Archive pour fraude changement climatique anthropique

EscCOVID + EscRCA = N.O.M*

Posted in 3eme guerre mondiale, actualité, altermondialisme, coronavirus CoV19, crise mondiale, guerres hégémoniques, média et propagande, néo-libéralisme et paupérisation, pédagogie libération, politique et social, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, santé et vaccins, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état with tags , , , , , , , , , , , , , , , , , on 16 juillet 2021 by Résistance 71

arnaque_RCA1

(*) cette formule : Escroquerie COVID + Escroquerie Réchauffement Climatique Anthropique = Nouvel Ordre Mondial ou donc : EscCOVID + EscRCA = N.O.M est en fait une dérivée de la célèbre formule du professeur Shadoko :
Zo + Meu = Ga.Zo.Bu dont l’application chimique par sa formule expresse 100HO7 + LHO + L100 a permis la dérivation de la Polymerase Chain Reaction (PCR) en test absolument infaillible de virus chimérique à géométrie variable et (accessoirement) aux yeux bleus.
Et surtout… N’oubliez jamais : la science est grande et Bill Gates est son prophète !
Amen
~ Résistance 71 ~

L’escroquerie plandémique est si 2020… Voici ce qui se prépare

James Corbett

12 juillet 2021

Source:
https://www.minds.com/CorbettReport/blog/the-scamdemic-was-so-last-year-here-s-what-s-coming-next-1261152339732381696

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

C’est invisible mais mortel. Cela affecte l’air que nous respirons. Nous sommes tous part de ce problème.

Le SRAS-CoV-2 ? Allons, allons… Tout ça est si 2020. Je parle du prochain croquemitaine invisible à venir, celui qui mènera à terme les transformations commencées sous la plandémie COVID par leur conclusion totalement (il)logique de contrôle complet des mouvements, interactions et activité économique de chaque individu sur la planète. Et oui, au cas où vous auriez loupé le mémo, on est déjà en train de se bouger pour balayer sous le tapis tous ces excès de cette peur pornographique de l’ère plandémie, avec l’aide bien entendu de ces bons vieux dinosaures des merdias, qui rapportent à l’unisson (NdT: du moins dans le monde anglo-saxon, le reste suivra) que “Le narratif COVID entre dans une nouvelle ère” (“Covid Counting Enters New Era”) et que les états sont en train de “minimiser” leur rapport COVID19.

Bien sûr, cela n’est en rien la fin du paradigme bio-sécuritaire. Les “nouvelles frousses” de ce croquemitaine invisible demeureront pour un moment et, alors que Mr Bill “escroquerie à la pandémie” Gates soi-même a annoncé, avant qu’il ne soit si vilement balancé sous le bus par ses congénères globalistes, que la “Pandémie II, le retour” est juste au coin du bois. Non, non, le paradigme construit de la bio-sécurité va, je le crains bien, rester un bon moment avec nous.

Ceci dit, il y a un autre lutin malfaisant qui va bientôt éclipser ce si dangereux monstre COVID dans l’imaginaire de la populace. Un lutin qui est présent depuis des décennies, attendant sa chance de terrifier le public en une Grande Réinitialisation alors que nous plongeons tête la première dans le Nouvel Ordre Mondial et ce monstres est… est…

. . . le dioxyde de carbone ou CO2.

Bouh ! Pas encore terrifiés ?

Et oui, ce bon vieux conte de fée du changement climatique  ou réchauffement climatique anthropique (RCA) va faire son retour animé d’une vengeance tenace en ces années 2020. Comme je l’avais déjà dit en septembre dernier, la pandémie est un test, un échauffement pour les systèmes de contrôle qui vont terrifier le public pour qu’il obéisse à toutes sortes de limitations draconiennes de ses activités au nom de sauver la planète du changement climatique.

La connexion entre les deux a été rendue explicite dans un article très important publié l’an dernier : “Avoiding A Climate Lockdown” de Mariana Mazzucato. Dans cet article, elle argumente que la pandémie COVID ne fut en fait qu’une conséquence de “la dégradation environnementale”, probablement parce que la théorie de l’origine du SRAS-CoV-2 émanant d’une soupe de chauve-souris était alors toujours à la mode et que les mêmes types de contrôle ms en place pour gérer une des némésis invisible seraient toujours bons pour gérer l’autre. Spécifiquement :

Sous un “confinement climatique”, les gouvernements limiteraient l’utilisation des véhicules privés, banniraient la consommation de viande rouge et imposeraient des mesures de conservation d’énergie, tandis que les compagnies pétrolières devraient arrêter de forer. Pour éviter un tel scénario, nous devons changer nos structures économiques et pratiquer le capitalisme de manière différente.

Si seulement tout ça n’était que le délire d’une arriviste style Greta dans une obscure publication sans relation aucune avec le pouvoir. Malheureusement, ces délires furent publiés par Project Syndicate, financé par (attendez ça arrive…)… Les fondations Open Society de George Soros, Bill & Melinda Gates et la Google News Initiative, entre autres.

Si on avait besoin d’une preuve supplémentaire que ceux qui ont déjà aidé à mener l’économie en surplace d’un coup de baguette magique planifie d’activer ceci pour nous préserver du méchant CO2 dans un futur proche, nous pourrions noter :

  • L’intense focalisation du FEM de Davos sur “la course à l’émission zéro net” pendant le Davos Agenda en ligne plus tôt cette année et ses séries consécutives de “Dialogues climatiques”.
  • La tentative de Bill Gates avant sa chute en disgrâce, de faire pivoter la conversation sur la menace du climat avec son nouveau livre et campagne de publicité avenante pour faire peur aux gens afin qu’ils acceptent un nouvel ordre économique mondial fondé sur les restrictions carbone
  • L’appel de l’Assemblée Citoyenne du Royaume-Uni pour “utiliser le stimulus économique du coronavirus pour reconstruire une économie net carbone zéro”

suivis de la cacophonie de milliers d’appels des clones habituels globalistes et leurs idiots utiles des think tanks et institutions de recherche et tous leurs sbires corrompus grassement payés de la faune merdiatique pressetituée à la botte.

Jusqu’ici, la campagne porn de la peur semble avoir ses effets attendus. Une étude récente suggère que “pour la première fois les citoyens européens considèrent le changement climatique comme un problème sérieux pour le monde, malgré la pandémie COVID19”. Alors bien sûr, comme tout sondage, tout ça est à prendre avec de sérieuses pincettes, mais le fait que les braves gens de l’EUrocrassie veulent que vous le croyez en dit suffisamment long. Ceci fait clairement partie d’un agenda de transition pour nous amener gentiment de la peur COVID à la peur climatique augmentée, sous stéroïdes.

Une fois de plus, peut-être que la manière la plus claire de comprendre où va cette nouvelle grand peur climatique, c’est de suivre le fric. Ne vous y trompez pas, ce n’est pas le fric qui manque pour être tracé dans cette histoire. Lorsque vous entendez l’expression “Nouvelle donne verte”, vous devez automatiquement penser “vert comme le dollar”. Les vieux de la vieilles du Corbett Report connaissent la musique et savent déjà :

  • Que les entreprises Enron et Goldman Sachs furent les pionniers des fraudes sur les échanges carbone (et que ceci surprise, surprise est une fraude et une escroquerie totale et complète de A à Z)
  • Que General Electric, DuPont, Johnson & Johnson, Pepsi Cola, Siemens, AIG et une floppée d’autres entreprises côtées au Fortune 500 / CFR (Conseil en Relations Etrangères) rejoignirent BP, ConocoPhilips, General Motors (GM) et autres entreprises financées par l’oligarchie en tant que membres fondateurs du Partenariat pour l’Action Climatique des Etats-Unis dont le mémoire “Blueprint for Legislative Action” est devenu la colonne vertébrale de la loi de 2009 Waxman-Markey bill of 2009; soutenue par Wall Street.
  • Que l’ex-gouverneur de la Banque d’Angleterre et actuellement United Nations Special Envoy on Climate Action and Finance et chien de garde mondialiste, le très canadien Mark Carney, a fait un discours en 2019 déclarant qu’un entièrement nouveau système financier (bien entendu complètement numérique) allait être nécessaire pour aider à faire la transition du monde vers un zéro net carbone
  • Que les Rothschild et leur cohorte de banksters ont en catimini mis en place la base financière pour la création d’un système bancaire climatique complet pour faciliter leurs échanges de dette-pour-nature et autres tentatives de monopoliser le monde au nom du “développement durable”.

et toute une myriade d’autres aspects de cette gigantesque escroquerie climatique pesant quelques 100 000 milliards de dollars en échange carbone, qui est maintenant visible à l’œil nu.

Mais les confinements climatiques sont là où tout cela a été fait pour, et les altérations fondamentales de l’économie seront basées sur l’histoire de cette histoire d’épouvante climatique.

Maintenant, ajoutons à cette histoire quelques-uns des derniers mouvements financiers le long de cette voie vers un contrôle technocratique total de la planète, de ses habitants et de ses ressources. Ces mouvements ont peut-être échappé à votre radar car ils se sont largement produits sous le couvert de cette escroquerie pandémique.

D’abord, il y a cette pression croissante placée sur les régulateurs financiers dans le monde afin  d’adresser cette affaire de climat comme une risque systémique. Ces appels ont déjà eu pour effet de :

  • La création par l’ONU de la position sus-mentionnée “d’envoyé spécial sur le financement de l’Action Climatique”
  • La patronne de la Banque Centrale Européenne (BCE) , et criminelle condamnée, Christine Lagarde et sa promesse (menace ?) de “peindre la BCE en vert” en faisant des affaires climatiques une des priorités de la banque.
  • La patronne de la Réserve Fédérale, Janet Yellen (NdT: marrant de voir comme les harpies du système sont aux positions clefs des banques centrales…) et sa promesse d’évaluer le risque posé par le changement climatique
  • Et des annonces similaires par les régulateurs bancaires du monde.

Ne vous laisser pas berner par la rhétorique et ce faux sens de sécurité. Ceci n’est pas une vague menace de prendre quelque action dans un temps lointain. La tentative de mettre l’économie mondiale sous le joug définitif de la mafia bancaire est déjà bien avancée.

Comment cela ? Mark Carney, de ses propres mots décrivant les solutions climatiques zéro net carbone qui sont “la plus grosse opportunité commerciale de notre temps”.

Les entreprises et ceux qui investissent dedans et leur prêtent du fric et qui font partie de cette “solution”, seront récompensées. Ceux qui sont en retard et font toujours partie du problème seront punis.

Comment seront-ils punis ? En étant coupés de leur accès à la finance privée bien sur ! (et si la finance “privée” ne joue pas non plus la nouvelle règle du jeu, elle sera éteinte également !…)

La finance privée juge quelles entreprises font partie de la solution, mais cette même finance privée est aussi de plus en plus jugée. Les banques, les fonds de pension, et les gérants de portefeuilles doivent aussi montrer où ils en sont dans cette transition zéro net carbone.

C’est l’offre qu’on ne peut refuser directement des Don de la mafia mondialiste de la banque et du climat. Qui pourrait dire non ?

Ah oui, le meilleur, afin de s’assurer de la mise en place de ce nouveau fascisme climatique mondial, les petites entreprises vont maintenant être contraintes de rapporter fastidieusement non seulement leurs propres pêchés climatiques, mais aussi ceux de leurs sous-contractants et fournisseurs et même des utilisateurs de leurs produits.

Si je suis en charge d’une entreprise focalisée sur le zéro net carbone, qu’est-ce que cela veut dire ? Ce n’est pas juste divulguer et gérer les émissions de carbone de la production de mon produit. C’est aussi les émissions impliquées dans l’énergie que j’utilise et les ´´missions en amont de ma chaîne de valeur, en d’autres termes, les émissions de mes fournisseurs, dont la plupart sont de petites entreprises, ainsi que les émissions des gens qui utilisent mon produit fini. Cette entreprise devient responsable de divulguer tous ceux qui participent et a intérêt à gérer ces derniers à la baisse. Dont il y a un intérêt à travailler avec de petites entreprises ou de choisir celles qui œuvrent à diminuer leurs émissions.

Là encore, tout cela n’est pas menace creuse. Ces choses se passent déjà. Je n’étudie pas particulièrement ce sujet, mais il y a eu déjà pas mal d’histoires de la sorte sorties ici au Japon, montrant exactement comment ce type de pression est déjà mise en place pour tenter de faire obéir les petites entreprises aux diktats de la mafia mondialiste du climat. Observez juste ces titres de ces dernières semaines :

Japanese insurers struggle to pinpoint climate change cost estimates

MUFJ board beats back climate resolution as activists falter in Japan

BOJ to launch new scheme for fighting climate change

Je n’ai aucun doute que si vous recherchiez ce genre d’histoire dans votre lieu de résidence pour en trouveriez un bon paquet.

Mais peut-être que la plus grosse miette laissée sur ce chemin est le “Net zero: a fiduciary approach” de notre bon vieux copain qu’est Blackrock. Vous connaissez Blackrock ? Le plus gros gérant de biens du monde au portfolio sous contrôle de 9000 milliards de dollars ! L’entreprise “privée” vers laquelle la Fed s’est tournée pour ses bonds du trésor de l’escroquerie pandémique. La même firme d’investissement qui rachète les maisons aux Etats-Unis très rapidement (parce que vous n’aurez bientôt plus besoin d’être propriétaire de votre maison !). Oui, ce Blackrock là !

Et bien, il se trouve qu’ils sont 100% avec l’agenda du changement climatique, quelle surprise hein ?

Oui, leur nouveau rapport nous informe que “la transition climatique crée une opportunité d’investissement historique”. Comme les réflexions de Carney ci-dessus mentionnées, le rapport de Blackrock insiste également sur l’importance de “la mesure et de la transparence” dans l’objectif d’atteindre une économie du zéro net carbone, faisant la promotion “d’un alignement des températures” et d’une mesure pour que “la mesure du changement de température soit consistant avec la gestion d’un portfolio”. Ils admettent que le standard pour se faire est en train d’être développé en conjonction avec le très nébuleux “Comité de stabilité financière” ( the shadowy Financial Stability Board‘s) et son groupe spécial sur les divulgations financières liées au climat, qui apparemment est un truc qui existe.

Hum, ça pue la magouille à plein nez tout ça. Un plan qui prévoit chaque parcelle d’énergie qui va dans la production d’un produit, qui est comptabilisée et enregistrée en temps réel et pour laquelle cette dépense énergétique devient la base d’un système économique ? Où ai-je déjà entendu ça ?

Ah oui ! c’est la définition littérale de la technocratie et d’un système technocratique du Technocratic Study Course, qui pose comme postulat qu’un système technocratique de distribution demande que le gouvernement continental technocrate du futur : “Enregistre sur une période continue de 24 heures la conversion totale nette d’énergie, ce qui déterminera a) la disponibilité de l’énergie pour la construction et la maintenance continentale, b) la quantité de richesse physique disponible sour la forme de bien de consommation et de services pour la consommation par la population totale pendant la période d’équilibrage.”

Et :

“Fournir un inventaire continu sur 24 heures de toute production et toute consommation.” Et oui, ils veulent une connaissance et un contrôle total sur toute activité humaine, et pourquoi cela ? afin d’avoir une emprise sur absolument tout bien entendu. Il ne s’en cache même pas. Le cours d’étude technocratique nous dit d’emblée dans sa section “L’animal humain” que :

Comme nous devons maintenant gérer les êtres humains et leurs habitudes, il est bien qu’avant d’aller plus avant nous nous renseignons plus  sur la nature de cet animal humain.

Avant de conclure que :

Les habitudes sociales et institutions humaines tendent à demeurer stables ou à changer de manière très lente, sauf en cas de changement rapide de l’environnement naturel externe lorsque ce dernier affecte directement les nécessité biologiques de base. Quand les humains sont nourris, habillés et logés d’une manière compatible avec une bonne santé, qu’ils ne sont pas obligés de travailler beaucoup dans des taches astreignantes et peuvent intervenir normalement avec leurs semblables, les habitudes sociales et les coutumes ont tendance à se cristalliser  sur ce mode particulier de procédure. Si des changements dans l’environnement se produisent de manière à ce que les nécessités de base ne peuvent plus être remplies par des activités en relation avec les vieilles habitudes, alors ces dernières seront vite abandonnées.

Rien de tout cela ne sera surprenant pour ceux qui ont étudié la formule Problème – Réaction – Solution par laquelle les ingénieurs sociaux utilisent des évènements faux-drapeau ou autres manilpulations pour choquer le public à changer d’attitude selon un chemin pré-déterminé. Merde, cela devrait même être familier à tous ces “gens normaux” qui font encore confiance à Naomi “Conspiracy Smoothie” Klein pour leur dire les dures vérités au sujet de la doctrine de la thérapie du choc.

C’est là où on commence à entrevoir ce qu’est l’agenda. Ceci n’a rien à voir avec le fait de “sauver la planète”, ça n’a jamais au grand jamais été le cas. Les types qui sont en train de construire de véritable cauchemar de confinement total climatique pour la société future se foutent ouvertement de votre gueule depuis les jets privés exemptés de taxe carbone (carbon tax-exempted private jets.)

Ils sont là pour vous contrôler à 100%. Pour décider pour vous où et quand vous pourrez quitter votre habitation et quel mode de transport vous serez autorisé à utiliser lorsque vous pourrez le faire. Décider ce que vous pourrez acheter ou pas. Comment vous pourrez passer votre temps, où vous vivrez et avec qui vous pourrez vous reproduire… ou pas, ou si on vous permettra même de vous reproduire. La meilleure façon pour eux de le faire est de créer des hommes ours-cochons avec lesquels ils pourront soumettre le public.

Commencez-vous à voir l’image se dessiner devant vous ou pas ?…

Le paradigme de la bio-sécurité est toujours là, mais il n’est qu’un amuse-gueule de la grille de contrôle qui va être mise en place et activée.

COVID ? Disponibilité de lits d’hôpital ? Masques ? Ivermectin ? Pfff, tout ça est tellement 2020… L’oligarchie est déjà passée à autre chose. La question est : Êtes-vous prêts pour ce qui arrive et pointe le museau ?…

= = =

Voir notre page : “Escroquerie du Réchauffement Climatique Anthropique”

BRVG
Le bateau ivre du N.O.M

Le_Pens-Complotiste

Changement climatique ? Oui, mais diminution de l’activité solaire, minimums et refroidissement global (F. William Engdahl)

Posted in actualité, altermondialisme, écologie & climat, économie, crise mondiale, guerres hégémoniques, ingérence et etats-unis, média et propagande, militantisme alternatif, néo-libéralisme et paupérisation, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, politique et lobbyisme, politique et social, politique française, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , on 4 mars 2021 by Résistance 71

 


Le soleil… pilote du climat terrestre

 

Avec cet article on peut se poser la question suivante : les agendas 2030 et 2050 de l’ONU ne sont-ils pas en fait une planification d’une extermination planétaire massive de l’espèce humaine par la privation et la famine immanquablement à venir si nous laissons cet agenda se mettre en place et se verrouiller ? Au vu des recherches effectuées et en cours, il est impossible que les guignols en charge ne sachent pas de quoi il retourne vraiment. Ainsi, il devient assez évident que toute cette mascarade climatique et course à cette « énergie verte renouvelable » n’ayant aucune fiabilité ni même capacité de subvenir à nos besoins énergétiques, fondée sur une science biaisée et bidouillée à souhait, n’est qu’un outil pour la réalisation d’un vaste dessein eugéniste de notre pathétique « élite » auto-proclamée et criminelle, obnubilée par son délire néo-malthusien.
Là encore, une fois de plus, comme pour tout, il suffit de dire NON ! ensemble et leur délire s’arrête du jour au lendemain. Comme pour bien des sujets, la balle est dans notre camp… Encore faudrait-il savoir qu’elle l’est. Qui a éteint la lumière ?
~ Résistance 71 ~

 

Gel au Texas, alerte climatique d’urgence… mais pas comme vous le pensez

 

F. William Engdahl

 

26 février 2021

 

Source:
https://www.mondialisation.ca/gel-au-texas-alerte-climatique-urgente-mais-pas-comme-vous-le-pensez/5654090

 

Dans la tragédie hivernale extrême qui se déroule au Texas ainsi que dans de nombreuses autres régions des États-Unis qui ne sont pas préparées à affronter les rigueurs de l’hiver, un point notable est que la plupart des vastes batteries d’éoliennes de l’État, censées produire 25% du réseau électrique de l’État, ont gelé et sont en grande partie inutiles. Les récents hivers rigoureux qui ont frappé non seulement la partie continentale des États-Unis, mais aussi une grande partie de l’Union européenne, et même le Moyen-Orient, justifient un examen plus approfondi d’un sujet qui a été trop longtemps ignoré par les rapports du Groupe d’Experts intergouvernemental sur l’Évolution du Climat (GIEC) des Nations unies, ainsi que par un nouveau groupe d’universitaires appelé Climate Scientists. C’est-à-dire l’influence de notre soleil sur le climat mondial.

Le changement climatique froid

Le 14 février, un front froid arctique record a balayé le Canada vers le sud jusqu’à l’extrême sud du Texas, à la frontière mexicaine. L’impact immédiat a été des coupures de courant pour près de 15 millions de Texans qui, au 17 février, restaient sans chauffage ni électricité, car près de la moitié des éoliennes étaient gelées et inutilisables à cause des tempêtes de verglas, dont beaucoup de façon permanente. Au cours des cinq dernières années, le Texas a doublé sa part de production d’énergie éolienne dans le réseau, dans la précipitation d’adopter un profil d’énergie verte. Avec environ 25% du réseau électrique de l’État provenant de sources éoliennes, près de la moitié est hors service, une grande partie de façon permanente, à cause de la tempête.

Tyler, au Texas, autrefois connue comme la « capitale des roses des États-Unis », a connu des températures avoisinant les -20 °C. Les usines de traitement du gaz du Texas ferment car les liquides gèlent à l’intérieur des tuyaux, ce qui réduit encore la puissance, tout comme la demande de combustible de chauffage explose. En Oklahoma, le prix du fioul domestique a fait un bond de 4 000% en deux jours et ne cesse d’augmenter. Les prix de gros pour la livraison au Texas atteignent jusqu’à 9 000 dollars par mégawattheure. Deux jours avant les tempêtes, le prix était de 30 dollars. Lors d’un pic de demande en été, un prix de 100 $ est considéré comme élevé.

La réduction des livraisons de gaz du Texas aux compagnies d’électricité mexicaines a entraîné des coupures de courant dans le nord du Mexique, près de 5 millions de foyers et d’entreprises étant privés d’électricité le 15 février.

L’erreur de l’énergie verte

En outre, la production pétrolière américaine, centrée au Texas, a chuté d’un tiers, et plus de 20 raffineries de pétrole de la côte du Golfe sont bloquées, tout comme les expéditions de barges de céréales le long du Mississippi. Plusieurs analystes du modèle de réseau déréglementé du Texas soulignent que si l’État avait maintenu une « sauvegarde d’urgence fiable », comme cela est possible avec l’énergie nucléaire ou le charbon, la panne aurait pu être évitée. Récemment, le Texas a obligé six centrales à charbon à fermer depuis 2018, en raison des règles de l’État qui obligent les compagnies d’électricité à prendre l’énergie éolienne et solaire subventionnée, ce qui réduit le coût de leur propre production de charbon. Il les a simplement obligées à fermer les centrales à charbon en fonctionnement qui produisaient 3,9 GW. Si ces centrales avaient été encore en service, les pannes auraient pu être facilement évitées, selon certaines sources. Contrairement à la technologie éolienne ou solaire actuelle, les centrales au charbon et nucléaires peuvent stocker jusqu’à un mois ou plus de capacité sur place pour les urgences électriques.

Alors que dans les États du nord comme le Minnesota, où les hivers rigoureux sont courants et auxquels on est préparé, le Texas n’a pas de telles exigences en matière de capacité de réserve. Par exemple, la Minnesota Public Utilities Commission exige que les centrales disposent d’une capacité de réserve en ligne suffisante pour garantir le maintien de l’électricité dans des circonstances extrêmes. Au lieu de cela, le Texas exploite un marché « énergie seulement », où les prix de gros de l’électricité sont considérés comme une incitation suffisante pour mettre en ligne davantage de centrales électriques. L’objectif du modèle « énergie seulement » était de rendre plus rentable l’énergie éolienne et solaire intermittente afin d’augmenter leur part de marché par rapport aux alternatives conventionnelles comme le charbon ou le nucléaire.

Le modèle de réseau d’État a obligé les centrales au charbon et nucléaires du Texas à vendre leur électricité à perte sur le marché parce qu’elles sont incapables de réduire leur production d’électricité lorsque la forte production éolienne et solaire fait baisser les prix. En fin de compte, il a forcé la fermeture inutile des six centrales au charbon, exactement ce que les défenseurs de l’énergie verte voulaient. Les failles du modèle sont flagrantes, tout comme la dépendance croissante à l’égard d’options éoliennes et solaires peu fiables pour obtenir une empreinte carbone zéro douteuse.

Un minimum solaire ?

Mais il y a une leçon bien plus alarmante à tirer de la catastrophe du Texas. Le fait que des États comme le Texas et des pays du monde entier exigent des billions de dollars d’investissement dans l’énergie verte pour atteindre l’objectif de zéro émission nette de carbone d’ici 2050, fixé par les Nations unies pour 2030, en se tournant vers des énergies solaire et éolienne manifestement peu fiables pour remplacer le pétrole, le gaz et le charbon, et même l’énergie nucléaire sans carbone, est à l’opposé de ce dont nous avons besoin si l’analyse du cycle solaire est précise. Cette faille trouve son origine dans une campagne de plusieurs décennies menée par le GIEC des Nations unies et des personnalités politiques telles qu’Al Gore et un lobby de scientifiques dont la carrière dépend de l’ignorance du plus grand facteur affectant le climat de la Terre et le changement climatique, à savoir les cycles solaires réels.

Contrairement aux modèles informatiques des climatologues qui projettent une augmentation linéaire de la température de la Terre sous forme d’émissions « anthropiques » de CO2, « l’effet de serre » non prouvé, la température de la Terre et les changements climatiques sont non linéaires. Il a été prouvé, depuis plusieurs milliers d’années, qu’ils sont cycliques. Et les émissions de CO2 ne sont pas le moteur de ces cycles. Si tel est le cas, nous pourrions bien, en tant qu’espèce humaine, mettre en œuvre des politiques qui laisseront de grandes parties de notre monde totalement dépourvues de préparation et vulnérables à des changements climatiques bien pires et plus prolongés que la récente catastrophe au Texas.

Selon la NASA américaine, la planète vient d’entrer dans un nouveau cycle solaire. Ils prédisent que le cycle solaire actuel de 11 ans, connu sous le nom de cycle 25, qui a commencé en 2020, « sera le plus faible des 200 dernières années ». Si c’est le cas, cela le situerait à l’époque de ce que l’on appelle le Minimum de Dalton qui s’est déroulé approximativement de 1790 à 1830.

Les taches solaires ou points sombres à la surface du soleil qui sont généralement accompagnés d’énormes éruptions d’énergie magnétique hors du soleil, ont été mesurés quotidiennement depuis que le processus a été commencé dans un observatoire de Zurich, en Suisse, en 1749. Il a été noté que le nombre de taches solaires ou l’activité solaire augmentait et diminuait selon des cycles d’environ 11 ans. Des recherches récentes ont également identifié des cycles plus complexes et plus longs d’environ 200 ans, et de 370 à 400 ans. Les physiciens solaires ont numéroté les cycles de 11 ans à partir de 1749, ce qui nous donne à partir de la mi-2020 le début du cycle solaire 25.

En 2018, un groupe de physiciens et de mathématiciens solaires dirigé par le professeur Valentina Zharkova de l’Université de Northumbria au Royaume-Uni, a développé un modèle complexe basé sur le rôle observé du champ magnétique de fond solaire dans la définition de l’activité solaire. Ils ont pu prédire que le prochain minimum solaire, qui commencera en 2020, se rapprochera de la période récente la plus extrême du minimum solaire, le « Minimum de Maunder », qui va de 1645 à 1710. C’est ce qu’on a appelé le Grand Minimum Solaire, une période prolongée d’activité solaire extrêmement faible, qui a commencé il y a environ 370 ans.

Le groupe de Zharkova a lié les minimims solaires actuels à une diminution drastique du champ magnétique interne du soleil, une baisse d’environ 70% de l’intensité du champ magnétique par rapport à sa valeur moyenne, résultant de variations régulières du comportement du plasma très chaud qui alimente notre soleil. En d’autres termes, nous pourrions être au début d’une phase de changements drastiques du climat terrestre qui durerait plusieurs décennies. Les recherches de Zharkova prédisent que cette période de Grand Solaire Minimum a commencé en 2020, et s’attend à ce qu’elle dure jusqu’en 2053 environ.

Pendant le minimum solaire, les éruptions volcaniques qui ont envoyé des tonnes de cendres dans l’atmosphère ont créé de denses nuages gris qui ont encore bloqué le rayonnement solaire. L’activité volcanique et les phases du minimum solaire sont bien corrélées, on pense qu’elles proviennent de l’intensification de la pénétration des rayons cosmiques dans l’atmosphère terrestre, qui provoque des éruptions plus importantes.

Au cours du Minimum de Maunder, connu dans l’hémisphère nord sous le nom de « petit âge glaciaire », les températures ont chuté dans une grande partie de l’hémisphère nord. Selon Zharkova, cela s’est probablement produit parce que l’irradiation solaire totale a été fortement réduite, ce qui a entraîné des hivers rigoureux.

Un Grand Minimum Solaire beaucoup plus doux, appelé le Minimum de Dalton, de 1790 à 1830 environ, bien que moins extrême que la période Maunder, a conduit à une série d’énormes éruptions volcaniques entre 1812-1815 qui ont culminé avec l’éruption record en Indonésie du Mont Tambora, la plus grande éruption volcanique au monde depuis des périodes historiques. Cette éruption a à son tour créé une telle densité de nuages à partir de cendres que l’année 1816 a été connue en Europe sous le nom d’Année sans Été.

Les températures froides ont fait tomber de la neige à New York pendant l’été 1816. Les cultures à travers les États-Unis et l’Europe ont échoué dans ce que l’on a appelé « la dernière grande crise de subsistance du monde occidental ». En Chine, en 1816, il y a eu une famine massive. Les inondations ont détruit les récoltes. La saison de la mousson a été perturbée, ce qui a entraîné des inondations massives dans la vallée du Yangzi Jian. En Inde, la mousson d’été retardée a provoqué des pluies torrentielles tardives qui ont aggravé la propagation du choléra d’une région proche du Gange au Bengale jusqu’à Moscou.

Les éruptions volcaniques sont en hausse depuis l’éruption de deux énormes volcans en novembre 2020 en Indonésie, à Lewotolo et Semeru, alors que l’actuel Grand Minimum Solaire a commencé, lié à la baisse de la magnétosphère liée au soleil et à l’afflux plus important de rayonnement cosmique solaire pénétrant le magma riche en silice des volcans.

Comme le note Sacha Dobler, auteur de Solar Behavior, « en ce qui concerne la température, ce qui est crucial n’est pas l’énergie qui quitte le soleil, mais la quantité de cette énergie qui est bloquée par les nuages et qui atteint la surface de la Terre, et la quantité qui est réfléchie dans l’espace par la glace et la neige ». Une plus grande pénétration des rayons cosmiques dans l’atmosphère pendant les minimums solaires ajoute à la nucléation des nuages et provoque des éruptions volcaniques. Dobler ajoute : « Dans un Grand Minimum Solaire, les rayons cosmiques déclenchent des crues éclair plus importantes, des tempêtes de grêle et – en raison de la perturbation du Courant-jet et du mélange des couches atmosphériques – des précipitations locales de longue durée… En raison du déplacement du Courant-jet et de la modification de la configuration des vents, on s’attend à des vagues de chaleur singulières et à davantage d’incendies de forêt ». En bref, nous pouvons nous attendre à des événements météorologiques instables et irréguliers au cours des dix à trente prochaines années si des physiciens solaires tels que Zharkova ont raison.

Changement du Courant-jet

Un effet important du minimum solaire majeur ou grand solaire dans lequel nous entrons maintenant est le changement de position de notre Courant-jet. En période de forte activité solaire, le Courant-jet forme une ceinture relativement stable autour de l’hémisphère nord, au niveau du sud du Canada et de la Sibérie, ce qui permet de contenir les grands froids hivernaux. Dans les minimums solaires comme maintenant, le Courant-jet, au lieu de former un anneau stable, devient très irrégulier ou ondulé. C’est ce qui a permis le froid arctique sans précédent jusqu’au sud du Texas. Ce Courant-jet irrégulier et faible permet un froid intense et des chutes de neige dans certaines régions et des poches de chaleur inhabituelles dans des endroits comme la Sibérie, ainsi que des périodes exceptionnellement chaudes et sèches ou humides. Alors que nous nous enfonçons dans l’actuel minimum solaire à l’horizon 2030 environ, les physiciens s’attendent à ce que ce changement climatique « extrême » s’intensifie.

Le soleil est, par ordre de grandeur, la force la plus influente qui affecte le climat de la Terre et ses changements climatiques. Malheureusement pour l’humanité, le groupe dominant de climatologues qui soutient l’hypothèse étroite et non vérifiée du réchauffement climatique dû au CO2 produit par l’homme ne modélise aucun effet de la modification du rayonnement solaire sur notre climat. Le GIEC rejette le soleil comme un facteur non pertinent, ce qui s’avère extrêmement dangereux.

Les « Puissances en devenir », par exemple associées au FEM, sont-elles conscientes du minimum solaire à venir et du fait que celui-ci risque d’être aussi mauvais, voire pire, que le Minimum de Dalton de 1790-1830 ? Cela explique-t-il leur choix de la période 2030 à 2050 dans l’objectif de l’Agenda 2030 des Nations unies ?

Si le monde dépense des billions et détourne des ressources précieuses pour se préparer au « zéro carbone », alors que les pires effets solaires des 200 dernières années ou plus se manifestent lors d’événements tels que l’expérience du Texas et d’autres régions du monde, ce serait une façon diabolique d’accélérer leur programme de réduction de la population, car le monde est pris au dépourvu par de graves mauvaises récoltes et une famine massive.

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Voir notre page “Escroquerie du Réchauffement Climatique Anthropique”

 

De la canicule récente en France: Réchauffement Climatique Anthropique ?… Vraiment ?… (Dr Roy Spencer)

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Records de température en France: 3 faits que les médias ne vous disent pas

 

Dr. Roy Spencer

Climatologue
Analyste pour la NASA avec le Dr. John Christy des températures globales par satellite
Ancien patron du département en recherche climatologique de la NASA

 

2 juillet 2019

 

url de l’article original:

http://www.drroyspencer.com/2019/07/record-high-temperatures-in-france-3-facts-the-media-dont-tell-you/

 

~ Traduit de l’anglais par Résistance 71 ~

 

Les infos rapportant sur la récente vague de chaleur en France et en Europe furent bien sûr accompagnées du sempiternel blâme sur les humains causant cet évènement. Par exemple, voici un titre de CBS News: Record-breaking heat is scorching France. Experts say climate change is to blame.

Alors qu’il est possible que le composant humain du récent réchauffement pourrait avoir rendu la vague de chaleur très légèrement pire, il y a néanmoins 3 faits que les médias ignorent de manière routinière dans leur rapport sur de tels évènements “battant des records de chaleur”. Si ces faits étaient simplement mentionnés, bien moins de personnes ayant la capacité de penser par elles-mêmes concluraient que nos émissions de gaz à effet de serre aient un tel impact.

1. Des températures chaudes au point de record se produisent même sans réchauffement climatique

La période qui voit l’enregistrement des températures par thermomètres de manière fiable est relativement courte, même en Europe. A cause de la nature chaotique de la météo, des records de basses et de hautes températures doivent être attendus de temps en temps, même lorsqu’il n’y a pas de tendance au réchauffement à long terme.

La question est: est-ce que les records de hautes températures augmentent au fil du temps ? Aux Etats-Unis, la réponse est “NON”, alors que le nombre de jours au dessus de temp de 40 degrés C n’a pas augmenté (see Fig. 5 here). On devrait étudier les données en provenance d’Europe pour voir si le nombre de journées records augmentent au fil du temps.

S’il y a augmentation effective, encore faut-il se demander quelle en est la cause. La plupart du réchauffement planétaire depuis le petit âge glaciaire (jusqu’à 1900 environ) s’est opéré avant que l’on puisse blâmer les gaz à effet de serre. Nous n’avons pas de mesures précises des températures durant la période chaude moyenne-âgeuse d’il y a environ 1000 ans. Quelle était la chaleur en été à cette époque ? Personne ne le sait. Le temps change, ce qui m’amène à mon point suivant.

2. Les vagues de chaleur estivales sont liées à la météo et des périodes de froid inhabituelles sont généralement au coin de la rue

La récente vague de chaleur excessive en Europe n’a pas été causée par la masse d’air estivale présente en cette période et se réchauffant dans un bain de CO2 émis pas l’humain. Elle a été causée par une couche d’air saharienne (SAL) qui est venue de ce gigantesque désert du sud.

Ceci se produit de temps en temps. Voici à quoi ressemble l’anormalité des températures à une altitude d’environ 1500m:


Notons la zone froide en Europe orientale

L’évènement saharien (SAL) s’est déplacé plein nord depuis le Sahara pour couvrir toute l’Europe occidentale tandis qu’une masse d’air froid se déplaçait vers le sud sur l’Europe orientale. Comme preuve du comment les variations naturelles du temps peuvent être, l’anormalité des températures sur cette petite portion du monde se situe dans un éventail de 25 degrés Celsius.

Dans le même temps, l’anomalie de température moyenne globale pour le mois de juin (source du Climate Forecast System, CFSv2 model de la NOAA) à la surface n’était que de + 0,3 degré C et même pour une journée (le 1er juillet 2019 de  WeatherBell.com) reste de +o,3 degré C.

Voyez-vous la disparité entre ces deux chiffres ? des variations de la température liée à la météorologie de 25 degrés C contre un “réchauffement” moyen global lié au climat de +0,3 degré C.

Voici à quoi ça ressemble à la surface:

L’éventail du déraillement de la température de surface de l’air de la normalité est monté jusqu’à 32 degrés Celsius, noyant par un facteur de 100 le réchauffement dû au “climat” qui n’est que de +o,3 degré C.

Ainsi, lorsqu’on parle de nouveau record de température, nous devrions d’abord regarder les variations de la normale météorologique.

3. La plupart des mesures de thermomètre ont été faussées par l’Urban Heat Island Effect (UHI) ou effet de chaleur insulaire urbaine (CIU)

Ma conviction par analyse (voir article du Dr Spencer de 2010: http://www.drroyspencer.com/2010/03/the-global-average-urban-heat-island-effect-in-2000-estimated-from-station-temperatures-and-population-density-data/ ) est que l’enregistrement des températures thermométriques a exagéré la tendance au réchauffement à cause de cet effet de CIU / UHI. Lorsque la végétation naturelle est remplacée par des bâtiments, des réseaux routiers et qu’on y ajoute des additions artificielles comme celles émanant des machines comme les climatiseurs (les sorties extérieures ajoutent de la chaleur), les voitures, les camions réfrigirant, le microclimat autour des sites d’enregistrement des températures change.

Beaucoup d’entre nous en font l’expérience quotidiennement alors que nous commutons des zones rurales avoisinantes pour le travail vers les zones urbaines.

Juste un simple exemple: l’aéroport international de Miami en Floride a récemment établi un nouveau record de haute température à 36 degré C. au mois de mai. Le thermomètre en question est dans la zone ouest de l’aéroport près de la piste sud de l’aéroport et au milieu du metroplex Miami-Ft Lauderdale. Il y a environ 120 ans, pratiquement personne ne vivait à Miami, la population de l’endroit en 1896 était de 300 personnes.

L’effet CIU est si fort et perturbateur, qu’il est maintenant inclus dans un modèle de prédiction météo GFS et dans le cas récent de la hausse de Miami, on voit que le metroplex à minuit est presque 3 degré C. plus chaud que la zone rurale environnante.

Lorsqu’un site de prise de température a un tel élément de biais de nuit, il est évident qu’il va donner des données erronées de température à la hausse durant la journée (et vice versa)

L’analyse la plus juste et complète de cet effet de CIU / UHI sur la température aux Etats-Unis fut faite par Anthony Watts et ses co-auteurs, qui ont analysé les emplacements de centaines de thermomètres d’enregistrement aux Etats-Unis et cette analyse a démontré que si on utilisait seulement les meilleurs sites d’enregistrement qui se situent le plus souvent en zones rurales, les tendances du réchauffement aux Etats-Unis sont pratiquement à diviser par deux. De manière très curieuse, ils ont trouvé que les données de températures ajustées officielles de la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), qui utilise des données urbaines et rurales, ont encore encore plus de réchauffement que si aucun ajustement pour le CIU / UHI n’avait été fait, ce qui a mené bon nombre d’entre nous à conclure que la procédure d’ajustement pour l’effet de CIU de la NOAA a en fait fait ressembler les données rurales à celles des données urbaines et non pas l’inverse comme cela aurait dû être le cas avec un ajustement juste.

Quel effet cela a t’il sur les récentes très hautes températures enregistrées en France ? 

Il n’y a aucun problème pour dire que ces températures furent anormalement élevées, je ne fais qu’adresser les raisons pour lesquelles ces températures records se sont produites. J’ai déjà établi que:

1- Des températures records seront établies sans réchauffement climatique

2- Les variations météorologiques sont les causes premières de ces températures (en l’occurrence ici une masse d’air chaude saharienne intrusive) et maintenant

3- Beaucoup de sites d’enregistrement thermométrique ont subi un réchauffement du à l’effet CIU.

Au sujet de ce 3ème point, cette page de MeteoFrance (page) liste les températures records de cet évènement et un endroit de mesure (le Mont Aigoua) a retenu mon attention plus particulièrement parce que c’est un observatoire en altitude ayant peu de développement, sur un sommet bien ventilé et là, l’ancien record fut établi en 1923 et cette vague de chaleur récente n’a battu ce record précédent que d’un demi degré…

Quelques autres records sur cette page proviennent aussi du début du XXème siècle, ce qui mène à la question toute naturelle de comment est-ce qu’il a pu faire si chaud à l’époque sans effet de serre anthropique et avec un développement urbain minimum.

Au bout du compte, de hautes températures se produisent naturellement avec ou sans changement climatique et notre capacité de pouvoir les identifier a été compromise par le réchauffement artificiel inclus dans la plupart des relevés de données thermométriques, ce réchauffement artificiel doit toujours être proprement ajusté/supprimé des données.

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Lire notre dossier:
« Escroquerie du Réchaffement Climatique Anthropique »

et

Manuel du climato-sceptique I

Manuel du climate-sceptique II

 

Escroquerie du Réchauffement Climatique Anthropique: Manuel du Sceptique Climatique tomes 1 et 2 en pdf

Posted in actualité, altermondialisme, écologie & climat, économie, guerres hégémoniques, guerres imperialistes, média et propagande, militantisme alternatif, N.O.M, neoliberalisme et fascisme, pédagogie libération, réchauffement climatique anthropique, résistance politique, science et nouvel ordre mondial, sciences et technologies, technologie et totalitarisme, terrorisme d'état, Union Europeenne et nouvel ordre mondial with tags , , , , , , , , , , , , on 14 avril 2019 by Résistance 71


… la fraude du siècle !

 

Résistance 71

 

14 avril 2019

 

Nous republions ci-dessous les deux tomes du « Manuel du sceptique climatique » en format PDF.
A (re)lire et à diffuser sans aucune modération pour combattre la théorie frauduleuse pseudo-scientifique affirmant dogmatiquement que le réchauffement de la planète (quand il a lieu) est la faute de l’humain.

La science dans les grandes largeurs a été détournée au profit du tout marchand dictatorial et frauduleux. Le GIEC est une entité politico-économique et en rien une entité scientifique, qui tente d’imposer à l’humanité une théorie dogmatique « climatique » pseudo-scientifique qui ne fait que transférer des fonds vers la clique oligarchique criminelle habituelle.

Pour en savoir plus:

Manuel_du_sceptique_climatique_No1

Manuel du Sceptique II-V4

Bonne lecture !…

 


Le CO2 n’est pas un polluant bien au contraire !


Oui à la vraie écologie, non au lavage de cerveau…