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Résistance politique: La vérité sur le Nouvel Ordre Mondial chinois (James Corbett et Luke Rudkowski)

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Résistance 71

 

16 septembre 2018

 

Excellente vidéo d’un dialogue entre deux « pointures » de la dissidence non-contrôlée (et ces gens sont rares de nos jours…), que nous suivons depuis plus de 10 ans: Luke Rudkowski de WeAreChange.org et James Corbett du CorbettReport.com qui débattent que le rôle de la Chine dans le Nouvel Ordre Mondial.

En une vingtaine de minutes, ils abordent les sujets suivants, que nous avons aussi abordé il y a plusieurs années dans différents articles:

La vidéo est en anglais, durée 23 minutes qui ne font que confirmer ce que nous avons également dit ici même.

https://www.bitchute.com/video/2A5txSbuYr4/

Henry Kissinger porte-parole du Nouvel Ordre Mondial et la « bonne conscience » impérialiste…

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Protégé du départ de David Rockefeller, co-fondateur avec son maitre de la commission trilatérale, conseiller à la sécurité de Nixon et Ford, rédacteur du memorandum sur la sécurité nationale 200 pour le contrôle des populations, grand eugéniste et criminel de guerre, envoyé spécial de préparation de terrain pour la normalisation des relations sino-américaines, protecteur et instigateur des juntes militaires sud-américaines des années 1970, présenté comme le plus grand criminel de guerre encore en vie, Henry Kissinger ou une vie au service de l’élitisme et de l’impérialisme forcenés. Une des plus superbes ordures que la terre ait porté, détesté, craint ou encensé, il est l’incarnation de la pourriture occidentale dans toute sa splendeur. Toujours plus inquiétant ? C’est un ami de longue date de Vladimir Poutine, alors amitié rééelle, feinte, de circonstance ou manœuvre de grand maître des échecs ?… bien malin qui pourrait le dire… c’est bien pour cela que c’est inquiétant…

~ Résistance 71 ~

 

Henry Kissinger a t il une conscience ?

Jon Lee Anderson

12 octobre 2016

url de l’article en français:

http://www.legrandsoir.info/henry-kissinger-a-t-il-une-conscience-new-yorker.html

Le mois de mai dernier, alors que le président Obama se rendait en Argentine pour se réunir avec le nouveau président, Mauricio Macri, ses apparitions publiques ont été tourmentées par des manifestants qui ont bruyamment demandé des explications, ainsi que des excuses, au sujet des pratiques étasuniennes, passées et actuelles. Il existe peu de pays en Occident où l’antiaméricanisme s’exprime aussi vigoureusement qu’en Argentine, où une culture très politisée de la plainte a évolué vers une situation dans laquelle de nombreux problèmes du pays sont reprochés aux Etats-Unis. Il existe à gauche, tout particulièrement, une rancune persistante à cause du soutien octroyé par le gouvernement des Etats-Unis à l’aile droite militaire Argentine, qui a pris le pouvoir en mars 1976 et a instauré une « Guerre sale » contre la gauche, causant la mort de milliers de vies durant les sept années qui suivirent.

La visite d’Obama a coïncidé avec le quarantième anniversaire du coup d’État. Il a précisément rendu hommage aux victimes de la Guerre sale en visitant un sanctuaire construit en leur honneur dans la périphérie de Buenos Aires. Lors d’un discours prononcé à cet endroit, Obama a reconnu ce qu’il a appelé le « péché par omission américain« , mais sans aller jusqu’à présenter de véritables excuses. « Les démocraties doivent avoir le courage de reconnaître lorsqu’elles ne sont pas à la hauteur des principes qu’elles proclament, (…) et nous avons été trop lents à parler franchement de la question des droits de l’homme, et ce fut le cas ici. »

Durant la période préparatoire du voyage d’Obama, Susan Rice, la conseillère pour la sécurité nationale du président, avait annoncé l’intention du gouvernement de déclassifier des milliers de documents de l’armée étasunienne et des services secrets appartenant à cette période tumultueuse de l’histoire Argentine. Un geste de bonne volonté dans le but de souligner les efforts en cours mis en place par Obama pour changer la dynamique des relations entre les Etats-Unis et l’Amérique latine – « pour enterrer les derniers vestiges de la Guerre Froide« , comme il l’avait signalé à La Havane lors de ce même voyage.

La semaine dernière, une première tranche de ces documents déclassifiés a été publiée. Les documents révèlent que des fonctionnaires de la Maison Blanche et du Département d’Etat étaient très au fait du caractère sanguinaire de l’armée argentine, et que certains de ces fonctionnaires étaient horrifiés par ce qu’ils savaient. D’autres, tout particulièrement Henry Kissinger, ne l’étaient pas du tout. Dans un câble de 1978, l’ambassadeur étasunien, Raul Castro, écrit à propos d’une visite de Kissinger à Buenos Aires, où il était reçu en tant qu’invité du dictateur, Jorge Rafael Videla, alors que le pays recevait la Coupe du Monde : « Mon unique préoccupation est que le concert intarissable d’éloges de Kissinger au sujet des mesures prises par l’Argentine pour éradiquer le terrorisme ne soit trop monté à la tête de ses hôtes« , écrivit Castro. L’ambassadeur poursuivit anxieusement : « Nous courons le risque que l’Argentine utilise les éloges de Kissinger comme justification pour durcir sa position vis-à-vis des droits de l’homme. »

Les dernières révélations dévoilent le portrait d’un Kissinger qui a agi comme l’incitateur impitoyable, pour ne pas dire co-conspirateur actif, des régimes militaires latino-américains impliqués dans des crimes de guerre. Des documents déclassifiés antérieurement, sous l’administration Clinton, avaient déjà prouvé que Kissinger, non seulement était au courant des agissements des militaires, mais aussi qu’il les avait activement encouragés. Deux jours après le coup d’Etat en Argentine, Kissinger est briefé par son Secrétaire d’Etat assistant pour les affaires Inter-Américaines, William Rogers, qui le prévient : « Je pense qu’il faut s’attendre à pas mal de répression, probablement à une bonne dose de sang, d’ici peu en Argentine. Je pense qu’ils vont devoir s’en prendre très durement non seulement aux terroristes mais aussi aux dissidents des syndicats et des partis opposants. » Ce à quoi Kissinger répond, « Quelles que soient les risques qu’ils encourent, ils auront besoin d’un peu d’encouragement… et je veux vraiment les encourager. Je ne veux pas leur donner l’impression qu’ils ont les Etats-Unis sur le dos. »

Sous la direction de Kissinger, il est certain que [les militaires] n’étaient pas tourmentés. Juste après le coup d’Etat, Kissinger a envoyé son soutien aux généraux et a renforcé ce message en approuvant un ensemble de mesures d’assistance sécuritaire américaine. Durant une réunion avec le Ministre argentin des Affaires étrangères, deux mois plus tard, Kissinger lui conseilla en clignant de l’œil, d’après le mémo de la conversation archivé, « Nous sommes conscients de la période difficile que vous traversez. Ce sont des temps étranges, où les activités politiques, criminelles et terroristes tendent à se rejoindre sans séparation claire. Nous comprenons que vous deviez rétablir votre autorité. .. S’il y a des choses à faire, vous devriez les faire rapidement. »

Les forces militaires argentines ont fait un coup d’Etat afin d’étendre et d’institutionnaliser une guerre qui était déjà en cours contre les guérillas de gauche et leurs sympathisants. Ils appelèrent cette campagne le Processus de Réorganisation Nationale, ou plus simplement « le processus ». Durant la Sale guerre, nous le savons bien aujourd’hui, jusqu’à 30 000 personnes ont été enlevées, torturées et exécutées par les forces de sécurité. Des centaines de suspects ont été enterrés anonymement dans des fosses communes, des milliers d’autres furent déshabillés, drogués, embarqués dans des avions militaire et lancés en plein vol à la mer, vivants. Le terme « los desaparecidos  » – « les disparus » – est depuis devenu un apport de l’Argentine au vocabulaire de l’humanité.

Pendant la période du coup d’Etat, Gerald Ford était le président intérimaire des Etats-Unis et Henry Kissinger avait la double fonction de Secrétaire d’Etat et conseiller pour la Sécurité nationale, postes qu’il avait déjà occupé pendant l’administration de Nixon. Immédiatement après les événements en Argentine, suite aux recommandations de Kissinger, le Congrès des États-Unis a approuvé la demande d’assistance en matière de sécurité de la junte pour un montant de 50 millions de dollars, auxquels se sont ajoutés 30 millions de dollars avant la fin de cette même année. Des programmes d’entraînement militaires et des ventes d’avion pour une valeur de plusieurs centaines de millions de dollars ont aussi été autorisés. En 1978, après un an de présidence de Jimmy Carter, les inquiétudes en matière de violations des droits de l’homme ont mis fin à l’aide étasunienne. Plus tard, la nouvelle administration a cherché à écarter la junte militaire de toute assistance financière internationale. Néanmoins, ces restrictions ont été annulées avec l’arrivée de Reagan à la Maison-Blanche, début 1981.

Dans les faits, Kissinger n’a jamais été inquiété pour ses actions au Chili, où des milliers de personnes ont été assassinées par les hommes de main de Pinochet, ou pour le Vietnam ou le Cambodge, où il a ordonné des bombardements aériens à grande échelle qui ont couté la vie d’innombrables civils. L’un de ces principaux critiques, feu Christopher Hitchens, a publié en 2001 un pavé accusateur – »Le Procès de Henri Kissinger » – dans lequel il réclamait que Kissinger soit poursuivi « pour crimes de guerre, crimes contre l’humanité, et pour infractions contre le droit coutumier ou international, incluant la conspiration pour commettre des meurtres, des enlèvements, et la torture« .

En pleine Guerre Sale, bien entendu, les généraux argentins nièrent tout simplement tout événement malencontreux. Interrogés au sujet des « disparus« , le leader du coup d’Etat, le Général Videla, expliqua avec une froide ambiguïté, « Les disparus sont simplement cela : des disparus. Ils ne sont ni vivants ni morts. Ils sont disparus« . D’autres officiers suggéraient que les disparus étaient probablement en train de se cacher, préparant des actions terroristes contre la patrie. En réalité, la grande majorité d’entre eux était brutalisée par des agents gouvernementaux dans des prisons secrètes, pour être ensuite – ans la plupart des cas – exécutés. Comme en Allemagne durant l’holocauste, une grande partie de la population argentine comprenait ce qu’il se passait, mais gardait le silence dans un esprit de complicité, ou de peur. Signe d’une époque durant laquelle il était plus simple de se voiler la face, les Argentins qui assistaient à l’enlèvement de leurs voisins par des policiers en civil pour ne jamais revenir adoptèrent une expression qui devint populaire dans le pays : « Algo habrán hecho » – « Ils ont sûrement fait quelque chose« .

De nombreuses preuves sont là pour confirmer l’insensibilité totale de Kissinger, pour certaines aussi inexplicables que choquantes. Il y a aussi une attitude machiste dans certaines de ses remarques. Cela pourrait se comprendre, peut-être, s’il n’avait jamais vraiment exercé de pouvoir, comme c’est le cas jusqu’à maintenant du candidat à la présidence Donald Trump et ses offenses gratuites. Et puis l’on se rend compte que Kissinger, la plus ancienne et emblématique figure de paria de l’histoire moderne des États-Unis, n’est qu’un individu parmi toute une série de personnages à la fois craints et méprisés à cause de l’immoralité des services qu’ils ont rendu mais toujours protégés par l’establishment politique en reconnaissance de ces mêmes services. Les noms de William Tecumseh Sherman, Curtis LeMay, Robert McNamara, et, plus récemment, Donald Rumsfeld, nous viennent à l’esprit.

Dans le remarquable documentaire d’Errol Morris The Fog War (2003), nous voyions que Mc Namara, qui était un octogénaire à l’époque, était un homme tourmenté qui affrontait ses vieux démons, sans y parvenir, à cause du fardeau moral dû à ses actions en tant que Secrétaire de la Défense américain pendant la Guerre du Vietnam. Il a récemment publié un mémoire dans lequel il tente de faire face à son héritage. A cette période, un journaliste nommé Stephen Talbot l’a interviewé, et a ensuite obtenu une interview avec Kissinger. Il écrivit plus tard sur sa première rencontre avec Kissinger : « Je lui ai dit que je venais d’interviewer Robert McNamara à Washington. Ça a retenu son attention, tout d’un coup il est devenu sérieux et puis il a fait quelque chose d’extraordinaire. Il a commencé à pleurer. Mais non, pas avec de vraies larmes… Tout juste devant moi, Henri Kissinger était en train de faire du théâtre. « Boohoo, boohoo, » fit-il, en imitant un bébé qui pleure en frottant ses yeux. « Il s’autoflagelle encore n’est-ce pas ? Il se sent encore coupable. » Il dit cela d’une voix chanteuse et d’un ton moqueur, en se tapotant le cœur. »

McNamara est mort en 2009,à l’âge que Kissinger a aujourd’hui – 93 ans – mais les problèmes de conscience qu’il a publiquement exprimés vers la fin de sa vie ont aidé à adoucir sa sombre réputation. Maintenant qu’il approche la fin de sa vie, Kissinger doit se demander quel sera son propre héritage. Il peut être sûr que, au moins, son inébranlable soutien au projet de la superpuissance américaine, peu importe ce qu’il aura coûté en vies, représentera une grande part de cet héritage. Néanmoins, contrairement à McNamara qui aura tenté d’exprimer une certaine repentance tant méprisée par Kissinger, celui-ci n’a fait que démontrer qu’il ne possédait pas de conscience. Et c’est pour cela qu’il paraît fort probable que l’histoire ne l’acquittera pas si facilement.

Jon Lee Anderson, est un journaliste, contributeur du New Yorker depuis 1998.

The New Yorker est un magazine hebdomadaire étasunien fondé en 1935 qui publie des reportages mais aussi de la critique, des essais, des bandes dessinées, de la poésie et des fictions. Depuis 2004, il a soutenu les candidats démocrates à la Maison Blanche. Il est catalogué comme étant de tendance libérale.

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Kissinger sur Résistance 71

Adoubement de la Chine au sein du Nouvel Ordre Mondial par le FMI…

Posted in actualité, économie, N.O.M, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, résistance politique with tags , , , , , , , , , on 4 décembre 2015 by Résistance 71

Ce que nous pensions et avons partagé ici à maintes reprises, à savoir que la Chine est partie prenante de la gouvernance globaliste mondiale, semble se confirmer par la décision du FMI d’intégrer le Yuan chinois au panier des DTS (Droits de Tirage Spéciaux), nouvelle monnaie de réserve mondiale.

Dernière question: A quel jeu joue la Russie ? En croque t’elle ou pas ? Certains indicateurs font penser que oui, d’autres, notamment la guerre du gaz faisant rage au MO entre Gazprom et Exxon-Mobil. font penser que non. Mais un communiqué d’Exxon dès le début de la crise ukrainienne disait clairement que les accords entre Exxon et Rosneft ne seraient pas affectés. Les forages en Arctique russe ont conjointement commencé en Août 2014… Alors ?…

Quelle crédibilité accorder à tout ce cirque politico-économique ? Qui est toujours le dindon de la farce dans le sillage du cynisme criminel des soi-disants « puissants » ?

— Résistance 71 —

« Quelque soit le prix de la révolution chinoise, elle a réussi de manière évidente, non seulement à produire une administration plus motivée et plus efficace, mais aussi à développer une haute valeur morale et un objectif de communauté. L’expérience sociale en Chine sous le leadership du timonier Mao est une des plus importantes et des plus réussies de l’histoire humaine. »

~ David Rockefeller, New York Times, 1973 ~

 

Le Yuan chinois fait maintenant partie des monnaies de réserve du FMI voici ce que cela veut dire

 

James Corbett

 

2 décembre 2015

 

url de l’article:

https://www.corbettreport.com/the-chinese-yuan-is-now-an-imf-reserve-currency-heres-what-it-means/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistsance 71 ~

 

Articles connexes:

http://fr.sputniknews.com/caricatures/20151201/1019958246/yuan-monnaie-de-reserve-chine-fmi.html

 

La Chine cheval de Troie du N.O.M ?

 

Comme attendu, le comité directeur du FMI a officiellement ajouté le Yuan chinois dans son panier de Droits de Tirage Spéciaux (DTS). La monnaie chinoise va donc y faire son apparition à partir du 1er Octobre 2016 et pèsera 10,92% net du panier de monnaies, la rendant la 3ème monnaie de valeur des DTS derrière le Dollar US et l’Euro.

Dans un communiqué de presse du FMI lundi derner, sa directrice Christine Lagarde a dit:

“La décision du comité d’inclure le RMB dans le panier des DTS est un évènement marquant de l’intégration de l’économie chinoise dans le système financier international global. C’est aussi une reconnaissance des progrès que les autorités chinoises ont fait ces dernières années pour réformer les systèmes monnétaire et financier de leur pays. La continuation et le développement plus avant de ces efforts amèneront un système monnétaire et financier plus robuste au monde, ce qui en retour, soutiendra la croissance et la stabilité de la Chine et de l’économie mondiale.”

Pour ceux qui ne parlent pas couramment le langage économique globaliste, Lagarde dit en substance: “Bon boulot la Chine ! Vous nous avez prouvé que vous pouviez être flexible et bon serviteur des grands patrons globalistes. En récompense, asseyez-vous à la table.

Comme nous l’avons vu ici-même auparavant, les DTS sont une monnaie de réserve administrée par le FMI. Les banques centrales ayant une réserve de DTS dans leurs comptes peuvent convertir ces DTS en une des quatre monnaies: dollar US, euro, livre britannique et/ou yen. Ainsi en Octobre 2016, les DTS seront aussi convertibles en yuan chinois.

Qu’est-ce que cela veut donc dire ? Et bien cela veut dire que le yuan est maintenant effectivement une monnaie de réserve mondiale. Pas LA monniae de réserve, ce sera toujours le dollar US, une position qui ne changera probablement pas dans les prochaines années ; néanmoins, l’effet de cette inclusion sera immédiat et profond. Plus tôt cette année, les gérants d’investissement de chez AXA ont estimé qu’environ 1000 milliards de dollars d’obligations chinoises seront vendues avant la fin de la décennie en résultat de la relocation des biens de réserve mondiaux qui va avoir lieu en résultat de cette décision.

L’inclusion dans le club des grands garçons du FMI ne vient pas sans rien bien évidemment. Dans sa course à l’échalotte pour remplir les critères de l’inclusion de sa monnaie dans les DTS pour être “largement utilisée” et en “usage libre”, afin aussi de libéraliser son système financier, la Chine a fait l’expérience de quelques grosses ondes de choc dans son économie cette année. Le mouvement de la Chine vers la libéralisation des taux d’intérêt et d’autres mesures faites pour retirer le contrôle gouvernemental de l’économie, ont exacerbé les problèmes d’une économie déjà précaire. Les mesures de libéralisation ont même été montrées comme un des facteurs responsable de la fonte du marché boursier chinois cet été.

Mais au bout du compte, la décision du FMI ne doit être une surprise pour personne. Les oligarques chinois sont à bord du navire du Nouvel Ordre Mondial et de son agenda depuis des générations et le gouverneur de la banque centrale chinoise a utilisé l’opportunité du crash de Lehman Brothers pour appeler à faire des DTS la réserve monnétaire mondiale. Avec la banque des BRICS promettant une action coopératrice et partageant les membres de son bureau directeur avec le FMI lui-même, l’inféodalité de la Chine au Nouvel Ordre Mondial n’est plus vraiment en question.

La Chine a démontré qu’elle pouvait sauter dans le cerceau tendu par le grand cirque du Nouvel Ordre Mondial et maintenant elle reçoit sa récompense.

Nouvel Ordre Mondial: Le pays du goulag levant (ex-USA) et la Chine doivent œuvrer pour un nouvel ordre mondial (Kissinger)…

Posted in actualité, ingérence et etats-unis, média et propagande, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, politique et lobbyisme, politique et social, terrorisme d'état with tags , , , , , , , on 30 mai 2013 by Résistance 71

Pourquoi le communisme d’état est-il toujours mis en avant par les oligarques comme Rockefeller, la Fabian Society britannique etc… Parce que la doctrine marxiste non seulement ne remet pas en cause le système, mais elle le renforce. Elle est un support inconditionnel de l’état, de la division, du monopole politique et économique absolument nécessaire pour la survie d’une oligarchie exclusive.

Le fascisme brun et le fascisme rouge rendent possible l’extrémisme politico-économique des « élites » auto-proclamées qui ne se gavent jamais autant que dans le totalitarisme, c’est pourquoi comme nous l’avons vu sur ce blog avec la traduction des recherches du professeur Antony Sutton, l’oligarchie des cartels industrio-financiers a financé à la fois Mussolini, Franco, Hitler, Lénine, Trotski puis Staline et Mao.

Le communisme d’état est le frère jumeau du fascisme brun, tous deux ne vivent que dans le monopole politico-économique cher aux oligarques. Il n’y a pas de communisme d’état, en fait, le communisme réel ne peut se réaliser qu’en dehors de l’état, il est anti-autoritaire, non-étatique et autogestionnaire. Il est à l’opposé du marxisme factice, quant à lui pilier de l’oligarchie qui ne s’y étant pas trompé l’a soutenu activement. Il n’est pas choquant du tout de voir que Rockefeller est une groupie de Mao et du totalitarisme du communisme d’état, il suffit de comprendre comment le capitalisme monopoliste fonctionne… Il ne peut que cautionner et encourager le totalitarisme. Car comme l’avait déjà dit Emma Goldman en 1935: « il n’y a jamais eu de communisme en URSS »

— Résistance 71–

 

Kissinger: Les Etats-Unis et la Chine doivent collaborer sur un “ordre mondial” globaliste

 

Kurt Nimmo


29 Mai 2013

 

url de l’article original:

http://www.infowars.com/kissinger-u-s-and-china-to-collaborate-on-globalist-world-order/print/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Dans la vidéo ci-dessous, le protégé de David Rockefeller et son homme de main Henry Kissinger appelle les Etats-Unis et le gouvernement autoritaire de la Chine à travailler ensemble pour créer un gouvernement mondial totalitaire.

http://www.youtube.com/watch?v=yxGFmDYdkP8

La citation ci-dessous est à partir de la 3ème minute dans la vidéo.

Kissinger a dit dans un discours à la Asia Society la semaine dernière: “Le défi est de savoir comment construire un ordre mondial global pour la première fois dans l’Histoire. Nous parlons beaucoup de communauté mondiale mais le fait est qu’il n’y a jamais eu de communauté mondiale auparavant” et il suggère que la Chine et les Etats-Unis collaborent dans cet effort.

David Rockefeller a rendu hommage au leader communiste Mao, le tueur de masse le plus accompli du XXème siècle étant responsable de la liquidation d’entre 49 et 78 millions de Chinois selon les sources.

Rockefeller regarde Mao comme un leader politique idéal et la révolution communiste et ses nombreuses purges politiques comme un modèle de gouvernement mondial.

Quel que fut le prix de la révolution chinoise (une référence indirecte aux milions qui périrent), elle a manifestement réussi non seulement à produire une administration gouvernementale plus efficace et motivée, mais aussi à susciter une grande moralité et un but communautaire… L’expérience sociale de la Chine sous la houlette du chairman Mao est un des plus grands succès de l’histoire humaine.” Écrivit Rockefeller dans le New York Times le 10 Août 1973.

Rockefeller se répandit en félicitations miéleuses sur Mao et les communistes quelques trois ans avant la fin de la révolution culturelle en Chine. Des estimations optimistes ont établi que les morts dûes aux purges “culturelles” de Mao ont excédé les 30 millions de personnes.

Le fidèle mignon de Rockefeller, Henry Kissinger, croit qu’il est maintenant temps d’exporter ce que Mao a fait en Chine au reste du monde…