Archive pour guerre cybernétique

Dictature technologique: la cybernétique, internet, les réseaux sociaux comme armes de contrôle de masse des esprits (Dean Henderson)

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Police de la pensée et N.O.M

 

Sociétés secrètes, cybernétique et contrôle de masse des esprits

 

Dean Henderson

 

19 juin 2019

 

url de l’article original:

https://hendersonlefthook.wordpress.com/2019/06/19/secret-societies-cybernetics-mass-mind-control/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

En 1946, le Secret Intelligence Service (SIS) de la couronne britannique (NdT: City de Londres), s’est réuni avec le bureau américain des services stratégiques (OSS) ; c’est au cours de cette réunion que le groupe lança l’Operation Ultra. Avec de l’or japonais et allemand confisqué à la fin de la guerre, le groupe lança une série de banque afin de financer des opérations secrètes futures. Ce qui resta de l’or volé se retrouva à la Banque des Règlements Internationaux (BRI) de Bâle en Suisse. La BRI est la GQG des banques centrales et pilotera le nouveau système monétaire international affublé du vocable de Bretton Woods qui fut établi en 1944 et imposera les pillards officiels des pays du sud pour le système: le FMI et la Banque Mondiale.

Le patron de l’OSS William “Wild Bill” Donovan fut géré par Sir William “l’intrépide” Stephenson, qui est le véritable 007 sur lequel le retraité du SIS Ian Fleming fonda son personnage de James Bond. C’est Stephenson qui a orchestré l’assassinat du président J.F. Kennedy depuis sa base jamaïcaine de la couronne: BRINCO.

 (https://hendersonlefthook.wordpress.com/2014/07/25/who-killed-jfk/comment-page-1/)

Il fut clairement établi dans cette réunion secrète au sommet de 1946 que la Couronne serait le principal associé du groupe ainsi créé et une liste des participants ne fut jamais émise ni publiée. Le SIS devint ensuite la 6ème section du renseignement militaire britannique (NdT: Military Intelligence 6 ou MI6, le contre-espionnage étant le MI5) et un an plus tard l’OSS se transforma en CIA. Ces sociétés secrètes ne furent en rien créées pour maintenir la sécurité des Etats-Unis et du Royaume-Uni. Elles furent créées pour protéger le tout nouveau paradigme financier qui allait concentrer le pouvoir des familles banquières déjà vieilles de plusieurs siècles.

Les sociétés secrètes sont fondées et fonctionnent sur la tromperie et le mensonge. Leur existence même est une tromperie. Le secret invite une énergie sombre et occulte dans le monde qui emplit les initiés avec un faux sens de pouvoir, de puissance, fondé sur leur capacité de mentir et de tromper. Ceci va à l’encontre à la fois de la loi naturelle et de la nature humaine et devrait être regardé comme quelque chose d’étranger à ce monde. Au lieu de cela, ça passe comme étant la “réalité officielle” alors que les agents de la franc-maçonnerie de la couronne, de la cabale et de la confrérie des frères musulmans rejoignent leurs services de renseignement, leurs armées, leurs entreprises de sécurité et de police, pour endoctriner les masses au moyen d’un régime de mensonge à tous les repas faisant croire à cette nature de la réalité.

Le programme Ultra de 1946 était basé sur une recherche cybernétique menée simultanément à Cambridge, Oxford, Harvard et Yale. Ces universités ont été mises en place par des agents de la couronne (City de Londres). Dès 1948, le mathématicien Norbert Weiner du MIT avait résumé la cybernétique comme étant “l’étude scientifique du contrôle et de la communication chez l’animal et la machine”. Ultra se métamorphosa en programme MK-Ultra au début des années 1950. Ce programme de la CIA était basé sur la recherche cybernétique du scientifique Jose Delgado de l’université de Yale. Son objectif était de parvenir à un contrôle des esprits. Le programme ghoulish fut mis au grand jour durant les auditions de la commission sénatoriale Church de 1975, mais un an plus tard, la CIA amena comme directeur George H.W Bush (père) afin d’orchestrer le contrôle des dégâts de toutes ces affaires levées par la commission. En 1984, le sénateur Frank Church (démocrate, Idaho) mourut d’un “cancer”.

Étant parvenu au contrôle individuel de l’esprit en utilisant des mécanismes variés de renforcement, les sociétés secrète retournèrent à leur tableau noir. Ce qui leur était imposé par leur sang était d’étendre ce contrôle individuel à toute la société. La recherche pour le contrôle de masse des esprits commença et ce ne fut sans doute pas une coïncidence que 1975 fut l’année où les ordinateurs furent diffusés au grand large dans le public. Dès 1981, IBM et Apple avaient, par le vol de nombreuses patentes et en augmentant leur volume, éradiqué leur concurrence pour devenir un “duopoly” informatique qui existe toujours aujourd’hui.

Dès 1993, Cisco, fille prodigue de la National Security Agency (NSA), travaillait avec Intel pour développer des processeurs “avec contrôle à distance agressif” qui furent installés dans tous les ordinateurs. Ces processeurs, basés sur la technologie du gyroscope cristal QRS-11, ont permis un “contrôleur de moteur mécanique” connu sous le vocable de : Point Focal Node Trusted Remote Access Control (PFNTRAC). 

(https://hendersonlefthook.wordpress.com/2019/04/16/human-wetware-the-5g-computer-weapon/)

La NSA, entité contrôlée par la couronne, tenait maintenant le manche et fut capable non seulement de tracer mais aussi “d’agressivement contrôler à distance” quiconque sur un ordinateur, à n’importe quel moment. Il était alors temps de lâcher l’arme de contrôle des esprits du public mise en place par DARPA; l’internet. Le Projet Echelon a été formellement établi en 1971. Il utilise des bases de signaux au Canada, aux Etats-Unis, en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Royaume-Uni afin de pouvoir écouter TOUTE conversation téléphonique et éventuellement toute communication informatique.

AT&T et autres géants des télécommunications furent complices de ce crime. Le système fut réglé pour filtrer les mots et noter les personnes qui utilisaient des mots spécifiques comme par exemple “révolution”, “illuminati”, afin de mieux contrôler et manipuler.

Mais même avec le lancement de l’internet, la matrix de contrôle Echelon manquait de meta-données. Les mots sont une chose, mais si l’oligarchie voulait “agressivement contrôler à distance” les rebelles potentiels, elle devrait aller plus loin et plus profond et connaître l’état émotionnel de la cible, ses préférences politiques, ses proches relations et tous vices qui pourraient faire l’objet d’un chantage.

Ainsi entre en scène Facebook et autres plateformes de “médias sociaux”, où chaque personne créerait volontairement son propre “profil” NSA. Celle-ci pourrait alors fournir une “nourriture cybernétique” totalement taillée sur mesure pour chaque personne, basée sur ce profil et les sujets seraient alors autorisés à construire toute une série de “posts”, construisant de manière effective leur propre prison électronique taillée sur mesure et ceci de leur plein gré, sur leur temps libre et à leur propre frais. La société devint alors “connectée” à la matrix de surveillance et de contrôles des esprits.

Echelon se métamorphosera pour devenir ce qui est connu aujourd’hui sous le vocable de l’alliance des “Cinq yeux” et du GQG de la matrix de surveillance le Government Communications Headquarters ou GCHQ de la couronne (City de Londres) qui sert dès lors d’associé principal.

Cet arrangement veut dire que toutes les informations tirées du renseignement américain sont disponibles pour la Couronne et sa camaraderie féodale des familles et ce à tout moment. L’entreprise de tromperie des sociétés secrètes / agences de renseignement de la Couronne est parvenue à ses fins: le contrôle de masse. La fabrication de l’esprit de ruche continue son chemin. Mais au bout du compte et ce comme pour toutes les manœuvres tactiques qui nous ont été infligées par les oligarques dégénérés, vous aurez, nous aurons la capacité de décider.

Tout reviendra à ceci: Rejoindrez-vous les cyborgs ou rejoindrez-vous la résistance. serez-vous la résistance ?..

= = =

Lectures complémentaires:

Paulo_Freire_Extension ou Communication

Leducation-comme-pratique-de-la-liberte_Paulo_Freire_1965

Agenda-oligarchique-de-depopulation-sarkozy-et-les-compteurs-intelligents

stop-linky-gazpar-5G

Scientist 5G appeal

Paulo_Freire_La_pedagogie_des_opprimes

Dean Henderson NOM 4 cavaliers apocalypse pétrolière et familles banquières de l’oligarchie

 

Dictature cybernétique: YouTube, Google, Facebook et la guerre contre la vérité… (VT)

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YouTube et la guerre contre la vérité

 

Gordon Duff

Veterans Today (VT)

 

9 juin 2019

 

url de l’article original:

https://www.veteranstoday.com/2019/06/11/neo-youtube-and-the-war-on-truth/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

A partir de juin 2019, YouTube, propriété de Google Corporation, qui a une très longue histoire de récupérer les données cybernétiques pour des agences de renseignement diverses et des groupes d’extrême-droite, va “faire le ménage”…

Leur affirmation  de retirer tous “discours et propos de haine” et autres “matériaux tendancieux” non spécifiés, est une grande menace pour la liberté d’expression dans le monde.

Voyez-vous, YouTube de Google a littéralement moulé, façonné un monde à lui, s’associant financièrement avec le bidon, l’imbécile et l’absurde, tout en censurant profondément la liberté d’expression et ce dès le tout premier jour de son existence.

Pendant des années, Youtube a géré un système très obscur et opaque de faux-bénévoles financés par des think tanks et des agences d’espionage, des centaines d’entre eux situés dans des bâtiments spéciaux à Haïfa en Israël, interdisant des utilisateurs dont le matériel mis en ligne jette une mauvaise image sur l’apartheid d’Israël.

De plus, YouTube a fourni, en partenariat avec des entreprises très secrètes sous-traitantes dans le domaine militaire comme Idea Groups et Jigsaw, des systèmes de couverture de communication et de renseignement opérationnel à des groupes terroristes comme Al Qaïda et son neveu de l’EIIL / Daesh.

Les mêmes “chambres de trolls” d’Haïfa qui éliminent la libre expression de YouTube, aident à sécuriser des panneaux d’annonces protégés pour Daesh et autres groupes terroristes qui communiquent leur plan d’opération en utilisant ces plateformes pour y poster des vidéos.

Ceci fut le plan de retrait de Daesh lorsque leur système de discussion fut exposé et mis à jour sur Facebook et la NSA commença à tracer les cellules terroristes au travers de leur “chaîne Zuckerman”.

Les membres de l’EIIL et d’Al Qaïda restèrent simplement enregistrés sous leur app YouTube et mirent en place “tear sheet” pour des transmissions codées sous la pleine protection de Google Corporation. Plus que cela, ce processus d’utiliser des discussions YouTube pour planifier des attentats à la bombe, des flingages de masse ou des attaques au gaz toxique est enseigné par des groupes de conseil financés par le programme Jigsaw de Google de promouvoir “la résistance démocratique à la tyrannie”.

Les organisations de “résistance” financées par Google sont actives en soutien de ce qu’ils appellent “les mouvements démocratiques” en Syrie,en Egypte, en Libye, au Soudan, au Ghana, au Cameroun, au Nigéria, en Ukraine, en Georgie, en Turquie, en Iran, en Irak, au Bahreïn, au Sri Lanka, en Italie, en France, en Allemagne, en Belgique et dans deux douzaines d’autres nations.

Nos projections montrent que ces groupes ont été liés à des assassinats, à littéralement des centaines d’attentats à la bombe, des enlèvements et des viols de masse, du vol d’antiquités, d’un énorme trafic d’armes et bien entendu, de la manipulation des médias.

En fait, le partenariat Google-Facebook, qui inclut YouTube, gère 3 cellules sur 3 continents avec un scenario tiré directement de celui du Gladio de l’OTAN qui échoua. Pour ceux qui ne le savent pas, l’opération Gladio fut mis en place par l’OTAN à la fin des années 70 pour entrainer des combattants résistants en cas d’une invasion soviétique de l’Europe. Mais cette opération Gladio devint très vite Septembre Noir, les Brigades Rouges et finalement ISIS / EIIL / Daesh, d’après nos sources. Pendant 20 ans, les attentats terroristes du Gladio, une organisation supposée combattre l’URSS, terrorisèrent l’Europe. L’histoire se répète maintenant, mais à une échelle mille fois plus importante…

Les menteurs décident de ce qui est vrai

Les cibles les plus récentes de YouTube sont le BDS et tous ceux qui y sont affiliés, ce mouvement pour forcer les gouvernements à utiliser le Boycott, Diversion, Sanctions (BDS) pour renforcer l’application des résolutions de l’ONU concernant la Palestine.

Il est bon de noter que plus de 45% de ce qui est communément appelé “Israël”, sans Gaza, le Golan ou la Cisjordanie, est légalement l’état palestinien de Judée et de Samarie en accord avec les résolutions de l’ONU avec les programmes du BDS en direct accord avec la loi internationale comme stipulé dans la 4ème Convention de Genève. YouTube a décidé d’opérer en dehors du cadre de l’ONU et de ses résolutions et de s’opposer à l’autorité de la Cour Pénale Internationale de La Haye et de la Convention de Genève.

Nommer YouTube-Google-Facebook comme “état voyou” peut légalement être soutenu. Les appeler l’état profond serait même encore plus judicieux.

Du New York Times (NdT: la voix de la CIA…) du 5 juin 2019:

“YouTube a annoncé mercredi ses plans de retirer des milliers de vidéos et de chaînes qui se font les avocats du néo-nazisme, de la suprématie blanche et autres idéologies bigotes, ce dans une tentative de nettoyer les propos extrémistes et haineux de son service populaire.

La nouvelle politique interdira les “vidéos faisant allusion qu’un groupe est supérieur afin de justifier la discrimination, la ségrégation ou l’exclusion.”, a dit l’entreprise dans un post de blog (blog post) L’interdiction couvrira aussi les vidéos qui nient que des évènements violents, comme le carnage de l’école primaire de Sandy Hook dans le Connecticut, aient eu lieu.

YouTube n’a pas nommé de chaînes ni de vidéos spécifiques qui feront l’objet de cette mesure. Mais mercredi, un certain nombre de créateurs d’extrême-droite commencèrent à se plaindre que leurs vidéos ont été effacées ou dépouillées de leurs publicités (NdT: source de revenus bien entendu..), sans doute à cause de cette nouvelle politique mise en place.

“Il en va de notre responsabilité de protéger et d’empêcher que notre plateforme ne soit utilisée pour inciter à la haine, au harcèlement, à la discrimination et à la violence”, a précisé le blog.”

Il est intéressant de noter que le NY Times mentionne Sandy Hook. Un universitaire américain de renom est en procès pour diffamation pour avoir publié une série d’articles de journalistes indépendants qui commentent sur les inconsistances du narratif officiel.


Restrictions partout, liberté nulle part

Notre propre enquête sur cet incident, d’un point de vue du contre-terrorisme et contre-espionnage, a trouvé d’énormes irrégularités dans l’enquête et la gestion des preuves et de plus, il y a le fait que les fonds qui ont été utilisés pour punir ou réduire au silence des membres de la presse indépendante, sont d’origine bien mystérieuse.

En fait, bien des enquêtes sont bâclées voire même bidonnées. Pendant des années, j’ai géré des entreprises de sécurité qui, parmi d’autres capacités, enquêtaient sur des incidents critiques, incluant des catastrophes aériennes, des désastres miniers et des actes de terrorisme. La plupart de nos enquêteurs et experts de terrain venaient du FBI ou d’autres agences. Le mécanisme qu’on pense avoir été employé à Sandy Hook fut certainement employé lors du 11 septembre, à Khan Sheikhoun en Syrie, pendant les assassinants de John et Robert Kennedy ainsi que durant le suspecté empoisonnement des Skripal en Grande-Bretagne.

Affaire après affaire, comme il est facile de le constater, des gouvernements sont renversés, des bombardements ordonnés, des pays envahis, des sanctions employées, tout cela basé sur des “résultats” d’enquêtes bidons sur des incidents dont les véritables perpétrateurs sont ceux à qui profite, comme c’est toujours le cas, du chaos et de la souffrance causés.

Bien sûr maintenant YouTube vient de se lancer dans le retrait de vidéos offensantes, ce qui inclut celle du présentateur de CBS News Dan Rather rapportant l’arrestation d’agents du Mossad en possession d’explosifs sous le pont George Washington de New York le 11 septembre 2001, les vidéos d’explosions d’armes nucléaires tactiques utilisées contre le Yémen ou juste hors de Damas en mai 2013 et, par dessus tout, les déclarations de douzaines de témoins décrivant comment les Casques Blancs ont mis en scène des attaques au gaz toxiques en Syrie, incluant une vidéo des dires de 40 Casques Blancs eux-mêmes. Peut-on voir une sorte d’agenda ici ?…

Ceci me rappelle une expérience personnelle. Je venais juste de rentrer de Nairobi au Kenya, lorsqu’on me demanda de faire des recommandations au ministère de l’intérieur après la tristement célèbre attaque de la galerie marchande qui y fit 71 morts.

Lorsque je revins [aux Etats-Unis], un avocat local me demanda une assistance pro bono dans une enquête sur un accident de voiture mortel impliquant deux véhicules qui se télescopèrent frontalement juste hors de Wauseon dans l’état de l’Ohio. L’enquête de police, faite sur place en moins de 30 minutes, trouva la jeune femme conduisant un des véhicules être responsable de l’accident et d’homicide. Notre enquête montra que, sur la scène d’accident, la jeune femme se vit refuser des soins médicaux bien qu’étant dans une condition critique et fut plus tard arrêtée sur la base d’un aveu forcé fait lorsqu’elle était dans un semi-coma aux urgences d’un hôpital local. Elle mourut presque durant son transport en hélicoptère, important de le noter.

Il y avait un gros problème. Les deux véhicules furent retrouvés dans la même voie de circulation, la même que sur laquelle la jeune femme circulait et l’autre conductrice, une femme plus âgée, avait en fait traversé les voies et causé l’accident. L’examen des rapports médicaux montra que la dame âgée était sévèrement sous le coup de la substance Ambien, un sédatif hypnotique et d’un cocktail d’opiacés et de médicament psychothropes. Médicalement parlant, cette femme était un “zombie”.

Pire, lorsque les “boîtes noires” des véhicules furent téléchargés dans un simulateur d’accident “physique”, les animations qui reproduisent exactement les mouvements des voitures, les coups de volant, les freinages, vitesses etc, démontrèrent que la police avait en fait bidonnée l’enquête.

Une évaluation des policiers impliqués dans l’enquête montra qu’ils avaient mené des centaines d’autres enquêtes similaires, toutes sans aucune preuve légiste, le tout simplement fabriqué. Ce n’est pas dans le simple domaine des accidents de la route, mais aussi dans celui des enquêtes criminelles de toutes sortes qui font l’objet de telles négligences procédurières policières, trouver un coupable, fabriquer de fausses preuves et envoyer le/la “coupable” en prison.

Il y a une suite répétitive ici. Si une source officielle se présente, alors nous avons un lanceur d’alerte, un “criminel”. On ne peut pas les croire. En fait, ils doivent être chassés et emprisonnés.

Si c’est un journaliste indépendant, c’est un “complotiste” et YouTube efface son travail. Si la preuve vidéo est si puissante qu’on ne peut pas/plus l’ignorer alors cela devient de “l’incitation à la haine” et elle est virée.

Être fliqué par la police est déjà particulièrement pénible, mais être fliqué par des entreprises haute-technologie contrôlées par des mouvements politiques extrémistes, ce qui décrit parfaitement et justement les fonctions des Google, Facebook et consort, redéfinit carrément la tyrannie.

 

Nouvel Ordre Mondial: la bataille de l’internet, la descente aux enfers totalitaires des Etats-Unis continue…

Posted in actualité, Internet et liberté, N.O.M, résistance politique, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , on 31 juillet 2011 by Résistance 71

Un projet de loi approuvé afin de créer une base de données géante des utilisateurs de l’Internet

 

Loi liberticide sur la sphère privée en fait un précurseur pour une extension massive du pouvoir de l’état

 

Par Steve Watson

Le 25 Juillet 2011

 

Url de l’article original:

http://www.infowars.com/bill-to-create-massive-surveillance-database-of-internet-users-approved/

 

 

Un projet de loi qui va forcer les prestataires de service internet à stocker des informations sur tous leurs clients et à partager cette information avec le gouvernement fédéral et les autorités compétentes a été renforcée en dernière minute hier et passée par le comité représentatif de la chambre américaine.

Sous le couvert de protéger les enfants des pornographes de l’internet, le comité judiciaire de la chambre a voté 19-10 et approuvé la loi qui va requérir les ISP de stocker temporairement les adresses IP des utilisateurs pour usage futur.

De plus, cette loi fut réécrite hier afin d’inclure la rétention des adresses, numéros de téléphone, numéros de cartes de crédit et numéros de comptes en banque des clients.

Comme le rapporte Declan McCullagh de CNet, le panel a rejeté un amendement qui aurait clairifié que seules les adresses IP devraient être gardées.

“Le nom de cette loi est erronée” a dit le député John Conyers (Démocrate, Michigan), représentant sénior du panel. “Ceci ne protège pas les enfants de la pornographie en ligne. Ceci augmente la base de données sur tout le monde dans ce pays pour beaucoup d’autres objectifs.”

La loi représente “une base de données de toute action digitale effectuée par chaque américain.” “Et qui donnera à l’état le pouvoir de savoir quels site internet chaque américain a visité.” A dit la députée Zoe Lofgren, qui a menée l’opposition démocrate contre ce projet de loi. La représentante de la Californie a décrit cette loi comme étant “une loi fourre-tout” et “un moyen puissant pour l’extension du pouvoir de l’état.”

Le député Darrell Issa (Républicain, Californie) a noté que:

“Ceci n’est pas à propos de pornographie. Cela n’a jamais été le cas et ne le sera jamais.” A dit Issa, “ceci n’est qu’une manière plus facile pour les représentants de la loi d’obtenir ce qu’ils n’ont pas pu obtenir avec le Patriot Act.”

Les partisans de cette loi incluent l’association nationale des Shériffs, qui a dit qu’elle “soutenait fortement” la rétention obligatoire de données. La loi a aussi reçu le soutien de centre national des enfants disparus et exploités ainsi que du FBI.

Dans un dernier effort pour faire dérailler la loi, l’ACLU avec plusieurs douzaines d’associations de défense de la vie privée, a écrit une lettre au président du comité judiciaire Lamar Smith plus tôt dans la semaine, y notant que “toute rétention de données par mandat fédéral est une attaque directe du sanctuaire des principes fondamentaux de la vie privée.”

“Le mandat de rétention de données de cette loi considérera tout utilisateur de l’internet comme un criminel et menacera la liberté individuelle en ligne et les droits à la parole de chaque américain, ainsi qu’ont reconnu des législateurs de chaque côté du débat”, a dit Kevin Bankston, avocat en chef de la Fondation du Monde Electronique (Electronic Frontier Foundation).

“Obliger les compagnies internet de refaire et de reconfigurer leurs systèmes pour faciliter la surveillance gouvernementale des activités des Américains est tout simplement anti-américain. Un tel plan serait aussi questionable que celui de nos pères fondateurs demandant des licences pour la presse écrite ou l’interdiction de pamphlets anonymes.” A ajouté Bankston.

“Ceci est une mesure légale dans le style de la Chine, considérant chacun comme un suspect potentiel et demandant une moisson d’information personnelle au cas où cela serait utile par la suite pour le gouvernement.” A dit Greg Nojeim, conseiller pour le centre pour la démocratie et la technologie basé à Washington, dans une interview avec Bloomberg.

Il y a deux semaines, l’Electronic Privacy Information Center (EPIC) fît appel devant le comité judiciaire de la chambre, demandant pour que le congrès reconnaisse le fait que de détenir les informations d’identité personnelle serait “un risque pour 99,9% des usagers de l’internet”.

Marc Rotenberg, président de EPIC, a déclaré qu’il était plus prudent de rechercher une minimisation des données plutôt qu’une rétention de données, dans l’optique des risques accrus de corruptions de données et de vols d’identités. Rotenberg a noté que l’obligation de la rétention de données rendrait les ISP plus vulnérables aux attaques des hackers en citant le groupe LulzSec, qui a récemment revendiqué la responsabilité de la fermeture temporaire d’un site internet de la CIA ainsi que d’autres hacks spectaculaires.

“Minimiser le stockage d’information réduit considérablement le desir des hackers d’attaquer les systèmes de stockage simplement en réduisant le nombre de données qu’ils seraient capables de voler. La minimisation du stockage réduit également le coût des pertes de donnés et de leur corruption”, a dit Rotenberg dans une allocution préparée.

Rotenberg a suggéré que les données pourraient être utilisées afin d’inculper quelqu’un pour quelque chose qui n’a rien à voir avec la pornographile pédophile, car toute rétention obligatoire de données placerait ces données en accès direct à la police enquêtant sur n’importe quel crime.

“Bien que cette loi d’obligation de rétention de données informatiques ait été introduite avec pour point de focalisation sur l’exploitation sexuelle des enfants, il n’y a aucune preuve qui suggère que la majorité des demandes des agences gouvernementales pour avoir accès aux informations des abonnés internet, le sera en relation à des cas de protection de l’enfance.” A argumenté Rotenberg.

La loi donnerait également accès à la base de données aux avocats en charge des procédures de divorces, de fraudes à l’assurance, et d’autres cas qui n’ont absolument rien à voir avec la protection des enfants sur l’internet.

“Cela donnerait au gouvernement une vaste autorité pour mandater la moisson et la rétention d’informations personnelles obtenues par les commerçants sur leurs clients, ou généré par le monde des affaires en créant des liens de service; tout ceci pour examen futur sans aucune raison de croire que l’information sera utile ou nécessaire pour une enquête criminelle”, a ajouté Rotenberg dans son audition.

Le député Boby Scott (Démocrate, Virginie) a proposé un amendementt à la loi pour la stricte limitation d’exploitation des données pour la pornographie pédophile ou les cas de terrorismes, mais cet amendement fut retiré à la dernière minute Lamar Smith considérant que limiter l’utilisation des informations aux seuls cas de pornographie pédophile pourrait “nuire aux cas en cours sur d’autres affaires”.

Le député Scott a également tenté de faire ajouter un amendement pour faire alouer 45 millions de dollars par an pour payer 200 enquêteurs et procureurs fédéraux de plus entièrement dédiés aux cas de pornographie pédophile. Ceci constituait une véritable action contre la pornographie enfantine et ses réseaux, mais cet amendement ne fut pas le bienvenu et fut rejeté par le comité qui clâma qu’il n’y avait pas d’argent disponible.

Cette législation, avec toute sa batterie d’atteintes à la vie privée, va maintenant être programmée pour un débat au parlement.

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Steve Watson est un écrivain, journaliste basé à Londres, éditeur des programmes InfoWars.net et PrisonPlanet.com. Il a un Masters en relations internationales de l’école politique de l’université de Nottingham en Angleterre.