Rockefeller »...

Note: Resistance 71 ne partage pas les convictions politiques et sociale de l’auteur, ceci n’enleve rien a la pertinence de cette etude unique, qui est de l’avis des specialistes, la meilleure etude jamais realisee sur la famille Rockefeller, car elle analyse les dessous du pouvoir d’une des familles les plus puissantes au monde, ses ramifications et ses consequences tentaculaires sur le monde d’aujourd’hui.

A titre d’exemple du livre, peu de personnes savent (c’est pourtant documente et a ete relaye par les grands journaux de l’epoque comme le Chicago Tribune…) que David Rockefeller (95 ans aujourd’hui) a eu un entretien prive a huis clos de deux heures et demies avec le premier sovietique Nikita Kroutchev a Moscou en Juillet  1964, et qu’a l’issue de cet entretien, plusieurs mois plus tard, Kroutchev fut depose et l’URSS prit certaines directions. Si cela n’est pas influer sur la politique mondiale, qu’en est-il donc ?

Les Rockefeller sont au cœur de la poussee elitiste pour un Nouvel Ordre Mondial, ce que nous vivons aujourd’hui, grande crise economique qui va aller en empirant et les multiples guerres imperialistes de controle ne sont que les stigmates du pire a venir… Si nous les laissons faire. La lutte contre la corporatocratie fasciste menee par les familles Rockefeller, Rothschild, Kuhn-Loeb etc et leurs buts de controle hegemonique et eugeniste est permanente et doit etre vue comme une mission citoyenne.

Ne croyez pas etre immunises contre le cancer ultra-capitaliste et ses corollaires fasciste brun ou fasciste rouge. Il nous ronge toujours plus, jour apres jour, mais il existe un antidote, que les peuples ont a porte de main depuis toujours mais ont ete endoctrines a ignorer. Il est grand temps de reagir contre ce parasitisme planetaire !

— Resistance 71 —

 

Le Dossier Rockefeller, 2eme partie

Le Dossier Rockefeller, 3eme et derniere partie partie

 

Le dossier Rockefeller (extraits)

De Gary Allen, 1976 (éditions 76 Press California, 196 pages)

~ Extraits traduits par Résistance 71 ~

Introduction:

-NdT: la préface du livre se présente sous la forme d’une lettre à entête du Congrès des Etats-Unis et a été écrite par un membre de la chambre des représentants (le parlement en France) d’alors, Lawrence P. McDonald.

La lettre est datée de Novembre 1975.

Voici ce que ce député dit dans sa lettre d’introduction au livre:

“Cher lecteur,

Les super-riches des Etats-Unis ont une puissance et des prérogatives inimaginables pour la plupart d’entre nous. Qui peut concevoir de posséder un empire privé incluant une centaine de maisons et propriétés, plus de 2500 serviteurs, des milliers d’objets de luxe et des millions de dollars sans en savoir réellement le chiffre exact ?

L’Amérique a une famille royale de la finance qui a connue tant de richesses depuis des générations. Il s’agit bien sûr des Rockefellers. Mais si les Rockefellers se contentaient de leurs richesses, si leurs possessions satisfaisaient tous leurs désirs, ce livre n’aurait jamais été écrit; tout comme je ne vous presserais pas de le lire.

L’argent seul n’est pas suffisant pour étancher la soif  et les extravagances des super-riches. Au lieu de cela, bon nombre utilisent leur immense richesse et l’influence que cette richesse leur donne, pour obtenir toujours plus de pouvoir. Un pouvoir jamais même rêvé par les tyrans et les despotes des temps anciens et moins anciens. Une puissance à l’échelle planétaire. Un pouvoir sur les gens et pas seulement sur les produits.

Ce livre “Le dossier Rockefeller” n’est pas un livre de fiction. Il est en fait une présentation compacte, puissante et effrayante de ce qui est peut-être l’histoire contemporaine la plus importante: la poussée des Rockefellers et de leurs alliés pour créer un gouvernement mondial, combinant le super-capitalisme et le communisme, sous le même toit, le tout sous leur contrôle.

Depuis plus de cent ans, depuis le temps où John D. Rockefeller Senior utilisa toutes les stratégies déviantes possibles et imaginables pour créer un monople pétrolier gigantesque, beaucoup de livres ont été écrits sur les Rockefellers, assez pour remplir une belle bibliothèque. J’en ai lu un certain nombre. Mais aussi loin que va ma connaissance en la matière, personne n’a osé révéler la partie la plus vitale de l’histoire des Rockefellers: à savoir que les Rockefellers et leurs alliés ont, depuis au moins 50 ans, suivi un plan soigneusement établi d’utiliser leur puissance économique pour établir un contrôle politique d’abord des Etats-Unis, pour ensuite contrôler le reste du monde.

Est-ce que je parle ici de conspiration, de complot ? Absolument. Je suis convaincu qu’un tel complot existe, un complot aux ramifications internationales, dont la planification a pris des générations et dont l’intention est extrêmement malfaisante. Vous trouverez la vérité, souvent surprenante, parfois désagréable, mais toujours d’une importance capitale dans les pages qui vont suivre.

Gary Allen a accompli un travail absolument remarquable pour rassembler ces centaines de faits éparpillés et d’indices cachés sur le puzzle Rockefeller et ce jusqu’à ce qu’un dessin remarquable et unique émerge.

L’image qui y est révélée une fois le dossier Rockefeller totalement ouvert va peut-être vous choquer. Dans ce livre, vous apprendrez pourquoi les Rockefellers suivent la politique qu’ils se sont assignée, quels sont leurs buts, où veulent-ils embarquer les Etats-Unis… et pourquoi il est plus qu’essentiel qu’ils soient arrêtés à temps.

Je vous conjure de lire ce “Dossier Rockefeller” et d’encourager vos amis à faire de même.”

Chapitre 1

[…] Les Rockefellers ont inventé une tactique, qui est utilisée aujourd’hui par la classe des super-riches: plus vous donnez l’impression de donner de l’argent, au plus riche et puissant vous devenez. Avec l’aide de politiciens captifs du système et guidées par quelques brillants esprits de firmes légales, des législations furent écrites et passées qui protégeraient l’élite des super-riches dont les Rockefellers font partie, de la taxation répressive qu’ils ont imposés à tout à chacun.

La clef de ce système est d’abandonner la propriété tout en conservant le contrôle… Il est souvent préférable d’avoir vos biens possédés par un trust ou une fondation, que vous contrôlez bien sûr, que de les avoir en votre nom propre[…]

[…] La maison Rockefeller n’est pas seulement une famille riche à succès, mais c’est un empire. Aucune famille n’a recherché délibérément autant de contrôle sur toutes les facettes de la vie américaine. Que ce soit le gouvernement, les affaires, l’énergie, la banque, la finance, les médias, la religion ou l’éducation, au centre même de la structure de ces pouvoirs vous trouverez l’argent des Rockefellers, les administrateurs des Rockefellers et leurs agents. Une telle infiltration, influançant chaque aspect important de la vie aux Etats-Unis, ne peut pas être une coïncidence[…]

Chapitre 2

“La concurrence est un pêché” (John D. Rockefeller Sr.)

[…] Quand John D fonda la Standard Oil, elle n’était qu’une parmi 27 autres raffineries de pétrole dans la région de Cleveland et certainement pas la plus importante. Mais cet homme d’affaire ambitieux qui déclara un jour que “la concurrence est un pêché”, élabora très tôt un plan pour avaler ou détruire ses concurrents. La simplicité, l’audacité et l’implacabilité de ce plan est effarant.

Il soudoya et força les compagnies ferrovières qui desservissaient la région de Cleveland (La Pennsylvanie, le lac Erie et central New York), de lui rétrocéder des commissions ou des ristournes non seulement sur son propre frêt, mais aussi sur celui de sa concurrence, sur chaque barril de pétrole que sa concurrence envoyait par le train. Au plus ils envoyaient par chemin de fer, et plus il gagnait ! Ce système permit à Rockefeller de diminuer ses prix et de pousser ses concurrents à la faillite sur la durée et ce en utilisant leur propre argent ! En un an tous ses concurrents capitulèrent[…]

[…] En 1890, la Standard Oil raffinait 90% du pétrole brut américain et ses opérations outre-mer se développaient très rapidement.[…]

Chapitre 3

[…] Ceci dit et de manière incroyable, le pétrole n’est pas le plus gros business des Rockefellers. Cet honneur est réservé à la finance internationale par la banque. Les banques de la famille Rockefeller (NdT: à l’époque où ce livre fut publié, rappelons-le, en 1976) sont la First National City Bank (NdT: aujourd’hui la Citi Bank) et la Chase Manhattan Bank (NdT: aujourd’hui la Morgan Chase). La Chase Manhattan Bank est la troisième banque mondiale (NdT: en 1976) et bien que seulement numéro trois, elles n’en est pas moins la banque qui a le plus d’influence.

La plus grande banque du monde (NdT: là encore en 1976) est la Bank of America en Californie, inventrice de la carte de crédit…

[…] La Chase Manhattan fut créée de la fusion de la Chase Bank des Rockefellers et de la Manhattan Bank contrôlée par la famille Kuhn-Loeb. Ce mariage fut un énorme succès pour les deux familles. En 1971 la Chase Manhattan Bank avait un patrimoine de 36 milliards de dollars[…]

[…] Très proche du système bancaire des Rockefellers nous trouvons les gigantesques compagnies d’assurance avec leurs investissements qui valent des centaines de millions de dollars. Les compagnies d’assurance vie jouent un rôle capital dans la finance parce qu’elles sont les principales pourvoyeuses de crédit à long terme, alors que les banques elles-mêmes sont plus pourvoyeuses de crédits à court et moyen terme… Le groupe banquier Rockefeller est intimement lié avec les conseils d’administration de trois des quatre plus grosses compagnies d’assurance vie: Metropolitan Life, Equitable Life et New York Life. Les actifs de ces trois géants étaient de 113 milliards de dollars en 1969.

D’après les recherches du professeur Knowles, le groupe de banques contrôlé par la famille Rockefeller, compte pour environ 25% de la totalité des biens possédés par les 50 top banques commerciales de la nation et tous les biens des 50 plus grosses compagnies d’assurance vie du pays.

Le contrôle par la famille Rockefeller de ces banques et compagnies d’assurance, lui donne un levier énorme sur l’économie américaine qui va au-delà de toute propriété directe[…]

[…] Résumons ce qui est connu (NdT: en 1976 toujours…): 37 des 100 plus grosses industries de la nation, 9 des 20 plus grosses compagnies de transport, qui est le plus gros service utilitaire de la nation vue sa taille, 3 des 4 plus grosses compagnies d’assurance, plus un grand nombre de plus petites entreprises engagées dans la production industrielle, la distribution, la vente de détail, les crédits, les investissements, sont contrôlés par la famille Rockefeller.

“La puissance de la fortune de la famille est au-delà de toute mesure”, a rapporté le Washington Post[…]

Chapitre 4

[…] La fondation Rockefeller originale fut fondée en 1901 et était appellée L’Institut Rockefeller pour la Recherche Médicale; elle fut partie intégrante d’un programme de relation publique pour améliorer l’image de Rockefeller…

Chaque année, les Rockefellers peuvent injecter jusqu’à la moitié de leurs revenus dans leurs fondations et déduire ces “dons” de leurs impôts. Nelson Rockefeller (NdT: ancien vice-président des Etats-Unis sous Gerald Ford) admît dans une audition au congrès que “la fondation ne paie aucuns impôts sur le revenu du capital et aucun impôt sur le revenu, ainsi ces fonds peuvent continuer de croître” […]

[…] Collectivement, les fondations Rockefeller ont plus de 1,5 milliards de dollars en actif (NdT: en 1976, bien plus aujourd’hui…), mais elles ont aussi pouvoir de contrôle d’autres fondations très importantes comme les fondations Carnegie et Ford. Quand vous entendez le mot “Fondation Carnegie”.. Pensez “Rockefeller”. Depuis plusieurs années déjà, les fondations Carnegie ne sont que des ramifications de la pieuvre Rockefeller. Les directeurs des opérations des fondations Carnegie ont été depuis des années des membres du comité de corrdination Rockefeller. Le Council on Foreign Relation (CFR) est la colle qui cimente l’entité Rockefeller.

Le gros bébé de la fondation est la fondation Ford qui représetne plus de 3 milliards de dollars de biens en propre (NdT: là encore, chiffre de 1976… Bien plus aujourd’hui) […]

[…] Tout comme la fondation Carnegie, la majorité des trustees de la fondation Ford sont des membres du CFR des Rockefellers[…]

[…] Le capitalisme monopolistique est impossible à moins d’avoir un gouvernement qui a le pouvoir d’étrangler toute véléité de concurrence.

La meilleure façon de contrôler ou d’éliminer la concurrence n’est pas d’être meilleur qu’elle sur le marché, mais d’utiliser le pouvoir du gouvernement pour l’exclure en grande partie du marché. Si vous désirez contrôler le commerce, la banque, les transports, et les ressources naturelles à une échelle nationale, vous vous devez de contrôler le gouvernement fédéral. Si vous et votre clique désirez établir un monopole mondial, vous vous devez de contrôler un gouvernement mondial.

Les Rockefellers ne sont pas des humanistes; ils sont des contrôleurs de pouvoir machiavéliques[…]

***

Autre lecture se rapportant au sujet:

https://resistance71.wordpress.com/2011/06/03/oligarchie-financiere-les-huit-familles-derriere-le-cartel-banquier-prive-international-lennemi-des-peuples-a-un-nom-et-des-visages/